/ 252
1 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
Jean-Baptiste Pocquelin, si célébre sous le nom de Moliere, naquit à Paris en 1620. Il étoit fils & petit-fils de valets
harge, qu’il a depuis exercées jusqu’à sa mort ; mais, à son retour à Paris , cette passion pour le théatre, qui l’avoit porté
années ; cet intervalle fut le tems des guerres civiles qui agitérent Paris & tout le royaume, depuis 1648 jusqu’en 1652.
oupe. Ce prince avoit connu Moliere au collége, & s’étoit amusé à Paris des représentations de l’illustre théatre, qu’il
t passer l’été à Rouen ; &, dans les frequens voyages qu’il fit à Paris , où il avoit dessein de se fixer, il eut accès au
le jeu de ces nouveaux acteurs, que le Roi leur permit de s’établir à Paris , sous le tître de troupe9 de Monsieur, & de j
urdi, ou les contretems, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le ; décembre 16
reux Le Depit amoureux, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, au mois de décem
Les precieuses ridicules, comédie en un acte en prose, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 18 novembre 1
ou le cocu imaginaire, comédie en trois actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 28 mars 1660.
tit Bourbon, le 28 mars 1660. que l’auteur depuis son établissement à Paris , avoit perfectionné son stile. Cet ouvrage est pl
que ce fût en été, & que le mariage du Roi retînt la cour hors de Paris . Quelques auteurs voulurent critiquer, mais à pei
prince jaloux, comédie héroïque en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 4 février 1661.
ris L’école des maris, comédie en trois actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 24 juin 1661. e
trois actes en vers, représentée à Vaux au mois d’août 1661, & à Paris , sur le théatre du palais royal, le 4 novembre de
mes L’école des femmes, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 26 décembre 166
26 décembre 1662. qui parut au mois de décembre suivant, attira tout Paris au théatre de Moliere.20 Cette affluence de spect
scéne. Il sçut, par le tableau de ce qui se passa dans les cercles de Paris , tandis que l’école des femmes en faisoit l’entre
n acte en prose, représentée à Versailles le 14 octobre 1663, & à Paris sur le théatre du palais royal le 4 novembre de l
, le reste en prose,) représentée à Versailles le 8 may 1664, & à Paris sur le théatre du palais royal le 9 novembre de l
aînent des plaisirs, contribuérent au succès de la princesse d’Elide. Paris en jugea moins favorablement ; il la vit séparée
n un acte en prose, représentée au louvre le 29 janvier 1664, & à Paris sur le théatre du palais royal, avec quelques cha
, ait alors donné à cette piéce un sel qu’elle n’a plus. Elle parut à Paris sous le tître de comédie, avec des changemens. Le
ou le festin de Pierre, comédie en cinq actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 15 février 1665
c un prologue, représentée à Versailles le 15 septembre 1665, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 22 du même moi
santrope, Le misantrope, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 4 juin 1666. q
Le medecin malgré lui, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 6 aoust 1666.
des muses, à saint Germain en Laye, au mois de janvier 1667, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 juin de la
artuffe, ou l’imposteur, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 5 aoust 1667,
comédie. Les faux dévots profitérent de cette défense, pour soulever Paris & la cour contre la piéce & contre l’aute
n autentique de remettre cette comédie sur le théatre. Elle reparut à Paris le42 5 février de cette année. Dès qu’elle eut ét
rion, comédie en trois actes en vers, avec un prologue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 13 juin 1668.
résentée avec des intermédes à Versailles le 15 juillet 1668, & à Paris , sans intermédes, sur le théatre du palais royal,
tes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octobre 1669, & à Paris , sur le théatre du palais royal, le 15 novembre d
mp; monsieur de Pourceaugnac de finir le mariage qui l’avoit attiré à Paris . Les piéges dans lesquels Sbrigani fait tomber l’
vailloit, ne crut pas devoir hazarder cette comédie sur le théatre de Paris . Il ne la fit pas même imprimer, quoiqu’elle ne s
tes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octobre 1670, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 29 novembre de
ssûra l’auteur alarmé du peu de succès de la premiére représentation. Paris fut frappé de la vérité du tableau qu’on lui prés
fourberies de Scapin, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 24 mai 1671. d
Psiché, Psiché, tragédie-ballet en cinq actes en vers, représentée à Paris au palais des tuileries pendant le carnaval 1670,
s. Les femmes sçavantes, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 11 mars 1672.
représentée à saint Germain en Laye, au mois de février 1672, & à Paris , en un acte, sans intermédes, sur le théatre du p
édie-ballet, en trois actes en prose, avec un prologue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 février 167
ntre les bras de deux de ces sœurs religieuses, qui viennent quêter à Paris pendant le carême, & qu’il avoit retirées che
mort, une nouvelle marque de sa protection, engagea l’archevêque55 de Paris , à ne lui pas refuser la sépulture dans un lieu s
mbloit à Auteuil, dès que ses occupations lui permettoient de quitter Paris , ou ne l’appelloient pas à la cour. Estimé des ho
t Honoré. 3. Voici ce qu’en dit Grimarest, vie de Moliere, page 312. Paris in-12. 1705. On s’étonnera peut-être que je n’aye
qu’ils obtinrent ce tître dès 1658, avec la permission de s’établir à Paris . 10. La sale du petit Bourbon ayant été démolie
urdi, ou les contretems, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le ; décembre 16
658. Le Depit amoureux, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, au mois de décem
Les precieuses ridicules, comédie en un acte en prose, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 18 novembre 1
ou le cocu imaginaire, comédie en trois actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 28 mars 1660.
ppe & de Céphise, comédie en trois actes en vers, par Fr. Doneau, Paris in-12, 1660. Dom Garcie de Navarre, ou le prince
prince jaloux, comédie héroïque en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 4 février 1661.
pe. L’école des maris, comédie en trois actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 24 juin 1661.
trois actes en vers, représentée à Vaux au mois d’août 1661, & à Paris , sur le théatre du palais royal, le 4 novembre de
62. L’école des femmes, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 26 décembre 166
n acte en prose, représentée à Versailles le 14 octobre 1663, & à Paris sur le théatre du palais royal le 4 novembre de l
, le reste en prose,) représentée à Versailles le 8 may 1664, & à Paris sur le théatre du palais royal le 9 novembre de l
n un acte en prose, représentée au louvre le 29 janvier 1664, & à Paris sur le théatre du palais royal, avec quelques cha
ou le festin de Pierre, comédie en cinq actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 15 février 1665
ou de l’athée foudroyé, comédie en cinq actes en vers, par Rosimond, Paris in-12, 1670. 25. Dom Juan dans une scéne avec un
c un prologue, représentée à Versailles le 15 septembre 1665, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 22 du même moi
page 76. Le misantrope, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 4 juin 1666.
Le medecin malgré lui, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 6 aoust 1666.
des muses, à saint Germain en Laye, au mois de janvier 1667, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 juin de la
artuffe, ou l’imposteur, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 5 aoust 1667,
Grimarest, page 176. 39. par m. le premier président du parlement de Paris , 40. Second placet. 41. Il est sous le tître de
rion, comédie en trois actes en vers, avec un prologue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 13 juin 1668.
n cinq actes en vers, par Rotrou, achevée d’imprimer le 25 juin 1638, Paris in-4°. 46. Solventur risu tabulæ, tu missus abi
résentée avec des intermédes à Versailles le 15 juillet 1668, & à Paris , sans intermédes, sur le théatre du palais royal,
tes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octobre 1669, & à Paris , sur le théatre du palais royal, le 15 novembre d
tes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octobre 1670, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 29 novembre de
fourberies de Scapin, comédie en trois actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 24 mai 1671.
rienne. Psiché, tragédie-ballet en cinq actes en vers, représentée à Paris au palais des tuileries pendant le carnaval 1670,
. Les femmes sçavantes, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 11 mars 1672.
palais royal, le 11 mars 1672. 51. Voyez Menagiana, tom. 3. p. 23. Paris , in-12, 1715. La comtesse d’Escarbagnas, comédie
représentée à saint Germain en Laye, au mois de février 1672, & à Paris , en un acte, sans intermédes, sur le théatre du p
édie-ballet, en trois actes en prose, avec un prologue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 février 167
2 (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397
mande que nous placions ici le début de M. Molièrea et de sa troupe à Paris , devant le roi (Louis XIV), et pour en rendre com
s employer un passage de la préface des Œuvres de Molière, édition de Paris , 1682b. L’auteur de cette préface, après avoir pa
n discours : « En 1658, ses amis lui conseillèrent de s’approcher de Paris , en faisant venir sa troupe dans une ville voisin
n. Il y séjourna pendant l’été, et après quelques voyages qu’il fit à Paris secrètement, il eut l’avantage de faire agréer se
rande estime que Sa Majesté donna ses ordres pour établir sa troupe à Paris . La salle du Petit-Bourbon lui fut accordée, pour
utés L’Étourdi et Le Dépit amoureux, qui n’avaient jamais été joués à Paris . » Nous allons parler de la première de ces pièc
avait été composée et représentée en province, avant que de l’être à Paris . Il y a toute apparence que ces messieurs s’en so
si souvent retourner à l’école1 tout ce qu’il y a de gens d’esprit à Paris . « Ce fameux auteur de L’École des maris 2, ayant
fait jouer ces deux pièces à la campagne, il voulut les faire voir à Paris , où il emmena sa troupe. « Comme il avait de l’es
ue temps joué de vieilles pièces, et s’être en quelque façon établi à Paris , il joua son Étourdi et son Dépit amoureux, qui r
age : Les Véritables Précieuses, comédie en un acte, en prose, in-12, Paris , Jean Ribou, 1660. À la tête de cette pièce (qui
des nouvelles des pièces jouées l’hiver précédent sur les théâtres de Paris , et voici le compte qu’il en rend. M. PICORIN. P
mais il me représenta que toutes les personnes les plus illustres de Paris allaient tous les jours voir la farce au Petit-Bo
: Le Procès des précieuses, comédie en vers burlesques et en un acte, Paris , 1660a. Elle est du même Somaize, et n’a point ét
ouée. Enfin Les Précieuses ridicules de Molière, mise en vers, in-12, Paris , 1660. Cette pièce est fort mal versifiée : elle
ua, dans Le Cocu imaginaire, que l’auteur, depuis son établissement à Paris , avait perfectionné son style ; cet ouvrage est p
’été, et pendant que le mariage du roi retenait toute la Cour hors de Paris . » Le lecteur ne sera peut-être pas fâché de tro
Cour les a non seulement approuvées, mais encore le peuple, qui dans Paris sait parfaitement bien juger de ces sortes d’ouvr
t et le plus délicat qui ait jamais paru au théâtre ; l’on est venu à Paris de vingt lieues à la ronde, afin d’en avoir le di
é jouée non seulement en plein été, où pour l’ordinaire chacun quitte Paris pour s’aller divertir à la campagne, mais encore
é de cette ville : elle n’en a toutefois pas moins réussi, et quoique Paris fut ce semble désert, il s’y est néanmoins trouvé
ait été jouée dans un temps plus favorable, et si la Cour avait été à Paris  ? Elle aurait été sans doute plus admirée que les
jamais rien de si spirituel que les vers. C’est pourquoi presque tout Paris a souhaité de voir ce qu’une femme pourrait dire,
es 213 et 214, parle d’une troupe de comédiens espagnols qui arriva à Paris en 1660. Voici ce qu’il en dita. « Nous vîmes a
Paris en 1660. Voici ce qu’il en dita. « Nous vîmes aussi arriver à Paris une troupe de comédiens espagnols, la première an
nde troupe ou famille De comédiens de Castille, Se sont établis dans Paris , Séjour des jeux, danses et ris ; Pour considérer
ue comédie et danse, Donner du plaisir à la France. Les comédiens de Paris , Bien loin d’être contre eux marris, D’entreprend
ginale] M. de La Calprenède. [*]. Début de Molière et de sa troupe à Paris , devant le roi (Louis XIV). a. On trouvera la vi
provinces, et avoir joué à Grenoble, à Lyon et à Rouen, vint enfin à Paris en 1658. Le prince de Conti lui donna accès auprè
ne mère.) Vie de Molière, avec des jugements sur ses ouvrages, in-12, Paris , Prault fils, 1739. a. « [*]M. Despréaux ne se
Enfin il fut donné à des comédiens italiens, dont la troupe débuta à Paris le 9 août 16533. Ces comédiens étaient en possess
héâtre, lorsque le roi permit à Molière et à sa troupe de s’établir à Paris , sous le titre de la Troupe de Monsieur, et de jo
vrages de Molière, à la tête des Œuvres de cet auteur, édition in-12, Paris , 1739. a. « [*]Les connaisseurs ont dit que L’É
bercourt, gentilhomme manceau, est député de sa province pour venir à Paris demander la suppression du langage précieux. Il f
t imprimée en trois actes dans l’édition in-4° des Œuvres de Molière, Paris , 1734, et in-12, 1739. Mais nous avons cru devoir
ns la table générale des pièces de théâtre de Molière, édition in-12, Paris , 1739, attendu que cette pièce fut jouée en été p
uée en été pendant que le mariage du roi retint toute la Cour hors de Paris . Voyez ci-dessous la préface de La Cocue imaginai
f de la Troupe des comédiens de Monsieur, frère unique du roi, in-12, Paris , Jean Ribou, 1660. b. Cette pièce est intitulée
éphise, ou la Cocue imaginaire, comédie en vers et en un acte, in-12, Paris , Jean Ribou, 1660. c. Cet auteur ne nous est con
3 (1739) Vie de Molière
e était destiné à être imprimé à la tête du Molière in-4°. édition de Paris . On pria un homme très-connu de faire cette vie e
rs ouvrages. C’est ce qui est arrivé dans l’édition de Racine faite à Paris en 1728. On tâchera d’éviter cet écueil dans cett
re aux sentiments du public éclairé. Jean-Baptiste Poquelin naquit à Paris en 1620 dans une maison qui subsiste encore sous
les fonctions de son emploi auprès du roi. Il suivit Louis XIII dans Paris . Sa passion pour la comédie, qui l’avait détermin
ctionnée. Avant l’année 1625, il n’y avait point de comédiens fixes à Paris . Quelques farceurs allaient, comme en Italie, de
es pour le nôtre, furent cause qu’une troupe de comédiens s’établit à Paris . Bientôt après, la passion du cardinal de Richeli
provinces, et avoir joué à Grenoble, à Lyon, à Rouen, il vint enfin à Paris en 1658. Le prince de Conti lui donna accès auprè
s les pièces de cinq. On permit à la troupe de Molière de s’établir à Paris  ; ils s’y fixèrent, et partagèrent le théâtre du
irer des conjectures de leur mouvement naturel. Molière se fit dans Paris un très-grand nombre de partisans, et presque aut
lques moments par deux de ces sœurs religieuses qui viennent quêter à Paris pendant le carême, et qu’il logeait chez lui. Il
n contre la comédie, déterminèrent Harlay de Chanvalon, archevêque de Paris , si connu par ses intrigues galantes, à refuser l
domestique et le pensionnaire, eut la bonté de prier l’archevêque de Paris de le faire inhumer dans une église. Le curé de S
Comédie en vers et en cinq actes, jouée d’abord à Lyon, en 1653, et à Paris au mois de Décembre 1658, sur le théâtre du Petit
Bourbon. Cette pièce est la première comédie que Molière ait donnée à Paris  : elle est composée de plusieurs petites intrigue
était le goût du théâtre italien et espagnol, qui s’était introduit à Paris . Les comédies n’étaient alors que des tissus d’av
quentés assidûment. Aussi ce ne fut qu’après avoir bien vu la cour et Paris , et bien connu les hommes, que Molière les représ
e au théâtre du Petit-Bourbon, en 1658. Le Dépit amoureux fut joué à Paris , immédiatement après l’Étourdi. C’est encore une
se, jouée d’abord en province, et représentée pour la première fois à Paris sur le théâtre du Petit-Bourbon, au mois de novem
. Cette petite pièce, faite d’abord pour la province, fut applaudie à Paris , et jouée quatre mois de suite. La troupe de Moli
Le Cocu imaginaire, Comédie en un acte et en vers, représentée à Paris le 28 mai 1660. Le Cocu imaginaire fut joué quar
’été, et pendant que le mariage du roi retenait toute la cour hors de Paris . C’est une pièce en un acte, où il entre un peu d
n voit que Molière perfectionna sa manière d’écrire, par son séjour à Paris . Le style du Cocu imaginaire l’emporte beaucoup s
’École des maris, Comédie en vers et en trois actes, représentée à Paris le 24 Juin 1661. Il y a grande apparence que Moli
trois actes, représentée à Vaux devant le roi, au mois d’Août,  et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 Novembre de
’École des femmes, Comédie en vers et en cinq actes, représentée à Paris , sur le théâtre du Palais-Royal,  le 26 Décembre
ole des femmes, Petite pièce en un acte et en prose, représentée à Paris , sur le théâtre du Palais-Royal,  le 1er Juin 166
un acte et en prose, représentée à Versailles le 14 octobre 1663 et à Paris le 4 Novembre de la même année. Molière fit ce p
pour embellir la fête. On a depuis représenté la Princesse d’Élide à Paris  ; mais elle ne put avoir le même succès, dépouill
ement les ouvrages faits pour des fêtes réussissent-ils au théâtre de Paris . Ceux à qui la fête est donnée, sont toujours ind
re de Convitato di Pietra. La troupe des comédiens italiens le joua à Paris , et on l’appela Le Festin de Pierre. Il eut un gr
ilas. L’Avare, Comédie en prose et en cinq actes, représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 166
en trois actes, représentée à Versailles le 15 de juillet 1668,  et à Paris le 9 de novembre suivant. On ne connaît, et on ne
de jouer Le Tartuffe. La première représentation en fut donc faite à Paris le 5 août 1667. Le lendemain on allait la rejouer
e qu’il fait bien. On imprima contre lui vingt libelles ; un curé de Paris s’avilit jusqu’à composer une de ces brochures, d
, faite et jouée à Chambord, au mois d’octobre 1670, et représentée à Paris le 23 novembre de la même année. Le Bourgeois ge
ose, représentée devant le roi à Saint-Germain, en février 1672, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 8 juillet de l
presque plus personne à ce même Tartuffe qui attirait autrefois tout Paris , tandis qu’on court encore avec empressement aux
4 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
es fonctions de son emploi auprès du roi. Il suivit Louis XIII : dans Paris , sa passion pour la comédie qui l’avait déterminé
Après avoir couru quelque temps toutes les provinces, il vint enfin à Paris en 1658. On permit à sa troupe de s’y établir ; i
mais qui rendait son jeu comique plus plaisant. Molière se fit dans Paris un très grand nombre de partisans, et presque aut
a de l’enterrer ; mais le roi qui le regrettait, pria l’archevêque de Paris de lui faire donner la sépulture dans une église.
i , ou les Contre-Temps, comédie en cinq actes en vers, représentée à Paris , sur le théâtre du Petit-Bourbon, le 3 décembre 1
Le Dépit Amoureux , comédie en cinq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théâtre, la même année.124 Trop de c
ince Jaloux, comédie héroïque en cinq actes et en vers, représentée à Paris , sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 février 166
L’École des Femmes , comédie en cinq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théâtre, le 28 décembre 1662.127 Les
e. Le Misanthrope , comédie en cinq actes et en vers, représentée à Paris , sur le même théâtre, le 4 juin 1666. Chef d’œuvr
Le Médecin malgré lui , comédie en 3 actes et en prose, représentée à Paris sur le même théâtre, le 6 août de la même année.
ffe , ou l’Imposteur, comédie en cinq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théâtre, le 5 août 1667, et depuis, s
, comédie en trois actes et en vers, avec un prologue, représentée à Paris sur le même théâtre, le 13 juin 1668131. Comédie
5 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
and homme. Au milieu de cet entraînement universel, qui le croirait ? Paris seul gardait le silence. Ce n’est pas qu’il fût i
lle, où priait Saint Louis, ni Molière, lui-même, le simple enfant de Paris , élevé sous les piliers des Halles, ne se présent
oré ou sous les piliers des Halles, jouant avec les libres enfants de Paris , et s’incarnant cet esprit goffe et facétieux don
a dépouille mortelle, se glissât furtivement la nuit dans les rues de Paris , comme s’il cachait un coupable, comme si ce cerc
e de l’intérieur qui refusa son approbation. "Les places publiques de Paris , étant exclusivement consacrées aux monuments éri
neuf. Enfin le jour de la justice approchait. Le conseil municipal de Paris venait de voler la construction d’une fontaine à
sa de remarquer dans une lettre adressée à M. de Rambuteau, préfet de Paris , que la fontaine, dont on venait de décider l’ére
M. de Rambuteau prit fait et cause et devint l’avocat de la ville de Paris , auprès du conseil municipal un peu confus de son
st sa gloire et la nôtre. Nous y avons tous contribué, et la ville de Paris , et le Roi, et le peuple, et les académies, et le
ui qui fut Molière !… II. Molière ! noble enfant du peuple de Paris , De ce siècle si grand un des plus grands esprits
e et survécut à tout ! Et cependant, malgré l’universel hommage, Dans Paris , de Molière on cherche en vain l’image. Que de jo
r, Et toujours au génie appartient l’avenir ! » MADAME LOUISE COLET. Paris , février 1842. Notes. Note A. « Mons
t où il fût plus convenable d’élever à ce grand homme un monument que Paris , sa ville natale, s’étonne encore de ne pas possé
tinée à élever la statue de Molière n’aurait pas moins de succès dans Paris  ; les corps littéraires et les théâtres s’empress
t très obéissant serviteur, REGNIER,Sociétaire du Théâtre-Français. » Paris , 14 mars. « Monsieur, J’ai reçu la lettre que v
t, autant que personne au monde, je me réjouirais de voir la ville de Paris rendre enfin à Molière le même hommage que d’autr
te B. Confié au premier architecte de l’époque, M. Visconti, à qui Paris doit déjà tant de monuments remarquables, et qui
es des procès-verbaux des séances du Conseil municipal de la ville de Paris .SEANCE DU 21 JUIN Présents : MM. Aubé, Beau, Be
e municipale. Considérant, en ce qui concerne la part que la ville de Paris est appelée à prendre dans la souscription du mon
nt les arts n’ont pas encore suffisamment honoré la mémoire, est né à Paris , qu’il y a fait ses études, qu’il y a passé presq
rsqu’il est question de lui ériger un monument digne de cette gloire, Paris , qui déjà y a contribué par les souscriptions par
et, à leur exemple, des artistes des autres théâtres de la capitale ; Paris , disons-nous, ne veut pas, en tant que commune, r
e, rester étranger à cette Œuvre ; Considérant que la souscription de Paris , jointe aux 81,000 f. déjà disponibles, rend poss
nument. 4° Indépendamment des crédits ci-dessus rappelés, la ville de Paris souscrit pour trente mille francs audit monument 
ouvement. 5. Et en effet, au moment même où le Conseil Municipal de Paris oubliait Molière, le Roi de Saxe lui consacrait u
lent rapport sur la fontaine de Molière, fait au conseil municipal de Paris dans sa séance du 11 juin 1839, par M. Boulay de
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
troupe qu’il avoit en société avec la Béjart ; il la donna ensuite à Paris sur le théâtre du petit Bourbon le 3 Décembre de
le est intitulée l’Inavertito, l’Etourdi : on la donne fort souvent à Paris , sous le titre du maître Etourdi 3. Extrait du m
t, ou le maître Étourdi, Comédie en cinq actes & en vers, jouée à Paris quatre ans avant celle de Moliere. Acte I. Cléan
Lucrece. Elle cache des papiers nécessaires au procès qui les amene à Paris , feint de les avoir oubliés à Auxerre. Licipe par
ville. Charles d’Estampes qui étoit l’aîné, fut par son pere envoyé à Paris chez un marchand drapier, chez lequel ayant appri
ant appris le métier, il se fit recevoir maître, & s’habitua dans Paris , où il prit femme, de laquelle il eut quelques en
ne put avoir d’enfants. Un certain filou, natif de Chartres, étant à Paris , & connoissant fort bien les deux freres &
S. Honoré. Il avertit de son dessein quelques méchants garnements de Paris qu’il hantoit. . . . . . Ce filou, en fort mauvai
Estampes, & lui faire entendre que son frere Charles étoit mort à Paris , pour être reçu de même dans sa maison, & att
uteur, & tuteur de ses enfants, le priant de venir en diligence à Paris pour donner ordre à leurs affaires, lui faisant d
mauvaise nouvelle ; &, sachant que cet homme étoit venu exprès de Paris , envoyé par sa belle-sœur, il lui fit faire bonne
de sorte qu’il fit mieux ses affaires à Chartres qu’il n’avoit fait à Paris  : & dès le lendemain de grand matin, il part,
ne songea qu’à faire dépêcher son deuil pour s’en aller promptement à Paris . Le plaisant de l’aventure est qu’ils partirent l
coucher à Bonnelle, qui est environ la moitié du chemin de Chartres à Paris . Mais Charles étant parti un peu plutôt, arriva d
7 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
ions et les luttes finales de la compagnie du très-saint-sacrement de Paris . 1 Depuis 1627, date de sa naissance, plusie
onnant donc que le 28 mars 1658, il ait été résolu en la Compagnie de Paris que, pour se cacher mieux, « Messieurs seraient p
t correspondance » toute particulière régnait « entre la Compagnie de Paris et celle de Caen. » — On ne pouvait nier enfin qu
t jours de ses séances; mais encore son affiliation à la Compagnie de Paris se trouvait révélée, ainsi que l’existence « d’au
écision pressante et efficace5. En 1659, les principaux magistrats de Paris recevaient la visite de deux particuliers (deux m
s des grandes villes. On sait quelle institution intangible c’était à Paris que la foire Saint-Germain, et quant à interdire
rés. — Enfin il se trouvait alors que la bourgeoisie même, au moins à Paris , la bourgeoisie des avocats et des médecins, fais
sans doute, quand le 6 août 1660, il écrit, tout ému, à Falconet : «  Paris est plein aujourd’hui de faux prophètes. Nous avo
nt, — se méfièrent12. Alors la justice fut saisie, et le Parlement de Paris informé par le procureur général que, « sous le v
ne « laissa périr l’œuvre de Dieu, » et d’après la correspondance de Paris avec Marseille14, comme d’après la relation de Vo
cembre 1660 fut « le jour de la grande décadence de la Compagnie » de Paris , et que c’est, proprement, à la fin de cette anné
s à l’index. Quelques mois plus tard, Molière quittait définitivement Paris et s’en allait courir les provinces pour treize a
st, — selon le biographe de M. Olier, — qu’il attendit pour revenir à Paris la mort du cure de Saint-Sulpice24. Le comédien t
re compte de la volte-face de son protecteur. Et il était de retour à Paris en 1660, lorsque dans la Compagnie du Saint-Sacre
Paris à sa succursale de Marseille, nous montre les « messieurs » de Paris écrivant tout exprès à leurs confrères provinciau
« donna le coup de la mort à la Compagnie, fut excitée par un curé de Paris qui crut s’acquérir un grand mérite auprès du pre
ruction des enfans, dotaient les jeunes filles. Celle que dirigeait à Paris , vers 1640-1650, le P. Bagot, du collège de Clerm
ernité qui, doublant les forces morales de la Compagnie, rayonnait de Paris à Goa, » et de Rome jusqu’à la plus petite ville.
ier que bon nombre de noms seraient communs aux unes et aux autres. A Paris , de la congrégation du P. Bagot, faisaient aussi
ulmy d’Argenson. Et lorsqu’en 1696, d’Argenson engage l’archevêque de Paris à ressusciter la Compagnie du Saint-Sacrement, il
inement. Leur présence dut maintenir dans le Saint-Sacrement, sinon à Paris , du moins en province, la couleur première qu’il
le même Père Rapin, comme un de ces hommes du monde qui allaient dans Paris prônant les Provinciales. Or, en 1660-1661, si le
te René Voyer d’Argenson. publiées par le R. P. dom Beauchet-Filleau, Paris et Marseille, 1900, — où sont pris la plupart des
. la Revue. 1908, 1" août, p. 852. 9. E. Faguet, l’Anticléricalisme. Paris , 1906. — Cf. pour les détails qui suivent, Études
ciété dite des Libertins, dans les Œuvres posthumes de René Grousset. Paris , 1906; l’index du livre de Victor Giraud sur Pasc
Grousset. Paris, 1906; l’index du livre de Victor Giraud sur Pascal, Paris , 1905, au mot Libertins; Perrens, 1rs Libertins e
l’importante circulaire envoyée dès le 8 octobre, par la Compagnie de Paris à ses succursales de province dans notre publicat
e dans notre publication sur la Compagnie secrète du Saint-Sacrement. Paris , Champion, 1908, p. 113, 114. 13. Arch. nat. Reg
du Saint-Sacremenl. Lettres du groupe parisien au groupe marseillais, Paris . Champion, 1908, et l’ouvrage de M. Allier sur la
8 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
e Molière (Jean-Baptiste Poquelin, si célèbre sous le nom de) né à Paris en 1620, mort en 1673, était fils et petit-fils d
charge, qu’il a depuis exercée jusqu’à sa mort ; mais à son retour à Paris , il céda à son étoile, qui le destinait à être Pa
s à son retour à Paris, il céda à son étoile, qui le destinait à être Paris parmi le Restaurateur de la Comédie. Le goût pour
rovince. Ce Prince avait connu Molière au Collège, et s’était amusé à Paris des représentations1 de l’Illustre Théâtre, qu’il
réputation auquel il aspirait. Dans les fréquents voyages qu’il fit à Paris , où il avait dessein de se fixer, il eut accès au
de imaginaire. Molière avait encore composé, pour la Province et pour Paris , plusieurs petites Farces, comme le Docteur amour
Béjar le Comédien18, qui fut camarade de Molière en Province et à Paris , demeura estropié d’une blessure qu’il avait reçu
ns le rôle de la Flêche, mais dans tous ceux que Béjard remplissait à Paris . On substitue aujourd’hui au mot de boiteux, tout
fit recevoir. Tome I, p. 156-157 L’ambassadeur de Siam, étant à Paris en 1686, vint à la Comédie Française, et vit joue
es, que Molière donnait en Province, et qu’il faisait jouer ensuite à Paris après les grandes Pièces. Tome I, p. 213 La
4-67 Tome I, p. 213 1705, Grimarest, p. 21-23 Un Bourgeois de Paris , qui faisait l’homme d’importance, s’imagina que
rer que Molière perfectionnait de beaucoup son style par son séjour à Paris . Un nommé Neufvillenaine26 fit imprimer cette Piè
ière avait fait cette petite Pièce pour les Provinces ; et la donna à Paris , lorsqu’il vint y débuter devant le Roi et toute
i grande estime, que le Roi donna ses ordres pour établir sa Troupe à Paris . […] Le Docteur Amoureux fit renaître la mode de
n réputation. La Pièce ayant eu, comme on sait, l’approbation de tout Paris , on la joua à la Cour qui était alors au voyage d
aires cessantes, il donna parole pour le lendemain, et il courut tout Paris pour tirer vanité de la lecture de cette Pièce. M
Tartuffe, dont il avait paru trois Actes dès 1664, firent courir dans Paris plusieurs libelles très satyriques contre Molière
e naturel au précieux du Sonnet d’Oronte89 : Si le Roi m’avait donné Paris sa grand’Ville, etc.90 Baron* prenant ces tons
e Comédie. Les Faux dévots profitèrent de cette défense pour soulever Paris et la Cour contre la Pièce et contre l’Auteur. Mo
Tartuffe. Tome II, p. 209 La première Comédie que Piron* vit à Paris , fut le Tartuffe : son admiration allait jusqu’à
n sentir toutes les finesses de cette Pièce, que Votre Majesté connût Paris comme nous. Oui, dit le Prince ! Ah ! je comprend
nce ! Ah ! je comprends ; mais je n’ai pas besoin de me transporter à Paris , pour goûter toutes les beautés du Misanthrope ».
squ’il se joignit à celle de Molière, qui, peu de temps après, vint à Paris . Ducroisy* y fut un des meilleurs Acteurs de la T
ux147, se retira à Conflans-Sainte-Honorine, qui est un bourg près de Paris , où il avait une Maison. Ses amis l’y allaient vo
49, dans la Devineresse 150, lui ont attiré l’applaudissement de tout Paris . Il s’est fait aussi admirer dans le rôle du Vico
9 Molière (Jean-Baptiste Poquelin, si célèbre sous le nom de) né à Paris en 1620, mort en 1673, était fils et petit-fils d
charge, qu’il a depuis exercée jusqu’à sa mort ; mais à son retour à Paris , il céda à son étoile, qui le destinait à être Pa
s à son retour à Paris, il céda à son étoile, qui le destinait à être Paris parmi le Restaurateur de la Comédie. Le goût pour
rovince. Ce Prince avait connu Molière au Collège, et s’était amusé à Paris des représentations153 de l’Illustre Théâtre, qu’
réputation auquel il aspirait. Dans les fréquents voyages qu’il fit à Paris , où il avait dessein de se fixer, il eut accès au
de imaginaire. Molière avait encore composé, pour la Province et pour Paris , plusieurs petites Farces, comme le Docteur amour
t à lui faire un Convoi magnifique : mais M. de Harlai, Archevêque de Paris , ne voulut pas permettre qu’on l’inhumât en terre
, 1, p. 33 Tome III, p. 345-346 À peine Molière fut mort, que Paris fut inondé d’épitaphes à son sujet ; toutes assez
et fut ordonné prêtre. Il poursuivit ses études au collège Montaigu à Paris . Devenu précepteur, il se rendit en Angleterre où
res 2007). 6. Dacier, Anne Lefebvre, Mme(Preuilly-sur-Claise 1647 – Paris 1720) : érudite française, épouse d’André Dacier,
, A-M Imbert, p. 657). 13. Riccoboni, Louis (Modène, 1674 ou 1677 – Paris , 5 décembre 1753) : acteur célèbre, auteur et cri
, Hélène Flaminia. En 1729, il est à la cour de Parme, puis revient à Paris en 1731, ne paraît plus sur scène, mais il écrit
nne Marie Louise d’Orléans, duchesse de, dite la Grande Mademoiselle ( Paris 1627 – id. 1693) : fille de Gaston d’Orléans et d
che vilain : comédie en 3 actes et en vers. 38. Chappuzeau, Samuel ( Paris , 1625 – Paris, 1701) : sa famille était protestan
omédie en 3 actes et en vers. 38. Chappuzeau, Samuel (Paris, 1625 – Paris , 1701) : sa famille était protestante, originaire
teur de Guillaume d’Orange, citoyen de Genève, directeur de pension à Paris , pour finir gouverneur des pages à la cour du duc
Acte I, scène 1, vers 175-182. 46. La Mothe Le Vayer, François de ( Paris , 1588 – 1672) : philosophe. Il était fils d’un ma
07). 55. Acte III, scène 6. 56. Anne d’Autriche (Valladolid 1601- Paris 1666) : Reine de France. Fille de Philippe III d’
I, scène 1, v.73-74. 62. Richelet, César Pierre (Cheminon v. 1626 – Paris 1698) : lexicographe français. Il est l’auteur d’
ame la duchesse de Montausier, Julie d’Angennes. Angennes, Julie d’ ( Paris 1607- id. 1671) : fille de la marquise de Ramboui
de Bourgogne. (DLF XVII p. 1258) 67. Dorimond, Nicolas Drouin, dit ( Paris , v. 1628 – v. 1664) : acteur et auteur, joua surt
n, 1658 ; Savoie, 1659 ; Turin ; Dijon, 1660 ; rue des Quatre-Vents à Paris , 1660 ; Pays-Bas, 1662-1663. Sa compagnie, dite «
it. (DLF XVII p. 395). 68. Rosimond, Claude Roze ou Larose dit (? –  Paris , 1686) : comédien, joua à Rouen, puis sans doute
seur de lettres à Rouen, Caen, La Flèche et, vingt-deux ans durant, à Paris , membre des académies de Caen et de Lyon. Il comp
e Rougemont p. 489) 98. Vigarani, Carlos (Reggio nell’Emilia 1623 – Paris 1713) : architecte et ingénieur italien, fils aîn
ne. (DET, M. Freydefont p. 1708). 104. La Motte, Antoine Houdar de ( Paris , 1672 – 1731) : auteur dramatique. Fils de chapel
die, en trois actes et en prose. 107. Goldoni, Carlo (Venise 1707 – Paris 1793) : auteur dramatique italien, dont le nom es
pour la cour, [...] ». 118. Bourdaloue, Père Louis (Bourges 1632 – Paris 1704) : prédicateur français. Après avoir enseign
appartenait, Bourdaloue fit ses débuts de prédicateur en 1666, vint à Paris en 1669 et acquit une grande notoriété auprès de
et en vers. Boisrobert, François Le Métel, seigneur de (Caen 1589 – Paris 1662) : dramaturge français, quelque temps avocat
ues) 138. Montfleury, pseudonyme de Zacharie Jacob (en Anjou 1600 – Paris 1667) : comédien français de l’Hôtel de Bourgogne
952). 144. Armand, François Huguet, dit (Richelieu, 1er juin 1699 – Paris , 26 décembre 1765) : comédien de grande réputatio
usique. 151. La Grange, pseudonyme de Charles Varlet (Amiens 1635 – Paris 1692) : comédien français de la troupe de Molière
9 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
suivit cet exemple, et s’attacha à la fille d’un simple bourgeois de Paris , appelée Madelène Bejard, connue depuis par son g
lia son épouse au milieu des plaisirs de la capitale. Modène revenu à Paris avec lui, trouva Madelène Bejard, livrée à une so
ça de modérer sa passion. N’ayant pu y réussir, il partit avec lui de Paris pour Rome, vers la fin de l’année 1646, afin de f
no, et Marie de Raimond, dame de Montlaur, son épouse. 2. Imprimée à Paris , en 3 vol. in-12 ; le premier volume en 1665, et
Vénaissin, d’Avignon et de la principauté d’Orange (par Pithon-Curt). Paris , 1750, tome 3, p. 19, 20, 21 et 22, article Raimo
8 et 474. 5. Hist. de la noblesse du Comté Vénaissin. Tome premier. Paris , 1743 ; p. 135, art. la Baume. 6. Histoire géné
mps. 8. Dissertation sur J. B. Poquelin-Molière, par L. F. Beffara. Paris , 1821, p. 13. 9. Grimarest (Vie de Molière), dit
ge caché. On trouvera cette vie dans l’édition des Œuvres de Molière. Paris , 1716, t. I. Dissertation, p. 20. 10. L’Art de
, 1716, t. I. Dissertation, p. 20. 10. L’Art de vérifier les dates. Paris , 1818, t. 6, page 256. 11. Biographie universel
évolutions de Naples, t. 2, p. 69. 14. L’Art de vérifier les dates. Paris , 1819, t. 18, p. 288. Histoire des rois des deux
1819, t. 18, p. 288. Histoire des rois des deux Siciles, par d’Égly. Paris , 1741, t. 4, p. 195. 15. Il descendait d’Yolande
10 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
ividu un relief énergique, et lorsque en même temps le foyer central, Paris et la cour, formait à l’élégance et au bon goût l
ne va presque personne à ce même Tartuffe qui attirait autrefois tout Paris , tandis qu’on court encore avec empressement aux
 » Voici une ingénieuse apologie de Prudhomme dans Les Révolutions de Paris  : « Obligé, forcé de se taire dans un temps de se
on d’Alceste est estropiée comme il suit : Si l’on voulait me donner Paris la grand ville Et qu’il me fallût quitter L’amour
ait à maintenir là-bas l’honneur littéraire de la France, pendant que Paris subissait les désastres de la Commune. En 1879, s
aires, et elle atteignit à son apogée. Un monument lui fut érigé dans Paris , honneur qui jusqu’alors n’avait été accordé qu’à
16 janvier 1871, en garderont à jamais la mémoire. On célébrait, dans Paris assiégé et bombardé, le deux cent quarante-neuviè
ires Nous font plus grande encor ton immortalité. Mais ce n’est plus Paris souriant et sceptique Qui va fêter Agnès, Alceste
uriant et sceptique Qui va fêter Agnès, Alceste ou Scapin. Non, C’est Paris prisonnier, meurtri, blessé, stoïque, Qui fête le
erches ont été poursuivies sans relâche dans tous les dépôts, tant de Paris que de la province. Il ne serait plus exact de di
es. C’était une construction très ancienne, spécimen curieux du vieux Paris , remarquable par un poteau cornier ou longue pout
’année 1637. Un extrait de l’État de la taxe des boues de la Ville de Paris pour l’année 1637 porte en effet cette mention « 
e cette famille avaient fourni des juges et des consuls à la ville de Paris . En 1631, Jean Poquelin succéda à la charge de ta
nce de M. le curé et de quatre prêtres porteurs. Ainsi Molière naît à Paris  ; il est de la lignée des esprits parisiens à laq
r où la saillie florissait de temps immémorial, où les « bons becs de Paris  »soutenaient depuis Villon leur vieille renommée.
naient depuis Villon leur vieille renommée. « Il n’est bon bec que de Paris  » ; c’est le refrain d’une ballade de F. Villon.
mois d’août 1641. C’était une des plus grandes maisons d’éducation de Paris  ; les Jésuites la dirigeaient ; il y avait trois
Poquelin, qui était de quartier pendant ce trimestre, ne quitta point Paris . On a conclu de là que son fils aîné, survivancie
t d’un œil avide la litière qui, de ce voyage tragique, ramenait dans Paris le tout-puissant cardinal. » Jusqu’à la date où
enne diverses erreurs, sert à constater le bruit que l’aventure fit à Paris . Il nous semble toutefois que c’est tomber dans u
on de démarches officielles. Le projet de fonder un nouveau théâtre à Paris ne se réalisa pas immédiatement après la renoncia
stitution de la troupe. Le 30 juin, le contrat de société fut passé à Paris . La troupe, avec la présomption de la jeunesse, p
rdé entre lesd. parties promettant, obligeant chacun. Fait et passé à Paris en la présence de noble homme André Maréchal avoc
arlement, Marie Hervé, veuve de feu Joseph Béjart vivant bourgeois de Paris , mère desd. Béjart et Françoise Lesguillon, femme
jart et Françoise Lesguillon, femme d’Étienne de Surlis, bourgeois de Paris , père et mère de lad. De Surlis, en la maison de
Couture, un nom de guerre sans doute. La qualité de maître écrivain à Paris qu’il prend dans les actes d’emprunt a fait suppo
encore la « Chrysolite ou le secret des romans, par André Mareschal » Paris , Du Bray, 1627, 2 vol. in-8°. On serait tenté de
, 2 vol. in-8°. On serait tenté de croire qu’il y eut en même temps à Paris deux Mareschal, tous deux avocats en parlement, t
entier, et Duplessis, menuisier, à activer les travaux de la salle de Paris , afin qu’elle soit prête à leur retour. Cet acte
, mais on dit que c’est la meilleure actrice de toutes… Elle a joué à Paris , mais ç’a été dans une troupe qui n’y fut que que
nce. On trouverait étonnant aujourd’hui que les principaux acteurs de Paris se trouvassent si honorés d’avoir part à une dist
ne devait le faire reculer. La jeune troupe prit bravement son parti. Paris ne voulait pas d’elle ; elle quitta Paris et alla
e prit bravement son parti. Paris ne voulait pas d’elle ; elle quitta Paris et alla demander à la province, moins exigeante,
LES COMÉDIENS DE M. LE DUC D’ÉPERNON Les comédiens durent quitter Paris dans les derniers mois de 1645 ou au commencement
s Béjart avaient représenté les ouvrages pendant leur établissement à Paris , il faut citer Jean Magnon, M. Magnon, un des fav
bles, puisque quatorze ans plus tard les mêmes comédiens, de retour à Paris , représentèrent de lui une Zénobie qui fut sa der
ette époque ; la Béjart et ses compagnons auraient été directement de Paris en Guyenne se joindre à une troupe déjà constitué
n dans les archives de Bordeaux ne révèle la présence des fugitifs de Paris  ; que la correspondance administrative du duc d’É
rintemps de 1647, époque où les troupes provinciales se reformaient à Paris , renforcé sa compagnie de ces artistes déjà habit
se compliquaient. Les barricades du mois d’août 1648 commencèrent, à Paris , les guerres de la Fronde. Le 6 janvier 1649, la
licence. L’agitation commença à Bordeaux, presque en même temps qu’à Paris  ; la guerre entre les habitants de Bordeaux et le
ne, bourgeois d’Argentan, et demoiselle Magdelaine de Baisar (sic) de Paris , dénonce la présence de la troupe à Narbonne. C’e
les Béjart : « Un jour, dit Tallement, qu’il (Molière) la fut voir à Paris dans sa chambre garnie, une femme qui était encor
espace plus long encore. Leurs acteurs et actrices venaient souvent à Paris passer le carême, dit Chapuzeau dans son Théâtre
aux engagements, soit pour y prendre des leçons. Molière revint-il à Paris au printemps de cette année 1650 ? Rien ne le pro
C. D. Cette lettre se trouve dans les Œuvres mêlées de M. Dassoucy à Paris , chez J.-B. Loyson, 1653. Notez la date. M. Augus
pendant quelques mois ; puis, vers la fin de l’année, il se rendit à Paris  : il y vint épouser (le 24 février 1654) la nièce
le territoire, assez fécond. Ce fauteuil a été conservé. On l’a vu à Paris à l’exposition organisée à l’occasion du second c
ordeaux pour attendre Son Altesse, où elle doit aller à son retour de Paris , désireraient de passer quinze jours en cette vil
e est qu’elle n’eut point lieu. Le prince était parti, en effet, pour Paris . Une grande et totale réforme est en train de s’a
e composer. » Si l’on en croit un passage des Aventures de Dassoucy ( Paris , 1679, in-12), la troupe aurait encore reçu, à Bé
dacteurs de la Préface de 1682, lui conseillaient de se rapprocher de Paris . Dans les premiers jours d’avril, la troupe, trav
sienne. Au moins ai-je remarqué en Mlle Réjac grande envie de jouer à Paris , et je ne doute point qu’au sortir d’ici, cette t
tous ces acteurs s’étant sans doute arrêtés plus ou moins longtemps à Paris en y passant. Nous avons par la lettre de Thomas
et Claude Gruchet, prend la fin du bail du jeu de paume des Marais, à Paris , pour dix-huit mois, du 1er octobre 1658 au 1er a
ois mille livres par chacun an, « payable aux quatre termes de l’an à Paris accoutumés ». Pour l’accomplissement et entretien
auteurs de la préface de l’édition de 1682, que pour se rapprocher de Paris . Ceux qui jouèrent à Rouen étaient les mêmes qui
e Paris. Ceux qui jouèrent à Rouen étaient les mêmes qui rentrèrent à Paris au mois d’octobre, et que nous verrons tout à l’h
actives démarches pour être, avec ses camarades, introduit à la cour. Paris était déjà le seul théâtre où des artistes pussen
milieu des troubles de la Fronde, si l’on songe à ce qui se passera à  Paris lorsque les comédiens du Palais-Royal voudront su
cipant tout entière à cette ébullition fantasque qui avait commencé à Paris , s’étalait palpitante sous le regard curieux qui
édiens jouaient. » Il n’y renonça pas, lors même qu’il fut installé à Paris , et l’on retrouve dans le journal de la troupe le
’élève au-dessus du reste des hommes. La troupe, lorsqu’elle rentra à Paris , se composait, outre Molière, de Béjart aîné, Béj
ropre peut-être à élever ensuite le ton de la comédie, que le goût de Paris  ne tardera pas à lui assigner comme son véritable
s à lui assigner comme son véritable domaine. Cette troupe arrivait à Paris dans une situation assez prospère. Les dernières
t d’excellentes affaires, c’est que Joseph Béjart, lorsqu’il mourut à Paris , une année seulement après le retour, laissa une
tes. Ne diriez-vous pas que le Pérou n’est plus en Amérique, mais à Paris 51 ? » Si Joseph Béjart avait pu faire de si bril
xante-dix pistoles à chacun des sociétaires. Lorsque la cour revint à Paris (28 janvier 1659), le jeune patron de la troupe d
pe de Monsieur La Grange, Du Croisy et sa femme, « acteurs nouveaux à Paris  », y furent enrôlés. Le 11 mai, la troupe jouait
. Le cardinal Mazarin, le roi et la cour, s’éloignèrent de nouveau de Paris (en juin et juillet) ; ils prirent le chemin des
vante. Ces événements tinrent longtemps la haute noblesse éloignée de Paris . Molière, cependant, maître du terrain qu’il avai
ncer son œuvre et son office. À l’époque où Molière reprenait pied à Paris , ce qui dominait et florissait encore dans la lit
bourgeois et populaire, car la nouvelle de la paix venait d’arriver à Paris et la ville était en liesse. La noblesse se trouv
de province, les filles du bonhomme Gorgibus, récemment débarquées à Paris , qui se permettaient de singer les Arthénice, les
ant et le plus délicat qui ait jamais paru au théâtre : on est venu à Paris de vingt lieues à la ronde, afin d’en avoir le di
ui était alors au pied des Pyrénées, voulut voir la pièce qui mettait Paris  en émoi. Le roi et le ministre, qui n’aimaient pa
algré l’éloignement de la cour, et quoique l’été achevât de dépeupler  Paris , « il se trouva assez de personnes de condition p
eille, etc. il n’oublie pas ce comédien qui fait les délices de tout Paris , ce nouvel auteur comique dont la gloire éclipser
pendant les événements accomplis aux Pyrénées ramenaient la cour vers Paris . Louis XIV et sa jeune épouse, Marie-Thérèse, éta
s, que le sieur de Vigarani, machiniste du roi, nouvellement arrivé à Paris , se réserva sous prétexte de les faire servir au 
pussent trouver ailleurs. Sur ce fondement, le bruit se répandit dans Paris que la troupe subsiste, qu’elle s’établit au Pala
par deux triomphes éclatants les deux années qu’il venait de passer à Paris . Il est douteux que la troupe fût sortie sans cel
donna la comédie, Savoir L’École des maris, Charme à présent de tout Paris . dit Loret69, qui nomme l’auteur « le sieur Moli
in naquit à Fontainebleau le 1er novembre. Les Fâcheux furent joués à Paris , le 4 novembre, et eurent quarante-deux représent
int sur les fonts baptismaux une fille de Marin Prévost, bourgeois de Paris , et d’Anne Brillart, et l’on a remarqué qu’il se
is grandes actrices pour la distribution de vos rôles. Il faut être à  Paris pour en résoudre ensemble (Chapelle écrit de la c
é très sensiblement, dit Chapelle, et, dans l’impossibilité d’aller à Paris de cinq ou six jours, je vous souhaite de tout mo
e la troupe comique depuis le retour et l’établissement de celle-ci à Paris . Nous avions conjecturé, dans notre premier trava
nso : Furent présents Jean-Baptiste Poquelin de Molière, demeurant à Paris , rue Saint-Thomas-du-Louvre, paroisse Saint-Germa
de feu Joseph Béjard, vivant écuyer, sieur de Belleville, demeurant à Paris , dans la place du Palais-Royal, stipulant en cett
valet de chambre du roi, et sieur André Boudet, marchand-bourgeois de Paris , beau-frère à cause de damoiselle Marie-Madeleine
ivant et au désir de la coutume de cette ville, prévôté et vicomté de Paris . Ne seront tenus des dettes l’un de l’autre faite
ccordé entre les parties, promettant, obligeant, etc. Fait et passé à Paris , en la maison de ladite damoiselle, l’an mil six
me et grand vicaire de Monseigneur le cardinal de Retz, archevêque de Paris , en présence de Jean Poquelin, père du marié, et
Geneviève Béjart du 15 septembre 1672, la requête de l’archevêque de Paris  pour l’enterrement de Molière78, la constitution
itaphes de l’église, charniers et cimetière de l’église Saint-Paul, à Paris , cité par M. l’abbé Valentin Dufour84, on lit la
e spéciale du cardinal de Retz, ami de Molière et alors archevêque de Paris , qu’un seul serait publié ; puis, à bas bruit, sa
ut ensemble, par permission de Mgr le cardinal de Retz, archevêque de Paris , avec dispense de deux bans. Cette dispense de de
jourd’hui ; c’était une simple question d’argent. Le grand-vicaire de Paris en accordait tous les jours de semblables au nom
tier Loret. Mais le blâme vint ensuite, et probablement du dehors, de Paris , suivant des conjectures plausibles : il grandit
lée au Raincy, maison de plaisance de Mlle la princesse Palatine près Paris , par ordre de Mgr le prince de Condé, pour y joue
présentée, la première et la seconde fois, au château du Raincy, près  Paris , pour S. A. S. le Prince, les 29 novembre 1664 et
je vous mande. N’en parlez du tout qu’à Molière. Si M. le Notre est à Paris , il faudrait faire en sorte qu’il vint le plus tô
t été représentées par la troupe de Mademoiselle, à Lyon en 1658 et à Paris en 1661, par les comédiens de l’hôtel de Bourgogn
s ce titre dès lors consacré : Le Festin de Pierre. Joué sans doute à Paris par les acteurs espagnols, l’original el Burlador
Grimarest, on ne s’en serait pas tenu là, on aurait fait courir dans Paris un livre infâme que l’on mettait sur le compte de
satire… Ce sont eux que l’on voit d’un discours insensé Publier dans Paris que tout est renversé Au moindre bruit qui court
École des femmes. « Il se ronge de chagrin quand un seul poème occupe Paris  durant plusieurs mois, et L’École des maris et ce
embre, il écrit encore : « On joue présentement L’Amour malade ; tout  Paris y va en foule pour voir représenter les médecins
t, sa veuve avait dissipé à Rouen l’argent que son mari avait gagné à Paris . Elle était revenue sans ressources dans cette de
un modèle d’opéra-comique. La troupe de Molière, qui était partie de Paris le 1er décembre 1666, ne fit sa rentrée au théâtr
e de cette place. Pendant que s’accomplissait cette diversion, et que Paris , au dire de M. de Sévigné, était désert, Molière 
ivertissements à venir. Le 11 août, une ordonnance de l’archevêque de Paris fut dirigée contre la comédie de L’Imposteur. Vo
uin, par la grâce de Dieu et du Saint-siège apostolique archevêque de Paris , à tous curés et vicaires de cette ville et faubo
ter à la représentation de la susdite ou semblables comédies, Donné à Paris sous le sceau de nos armes, ce onzième août mil s
ce onzième août mil six cent soixante-sept.   HARDOUIN, archevêque de Paris . Par mondit seigneur, Petit. » Le 10 du même moi
es publiques eurent lieu à cette occasion. Les différentes troupes de Paris donnèrent la comédie gratis, et celle de Molière
lieu dans les chaires des églises, où l’ordonnance de l’archevêque de  Paris eut d’éloquents défenseurs. Le grand prédicateur 
ues jours après, l’élève de Molière, le jeune Baron, qui avait quitté Paris depuis les représentations de Mélicerte, en 1661,
llettrés. Molière, Chapelle et Baron s’en revenaient donc d’Auteuil à Paris par eau, sur un bateau où se trouvait un religieu
Après avoir passé en diverses mains, elle fut achetée par la ville de Paris , en 1867. Les bâtiments furent démolis pour le pe
e théâtre italien, et j’oserai presque dire sur le théâtre italien de  Paris . Là, quelque Pantalon a dû trouver l’exclamation 
ée 1672. Lulli, à qui des lettres patentes avaient permis d’établir à Paris une Académie royale de musique, abusait de son pr
sté de deux sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinairement à Paris quêter pendant le carême, et auxquelles il donnai
trouvé mal, il avait, comme le rapporte la requête à l’archevêque de Paris , demandé un prêtre pour recevoir les sacrements11
ci : « À monseigneur l’illustrissime et récérendissime archevêque de Paris . Supplie humblement Élisabeth-Claire-Grasinde Bé
ation à nous rapportée, être ensuite ordonné ce que de raison. Fait à Paris , dans notre palais archiépiscopal, le vingtième f
ingtième février mil six cent soixante-treize. Signé : Archevêque de Paris . » La veuve de Molière ne se contenta pas d’adres
, que nous voulons être observées selon leur forme et teneur. Donné à Paris , ce vingtième février mil six cent soixante-treiz
ème février mil six cent soixante-treize. Ainsi signé : Archevêque de Paris . Et au-dessous : Par Monseigneur : Morange, avec
causèrent ces funérailles inusitées se montra menaçant. Le peuple de Paris était encore, à peu de chose près, le peuple de l
t le mauvais vouloir avait l’air d’une vengeance posthume : Puisqu’à Paris on dénie La terre après le trépas À ceux qui, pen
peine expiré, dit un contemporain, que les épitaphes plurent par tout Paris . » Il s’en fit, en effet, une quantité presque in
Baptiste Poclin, dit Molière, comédien, au cimetière des morts-nés, à Paris . » De deux comédiens la lin est bien diverse :
s la comédie que la vie bourgeoise et commune, et Molière a joué tout Paris et la cour. Il est le seul parmi nous qui ait déc
ionnés : La sainte Bible, et figures d’icelle. Deux vol. in-fol., à Paris . Plutarque. Trois vol. in-fol., un à Paris et de
lle. Deux vol. in-fol., à Paris. Plutarque. Trois vol. in-fol., un à Paris et deux à Auteuil. Hérodote. Un vol. in-fol., à
cile. Deux vol. in-fol., à Autouil. Dioscoride. Deux vol. in-fol., à Paris . Lucien. In-4°, à Paris. Héliodore. Un vol. in-
à Autouil. Dioscoride. Deux vol. in-fol., à Paris. Lucien. In-4°, à Paris . Héliodore. Un vol. in-fol., à Auteuil. Térence
Héliodore. Un vol. in-fol., à Auteuil. Térence. Deux vol. in-fol., à Paris . César. Les Commentaires. Un vol. in-4°. à Auteu
mmentaires. Un vol. in-4°. à Auteuil. Virgile. Trois vol. in-fol., à Paris . Horace. Un vol. in-4. à Auteuil. Sénèque. Deux
ris. Horace. Un vol. in-4. à Auteuil. Sénèque. Deux vol. in-fol., à Paris . Tite Live. Deux vol. in-fol., à Paris. Ovide.
Sénèque. Deux vol. in-fol., à Paris. Tite Live. Deux vol. in-fol., à Paris . Ovide. Les Métamorphoses. Un vol. in-fol., à Au
tamorphoses. Un vol. in-fol., à Auteuil. Juvénal. Un vol. in-fol., à Paris . Valère le Grand. Un vol. in-fol.. à Auteuil. C
le Grand. Un vol. in-fol.. à Auteuil. Cassiodore. Un vol. in-fol., à Paris . Montaigne. Les Essais. Un vol. in-fol., à Auteu
eux vol. in-fol., à Auteuil. La Mothe le Vayer. Deux vol. in-ful., à Paris . Georges de Scudéry. Alaric ou Rome vaincue. Un
aris. Georges de Scudéry. Alaric ou Rome vaincue. Un vol. in-fol., à Paris . Pierre Corneille. Deux vol. in-fol., à Paris.
ue. Un vol. in-fol., à Paris. Pierre Corneille. Deux vol. in-fol., à Paris . Rohault. Traité de Physique. Un vol. in-4, à Au
dies françaises, italiennes et espagnoles. Deux cent quarante vol., à Paris . Poésies. Quelques volumes, à Paris. Dictionnai
oles. Deux cent quarante vol., à Paris. Poésies. Quelques volumes, à Paris . Dictionnaire et traités de philosophie. Environ
Paris. Dictionnaire et traités de philosophie. Environ vingt vol., à Paris . Histoires d’Espagne, de France et d’Angleterre.
Histoires d’Espagne, de France et d’Angleterre. Quelques volumes, à Paris . Valdor, Les Triomphes de Louis XIII. Un vol. in-
mes, à Paris. Valdor, Les Triomphes de Louis XIII. Un vol. in-fol., à Paris . Voyage du Levant. Un vol. in-4°. à Auteuil. Vo
evant. Un vol. in-4°. à Auteuil. Voyages. environ huit vol. in-4°, à Paris . Calepin. Dictionnaire des langues latine, itali
Dictionnaire des langues latine, italienne, etc. Deux vol. in-fol., à Paris . Claude Paradin. Alliances généalogiques. Un vol
à Paris. Claude Paradin. Alliances généalogiques. Un vol. in-fol., à Paris . Antiquités romaines. Un vol. in-fol., à Paris.
s. Un vol. in-fol., à Paris. Antiquités romaines. Un vol. in-fol., à Paris . Un livre italien. in-fol., à Paris. Nul doute
tés romaines. Un vol. in-fol., à Paris. Un livre italien. in-fol., à Paris . Nul doute que bien des livres n’aient été omis
lière qui augmenta extrêmement son orgueil. Il y avait une créature à Paris , appelée la Tourelle, qui lui ressemblait si parf
moureux de la Molière en la voyant sur le théâtre cherchait dans tout Paris quelqu’un qui lui en pût donner connaissance. Il
faites plaisir, lui dit cet amant outré, et je souhaiterais que tout Paris y fut pour rendre votre honte plus publique. — 
e son innocence ne pouvait la justifier ; elle faisait faire par tout Paris  des perquisitions de la Ledoux, que l’on disait ê
fait, être bannies pour trois ans de la ville, prévôté et vicomte de Paris , etc. » Jeanne Ledoux subit seule ce jugement. La
eur testamentaire et légataire universel Pierre Chapuis, bourgeois de Paris , qui avait épousé une demoiselle Poquelin, cousin
Le luxe de la mise en scène fit, depuis l’installation de la troupe à Paris jusqu’à la mort de Molière, des progrès considéra
eligieux à qui vous faites la charité. Il n’y a point de communauté à Paris qui en ait plus besoin, eu égard à leur nombre et
que vous distribuez aux pauvres maisons religieuses de cette ville de Paris , dont ils sont du nombre, et ils prieront Dieu po
bles qui reviennent des opéras de musique et comédies qui se jouent à Paris par sa permission ». C’est là l’origine du droit
chaque année. Total de ce que j’ai reçu depuis que je suis comédien à Paris , 25 avril 1659, jusqu’à la mort de M. de Molière,
Les acteurs qui composaient la troupe de Molière lorsqu’elle arriva à Paris , sont : Béjart aîné, Béjart cadet, Duparc, Dufres
seignements sur le mérite de cet acteur, qui joua fort peu de temps à Paris . Il avait un défaut de prononciation : il bégayai
teux ? Et à propos des premières représentations du Dépit amoureux à Paris , Élomire ou Molière nous montre Son bègue dédai
e par cette résolution. En même temps que le baron de Modène quittait  Paris pour suivre à Rome son nouveau maître Henri de Gu
olution de Naples, Molière, Madeleine Béjart et ses frères, rebutés à Paris , troussaient bagages pour la province et commença
la troupe pendant cet espace de temps. Après le retour de la troupe à Paris , elle ne figure plus que comme simple sociétaire 
artagea depuis lors les destinées de la troupe, tant en province qu’à Paris . Lorsqu’après la mort de Molière la troupe du Pal
e Aubry, paveur ordinaire du roi et l’un des entrepreneurs du pavé de Paris , morte le 3e du présent mois, rue de Seyne, à l’h
liens sur le terrain de la farce improvisée. On voit qu’il continua à Paris ce qu’il avait sans doute commencé en Languedoc ;
u’il y maria sa fille152. Il y vendait des drogues comme l’Orviétan à Paris , souvent associé à des comédiens ou farceurs, éle
roisse Saint-Paul, à Lyon) ; son acte de décès du 13 décembre 1668, à Paris , désigne encore et finalement Marquise-Thérèse de
porté et inhumé aux religieux carmes des Billettes de cette ville de Paris  ; présents au convoi Rault Régnier, marchand apot
On ne l’aperçoit positivement dans la troupe que lorsqu’elle rentra à Paris au mois d’octobre 1658 ; il avait alors cinquante
1676, environ six [p.372] heures du matin, Edme Debrie, bourgeois de Paris , est décédé en sa maison, rue Guénégaud, et son c
e de baptême, où elle figure également comme marraine avec Molière, à  Paris , le 10 septembre 1669. Ce sont les seules circons
resne quitta la troupe quelques mois après qu’elle se fut installée à Paris . À Pâques 1659, il se retira à Argentan, son pays
let, et sa mère Marie de La Grange, semblent en tout cas avoir été de Paris , où ils avaient été mariés le 5 mai 1634 à Saint-
ner au monde les vers qu’il avait composés ; mais « il ne trouva dans Paris aucun poète qui le voulût nourrir à son tour et a
nnets, lui voulût faire crédit seulement d’un pâté. Il sortit donc de Paris avec sa femme et ses enfants, lui cinquième, en c
, étant goutteux, se retira à Conflans-Sainte-Honorine, bourg près de Paris , où il avait une maison : « Il s’y fit estimer de
était entretenue par le prince d’Orange (1680). Il revint cependant à Paris  ; mais on est forcé de dire que la cause de son r
-Jean, âgée de vingt-un ans, fille de Pierre Petit-Jean, bourgeois de Paris , et de Marie Bidot, demeurant rue de Poictou ; ép
Jobin, dans La Devineresse, lui ont attiré l’applaudissement de tout Paris . Il s’est fait aussi admirer dans le rôle du vico
n la personne qu’on représente. » Michel Boyron, dit Baron, naquit à Paris le 8 octobre 1653. Michel était fils d’André Boyr
renom, Dont la Baronne était le nom, Cette merveille du théâtre Dont Paris était idolâtre… Est depuis deux jours dans la biè
faisait partie, Baron, indigné de l’affront qu’il avait reçu, quitta Paris et s’engagea dans une troupe de province. « Par l
es, M. de Molière manda de la campagne le sieur Baron qui se rendit à Paris après avoir reçu une lettre de cachet (pour rompr
e. Voici la lettre de cachet par laquelle cette actrice fut appelée à Paris  : À Saint-Germain-en-Laye, le XXXIe juillet 1670
pprenant ces arrangements, déclara qu’il voulait qu’il n’y eût plus à Paris que deux troupes de comédiens français, l’une à l
édiens établies à l’hôtel de Bourgogne et dans l’hôtel de Guénégaud à Paris pour n’en faire à l’avenir qu’une seule, afin de
sté veut que ladite seule troupe puisse représenter des comédies dans Paris , faisant défense à tous autres comédiens français
se à tous autres comédiens français de s’établir dans ladite ville de Paris et faubourgs, sans ordre exprès de Sadite Majesté
la troupe de Molière eut absorbé les deux théâtres qu’à son arrivée à Paris elle avait trouvés en possession de la faveur pub
ne de Louis XIV, dans les années qui suivirent le retour de Molière à Paris , il y eut en cette ville jusqu’à six théâtres, do
’il n’y en avait point, il y aurait encore de plus grands désordres à Paris  : examinerais, je pèserais mûrement le pour et le
fin, un rôle des taxes levées en 1637 pour le nettoiement des rues de  Paris , mentionne la maison occupée par le sieur Jean Po
oit presque toujours désigné par cette mention uniforme : demeurant à Paris , sous les piliers des Halles, paroisse Saint-Eust
maison n° 40, vous lisez : « Ici s’élevait la maison où Molière, né à Paris le 15 janvier 1622, est mort le 17 février 1673. 
près la publication de M. A. Vitu : « la Maison mortuaire de Molière, Paris , Alphonse Lemerre, 1882. » Cet ouvrage tranchait
M. de Modène, ses deux femmes et Madeleine Béjart par Henri Chardon. Paris , Alphonse Picard, 1886, p. 192. 10. Carcassonne,
oupe de Molière à Agen, 8 pages. Agen. Noubel, 1874. Deuxième tirage, Paris et Bordeaux, 1877. 18. Les Points obscurs, p. 3
ar la Société de l’histoire de France, par le comte Jules de Cosnac ; Paris , J. Renouard, 1852. 22. Nouvelles nouvelles, pa
Paris, J. Renouard, 1852. 22. Nouvelles nouvelles, par M. de Vizé ; Paris , Gabriel Quinet, 1663. 23. Voyez Le Moliériste,
on séjour à Montpellier, 1887. 36. Molière et la Comédie italienne, Paris , Didier et Cie, 1867, p. 250. 37. Feuilleton de
uscule : La troupe de Molière et les deux Corneille à Rouen, en 1658. Paris , A. Glaudin, 1880. M. P. Mesnard a constaté que l
medi. Loret termine la lettre de ce jour par ces deux vers : Fait à Paris et non à Loches Le jour des Morts au son des cloc
s. 54. Pendant la première partie du règne de Louis XIV, il y eut à Paris quatre troupes de comédiens français : l’hôtel de
Et ne sont pas précieuses de prix, Comme il en est deux ou trois dans Paris , Que l’on respecte autant que des princesses ; Ma
le Roi. 59. Récit en prose et en vers de la Farce des Précieuses ; Paris , 1660. Il a été question précédemment de Mme de V
60. 65. DONEAU, préface de La Cocue imaginaire. 66. Antiquités de Paris , t. III, p. 47. 67. Banquettes. 68. Cette salle
otes du règne de Louis XIV. 73. Le Théâtre français sous Louis XIV, Paris , Hachette, 1874, livre V, ch. 2. 74. Le Boulange
. 84. Le Moliériste, mai 1886, p. 51. 85. De Malherbe à Bossuet, Paris 1885, p. 97. 86. Œuvres de Racine, édition de S
93. Ils avaient été cinq mois à Fontainebleau, lorsqu’ils vinrent à Paris . 94. Muse historique, lettre du 13 janvier 1663
A. Le Roy, conservateur de la bibliothèque de la ville de Versailles, Paris , 1862. 108. Ces vers de Robinet (lettre du 27 dé
e Cidippe. 114. Voy. La Maison mortuaire de Molière, par Aug. Vitu ; Paris , Alphonse Lemerre, 1882. 115. Voyez ci-après, pa
ue de ce musée. 117. Voyez le Journal du voyage de deux Hollandais à Paris en 1657-1658, publié par M. P. Faugère ; Paris, D
e de deux Hollandais à Paris en 1657-1658, publié par M. P. Faugère ; Paris , Duprat, 1862. 118. Voyez ci-après, page 308. 1
8. 143. Il avait quarante-huit ans. 144. La Prison de M. Dassoucy, Paris , Quenel, 1678. 145. DORIMENE Mon Dieu, Dorante
r communication au théâtre. (Jules Bonassies, La Fameuse comédienne ; Paris , Barraud, 1870, p. XX.) 147. Voyez page 332. 14
11 (1871) Molière
le nom de son père ; sa mère avait nom Marie Cressé) est un enfant de Paris , du Paris plein de bruit, de tumulte et de chanso
son père ; sa mère avait nom Marie Cressé) est un enfant de Paris, du Paris plein de bruit, de tumulte et de chansons. La tra
plaisait pas au petit-fils de Henri IV. On parlait dans les halles de Paris une langue à part, câline et violente à la fois :
d’argent dans sa poche et beaucoup de feu dans les yeux, un enfant de Paris ne doute de rien. Celui-ci voulut avoir des camar
a chose étrange ! on a découvert, récemment, dans les ruines du vieux Paris , que sur l’emplacement de ce fameux hôtel de Bour
açons cette éclipse des nouveaux comédiens. En vain, on les cherche à Paris  : Paris, qui oublie assez souvent même la gloire,
tte éclipse des nouveaux comédiens. En vain, on les cherche à Paris : Paris , qui oublie assez souvent même la gloire, les a c
fin, quelle que soit la salle, obscure ou brillante, voilà le poète à Paris  ; le voilà directeur de comédies et de comédiens.
sure inattendue d’une société qui donnait l’exemple et la mode à tout Paris  ; mais la cour était encore absente, et Molière,
écouté ; mais le jeune roi, ramenant l’aimable reine et la paix dans Paris enchanté, interrompit la représentation de Sganar
se étaient formelles) la sépulture ecclésiastique, et l’archevêque de Paris , Harlay de Champvallon, ne permit qu’au bout de t
ntenant dix pièces, savoir :Le Pédagogue amoureux, comédie (5 a. v.). Paris , Pierre Baudouyn, 1665. — Le Soldat poltron, comé
re Baudouyn, 1665. — Le Soldat poltron, comédie (1 a. v. de 4 pieds). Paris , Gabriel (juillet, 1668. — Le Cartel de Guillot,
(juillet, 1668. — Le Cartel de Guillot, comédie (1 a. v. de 4 pieds). Paris , J. Ribou, 1661. — L’Intrigue des carrosses à cin
bou, 1661. — L’Intrigue des carrosses à cinq sous, comédie (3 a. v.). Paris , Pierre Baudouyn, 1663. — La Désolation des filou
es, ou les Malades qui se portent bien, comédie (1 a. v. de 4 pieds). Paris , Pierre Bienfait, 1662. — La Disgrâce des domesti
t, 1662. — La Disgrâce des domestiques, comédie (1 a. v. de 4 pieds). Paris , Pierre Bienfait, 1662. — Les Galants ridicules,
2. — Les Barbons amoureux et rivaux de leurs fils, comédie (2 a. v.). Paris , Guillaume de Luyne, 1662. — Les Amours de Caloti
Guillaume de Luyne, 1662. — Les Amours de Calotin, comédie (3 a. v.). Paris , Charles de Sercy, 1664. — Les Aventures de nuit,
, Charles de Sercy, 1664. — Les Aventures de nuit, comédie (3 a. v.). Paris , N. Pépingué, 1666. 2. Nous lisions, l’autre jou
12 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190
II, sous le ministère de Mazarin, les troupes italiennes affluèrent à Paris . Ces troupes étaient à cette époque moitié improv
e. » Les principaux comédiens faisant partie de la troupe qui vint à Paris en 1645, étaient Tiberio Fiurelli jouant le perso
des faisaient grand plaisir à Leurs Majestés. Scaramouche fut mandé à Paris toutes les fois qu’on y appelait une troupe itali
irituelles et lettrées que nous envoyait l’Italie. Elle était venue à Paris en 1639 et 1640, comme nous l’avons vu dans le ré
conquis les bonnes grâces de la reine mère. Elle composa et publia à Paris , en 1659, une comédie intitulée : L’Inganno fortu
de musique, les décors et les machines du célèbre Torelli, firent, à Paris comme à Venise, le principal attrait de la représ
yant, à l’aide de ses amis, payé ses dettes, il se résolut de quitter Paris avec ses associés, laissant le champ libre aux tr
au front. La troupe italienne ne fit pas cette fois un long séjour à Paris  ; elle partit à la fin de l’année 1647 ou au comm
, journée des Barricades, jusqu’au 7 février 1653 où Mazarin rentra à Paris , il n’aurait peut-être pas fait très bon dans cet
un titre pour l’autre et parlaient de L’Amour malade, de Molière, que Paris allait voir en foule. Pendant ces années qui préc
ndant ces années qui précédèrent immédiatement le retour de Molière à Paris , les Italiens eurent une grande vogue ; ils étaie
’aviez-vous pas dit, continua Monsieur, que le roi ne viendrait pas à Paris sans prendre des mesures avec moi ? — Je vous ava
andement de la Reine mère du roi Très Chrétien (Louis XIV). Imprimé à Paris en novembre 1645. » Dans l’extrait du privilège
13 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673.
tems-là de representer des Pieces entre amis : quelques Bourgeois de Paris formerent une Troupe, dont Pocquelin étoit : ils
e Conti, qui l’avoit fait venir jouer plusieurs fois dans son Hôtel à Paris , l’encouragea ; & ce Prince allant en Langued
Languedoc avec l’agrément du Prince de Conti, & amena sa Troupe à Paris  : Monsieur, frere unique du Roi, lui accorda sa p
mes dans chaque état. Les personnes qui tenoient le premier rang dans Paris pour le bel esprit, s’apperçurent à l’arrivée de
mp; distribuées en plusieurs volumes ; les deux dernieres éditions de Paris , l’une en l’année 1697. & l’autre en 1718. pa
s, cinq Actes, a été jouée la premiere fois à Lyon l’an 1653. & à Paris en 1658. II. Le Dépit amoureux, Comédie en Vers,
58. II. Le Dépit amoureux, Comédie en Vers, cinq Actes, representée à Paris au mois de Decembre 1658. III. Les Précieuses rid
étant dans la cinquante-troisiéme année de son âge. Sa mort affligea Paris & la Cour, & le Roi même en parut fort to
Théatre, & de recevoir ses Sacremens. M. de Harlay, Archevêque de Paris , auquel le Roi fit écrire à ce sujet, ordonna que
reri, Dictionaire. Bayle, Dictionaire Critique. Brice, Description de Paris , tome 1. page 459. & les suivantes. Baillet,
ur & contre la Comédie. A la fin de l’année 1731. on a commencé à Paris une magnifique édition des œuvres de Moliere en 6
14 (1682) Préface à l’édition des œuvres de Molière de 1682
ts qu’il a choisis. Il tâcha dans ses premières années de s’établir à Paris avec plusieurs enfants de famille, qui par son ex
Dépit amoureux. En 1658, ses amis lui conseillèrent de s’approcher de Paris , en faisant venir sa Troupe dans une Ville voisin
n. Il y séjourna pendant l’Été, et après quelques voyages qu’il fit à Paris secrètement, il eut l’avantage de faire agréer se
ande estime, que sa Majesté donna ses Ordres pour établir sa Troupe à Paris . La Salle du Petit Bourbon lui fut accordée pour
utés L’Étourdi et Le Dépit amoureux, qui n’avaient jamais été joués à Paris . En 1659 Monsieur de Molière fit la Comédie des P
c une exactitude qui avait été inconnue jusques-là sur les Théâtre de Paris . Sa mort dont on a parlé diversement, fit inconti
Acteurs et Actrices des autres Troupes de Comédiens qui étaient dans Paris , pour n’en faire qu’une seule Compagnie. Ceux du
après la mort de Monsieur de Molière. Il n’y a plus présentement dans Paris que cette seule Compagnie de Comédiens du Roi ent
roupe est si nombreuse que fort souvent il y a Comédie à la Cour et à Paris en même jour sans que la Cour ni la Ville s’aperç
15 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
cale. Ce sont, par exemple, les juges, les avocats, les procureurs de Paris , qui sont en cause et cruellement fustigés. L’avo
us êtes, voilà trois hameçons capables de prendre toutes les dupes de Paris . Car, enfin que vous l’entendiez, quand on veut f
meilleurs amis que j’aie au monde et les trois plus riches hommes de Paris . PERSILLET. Que puis-je faire pour leur service ?
ise que nous ayons cette pensée-là ! ARLEQUIN. On sait trop bien dans Paris que vous avez de l’argent par-dessus les yeux, et
s personnes ont entrepris d’amener à leurs dépens la rivière d’Ourq à Paris , dans la vue de vendre l’eau bien cher à ceux qui
petits collets fort peu demandés en hiver : Heureux les bourgeois de Paris , Quand le plumet court à la gloire ! Du beau sexe
éris, Sans combattre ils chantent victoire ; Heureux les bourgeois de Paris  ! L’été, les dames de Paris dirigent de préféren
tent victoire ; Heureux les bourgeois de Paris ! L’été, les dames de Paris dirigent de préférence leurs promenades vers la P
ilosophiquement cette idée : « Il ne serait pas mauvais qu’il y eût à Paris un pareil marché aux maris. Ce sont des pestes d’
la fin de ce siècle et de ce règne62. La scène italienne se releva à Paris , en 1716, sous le Régent ; elle recommença alors
82. 57. C’est-à-dire à vingt-cinq pour cent. 58. Les Promenades de Paris , comédie en trois actes, par Mongin, 6 juin 1695.
trois actes, par Boisfranc, 12 juillet 1696. 60. Les Promenades de Paris , acte II, scène iv. 61. Les Bains de la Porte S
-Bernard, acte III, scène ii. 62. Voyez les Annales de la Cour et de Paris pour les années 1697 et 1698, par Sandras de Cour
16 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
encore comme dans le dix-septième siècle ! Molière avait recueilli à Paris un grand nombre de scènes italiennes, et, dans se
baïde, qui n’obtint aucun succès ; quelques années après il éprouva à Paris un nouvel échec avec Don Garcie de Navarre ; et c
spectacle ; il donna sur-le-champ à la troupe l’ordre de s’établir à Paris , et Molière fut installé dans la salle du Petit-B
llés avec tant de gaîté les ridicules que les provinciaux apportent à Paris . Rien n’est plus plaisant que les soins que prend
iable d’acteur, que Molière avait entrevu en province, vint le voir à Paris , et lui laissa deviner sa pénurie par des demi-co
en. Il fut camarade de Molière dans la province, et revint avec lui à Paris en 1658. Son emploi dans le comique était les pèr
cessaire, mais indifféremment dans tous ceux que Béjart remplissait à Paris . Cet acteur se retira en 1670 avec une pension de
entes troupes, et enfin dans celle de Molière. Il suivit le dernier à Paris , lorsqu’il vint s’y établir en 1658. Mais, ayant
te. Quand il eut perfectionné son idée, il quitta son orgue et vînt à Paris avec sa femme, ses enfants, et l’épinette ; il ob
jouer une autre, elle la jouait ; de se taire, elle se taisait. Tout Paris était occupé de ce petit prodige. Les esprits fai
a foire, proche du vieux Hôtel de Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eut gagné vingt mille écus de bien. Ell
s pour jouer la comédie à Rouen, la Raisin prit le parti de revenir à Paris avec ses petits comédiens et Olivier. Cette femme
âtre en province. La réputation de madame Beauval ayant percé jusqu’à Paris , Molière obtint un ordre du roi pour la faire pas
ngagea à Lyon avec sa femme dans la troupe de Molière, et le suivit à Paris . Il joua au Palais-Royal, et ensuite rue Mazarine
stre théâtre. Le dessein que cette société avait formé de s’établir à Paris n’ayant pas réussi, Molière, qui en faisait parti
ros-René, à Lyon ; ils allèrent ensemble en Languedoc, et revinrent à Paris en 1658. Loret, dans sa Muse historique du 31 mai
squ’il se joignit à celle de Molière, qui, peu de temps après, vint à Paris , et y obtint son établissement. Du Croisy fut un
Jobin, dans La Devineresse, lui ont attiré l’applaudissement de tout Paris . Il s’est fait aussi admirer dans le rôle du vico
ont elle eut une fille le 2 juillet 163811. Madeleine Béjart revint à Paris , avec ses deux frères, en 1645, et concourut à fo
Après avoir parcouru la province jusqu’en 1650, cette troupe revint à Paris , joua à l’Hôtel de Conti, partit ensuite pour Lyo
tel de Conti, partit ensuite pour Lyon, en 1653, et s’établit enfin à Paris en 1658. Madeleine Béjart remplissait les rôles d
écoulé, que la réputation de mademoiselle Beauval se répandit jusqu’à Paris . Molière obtint un ordre du roi pour la faire pas
mique, pour doubler cette actrice. Mademoiselle Desmares, de retour à Paris , communiqua cet ordre à ses camarades. Mademoisel
i de la danse. Mademoiselle Duparc revint avec Molière et sa troupe à Paris , en 1658, et réussit encore plus sur le théâtre d
res complètes de Molière, publiées avec un commentaire par M. Auger. ( Paris , Desoer, 1819.) Tome I, page 18 de l’avertissemen
es enfants juifs étaient vêtus et coiffés comme ceux des bourgeois de Paris , lui fit prendre un toque d’enfant et des manches
rait baptistaire produit après sa mort par sa famille, Baron naquit à Paris au mois d’octobre en 1653 : en se tenant à cette
que seize ans, et ce n’est que sept ans plus tard qu’il rencontra, à Paris , Madeleine Béjart. Cette observation détruirait l
5. Sauval, qui fut témoin de ce duel, en parle dans ses Antiquités de Paris . 16. Racine. Mignard.
17 (1747) Notices des pièces de Molière (1666-1669) [Histoire du théâtre français, tome X] pp. -419
ait du moins voir un homme amoureux qui abandonnerait une ville comme Paris pour sa maîtresse. Je ne crois pas qu’on puisse r
Jean-Baptiste Pocquelin, si célèbre sous le nom de Molière, naquit à Paris en 1620. Il était fils et petit-fils de valets de
charge, qu’il a depuis exercée jusqu’à sa mort ; mais à son retour à Paris , cette passion pour le théâtre qui l’avait porté
nnées ; cet intervalle fut le temps des guerres civiles qui agitèrent Paris et tout le royaume, depuis 1648 jusqu’en 1651. Mo
troupe. Ce prince avait connu Molière au collège, et s’était amusé à Paris des représentations de l’Illustre Théâtre, qu’il
vint passer l’été à Rouen ; et dans les fréquents voyages qu’il fit à Paris , où il avait dessein de le fixer, il eut accès au
le jeu de ces nouveaux acteurs que le roi leur permis de s’établir à Paris , sous le titre de Troupe de Monsieur, de jouer al
entre les bras de deux de ces sœurs religieuses qui viennent quêter à Paris pendant le Carême, et qu’il avait retiré chez lui
cent flambeaux, portés par ses amis. « À peine Molière fut mort, que Paris fut inondé d’épitaphes à son sujeta, mais à l’exc
mblait à Auteuil, dès que ses occupations lui permettaient de quitter Paris ou ne l’appelaient pas à la Cour. Estimé des homm
eux, comédie-ballet, en trois actes, en vers, représentée à Vaux et à Paris , 1661. L’École des femmes, comédie en cinq actes
rsailles, comédie en un acte, en prose, représentée à Versailles et à Paris , 1663. La Princesse d’Élide, comédie-ballet, le
du second en vers (le reste en prose), représentée à Versailles et à Paris , 1664. Le Mariage forcé, comédie-ballet, en un a
rois actes, en prose, avec un prologue, représentée à Versailles et à Paris , 1665. Le Misanthrope, comédie en cinq actes, en
, représentée à Saint-Germain-en-Laye, dans Le Ballet des Muses, et à Paris , 1667. Tartuffe, ou l’Imposteur, comédie en cinq
e, représentée avec des intermèdes à Versailles, et sans intermèdes à Paris , 1668. Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet,
comédie-ballet, en trois actes, en prose, représentée à Chambord et à Paris , 1669. Les Amants magnifiques, comédie-ballet, e
cinq actes, en prose, représentée à Saint-Germain-en-Laye, 1670, et à Paris en 1688. Le Bourgeois gentilhomme, comédie-balle
comédie-ballet, en cinq actes, en prose, représentée à Chambord et à Paris , 1670. Les Fourberies de Scapin, comédie en troi
Escarbagnas, comédie-ballet, représentée à Saint-Germain-en-Laye et à Paris , sans intermèdes, en un acte, en prose, 1672. Le
imprimées, et jouées en province. Le Docteur amoureux, joué depuis à Paris en 1658*. Les Trois Docteurs rivaux. Le Maître
            L’estime qu’on en fait est une maladie Qui fait que dans Paris tout court au médecin. Le perruquier dont parle
ctère dans la première scène de son Médecin malgré lui. Menagiana, de Paris , édition de 1729, tome III, p. 18. 1666. Le Ba
es, et dans le quatrième volume des Œuvres de Molière, édition in-12, Paris , 1739. « IVe entrée. Euterpe, muse pastorale. Q
Le Ballet des Muses à Saint-Germain-en-Laye, au mois de janvier, et à Paris , sur le théâtre du Palais-Royal, le 10 juin suiva
d’une manière, À faire ébaudir les esprits, Durant longtemps de tout Paris  : Car depuis un fort beau prologue, Qui s’y fait
entier dans le cinquième volume des Œuvres de Molière, édition in-12, Paris , 1739. Il y trouvera aussi les paroles lyriques d
faires cédantes, il donna parole pour le lendemain, et il courut tout Paris pour tirer vanité de la lecture de cette pièce. M
des réjouissances publiques. Les différentes troupes de comédiens de Paris ne furent pas des derniers à signaler leur joie,
gratis la comédie, À quiconque en avait envie, Et c’est-à-dire à tout Paris , Qui la voulut voir à ce prix, Qu’ils méritent b
médie italienne à l’impromptu, intitulée L’Amante tradito, et jouée à Paris sous le nom de Lélio et Arlequin, valets dans la
ps et d’âme, Pour être l’un de l’autre épris, Ont fait leur demeure à Paris , Où leur présence est assez rare ; Et le divertis
e comédie. Les faux dévots profitèrent de cette défense pour soulever Paris et la Cour contre la pièce et contre l’auteur. Mo
authentique de remettra cette comédie sur le théâtre. Elle reparut à Paris le 5 février de cette annéea. Dès qu’elle eut été
rose, de M. Molière, représentée à Chambord le lundi 6 octobre1, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 15 novembre su
ugnac, et M. de Pourceaugnac de finir le mariage qui l’avait attiré à Paris . Les pièges dans lesquels Sbrigani fait tomber l’
e nouvelle fonte, Dont par hasard, à ce qu’on conte, L’original est à Paris *, En colère autant que surpris, De s’y voir dépei
ublic, mais il sentit dès la première représentation que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admirer ; et que pour vingt
: ces divers morceaux composent un volume in-12, qui parut en 1667, à Paris chez Claude Barbin. Subligny ne continua pas cet
saient eurent fait connaître leur mérite quelques années auparavant à Paris sur les fossés de Nesle, et au quartier de Saint-
le mérite extraordinaire de Jean-Baptiste Molière, qui l’a soutenue à Paris quatorze ans de suite avec tant de gloire, lui do
cinq années de succès dans la province, la troupe résolut de venir à Paris . Molière sentit qu’il avait assez de force pour y
ès quoi ces comédiens vinrent à Rouen, afin qu’étant plus à portée de Paris , leur mérite s’y répandît plus aisément. Pendant
endant ce séjour qui dura tout l’été, Molière fit plusieurs voyages à Paris , pour se préparer une entrée chez Monsieur, qui,
. » [*]. [Note marginale] Préface des Œuvres de Molière, édition de Paris , en 1682. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la
té par deux sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinairement à Paris quêter pendant le Carême, et auxquelles il donnai
t à lui faire un convoi magnifique ; mais M. de Harlay, archevêque de Paris , ne voulut pas permettre qu’on l’inhumât. La femm
ière. *. [Note marginale] Tome IV des Oeuvres de Molière, édition de Paris , in-12, 1739 [*]. [Note marginale] Mémoires sur
i le 16 janvier précédent, mais aussi qu’elle avait été représentée à Paris avant de paraître à la Cour. *. [Note marginale]
vaient été tellement irrités par Le Tartuffe que l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettait sur le compte
de jouer Le Tartuffe. La première représentation en fut donc faite à Paris le 5 août 1667. Le lendemain on allait le rejouer
de jouer la pièce. » b. Par M. le premier président du parlement de Paris . Tout le monde sait l’annonce de Molière. « Messi
18 (1732) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1732) [graphies originales] « article » pp. 45-46
ue, étoit fils d’un valet de chambre-tapissier du roi, & nâquit à Paris vers l’an 1620. Il s’est acquis par ses comedies
it Pocquelin. Après avoir fait ses humanités au college de Clermont à Paris sous les Jesuites, il fut destiné à l’étude du dr
eur de Languedoc. De Grenoble il vint à Rouen en 1658. d’où il vint à Paris , où il obtint la protection de Gaston, fils de Fr
ua en presence de leurs majestés, obtint la permission de s’établir à Paris , & de jouir de la salle des gardes dans le vi
medie que la vie bourgeoise & commune ; & Moliere a joué tout Paris & la cour. Il est le seul parmi-nous qui ait
19
n, sinon celle des Béjart, débris de l’Illustre Théâtre qui, parti de Paris en 1646, a représenté à Bordeaux La Thébaïde de M
u prince de Condé, qui la vendit à André Boudet, marchand tapissier à Paris , demeurant « sous la Tonnellerie, au Soleil d’or 
e met en présence de François de Harlay de Champvallon, archevêque de Paris depuis janvier 1671. Son nom paraît souvent dans
e diverti, en trouvant un marquis dans sa famille. « L’archevêque de Paris commença, dit le marquis de Châtres, à remplir le
synode. « L’on fit entrer dans la salle un bon et riche marchand de Paris , nommé M. Boutet, qui avait acheté de monseigneur
e ces foires alors les plus en renom et aussi les plus rapprochées de Paris , était la foire de Rouen, dite foire du Pardon ou
man comique fut publié peu de temps après une apparition de Molière à Paris , en 1650, on comprendra combien il est vraisembla
pour ainsi dire, dans les Satyres de Jacques Du Lorens, publiées : à Paris , chez Gervais Alliot, 1633, in-8º ; et chez A. de
hèque Nationale intitulé « Rôle des taxes faites sur les bourgeois de Paris pour le néttoiement des rues » daté 1637, dans l’
nivôse an X contient à ce sujet l’article suivant : « On travaille à Paris dans la rue Saint-Honoré à la démolition d’une an
ne française. [1879-08] Jules ROLLAND. Avocat à la Cour d’Appel de Paris . Jules Couet : Scarron imité par Molière
ieu, et qui n’est ni le nº 34, comme l’ont cru Beffara et la Ville de Paris , ni le nº 42, comme l’a supposé M. Édouard Fourni
est ainsi désignée dans l’« état de la taxe des boues de la Ville de Paris pour l’année 1637 ».16 « Maison où pend pour en
ovembre 1344. — Constitution de rente par Jehan de Brest, marchand, à Paris , sur partie : d’une maison située rue Saint-Honor
prétendit qu’il l’avait trouvé dans des fouilles qui furent faites à Paris , il y a environ 20 ans, et il donnait, pour appuy
à toutes époques) est une constitution par Jean Le Brest, marchand à Paris , et Catherine Perdriel sa femme, à Renée Cousinea
nier en fil, demeurant à la Ville « Neuve-St.-Denis sur les fossés de Paris entre les portes St. Denis et Montmartre, d’une r
omportent et étendent de toutes parts et de fonds en comble, assise à Paris rue St. Honoré, devant et à l’opposite de la croi
1549, testament de Cousineau qui « de présent étant en cette ville de Paris gisant au lit malade en l’hostel du Cinge, néanmo
. Un an après, Berthe cède cette rente à Nicolas Julian, marchand de Paris , qui lui-même en 1555 la vend, toujours par-devan
eçu de honorable homme Martin Morot marchand a tapissier bourgeois de Paris la somme de huit vingt livres tournois sur une ma
Paris la somme de huit vingt livres tournois sur une maison assise à Paris en la rue St. Honoré appelée la maison des cinges
rtir avec son voisin Jacques Guérin, « marchand épicier, bourgeois de Paris  » et ils vont devant le notaire « disant lesdits
mun leur compétait et appartenait une maison assise en cette ville de Paris rue St. Honoré formant le coin de la rue des viei
dame Ferrand frère et sœur de leur propre chacun par moitié, seize à Paris rüe Saint Honoré, faisant l’ung des coins de la r
e la Charnoye, un de messieurs les administrateurs de l’Hôtel-Dieu de Paris , achetait à Anne Le Camus, fille majeure de Nicol
oisse Saint-Jacques du Hault-Pas « une maison scize en cette ville de Paris , faisant encoignure sur les rues Saint Honoré et
, léguait universellement vous ses biens en mourant à l’Hôtel-Dieu de Paris dont il était administrateur. Celui-ci, qui écrit
it — avant la Révolution un des plus riches propriétaires terriens de Paris , administra sagement, comme une direction bien go
trottoirs. Voilà, si je ne me trompe, un coin encore intact du vieux Paris  ! Maintenant, quel rapport existe-t-il entre cett
, sieur de Molière, tapissier et valet de chambre du roi, demeurant à Paris , en la maison où est demeurant un mercier, au coi
. Trivelin et Aurélia restèrent29 ». Lorsque les Italiens revinrent à Paris , en janvier 166230, ils trouvèrent la salle du Pe
ouis XIV le demanda au duc par une lettre du 5 juillet 1660. Ce fut à Paris , sinon le premier, du moins le plus célèbre des A
igida Bianchi, dite Aurelia, qui, seule avec Trivelin, était restée à Paris , en 1659, alors que le reste de la troupe repassa
m de M. Ange ou M. Lange ; né en 1622, mort en 1702 ; il avait créé à Paris le caractère du docteur Graziano Baloardo. Sa fem
sant ; les petites pièces jouées plus tard aux deux grandes foires de Paris n’en donnent qu’une idée très réduite. Il fournis
année 1671, hiver qui fut plus riant qu’un printemps pour la ville de Paris , parce que le Roi l’y passa tout entier49. L’illu
x ou trois années qu’il y avait travaillé. Mon Florentin était venu à Paris , et il n’y avait pas été plutôt établi, qu’il éta
ion dans la maison d’un Italien), et ces virtuosi étaient les gens de Paris les plus initiés dans les anciens mystères de la
concordante avec le récit de Palaprat, qui nous montre Vario établi à Paris en 1671 après l’achèvement des travaux de décorat
ique s’efforce de résoudre l’Énigme d’Alceste, et que non seulement à Paris , mais encore à Berlin, à Vienne, à Francfort, etc
sein, et je ne puis que l’en féliciter. Souvent, pendant mon séjour à Paris , je fis le pèlerinage du Père-Lachaise, et là je
cependant, qu’il ait été reçu docteur dans la Faculté de médecine de Paris . Il est permis de croire qu’il était élève de la
aimer. Dédié à monseigneur Le Dauphin (à la sphère, Holl. Elzevier) à Paris , chez Claude Barbin, au signe de la Croix, 1669,
toire chronologique de la médecine et des médecins, par Jean Bernier ( Paris , d’Houry, 1695, in-4). Jean Bernier, qui ne pardo
mains. Ajoutez que, comme il vit que la médecine était fort décriée à Paris , il crut ne pouvoir mieux prendre son temps, qu’i
neuf représentations. 3. Toulouse, Éd. Privat, 1879 ; et se trouve à Paris , chez Picard, 82, rue Bonaparte, au prix de 5 fra
ns son intéressant ouvrage : Les points obscurs de la vie de Molière, Paris , Liseux, 1877, est encore plus affirmatif : « Il
illi. 35. Jal et les frères Parfaict disent que Aurelia avait quitté Paris en 1659 : mais le témoignage contraire de La Gran
rat, préface de l’édition de 1712, reproduite dans l’édition de 1735. Paris , Briasson, in-8. 52. Dans le costume couleur de
20 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
auteur pour plaire à la cour et à la masse corrompue de la société de Paris . L’incontinence générale ne pouvait souffrir pati
es faits. En 1654, pendant que la satire de l’abbé d’Aubignac courait Paris et répandait le ridicule sur les précieuses, Moli
ns des précieuses ridicules, qui s’y étaient façonnées à l’exemple de Paris . Il était alors avec sa troupe à Béziers. Les rom
ce des Précieuses ridicules est la même que Molière fit représenter à Paris cinq ans plus tard, en 1659, et qui fit tant de b
e contre des femmes de province : ils affirment qu’elle a été faite à Paris , contre l’hôtel de Rambouillet qui n’existait plu
et tout ensemble, on a besoin de persuader que la pièce a été faite à Paris , pour Paris, et non en province, pour la province
mble, on a besoin de persuader que la pièce a été faite à Paris, pour Paris , et non en province, pour la province. Mais la re
écieuses aient été représentées à Béziers, cinq ans avant de l’être à Paris . Quand nous parlerons de cette comédie à la date
elui des personnes qu’il désigne. En 1656, l’abbé de Pure fit jouer à Paris une comédie des Précieuses, qui donna lieu à des
9, où Les Précieuses ridicules de Molière furent mises sur la scène à Paris , recueillons dans le roman de La Précieuse, ou du
echerchées des sociétés de la capitale. « Il n’est plus de femme dans Paris qui ne veuille avoir une précieuse dans sa sociét
r les précieuses en général : je ne dois pas oublier les quartiers de Paris qu’elles habitaient. Le Dictionnaire de Somaise n
ommée des précieuses fut l’objet de tous les entretiens d’Athènes (de Paris ), les nouvelles précieuses voyant que chacune d’e
es de François II, Charles IX et Henri III. Les Italiens affluaient à Paris , et il devint à la mode d’aller visiter Rome et l
tion. Elles voient les plus coquettes et les plus évaporées femmes de Paris . Pour la cour, elles y vont rarement, parce qu’el
s années 1656 et, suivantes, jusqu’à l’année 1659, où Molière donna à Paris la première représentation des Précieuses ridicul
et, qu’elle n’ait pas débuté en province cinq ans avant de paraître à Paris . Quoique la pièce entière résiste à l’application
-là ? L’air précieux », dit-il plus loin, « n’a pas seulement infecté Paris , il s’est aussi répandu dans les provinces ; et n
aisait plus autorité ni bruit dans le monde, quand Molière est venu à Paris  ; mais il avait entendu parler d’elle, comme de l
21
rèbe et son triste séjour », s’est échappé des Enfers et se trouve à Paris sur une place publique, en plein xviie  siècle. L
isies du Médecin malgré lui. P. S. — Au dîner intime des Parisiens de Paris , chez Brébant, M. Jules Christophe a porté ce toa
de son temps. Les fils de noblesse venaient ainsi de leur province à Paris accompagnés de quelque domestique de leur âge, qu
ge de dix-huit ou dix-neuf ans, et lorsqu’il s’établit premièrement à Paris , il amena avec lui un laquais nommé Bassan. Ce ga
urt était né en 1606, précisément la même année que Pierre Corneille. Paris était rempli de jeunes gentilshommes accompagnés
tué ; ni du fauteuil de Pézenas, dont on sait l’histoire et qui est à Paris depuis 1873 ; ni d’aucun des vingt-huit fauteuils
à Saint-Germain, le 3, le 4, le 5 et le 6 novembre. Louis XIV quitta Paris le 2, il y rentra le 7. Ce fut la troupe de Moliè
9, l’Hôtel de Bourgogne représente enfin devant la Cour, mais c’est à Paris et par ordre de Monsieur. Le 6 janvier, le Roi et
le spectacle n’ait eu lieu ni à Versailles ni à Saint-Germain, mais à Paris . S’il en était ainsi, rapprochons seulement ces d
un fait ignoré de la plupart, assurément, c’est qu’il existe encore à Paris une maison qui possède un poteau cornier à peu pr
n Hollandais quelque peu lettré, qui vient passer quelques semaines à Paris , il y ait beaucoup de plaisirs plus grands que ce
de Molière : « La scène », dit-il dans son avis au régisseur, « est à Paris , et je prie les acteurs d’en tenir compte. Voici
ym, « que Molière est de mes amis », et je sais gré à l’archevêque de Paris d’avoir permis que le « comédien mélancolique, en
des Peupliers, à Ermenonville, — et qu’on les ramena triomphalement à Paris , pour les porter au Panthéon : « Aux Grands Homme
ssale du général Desaix, placée en 1810 sur la Place des Victoires, à Paris , et actuellement détruite, etc. » Denon, personn
publié le texte dans ses Spectacles forains et la Comédie-Française ( Paris , Dentu, 1875), pages 6, 7, 25, 26 et 27. D’autres
4. Nous avons fait naguère, avec M. Victorien Sardou, un voyage dans Paris à la recherche d’une maison habitée par Molière.
rdou s’inquiète de tout ce qui se rattache aux vieux souvenirs de son Paris . Il en connaît sur le bout du doigt toutes les ru
u sujet des nouvelles opinions répandues depuis peu contre la poésie ( Paris , Ve Foucault, 1731, in-12 de 33 pages). Voici ce
ssa pendant les premières années qui suivirent le retour de Molière à Paris , et qu’il n’y a rien, par conséquent, à en conclu
r pour cela à son ardente envie de réussir et de se faire une place à Paris . Parmi les reproches que lui adressent ses ennemi
int-Jean-de-Luz par le mariage du Roi, le succès fut immense. Quoique Paris fût désert, il s’y « est trouvé assez de personne
oyons maintenant ce que nous donnent les gravures : Édition de 1681 ( Paris , D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet), t. II
Barbin et P. Trabouillet), t. III, pas de gravures. Édition de 1682 ( Paris , D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet), t. V,
en largeur, d’une ligne à l’autre de l’encadrement. Édition de 1710 ( Paris , Michel Clousier, t. V, p. 23). Même disposition
Hauteur totale : 125 millim. ; largeur, 72 millim. Édition de 1718 ( Paris , par la Compagnie des libraires). Même dispositio
tte de donner sur ce sujet un travail que l’éloignement où je suis de Paris , sans autres ressources que ma propre bibliothèqu
e d’Escarbagnas, vantant toutes les ressources et les distractions de Paris , dit, de son côté : « Lorsque l’on veut voir la r
de la foire Saint-Laurent ? » Çà et là quelques mots sont jetés sur Paris , bien brefs, bien discrets, et qui ne nous révèle
scarbagnas. Nous y voyons énumérés les auberges ou hôtels célèbres de Paris à cette époque : JULIE. On sait bien mieux vivre
célèbres de Paris à cette époque : JULIE. On sait bien mieux vivre à Paris dans ces hôtels dont la mémoire doit être si chèr
ère, sans se déconcerter, poursuit :                   — Avouons que Paris nous fait part De cent plaisirs charmants qu’on n
sieur, et vous prie d’agréer l’assurance de mes meilleurs sentiments. Paris , 2 août 1880. [1880-09] Ch. NUITTER. Charle
revient encore au mot en vogue par ces vers significatifs : « Hélas, Paris , l’eusses-tu cru ? « Ceci soit dit par parenthèse
fait toujours travailler à sa machine, et j’espère qu’elle paraîtra à Paris vers la fin de janvier. » Ainsi, dans les calcul
sentation de La Toison d’or, — non pas au château de Neubourg, mais à Paris  —, devait avoir lieu dans le premier mois de l’an
1er octobre 1880, p. 195-209. La troupe du Palais-Royal avait quitté Paris le 30 avril pour se rendre aux Fêtes de Versaille
originairement Le Cid, et qu’elle avait eu l’honneur de le ramener à Paris . Troupe souvent dispersée, souvent refaite et pre
ois plutôt qu’il ne la quitta qu’à demi), mais il reprit le chemin de Paris , poète comme devant, rendu aux hasards d’une vie
e permet pas d’accepter là-dessus la tradition locale. Racine était à Paris lorsqu’il écrivait à l’abbé Levasseur qu’il venai
nebleau dura vingt-trois jours ; Molière et ses camarades revinrent à Paris le 13 août, mais sans rouvrir leur salle. Rien ne
très agréable. Elle pouvait chanter le duo ; elle pouvait même, pour Paris , remplacer Mlle Hilaire dans le récit de l’Aurore
re idée lumineuse, j’ai eu recours à la liste des Noms des curieux de Paris avec leur demeure et la qualité de leur curiosité
moliéresque, des « Notes et documents sur l’histoire des Théâtres de Paris , extraits du manuscrit de J. N. du Tralage ». Les
écrites de la Vendée à M. Anatole de Montaiglon par Benjamin Fillon, Paris , Tross, 1861, in 8º (Lettre V, p. 68-73). Ce très
é, en 1698, à la bibliothèque publique de l’abbaye de Saint-Victor, à Paris , avec les livres de son cabinet et une rente de 2
le Ballet de l’Oracle de la Sibylle de Pansoust, imprimés sans date à Paris , vers 1645, et qui tous deux appartiennent au rép
é le premier, en le réimprimant, ce curieux ballet, dont l’édition de Paris , sans date, n’a pas été mentionnée par Beauchamps
dans l’édition imprimée à Lyon, est identique à celle de l’édition de Paris sans date, si ce n’est que, dans cette édition, l
(p. 173), le prince s’achemina, par Montpellier, Vienne et Lyon, vers Paris , où l’appelait son prochain mariage. Molière n’av
, au Louvre et à Versailles. Ce n’est pas tout : Molière était venu à Paris en 1651, comme je l’avais présumé par induction,
ntéressant Lexique comparé de la langue de Molière, par M. F. Génin. ( Paris , Firmin Didot frères, 1845, p. 244.) M. Génin cro
ar-dessus les monts : « Vous vous imaginiez, bonnes gens qui regardez Paris comme la capitale du monde, que cette antique Com
es de l’Empereur. 15. Denon scrips. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris , in-8, 1821. tome VI, page 186. 17. Vid. Chalme
8, 1821. tome VI, page 186. 17. Vid. Chalmel, Histoire de Touraine. Paris 4 vol. in-8, 1828 ; l’Abbé Bourassé ; La Touraine
389. 18. Vid. Georges d’Heylli. Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris in-12, 1872, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoir
nt-Denis. Paris in-12, 1872, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris , 1821, tome IV, page 432, et Georges d’Heylli, Le
IV, page 432, et Georges d’Heylli, Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris , in-12, 1872, page 97. 20. Vid. Jules Claretie,
2, page 97. 20. Vid. Jules Claretie, Molière, sa vie et ses œuvres. Paris , Alph. Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (187
ob (M. Paul Lacroix), dans L’Intermédiaire des chercheurs et curieux, Paris , in-8, première année, 1864, page 26. 22. Vid.
du Recueil des pièces les plus agréables de ce temps (par Ch. Sorel), Paris , de Sercy, 1644 : « en ce qui est des collets, l’
libelle intitulé « Les Intrigues de Molière et celles de sa femme » ( Paris , Liseux, 1877, p.102), une note relative au chape
. 34. La Précieuse, ou le Mystère de la ruelle. Troisième partie. À Paris , chez Guil. de Luyne, 1657, p. 475. 35. C’est l’
u’un dernier prétexte. On répétait la pièce nouvelle, — nouvelle pour Paris . 41. La collection de J. Nicolas de Tralage est
22 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
espérons encore le publier à la fin de cette édition L. AIMÉ-MARTIN. Paris , 3 mars 1845. Préface de la première édition p
lle et Bernier30 ‌. Cyrano de Bergerac31, que son père avait envoyé à Paris , sur sa propre conduite, pour achever ses études,
temps-là de représenter des pièces entre amis. Quelques bourgeois de Paris formèrent une troupe dont Molière était ; ils jou
cinq années de succès dans la province, la troupe résolut de venir à Paris . Molière sentit qu’il avait assez de force pour y
ès quoi ces comédiens vinrent à Rouen, afin qu’étant plus à portée de Paris , leur mérite s’y répandît plus aisément. Pendant
ndant ce séjour, qui dura tout l’été, Molière fit plusieurs voyages à Paris , pour se préparer une entrée chez Monsieur, qui,
de donner à Sa Majesté lui ayant plu, elle voulut qu’elle s’établit à Paris  ; et pour faciliter cet établissement, le roi eut
es forces, eut peur alors que ses ouvrages n’eussent pas du public de Paris autant d’applaudissements que dans les provinces.
tout, le courtisan comme le peuple. » Les comédiens le rassurèrent à Paris , comme dans la province, et ils commencèrent à re
inaire passa avec applaudissement dans le public. Un bon bourgeois de Paris , vivant bien noblement, mais dans les chagrins qu
uteur. Les Fâcheux, qui parurent à la cour au mois d’août 1661, et à Paris le 4 du mois de novembre suivant, achevèrent de d
t joué pour la première fois devant le roi le 14 d’octobre 1663, et à Paris le 4 de novembre de la même année, n’est qu’une c
iter une situation plus heureuse que celle où il était à la cour et à Paris depuis quelques années. Cependant il avait cru qu
sse d’Elide et le Mariage forcé eurent aussi leurs applaudissements à Paris au mois de novembre de la même année ; mais bien
vertissement pour le roi, le 15 septembre 1665, et qu’il représenta à Paris le 22 du même mois. Cette pièce ne relevait pas,
 : quand il eut perfectionné son idée, il quitte son orgue et vient à Paris avec sa femme, ses enfants, et l’épinette ; il ob
jouer une autre, elle la jouait ; de se taire, elle se taisait. Tout Paris était occupé de ce petit prodige : les esprits fa
a foire, proche du vieux hôtel de Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eût gagné vingt mille écus de bien. Ell
s pour jouer la comédie à Rouen, la Raisin prit le parti de revenir à Paris avec ses petits comédiens et son Olivier. Cette f
soutiennent ? Faut-il que ces farceurs d’italiens nous enlèvent tout Paris  ? » En un mot, la troupe était un peu dérangée, e
econde fois au Raincy, au mois de novembre suivant, et en 1665 ; mais Paris ne l’avait point encore vue en 1667. Molière sent
ic ; mais il sentit, dès la première représentation, que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admirer, et que pour vingt p
t le Médecin malgré, joints ensemble, ramenèrent tout le pêle-mêle de Paris , aussi bien que les connaisseurs. Molière s’appla
aient été tellement irrités par le Tartuffe, que l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettait sur le compte
lables critiques n’empêchèrent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec beaucoup de plaisir, comme un spectacle
ires cessantes, il donna parole pour le lendemain ; et il courut tout Paris pour tirer vanité de la lecture de cette pièce. M
ges Dandin fut donc bien reçu à la cour au mois de juillet 1668, et à Paris au mois de novembre suivant. Quand Molière vit qu
Chapelle ne serait-il point l’original du Tartuffe, qu’une famille de Paris , jalouse avec justice de la réputation de Chapell
me ressemble pour me désigner ; et c’en serait assez pour amener tout Paris à votre pièce : je sais l’attention que l’on a su
uelle fut jouée à Chambord au mois de septembre de l’année 1669, et à Paris un mois après‌ 113. Le roi s’étant proposé de don
de la même année 1670, que l’on représenta le Bourgeois gentilhomme à Paris , le nombre prit le parti de cette pièce. Chaque b
nas fut jouée à la cour au mois de février de l’année suivante ; et à Paris , le 8 de juillet de la même année. Tout le monde
connaisseurs, et assujettissait les autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris avec confiance le 11 de mai 1672115. Molière étai
rs à M. de Corneille pour lui aider122. On sait que cette pièce eut à Paris , au mois de juillet 1672, tout le succès qu’elle
sté de deux sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinairement à Paris quêter pendant le carême, et auxquelles il donnai
28. » Il ne fut pas mort que les épitaphes furent répandues par tout Paris . Il n’y avait pas un poète qui n’en eût fait ; ma
e le parti de la comédie. Il fut camarade de Molière en province et à Paris . Son emploi dans le comique était les pères et le
cessaire, mais indifféremment dans tous ceux que Béjart remplissait à Paris . Cet acteur se retira en 1670 avec une pension de
t secours, la mort m’était inévitable. » (La Prison de M. d’Assoucy , Paris , Quenel, 1678, page 70.) On aime à voir les homme
entes troupes, et enfin dans celle de Molière. Il suivit ce dernier à Paris , lorsqu’il vint s’y établir en 1658. Mais, ayant
mais joué qu’en province. Beauval suivit sa femme, lorsqu’elle vint à Paris débuter au Palais-Royal, et fut reçu dans la trou
ngagea à Lyon avec sa femme dans la troupe de Molière, et le suivit à Paris . Il joua au Palais-Royal, et ensuite rue Mazarine
re théâtre en 1645. Le dessein que cette société avait de s’établir à Paris n’ayant pas réussi, Molière, qui en était, propos
ros-René, à Lyon ; ils allèrent ensemble en Languedoc, et revinrent à Paris en 1658. (Frères Parfait, page 410.) Loret, dans
squ’il se joignit à celle de Molière, qui, peu de temps après, vint à Paris , et y obtint son établissement. Du Croisy fut un
ux, il se retira à Conflans-Sainte-Honorine, qui est un bourg près de Paris , où il avait une maison. Ses amis l’y allaient vo
vinces ; il s’engagea ensuite dans la troupe de Molière, qui débuta à Paris en 1658. La Grange se distingua dans cette troupe
lière, et La Grange, son camarade, donnèrent une édition de ce poète, Paris , Thiéry, 1682. La préface qui est au commencement
Jobin, dans la Devineresse, lui ont attiré l’applaudissement de tout Paris . Il s’est fait aussi admirer dans le rôle du vico
que seize ans, et ce n’est que sept ans plus tard qu’il rencontra, à Paris , Madeleine Béjart. Cette observation détruirait l
éjart. Voyez la Dissertation de M. Beffara. Madeleine Béjart revint à Paris , avec ses deux frères, en 1645, et concourut à fo
it partie. Cette troupe parcourut la province jusqu’en 1650, revint à Paris , et joua à l’hôtel de Conti ; partit ensuite pour
el de Conti ; partit ensuite pour Lyon, en 1653, et s’établit enfin à Paris en 1658. L’emploi principal de cette actrice dans
passé, que la réputation de mademoiselle Beauval se répandit jusqu’à Paris . Molière obtint un ordre du roi pour faire passer
mique, pour doubler cette actrice. Mademoiselle Desmares, de retour à Paris , fit part à ses camarades de l’ordre qu’elle avai
lus de trente-quatre ans que mademoiselle Beauval a joué la comédie à Paris , elle n’a jamais manqué à son emploi, excepté le
. Sauvai fut témoin de ce duel, et il en parle dans ses Antiquités de Paris , tome II, livre X, page 578. Mademoiselle DU C
veauté138. » Mademoiselle du Parc revint avec Molière et sa troupe à Paris , en 1658, et réussit encore plus sur le théâtre d
en 1653, les deux Corneille à Rouen en 1658, La Fontaine et Racine à Paris en 1664. Il paraît que Racine fut le seul écouté.
Celle de Pierre Corneille, sur le départ de mademoiselle du Parc pour Paris , commence par ce vers : Allez, belle marquise, a
-B. P. de Molière, imprimé aux dépens de l’auteur (sic), et se rend à Paris chez J. Ribou, 1669. 2. On vient de représenter
le Pédant, comédie en prose, imitée de l’italien, de Bruno Nolano ; à Paris , chez Pierre Ménart, 1633. – Gilette, comédie fac
e, à la tête des œuvres de Jean Racine, cinquième édition de Lefèvre, Paris , 1844. 18. Dans son commentaire sur Boileau, et
nq des parents de Molière avaient été juges et consuls de la ville de Paris (depuis 1647 jusqu’en 1685), fonctions considérab
ui donnaient quelquefois la noblesse. (Delort, Voyage aux environs de Paris , page 199.) 25. Nous avons essayé de découvrir
Orléans pour y faire son droit, et que le jeune Pocquelin ne revint à Paris qu’au mois d’août 1654, époque à laquelle il fut
es acteurs. 39. A cette époque, c’est-à-dire en 1645, Molière quitta Paris et parcourut la province avec sa troupe. Il y res
meux sous les règnes de Henri III et de Henri IV. En 1650 il revint à Paris , et c’est seulement alors que le prince de Conti,
avait composés ; mais, dit plaisamment Dassoucy, « Il ne trouva dans Paris aucun poète qui le voulût nourrir à son tour, et
nnets, lui voulût faire crédit seulement d’un pâté. Il sortit donc de Paris avec sa femme et ses enfants, lui cinquième, en c
teurs ne faisaient pas partie de la troupe au moment de son départ de Paris  ; mais Molière, s’étant arrêté à Lyon, où il donn
e, et grand vicaire de monseigneur le cardinal de Retz, archevêque de Paris , en présence dudit Jean Poquelin, père du marié,
s spectacles selon la tradition de l’Église, par le prince de Conti ; Paris , 1667, in-8°. Il y attaque les pièces de Molière.
ande estime, que Sa Majesté donna des ordres pour établir sa troupe à Paris . » (Préface de La Grange dans l’édition de 1682.)
de divers tons qu’elle a de rôles différents. » (Entretiens galants, Paris , Ribou, 1681, t. Il, page 91.) Grandval, le père,
régulièrement plusieurs virtuosi, et ces virtuosi étaient les gens de Paris les plus initiés dans les anciens mystères de la
’on y lit que « Cette pièce fit grand bruit, et eut un grand succès à Paris avant d’être jouée à la cour. » (Mémoires de Dang
st en face de cette maison, aujourd’hui numérotée 34, que la ville de Paris vient d’élever un monument à Molière. 124. Moli
l’affaire. M. et madame de Montalant sont morts à Argenteuil près de Paris , sans postérité. (Cizeron-Rival, page 14.) 126.
ter la supplication que la veuve de Molière adressa à l’archevêque de Paris , et l’ordonnance de ce dernier. « A monseigneur
ier. « A monseigneur l’illustrissime et révérendissime archevêque de Paris . Du 17 février 1673. Supplie humblement Élisabeth
ormation à nous rapportée être enfin ordonné ce que de raison. Fait à Paris , dans notre palais archiépiscopal, le vingtième f
é, ARCHEVÊQUE DE PARIS. » Extrait des registres de l’archevêché de Paris . « Veu ladite requête, ayant aucunement égard
, que nous voulons être observées selon leur forme et teneur. Donné à Paris , ce vingtième février mil six cent soixante-treiz
23 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
ar l’intérêt qu’il prend à la mémoire d’un Auteur si Illustre. Fait à Paris ce 15 Décembre 1704. Fontenelle. La Vie de Mr
Chapelle et Bernier. Cyrano de Bergerac, que son père avait envoyé à Paris sur sa propre conduite, pour achever ses études,
temps-là de représenter des pièces entre amis. Quelques Bourgeois de Paris formèrent une troupe, dont Molière était ; Ils jo
cinq années de succès dans la Province, la Troupe résolut de venir à Paris . Molière sentit qu’il avait assez de force pour y
ès quoi ces Comédiens vinrent à Rouen, afin qu’étant plus à portée de Paris , leur mérite s’y répandît plus aisément. Pendant
ndant ce séjour, qui dura tout l’Été, Molière fit plusieurs voyages à Paris , pour se préparer une entrée chez Monsieur, qui l
e donner à sa Majesté, lui ayant plu, Elle voulut qu’elle s’établît à Paris  : et pour faciliter cet établissement, le Roi eut
es forces, eut peur alors que ses ouvrages n’eussent pas du Public de Paris autant d’applaudissements que dans les Provinces.
tout, le Courtisan, comme le Peuple. Les Comédiens le rassurèrent à Paris , comme dans la Province, et ils commencèrent à re
, quoique jouée dans les Provinces pendant longtemps, eut cependant à Paris tout le mérite de la nouveauté. Les Précieuses ri
inaire passa avec applaudissement dans le Public. Un bon Bourgeois de Paris , vivant bien noblement ; mais dans les chagrins,
Molière ne fut pas heureux dans la seconde Pièce qu’il fit paraître à Paris le 4 Février 1661. Dom Garcie de Navarre, ou le P
uteur. Les Fâcheux, qui parurent à la Cour au mois d’Août 1661, et à Paris le 4 du mois de Novembre suivant, achevèrent de d
joué pour la première fois devant le Roi le 14e d’Octobre 1663, et à Paris le 4e de Novembre de la même année, n’est qu’une
ter une situation plus heureuse que celle où il était à la Cour, et à Paris depuis quelques années. Cependant il avait cru qu
se d’Élide, et le Mariage forcé eurent aussi leurs applaudissements à Paris au mois de Novembre de la même année ; mais bien
rtissement pour le Roi le 15 de Septembre 1665, et qu’il représenta à Paris le 22 du même mois. Cette pièce ne relevait pas à
. Quand il eut perfectionné son idée, il quitte son orgue, et vient à Paris avec sa femme, ses enfants, et l’épinette. Il obt
jouer une autre, elle la jouait ; de se taire elle se taisait. Tout Paris était occupé de ce petit prodige ; les esprits fa
a foire, proche du vieux Hôtel de Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eût gagné vingt mille écus de bien. Ell
s pour jouer la Comédie à Rouen, la Raisin prit le parti de revenir à Paris , avec ses petits Comédiens et son Olivier. Cette
soutiennent ? Faut-il que ces Farceurs d’Italiens nous enlèvent tout Paris  ? En un mot la troupe était un peu dérangée, et c
conde fois au Raincy, au mois de Novembre suivant ; et en 1665 ; mais Paris ne l’avait point encore vue en 1667. Molière sent
blic : Mais il sentit dès la première représentation que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admirer ; et que pour vingt
le Médecin malgré lui joints ensemble ramenèrent tout le pêle-mêle de Paris , aussi bien que les connaisseurs. Molière s’appla
aient été tellement irrités par le Tartuffe, que l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettait sur le compte
lables Critiques n’empêchèrent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec beaucoup de plaisir, comme un spectacle
ires cessantes, il donna parole pour le lendemain ; et il courut tout Paris pour tirer vanité de la lecture de cette pièce. ―
rge Dandin fut donc bien reçu à la Cour au mois de Juillet 1668, et à Paris au mois de Novembre suivant. Quand Molière vit qu
Chapelle ne serait-il point l’original du Tartuffe, qu’une famille de Paris , jalouse avec justice de la réputation de Chapell
me ressemble pour me désigner, et c’en serait assez pour amener tout Paris à votre pièce : Je sais l’attention que l’on a su
uelle fut jouée à Chambord au mois de Septembre de l’année 1669, et à Paris un mois après. Le Roi s’étant proposé de donner u
de la même année 1670, que l’on représenta le Bourgeois Gentilhomme à Paris , le nombre prit le parti de cette pièce. Chaque B
gnas fut jouée à la Cour au mois de Février de l’année suivante, et à Paris , le 8 de Juillet de la même année. Tout le monde
connaisseurs, et assujettissait les autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris avec confiance le 11e de Mai 1672. Molière était
cours à Mr de Corneille pour lui aider. On sait que cette pièce eut à Paris au mois de Juillet 1672, tout le succès qu’elle m
sté de deux Sœurs Religieuses, de celles qui viennent ordinairement à Paris quêter pendant le Carême, et auxquelles il donnai
oi. Il ne fut pas mort, que les Épitaphes furent répandues par tout Paris . Il n’y avait pas un Poète qui n’en eût fait ; ma
Comédie : 16 — d’un Vieillard aux Précieuses : 36 — d’un Bourgeois de Paris  : 39 — de la Scène du Chasseur des Fâcheux : 48 —
de Benserade : 272 Mr Bernier : 10, 12, 220 et suiv. Un Bourgeois de Paris  : 39 Mr Boursault : 54 De Brie : 20 Mademoiselle
oupe de Molière : 15, 20 — Elle va en Languedoc : 22 — Elle revient à Paris  : 27 et suiv. — Elle joue devant le Roi : 28 — Sa
de Comédiens de Monsieur : 33, 34 — Elle commence à représenter dans Paris  : 33, 34 — Le Roi lui donne une pension et la pre
24 (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723
que dans le même siecle elle n’agit pas à Londres comme à Rome, ni à Paris comme à Madrid ; il en résulte des caracteres par
cédera bien-tôt au torrent de l’exemple & à l’attrait du plaisir. Paris seul ne verra-t-il plus joüer Moliere ? Un état o
plaisir ignoré. De pélerins, dit-on, une troupe grossiere En public à Paris y monta la premiere, Et sottement zélée en sa sim
r ; ils prirent pour sujet la passion de Notre-Seigneur. Le prevôt de Paris en fut averti, & leur defendit de continuer :
nt des lettres patentes du 4 Décembre 1402, pour leur établissement à Paris . M. de la Mare les rapporte dans son tr. de pol.
aison dont dépendoit cette chapelle, avoit été bâtie hors la porte de Paris du côté de Saint-Denis, par deux gentils-hommes A
er, dans son histoire de Charles VII. parlant de l’entrée de ce roi à Paris en l’année 1437, pag. 109. dit que, « tout au lo
mystere fut joüé à Angiers moult triumphamment, & dernierement à Paris , avec le nombre des personnages qui sont à la fin
re piece contient le mystere des actes des apôtres : il fut imprimé à Paris en 1540, in-4. & on marqua dans le titre qu’i
’il étoit joüé à Bourges. L’année suivante il fut réimprimé in-fol. à Paris , où il se joüoit. Cette comédie est divisée en de
ien & duement selon la vraie vérité, & joüé par personnages à Paris en l’hostel de Flandres, l’an mil cinq cens xli.
deument selon la vraie vérité, & ainsi que le mystere est joüé à Paris cette présente année mil cinq cent quarante-ung.
particuliers entreprirent de faire joüer de cette maniere en 1542, à Paris , le mystere de l’ancien Testament, & François
présenter aucuns jeux, tant dans la ville, faubourgs, que banlieue de Paris , sinon sous le nom & au profit de la confrair
erent le dimanche 29 Mai 1577 leurs comédies en l’hostel de Bourbon à Paris  ; ils prenoient quatre souls de salaire par teste
mp; il y avoit tel concours, que les quatre meilleurs prédicateurs de Paris n’en avoient pas tous ensemble autant quand ils p
. De la Mare, traité de pol. liv. III. tom. III. Œuvres de Despréaux, Paris , 1747, in-8°. &c. Les accroissemens de Paris
uvres de Despréaux, Paris, 1747, in-8°. &c. Les accroissemens de Paris ayant obligé les comédiens à se séparer en deux b
taires comme les comédiens François, les comédiens Italiens établis à Paris , & plusieurs autres troupes qui ont des théat
atelin semble peint de nos jours. L’avare de Plaute a ses originaux à Paris . Le misantrope de Moliere eût trouvé les siens à
Dans la scene que nous avons citée, voilà ton demi-cent d’épingles de Paris , est du comique bas. Je voudrois bien aussi te re
tes. Jean-Baptiste Pocquelin, si célebre sous le nom de Moliere, ne à Paris en 1620, mort en 1673, a tiré pour nous la comédi
e à la cour qui se trouvoit alors au voyage des Pyrénées. De retour à Paris , il établit une troupe accomplie de comédiens, fo
pieces inimitables. Toutes les oeuvres de Moliere ont été imprimées à Paris en 1734, en 6 volumes in 4°. Mais cette belle édi
st cependant à ce philosophe, dit M. de Voltaire, que l’archevêque de Paris , Harlay, si décrié pour ses moeurs, refusa les va
25 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
s la comédie que la vie bourgeoise et commune, et Moliere a joué tout Paris et la Cour. Ce même Père prétend que Moliere est
ordonne des remèdes ; je ne les fais point, et je guéris. » Revenu à Paris en 1658, il joua à la Cour ses premières pièces,
finir ses jours. Cependant le cardinal de Richelieu le fit revenir à Paris et l’engagea à jouer le principal rôle dans la co
nement des plaisirs, contribuèrent au succès de la Princesse d’Elide. Paris en jugea moins favorablement ; il la vit132 sépar
e l’amour propre et la vanité des femmes. » Cette piece fut donnée à Paris au mois de novembre suivant, et fut jouée 24 fois
vailloit, ne crut pas devoir hasarder cette comédie sur le théâtre de Paris . Il ne la fit pas même imprimer137, quoi qu’elle
pit amoureux, comédie de Moliere en vers et en cinq actes, fut joué à Paris immédiatement après l’Etourdi 138. Ce sont partic
se, qui fut faite d’abord pour la province139; elle fut si aplaudie à Paris qu’on la joua quatre mois de suite140, et l’on pr
t dialogue divisé en sept scènes, représentée pour la premiere fois à Paris , sur le théâtre du Palais-Royal, le vendredi prem
tée à Versailles au mois d’octobre 1663, et, le 4 novembre suivant, à Paris , sur le théâtre du Palais-Royal. On la joua dix n
lleurs sujets qui ayent paru dans la suite sur les autres théâtres de Paris , étoient sortis ; il avoit succédé dans cette tro
la recherche des usurpateurs de noblesse de la ville et fauxbourgs de Paris , pour représenter les titres en vertu desquels il
echerche des usurpateurs de noblesse de ladite ville et fauxbourgs de Paris , de faire aucunes poursuites ni contraintes pour
’une taille avantageuse, mais fort maigre et décharné ; il est mort à Paris , dans un âge tres-avancé, en 1707225, après avoir
tilhomme d’extraction, mort à une terre qu’il avoit acquise auprès de Paris . Il étoit retiré de la Troupe Royale, et il en to
r les principaux ouvrages des auteurs, tome IV, contenant les poètes. Paris , A. Dezallier, 1686, in-12. 13. Devancer (varian
étique d’Aristote et sur les ouvrages des poètes anciens et modernes. Paris , F. Muguet, 1674, in-12. 15. Deuxième partie : R
intitulée le Festin de Pierre, p. 5. 26. La Vie de M. de Moliere : Paris , 1705, in-12, p. 46. 27. Pages 47, 48. 28. « 
qu’en dit l’abbé de Marolles, dans la préface de son Lucrèce de 1677 ( Paris , Langlois, in-4°). 47. Une note du recueil de Tr
d’un sçavant, contenant plusieurs pièces curieuses et intéressantes : Paris , Nyon fils et Guillyn, 1752, t. I, deuxième parti
1, à cinquante-sept ans. 69. Scaramouche (Tiberio Fiorelli) mourut à Paris le 7 décembre 1694. — Cette parole est attribuée
y, d’après l’auteur des Mémoires de 1734. 150. Depuis son arrivée à Paris en 1658 jusqu’à sa mort, Molière put avoir occasi
oulême, puis à Saintes, puis au couvent de Rozoy-en-Brie, et revint à Paris où elle mourut en 1709. 190. Où l’on entretenait
riminel, tragi-comédie en 5 actes tra­duite de l’italien en français; Paris , Ch. de Sercy, 1660, in-12. 249. On croit que ce
temps de Molière. Il fut d’abord avocat au Parlement, et ne débuta à Paris qu’en avril 1680. 253. Le 7 février. 254. Nous
26 (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605
qui ne mourra jamais. Son nom de famille étoit Pocquelin. Il naquit à Paris en 1620. Son pere qui étoit valet de chambre tapi
III, qu’il suivit dans son voyage de Narbonne en 1641. A son retour à Paris , sa passion pour la comédie qui l’avoit déterminé
ente-quatre ans. De Grenoble il vint à Rouen en 1658 : d’où il vint à Paris , où il obtint la protection de Gaston, fils de Fr
ua en présence de leurs majestés, obtint la permission de s’établit à Paris , & de jouir de la salle des gardes dans le vi
médie que la vie bourgeoise & commune ; & Moliere a joué tout Paris & la cour. Il est le seul parmi nous qui ait
27 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
ugustes témoignages. » Ou ignorait complètement le nom de ce curé de Paris , celui de sa paroisse et le titre de son libelle,
ples. — 1642. Il suit le Roi à Narbonne. — 1644. Il étudie le droit à Paris . — 1645. Son goût pour les spectacles. Il se met
rd. — 1658. Il passe le carnaval à Grenoble ; se rend à Rouen, puis à Paris , où sa troupe se donne à Monsieur. Elle joue deva
de Molière contre le premier président. Mandement de l’archevêque de Paris contre L’Imposteur. Molière ne se laisse point ab
cès de mademoiselle Beauval dans cette pièce. Retour de Scaramouche à Paris . Aventure de Molière dans le rôle de Sancho. — 16
urs de charité logées chez lui. Livre quatrième L’archevêque de Paris s’oppose à son enterrement. Sa femme va s’en plai
de sa direction. Quelle était sa fortune. Ses demeures successives à Paris . — Conduite inconvenante de sa veuve ; sa vanité
é, d’un philosophe qui fut comédien ! Jean-Baptiste Poquelin naquit à Paris le 15 janvier 1622. On avait cru longtemps qu’il
rie Cressé, appartenait à une famille qui exerçait depuis longtemps à Paris la profession de tapissier. Son grand-père patern
ais plusieurs de leurs parents furent juges et consuls de la ville de Paris , fonctions importantes qui donnaient quelquefois
assuré une immortalité facile ; enfin Hesnaut, fils d’un boulanger de Paris , connu par des poésies anacréontiques, le sonnet
r son père, que ses affaires ou peut-être des infirmités retenaient à Paris . Ce voyage, dont la durée fut de près d’un an, lu
t même qu’il suivit les cours de l’école d’Orléans, et qu’il revint à Paris se faire recevoir avocat. Voilà du moins ce qu’on
re dans la survivance de tapissier valet de chambre du Roi ? Revenu à Paris , Poquelin s’abandonna avec ardeur à son goût pour
in se mit à la tête d’une de ces réunions de comédiens bourgeois dont Paris comptait alors un assez grand nombre. Cette troup
1662, ne signa son acte de mariage. Vainement, quand il fut établi à Paris avec sa troupe, donna-t-il aux Poquelin leurs ent
opportunément, nous en fournit la preuve. Après qu’il fut installé à Paris , un jeune homme vint un jour le trouver, lui avou
es frivoles divertissements de la scène : aussi lui fallut-il quitter Paris pour aller, avec sa troupe, tenter une fortune lo
prouve l’aventure suivante, qui date du retour définitif de Molière à Paris , et que Tallemant raconte dans son Historiette de
on château, arriva dans cette ville le 31 décembre 1653, se rendant à Paris pour rentrer en grâce en épousant Anne-Marie Mart
remiers ouvrages, son nom comme artiste, comme auteur, était ignoré à Paris . Tallemant des Réaux, dont la passion était de to
trice de toutes. Elle est dans une troupe de campagne ; elle a joué à Paris , mais c’a été dans une troisième troupe (l’Illust
dans Les Historiettes, s’il lui fallait poursuivre sa vie errante, si Paris ne devenait le théâtre de ses inspirations et de
son obscurité ne lui avait pas permis de conquérir des admirateurs à Paris , il y comptait du moins d’anciens amis et un prot
lière, au commencement de 1658, « lui conseillèrent de s’approcher de Paris en faisant venir sa troupe dans une ville voisine
upe vers les fêtes de Pâques. « Il y séjourna pendant l’été, et fit à Paris quelques voyages secrètement », ajoutent La Grang
ble par des rivaux puissants et nombreux. Il y avait à cette époque à Paris trois troupes : les Comédiens italiens, qui avaie
er ombrage. Enfin le prince de Conti, qui avait été obligé de quitter Paris au mois de mai pour se rendre dans la province de
Molière parvint ainsi à être autorisé à donner des représentations à Paris . Laissons maintenant parler La Grange dans son Re
dans son Registre : « Le sieur de Molière et sa troupe arrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658, et se donnèrent à Monsieu
rande estime que Sa Majesté donna ses ordres pour établir sa troupe à Paris . » À quoi tiennent les destinées du génie ! La t
u’il dut son succès ainsi que l’autorisation définitive de se fixer à Paris , et que le siècle de Louis XIV et tous les siècle
our sa gloire, de mourir six mois après l’installation de la troupe à Paris , c’est-à-dire avant que la renommée eût consenti
it joué au Louvre, et où il avait enlevé l’autorisation de se fixer à Paris , Louis XIV, accompagné de sa cour, quitta la capi
it amoureux. Elles furent successivement non moins bien accueillies à Paris . Ce succès est plus que suffisamment justifié par
ajoute : « L’Étourdi, comédie du sieur Molière, passa pour nouvelle à Paris , eut un grand succès, et produisit de part pour c
amoureux, comédie du sieur Molière passa pareillement pour nouvelle à Paris , eut un grand succès, et produisit de part pour c
x ouvrages et ses camarades furent à leur début bien vus du public de Paris et surent l’attirer. De Visé, dans son antipathie
jamais rien, parvenait à faire connaître son existence, sa présence à Paris au public de la capitale : par ses seules affiche
e, De L’Espy, tous deux du Marais, et trois autres acteurs nouveaux à Paris , Du Croisy, sa femme et La Grange. Il ne craignit
fouet de la satire, de constater tout ce qu’il a fait. Il existait à Paris une réunion d’hommes instruits, de femmes remarqu
antés, et de l’autre un pauvre comédien de province venant chercher à Paris des ressources qu’il n’avait pu trouver dans ses
re signé le 7 novembre à Saint-Jean-de-Luz, et d’être apporté le 14 à Paris par le marquis de Soyecourt. Il fallut entreprend
alors en avoir simultanément deux en répétition. Depuis son arrivée à Paris , la troupe du Petit-Bourbon n’avait composé son r
r. L’ouvrage fut envoyé aux Pyrénées. Il y reçut le même accueil qu’à Paris . Segrais assure que Molière, dont ce double succè
s, que le sieur de Vigarani, machiniste du Roi, nouvellement arrivé à Paris , se réserva, sous prétexte de les faire servir au
pussent trouver ailleurs. Sur ce fondement, le bruit se répandit dans Paris que la troupe subsiste, qu’elle s’établit au Pala
, après avoir charmé la province, étaient venues faire les délices de Paris  ; les Précieuses ridicules avaient jeté 1’alarme
ait parcourir désormais, avant même peut-être que son établissement à Paris lui eut permis de l’entrevoir, une pièce qu’il av
algré les efforts des envieux, obtint d’abord les applaudissements de Paris , fut ensuite représentée dans une réjouissance do
e tomba malade d’une fièvre double-tierce qui mit sa vie en danger et Paris en prières et en processions. La Gazette du 26 ma
que de malignité le tableau de ce qui se passait dans les cercles de Paris , tandis que L’École des femmes en faisait l’entre
it un but bien plus important, et il l’atteignit, car l’Université de Paris , frénétique champion des doctrines du philosophe
de Stagyre, allait obtenir la confirmation d’un arrêt du parlement de Paris qui prononçait « peine de mort » contre ceux qui
que Raisin indiquait, et s’arrêtait dès qu’il le lui ordonnait. Tout Paris courut voir cette merveille, et Louis XIV lui-mêm
de son secret. Le Roi, touché de sa position, l’autorisa à établir à Paris une troupe d’enfants sous le titre de Troupe de M
en voiture avec le musicien Charpentier pour revenir de la campagne à Paris . Au moment où le cocher fouettait les chevaux, Mo
re de cette suspension momentanée une défense irrévocable, un curé de Paris , Pierre Roullès ou Roullé, curé de Saint-Barthéle
s occasions d’applaudir à son talent, l’avide curiosité avec laquelle Paris , à défaut de représentations, recherchait les lec
a robe ne les quittait jamais, et ils se rendaient d’une extrémité de Paris à l’autre montés sur une mule. Le plus souvent il
ues idées de Descartes. Un jour qu’ils revenaient par eau d’Auteuil à Paris , ils se mirent de nouveau à agiter ces questions
Le Misanthrope ; cette pièce fit grand bruit et eut un grand succès à Paris avant d’être jouée à la cour. Chacun y reconnut M
ous le die, L’estime qu’on en fait est une maladie Qui fait que, dans Paris , tout court au Médecin. Nous aurions pu citer, d
oupe de Molière pendant près de trois mois à Saint-Germain. Partie de Paris le 1er décembre 1666, elle ne fit sa rentrée au t
ur de débiter avec tant de succès sa fausse monnaie, et de duper tout Paris avec de mauvaises pièces. « Voilà en peu de mots
on moins perfide et plus furieux peut-être encore, œuvre d’un curé de Paris , qui n’avait pas craint de le présenter au Roi. O
deux acteurs de la troupe, La Thorillière et La Grange, partirent de Paris en poste pour aller présenter au Roi, qui se trou
, qui ne devait recevoir que bien tard son exécution, ils revinrent à Paris  ; et le théâtre de Molière, qui avait suspendu se
i que nous devons donner place au mandement lancé par l’archevêque de Paris contre L’Imposteur, le 11 août. Il montrera contr
in, par la grâce de Dieu et du Saint-Siège apostolique, archevêque de Paris , à tous curés et vicaires de cette ville et faubo
présentation ou lecture de la susdite ou semblables comédies. Donné à Paris sous le sceau de nos armes, ce onzième août mil s
nzième août mil six cent soixante-sept. »   « HARDOUIN, archevêque de Paris . « Par mondit seigneur, Petit. » Grimarest a pré
nçaise du traité de Platina intitulé De honesta voluptate, imprimée à Paris en 1505, et citée par Le Duchat dans son édition
 : « Si toutes les fois, dit-il aux spectateurs, qu’on fait un cocu à Paris , on faisait un aussi grand bruit, tout le long de
rs de se voir érigés en hommes à bonnes fortunes qu’en héros. Si tout Paris était allé rire des malheurs d’Amphitryon75, il a
re 1668, au mépris de la bouffonne excommunication de l’archevêque de Paris  ; mais ces consolants égards ne pouvaient suffire
ent encore à l’effet qu’elle pouvait produire. Le 15 du mois suivant, Paris s’égaya à son tour de la mystification du hoberea
e78. Le gazetier Robinet confirme cette assertion : L’original est à Paris . En colère autant que surpris De se voir dépeint
e, M. de Molière manda de la campagne le sieur Baron, qui se rendit à Paris après avoir reçu une lettre de cachet, et eut une
Le célèbre Molière est dans un grand éclat ; Son mérite est connu de Paris jusqu’à Rome. Il est avantageux partout d’être ho
pas aussi heureusement rencontré. » Et voilà les bons amis de cour ! Paris fut tout d’abord de l’avis de Louis XIV ; et Le B
le théâtre de Molière pour se porter à celui de Scaramouche, revenu à Paris après une absence de trois ans. Cet acteur, ayant
t aux plaisirs de la cour. Cette dette envers le public payée, il vit Paris , auquel il n’avait pas depuis longtemps offert le
intitulé Le Ballet des ballets, donné par le Roi lors de l’arrivée à Paris de la princesse de Bavière, que Monsieur, veuf d’
16 novembre précédent. La Comtesse d’Escarbagnas ne fut représentée à Paris que le 8 juillet de l’année suivante. Les longues
des habitants de la capitale. Des relations beaucoup plus rares avec Paris , une ignorance complète du luxe et de ses prestig
province aux beaux airs, Molière passa aux prétentions des femmes de Paris au savoir. Nous avons, à l’occasion des Précieuse
des siens et de deux pauvres sœurs religieuses qui venaient quêter à Paris pendant le carême, et trouvaient chaque année che
ut lui faire trouver grâce auprès d’un prélat fameux. L’archevêque de Paris , Harlay de Champvallon, que ses débauches menèren
ion posthume arracha ces vers à l’indignation de Chapelle : Puisqu’à Paris on dénie La terre après le trépas À ceux qui pend
ière que l’affaire dont elle lui parlait dépendait de l’archevêque de Paris . Toutefois, comme la désobligeante maladresse de
réunit la troupe de l’hôtel de Bourgogne. Il n’y eut plus dès lors, à Paris , qu’une société de comédiens français sous le tit
a supériorité de son jeu. La Grange nous apprend que, dès son début à Paris , devant le Roi, dans le rôle du Docteur amoureux,
toutes les occasions où le service du Roi les réclamait en dehors de Paris . Enfin la munificence de Louis XIV leur accordait
oire qu’il ne laissa pas à sa mort de biens-fonds. Après son retour à Paris , il demeura successivement rue Saint-Honoré, vis-
ne aussi belle occasion de faire une dupe, se rappela qu’il y avait à Paris une fille entretenue, nommée La Tourelle, qui res
le Molière, et en outre à un bannissement de trois ans de la ville de Paris . Madame Le Doux subit seule son jugement, qui, su
és, Saint-Joseph, devint le siège d’une des sections de la commune de Paris . D’autres se décoraient des noms de Brutus et de
térieur d’alors signifia à ses promoteurs que les places publiques de Paris devaient être exclusivement consacrées aux monume
e la Comédie, M. Régnier, fit appel à l’administration de la ville de Paris , représenta la convenance du lieu, fit valoir qu’
’œuvre, dont la gloire, en un mot, n’a pas un rayon qui ne brille sur Paris  ». La Chambre des Députés et la Chambre des Pairs
anonyme, à cet ouvrage de circonstance, intitulée Le Songe du rêveur, Paris , G. De Luyne, 1660, qui fait connaître que La Pom
(Éditeurs.) 6. Notes historiques sur la vie de Molière, par Bazin, Paris , 1851, p. 82. 7. Œuvres complètes de Molière, a
rler. Les registres étaient fort mal tenus à cette époque, et ceux de Paris écrivent le nom de famille de Molière tantôt Pouq
es pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Emm. Raymond ; Paris , 1858, p. 49. 15. On ne donnait alors, et plus t
ises qui se font appeler Madame, par le chevalier D*** (de Trissart), Paris , Beugnié, 1713. Nous adopterons cet usage ; autre
Molière qui parle. * Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, Paris , 1861, p. 45, et M. Emm. Raymond, Histoire des pé
p. 334, et t. VIII, p. 255. 30. Les Œuvres de M. Scarron, Rouen et Paris , 1663, t. Ier, p. 254-256. Voici comment Scarron,
bien passer pour n’être pas tous d’élite : Vous qu’on voit l’hiver à Paris , Ou pour votre plaisir, ou pour vos subsistances,
s affiches qu’il faudra retenir les loges de bonne heure, et que tout Paris y doit être, parce que toutes sortes de gens, gra
de l’y voir seul. 33. Grand Dictionnaire historique des précieuses, Paris , 1661, t. Il, p. 77 et suiv. 34. Bien que nous a
cieuses, comédie en un acte, en prose, par Somaize, non représentée ; Paris , Jean Ribou, 1660, in-12.) 37. Le privilège du R
en est faite sur le registre de la chambre syndicale des libraires de Paris (Bibliothèque impériale, département des manuscri
appelle-t-il : le sieur Molier. 38. La Pompe funèbre de M. Scarron, Paris , 1660, p. 8, imprimé à la suite de Le Burlesque m
carron, Paris, 1660, p. 8, imprimé à la suite de Le Burlesque malade, Paris , 1660, in-12. — De Luyne et ses coassociés pour l
tres emmêlés en un seul par préméditation. 39. Le Burlesque malade, Paris , 1660, p. 16. 40. « Notre amé Jean-Baptiste Poqu
va le prouver. 49. Zélinde, comédie (par De Visé), sc. vii, p. 61 ; Paris , 1663, in-12. 50. Déjà, au mois de décembre pré
i de La Vengeance des Marquis, p. 113 et 114 des Diversités galantes, Paris , 1664, in-12. 54. La Pratique du théâtre, par l
eçus avec de grands honneurs sur toute la route, firent leur entrée à Paris le 9 novembre par le faubourg Saint-Antoine, entr
at arriva à Fontainebleau le 12 juillet 1664, vint faire son entrée à Paris le 9 août, et en repartit le 12 du même mois pour
vations d’une comédie du sieur Molière intitulée le Festin de Pierre. Paris , G. Quinet, 1663, in-12, p. 12. 66. La cinquième
évidemment, dans le registre de la Chambre syndicale des libraires de Paris (Bibliothèque impériale, département des manuscri
i 1665 : « Ce même jour, le sieur Louis Billaine, marchand libraire à Paris , nous a présenté un privilège qu’il a obtenu pour
e Molière, intitulée le Festin de Pierre, par le sieur de Rochemont ; Paris , Pépingué, 1665, in-12. 69. Nous avons déjà cité
ux Observations touchant le Festin de Pierre de monsieur de Molière ; Paris , G. Quinet, 1665, in-12. 70. On avait jusqu’ici
n’avait encore paru avec ce caractère, on chercha après son entrée à Paris , qui eut lieu le 26 août 1668, à lui donner tous
a somptueuse retraite de Commercy, était venu passer quelques jours à Paris , où il était entouré de soins par ses anciens par
 13. 97. Les Médecins au temps de Molière, par M. Maurice Reynaud ; Paris , 1863, in-18, p. 485, note. 98. La requête de la
-Baptiste Poclin dit Molière, comédien, au cimetière des morts-nés, à Paris  », et se lit page 27 de L’Apollon français, ou l’
e des témoignages de sympathie. (Voir La Prison de Monsieur Dassoucy, Paris , 1678, in-12, pages 71 et 160, et La Jeunesse de
28 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
dministrateur ; en 1638, il se signala au siège de Brissac ; revenu à Paris pendant l’hiver de 1641, il fut rappelé à l’ouver
son opposition avec ce qu’on en raconte. Ce fut pendant son séjour à Paris , dans l’hiver de 1641, que le marquis de Montausi
capitale. Le duc et la duchesse de Montausier passèrent deux années à Paris et dans l’hôtel de Rambouillet, après leur mariag
ans l’obéissance ; il y réussit35. En 1649, il revint quelques mois à Paris , pour des affaires personnelles, mais il retourna
gagée de toute contrainte par la séparation d’avec Julie, elle inonda Paris de ses nouvelles productions et les répandit sous
illet », dit-il dans une note sur Dangeau (10 mai 1690), « était dans Paris une espèce d’académie de beaux esprits, de galant
29 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Des Comédies-Ballets. » pp. 37-44
our embellir la fête. « On a depuis représenté la Princesse d’Elide à Paris  ; mais elle ne put avoir le même succès, dépouill
ement les ouvrages faits pour des fêtes réussissent-ils au théâtre de Paris . Ceux à qui la fête est donnée sont toujours indu
nement des plaisirs, contribuerent au succès de la Princesse d’Elide. Paris en jugea moins favorablement ; il la vit séparée
vailloit, ne crut pas devoir hasarder cette comédie sur le théâtre de Paris  ; il ne la fit pas même imprimer dans sa nouveaut
tant de comédies-ballets jouées à la Cour avant d’être représentées à Paris  ». Cela est vrai : mais voilà précisément ce qui
30 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
soit, le personnage de Francischina ou Fracischina eut et conserva à Paris une popularité plus grande que celui de Ricciolin
avec une dédicace à la reine Marie de Médicis, qu’il avait pu voir à Paris , quand il était venu en France avec les Gelosi. C
ns protégés. Les Fedeli se rendirent à son invitation ; ils vinrent à Paris et y demeurèrent jusqu’en 1618, jouant soit à la
’année 1622, Giovanni-Battista Andreini fit représenter et imprimer à Paris cinq pièces de sa façon : La Sultana, L’Amor nell
u’en 1652. Est-ce en souvenir du séjour que les Fedeli avaient fait à Paris en 1624-1625, ou à l’occasion d’un nouveau voyage
31 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
bon goût, des souscriptions sous toutes les formes se sont ouvertes à Paris et dans le reste de la France. Hors Paris, ces so
s formes se sont ouvertes à Paris et dans le reste de la France. Hors Paris , ces souscriptions ne produiront rien; dans Paris
de la France. Hors Paris, ces souscriptions ne produiront rien; dans Paris , elles n’iront pas à 20,000 francs : 20,000 franc
possible maintenant, de la maison de Molière. A deux cents lieues de Paris le fauteuil où fut créé Pourceaugnac était, pour
réé Pourceaugnac était, pour les journalistes, une relique sainte ; à Paris la maison où fut conçu le Misanthrope est une mai
vec ces mots : — Il a vendu la maison de Molière. Le mal est fait : Paris aura le bonheur de jouir, dans un an, d’un exécra
32 (1844) La fontaine Molière (La Revue indépendante) pp. 250-258
onstatons ici la sollicitude du conseil municipal à doter la ville de Paris de monuments qui, dans son intention, doivent orn
stater que le conseil municipal n’a pas à lui seul le mérite de doter Paris du nouvel édifice. La première idée d’une statue
siasme public : si avant tout elles étaient pour Molière, l’enfant de Paris , l’une des gloires hors ligne de la France, l’œuv
vérité relative. D’ailleurs si, comme il en est question, la ville de Paris vient à acheter plus tard la maison qui est derri
ie, s’affaibliront, sans doute : les monuments noircissent à l’air de Paris . Malgré cela, nous regrettons que, sous notre cie
a obtenu la justice qui lui était due. Mais il est un autre enfant de Paris , qui a porté haut et loin l’honneur de l’esprit f
ble résumer le dix-huitième siècle. Voltaire n’a pas de monument dans Paris , sa ville natale. Une statue, magnifique il est v
33 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
 » Une troupe, dirigée par un nommé Ganasse ou Ganassa, était venue à Paris en 1570 et avait donné un certain nombre de repré
nces, et c’était un prix élevé pour assister à un spectacle, puisqu’à Paris , le prix d’entrée à l’Hôtel de Bourgogne ne dépas
échantillon de leur savoir-faire. Aussi Henri III, s’en retournant à Paris , emmena avec lui les Gelosi. Henri leur permit pa
et il y avait tel concours, que les quatre meilleurs prédicateurs de Paris n’en avaient pas tous ensemble autant quand ils p
résenter des jeux dramatiques dans la ville, faubourgs et banlieue de Paris , s’émurent de la redoutable concurrence que leur
e, les troupes de comédiens italiens prirent tour à tour le chemin de Paris . En 1584 et 1585, Paris reçut la visite des Comic
ens italiens prirent tour à tour le chemin de Paris. En 1584 et 1585, Paris reçut la visite des Comici confidenti, qui représ
mps de Henri IV, une troupe de comédiens italiens (les Gelosi) vint à Paris . L’Arlequin de cette troupe voulait engager le ro
34 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
amp; l’ordre le pourront permettre. Jean Baptiste Poquelin, naquit à Paris l’an 1620.a Il étoit fils & petit-fils de Tap
apelle & Bernier. Cyrano de Bergerac, que son pere avoit envoyé à Paris sur sa propre conduite, pour achever ses études,
temps-là de representer des Pieces entre amis. Quelques Bourgeois de Paris formerent une Troupe, dont Moliere étoit ; ils jo
s Precieuses ridicules. Je crois qu’il se trompe, cet ouvrage parut à Paris pour la premiere fois lors qu’il y fut établi ave
ince de Conti. En 1658.* ses amis lui conseillerent de s’approcher de Paris en faisant venir sa Troupe dans une Ville plus vo
a pendant l’été & après quelques voiages qu’il fit secrettement à Paris il eut l’avantage de faire agréer ses services &a
estime que sa Majesté* donna ses ordres pour faire venir sa Troupe à Paris . La Salle du petit Bourbon lui fut accordée pour
donna pour Nouveautez l’Etourdi, qui n’avoit point encore été joué à Paris non plus que le Depit Amoureux qui fut representé
inaire passa avec applaudissement dans le Public. Un bon Bourgeois de Paris vivant bien noblement, mais dans les chagrins que
t. Les Fâcheux,† qui parurent à la Cour au mois d’Août 1661. & à Paris le 4. du mois de Novembre suivant, acheverent de
la premiere fois devant le Roi à Versailles le 14. d’Octobre 1663. à Paris le 4. de Novembre de la même année. Ce n’est qu’u
une situation plus heureuse que celle où il étoit à la Cour, & à Paris , depuis quelques années. Cependant il avoit crû q
repos de notre Comique se fit peu après qu’il eut établi sa troupe à Paris , mais sa femme ne prit l’essor qu’après qu’elle e
d’Elide, & le Mariage forcé eurent aussi leurs applaudissemens à Paris au mois de Novembre de la même année ; mais bien
sement pour le Roi le 15. de Septembre 1665. & qu’il representa à Paris le 22. du même mois. Cette piece ne relevoit pas
uand il eut perfectionné son idée, il quitte son orgue, & vient à Paris avec sa femme, ses enfans, & l’Epinette. Il o
joüer une autre, elle la joüoit ; de se taire, elle se taisoit. Tout Paris étoit occupé de ce petit prodige ; les esprits fo
foire proche du vieux Hôtel de Guenegaud ; & elle ne quitta point Paris qu’elle n’eût gagné vingt mille écus de bien. Ell
s pour joüer la Comedie à Roüen, la Raisin prit le parti de revenir à Paris , avec ses petits Comediens, & son Olivier. Ce
il étoit en Italie. Le Roi eut la bonté de lui permettre de revenir. Paris l’avoit trouvé fort à dire ; & son retour réj
soutiennent ? Faut-il que ces Farceurs d’Italiens nous enlevent tout Paris  ? En un mot, la Troupe étoit un peu dérangée, &am
nde fois au Rainci, au mois de Novembre suivant ; & en 1665. Mais Paris ne l’avoit point encore vûë en 1667. Moliere sent
blic : Mais il sentit dès la premiere representation que le peuple de Paris vouloit plus rire qu’admirer ; & que pour vin
le Medecin malgré lui joints ensemble ramenerent tout le pêle mêle de Paris , aussi bien que les connoisseurs. Moliere s’appla
oient été tellement irritez par le Tartuffe, que l’on fit courir dans Paris un livre terrible, que l’on mettoit sur le compte
lables Critiques n’empêcherent pas le cours de l’Amphitryon, que tout Paris vit avec beaucoup de plaisir, comme un spectacle
s cessantes, il donna parole pour le lendemain ; & il courut tout Paris pour tirer vanité de la lecture de cette piece. M
Dandin fut donc bien reçû à la Cour au mois de Juillet 1668. & à Paris au mois de Novembre suivant. Quand Moliere vit qu
Chapelle ne seroit-il point l’original du Tartuffe, qu’une famille de Paris , jalouse avec justice de la reputation de Chapell
ressemble pour me désignes, & c’en seroit assez pour amener tout Paris à vôtre Piece : Je sai l’attention que l’on a sur
le fut joüée à Chambord au mois de Septembre de l’année 1669. & à Paris un mois après. Le Roi s’étant proposé de donner u
de la même année 1670. que l’on representa le Bourgeois Gentilhomme à Paris , le nombre prit le parti de cette piece. Chaque B
eau l’excuser sur le besoin qu’il avoit de menager le petit peuple de Paris qui lui apportoit son argent, il avoit commencé p
omedie parut à la Cour au mois de Fevrier de l’année suivante & à Paris , le 8. de Juillet. Moliere y tombe jusques dans l
noisseurs, & assujettissoit les autres. Ainsi il donna sa piece à Paris avec confiance l’onze de Mai 1672. *Personne n’i
-ballet, se retrouvent dans l’opera de Psyché. Celle de Moliere eut à Paris au mois de Juillet 1672. tout le succès qu’elle m
sté de deux Sœurs Religieuses, de celles qui viennent ordinairement à Paris quêter pendant le Carême, & ausquelles il don
difficultez ; quelles informations y avoit il à faire ? Le Clergé de Paris regarde les Comediens comme excommuniez & ne
ce fut le 17. de Fevrier. Je ne sais où l’Auteur de la Description de Paris (septieme Edition) a pris que ce fut le 13. mais
†Moliere ne fut pas mort, que les Epitaphes furent répanduës par tout Paris . Il n’y avoit pas un Poëte qui n’en eût fait ; ma
teurs & Actrices des autres Troupes de Comediens qui étoient dans Paris , pour n’en faire qu’une seule Compagnie. Ceux du
lle le 18. du même mois, par Monsieur le Duc de Crequi, Gouverneur de Paris , Premier Gentil-homme de la Chambre en année ; &a
reuse, que fort souvent en même jour il y a Comedie à la Cour & à Paris , sans que la Cour ni la Ville s’aperçoivent de ce
35 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
minée, le monarque et le ministre, tous deux moribonds, rentrant dans Paris pour y mourir tous deux à cinq mois de distance l
rêts et des passions qui s’agitaient sous ses yeux. Poquelin revint à Paris avec la cour. D’après des témoignages dignes de c
r son génie observateur. On ignore à quelle époque précise il quitta Paris pour parcourir la province. Des traditions peu ce
combattre en casuiste, avait plusieurs fois fait venir, à son hôtel à Paris , son ancien condisciple, chef alors de l’Illustre
se rendit à Rouen avec sa troupe, fit secrètement quelques voyages à Paris pour s’y ménager des appuis, y retrouva la protec
roupe de Monsieur, et donna sa première représentation le 3 novembre. Paris , pris à son tour pour juge de l’Étourdi et du Dép
u jeune roi : la pièce y fut envoyée, et ne fut pas moins goûtée qu’à Paris . S’il en faut croire Segrais, Molière, dont ce do
ent sont des faux. Il est possible que Françoise soit décédée hors de Paris , et il est présumable qu’Armande est née en provi
ouze ans, la fortune d’une troupe enfantine qui courait les foires de Paris et de la province. S’il eût continué ce genre de
lière venait d’expirer. Deux de ces religieuses qui venaient quêter à Paris pendant le carême, étaient alors dans sa maison,
ez brusquement l’un et l’autre, et renvoya la veuve à l’archevêque de Paris  ; mais en même temps il écrivit au prélat pour qu
ur ces entrefaites, le roi déclara qu’il voulait qu’il n’y eût plus à Paris que deux troupes de comédiens français, l’une au
is quelques années. En 1800, Kemble, le fameux acteur anglais, vint à Paris . Les comédiens du Théâtre-Français lui firent fêt
des grands auteurs et des grands acteurs qui ont illustré la scène de Paris et celle de Londres. Il était difficile qu’on n’e
B. Poquelin-Molière, sur ses ancêtres, l’époque de sa naissance, etc. Paris , 1821. Je ne saurais témoigner à M. Beffara trop
re, rédacteur de l’acte. 21. Armand de Bourbon, prince de Conti, né Paris en 1629, et mort à Pézenas en 1666. Il était frèr
selon la tradition de l’Église, qui ne fut imprimé qu’après sa mort, Paris , 1667, In-8º. 22. Claude-Emmanuel Luillier Chape
1667, In-8º. 22. Claude-Emmanuel Luillier Chapelle, né en 1616, près Paris , au village de La Chapelle, dont le nom lui fut d
aris, au village de La Chapelle, dont le nom lui fut donné, et mort à Paris en 1686. Sa liaison avec Molière et son Voyageave
lus de détail. 23. Pierre Gassendi, né près de Digne en 1592, mort à Paris en 1655. Il fut l’adversaire de la philosophie de
des « atomes du feu »). 24. François Bernier, né à Angers, et mort à Paris en 1688.Après avoir étudié la médecine, il se mit
onnue nommée la Raison. 25. Jean Hesnault, fils d’un boulanger, né à Paris , et mort dans cette ville, en 1682. On ade lui qu
26. Savinien Cvrano de Bergerac, né vers 1620 en Périgord, et mort à Paris en 1655. Il était fort brave et fort querelleur,
uels Benserade faisait des vers. 32. Charles Coypeau d’Assoucy, né à Paris vers 1604, et mort dans la même ville vers 1679,
Ovide en belle humeur, le Ravissement de Proserpine, etle Jugement de Paris  ; en outre, un volume deRimes, et quatre volumes
sont tirés du chapitre IX desAventures de M. d’Assoucy, 1 vol. in-12, Paris , 1677. On voit, dans un autre ouvrage du même aut
tre ouvrage du même auteur, intituléAventures d’Italie, 1 vol. in-12, Paris , 1699, qued’Assoucy et Molière se rencontrèrent a
la retrouva pas. 39. Pierre Mignard, né à Troyes en 1610, et mort à Paris en 1695. 40. Préfacede l’édition des Œuvres de
Œuvres de Molière, donnée par La Grange et Vinot, en huit vol. in-12, Paris , 1682. 41. Boileau regrettait qu’on eût perdu ce
vres de Segrais, tome II, pages 138 et 159 de l’édition en deux vol., Paris , 1755. 46. Paul Scarron, né à Paris vers 1610, m
t 159 de l’édition en deux vol., Paris, 1755. 46. Paul Scarron, né à Paris vers 1610, mort dans la même ville, en 1660. Raci
lecture de son Roman comique. 47. Jean Desmarets de Saint-Sorlin, de Paris , né en 1595, mort en (676. Auteur, entre autres o
régulièrement plusieurs virtuosi, et ces virtuosiétaient les gens de Paris les plus initiés dans les anciens mystères de la
es rôles de valet dans ses comédies. (Préface des Œuvres de Palaprat, Paris , 1735.) » Cette dernière réflexion est bien étran
me et grand vicaire de monseigneur le cardinal de Retz, archevêque de Paris , en présence dudit Jean Poquelin, père du marié,
de Versailles, tome III de cette édition). 62. Pierre Belllocq, né à Paris en 1645, mort en 1704. Il composa quelques pièces
is grandes actrices pour la distribution de vos rôles. Il faut être à Paris pour en résoudre ensemble, et, tâchant de faire r
nt jamais paru. » 74. Jacques Rohault, né à Amiens en 1620, mort à Paris en 1675. Il était cartésien aussi déterminé que B
istophane l’a dit : il se ronge de chagrin quand un seul poème occupe Paris durant plusieurs mois ; et l’École des Mariset ce
’affreux. Jean-Baptiste Lulli naquit à Florence en 1633, et mourut à Paris en 1687. 84. Anne de L’Enclos, ordinairement ap
n 1687. 84. Anne de L’Enclos, ordinairement appelée Ninon, naquit à Paris , en 1616, et mourut dans la même ville en 1706, â
de Châteauneuf, intitulé Dialogue sur la Musique des Anciens, in-12, Paris , 1725. Voltaire, qui tenait sans doute de l’abbé
anecdote. 93. Nouvelles nouvelles, par de Visé, IIIepartie, p. 234. Paris , 1663. 94. Œuvres de Segrais, t. II, p. 159. 9
ns que les miennes pour ce rôle. 96. Michel Boyron, dit Baron, né à Paris en 1653, mort en 1729 : auteur de l’Homme à bonne
p. 106. 107. Charles Varlet, sieur de La Grange, né à Amiens, mort à Paris en 1692. Il était fort bon comédien, et il joua d
r 1673. À monseigneur l’illustrissime et révérendissime archevêque de Paris . Supplie humblement Élisabeth-Claire-Gresinde Bé
ormation ànous rapportée, être enfin ordonné ce que de raison. Fait à Paris , dans notre palais archiépiscopal, le vingtième f
il six cent soixante-treize. Extrait des registres de l’Archevêché de Paris . Vu ladite requête, ayant aucunement égard aux p
, que nous voulons être observées selon leur forme et teneur. Donné à Paris , ce vingtième février mil six cent soixante-treiz
ème février mil six cent soixante-treize. Ainsi signé : Archevêque de Paris  ; et au-dessous : par Monseigneur, Morange, avec
ndale, il est bien difficile de ne pas rappeler que cet archevêque de Paris , Harlay de Champvallon, qui refusait la sépulture
36 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
roposition qu’on lira dans mes deux dernières pages, celle de créer à Paris un Musée-Molière permanent. Mon opinion touchant
mment, car un jeune maître de conférences à la faculté des lettres de Paris , M. Gustave Larroumet, vient de la plaider à nouv
et s’est retirée à la campagne, dans quelque village des environs de Paris . C’est la qu’une enfant voit le jour, une petite
rs que deux mois et demi qu’elle a dépassé l’âge auquel la coutume de Paris fixe la majorité. Ce beau plan réussit à merveill
de mars 1643, la veuve Béjart, qui, bien qu’absente temporairement de Paris , y a cependant conservé son domicile légal, se pr
étaient des étrangers, qualifiés amis de la famille. Tous habitaient Paris  ; la petite fille à qui ils donnaient un subrogé
our les émancipations, c’est-à-dire dix-sept ans, selon les usages de Paris  ? Si la veuve Béjart, le jour où elle fit nommer
u lieutenant civil, un haut fonctionnaire, le bras droit du prévôt de Paris , si elle avait dit à ce juge : « Les deux aînés o
la musique, est le premier opéra français régulier qui ait été joué à Paris . Le 28 juin 1669, Perrin obtint des lettres paten
ustement, Molière, qui jouissait de la plus belle salle qu’il y eût à Paris , vint à mourir. Il avait jadis été fort lié avec
i de remords, était venu dénoncer le complot au principal intéressé. Paris était alors comme affolé par la terreur du poison
ttres de monition qui furent lues au prône dans toutes les églises de Paris . Le monitoire était un avertissement donné aux fi
e l’Arsenal. Tralage était au courant des secrets de la vie galante à Paris et des scandales qui se produisaient dans les mén
du de son intérêt. M. Vitu fait partie de la Société de l’histoire de Paris , et l’on ne pourrait dire, tant il sait associer
de conciles, ont condamné la comédie et les spectacles. Le rituel de Paris de 1645 ordonne de rejeter les comédiens de la co
es comédiens de la communion, et Jean de Gondi, premier archevêque de Paris , en 1623, ajouta même à cette prescription celle
ces termes : « C’est en vertu des lois en vigueur dans le diocèse de Paris que l’archevêque Harlay refusa d’enterrer Molière
tifs autres et plus sérieux expliquent la décision de l’archevêque de Paris en ce qui concerne les funérailles de Molière. Ma
-Baptiste Poclin, dit Molière, comédien, au cimetière des morts-nés à Paris . » Ce sonnet se termine par le tercet suivant :
furent arrachés de leurs tombes et emportés loin du Panthéon, hors de Paris , en rase campagne, dans une fosse creusée à l’ava
du Journal des voyages de Monconys. L’abbé de Richelieu avait quitté Paris dans les premiers jours de mars, pour aller guerr
de conciles, ont condamné la comédie et les spectacles. Le rituel de Paris de 1645 ordonne de rejeter les comédiens de la co
es comédiens de la communion, et Jean de Gondi, premier archevêque de Paris en 1623, ajouta même à cette prescription celle d
a veuve de Molière, dans la requête qu’elle adresse à l’archevêque de Paris , pour en appeler du refus du curé de Saint-Eustac
lus large. De là la nécessité 4e recourir au roi et à l’archevêque de Paris , Harlay de Champvalon, qui prescrivit une enquête
nt bas, sans façon, la salle du Petit-Bourbon, où elle avait débuté à Paris , ce qui l’obligea de chercher asile dans la salle
P. Moliere. Piganiol de la Force, dans sa Description de la Ville de Paris , a parlé de cette salle des machines dont l’Itali
utographe. Bien qu’à cette époque la troupe de Molière, qui n’était à Paris que depuis dix-huit mois, n’appartînt point au ro
prétendus autographes de l’auteur du Misanthrope, aussi bien ceux de Paris que le premier de ceux qui ont été découverts dan
surtout l’attention sur l’idée qui le termine, le projet d’établir à Paris un Musée-Molière : « M. Gérard du Boulan élimine
lic si elle était lancée par une main autorisée. Pourquoi la ville de Paris , qui professe un culte si ardent pour Molière, ne
s la maison de la rue Richelieu où mourut Molière, et que la ville de Paris achèterait à cet effet, soit, ce qui vaudrait mie
udes critiques, p. 189. 12. Mémoires de la Société de l’histoire de Paris , t. XI, p. 256. 13. Au moment où ces lignes fure
ourdeaus pour atendre Son Altesse, où elle doit aller à son retour de Paris , désireraient de passer quinze jours dans cette v
37 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [44, p. 77] »
la vingt-neuvième position. 215. Malouin Paul-Jacques (Caen, 1701 – Paris , 1777) : chimiste et professeur au collège royal
mbre de la Société royal de Londres, et de l’Académie des sciences de Paris , mérita ces places par des connaissances très éte
ne connut point les infirmités de l’âge, et il mourut d’apoplexie, à Paris , le 31 décembre 1777 dans sa 77ème année. (Dictio
38 (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284
Laye, au mois de février, sous le titre de DIVERTISSEMENT ROYAL, et à Paris , sur le théâtre de Guénégaud, le vendredi 15 octo
vaillait, ne crut pas devoir hasarder cette comédie sur le théâtre de Paris , il ne la fit pas même imprimer, quoiqu’elle ne s
e, de M. Molière, représentée à Chambord le mardi 14 octobre[*], et à Paris le 29 novembrea de la même année. « [*]La Cour
ura l’auteur, alarmé du peu de succès de la première représentationa. Paris fut frappé de la vérité du tableau qu’on lui prés
; le lieu fut mal aisé à choisir ; et feu M. le Cardinal*, partant de Paris pour aller travailler à la paix sur la frontière,
ce qu’il y a de plus considérable dans cette comédie, qui attire tout Paris . Il y a partout mille traits d’esprit, beaucoup d
t nécessaire, deux ou trois personnes de poids, qui, à leur retour de Paris , après les premières représentations de la comédi
huit ou neuf années de vie : et ils demeuraient l’un et l’autre dans Paris . M. Baillet le croyait encore vivant en 1684*. Vo
sance d’un fait que l’on y trouve. Le voici. « [*]M. l’archevêque de Paris , directeur de l’Académie française, la mena ces j
. La comédie-ballet des Amants magnifiques ne fut point représentée à Paris après l’avoir été à la Cour, Molière ne jugea mêm
de la même année 1670, que l’on représenta Le Bourgeois gentilhomme à Paris , le nombre prit le parti de cette pièce ; chaque
rtissement de la comédie de La Comtesse d’Escarbagnas, édition in-12, Paris , 1739. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie
ie des Femmes savantes parut à la Cour avant que d’être représentée à Paris . Voici ce qu’il en dit. « Si le roi n’avait eu a
connaisseurs, et assujettissait les autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris , avec confiance, le 21 mars 1672. » Ce récit de
uvre de l’auteur. » 1. [Note marginale] Tome III, p. 23, édition de Paris de 1729. 1. [Note marginale] Vadius. a. « [*]C
et l’autre pièce imprimées dans ses Œuvres galantes, tome II, p. 512, Paris , 1665), dont Molière sut bien faire son profit da
te marginale] Lettres de Boursault, tome I, p. 219 et 120, édition de Paris , 1729.
39 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
aux, chez M. Fouquet, le 12, et ajoute : Charme, (à présent) de tout Paris , De sorte qu’il y a tout lieu de croire que la d
na la comédie, Savoir l’École des Maris, Charme, (à présent) de tout Paris , Pièce nouvelle et fort prisée, Que sieur Molière
présentée à Vaux le 16 août, à Fontainebleau le 17 du même mois, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 novembre sui
. Mais il ne faut pas que je die, Le reste de la comédie, Car bientôt Paris la verra, On n’ira pas, on y courra, Et chacun pr
à l’impromptu par les comédiens italiens, qui de son temps étaient à Paris , une ancienne comédie italienne intitulée : Le ca
harma si fort ces jours passés, À la Cour tous les mieux sensés, Dans Paris maintenant se joue, Et certes tout le monde avoue
mmes, ou Conversation comique sur les œuvres de M. de Molière, in-12, Paris , Charles de Sercy, privilège du 30 octobre 1663.
ur de Molière, et de sa Critique, par le sieur P. de la Croix, in-12, Paris , Pierre Bienfait, privilège du 13 février 1664. C
istophane l’a dit ; il se ronge de chagrin quand un seul poème occupe Paris durant plusieurs mois, et L’École des maris, et c
scène. Il sut, par le tableau de ce qui se passa dans les cercles de Paris , tandis que L’École des femmes en faisait l’entre
acte, de M. Molière, représentée à Versailles le 14 octobre 1663 et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 novembre de
admirer une maison de campagne, choisit Versailles à quatre lieues de Paris . C’est un château qu’on peut nommer un palais enc
à la danse et à la comédie, et d’artisans de toutes sortes, venus de Paris . « Le ciel même sembla favoriser les desseins de
is ne l’aurait pas fait mieux. [*] Le nouveau spectacle qui parut à Paris au commencement du mois de juin de cette année mé
pprit à jouer de l’épinette, et ensuite il quitta son orgue et vint à Paris en 1660 ou au commencement de 1661 avec sa femme,
jouer un autre, elle la jouait ; de se taire, elle se taisait. « Tout Paris était occupé de ce petit prodige ; les esprits fa
es jolis endroits qu’ils débitent, Et (sans à faux en discourir) Tout Paris y devrait courir ; Car je ne crois pas que person
entreprise. « [*]Et qu’après avoir gagné plus de vingt mille écus à Paris , elle crut que la campagne ne lui serait pas moin
jouer la comédie à Rouen, la veuve Raisin prit le parti de revenir à Paris avec ses petits comédiens et son Olivier (au comm
e de Molière, intitulée : Le Festin de Pierre, par B. A de Rochemont, Paris , in-12, Pépingué, 1665, permission du 10 mai, (si
t : Réponse aux Observations touchant Le Festin de Pierre de Molière, Paris , in-12, Gabriel Quinet, avec permission, 1665. « 
d’une comédie du sieur de Molière, intitulée : Le Festin de Pierre , Paris , in-12, Gabriel Quinet, 1665, avec permission. «
ogueb, par M. Molière, représentée à Versailles le 15 septembre, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 22 du même moi
 » *. [Note marginale] Mlle de Montpensier. *. [Note marginale] Paris , in-12, Edme Pépingué. *. [Note marginale] Voyez
e marginale] Avertissement de l’éditeur des Œuvres de Molière, in-12. Paris , 1739, tome III, p. 247. *. [Note marginale] Le
[*]. [Note marginale] Avertissement de l’éditeur de Molière, in-12, Paris , 1739, tome III, p. 247. [*]. [Note marginale] M
u’elle ne la joua qu’en province ; car on ne trouve aucune actrice de Paris qui ait porté ce nom. a. Voici le dernier articl
40 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
effréné du pouvoir absolu, qui veut qu’on bâtisse “deux citadelles à Paris pour contenir le peuple, et qui, avec ses grands
335. 5. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, 2e éditions Paris , Techner, 1857, p. 143. 6. Fléchier, Oraison fun
française au XVIIe siècle, d’après le Grand Cyrus de Mlle de Scudéry. Paris , Didier, 1858, t. II, p. 53. — On pourrait multip
pe. 10. Bazin, Notes historiques sur la vie: de Molière, 2e éditions Paris , Techner, 1857, p. 143. Aimé-Martin cite avec com
. III. 16. Mémoires complets et authentiques du duc de Saint-Simon, Paris , Hachette. Voir sur de Guiche, t. VIII, p. 221 et
20. Voir Alfred Mezières, Shakspeare, ses œuvres et ses critiques. Paris , Charpentier, 1860, p. 333 et suiv. 21. Taine, L
suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartufe, par de Saint-Prosper, Paris , 1812. Nous, avons oui dire que cet essai renferm
été impossible d’en découvrir un exemplaire dans les bibliothèques de Paris . 29. Impromptu, de Versailles, scène III ; et d
al, il voulut le mettre sur le théâtre. » (Grimarest, Vie de Molière. Paris , 1705, p. 189.) « Molière, a dit Lagrange, camar
i une représentation du Misanthrope n’est pas une de celles où « tout Paris court en foule» elle est toujours pour l’esprit u
41 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [67, p. 103-104] »
est de 1681. 250. Sévigné, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de ( Paris 1626- Grignan 1696) : épistolière française. Très
s, elle entrecoupa sa vie retirée aux Rochers (Bretagne) de séjours à Paris où elle fréquentait la Cour et des salons, comme
Fayette. On lui doit une vaste correspondance, adressée à ses amis de Paris et surtout à sa fille. Mmede Grignan, vivant en P
42 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [90, p. 134] »
re sans rames et sans voiles, qui devait remonter la seine de Rouen à Paris , en 24 heures. Sur les certificats de deux membre
ienne, pseudonyme d’Adrienne Couvreur (Damery, près d’Épernay, 1692 – Paris 1730) : tragédienne française. Fille d’ouvriers,
30) : tragédienne française. Fille d’ouvriers, elle joue en amateur à Paris , puis circule en province jusqu’à ses débuts à la
43 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
un luxe de mise en scène et une solennité remarquables. A l’heure où Paris laissait échapper cette occasion d’une soirée sup
r la comédie italienne qu’il avait eu occasion d’étudier sur le vif à Paris même. Mais qui donc voudra reprocher à Molière d’
s, tous les orages d’un nouvel amour ; c’est seulement à son retour à Paris , dans la plénitude de l’âge mûr, qu’il se décide
ongtemps, il peint tous les travers qui le frappent dans cette vie de Paris  : les modes excentriques, la prétention dans le l
c M. F. Lock, l’auteur du Guide alphabétique des rues et monuments de Paris , que c’est bien la maison de la rue de Richelieu
e Saint-Eustache, poussé par Mgr Harlay de Champvallon, archevêque de Paris  ? Qu’est-ce que cette sombre agonie comparée aux
es pour que Molière ait, dans un angle et comme dans un coin de notre Paris , sa statue ou plutôt sa demi-statue, sa fontaine.
ette date à la fois glorieuse et triste. En 1871, pendant le siège de Paris , lorsqu’arriva la date du 15 janvier, anniversair
fêta Molière comme d’habitude, au bruit des bombes que lançaient sur Paris les compatriotes de Lessing, de Schiller et de Go
t-être les jours sans pain, et, au bout de la route pleine de ronces, Paris dans le rayonnement de sa grandeur ! Il y revint,
à retenir, et nous montre déjà Molière tel que nous le retrouverons à Paris , compatissant, excellent, noble de cœur et de ten
rir et par exaspérer. Ce pauvre diable de Limousin qui tombe en plein Paris avec son bagage d’illusions et de confiance n’a c
e. Le succès de Molière à Rouen fut tel que l’écho en parvint jusqu’à Paris , et le roi lui-même voulut voir de près le comédi
er Nicomède devant le roi, la première fois qu’il jouait la comédie à Paris . Plusieurs années auparavant, « quelques bourgeoi
que part à ce choix. » Bret, dans son édition des Œuvres de Molière ( Paris , 1773), fait suivre la Vie de Molière par Voltair
uel quelques-uns d’entre eux vinrent faire oublier leurs privilèges à Paris  ». Que le Poquelin, père de Molière, descendît de
ovince, cette dure vie laborieuse, avait fait que Molière, arrivant à Paris , possédait désormais plus de sujets qu’il n’en fa
a renommée du grand comique français. Nous avons vu Molière arriver à Paris et s’y fixer. Il avait trente-six ans. Il rapport
les documents amassés en route. Ce n’était pas assez d’être établi à Paris , il y était applaudi. Quelques années auparavant,
llet, cette mention : « Le sieur de Molière et sa troupe arrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658 et se donnèrent à Monsieur
tait, avons-nous dit, les bouffons italiens si fort applaudis alors à Paris . « Molière, écrit Palaprat, vivait dans une étroi
rouvait déjà, au surplus, quelques années à peine après son arrivée à Paris , dans une période de calme qui lui permettait de
ter une situation plus heureuse que celle où il était à la cour, et à Paris , depuis quelques années. Cependant il avait cru q
tissement pour le roi, le 15 de septembre 1665, et qu’il représenta à Paris , le 12 du même mois. » Il faut prendre l’anecdot
que d’attaquer la religion et de s’en prendre à Dieu lui-même. Voilà Paris en ébullition, les ennemis sur pied, les dévots e
er aussi ; il enseignait et châtiait. De là, tant de rage. Un curé de Paris , exaspéré par Tartuffe, qui n’avait cependant pas
eur de débiter avec tant de succès sa fausse monnaie et de duper tout Paris avec de mauvaises pièces. » D’ailleurs, « s’il n
mique, ou la Défense de l’École des femmes, par le sieur de la Croix ( Paris , 1664), et Molière, sous le nom d’Alcidor, y est
ante, ou l’Art de bien aimer, dédié à Mgr le Dauphin (à la Sphère), à Paris , chez Claude Barbin, au Signe-de-la-Croix, 1669 (
gornerie. La première édition d’Élomire hypocondre est datée de 1670 ( Paris , Charles de Sercy, au Palais, au sixième pilier d
e procès intenté par Molière devant la grand’ chambre du Parlement de Paris , montrait Scaramouche enseignant et Élomire étudi
Talma accomplit plus tard. Ce portrait date de l’arrivée de Molière à Paris . Il ne joua guère en effet de tragédie qu’à cette
e pays, par l’Académie, par la nation tout entière. « Je cherche dans Paris les statues de Corneille et de Molière, s’écriait
e, Vinot, donner au public la première édition des Œuvres de Molière ( Paris , Thierry, 1682). — Représenta nombre de personnag
ourut en 1695 ; son ami, le curé de Conflans-Sainte-Honorine, près de Paris , n’eut pas le courage de l’enterrer ; il pria un
parents, élevée par une blanchisseuse, mariée à Beauval, applaudie à Paris , morte à soixante-treize ans, après avoir eu ving
lemacher ajoute encore le comédien Ragueneau, sieur de l’Estang (né à Paris en 1617, mort à Lyon en 1654), puis Croisac, Prév
t années à dater du présent dans nostre bonne ville et faux bourgs de Paris et par toutes autours telles bourgs et lieux de n
e et grand vicaire de Monseigneur le cardinal de Retz, archevesque de Paris , en présence de Jean Poquelin, père du marié, et
Schosnes, représentée par les comédiens français le 17 février 1773 ( Paris , Callot, 1773, in-8 de 48 pages). Nous trouvons e
de Molière, représenté par les comédiens français le 18 février 1773 ( Paris , Veuve Duchesne, 1773, in-8 de 64 pages). L’auteu
ud frères, 1862, in-8.) À la page 6 : —  Rencontrer à cent lieues de Paris , au fond des bois du Limousin, une société gracie
opal que se réunissait alors l’élite de la société limousine. Admis à Paris dans l’intimité de la célèbre marquise de Lafayet
et le Dictionnaire de Bayle (t. IV). 42. Publié d’après l’édition de Paris , 1670. J. Gay et fils (Turin, 1869). 43. Il faut
plaires. 52. Tome IV, p. 266 et suiv. 53. Tome IV. 54. Essais sur Paris , tome III. 55. Cailhava portait, enchâssée dans
ession de tous mes sentiments distingués.   « Frédéric Hillemacher. » Paris , 5 novembre 1856. * Voir ce que nous avons dit du
44 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
le vicomte pessimiste27. » 10 avril 1814. (Seyssins ?) * * * « Encor Paris le 24 mai 181128. » (1815) « Tu ne perds rien à
erses phrases jetées au courant de la pensée. « To send to Gina from Paris un ex. des Chiamati parlanti, 3 vol.in-8º le La H
u 28 septembre 1840, déposé, pour minute, à M. Julien Yves, notaire à Paris , comme on la voit sur son tombeau au cemetière [s
pier excepté le dernier acte. Bonne pièce de romanesque [illisible] Paris , 7 décembre 1821. leçon de Mr Daunou » Au bas d
duite in the Examiner of the 24 décembre 1821, le jour of my arrivalà Paris from London” La pièce 5 du recueil est The Beaux
onsieur Faufiel. Rue Neuve de Seine N º 6Sprès la rue de Tournon, Paris 45 B 18 juin, Corpus Domini, 1836. Je n’
mandé si à tout prendre leur Muette n’était pas supérieure à celle de Paris  ? Ce pays-ci est perdu. Ils en sont pour les arts
n nous avons été fous en donnant le goût de la musique à Londres et à Paris . Plus de musique ici, et là une musique manquant
ieur de Fiori à nº 10 Boulevard des Panoramas vis à vis le passage. Paris 47 C Hôtel Giacinta, 11 Jr [1834 ?]48 A
der à apercevoir la fausseté des 3/4 des choses que les charlatans de Paris apelent vraies. Vous savez, Monsieur, qu’il entre
e pays. Ne parlez jamais de ce que vous aurez copié, n’en parlez ni ù Paris , ni ici. Du reste que vous travailliez au B1U de
-Figeac était conservateur des manuscrits à la Bibliothèque royale de Paris , et c’était naturellement à lui qu’on devait s’ad
les papiers du marquis de Pastoret52 :   I BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris , le 9 mai 1829. Monsieur, J’ai reçu avec un véri
c d’avoir écrite de sa propre main : II . BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris , le 28 juin 1829. L ’ administrateur de la Bibli
e la Légion d’honneur, célibataire, né à Grenoble (Isère) et décédé à Paris , en son domicile rue Neuve-des-Petits-Champs, nº
taté par nous Maire, officier de l’Etat civil du premier arrondit, de Paris , sur la déclaration des sieurs Joseph Romain Colo
cture faite. Signé R. Colomb, Cayrol et Marbeau. Pour copie conforme, Paris le 29 mars 1842. Le Maire, signé Marbeau. Expédié
ire, signé Marbeau. Expédié et collationné par Me Poletnich notaire à Paris . Admis par la Commission, (loi du février 1872) l
72) le membre delà Commission, signé Lorget. Pour expédition conforme Paris le vingt décembre mil huit cent quatre-vingt-dix-
’exemple enfin qu’il se faut proposer. Cela est pour l’Archevêque de Paris , mais il ne faut jamais dire de maxime générale à
ieil évêque pieux, oncle d’Elmire âgé de soixante-dix ans et retiré à Paris , comme l’ancien évêque d’Alais, Mr de Bausset72 o
Fin de la Ire phrase comique (terme de musique). Avant de sortir de Paris j’ai distingué dans le Tartufe les phrases ou suj
, prêté pour quatre heures seulement et qui fait un bruit du diable à Paris d’où il arrive ; ce manuscrit est de Mme de Necke
ne poète provincial, très enthousiaste. Ce caractère n’est pas rare à Paris . Piron arrivant de Dijon ou Malfilâtre ou Crébill
e Molière. — Edition stéréotype d’après le procédé de Firmin Didot. À Paris , de l’imprimerie et de la fonderie stéréotypes de
bliothèques publiques de France — Départements — Tome VII — Grenoble. Paris . Pion, 1889, in-8, pp. Lx-802 + 1 f. n. ch. p. l’
Mary, femme de l’orientaliste Jules Mohl. Cf. K.O’Meara. — Un Salon à Paris . Madame Mohl et ses intimes Paris, Pion, s. d. [1
s Mohl. Cf. K.O’Meara. — Un Salon à Paris. Madame Mohl et ses intimes Paris , Pion, s. d. [1886]. in-12.) 45. Pièce autograp
nri Cordier. 53. Le célèbre sinologue Jean-Pierre-Abel Rémusat, né à Paris le 5 sept. 1788 ; mort dans cette ville le 2 juin
, Baron Dacier, né à Valognes (Manche) le : Ier avril 1747 ; décédé à Paris , 4 février 1833. 55. Je dois ce précieux documen
es complètes de Vauvenargues… Précédées d’une Notice.. par M. Suard.. Paris , Dentu, M.D.CCC.VI, 2 vol. in-S. — Bibl. Nat. R.2
— Commentaires sur Molière. Notes et introduction par Jean de Mitty. Paris , Éditions de la Revue blanche, 1897, in-18, pp. X
les. » Anne-Françoise-Hippolyte Boutet-Monvel, dite Mlle Mars, née à Paris . 9 février 1779 ; morte à Paris, 20 mars 1847.
Boutet-Monvel, dite Mlle Mars, née à Paris. 9 février 1779 ; morte à Paris , 20 mars 1847. 63. ‘William Wycherley, né vers
vres de Schiller et ornée du portrait de Shakespeare gravé sur acier. Paris , imprimerie d’Amédée Saintin, 1835, 2 vol. gr. in
haire et qu’il se donne la discipline » (La Bruyère, les Caractères, Paris , Didot. 1853, in-8, « De la Mode », p. 443.) 74.
ne, Comédie, par M ; Nericault Destouches, de l’Académie Françoise. À Paris , chez Prault père, Quay de Gêvres, au Paradis - M
grammairien, de l’Académie française, né à Verdun 9 mai 1717 ; mort à Paris , 25 janvier 1789. 95. Ce dernier mot ne se trouv
45 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
eu au dix-septième siècle cinq ou six Festin de Pierre représentés à Paris (Voir la note de Brossette au vers 130 de la Sati
bservations sur une comédie de Molière intitulée le Festin de Pierre, Paris , 1665), ni celle du prince de Conti (Traité de la
raité de la Comédie et des Spectacles selon la tradition de l’Église, Paris , 1667), ni celle de A. Bazin (Notes historiques s
tainement inspirée, sinon écrite par Molière ; Arrêt du Parlement de Paris du 6 août 1667 ; Ordonnance de Mgr Harlay de Cha
6 août 1667 ; Ordonnance de Mgr Harlay de Champvallon, archevêque de Paris , du 11 août 1667 ; Le Roi glorieux au monde, par
profession de la plus solide piété. » (Ordonnance de l’archevêque de Paris citée plus haut.) « Comme la fausse dévotion tien
haut. Voir toute la 1e partie). Il faut remarquer que l’archevêque de Paris et Bourdaloue ont pris l’un et l’autre ces idées
pressions dans la relation intitulée les Plaisirs de l’Ile enchantée, Paris , 1665 : « Le roi connut tant de conformité entre
46 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
e emploie le valet italien, mais c’est la seule fois qu’il emploie, à Paris , un valet ayant un nom italien. Pourceaugnac est
il métamorphosa le Napolitain en Limousin pour le public ordinaire de Paris , afin que le ridicule portât davantage, — toujour
ris, afin que le ridicule portât davantage, — toujours la rivalité de Paris et de la province ! — L’anecdote du gentilhomme p
ntilhomme provincial dont Loret parle à propos de la représentation à Paris (car il ne dit rien, malheureusement, de celle de
e nouvelle fonte, Dont par hasard, à ce qu’on conte, L’original est à Paris ... peut-être vraie malgré cela et s’appliquer au
me que nous connaissons. Molière ne chantait pas et ce fut lui qui, à Paris , joua le rôle de Pourceaugnac. D’ordinaire, il su
ient alors chacun terminer un acte; en tous cas, elles n’apparurent à Paris que réduites en nombre et à l’époque du carnaval,
e comédie a été corrigée par Molière avant qu’il la fît représenter à Paris . Après avoir parlé du talent merveilleux de Moliè
à Saint-Germain, 90 octobre 1689. — Représentation de Pourceaugnac à Paris , 15 novembre 1889. — Publication du divertissemen
1869, — Idem chez Ballard, in-4° 1670. — Publication de Pourceaugnac, Paris , Jean Ribou. in-12,1670. — Idem Cl. Barbin, in-12
47 (1735) Moliere (Supplément au Grand Dictionnaire historique) « MOLIERE, (Jean-Baptiste Poquelin) poëte comique, etc. » p. 82
alet de chambre tapissier du roi. Il est certain que Molière est né à Paris en 1620 dans une maison qui subsiste encore sous
XIII qu’il suivit dans son voyage de Narbonne en 1641. À son retour à Paris , sa passion pour la comédie qui l’avait déterminé
quante-un seulement : et lorsque le roi eut obtenu de l’archevêque de Paris qu’on l’enterrât en terre sainte, on porta son co
48 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
RE, étoit fils d’un Valet de Chambre Tapissier du Roi, & nâquit à Paris environ l’an 1620. Il fit ses Humanitez sous les
l y sejourna pendant l’été ; & après quelques voyages qu’il fit à Paris secretement, il eut l’avantage de faire agrèer se
r de plaire, desorte que sa Majesté donna ses ordres pour l’établir à Paris . La salle du petit Bourbon lui fut accordée, pour
qu’il profita beaucoup des Comédies que les Italiens avoient jouées à Paris (F). On a tort de dire que Monsr. Despreaux chang
e épousa la petite Bejard quelque tems après avoir établi sa troupe à Paris  ; il fit quelques pieces de theatre, & entre
qu’il profita beaucoup des Comédies que les Italiens avoient jouées à Paris .] La preuve que je vais donner sera tirée d’un Li
y a des gens qui assûrent que les Comédies Italiennes représentées à Paris servirent d’original à Moliere. Lisez ce qui suit
que d’être établie au Palais Roial, avoit fait connoître son mérite à Paris sur les fossez de Nesle, & au quartier de sai
re compliment. 27. Livre sans nom, divisé en V Dialogues, imprimé à Paris , & en Hollande l’an 1695, à la pag. 6 de l’Ed
49 (1843) Épître à Molière, qui a obtenu, au jugement de l’Académie française, une médaille d’or, dans le concours de la poésie de 1843 pp. 4-15
eurs coups triomphants Tu faillis au berceau voir mourir tes enfants. Paris demeura froid aux vers du Misanthrope. En vain, p
isant nos plaisirs. La scène ne craint plus les foudres de l’Église ; Paris qui te damnait, Paris t’immortalise. Si tu voyais
scène ne craint plus les foudres de l’Église ; Paris qui te damnait, Paris t’immortalise. Si tu voyais les Arts, courtisans
honorer. Dans la Ferté Racine, et dans Rouen Corneille Renaissent, et Paris , ô comble de merveille ! Dresse ton monument près
50 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
ue nous retrouverons plus tard en double chez Molière, à Auteuil et à Paris . C’est aussi une bourgeoise élégante, que Mme Jea
fille d’honorable homme Eustache Fleurette, marchand et bourgeois de Paris . La somme apportée par la nouvelle épouse était-e
sœurs de Sainte-Marie, « mais de celles qui viennent ordinairement à Paris quêter pendant le carême » ; c’est-à-dire, par co
nts de Poquelin. Dans les premiers mois de 1613, elle était revenue à Paris , après une longue course dans les provinces du Mi
laissée en Languedoc, et, pour cause, on n’en parlait pas. A peine à Paris , avec son frère Joseph, sa sœur Geneviève et sa m
t, on reste six ans au moins, sans le retrouver, de façon certaine, à Paris . Au mois d’avril 1651, il y reparaît pour donner
s s’arrêter une heure, et enfin revient prendre définitivement pied à Paris , où s’arrêteront les agitations de sa vie, où com
ps que Madeleine. Cette petite, dont aucune trace n’a été retrouvée à Paris , n’avait sans doute pas tardé à mourir dans un de
e spéciale du cardinal de Retz, ami de Molière et alors archevêque de Paris , qu’un seul serait publié ; puis, à bas bruit, sa
célèbre Molière, qui ne soit une fête pour la France, et surtout pour Paris , dont il est un des plus glorieux enfants. Avec C
, qu’il semblait difficile d’en avoir une plus belle, et, qu’en cela, Paris courait risque d’être surpassé. Molière vient, et
stres : Boileau, La Bruyère, madame de Sévigné, etc. ; avec lui seul, Paris se tiendrait au point culminant de l’esprit franç
Poquelin que de Molière. Sa famille, depuis un certain temps fixée à Paris , n’en était pas originaire. On a dit qu’elle vena
emblent avoir eu quelques relations avec notre grand homme, eurent, à Paris , dès que leur branche s’y fut implantée, le premi
de la Maison royale, et c’est ce qui parait l’avoir décidé à venir à Paris . Malgré son titre, malgré ses armoiries, car il s
es dans la famille Cressé. Un médecin qui fut alors des plus en vue à Paris , par sa vie, où ne manquèrent pas les aventures g
nées après. On était là dans un des carrefours les plus fréquentés de Paris , à la Croix du Trahoir, c’est tout dire pour qui
Sganarelle, y accouraient aux caves de vin muscat les plus vantées de Paris  ; les valets fripons, comme La Flèche, y venaient
Catherine Fleurette, dont le père, « honorable homme et bourgeois de Paris  », était mort depuis peu. Avait-il laissé un gros
eleine Béjard. A ce même moment de l’année 1643, elle était revenue à Paris , après une longue course dans les provinces du Mi
ions le détail, si nous n’étions pas impatients de revenir avec eux à Paris . Gallois, cependant, ne faisait pas ce qu’il avai
toire, et on le laisse sortir. A partir de ce moment, il disparaît de Paris . Où est-il ? Partout, sans qu’on puisse bien le s
plus forte, son âme plus haute. Aussi, quelle transformation, lorsque Paris le retrouve, plus de douze ans après ! Il est par
uvons encore des traces, à l’époque de leur installation définitive à Paris , en 165917. Les jours les plus mauvais pour la fo
légitimité. Après le départ de M. de Modène, elle ne pouvait rester à Paris , où leurs amours avaient eu tant d’éclat : en 164
de la révolution de Naples, au temps de Masaniello, était de retour à Paris , avec son prince sans couronne. La Béjard l’appre
les consolations dont il s’était fait si longtemps le dispensateur. A Paris , où la Béjard Pavait ramené, il en trouva plus qu
ins obligé au partage, ne se fit-il pas faute de cette consolation. A Paris , en 1650, nous lui connaissons quatre amours à la
s grandes actrices, pour la distribution de vos rôles. Il faut être à Paris , pour en résoudre ensemble, et, tâchant de faire
sque cette troupe, après une dernière tournée dans le Midi, revient à Paris , mademoiselle Menou n’en fait plus partie. Nous n
nt. La maison où je vins au monde était l’une des plus anciennes de Paris  : les savants du quartier, les gabeurs de la Croi
lie envoyait de tous côtés. Cinq ans plus tard, elle est déjà jouée à Paris , sous la forme que lui a donnée un nouveau traduc
rimond fit jouer, à Lyon, en 1658, et qu’il donna, trois ans après, à Paris , comme chef de la troupe des comédiens de Mademoi
nts. Avant que Dorimond eut fait faire à sa pièce le voyage de Lyon à Paris , de Villiers en avait fait représenter une, d’apr
étaient surtout mises en brochure, des mémoires aussi peu zélées qu’à Paris . C’eût été une mauvaise spéculation ; et, tout ca
er comment l’idée en vint à Molière. Un jour, il revenait d’Auteuil à Paris , dans son carrosse, avec le musicien Charpentier.
ajoute Boursault, que, pendant un an ou deux, on fut, à la cour et à Paris même, dans un engouement pour les papillons, qui
, avaient rang parmi les plus huppés de l’industrie et du commerce de Paris . Il y a même, à ce propos, une remarque très-curi
es, et dont cette pauvre madame de Villedieu, qu’il avait retrouvée à Paris après l’avoir connue à Narbonne, lui avait rappel
héologie de la société et maison de Navarre et doyen de la Faculté de Paris . De sa fréquentation aux Écoles sorbonniques, qu’
, moins qu’une conjecture, à peine une hypothèse. Il y avait alors, à Paris , un bon gentilhomme angevin, se targuant de scien
aité de la Comédie et des spectacles, selon la tradition de l’Église, Paris , 1667, in-8. Il n’avait pas renoncé à la comédie
er, en passant par la bouche emmiellée de l’hypocrite. L’abbé était à Paris , fort en crédit, fort bien alors en cour. Il avai
utunois ne sont pas dignes de son prosélytisme impatient. Il lui faut Paris et la cour. L’historien de l’Église d’Autun dit i
se d’Autun dit ingénument : « Une multitude d’affaires l’appelaient à Paris , où il ne pouvait se passer de faire de longs séj
, n’était pas en moins grand crédit. Peu de temps après son arrivée à Paris , il avait obtenu pour sa troupe le titre de Coméd
plaudi. Molière triomphait à Versailles ; il n’en était pas de même à Paris . Quand il y revint avec sa troupe, il y trouva le
orsque, trois ans après, il permit enfin de représenter le Tartuffe à Paris . C’est cette phase suprême, ainsi que les dernièr
répond : Il est vrai, je suis né dedans la Friperie, Qu’autrement à Paris on nomme Juiverie. Molière est souffrant ; la t
ire l’auteur, c’est un libelle infâme, que les dévots ont lancé dans Paris sous le nom de Molière, afin de le discréditer pr
t été qu’un évêque in partibus, il continua de vivre et d’intriguer à Paris et à Versailles. Il ne partit pour son évêché que
en prit d’autres ; il eut soin, comme nous l’avons vu, d’éloigner de Paris l’évêque d’Autun, d’abord par crainte de nouvelle
août, quand l’Imposteur parut sur l’affiche, il n’y avait pas foule à Paris . La plus grande partie de ceux que le départ du r
était allée aux champs. Le 20 mai, madame de Sévigné disait déjà : «  Paris est un désert. » C’était bien pis, trois mois apr
gé. Mais, en pareille circonstance, il se trouve toujours un public à Paris . D’où sort-il ? On ne sait ; mais, à l’heure dite
ent voulut le garder en otage. Son séjour n’étant pas indispensable à Paris , puisque le théâtre resta fermé jusqu’au retour d
é, écrit La Grange dans son Registre, nous fit dire qu’à son retour à Paris il ferait examiner la pièce de Tartuffe et que no
le et de la cour, le bon accueil que tout d’abord on lui avait fait à Paris  ? Il resta donc fidèle à cette affection de ses c
e, et, de l’autre, la farce, genre vrai, mais tombé, que le public de Paris , après l’avoir adoré avec Gros-Guillaume et Gault
pas de l’en rapporter. L’autre genre, la tragi-comédie, l’attendait à Paris et tenta de le séduire. Il céda presque, tant il
ur beaucoup dans le discrédit où la farce finit par tomber, surtout à Paris . Après le redoublement de succès que nos anciens
erviteur et le Serrurier, est de 1596. En 1610, on réimprima aussi, à Paris , la farce joyeuse et récréative du Galand qui a f
it : Le vendredi, 26 de ce mois, fut jouée à l’Hôtel de Bourgogne, à Paris , une plaisante farce, à laquelle assistèrent le r
ire jusqu’aux larmes. Chacun disait que de longtemps on n’avait vu à Paris farce plus plaisante, mieux jouée, ni d’une plus
uels acteurs y avaient tenu les rôles. Alors, en effet, se trouvait à Paris une seconde troupe de comédiens que le roi voulut
rriva, dit-il, qu’après la mort du roi, les comédiens n’osant jouer à Paris , tant tout le monde y était dans la consternation
Guéru, dit Gaultier Garguille, fut ainsi enrôlé par des comédiens de Paris . Une plainte, portée devant Son Eminence contre c
eu probablement qu’après l’installation définitive de notre farceur à Paris , c’est-à-dire vers 1620 ; la fille, au contraire,
la soutenait un peu sur la scène du Marais, on ne l’eût plus connue à Paris , que de nom. En province, elle vivait encore, mai
i fit des succès ; puis, un beau jour, sans rien dire, la ramena dans Paris même, non point à l’Hôtel de Bourgogne, mais au L
e carnaval, celui de 1647, cette farce, ainsi jouée, fut la gaieté de Paris . On ne parlait pas d’autre chose. Sarrasin, ayant
e, Mais vole en l’air, comme un esprit malin… Molière n’était plus à Paris , quand Sarrasin écrivait cela. Depuis deux ans dé
ie était aux œuvres castillanes. Ce ne fut que plus tard, de retour à Paris , que cette dernière mode l’assujettit ; et même,
omme. » Je ne vous réponds pas que l’anecdote ne pourrait pas être du Paris moderne ; mais elle est, suivant mon savant ami,
fallait pas s’exposer à en donner. Ce curieux épisode nous ramène à Paris . C’est là que Molière, en revenant, se trouva bel
ndant qui l’avait fait venir à Vaux et le public qui le redemandait à Paris . C’était en juillet 1661, un mois avant la représ
au, et l’y avait retenu cinq jours, sans s’inquiéter si son théâtre à Paris ne souffrait pas de cette absence. Molière ne put
nt les idées eussent si bien voulu être ailleurs, put enfin revenir à Paris , de nuit, en mauvaise voiture, et attendu, au déb
st partie pour aller à Vau {sic), pour M. Fouquet… La troupe revint à Paris , la nuit, arriva à Essone, le vendredi 15, à la p
l’Élomire, dont je possède une des copies manuscrites répandues dans Paris , lorsque les exemplaires imprimés eurent été supp
l’indique, la Cour avait eu la primeur à Versailles même, fut donné à Paris sur le théâtre de Molière, au Palais-Royal, il fi
ailles, au lieu d’une primeur, n’eut que les reliefs du régal servi a Paris . S. M. le public eut le pas sur S. M. le roi. Mol
mier mot fut pour ce beau tapage : « Si toutes les fois, dit-il, qu’à Paris un mari est trompé, l’on faisait un si grand brui
des représentations. Elles durèrent longtemps, et, après avoir amusé Paris , se perpétuèrent à l’infini dans les provinces. C
ce, il dit : Ces jours-ci, Monsieur et Madame Ont fait leur demeure à Paris , Où leur présence est assez rare, Et le divertiss
ues, tour à tour cuisinier ou cocher. Une autre histoire, qui courait Paris pendant sa jeunesse, lui fut encore, et plus cert
en 1668, les oranges de la Chine étaient de la plus coûteuse rareté à Paris et ailleurs. Il n’y avait,en effet, encore, qu’un
venait d’entendre. Il m’a dit quelquefois, depuis, qu’étant revenu à Paris , il était fâché de n’avoir pas donné cette scène
l était l’ami, avait là ses entrées libres. De La Haye n’habitait pas Paris , mais le village d’Issy. Or, Molière alors ne qui
’une branche assez modeste et assez détournée, était fort nombreuse à Paris . Quelques-uns y étaient clans une position de for
an-Baptiste Poccelin (sic) et Compagnie147, bourgeois et marchands de Paris , lequel parlant à la personne de M. Jacques de Br
le « Crépy » demandé nous apparut. C’était un marchand, bourgeois de Paris , qui, de son prénom, s’appelait Daniel et qui sig
Montagnac — et je la lui fis perdre, comme l’autre, mais tout près de Paris , dans la forêt de Bondy, sur le chemin du Raincy,
tionale : « La première édition de cette satire fut imprimée in-8°, à Paris , dans l’hôtel de Condé. Presque tous les exemplai
le contresens ne l’a pas quitté à la frontière ; il l’a suivi jusqu’à Paris , jusqu’à la Comédie Française. Avant de vous dire
ce eût fait ainsi ses preuves de succès, ne se hâta pas de la jouer à Paris . La saison n’était pas assez bonne encore. Il att
s, c’est vraiment un brillant échappé de Versailles et des ruelles de Paris . Mlle Savary joue, avec une finesse délicate et u
le contre-sens ne l’a pas quitté à la frontière. Il l’a suivi jusqu’à Paris , jusqu’à la Comédie Française. Avant de vous dire
e fait pas un conte. « Son père, dit-il de Molière, bon bourgeois de Paris et tapissier du roi, fâché du parti que son fils
lus anciens créanciers, un certain Georges Pinel, « maître écrivain à Paris  », qui, une première fois, en 1641, avait emprunt
i sait si les derniers jours ne seront pas la revanche des premiers ? Paris , quand il saura ce qui en est, peut se piquer d’h
loire du génie le plus français, le plus parisien, aura, en France, à Paris , sombré, sans échos, dans le vide. Les représenta
on l’a même dessiné un peu partout. Il ne fallait plus que le voir à Paris , où il fut bien souvent demandé. L’y voici, grâce
famille, par Eud. Soulié, conservateur adjoint des musées impériaux. Paris , 1863, in-8° de 387 pages. 2. Le Roman de Moliè
fragments sur sa vie privée, d’après des documents inédits nouveaux. Paris , 183, in-8°. 3. Le Roman de Molière. 4. Ce ch
de Molière, intitulée Le Festin de Pierre, par le sieur de Rochemont. Paris , 1665, in-12, p. 16. 45. Observations sur une c
6. Voir le récit de cette curieuse affaire, dans le Maucroix de M. L. Paris , t. II, p. 88-92. 57. Les trois Théâtres du Par
Maucroix de M. L. Paris, t. II, p. 88-92. 57. Les trois Théâtres du Paris , 1777, in-8, p. 191. 58. Gazette du 1er février
tre de 1646, et qu’on trouve dans L’Élite des bons vers choisis, etc. Paris , Cardin Besongne, 1653, IIe part., p. 12. 67. Le
nvier 1848, p. 200. 113. Acte V, scène III. 114. Les Provinciales, Paris , 1827, in-32, p. 92. 115. La Harpe et Bret avaie
bservations sur une comédie de Molière intitulée le Festin de Pierre, Paris , 1605. — Taschereau, Vie de Molière, 8e édit., p.
ais le fait ne doit pas être exact. Racine, en effet, quand il vint à Paris , n’avait plus qu’à terminer sa pièce. Voir les Mé
qu’on n’a pas remarqué jusqu’ici, les Mémoires du président Hénault. Paris , Dentu, 1855, in-8, p. 4, 5. 140. On s’obstina s
ée par M. Clément (Cor. de Colbert, n, p. ccm), de « MM. Poccelin, de Paris , qui ont une maison à Gênes », c’est de l’associa
51 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
sulter de ces lettres, que les enfants habitaient encore la maison de Paris  ; que, cependant, l’aîné, âgé de quatre ans, qui
avait plus besoin, pour s’en donner le plaisir, d’aller en cachette à Paris , Madame Scarron avait donc une raison de moins de
, Madame Scarron avait donc une raison de moins de tenir sa maison de Paris fermée ; ce qui faisait qu’on la voyait un peu. C
madame de Montespan. « Je suis résolue d’acheter une terre auprès de Paris . J’attends des nouvelles de M. Viette pour en all
plus considérable que celle qu’elle avait en Mie dans le voisinage de Paris . Le 6 septembre 1674, elle écrit à son frère qu’e
52 (1696) Molière (Les Hommes illustres) « JEAN-BAPTISTE POQUELIN. DE MOLIERE. » pp. 79-80
aller dans les Provinces jouer la Comédie. Son Père bon Bourgeois de Paris et Tapissier du Roi, fâché du parti que son Fils
ur ses Comédiens et leur donna des Appointements. De là ils vinrent à Paris , où ils jouèrent devant le Roi et toute la Cour.
qu’il emporta tous les suffrages, et obtint la permission de jouer à Paris . Il satisfit fort le Public sur tout par les Pièc
53 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
rmée faisaient tomber en leur pouvoir les places de la Franche-Comté, Paris et surtout Saint-Germain étaient sevrés des plais
oles et Lulli la musique. Le 9 novembre suivant, la pièce fut jouée à Paris , sans les intermèdes, et elle eut une dizaine de
ire jouer sa comédie, lorsqu’un de ses amis l’avertit qu’il y avait à Paris un homme qui pourrait bien se reconnaître dans le
ence, notre homme donne parole pour le lendemain, court aussitôt tout Paris , et rassemble un nombreux auditoire. La pièce fut
élevé, il eût montré quelque homme considérable de la bourgeoisie de Paris , indignement méprisé, bafoué, trompé, déshonoré p
ertaines unions ridiculement fameuses qui scandalisaient ou égayaient Paris et Saint-Germain, elle est du moins une espèce d’
baronne de La Fausse Agnès, sont incontestablement de cette lignée. À Paris et à Saint-Germain, l’éclat des plus grands noms
ne impudente vanité de bouffon6. Monsieur de Pourceaugnac fut joué à Paris le 15 novembre de la même année, ne fit pas moins
ntation donnée au public, s’exprime en ces termes : L’original est à Paris  ; En colère, autant que surpris, De l’y voir dép
itale, des ridicules d’un homme de province, qui vient par le coche à Paris , pour y épouser une jolie fille, et qui s’en reto
es, le 7 septembre de la même année. Molière, ne la fit point jouer à Paris , et ne la fit même pas imprimer. Elle parut, pour
ire de l’Abbaye de Saint-Denis, et commença l’Histoire de la ville de Paris , achevée par dom Lobineau, son confrère. 5. La m
54 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. De la Diction. » pp. 178-203
e. Que l’ordre est rare & beau de ces grands bâtiments ! Dorante. Paris semble à mes yeux un pays de romans. J’y croyois,
l’aide des maçons, En superbes palais a changé ces buissons. Géronte. Paris voit tous les jours de ces métamorphoses, Dans to
n sentir toutes les finesses de cette piece, que Votre Majesté connût Paris comme nous. Oui ! dit le Prince. Ah ! je comprend
ince. Ah ! je comprends : mais je n’ai pas besoin de me transporter à Paris pour goûter la beautés du Misanthrope, du Tartufe
t-quatre heures, & dans une seule ville. La piece est applaudie à Paris dans sa nouveauté ; d’accord : mais la province,
prend la liberté de siffler la piece, en attendant qu’on la méprise à Paris  ; ce qui ne peut tarder d’arriver. La raison en e
La raison en est toute simple ; la voici : ce qu’on appelle filles à Paris , est continuellement à l’affût pour saisir le ton
55 (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180
la mémoire de nos pères. Septembre 1852. I. Molière naquit à Paris le 15 janvier 1622. Ses parents, nommés Poquelin,
ient. IV. Poquelin, en 1645, à vingt-trois ans, est de retour à Paris et reçu avocat, suivant toute apparence ; mais au
an à Racine. Après ces cinq années de courses, en 1650, il reparaît à Paris , et s’y essaie de nouveau par quelques représenta
déjà des Précieuses. Nos comédiens, cependant, ne restèrent point à Paris . Qu’était-il besoin d’eux dans cette comédie de l
t le temps de la Fronde), après quoi l’on commença à se rapprocher de Paris . Molière voyait sa troupe assez formée pour oser
omptait bien que de là leur renommée ne manquerait pas de s’étendre à Paris , et même de les y faire désirer. Ce séjour, au mi
l’été de 1658, et Molière fit, dans cet été, plusieurs voyages seul à Paris , pour s’y préparer la protection de Monsieur. Cet
ar l’entremise du prince de Conti, lui ayant été assurée, il rentra à Paris au mois d’octobre de la même année, et sa troupe,
âgés,raconte Perrault, qu’ils avaient vu le théâtre de la comédie de Paris de la même structure et avec les même décorations
n verrait ce que c’est que la vraie comédie ! Dès son établissement à Paris , il s’essaie dans des voies nouvelles ; il donne
té, et pendant que le mariage du roi tenait toute la cour éloignée de Paris ; mais la ville, pendant ce temps, n’en fit que mi
rois années (1658-1661) qui viennent de s’écouler depuis son retour à Paris , furent les moins troublées de sa vie, et nous ne
mais ce voyage est douteux. Ce qui est certain, c’est que de retour à Paris , s’il en partit, la première pièce qu’il donna fu
e qui devait peu leur plaire. L’apparition de cette comédie fut, dans Paris , comme une sédition: il y eut des querelles, des
es misères ! Retiré à Auteuil, ou caché dans son cabinet de travail à Paris , que faisait-il ? il pleurait le grand divertisse
s autres troupes comiques et tragiques (et il y en avait alors cinq à Paris ), se prirent à jouer à l’envie des Festin de Pier
oute : Ce sont eux que l’on voit, d’un discours insensé Publier dans Paris que tout est renversé, Au moindre bruit qui court
rs sa comédie de l’Amour Médecin. La pièce plut, fut applaudie, tout Paris y courut. Les médecins étaient depuis longtemps u
c une exactitude qui avait été inconnue jusque-là sur les théâtres de Paris . » Que devait-être une troupe de. comédiens, hab
t lui qui en faisait les honneurs, car depuis la rentrée de Molière à Paris , ils ne s’étaient plus quittés. Malgré sa vie lég
faisait son malheur et qu’il ne pouvait point s’empêcher d’aimer. À Paris , dans ses troubles divers, il allait s’épancher a
Il fut repris de sa toux, de sorte que le Sicilien ne put être joué à Paris qu’au mois de juin, c’est-à-dire cinq mois plus t
1667, le roi étant en Flandre, la pièce fut représentée en public, à Paris , devant un auditoire immense. Molière en avait ob
sté de deux sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinairement à Paris quêter pendant le carême, et auxquelles il donnai
56 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
ur d’une Vie de Molière. Elle fut représentée pour la première fois à Paris , sur le théâtre du Petit-Bourbon, le 18 novembre 
Le Cocu imaginaire Sganarelle, ou le Cocu imaginaire fut joué à Paris le 28 mai 1660. Malgré la beauté de la saison et
de la saison et le mariage du roi qui retenait toute la cour hors de Paris , cette pièce fut très suivie : elle eut plus de q
, et l’envoya en province à un de ses amis. Il en courut bientôt dans Paris des copies incomplètes et défigurées. Neufvillena
longtemps encore après sa mort, ont reproduite toutes les presses de Paris et de l’étranger. L’insouciance de Molière à cet
ux et des détracteurs. Ne pouvant nier des succès qui avaient eu tout Paris pour témoin, ils essayèrent du moins d’en attaque
après la première. Le 4 novembre suivant, les Fâcheux furent joués, à Paris , sur le théâtre du Palais-Royal, et la ville joig
comprenant Les Fâcheux. Ordinairement, pour représenter ces pièces à Paris , on en retranchait les intermèdes. 7. Le fait es
57 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
publique par d’extravagantes démonstrations de mécontentement1. Tout Paris , enfin, vit et voulut revoir cette singulière piè
ercle. On se met à parler d’une comédie nouvelle qui fait courir tout Paris  : ceux-ci en disent du bien, ceux-là en disent du
se qui était entretenue par le prince d’Orange. Il revint cependant à Paris  ; mais on est forcé de dire que la cause de son r
heure, et fut camarade de Molière dans la province. Arrivé avec lui à Paris , en 1658, il s’y fit beaucoup de réputation ; et,
e cette troupe quitta la province avec son chef, pour venir débuter à Paris , en 1658. Après la mort de Molière, de Brie fut c
ère lorsqu’il partit pour la province, et revint avec lui, en 1658, à Paris , où elle eut beaucoup de succès. Racine, frappé d
et en Provence, prit parti dans la troupe de Molière en 1645, vint à Paris avec lui, en 1658, et y joua les reines et les so
ante-cinq ans ; cela est impossible. Mademoiselle de Brie, qui vint à Paris avec Molière en 1658, fut conservée à. la réunion
une débutante qui ne fut pas reçue. Elle le fut si bien, qu’arrivée à Paris en 1658 avec la troupe de Molière, Mademoiselle H
, etc. [Hauteroche] Noël le Breton, sieur de Hauteroche, né à Paris en 1617, y mourut en 1707, âgé de 90 ans. Fils d’
l fut directeur d’une troupe en Allemagne, et enfin il vint débuter à Paris . Dès 1654, il était au théâtre du Marais ; il pas
vant le roi est indécise. Le 4 novembre suivant, la pièce fut jouée à Paris , et elle y eut dix-neuf représentations consécuti
58 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401
es pendants d’oreille d’émeraude les jours que M. de Soubise allait à Paris  ; elle fit suivre le roi un de ces jours-là, et i
nt passé toute la journée ensemble, La femme (la reine) était venue à Paris  ; on dîna ensemble. On ne joua pas en public. Enf
 Si Quanto avait bridé sa coiffe à Pâques de l’année qu’elle revint à Paris , elle ne serait pas dans l’agitation où elle est.
59 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris À la fin de l’année où l’on représenta La Rosa
dans son personnel, la troupe de l’Illustre Théâtre, qui avait quitté Paris une douzaine d’années auparavant ; mais elle ne p
e ne différaient notablement que par le langage. Molière, de retour à Paris , rapportait dans son bagage deux grandes pièces d
ait les provinces, et auxquelles il ne renonça pas en s’établissant à Paris . Ce n’était pas seulement le sujet qui était le p
urée fidèle à ces libres divertissements dont les Italiens avaient, à Paris , le privilège presque exclusif. Elle en profita ;
la salle du Petit-Bourbon, à l’époque où Molière revint s’installer à Paris , avaient dans leur répertoire les mêmes œuvres, m
uer dans le midi de la France, et avant qu’Arlequin, ayant la vogue à Paris , se fût emparé de ce rôle et de tant d’autres. Ce
60 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [55, p. 89] »
28) : sculpteur français. (Wikipédia). 234. Saurin, Bernard Jossph ( Paris , 1706 – 17 novembre 1781), avocat au Parlement de
rnard Jossph (Paris, 1706 – 17 novembre 1781), avocat au Parlement de Paris , secrétaire du duc d’Orléans, se décida, grâce à
61 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [52, p. 86] »
Seignelay. Le P. Bouhours devint surtout célèbre lorsqu’il se fixa à Paris , au collège de Clermont (1666). Ce bel esprit, un
de Bossuet, de la Fontaine, de Boileau. […]. Le P. Bouhours mourut à Paris , le 27 mai 1702. […] (DLF XVII, p. 193-195).
62 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
us qu’elle n’en diffère aujourd’hui. À mesure que l’on s’éloignait de Paris et de Saint-Germain, on était de plus en plus fra
capitale. Il est presque vrai de dire qu’à cent lieues de distance de Paris , on en était à cent ans en arrière pour tout ce q
s bien surannées ou quelques tracasseries bien ridicules. Un voyage à Paris était une plus grande affaire qu’aujourd’hui le t
te, si, en leur présence, on tombait aux mains de quelque habitant de Paris , spirituel et railleur, qui se fît un malin plais
nciaux de son temps, qui avaient fait, comme elle, le grand voyage de Paris . Molière ne pouvait manquer d’en avoir rencontré
n’est pas seulement une provinciale qui a rapporté les grands airs de Paris dans Angoulême, pour les y singer grotesquement.
aïve rusticité de ces deux valets, qui, n’ayant pas fait le voyage de Paris , parlent et agissent tout comme auparavant, ne pe
me hypocrite et au jargon quintessencié qui venait de faire rire tout Paris à leurs dépens. Mais devaient-elles pour cela dev
1674 fut reproduite plusieurs fois à l’étranger ; elle le fut même à Paris , en 1675, par les mêmes libraires, Thierry et Bar
-on l’audace de Thierry et de Barbin, deux libraires considérables de Paris , qui, deux ans seulement après la première représ
vent, et j’imprime, en variantes, celui de 1674, d’après l’édition de Paris , 1675, purgée de toutes les fautes typographiques
fois, le 10 février 1673, non à Versailles ou à Saint-Germain, mais à Paris , sur le théâtre du Palais-Royal ; et il ne fut jo
raducteur. Si vous voulez savoir la manière de l’homme, Il applique à Paris ce qu’il a lu de Rome. Ce qu’il dit en françois,
63 (1717) Molière (Grand Dictionnaire historique, éd. 1717) [graphies originales] « article » p. 530
MOLIÈRE (Jean-Baptiste Poquelin) Poète Comique, était de Paris , et ses Pièces de Théâtre lui ont acquis une répu
la Comédie, que la Vie Bourgeoise et commune , et Molière a joué tout Paris et la Cour. Il est le seul parmi nous, qui ait de
64 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [14, p. 44-45] »
e citoyen Bouilly, dans son Abbé de l’Epée 155 qui a fait courir tout Paris , semble avoir pris à tâche d’outrager le bon sens
es ait seulement fait courir dans le monde. Et on le dit aussi bien à Paris qu’à Rome. (Furetière, 1690). 157. Traduction :
65 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [50, p. 83-85] »
e à Molière un convoi magnifique. Mais M. du Harlay228, archevêque de Paris , ne voulut pas permettre qu’on l’inhumât. La femm
us se tenir. 228. Harlay, François de (1625–1695) : archevêque de Paris , duc et pair de France, proviseur de Sorbonne et
66 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
te au temps de Molière (à partir de 1662) Les Italiens revinrent à Paris en 1662, et cette fois s’y établirent d’une maniè
roupe italienne comprenait la plupart des artistes qui avaient quitté Paris au mois de juillet 1659 : Trivelin, le Pantalon T
mais il nous sera permis de rétablir les noms de la troupe qui joua à Paris de 1662 à 1671. Le premier est intitulé Arlecchin
nni acquirent une importance exceptionnelle sur le théâtre italien de Paris , grâce au talent supérieur du Trivelin Locatelli
t au bas de son portrait gravé par Hubert : Bologne est ma pairie et Paris mon séjour. J’y règne avec éclat sur la scène com
67 (1802) Études sur Molière pp. -355
euille, ont déjà proposé aux libraires de Hambourg, de Strasbourg, de Paris , les Commentaires que je vous demande ; ils n’ont
indre dans ses diverses attitudes5. Pocquelin accompagne Louis XIII à Paris , à Narbonne, dans les camps ; partout il voit l’i
tions des comédiens italiens, qui, de temps en temps, se montraient à Paris , et puiser, dans leurs canevas informes, les maté
, même auprès des Muses. Année 1658. Établissement de Molière à Paris . — L’Étourdi ou les Contre-temps ; Le Dépit amour
aval à Grenoble, l’été à Rouen ; de-là il fait de fréquents voyages à Paris , et, grâce à la protection du Prince de Conti, qu
par année. L’Étourdi ou les Contre-temps. Cet ouvrage parut à Paris le 3 novembre, on y reconnaît des détails, des pr
solette sent mauvais. Le Dépit amoureux. Cette pièce parut à Paris , pour la première fois, au commencement de décemb
us rends, ni le couteau de six blancs, ni le demi-cent d’éguilles de Paris , que se rendent Marinette et Gros-René ; pas même
cieuses ridicules ne furent pas jouées en Languedoc avant de l’être à Paris , comme le prétendent plusieurs personnes trompées
du temps de Molière, caractérisaient les femmes les plus célèbres de Paris , pouvaient avoir pris naissance dans la province 
a pièce Les Précieuses ridicules ; il suppose ses héroïnes arrivées à Paris depuis peu, et, en feignant de peindre les Précie
emps encore où le mariage de Louis XIV attirait le beau monde hors de Paris . Mais nous avons résolu, le lecteur et moi, de ne
es ? Oui, puisque Molière les retrancha lorsqu’il donna son ouvrage à Paris , et qu’il eut cependant le plus grand succès ; pa
un moyen sûr pour ramener la fortune, d’imiter Scaramouche, de priver Paris de leur présence, d’aller bien loin, et de reveni
ner bien vite une nouveauté. La comédie de L’École des femmes parut à Paris le 26 décembre. Elle mit le comble à la jalousie
vient pas un autre homme, n’attendez rien de lui. Lorsque j’arrivai à Paris , Bonneval était en possession du rôle d’Arnolphe 
el les délivre des perpétuels. Que dirons-nous d’Horace ? qu’arrivé à Paris depuis peu, il n’est pas annoncé comme y apportan
s, fait réellement en impromptu, paraît à la cour le 14 octobre, et à Paris le 4 novembre suivant. Lisez la pièce de Molière
ient Sganarelle à rompre son mariage. Molière, en donnant l’ouvrage à Paris , leur substitua la demoiselle promise à Sganarell
cin fut donné sans succès à Versailles, le 15 septembre, et réussit à Paris , le 22. Nous trouverons dans l’ouvrage, des chose
non, il était sans doute bien surprenant que la défense de la jouer à Paris ne fût pas levée. L’historique des persécutions s
de mythologie ; ce n’est plus à Thèbes que la scène se passe, mais à Paris , eh ! dans quel monde ? Les pauvres diables de ma
suivant, deux mois avant George Dandin, donné pour la première fois à Paris , le 9 novembre : c’est donc à tort que plusieurs
nes curieuses de voir Molière de près, et qu’il amenait sans façon de Paris . D’un autre côté, sa troupe, toujours plus avide,
uvelle pension littéraire à son protégé, et permit définitivement que Paris pût jouir du chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre. Il y
A GLOIRE DU VAL-DE-GRACE, poëme. Imprimé pour la première fois, à Paris , chez Pierre le Petit, en 1669.   Lisez le poème.
ner les antiques d’Orange et de Saint-Remi… ; et que, réunis depuis à Paris , ils se donnèrent tous deux des preuves de leur a
ourceaugnac. Cette pièce fut jouée à Chambord, le 16 octobre, et à Paris , le 15 novembre. Elle eut le plus grand succès ;
royal. L’auteur ne jugea pas à propos de l’exposer sur le théâtre de Paris , pas même de la faire imprimer, elle ne le fut qu
tilhomme. Cette comédie fut jouée à Chambord, le 14 octobre, et à Paris , le 29 novembre. Jamais pièce n’offrit un plus va
ans Le Pédant joué de Cyrano ; mais chez celui-ci l’action se passe à Paris où Corbinelli raconte à Granger que son fils, en
a La Comtesse d’Escarbagnas, comédie en un acte, qu’il fit paraître à Paris , avec succès, en juillet 1672. Voilà l’ouvrage do
iens, parlent diversement sur les difficultés que fit l’archevêque de Paris pour accorder la sépulture à Molière ; ce qu’il y
mation à nous rapportée être ensuite ordonné ce que de raison. Fait à Paris , dans notre palais archiépiscopal, le vingtième f
vingtième février mille six cent soixante-treize. Signé Archevêque de Paris . * ORDONNANCE de monseigneur de Harlay , Archev
que de Paris. * ORDONNANCE de monseigneur de Harlay , Archevêque de Paris , pour l’inhumation du corps de Jean-Baptiste Pocq
, que nous voulons être observées selon leur forme et teneur. Donné à Paris , ce vingtième février mille six cent soixante-tre
ème février mille six cent soixante-treize. Ainsi signé Archevêque de Paris , et au-dessous par monseigneur Morange, avec para
ora dolor 85 . Nous devons les vers suivants à Chapelle : Puisqu’à Paris on dénie La terre après le trépas À ceux qui, du
’un libraire de Strasbourg, conduit chez moi par M. Royez, libraire à Paris , m’avertit que Art…, de folliculaire mémoire, lui
Préville, dans un de ces pèlerinages trop ordinaires aux comédiens de Paris , jouait à Marseille le rôle de Mascarille, les Pr
aissait l’avoir destiné, puisqu’il dit un jour à quelques amis : « Si Paris était dans la campagne, ce serait un beau village
elle confondait avec le poète de ce nom était un marchand parfumeur à Paris . 79. Il y a dans la première scène quelques trai
fait la lecture d’une pièce française, lut, dans son dernier voyage à Paris , chez madame de ***, Le Malade imaginaire ; il re
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150
amoureux de Julie, jeune veuve qui voyage avec lui. A leur arrivée à Paris , Julie prie Damis de lui indiquer un hôtel garni.
ue depuis sa plus tendre enfance. Il lui dit que Damis l’a conduite à Paris sans l’en prévenir, pour lui causer une agréable
il est enchanté qu’elle ait quitté Bourdeaux ; &, pour la fixer à Paris , il veut absolument l’y marier : de sorte que Dam
riant : La fripponne ! comme elle est rusée ! 32. Quinault, né à Paris en 1635 ; il étoit fils d’un Boulanger : c’est à
69 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX & dernier. Des causes de la décadence du Théâtre, & des moyens de le faire refleurir. » pp. 480-499
pes, celle que nous avons gagnera moins ». C’est encore une erreur. A Paris une seconde troupe françoise ne sauroit faire auc
le les jeunes Acteurs s’exerceront avant de figurer sur le théâtre de Paris . Ce sera fort bien fait. Mais lorsque nous aurons
ttes, même dans les plus grandes chaleurs, & lorsque la moitié de Paris est à la campagne. Il est vrai que les représenta
arle enfin plus au cœur & à l’esprit qu’aux oreilles : alors tout Paris dira avec Fontenelle en y courant : Je vais au gr
par ce moyen aucuns faux frais à faire. On peut objecter à cela qu’à Paris chaque exemplaire coûte trente sols, & qu’on
70 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
Beltrame Que les Fedeli soient revenus ou ne soient pas revenus à Paris après 1625, pendant les dix-huit années que régnè
, s’étant séparé des Fedeli, forma une troupe avec laquelle il vint à Paris où il reçut un très favorable accueil de la cour
s avons, dit Riccoboni, une estampe de cet habit dessinée et gravée à Paris par Le Bel, qui était un fameux dessinateur itali
71 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
omme, achetant à la campagne un sauvageon de fillette, l’apportant à. Paris , le plantant dans son jardin, contre son mur, et
place qui manque; dans tous ces théâtres en chambre qui font foule à Paris , il y aurait où mettre des montagnes de morale. E
ns, derrière les vieux décors. Est-ce qu’on sait ce qu’il y a dans ce Paris ? Voyons! Pour combien en voulez-vous ?... Ah ! ce
it un fait assez piquant. Vous savez que Don Quichotte est éternel: A Paris les Don Quichotte sont rares, mais il nous en tom
sses (je crois qu’il va remporter la sienne), il me disait hier : « A Paris , vous n’avez plus d’honnêtes femmes ! pas une !»
ussi : un beau ! un mien cousin de Landerneau qui a fait le voyage de Paris tout exprès, pour voir des Thèses. Il en voit, Di
72 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
re, étoit fils d’un valet de chambre Tapissier du Roi, & nâquit à Paris environ l’an 1620. Il fit ses Humanitez sous les
l y sejourna pendant l’été ; & après quelques voyages qu’il fit à Paris secretement, il eut l’avantage de faire agrèer se
de plaire, de sorte que sa Majesté donna ses ordres pour l’établir à Paris . La salle du petit Bourbon lui fut accordée, pour
e épousa la petite Bejard quelque tems après avoir établi sa troupe à Paris  ; il fit quelques pieces de theatre, & entre
73 (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243
t si souvent retourner à l’École tout ce qu’il y a de gens d’esprit à Paris . Ce fameux auteur de L’École des maris, ayant eu
fait jouer ces deux pièces à la campagne, il voulut les faire voir à Paris , où il emmena sa Troupe. Comme il avait de l’espr
que temps joué de vieilles Pièces et s’être en quelque façon établi à Paris , il joua son Étourdi et son Dépit amoureux, qui r
, et c’est ce qui fera réussir sa Pièce. Il voudrait que la moitié de Paris en vînt dire du mal, ce serait un signe qu’elle n
74 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
ur et tout à la fois riante et sérieuse, qui a enchanté Versailles et Paris , après avoir enchanté la province par les grâces
ge dans son registre, « le sieur de Molière et sa troupe arrivèrent à Paris au mois d’octobre 1658 et se donnèrent à Monsieur
u faut-il dire que M. de Modène, son premier amant, s’il l’a connue à Paris , la mit par orgueil au théâtre ? Madeleine Béjart
ille majeure usante et jouissante de ses biens et droits, demeurant à Paris , rue Saint-Thomas du Louvre, paroisse Saint-Germa
, son frère, la moitié d’une place sise au faubourg Saint-Antoine lès Paris , grande rue dudit lieu, à elle appartenant, savoi
cuillères et quatre fourchettes à trois fourchons, le tout poinçon de Paris et pesant ensemble la quantité de trente-cinq mar
n. III. La du Parc Mlle Du Parc mit le feu aux quatre coins de Paris et de Versailles, mais ce qui lui donne sa renomm
porté et inhumé aux religieux carmes des Billettes de cette ville de Paris , présents au convoi Régnier, marchand apothicaire
uve. Cette mort inattendue fit quelque bruit au théâtre et dans tout Paris . Qui le croirait aujourd’hui ? Racine fut accusé
On ne voit guère alors d’autre école pour la comédie, et, du reste, à Paris aussi bien que dans les troupes de campagne, tout
a en ce monde de mieux en mieux, et, de quelque côté qu’on se tourne, Paris ne fut jamais si beau ni si pompeux qu’il est auj
, Paris ne fut jamais si beau ni si pompeux qu’il est aujourd’hui. » Paris est de plus en plus pompeux, mais je doute qu’en
pour la peinture du poète pâtissier Ragueneau : « Il ne trouva dans Paris aucun poète qui le voulût nourrir à son tour, et
nnets, voulût lui faire crédit seulement d’un pâté. Il sortit donc de Paris avec sa femme et ses enfants, lui cinquième, en c
sur le journal de Dangeau, fit grand bruit, et eut un grand succès à Paris , avant d’être joué à la Cour. Chacun reconnut M. 
our Son Éminence elle-même, il ne se doutait pas que ce petit coin de Paris , l’aile du Palais-Cardinal, — à l’angle de la rue
s, M. de Molière manda de la campagne le sieur Baron, qui se rendit à Paris après avoir reçu une lettre de cachet, et eut une
l y avait donc trente-quatre ans que Mlle Beauval jouait la comédie à Paris  ; c’était déjà quelque chose, et comme elle était
it fait diverses perquisitions depuis lundi 8 jours en cette ville de Paris et enfin aurait découvert que ladite Angélique Bo
it pas lui marcher sur le pied. Sauval, l’historien des antiquités de Paris , les frères Parfaict, les historiens du théâtre,
Croisy et sa femme entrèrent dans la troupe comme acteurs nouveaux à Paris . »La femme était une comédienne de campagne, nomm
75 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
ême en mettant à part le peu d’intérêt de la pièce, on considère qu’à Paris elle se montra dépouillée de tous ces brillants a
texte qui fut à la fois complet et pur. Un exemplaire de l’édition de Paris , dont la Bibliothèque du roi a fait, récemment l’
Combidado de piedra (Le Trompeur de Séville et le Convié de pierre). Paris avait couru en foule à cette pièce où une statue
un de ces exemplaires ou du moins une copie manuscrite fut envoyée de Paris en Hollande ; car Jacques Le Jeune, libraire d’Am
sque aussi inconnue que les exemplaires non cartonnés de l’édition de Paris , puisque, cinquante ans après (en 1730) Voltaire
76 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
, ensuite à Béziers, pendant la tenue des états de Languedoc, enfin à Paris , le 3 décembre 1659, sur le théâtre du Petit-Bour
s que eut été représenté en province et cinq ans avant qu’il le fût à Paris , Quinault fit jouer une comédie intitulée L’Amant
Conti y tenait les états de Languedoc. Elle fut ensuite représentée à Paris , sur le théâtre du Petit-Bourbon, les uns disent
77 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXV » pp. 402-412
it fort assidûment visitée aux eaux de Vichy et qui n’osa la revoir à Paris , étant là sous le joug de la maréchale de Casteln
de madame de Sévigné avec sa fille, madame de Grignan étant arrivée à Paris le 22  décembre 1676, et n’étant retournée qu’au
fâcheuse, madame de Grignan étant venue passer 22 mois avec sa mère à Paris , depuis la fin d’octobre 1677 jusqu’en septembre
78 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
s — des barbouilleurs : Rétif de La Bretonne et Mercier du Tableau de Paris  ! Des maîtres dans l’art d’écrire, nous passons a
uite, obéissante à la parole nouvelle. On a fait bien des tableaux de Paris … la plus ressemblante de ces images est, à coup s
du dessein le plus formé et le plus net. Quoi qu’on fasse à propos de Paris , vous aurez toujours la même ville, avec les diff
copie avec rage ; elle est sublime et elle rampe ! Un aigle… un ver ! Paris , la ville éternelle, non pas par les murailles qu
fini, et toujours reconnaissable, une fois qu’on l’a vue. On dira, de Paris , dans cent ans, comme aujourd’hui, de Paris, la v
u’on l’a vue. On dira, de Paris, dans cent ans, comme aujourd’hui, de Paris , la ville active, ingénieuse, orageuse et turbule
tions au hasard ! Mais quoi ! si l’on peut dire, aujourd’hui, comment Paris sera vu et jugé dans cent ans, nul ne peut savoir
et qui a donc un très grand mérite ; Théramène, la terreur des maris. Paris , au temps de La Bruyère, est le singe de la Cour.
dée, pas plus que nous n’avons l’idée aujourd’hui des salons du vieux Paris , dans lesquels les moralistes ont trouvé les héro
u’aux limites suprêmes, avec tant de bonne volonté et de courage, que Paris attristé apprit en même temps la maladie et la mo
ntendait, de vos hameaux fleuris, Le tonnerre lointain du canon, dans Paris . Laboureurs obstinés, semeurs que rien n’effraie,
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Choix du lieu de la Scene. » pp. 76-93
elle, Léonor, Valere, peuvent fort bien s’entretenir dans les rues de Paris , & y avoir de légers démêlés, sans blesser le
e ville, transportez l’action à la campagne. On trouveroit ridicule à Paris qu’un pere ordonnât d’apporter des chaises devant
cains ne sauroient pas qu’il fait l’ornement des cercles brillants de Paris , & croiroient qu’il végete encore dans la pro
que nos Auteurs modernes ne peuvent point prendre leurs personnages à Paris , ou dans les maisons brillantes qui parent ses en
80 (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26
n. La piece ayant eu, comme tout le monde fait, l’approbation de tout Paris , on l’envoya à la Cour, qui étoit alors au voyage
ie Italienne à l’inpromptu, intitulée l’Amante Tradito, & jouée à Paris sous le nom de Lelio & d’Arlequin, valets dan
l’affaire. M. & Mde. de Montalant sont morts à Argenteuil près de Paris , sans postérité. XIX. Le sieur Béjart, beau
cessaire, mais indifféremment dans tous ceux que Béjart remplissoit à Paris . XX. Moliere dans sa Comédie du Bourgeois G
81 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
cité la troupe de Ganassa, qui fit, à ce que l’on croit, connaître à Paris le premier Tabarino et le premier Pagliaccio. Les
e édition avec une traduction française en regard du texte italien, à Paris , chez Matthieu Guillemot, en 1609. En voici le su
e de quarante-neuf mille quatre cent quatre livres dix-huit sous.   À Paris , le………..février    1671.   Signé : le duc d’Aumo
uel : il appartient à la période de 1683 à 1697, où Mezzetin jouait à Paris  ; il est ainsi raconté dans l’Histoire de l’ancie
82 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
essions que le roi avait faites sur madame Scarron, à son entrée dans Paris , étaient peut-être de celles que la beauté et la
ieurs l’ont attribuée aux sermons prêches pendant le carême de 1669 à Paris , par le jésuite Bourdaloue. Ce sont deux erreurs.
avec leur nourrice, chacun séparément, dans une petite maison hors de Paris  ; elle n’allait les y voir qu’à la dérobée ; elle
s nuits chez un de ces enfants malades dans une petite maison hors de Paris . Je rentrais chez moi le matin par une porte de d
83 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
outefois elle avait été représentée auparavant avec un grand succès à Paris , sur le théâtre du Palais Royal, le 10 février 16
’un singulier procédé. Un quidam, qui avait vu représenter la pièce à Paris , osa se charger de refaire de mémoire l’œuvre de
uvre1. Diverses éditions plus ou moins fautives se succédèrent tant à Paris qu’à l’étranger, jusqu’à la bonne et authentique
84 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143
glois. Cette piece parut à Vaux & à la Cour avant d’être jouée à Paris . Les Auteurs qui en ont parlé ne sont pas d’accor
on pour Fontainebleau, le 27 Août de la même année15. Elle ne parut à Paris que le 4 Novembre suivant. Un acte d’une piece jo
, cabarets, jeux de boules & autres lieux de votre bonne ville de Paris , en ce que certains ignorants, compositeurs desdi
e bruit qui court, De la Royne, du Roy, des Princes, de la Cour ; Que Paris est bien grand, que le Pont-neuf s’acheve ; Si pl
85 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
on moins redoutable que n’avait été Pascal. Un avocat au parlement de Paris , un sieur de Rochemont, s’oublia jusqu’à remontre
nfer. Dans le Convié de pierre, que les comédiens italiens jouaient à Paris , vers 1657, la dernière scène de la pièce montrai
ierre ou l’Athée foudroyé, jouée à Lyon en 1658 et un peu plus tard à Paris , n’a pas non plus très bien observé la gradation
rois, sans pouvoir l’affirmer, que le Don Juan italien qui fut joué à Paris vers 1657 était Il Convitato di pietra del Giacin
86 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
0 madame de Montespan reçut ordre de quitter la cour et fut envoyée à Paris 105 ; en quoi il diffère de La Beaumelle qui, dan
ame de Montespan qui en prit la première résolution, qui s’éloigna de Paris avec un courage héroïque qu’affermissaient les ex
de bonne foi, ou du moins ils le crurent. Madame de Montespan vint à Paris , visita les églises, jeûna, pria et pleura ses pé
la vérité qui était comme à Pomponne le 24 juillet, s’est répandue à Paris dans le mois suivant. 116. C’était le bon billet
87 (1900) Molière pp. -283
it avec grand succès des conférences à Bruxelles, il avait rapporté à Paris l’expérience du métier : un art merveilleux de bi
s, l’institution nouvelle commença avec un réel succès : l’Athénée de Paris , rivale de l’Institution royale de Londres, eut d
; il s’éprend d’une comédienne, qui faisait alors assez de bruit dans Paris , et qui vivait avec M. de Modène, auquel elle éta
t pas de quoi les payer ! Molière fut un de ces hommes-là ! Il quitte Paris en 1646, et il n’y rentre qu’en 1658, à l’âge de
ates ; et, ce qu’il y a de pis, il s’est débrouillé loin du public de Paris , le seul pour lequel il soit doux de travailler,
e tragique le : « Rodrigue, as-tu du cœur ? » qui avait enflammé tout Paris . Savez-vous qui a eu la primeur de cette tirade e
s scènes impérissables ? Ce sont Béziers et Pézenas. Molière arrive à Paris bien tard. À trente-neuf ans, il fait Les Précieu
ir treize ans de province et d’obscurité, treize ans pendant lesquels Paris applaudissait de toutes ses forces des choses méd
e, il faut en revenir assez vite, mais cependant il faut y être allé. Paris fournit aux auteurs de quoi tailler en pleine éto
« petites drôleries », et dit, devant ce poètereau, qu’elle arrive de Paris , où elle a causé avec des gens illustres, de gran
Molière ! Prenez la préface des Précieuses, sa première pièce faite à Paris , vous y verrez le plaisir, la joie folle de se sa
z le plaisir, la joie folle de se savoir devenu enfin quelque chose à Paris , Parisien ! Et cette joie, toute naïve qu’elle es
confrères ! Il dit cela avec fierté, avec orgueil, et ces auteurs de Paris dont il est fier d’être le confrère, je viens de
province, ce qu’il détestait encore le plus, pour le moment, c’était Paris , où il aspirait, c’étaient ces favoris du monde p
ute autre comédie analogue qu’il sait qu’on applaudit à outrance dans Paris , et vous aurez le même mal, ressenti par Molière
e. Comment expliquer par cette disposition d’esprit qu’à peine venu à Paris sa première idée ait été justement de tomber sur
et l’hôtel de Bourgogne suffisaient à la cour, à la société polie de Paris , tandis que lui-même ne suffisait peut-être pas t
exemple. Quand on a suivi ses pièces, où l’on est tout le temps dans Paris , on se trouve à la fin transporté, par un hasard
uisses dans Monsieur de Pourceaugnac ; s’il existe quelques Suisses à Paris , qui parlent ce mélange d’allemand et de français
eur de Pourceaugnac. Cet avocat gentillâtre de Limoges, en arrivant à Paris , tombe dans les mains de Sbrigani et d’Éraste, qu
bourdes qu’on lui vient conter, et fuyant tout effrayé cette ville de Paris comme un lieu de brigandage où l’on est exposé au
s engagé ? Il en tirera la comédie avec plus d’audace encore. C’est à Paris , en 1662, qu’il est malade, c’est en 1666 qu’il é
ui sont familiers ; il prend les trois médecins les plus en crédit de Paris , les médecins mêmes du roi, entourés et comblés d
1660, Molière, mettant en scène, dans Sganarelle, un bon bourgeois de Paris , Gorgibus, qui recommande ce qu’il appelle de bon
il n’en était pas de même à la ville ; il n’en était pas de même dans Paris , où il y avait toujours un vieux levain de Fronde
personne n’aurait voulu se passionner pour ou contre un bourgeois de Paris , qui imagine, pour faire son salut, de livrer à c
ieuse était l’ordonnance presque anodine par laquelle l’archevêque de Paris avait condamné les mères du Port-Royal ; en 1664,
. Il y a sous le règne de Louis XIV, à ce moment, il y a des athées à Paris  ; il est facile de les compter dans le monde conn
88 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377
ns. Il cherche des originaux ; il voit avec plaisir que la Cour & Paris en fourmillent. Il ramasse des matériaux exquis ;
Branche. Nous sommes ici dans l’appartement d’une Marquise, qui est à Paris pour un grand procès. Elle a une fille fort belle
près. M. de Cornichon. Mais aussi, que fait-il depuis si long-temps à Paris  ? La Branche. Rien, Monsieur. Il va souvent à Ver
onc la bonté, Madame, de prendre des billets endossés par les gens de Paris les plus solvables ; sans cela je ne m’en serois
de noblesse. Je ne vois pas s’il feroit mieux : n’avons-nous pas dans Paris bien des Comtes, des Barons, des Marquis qui ne s
89 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre premier. Préliminaires » pp. 1-8
, il alla voir sans doute les troupes italiennes qui se succédaient à Paris , aussi souvent que les comédiens de l’Hôtel de Bo
d’Aurélia. Après ses caravanes en province, lorsqu’il est de retour à Paris en 1659, Molière partage encore avec les acteurs
90 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
ousse bien des épigrammes. Nous avons vu qu’en 1631, la peste régna à Paris  ; que madame de Rambouillet y perdit son second f
ciété, Boisrobert, l’âme damnée du cardinal, le plus mauvais sujet de Paris , n’en était pas. Segrais raconte que le cardinal
91 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
abbé d’Aubignac et Molière faisaient la guerre aux précieuses, l’un à Paris , l’autre en province. Orpheline depuis l’âge de 5
tes à sa mère et faisait à chaque visite un séjour de quelque temps à Paris . Je remarque ces circonstances pour que le lecteu
chez eux, comme le maréchal d’Albret, ce qu’il y avait de meilleur à Paris en hommes et en femmes ; et c’étaient à peu près
92 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
libres penseurs ont pu ameuter l’opinion contre l’Église, aussitôt, à Paris et dans les provinces, le Tartuffe reparaît. On l
voir. Écoutons-le. Jean-Baptiste Poquelin, fils d’un marchand aisé de Paris ‌ 1 qui exerçait la charge assez recherchée de tap
ze ans de courses et d’aventures, âgé de trente-sept ans, il revint à Paris , rapportant l’Étourdi, le Dépit amoureux, et quel
récieuses. Il l’écrivit en 1659, dans l’année qui suivit son retour à Paris , après que l’abbé de Pure lui eut donné non pas u
en 1653, le Dépit amoureux en 1656, deux pièces pour la province ; à Paris , les Précieuses ridicules en 1659, Sganarelle en
ent pas. Même en courant la province, il avait ramassé de l’argent. A Paris , on a calculé que sa part dans les produits du th
tait fini. Il a été dit, dans une requête présentée à l’archevêque de Paris pour obtenir l’inhumation en terre sainte, que Mo
ité, deux religieuses « de celles qui viennent ordinairement quêter à Paris pendant le carême. » Ces religieuses, ajoute la r
ndale. On l’attribuait à un Théatin d’Italie, le P. Caffaro, établi à Paris , dans une maison de son ordre, depuis une vingtai
 ; Bourdaloue (1670, 1672). En même temps que Molière, était arrivé à Paris un chanoine plus jeune que lui de quelques années
le jour des Morts, faisait entendre à la capitale d’autres leçons : «  Paris , Paris dont on ne peut abaisser l’orgueil, dont l
des Morts, faisait entendre à la capitale d’autres leçons : « Paris, Paris dont on ne peut abaisser l’orgueil, dont la vanit
l s’enfuit de la maison paternelle et vint se présenter au noviciat à Paris . Presque dans le même moment, Molière s’engageait
la prédication. On ne voulut pas pourtant le produire tout d’abord à Paris , et ce fut la matière d’un nouveau noviciat. Le p
était bon juge et vous tendait la main pour vous conduire au roi et à Paris . A présent, l’on rencontre ou l’on achète des jou
stes. Molière avait trouvé son prince ; Bossuet avait été introduit à Paris par la Reine Mère ; Bourdaloue fut célébré par Ma
ieurs de Bourdaloue le trouvèrent mûr et le firent monter en chaire à Paris , dans l’église de la maison ‘professe des Jésuite
rue Saint-Antoine. U était mûr, en effet ; et l’intelligent public de Paris ne s’y trompa point. De toute la ville, de la cou
que pleine. Son père était parti de Bourges pour le venir entendre à Paris , mais il est mort en chemin. Les bons Pères de la
ais il est mort en chemin. Les bons Pères de la Société le prêchent à Paris comme un ange descendu du ciel. Scaliger le père,
t, dès le premier jour, et resta jusqu’à la fin de sa vie, l’homme du Paris catholique, peuple, bourgeois et grands ; l’homme
prix, même au prix de la vie ; Bourdaloue voulait se retirer, quitter Paris , se cacher dans quelque maison de province, pour
je n’en demande aucune en particulier, pourvu que je sois éloigné de Paris ), sera le lieu de mon repos. Là, oubliant les cho
lui plaisait que les censeurs de ses amusements parussent ridicules à Paris comme à Versailles. Mais, ainsi que le dit Bazin,
courtisanes. Il y en eut une lecture célèbre chez Ninon. Les curés de Paris , avertis des beautés de l’ouvrage, s’alarmaient d
a saisi qu’en passant, dans un coin, dans un moment, dans une mode de Paris . L’on doit décharger Molière des ambitieuses visé
1. Molière est le premier en mérite des écrivains célèbres nés à Paris . Après lui, on cite Regnard, qui vint au monde so
nitive édition de Louis Vivès, publiée par les soins de M. F. Lâchât, Paris , 1802. Il suffit de lire ce sermon, tout ébauché
93 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
sés. Ainsi Molière est donc non seulement parisien, mais bourgeois de Paris , et l’on doit le rapprocher non pas de Rutebeuf o
nt plus tard comme vers un séjour de prédilection ; et il ne revint à Paris que dans les derniers jours de 1642. C’est à peu
n assez profond retrait de l’alignement. Molière n’a pas pu réussir à Paris   : il se décide à parcourir la province, et forma
il part pour cette longue odyssée qui va le retenir douze ans loin de Paris . Le profit qu’il en devait tirer, nul ne l’ignore
à, quittant enfin le midi de la France, pour venir chercher bientôt à Paris la consécration de la gloire qu’elle s’était acqu
ont aucunement probantes. La vie de Molière, à partir de sa rentrée à Paris , ou du moins l’histoire de ses ouvrages et de cet
cour, et il n’a cessé de préférer 1’« honnête homme » au bourgeois de Paris ou des provinces, et au gentilhomme provincial. E
u Madame l’Elue. Mais, s’il croyait à peu de choses, et, en quittant Paris , s’il avait emporté peu d’illusions, on ne voudra
dinaire, ou un vulgaire « épicurien », que le comédien qui rentrait à Paris , en 1658, pour n’en plus désormais sortir  : il a
, qui commençait de prêcher, ou plutôt de tonner, dans les chaires de Paris , contre l’Amour des plaisirs temporels ; c’étaien
vant les Provinciales. Il y a de cela plusieurs raisons. Bourgeois de Paris , Molière parle comme aux Halles ou au Palais, non
94 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
alors âgé de trente et un an ayant eu peu de succès avec sa troupe à Paris , où il était venu pour se fixer en 1650, dans le
e, il parvint à obtenir l’autorisation de donner une représentation à Paris , en dépit des privilèges de l’Hôtel de Bourgogne.
’abord. Il s’agit de deux pecques provinciales récemment débarquées à Paris , qui changent de nom comme la marquise de Ramboui
ie de l’Ecole des Femmes faisait l’entretien de toutes les maisons de Paris et que chacun voulait dire son mot sur cette pièc
des titres les plus graves. On trouve dans cette pièce un tableau de Paris assez plaisant. Arlequin s’est retiré dans une fo
vient de l’entendre conseiller à un homme de mérite de ne pas aller à Paris , parce qu’il n’y réussira pas, se met à pleurer s
es bagatelle. Ali ! mon cher, viens que je t’embrasse ; tu es né pour Paris  ; tu es né pour une grande fortune avec une si be
vec une si belle disposition tu peux aspirer à tout. La bagatelle ! à Paris  !… Arlequin a-t-il tort ? Molière joua lui-même
lquefois déshonnête, en voyant ce bon Limousin venir pour se marier à Paris , et puis s’en retourner dans sa ville, bafoué, m
é dans la comédie que la vie bourgeoise et commune, et Molière a joué Paris et la cour. » De toutes les épitaphes composées
eterre de l’ordre delà Jarretière. Le jeune Dancourt fit ses études à Paris , au collège des Jésuites, sous le père La Rue, qu
erre tous les étés, et, après la campagne, les officiers rentraient à Paris . Le triomphe des gens de robe et de finance avait
en ce pays-ci, je ne risquerais pas une chose comme celle-là : mais à Paris il n’y a rien à craindre ; ce sont des gens glori
s d’adresser mon placet au nom de toute la communauté des auteurs, de Paris s’entend. Gabrillon Oh ! c’est l’entendre ! M. D
iques, tant en vers qu’en prose, de votre bonne ville et faubourgs de Paris , remontrent très humblement à Votre Majesté qu’ap
d’une manière originale les désagréments de demeurer aux environs de Paris , et d’être exposé aux visites continuelles de ses
ouche a existé. Brouillé avec la justice de son pays, il se réfugia à Paris , où son talent de mime le fit bien accueillir. Lo
95 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
mes campagnards et beaux de petite ville bavardaient autour de lui. A Paris , il conserve la même habitude ; on le rencontre s
tes relations Molière entretenait avec sa famille depuis son retour à Paris et ce qu’il prit à ce milieu bourgeois. Pour devi
ouche plus vraie par le biographe du bailli-académicien. Plus tard, à Paris , Molière a des amis de toute sorte et dans tous l
entre eux ni brouille ni refroidissement : lorsque Chapelle quittait Paris pour aller passer quelques jours chez des amis de
e forma surtout par la pratique de la vie ; or, son existence, tant à Paris qu’en province, était-elle de nature à faire de l
a « requête à fin d’inhumation » qu’elle présentait à l’archevêque de Paris . Il se pourrait bien que, dans son vif désir d’ob
mélancolie à Pézenas dans la société des Béjart. Lorsqu’il revient à Paris , la jeunesse est passée et une nouvelle existence
l en partie rapporter à ce choix l’insuccès de l’l’Illustre Théâtre à Paris . En province, il s’obstine et n’est pas plus heur
l’espoir de se faire applaudir dans le tragique ; avant de rentrer à Paris , après douze ans de campagne, il étudie le répert
sujet plusieurs comédiens d’expérience, et tous me disaient que, hors Paris , ce titre sur une affiche de théâtre est « un rep
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366
t à la fin du quatrieme acte à la campagne ; ils ont besoin d’aller à Paris voir jouer une comédie, & de revenir nous en
acle & celle de sa maison : la mort de ce Prince le fit revenir à Paris . Sa femme & son fils remonterent sur le théât
ient tout-à-fait opposées au goût de notre siecle. Riccoboni mourut à Paris le 10 Décembre 1753.
97 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
ertissait le roi Henri IV et Marie de Médicis. Cette troupe demeura à Paris pendant trois années : long espace de temps, car
prit dont la France Adorera l’excellence Mille ans après son trépas, ( Paris vaut bien l’Italie) L’assistance te supplie Que t
Jaloux, traduites par J. D. F. P. (Jacques de Fonteny Parisien.) » À Paris , chez David Leclerc, 1608. Voici les arguments de
98 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
nation a rendu hommage à un grand homme, le jour (1) ou s’est élevé à Paris , près du Théâtre français, le monument qui porte
plaisir ignoré. De pèlerins, dit-on, une troupe grossière En publie à Paris y monta la première ; Et sottement zélée en sa si
omposition est, du reste, incertaine. Un premier examen avait conduit M. Paulin Paris à classer le -manuscrit dans les œuvres du XIIe s
n 1437, année célèbre, vous le savez, par la rentrée de Charles VII à Paris et l’expulsion définitive de l’étranger. Metz éta
aissance des personnages. Dans le Sacrifice d’Abraham, mystère joué à Paris devant: François Ier, en 1539, Isaac, fils de Sar
u cette langue et ce génie, c’est Villon, ce poète populaire, « né de Paris emprès Pontoise, » et dont les années concordent
99 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
able et galant, qui n’avait vu l’esprit humain que dans les salons de Paris , la nature que dans le parc de Versailles, la poé
lienne de la tragédie405 ? Et si, plus tard, vous accompagnez Hegel à Paris , si vous allez avec lui aux Variétés, si vous éco
er. Nous marchâmes ensemble quelque temps, causant des démolitions de Paris , de la grève des Petites Voitures, de l’avantage
ante rivale elle-même par la plus sanglante ironie ; et Molière, né à Paris , Molière protégé, encouragé par le roi qui lui dé
l de Rambouillet, l’on n’eût pas vu s’élever de toutes parts, et dans Paris , et d’un bout à l’autre de la France, cette foule
son ministre, alors aux Pyrénées, voulurent voir la pièce qui mettait Paris en émoi. Ils applaudirent comme la ville. Ils n’a
habitudes des personnes pieuses moqueusement employées sur la scène ! Paris s’indigna, et le blâme grandit en peu de temps au
monde voulut en goûter434. Elle fut lue dans les principaux salons de Paris . Mais l’interdiction prononcée par la politique d
pposa son veto formel à une nouvelle représentation ; l’archevêque de Paris fit un mandement qui défendait « à toutes personn
non pas à la cour, mais à la ville ; Le Misanthrope fut représenté à Paris . La foule dorée de Versailles était frondée aux a
sur la scène les philosophes Pancrace et Marphurius, l’Université de Paris allait obtenir la confirmation d’un arrêt du Parl
Lettre sur l’éloquence. 359. « J’ai cru, je crois et je croirai que Paris est très supérieur à Athènes en fait de tragédies
100 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
unereus Chirurgorum Parisiensium.* « Nicolas Mauvilain, Chirurgien de Paris , laissa un fils Docteur de la Faculté de Médecine
es Précieuses ridicules fut faite pour la Province, & que jouée à Paris , elle y fut applaudie, & servit à corriger le
/ 252