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1 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
OUREUX. Métaphraste et Albert ont une scène, la septième du second acte , de bavardage de la part de l’un, d’impatience de
se demandant réciproquement pardon, dans la scène quatre du troisième acte  ; Eraste et Lucile se brouillant et se raccommoda
ouillant et se raccommodant, scène sublime, la troisième du quatrième acte  ; parodie charmante par le valet et la soubrette.
AGINAIRE. Pièce peu digne de Molière. La scène dixième du deuxième acte , où Cécile se plaint de son propre malheur, tandi
l digne d’être étudié. La scène de la lettre, la cinquième du premier acte  ; celle du billet déchiré, la cinquième du deuxiè
e du premier acte ; celle du billet déchiré, la cinquième du deuxième acte  ; la huitième du quatrième acte, superbe depuis l
let déchiré, la cinquième du deuxième acte ; la huitième du quatrième acte , superbe depuis le commencement jusqu’à la fin, e
e et de diction ; tout en est à étudier. La première scène du premier acte , où les deux caractères, principaux s’exposent :
les deux caractères, principaux s’exposent : la cinquième du premier acte , où Valère veut faire parler Sganarelle et se lie
Valère veut faire parler Sganarelle et se lier avec lui malgré lui. L’ acte deux est tout entier sublime. Sganarelle, qui va
e le conseil d’enlever Isabelle ; la scène quatorzième de ce deuxième acte , dans laquelle Sganarelle mène Valère devant Isab
sur ses véritables sentiments, et le trompe sous ses propres jeux ; l’ acte qui finit par le dessein d ‘épouser le lendemain
out ce qu’elle a fait, et oblige de recommencer la pièce au troisième acte , où le jaloux va lui-même chercher le notaire pou
roir. Son valet est le premier fâcheux. La scène cinquième du premier acte du seigneur qui a fait une courante ; la deuxième
er acte du seigneur qui a fait une courante ; la deuxième du deuxième acte du joueur, la septième du deuxième acte du chasse
nte ; la deuxième du deuxième acte du joueur, la septième du deuxième acte du chasseur, la deuxième du troisième acte du sav
r, la septième du deuxième acte du chasseur, la deuxième du troisième acte du savant grec, la troisième du troisième acte de
deuxième du troisième acte du savant grec, la troisième du troisième acte de l’homme qui veut mettra la France en ports de
L’ÉCOLE DES FEMMES. Chef-d’œuvre de comique. Les trois premiers actes me semblent infiniment supérieurs aux deux autres
t infiniment supérieurs aux deux autres. La première scène du premier acte , modèle d’exposition morale ; la sixième entre Ho
Arnolphe, modèle de récit et de comique. La scène sixième du deuxième acte , entre Arnolphe et Agnès, admirable pour la vérit
t d’une jeune sotte qui lui dit tout ; la deuxième scène du troisième acte , entre Arnolphe et Agnès, où il lui explique les
où il lui explique les devoirs du mariage ; la quatrième du deuxième acte , où Horace lui confie la manière dont Agnès lui a
ir sa lettre, sont des modèles de comique. La scène huit du quatrième acte ,  d’Arnolphe et de Chrisalde, sur le cocuage, est
ge, est d’une philosophie admirable ; la scène quatrième du cinquième acte , où Arnolphe cherche ridiculement à plaire à cett
scène la plus plaisante de là pièce ; la première scène du quatrième acte , dans laquelle Euriale et la princesse se trompen
nteries dans la première scène de Charlotte et de Pierrot au deuxième acte  ; malgré la scène de Léonor et de sa tante avec d
éveloppe son caractère, est un modèle ; la première scène du deuxième acte entre Pierrot et Charlotte ; la cinquième du même
ne du deuxième acte entre Pierrot et Charlotte ; la cinquième du même acte , où don Juan trompe à la fois les deux paysannes,
s les deux paysannes, sont des chefs-d’œuvre de comique. Le troisième acte est tout espagnol. La scène troisième du quatrièm
Le troisième acte est tout espagnol. La scène troisième du quatrième acte , entre M. Dimanche et don Juan, est un modèle de
dèle de vérité et d’excellent comique. La scène deuxième du cinquième acte , où don Juan parle de l’hypocrisie, et la troisiè
age. L’AMOUR MÉDECIN. Jolie farce. La première scène du premier acte , dans laquelle Sganarelle demande des conseils à
donnent un intéressé, est un modèle de, vérité ; la troisième du même acte , où Lucinde, sollicitée par son père de lui dire
outant plus, est un modèle de comique. La scène troisième du deuxième acte , dans laquelle les médecins, assemblés pour consu
r, parlent de leur mule et de leurs chevaux ; la sixième du troisième acte , dans laquelle Clitandre joue le rôle de médecin,
ppris par cœur avant que d’être examiné. La première scène du premier acte , où Alceste développe son caractère avec son ami,
ellent comique et d’une vérité sublime. La première scène du deuxième acte , où Alceste est en opposition avec la coquette Cé
devant le misanthrope, sont superbes. La scène cinquième du troisième acte , dans laquelle la prude Arsinoé vient donner des
este, après l’avoir loué malgré lui ; là scène troisième du quatrième acte , de fureur et de rage de la part d’Alceste, de fi
qui se fâche dès qu’Alceste s’apaise ; la première scène du cinquième acte ., où Alceste, après avoir perdu son procès, veut
farce, pleine de vérité. La première et la deuxième scène du premier acte , dans lesquelles Sganarelle bat sa femme, le vois
de coups de bâton, qu’il est médecin ; la scène troisième du deuxième acte , dans laquelle Sganarelle fait le médecin ; la si
TORALE. Molière ne l’a pas achevée. La scène troisième du deuxième acte est jolie, et Mélicerte et Myrtil y parlent comme
que plusieurs personnes n’approuvent pas, ne peut choquer, après cinq actes de beautés continues. La première scène du premie
, après cinq actes de beautés continues. La première scène du premier acte , où la vieille mère Pernelle, en grondant toute s
gon et Cléante, scène admirablement écrite ; la quatrième du deuxième acte , où les amants se brouillent par un malentendu, e
et se raccommodent par les soins de Dorine ; la deuxième du troisième acte , où Tartufe s’annonce ; la troisième, où il fait
don à genoux pour son fils qui l’a accusé ; la cinquième du quatrième acte , où Orgon est sous la table, scène si singulière,
cure qui lui persuade qu’il est Sosie ; la scène première du deuxième acte entre Amphitryon et Sosie ; la deuxième entre Alc
s’informe à son tour de ce qui s’est passé ; la deuxième du troisième acte , où Mercure se moque d’Amphitryon : voilà les scè
eut-être Le Tartuffe et Le Misanthrope. La scène troisième du premier acte entre l’avare et le valet qu’il fouille ; la cinq
le pour juge de son refus de se marier ; la scène sixième du deuxième acte , dans laquelle Frosine flatte l’avare ; la scène
ans laquelle Frosine flatte l’avare ; la scène troisième du quatrième acte , où l’avare trompe son fils par une fausse confid
ître Jacques les raccommode si comiquement ; la deuxième du cinquième acte dans laquelle maître Jacques accuse l’intendant d
N. Pièce très morale et très comique. La scène deuxième du premier acte , où Lubin fait confidence à George Dandin de son
demander pardon au galant de sa femme ; la scène septième du deuxième acte , où Lubin raconte de nouveau à George Dandin le r
es de Molière, il y a des scènes excellentes. La cinquième du premier acte , où Sbrigani prend le parti de Pourceaugnac ; la
es ; celle avec son maître de philosophie ; la troisième du troisième acte , où madame Jourdain et Nicole font la leçon à M.
sprit avec elle : voilà les beautés de cet ouvrage, dont le cinquième acte ne vaut pas les autres. LES FOURBERIES DE SCAP
aut pas les autres. LES FOURBERIES DE SCAPIN. Sans le troisième acte , cette farce charmante serait une excellente comé
charmante serait une excellente comédie. La première scène du premier acte est un modèle d’exposition ; la scène quatrième,
aconte à Argante l’histoire du mariage de son fils ; dans le deuxième acte , la scène cinquième, où Scapin fait cette confess
ble enfant n’a eu des pères si forts. La scène troisième du troisième acte est charmante ; le style en est doux et pur : c’e
FEMMES SAVANTES. Chef-d’œuvre encore. La première scène du premier acte , où Armande et Henriette exposent leurs différent
déclaration d’amour dans tout ce que lui dit Clitandre ; au deuxième acte , les scènes cinquième et sixième, où Martine est
ale se plaint aux femmes savantes et leur parle raison ; au troisième acte , les scènes 1, 2, 3, 4, 5, où Trissotin lit ses v
n lit ses vers, où il se prend de querelle avec Vadius ; au cinquième acte , la scène première, où Henriette témoigne à Triss
ALADE IMAGINAIRE. Excellente comédie. La première scène du premier acte ,où Argan compte ses mémoires ; la cinquième, où i
oinette ; la scène neuvième avec sa femme et le notaire : au deuxième acte , la scène sixième, dans laquelle Diafoirus fait s
ite-fille, à qui il fait raconter tout ce qu elle a vu ; au troisième acte , la scène troisième, où Béralde parle raison à Ar
entend parler de Géronte, est pillée de la cinquième scène du premier acte du Malade imaginaire. LE BAL. La plus mauva
ge. LE JOUEUR. La meilleure des comédies de Regnard. Au premier acte , la deuxième scène expose à merveille et très com
très comiquement la pièce ; la dixième de M. Tout-à-Bas : au deuxième acte , la scène neuvième, où Angélique, malgré Nérine,
uvième, où Angélique, malgré Nérine, pardonne à Valère : au troisième acte , la troisième, où Hector présente son mémoire à G
, où le marquis insulte Valère, qu’il croit un poltron : au quatrième acte , la scène douzième, où Hector lit Sénèque à son m
r lit Sénèque à son maître qui a perdu tout son argent : au cinquième acte , la scène quatrième, où madame La Ressource dit q
it est bien fait d’un bout à l’autre. La scène troisième du troisième acte , où le chevalier donné sa leçon d’italien, est jo
donné sa leçon d’italien, est jolie ; la scène huitième du quatrième acte , où le Distrait donne à son valet des raisons de
ts que personne n’a atteint comme lui ; la scène sixième du quatrième acte , où le Distrait et le chevalier se disent polimen
a de temps en temps. de la philosophie. La scène septième du deuxième acte , où Strabon et Cléanthis se plaisent, sans se rec
omique, mais nullement vraisemblable ; la scène septième du quatrième acte , où Strabon et Cléanthis se reconnaissent et s’ab
lies de la pièce. LES MÉNECHMES. La scène cinquième du deuxième acte , où Ménechme envoie au diable Araminte et Finette
iques de la pièce. LE LÉGATAIRE. La scène deuxième du troisième acte , où Crispin contrefait le gentilhomme campagnard,
sixième, où il se déguise en veuve du Maine ; la sixième du quatrième acte , où il dicte le testament ; et la sixième du cinq
quatrième acte, où il dicte le testament ; et la sixième du cinquième acte , où l’on fait accroire à Géronte que c’est lui qu
e. DUFRESNY. LE NÉGLIGENT. La scène troisième du deuxième acte , entre le marquis et le poète sur Homère et Virgi
e marquis et le poète sur Homère et Virgile ; la sixième du troisième acte , entre le marquis et Dorante, est la même que cel
OMANIE. Chef-d’œuvre ; tout en est presque à remarquer. Au premier acte , la scène sixième entre Damis et son valet, dans
amis et son valet, dans laquelle ils partagent les prix ; au deuxième acte , la scène huitième entre Damis et son valet, quan
nd il lui confie sa passion pour l’inconnue du Mercure ; au troisième acte , la scène sixième, où Baliveau et Damis se rencon
e suivante est superbe ; enfin le monologue qui commence le cinquième acte  : tout doit être étudié dans cet ouvrage. LA R
u et bien fait. LES DEUX PIÈCES. La scène première du quatrième acte , où Lucile -demande au chevalier des vers pour ré
A SURPRISE DE LA HAINE. Mauvaise pièce. La sixième scène du second acte , où Arlequin, pour avoir de l’argent, dit le diab
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Des Actes. » pp. 274-288
CHAPITRE XV. Des Actes . Les Anciens appelloient acte la partie d’un d
CHAPITRE XV. Des Actes. Les Anciens appelloient acte la partie d’un drame qu’ils renfermoient entre de
n ou mauvais, tient parmi nous la place des chœurs, nous appellons un acte cette premiere, seconde, troisieme partie, &c
il fut un temps en France où une comédie qui auroit eu moins de cinq actes , auroit paru un monstre, quelque bonne qu’elle eû
s les pieces Espagnoles, par la raison seule qu’elles n’ont que trois actes ou trois journées ; comme s’il n’étoit pas permis
ls ont depuis suivi les nôtres ; & nous fîmes des pieces en trois actes , comme ils en font présentement en cinq. Peu-à-pe
peu, & j’espere que quelque jour nous verrons des comédies en six actes . Pourquoi non ? Tel qui n’en fait que cinq, en f
donner : elles ne sont pas faites pour lui. Passons à la division des actes . Tout le monde sait que dans une piece en cinq ac
la division des actes. Tout le monde sait que dans une piece en cinq actes , le premier doit servir à l’exposition ; que l’in
se dénouer tout-à-fait au cinquieme. La division des pieces en trois actes est beaucoup plus naturelle & infiniment plus
’essentiel est de bien posséder son sujet avant que de distribuer les actes . Malheur à l’Auteur qui n’en a jamais vu qu’un à
droits saillants ou médiocres ; & les diviser si bien dans chaque acte , qu’ils partagent également les beautés & les
mutuellement. Moliere a mis deux scenes épisodiques dans le quatrieme acte de son Ecole des Femmes ; celle du notaire, &
t faire l’apologie du cocuage. Si elles étoient distribuées dans deux actes différents, le défaut frapperoit moins. J’ai souv
endu raisonner quelques-uns de nos jeunes Auteurs sur la division des actes , sur ceux auxquels il faut donner la préférence,
fois se refroidir dans la comédie, vous êtes perdu sans ressource. Un acte défectueux est quelquefois trouvé d’autant plus m
ndé très sérieusement combien de scenes & de vers il faut dans un acte . Des Savants ont dit, & écrit plus sérieuseme
cte. Des Savants ont dit, & écrit plus sérieusement encore, qu’un acte doit avoir cinq scenes & trois cents vers. La
on leur sujet, le caprice de l’Auteur ou celui de sa Muse. Le premier acte du Misanthrope n’a que trois scenes, le cinquieme
thrope n’a que trois scenes, le cinquieme en a onze ; voilà donc deux actes qui, selon le calcul des Anciens, & de quelqu
vers, & deux ou trois scenes plus ou moins, ne rendront jamais un acte ou plus long ou plus court aux yeux des connoisse
encore entendu faire cette question : Comment peut-on connoître qu’un acte est fini ? & j’ai encore entendu répondre for
nes, laissent le théâtre vuide ou sans acteurs plusieurs fois dans un acte . Il s’ensuivroit de là que chacun de ces actes en
plusieurs fois dans un acte. Il s’ensuivroit de là que chacun de ces actes en auroit deux ou trois, & la piece entiere,
tes en auroit deux ou trois, & la piece entiere, une quinzaine. L’ acte finit réellement quand le théâtre reste sans acti
er la continuer derriere la toile. Lisez la derniere scene du premier acte des Fourberies de Scapin. ACTE I. Scene VII. SCA
le. Lisez la derniere scene du premier acte des Fourberies de Scapin. ACTE I. Scene VII. SCAPIN, SILVESTRE. Silvestre. J’av
este non seulement vuide d’acteurs, mais encore d’action, & que l’ acte ne peut continuer, puisqu’il faut donner le temps
s plusieurs poétiques qui défendent aux Auteurs de faire commencer un acte par l’acteur qui a fini le précédent ; & cela
! & quelle raison plus pitoyable encore ! Qu’un acteur finisse un acte , qu’il commence le suivant ; mais qu’il le fasse
il nous rende un compte bien exact de ce qu’il a fait entre les deux actes  : je défie le spectateur le plus idiot de ne pas
ers Généraux nous a procuré en refusant un petit emploi à l’Auteur40. ACTE II. Scene X. Frontin, seul. Je ne manque pas d’o
la continuer derriere la toile. Il paroît dans la premiere scene de l’ acte suivant, voyons ce qu’il y dit. ACTE III. Scene I
roît dans la premiere scene de l’acte suivant, voyons ce qu’il y dit. ACTE III. Scene I. LA BARONNE, FRONTIN, LISETTE. La
avoient de celui qui leur étoit demeuré le dernier à l’esprit, dans l’ acte précédent ». Je suis d’un avis tout à fait diffé
oici comme je raisonne. Puisque l’acteur ou les acteurs qui ferment l’ acte , sortent ordinairement pour aller faire quelque a
41. Il est de la prudence & de l’adresse d’un Auteur de finir ses actes par une scene qui ait trois qualités bien nécessa
mp; de le juger : les voici. Premiérement. Si la scene qui termine l’ acte suit des scenes brillantes, elle doit être très c
’attention du public, & piquant sa curiosité, lui fasse desirer l’ acte suivant avec l’intérêt le plus vif ; & de faç
faire sur le théâtre. Cherchons pour exemple deux dernieres scenes d’ acte , dont l’une réunisse ces trois belles qualités, &
s contraires. Je les prendrai toutes les deux dans l’Ecole des Maris. ACTE I. Scene VI. VALERE, ERGASTE. Valere vient de
; d’ailleurs ses interlocuteurs ne paroissent sortir que pour finir l’ acte  : la raison pour laquelle ils quittent la scene e
 : la raison pour laquelle ils quittent la scene est maigre : enfin l’ acte finit d’autant plus mal, que ces deux personnages
e Moliere. Passons à une scene plus digne de lui, dans la même piece. ACTE II. Scene XV. ISABELLE, SGANARELLE. La scene qu
brûle d’apprendre, parcequ’il s’intéresse à l’héroïne. Et la fin de l’ acte est motivée, puisque Sganarelle qui emmene Isabel
scene doit avoir son exposition, son intrigue, son dénouement, chaque acte doit avoir aussi toutes ces parties bien distinct
est tombée, & qu’elle n’est pas de moi. On avoit déja débité deux actes , que le public n’avoit pas approuvés : son impati
Alors un plaisant du parterre s’écria : « Messieurs, les scenes, les actes , la piece n’ont ni commencement, ni milieu, ni fi
3 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
partirent pour Lyon en 1653. On y représenta l’étourdi, piéce en cinq actes , qui enleva presque tous les spectateurs au théat
p; applaudi. Le succès de cet essai rétablit l’usage des piéces en un acte qui avoit cessé à l’hôtel de Bourgogne, depuis la
it Bourbon. L’étourdi L’étourdi, ou les contretems, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pe
vraysemblable, & le dénouement n’est pas heureux ; le nombre des actes n’est déterminé à cinq, que pour suivre l’usage,
r. Les incidens du dépit amoureux Le Depit amoureux, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pe
die des précieuses ridicules Les precieuses ridicules, comédie en un acte en prose, représentée à Paris sur le théatre du p
cocu imaginaire, Sganarelle, ou le cocu imaginaire, comédie en trois actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pe
Dom Garcie de Navarre, ou le prince jaloux, comédie héroïque en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
isantrope.13 L’école des maris L’école des maris, comédie en trois actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
que Dom Garcie avoit laissée. Il est peu de piéces, sur tout en trois actes , aussi simples, aussi claires, aussi fécondes que
des maris, lorsque les fâcheux Les fâcheux, comédie-ballet en trois actes en vers, représentée à Vaux au mois d’août 1661,
année, & l’école des femmes L’école des femmes, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
l’école des femmes. La critique de l’école des femmes, comédie en un acte en prose, représentée sur le théatre du palais ro
e l’impromptu de Versailles. L’impromptu de Versailles, comédie en un acte en prose, représentée à Versailles le 14 octobre
de, comédie-ballet, La princesse d’Elide, comédie-ballet, (le premier acte & la premiére scéne du second en vers, le res
divertir. Moliere n’avoit eu le tems d’écrire en vers que le premier acte , & la premiére scéne du second. L’applaudisse
mariage forcé, ballet du Roi, Le Mariage forcé, comédie-ballet en un acte en prose, représentée au louvre le 29 janvier 166
e festin de Pierre. Dom Juan, ou le festin de Pierre, comédie en cinq actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du p
s ; soit que le préjugé qui régnoit alors contre les comédies en cinq actes écrites en prose, fût plus fort que l’esprit de v
ente aujourd’hui. L’amour médecin, L’amour medecin, comédie en trois actes en prose, avec un prologue, représentée à Versail
ttention. Tel est celui du misantrope, Le misantrope, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
ntrope le médecin malgré lui, Le medecin malgré lui, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du p
orale héroïque en vers, dont il n’avoit composé que les deux premiers actes  ; elle fut représentée en cet état à saint Germai
elle fut représentée en cet état à saint Germain. La scéne du second acte entre Mirtil & Mélicerte, est remarquable par
gnit des intermédes, & changea la versification des deux premiers actes , qu’il mit en vers libres & irréguliers ; la
’amour peintre, Le sicilien, ou l’amour peintre, comédie-ballet en un acte en prose, représentée dans le ballet des muses, à
piéce, qui étoit ornée de musique & de danses. Les trois premiers actes de Tartuffe Tartuffe, ou l’imposteur, comédie en
premiers actes de Tartuffe Tartuffe, ou l’imposteur, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
e Cléante oppose à celui du vray dévôt. Tartuffe annoncé pendant deux actes , paroît au troisiéme. L’intrigue alors, plus anim
onne lieu à cette scéne si singuliére & si admirable du quatriéme acte , que la nécessité de démasquer un vice aussi abom
ir choqué la bienséance dans Amphitrion. Amphitrion, comédie en trois actes en vers, avec un prologue, représentée à Paris su
’étoit alors une singularité, un défaut même pour une comédie en cinq actes , que d’être écrite en prose. On étoit moins diffi
On étoit moins difficile sur les piéces qui n’avoient qu’un ou trois actes . Le mérite de l’avare L’avare, comédie en cinq a
qu’un ou trois actes. Le mérite de l’avare L’avare, comédie en cinq actes en prose, représentée sur le théatre du palais ro
t George Dandin, George Dandin, ou le mari confondu, comédie en trois actes en prose, représentée avec des intermédes à Versa
. de Pourceaugnac, Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet, en trois actes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octob
des amans magnifiques. Les amans magnifiques, comédie-ballet, en cinq actes en prose, représentée à saint Germain en Laye, au
urgeois gentilhomme. Le bourgeois gentilhomme comédie-ballet, en cinq actes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octob
les fourberies de Scapin, Les fourberies de Scapin, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du p
ue d’un ordre inférieur. Dans Psiché, Psiché, tragédie-ballet en cinq actes en vers, représentée à Paris au palais des tuiler
a comédie des femmes sçavantes. Les femmes sçavantes, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
ra pas. On sentit bientôt avec quel art l’auteur avoit sçû tirer cinq actes entiers d’un sujet aride en lui-même, sans y rien
du bel-esprit récite avec emphase, dans la scéne seconde du troisiéme acte , la confirment dans la résolution qu’elle avoit d
n’est celui des deux lettres supposées qu’Ariste apporte au cinquiéme acte  ; la générosité réciproque de Clitandre & d’H
’Escarbagnas La comtesse d’Escarbagnas, comédie-ballet, en plusieurs actes en prose, représentée à saint Germain en Laye, au
saint Germain en Laye, au mois de février 1672, & à Paris, en un acte , sans intermédes, sur le théatre du palais royal,
en Laye, au mois de décembre 1671. Les deux piéces, divisées en sept actes , sans qu’on en connoisse la véritable distributio
Le malade imaginaire Le malade imaginaire, comédie-ballet, en trois actes en prose, avec un prologue, représentée à Paris s
çut qu’en prononçant le mot juro, dans le divertissement du troisiéme acte , il lui prit une convulsion, qu’il tâcha en vain
vouloit la scéne plus exacte, Le vicomte indigné sortoit au second acte . L’un, défenseur zélé des bigots mis en jeu,
s la jalousie de Barbouillé un canevas, quoi qu’informe, du troisiéme acte de George Dandin. 9. Voyez muse historique de
ès la mort de Moliere. L’étourdi, ou les contretems, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pe
etit Bourbon, le ; décembre 1658. Le Depit amoureux, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pe
n, au mois de décembre 1658. Les precieuses ridicules, comédie en un acte en prose, représentée à Paris sur le théatre du p
e mois de suite. Sganarelle, ou le cocu imaginaire, comédie en trois actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pe
maginaire, ou les amours d’Alcippe & de Céphise, comédie en trois actes en vers, par Fr. Doneau, Paris in-12, 1660. Dom
Dom Garcie de Navarre, ou le prince jaloux, comédie héroïque en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
re du palais royal le 4 février 1661. 13. Voyez la scéne VIII. de l’ acte IV. de Dom Garcie ; & la scéne III. de l’acte
la scéne VIII. de l’acte IV. de Dom Garcie ; & la scéne III. de l’ acte IV. du misantrope. L’école des maris, comédie en
II. de l’acte IV. du misantrope. L’école des maris, comédie en trois actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
u palais royal le 24 juin 1661. Les fâcheux, comédie-ballet en trois actes en vers, représentée à Vaux au mois d’août 1661,
. lettre 45 du 18 novembre 1662. L’école des femmes, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
’en attira tant. La critique de l’école des femmes, comédie en un acte en prose, représentée sur le théatre du palais ro
iere fit au Roi à ce sujet. L’impromptu de Versailles, comédie en un acte en prose, représentée à Versailles le 14 octobre
dix-huit mois, La princesse d’Elide, comédie-ballet, (le premier acte & la premiére scéne du second en vers, le res
9 novembre de la même année. Le Mariage forcé, comédie-ballet en un acte en prose, représentée au louvre le 29 janvier 166
de la même année. Dom Juan, ou le festin de Pierre, comédie en cinq actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du p
du nouveau festin de Pierre, ou de l’athée foudroyé, comédie en cinq actes en vers, par Rosimond, Paris in-12, 1670. 25. Do
ure galant, janvier 1677, page 33. L’amour medecin, comédie en trois actes en prose, avec un prologue, représentée à Versail
ecin. 28. Voyez Grimarest, page 76. Le misantrope, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
alais royal, le 4 juin 1666. Le medecin malgré lui, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du p
de Mélicerte. Le sicilien, ou l’amour peintre, comédie-ballet en un acte en prose, représentée dans le ballet des muses, à
10 juin de la même année. Tartuffe, ou l’imposteur, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
31. ibidem. 32. Premier placet sur Tartuffe. 33. Les trois premiers actes représentés à Versailles le 12 mai 1664, le furen
ent exécuté. Voyez Grimarest, page 196. Amphitrion, comédie en trois actes en vers, avec un prologue, représentée à Paris su
laute a fait connoître aux romains. 45. Les Sosies, comédie en cinq actes en vers, par Rotrou, achevée d’imprimer le 25 jui
missus abibis, Satyra prima, lib. 2. v. 86. L’avare, comédie en cinq actes en prose, représentée sur le théatre du palais ro
premiére fois. George Dandin, ou le mari confondu, comédie en trois actes en prose, représentée avec des intermédes à Versa
de la même année. Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet, en trois actes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octob
bre de la même année. Les amans magnifiques, comédie-ballet, en cinq actes en prose, représentée à saint Germain en Laye, au
Voyez avant propos. Le bourgeois gentilhomme comédie-ballet, en cinq actes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octob
ovembre de la même année. Les fourberies de Scapin, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du p
ez la premiére scéne de l’Andrienne. Psiché, tragédie-ballet en cinq actes en vers, représentée à Paris au palais des tuiler
le 24 juillet 1671. 50. Moliere n’a fait que le prologue, le premier acte , & les deux premiéres scénes du second &
er acte, & les deux premiéres scénes du second & du troisiéme acte . Les femmes sçavantes, comédie en cinq actes en
econd & du troisiéme acte. Les femmes sçavantes, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du pa
in-12, 1715. La comtesse d’Escarbagnas, comédie-ballet, en plusieurs actes en prose, représentée à saint Germain en Laye, au
saint Germain en Laye, au mois de février 1672, & à Paris, en un acte , sans intermédes, sur le théatre du palais royal,
. Pastorale comique. Le malade imaginaire, comédie-ballet, en trois actes en prose, avec un prologue, représentée à Paris s
siéme placet sur Tartuffe. 53. Frosine y fait allusion dans l’avare, acte II, scéne VI, en disant à Harpagon, que Moliere r
e Despréaux. 59. Voyez vie de Moliere, par Grimarest, page 48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte I
vie de Moliere, par Grimarest, page 48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne
marest, page 48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne
61. Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV. 66. Acte I
. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV. 66. Acte II, scéne VI. 67. Chaqu
63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV. 66. Acte II, scéne VI. 67. Chaque troupe avoit, dans ce t
4 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
it porter120. * 121 L’étourdi , ou les Contre-Temps, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris, sur le théâtre du P
ce qui pourrait le blesser123. Le Dépit Amoureux , comédie en cinq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théât
nt ingénieux et plaisants. Les Précieuses Ridicules , comédie en un acte et en prose, représentée sur le même théâtre, le
e son temps. Sganarelle 125, ou le Cocu Imaginaire , comédie en 3 actes et en vers représentée sur le même théâtre, le 28
Dom Garcie de Navarre , ou le Prince Jaloux, comédie héroïque en cinq actes et en vers, représentée à Paris, sur le théâtre d
cun succès. Le fond en est vicieux. L’école des Maris , comédie en 3 actes et en vers, représentée sur le même théâtre, le 2
ait vu sur le théâtre français. Les Fâcheux , comédie-ballet, en 3 actes et en vers, représentée sur le même théâtre le 4
nce toujours soutenue du style. L’École des Femmes , comédie en cinq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théât
coups de maître. La Critique de l’École des Femmes , comédie en un acte et en prose, représentée sur le même théâtre le p
es des personnes du monde. L’impromptu de Versailles , comédie en un acte et en prose, représentée sur le même théâtre, le
lt* : du comique. La Princesse d’Élide , comédie-ballet (le premier acte et la première scène du second en vers, le reste
es de Versailles, en 1664. Le Mariage Forcé , comédie-ballet, en un acte et en prose, représentée sur le même théâtre le 1
de la même année129. Dom Juan ou le Festin de Pierre, comédie en 5 actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
ne peut qualifier du nom de comédie. L’Amour médecin , comédie en 3 actes et en prose, avec un prologue, représentée sur le
’intrigue, et action peu soutenue. Le Misanthrope , comédie en cinq actes et en vers, représentée à Paris, sur le même théâ
, mais les nuances sont fines. Le Médecin malgré lui , comédie en 3 actes et en prose, représentée à Paris sur le même théâ
cembre de la même année, dans le ballet des Muses. La scène du second acte entre Mirtil et Mélicerte, est remarquable par la
s les genres. Le Sicilien, ou l’Amour peintre, comédie-ballet, en un acte et en prose, représentée sur le théâtre de Palais
ture vive de l’amour. Le Tartuffe , ou l’Imposteur, comédie en cinq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théât
le dialogue également fin et naturel. Amphitrion , comédie en trois actes et en vers, avec un prologue, représentée à Paris
que le Tartuffe, et faire rire davantage. L’Avare , comédie en cinq actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
s fortement. Georges Dandin , ou le Mari confondu, comédie en trois actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
illes, an 1668. Monsieur de Pourceaugnac , comédie-ballet, en trois actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
du comique.132   Les Amants magnifiques , comédie-ballet, en cinq actes et en prose, représentée à Saint-Germain en Laye,
nt leur plus grand prix. Le Bourgeois gentilhomme , comédie en cinq actes et en prose, représentée sur le théâtre du Palais
la gaîté et du comique. Les Fourberies de Scapin , comédie en trois actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
empêcher cependant d’y applaudir. Psyché , tragédie-ballet, en cinq actes et en vers, représentée sur le même théâtre, le 2
claration de l’amour à Psyché Les Femmes savantes , comédie en cinq actes et en vers, représentée sur le même théâtre, le 1
s-comique. La Comtesse d’Escarbagnas , comédie-ballet, en plusieurs actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
Pastorale comique. Le Malade Imaginaire , comédie-ballet, en trois actes en prose, avec un prologue, représentée sur le mê
5 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, comédie en vers & en trois actes , comparée pour le fond, les détails & le styl
rtrait, ou Arlichino Cornuto per opinione, Arlequin Cocu imaginaire. Acte I. Arlequin & Camille parlent de leurs amours
en. Arlequin se leve, le prend au mot ; Scapin fuit tout épouvanté. L’ acte finit. Acte II. Magnifico pere d’Eléonora paroît
se leve, le prend au mot ; Scapin fuit tout épouvanté. L’acte finit. Acte II. Magnifico pere d’Eléonora paroît sur la scene
amp; qu’il veut lui donner la mort. Scapin termine la dispute & l’ acte en bâtonnant Arlequin. Acte III. Célio veut appr
mort. Scapin termine la dispute & l’acte en bâtonnant Arlequin. Acte III. Célio veut apprendre des nouvelles touchant
Arlequin veut immoler sa femme à sa colere : Célio la défend encore. Acte IV. Le Docteur est en habit de marié ; Magnifico
de se réfugier chez Eléonora ; ce qui augmente le dépit du Docteur. Acte V. Arlequin s’est emparé de Camille. Il lui met l
oliere jugea à propos de s’emparer du sujet. Il a senti que le second acte de cette piece étoit le meilleur ; aussi en a-t-i
étoit le meilleur ; aussi en a-t-il tiré presque en entier ses trois actes . Confrontons les scenes originales avec celles de
ns les scenes originales avec celles de la copie.   Piece Italienne, Acte II, Scene I. Magnifico veut marier Eléonora sa fi
t : elle feint cependant de consentir à ce mariage. Piece Françoise, Acte I, Scene I. Gorgibus veut que sa fille Célie donn
’héroïne, & pique la curiosité du spectateur.   Piece Italienne, Acte II, Scene II. Eléonora, seule sur la scene, se pl
rend son portrait, s’attendrit & se trouve mal. Piece Françoise, Acte I. Scene II. Célie fait admirer à sa suivante le
être étendue sans pécher contre la vraisemblance.   Piece Italienne, Acte II, Scene III. Arlequin vient au secours d’Eléono
t au secours d’Eléonora, & l’emporte chez elle. Piece Françoise, Acte I, Scene III. Sganarelle accourt aux cris de la s
utile à la piece ; aussi ne la verrons nous plus.   Piece Italienne, Acte II, Scene IV. Camille ramasse le portrait de Céli
Célio qu’Eléonora a laissé tomber, & l’admire. Piece Françoise, Acte I, Scene V. La femme de Sganarelle trouve le port
ie, tombé des mains de Célie, & le contemple.   Piece Italienne, Acte II, Scene V. Arlequin surprend sa femme admirant
jaloux, lui enleve la miniature, & la renvoie. Piece Françoise, Acte I, Scene VI. La femme de Sganarelle, non contente
, fera-t-elle les coups de poing pour le ravoir ?   Piece Italienne, Acte II, Scene VI. Arlequin reste sur la scene avec le
sent ; ce qui augmente encore la colere d’Arlequin. Piece Françoise, Acte II, Scene I. Lélie arrive avec Gros René son vale
élie, & une pamoison suffit dans une comédie.   Piece Italienne, Acte II, Scene X. Eléonora reconnoît de sa fenêtre Cél
mme. Eléonora le croit, & médite une vengeance. Piece Françoise, Acte II, Scene X. Célie a vu de sa fenêtre Lélie. Elle
ie, outrée, jure de se venger.   Je ne détaillerai point le troisieme acte de Moliere, parcequ’il ne sert presque qu’à démêl
ce ! ses modeles n’auront pas toujours le même avantage. Au troisieme acte Sganarelle ne se déguise point en femme comme Arl
t pas parfaitement, ils ont du moins un air de famille très frappant. ACTE II. Scene XI. Sganarelle, seul. Courons donc le
ur qui m’enflamme, Je vais dire par-tout qu’il couche avec ma femme. ACTE III. Scene IV. Sganarelle, armé de pied en cap,
le derriere. . . . . . . . . . . . . . . . . . . JODELET DUELLISTE, Acte V. Scene I. Jodelet, en chaussons & prêt à
6 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
u satisfaire le Peuple, n’y trouve-t’on pas des Scenes & même des Actes entiers, qui charment l’homme d’esprit ? On y rec
epresentées. I. L’Etourdi, ou les Contre-temps, Comédie en Vers, cinq Actes , a été jouée la premiere fois à Lyon l’an 1653. &
. & à Paris en 1658. II. Le Dépit amoureux, Comédie en Vers, cinq Actes , representée à Paris au mois de Decembre 1658. II
de Decembre 1658. III. Les Précieuses ridicules, Comédie en Prose, un Acte , 1658. IV. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, Com
cte, 1658. IV. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, Comédie en Vers, un Acte , 1660. V. Dom Garcie, ou le Prince jaloux, Comédi
Acte, 1660. V. Dom Garcie, ou le Prince jaloux, Comédie en Vers, cinq Actes , 1661. VI. L’Ecole des Maris, Comédie en Vers, tr
Vers, cinq Actes, 1661. VI. L’Ecole des Maris, Comédie en Vers, trois Actes , 1661. VII. Le Fâcheux, Comédie en Vers, trois Ac
e en Vers, trois Actes, 1661. VII. Le Fâcheux, Comédie en Vers, trois Actes , précedez d’un Prologue à la gloire du Roi, 1661.
gloire du Roi, 1661. VIII. L’Ecole des Femmes, Comédie en Vers, cinq Actes , 1662. IX. La Critique de l’Ecole des Femmes, Com
es, 1662. IX. La Critique de l’Ecole des Femmes, Comédie en Prose, un Acte , 1663. X. L’Impromptu de Versailles, Comédie en P
se, un Acte, 1663. X. L’Impromptu de Versailles, Comédie en Prose, un Acte , 1663. XI. La Princesse d’Elide, ou les Plaisirs
es Plaisirs de l’Isle enchantée, Comédie en Prose & en Vers, cinq Actes avec un Prologue, Ballet & Musique, 1664. XII
llet & Musique, 1664. XII. Le Mariage forcé, Comédie en Prose, un Acte , 1664. XIII. L’Amour Medecin, Comédie en Prose, t
Prose, un Acte, 1664. XIII. L’Amour Medecin, Comédie en Prose, trois Actes avec un petit Prologue en Vers, 1665. XIV. Dom Ju
, 1665. XIV. Dom Juan, ou le Festin de Pierre, Comédie en Prose, cinq Actes , 1665. XV. Le Misantrope, Comédie en Vers, cinq A
en Prose, cinq Actes, 1665. XV. Le Misantrope, Comédie en Vers, cinq Actes , 1666. XVI. Melicerte, Pastorale heroïque en Vers
s, cinq Actes, 1666. XVI. Melicerte, Pastorale heroïque en Vers, deux Actes , 1666. XVII. Le Medecin malgré lui, Comédie en Pr
e, 1666. XVIII. Le Sicilien, ou l’Amour Peintre, Comédie en Prose, un Acte avec des intermedes, 1667. XIX. Le Tartuffe, ou l
medes, 1667. XIX. Le Tartuffe, ou l’Imposteur,a Comédie en Vers, cinq Actes , 1667. XX. Amphitrion, Comédie en Vers, trois Act
die en Vers, cinq Actes, 1667. XX. Amphitrion, Comédie en Vers, trois Actes avec un Prologue, 1668. XXI. L’Avare, Comédie en
is Actes avec un Prologue, 1668. XXI. L’Avare, Comédie en Prose, cinq Actes , 1668. XXII. George Dandin, Comédie en Prose, un
en Prose, cinq Actes, 1668. XXII. George Dandin, Comédie en Prose, un Acte , 1668. XXIII. Monsieur de Pourseaugnac, Comédie,
XXIII. Monsieur de Pourseaugnac, Comédie, Ballet avec Musique, trois Actes en Prose, 1669. XXIV. Le Bourgeois Gentilhomme, C
Comédie en Prose avec des Intermédes de Musique & de Danse, cinq Actes , 1670. XXV. Les Amans magnifiques, Comédie en Pro
es Amans magnifiques, Comédie en Prose avec Musique & Danse, cinq Actes , 1670. XXVI. Les Fourberies de Scapin, Comédie en
Actes, 1670. XXVI. Les Fourberies de Scapin, Comédie en Prose, trois Actes , 1671. XXVII. Psiché, Tragédie, Ballet en Vers, u
1671. XXVII. Psiché, Tragédie, Ballet en Vers, un Prologue & cinq Actes , 1672. Pierre Corneille & Quinault ont travai
ne partie de cette Piece, dont la disposition, le Prologue le premier Acte , la premiere Scene du second & le troisiéme s
sont de Moliere. XXVIII. Les femmes sçavantes, Comédie en Vers, cinq Actes , 1672. XXIX. La Comtesse d’Escarbagnas, Comédie e
nq Actes, 1672. XXIX. La Comtesse d’Escarbagnas, Comédie en Prose, un Acte , 1672. XXX. Le Malade imaginaire, Comédie en Pros
se, un Acte, 1672. XXX. Le Malade imaginaire, Comédie en Prose, trois Actes avec des Intermedes de Musique & de Danse, &a
ers 394. du troisiéme Chant de l’Art Poëtique. a. Les trois premiers Actes de la Comédie du Tartuffe avoient été representez
tez à Versailles, dès le mois de Mai 1664. mais elle ne parut en cinq Actes , qu’en 1667. a. On peut voir la note sur le prem
7 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
ident de son modèle : la prétendue lettre du père de Celia passe de l’ acte III, scène 13 de l’Inavvertito à l’acte II, scène
e du père de Celia passe de l’acte III, scène 13 de l’Inavvertito à l’ acte II, scène 10 de l’Étourdi, et plusieurs scènes so
I, scène 10 de l’Étourdi, et plusieurs scènes sont déplacées dans les actes IV et V. Ailleurs, mécontent de Barbieri, Molière
rs : italiens, français ou espagnols, peu lui en chaut. Au début de l’ acte II, six scènes sont consacrées à un stratagème ma
vertito ne donnait aucune idée : Molière l’a pris à Noël du Fail. A l’ acte IV, scène 1, Mascarille fait la leçon à Lélie ava
même Fulvio près d’Angélique dans l’Angelica de Fabritio de Fornaris ( acte IV, sc. 4). A l’acte V, le capitan Bellorofonte d
gélique dans l’Angelica de Fabritio de Fornaris (acte IV, sc. 4). A l’ acte V, le capitan Bellorofonte de Barbieri a disparu 
les commentateurs trouvent encore à mettre au compte de Molière ? A l’ acte I, sc. 4, le prétexte plus dramatique invoqué par
exte plus dramatique invoqué par Mascarille pour parler à Célie ; à l’ acte I, sc. 5 et suivantes, l’épisode de Mascarille vo
i bien qu’Anselme — annonce qu’il vient de recevoir de l’argent ; à l’ acte III, sc. 1 à 4, Mascarille calomniant Célie pour
sc. 1 à 4, Mascarille calomniant Célie pour en dégoûter Léandre ; à l’ acte III, sc. 5 à 9, le déguisement de Mascarille et d
) arrosé par Trufaldin d’une « cassolette » aux fâcheux parfums ; à l’ acte IV, sc. 1 et 2, Lélie transformé, pour pénétrer c
rufaldin, en Arménien qui a vu le fils de ce dernier en Turquie ; à l’ acte IV, sc. 6, Mascarille rossant Lélie, et pour se v
nger enfin de son maître et pour inspirer confiance à Trufaldin ; à l’ acte V, sc. 9, la reconnaissance romanesque que Molièr
ui lui ont donné l’idée du stratagème qu’il met en œuvre au quatrième acte de l’Étourdi ? Lélie veut pénétrer chez Trufaldin
itude de Lélie vis-à-vis de Mascarille, et, si l’on peut comparer à l’ acte IV, scène 1 de l’Étourdi l’acte II, scène 1 de l’
arille, et, si l’on peut comparer à l’acte IV, scène 1 de l’Étourdi l’ acte II, scène 1 de l’Emilia, à plus forte raison en d
II, scène 1 de l’Emilia, à plus forte raison en doit-on rapprocher l’ acte III, scène 2 du Parasite : LISANDRE Cher ami, je
it mentionné dans le Parasite. Tel qu’il est constitué maintenant, l’ acte IV de l’Étourdi implique une reconnaissance possi
carille et Léandre vont vraiment en masque pour enlever Célie à l’ acte III, scène 8 de l’Étourdi, et Lélie, qui a révélé
ui ont donné à Molière l’idée de cette substitution ? A la fin de cet acte III (scène 9) de l’Étourdi, Trufaldin, impatienté
l peut fort bien imiter la duègne du Dom Japhet d’Arménie de Scarron ( acte IV, scène 6), mais en quoi il peut aussi exécuter
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
des moments si précieux, il reprend tout uniment au commencement d’un acte la fable où il l’avoit laissée à la fin du précéd
renons qu’un exemple dans chacune de ces pieces. LES FEMMES SAVANTES. ACTE I. Scene V. Clitandre, seul. Clitandre a prié
quelque chose pendant qu’il sera loin de nous. La premiere scene de l’ acte suivant va nous faire voir s’il a tenu parole. AC
emiere scene de l’acte suivant va nous faire voir s’il a tenu parole. ACTE II. Scene I. Ariste, quittant Clitandre & lu
plus avancée. Passons présentement au second exemple. GEORGE DANDIN. ACTE II. Scene XIII. George Dandin, seul. George Da
Lorsque Lubin & Clitandre paroissent au commencement du troisieme acte , l’Auteur, les personnages, le spectateur & l
mp; par la même raison, celui que je vais citer est mauvais. L’AVARE. ACTE I. Scene X. Harpagon. Je m’en vais faire un peti
ans l’entr’acte ; c’est le moyen de me faire desirer plus ardemment l’ acte suivant, & le moment qui m’instruira de ce qu
renons d’abord d’Ancourt 42, & lisons. LES BOURGEOISES A LA MODE. ACTE II. Scene IX. M. SIMON, LISETTE. Lisette. Il y a
se. Opposons cet entr’acte, si peu intéressant, au second du Tartufe. ACTE II. Scene IV. Marianne & Valere viennent de
r derriere la scene. Il s’ensuivroit de cette regle, que le cinquieme acte de la Métromanie ne devroit commencer que cinq ou
e qui doit le satisfaire. Les Grecs & les Latins séparoient leurs actes par des chœurs de musique. Nos anciens poëtes rem
rale ne reposant jamais, j’ai pensé qu’on pourroit essayer de lier un acte à celui qui le tient, par une action pantomime qu
e derriere la scene pendant l’entr’acte. Je l’ai désigné entre chaque acte . » L’Auteur a raison ; l’action doit toujours êt
raison ; l’action doit toujours être en mouvement & lier tous les actes les uns aux autres : mais si on ne veut plus donn
bien faite, l’Auteur a pris soin de l’en instruire avant la fin d’un acte & au commencement de l’autre. D’ailleurs, si
rtée d’en juger sans avoir recours à la piece. EUGÉNIE, Drame en cinq actes , en prose. AVANT-SCENE. Le Lord Comte de Clarand
oué le rôle de Ministre, est près de rendre l’ame : il a des remords. ACTE I. Eugénie est affligée de n’avoir pas vu son ép
e crois, très mal les vues de l’Auteur ; il ne peut pas lier les deux actes l’un à l’autre, parcequ’il n’y tient pas. Il n’in
au contraire, il les distrait & les éloigne de l’objet principal. ACTE II. Le vieil Intendant écrit effectivement à la t
 : c’est là l’instant où l’orchestre doit cesser de jouer, & où l’ acte commence ». Cet entr’acte seconde, je crois, aus
, elle va faire sa toilette, & courir les assemblées ou les bals. ACTE III. Eugénie révele son secret à son pere : il e
a ici un petit intervalle de temps sans mouvement, & le quatrieme acte commence ». Malgré les soins que l’Auteur prend
omte, pourquoi nous rendre la même idée dans un tableau plus foible ? ACTE IV. Le Lord, venant au rendez-vous que Madame Mur
après les acteurs paroissent ; le valet se retire, & le cinquieme acte commence. Il seroit assez bien que l’orchestre, p
être que très bouffon, mêlé au son de nos violons. Dans le cinquieme acte , Milord reconnoît ses torts, épouse Eugénie : tou
cte de la Dame invisible ou l’Esprit follet, comédie en vers, en cinq actes , de Hauteroche : mais l’on ne doit pas lui reproc
Pontignan la fait & la laisse sur la table. Comme une partie de l’ acte suivant se passe dans l’appartement d’Angélique,
nne la prendre dans l’entr’acte, puisqu’elle doit faire le sujet de l’ acte suivant. Les machinistes n’ont, en changeant de d
9 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
musique de Lully, 17 octobre 1675-1700. La note ajoute: Pourceaugnac, acte tiré de ce ballet, 1716-30. Il en résulte que le
t, on peut le remarquer, remplace complètement la scène XV du premier acte , celle de l’apothicaire présentant le clystère, q
i, comme nous l’avons fait remarquer, remplace la scène XV du premier acte , les paroles de l’intermède sont celles du Pource
La comédie de M. de Pourceaugnac est défectueuse à partir du 2‌ e acte , et il ne serait nullement étonnant que la hâte a
lière à remanier sa pièce ne fût la cause de ces défaillances1. Le 3e acte ne se compose que de répétitions continuelles d’u
ière défectueuse dont se termine la comédie de Molière, après un long acte , qui n’a pas plus de raison pour finir que pour c
i n’a pas plus de raison pour finir que pour commencer. Mais si le 3e acte n’est pas irréprochable, le second acte renferme
pour commencer. Mais si le 3e acte n’est pas irréprochable, le second acte renferme quelque chose de plus mauvais encore, c’
TE : … Voici notre subtil Napolitain qui nous dira des nouvelles. 1er acte , scène III. Ce n’est pas la première fois que Mo
iotes. SBRIGANI : Je suis originaire de Naples, à votre service. 1er acte , scène IV. Lorsque Molière refit sa pièce, il mi
gagné. On évitait ainsi deux inconvénients: la longueur du troisième acte , l’absence de liaison de la scène des avocats. To
nd il sont partis ; ils ne devraient donc point se montrer au premier acte , car ils tuent l’élément comique pour le reste de
ient un finale brillant, croissant en gaieté, tandis que le troisième acte actuel s’éteint dans l’ennui d’un rire forcé et t
669, petit in-4°carré.) Pourceaugnac est indiqué comme étant en trois actes . Mais ce livret ne porte pas, comme les divertiss
M. de Pourceaugnac aurait été d’abord, selon nous, divisée en un seul acte long, précédé d’un prologue-sérénade, coupé par d
être était-il tout à fait fondu dans ce que nous appelons le deuxième acte . Si j’osais indiquer ce que je pense qu’a pu être
ivant l’ordre des scènes sur l’édition Ch. Louandre (in-18) : Premier acte . — Il est bien entendu qu’il faudrait supprimer l
« Allez au diable ! » seraient reportées au divertissement final. 2e acte . — Suivre jusqu’après la scène des Paysannes; pui
puis sauter de la scène X° (les enfants) à la scène Ière du troisième acte (Eraste et Sbrigani). 3° acte. — Supprimer les sc
s enfants) à la scène Ière du troisième acte (Eraste et Sbrigani). 3° acte . — Supprimer les scènes IIe IIIe IVe Ve VIe et VI
age qu’elle désire). Revenir alors aux scènes XIe et XIIe du deuxième acte (Sbrigani, puis Sbrigani et Pourceaugnac). Suiven
augnac et l’intermède des opérateurs et des apothicaires, terminant l’ acte , qui peut être suivi de l’entrée des masques anno
suivi de l’entrée des masques annoncés dans la scène IX* du troisième acte . Les morceaux de musique étaient nombreux et comp
de la fin. V Y a-t-il outrecuidance à supposer un livret en un acte , avec les modifications que nous venons d’indique
d’indiquer et fourni de musique comme nous le disons ? La pièce en un acte convenait mieux à la Cour, car Pourceaugnac était
hant des avocats; mais il garda la scène des apothicaires. Le premier acte est parfait ; le deuxième indique la hâte apporté
la hâte apportée à cette œuvre. Pourquoi Molière fit-il un troisième acte si peu réussi ? En avait-il besoin pour remplir u
t ? 11 est à remarquer que Molière n’a jamais écrit une pièce en deux actes ; là est peut-être l’explication du fait. Quant à
othicaires et des avocats, qui se trouvaient alors chacun terminer un acte ; en tous cas, elles n’apparurent à Paris que rédu
époque du carnaval, ce que justifieraient les derniers mots d’Eraste ( acte III, scène X). Ces mots semblent ajoutés ; l’époq
Cloris, les bergers vont pour se tuer, et alors commençait le premier acte de la comédie. « Le sujet est qu’un riche païsan
is pour leur gendre qu’à cause de ses grands biens... Sur la fin de l’ acte , le païsan est interrompu par une bergère qui lui
ges Dandin ? Après la plainte amoureuse de Cloris, venait le deuxième acte : « C’est une suite des déplaisirs du païsan mari
avis, se retire et quitte la place aux bateliers. » Dans le dernier acte « on voit le païsan dans le comble de la douleur
ble qu’il jouât certaines scènes en pantomime) ; la fin de chacun des actes de la comédie, telle qu’elle nous a été conservée
e chacun des actes de la comédie, telle qu’elle nous a été conservée, actes qui se terminent tous par un monologue du même pe
qu’il y a eu remaniement uniforme et peu heureux. Quant au troisième acte , l’analyse laisse voir qu’il y eut un rôle suppri
ué (voir le ballet) et Géronimo ne reparaît pas dans la comédie en un acte . Il y aurait eu aussi, dans le troisième acte de
s dans la comédie en un acte. Il y aurait eu aussi, dans le troisième acte de Georges Dandin, un changement de dénoûment; ca
4. Pourceaugnac n’est pas la seule comédie de Molière où le dernier acte semble on hors-d’œuvre inutile. Le Bourgeois gent
ilhomme Unirait mieux après la cérémonie, sas» y ajouter un cinquième acte languissant. 5. Les masques étaient alors impos
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
CHAPITRE IX. La Princesse d’Elide, Comédie-Ballet, en cinq actes & en vers, comparée pour le fond & les dé
Poëte, & celui de sa nation. Extrait de la Princesse d’Elide. Acte I. Euriale, Prince d’Ithaque ; Aristomene, Prince
’amour. On lui peint le danger de l’entreprise ; elle répond d’elle. Acte II. Dans l’entr’acte, Euriale a remporté le prix
se rendre visible, pour qu’elle puisse le combattre avec ses dards. Acte III. Le Prince d’Ithaque découvre, par Moron, qu’
n, Comedia famosa ; Dédain pour dédain, Comédie. Premiere Journée ou Acte I. Don Carlos, Comte d’Urgele, a entendu vanter,
lla se félicitent du succès de la feinte ; ils en esperent beaucoup. Acte II. Polilla annonce à Don Carlos que la Princesse
Elle sort. Polilla la suit, en disant tout bas que la danse va bien. Acte III. Les trois Princes & Polilla entrent sur
a pour elle les plus tendres sentiments. Il les lui apprend lui-même. ACTE V. Scene II. Iphitas. Mais afin d’empêcher que l
source même. Ritrosia per ritrosia, Rebut pour rebut, Piece en cinq actes . Lélio ne sait plus quel parti prendre pour touch
tion de la Princesse d’Elide. L’heureux Stratagême, comédie en trois actes & en prose. Un Chevalier Gascon est l’amant d
celui d’Euriale donnent à-peu-près les mêmes conseils à leurs éleves. ACTE I. Scene I. Théramene. Enfin d’un chaste amour p
on connoisse de lui. « Il a fait : l’Ecole des Peres, comédie en cinq actes , en prose. Le Triomphe de la raison, comédie allé
es, en prose. Le Triomphe de la raison, comédie allégorique, en trois actes , en prose, avec un prologue, représentée devant l
ne à Versailles, le 17 Juillet 1730. La Capricieuse, comédie en trois actes , en prose. Le Danger des richesses, comédie en tr
e en trois actes, en prose. Le Danger des richesses, comédie en trois actes , en prose. Les bons Procédés, comédie héroïque, e
trois actes, en prose. Les bons Procédés, comédie héroïque, en trois actes , en prose. Les Désordres du jeu, comédie en trois
que, en trois actes, en prose. Les Désordres du jeu, comédie en trois actes , en prose. Sigismond, tragédie en trois actes, en
u jeu, comédie en trois actes, en prose. Sigismond, tragédie en trois actes , en vers. L’Auteur, comédie en trois actes, en pr
gismond, tragédie en trois actes, en vers. L’Auteur, comédie en trois actes , en prose. La Force de l’exemple, comédie en cinq
édie en trois actes, en prose. La Force de l’exemple, comédie en cinq actes , en prose. Les Tantes, comédie en un acte, en pro
l’exemple, comédie en cinq actes, en prose. Les Tantes, comédie en un acte , en prose. Les trois Freres, comédie en trois act
tes, comédie en un acte, en prose. Les trois Freres, comédie en trois actes , en prose. Les Captifs, comédie en trois actes, e
eres, comédie en trois actes, en prose. Les Captifs, comédie en trois actes , en prose ; le sujet est tiré de Plaute. La Soupç
rose ; le sujet est tiré de Plaute. La Soupçonneuse, comédie en trois actes , en prose. La Vengeance honnête, comédie en trois
édie en trois actes, en prose. La Vengeance honnête, comédie en trois actes , en prose. Les Jugements téméraires, comédie en t
en trois actes, en prose. Les Jugements téméraires, comédie en trois actes , en prose. Le Défiant, comédie en trois actes, en
aires, comédie en trois actes, en prose. Le Défiant, comédie en trois actes , en prose. Alceste, tragédie en trois actes, en v
Défiant, comédie en trois actes, en prose. Alceste, tragédie en trois actes , en vers, représentée sur le théâtre du College M
tre du College Mazarin, le 20 Août 1739. L’Indocile, comédie en trois actes , en prose. La Poésie & la Peinture, comédie a
en prose. La Poésie & la Peinture, comédie allégorique, en trois actes , en prose. La Répétition, comédie en trois actes,
llégorique, en trois actes, en prose. La Répétition, comédie en trois actes , en prose. Les folies de Cardenio, piece héroï-co
Château des Tuileries, le 13 Décembre 1720. Cette piece est en trois actes , en prose, précédée d’un prologue en vers... Il y
11 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
etc… [jusqu’à] vétusté. » Puis le manuscrit continue comme le mien, Acte IV, etc., voir p. 126 : « Armande devient odieus
tre une copie définitive. — F. 8 recto : Reprise des notes du premier acte qui devraient précéder le f. 2 recto. — F. 10. r
ations sur les Femmes — F. 16 recto : { savantes (3 9bre 1813).      Acte 2. — F. 18. recto : Acte 3. Le relieur a fait un
. 16 recto : { savantes (3 9bre 1813).     Acte 2. — F. 18. recto : Acte 3. Le relieur a fait une vraie salade. IV —
ur le titre même de la brochure : « Good à copier excepté le dernier acte . Bonne pièce de romanesque [illisible] Paris, 7
it pas demandée. Le ministre décida en même temps que. créant par son acte une place d’employé de plus qu’il n‘y en avait eu
le 78, rue Neuve-des-Petits-Champs ; au surplus, voici l’extrait de l’ acte de décès : PRÉFECTURE DU DÉPARTEMENT DE LÀ SEINE
cès : PRÉFECTURE DU DÉPARTEMENT DE LÀ SEINE EXTRAIT des minutes des actes de Décès. RECONSTITUÉS EN VERTU DE LÀ LOI DU 12 F
vingt-trois mars mil huit cent quarante-deux, à dix heures du matin. Acte de décès de sr Henri-Marie Beyle, consul de Franc
je viens d’en porter le 21 décembre 1813, tome VI de Letourneur64. [ Acte premier, scène première] ACTE PREMIER Scène p
e 1813, tome VI de Letourneur64. [Acte premier, scène première] ACTE PREMIER Scène première Philinte, Alceste Alceste
ousine Éliante auroit tous mes soupirs ; Exposition bien froide. [ Acte premier, scène II] Scène II Oronte, Alceste,
rviteur. Fleury dit cela du ton d’un défi, je n’exagère point65. [ Acte premier, scène III] Scène III Philinte, Alces
elle est la connaissance du cœur humain avec laquelle ils jugent. [ Acte II, scène première] ACTE II Scène première Al
œur humain avec laquelle ils jugent. [Acte II, scène première] ACTE II Scène première Alceste, Célimène Célimène Je p
ême instant, Vous n’en disiez peut-être aux autres tout autant ? [ Acte II, scène V] Scène V Éliante, Philinte, Acast
rsation. Leur critique sur le Robinet des nouveautés de Geoffroy. [ Acte III, scène VII] ACTE III Scène VII Alceste, A
r le Robinet des nouveautés de Geoffroy. [Acte III, scène VII] ACTE  III Scène VII Alceste, Arsinoé Arsinoé Tous ceux
e. La nuance est bien placée, mais elle est mal peinte. La fin de cet acte est froide. [Acte IV, scène première] ACTE
placée, mais elle est mal peinte. La fin de cet acte est froide. [ Acte IV, scène première] ACTE IV Scène première Él
inte. La fin de cet acte est froide. [Acte IV, scène première] ACTE IV Scène première Éliante, Philinte Éliante Pour
a tendresse ; On tousse, cela est archi froid. 16 décembre 1813. [ Acte IV, scène II] Scène II Alceste, Éliante, Phil
u lieu de l’infidèle r. [ri] de la singularité de la proposition. [ Acte IV, scène III] Scène III Célimène, Alceste Al
parfaitement toute la finesse de ce Discours, cessent avec le premier acte . Les Vaniteux sont fatigués. Alceste Ah ! rien n
le à mon amour extrême. r. [ri] un peu de la duperie d’Alceste. [ Acte IV, scène IV] Scène IV Célimène, Alceste, Dub
« Je ne conçois pas cette scène, je crois que c’était afin de finir l’ acte . » Les sots vaniteux français montrent, jouent le
s est le seul petit repos de gaieté au milieu de tout ce sérieux. [ Acte V, scène première] ACTE V Scène première Alce
gaieté au milieu de tout ce sérieux. [Acte V, scène première] ACTE V Scène première Alceste, Philinte Alceste ……… Il
; Et je vais obliger Éliante à descendre. Je mettrais : engager. [ Acte V, scène VI] Scène VI Célimène, Éliante, Arsi
Ri. Arsinoé Le rebut de madame est une marchandise Terme bas. [ Acte V, scène VII] Scène VII Célimène, Éliante, Al
décembre 1813 66.   II. Tartuffe Sur le Tartuffe 67 [ Acte premier, scène première] ACTE PREMIER68 Scène
uffe Sur le Tartuffe 67 [Acte premier, scène première] ACTE PREMIER68 Scène première Madame Pernelle, Elmire,
rtrait à eux-mêmes ; le spectateur regarde quelle mine ils font. [ Acte premier, scène II] Scène II Cléante, Dorine D
se sont perfectionnés. Ce vers serait exécrable fait aujourd’hui. [ Acte premier, scène IV] Scène IV Cléante, Damis, D
nne peint seul la manière dont Orgon est regardé dans sa famille. [ Acte premier, scène V] Scène V Orgon, Cléante, Dor
ar avance, La part que vous prenez à sa convalescence. Sarcasme. [ Acte premier, scène VI] Scène VI Orgon, Cléante Or
r faire subir d’examen. J’observe qu’on a bien peu ri dans ce premier acte . On a souri en reconnaissant l’excellence de quel
sourire. Dans un sujet qui frise l’odieux comme celui-ci, le premier acte est, ce me semble, celui où il est le plus possib
re, car c’est le tems de la pièce où le spectateur hait le moins. [ Acte II, scène première] ACTE II Scène première Or
ièce où le spectateur hait le moins. [Acte II, scène première] ACTE II Scène première Orgon, Mariane Orgon Mariane !
veut la marier à Tartuffe. Cela rend le désabusement plus urgent. [ Acte II, scène II] Scène II Orgon, Mariane ; Dorin
sement plusieurs maximes de Tartuffe comme Ce Dieu est jaloux,      acte … scène… Orgon Te tairas-tu, serpent, dont les tra
e dit Orgon. Cette scène piquante a très bien dissipé le sérieux. [ Acte II, scène III] Scène III Mariane, Dorine Dori
e que Beaumarchais reproche au public, dans la préface de Figaro. [ Acte II, scène IV] Scène IV Valère, Mariane, Dorin
 ! n’ai-je pas bien raison de n’apprendre ni le grec ni le latin. [ Acte III, scène première] ACTE III Scène première
n’apprendre ni le grec ni le latin. [Acte III, scène première] ACTE III Scène première Damis, Dorine Damis Que la fou
que l’attaque de Damis faite sans jugement n’aura pas de succès. [ Acte III, scène II] Scène II Tartuffe, Dorine Dori
aison de grossir sa voix d’une manière comique en disant ce vers. [ Acte III, scène III] Scène III Elmire, Tartuffe (D
avec les Anglais est, je crois, en partie cause de ce changement. [ Acte III, scène IV] Scène IV Elmire, Damis, Tartuf
e à Tartuffe, deux ou trois plaisanteries ou sarcasmes bien vifs. [ Acte III, scène VI] Scène VI Orgon, Damis, Tartuff
ment une rente de coups de bâtons, jusqu’à ce qu’il eut déguerpi. [ Acte III, scène VII] Scène VII Orgon, Tartuffe Org
us enflammées que celles de ce voyage-ci. C’est ma léthargie71. [ Acte IV, scène première] ACTE IV Scène première Cl
e voyage-ci. C’est ma léthargie71. [Acte IV, scène première] ACTE IV Scène première Cléante, Tartuffe Cléante Oui,
entent assez de ces règles de pédants. Cela comme la division en cinq actes est une invention de gens avec qui nous ne pourri
uie. Mais elle fut peut-être nécessaire à Molière pour la police. [ Acte IV, scène III] Scène III Orgon, Elmire, Maria
t détourner Orgon, et promptement, de donner sa fille à Tartuffe. [ Acte IV, scène IV] Scène IV Elmire, Orgon Orgon Ap
oncision admirable. Un moderne auroit mis là une préface infinie. [ Acte IV, scène V] Scène V Tartuffe, Elmire ; Orgon
bégueulisme n’y laisserait sans doute pas mettre de nos jours. [ Acte IV, scène VII] Scène VII Tartuffe, Elmire, Or
ui parlent ici de me faire sortir ! Voilà l’odieux qui commence. [ Acte V, scène première] ACTE V Scène première Orgo
ortir ! Voilà l’odieux qui commence. [Acte V, scène première] ACTE V Scène première Orgon, Cléante Cléante Mais au v
ns que celui de Voltaire ; et le plus grand tort des philosophes. [ Acte V, scène IV] Scène IV Orgon, Madame Pernelle,
c les autres passions, c’est Roxane qui est l’objet de l’intérêt. [ Acte V, scène V] Scène V Orgon, Madame Pernelle, E
de supprimer ces dix vers qui éloignent le sentiment de l’odieux. [ Acte V, scène VI] Scène VI Valère, Orgon, Madame P
mis ne parlât pas de son régiment ou de sa charge de président. [ Acte V, scène VII] Scène VII Tartuffe, un exempt,
est en sa présence que l’attaque de Cléante qui commence le quatrième acte aurait été sensée. Il importe à Tartuffe que ce s
tent presque pas la peine d’être dites, mais qui sont vraies. » [ Acte premier, scène première] ACTE premier83 Scèn
tes, mais qui sont vraies. » [Acte premier, scène première] ACTE premier83 Scène première Octave, Silvestre Octave
sur mes épaules. Plaisanterie. L’on rit et l’on aime Silvestre. [ Acte premier, scène II] Scène II Octave. Scapin, S
s deux par-dessus la jambe. Avec la faiblesse d’enfant d’Octave. [ Acte premier, scène III] Scène III Hyacinte, Octa
si, dans un endroit où il faut la plus grande justesse de nuance. [ Acte premier, scène IV] Scène IV Octave, Scapin, S
suis votre père qui arrive…. Second petit moyen de faire avaler. [ Acte premier, scène VI] Scène VI Argante, Scapin ;
s après cette scène traitez si vous pouvez le sujet du flatteur. [ Acte II, scène première] ACTE II Scène première Gé
i vous pouvez le sujet du flatteur. [Acte II, scène première] ACTE II Scène première Géronte, Argante Géronte Ma foi
s suivre. On rit de la vanité de Géronte qui va être désapointée. [ Acte II, scène V] Scène V Hyacinthe, Octave, Léan
que toutes les Femmes savantes, le clandestin Mariage de Colmann. [ Acte II, scène VII] Scène VII Léandre, Octave, Sc
ant, on est sur-le-champ distrait par une nouvelle polissonnerie. [ Acte II, scène VIII] Scène VIII Argante, Scapin Sc
À combien est-ce qu’il fait monter le mulet ? Excellent. On rit. [ Acte II, scène IX] Scène IX Argante, Scapin ; Silv
re Page 173… l’épée dans le ventre un petit ? augmente la peur. [ Acte II, scène X] Scène X Argante, Scapin Scapin H
l n’est pas bon, mais il est bon, et il faut encore en prendre. » [ Acte II, scène XI] Scène XI Géronte, Scapin Scapin
près de son fils. Scapin croit vraiment que c’est une imposture. [ Acte III, scène première] ACTE III Scène première
t vraiment que c’est une imposture. [Acte III, scène première] ACTE III Scène première Zerbinette, Hyacinte, Scapin,
u mélange de mœurs différentes. Cela tue l’illusion. 6 août 1816. [ Acte III, scène II] Scène II Géronte, Scapin Scapi
llente figure de Géronte qui peu à peu comprend la mystification. [ Acte III, scène III] Scène III Zerbinette, Géronte
nvoyer la justice en mer après la galère du Turc. Ah ! ah ! ah ! [ Acte III, scène XI] Scène XI Argante, Géronte. Oct
e de les réinventer, ce que j’ai fait au moins deux ou trois fois. [ Acte premier, scène II] ACTE premier Scène II Geo
’ai fait au moins deux ou trois fois. [Acte premier, scène II] ACTE premier Scène II George Dandin, Lubin Lubin Paix 
esse à ce monsieur le courtisan ? On rit de la figure de Dandin. [ Acte premier, scène III] Scène III George Dandin (
Tartufe les phrases ou sujets d’attention qui renferment une moitié d’ acte , un acte. [Acte premier, scène IV] Scène I
es phrases ou sujets d’attention qui renferment une moitié d’acte, un acte . [Acte premier, scène IV] Scène IV Monsieu
ou sujets d’attention qui renferment une moitié d’acte, un acte. [ Acte premier, scène IV] Scène IV Monsieur de Soten
mais je serai cocu, moi, si l’on n’y met ordre. Stile frappant. [ Acte premier, scène V] Scène V Monsieur de Sotenv
eorge Dandin auraient peut-être eu bien de la peine à comprendre. [ Acte premier, scène VI] Scène VI Monsieur et Madam
. Trait d’esprit (mais déraisonnable) qui illumine la situation. [ Acte premier, scène VIII] Scène VIII Monsieur de S
G. Dandin, ou bien il doit croire que son beau-père le mystifie. [ Acte premier, scène IX] Scène IX George Dandin (s
ntre la corde. C’est le poète qui parle et qui met une liaison pour l’ acte suivant. La phrase précédente montre toujours G. 
n revenu. Il la prendrait par famine, ainsi que sa fière famille. [ Acte II, scène première] Acte II Scène première C
famine, ainsi que sa fière famille. [Acte II, scène première] Acte II Scène première Claudine, Lubin Lubin Nous en u
ela soit plaisant, c’est une maladresse au personnage de le dire. [ Acte II, scène III] Scène III Clitandre, George Da
orge Dandin] vint trouver un jeune homme dans son lit ! » On rit. [ Acte II, scène IV] Scène IV George Dandin, Angéliq
umeront s’ils veulent ; Ridicule très bien relevé par Angélique. [ Acte II, scène VII] Scène VII George Dandin, Lubin
se croit bien fin. et dont on rirait si ce rôle était bien joué. [ Acte II, scène VIII] Scène VIII George Dandin (seu
ue de ce pauvre mari dont le Général ennemi profite sur-le-champ. [ Acte II, scène X] Scène X Angélique, Clitandre, Cl
Mot prouvant l’existence de l’honneur dans l’esprit d’Angélique. [ Acte II, scène XIII] Scène XIII George Dandin (se
G. Dandin qui est raisonnable, mais un peu lourd, un peu paysan. [ Acte III, scène première] ACTE IIIScène première
, mais un peu lourd, un peu paysan. [Acte III, scène première] ACTE IIIScène première Clitandre, Lubin Lubin … Pour
moi pour l’entretenir. Peint plus particulièrement le courtisan. [ Acte III, scène III] Scène III Angélique, Clitandr
s à l’auteur d’avoir de l’esprit, aux dépens de la vraisemblance. [ Acte III, scène IV] Scène IV Angélique, Clita
de la phrase est un peu pamphlet, mais la seconde est bien gaie. [ Acte III, scène V] Scène V Angélique, Clitandre, C
le, mais j’en reviens toujours là : il n’est pas assez élastique. [ Acte III, scène VI] Scène VI Angélique, Clitandre,
st plus joli que Madame, il se fait tard. Esprit proprement dit. [ Acte III, scène VIII] Scène VIII Angélique, Claudi
, tandis que la nuit G. Dandini ne peut voir le coup de poignard. [ Acte III, scène XII] Scène XII Monsieur et Madame
beau final de Cimarosa, tout se réunit pour redoubler le comique. [ Acte III, scène XIV] Scène XIV Monsieur et madame
, c’est comme coquette. Passons à l’examen détaillé de la pièce91. [ Acte premier, scène première] ACTE premier Scène
’examen détaillé de la pièce91. [Acte premier, scène première] ACTE premier Scène première Armande, Henriette Armande
gue, sans..… et entre indifférens) que celui de Mme Du Deffand92. [ Acte premier, scène II] Scène II Clitandre, Arman
er la plaisanterie. Elle est entièrement battue. On rit beaucoup. [ Acte premier, scène III] Scène III Clitandre, Hen
ne. Henriette Quel conte ! Cette repartie a la vivacité moderne. [ Acte premier, scène IV] Scène IV Bélise, Clitandre
rhétorique, comme Tartuffe emploie ceux de religion. Il y a dans cet acte bien peu d’action93 ; elle ne commence qu’à la sc
. Ce point ci a été très bien vérifié. Approuvé le 10 avril 1814. [ Acte II, scène III] ACTE II Scène III Bélise (ent
bien vérifié. Approuvé le 10 avril 1814. [Acte II, scène III] ACTE II Scène III Bélise (entrant doucement, et écouta
je m’en aille. — Que je m’en allasse, Monsieur94, » dit Beauzée. [ Acte II, scène IV] Scène IV Chrysale, Ariste Arist
iques où l’on rit, et à côté, le nom du personnage duquel on rit. [ Acte II, scène VI] Scène VI Philaminte, Bélise, Ch
e voir si on ne pourrait pas en tirer parti pour le beau langage. [ Acte III, scène première] ACTE IIIScène première P
n tirer parti pour le beau langage. [Acte III, scène première] ACTE IIIScène première Philaminte, Armande, Bélise, Tr
On voit bien dans ces deux vers la nuance du maître à l’écolière. [ Acte III, scène II] Scène II Henriette, Philaminte
s sont une espèce de plaisanterie. Voyez la définition de ce mot. [ Acte III, scène III] Scène III Philaminte, Bélise,
ous les siècles. L’habit noir une habitude du siècle de l’auteur. [ Acte III, scène IV] Scène IV Philaminte, Bélise, A
s honneurs au moins de notre esprit. Petitesse de ces sottes-là. [ Acte III, scène V] Scène V Trissotin, Vadius. Phil
train après la campagne de Moscou et quinze mois d’interruption.) [ Acte III, scène VIII] Scène VIII Chrysale, Ariste,
ute ne fait pas rire, mais elle amuse, elle a moins de vétusté95. [ Acte IV, scène première] ACTE IVScène première Phi
le amuse, elle a moins de vétusté95. [Acte IV, scène première] ACTE IVScène première Philaminte, Armande Armande Et c
uloir malgré vous devenir votre gendre. Armande devient odieuse. [ Acte IV, scène II] Scène II Clitandre, Armande, P
is sauvé de toutes vos fiertés. Quelle humiliation pour Armande. [ Acte IV, scène VI] Scène VI Armande, Clitandr
litandre pourrait lui camper deux ou trois bonnes plaisanteries. [ Acte V, scène première] ACTE VScène première Henri
deux ou trois bonnes plaisanteries. [Acte V, scène première] ACTE VScène première Henriette, Trissotin Trissotin Un
rit point dans la scène qui me semble manquer encore de vivacité. [ Acte V, scène II] Scène II Chrysale Ouais ! qu’est
ennes sans raison et conséquemment parce qu’elles sont anciennes. [ Acte V, scène III] Scène III Philaminte, Bélise,
ellent trait de faiblesse, cela peint bien mais ne fait pas rire. [ Acte V, scène IV] Scène IV Ariste, Chrysale, Phila
ment de l’homme avide. Et pour nous et pour lui est même sublime. [ Acte V, scène V] Scène V Ariste, Chrysale, Philami
de manquer de cette vivacité dont Je Barbier de Séville et le premier acte du Médecin malgré lui sont des modèles. Le caract
ge Dandin, joué le mardi 15 février et le vendredi 25 mars 1814. 85. Acte I. scène I. 86. Si je n’eusse travaillé la plume
12 (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15
a profession d’avocat. Citations (Note 1, page 5. ) L’Étourdi, acte V, scène IV. La procès il faut rien, il coûter ta
rocurair larron, l’afocat pien méchant.  Les Fourberies de Scapin, acte II, scène VIII. Jetez les yeux sur les détours de
u’ils aimeront. (Voir la suite de la scène.) Le Malade imaginaire, acte I, scène IX. Ce n’est point à des avocats qu’il f
s des détours de la conscience. (Note 2, page 5) M. de Pourceaugnac, acte II, sc. XII. - Oui, mais quand il aurait informat
le accusation, sans un récolement de confrontation avec mes parties. Acte II, scène XIII. Premier avocat, traînant ses paro
s Est un cas pendable. Etc. (Note 2, page 6.) Le Malade imaginaire, acte III, scène III. - C’est un bon impertinent que vo
s vouloir toucher aux personnes. (Note 1, page 7.) L’Amour médecin, acte II, scène IV - Je soutiens que l’émétique la tuer
avez envoyée en l’autre monde il y a trois jours. 1. L’Etourdi, acte V, scène IV. Il n’y a qu’au mot. — Les Fourberies
di, acte V, scène IV. Il n’y a qu’au mot. — Les Fourberies de Scapin, acte II, scène VIII. La critique embrasse ici « les gr
scène XVI. Le mot avocat est pris au figuré. — Le Malade imaginaire, acte I, scène IX. C’est un éloge de la profession. 2.
, scène IX. C’est un éloge de la profession. 2. M. de Pourceaugnac, acte II, scène XIII. — M. de Pourceaugnac est avocat :
t-il, dit Nérine, de vouloir vous anger de son avocat de Limoges ? » ( Acte I, scène III.) Mais rien dans toute la pièce n’a
i ce n’est la scène où Pourceaugnac prodigue des termes de procédure ( acte II, scène XII) ; et encore prétend-il que ces mot
La Porte. — Barbier, Dict. des Anonymes. 4. Le Malade imaginaire, acte III, scène III. 5. L’Amour médecin, acte II, sc
4. Le Malade imaginaire, acte III, scène III. 5. L’Amour médecin, acte II, scène IV. 6. Le Malade imaginaire, acte III
. 5. L’Amour médecin, acte II, scène IV. 6. Le Malade imaginaire, acte III, scène III. 7. La Bruyère, Des Ouvrages de l
13 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
naire), a fait mourir Mlle Poisson à l’âge de quatre-vingt-dix ans. L’ acte d’inhumation, du 13 décembre 1756, que j’ai relev
elle en avait quatre-vingt-dix-neuf. Jusqu’à ce qu’on ait découvert l’ acte de baptême de Marie-Angélique Gassot du Croisy, n
ur vouloit la scène plus exacte, Le vicomte indigné sortoit au second acte . L’un, défenseur zélé des bigots mis en jeu, Pour
la comédie de l’Aveugle de Smirne 67, mais il n’en put jouer que deux actes . Il s’en retourna dans sa retraite avec une pensi
e de la demoiselle d’Ennebault83. Le Comédien poète, comédie en cinq actes de Montfleury84. On donna la premiere représentat
divertir. Moliere n’avoit eu le temps d’écrire en vers que le premier acte , et la première scène du second. L’applaudissemen
uis XIV donna-le sujet des Amans magnifiques, comedie-ballet en cinq actes , en prose, etc. Deux princes rivaux s’y disputent
e en 1629. Le Dépit amoureux, comédie de Moliere en vers et en cinq actes , fut joué à Paris immédiatement après l’Etourdi 1
138. Ce sont particulièrement les deux dernieres scènes du quatrième acte qui donnent le titre à la pièce. On ne peut mieux
r titre gli Sdegni amorosi. Les Précieuses ridicules, comédie en un acte et en prose, qui fut faite d’abord pour la provin
de Navarre, ou le Prince jaloux, comédie héroïque en vers et en cinq actes , fut représenté dans sa nouveauté le 4 février 16
et l’on regarde cet ouvrage comme le chef d’œuvre des pièces en trois actes . Les Fâcheux. Le roi Louis XIV donna à Moliere l
l’Hôtel de Guenegaud. Le portrait que fait Cléonte dans le troisième acte du Bourgeois gentilhomme est lait d’après elle. E
t de la voix, et chantoit ordinairement avec la Grange dans le second acte du Malade imaginaire 156. Genevieve Bejar157, sa
de la Feinte Mort de Pancrace, comédie en vers de quatre pieds, en un acte , représentée par les comédiens de Monsieur le Pri
Le Comte de Roquefeuille, ou le Docteur extravagant, comédie en un acte , 1672174 ; Les Brouilleries nocturnes, comédie,
L’Ecole des cocus, ou la Précaution inutile, comédie en vers et en un acte , 1661 ; L’Inconstance punie, en un acte en vers,
le, comédie en vers et en un acte, 1661 ; L’Inconstance punie, en un acte en vers, 1661 ; La Femme industrieuse, en vers,
e, en un acte en vers, 1661 ; La Femme industrieuse, en vers, en un acte , 1661 ; La Comedie de la Comedie, ou 192 les Amo
661 ; La Comedie de la Comedie, ou 192 les Amours de Trapolin, en un acte en vers, 1662 ; La Roselie, ou le Dom Guillot, e
n, en un acte en vers, 1662 ; La Roselie, ou le Dom Guillot, en cinq actes en vers, 1661 ; L’Avare dupé, ou l’Homme de pail
tes en vers, 1661 ; L’Avare dupé, ou l’Homme de paille 193, en trois actes en vers, 1663 ; Le Festin de Pierre, ou l’Athée
ron soixante-dix ans. L’École des femmes, comédie en vers et en cinq actes . Beaucoup de personnes croyent que Moliere a pris
136 liv. aux comédiens. 205« Le Mariage forcé, comédie ballet en un acte , en prose, ainsi intitulé206 parce que le Roy y a
traita le sujet de Don Juan, ou le Festin de Pierre, comedie en cinq actes en prose, représentée en février 1665214, sur le
parfaitement, il faudroit que la des Œillets joüât les deux premiers actes , et la Champmêlé les deux autres, voulant faire e
re sentir les emporte-mens du personnage représenté dans les derniers actes de cette pièce, et l’autre, plus de délicatesse e
Pièces d’Hauteroche : L’Amant qui ne flate point, en vers et en cinq actes , représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1668 ; Le
présentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1668 ; Le Souper mal aprêté, d’un acte , en vers, 1669 ; Les Aparences trompeuses, ou le
1669 ; Les Aparences trompeuses, ou les Maris fideles 230, de trois actes , en vers, 1672. Elle n’a pas été jouée ; Les Nob
vers, 1672. Elle n’a pas été jouée ; Les Nobles de province, de cinq actes , en vers, 1678 ; Crispin musicien, de cinq actes
e province, de cinq actes, en vers, 1678 ; Crispin musicien, de cinq actes , en vers, 1674231. Cette pièce fut jouée d’abord2
par les Dlles Dupin, Raisin, Beauval et d’Ennebaud. Le Deüil, en un acte et en vers, 1672233 ; Le Cocher suposé, d’un act
. Le Deüil, en un acte et en vers, 1672233 ; Le Cocher suposé, d’un acte , en prose, 1685234 ; La Dame invisible, ou l’Es
, en prose, 1685234 ; La Dame invisible, ou l’Esprit folet, de cinq actes , en vers, 1684235, comedie purement d’intrigue. L
la voyons237 ; Le Feint Polonois, ou la Veuve impertinente, de trois actes , en prose, 1686238 ; Les Bourgeoises de qualités
actes, en prose, 1686238 ; Les Bourgeoises de qualités 239, de cinq actes , en vers, 1691240; Crispin médecin, de trois ac
tés 239, de cinq actes, en vers, 1691240; Crispin médecin, de trois actes , en prose, 1680241; Les Nouvellistes, en trois a
decin, de trois actes, en prose, 1680241; Les Nouvellistes, en trois actes , 1678, à l’Hôtel de Bourgogne ; La Bassette, com
recommença le vendredi 24 par le Misanthrope. 5. Le mardi 21 (voir l’ acte d’inhumation et la lettre à l’abbé Boyvin, tome X
e tout entier en vingt-quatre heures. 77. En 1663. 78. Scène I de l’ acte II. 79. Antoine-Jacob, néle22 septembre 1639, mo
pousa Zacharie Jacob en 1638, à Rueil. Nous avons vainement cherché l’ acte de mariage, l’état civil de Rueil ne remontant qu
France, p. 124.) 102. Les Brouilleries nocturnes, comédie en cinq actes en vers, non imprimée. 103. Comédie en un acte e
nes, comédie en cinq actes en vers, non imprimée. 103. Comédie en un acte en vers, imprimée à La Haye en 1669, in-12. 104.
te en vers, imprimée à La Haye en 1669, in-12. 104. Comédie en trois actes , en vers, imprimée à La Haye’ en 1669, in-12. 10
cet acteur fut comédien de la troupe du Marais. 107. Comédie en cinq actes , en vers, représentée en 1661. 108. On ne connaî
qu’il avait, à cette date, quitté le théâtre. 117. Tragi-comédie, 5 actes en vers, 1642. 118. 5 actes en vers, 1649. 119.
uitté le théâtre. 117. Tragi-comédie, 5 actes en vers, 1642. 118. 5 actes en vers, 1649. 119. Cette tragédie est la même q
e de cette tragédie (12 février 1691). 128. Ou l’lllustre Vestale, 5 actes en vers, de Péchantré, 29 janvier 1687. 129. Th
, 1680 ; Hercule, 1681, et Crispin bel esprit, 1681. Une comédie en 1 acte en prose, Merlin peintre, représentée le 20 juill
683), et Aristobule (3o novembre 1685). 130. Hercule, tragédie en 5 actes en vers, représentée le 7 novembre 1681. — Solima
n vers, représentée le 7 novembre 1681. — Soliman XIII, tragédie en 5 actes en vers, représentée le 11 octobre 1680 : c’est l
Auzillon. 192. Et. 193. Cette pièce est de Chappuzeau. 194. Trois actes en vers, Rouen, 1692. 195. Pierre Auzillon, de M
ière édition : le Cocher suposé, ou le Cocher de Madrid, comédie en 1 acte , avec divertissement, fut représenté pour la prem
C’est le sous-titre d’une comédie de Dancourt, la Fête de village, 3 actes , représentée dix ans plus tard (13 juillet 1700).
il existe une édition de 1670. (Voir le Catalogue Soleinne.) 242. Un acte en vers (non imprimée). 243. D’autres disent le
n imprimée). 243. D’autres disent le 4 juin. 244. Le 31 mai 1680, 5 actes en vers (non imprimée). 245. Attribuée au comédi
artres, le 23 mai 1681. 248. Ou le Fils criminel, tragi-comédie en 5 actes tra­duite de l’italien en français; Paris, Ch. de
ris, Ch. de Sercy, 1660, in-12. 249. On croit que cette comédie en 1 acte , en vers, aurait été jouée en 1664 ; elle ne para
e en 1664 ; elle ne paraît pas avoir été imprimée. 250. Comédie en 1 acte , en vers, représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 166
représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1662. 251. Comédie burlesque, 1 acte en vers, représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1660
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
morale & à l’intrigue de l’Ecole des Bourgeois, comédie en trois actes & en prose, de d’Allainval. Précis de l’Ecol
rs affaires & leur penchant à se laisser voler sont bien peints. Acte  II. Scene II. LE MARQUIS, M. POT-DE-VIN. Le M
ere avoit dit avant ces trois Auteurs, dans les Fourberies de Scapin, acte II, scene XI : Vraiment oui, de la conscience à u
XI : Vraiment oui, de la conscience à un Turc ! BÉVERLEY, en cinq actes & en vers libres. Parallele de la Piece Franç
llele de la Piece Françoise & de l’Angloise. PIECE FRANÇOISE, Acte I. (Le théâtre représente un sallon mal meublé &
éterminer tant que sa belle-sœur est dans le chagrin. PIECE ANGLOISE, Acte I. La moitié de cet acte renferme à-peu-près tout
le-sœur est dans le chagrin. PIECE ANGLOISE, Acte I. La moitié de cet acte renferme à-peu-près tout ce qui est dans le drame
françois ; mais le fils de Béverley ne paroît pas. Dans le reste de l’ acte , Jarvis arrête à la porte un créancier de son maî
faire jouer avec des coquins qui sont à leurs gages. Stukéli finit l’ acte en disant : Que des hommes formés d’une trempe c
x : Le fourbe bien plus vîte arrive à la fortune38. PIECE FRANÇOISE, Acte II. ((La scene est dans une place près de la mais
Sa femme se fait un plaisir de ce nouveau sacrifice. PIECE ANGLOISE, Acte II. Cet acte est tout-à-fait semblable à celui de
fait un plaisir de ce nouveau sacrifice. PIECE ANGLOISE, Acte II. Cet acte est tout-à-fait semblable à celui de la piece fra
le connois, ainsi je vous conseille de le fuir ». Béverley finit l’ acte par ces vers : Plaisirs faux & trompeurs, pl
ur Que celui d’adorer tes vertus & tes charmes. PIECE FRANÇOISE, Acte III. Stukéli annonce que Béverley a tout perdu :
nt qu’il y trouvera les personnes auxquelles il doit. PIECE ANGLOISE, Acte III. La scene généreuse de Leuson avec Charlotte
la misere. Il n’y est pas question des cent mille écus. Le reste de l’ acte se passe tantôt chez Stukéli où ce scélérat fait
mpense. Nous verrons si la prédiction s’accomplira. PIECE FRANÇOISE, Acte IV. (La Scene est dans la rue : il est nuit.)
; l’entraîne en prison : les deux époux s’embrassent. PIECE ANGLOISE, Acte IV. Tout ce qui est dans l’acte françois est ici,
x époux s’embrassent. PIECE ANGLOISE, Acte IV. Tout ce qui est dans l’ acte françois est ici, à l’exception de la scene intér
scene intéressante que Madame Béverley fait avec son époux. Mais cet acte est beaucoup plus long : Jarvis y vient annoncer
vœux, Ou creuse sous mes pas un précipice affreux. PIECE FRANÇOISE, Acte V. (La scene représente la chambre d’une prison 
éverley meurt ; sa femme s’évanouit : la toile tombe. PIECE ANGLOISE, Acte V. Bates & Dawson assurent à Stukéli qu’ils o
ucoup de verbiage. Madame Béverley a mal fait d’annoncer au troisieme acte que la vertu seroit récompensée. Je ne vois pas q
. Nous avons déja dit, je crois, que les Anglois finissent tous leurs actes , quoiqu’en prose, avec quelques vers sententieux 
15 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
ux qui sont plus modernes. 1666. Le Misanthrope Comédie en cinq actes , en vers, de M. Molière, représentée sur le théât
re en publiant une Lettre sur le Misanthrope, où il en rendait compte acte par acte. Comme cette lettre est historique à cet
liant une Lettre sur le Misanthrope, où il en rendait compte acte par acte . Comme cette lettre est historique à cette comédi
en fît la critique, et demeurèrent ensuite tout confus. « Ce premier acte , ayant plu à tout le monde, et n’ayant que deux s
end qu’il a eu avec Oronte en condamnant son sonnet. C’est par où cet acte finit. « L’ouverture du troisième se fait par une
pièce, comme vous le remarquerez dans la suite. « Il y a dans le même acte une scène entre deux femmes que l’on trouve d’aut
e qui donne sujet à une partie des choses qui se passent au quatrième acte . « Cet acte commence par le récit de l’accommodem
sujet à une partie des choses qui se passent au quatrième acte. « Cet acte commence par le récit de l’accommodement du Misan
 : et l’auditeur se persuade aisément, par ce qu’il a vu dans l’autre acte , que la prude avec qui l’on l’a vu sortir lui a i
es d’esprit en ont bien su connaître les finesses. Dans le reste de l’ acte , le valet du Misanthrope vient chercher son maîtr
maître qui fût d’une autre humeur. « La scène du valet, au quatrième acte , devait faire croire que l’on entendrait bientôt
elle a écrite contre eux : ce que l’auteur a préparé dès le troisième acte , en leur faisant promettre qu’ils se montreraient
l n’était pas possible qu’une aussi belle pièce que celle-là, en cinq actes , et dont les vers sont fort beaux, eût été faite
irent pour Lyon en 1653a. « On y représenta L’Étourdi, pièce en cinq actes , qui enleva presque tous les spectateurs au théât
t applaudi ; le succès de cet essai rétablit l’usage des pièces en un acte , qui avait cessé à l’Hôtel de Bourgogne depuis la
çut qu’en prononçant le mot juro, dans le divertissement du troisième acte , il lui prit une convulsion qu’il tâcha en vain d
héâtre de M. Molière. L’Étourdi, ou les Contretemps, comédie en cinq actes , en vers, représentée sur le théâtre du Petit-Bou
e théâtre du Petit-Bourbon, 1658. Le Dépit amoureux, comédie en cinq actes , en vers, représentée sur le théâtre du Petit-Bou
âtre du Petit-Bourbon, 1658. Les Précieuses ridicules, comédie en un acte , en prose, représentée sur le théâtre du Petit-Bo
etit-Bourbon, 1659. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, comédie en un acte , en vers, représentée sur le théâtre du Petit-Bou
Dom Garcie de Navarre, ou le Prince jaloux, comédie héroïque en cinq actes , en vers, représentée sur le théâtre du Palais-Ro
théâtre du Palais-Royal*, 1661. L’École des maris, comédie en trois actes , en vers, 1662. Les Fâcheux, comédie-ballet, en
en trois actes, en vers, 1662. Les Fâcheux, comédie-ballet, en trois actes , en vers, représentée à Vaux et à Paris, 1661. L
ésentée à Vaux et à Paris, 1661. L’École des femmes, comédie en cinq actes et en vers, 1662. La Critique de l’École des fem
s et en vers, 1662. La Critique de l’École des femmes, comédie en un acte , en prose, 1663. L’Impromptu de Versailles, comé
en un acte, en prose, 1663. L’Impromptu de Versailles, comédie en un acte , en prose, représentée à Versailles et à Paris, 1
s et à Paris, 1663. La Princesse d’Élide, comédie-ballet, le premier acte et la première scène du second en vers (le reste
Versailles et à Paris, 1664. Le Mariage forcé, comédie-ballet, en un acte , en prose, représentée au Louvre et sur le théâtr
changements, 1664. Dom Juan, ou le Festin de Pierre, comédie en cinq actes , en prose, 1665. L’Amour médecin, comédie en tro
die en cinq actes, en prose, 1665. L’Amour médecin, comédie en trois actes , en prose, avec un prologue, représentée à Versai
entée à Versailles et à Paris, 1665. Le Misanthrope, comédie en cinq actes , en vers, 1666. Le Médecin malgré lui, comédie e
n cinq actes, en vers, 1666. Le Médecin malgré lui, comédie en trois actes , en prose, 1666. Mélicerte, pastorale héroïque,
actes, en prose, 1666. Mélicerte, pastorale héroïque, en vers, deux actes (pièce non finie), représentée à Saint-Germain-en
icerte, 1666. Le Sicilien, ou l’Amour peintre, comédie-ballet, en un acte , en prose, représentée à Saint-Germain-en-Laye, d
s Muses, et à Paris, 1667. Tartuffe, ou l’Imposteur, comédie en cinq actes , en vers, représentée en 1667, et depuis sans int
7, et depuis sans interruption en 1669. Amphitryon, comédie en trois actes , en vers, avec un prologue, 1668. L’Avare, coméd
ois actes, en vers, avec un prologue, 1668. L’Avare, comédie en cinq actes et en prose, 1668. George Dandin, ou le Mari con
en prose, 1668. George Dandin, ou le Mari confondu, comédie en trois actes , en prose, représentée avec des intermèdes à Vers
es à Paris, 1668. Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet, en trois actes , en prose, représentée à Chambord et à Paris, 166
rd et à Paris, 1669. Les Amants magnifiques, comédie-ballet, en cinq actes , en prose, représentée à Saint-Germain-en-Laye, 1
t à Paris en 1688. Le Bourgeois gentilhomme, comédie-ballet, en cinq actes , en prose, représentée à Chambord et à Paris, 167
hambord et à Paris, 1670. Les Fourberies de Scapin, comédie en trois actes , en prose, 1671. Psyché, tragédie-ballet, en cin
die en trois actes, en prose, 1671. Psyché, tragédie-ballet, en cinq actes , en vers, représentée au palais des Tuileries en
n 1670, et au Palais-Royal, 1671. Molière n’a composé que le premier acte , et la première scène du second acte, et la premi
lière n’a composé que le premier acte, et la première scène du second acte , et la première scène du troisième de Psyché, et
ntermèdes sont de M. Quinault. Les Femmes savantes, comédie en cinq actes , en vers, 1672. La Comtesse d’Escarbagnas, coméd
eprésentée à Saint-Germain-en-Laye et à Paris, sans intermèdes, en un acte , en prose, 1672. Le Malade imaginaire, comédie-b
acte, en prose, 1672. Le Malade imaginaire, comédie-ballet, en trois actes , en prose, avec un prologue, 1673. Comédies du mê
5 mai, La Casaque. 1666. Le Médecin malgré lui Comédie en trois actes , en prose, de M. Molière, représentée sur le théâ
s en forme de dialogue. » Il n’est pas douteux que les deux premiers actes de Mélicerte, pastorale héroïque (de M. Molière),
éroïque de Molière. 1666. Mélicerte Pastorale héroïque, en deux actes , en vers, de M. Molière, représentée dans la quat
llet des Muses. « [*]Molière n’avait composé que les deux premiers actes de cette Pastorale héroïque ; elle fut représenté
elle fut représentée en cet état à Saint-Germain. La scène du second acte entre Myrtil et Mélicerte est remarquable par la
joignit des intermèdes et changea la versification des deux premiers actes , qu’il mit en vers libres et irréguliers. La comp
7. Le Sicilien, ou l’Amour peintre Comédie-ballet, en prose, en un acte , de M. Molière, représentée dans Le Ballet des Mu
ée de musique* et de danses. « [*]C’est la seule petite pièce en un acte où il y ait de la grâce et de la galanterie : les
sont aussi présents du roi. 1668. Amphitryon Comédie en trois actes , en vers libres, avec un prologue, de M. Molière,
l. » 1668. George Dandin, ou le Mari confondu Comédie en trois actes , en prose, de M. Molière, représentée avec des in
leur et de désespoir, et ensuite de cette musique commence le premier acte de la comédie en prose. « Le sujet est qu’un rich
ts qui n’expriment parfaitement leur véritable image. Sur la fin de l’ acte le paysan est interrompu par une bergère qui lui
te sur la mort de son amant. « Après cette plainte commença le second acte de la comédie en prose. C’est une suite des dépla
eurs crocs, et se jouent ensemble ; après quoi se récite le troisième acte de la comédie en prose. Dans ce dernier acte l’on
i se récite le troisième acte de la comédie en prose. Dans ce dernier acte l’on voit le paysan dans le comble de la douleur,
out dire, disant cela. 1668. L’Avare Comédie en prose, en cinq actes , de M. Molière, représentée sur le théâtre du Pal
eproche qu’il a eu grande attention, dans la seconde scène du premier acte , à donner à Cléante le caractère d’un fils très r
e de La sporta del Gelli, qui a suivi le poète latin ; que le premier acte est imité d’une comédie italienne à l’impromptu,
et Arlequin, valets dans la même maison. La première scène du second acte est tirée du Dottor Bachettone, canevas italien,
aussi. Je ne craindrai point d’ajouter que le scène cinquième du même acte est toute copiée de Le case Svaliggiate, ou Gli i
pareillement joué à l’impromptu : que la scène deuxième du troisième acte est toute entière dans La Cameriera nobile, coméd
ienne aussi jouée à l’impromptu ; que toute la scène septième du même acte se trouve dans Le case Svaliggiate, dont nous ven
ons de parler ; et que les scènes quatrième et cinquième du quatrième acte sont pareillement dans La Cameriera nobile ; et q
a nobile ; et qu’enfin la seconde et la troisième scènes du cinquième acte paraissent entièrement imitées de L’Amante tradit
olière. Lélio et Arlequin, valets dans la même maison. L’AVARE, acte I Lélio est amoureux de Flaminia, fille de
ccasion de le persécuter. On sent par là que le sujet du premier acte , et l’amour de Valère et d’Élise, ont été tirés d
                  Il Dottor Bachettone, ou le Docteur Bigot. ACTE  II. Scène première. Le Docteur dévot et gra
avait ajoutée.               Arlequin, dévaliseur de maison. ACTE II. Scène V. Scapin fait accroire à Pantalo
tune. La Cameriera nobile, ou la Fille de chambre de qualité. ACTE III. Scène II. Lélio donne des coups de bât
st avare, et que Pantalon est généreux. La Cameriera nobile. ACTE IV. Scènes IV et V. Pantalon et le Docteur,
e Marianne.     Lélio et Arlequin, valets dans la même maison. ACTE V. Scènes II et III. Arlequin, par l’animos
jusqu’au bout. 1669. Tartuffe, ou l’Imposteur Comédie en cinq actes , en vers, de M. Molière, représentée sur le théât
9, en un mot, Charme en son rôle de bigot. « [*]Les trois premiers actes de Tartuffe avaient été représentés à la sixième
Cléante oppose à celui du vrai dévot. Tartuffe, annoncé pendant deux actes , paraît au troisième. L’intrigue alors, plus anim
truire, donne lieu à cette scène si singulière et si admirable du IVe  acte , que la nécessité de démasquer un vice aussi abom
e l’hypocrite d’avec celui du vrai dévot. J’ai employé pour cela deux actes entiers à préparer la venue de mon scélérat. Il n
ticle. 1669. Monsieur de Pourceaugnaca Comédie-ballet en trois actes , en prose, de M. Molière, représentée à Chambord
re de la troupe de Molière. b. Frosine y fait allusion dans L’Avare, acte  II, scène VI, en disant à Harpagon, que Molière r
re. *. [Note marginale] Épître II à M. Molière. 1. [Note marginale] ACTE  III, scène I. 2. [Note marginale] ACTE I, scène 
Molière. 1. [Note marginale] ACTE III, scène I. 2. [Note marginale] ACTE  I, scène III. 3. [Note marginale] ACTE III, scèn
scène I. 2. [Note marginale] ACTE I, scène III. 3. [Note marginale] ACTE  III, scène V. 4. [Note marginale] Scène XII. a.
a Jalousie de Barbouillé est un canevas, quoiqu’informe, du troisième acte de George Dandin. Mémoires sur la vie et les ouvr
Ce titre semble indiquer le canevas de la seconde scène du troisième acte des Fourberies de Scapin, où ce dernier fait mett
t les ouvrages de Molière. a. « [*]Molière n’a jamais fait que deux actes de cette comédie, le roi se contenta de ces deux
fait que deux actes de cette comédie, le roi se contenta de ces deux actes dans la fête du Ballet des Muses. Le public n’a p
-il fou, et nous prend-il pour des benêts, de nous faire essuyer cinq actes en prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravagance ?
le public goûte rarement les bonnes choses quand il est dépaysé. Cinq actes de prose l’avaient révolté la première fois ; mai
ote marginale] Premier placet sur Tartuffe. a. « Les trois premiers actes représentés à Versailles le 12 mai 1664 le furent
re. C’est à cette occasion qu’il fait dire à Alceste (Le Misanthrope, acte  V, scène première) : Un traître, dont on sait la
le plus marqué qu’on ait fait à la comédie du Tartuffe est à ce vers, acte  III, scène VII : Ô Ciel, pardonnez-lui la douleu
e intitulée : Lettre sur la comédie de l’Imposteur, où il rend compte acte par acte, et scène par scène, de toute la comédie
ée : Lettre sur la comédie de l’Imposteur, où il rend compte acte par acte , et scène par scène, de toute la comédie de Moliè
isais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois entendu lire trois actes chez M. de Montmor, où se trouvèrent aussi M. Cha
16 (1739) Vie de Molière
s la Jalousie de Barbouille un canevas, quoique informe, du troisième acte de George Dandin. La première pièce régulière en
troisième acte de George Dandin. La première pièce régulière en cinq actes qu’il composa, fut l’Étourdi. Il représenta cette
lousie : il finit en demandant la permission de donner une pièce d’un acte , qu’il avait jouée en province. La mode de représ
is ce temps, l’usage a toujours continué de donner de ces pièces d’un acte , ou de trois, après les pièces de cinq. On permit
nce. L’Étourdi, ou Les Contre-temps, Comédie en vers et en cinq actes , jouée d’abord à Lyon, en 1653, et à Paris au moi
s que le Menteur. Le Dépit amoureux, Comédie en vers et en cinq actes , représentée au théâtre du Petit-Bourbon, en 1658
gue a le défaut d’un roman, sans en avoir l’intérêt ; et le cinquième acte employé à débrouiller ce roman, n’a paru ni vif n
nues des lieux communs. Les Précieuses ridicules, Comédie en un acte et en prose, jouée d’abord en province, et représ
que d’ailleurs elle estimait. Le Cocu imaginaire, Comédie en un acte et en vers, représentée à Paris le 28 mai 1660.
ge du roi retenait toute la cour hors de Paris. C’est une pièce en un acte , où il entre un peu de caractère, et dont l’intri
Navarre, ou Le Prince jaloux, Comédie héroïque en vers et en cinq actes , représentée pour la première fois le 4 Février 1
ort de l’auteur. L’École des maris, Comédie en vers et en trois actes , représentée à Paris le 24 Juin 1661. Il y a gran
dans la plaisanterie. Les Fâcheux, Comédie en vers et en trois actes , représentée à Vaux devant le roi, au mois d’Août
evait se servir. L’École des femmes, Comédie en vers et en cinq actes , représentée à Paris, sur le théâtre du Palais-Ro
avec quelle adresse Molière avait su attacher et plaire pendant cinq actes , par la seule confidence d’Horace au vieillard, e
les récits. Il semblait qu’un sujet ainsi traité ne dût fournir qu’un acte . Mais c’est le caractère du vrai génie, de répand
e Racine. La Critique de l’École des femmes, Petite pièce en un acte et en prose, représentée à Paris, sur le théâtre
Contre-Critique. L’Impromptu de Versailles, Petite pièce en un acte et en prose, représentée à Versailles le 14 octob
e, que Molière fit jouer la Princesse d’Élide, comédie-ballet en cinq actes . Il n’y a que le premier acte et la première scèn
ncesse d’Élide, comédie-ballet en cinq actes. Il n’y a que le premier acte et la première scène du second, qui soient en ver
l’insipidité. Le Mariage forcé. Petite pièce en prose et en un acte , représentée au Louvre le 24 janvier 1664, et au
olière, qu’il prit l’habitude de faire jouer après les pièces en cinq actes . Il y a dans celle-ci quelques scènes tirées du t
llet, où Louis XIV dansa. L’Amour médecin, Petite comédie en un acte et en prose, représentée à Versailles le 15 septe
. Don Juan, ou Le Festin de Pierre. Comédie en prose et en cinq actes , représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 15
sa comédie : c’était une nouveauté inouïe alors, qu’une pièce de cinq actes en prose. On voit par là combien l’habitude a de
été imprimée depuis. Le Misanthrope, Comédie en vers et en cinq actes , représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 4
Misanthrope de Molière. Le Médecin malgré lui, Comédie en trois actes et en prose, représentée sur le théâtre du Palais
ude. Le Sicilien, ou L’Amour peintre, Comédie en prose et en un acte , représentée à Saint-Germain-en-Laye en 1667, et
-Royal le 10 juin de la même année. C’est la seule petite pièce en un acte , où il y ait de la grâce et de la galanterie. Les
Ballet des Muses, en décembre 1666. Molière n’a jamais fait que deux actes de cette comédie ; le roi se contenta de ces deux
fait que deux actes de cette comédie ; le roi se contenta de ces deux actes dans la fête du Ballet des Muses. Le public n’a p
lacent jamais le génie. Amphitryon, Comédie en vers et en trois actes , représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 13
rythme dans son Agésilas. L’Avare, Comédie en prose et en cinq actes , représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Roy
George Dandin, ou Le Mari confondu, Comédie en prose, et en trois actes , représentée à Versailles le 15 de juillet 1668, 
ans la préface de l’auteur au devant du Tartuffe. Les trois premiers actes avaient été représentés à Versailles devant le ro
! Monsieur de Pourceaugnac, Comédie-ballet en prose et en trois actes , faite et jouée à Chambord, pour le roi au mois d
e. Le Bourgeois gentilhomme, Comédie-ballet en prose et en cinq actes , faite et jouée à Chambord, au mois d’octobre 167
admirable, Le Bourgeois gentilhomme est plaisant. Les quatre premiers actes de cette pièce peuvent passer pour une comédie ;
eaugnac. Les Fourberies de Scapin, Comédie en prose et en trois actes , représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 24
ne l’a pas ? Psyché, Tragédie-ballet en vers libres et en cinq actes , représentée devant le roi, dans la salle des mac
La Fontaine venait de donner en 1669. Il ne put faire que le premier acte , la première scène du second, et la première du t
tels hommes. Psyché n’est pas une excellente pièce, et les derniers actes en sont très languissants ; mais la beauté du suj
er ses défauts. Les Femmes savantes, Comédie en vers et en cinq actes , représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 11
res. Les Amants magnifiques, Comédie-ballet en prose et en cinq actes , représentée devant le roi à Saint-Germain, au mo
tus eram tibi. La Comtesse d’Escarbagnas, Petite comédie en un acte , et en prose, représentée devant le roi à Saint-G
nt répandus de proche en proche. Le Malade imaginaire, En trois actes , avec des intermèdes, fut représenté sur le théât
17 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
réputation dont l’action et le mouvement, quoiqu’elles soient en cinq actes , suffiraient à peine pour soutenir un acte seul :
oiqu’elles soient en cinq actes, suffiraient à peine pour soutenir un acte seul : c’est moins une action véritable qu’une ap
ncel, etc. 1670. Les Amants magnifiques. Comédie-ballet en cinq actes , en prose, de M. Molière, représentée à Saint-Ger
ilhomme. 1670. Le Bourgeois gentilhomme Comédie-ballet, en cinq actes , en prose, de M. Molière, représentée à Chambord
sentations de Chambord et de Saint-Germain-en-Laye. Dans le premier acte . Une Musicienne, Mlle Hilaire. Un Musicien, le s
Danseurs, les sieurs La Pierre, Saint-André et Magny. Dans le second acte . Garçons tailleurs, dansants, les sieurs Dolivet
Le Chantre, Bonnard, Isaac, Magny et Saint-André. Dans le troisième acte . Six Cuisiniers, dansants, (les mêmes danseurs d
isième acte. Six Cuisiniers, dansants, (les mêmes danseurs du second acte ). Dans le quatrième acte. Un Musicien, le sieur
rs, dansants, (les mêmes danseurs du second acte). Dans le quatrième acte . Un Musicien, le sieur de La Grille. Second Musi
, La Pierre, Favier, Mayeu, Beauchamp, Chicanneau. Dans le cinquième acte . Ballet des Nations. Première entrée, un donneu
us cette année. 1671. Les Fourberies de Scapin Comédie en trois actes , en prose, de M. Molière, représentée sur le théâ
t, etc. Molière a encore fait usage de la troisième scène du premier acte de La Sœur. Lélie raconte à son ami Éraste l’hist
issez-moi le finir avec une parole, etc. La seconde scène du premier acte des Fourberies de Scapin présente la même situati
Cyrano Bergerac. 1671. La Comtesse d’Escarbagnas. Comédie en un acte , en prose, de M. Molière, représentée à Saint-Ger
-Germain-en-Laye, au mois de décembre, dans un divertissement en sept actes , intitulé : Le Ballet des Ballets, et ensuite san
sous le titre de Ballet des Ballets. Ces deux pièces composaient sept actes , qui étaient précédés d’un prologue, et qui étaie
mtesse d’Escarbagnas ne parut sur le théâtre du Palais-Royal qu’en un acte , au mois de juillet 1672, telle qu’on la joue enc
imprimée. Il y a apparence qu’elle était divisée d’abord en plusieurs actes . Pour ce qui est de la pastorale, il ne nous en r
le sieur Molière. « Voici quel était l’ordre et la distribution des actes et des intermèdes de ce divertissement » (lorsqu’
toute la comédie et des divertissements qui devaient suivre. Premier acte de la comédie. Premier intermède. La plainte,
ermède. La plainte, qui fait le premier intermède de Psyché. Second acte de la comédie. Second intermède. Cérémonie mag
représentée dans la troisième entrée du Ballet des Muses. Troisième acte de la comédie. Troisième intermède. Combat des
Bacchus, qui fait le quatrième intermède de George Dandin. Quatrième acte de la comédie. Quatrième intermède. Entrée d’u
lopes et des Fées, qui fait le second intermède de Psyché. Cinquième acte de la comédie. Cinquième intermède. Cérémonie
de la comédie. Cinquième intermède. Cérémonie turque du quatrième acte du Bourgeois gentilhomme. Sixième acte de la com
Cérémonie turque du quatrième acte du Bourgeois gentilhomme. Sixième acte de la comédie. Sixième intermède. Entrée d’Ita
e d’Espagnols, tirée du même Ballet des Nations. Septième et dernier acte de la comédie. Septième et dernier intermède.
-en-Laye, au mois de décembre 1671. Les deux pièces, divisées en sept actes , sans qu’on en connaisse la véritable distributio
hanta, dansa, mangea. 1672. Les Femmes savantes Comédie en cinq actes , et en vers, de M. Molière, représentée sur le th
ura pas. On sentit bientôt avec quel art l’auteur avait su tirer cinq actes entiers d’un sujet aride en lui-même, sans y rien
u bel esprit récite avec emphase dans la scène cinquième du troisième acte , la confirment dans la résolution qu’elle avait d
n’est celui des deux lettres supposées qu’Ariste apporte au cinquième acte  ; la générosité réciproque de Clitandre et d’Henr
te de ce fait1. « Au reste, la charmante scène (des Femmes savantes, acte  III, scène V) de Trissotin et de Vadius est d’apr
ire cesser, en faisant le dénouement de la pièce. Il y a au troisième acte une querelle entre ce M. Trissotin et un autre sa
tastrophe. 1673. Le Malade imaginaire. Comédie-ballet, en trois actes , en prose, avec un prologue en vers lyriques, par
ges. » a. « [*]En effet, y a-t-il rien de plus beau que le premier acte du Bourgeois gentilhomme ? Il devait du moins fra
ition du sujet, les vers qui se récitent dans le prologue, le premier acte , la première scène du second acte, et la première
citent dans le prologue, le premier acte, la première scène du second acte , et la première scène du troisième. Le reste de l
ouvrages de Molière. a. « [*](Molière) ne put faire que le premier acte , la première scène du second et la première du tr
te italienne). Psyché n’est pas une excellente pièce, et les derniers actes en sont très languissants ; mais la beauté du suj
ainsi que ce passage semble le faire entendre. [*]. [Note marginale] ACTE  I. scène I. LÉLIE, ERGASTE, valet de Lélie. [*]
E I. scène I. LÉLIE, ERGASTE, valet de Lélie. [*]. [Note marginale] ACTE  I, scène I. OCTAVE, SILVESTRE, valet d’Octave.
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
alet, les circonstances & la suite de son combat, en ces termes : ACTE IV. Scene I. Dorante. Nous nous battîmes hier, &
r malgré lui l’hymen projetté ; alors on le surprend, en lui disant : ACTE V. Scene IX. Oronte. Les gens que vous tuez se
roit nous a déja servi de modele quand nous avons parlé de la fin des actes , je ne le rapporterai pas ; je prierai seulement
; d’autant plus étonnantes, qu’elles produisent un effet tout opposé. ACTE II. Scene V. Isabelle écrit à son amant tout ce
rti de feindre. La scene est courte, nous pouvons en lire une partie. ACTE III. Scene VII. VALERE, MASCARILLE. Valere. Et
tateurs. George Dandin en fourmille : nous en rapporterons une seule. ACTE II. Scene X. George Dandin triomphe de pouvoir p
& qu’elles font alors le même effet. Telle est celle du quatrieme acte , scene seconde de l’Avare, lorsque la Fleche vole
toit préparée dès le commencement de la piece par ces deux couplets : ACTE I. Scene III. Harpagon, à la Fleche. Ne sois pas
Moliere annoncent le grand maître, témoin celles-ci dans le Tartufe. ACTE III. Scene IV. Tartufe fait sa déclaration à Elm
lere, son plus mortel ennemi, sort du cabinet d’où il a tout entendu. ACTE IV. Scene VII. Tartufe croit avoir séduit Elmire
au lieu de la femme. Nous en avons une excellente dans George Dandin. ACTE III. Scene VIII. Angélique quitte le lit de son
également & le public & le personnage auquel il s’intéresse. ACTE III. Scene I. Isabelle, menacée de l’hymen le pl
ction, & donne pour exemple de la derniere la scene XIV du second acte de l’Ecole des Maris. Voici ce qu’il dit : Ex
Exemple de la surprise d’action. « La scene dixieme du second acte de l’Ecole des Maris doit être appellée un coup d
boni s’est trompé. La scene qu’il cite n’est pas la dixieme du second acte , mais la quatorzieme. C’est une faute très légere
19 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Pieces à scenes détachées. » pp. 45-60
us hardies que d’imaginer, comme a fait Moliere, une comédie en trois actes de scenes détachées, telle que les Fâcheux. On pe
a tort de dire que Moliere a eu seul la hardiesse d’en faire en trois actes . Riccoboni ne connoissoit donc pas le théâtre de
il y auroit vu le Mercure galant 6 ou la comédie sans titre, en cinq actes en vers, dans laquelle la plupart des acteurs vie
Journal du mois ; il y eût trouvé les Fables d’Esope, comédie en cinq actes en vers, dans laquelle les divers personnages qu’
urs demandes ; il y auroit vu encore Esope à la Cour, comédie en cinq actes en vers dans le genre des Fables d’Esope, avec ce
, le nombre des scenes, &c. Ce n’est donc pas sur la quantité des actes que nous donnerons des éloges à Moliere, c’est su
aisons que dans les pieces les plus régulieres. Extrait des Fâcheux, acte I. Eraste est l’amant aimé d’Orphise ; mais Dami
er d’un côté, il va de l’autre en donnant au diable tous les fâcheux. ACTE II. Eraste revient sur la scene pour savoir si l
prouvés dans une partie de chasse. Eraste se débarrasse enfin de lui. ACTE III. Eraste a trouvé le secret d’appaiser Orphis
son dénouement sur l’amour, il a tort de n’avoir pas filé dans chaque acte une ou deux scenes qui caractérisassent cette pas
ce. Je vais les réunir pour faire mieux goûter l’adresse de l’Auteur. ACTE I. Scene I. Eraste, à son valet. Maudit soit le
le est allée, Va-t’en chercher par-tout, j’attends dans cette allée. ACTE II. Scene III. Eraste. Ah ! que tu fais languir
la fin je perdrai patience. Cherchons à m’excuser avecque diligence. ACTE III. Scene I. Il est vrai, d’un côté mes soins o
ligé d’un si rare service ! Eraste. Je n’ai fait, vous servant, qu’un acte de justice. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
ue nous venons d’analyser, & de les étendre sur-tout au-delà d’un acte . Une petite bagatelle à scenes détachées peut éch
n enfant perdu qu’il livre au caprice du public : s’il fait plusieurs actes , l’ouvrage acquiert pour lors une certaine consis
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
Nuits, de Moliere, d’Aristophane, &c. LES TUTEURS, en trois actes & en vers. Avant-scene. Julie, par la mo
tuteurs, elle a peur que son amant ne puisse réunir leurs suffrages. Acte I. Les amants sont fort embarrassés pour faire ap
le les refuse. Les Tuteurs sont très en colere, & se querellent. Acte II. Damis & Crispin son valet, ridiculement h
harmé lui promet sa pupille, & lui donne son suffrage par écrit. Acte III. Dans l’entr’acte Damis s’est présenté au der
et & de l’intrigue. Précis de l’Amant Prothée, comédie en trois actes , en prose, par M. Lacroix33. Lélio est amoureux d
rangers à nos mœurs ». Ressemblance dans les détails. LES TUTEURS. Acte  II. Scene V. Damis. Quarante mille écus en bil
dix. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . LE BOURGEOIS GENTILHOMME. Acte  IV. Scene VI. CLÉONTE en Turc, TROIS PAGES por
s. Allez vîte où il souhaite. LE BARBIER DE BAGDAD, Facétie en un acte , en prose. Almanzor est amoureux de Zulime f
plaisantes qu’elles puissent l’être ». LES PHILOSOPHES, en trois actes , en vers. Extrait de la Piece. Avant-Scene.
e de la philosophie, & veut donner Rosalie à Valere, Philosophe. Acte I. Damis est surpris du changement de Cidalise :
la philosophie ne tiendra pas contre Crispin, Marton & l’Amour. Acte II. Valere a fait entrer chez Cidalise, en qualit
amis une bonne nouvelle, elle l’entraîne pour lui dire ce que c’est. Acte III. Marton a surpris sur la table de Carondas un
ceux du Méchant. Ressemblance dans les Scenes. LES FEMMES SAVANTES. Acte  III. Scene V. . . . . . . . . . Trissotin, à Va
Hé bien, nous nous verrons seul à seul chez Barbin. LES PHILOSOPHES. Acte  III. Scene III. . . . . . . . . . Théophraste,
imitée du Phormion de Térence : celle qui suit leur ressemble un peu. ACTE I. Scene III. ROSALIE, MARTON. Marton. Vous, s
l’intrigue à celle des Philosophes. 32. Cette piece étoit en deux actes lorsqu’on la représenta : on dit dans un avis de
de l’Editeur : « L’Auteur a revu cette piece & l’a augmentée d’un acte que lui fournissoit son sujet. Si cette distribut
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
, de Boisrobert, & de Moliere, &c. EUGÉNIE, Drame en cinq actes & en prose. Nous avons déja beaucoup parlé
nces & du fatras espagnol. LES ILLUSTRES ENNEMIS, Comédie en cinq actes & en vers, par Thomas Corneille. Acte I. En
ENNEMIS, Comédie en cinq actes & en vers, par Thomas Corneille. Acte I. Enrique accuse fort légérement Don Sanche, res
r poignarder son indigne époux. (La scene se passe chez Don Lope.) Acte II. Don Lope raconte à Cassandre sa sœur la résol
lle reconnoît Don Alvar lui-même en qui Jacinthe retrouve son frere. Acte III. Don Sanche apprend que son fils n’est pas mo
; apprend un moment après qu’il a secouru le meurtrier de son frere. Acte IV. Don Alvar & Don Lope se rencontrent : ce
le délivreront de son ennemi. Don Alvar vole au secours de Don Lope. Acte V. Don Lope avoue qu’il doit la vie au meurtrier
de Drame aux pieces amphibies. LES GÉNÉREUX ENNEMIS, Comédie en cinq actes , de Boisrobert. (La scene est à Lisbonne.) Act
, Comédie en cinq actes, de Boisrobert. (La scene est à Lisbonne.) Acte I. Léonore est amoureuse du Comte de Bellefleur ;
fils pour qu’il vienne bien vîte punir l’insolent qui les déshonore. Acte II. Don Pedre est incognito à Lisbonne, parcequ’i
vieillard lui a fait remettre ; ils quittent la scene pour la lire. Acte III. Le Comte ne manque point d’affaires. Léonore
e, lui sauve à son tour la vie : ils projettent de se voir ailleurs. Acte IV. Don Pedre allant au lieu indiqué pour se batt
pin de suivre le Comte & de l’instruire de toutes ses démarches. Acte V. Phlipin annonce à son maître que le combat du
SALAMANQUE,ou les Généreux Ennemis, Tragi-comédie de Scarron en cinq actes & en vers. Il est encore inutile de donner u
ut entrer chez sa fille, trouve un homme qui s’oppose à son passage. Acte  III. Scene IV. DON FÉLIX, DON PEDRE. D. Félix
rendez-vous que Madame Murer lui a fait donner de la part d’Eugénie. Acte  IV. Scene XIV. LE BARON, SIR CHARLES. Le Baro
t délivré par D. Juan. Il remercie son libérateur. Son frere arrive. Acte  III. Scene VI. D. Alonse. O Ciel ! que vois-je
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
qu’ils ont l’air barbare au milieu de Paris 25. LE JALOUX, en cinq actes , & en vers. Nous avons comparé, dans le vo
eles. (La scene est à Paris dans une salle de la maison de Julie.) Acte  I. Pasquin, valet de Moncade, commence à peindre
de Moliere & de Cicognini. Nous avons vu chez eux, dès le premier acte , les héros se peindre par des actions aux yeux du
cette piece, & convenons que cette scene peint bien la passion. Acte II. La Comtesse aime Moncade, elle a son portrait
s’amusent pas à de pareilles minuties. La façon dont Baron alonge cet acte , en envoyant chercher Marton par Mariane, & M
le en destine une à son époux. Julie fait appeller Marton pour rien. Acte III. La Comtesse veut parler à Julie, Marton lui
Prince jaloux d’Italie, ni dans celui de Moliere, qui ressemble à cet acte . La scene du portrait seroit bonne, si la miniatu
de Moncade, & qu’elle ne fît pas la moindre réflexion là-dessus. Acte IV. Marton vient sur le théâtre pour respirer, el
le force à partir pour faire le mariage plus tranquillement. Pour cet acte , aucun Auteur ne le réclamera, il est trop mauvai
& aux sorties des acteurs, on voit bien qu’aucune n’est motivée. Acte V. La Comtesse persuade à Moncade qu’il est trahi
tinue & trouve enfin de quoi se rassurer. L’ANDRIENNE, en cinq actes , en prose. Baron avoue, au commencement de la
us devons la saisir. Parallele des deux Pieces. L’ANDRIENNE LATINE, Acte  I. Scene I. Simon ordonne à deux esclaves qui le
mp; contre Dave le plus scélérat des esclaves. L’ANDRIENNE FRANÇOISE, Acte  I, Scene I. Baron a traduit cette scene mot à m
soixante-sept vers, & la françoise cent huit. L’ANDRIENNE LATINE, Acte  II. Scene I. Charinus, amoureux de Philumene, es
Charinus renvoie Byrrhia qui n’est bon à rien. L’ANDRIENNE FRANÇOISE. ACTE II. Scene I. Tout le changement que Baron a fait
elque chose de flatteur. Il faut encore remarquer que Térence finit l’ acte sans préparer le troisieme, & que Baron corri
n ou mauvais, n’importe ; il faut tout éprouver. L’ANDRIENNE LATINE, Acte III. Simon est avec Dave ; il entend Lesbia, sage
s de le traiter comme il mérite : ils sortent. L’ANDRIENNE FRANÇOISE. Acte III. Simon peut, dit-il, se moquer de ceux qui o
: Baron y fait venir Carin, qui dans l’original commence le quatrieme acte . Mais le reste du troisieme est bien plus pathéti
ux Sosie pour lui faire entendre un second récit. L’ANDRIENNE LATINE, Acte IV. Charinus se plaint à Pamphile du tort qu’il l
erion est malheureuse ; il entre pour la voir. L’ANDRIENNE FRANÇOISE. Acte IV. Les changements que Baron a faits dans cet ac
RIENNE FRANÇOISE. Acte IV. Les changements que Baron a faits dans cet acte sont adroits ; au lieu d’alarmer Chrémès par la v
s scenes sont à-peu-près semblables à l’original. L’ANDRIENNE LATINE, Acte V. Chrémès raconte à Simon ce qu’il a vu, ce qu’o
fera dans la maison. Il les prie d’applaudir. L’ANDRIENNE FRANÇOISE. Acte V. Tout entier comme le latin, avec cette seule d
ritent des éloges. Je suis surpris que Buron ayant rendu au troisieme acte sa Glycerie si attendrissante, si intéressante, i
mettez ce rôle sur la scene ; plus long-temps vous le ferez durer, un acte , deux actes, plus il sera naturel, & conforme
ôle sur la scene ; plus long-temps vous le ferez durer, un acte, deux actes , plus il sera naturel, & conforme à son origi
vingt familles ; un tel personnage, dis-je, pouvoit être pendant cinq actes très utile à la correction des mœurs. Mais il eût
23 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
CHAPITRE XVIII. L’Avare, comédie en cinq actes en prose, comparée pour le fond & les détails
enser de donner un extrait à part de la piece. L’Avare de Moliere. Acte i. Scene iii. Harpagon, qui craint pour son cher
nit enfin par l’envoyer à tous les diables. L’Aululaire de Plaute. Acte iv. Scene v. Euclion trouve Strobile qui rode au
. Ces deux scenes sont tout-à-fait semblables. L’Avare de Moliere. Acte i. Scene v. Harpagon demande à son fils ce qu’il
d veut l’épouser. Arlequin & Célio, valets dans la même maison. Acte i. Scene iii. Magnifico a dessein de marier sa f
qu’il peut le débusquer avec plus de facilité. L’Avare de Moliere. Acte i. Scene vii. Harpagon veut absolument marier sa
n lui a faite de prendre sa fille sans dot. L’Aulularia de Plaute. Acte ii. Scene ii. Euclion accorde sa fille à un homm
ommis de montrer la politesse à un domestique. L’Avare de Moliere. Acte ii. Scene i. La Fleche annonce à son maître qu’il
t pris cette idée : le Lecteur va l’apprendre. L’Avare de Moliere. Acte ii. Scene ii & iii. Maître Simon, courtier
si nous le pouvons, ou ne point nous en mêler. L’Avare de Moliere. Acte ii. Scene v. La Fleche emploie toute cette scene
e à peindre à Frosine l’avarice d’Harpagon. L’Aululaire de Plaute. Acte ii. Scene iv. Dans cette scene, Strobile ne fait
ront dans la suite à comparer les deux Avares. L’Avare de Moliere. Acte ii. Scene vi. Frosine persuade à l’avare Harpagon
n 1663, & celle de Moliere a paru en 1668. L’Avare de Moliere. Acte iii. Scene vi. Harpagon donne des coups de bâton
ser l’intendant du vol dont l’Avare se plaint. L’Avare de Moliere. Acte iii. Scene xii. Cléante fait remarquer à Mariane
e, & la plus risible pour le spectateur40. L’Avare de Moliere. Acte iv. Scene iii. Harpagon a surpris Cléante baisant
Mariane : Harpagon lui ordonne d’y renoncer. Mithridate de Racine. Acte iii. Scene v. Mithridate apprend par la bouche d
n’est digne de moi, le piege est digne d’eux. L’Avare de Moliere. Acte iv. Scene iv. Maître Jacques veut mettre la paix
tion amene naturellement dans les deux pieces. L’Avare de Moliere. Acte iv. Scene vi. La Fleche vole la cassette d’Harpag
mon argent, je me pendrai moi-même après. L’Aulularia de Plaute. Acte iv. Scene viii. Strobile a volé la marmite plein
nd renversement de fortune. Cette scene est encore dans le troisieme acte d’Arlequin & Célio, valets dans la même maiso
sir de l’illusion, en l’avertissant qu’il est à la comédie. L’Avare, Acte v. Scene ii. Maître Jacques, dans le fond du t
voyer, & je veux vous l’accommoder à ma fantaisie. L’Aululaire, Acte ii. Scene ix. Anthrax. Dromon, qu’on écaille c
roit-il si bien saisi l’à-propos ? J’en doute. L’Avare de Moliere. Acte v. Scene ii. Maître Jacques apprend qu’on a volé
st un honnête homme, quoiqu’un peu vindicatif. L’Avare de Moliere. Acte v. Scene iii. Harpagon, croyant à la déposition d
apprend encore que sa fille a été subornée. L’Aululaire de Plaute. Acte iv. Scene x. Euclion est dans le plus grand chag
teurs ne peuvent en juger sans l’avoir sous les yeux. L’Aulularia. Acte ii. Scene ii. Il est bon de savoir, pour l’intel
de l’Avare de Moliere, comparés par ce qu’on dit d’eux. MOLIERE, Acte I. Scene I. Valere, pour excuser l’amour qu’Eli
us. Vous savez que, sur ce chapitre, on n’en peut pas dire du bien. Acte II. Scene V. La Fleche, pour prouver à Frosine
es noms d’Avare, de Ladre, de Vilain & de Fesse-Mathieu. PLAUTE, Acte II. Scene VI. Strobile, pour prouver à Congrion
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. De l’Illusion Théâtrale. » pp. 426-433
ter fait la conversation avec le public, & lui adresse ces mots : ACTE III. Scene I. Je suis Jupiter ; je prends la fig
l’or qu’on leur présente dans des sacs, remplis de foin apparemment. ACTE III. Scene II. Agorastoclès. Voyez ; c’est de l’
s de Plaute nous font voir des fautes pareilles : dans les Bacchides, acte I, scene II ; dans la Cistellaria, scene seconde 
dans le Mercator, scene II ; dans la Mostellaria, scene II du premier acte & du cinquieme ; dans les Ménechmes, acte IV,
ia, scene II du premier acte & du cinquieme ; dans les Ménechmes, acte IV, scene III : enfin dans le Pseudolus ; dans le
n cherchant celui qui a volé son trésor, apostrophe ainsi le public : ACTE IV. Scene IX. De quoi riez-vous ? Je vous connoi
défaut. Harpagon, cherchant le voleur de sa cassette, dit au public. ACTE IV. Scene VII. Que de gens assemblés ! Je ne jet
l’Homme à bonne fortune, fait dire à Pasquin qui regarde les loges : ACTE IV. Scene VI. J’ai envie de retourner à l’opéra
iment aux spectateurs de passer la porte. L’Avare cornu, comédie en 5 actes , de François Chappuis, finit par ces deux vers :
25 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. M. BARTHE. » pp. 413-419
ses Infidélités étoit imitée des Commeres de Windsor, Comédie en cinq actes de Shakespeare. Bientôt on l’écrivit : on le mit
re. J’ai donné aux François la Présomption à la mode, Comédie en cinq actes & en vers : le Tuteur dupé, Comédie en cinq a
Comédie en cinq actes & en vers : le Tuteur dupé, Comédie en cinq actes en prose : le Mariage interrompu, Comédie en troi
édie en cinq actes en prose : le Mariage interrompu, Comédie en trois actes en vers : les Etrennes de l’Amour, Comédie-Ballet
n trois actes en vers : les Etrennes de l’Amour, Comédie-Ballet en un acte . La seconde de ces pieces est faite d’après une s
u Arlequin Mahomet, Drame philoso-comi-tragique extravagant en quatre actes  ; & la suite du Cabriolet volant, ou Arlequin
et volant, ou Arlequin cru fou, Sultane & Mahomet, piece en trois actes , dans le même genre que la précédente. La fable d
fourni l’idée du nouveau Marié, ou les Importuns, opéra comique d’un acte . La Buona Figliuola, ou la Bonne Enfant, piece ly
acte. La Buona Figliuola, ou la Bonne Enfant, piece lyrique en trois actes , est imitée de la Buona Figliuola, opéra comique
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
mode & des Bourgeoises à la mode, deux pieces excellentes en cinq actes , qui valent elles seules toutes les comédies de d
qui soient moins à la portée de tout le monde. LA PARISIENNE, d’un acte en prose. Cette piece eut neuf représentations
nt, ce qui affoiblit bien l’intérêt. LES ENFANTS DE PARIS, en cinq actes , & en vers libres. Cette comédie fut jouée
itandre n’est pas un scélérat à pendre. LA TRAHISON PUNIE, en cinq actes en vers. Cette comédie eut sept représentation
tations. D’Ancourt l’a faite d’après le Traître puni, comédie en cinq actes en prose, traduite de l’espagnol par le Sage. La
de le Sage & de la Trahison punie de d’Ancourt. LE TRAITRE PUNI. Acte I. La Scene est à Valence, chez Don André. Don
retour de son valet, qu’il a député vers son pere. LA TRAHISON PUNIE. Acte I. La scene est à Valence chez Don André. Béat
ieurs femmes, à troubler la paix de plusieurs familles. Le reste de l’ acte est tout-à-fait semblable au précédent ; nous ver
le billet doux, le rendez-vous donné & accepté. LE TRAITRE PUNI. Acte II. La Scene est dans l’appartement de Léonor.
de son maître, craint quelque sottise de sa part. LA TRAHISON PUNIE. Acte II. La scene est chez Léonor. Dans cet acte Don
art. LA TRAHISON PUNIE. Acte II. La scene est chez Léonor. Dans cet acte Don Garcie est chez Léonor de son aveu : elle lui
amp; qui affoiblira désormais toutes les situations. LE TRAITRE PUNI. Acte III. Don Juan vient de s’unir pour la vie à Léono
demain, pour délibérer sur le choix de sa victime. LA TRAHISON PUNIE. Acte III. Les changements faits par d’Ancourt dans cet
RAHISON PUNIE. Acte III. Les changements faits par d’Ancourt dans cet acte ne sont pas plus heureux que ceux du second. Poin
ssiere : comment trois Auteurs ont-ils pu la faire ? LE TRAITRE PUNI. Acte IV. Don Juan n’a pas fermé l’œil. Don Félix le pr
ami de la violence qu’il a voulu faire à sa femme. LA TRAHISON PUNIE. Acte IV. Léonor craint que Don Garcie son amant ne so
re chez Clarice. Les scenes de la cloison sont encore enlevées de cet acte . Nous perdons ce beau moment où Léonor, forcée pa
rendez-vous à Don André au commencement de la piece. LE TRAITRE PUNI. Acte V. La Scene est derriere le jardin de Don Garcie
cequ’il étoit sur le point de lui payer ses gages. LA TRAHISON PUNIE. Acte V. Cet acte est le plus mauvais de la piece. Don
t sur le point de lui payer ses gages. LA TRAHISON PUNIE. Acte V. Cet acte est le plus mauvais de la piece. Don André y est
scenes piquantes ; cette Clarice, dis-je, si bien annoncée au premier acte & au quatrieme, ne sert à rien, ainsi que son
ritique plus sanglante du goût de ce siecle. MADAME ARTUS, en cinq actes & en vers. Le Public reçut très mal cette
ges & une partie de l’intrigue des Façons du temps, piece en cinq actes de Saint-Yon 16 ; il en a même copié jusqu’à des
il en a même copié jusqu’à des scenes entieres. LES FAÇONS DU TEMPS. Acte  I. Scene cIX. M. Grumelin, propiétaire d’une ma
e. Je suis votre serviteur, Monsieur Grumelin, &c. MADAME ARTUS. Acte  I. Scene V. Dorante a vendu un bois qui ornoit l
que Madame Artus. Cette femme de bien, annoncée pendant trois grands actes , comme Tartufe, paroît enfin : son cœur n’est pas
n que celui de son modele ; elle aime Dorante, & lui parle ainsi. ACTE IV. Scene VII. Mad. ARTUS, DORANTE. Mad. Artus
Arlequin : la chose seroit risible. LES VENDANGES DE SURENE, en un acte , & en prose. Quoique cette piece ait eu da
açons du temps de Saint-Yon. En voici la preuve. LES FAÇONS DU TEMPS. Acte V. Scene V. ANGÉLIQUE, DAMIS, Mad. DESMARTINS,
onorer l’Auteur, puissent contribuer à sa gloire. LE TUTEUR, en un acte & en vers. Cette piece eut seize représent
intrigue par le déguisement de M. Bernard. LE MARI RETROUVÉ, en un acte en prose. Cette comédie eut vingt-trois représ
27 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
Critique de quelques Comédiens de Molière fait la matière du premier Acte , qui n’a presque aucun rapport avec le reste. Un
r les Comédies de Molière, a prétendu que la première Scène du Second Acte de l’Avare est tirée du Dottor Bachettone, ou Le
positi 14, où se trouve le commencement de la sixième Scène du Second Acte de l’Avare. Tome I, p. 128 1704, Furetirian
toux habituelle. C’est à quoi Frosine15 fait allusion dans le second Acte de l’Avare 16, en disant à Harpagon17, dont Moliè
grandes Pièces. Tome I, p. 213 La Scène cinquième du troisième Acte de cette Pièce [Les Femmes savantes], est l’endro
r Amoureux fit renaître la mode de représenter de petites Pièces d’un Acte ou de trois, après celle de cinq. Usage qui était
lousie de Barbouillé qui est un Canevas, quoi qu’informe du troisième Acte de George Dandin. Tome I, p. 271 1742, Bola
ns d’autres Pièces. Tels sont des endroits de la cinquième scène de l’ Acte second, et la Scène huitième du quatrième Acte du
a cinquième scène de l’Acte second, et la Scène huitième du quatrième Acte du Misanthrope ; et quelques vers de l’Acte secon
ène huitième du quatrième Acte du Misanthrope ; et quelques vers de l’ Acte second, qui sont dans la sixième Scène de l’Amphi
on argent, dont Molière a profité dans la dernière Scène du quatrième Acte de son Avare. Voici le Monologue de la Rivey54.
e titre74 semble indiquer le Canevas de la seconde Scène du troisième Acte des Fourberies de Scapin, où ce dernier fait mett
0-471 On trouve, dans cette Farce, un Canevas informe du troisième Acte de George Dandin. Le grand Rousseau* avait cette
çut qu’en prononçant le mot juro, dans le Divertissement du troisième Acte , il lui prit une convulsion. On le porta chez lui
i. Tome I, p. 537 Molière n’avait composé que les deux premiers actes de cette Pastorale ; elle fut représentée en cet
joignit des intermèdes, et changea la versification des deux premiers actes , qu’il mit en vers libres et irréguliers. La comp
la Pastorale de Molière, dont Guérin*, fils du comédien, mit les deux actes en vers lyriques, y en ajouta un troisième et des
x dévots, irrités de la Comédie du Tartuffe, dont il avait paru trois Actes dès 1664, firent courir dans Paris plusieurs libe
, et l’employa ensuite fort à propos dans la dernière Scène du Second Acte de son Misanthrope. 1801, Moliérana, 34, p. 62-
ncesse d’Élide, et ceux de la sixième par un essai des trois premiers actes de Tartuffe ; tout cela rendit cette Fête une des
Nation. Il fut si pressé, qu’il ne pût mettre en vers que le premier Acte et la moitié de la première Scène du second. Cett
en France. Tome II, p. 109 Molière ne put faire que le premier Acte , la première scène du Second, la Premier du trois
liérana, 21, p. 50 Tome II, p. 202-203108 Les trois premiers Actes du Tartuffe avaient été représentés à la sixième
n se servir dans son Tartuffe. Le Roi, en écoutant les trois premiers Actes de cette Comédie aux Fêtes de Versailles, ne se r
206 « J’avais autrefois, dit Ménage*, entendu lire à Molière trois Actes de son Tartuffe, chez M. de Montmor*, où se trouv
angement le plus marqué qu’on ait fait au Tartuffe, est à ce vers120, Acte III, Scène VII. Ô ciel ! pardonne-lui121 la doul
uatre vers de la Tragédie de Tite et Bérénice 126 du grand Corneille. Acte premier, Scène deuxième. Faut-il mourir, Madame 
res 2007). 4. Chapuzeau, 1661, L’Académie des femmes : comédie en 3 actes et en vers. 5. Aquin, Antoine d’ (1620 – Vichy
Merito → Il Marito. Dolce, Lodovico, 1545, Il Marito : comédie en 5 actes et en vers. 9. Dryden, John Aldwinkle (Northam
V. Tasca, p. 112). 15. Frosine ( L’Avare) : Femme d’intrigue 16. Acte II, scène 6. 17. Harpagon ( L’Avare) : Père de
p. 129) 19. La Flèche ( L’Avare) : Valet de Cléante. 20. L’Avare, Acte I, scène 3. 21. Lucile ( Le Bourgeois gentilhom
t ou Arlequin cocu imaginaire) : canevas italien en prose et en trois actes . Comédie qui n’a pas été imprimé. 26. Selon la
e, la comédie joué est Le Concert ridicule de Palaprat. Comédie en un Acte et en prose dont la première représentation serai
. ??? 35. ??? 36. Voisenon, 1746, La Coquette fixée : comédie en 3 actes et en vers, avec un divertissement, au théâtre it
happuzeau, 1663, La Dame d’intrigue ou le riche vilain : comédie en 3 actes et en vers. 38. Chappuzeau, Samuel (Paris, 1625
des femmes, Agnès : Jeune fille innocente élevée par Arnolphe. 45. Acte I, scène 1, vers 175-182. 46. La Mothe Le Vayer
) Le Décaméron. 49. Voisenon (1739) L’École du Monde : comédie en 1 acte et en vers libre. 50. 1674, L’Ombre de Molière 
acte et en vers libre. 50. 1674, L’Ombre de Molière : comédie en 1 acte et en prose. 51. Voisenon, Claude-Henri de Fusé
lettres. (Wikipédia). 52. Larivey, 1579, Les Esprits : comédie en 5 actes et en prose. 53. Regnard, Jean-François (1700)
53. Regnard, Jean-François (1700) Le Retour imprévu : comédie en 1 acte et en prose. 54. Larivey, Pierre de (Troyes, v.
s, Le Morfondu (1579). (Le Petit Robert des noms propres 2007). 55. Acte III, scène 6. 56. Anne d’Autriche (Valladolid 1
1690-1700, La Critique désintéressée sur les satyres du temps. 61. Acte I, scène 1, v.73-74. 62. Richelet, César Pierre
. 1113) 69. Cyrano de Bergerac, 1654, Le Pédant joué : comédie en 5 actes et en prose. Selon la notice de la pléiade, page
e 1471, tome II, les deux scènes insérées sont la scène de la galère ( Acte II, scène 4) et la scène du rire de Zerbinette (A
ne de la galère (Acte II, scène 4) et la scène du rire de Zerbinette ( Acte III, scène 2). 70. Rotrou, 1647, La Sœur : com
tte (Acte III, scène 2). 70. Rotrou, 1647, La Sœur : comédien en 5 actes et en vers. La scène citée dans cette anecdote es
es et en vers. La scène citée dans cette anecdote est la scène I de l’ acte I. 71. Acte III, scène 2 : scène du pauvre qui
La scène citée dans cette anecdote est la scène I de l’acte I. 71. Acte III, scène 2 : scène du pauvre qui demande l’aumô
unèbres) parurent à Lyon, en 1788, 4 vol. (DLF XVIIIe, p. 534). 89. Acte I, scène 2. Oronte ( Le Misanthrope) : amant de
cte I, scène 2. Oronte ( Le Misanthrope) : amant de Célimène. 90. Acte I, scène 2, v. 393-394. Note 35 « Cette chanson n
nice) : roi de Comagène. 92. Racine, 1670, Bérénice : tragédie en 5 actes et en vers. 93. Colin (Brécourt, 1666, La Noce
ant d’Arnolphe. 96. Molière, 1666, Pastorale Comique : comédie en 1 acte et en vers, troisième entrée du Ballet des Muses.
par le dédain (El Desdén con el desdén, 1652, [canegvas italien en 5 actes ]), a été imité, adapté ou traduit par Molière (La
o, 1752, La Serva amorosa (La Servante amoureuse) : comédie, en trois actes et en prose. 107. Goldoni, Carlo (Venise 1707 –
123. Racine, 1664, La Thébaïde ou les frères ennemis : tragédie en 5 actes et en vers. 124. Rotrou, 1637, Antigone : tragé
en 5 actes et en vers. 124. Rotrou, 1637, Antigone : tragédie en 5 actes et en vers. 125. Selon Pierre Bonvallet, on ren
30.) 126. Corneille, 1670, Tite et Bérénice : comédie-héroïque en 5 actes et en vers. 127. v.159-162. 128. Domitian (Co
Domitie. 129. Le Beau de Schosne, 1773, L’Assemblée : comédie en un acte et en vers. 130. Acte III, scène 1. 131. Coqu
de Schosne, 1773, L’Assemblée : comédie en un acte et en vers. 130. Acte III, scène 1. 131. Coquille : renchér → renchér
renchéri. 132. Boisrobert, 1653, La Belle plaideuse : comédie en 5 actes et en vers. Boisrobert, François Le Métel, seign
e plaideuse, 1653) : maîtresse d’Ergaste. 135. La Belle Plaideuse, Acte I, scène 8. 136. Même contenu que l’anecdote en
I p. 1046). Poinsinet, 1771, Le Cercle ou la soirée à la mode : en 1 acte et en prose. 143. Lagrange-Chancel, François J
, Jean, 1679, La Devineresse ou les faux enchantements : comédie en 5 actes , en prose et musique. 151. La Grange, pseudonym
que chose qu’on porte, ou qu’on fait porter. (Richelet, 1680). 160. Acte IV, scène 7.
28 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
l les unes aux autres. Parcourons le Philosophe marié, de Destouches. ACTE I. Scene I. Monologue de trente-huit vers, dans
e. Scene VI. Ariste, Mélite. Scene VII. Monologue pour finir l’ acte comme il a commencé. Ajoutez à ces quatre monolog
Ajoutez à ces quatre monologues qu’Ariste prononce tous dans un seul acte , huit autres qu’il y a encore dans le reste de la
aut rien. Il est dans la Coquette de Baron, comédie en prose, en cinq actes . ACTE V. Scene VIII. La Coquette, persécutée par
n. Il est dans la Coquette de Baron, comédie en prose, en cinq actes. ACTE V. Scene VIII. La Coquette, persécutée par une ta
éâtre Anglois : il est dans le Timon ou le Misanthrope, piece en cinq actes , de Shakespeare. Timon ruiné, abandonné ensuite
uoi vivre. C’est dans cette cruelle situation qu’il s’exprime ainsi : ACTE III. Scene IV. Le théâtre représente une forêt.
variété même dans un seul ; témoin celui-ci qui est dans l’Andrienne. ACTE I. Scene IV. Mysis, parlant à quelqu’un du dedan
dé le secret : il nous apprend par un monologue, qu’il a tout révélé. ACTE III. Scene I. Mascarille, seul. Le ciel par fois
à lui-même, & à toute la nature. Dans le Babillard, comédie en un acte , en vers, de Boissy, Léandre impatiente par son c
eu qu’elle est très plaisante chez notre poëte. En voici une partie : ACTE I. Scene I. Sosie.   Pour jouer mon rôle sans pe
enfin. Je ne le cite que parceque je ne vois pas un exemple ailleurs. ACTE II. Scene V. Damis s’est marié sans le consentem
29 (1884) Tartuffe pp. 2-78
ièce néanmoins réussit ; le sixième jour, il donne les trois premiers actes de Tartuffe : la pièce est interdite. Ce n’est pa
nnaître la pièce ; Molière la lui donne — toujours les trois premiers actes — à Villers-Cotterets, le 25 septembre. Tartuffe
eux dire sue et répétée. Le roi a-t-il connaissance des deux derniers actes  ? On ne sait, mais l’interdit persiste. Molière é
entation. Et, chose curieuse ! il lui fait demander si son quatrième acte est fait , et s’il pourra le jouer. Molière ayant
lète un an auparavant, il s’agit là évidemment d’un nouveau quatrième acte  ; le remaniement de la pièce est commencé‌.6 La
iement de la pièce est commencé‌.6 La représentation a lieu, en cinq actes , le 8 novembre, et toujours au Raincy. Puis le te
la troupe du Palais-Royal joue en public l’lmposteur, comédie en cinq actes , dont le héros est un certain M. Panulphe, gentil
ourquoi, lors des fêtes de Versailles, Molière ne joua-t-il que trois actes  ? La pièce était-elle inachevée ? Ou fut-ce par p
mment croire qu’il n’eût pas fait avancer tout de suite son cinquième acte , si visiblement destine, par l’éloge du roi, à sa
ultés par une hypothèse singulière. Il croyait que les trois premiers actes joués en mai 1664 formaient une comédie pleine et
e qu’on pense. Cela expliquerait, dans notre pièce actuelle, ces deux actes employés à préparer l’entrée en scène de Tartuffe
t, lui, si empressé de son Tartuffe, et rentrant de voyage au premier acte , de ne pas l’avoir encore embrassé au troisième.
st que Molière avait sinon achevé, du moins ébauché ses deux derniers actes , mais que ces deux actes n’étaient pas ceux que n
n achevé, du moins ébauché ses deux derniers actes, mais que ces deux actes n’étaient pas ceux que nous possédons ; que le dé
ide) en fut rendu plus prudent. Il est en effet certain que les trois actes qui furent joués différaient des trois premiers a
n que les trois actes qui furent joués différaient des trois premiers actes définitifs. Nous avons là-dessus le témoignage de
, la voulant revoir, demandait à Molière s’il avait fait le quatrième acte , c’est-à-dire le quatrième acte nouveau, le quatr
Molière s’il avait fait le quatrième acte, c’est-à-dire le quatrième acte nouveau, le quatrième acte probablement de la ver
quatrième acte, c’est-à-dire le quatrième acte nouveau, le quatrième acte probablement de la version que Molière appela l’I
e quoi en effet, au lendemain de la représentation des trois premiers actes , le curé Roullé accusait-il Molière ? D’avoir com
de ce cas de nullité dans sa première copie ; c’est le vers d’Elmire ( acte V, scène v) : Ce procédé détruit la vertu du con
son maître et amoureux de Dorine comme lui d’Elmire, chante au second acte quelques couplets épicés qu’il croit au goût de l
t au goût de la suivante forte en gueule. Ce Laurent donc, au dernier acte , trahit Tartuffe, et rapporte la cassette et les
t trop relevée pour Dorine. Il y avait une scène à la fin du deuxième acte entre Elmire, Cléante et Dorine, où était résolue
ine, où était résolue l’entrevue de Tartuffe et d’Elmire au troisième acte . Au troisième, Molière a supprimé, après le mot d
es élans si sincères « qu’il en faisait presque pitié ». Au quatrième acte , autre suppression : après le mot sublime : Il e
d’Orgon : Ces discours ne sont plus de saison. Enfin, au cinquième acte , peut-être y avait-il dans la tirade de l’Exempt,
mémoires où il puisa. On va jusqu’à préciser : la scène du quatrième acte se serait passée entre l’abbé et Mme de Longue-vi
contredit mon interprétation ! Cela commence par l’aveu du troisième acte . Tartuffe est seul avec Elmire, il ne se sent pas
y revoir et s’écrie encore : « Le pauvre homme ! » Tout ce troisième acte est incomparable ; je le considère comme ce qui r
telles œuvres éclairent toute l’histoire de l’humanité. Le quatrième acte , bien que remanié, n’est guère moins merveilleux.
cent tragique. Je ne pousserai pas plus loin l’analyse ; le cinquième acte , d’ailleurs, est l’acte fait après coup en vue de
sserai pas plus loin l’analyse ; le cinquième acte, d’ailleurs, est l’ acte fait après coup en vue de gagner Louis XIV et de
rs du Tartuffe à l’oreille fleurie que nous ont présenté les premiers actes . Le faux dénouement, toutefois, garde encore une
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
liciter ; il compose dans le silence de son cabinet une piece en cinq actes . Content du suffrage de quelques amis, il la port
eau, J’ai vu l’Agésilas,  Hélas ! LE CURIEUX IMPERTINENT, en cinq actes & en vers. Cette piece, le premier ouvrage
ntrigue du Curieux impertinent bien imaginée, parfaitement conduite d’ acte en acte, les scenes liées & dialoguées au mie
du Curieux impertinent bien imaginée, parfaitement conduite d’acte en acte , les scenes liées & dialoguées au mieux, la v
nts faits par l’Auteur dramatique. Extrait du Curieux impertinent. Acte I. Crispin demande à Damon son maître pour quelle
veut, à l’imitation de son maître, prier Crispin d’éprouver Nérine. Acte II. Léandre s’applaudit d’avoir déterminé Damon,
d’un petit-maître ; il déclare son amour, & reçoit un soufflet. Acte III. L’Olive dit à son maître que s’ils sont la d
e pis-aller de Julie & de Nérine, ce qui n’est pas bien délicat. Acte IV. L’Olive jure contre le courier qui a porté la
en tout l’exemple de sa maîtresse & ne s’expliquer qu’avec elle. Acte V. Nérine peint à Julie les travers de Léandre ;
s qui la verra deux en remplira le titre. LE DISSIPATEUR, en cinq actes & en vers. Cet ouvrage est imité d’une pie
ître avec Madame Bertrand. Voyons Destouches retourner la même idée. Acte  III. Scene VI. Pasquin & Finette disent à G
a scene est à Athenes, dans le Palais de Timon, Seigneur Athénien.) Acte  I. Démétrius, Intendant de Timon, voyant que tout
a scene représente l’appartement de Mélisse ; elle est à toilette.) Acte  II. Mélisse vante ses charmes : le blanc dont ell
irer pour n’être pas obligé de lui prêter ce qu’il a gagné chez lui. Acte  III. Timon apprend de son Intendant qu’il est rui
ttant les plats à la tête. (La scene est hors des murs d’Athenes.) Acte  IV. Timon lance mille malédictions sur Athenes en
les fausses caresses de Mélisse. Evandra est au comble de ses vœux. Acte V. Timon a creusé son tombeau. Athenes lui envoie
ers tout le fatras anglois il ramasse de quoi faire une piece en cinq actes , à caracteres, & très morale ». A merveille !
crier à mon tour. Mais le caractere de Cléon n’est peint pendant cinq actes que par des récits précipités & monotones : d
égligées ou dédaignées par l’Auteur François. LE GLORIEUX, en cinq actes & en vers. Destouches calqua le caractere
ême pour venir à l’appui de cette vérité. LE TRIPLE MARIAGE, en un acte , en prose. Une aventure qui fit quelque bruit
on, sous le titre de l’Amant de sa femme, comédie en vers & en un acte , représentée en 1661, & depuis dans le Ballet
1661, & depuis dans le Ballet des Fêtes de Thalie : le troisieme acte , intitulé la Femme, fait voir également un mari q
et ouvrage que nous allons puiser. 21. Moliere dit dans l’Etourdi, acte ii, scene xiii. Hé bien, à la malheure est-il
31 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
prédilection. I. Il est dit dans la Comédie de George-Dandin, ( Acte 1. Scene 5.) que Bertrand de Sottenville eut le c
te Isle. II. Analyse de la jalousie du Barbouillé, farce en un Acte , par Moliere. (non Imprimée.) « Le Barbouillé co
I. Lorsque Moliere fait dire à Chrisalde, dans l’Ecole des Femmes ( Acte I, Scene I.) : Je sais un Paysan, qu’on appello
l n’étoit pas possible qu’une aussi belle Piece que celle-là, en cinq actes & dont les vers sont fort beaux, eût été fair
e de la Sporta del Gelli, qui a suivi le Poëte latin ; que le premier Acte est imité d’une Comédie Italienne à l’inpromptu,
rlequin, valets dans la même maison : que la premiere Scene du second Acte est tirée du Dottor Bachettone, Canevas Italien ;
rée du Dottor Bachettone, Canevas Italien ; que la Scene 5me. du même Acte est toute copiée de le case Svaliggiate, ou Gli i
as pareillement joué à l’inpromptu, que la Scene seconde du troisieme Acte est toute entiere dans la Cameriera Nobile, Coméd
Italienne aussi jouée à l’inpromptu : que toute la Scene 7me. du même Acte se trouve dans le Case Svaliggiate, dont nous ven
ler ; & qu’enfin la seconde & la troisieme Scene du cinquieme Acte paroissent entiérement imitées de l’Amante Tradit
Scapin. Moliere a encore fait usage de la troisieme Scene du premier Acte de la Sœur, dans la seconde Scene du premier Acte
me Scene du premier Acte de la Sœur, dans la seconde Scene du premier Acte de ses mêmes Fourberies. Mais la comparaison que
s Gentilhomme, a donné, dit-on, le portrait de Mademoiselle Moliere, ( Acte III. Scene IX.) sous le personnage de Lucille. Il
mit à rire de cette saillie, & l’employa ensuite fort à propos : ( Acte II. Scene derniere.) Hors qu’un commandement ex
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
à ses développements. Elle doit être achevée avant la fin du premier acte . Il faut aussi que dans ce court espace nous ayon
cuser. Quelques vers de la scene nous feront mieux voir son ridicule. ACTE I. Scene I. LAURETTE, CHAMPAGNE. Champagne. Tu s
mme on le voit par ces vers qui sont dans la seconde scene du premier acte . Lélie. Au reste, mon amour, quand je l’ait fait
gani rapporte à Julie & à Eraste tout ce qu’il sait de son héros. ACTE I. Scene IV. Sbrigani. Monsieur, votre homme arr
puisque le vieux libertin veut faire de Lisette une beauté à la mode. ACTE I. Scene VIII. Valere. Pour frustrer mon rival
le spectateur ne peut s’attendre qu’à lui voir ce ridicule. Le voici. ACTE I. Scene II. Ah ! vraiment, tout cela n’est rien
ries, ne vante que son adresse dans son portrait qu’il fait lui-même. ACTE I. Scene II. Scapin. A vous dire la vérité, il y
d’Isabelle : Lisette & Pasquin font son portrait en ces termes : ACTE I. Scene II. Lisette. Le Comte votre maître est
eaugnac. Voyons-la prodiguer des éloges à Sbrigani & en recevoir. ACTE I. Scene IV. Nérine. Madame, voilà un illustre.
presque toute remplie de détails inutiles, nuisibles même à la piece. ACTE I. Scene I. Hector, dans un fauteuil près d’une
e cette mal-adresse. Le voici dans la premiere scene de son Phormion. ACTE I. Scene I. Davus. Mon meilleur ami & mon co
esclave, & qu’on voit Phédria conjurer Géta de la lui procurer ? ACTE III. Scene III. PHÉDRIA, ANTIPHON, GÉTA. Phédria
teur. J’ai enfin remarqué qu’à la fin de la deuxieme scene du premier acte , Géta appelle à grands cris quelqu’un pour faire
utilité de plus. Il faut que l’exposition finisse avec le premier acte . L’attention que le spectateur est obligé d’a
pour lui : il y consacre volontiers tout le temps que dure le premier acte  ; mais ce temps une fois passé, il ne veut plus q
ue. Telle est celle que Moliere fait à la premiere scene du quatrieme acte de l’Etourdi : non content de n’apprendre que là
le nom & l’histoire secrete d’un acteur qu’il a vu dès le premier acte , il expose encore un nouveau personnage & une
, il expose encore un nouveau personnage & une nouvelle intrigue. ACTE IV. Scene I. Mascarille. Ah ! de peur de tomber,
étendues. Ce fils de Zanobio Ruberti annoncé seulement au quatrieme acte , fait tout le sujet du cinquieme, & se trouve
33 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
ermède. 4. Le Mariage forcé, ac. VI. 5. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. vi. 6. J’emprunte, dans ces premières pa
Lettres, t. III. 9. Le Mariage forcé. sc. vi. 10. Le Misanthrope, acte I, sc. ii. 11. Le Dépit amoureux, acte IV sc. i
c. vi. 10. Le Misanthrope, acte I, sc. ii. 11. Le Dépit amoureux, acte IV sc. ii. 12. Le Médecin malgré lui, acte II,
11. Le Dépit amoureux, acte IV sc. ii. 12. Le Médecin malgré lui, acte II, sc. VI. Encore un exemple de fidélité histori
rejet de l’appel. » (Raynaud, p. 271) 13. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. VI. 14. Id., acte II, sc. IV, VI. 15.
, p. 271) 13. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. VI. 14. Id., acte II, sc. IV, VI. 15. Lettres de Gui Patin, t.1,
7. Lettre de Gui Patin, t. III, p. 416. 18. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. III. 19. Id, acte II, sc. III 20. Le M
III, p. 416. 18. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. III. 19. Id, acte II, sc. III 20. Le Malade imaginaire, acte II,
te I, sc. III. 19. Id, acte II, sc. III 20. Le Malade imaginaire, acte II, sc. vi. Gui Patin appelle Van Helmont « un mé
eau. 24. Le Mariage forcé, sc. vii, xvi. 25. Le Festin de Pierre, acte I, sc. I 26. Le Médecin malgré lui, acte I, sc.
25. Le Festin de Pierre, acte I, sc. I 26. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. I. 27. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. I
26. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. I. 27. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. II. 28. Le mariage forcé, sc. VI. 29.
re. (Voir la note de la fin sur Gassendi.) 32. Les Femmes savantes, acte I, sc. i. 33. Id. 34. Les Femmes savantes, a
Femmes savantes, acte I, sc. i. 33. Id. 34. Les Femmes savantes, acte IV, sc. ii. 35. Id., acte V, sc. iii. 36. Cin
i. 33. Id. 34. Les Femmes savantes, acte IV, sc. ii. 35. Id., acte V, sc. iii. 36. Cinquièmes objections faites pa
. 38. Voir sur Gassendi la note à la fin. 39. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 40. Id. 41. Les Femmes savante
es savantes, acte II, sc. vii. 40. Id. 41. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 42. Id., acte III, sc. ii. 43. L
. 40. Id. 41. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 42. Id., acte III, sc. ii. 43. Le Malade imaginaire, acte II,
II, sc. vii. 42. Id., acte III, sc. ii. 43. Le Malade imaginaire, acte II, sc. vi. 44. « Nempe sol non fort indigne c
de l’inertie. (Cinquièmes objections, p.256) 46. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. ii. 47. Vie de Molière. 48. Cinquièm
uièmes objections, p. 300. 49. Préface du Tartuffe. 50. Don Juan, acte III, sc. i. 51. Vinet, Poètes du tiède de Louis
tes du tiède de Louis XIV. 52. Préface du Tartuffe. 53. Tartuffe, acte IV, sc. iii. 54. L’École des maris, acte I, sc.
Tartuffe. 53. Tartuffe, acte IV, sc. iii. 54. L’École des maris, acte I, sc. II. 55. Syntagma, t. II, p. 488 56. Dam
us haut le mot de Molière que nous citons. 59. Le Festin de Pierre, acte III. sc. II. 60. Serait-on tenté de voir ici une
34 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
es piècesa ». 1661. L’École des maris Comédie en vers, en trois actes , de M. Molière, représentée sur le théâtre du Pal
que Dom Garcie avait laissée. Il est peu de pièces, surtout en trois actes , aussi simples, aussi claires, aussi fécondes, qu
jet en est tout à fait bien conduit ; et si cette pièce avait eu cinq actes , elle pourrait tenir rang dans la postérité, aprè
d’un goût bien sûr ? 1661. Les Fâcheux Comédie-ballet, en trois actes , en vers, de M. Molière, représentée à Vaux le 16
une intrigue ou action, et un dénouement, et fit sa comédie en trois actes . Peut-être que cela même a été critiqué par les g
sa maîtresse, puisse se raccommoder avec elle dans l’intervalle de l’ acte  ? Comment peut-il avoir appris que non seulement
oqués céans. 1662. L’École des femmes Comédie en vers, en cinq actes , de M. Molière, représentée sur le théâtre du Pal
it le plus de bruit, s’appelle L’École des femmes. Cette pièce a cinq  actes  : tous ceux qui l’ont vue sont demeurés d’accord
as tant. 1663. La Critique de l’École des femmes Comédie en un acte , en prose, de M. Molière, représentée sur le théâ
nta. » 1663. L’Impromptu de Versailles Comédie en prose, en un acte , de M. Molière, représentée à Versailles le 14 oc
n chantante. » 1664. Le Mariage forcé Comédie-ballet, en trois actes , de M. Molière, représentée au Louvre les 29 et 3
Palais-Royal sans divertissement, et avec quelques changements en un acte , le 15 février suivanta. Douze représentations. R
Voici de quelle façon on distribua les scènes du Mariage forcé, en un acte , pour en composer trois actes. « [*]Après la quat
ribua les scènes du Mariage forcé, en un acte, pour en composer trois actes . « [*]Après la quatrième scène, Sganarelle restai
pçons. Seconde entrée : quatre Plaisants ou Goguenards. « Le second acte ouvrait par le retour de Germino, qui venait évei
dent par lignes, et sortent en lui faisant les cornes. « Le troisième acte était rempli par les scènes de Sganarelle seul, d
prima les récits et les entrées du ballet, et réduisit sa pièce en un acte , en y faisant quelques changements ; le plus cons
s Italiens. 1664. La Princesse d’Élidea Comédie-ballet en cinq actes , précédée d’un prologue (le premier acte, et la p
Comédie-ballet en cinq actes, précédée d’un prologue (le premier acte , et la première scène du second en vers, le reste
euse. » « [*]Lundi 12 mai… le soir, Sa Majesté fit jouer les premiers actes d’une comédie nommée Tartuffe, que le sieur Moliè
s mêmes scènes, supposé qu’il s’en fût servi. « À la moitié du second acte , par exemple, le poète espagnol amène une fête, o
raison que Molière, ou ne fit aucun usage de tout le reste du second acte , ou qu’il l’aurait tourné autrement s’il s’en éta
les détails que je vais ajouter. « L’auteur espagnol finit le second acte par une scène de la princesse dans le jardin. La
en ne la mettant point en action. Il a premièrement distribué en cinq actes l’action que l’auteur espagnol ne partage qu’en t
ge qu’en trois. Ensuite, comme il fallait nécessairement que ces cinq actes fussent courts, et par conséquent qu’il pressât l
te sur la scène les progrès de la passion, mais dans l’intervalle des actes , c’est-à-dire pendant les intermèdes, il fait tou
eur par des scènes particulières ; telle est la première du troisième acte , dans laquelle deux femmes de la princesse s’entr
e spectateur de ce qui s’est passé entre le troisième et le quatrième acte , et pourquoi l’action est suspendue dans cet inte
suspendue dans cet intervalle. « Dans la dernière scène du troisième acte , la princesse dit, en quittant le théâtre, qu’ell
passât point hors du théâtre ; et lorsqu’au commencement du quatrième acte , la princesse, le prince et le bouffon paraissent
u lieu. 1665. Dom Juan, ou le Festin de Pierre Comédie en cinq actes en prose, de M. Molière, représentée sur le théât
s ; soit que le préjugé qui régnait alors contre les comédies en cinq actes , écrites en prose, fût plus fort que l’esprit de
it à se former contre la comédie du Tartuffe, dont les trois premiers actes avaient été représentés trois fois dans l’année 1
dit Robinet. 1665. L’Amour médecina Comédie-ballet en trois actes , en prose, avec un prologueb, par M. Molière, rep
dire à Fillerin (autre médecin), dans la scène première du troisième acte , les choses les plus fortes contre la médecine, i
édecin doit tenir le premier rang : c’est une petite comédie en trois actes , mais si courts que telle pièce du même auteur, q
ais si courts que telle pièce du même auteur, quoiqu’elle n’ait qu’un acte , a plus d’étendue que celle-ci. Molière la fit pa
ires sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Voyez la scène V de l’ acte second, et la scène VIII de l’acte quatrième de D
Molière. a. Voyez la scène V de l’acte second, et la scène VIII de l’ acte quatrième de Dom Garcie, et la scène III du quatr
 VIII de l’acte quatrième de Dom Garcie, et la scène III du quatrième acte du Misanthrope. Il y a aussi quelques vers de Dom
acte du Misanthrope. Il y a aussi quelques vers de Dom Garcie dans l’ acte second, scène sixième de l’Amphitryon. 1. [Note
avec quelle adresse Molière avait su attacher et plaire pendant cinq actes , par la seule confidence d’Horace au vieillard, e
les récits. Il semblait qu’un sujet ainsi traité ne dût fournir qu’un acte  : mais c’est le caractère du vrai génie de répand
e théâtre du Palais-Royal. a. C’est Chrysalde qui parle à Arnolphe. acte premier, scène première. CHRYSALDE. Je me réjoui
e, et le génie de Molière, p. 74 et suivantes. [*]. [Note marginale] ACTE  IV, scène I. [*]. [Note marginale] Observations,
un plus beau jour, s’il en avait eu le temps. Il n’y a que le premier acte et la première scène du second qui soient versifi
die et sur le génie de Molière, p. 119 et 120. [*]. [Note marginale] ACTE  II, scène III. [*]. [Note marginale] Observation
35 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
jard, appelée Marie Hervé, fut la marraine. Le père prit alors dans l’ acte de célébration du baptême le titre d’écuyer, que
i, avec quelques prisonniers espagnols qu’il avait déjà faits. Dans l’ acte de fidélité que Guise prêta au nouveau gouverneme
tre. Quant au père et au beau-frère de Molière, qui signèrent aussi l’ acte de célébration, ils ont pu ignorer des faits qui
de, qui prend seulement le prénom de Grésinde, le 31 mai 1677, dans l’ acte de célébration de son second mariage avec Isaac-F
on observera que les prénoms sont inscrits ainsi : Armande-Grésinde, acte de mariage de 1662 ; premier enfant, 1664 ; secon
 ; et, comme on va le voir, extrait mortuaire de la femme Guérin. Les actes de mariage, qui devraient être les plus exacts, l
ué ce fait en doute. Pouvons-nous le faire aujourd’hui sur le vu d’un acte évidemment contraire à toutes les traditions hist
différentes. Il faudrait encore que l’on nous fit voir, non un simple acte de célébration, mais un contrat de mariage où ser
re qui aurait eu encore trois autres enfants, lorsque Molière signa l’ acte de célébration. Il n’y a pas de généalogiste qui
l’acte de célébration. Il n’y a pas de généalogiste qui n’exige trois actes pour admettre une descendance. Ici on n’en produi
a pas varié, qu’elle est universelle, et ne peut être détruite par un acte que toutes les parties ont eu intérêt à falsifier
36 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260
que Thomas Corneille 31 l’a faite en versifiant son Festin de Pierre. ACTE III. Scene IV. Dom Juan voit dans le lointain tr
ent que ce défaut n’est pas dans l’original, par l’original lui-même. ACTE III. Scene III. DOM JUAN, SGANARELLE. Sganarelle
ir lorsqu’il ne voit plus d’acteur sur la scene, a souvent partagé un acte par une ariette, & fait en musique la critiqu
omme ont fait Brueys 32 & Palaprat, dans le Muet, comédie en cinq actes , en prose, imitée de l’Eunuque de Térence. ACTE I
uet, comédie en cinq actes, en prose, imitée de l’Eunuque de Térence. ACTE II. Scene VIII. Si le Capitaine qui est sur la sc
’Ancourt a eu recours à ce double moyen dans le Tuteur, comédie en un acte , en prose. Angélique est persécutée par M. Berna
ses nouvelles. Léandre, furieux contre son valet, fait ce monologue : ACTE II. Scene IV. Léandre, seul. Me traiter de cette
ment en arrêt l’attention, l’intérêt & la curiosité du public. Un acte composé de scenes liées ainsi, sans le secours d’
aison de surprise. Nous en avons un exemple dans le Philosophe Marié. ACTE II. Scene V. Ariste. Et moi, pour vous montrer à
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
isée, sur-tout, en plusieurs scenes, à plus forte raison en plusieurs actes . Aussi les Poëtes se lasserent-il bientôt d’affoi
rendre un exemple dans un temps bien reculé. MYLAS, Pastorale en cinq actes , en vers, par Claude Bassecourt, imprimée en 1594
imée en 1594. PROLOGUE. L’Amour déguisé en berger vante son pouvoir. ACTE I. Les Bergeres Daphné & Mylas s’entretiennen
pas à la toucher. Tyrse lui promet son secours & celui de Daphné. ACTE II. Un Satyre, qui est aussi amoureux de Mylas, p
taine, & que Cloris ira lui parler lorsqu’elle sera dans le bain. ACTE III. Mylas dépouillée de tous ses vêtements, est
dévorée par un loup : Cloris s’échappe pour aller se donner la mort. ACTE IV. Mylas reparoît, & raconte comment elle s
rser des larmes : elle va avec Daphné chercher le corps de son amant. ACTE V. Cloris avoit été retenu par des broussailles,
eux qui, moins prudents que lui, ne voudront pas se borner à un petit acte . Les pieces dans ce goût ne doivent être que des
trangers rougissent ; mais je serai discret. 17. Petite piece en un acte & en prose, de M. de Saint-Foix : elle est ch
n prose, de M. de Saint-Foix : elle est charmante. 18. Comédie en un acte & en vers, représentée le 13 Mai 1743 : elle
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. De l’Art de prévenir les Critiques. » pp. 309-313
ire voir clairement, & dit à Dorine d’aller appeller le scélérat. ACTE IV. Scene III. Dorine, à Elmire. Adieu. Son esp
t qu’un maître fourbe donnât tête baissée dans le piege. Dans le même acte , Elmire, qui, tandis que son époux est sous la ta
prat ont fait cette faute dans le Grondeur, comédie en prose en trois actes . L’Olive, valet de M. Grichard, doit lui jouer pl
oit lui jouer plusieurs tours sous divers déguisements : on lui dit : ACTE II. Scene VII. Je ne crois pas que M. Grichard c
le déguisement d’un Maître à danser, il le regarde très bien en face. ACTE II. Scene XVII. M. Grichard, à Cateau. N’ai-je p
& notre grondeur le regarde encore mieux, puisqu’il le reconnoît. ACTE III. Scene IX. M. Grichard, bas, en tremblant. O
adroitement d’affaire que ses successeurs. LES FOURBERIES DE SCAPIN. ACTE I. Scene VII. Scapin a besoin que Silvestre le s
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. De la Décence & de l’Indécence. » pp. 314-341
je vais rapporter. LA FEMME JUGE ET PARTIE, Comédie en vers, en cinq actes , de Montfleury44. ACTE V. Scene V. Bernadille.
EMME JUGE ET PARTIE, Comédie en vers, en cinq actes, de Montfleury44. ACTE V. Scene V. Bernadille. Et c’est pour vous conv
. Voici ce qu’il dit dans les Vacances, comédie en prose, & en un acte . Scene XIX. Le Capitaine reproche à Maugrebleu q
i l’enleve après que Sganarelle lui a donné cette recette salutaire : ACTE III. Scene VI. Sganarelle, à Léandre déguisé. Vo
piece Sganarelle veuille voir & toucher le sein de la nourrice ? ACTE II. Scene V. Sganarelle. Mais comme je m’intéres
source. Dans Amphitrion, Cléanthis & Sosie font ce bout de scene. ACTE II. Scene III. Cléanthis.  Enfin ma flamme eut b
que le Chevalier parle ainsi à son oncle qui lui donne des conseils ? ACTE I. Scene VI. Le Chevalier fait deux ou trois pas
nnoître sans le vouloir : voici comment cet honnête neveu lui parle : ACTE IV. Scene II. Le Chevalier. Ah ! mon oncle, parb
ment regardera-t-on ceux que Cléante tient à son pere dans l’Avare ? ACTE II. Scene III. Cléante, à son pere. C’est vous q
ver. Le voici dans l’Homme à bonne fortune, comédie en prose, en cinq actes , de Baron. ACTE III. Scene IX. ERASTE, MONCADE.
s l’Homme à bonne fortune, comédie en prose, en cinq actes, de Baron. ACTE III. Scene IX. ERASTE, MONCADE. Eraste vient d’
ce qu’il lui dit par la bouche de Chrisalde, dans l’Ecole des Femmes. ACTE I. Scene I. Chrisalde. Quel abus de quitter le v
dit, en parlant de la statue du Commandeur, dans le Festin de Pierre. ACTE III. Scene VII. Sganarelle. Vous voyez sa statue
fait dans sa piece intitulée il Teatro Comico, le Théâtre Comique ? ACTE I. Scene XI. Les Comédiens sont assemblés sur leu
t fort poliment qu’il est un fou (Signor Poeta mio, voi siete pazzo). ACTE II. Scene I. Lelio prie, avec toute la lâcheté p
homme, je la croirois imitée de Champagne le Coëffeur, comédie en un acte & en vers de huit syllabes, par M. Boucher, A
40 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
e ? À la commune voix veut-on qu’il se réduise ?     Le Misanthrope, acte  II, scène v. Le comique est le contraire du tr
urge qui sert une divinité plus puissante, et qui subit dans tous ses actes la tutelle et le contrôle de la raison. Or, le ca
point poétique. Revenons au Bourgeois gentilhomme. Les deux derniers actes en sont plus poétiques que les premiers. Pourquoi
Molière est un maître. Voilà mon entrée en campagne, et le premier acte d’hostilité de ma critique. Si quelqu’un s’en éto
ces interruptions si éminemment comiques dans la suite naturelle des actes et des scènes, surtout lorsqu’elles n’ont aucun r
es, ou de ressorts étrangers à la pièce, qui interviennent au dernier acte , comme un Deus ex machina. Seulement, ils regarde
’art dans la manière dont le vol de la cassette est amené. Au premier acte , dans une scène imitée de Plaute, Harpagon exprim
lque soupçon de son trésor. Il se tranquillise ensuite pendant quatre actes , on n’entend plus parler de ses inquiétudes, et l
ans intermèdes, sans baisser la toile, sans marquer la séparation des actes que par un air d’orchestre interrompu, sans laiss
s spectateurs et le personnage, et Alceste a le front si morose, cinq actes durant, que tous les spectateurs contractent leur
à vous y rencontrer.                             L’École des femmes, acte  IV, scène vi. 23. Les personnages historiques
Septième leçon. 60. Ibid. 61. Shakespeare, Henri IV, Ire partie, acte  Ier, scène ii. Traduction de M. Guizot. 62. Acte
nri IV, Ire partie, acte Ier, scène ii. Traduction de M. Guizot. 62. Acte  III, scène iii. 63. Sixième leçon. 64. Textuel.
. Schlegel. Lui-même ne cite jamais rien. 72. Le Malade imaginaire, acte  III, scène iii. 73. L’Amour médecin, acte II, s
2. Le Malade imaginaire, acte III, scène iii. 73. L’Amour médecin, acte  II, scène i. 74. La Princesse d’Élide, acte I,
73. L’Amour médecin, acte II, scène i. 74. La Princesse d’Élide, acte  I, scène iii. 75. La Critique de l’École des f
scène vii. 76. Le Mariage forcé, scène vi. 77. L’Amour médecin, acte  IV, scène v. 78. Toutefois, bien d’autres en
imaginées chez les étrangers, etc. — Douzième leçon. 79. L’Avare, acte  Ier, scène v. 80. Acte Ier, scène x. 81. Aulu
gers, etc. — Douzième leçon. 79. L’Avare, acte Ier, scène v. 80. Acte  Ier, scène x. 81. Aulularia, II, 2. 82. Les
te Ier, scène x. 81. Aulularia, II, 2. 82. Les Femmes savantes, acte  V, scène ii. 83. Acte V, scène iii. 84. Ce qu
Aulularia, II, 2. 82. Les Femmes savantes, acte V, scène ii. 83. Acte  V, scène iii. 84. Ce qui s’éloigne entièrement
u de la fausseté et de la corruption du monde. — Douzième leçon. 85. Acte  III, scène ii. 86. Nous aurons toujours présen
73), nous avons supposé qu’il faisait allusion ici à la scène vi de l’ acte  III. 89. Textuel. — Nous n’avons voulu supprimer
quelques scènes près, ce n’est pas une comédie.— Douzième leçon. 91. Acte  I, scène vi. 92. Acte V, scène viii. 93. Prés
e n’est pas une comédie.— Douzième leçon. 91. Acte I, scène vi. 92. Acte  V, scène viii. 93. Présenter toujours à côté d
erez mutins, Plus vous me fournirez matière aux traits malins. 96. Acte  I, scène vi. 97. Acte V, scène i. 98. Le Misa
me fournirez matière aux traits malins. 96. Acte I, scène vi. 97. Acte  V, scène i. 98. Le Misanthrope, comme on sait,
on la donna avec ce chef-d’œuvre, et cela cinq fois seulement ». 99. Acte  IV, scène iii. 100. Acte II, scène vii. 101.
’œuvre, et cela cinq fois seulement ». 99. Acte IV, scène iii. 100. Acte  II, scène vii. 101. L’auteur comique doit évit
ar cela ramènerait infailliblement le sérieux.— Septième leçon. 102. Acte  IV, scène iii. 103. Le but de l’auteur a été d
tième leçon. 105. Prologue, scène vi. 106. Quatorzième leçon. 107. Acte  Ier, scène ii. 108. Tout ceci est textuel. — Dou
ci est textuel. — Douzième leçon, t. II, p. 277. 109. Textuel. 110. Acte  Ier, scène iii. 111. Sixième leçon. 112. Acte I
109. Textuel. 110. Acte Ier, scène iii. 111. Sixième leçon. 112. Acte  Ier, scène iii. 113. Le Roi de Cocagne, farce e
e cesse jamais d’être légère et inoffensive. — Douzième leçon. 114. Acte  II, scène viii. 115. Acte II, scène xi. 116. Te
e et inoffensive. — Douzième leçon. 114. Acte II, scène viii. 115. Acte  II, scène xi. 116. Textuel. 117. Textuel. 118.
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
IER. L’Étourdi ou les Contre-temps, Comédie en vers & en cinq actes , comparée, pour le fond & les détails, avec l
élie. Nous devons à Plaute la premiere idée de cette scene. ÉPIDIQUE. acte II. Scene II. PÉRIPHANE, APŒCIDE, ÉPIDIQUE. E
nt prendre des mesures pour le faire réussir : elle est au désespoir. ACTE I. Scene X. HIPPOLYTE, MASCARILLE. Hippolyte.
Il lui reproche sa prétendue perfidie quand ils sont seuls. PHORMION. acte IV. Scene IV. ANTIPHON, GÉTA. Antiphon. Géta ?
. . . . . . . . M. Piron a mis la même situation dans la Métromanie, acte II, scenes III & IV. Finette s’intéresse aux
l’extrait. L’Amant indiscret, ou le maître Étourdi, Comédie en cinq actes & en vers, jouée à Paris quatre ans avant cel
ctes & en vers, jouée à Paris quatre ans avant celle de Moliere. Acte I. Cléandre, amant aimé de Lucrece, l’attend dans
l, qu’il est protégé par la mere, & qu’il épousera sa maîtresse. Acte II. Licipe conduit les deux Dames dans une autre
er, rit de son déguisement, & avertit son rival qu’on le trompe. Acte III. Philipin gagne Lisette, suivante de Lidame m
va le garder, quand Cléandre vient dire que ce domestique est à lui. Acte IV. Philipin ménage un tête-à-tête entre Lucrece
e, & lui fait part de toutes les bontés que sa fille a pour lui. Acte V. Philipin obtient un second rendez-vous pour so
é par-tout, comme l’on voit : aussi en a-t-il plus réuni dans un seul acte que Quinault dans toute sa comédie, ce qui rend s
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
sny s’en ressentent. LE NÉGLIGENT, comédie en prose, & en trois actes . Cette piece fut jouée, pour la premiere fois,
nvoie satisfait sans lui donner de l’argent. Voici celle de Dufresny. ACTE I. Scene XVI. LE MARQUIS, L’INTENDANT, LE TAILL
gi de singer ses deux prédécesseurs8.   La sixieme scene du troisieme acte du Négligent ressemble encore beaucoup, & un
e encore beaucoup, & un peu trop, à la sixieme scene du troisieme acte de l’Avare. Le Lecteur doit se rappeller que Maît
avec la nature. LA MALADE SANS MALADIE, comédie en prose, en cinq actes . Cette piece fut représentée, pour la premiere
te de l’ouvrage. LE FAUX HONNÊTE HOMME, comédie en prose, en trois actes . Cette piece, jouée pour la premiere fois le s
ouveauté de ses pieces, ou à leur reprise. LE DÉDIT, comédie en un acte , & en vers. Cette piece, représentée pour
ations dans tous les genres. Extrait des Grisettes, de Champmeslé. Acte I. Le Chevalier Acaste cajole Catho & Manon,
. . . Serviteur. Sans argent, il n’est point chez moi de Procureur. Acte II. Au commencement de cet acte, Manon croit, je
n’est point chez moi de Procureur. Acte II. Au commencement de cet acte , Manon croit, je ne sais à quel propos, être aimé
bruit, à peu de frais, Vous régaler chez vous de la belle maniere. Acte III. Le Chevalier & le Marquis s’introduisent
valet joue ses tantes. LE MARIAGE FAIT ET ROMPU, Comédie en trois actes , en vers. Cette piece parut pour la premiere f
43 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
p;c. Le Fils naturel, ou l’Epreuve de la Vertu, Comédie en cinq actes & en prose, avec l’histoire véritable de la P
it, je crois, nous répéter fort mal-à-propos. Extrait de la piece. Acte I. Il est six heures du matin : d’Orval essaie en
né par Rosalie, ne sait comment paroître aux regards de la derniere. Acte II. Rosalie travaille avec Justine sa femme-de-ch
appréhende qu’il ne parte au moment même, & sort pour l’arrêter. Acte III. Clairville remercie d’Orval du secours qu’il
rval lui donne une lettre & lui dit : A Paris chez mon Banquier. Acte IV. Rosalie compte pour rien la fortune si la san
, il veut voir Rosalie & la déterminer à s’unir avec Clairville. Acte V. Rosalie songe à l’union de d’Orval & de Co
s Goldoni a écrit en italien une comédie ou plutôt une farce en trois actes , qu’il a intitulée l’Ami sincere 36. C’est un tis
Espagnol. « Quoi qu’il en soit, de cette portion d’une farce en trois actes , j’en fis la comédie du Fils naturel en cinq ; &a
origine. Extrait de la Force de l’Amitié, canevas italien, en trois actes . Pantalon, établi à Milan, est obligé de faire u
é remise par Veronese en 1748. LE PERE DE FAMILLE, Comédie en cinq actes , & en prose. Acte I. Scene VII. Saint-
8. LE PERE DE FAMILLE, Comédie en cinq actes, & en prose. Acte  I. Scene VII. Saint-Albin. Mon pere, vous saure
re XI du Dialogue, nous l’avons mise à côté de la deuxieme du premier acte du Phormion de Térence dont elle est imitée. 3
44 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
rançaise : les Fâcheux, Psyché ; la Sortie de Saint-Cyr, comédie en 1 acte , de M. Verconsin. — Odéon : l’Illusion comique.
oilà pourquoi, en un jour de fête, l’Odéon reprend les trois premiers actes de l’Illusion comique, et la Comédie-Française le
ers actes de l’Illusion comique, et la Comédie-Française le troisième acte de Psyché ; voilà pourquoi la Comédie-Française n
a Princesse d’Elide, il n’a le temps de mettre en vers que le premier acte et les premières scènes du second, de sorte que l
chaussé et l’autre nu. » Pour Mélicerte, il n’en a pu faire que deux actes , où l’action est nouée à peine, et « Sa Majesté e
es femmes, Don Juan, le Misanthrope, Tartufe (dont les trois premiers actes , il est vrai, furent d’abord essayés à Versailles
du genre galant. Molière, pressé par le temps, n’écrit que le premier acte , la première scène du second, la première du troi
souvenir de ce modèle unique par le malicieux badinage de ce premier acte , où paraissent d’abord les sœurs de l’héroïne, vé
euses comme on l’est dans la Belle et la Bête ; ensuite, au troisième acte , par le spirituel entretien de l’Amour, ce Prince
rcevrait pas du changement. — Mais ces menus agrémens, à travers cinq actes de mythologie héroïco-galante, est-ce de quoi nou
enir enchantés ? Après l’expérience qu’on a faite récemment d’un seul acte , — et c’était le troisième, — la réponse n’est pa
n comique je ne parle que pour mémoire : on a joué les trois premiers actes , une fois seulement, à l’Odéon, devant de rares s
45 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
CHAPITRE II. Le Dépit amoureux, Comédie en vers & en cinq actes , comparée, pour le fond & les détails, avec l
La creduta Maschio, ou la Fille crue Garçon, Canevas Italien en trois actes . Par des arrangements de famille que l’Auteur ne
On se doute bien que le faux Cavalier répond très mal à sa flamme. L’ acte finit. Acte II. Arlequin va trouver le Docteur,
bien que le faux Cavalier répond très mal à sa flamme. L’acte finit. Acte II. Arlequin va trouver le Docteur, & lui dit
tolets. La moitié des acteurs tombe de peur, l’autre prend la fuite. Acte III. Diane est fâchée d’avoir eu dispute avec Fla
xtrait. Gli Sdegni amorosi, ou les Dépits amoureux, Canevas en trois actes . Acte I. Diane, fille de Pantalon, aime Flaminio
Gli Sdegni amorosi, ou les Dépits amoureux, Canevas en trois actes. Acte I. Diane, fille de Pantalon, aime Flaminio ; mais
io fait éclater tout son dépit. Ils sortent sans s’expliquer, & l’ acte finit. Acte II. Diane raconte ses chagrins à Col
er tout son dépit. Ils sortent sans s’expliquer, & l’acte finit. Acte II. Diane raconte ses chagrins à Colombine. Elle
. Diane pardonne à son amant, & le prie de la ramener chez elle. Acte III. Brighella craint que Colombine n’aime Arlequ
cteurs pourront comparer ensuite avec la troisieme scene du quatrieme acte du Dépit amoureux françois. On a vu que Diane vou
amants y sont dans la même situation que ceux de la piece italienne. ACTE IV. Scene III. LUCILE, ERASTE, MARINETTE, GROS
te le bon-homme Albert, est calquée sur la quatrieme scene du premier acte du Déniaisé, comédie par le sieur Gillet de la Te
exemplaire à la vente des livres de Madame de Pompadour. LE DÉNIAISÉ. Acte I. Scene IV. JODELET, PANCRACE. Jodelet. Tand
as Après le coup fatal qui cause leur trépas. L’ame n’est pas aussi l’ acte ni l’énergie ; C’est au corps qu’appartient le mo
Pancrace du Déniaisé, prêtons l’oreille au Pédant du Dépit amoureux. ACTE II. Scene VII. ALBERT, MÉTAPHRASTE. Métaphrast
ans plusieurs pieces italiennes8. Dans la septieme scene du troisieme acte , Valere veut découvrir si Mascarille a trahi son
en Italie les rôles de Pantalon. 7. Dans un Canevas Italien en cinq actes , intitulé Rebut pour rebut, & joué en 1717, F
46 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356
CHAPITRE XVII. Amphitrion, Comédie en trois actes & en vers, comparée pour le fond & les dé
e l’avant-scene, & ne laisse là-dessus rien à desirer au public. Acte I. Sosie vient du port pour annoncer l’arrivée d’
r lui fait présent de la coupe que son mari lui destinoit. Le premier acte finit. Acte II. Amphitrion, étonné du galimatias
ésent de la coupe que son mari lui destinoit. Le premier acte finit. Acte II. Amphitrion, étonné du galimatias que lui fait
fensée, rentre chez elle, pour pleurer sur l’affront qu’on lui fait. Acte III. Jupiter revient pour appaiser Alcmene. Elle
e Blepharon, & il recommande à Mercure de bien faire sentinelle. Acte IV. Amphitrion n’a pas trouvé le témoin qu’il che
le dîné. Le pilote ne sait point décider entre les deux Amphitrion. Acte V. Bromie, servante d’Amphitrion, vient annoncer
e de Moliere. Ce dernier n’a pas grand mérite d’avoir réduit en trois actes une comédie qui étoit en cinq, & d’avoir enco
qui aura fait cabale pour se faire applaudir plus que son camarade. Acte I. Scene I. Le Sosie de Moliere a peur, comme cel
p; c’est de cette variété que naît la plus grande partie du comique. Acte II. Scene I. Cette scene & celle de Plaute so
son même, & que nous devons estimer, comme la derniere du premier acte , pour le plaisant & la variété qu’elles jette
sant sort du fond de la scene & de la situation des personnages. Acte III. Scene I. Moliere a fort prudemment abandonné
. Moliere a fort prudemment abandonné la quatrieme scene du troisieme acte de Plaute, dans laquelle Mercure, nous enlevant e
mphitrion, vient dire au spectateur, dès le commencement du cinquieme acte , que Madame a mis au monde deux garçons, qu’elle
u Seigneur Amphitrion ce qu’on nous a déja dit deux fois dans ce même acte . Enfin Amphitrion emploie la troisieme & dern
pectateur à se retirer après avoir applaudi. Vit-on jamais un dernier acte plus vuide d’action, plus mal tissu, plus plein d
es deux Auteurs ont suivi le même plan & les mêmes idées. ROTROU. Acte II. Scene I. AMPHITRION, SOSIE. Amphitrion. M
llons : mais que les coups, s’il se peut, n’en soient plus. MOLIERE. Acte II. Scene I. AMPHITRION, SOSIE. Amphitrion. V
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447
se garder de suivre. LE PHILOSOPHE MARIÉ,OULE MARI HONTEUX DE L’ÊTRE. ACTE I. Scene I. (Le théâtre représente un cabinet de
it de son caractere avec celle que le Malade imaginaire fait du sien. ACTE I. Scene I. Argan assis, ayant une table devant
st pas fort aisé, sur-tout lorsque le héros ne paroît qu’au troisieme acte , comme dans le Tartufe : aussi fait-on quelques r
elques reproches à Moliere sur cet article. Voyons s’ils sont fondés. ACTE I. Scene I. Madame Pernelle, après avoir apostrop
retiré chez lui, parceque tout semble y prospérer depuis ce temps-là. ACTE II. Scene I. Orgon demande à Marianne ce qu’elle
amante finit par promettre qu’elle ne sera pas à d’autre qu’à Valere. ACTE III. Scene I. Damis consent d’être écrasé par la
e lui dans toutes les scenes, si l’on excepte la troisieme du premier acte . Elmire, à Cléante. Vous êtes bienheureux de n’ê
ils à Moliere. Voyons si Destouches est aussi exact dans le Glorieux. ACTE I. Scene I. Pasquin. Lisette ne vient point ! Je
; le rappelle par-là dans le souvenir du spectateur : il étoit temps. ACTE II. Scene I. Lisette fait des réflexions sur ce q
cene, voit Dorine, se compose tout de suite & dit à son laquais : ACTE III. Scene II. Laurent, serrez ma haire avec ma
uvert. Le Dissipateur de Destouches se présente très avantageusement. ACTE I. Scene V. Cléon. Qu’on dise de ma part à mon m
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLI. Des Episodes. Maniere de les lier aux Caracteres principaux, & de placer les Caracteres accessoires. Embonpoint d’une Piece. » pp. 475-492
ui maîtrise son fils, & que cette scene augmente ses inquiétudes. ACTE I. Scene X. M. TOUTABAS, GÉRONTE. Toutabas. Avec
e la piece que Regnard a imitée, le Chevalier Joueur, comédie en cinq actes , & en prose, de Dufresny : il y a une Comtess
s bons moments où la raison sembloit l’éclairer. LE CHEVALIER JOUEUR. ACTE III. Scene X. LE CHEVALIER, FRONTIN, LE MARQUIS.
re mon Lecteur à portée de juger les deux Auteurs. LE JOUEUR ANGLOIS. ACTE III. Scene III. BEVERLEY, STUKELY. Stukely. Rega
uteur sage doit, pour être plus sûr de réussir, ne placer dans chaque acte qu’une seule scene brillante & forte par sa s
res doivent être faites seulement pour amener celle-là ; que dans les actes où il y a plusieurs grandes scenes, le spectateur
urs dramatiques, lorsqu’ils n’ont qu’une bonne scene à placer dans un acte , convenoient du moins avec courage que leurs forc
urs forces ne s’étendent pas plus loin, s’ils ne nous donnoient qu’un acte composé d’une seule scene ou de deux, comme Plaut
sse ; ils se croiroient déshonorés si leurs pieces n’avoient pas cinq actes , leurs actes cinq scenes, & leurs scenes une
croiroient déshonorés si leurs pieces n’avoient pas cinq actes, leurs actes cinq scenes, & leurs scenes une certaine long
oient presque toutes en prose, ils finissent ordinairement tous leurs actes par quelques vers qui renferment une sentence.
49 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
. Don Juan ou le Festin de pierre, Comédie en prose & en cinq actes , comparée, pour le fond & les détails, avec u
Royal le 15 Février 1650. Extrait du Festin de pierre de Moliere. Acte I. Sganarelle rape du tabac, en fait l’éloge, en
prouve le contraire, en sortant pour préparer l’enlevement projetté. Acte II. Pierrot raconte à Charlotte son accordée, qu’
ut rien faire, & lui conseille de chercher un autre déguisement. Acte III. Don Juan paroît en habit de campagne ; Sgana
accepte l’invitation. Grande frayeur du valet ; surprise du maître. Acte IV. Sganarelle est toujours effrayé par le coup d
c Sganarelle ; celui-ci, qui meurt de peur, jure de n’en rien faire. Acte V. Don Juan feint de s’être converti : son pere e
eur, qui l’entraîne sur le théâtre. C’est ici que l’action commence. Acte I. Isabelle presse l’homme qu’elle tient de se fa
au courroux du Monarque. Il lui promet de l’appaiser dans la suite. Acte II. (La scene représente la mer ; elle paroît agi
n, & se jette dans la mer, en la priant de bien cacher sa honte. Acte III. (La scene est en Castille.) Le Duc Octave e
ris. Deux domestiques emportent le mort : sa fille suit en pleurant. Acte IV. Le Duc prie le Roi d’ordonner bien vîte les a
erons ». Le Docteur n’est pas tenté de gagner de l’argent à ce prix. Acte V. On voit un mausolée. Don Juan reconnoît la Sta
altraite, & donne quelques coups de bâton à Philippin. Le premier acte finit par les imprécations du bon-homme. A l’ouve
acte finit par les imprécations du bon-homme. A l’ouverture du second acte , Don Juan enleve Amarille. Don Pedre venant à son
onc pris ce morceau de courage ? Dans la premiere scene du troisieme acte , Don Juan force un pauvre pélerin à lui donner se
i bonne que je le crois ? Mes Lecteurs vont être à portée de décider. ACTE V. Scene VIII. D’abord après la belle scene dans
ille bien née aime l’époux qu’on lui donne. Il lui commande d’obéir. Acte II. (La scene représente une campagne.) Elisa, s
, se croit le plus heureux des amants. Elisa se moque de lui à part. Acte III. (La scene représente les appartements de Don
charmes que la nature donne aux femmes ainsi qu’aux autres animaux. Acte IV. (Le théâtre représente une chambre de l’appar
instruise le Roi du crime de Don Juan, & qu’on courre après lui. Acte V. (La scene fait voir plusieurs mausolées, entre
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
pieces fondées sur un déguisement. L’ÉPREUVE, Comédie en prose, en un acte , de Marivaux. Un jeune Seigneur de Paroisse aime
et qu’il charge de ce personnage. L’ÉPREUVE RÉCIPROQUE, Comédie en un acte , en prose, de le Grand. Un jeune homme qui veut é
cœur de son amant. LES JEUX DE L’AMOUR & DU HASARD, Comédie en un acte , en prose, de Marivaux. On veut unir deux amants
fournir l’exemple le plus récent. L’AMOUR CASTILLAN, Comédie en trois actes , & en vers. Aurore est promise à Dom Lope :
IERE PER ACCIDENTE,OUARLEQUIN GENTILHOMME PAR HASARD, Canevas en deux actes . Avant-Scene. Pantalon, Gouverneur de la vill
elle fait avertir Celio qu’elle aime, & promet de fuir avec lui. ACTE I. La scene représente une rue : il est nuit. Cel
t bien vîte, feint de parler à Celio lui-même. On l’envoie en prison. ACTE II. La ville, avec la porte de la prison. Celio
51
nt reparu devant le rideau jusqu’à trois fois après le IIe et le IIIe  actes . M. Hassel a été très amusant dans Chrysale, M. K
emont, Cressonnois ; Mlles Caron, Marie Chéron et Verney), le premier acte du Misanthrope (M. Pujol jouant Alceste pour la p
Jeunes, le dimanche 18, par Le Cimetière Saint-Joseph, à-propos en un acte en vers, de M. Gustave Rivet, un vrai poète, repr
eurs, qu’Elmire soit malade au moment de la grande scène du quatrième acte  ? Non seulement elle est en pleine santé, mais el
ent de la pièce et qu’elle n’a pu changer entre la vie  scène du IIIe  acte et la seconde du quatrième. D’où il faut conclure
règle du rire perpétuel, il trouvait le moyen de mettre le troisième acte des Plaideurs au-dessus du cinquième acte de Tart
oyen de mettre le troisième acte des Plaideurs au-dessus du cinquième acte de Tartuffe. Conséquemment : « Si le but de ma co
ques… » On est bien forcé de songer, quoi qu’on en ait, au quatrième acte de Tartuffe, « et de ces malhonnêtes plaisanteri
s malhonnêtes plaisanteries… » Ceci pour la première scène du second acte ), « qui coûtent maintenant si peu à la plupart
ichambre ! » ou le couplet supprimé de Léandre au début du troisième acte  : « Le beau plaisir d’aller, tout mourant de som
ncipaux, et nous les indiquerons après lui : La deuxième scène du 1er  acte débute ainsi : GROS-RENÉ. S’t, Marinette ! MARIN
er la dernière réplique de Gros-René à la fin de la vie scène du Ier  acte  ; qu’on en juge : RENATACCIO. « E hai cuore di d
      « Est pire qu’un satrape, ou bien qu’un lestrigon. » Au second acte , scène v, Marinette, dans la traduction italienne
Il a donc dû changer7. Poursuivons. — Dans la viiie scène du second acte , Albert dit à Métaphraste : « Mon père…. « Ne m’
plus délicats que les parisiens du siècle de Louis XIV ! » 8 Au même acte , à la même scène viii, Métaphraste dit à Albert :
que le bon goût gagne à ce changement ? Enfin, à la scène iv du IIIe  acte , Albert a l’imprudence de dire : « Il faut être
du Maître par un autre à-propos : La Valise de Molière, comédie en un acte , en prose, dans laquelle Éd. Fournier avait ingén
rtin et de libertinage dans la scène de Cléante et d’Orgon au premier acte , il n’aurait pas dû, à propos de Valère (acte II,
e et d’Orgon au premier acte, il n’aurait pas dû, à propos de Valère ( acte  II, scène ii), donner à ces mots leur sens modern
é traitées de main de maître. La jolie scène des amoureux au deuxième acte , et les scènes capitales entre Elmire et Tartuffe
ru à peu près parfaites. Nous en dirons autant de la scène du premier acte entre Orgon et Dorine, tout en regrettant que l’a
sion sent un peu son Tartuffe. La grande tirade de Cléante au premier acte est une de celles que M. Thym a condensées. Nous
e, un petit détail qui a sa valeur. Dans la première scène du premier acte , madame Pernelle dit, en montrant Cléante : « Vo
r dans mon âme une constante foi. » La tirade écrasante du quatrième acte  : « … c’est à vous d’en sortir ! » souffre, à n
pauvre futur grand homme, conduit au Châtelet par des exempts ! ». L’ acte du 13 août 1645, par lequel J.-B. Poquelin et se
s de L’École des maris. Il a aussi imité la troisième scène du second acte de L’Étourdi. Le Dépit amoureux a été, en partie,
strologue), représentée en 1671, a imité la deuxième scène du premier acte , la troisième scène du quatrième acte et les troi
té la deuxième scène du premier acte, la troisième scène du quatrième acte et les trois dernières scènes du second acte de l
sième scène du quatrième acte et les trois dernières scènes du second acte de la pièce de Molière. Sir John Vanbrugh a donné
sorte de comédie, The Playhouse to Let (Le Théâtre à louer), en cinq actes , dont chacun forme une pièce différente. On ignor
ifférente. On ignore quand cette comédie a été représentée. Le second acte est une traduction de Sganarelle, joué par des ac
tié anglais. La Biographia Britannica prétend que les quatre derniers actes de cette comédie étaient déjà écrits du temps de
primée. Un certain M. Charles Molloy est l’auteur d’une pièce en cinq actes  : The Perplexed Couple or Mistake upon Mistake (L
eur avoue que l’incident du portrait, quelque chose dans le quatrième acte et une « suggestion » dans le cinquième de sa com
t à l’abbé Levasseur qu’il venait de faire et de défaire le quatrième acte de sa tragédie, et, en décembre, qu’elle allait b
asion pour se donner le plaisir du fruit défendu : les trois premiers actes du Tartuffe. Molière n’avait donc rien à se repr
alla le 20 et en repartit le 24. On se demande si les trois premiers actes du Tartuffe furent représentés grâce à la présenc
llers-Cotterêts, telle que l’enregistre La Grange, les trois premiers actes du Tartuffe viennent en cinquième lieu, par consé
du Palais-Royal, puisqu’il la laissa telle qu’elle était : le premier acte en vers ; le reste, ou peut s’en faut, à l’état d
scène que l’on veut : unité de lieu absolue. Le prologue et les cinq actes se passent autour du même arbre, sous lequel l’Au
prévu avec une de ces préoccupations publiques, avec un de ces grands actes de la religion devant lesquels se désavoue — se d
Le dramaturge Arthur Murphy a fait jouer en 1761 une comédie en cinq actes , All in the Wrong (Tout le monde a tort) qui, quo
ez librement la quatrième, la cinquième et la sixième scène du second acte , et les huitième, neuvième et dixième scènes du q
second acte, et les huitième, neuvième et dixième scènes du quatrième acte de Dom Garcie. L’École des maris. — Nous avons d
la première, la deuxième, la cinquième et la sixième scène du premier acte , ainsi que les cinq premières scènes, la huitième
remières scènes, la huitième, la neuvième et la quatorzième du second acte et les dernières scènes du dernier acte de L’Écol
e et la quatorzième du second acte et les dernières scènes du dernier acte de L’École des maris. En outre, pour donner bonne
u poète espagnol Calderon, la seconde et la cinquième scène du second acte de L’École des maris. Dans sa comédie fort licenc
maris la lettre d’Isabelle à Valère, et la seconde scène du troisième acte . Otway a inséré dans The Soldier’s Fortune, dont
libre des troisième, cinquième, huitième et neuvième scènes du second acte de L’École des maris. Sir Charles Sedley, un des
trouve une imitation de la première et de la seconde scène du premier acte de L’École des maris. Dans ma notice sur L’Étourd
a suivi assez librement la première et la quatorzième scène du second acte de L’École des maris. Les Fâcheux. — Thomas Shad
sienne. Il avoue avoir emprunté à Molière la première scène du second acte et la partie de piquet, dont il a fait une partie
Shadwell a surtout imité la première et la cinquième scène du premier acte , et la seconde et la troisième scène du second ac
scène du premier acte, et la seconde et la troisième scène du second acte . Ozell a publié aussi une traduction littérale de
Baker, a paru en 1732. Un certain John Lee, écrivit une farce en deux actes , d’après la comédie de Wycherley, et sous le même
mprunté au Gros-René du Dépit amoureux. La seconde scène du troisième acte de l’opéra anglais me semble basée sur la sixième
cte de l’opéra anglais me semble basée sur la sixième scène du second acte de L’École des femmes. Plus tard on en a élagué q
us tard on en a élagué quelques rôles, on en a fait une farce en deux actes qui, sous le nom de The Romp (La Gamine), eut bea
la première, la seconde, la quatrième et la sixième scènes du premier acte , la sixième du second, la quatrième du troisième
ème du second, la quatrième du troisième et la quatrième du quatrième acte de la comédie de Molière, ainsi que plusieurs aut
ésence vingt jours plus tard est connue. Notre hypothèse repose sur l’ acte suivant, extrait des registres de la paroisse Sai
raison des fautes orthographiques existant dans la transcription des actes des paroisses) de celui de Henry Sequier, marié à
e de nombreux témoins parmi lesquels figure un Louis Desfontaine47. L’ acte de Carcassonne présente un cinquième nom familier
aux Moliéristes, celui de Victoire de la Chappe, marraine. Parmi les actes publiés par M. Brouchoud, l’un des plus riches en
des 17 et 21 mars 1664 (Soulié, Recherches, p. 205-208). II Un acte , publié l’an dernier dans cette Revue, rappelle q
mourut François de la Cour, dont M. Brouchoud a retrouvé et publié l’ acte de mariage déjà rappelé ci-dessus et que voici en
Ch. Dufresne, Desfontaines, Reueillon, Pale, vic. susd. » Tel est l’ acte de mariage à Lyon. Voici l’acte mortuaire que nou
eillon, Pale, vic. susd. » Tel est l’acte de mariage à Lyon. Voici l’ acte mortuaire que nous lisons à Carcassonne : « Le 2
e la représentation annoncée par l’affiche du Marais. 40. Suivant l’ acte de décès recueilli par M. Jal, René Berthelot, di
En présence des incorrections nombreuses que présente le texte de ces actes et de la difficulté de connaître le nom véritable
édiens de la même famille. Particularité intéressante : dans les deux actes il se trouve un Desfontaines pour témoin. 48. Ar
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
e que le familier. Prenons un exemple dans Aristophane 26. LES NUÉES. ACTE III. Strépsiade sort de l’Ecole des Philosophes
e de Plaute, & lisons. Je tombe sur la troisieme scene du premier acte du Rudens. Palestre vient de faire naufrage ; ell
son pere, en lui ordonnant de se préparer à épouser une autre femme. ACTE I. Scene VI. Pamphile. Et que puis-je dire de mo
eur qui les applaudissoit. LES VISIONNAIRES, Comédie en vers, en cinq actes , de Desmarets. ACTE III. Scene VI. Alcidon. De t
soit. LES VISIONNAIRES, Comédie en vers, en cinq actes, de Desmarets. ACTE III. Scene VI. Alcidon. De toutes vos maisons, q
ui & pour ses lecteurs, il ne l’imite pas long-temps. LE MENTEUR. ACTE II. Scene V. Géronte. . . . . . . . . . . . . .
é jusqu’au point de faire rire les honnêtes gens. JODELET, DUELLISTE. ACTE V. Scene I. Jodelet qui a reçu un soufflet veut
nsieur & Madame Jourdain & Cléonte. LE BOURGEOIS GENTILHOMME. ACTE III. Scene XII. Cléonte. Monsieur, je n’ai voulu
, sert à Moliere pour les peindre. Voyez cette tirade du Misanthrope. ACTE IV. Scene III. Alceste. Ha ! ne plaisantez point
ant comme Moliere. Ecoutons Lisette parler à Dorante de sa maîtresse. ACTE I. Scene II. Lisette. Hé ! non, vous dis-je, non
n éducation. Entendons-la repousser la médisance d’une vieille prude. ACTE I. Scene I. Dorine. L’exemple est admirable, &am
t l’action & le mouvement suffisent à peine pour soutenir un seul acte , & ne voulant pas ressembler à Poisson, qui s
ux, dans la bouche duquel il met tous les mots consacrés à la chasse. ACTE II. Scene VII. Dorante. Dieu préserve, en chassa
uption du poëte que celle de ses contemporains. 27. Vers du Méchant, acte IV, scene VII.
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
CHAPITRE XXIII. Les Fourberies de Scapin, comédie entrois actes , en prose, comparée, pour le fond, les détails &a
iere farce que Moliere a pris l’idée de la seconde scene du troisieme acte de ses Fourberies de Scapin, puisque Scapin conse
ronte, il contrefait la voix de différentes personnes en le frappant. ACTE III. Scene II. Scapin. Cachez-vous, voici un Spa
son maître à se marier avec la fille qu’on lui destine. LA MASCARADE. Acte II. Scene IV. HENRI, LÉANDRE. Henri. Si Monsi
me permettre de lui représenter là-dessus une petite comédie en trois actes , il verra le commencement, la continuation &
e commencement, la continuation & la fin de l’affaire. Le premier acte commencera de la sorte : Je suis, par exemple, Mo
ument telle que j’ai été dépeinte » ? — C’est la substance du premier acte , où Léandre est dans le dessein de se marier à un
éandre. Cela pourroit bien tourner à-peu-près ainsi. Henri. Le second acte commencera de cette façon : Voyez ce fauteuil où
dre persiste encore dans son ancien dessein ; alors suit le troisieme acte . On donne un décret contre la personne de M. Léan
stion. Je suis fâché qu’il lui doive la confession générale du héros. ACTE II. Scene V. Léandre voit que son pere est en co
i Cyrano qui lui a fourni deux scenes. L’une est la onzieme du second acte des Fourberies ; elle est prise dans le second ac
onzieme du second acte des Fourberies ; elle est prise dans le second acte du Pédant joué. Scene IV. CORBINELI, GRANGER,
les détailler. Soyons moins superficiels. LES FOURBERIES DE SCAPIN. Acte II. Scene XI. SCAPIN, GÉRONTE. Scapin, faisant
ant l’action dans une ville maritime. La troisieme scene du troisieme acte des Fourberies de Scapin est aussi calquée sur ce
eries de Scapin est aussi calquée sur celle qui suit. LE PÉDANT JOUÉ. Acte III. Scene II. GRANGER, PAQUIER, GENEVOTE. Gra
s ont donné à leur dialogue la même coupe, la même vivacité. LA SŒUR. Acte I. Scene I. LÉLIE, ERGASTE. . . . . . . . . .
à l’ennui qui me touche. . . . . . . . . . LES FOURBERIES DE SCAPIN. ACTE I. Scene I. SYLVESTRE, OCTAVE. . . . . . . . .
e XI du Dialogue, nous avons déja comparé la seconde scene du premier acte de Phormion avec la seconde scene du premier acte
de scene du premier acte de Phormion avec la seconde scene du premier acte des Fourberies de Scapin, & le Lecteur doit s
qu’elles sont bâties sur le même fond. Passons à d’autres. PHORMION, Acte I. Scene V. Démiphon. Je ne sais à quoi me déter
ur un gain fort considérable. . . . . . . LES FOURBERIES DE SCAPIN. Acte II. Scene VIII. . . . . . . . . . . Scapin. Mons
ner des leçons de philosophie, & s’offrir pour exemple. PHORMION, Acte I. Scene IV. Antiphon s’est marié pendant l’abse
ie entre vos mains. . . . . . . . . . . . LES FOURBERIES DE SCAPIN. Acte I. Scene IV. OCTAVE, SCAPIN, SYLVESTRE. Scapin
médien, & s’il ne joue tous ses rôles en les composant. PHORMION. Acte IV. Scene III. ANTIPHON, GÉTA, CHRÉMÈS, DÉMIPHO
je lui dirai que vous en avez affaire. La scene huitieme du deuxieme acte des Fourberies de Scapin est faite d’après celle-
54 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
i répond bée, & prend la fuite.   Extrait de la Piece moderne. Acte I. Patelin tout déguenillé forme le dessein de se
étend qu’il est difficile d’être honnête homme lorsqu’on est pauvre. Acte II. M. Guillaume va frapper à la porte de Patelin
n lui ordonne de répondre bée à toutes les questions qu’on lui fera. Acte III. Bartholin Juge donne audience, Agnelet y par
Auteurs modernes, M. Guillaume n’entre pas en matiere si facilement. ACTE I. Scene V. PATELIN, M. GUILLAUME. Patelin. Bo
es est plus tenace ; Patelin a beaucoup plus de peine à s’en défaire. ACTE II. Scene III. . . . . . . . . . M. Guillaume. O
nt, & refuse en conséquence sa porte à Phædria son nouvel amant. Acte I. Phædria, piqué contre Thaïs, jure de ne plus l
le une esclave d’Ethiopie, avec un Eunuque dont il lui fait présent. Acte II. Phædria recommande encore à Parmenon de condu
attend, & de le mettre à portée par-là de voir celle qu’il aime. Acte III. Parmenon conduit à Thaïs l’esclave d’Ethiopi
ition, & en raconte toutes les circonstances à son ami Antiphon. Acte IV. Le Capitaine est jaloux de Chrémès. Il veut r
rès, en disant à ses braves soldats d’aller se reposer à la cuisine. Acte V. Cherea n’a pu quitter son habit d’eunuque. Il
il voit entrer le Capitaine, il le croit son rival, il est furieux. Acte I. Timante ordonne à son valet Frontin de cherche
en sorte que le Chevalier déplaise à son pere par quelque fredaine. Acte II. On conduit Zaïde chez la Comtesse ; Frontin l
e, & Frontin s’applaudit d’avoir enfermé le loup avec la brebis. Acte III. Zaïde aime le Chevalier, voudroit le fuir, &
erver son fils, & s’il ne veut pas devenir paralytique lui-même. Acte IV. Zaïde se détermine à fuir la maison de la Com
Simon au fils de Crésus, qui parla après avoir été long-temps muet. Acte V. Timante gronde Frontin d’avoir engagé son frer
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50
noncer ensuite sur le titre qu’ils lui méritent. LE JOUEUR, en cinq actes & en vers. Cette piece parut pour la premi
prit & son cœur sont également coupables. LE DISTRAIT, en cinq actes , en vers. Cette piece fut représentée pour la
alons, & que sa chemise est pardessus ses chausses. LE DISTRAIT. Acte  II. Scene III. Léandre en arrivant sur la scene
emander son masque, lorsqu’elle l’avoit sur son visage. LE DISTRAIT. Acte  II. Scene III. Léandre. Carlin, va me chercher
st nouveau, il s’assied, il se repose, il est chez lui. LE DISTRAIT. Acte  II. Scene VI. Léandre est avec Clarice : Carlin
ette dans la riviere, comme une chose qui l’embarrasse. LE DISTRAIT. Acte  III. Scene VII. Léandre a donné ordre à Carlin
nt écoutée avec attention, n’aviez-vous que celui-là ? LE DISTRAIT. Acte  IV. Scene VI. Le Chevalier veut persuader à Léa
aquais monsieur, & son ami il l’appelle la Verdure. LE DISTRAIT. Acte  II. Scene I. Carlin. . . . . . . . . . C’est un
est amenée par force, & qu’elle n’est pas du tout dans la nature. ACTE IV. Scene IX. LÉANDRE écrivant, CARLIN. Carlin
intérêt qui regne dans la piece. LE RETOUR IMPRÉVU, comédie en un acte , en prose. Cette piece fut représentée, pour l
s sa comédie intitulée les Esprits, & Montfleury, dans le premier acte du Comédien poëte, en avoient fait usage avant Re
Clitandre, qui fait mille fausses caresses à Géronte. LA MOSTELLAIRE. Acte  II. Scene II. THEUROPIDE, TRANION. Theuropide
à l’usurier, & promet de le satisfaire dans peu. LA MOSTELLAIRE. Acte  III. Scene I. L’Usurier demande à Tranion si son
ire, & qui alloit si bien à son sujet ? Le voici. LA MOSTELLAIRE. Acte  III. Scene II. (Les deux vieillards & Tran
t rendu ses beautés & ses défauts, avec la différence que de cinq actes en vers il n’en a fait qu’un en prose. Nous ne di
ui rapetisse les objets. LES FOLIES AMOUREUSES, en vers, en trois actes . Cette comédie fut jouée, pour la premiere fo
icacité des mots magiques1 ? LES MENECHMES ou LES JUMEAUX, en cinq actes en vers. Cette comédie parut, pour la premier
? Le nom de baptême, les qualités du légataire, ne sont-ils pas sur l’ acte public ? Est-il dans la nature que le Chevalier a
la sorte Horace & Juvenal 4. LE LÉGATAIRE UNIVERSEL, en cinq actes , & en vers. On joua cette comédie pour la
d Géronte ? « Le fourbe a pris ses précautions, va-t-on s’écrier ». Acte  IV. Scene V. Crispin, à Eraste. Vous, Monsieur,
ur cela, que Regnard ne les prît pas dans le voisinage du vieillard. Acte  I. Scene II. Lisette, à Crispin. Je n’ai pas eu
thenes, sera joué par un petit-maître François jaloux de sa frisure. Acte  III. Scene II. THALER, AGÉLAS. Thaler. Et l’
s le même temps & dans la même ville, Strabon parle de clochers. Acte  I. Scene II. . . . . . . . . . Et la nuit, quan
56 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
signatures souvent dissemblables par lui apposées au bas de plusieurs actes dressés par des notaires ou des officiers de l’ét
cette jolie scène du Bourgeois gentilhomme (la neuvième du troisième acte ) où Cléante, après avoir stigmatisé les torts et
droit et tourne la justice.                                         ( Acte V, sc. I.) Vauvenargues est plus rigoureux encor
is la sœur d’Armande ? Et si vous insistez tant sur le respect dû aux actes authentiques qui la représentent comme sœur aînée
ssent pas d’une certitude suffisante ? C’est qu’en effet, de tous ces actes , il n’y en a qu’un seul qui compte, le premier. C
fille des époux Béjart-Hervé perd à l’instant toute créance. Or, cet acte est mensonger en effet ; il contient deux déclara
isée a renoncer, en leur nom, à la succession paternelle. C’est là un acte unilatéral et que personne ne contrôle. En pareil
teur ou de la mère tutrice ; ils ne réclament point la production des actes de naissance des enfants ; ils s’en remettent au
a cette époque, aussi rigoureusement déterminé que de nos jours ; les actes d’état civil n’étaient pas encore dressés, bien s
eur majorité permettait d’éviter cette complication de procédure ; un acte pouvait suffire au lieu de trois ; on n’en fit qu
pas davantage pour expliquer l’irrégularité de la déclaration. » Les actes de l’état civil, c’est-à-dire les actes constatan
ité de la déclaration. » Les actes de l’état civil, c’est-à-dire les actes constatant les baptêmes, les mariages et les inhu
étaient dressés par les curés, et en effet assez mal tenus. Mais ces actes n’ont rien à faire ici. Bien différents étaient c
dépassé vingt-cinq ans ; mais, pour simplifier et ne faire qu’un seul acte de renonciation, considérons-les aussi comme mine
ation est un leurre : majeurs et mineurs peuvent renoncer par un seul acte , et, pour ce qui est des frais, quand même on fer
usse maternité. Elle éclate, cette fausse maternité, dans deux autres actes importants, le contrat de mariage de Molière avec
ait espéré d’abord, et que sans doute elle transféra à son gendre par acte privé, car la quittance de la dot ne porte point
nion que mes arguments ont inspirée à M. Brunetière, à savoir que les actes dont on s’autorise pour faire de la femme de Moli
, son testament, l’existence incontestable d’un héritier lésé par cet acte de dernière volonté. Les vraisemblances ici parle
r, en même temps que celle de Geneviève. Il était donc au courant des actes mis au jour par Beffara et Eudore Soulié, et qui
Beffara et Eudore Soulié, et qui constatent cette parenté ; mais, ces actes , il ne croyait pas beaucoup à leur sincérité, car
c’est que Guichard, vivant dans l’intimité d’Armande, connaissait ces actes authentiques auxquels on accorde tant de crédit a
elle qui avait déposé contre lui convaincue d’accusation calomnieuse, acte d’autant plus répréhensible que cette accusation
dans le Figaro que M. Vitu eut occasion de prévenir le public que cet acte de piété filiale était purement chimérique, et dé
dans l’enthousiasme bien naturel que lui causait sa trouvaille, d’un acte de délicatesse et de générosité qui ne s’accorde
u’à sa fille ; ce fut, en effet, Madeleine Molière qui profita de cet acte de prévoyance. » Pocquelin père, quand il fit ce
réclamer. Loin donc que le prêt fait par Molière à son père fût « un acte de bonne administration en même temps qu’une affa
cohéritiers primitifs de son père. Tels sont les faits résultant des actes authentiques sainement interprétés. S’ils laissen
rmules toutes préparées, et l’on en trouve quelquefois d’annexées aux actes d’inhumation des comédiens. » Un écrivain qui jo
u poète fut dans le secret du déplacement, et qu’ainsi s’expliquent l’ acte d’absurde imprévoyance dont elle se rendit coupab
es restes de La Fontaine, ou plutôt il s’imagine les découvrir, car l’ acte de décès du fabuliste atteste qu’il fut inhumé, n
rmules toutes préparées, et l’on en trouve quelquefois d’annexées aux actes d’inhumation des comédiens17. Si Madeleine Béjart
connaît aujourd’hui nombre de signatures de Molière apposées au bas d’ actes notariés ou d’actes de l’état civil20 ; mais ces
nombre de signatures de Molière apposées au bas d’actes notariés ou d’ actes de l’état civil20 ; mais ces signatures, qui, du
’est signée de la sorte. Le fondateur de l’Illustre Théâtre, dans les actes notariés qui constituent l’association dramatique
es deux reçus de Montpellier : c’est un engagement contracté, suivant acte notarié du 28 juin 1644, par le danseur Daniel Ma
ls du tapissier Pocquelin y tenait beaucoup ; il le prend dans divers actes notariés, notamment dans son contrat de mariage e
’origine de deniers que fit à son profit le mathématicien Rohault par acte du 31 août 1668 ; La Grange le lui donne toujours
er portent, il est vrai, tantôt de, tantôt Moliere seulement. Mais un acte authentique qu’il ait signé de cette dernière faç
eux pièces de 1650 et 1656 est d’autant plus étrange qu’on connaît un acte qui se place justement entre ces deux dates et qu
justement entre ces deux dates et qui est signé J.-B. Pocquelin. Cet acte , reçu par Tho-mazet, notaire à Lyon, le 19 févrie
de la forme des lettres, avec celles qui figurent au bas de plusieurs actes authentiques. Tout le monde peut s’en assurer. De
s, et on ne pouvait alors en produire d’autres que les signatures des actes notariés. La nouvelle et heureuse découverte de M
amen aux vingt-cinq ou trente signatures de Molière apposées au bas d’ actes de l’état civil ou notariés, et dont M. Loiseleur
te heure, ses bustes, ses autographes plus ou moins authentiques, les actes civils qu’il a signés, et jusqu’à la poussière de
mort le 29 mars 1685 ; p. 18 de la brochure de M. Her-luison sur les actes d’état civil d’artistes et de comédiens. 18. Il
57 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
te pièce, où nous nous trouverons, du reste, en pays de connaissance. ACTE PREMIER Fulvio et Cintio, tous deux amoureux de l
nt d’accord 24  ». Pour plus de détails, voyez la scène iv du premier acte de L’Étourdi de Molière ; l’imitation est des plu
e lorsque Scapin lui explique dans quel but il avait conçu ce projet. ACTE DEUXIÈME L’étudiant Cintio Fidenzio vient acheter
duite de qui, en sa qualité de correspondant, il est tenu de veiller. ACTE TROISIÈME Cintio s’est déguisé en serrurier pour
les soupçons de Mezzetin et empêche de nouveau le succès de la ruse. ACTE QUATRIÈME Le capitaine Bellorofonte entre en scèn
r son valet. Le capitaine se hâte de reprendre Celia et de l’emmener. ACTE CINQUIÈME Scapin se fait un point d’honneur de t
expression métaphorique qu’emploie Trufaldin à la scène iv du premier acte de L’Étourdi : Et vous, filous fieffés, ou je me
58 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
ur voulait la scène plus exacte, Le vicomte indigné sortait au second acte . L’un défenseur zélé des bigots mis en jeu, Pour
ui doivent composer un poème, on prend droit de dire que le cinquième acte est inutile. Mais il est certain qu’on n’en peut
vir de l’exemple d’Héraclius, tout ce qui se passe avant le quatrième acte ne tient lieu que de préparatifs pour mettre Phoc
. L’on trouvera la même chose dans Timocrate, dont les trois premiers actes ne servent que d’acheminement à mettre la reine d
prenant. » 1658. Le Docteur amoureux Comédie en prose et en un acte , de M. Molière, non imprimée, précédée de Nicomèd
fut celle du Docteur amoureux a. Cette comédie qui ne contenait qu’un acte , et quelques autres de cette nature, n’ont point
e 3 novembre 1658. Cette comédie est la première en vers et en cinq actes que Molière ait composée. Elle fut faite en provi
op vraisemblablea, et le dénouement n’est pas heureux ; le nombre des actes n’est déterminé à cinq que pour suivre l’usage qu
stement admiré. » 1659. Les Précieuses ridicules Comédie en un acte et en prose de M. Molière, représentée sur le thé
autres comédiens jouaient. Ensuite il voulut faire une pièce en cinq actes , et les Italiens ne lui plaisant pas seulement da
ci le titre de cet ouvrage : Les Véritables Précieuses, comédie en un acte , en prose, in-12, Paris, Jean Ribou, 1660. À la t
tulée : Le Procès des précieuses, comédie en vers burlesques et en un acte , Paris, 1660a. Elle est du même Somaize, et n’a p
l ne faut pas oublier La Cocue imaginaire b, comédie en vers et en un acte , composée par M. Donneauc, mais qui n’a pas été r
e temps qu’il parut au théâtre. b. Cette pièce est imprimée en trois actes dans l’édition in-4° des Œuvres de Molière, Paris
l’usage établi à la comédie, où elle a toujours été représentée en un acte . c. Nous adoptons cette date préférablement à ce
troupe italienne, le 10 novembre 1716. Elle est en prose et en trois actes , non imprimée. a. Sganarelle, ou le Cocu imagin
, non imprimée. a. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, comédie en un acte et en vers, dédiée à M. Molière, chef de la Troup
lcipe et de Céphise, ou la Cocue imaginaire, comédie en vers et en un acte , in-12, Paris, Jean Ribou, 1660. c. Cet auteur n
59 (1802) Études sur Molière pp. -355
ière, en s’emparant du fond, eût conservé la nuance. Dans la scène v, acte  IV, Mascarille querelle son maître sur ses distra
n répétée, bien tournée et retournée, sert non seulement à filer cinq actes , mais nous en fournit encore quinze ou vingt autr
uteurs, elles ont toutes une exposition, un nœud, un dénouement. Les actes . — Tous riches en comique de situation, et termin
hes en comique de situation, et terminés de manière à faire désirer l’ acte suivant. La contexture. — Comme les incidents se
pièce, quand voilà tout à coup mon Lélie qui, en ramassant la bourse, acte  Ier, scène vii , étend les bras, s’élance sur la
r, ni du ton faux, ni de l’attitude forcée de l’acteur. À la fin de l’ acte  II, lorsque Mascarille dit à son maître, qui s’ob
t, qu’un enfantillage pour le moins déplacé, et non de l’étourderie. Acte  IV, scène ire , Lélie paraît vêtu en Arménien ; j
que la tradition veut accréditer ne sont pas heureuses ; par exemple, acte  Ie r, scène ii, Mascarille dit à Lélie : Moquez
lissent-ils aussi bien le but de Mascarille ? Dans la scène iii de l’ acte  V, « Andrés tombe des nues, dit un commentateur,
n, Andrés tombera bien plus des nues pour le spectateur. Dans le même acte , la scène xiii est souvent retranchée comme inut
d’apprendre tout ce qu’il doit raconter dans la scène suivante. Même acte , scène xiv , l’on passe le récit que fait la viei
re, et je lui soumettrai celle qui me paraît nécessaire à la fin de l’ acte  III. Trufaldin verse un vase de nuit sur la tête
s au spectateur n’offrez rien d’incroyable. La scène de Métaphraste, acte  II, est tirée du Déniaisé, comédie de Gillet de l
. — Mauvaise ; il faut en convenir, puisqu’elle n’a lieu qu’au second acte , et qu’Ascagne y rend compte de l’avant-scène à u
un an. Quelqu’un dira peut-être : employa-t-il ce temps à composer un acte  ? Nous lui répondrons avec notre auteur : voyons,
e une année durant laquelle Molière ne donna qu’une seule pièce en un acte  ; elle fut jouée sur le théâtre du Petit-Bourbon,
elle, ou le Cocu imaginaire, est tiré d’une comédie italienne en cinq actes , intitulée : Il Ritratto, Le Portrait ; ou Arlech
de Molière, contentons-nous d’extraire de la pièce italienne le seul acte qu’il ait jugé digne d’être imité. Précis de l’
alienne le seul acte qu’il ait jugé digne d’être imité. Précis de l’ acte italien. Magnifico veut marier Eleonora, sa
et durant lesquelles il n’avait mis au jour que deux pièces d’un seul acte , en donna trois dans le courant de celle-ci, Dom
c la française. Précis de Il Principe Geloso, Tragi-Comédie en cinq actes . Don Rodrigue, roi de Valence, voit Delmire,
dition aurait dû s’en rapporter à lui. Par exemple, dans la scène vi, acte  Ier, Ergaste dit à son maître, en parlant du tute
oulu faire rire, ignore-t-il que le public est censé n’être pas là ? Acte  II, scène viii, Valère reçoit une lettre d’Isabel
-t-il pas toute l’absurdité ? Vers le milieu de la scène xiv du même acte , Molière indique « qu’Isabelle, en feignant d’emb
re personne. Dans ce moment, se fait leur véritable mariage ; et cet acte imposant, cet acte… pour ainsi dire religieux… ne
ce moment, se fait leur véritable mariage ; et cet acte imposant, cet acte … pour ainsi dire religieux… ne demande-t-il pas,
se cacher sous un triple voile, lorsqu’elle viendra nous dire au IIIe  acte  : ………… Allons, sans crainte aucune, À la foi d’u
ridicule la question que je vais leur faire. N’importe ; la voici : Acte II, scène ix 26, Valère prie Sganarelle de dire
aiblesse ou dans la force, blesse la vérité ! Veut-on, dès le premier acte , juger un acteur dans le rôle d’Arnolphe, on n’a
ans doute avoir le mérite de la brièveté ; je n’en réclame pas moins, acte  III, scène ire , les vers dans lesquels Arnolphe
Où l’on plonge, à jamais, les femmes mal vivantes ? Je réclame, même acte , scène ii , les maximes du mariage qu’on abandonn
naïveté, pour en faire mieux ressortir le piquant. Je réclame encore, acte  IV, scène v , le monologue que les comédiens rédu
rincipaux chefs de la cabale, affecta de sortir avec fracas au second acte de L’École des femmes, en s’écriant : « qu’il ne
voulait la scène plus exacte, Le vicomte, indigné, sortait au second acte . Un autre original, nommé Plapisson, ne rougit p
einture des mœurs du temps : que faut-il de plus dans une pièce, d’un acte surtout, pour mériter d’être appelée une comédie 
fort mauvais ouvrages. Devisé crut se signaler par une comédie en un acte et en prose, où, pour mettre les femmes de son pa
u peintre, ou la Contre-Critique de l’École des femmes, comédie en un acte et en vers, de Boursault, qui avait cru se reconn
si l’on en croit M. de Montesquieu ; il l’invite à lui en apporter un acte par semaine, lui reproche amicalement d’avoir dér
ns la cinquième ; le soir de la sixième, on essaya les trois premiers actes du Tartuffe ; et le dernier jour, la comédie du M
iage forcé. Cette bagatelle fut d’abord jouée au Louvre, en trois actes , avec des intermèdes, les 29 et 31 janvier, intit
entée le 15 février suivant, sur le théâtre du Palais-Royal, en trois actes , et sans intermèdes, elle prit le titre qu’elle p
rsifier sa pièce que jusqu’à la moitié de la première scène du second acte  ; c’est, dit-on, pour faire sa cour aux deux rein
contre lui, et les faux dévots, qu’alarmaient déjà les trois premiers actes du Tartuffe, empruntèrent le nom d’un sieur de Ro
t loin de penser que le faux médecin soit l’amant de sa fille. Dans l’ acte  II, scène ire , Lisette avance que, « par bonnes
famille ? Belle Philis, on désespère Alors qu’on espère toujours. Acte  II, scène v, Éliante dit : L’amour, pour l’ordin
nt de faire, Il plait à tout le monde et ne saurait se plaire. Même acte , scène vii, Alceste s’écrie : Hors qu’un command
n caractère en opposition avec le sien, et qu’avant la fin du premier acte , composé de trois scènes, on connaît déjà, non se
assez fortes, pour qu’il pût être l’unique objet d’une pièce en cinq actes , le met en opposition avec une prude, un bel espr
temps ; qu’on juge par là du plaisir qu’on aurait si, dans le second acte du Misanthrope, les personnages qui composent le
’impatience de Louis XIV ne permit pas d’achever, ne parut qu’en deux actes  ; elle fit partie du Ballet des Muses, donné à Sa
x ! et par où commencer ? Après la représentation des trois premiers actes de cette comédie, qui eut lieu, comme nous l’avon
des gens capables de la juger avec discernement ». Ces trois premiers actes furent encore joués à Villers-Cotterêts, chez Mon
d’un rapport fondé sur des faits. Orgon, pressé par son beau-frère, acte  I, scène vi , de tenir la parole qu’il a donnée à
iel voudra de Molière, a bien plus le mérite de l’à-propos. Molière, acte  II, scène iii , par ce vers : Ah ! pour être dév
he amore mi constrigne a cosi fare. Molière faisait dire à Tartuffe, acte  III, scène vi  : Ô ciel ! pardonne lui comme je
r un écolier : quelle erreur ! c’était l’auteur d’une comédie en cinq actes  ; il me prie d’entendre sa pièce, et de lui en di
e aux jolies mines, dès qu’elle blesse la raison. Par exemple, dans l’ acte  V, scène iv, Dorine, quoique très applaudie, a un
menacer Elmire du poing, en quittant la scène, à la fin du quatrième acte  ; outre qu’un pareil geste blesse toutes les conv
déjà été découvert pour ce qu’il est par un homme caché, au troisième acte  ; Molière se sert ici du même moyen à peu près, l
ante dont je parle me semble négliger un peu trop cette règle. Dans l’ acte  I, scène vi, Orgon et Cléante sont seuls ; le pre
gé d’une convalescente peut avoir sa coquetterie, même son opulence. Acte  III, scène iii, Tartuffe met la main sur les geno
baise point le bras qu’on lui présente si complaisamment. Elmire dit, acte  IV, scène iv  : Au moins je vais toucher une étr
que, pour prolonger son bonheur, il a triplé la durée de la nuit. Acte premier. Sosie, tremblant parce qu’il est nui
chez Alcmène, et le renvoie vers le port, à grands coups de bâton. Acte deux. Amphitryon arrive avec Sosie, qu’il gro
a chercher des témoins pour attester la vérité de ce qu’il avance. Acte trois. Jupiter, toujours sous la figure d’Amp
à Jupiter, il ordonne à Sosie d’aller inviter le pilote Blépharon. Acte quatre. Amphitryon n’a pas trouvé les témoins
mais Jupiter vient mettre le holà, et Sosie se range de son parti. Acte cinq. La servante d’Amphitryon annonce qu’Alcm
rimailleurs du temps avaient persuadé au public qu’une pièce en cinq actes devait être rimée pour avoir quelque mérite ; et
il fou, et nous prend-t-il pour des grues, de nous faire essuyer cinq actes de prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravagance !
s, et qu’Harpagon est déjà prévenu contre son intendant. Le cinquième acte de la pièce de Plaute n’était point parvenu en en
as, a tendu deux fils qui ne devaient servir à rien. Harpagon, dans l’ acte  Ier, scène vi , annonce qu’il destine une veuve à
Ier, scène vi , annonce qu’il destine une veuve à son fils, et dans l’ acte  IV, scène ire , Frosine veut dégoûter Harpagon de
es plus grandes difficultés ; on n’est pas aisément bête pendant cinq actes , et l’acteur est perdu, si quelques naïvetés, son
aractère, le titre l’annonce. Les divertissements. — Ceux du premier acte sont bons, parce qu’ils nous peignent l’extravaga
ce du héros. Il est encore tout simple que dans l’intermède du second acte , les garçons tailleurs dansent pour se réjouir de
, nous pouvons assurer que, placée entre le quatrième et le cinquième acte , elle refroidit nécessairement le spectateur, et
il lui disait : comme cette cérémonie est longue. Encore un reproche, acte  IV, scène ii , madame Jourdain surprend son époux
faites. Un dialogue précis rempli d’images agréables : des scènes, un acte inutiles. Le ridicule versé à pleines mains sur l
a poésie lyrique. Corneille. La pièce, à l’exception du premier acte et des premières scènes du second et du troisième
au chien du logis il s’efforce de plaire. Dans l’Asinaire de Plaute, acte  Ier, scène iii , une matrone donne ce conseil à u
moins négliger, et je leur offre pour modèle la cinquième scène de l’ acte  III des Femmes savantes. Vadius et Trissotin s’y
ns doute à remarquer combien il a fallu d’invention pour trouver cinq actes dans un sujet aride ; combien il a fallu d’art po
dans un sujet aride ; combien il a fallu d’art pour nourrir ces cinq actes , d’une fable toujours vive et variée, sans l’emba
sous le titre de Ballet des Ballets. Ces deux pièces composaient sept actes qui étaient précédés d’un prologue, et qui étaien
pprimée ; mais il en détacha La Comtesse d’Escarbagnas, comédie en un acte , qu’il fit paraître à Paris, avec succès, en juil
nne pour certain que le nom de cette dame ne se trouve point dans les actes par lesquels la terre du Bagnas a passé d’une fam
rir les hommes d’une maladie aussi universelle que dangereuse. Chaque acte , chaque scène, chaque mot de sa pièce nous l’ont
des beautés qui ont échappé à l’auteur ; par exemple, dans le dernier acte , scène xxi, Angélique fond en larmes aux pieds de
rs : C’est un homme… qui… ah !… un homme… un homme enfin. Tartuffe, acte  I, scène vi . 1. Il y a dix ans qu’un libra
elques éditeurs ont cru que la pièce avait été faite d’abord en trois actes , et ce n’est pas sans fondement, puisque le théât
résents et à venir, sur le mot tarte à la crème : si après avoir dit, acte  I, scène ire , je veux qu’elle réponde , ils s’
icule du poète de qualité vous désigne bien davantage ». 47. Dans l’ acte  i, scène ire , Alceste dit : Non, l’amour que je
fauts en moi n’affaiblit pas la preuve. Le changement que l’on fait, acte  II, scène ire , ne me paraît pas aussi satisfais
’on gâte une pièce dans laquelle il y a du trait, de la verve, un bel acte , en osant l’intituler Le Philinte de Molière. 52
s, il est bon cependant d’avertir qu’on trouvera dans celui du second acte , une des premières imitations qu’on ait faites de
a pris, mot à mot, et le sonnet et l’épigramme que débite Trissotin, acte iii, scène ii. Boileau, dit un commentateur, les
60 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
n prose ne pouvoit pas être bonne, sur-tout lorsqu’elle étoit en cinq actes . Moliere donna son Festin de Pierre en prose, &am
uve par le portrait que la Fleche fait d’Harpagon à Frosine. L’AVARE. ACTE II. Scene V. LA FLECHE, FROSINE. La Fleche. Je s
en vers qu’en prose ; témoins les vers suivants : LE DÉPIT AMOUREUX. ACTE I. Scene III. VALERE, ERASTE, GROSRENÉ. Eraste.
r la scene suivante comme un exemple singulier : en voici une partie. ACTE III. Scene X. ALBERT, VALERE, MASCARILLE. Masc
trion en général. Je choisis une tirade des plus courtes. AMPHITRION. ACTE II. Scene III. ALCMENE, JUPITER sous la figure d
fe. Je cite les premiers qui me tombent sous la main. LE MISANTHROPE. ACTE I. Scene I. Alceste. Non, elle est générale, &am
Citons un exemple plus considérable. LE SICILIEN, ou L’AMOUR PEINTRE. ACTE I. Scene II. Il fait noir comme dans un four. Le
voir ici un échantillon. LES BOUTADESDU CAPITAN MATAMORE,Comédie d’un Acte . Scene II. ANGÉLIQUE, MATAMORE, ALISON. Angéliq
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349
l’effet qu’ils produisent. LE SAGE ÉTOURDI, Comédie en vers, en trois actes . Léandre, jeune homme de vingt ans, est sur le p
arge d’obtenir de la tante un délai de trois mois, il le lui demande. ACTE II. Scene I. Éliante. Rassurez votre esprit : di
’épouser, & il combat l’antipathie que son ami a pour le mariage. ACTE II. Scene III. . . . . . . . . . . . . . . . . .
est d’un autre avis & qui vante les charmes de la douce paresse. ACTE III. Scene III. . . . . . . . . . . . . . . . .
s se borner à une seule, sur-tout quand on a l’ambition de faire cinq actes . Moliere ne s’est pas borné à peindre dans son Av
ne des meilleures. LE JALOUX HONTEUX, Comédie en prose, & en cinq actes . ACTE II. Scene VII. LE PRÉSIDENT, LA PRÉSIDENT
eilleures. LE JALOUX HONTEUX, Comédie en prose, & en cinq actes. ACTE II. Scene VII. LE PRÉSIDENT, LA PRÉSIDENTE. Le P
es comédies charmantes, n’auroit pas été forcé de la réduire en trois actes pour en conserver les beautés.
62 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
représentation : l’usage était alors de versifier les pièces en cinq actes , et le public sut mauvais gré à Molière d’avoir d
Bourgeois gentilhomme au rang des chefs-d’œuvre, si les deux derniers actes n’étaient sacrifies aux charges trop grotesques d
r voulait la scène plus exacte ; Le vicomte indigné sortait au second acte  ; L’un, défenseur zélé des bigots mis en jeu, Pou
ui fit cadeau du sujet de La Thébaïde, dont il distribua lui-même les actes et divisa les scènes. Arrivés au sommet de leur a
t le plus trivial. La Feinte Mort de Jodelet, comédie en vers, en un acte , 1660. La Noce de village, comédie en vers, en u
n vers, en un acte, 1660. La Noce de village, comédie en vers, en un acte , 1666. Le Jaloux invisible, comédie en, vers, en
s, en un acte, 1666. Le Jaloux invisible, comédie en, vers, en trois actes , 1666. L’Infante Salicoque, ou Les Héros de roma
es, 1666. L’Infante Salicoque, ou Les Héros de romans, comédie en un acte , non imprimée, août 1667. L’Ombre de Molière, co
non imprimée, août 1667. L’Ombre de Molière, comédie en prose, en un acte , 1674. Timon, comédie en un acte, 1684. Brécourt
de Molière, comédie en prose, en un acte, 1674. Timon, comédie en un acte , 1684. Brécourt avait épousé la demoiselle N. Éti
Le Rendez-vous des Tuileries, ou le Coquet trompé, comédie en trois actes et en prose, avec un prologue. Les Enlèvements,
actes et en prose, avec un prologue. Les Enlèvements, comédie en un acte et en prose. L’Homme à bonnes fortunes, comédie
e en un acte et en prose. L’Homme à bonnes fortunes, comédie en cinq actes et en prose. La Coquette, ou la Fausse Prude, co
actes et en prose. La Coquette, ou la Fausse Prude, comédie en cinq actes et en prose. Le Jaloux, comédie en cinq actes et
Prude, comédie en cinq actes et en prose. Le Jaloux, comédie en cinq actes et en vers. Les Fontanges maltraitées, ou les Va
et en vers. Les Fontanges maltraitées, ou les Vapeurs, comédie en un acte en prose. La Répétition, comédie en un acte et e
s Vapeurs, comédie en un acte en prose. La Répétition, comédie en un acte et en prose. Le Débauché, comédie en cinq actes
tition, comédie en un acte et en prose. Le Débauché, comédie en cinq actes et en prose. L’Andrienne, comédie en cinq actes
ché, comédie en cinq actes et en prose. L’Andrienne, comédie en cinq actes et en vers. Les Adelphes, ou l’École des pères,
ctes et en vers. Les Adelphes, ou l’École des pères, comédie en cinq actes et en vers, imitée de Térence ainsi que la précéd
nt sa femme sous le nom de Lucile dans la neuvième scène du troisième acte du Bourgeois gentilhomme, entre Covielle et Cléon
ment. 2. M. Beffara a trouvé dans les registres de Saint-Eustache un acte duquel il résulte que Molière fut baptisé en 1622
e un acte duquel il résulte que Molière fut baptisé en 1622 ; mais un acte de baptême n’est pas toujours un acte de naissanc
e fut baptisé en 1622 ; mais un acte de baptême n’est pas toujours un acte de naissance. Nous avons adopté l’opinion des pri
,      Et pour rendre la scène exacte,      Il se fait raser à chaque acte . 8. Si l’on s’en rapporte à l’extrait baptista
fleury se plut à répandre sur Molière, lors même qu’on n’aurait pas l’ acte de mariage de ce dernier avec Armande Béjart, qui
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
CHAPITRE XIV. Le Médecin malgré lui, comédie en trois actes , en prose, comparée, pour le fond & les détai
sources dans lesquelles il a puisé. Extrait du Médecin malgré lui. Acte I. Sganarelle est un bûcheron libertin, qui mange
qu’on veut, sur-tout lorsqu’on lui promet qu’il gagnera de l’argent. Acte II. Valere & Lucas vantent à M. Géronte le Mé
die de Lucinde n’est que feinte ; il s’engage pour lors à la guérir. Acte III. Léandre est déguisé en apothicaire. Sganarel
evas italien. Extrait du Médecin volant, de Boursault, comédie en un acte & en vers, représentée sur le théâtre de l’Hô
se, & il l’étrilloit sans s’émouvoir. Dans la scene VI du premier acte , Sganarelle chante ce couplet :    Qu’ils sont d
piece de M. de Visé, intitulée Zélinde, comédie en prose & en un acte , faite en 1663. Ce qu’il y a de singulier, c’est
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
CHAPITRE VI. L’Ecole des Maris, Comédie en trois actes & en vers, comparée pour le fond & les dé
s de Vega Carpio ; la Femme industrieuse, comédie en vers & en un acte , par Dorimon. Cette piece peut passer pour un mo
en lui donnant la main. La Femme industrieuse, Comédie en vers en un acte  ; par Dorimon. Isabelle, femme du Capitan, est a
une passion dont elle connoît toute la sincérité ; témoin ces vers : ACTE I. Scene V. Valere, voyant Sganarelle. Ergaste,
et Argus que j’abhorre, Le sévere tuteur de celle que j’adore. Même Acte . Scene VI. Valere. Par-tout où ce farouche a con
ens ont tâché chaque jour De pouvoir expliquer l’excès de mon amour. ACTE II. Scene XI. Sganarelle, à Isabelle. Mais il m’
les yeux sur quelques détails que notre comique a pris chez Térence. ACTE I. Scene II. Ariste. Mon frere, son discours ne
rnir à cette dépense, & jusqu’ici tout cela ne m’a pas chagriné. ACTE I. Scene II. Sganarelle. Quoi ! si vous l’épouse
s’entend. Sganarelle. Cela s’entend.Allez, vous êtes un vieux fou. ACTE IV. Scene VII. Déméa trouve mauvais que Micio so
ez de la partie. Déméa. Ah ! mon Dieu ! n’avez-vous point de honte ? ACTE I. Scene IV. Sganarelle, seul. Quelle belle fami
out, perdroit sens & raison A vouloir corriger une telle maison. ACTE IV. Scene VII. Déméa, seul. Grands Dieux ! quell
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
e, que Moliere fit jouer la Princesse d’Elide, comédie-ballet en cinq actes .... « Cette piece réussit dans une Cour qui ne re
mes ». LES AMANTS MAGNIFIQUES, Comédie-Ballet en prose & en cinq actes , représentée devant le Roi à Saint-Germain, au mo
es yeux sur ceux de Pourceaugnac, & voyons comme ils sont amenés. ACTE I. Scene I. Eraste, aux Musiciens. Suivez les or
ce n’est pas le beau de la piece, & qu’on devroit le retrancher. ACTE II. Scene XIII. Deux Avocats, deux Procureurs, de
rocureurs & les Sergents : on devoit supprimer aussi les Avocats. ACTE III. Scene derniere. Une Egyptienne & un Eg
uer Britannicus ; il fut frappé des vers que Narcisse débite à Néron, acte IV, scene IV. Quoi donc ! ignorez-vous tout ce q
66 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Scenes. » pp. 223-249
p; réunies ensemble, composent un poëme dramatique en un ou plusieurs actes . D’après cela, il est aisé de conclure que chaque
ens de parler. Je donne la préférence à la cinquieme scene du premier acte de l’Ecole des Maris. Valere. Ergaste, le voilà
l’autre de ces parties essentielles. La cinquieme scene du quatrieme acte de l’Imposteur est dans ce cas. Elmire engage Tar
promis de rapporter lorsque j’aurois multiplié les raisons pour cela. ACTE IV. Scene VII. Tartufe, sans voir Orgon. Tout co
mner, qu’on daigne m’entendre, & lire avec moi la scene suivante. ACTE II. Scene V. ELIANTE, PHILINTE, ACASTE, CLITAND
. Point du tout ; ne vous y attendez pas. Nous ne sommes qu’au second acte  ; & lorsque, dans le cinquieme, Célimene se v
n vainqueur, ce sera l’homme au sonnet qui commencera à l’en presser. ACTE V. Scene II. CELIMENE, ORONTE, ALCESTE. Oronte.
our lui. Par exemple, dans George Dandin, le héros appelle son valet. ACTE III. Scene III. George Dandin. Hola, Colin. Coli
r Maître le leur ordonne. Ils n’ont pas d’autre raison à nous donner. ACTE III. Scene I. Harpagon. Allons, venez çà tous.
ort n’a pas besoin de nous dire pourquoi il quitte la scene. L’AVARE. ACTE II. Scene IV. Harpagon, à son fils. Ote-toi de m
us dire, en rentrant, ce qu’il vient faire : nous le savons. L’AVARE. ACTE I. Scene VII. Harpagon. Ouais ! il me semble que
e se reconnoissent réciproquement pour le prêteur & l’emprunteur. ACTE II. Scene II. M. Simon, montrant Cléante. Monsie
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468
on voit le héros emprunter jusqu’à son nom de la manie qui le domine. ACTE I. Scene VI. Damis. De mes admirateurs tout cet
rsqu’il seche dans l’impatience d’apprendre le succès de son ouvrage. ACTE V. Scene I. Damis, seul. Je ne me connois plus a
resse de Lisette qui conseille à Francaleu d’exclure ce même Dorante. ACTE II. Scene III. Lisette. Je vous en avertis, il e
a Métromanie. Il en est ainsi des deux charmantes scenes du quatrieme acte , lorsque Dorante, prenant Lisette pour Lucile, l’
scene, d’un air fier, la tête haute ; c’est très bien : écoutons-le. ACTE II. Scene X. (Le Comte entre en marchant à grand
usivement, nous passons tout de suite à la troisieme scene du premier acte . Harpagon met à la porte la Fleche, parceque ses
moment ? & l’avons-nous perdu nous-mêmes un seul instant de vue ? ACTE II. Scene I. Cléante demande à la Fleche s’il a t
& la quitte en feignant d’aller joindre quelqu’un qui l’appelle. ACTE III. Scene I. Harpagon, obligé de donner à souper
sort en se plaignant de son fils, qui a, dit-il, envie de le ruiner. ACTE IV. Scene I. Cléante, Marianne, Elise & Frosi
; les fauxbourgs : il se pendra lui-même s’il ne retrouve son argent. ACTE V. Scene I. Harpagon vient avec un commissaire, &
68 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
contient une mention curieuse de la représentation des trois premiers actes du Tartuffe. Des éditeurs de Molière en ont altér
essé par le temps, non seulement ne put écrire en vers que le premier acte de sa pièce et la moitié de la première scène du
premier acte de sa pièce et la moitié de la première scène du second acte , mais encore fut forcé d’ébaucher ou de tronquer,
masses, au lieu d’en peindre avec soin les détails ; multipliant les actes , apparemment pour multiplier les divertissements
éparer, il semble avoir quelquefois manqué de matière, et son dernier acte principalement n’est, pour ainsi dire, qu’une der
ment plus naturel et plus intéressant ; enfin, il a resserré en trois actes bien remplis la pièce divisée par Molière en cinq
erré en trois actes bien remplis la pièce divisée par Molière en cinq actes trop courts et pourtant quelquefois trop vides. D
Tartuffe avait précédé celle du Festin de Pierre ; les trois premiers actes avaient été représentés aux fêtes de Versailles,
presque aussi souvent qu’elle peut l’être, puisque la scène change d’ acte en acte ; et Molière a peut-être voulu qu’il en f
aussi souvent qu’elle peut l’être, puisque la scène change d’acte en acte  ; et Molière a peut-être voulu qu’il en fût ainsi
ement pressé par les ordres du roi, qu’il ne put mettre en vers qu’un acte de sa comédie, Marigny ajoute spirituellement : «
69 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
Jodelet Maître & Valet. LE PORTRAIT D’ARLEQUIN, Canevas en trois actes . Celio, maître d’Arlequin, est depuis quelque t
, & ignore par conséquent s’il doit s’en venger. Voilà le premier acte  ; on m’avouera qu’il est riche. Arlequin & A
’avouera qu’il est riche. Arlequin & Argentine ouvrent le second acte  : l’un a envie de donner son portrait & n’ose
Celio qui a trahi tous les droits de l’hospitalité. Dans le troisieme acte , Arlequin ne sait plus ce qu’est devenu son portr
ettre ; tout le monde sait qu’un Auteur pourroit sans peine faire dix actes par le secours d’un billet sans dessus.
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVI. De l’opposition des Caracteres. » pp. 398-416
es scenes que le Dissipateur & l’Honnête Fripponne font ensemble. ACTE II. Scene II. Cléon a vendu une terre dont l’Hon
arice : au contraire, c’est en dépit de tout le monde qu’il les fait. ACTE IV. Scene II. Cléon est surpris que son oncle lu
caractere ; par conséquent point de comique, point de trait saillant. ACTE V. Scene V. Julie a ruiné Cléon au jeu, il vient
es agréments de sa vivacité, & met en jeu son humeur capricieuse. ACTE II. Scene II. CÉLIANTE, DAMON. Damon. Vous voule
lle fait donner la préférence aux acteurs subalternes sur le premier. ACTE III. Scene VII. Céliante entreprend la conquête
anglerois ! . . . . . . . . . . . . . . Enfin Céliante, au cinquieme acte , est en opposition avec presque tous les acteurs,
hilosophe, pour Mélite, dont on leur a vanté la douceur, la modestie. ACTE V. Scene VII. LISIMON, GÉRONTE, DAMON, CÉLIANTE,
e vaut tout le rôle du Dissipateur, si l’on en excepte le dénouement. ACTE III. Scene V. Plus on aime l’argent & moins
le charme de l’ame. 71. L’Auteur convient lui-même du contraste. ACTE I. Scene IV. Pasquin. Oui, ma foi, le contraste
71 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
et de l’élégant. Ce qui leur convenait le mieux, c’étaient de petits actes musqués, quintessenciés, madrigalisés comme leur
re. C’était, comme le dit d’Alembert, « une adoption posthume ». Cet acte , qui faisait honneur à la Compagnie, lui attira p
oup le public anglais. Vous savez que L’Étourdi reproduit durant cinq actes et à satiété, la même situation, qui revient sous
aptiste Poquelin fut baptisé le 15 janvier 1622. Voici la teneur de l’ acte de baptême de Molière, inscrit sur les registres
, Pocquelin, et même Poclin, Poclain et Pauquelin. On remarque que l’ acte de baptême ne porte que le nom de Jean, et non ce
Honoré. Mais la désignation reste identiquement la même dans tous les actes de cette période « rue Saint-Honoré, paroisse Sai
e la rue des Vieilles-Étuves qui se nomme maintenant rue Sauval3. Les actes de fiançailles et de mariage de Jean Poquelin, le
bué ce rôle, mais celui-ci étant mort en 1626, ainsi que l’a prouvé l’ acte mortuaire retrouvé par M. Beffara, on a été oblig
rouve sur les lèvres de la douce Éliante, scène cinquième du deuxième acte du Misanthrope. On a supposé aussi qu’à la même
renonciation dont nous venons de parler. Cela se voit dans plusieurs actes et contrats, notamment dans l’acte de baptême du
rler. Cela se voit dans plusieurs actes et contrats, notamment dans l’ acte de baptême du 10 janvier 1650 à Narbonne. Le frèr
en 1618, vingt-cinq ans. Geneviève Béjart, si l’on s’en rapporte à l’ acte de mariage du 19 septembre 1672, n’aurait eu que
ptembre 1672, n’aurait eu que onze ans, et, si l’on s’en rapporte à l’ acte d’inhumation de juillet 1675, que douze ans, à ce
, à cette date de 1643. Une erreur semble bien probable dans ces deux actes , car à onze ou douze ans, on ne l’aurait point fa
illustre Théâtre, l’adjectif illustre étant alors fort à la mode. Cet acte est trop important pour n’être pas donné ici text
S A. MARESCHAL Marie HERVÉ Françoise LESGUILLON DUSCHESNE FIEFFÉ Cet acte est du plus haut intérêt pour la biographie de Mo
ciales, et en arriver finalement à son véritable point de départ, à l’ acte de constitution du 30 juin 1643. C’est l’une des
ent la carrière théâtrale du grand comique. Cependant il ressort de l’ acte lui-même que ces jeunes gens s’étaient exercés dé
it né vers 1610 et avait par conséquent environ 33 ans. Dans tous les actes où il figure comme acteur de l’Illustre Théâtre,
ût 1643, des sommes de 172 et de 160 livres. On le voit dans un autre acte signer Georges La Couture, un nom de guerre sans
ans doute. La qualité de maître écrivain à Paris qu’il prend dans les actes d’emprunt a fait supposer qu’il était cet ancien
âtre. Elle entra plus tard au théâtre du Marais. Marie Hervé signe l’ acte , comme Françoise Lesguillon, non en qualité d’act
cette apparente dualité. Ce qui est certain c’est que la minute de l’ acte du trente juin 1643 porte bien en toutes lettres
eries et transformer enfin le jeu de paume en salle de spectacle. Par acte du 31 octobre, quatre « maîtres joueurs d’instrum
e ville, c’est de signer, par-devant maître Cavé, notaire à Rouen, un acte de procuration donnant tout pouvoir à un mandatai
vaux de la salle de Paris, afin qu’elle soit prête à leur retour. Cet acte est signé par les dix signataires du contrat du 3
prince, et ce titre honorable ne lui fut pas d’une grande utilité. Un acte notarié du 28 juin contient l’engagement d’un dan
q sous de plus, les jours où il jouera. Les comédiens énumérés dans l’ acte sont : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, Germa
avec la particule. On peut remarquer l’absence de tous les Béjart. L’ acte d’engagement du danseur porte le nom d’un nouveau
te apparence, représentées par Molière et ses compagnons. Deux autres actes , l’un du 1er juillet 1644, l’autre du 9 septembre
Bonnenfant, le clerc de procureur, s’est déjà retiré de la troupe. L’ acte du 9 septembre est relatif à un prêt de onze cent
au Petit-Bourbon, jouait encore les deux tragédies mentionnées dans l’ acte  de 1644. ainsi qu’on le voit par le registre de L
par une dette de deux mille six cents livres, ainsi qu’il résulte des actes publiés par M. Eud. Soulié. Molière et ses compag
 acteurs qui composaient la troupe au moment de ce départ. Le dernier acte souscrit en commun par les comédiens de l’Illustr
lle en a reconstitué en partie l’itinéraire capricieux. Deux sortes d’ actes ont servi particulièrement dans ces recherches :
e ; puis une représentation au profit des hospices. Une autre sorte d’ actes n’a pas été moins utile pour suivre les comédiens
as été moins utile pour suivre les comédiens à la trace ; ce sont les actes de baptême. Les comédiennes de la troupe étaient
se extrême À rendre par sa mort tous vos désirs contents. (L’Étourdi, Acte II, scène 1.) Mais il met ces paroles dans la bo
en Vendée. On lit sur les registres de l’Hôtel-de-Ville de Nantes les actes suivants : « Du jeudi 23e jour d’avril mille six
op souvent, par le greffier du bureau de la ville de Nantes. Un autre acte achève de dissiper tout ce qui pouvait subsister
près des autorités municipales, étant plus âgé et plus expérimenté. L’ acte de naissance du 18 mai montre que Marie Hervé acc
alla très probablement à Fontenay-le-Comte en Vendée. Il résulte d’un acte de procureur retrouvé par M. B. Fillon, contenant
emblance, qu’une simple redondance de style, sans autre intention. Un acte de baptême (26 ou 27 décembre de cette année 1649
oint Molière qui avait adressé cette requête. En janvier 1650, nouvel acte de baptême où Molière, ou plutôt Jean-Baptiste Po
ous avions donné dans notre première édition une transcription de cet acte certifiée conforme par les archivistes et bibliot
tre que Mlle de Brie, et Julien Meindre de Rochessauve figure dans un  acte du 22 février 1655, passé à Montpellier, comme ca
les mêmes provinces, un peu plus tard, en 1657. Nous voyons, par des actes publiés par M. Jules Rolland19, qu’elle avait un
800 livres), ce qui est un poids respectable. Il résulte de ces mêmes actes que ces troupes comiques, quand leurs services ét
jart. La bénédiction nuptiale fut donnée aux époux le 23 fevrier. Les actes authentiques ont été publiés par M. Brouchoud. Un
. La présence de la troupe à Montpellier en janvier 1654 résulte d’un acte de baptême du 6 de ce mois. Voici cet acte, relev
janvier 1654 résulte d’un acte de baptême du 6 de ce mois. Voici cet  acte , relevé sur le registre de l’Église paroissiale d
rmite. » Au mois de mars, la troupe est revenue à Lyon ; ce sont des actes de baptême qui l’attestent encore : un acte de ba
nue à Lyon ; ce sont des actes de baptême qui l’attestent encore : un acte  de baptême d’un fils de René Berthelot et de demo
oiselle Marquise de Gorla, sa femme24, à la date du 8 mars ; un autre acte du 26, où Marquise Thérèse de Gorla est marraine2
après la clôture des états. Elle est à Lyon à la fin d’avril 1655. Un acte de mariage entre deux comédiens nommés Foulle-Mar
tre fixée vers le 19 ou 21 décembre. Mais peut-être est-ce tirer de l’ acte des états une conclusion qu’il ne comporte point.
Madeleine Béjart, logée au jeu de paume des Braques, à Rouen, par un acte passé devant M. Abraham Moisson et Claude Gruchet
 l’an à Paris accoutumés ». Pour l’accomplissement et entretien dudit acte , Madeleine Béjart élit domicile en la maison de m
e fit représenter, sur le théâtre du Petit-Bourbon, une comédie en un acte et en vers ayant pour titre : Sganarelle ou le Co
ssitôt à l’œuvre, et intercala dans la pièce la scène VII du deuxième acte . Lorsque Les Fâcheux furent joués une seconde foi
is, et d’Anne Brillart, et l’on a remarqué qu’il se qualifie dans cet acte public : Jean-Baptiste Poquelin Molière, « valet
a femme, Marie Maillart, enceinte d’une fille qui est désignée dans l’ acte de baptême comme née de « défunt Jean Poquelin, d
au XVIIe siècle, sur son domestique, au moment où va s’y accomplir l’ acte qui décidera de son sort. Molière, longtemps asso
r 1662, à Saint-Germain-l’Auxerrois, en présence des deux familles. L’ acte de mariage, publié d’abord par Beffara, a été réi
c’était cette « petite non baptisée » déclarée par Marie Hervé dans l’ acte de renonciation du 10 mars 1643. Née par conséque
ontrat : le contrat de mariage de J.-F. Guérin et d’Armande Béjart, l’ acte de décès de Louis Béjart, enfin tous les actes pu
et d’Armande Béjart, l’acte de décès de Louis Béjart, enfin tous les actes publics et privés de la famille : ce qui constitu
qu’on ne se procurait pas alors aussi commodément qu’aujourd’hui les actes de l’état civil. On comprend donc bien que des co
ractère particulier de ces documents mêmes, M. Beffara, en exhumant l’ acte de mariage d’Armande Béjart, à défaut de l’acte d
effara, en exhumant l’acte de mariage d’Armande Béjart, à défaut de l’ acte de baptême, qu’il a été impossible de découvrir,
ité de la solution donnée à un ancien problème par la découverte de l’ acte de mariage et des documents authentiques publiées
pulaires. Renoncer à une succession où il n’y a que des dettes est un acte qu’on simplifie autant que possible. Sur cinq enf
’on élève pour ne point accepter les données résultant clairement des actes officiels. La plus sérieuse, sans contredit, se f
a plus sérieuse, sans contredit, se fonde sur l’âge de Marie Hervé. L’ acte d’inhumation de Marie Hervé (9 janvier 1670) lui
ternité bien tardive. D’abord on sait bien que l’âge indiqué dans les actes mortuaires n’est souvent qu’approximatif ; on n’y
inscrivait volontiers des chiffres ronds. Les témoins qui signèrent l’ acte mortuaire, son gendre Léonard de Loménie, sieur d
Lors même qu’on voudrait, du reste, s’en tenir à l’âge inscrit dans l’ acte mortuaire, cet âge ne serait pas une raison suffi
ceux qui l’accusaient d’avoir épousé sa fille, par la production de l’ acte de baptême d’Armande, moyen si facile et si commo
e s’acharne sur quelqu’un, sait parfaitement éluder, rendre suspect l’ acte  le plus authentique. Molière ne colporta point l’
endre suspect l’acte le plus authentique. Molière ne colporta point l’ acte de baptême d’Armande dans les coulisses et les ru
t Molière éclaira-t-il le roi ? Sans doute en mettant sous ses yeux l’ acte  qui tranchait la question. Enfin on s’est fait un
ly. » Ceci est du pur roman. M. Éd. Fournier s’en réfère d’abord à l’ acte de mariage du lundi 20 février 166288. C’est là q
det, Madeleine Béjart, Louis Béjart ; c était bien suffisant ; mais l’ acte constate que d’autres personnes étaient présentes
ras […] vers dix heures du soir, etc. »      Ici M. Fournier quitte l’ acte de mariage dont il s’autorisait tout à l’heure. N
de mariage dont il s’autorisait tout à l’heure. Nous avons vu que cet acte fixait le mariage au lundi 20 février. M. Jal con
ssial que le mariage dut avoir lieu le matin, à dix ou onze heures. L’ acte est, en effet, le premier inscrit à la date de ce
e qui est incontestable, c’est qu’elles ne peuvent prévaloir contre l’ acte extrait des registres paroissiaux, qui fait loi.
 fait ce dont l’accuse M. Fournier, non seulement il aurait commis un acte que la loi qualifie de crime, mais encore on peut
, et l’appliquer à son auteur. La signature de Madeleine Béjart sur l’ acte de mariage, impliquant son consentement très form
érange grandement la fable qui faisait foi avant la découverte de cet  acte . À plus forte raison, si l’on suppose un complot
de Lucile représentée par Mlle de Molière, à la scène IX du troisième acte du Bourgeois gentilhomme : — Vous trouverez cent
r voulait la scène plus exacte ; Le vicomte indigné sortait au second acte … Un bel esprit du temps, nommé Plapisson, s’est
criaient contre ce le, cet impertinent le, de la scène VI du deuxième acte . Il dénonçait en passant les cabales de ses rivau
ar le monarque équivalait à la plus solennelle justification. Voici l’ acte de baptême relevé sur les registres de Saint-Germ
femmes ou Conversation comique sur les œuvres de M. de Molière, en un acte , en prose (octobre 1663), par Robinet, le même qu
s une comédie de Chevalier, intitulée Les Amours de Calotin, en trois actes , en vers99, le premier acte et la première scène
ntitulée Les Amours de Calotin, en trois actes, en vers99, le premier acte et la première scène du second acte forment une e
rois actes, en vers99, le premier acte et la première scène du second acte forment une espèce de prologue où Molière est lou
la volonté suprême, Molière n’avait pu écrire en vers que le premier acte de la pièce ; il avait été obligé d’écrire tout l
ertes bien inattendu, qu’il leur offrit, ce furent les trois premiers actes d’une comédie nommée Le Tartuffe. Quelques mots
ruptrices des molinistes ; et, en effet, dans la scène V du quatrième acte , Tartuffe parle comme un casuiste de la pire espè
embre, et, entre autres pièces, elle y joue encore les trois premiers actes  du Tartuffe, le 25 septembre. La reine mère, Anne
a troupe, or cette représentation fut la première du Tartuffe en cinq  actes , La Grange inscrit sur son registre : « Le 29 nov
s, par ordre de Mgr le prince de Condé, pour y jouer Tartuffe en cinq actes . Reçu 1000 livres. » Et dans l’édition des œuvre
« Cette comédie, y lisons-nous, parfaite, entière et achevée en cinq actes , a été représentée, la première et la seconde foi
enter en cela et de n’y point apporter de difficulté. Si le quatrième acte de Tartufe était fait demandés lui s’il ne le pou
tte année. Comment donc le duc d’Enghien écrit-il : « Si le quatrième acte de Tartuffe était fait, demandez-lui (à Molière)
que le duc d’Enghien ne s’enquiert, dans sa lettre, que du quatrième acte , et non pas du cinquième. Or le quatrième acte ét
ttre, que du quatrième acte, et non pas du cinquième. Or le quatrième  acte était celui qui était le plus dangereux, celui qu
sition la plus violente. C’est surtout pour une scène de ce quatrième acte que Napoléon Ier, au commencement de ce siècle, d
e vraisemblance, les corrections, les retouches durent porter sur cet acte et sur cette scène. M. Régnier croit donc que le
 nécessaires, et que le duc d’Enghien, en s’informant si le quatrième acte est fait, veut demander seulement si Molière l’a
manœuvre que ferait allusion Alceste à la première scène du cinquième  acte du Misanthrope, lorsqu’il dit : Il court parmi l
 Benserade. Molière composa pour cette circonstance les deux premiers actes de Mélicerte. C’est pour le jeune Baron que Moli
tentés par les ennemis de l’auteur. Il parut une petite comédie en un acte intitulée : La Critique du Tartuffe, qui, selon t
ns, prit sa retraite et reçut une pension annuelle de mille livres. L’ acte , passé par-devant Me Levasseur, notaire, rue Sain
Saint-Honoré, le 16 avril 1670, existe. Ceux qui ont pris part à cet acte sont : Molière, Armande Béjart, Madeleine Béjart,
ertaine l’époque où Molière prit possession de cet appartement par un acte  d’information auquel donna lieu une rixe qui surv
uquel donna lieu une rixe qui survint dans la maison le 21 août 1667, acte que M. Parent de Rosan a communiqué à M..J. Loise
arcourant les provinces, comme il y en avait alors un grand nombre. L’ acte était signé Jean-Baptiste Poquelin Molière et C.
qui avait été composée plus anciennement. Or, la scène xi du deuxième acte des Fourberies, où Scapin raconte à Géronte que L
cents écus, offre une frappante analogie avec la scène VI du deuxième acte du Pédant joué. Le mot de Géronte, devenu proverb
ment. Dans le onzième de ces canevas intitulé Il capitano, au premier acte , une scène est résumée ainsi : « Pedrolino, afin
st que pure chimère. Le curieux passage de la scène III du troisième acte , où Béralde, parlant de cet « impertinent de Moli
ur voulait la scène plus exacte. Le vicomte indigné sortait au second acte . L’un, défenseur zélé des bigots mis en jeu. Pour
 cette pièce, une bohémienne, disant la bonne aventure à la comtesse ( acte III, scène VI), lui adresse les vers suivants :
le 30 novembre de l’année 1700, âgée de cinquante-cinq ans, d’après l’ acte de décès129. Les documents retrouvés par M. E. So
lu refaire et terminer : « J’avouerai, en tremblant, que le troisième acte est mon ouvrage, et que j’ai travaillé sans avoir
s Les Amants magnifiques, par exemple, la scène septième du quatrième acte , entre Sostrate et Eriphile, lisez-la tout haut d
sous aux loges et galeries, sauf les cas où, ayant à représenter des actes pour lesquels il conviendrait de faire plus de fr
e remaria le lundi 19 septembre 1672, à l’âge de quarante-huit ans (l’ acte de mariage ne lui en donne que quarante), avec Je
on illustre beau-frère. Geneviève Béjart fut une des signataires de l’ acte de société de l’illustre Théâtre, du 30 juin 1643
ndredi cinquième. » Le registre mortuaire de Saint-Sulpice contient l’ acte que voici : « Le quatrième jour de juillet 1675
rt prendre cette qualité de lieutenant au régiment de la Ferté dans l’ acte mortuaire de sa sœur Geneviève, en 1675. On ignor
re moins inquiet et moins tourmenté ? » Nous avons donné ci-devant l’ acte de décès d’Armande Béjart147. DUPARC, DIT GROS
om de baptême donné parfois aux femmes du XVIIe siècle. Dans tous les actes exhumés par M. Brouchoud ou M. Jal (sauf un seul
-Thérèse. Ainsi, son contrat de mariage est signé : Marquise Gorle, l’ acte de mariage signé : Marquise de Gorla, etc. Marqui
elle fut marraine le 26 mars 1654 (paroisse Saint-Paul, à Lyon) ; son acte de décès du 13 décembre 1668, à Paris, désigne en
Charles Constant, dans son opuscule Molière à Fontainebleau, donne l’ acte de baptême de ce comédien : « Ce jourd’hui vingt-
. Elle figure en qualité de marraine avec Molière et Dufresne dans un acte de baptême, et y est appelée Catherine du Rosé. E
é. Elle prit une autre fois ce nom de Catherine du Rosé dans un autre acte de baptême, où elle figure également comme marrai
novembre. Elle eut un fils, Jean-Baptiste Villequin dont on n’a que l’ acte de mariage du 3 avril 1691 ; il épousa « Madelein
n Lemazurier, elle mourut le 19 novembre 1706 ; mais on n’a point son acte de décès. DUFRESNE Charles Dufresne quitta
let se nommait Julien Bedeau de son nom de famille. Cela résulte de l’ acte de décès exhumé par M. Jal, et est confirmé par u
t-Germain l’Auxerrois. Le père de Charles Varlet est qualifie, dans l’ acte de mariage de son fils, de capitaine du château d
ait donc trente-trois ans (et non vingt-neuf, comme il est dit dans l’ acte de mariage) quand elle épousa La Grange en 1672.
Grand benêt de fils aussi sot que son père. L’Ombre de Molière, un acte en prose, fut longtemps imprimée à la suite des œ
ularité curieuse, dit M. Fournel169, qu’elle est, pour ainsi dire, un acte de réparation : à la fois de la part de Fauteur,
es montaient à plus de 20000 livres au delà de sa succession. Voici l’ acte d’inhumation : Le 29e jour dud. mois (mars 1685)
eau, comédien de la troupe du roi, qui avait renoncé à la comédie par acte dont la copie est ci-dessous, âgé de quarante-hui
RE M. Jal a relevé, sur le registre de Saint-Nicolas des Champs, l’ acte suivant : Le dimanche 14e jour d’avril 1658, pre
uis ridicules. » Voyez, dans les Nouvelles Pièces de M. Campardon, l’ acte de donation réciproque que Hubert et sa femme, Ca
ue Jean Poquelin demeure rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Eustache. L’ acte de baptême de Molière (15 janvier 1022), désigne
oré. L’inventaire après décès de Marie Cressé (19-31 janvier 1633), l’ acte d’acquisition par Jean Poquelin d’une maison sous
rue de la Tonnellerie, répondraient également à cette indication des actes authentiques : rue Saint-Honoré, paroisse Saint-E
maison existant à la place de celle qui est ornée du buste blanc, les actes  authentiques les auraient désignés, on peut en êt
eigne l’image de Saint-Christophe et dont M. Eudore Soulié a publié l’ acte d’acquisition. Cette maison devint le domicile de
mme les Poquelin, et qui demeurait, comme il résulte de plusieurs des actes authentiques publiés par M. Soulié, « sous les pi
u roi et de la ville, 1655, in-4°. 30. On l’a déjà vu figurer dans l’ acte de baptême du 10 janvier 1650, à Narbonne. 31.
1. Les deux Corneille, Racine et La Fontaine en furent amoureux. 42. Acte I, scène 2. 43. La troupe du Roman comique dévo
i, Sébastien Aubry, etc. 128. Registre de La Grange. 129. Voici cet acte de décès, inscrit aux registres des convois de la
poser une union dont ils soient satisfaits Le Bourgeois gentilhomme, acte III scène XVII. 146. Mlle Molière, lorsque la
Marquise-Thérèse pourrait bien, par conséquent, être née à Lyon. Son acte de décès lui donne vingt-cinq ans en 1638. Elle s
1643 ; elle se serait mariée à dix ans. Ce qui n’est pas possible. L’ acte de décès doit la rajeunir de cinq ou six ans. 15
vit, dans la tribune de la duchesse de Bourgogne, les trois premiers actes de L’Avare ; mais il ne trouva pas que les comédi
alors en renom. 178. Page 120, note 1. 179. Mémoire des principaux actes de vertu qu’une personne de probité a remarqués e
72 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
sentiments et les passions qui inspirent les pensées et dirigent les actes des personnes que l’on observe. C’est la vérité d
aboutir qu’à des conséquences erronées, absurdes, immorales, qu’à des actes extravagants et pervers. C’est ce tableau de la d
es faits psychiques, c’est-à-dire l’étude des pensées énoncées et des actes accomplis par l’homme. Quant à son but, il est d’
flatteur et du flatté dont Molière a rempli toute la scène 1ère de l’ acte II, description qui est un chef-d’œuvre de fine o
rtes préoccupations passionnées. Cet effet est manifesté par certains actes automatiques. L’habitude que l’on a d’accomplir u
par certains actes automatiques. L’habitude que l’on a d’accomplir un acte dans telle circonstance fait que si, pendant une
ation d’esprit, cette circonstance se reproduit, on accomplit ce même acte sans qu’il ait sa raison d’être. Sganarelle, inqu
vengeance, de la haine, de la jalousie, pleinement satisfait par cet acte odieux, ne craint pas de proclamer avec jactance,
prend tout son empire et l’homme redevient lui-même. La scène IV de l’ acte V de l’École des Femmes serait toute à citer comm
qui, sous l’influence d’une anomalie morale semblable, commettent les actes les plus odieux pour satisfaire leurs mauvais ins
, ennemi de l’humanité, il la foule continuellement aux pieds par ses actes . L’offrande, de sa part, de la pièce d’or est un
absence de sentiments moraux, et par conséquent de remords après les actes pervers. Il exprime nettement ce fait dans ces ve
cependant à le servir pour soutenir sa réputation de maître expert en actes immoraux : « Et que deviendra lors cette estime
lais par cent tours d’adresse fort jolis. » Cette gloriole tirée des actes criminels, et qui est l’opposé du remords, a été
ativement manifestés, prouvent qu’ils commettront indubitablement cet acte , plutôt que de les saisir seulement quand le mal
ste, et Molière n’a pas manqué de le faire ressortir. La scène v de l’ acte III, entre Arsinoé et Célimène, présente une admi
les idées qu’il suggère, que ce qu’il l’a fait dans la scène ni de l’ acte IV du Misanthrope: Alceste, s’adressant à Célimèn
’il sera possédé par elle, et qu’il pourra en résulter de sa part des actes qui lui seront préjudiciables. Son intérêt bien e
dans laquelle un étranger, poussé par l’indignation que lui cause cet acte de brutalité, s’interpose charitablement entre eu
che un coeur, Il n’a point de raison à dire. » Dans la scène vi de l’ acte I, Orgon étale son aveuglement à l’égard de Tartu
r motiver sa conduite, que les impulsions de sa passion. Au troisième acte , Tartuffe entra en scène. Ce personnage, tel que
ment présenté comme dépourvu des sentiments qui, froissés par quelque acte odieux, produisent cette peine morale. En faisant
u moins de ne pas se compromettre gravement, tout en se livrant à des actes immoraux. Don Juan, à bout de ressources et menac
autre but : il voulait montrer l’homme capable de commettre tous les actes immoraux, se servant de l’hypocrisie pour s’empar
se brutale ? Des injures et des coups de bâton. Ce sont également des actes de violence que reçoit la société de la part des
rrêtés, déduits des faits qu’il observait sans cesse. La scène v de l’ acte II montre encore Harpagon prenant pour vérités to
our les faire taire, il faut crier plus fort qu’eux. La scène vi de l’ acte III met en évidence cette maxime, dont on doit sa
s exprimées par la bouche de ce malheureux père dans la scène vi de l’ acte IV ! Voulez-vous être aimé? soyez aimable, a démo
ue la raison, qui guide sagement l’homme dans ses pensées et dans ses actes , tire son principe des instincts moraux, des facu
ités physiques. Suivant les sentiments qui l’animent, il y a certains actes qu’il ne pourra jamais accomplir, mais que d’autr
une facilité extrême et sans la moindre répugnance. Par ce motif, les actes inconvenants ou criminels ne sont pas possibles à
vulgaire le sent si bien  avec son gros bon sens, qu’à l’occasion des actes criminels qui le révoltent il ne manque pas de di
s de dire : Il ne faut pas avoir de sentiments pour commettre de tels actes . Pour être méchant, inconvenant, criminel, il fau
non seulement être animé de mauvais instincts qui fassent désirer les actes pervers, mais encore il faut absolument que les s
ument que les sentiments moraux qui inspirent la réprobation pour ces actes soient muets dans la conscience. Sans ces deux co
actes soient muets dans la conscience. Sans ces deux conditions, les actes odieux sont impossibles. Il est certain que Moliè
blement les impossibilités morales. Dans les scènes v, vi et vii de l’ acte II, Molière montre l’emportement de l’homme contr
sion lui représente tous les hommes amoureux de sa personne, et leurs actes les plus insignifiants comme étant des interpréta
re va les accentuer plus vigoureusement encore dans la scène iii de l’ acte II. Belise, toujours dominée par sa passion roman
ur de lui. Nous venons de voir Belise rapporter à elle seule tous les actes des jeunes gens qu’elle rencontre. Il en est abso
alifie Clitandre du nom qui convient aux individus qui commettent des actes criminels sans qu’ils en aient de la honte et du
lieu des pensées si justes qu’il émet dans l’admirable scène vii de l’ acte II. Et par ces exagérations, Molière s’est montré
i. La statistique, appliquée non seulement aux crimes mais encore aux actes ordinaires de la vie, vient prêter son concours p
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. M. GOLDONI. » pp. 468-479
s. Nous ne parlerons donc que du Bourru bienfaisant, comédie en trois actes & en prose, la seule que M. Goldoni ait donné
personnage de l’Ecossoise, ou le Café, comédie en prose & en cinq actes de M. de Voltaire. Caractere de Freeport dans
es de M. de Voltaire. Caractere de Freeport dans l’Ecossoise. Acte  II. Scenes V & VI. Freeport ennuyé de réussir
rgent & le secret. (Il jette une grosse bourse sur la table.) Acte  III. Scene IV. L’Ecossoise est arrêtée par ordre
n le plaçant à faire du bien, c’est le placer au plus haut intérêt. Acte V. Scene I. L’Ecossoise voudroit s’éloigner de L
e par le ton de son oncle. Il fait avec son valet la scene suivante. Acte  II. Scene XXI. PICARD, M. GÉRONTE. Picard. Mo
e & claire, des scenes bien filées & qui se font desirer, des actes bien enchaînés, des situations amenées sans effor
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
r le dénouement, puisque les deux jumeaux sont ensemble sur la scene. ACTE V. Scene derniere. LE CHEVALIER, MÉNECHME, DÉMO
ien, seroit un défaut sur le nôtre. LES DEUX JUMEAUX, Comédie en cinq actes . ACTE I. Arlequin, que nous nommerons le Napoli
oit un défaut sur le nôtre. LES DEUX JUMEAUX, Comédie en cinq actes. ACTE I. Arlequin, que nous nommerons le Napolitain, s
prend rien à ce qu’on veut lui dire, & s’enferme dans le cabaret. ACTE II. Arlequin le Napolitain est fâché d’épouser R
res à ces importuns. Le Docteur qui passe, en reçoit une sur la tête. ACTE III. Pantalon surprend Arlequin l’étranger hors
dition qu’il n’épousera pas Rosaura. Arlequin donne encore sa parole. ACTE IV. Silvio, toujours amoureux de Rosaura, poursu
ut l’épouser. Il fait le possédé, & tout le monde prend la fuite. ACTE V. Arlequin l’étranger est désespéré de n’avoir
n stratagême adroit pour persuader à son camarade qu’il s’est trompé. ACTE II. Scene III. . . . . . . . . . . Palestrion. T
75 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
CHAPITRE XII. l’Amour Médecin, comédie-ballet en trois actes , en prose, comparée, pour le fond & les détai
passer pour un homme extraordinaire : il prend le bras de Sganarelle. ACTE III. Scene V. Clitandre. Votre fille est bien ma
e Térence. Démiphon y consulte des Avocats ; & voici leur scene : ACTE II. Scene III. DÉMIPHON, GÉTA, HÉGION, CRATINUS
ucoup plus incertain que je n’étois. Passons présentement à Moliere. ACTE II. Scene IV. SGANARELLE, MM. TOMÈS, DESFONANDR
ger. Oui ; mais comment seroit-ce ici la fin ? il n’y a pas encore un acte de fait. Corineli. Nous avons uni tous les cinq e
e de la maison lit la gazette, un Médecin joue avec un Chirurgien.) Acte I. L’Apothicaire se récrie sur une grande nouvell
elle rit même. Dans les autres instants, elle brusque tout le monde. Acte II. (La scene représente la boutique de l’Apothic
saura. Lélio conclut de là que les Médecins sont tous des ignorants. Acte III. (La scene représente une chambre de la maiso
énouement d’un mot, elle laisse languir la piece pendant trois grands actes . On feroit une très bonne piece en mêlant les bea
ux de se faire des ennemis. Il composa contre Boileau une piece en un acte & en vers, intitulée la Satyre des Satyres. D
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
e, il le saisit bien vîte, & débite d’un seul trait cette tirade. ACTE III. Scene III. Tartufe. L’amour qui nous attach
ont ajouté après la mort de Moliere à la cinquieme scene du troisieme acte de l’Avare, & qu’on débite hardiment sur le p
Ecoutons Térence, qui nous parle par la bouche de Géta & de Dave. ACTE I. Scene II. Géta. Notre jeune maître Antiphon n
, Silvestre & Scapin sur le même sujet. LES FOURBERIES DE SCAPIN. ACTE I. Scene II. Octave. Quelque temps après, Léandr
rd, le dialogue du commencement de la premiere scene est très rapide. ACTE I. Scene I. VALERE, Madame GROGNAC. Valere. Qu
fforts que fait le neveu pour éluder la fâcheuse question de l’oncle. ACTE II. Scene VI. Géronte. Me paroissent, pour moi,
de l’autre. Je prends mon exemple dans l’Ecole des Femmes de Moliere. ACTE II. Scene VI. Agnès. Oh, tant ! Il me prenoit &a
s, & qui par conséquent ont cent choses intéressantes à se dire ? ACTE II. Scene III. Eraste, amant d’Agathe, la voit a
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. De l’Amour. » pp. 367-384
rapidement les moyens auxquels il a recours. Dans le Dépit amoureux, acte IV, Eraste & Lucile font une scene amoureuse 
ut le monde connoît l’Ecole des Maris, & la belle scene du second acte . Isabelle & Valere s’y déclarent la violence,
très ordinaire fait une scene sublime. Nous sommes déja au troisieme acte de l’Imposteur, lorsque Tartufe dit des douceurs
r des armes contre lui à chaque mot qu’il prononce. Dans le troisieme acte du Cocu imaginaire, Lélie & Célie se parlent
jours marcher l’intrigue. Voilà l’essentiel : que le lecteur en juge. ACTE III. Scene III. LÉLIE, CÉLIE, LA SUIVANTE de Cé
ant heureux, oublie entiérement l’époux pour tout accorder à l’amant. ACTE I. Scene III. Jupiter. Je ne vois rien en vous d
de Boissy, piece qui d’ailleurs est remplie de très grandes beautés. ACTE IV. Scene XIII. Le Marquis a vu Lucile au couvent
devroient avoir de l’intérêt théâtral ! 54. LE MALADE IMAGINAIRE. ACTE II. Scene VI. Cléante.  Belle Philis, c’est trop
78 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82
sion. Le Sganarelle du Cocu imaginaire, avec ses plaisanteries et ses actes grivois243, est un type si peu honorable qu’on se
I, sc. II ; act. III, sc. VI, VIII, IX, Arisle ; l’École des Femmes, acte I, sc. I, Chrysalde. 226. Voir plus haut, chap.
u Misanthrope. »   M. Roux, Réflexions sur le Misanthrope, dans les Actes de l’Académie de Bordeaux, 3e fascicule, 1866.
I, v. 397. 232. 1653. 233. Lélie et Mascarille. 234. L’Etourdi, acte I, sc. VI, IX ; acte II, sc. III, IV, etc. 235.
. 233. Lélie et Mascarille. 234. L’Etourdi, acte I, sc. VI, IX ; acte II, sc. III, IV, etc. 235. Voir plus loin, chap.
I, sc. III, IV, etc. 235. Voir plus loin, chap. X. 236. L’Etourdi, acte I, sc. II. 237. Id., acte I, sc. VI. 238. Voir
oir plus loin, chap. X. 236. L’Etourdi, acte I, sc. II. 237. Id., acte I, sc. VI. 238. Voir plus haut, chap. II et III.
vérité de le mieux atteindre. » 244. Le Médecin malgré lui (1666), acte 1, sc. VI. 245. Id., act. I, sc. I. 246. Id.,
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. Des Reconnoissances. » pp. 399-421
dans une scene, & être reconnu dans une autre. L’ECOLE DES MERES. ACTE IV. Scene IX. Marianne croit être la niece de M.
demande ! Le public s’en doute bien : c’est pour alonger la courroie. ACTE V. Scene IX. Marianne apprend à Madame Argant qu
e à suivre : elle n’est ni plaisante ni larmoyante, mais bien froide. ACTE V. Scene derniere. Enrique reconnoît sa fille d
iédeur peu digne, assurément, des beautés dont cette piece fourmille. ACTE V. Scene V. Anselme. Quoi ! vous osez vous dire
a voici : imitez-la, si vous pouvez, ou n’en faites point. DÉMOCRITE. ACTE IV. Scene VII. Strabon. Depuis quand, s’il vous
reux l’un de l’autre. LA FAUSSE ANTIPATHIE, Comédie en vers, en trois actes . ACTE III. Scene VI. GÉRONTE, ORPHISE, DAMON, L
n de l’autre. LA FAUSSE ANTIPATHIE, Comédie en vers, en trois actes. ACTE III. Scene VI. GÉRONTE, ORPHISE, DAMON, LÉONORE,
e scene, que Thalie ne désapprouve point. LES VACANCES, Comédie en un acte , en prose. Scene XIX. Maugrebleu, ivre. Qu’est
qui seroit triste en action. Térence va vous le prouver. LE PHORMION. ACTE V. Scene VI. GÉTA, ANTIPHON, PHORMION. Géta. O
80 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377
ur eût prouvé que chacun des fonds qu’il leur donne peut fournir cinq actes . Il ne nous a pas dit cela ; il a trop d’esprit,
tre titre, épuisé la matiere, ou n’en auront laissé que pour faire un acte tout au plus. Je ne sais pas comment M. de Marmon
même temps comiques & moraux, qui peuvent lui fournir cinq grands actes , s’empresse de les mettre à leur place. Il fait s
pour composer le Petit Seigneur. L’IMPORTANT DE COUR, Comédie en cinq actes , & en prose, de Brueys, attribuée à Palaprat.
médie en cinq actes, & en prose, de Brueys, attribuée à Palaprat. ACTE I. Scene II. . . . . . . . . . . . . . . . . . .
les Ministres, & d’avoir du crédit dans les Bureaux ? Continuons. ACTE II. Scene II. LE COMTE, LA BRANCHE, LA MARQUISE,
à l’étroit tout homme qui voudra faire une piece en cinq ou en trois actes du Petit Seigneur. Tous les traits avec lesquels
ches a pris les devants dans son Curieux impertinent, comédie en cinq actes & en vers, qu’il a prise de Don Quichotte. A-
quelque chose à dire après lui. DUPUIS ET DESRONAIS, Comédie en trois actes , & en vers libres. ACTE I. Scene III. Desro
. DUPUIS ET DESRONAIS, Comédie en trois actes, & en vers libres. ACTE I. Scene III. Desronais. Oui, je connois sa défi
e trompois, il étoit déja épuisé dans le Complaisant, comédie en cinq actes & en prose, de MM. *** & ..... J’aurois é
81 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
Don Garcie de Navarre, ou le Prince Jaloux, Comédie héroïque en cinq actes & en vers, comparée pour le fond & les dé
r l’usurpateur de Léon, & rendre l’Etat au frere de Dona Elvire. Acte I. Dona Elvire préfere Don Garcie à Don Silve, qu
vient de l’être. Le Prince promet d’abjurer ses mouvements jaloux. L’ acte finit. Acte II. Elise, confidente d’Elvire, repr
tre. Le Prince promet d’abjurer ses mouvements jaloux. L’acte finit. Acte II. Elise, confidente d’Elvire, reproche à Don Lo
aîne hors de la scene, pour l’instruire sans crainte d’être entendu. Acte III. Elvire est honteuse d’avoir aussi facilement
saura bien le trouver ailleurs, pour empêcher qu’Elvire soit à lui. Acte IV. Don Garcie n’ose paroître aux yeux de Dona El
u : il veut périr, mais en servant la Princesse les armes à la main. Acte V. Dans l’entr’acte, le Prince a fait tout ce qu’
inal. Il Principe geloso, ou le Prince jaloux, Tragicomédie, en cinq actes . Avant-Scene. Don Rodrigue, Roi de Valence, voit
redoutoit l’excessive jalousie de son amant. L’action va commencer. Acte I. Le Théâtre représente l’appartement de la Prin
fuyant. On le regarde comme un bouffon ; on méprise cette aventure. Acte II. Rodrigue demande à Pantalon, son ancien gouve
drigue reconnoît son erreur : il demande pardon ; on le lui accorde. Acte III. Don Pedre, frere de Delmire, arrive incognit
ite pardon à Delmire, qui est assez bonne pour se laisser fléchir.   Acte IV. La scene représente un sallon du Palais. Béli
ec Délia, en disant que leur repos ne sera certainement pas troublé. Acte V. Don Rodrigue est au désespoir d’avoir déplu à
82
s le prologue de son premier ouvrage : Le Négligent, comédie en trois actes , en prose, représentée pour la première fois à la
rieuse. » De ce passage rapprochez les vers suivants du Misanthrope ( acte II, scène v) : « L’on a tort, ici, de nourrir da
liante qui blâme doucement la franchise d’Alceste. Et dans le premier acte , Alceste ne dit-il pas comme Mégabaste : « L’amo
i 1876, contient, sous la signature G., mention de la découverte d’un acte de baptême en date du 6 janvier 1654 ou Molière f
un commentaire intéressant. Nous venons signaler à notre tour ce même acte et le publier in extenso. Il se trouve dans un re
és en l’Église parrochele Saint Firmin de la Ville de Montpellier. L’ acte est ainsi conçu : (en marge) « Jean Baptiste Du
aide au naturel du dialogue.   Quand le rideau se lève pour le second acte , Marianne sort de sa chambre et vient chercher qu
e ou deux dans la pièce : (Comment se fait-il que Cléante, au premier acte , ne semble pas connaître Tartuffe même de réputat
me de réputation ? et à quoi Orgon perd-il son temps durant le second acte pour arriver au troisième sans avoir encore embra
point nommé et pour secourir Marianne qui ne se défend pas. Le second acte se termine sans autre singularité remarquable, Le
es maintenant à l’après-midi, on allumera les chandelles au quatrième acte , et la nuit se passera du quatrième au cinquième.
Son nom paraît souvent dans les registres de l’état civil et dans les actes notariés concernant Molière et sa famille. Ainsi,
ment, sur un prêt que lui avait fait Molière en 1670. Dans ces divers actes authentiques, il est toujours nommé André Boudet,
u’il existe au greffe de Rouen un registre sur lequel on peut lire un acte authentique portant la signature de J. B. Poqueli
our titre Le Musée des Archives départementales (Nº 159, pl. 58). Cet acte constate la présence à Rouen des comédiens susnom
mmés à la date du 3 novembre 1643. Mais il est bien évident qu’un tel acte suppose qu’ils y étaient établis depuis plusieurs
oire dure encore), en pleine foire Saint-Romain. La découverte de cet acte authentique est due, comme on sait, aux recherche
main. Le verre ainsi refusé reste sur la table ; mais, à la fin de l’ acte , quand Orgon, plus ébloui que jamais, veut faire
tradition. J’ai dit que les chandelles étaient allumées au quatrième acte . Je n’aime pas que le quatrième acte se passe aux
es étaient allumées au quatrième acte. Je n’aime pas que le quatrième acte se passe aux lumières. La démarche d’Elmire est b
intéressante dans le jeu des acteurs. J’en dis autant pour le dernier acte . Peu de changements considérables : lorsque Cléan
de voyage. Le meneur en scène a jeté son feu dans les trois premiers actes  ; il se refroidit au quatrième, il est à peu près
deux mots : Polichinelle-Vampire. Mais Fechter indique, au troisième acte , le moment où Tartuffe redevient maître de la sit
muet aussi clairement qu’Elmire prépare sa grande scène du quatrième acte en disant à Dorine : « Non ; on est aisément dup
bien aussi le changement d’attitude de Tartuffe à la fin du quatrième acte . Il tourne derrière Orgon, humble et la tête incl
qu’en 18216 Beffara a retrouvé sur les registres de Saint-Eustache l’ acte de baptême de Molière ainsi conçu : « Du samedi
ie de la Revue rétrospective, le même Beffara mentionne treize autres actes se trouvant également sur les registres de la mêm
2. » Ce premier document est suivi d’un second qui n’est autre que l’ acte même passé devant notaire entre les consuls, Mign
Castres, c’est-à-dire à une distance de quarante-deux kilomètres. Cet acte , passé le 10 septembre 1657 porte que devant M. B
u sujet de ce second document. Mignot est présent à la rédaction de l’ acte  ; il décline son nom à Me Bruel notaire, il signe
s circonstances le notaire Bruel écrive trois fois dans le corps de l’ acte Mingot au lieu de Mignot ? Il faut croire que le
cet homme qu’elle épouse par obéissance, Stéphane finit par lui dire ( acte  IV, scène iii) :                Hélas ! C’est mo
le prouvent le rôle de taxe que j’ai déjà cité, dressé en 1637, et un acte notarié de la même année18. Il achevait probablem
de mariage de « J. Poquelin « Et de Marie Cressé « 22 février 1621. Acte de baptême de Molière 15 janvier 1622 — « mar
e la part même de Molière. Le Dépit amoureux se jouait alors en cinq actes , mais pour abréger la représentation, un certain
Anne Le Camus, fille majeure de Nicolas, devenue propriétaire par un acte de partage de 1664, demeurant au Port-Royal de Pa
dit qu’elle s’appelait Orsola Cortesi ; sa signature placée au bas d’ actes authentiques que je citerai tout à l’heure, est O
XIV. Madame Biancolelli (Eularia) a signé très lisiblement ces divers actes  : Orsola Coris. Locatelli ou Trivelin mourut rue
t l’auteur d’un charmant à propos : La Fête de Molière, comédie en un acte , en vers, représentée au Théâtre de l’Odéon le 15
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Du Comique, du Plaisant, des Causes du rire. » pp. 463-473
de ses pieces ; je me contenterai d’un seul pris dans son Légataire. ACTE III. Scene VIII. Géronte a résolu de laisser une
s coups de bâton qu’on donne à Géronte dans les Fourberies de Scapin, acte III, scene II, exciteroient notre indignation, &a
larmes, lorsqu’on lui a volé sa chere cassette, & qu’il s’écrie, acte IV, scene VII : Au voleur, au voleur, à l’assass
rand effet chez Moliere. Pour nous en convaincre, prenons le Tartufe. ACTE III. Scene III. L’imposteur déclare sa passion à
oquer de lui. Pour nous en convaincre, lisons une partie de la scene. ACTE III. Scene III. Arnolphe assis, à Agnès. Agnès,
mp; Georgette à veiller sur son honneur, leur dit très sérieusement : ACTE IV. Scene IV. On veut à mon honneur jouer d’un m
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLII. De l’art d’épuiser un Sujet, un Caractere. » pp. 493-503
on Garcie se trouve avec son rival, & lui dit : LE PRINCE JALOUX. ACTE III. Scene IV. D. Garcie. Tout vous rit ; &
l moins noblement ; & le voyant, il s’écrie : LE COCU IMAGINAIRE. ACTE III. Scene IV. Courage, mon enfant, sois un peu
onsolation est d’aller se plaindre à son beau-pere. LE MARI CONFONDU. ACTE I. Scene III. George Dandin. Hé bien, George Dan
r le premier théâtre de l’Europe. LE JALOUX DÉSABUSÉ, Comédie en cinq actes , & en vers, de Campistron. Il faut d’abord qu
le Lecteur connoisse à fond le héros de la piece. Voici son portrait. ACTE I. Scene I. JUSTINE, BABET. Justine. Connoissez-
jalousie s’en ressent. Il raconte ses chagrins à Dubois. Ecoutons-le. ACTE III. Scene IV. Dorante. Job se seroit donné cinq
85 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. » pp. 274-278
CHAPITRE XIII. Le Misanthrope, comédie en vers en cinq actes , comparée, pour deux morceaux de détail seulement
j’avois peine à croire qu’une aussi belle piece que celle-là, en cinq actes , & dont les vers sont fort beaux, eût été fai
santhrope quelques vers de détail pris dans Lucrece ; je les citerai. ACTE II. Scene V. L’amour, pour l’ordinaire, est peu
ment l’idée la plus recherchée du fameux sonnet. En voici deux vers : ACTE II. Scene XIII. Les Musiciens. El que un ben goz
86 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
poète sollicita la permission de faire représenter les trois premiers actes d’une comédie qui n’était pas encore achevée, mai
Molière était du voyage ; il écouta et il écrivit. Les trois premiers actes du Tartuffe, représentés à Versailles le 16 mai 1
vrais sentiments, n’était pas homme à reculer devant ses ennemis ; un acte de précaution ne fut point un acte de faiblesse ;
à reculer devant ses ennemis ; un acte de précaution ne fut point un acte de faiblesse ; il attaqua les hypocrites dans l’o
llait enfin paraître au grand jour de la représentation. Le cinquième acte du Festin de Pierre peut être à juste titre regar
s les dégoûts. Qui pourrait lire aujourd’hui une méchante pièce en un acte et en vers, intitulée La Critique du Tartuffe ? M
du Don Juan, mais qu’il avait fait jouer à sa cour les trois premiers actes du Tartuffe, qu’il avait assisté depuis à la repr
l’intervalle qui s’écoula entre la représentation des trois premiers actes à Versailles, et le moment où il fut permis de jo
chef-d’œuvre sur chef-d’œuvre ; qui, après l’essai des trois premiers actes du Tartuffe sur le théâtre de Versailles, essai q
pas manqué de s’apercevoir qu’il nuisait à la belle scène du premier acte entre Orgon et Cléante, où le même moyen se trouv
de la religion. Molière a fait un autre changement à la fin du second acte  ; il en a supprimé la dernière scène ; Dorine, re
l ne la haïssait pas. Cette scène rattachait mieux encore le deuxième acte à l’action principale, et faisait vivement désire
à la supprimer ; il n’a pu s’y résoudre que pour terminer son second acte d’une manière brillante ; peut-être s’était-il ap
suivait avait paru un peu terne, et la crainte de finir froidement un acte qui complète l’exposition de la pièce, ou plutôt
te décidé à ce retranchement. C’est dans la seconde scène du deuxième acte qu’Orgon prétend que Tartuffe est gentilhomme, et
ur L’imposteur, ce ne serait que dans la troisième scène du quatrième acte que ces vers se trouvaient d’abord placés. Cléant
nfin détromper son trop crédule époux. La scène deuxième du cinquième acte paraît avoir été composée par Molière après la re
08, sous le titre de Dom Basilique Bernagasse, comédie anonyme en six actes et en prose, divisée en deux parties dont la prem
est impossible : avant de faire paraître son Tartuffe il emploie deux actes entiers à le peindre ; quand il entre, il est déj
s des traits les plus heureux de son imposteur. Ces vers du quatrième acte , Selon divers besoins il est une science D’étend
scal a flétris du sceau d’un immortel ridicule. La scène du cinquième acte , où le crédule Orgon explique à Cléante la manièr
5. Ah ! pour être dévot, je n’en suis pas moins homme. (Le Tartuffe, acte III, scène 3.) 6. Je citerai avec plaisir M. Tas
87 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [46, p. 78-80] »
lle de la table, au-delà de laquelle on ne peut rien imaginer. 218. Acte III, scène 4. 219. Acte II, scène 3, v. 482. 22
de laquelle on ne peut rien imaginer. 218. Acte III, scène 4. 219. Acte II, scène 3, v. 482. 220. Acte III, scène 6, v.1
iner. 218. Acte III, scène 4. 219. Acte II, scène 3, v. 482. 220. Acte III, scène 6, v.1074-1076.
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
l’autre, en s’écriant qu’une maison à deux portes est bien commode. L’ acte finit. Dans cet acte, pendant lequel la scene cha
qu’une maison à deux portes est bien commode. L’acte finit. Dans cet acte , pendant lequel la scene change si souvent que l’
scene change si souvent que l’on ne sait jamais où l’on est, dans cet acte , dis-je, je ne vois rien qui annonce une piece in
sard dans l’avant-scene, dans l’exposition, même dans tout le premier acte , peut-elle être intriguée par le hasard ? Pour mo
men, amen. Pour peu qu’on ait de goût, on admirera la richesse de cet acte  ; mais l’on se gardera bien de dire que le hasard
tout finit par un double mariage. On voit que dans le courant de cet acte Marcella dit encore de dessein prémédité des chos
n veut employer de tels ressorts on a bien peu de mérite à faire cinq actes , & qu’on risque même d’en faire cinq de trop.
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
ouvrages, ne s’apperçoit pas de l’invraisemblance la plus grossiere. ACTE V. Scene III. Le Chevalier Ménechme a fait une p
e beaucoup, n’importe comment. Dans le Joueur, Hector dit à Géronte : ACTE I. Scene VIII. Hector. Je m’en vais travailler,
dettes passives, Et que j’aurai l’honneur de vous montrer dans peu. ACTE III. Scene III. Hector tient parole ; il porte u
écrit à la main, qu’il lit très couramment & très distinctement. ACTE IV. Scene XIII. Ce même Hector qui a fait un mémo
bon que nous connoissions ces fautes, afin de les éviter : les voici. ACTE III. Scene III. VALERE, SGANARELLE, ISABELLE.
une suite du mensonge qu’Isabelle a fait à son tuteur. Examinons-le. ACTE III. Scene II. ISABELLE, SGANARELLE. Isabelle,
90 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
usco, valet de Flaminio. Zucca, valet de Fabio. — (Rôle d’Arlequin.) ACTE PREMIER. scène i. Pandolfo, seul. Pandolfo ent
it un long monologue que Molière a imité au commencement du cinquième acte du Dépit amoureux. Les réflexions de Zucca ne rem
e tout révéler à Pandolfo qui pourrait mourir d’effroi et de chagrin. ACTE DEUXIÈME. scène i. Le Pédant, Lelio. Le pédago
e et Virginia, puis il est battu. On reconnaît la scène iv du premier acte du Dépit amoureux et les contradictions du malheu
cte du Dépit amoureux et les contradictions du malheureux Mascarille. ACTE TROISIÈME. scène i. Flaminio, Lisette, Brusco,
montrera que je n’ai pas perdu le temps, ainsi que vous le dites. » ACTE QUATRIÈME. scène i. Lisette, Flaminio, Brusco.
arle avec douceur. Ici a lieu la grande scène reproduite au troisième acte du Dépit amoureux, où Albert et Polidore, par sui
cca d’être, par son indiscrétion, la cause du malheur qui lui arrive. ACTE CINQUIÈME. scène i. Lelio, Tebaldo. Lelio rem
la grande pièce, surtout quand celle-ci était une tragédie, un petit acte drolatique où les acteurs pouvaient prendre leurs
mais la pièce a été composée vers le milieu du seizième siècle. 40. Acte  III, scène ix du Dépit amoureux. 41. Préface des
91 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
les, Œuvres de Molière, Notice sur le Misanthrope. 14. Misanthrope, acte II, sc. I. 15. Ibid., acte II, sc. III. 16. M
e sur le Misanthrope. 14. Misanthrope, acte II, sc. I. 15. Ibid., acte II, sc. III. 16. Mémoires complets et authentiq
vrage cité. 32. Ibid. 33. « Il est de mes amis. » (Le Misanthrope, acte II, scène V.) 34. Le Misanthrope, acte II, scèn
mes amis. » (Le Misanthrope, acte II, scène V.) 34. Le Misanthrope, acte II, scène V. 35. « Il ne plaçait aucuns traits
Molière.) Voir le portrait d’Armande, dans Le Bourgeois gentilhomme, acte III, scène IX : « Elle a les yeux petits - Cela e
émoires de Grimarest, 31 F. Génin, Vie de Molière. 39. Misanthrope, acte I, sc. II, etc. 40. Ibid., acte V, sc. I. 41.
Vie de Molière. 39. Misanthrope, acte I, sc. II, etc. 40. Ibid., acte V, sc. I. 41. Misanthrope, acte III, sc. III.
, acte I, sc. II, etc. 40. Ibid., acte V, sc. I. 41. Misanthrope, acte III, sc. III. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43.
d., acte V, sc. I. 41. Misanthrope, acte III, sc. III. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte V, scènes IV, V et
hrope, acte III, sc. III. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte V, scènes IV, V et VI. 44. II nous semble enten
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
fée, & ne se couche qu’après avoir jetté sur le papier le premier acte de sa piece. A mesure qu’il travaille, la séchere
ue l’extrait, de façon cependant à faire connoître tout leur piquant. ACTE I. Scene III. Eraste & Valere sont amoureux
ans le plus grand désespoir celui qui vouloit le désespérer lui-même. ACTE I. Scene IV. Eraste & son valet Gros René ap
mique, comme elles s’animent mutuellement. Passons à quelques autres. ACTE II. Scene II. Valere se trouve avec Ascagne, cet
continuellement, sans lui donner le temps de dire deux mots de suite. ACTE III. Albert, en faisant élever, sous l’habit de
e je crois, la derniere. Lucile répond par un soufflet, & sort. ACTE IV. Scene IV. Enfin arrive cette scene divine, ce
93 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
’un heureux mariage. Je prie le lecteur de réfléchir sur le cinquieme acte du Tartufe, de voir s’il y a rien de si attendris
pas de la piece, & qu’on les a confondus à tort dans les scenes. ACTE I. Scene III. Nous apprenons que Julie & Eras
t lui donner quelques lavements : il prend la fuite. Voilà le premier acte . Les deux Médecins ridicules, la légion de sering
apothicaires sont tout-à-fait de l’intermede, comme je l’ai déja dit. ACTE II. Scene I. Le Médecin dit à Sbrigani que le mal
nt deux femmes. Ils sortent pour aller consulter des Avocats, & l’ acte finit. Les Avocats chantants, qui viennent sur la
qui viennent sur la scene, tiennent encore absolument à l’intermede. ACTE III. Scene I. Sbrigani annonce à Eraste que les
94 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
erversité de sa langue, dont son cœur est innocent. Quand, au premier acte , Dorante se donne à Clarice pour un brave qui rev
de la lui arracher une dernière fois ; mais, soit fatigue après cinq actes si pleins, soit pitié pour la passion d’Arnolphe
come again, and with a greedy ear Devour up my discourse… (Othelllo, acte Ier, scène III.) « Un sérieux attrait attachait D
pouvait, et revenait, l’oreille avide, dévorer mes discours. » 6. Acte Ier, scène VI. 7. Ce qui fait dire à son valet 
it dire à son valet : Les gens que vous tuez se portent assez bien. ( Acte IV, scène II.) 8. L’Étourdi, acte V, scène XI
us tuez se portent assez bien. (Acte IV, scène II.) 8. L’Étourdi, acte V, scène XI. 9. Et l’univers entier ne peut ri
s superbes toits, Que tous ses habitants sont des dieux ou des rois. ( Acte II, scène IV.) Est-ce bien là le langage d’un bo
3 ? 10. L’Étourdiest de 1653 ; le Malade imaginaire, de 1673. 11. Acte II, scène VI. 12. Acte II, scène XIV. 13. Ibid.
de 1653 ; le Malade imaginaire, de 1673. 11. Acte II, scène VI. 12. Acte II, scène XIV. 13. Ibid. 14. Acte IV, scène V.
673. 11. Acte II, scène VI. 12. Acte II, scène XIV. 13. Ibid. 14. Acte IV, scène V. 15. Acte Ier, scèneVI. 16. Examen
e VI. 12. Acte II, scène XIV. 13. Ibid. 14. Acte IV, scène V. 15. Acte Ier, scèneVI. 16. Examen duMenteur. 17. Interd
es charmants sur l’obligation que l’on a de ménager les hommes ? 19. Acte Ier, scèneIII. 20. Acte III, scèneIX. 21. Acte
tion que l’on a de ménager les hommes ? 19. Acte Ier, scèneIII. 20. Acte III, scèneIX. 21. Acte V, scène V. 22. Quidqui
er les hommes ? 19. Acte Ier, scèneIII. 20. Acte III, scèneIX. 21. Acte V, scène V. 22. Quidquid præter spem eveniat, o
22. Quidquid præter spem eveniat, omne id deputare esse in lucro. ( Acte II, scène I.) 23. Acte II, scène VIII. 24. Ar
em eveniat, omne id deputare esse in lucro. (Acte II, scène I.) 23. Acte II, scène VIII. 24. Arlequin dévaliseur de mais
23. Acte II, scène VIII. 24. Arlequin dévaliseur de maisons. 25. Acte III, scène XII. 26. Boileau nous le donne à con
95 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. De la Gradation. » pp. 342-351
eu toujours la même adresse. Dans la même piece, à la fin du premier acte , la scene de toilette que Pasquin fait en présenc
a premiere qui s’offre à ma mémoire est le Rendez-vous, comédie en un acte & en vers, de Fagan. Un vieillard meurt dans
en sortant. Je ne parlerai point de la gradation des scenes & des actes  ; on en sera surpris sans doute : mais je ne suiv
uis très fort persuadé avec eux que la gradation des scenes & des actes est très nécessaire, que sans elle une piece ne p
ées que par des moyens & des situations plus ou moins fortes, les actes par des scenes plus ou moins remplies de situatio
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. » pp. 489-499
CHAPITRE XXIV. Les Femmes Savantes, comédie en cinq actes , & en vers, comparée, pour l’un des caractere
aquelle de ces folles nous donnerons la préférence. LES VISIONNAIRES. Acte I. Scene VI. HESPÉRIE, FILIDAN. Filidan est
use bouche, Pour donner un baiser aux choses que je touche, &c. Acte II. Scene I. HESPÉRIE, MÉLISE. Hespérie. Ma s
le lui jure, & qui ne peut le lui persuader. LES FEMMES SAVANTES. Acte I. Scene IV. Clitandre amoureux d’Henriette, pr
i prouve l’indifférence, & même les mauvais procédés à son égard. ACTE II. Scene III. BÉLISE entrant doucement & é
97 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
personnage bas, & nous amuser ou croire nous amuser, pendant cinq actes , avec les fripponneries de deux coquins, comme da
evin de la ville. Sanderus, autre Echevin. La Scene est à Hambourg. ACTE I. Scene I. Maître Antoine est amoureux d’Angéliq
x, de sorte qu’il ne reconnoît plus même ses meilleurs amis. . . . . ACTE II. Scene I. Le College politique s’assemble : ap
porte : elle vomit mille injures à travers la serrure. . . . . . . . ACTE III. Les Echevins de la ville paroissent, disent
arge va lui attirer, & sur la harangue qu’il doit faire au Sénat. ACTE IV. Crispin réfléchit sur les raisons qui ont pu
ter ; Madelaine ne la reconnoît plus & la fait mettre à la porte. ACTE V. Crispin s’arrange pour tirer parti de sa nouv
98 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
e aime ; ce rôle est tenu par la signora Silvia Roncagli, de Bergame. ACTE PREMIER scène I. À la suite de la querelle qui a
e son maître a bien la mine de vouloir esquiver l’affaire. Le premier acte finit ainsi. ACTE DEUXIÈME scène I. Vittoria, vêt
n la mine de vouloir esquiver l’affaire. Le premier acte finit ainsi. ACTE DEUXIÈME scène I. Vittoria, vêtue richement, avec
Lesbino, elles l’emmènent au logis de Flaminia. Ainsi finit le second acte . ACTE TROISIÈME scène I. Vittoria et Piombino sor
o, elles l’emmènent au logis de Flaminia. Ainsi finit le second acte. ACTE TROISIÈME scène I. Vittoria et Piombino sortent d
i avait illustré ses parents. 15. Rappelez-vous L’ École des maris, acte  II, scène 5. 16. « E come alle volte stà cinque
99 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
ou ridicules dont il était environné. Son début en ce genre paraît un acte de témérité, lorsque, se reportant à l’époque, on
, qu’il faut bien considérer comme originale, la pièce est en un seul acte  ; et cependant les éditeurs de 1734 l’ont donnée
cette règle qu’il ne s’y était conformé. Ensuite, la coupure en trois actes , qui fait disparaître la faute en deux endroits,
n’est pas du tout probable qu’elle lui eût fait confondre en un seul acte trois actes d’une pièce qu’il avait vue plusieurs
du tout probable qu’elle lui eût fait confondre en un seul acte trois actes d’une pièce qu’il avait vue plusieurs fois et ave
neau composa, sous le titre de La Cocue imaginaire, une comédie en un acte et en vers. La différence des deux titres expliqu
bienséances de la scène italienne à cette époque. À la fin du second acte , il est nuit. Delmire, charmée de son jaloux aman
ur ce qui doit résulter d’une telle proposition. Au commencement de l’ acte suivant, Delmire reparaît avec le jour : il est j
s’approprier une seule des idées de son devancier. Les deux premiers actes de L’École des maris sont généralement admirés, l
ec art l’intrigue la plus ingénieuse et la plus comique. Le troisième acte ne me semble pas mériter autant les suffrages pre
100 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du point où doit commencer l’action d’une fable comique. » pp. 172-177
ore pis. Aussi l’intrigue est-elle traînante jusqu’à la fin du second acte , lorsque l’amour, ou, pour mieux dire, le goût de
qu’il se restreigne jusqu’à n’en avoir en apparence que pour faire un acte  : les choses passées lui fourniront assez pour re
stérile pour prendre l’action à son dernier point, & remplir cinq actes avec une matiere qui paroît à peine suffisante po
tre heureux. Cependant l’Auteur trouve le secret de filer encore cinq actes  ; mais comment ? en lardant dans la piece une Sop
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