Chapitre
XVI
Années 1660 et 1661 (commencement de la septiè
Chapitre XVI Années
1660
et 1661 (commencement de la septième période). —
Chapitre XVI Années 1660 et
1661
(commencement de la septième période). — Mœurs de
céléré la victoire de l’honnêteté et de la décence. Nous avons vu, le
6
juin 1660, Louis XIV époux, à l’âge de 22 ans, de
la victoire de l’honnêteté et de la décence. Nous avons vu, le 6 juin
1660,
Louis XIV époux, à l’âge de 22 ans, de Marie-Thér
a décence. Nous avons vu, le 6 juin 1660, Louis XIV époux, à l’âge de
22
ans, de Marie-Thérèse d’Autriche, qui avait quinz
XIV époux, à l’âge de 22 ans, de Marie-Thérèse d’Autriche, qui avait
quinze
jours de moins que lui. En souscrivant à ce maria
s magnifiques et continuelles signalèrent le mariage du jeune roi. Le
9
mars 1661, et elles sont suspendues par la mort d
fiques et continuelles signalèrent le mariage du jeune roi. Le 9 mars
1661,
et elles sont suspendues par la mort de Mazarin.
raye, qui prit le nom de duc de Mazarin. Après la mort du cardinal en
1662,
le duc de Bouillon épousa Marie-Anne Mancini. Tou
entre les beaux esprits de mauvais goût fêtés par les précieuses. Le
1er
avril 1661, Monsieur, frère du roi, épouse Henrie
beaux esprits de mauvais goût fêtés par les précieuses. Le 1er avril
1661,
Monsieur, frère du roi, épouse Henriette d’Anglet
jeune reine qui était enceinte. Henriette devint bientôt galante. Le
1er
novembre, la reine donna à la France un héritier
é de lui répondre de leur convenance. Sur qui jettera-t-il les yeux ?
Louis
, malgré son peu de respect pour les mœurs, était
oir, et le besoin, l’amour du pouvoir étaient le fond du caractère de
Louis
, Sa conduite habituelle offensait la morale, mais
pas l’intention de l’affronter. L’exemple de François Ier, celui des
quatre
successeurs de ce prince, celui de Henri IV, lui
ans le choix des personnes qui seront chargées d’élever son héritier.
Louis
se permettra de fréquentes distractions dans la v
e imprimait aujourd’hui cette phrase dans une vie de Louis XIV : « Le
1er
novembre 1661, le roi nomme pour gouvernante de M
ujourd’hui cette phrase dans une vie de Louis XIV : « Le 1er novembre
1661,
le roi nomme pour gouvernante de M. le Dauphin, u
lière, dans ses Précieuses ridicules, et bafouée par le public depuis
deux
ans », ne croirait-on pas que cet écrivain est to
e, qui était du service de Madame. Ce qu’il y a de certain, c’est que
quatre
mois ou environ après l’arrivée de Madame en Fran
c madame de La Vallière. C’était certainement plus d’un mois avant le
5
septembre 1661, jour où il fit arrêter Fouquet, p
La Vallière. C’était certainement plus d’un mois avant le 5 septembre
1661,
jour où il fit arrêter Fouquet, puis que celle di
de Mazarin, il voyait tout, il faisait tout au dedans et au dehors.
58.
Fouquet fut arrêté le 5 septembre ; la reine acco
, il faisait tout au dedans et au dehors. 58. Fouquet fut arrêté le
5
septembre ; la reine accoucha le 1er novembre.
ehors. 58. Fouquet fut arrêté le 5 septembre ; la reine accoucha le
1er
novembre.
e des grandeurs, Tu brillas dans ces jours de royales splendeurs. Où,
Louis
, rassemblant la France dans Versailles, Régnait,
s penser le sage. Modèle inimitable, es-tu mort tout entier, Laissant
mille
bâtards et pas un héritier ? Parmi nous des fâche
la laideur, Et puis, le sort cruel, pour tourmenter ta vie, Déchaîna
deux
démons, la Béjart et l’envie. De l’hôtel Rambouil
vers du Misanthrope. En vain, pour te venger, l’arbitre de l’Europe,
Louis
devant sa cour t’admirait hautement, D’un public
te damnait, Paris t’immortalise. Si tu voyais les Arts, courtisans de
Louis
, Du faste de son règne esclaves éblouis, Demander
C’est plus, c’est une nation Jalouse de payer dans sa reconnaissance
Deux
siècles de plaisirs dont tu dotas la France. Comb
’un vœu concitoyen L’Académie ajoute en y joignant le sien ! Vois les
quarante
dieux réunis dans son temple D’un fraternel respe
, ô comble de merveille ! Dresse ton monument près du funèbre lieu Où
deux
modestes sœurs, deux servantes de Dieu, Seules, l
le ! Dresse ton monument près du funèbre lieu Où deux modestes sœurs,
deux
servantes de Dieu, Seules, la nuit, témoins de to
ton œil contemplateur, Des replis de notre âme intime scrutateur, Tes
deux
épais sourcils que ta sage malice Semblait fronce
egard Tu fécondes au loin le domaine de l’art, Et tu vois à tes pieds
deux
Muses que rassemble Ce bas-relief surpris de les
les rangs attaquer tous les vices ; Le plus bel ornement du siècle de
Louis
, Gloire, gloire Molière, à tes divins écrits ! Da
crits ! Dans cet art difficile où tu n’eus point de maître, Tu régnas
deux
cents ans sans rival, et peut-être Ta gloire doit
! Dans cet art difficile où tu n’eus point de maître, Tu régnas deux
cents
ans sans rival, et peut-être Ta gloire doit toujo
mie ils t’ont fermé l’entrée. Aimant à s’égayer par d’utiles loisirs,
Louis
, qui te devait ses plus nobles plaisirs, Dont l’a
iré, ce brillant potentat Qui de l’éclat des arts a reçu tant d’éclat
1
; Qui soutint si longtemps le Tartuffe et Molière
grandeur d’hier il cache la bassesse. Près de lui Dorval, fier de ses
douze
quartiers, Méprisant de Mondor les vices roturier
ris : Ils ne peuvent encore, en lisant notre histoire, Nous pardonner
trente
ans de travaux et de gloire, Et se bercent toujou
fourmille. Donnant un libre cours à leur docte travers Ils riment par
milliers
, et chacun deux, en vers, Croit de déraisonner av
n libre cours à leur docte travers Ils riment par milliers, et chacun
deux
, en vers, Croit de déraisonner avoir le privilège
ù ces phénix nouveaux De leurs cendres encor menacent de renaître, Et
deux
cents ans plus tard ils triomphaient peut-être :
phénix nouveaux De leurs cendres encor menacent de renaître, Et deux
cents
ans plus tard ils triomphaient peut-être : Aujour
Qui subirait, crois-moi, l’exil expiatoire, S’il n’était défendu par
deux
siècles de gloire. Ah ! s’il est des méchants qu’
urore, De revoir ses beaux jours peut se flatter encore. Au siècle de
Louis
, par ton roi protégés, Tes inflexibles vers brava
i ; Et n’a, selon Cotin, ni Dieu ni ni foi, ni loi. FIN.[p.20]
1.
Chénier avait dit de Louis XIV dans sa belle épît
runtait son éclat. Je déclare que je n’ai point prétendu refaire les
deux
vers de Chénier, et que, s’ils avaient rendu mon
du grand siècle auquel il a donné une si belle direction pendant les
trente
premières années de son règne, ait emprunté son é
nté son éclat de l’éclat des arts, et je me suis décidé à laisser mes
deux
vers tels qu’ils sont. 2. Je pense que l’on ne
rts, et je me suis décidé à laisser mes deux vers tels qu’ils sont.
2.
Je pense que l’on ne me reprochera pas d’avoir in
çant l’Avare avant le Misanthrope et le Tartuffe qui l’ont précédé.
3.
On croira difficilement, un jour, à la ressemblan
ien à craindre. Dans leur sainte horreur pour tout ce qui tient à nos
trente
dernières années de malheurs et de prodiges, ces
uie le dix-neuvième siècle ; c’est elle qui l’empêchera de reculer.
4.
Loin de moi l’intention de révoquer en doute la s
Rousseau a excitées il y a quelques mois ; les outrages prodigués aux
deux
plus beaux génies du dix-huitième siècle, à ces i
l’esprit des Nations, ou la profession de foi du Vicaire savoyard.
5.
Oui, la censure est destructive de toute liberté.
n du Tartuffe, qui fait autant d’honneur à Louis XIV qu’à Molière ?
6.
Il est inutile de faire observer que ce vers et l
u’il faut placer un mur d’airain devant l’arbitaire. Les tribunes des
deux
Chambres ont retenti des accents généreux des déf
e nos franchises ; de ces hommes qui préfèrent l’honneur aux honneurs,
1a
patrie à leur fortune, la liberté à tout : ils on
naissances diverses peuvent éclairer le patriotisme et la prudence.
7.
J’ai tort : le vaudeville du Combat des Montagnes
, malgré leur nombre, ont été forcés à une retraite si précipitée !
8.
On ne saurait trop appeler la sollicitude du Gouv
eux qui travaillent pour les petits théâtres gagnent plus d’argent en
six
mois que l’auteur d’une bonne comédie en dix ans.
gagnent plus d’argent en six mois que l’auteur d’une bonne comédie en
dix
ans. Pourquoi le Gouvernement n’accorderait-il pa
[
21,
p. 50] 1775, Anecdotes dramatiques, tome II,
[21, p. 50]
1775,
Anecdotes dramatiques, tome II, p. 202 Lorsque
[21, p. 50] 1775, Anecdotes dramatiques, tome
II
, p. 202 Lorsque Molière fit jouer son Tartuffe,
ire, et qu’il me sera défendu de faire des sermons sur le théâtre ?
165.
Maimbourg, Louis (1610-1686) : historien. Entré
sera défendu de faire des sermons sur le théâtre ? 165. Maimbourg,
Louis
(1610-1686) : historien. Entré chez les jésuites
fendu de faire des sermons sur le théâtre ? 165. Maimbourg, Louis (
1610-1686
) : historien. Entré chez les jésuites en 1626, il
Maimbourg, Louis (1610-1686) : historien. Entré chez les jésuites en
1626,
il devint prédicateur, controversiste, historien.
nistes et attaqua leur traduction du Nouveau-testament, dite de Mons (
1667
). Puis il travailla au retour des protestants. Il
ins, et des inscriptions toutes modernes dans une langue morte depuis
deux
mille ans. « Quoi, disait-il, des symboles mythol
et des inscriptions toutes modernes dans une langue morte depuis deux
mille
ans. « Quoi, disait-il, des symboles mythologique
mains étaient dans le dix-huitième siècle les maîtres de notre pays »
1.
Frappé de cet oubli, Bernardin de Saint-pierre so
il l’embellit de tous les arbres étrangers apportés en Europe depuis
deux
siècles, et dont les fleurs et les fruits font au
its font aujourd’hui nos délices. À l’ombre de chaque arbre il place
1’image
de celui qui nous l’a donné. Là se trouvent aussi
rneille, un seul Corneille, la cité ingrate a cru pouvoir séparer les
deux
frères. D’autres villes m’offrent l’une Guttenber
lle sembla un moment oublier sa gloire. Ni Boileau, ni Voltaire, tous
deux
nés dans la cour de la Sainte-Chapelle, où priait
s profond, le plus joyeux des philosophes ? Encore aujourd’hui, après
cent
soixante-dix ans, n’est-ce pas le seul poète qui
fond, le plus joyeux des philosophes ? Encore aujourd’hui, après cent
soixante-dix
ans, n’est-ce pas le seul poète qui le divertisse
ie et de sa gaîté ? Voilà ce que les mortels n’ont été appelés à voir
deux
fois ni sur le trône de notre bon Henri IV, ni su
définir autrement l’inspiration. Le poète et le philosophe sont donc
deux
hommes bien caractérisés, bien distincts, et ce s
nt donc deux hommes bien caractérisés, bien distincts, et ce sont ces
deux
hommes que l’on retrouve dans Molière. Comment se
us tard il devait reproduire le type ; je le vois courant sur le pont
Neuf
, et s’inspirant de cette muse grotesque qui anima
’esprit populaire et parisien vivait en lui. Ce grand homme expira le
17
février 1673, en sortant du théâtre du Palais-Roy
ulaire et parisien vivait en lui. Ce grand homme expira le 17 février
1673,
en sortant du théâtre du Palais-Royal où il venai
dit tout ce qu’il ne tue pas. D’abord il se fit un silence de près de
cent
années. Le peuple alors n’était pas assez instrui
it donc pas du peuple que devait sortir la voix qui demande justice !
11
fallait qu’une autorité éclatante et puissante se
’Académie française prit l’initiative. Les temps étaient venus, et en
1769,
dans un concours public et solennel elle appela l
itude par l’admiration, et l’anathème tombait devant l’apothéose ! En
1778,
l’année même de la mort de Voltaire, l’Académie,
ne prière, s’élevât chrétiennement à côté de la statue de Bossuet. En
1779,
une maison de la rue de la Tonnellerie fut ornée
. Une inscription indiquait que Molière était né dans cette maison en
1620.
C’était une double erreur. Molière est né rue Sai
r. Molière est né rue Saint-Honoré, près de la rue de l’Arbre-Sec, le
16
janvier 1622. Le buste et l’inscription existent
est né rue Saint-Honoré, près de la rue de l’Arbre-Sec, le 16 janvier
1622.
Le buste et l’inscription existent encore. Enfin
our, avaient été consacrés à la mémoire de ce grand poète. A dater de
1818,
plusieurs souscriptions furent, il est vrai, succ
Ce fut sa réponse, et cette réponse est une date : on était alors en
dix-huit
cent vingt-neuf. Enfin le jour de la justice appr
a réponse, et cette réponse est une date : on était alors en dix-huit
cent
vingt-neuf. Enfin le jour de la justice approchai
onse, et cette réponse est une date : on était alors en dix-huit cent
vingt-neuf
. Enfin le jour de la justice approchait. Le conse
sans monument. L’histoire des hommages rendus à Molière se partage en
deux
époques bien tranchées. L’époque académique et l’
ecteurs avides de beaux vers ne sauraient traverser trop rapidement.
L.
Aimé Martin. Le monument de Molière,poème
ère…… C’est mon homme. La Fontaine. — (Lettre à M. de Maucroix.)
I
. Aux dernières lueurs d’un jour froid qui pâli
croix.) I. Aux dernières lueurs d’un jour froid qui pâlit12,
Deux
sœurs de charité se penchaient près d’un lit, Et
ui n’arrivait pas : Et seules l’entourant à cette heure dernière, Les
deux
sœurs près de lui demeuraient en prière. Autour
mettant en prière, Elle pleure à genoux celui qui fut Molière !…
II
. Molière ! noble enfant du peuple de Paris, D
e de savoir Comment d’autres ont vu ce qu’il croit entrevoir. Alors à
quatorze
ans il vient demander place Sur les bancs du coll
n de pâture… alors il songe à vivre, Et la vie apparaît à son cœur de
vingt
ans Belle, riche, éternelle : il est maître du te
se La troupe qu’il attache à sa jeunesse heureuse ; Pour des cœurs de
vingt
ans quel plus riant destin ? D’intrigues, de hasa
n art futile ; Aux hommes qu’il amuse il voudrait être utile ; En lui
deux
sentiments profonds ont éclaté. L’amour vrai de s
aveur, sans appui, Que faire du démon qu’il sent grandir en lui ?
III
. Alors, par droit divin, les princes de la te
lu que pour auxiliaire Dans l’œuvre qu’il médite ose espérer Molière.
Louis
quatorze avait des instincts généreux, Pour réfor
pour auxiliaire Dans l’œuvre qu’il médite ose espérer Molière. Louis
quatorze
avait des instincts généreux, Pour réformer les m
’arrête : Il enchaîne l’orgueil dans son cœur de poète, Humblement de
6on
père il accepte l’emploi, Et Molière à la cour es
ur jouer les courtisans. Frappé de ce tableau, pour lui si véridique,
Louis
quatorze absout le profond Satyrique ; Bientôt mê
er les courtisans. Frappé de ce tableau, pour lui si véridique, Louis
quatorze
absout le profond Satyrique ; Bientôt même à Moli
he, le pamphlet… Mais, le couvrant toujours de son pouvoir suprême,
Louis
est le vengeur du poète qu’il aime. A la table ro
malgré l’intolérance, A reçu devant Dieu le nom du roi de France.
IV
. Pourtant, toujours en proie à ce conflit brû
s son art se développe : Inspiré par ses maux, il fait le Misanthrope
17,
Il puise un nouveau feu dans ses transports brûla
éroïque effort Qui le pousse au théâtre une heure avant sa mort !
V.
Si vous fûtes si grands, ô Molière ! ô Shaksp
ndre au vent ; « Que l’impie au saint lieu n’ait pas de sépulture ! »
Mille
hypocrites voix grossissent ce murmure ; Le peupl
secours qu’on ignore. Tous en le bénissant l’appellent à la fois,
4
Et les bruits du dehors sont couverts par leurs
amis en deuil Parmi les morts obscurs vont cacher son cercueil18.
VI
. Deux siècles ont passé ; ses œuvres immortel
deuil Parmi les morts obscurs vont cacher son cercueil18. VI.
Deux
siècles ont passé ; ses œuvres immortelles Semble
au génie appartient l’avenir ! » MADAME LOUISE COLET. Paris, février
1842.
Notes. Note A. « Monsieur le Préfet,
. « Monsieur le Préfet, Le Journal des Débats, dans son numéro du
14
février, annonce la prochaine construction d’une
s si glorieux de voir enfin élever au grand génie qui, depuis près de
deux
siècles, attend cette justice ! J’ai l’honneur d’
obéissant serviteur, REGNIER,Sociétaire du Théâtre-Français. » Paris,
14
mars. « Monsieur, J’ai reçu la lettre que vous
on municipale va faire construire à l’angle formé par la jonction des
deux
rues Traversière et de Richelieu. Vous exprimez,
Invalides le tombeau de Napoléon, le monument de Molière se divise en
deux
parties distinctes : Le premier plan se compose d
sin en pierre de Château-Landon, qui reçoit les eaux jaillissantes de
trois
têtes de lion. Une inscription portant simplement
la naissance et de la mort de Molière, sera gravée sur le piédestal.
Deux
figures allégoriques également en marbre, exécuté
u ciseau de M. Seurre. La hauteur du piédestal et de la figure est de
8
mètres sur une largeur de 10 mètres. Le second pl
uteur du piédestal et de la figure est de 8 mètres sur une largeur de
10
mètres. Le second plan, contre lequel est adossé
V. Les façades latérales sont du même style. La hauteur totale est de
16
mètres sur une largeur de 10 mètres. Préfectu
du même style. La hauteur totale est de 16 mètres sur une largeur de
10
mètres. Préfecture du département de la Seine
rbaux des séances du Conseil municipal de la ville de Paris.SEANCE DU
21
JUIN Présents : MM. Aubé, Beau, Besson, Boulay
resches, Say, Ternaux et Tayer. Le conseil, Vu le mémoire en date du
30
mai 1839, par lequel, prenant en considération le
, Say, Ternaux et Tayer. Le conseil, Vu le mémoire en date du 30 mai
1839,
par lequel, prenant en considération le vœu émis
monter la dépense de son exécution. SAVOIR : Pour maçonnerie, à
57,000
f. Pour sculpture d’ornement,à 7,200 Pour le m
VOIR : Pour maçonnerie, à 57,000 f. Pour sculpture d’ornement,à
7,200
Pour le marbre de la statue de Molière, à 10,95
lpture d’ornement,à 7,200 Pour le marbre de la statue de Molière, à
10,953
Pour la sculpture des statues, à 33,000 Pour l
de la statue de Molière, à 10,953 Pour la sculpture des statues, à
33,000
Pour le soete en marbre, à 2,000 Pour travaux
Pour la sculpture des statues, à 33,000 Pour le soete en marbre, à
2,000
Pour travaux divers, honoraires de l’architecte
r travaux divers, honoraires de l’architecte et dépenses imprévues, à
11,975
Pour fontainerie, à 9,000 TOTAL : 131,128 f.
de l’architecte et dépenses imprévues, à 11,975 Pour fontainerie, à
9,000
TOTAL : 131,128 f. Vu un nouveau devis du surcr
et dépenses imprévues, à 11,975 Pour fontainerie, à 9,000 TOTAL :
131,128
f. Vu un nouveau devis du surcroît de dépense qui
lterait de l’emploi du marbre substitué à la pierre comme matière des
deux
statues accessoires, conformément à l’avis de la
l’avis de la commission des beaux arts, faisant monter ce surcroît à
18,880
f. Ce qui porterait la dépense totale à 150,008
monter ce surcroît à 18,880 f. Ce qui porterait la dépense totale à
150,008
Vu, touchant les voies et moyens : 1° La délibér
rait la dépense totale à 150,008 Vu, touchant les voies et moyens :
1°
La délibération du conseil municipal du 16 août 1
hant les voies et moyens : 1° La délibération du conseil municipal du
16
août 1837, qui, premièrement maintient le crédit
voies et moyens : 1° La délibération du conseil municipal du 16 août
1837,
qui, premièrement maintient le crédit porté au bu
6 août 1837, qui, premièrement maintient le crédit porté au budget de
1838,
pour reconstruction de la fontaine de la rue Trav
8, pour reconstruction de la fontaine de la rue Traversière montant à
36,000.
Secondement stipule que la somme de 5,000 fr. des
rue Traversière montant à 36,000. Secondement stipule que la somme de
5,000
fr. destinée à l’exécution d’une statue, sera imp
ion d’une statue, sera imputée sur le fond affecté aux beaux arts, ci
5,000.
2° Une lettre de M. Vedel, vice président de la c
ne statue, sera imputée sur le fond affecté aux beaux arts, ci 5,000.
2°
Une lettre de M. Vedel, vice président de la comm
nt de la commission de souscription du monument de Molière en date du
15
décembre 1838, par laquelle il met a la dispositi
mission de souscription du monument de Molière en date du 15 décembre
1838,
par laquelle il met a la disposition de M. le pré
et a la disposition de M. le préfet de la Seine une première somme de
40
000 fr. provenant de ladite souscription, ci : 40
a la disposition de M. le préfet de la Seine une première somme de 40
000
fr. provenant de ladite souscription, ci : 40,000
e première somme de 40 000 fr. provenant de ladite souscription, ci :
40,000.
Ce qui porte dès à présent la somme disponible po
dès à présent la somme disponible pour l’exécution du monument, ci :
81,000.
En ce qui touche ce monument : Considérant que le
a lieu de les approuver, sauf tonte fois les modifications suivantes.
1°
Il convient que les deux statues accessoires, des
, sauf tonte fois les modifications suivantes. 1° Il convient que les
deux
statues accessoires, destinées à représenter la C
deux statues accessoires, destinées à représenter la Comédie sous ses
deux
caractères, sérieux et gai, soient remplacées par
médie sous ses deux caractères, sérieux et gai, soient remplacées par
deux
autres figures allégoriques, telles, par exemple,
allégoriques, telles, par exemple, que la Philosophie et la Comédie.
2°
Il est à souhaiter qu’à l’emploi du marbre pour l
’emploi du marbre pour la statue de Molière, et de la pierre pour les
deux
statues accessoires, puisse être substitué celui
modifier les chiffres ci-dessus visés, d’en retrancher les sommes de
10,953
fr. et de 18,880 fr., pour fourniture de marbre,
ffres ci-dessus visés, d’en retrancher les sommes de 10,953 fr. et de
18,880
fr., pour fourniture de marbre, et de réduire cet
. et de 18,880 fr., pour fourniture de marbre, et de réduire cette de
33,000
f., prix de la sculpture des statues, à 22,000 f.
et de réduire cette de 33,000 f., prix de la sculpture des statues, à
22,000
f., qui suffiront pour payer les modèles en plâtr
a ultérieurement être fait usage, ce qui réduit la dépense actuelle à
109,175
francs. En ce qui touche les voies et moyens : Co
touche les voies et moyens : Considérant qu’ils se composent déjà de
81,000
f., suivant le détail ci-dessus, parmi lesquels f
à cette Œuvre ; Considérant que la souscription de Paris, jointe aux
81,000
f. déjà disponibles, rend possible de commencer,
au moyen de traités passés avec des entrepreneurs connus ; DELIBERE :
1°
Le projet de fontaine monumentale dédiée à Molièr
int-Honoré, est approuvé, sauf les modifications ci-dessus indiquées.
2°
Le Conseil se réserve de délibérer ultérieurement
térieurement sur la matière qui devra être employée pour les statues.
3°
Il autorise le versement à la Caisse Municipale d
oncurremment avec l’allocation municipale, à l’exécution du monument.
4°
Indépendamment des crédits ci-dessus rappelés, la
mment des crédits ci-dessus rappelés, la ville de Paris souscrit pour
trente
mille francs audit monument ; cette somme sera im
es crédits ci-dessus rappelés, la ville de Paris souscrit pour trente
mille
francs audit monument ; cette somme sera imputée
ncs audit monument ; cette somme sera imputée sur les fonds libres de
1839.
5° Le Conseil invite M. le préfet à faire toutes
dit monument ; cette somme sera imputée sur les fonds libres de 1839.
5°
Le Conseil invite M. le préfet à faire toutes les
ligences nécessaires pour commencer les travaux le plus têt possible.
6°
Ces travaux ne seront pas soumis à l’adjudication
l’adjudication ; il en sera traité avec des entrepreneurs connus.
1.
Etudes de la Nature, I. 3, 215. 2. Département
ra traité avec des entrepreneurs connus. 1. Etudes de la Nature,
I
. 3, 215. 2. Département des Deux-Sèvres, à quatr
traité avec des entrepreneurs connus. 1. Etudes de la Nature, I.
3,
215. 2. Département des Deux-Sèvres, à quatre li
ité avec des entrepreneurs connus. 1. Etudes de la Nature, I. 3,
215.
2. Département des Deux-Sèvres, à quatre lieues
ec des entrepreneurs connus. 1. Etudes de la Nature, I. 3, 215.
2.
Département des Deux-Sèvres, à quatre lieues de N
. Etudes de la Nature, I. 3, 215. 2. Département des Deux-Sèvres, à
quatre
lieues de Niort. 3. Le préfet des Deux-Sèvres, M
. 3, 215. 2. Département des Deux-Sèvres, à quatre lieues de Niort.
3.
Le préfet des Deux-Sèvres, M. de Saint-Georges, p
rd’hui il est le premier. Nous l’honorons et nous le bénissons tous.
4.
Petit bourg du département de Lot-et-Garonne, à 8
e bénissons tous. 4. Petit bourg du département de Lot-et-Garonne, à
8
lieues d’Agen, et dont Marmande est le chef-lieu.
tignac : il a volé une somme, et le chef-lieu a suivi le mouvement.
5.
Et en effet, au moment même où le Conseil Municip
crait une statue monumentale. Voici ce qu’on lit dans les journaux du
7
juillet 1843 :« Le célèbre sculpteur Haenel vient
statue monumentale. Voici ce qu’on lit dans les journaux du 7 juillet
1843
:« Le célèbre sculpteur Haenel vient de terminer
1843 :« Le célèbre sculpteur Haenel vient de terminer les modèles de
trois
statues colossales, de Beethoven, de Shakespeare
re de Carare, pour orner la façade du nouveau théâtre de Dresde. »
6.
Un témoin raconte que le matin même du jour où Mo
e beaucoup avant de mourir. Je sens bien que je finis, mais il y a là
cinquante
pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
t faire absolument. Il joua donc, et cet effort lui coûta la vie.
7.
« La postérité saura peut-être la fin de ce poèt
d homme qui eut le malheur de les écrire. Voyez Œuvres de Bossuet, t.
37,
p. 545, édition de Lebel. 8. Consultez l’excelle
es écrire. Voyez Œuvres de Bossuet, t. 37, p. 545, édition de Lebel.
8.
Consultez l’excellent rapport sur la fontaine de
aine de Molière, fait au conseil municipal de Paris dans sa séance du
11
juin 1839, par M. Boulay de la Meurthe. 9. Aujou
Molière, fait au conseil municipal de Paris dans sa séance du 11 juin
1839,
par M. Boulay de la Meurthe. 9. Aujourd’hui rue
e Paris dans sa séance du 11 juin 1839, par M. Boulay de la Meurthe.
9.
Aujourd’hui rue Fontaine-Molière. 10. Voir la no
, par M. Boulay de la Meurthe. 9. Aujourd’hui rue Fontaine-Molière.
10.
Voir la note A a la fin de la brochure. 11. Voir
i rue Fontaine-Molière. 10. Voir la note A a la fin de la brochure.
11.
Voir sur l’architecture du monument la note B à l
ir sur l’architecture du monument la note B à la fin de la brochure.
12.
Molière est mort le 17 février vers six heures du
monument la note B à la fin de la brochure. 12. Molière est mort le
17
février vers six heures du soir en 1673, âgé de 5
e B à la fin de la brochure. 12. Molière est mort le 17 février vers
six
heures du soir en 1673, âgé de 51 ans. A quatre h
chure. 12. Molière est mort le 17 février vers six heures du soir en
1673,
âgé de 51 ans. A quatre heures, il avait joué dan
olière est mort le 17 février vers six heures du soir en 1673, âgé de
51
ans. A quatre heures, il avait joué dans le Malad
mort le 17 février vers six heures du soir en 1673, âgé de 51 ans. A
quatre
heures, il avait joué dans le Malade Imaginaire.
rentra dans sa maison, rue de Richelieu (qui porte aujourd’hui le n.
34
). Il expira au bout de quelques heures entre les
hui le n. 34). Il expira au bout de quelques heures entre les bras de
deux
sœurs de Charité qui quêtaient pour les pauvres e
nt pour les pauvres et auxquelles il donnait l’hospitalité chez lui.
13.
Les parents de Molière avaient leur boutique de t
r sous les piliers des Halles, mate Molière est né rue Saint-Honoré.
14.
On l’accusa d’avoir épousé sa propre fille. Il dé
laine Béjart avec laquelle on suppose qu’il avait eut des relations.
15.
Louis XIV teint sur les fonts baptismaux le premi
ière, avec Henriette d’Angleterre. Cette enfant qui portait le nom de
Louis
ne vécut pas. 16. Armande Béjart, jeune sœur d’A
d’Angleterre. Cette enfant qui portait le nom de Louis ne vécut pas.
16.
Armande Béjart, jeune sœur d’Armande Béjart et ac
sœur d’Armande Béjart et actrice comme elle de la troupe de Molière.
17.
On a longtemps supposé que le duc de Montausier a
ubliée par le libraire Lefebvre) ne laissent aucun doute à ce sujet.
18.
L’enterrement fut fait par deux prêtres qui accom
) ne laissent aucun doute à ce sujet. 18. L’enterrement fut fait par
deux
prêtres qui accompagnèrent le corps sans chanter.
lle de Saint-Joseph, rue Montmartre ; tous ses amis étaient présents.
22
ans plus tard, La Fontaine fut enterré dans le mê
s. 22 ans plus tard, La Fontaine fut enterré dans le même cimetière.
19.
La première statue élevée à Molière, l’a été par
Chapitre
XXXVII
et dernier 1679 et 1680 (fin de la huitième pé
Chapitre XXXVII et dernier
1679
et 1680 (fin de la huitième période). — Mademoise
Chapitre XXXVII et dernier 1679 et
1680
(fin de la huitième période). — Mademoiselle De F
e triomphe de madame de Maintenon est celui de la société polie. Ces
deux
années amenèrent enfin le dénouement des difficul
de madame de Maintenon, de madame de Montespan et des maîtresses. Le
27
février 1679, madame de Sévigné écrit au comte de
de Maintenon, de madame de Montespan et des maîtresses. Le 27 février
1679,
madame de Sévigné écrit au comte de Bussy-Rabutin
hangements d’amours à la cour ; le temps nous en éclaircira133 ». Le
12
mars, le marquis de Brichanteau écrit : « Madame
marquis de Brichanteau écrit : « Madame de Montespan partit, mercredi
15
de ce mois, brusquement de Saint-Germain pour Par
antaisie, et dont elle ignorait toujours l’importante conséquence. Le
1er
avril 1679, elle écrit à madame de Saint-Géran so
et dont elle ignorait toujours l’importante conséquence. Le 1er avril
1679,
elle écrit à madame de Saint-Géran son amie : «
e a un esprit bien fait ; que ma conduite, dont elle avait été témoin
dix
ans de suite, démentait tous ses soupçons ; que j
mes peines et à m’en consoler avec vous. » Quelques jours après (le
19
avril), on voit dans une nouvelle lettre à madame
condition dans le sein de son amie. « Le roi, lui écrit-elle, a passé
deux
heures dans mon cabinet ; c’est l’homme le plus a
entre eux, en parle ainsi à madame de Saint-Géran dans une lettre du
4
mai : « Le roi eut hier une conversation fort vi
int. Madame de Maintenon écrit à ce sujet à madame de Saint-Géran, le
26
mai : « Le roi fuit avec trop d’affectation madam
la cour. La querelle recommence entre elle et madame de Maintenon. Le
14
juin, celle-ci écrit à son amie, madame de Saint-
erche à être sa maîtresse (du roi). Mais, lui ai-je dit, il en a donc
trois
? Oui, m’a-t-elle répondu : moi de nom, cette fil
et d’une lettre plaisante de madame de Sévigné à sa fille, en date du
24
novembre. Et cependant madame de Montespan obtena
dame de Montespan obtenait encore des retours de quelques moments. Le
2
août, madame de Maintenon écrivait à son amie : «
nsulte et m’écoute. »Sa douceur venait du sentiment de son déclin. Le
28
octobre, madame de Maintenon écrivait à madame de
à madame de Montespan134. De plus, Sa Majesté va très souvent passer
deux
heures de l’après-dîner dans la chambre de madame
uva le matin dans la cour de Saint-Germain un très beau carrosse tout
neuf
, à huit chevaux, avec chiffres, plusieurs chariot
atin dans la cour de Saint-Germain un très beau carrosse tout neuf, à
huit
chevaux, avec chiffres, plusieurs chariots et fou
neuf, à huit chevaux, avec chiffres, plusieurs chariots et fourgons,
quatorze
mulets, beaucoup de gens autour habillés de gris
Adrets seulement, et des carrosses de suite pour les femmes135. » Le
6
mars, il y eut bal à Villers-Cotterets : « madame
La Vallière. Madame de Montespan dansa très bien… Fontanges mal. » Le
6
avril, cette belle est nommée duchesse, avec 20 0
n… Fontanges mal. » Le 6 avril, cette belle est nommée duchesse, avec
20
000 écus de pension… Malheureusement, dans le cou
Fontanges mal. » Le 6 avril, cette belle est nommée duchesse, avec 20
000
écus de pension… Malheureusement, dans le cours d
es de guérison ; mais on lit dans une lettre de madame de Sévigné, du
14
juillet suivant : « Vous aurez ri de cette person
ge de Livry. » (À Chelles, dont sa sœur avait été nommée abbesse.) Le
17,
madame de Sévigné raconte des détails du voyage :
e Sévigné raconte des détails du voyage : « Madame de Fontanges avait
quatre
carrosses à six chevaux, le sien à huit. Toutes s
es détails du voyage : « Madame de Fontanges avait quatre carrosses à
six
chevaux, le sien à huit. Toutes ses sœurs y étaie
« Madame de Fontanges avait quatre carrosses à six chevaux, le sien à
huit
. Toutes ses sœurs y étaient avec elle ; mais tout
erdant tout son sang, pâle, changée, accablée de tristesse, méprisant
40
mille écus de rente et un tabouret qu’elle a, et
ant tout son sang, pâle, changée, accablée de tristesse, méprisant 40
mille
écus de rente et un tabouret qu’elle a, et voulan
’elle a, et voulant la santé et le cœur du roi qu’elle n’a pas. » Le
21
juillet, madame de Sévigné écrit : « La place me
e refroidissement. Madame de Sévigné nous apprend, dans une lettre du
5
juin, que « le roi la console de cette disgrâce.
s conversations sont d’une longueur à faire rêver tout le monde ». Le
9
juin, elle écrivait : « La faveur de madame de Ma
s ; celle de Quantova (madame de Montespan) diminue à vue d’œil. » Le
21
: « On me mande que les conversations de S. M. av
de Maintenon ne font que croître et embellir, qu’elles durent depuis
six
heures jusqu’à dix, que la bru (madame la dauphin
nt que croître et embellir, qu’elles durent depuis six heures jusqu’à
dix
, que la bru (madame la dauphine) y va quelquefois
chicane et sans contrainte ; il en paraît charmé. » Cette lettre du
21
juin renferme tout le secret de la faveur dont jo
it madame de Maintenon, et de celle où elle devait parvenir. Autre du
11
septembre : « La faveur de madame de Maintenon es
pan et chez madame de Fontanges, qui est toujours languissante. » Du
18
septembre : « Je ne sais auquel des courtisans la
Cette dame de Maintenon ou de Maintenant passe tous les soirs, depuis
huit
heures jusqu’à dix, avec S. M. M. de Chamarante l
non ou de Maintenant passe tous les soirs, depuis huit heures jusqu’à
dix
, avec S. M. M. de Chamarante la mène et la ramène
mène et la ramène à la face de l’univers136. » Je remarque ici qu’en
1680,
époque du premier éclat de cette insigne faveur,
e du premier éclat de cette insigne faveur, madame de Maintenon avait
quarante-cinq
ans ; et cette circonstance fixe la date inconnue
ls. Cette lettre est en réponse aux félicitations de la comtesse. « À
quarante-cinq
ans, dit madame de Maintenon, il n’est plus temps
e renvoie toujours affligé, jamais désespéré. » On se rappelle qu’en
1672
elle écrivait à madame de Saint-Géran : « Le maît
une âme délicate, pas une femme qui ne sente une différence entre les
deux
locutions, et ne se plaise à en discerner le cara
ise à en discerner le caractère d’après les circonstances. Le roi, en
1672,
essayait ses premières séductions, et son but éta
2, essayait ses premières séductions, et son but était le plaisir. En
1680,
la liaison était formée, l’affection morale avait
i et surtout de posséder le cœur et d’obtenir un tendre retour. Quand
Louis
s’en retournait, en 1672, désespéré, mais non reb
e cœur et d’obtenir un tendre retour. Quand Louis s’en retournait, en
1672,
désespéré, mais non rebuté, les désirs des sens é
aimable et charmé, n’était pas rebuté, ou ne se rebutait pas. Mais en
1680,
à Versailles, le prince galant et libertin était
il n’était pas désespéré. Est-ce ainsi qu’il faut l’entendre137 ? Le
28
juin 1681, madame de Fontanges, qui s’était retir
it pas désespéré. Est-ce ainsi qu’il faut l’entendre137 ? Le 28 juin
1681,
madame de Fontanges, qui s’était retirée à l’abba
e tristesse profonde et suspendirent le cours de ses dérèglements. Le
24
août, madame de Maintenon écrivait à madame de Sa
u conclure de cette lettre que l’expulsion des protestants, opérée en
1683,
était projetée dès 1680, et que madame de Mainten
e que l’expulsion des protestants, opérée en 1683, était projetée dès
1680,
et que madame de Maintenon, qui dès lors était da
cains, et de dangereux ennemis du pouvoir royal. Ils frappaient ainsi
deux
ennemis à la fois. L’orgueil du prince le plus ja
cution des protestants, d’autres circonstances vinrent l’irriter. Dès
1677,
les remontrances de l’assemblée du clergé, ou les
eils du chancelier Le Tellier et du marquis de Louvois son fils, tous
deux
ennemis de Colbert, qui protégeait les protestant
e, qui était atterré, dit Saint-Simon, par le poids d’un armistice de
vingt
années, à peine commencées, et qui voulait rendre
ersécution des huguenots, (elles furent les causes des dragonnades de
1683
et 1684. La révocation de l’édit de Nantes, qui e
on des huguenots, (elles furent les causes des dragonnades de 1683 et
1684.
La révocation de l’édit de Nantes, qui eut lieu e
s de 1683 et 1684. La révocation de l’édit de Nantes, qui eut lieu en
1685,
était l’inévitable conséquence des dragonnades. O
pables. Il faut attirer les hommes par la douceur et la charité. » En
1684,
elle écrivait à madame de Saint-Géran : « Il faut
ujet. Je reviens aux faits et j’en reprends la suite. Au mois de mars
1682,
le roi s’établit à Versailles. Il exila plusieurs
né de leurs mœurs. Madame de Maintenon écrit à ce sujet à Gobelin, le
2
juin, de Saint-Germain, une lettre où se trouvent
e temps bannies. « On est ici dans la plus grande joie », écrivait le
7
août madame de Maintenon à madame de Saint-Géran
fs, du changement arrivé dans la situation de la reine. Elle écrit le
1er
novembre 1682, de Maintenon, à la comtesse de Sai
ment arrivé dans la situation de la reine. Elle écrit le 1er novembre
1682,
de Maintenon, à la comtesse de Saint-Géran : « La
nheur de Marie-Thérèse dura peu. Elle mourut à Versailles le vendredi
30
juillet 1683, âgée de quarante-cinq ans. Le roi,
rie-Thérèse dura peu. Elle mourut à Versailles le vendredi 30 juillet
1683,
âgée de quarante-cinq ans. Le roi, fort affligé,
ra peu. Elle mourut à Versailles le vendredi 30 juillet 1683, âgée de
quarante-cinq
ans. Le roi, fort affligé, se retira à Marly : ma
fort affligé, se retira à Marly : madame de Maintenon l’y suivit. Le
10
septembre, elle écrivait de Fontainebleau à madam
« Je sais », dit celle-ci à madame de Saint-Géran, dans sa lettre du
18
novembre, « je sais qu’elle a dit au roi que je m
s et qui donne le moins dans les pièges… » Vers le milieu de l’année
1685,
le roi épousa madame de Maintenon, un peu plus de
eu de l’année 1685, le roi épousa madame de Maintenon, un peu plus de
deux
ans après la mort de Marie-Thérèse. Je m’arrête i
ersation avait marié des âmes faites pour s’aimer ; le mariage de ces
deux
aines était consommé, en pleine fécondité, quand
lie, jetons un dernier regard sur les personnages qui la composent en
1680,
rassemblons-les dans notre pensée : leur aspect s
église qui en faisaient partie. Les femmes célèbres qui restaient, en
1680,
de la société de Rambouillet, étaient Madeleine d
, de la société de Rambouillet, étaient Madeleine de Scudéry, âgée de
73
ans : elle en vécut 16 au-delà ; Ninon de Lenclos
ouillet, étaient Madeleine de Scudéry, âgée de 73 ans : elle en vécut
16
au-delà ; Ninon de Lenclos, âgée de 64 : elle en
âgée de 73 ans : elle en vécut 16 au-delà ; Ninon de Lenclos, âgée de
64
: elle en vécut encore 26 ; madame de Sévigné, âg
écut 16 au-delà ; Ninon de Lenclos, âgée de 64 : elle en vécut encore
26
; madame de Sévigné, âgée de 54 : elle en vécut e
os, âgée de 64 : elle en vécut encore 26 ; madame de Sévigné, âgée de
54
: elle en vécut encore 16 ; madame Deshoulières,
écut encore 26 ; madame de Sévigné, âgée de 54 : elle en vécut encore
16
; madame Deshoulières, âgée de 42 : elle en vécut
, âgée de 54 : elle en vécut encore 16 ; madame Deshoulières, âgée de
42
: elle en vécut 34 au-delà ; madame de La Sablièr
en vécut encore 16 ; madame Deshoulières, âgée de 42 : elle en vécut
34
au-delà ; madame de La Sablière, âgée de 33 : ell
gée de 42 : elle en vécut 34 au-delà ; madame de La Sablière, âgée de
33
: elle en vécut encore 13. Restaient avec madame
34 au-delà ; madame de La Sablière, âgée de 33 : elle en vécut encore
13.
Restaient avec madame de Sévigné : madame de Grig
Coulanges, sa cousine. Je ne nomme pas madame de Motteville, âgée de
60
ans : elle voyait peu de monde. Elle finit sa vie
iselle de Villette, cousine germaine de madame de Maintenon, âgée, en
1680,
de 8 ans seulement ; madame d’Heudicourt, à qui L
Villette, cousine germaine de madame de Maintenon, âgée, en 1680, de
8
ans seulement ; madame d’Heudicourt, à qui Louis
e des mœurs, ou le rachetait. « Après la paix de Nimègue, conclue en
1678,
Louis, dit Voltaire, fut au comble de la grandeur
mœurs, ou le rachetait. « Après la paix de Nimègue, conclue en 1678,
Louis
, dit Voltaire, fut au comble de la grandeur. Vict
en tout genre à ses ennemis réunis, la terreur « de l’Europe pendant
six
années de suite, enfin son arbitre et son pacific
rieux de leur valeur et de leurs talents. Turenne n’était plus depuis
1675.
Mais les maréchaux de Luxembourg, de Créqui, d’Hu
rs à la cour. L’un avait fermé à Charles IV l’entrée de la Lorraine ;
deux
autres avaient pris Condé, Bouchain, Valenciennes
deux autres avaient pris Condé, Bouchain, Valenciennes, Saint-Omer ;
deux
autres avaient combattu les Espagnols au pied des
ssac, les terres qui avaient autrefois fait partie de l’Alsace ou des
trois
Évêchés. Aucun des possesseurs n’y put mettre obs
ns les Pays-Bas, Alost. Il acheta Casal du duc de Mantoue. Les années
1680,
1681, 1682 virent Brest, Toulon, Dunkerque, le Ha
Pays-Bas, Alost. Il acheta Casal du duc de Mantoue. Les années 1680,
1681,
1682 virent Brest, Toulon, Dunkerque, le Havre, R
Bas, Alost. Il acheta Casal du duc de Mantoue. Les années 1680, 1681,
1682
virent Brest, Toulon, Dunkerque, le Havre, Rochef
s ports immenses, fortifiés, munis d’arsenaux et de magasins. Plus de
cent
vaisseaux de ligne se montrèrent dans ces ports.
s le même temps, Huningue, Sar-Louis, Sarrebruck, Mont-Royal, plus de
cent
citadelles étaient fortifiées par Vauban. Dans c
arts y furent rois en honneur et les plaisirs enivraient la cour. En
1680,
il ne restait des anciens habitués de l’hôtel Ram
ait des anciens habitués de l’hôtel Rambouillet que Chapelain, âgé de
85
ans ; Cottin, âgé de 70 ; tous deux finissant leu
de l’hôtel Rambouillet que Chapelain, âgé de 85 ans ; Cottin, âgé de
70
; tous deux finissant leur vie entre la caducité
l Rambouillet que Chapelain, âgé de 85 ans ; Cottin, âgé de 70 ; tous
deux
finissant leur vie entre la caducité et la décrép
lle donna son dernier ouvrage, la tragédie de Suréna. Il vécut encore
six
ans, dans la retraite et la dévotion. Il traduisi
six ans, dans la retraite et la dévotion. Il traduisit l’Imitation en
1681.
Ce qui restait alors de la splendeur poétique de
de la splendeur poétique de la France, c’étaient La Fontaine, âgé de
56
ans ; Boileau, de 44 ; Racine, de 41 ; Quinault,
ique de la France, c’étaient La Fontaine, âgé de 56 ans ; Boileau, de
44
; Racine, de 41 ; Quinault, de 45. On voyait à l’
e, c’étaient La Fontaine, âgé de 56 ans ; Boileau, de 44 ; Racine, de
41
; Quinault, de 45. On voyait à l’horizon, Regnard
ntaine, âgé de 56 ans ; Boileau, de 44 ; Racine, de 41 ; Quinault, de
45.
On voyait à l’horizon, Regnard, âgé de 33 ans ; C
cine, de 41 ; Quinault, de 45. On voyait à l’horizon, Regnard, âgé de
33
ans ; Campistron, de 24 ; Dancourt, de 19 ; plus
de 45. On voyait à l’horizon, Regnard, âgé de 33 ans ; Campistron, de
24
; Dancourt, de 19 ; plus loin, J.-B. Rousseau, âg
l’horizon, Regnard, âgé de 33 ans ; Campistron, de 24 ; Dancourt, de
19
; plus loin, J.-B. Rousseau, âgé de 11 ans ; La M
mpistron, de 24 ; Dancourt, de 19 ; plus loin, J.-B. Rousseau, âgé de
11
ans ; La Mothe, de 8 ; Duché, de 12 ; Crébillon,
ourt, de 19 ; plus loin, J.-B. Rousseau, âgé de 11 ans ; La Mothe, de
8
; Duché, de 12 ; Crébillon, de 6. Marivaux n’exis
plus loin, J.-B. Rousseau, âgé de 11 ans ; La Mothe, de 8 ; Duché, de
12
; Crébillon, de 6. Marivaux n’existait point enco
usseau, âgé de 11 ans ; La Mothe, de 8 ; Duché, de 12 ; Crébillon, de
6.
Marivaux n’existait point encore. Ce qui restait
ncore. Ce qui restait d’écrivains en prose, c’étaient Mézerai, âgé de
70
ans, qui n’en vécut plus que 3 ; Saint-Évremond,
s en prose, c’étaient Mézerai, âgé de 70 ans, qui n’en vécut plus que
3
; Saint-Évremond, âgé de 67 ans, qui en vécut enc
ai, âgé de 70 ans, qui n’en vécut plus que 3 ; Saint-Évremond, âgé de
67
ans, qui en vécut encore 23, mais en Angleterre ;
vécut plus que 3 ; Saint-Évremond, âgé de 67 ans, qui en vécut encore
23,
mais en Angleterre ; Ménage, aussi dans sa 67e an
s, qui en vécut encore 23, mais en Angleterre ; Ménage, aussi dans sa
67e
année, qui en vécut encore 12 à compiler ; Péliss
en Angleterre ; Ménage, aussi dans sa 67e année, qui en vécut encore
12
à compiler ; Pélisson, âgé de 66 ans, qui en vécu
ns sa 67e année, qui en vécut encore 12 à compiler ; Pélisson, âgé de
66
ans, qui en vécut encore 17 à convertir des prote
t encore 12 à compiler ; Pélisson, âgé de 66 ans, qui en vécut encore
17
à convertir des protestants. Parmi ces débris s’é
ts. Parmi ces débris s’élèvent de toute leur grandeur Bossuet, âgé de
53
ans ; Fléchier et Bourdaloue, l’un et l’autre âgé
suet, âgé de 53 ans ; Fléchier et Bourdaloue, l’un et l’autre âgés de
48
; Bayle, âgé de 37. Près deux croissent Fontenell
; Fléchier et Bourdaloue, l’un et l’autre âgés de 48 ; Bayle, âgé de
37.
Près deux croissent Fontenelle, âgé de 23 ans ; F
er et Bourdaloue, l’un et l’autre âgés de 48 ; Bayle, âgé de 37. Près
deux
croissent Fontenelle, âgé de 23 ans ; Fénelon, de
âgés de 48 ; Bayle, âgé de 37. Près deux croissent Fontenelle, âgé de
23
ans ; Fénelon, de 19 ; Massillon, de 17. Les noms
gé de 37. Près deux croissent Fontenelle, âgé de 23 ans ; Fénelon, de
19
; Massillon, de 17. Les noms des Bossuet, Fléchie
croissent Fontenelle, âgé de 23 ans ; Fénelon, de 19 ; Massillon, de
17.
Les noms des Bossuet, Fléchier, Bourdaloue, Fénel
es distribués comme au théâtre (le motet traduit en vers français par
LL
**), les entrevues et les rendez-vous fréquents, l
sociale, douce, heureuse, et faire envie à tout le monde civilisé.
133.
Second supplément des lettres de Bussy-Rabutin.
nde civilisé. 133. Second supplément des lettres de Bussy-Rabutin.
134.
Lettres de madame de Sévigné du 20 mars et du 6 a
t des lettres de Bussy-Rabutin. 134. Lettres de madame de Sévigné du
20
mars et du 6 avril. 135. Lettre de madame de Sév
de Bussy-Rabutin. 134. Lettres de madame de Sévigné du 20 mars et du
6
avril. 135. Lettre de madame de Sévigné du 28 fé
abutin. 134. Lettres de madame de Sévigné du 20 mars et du 6 avril.
135.
Lettre de madame de Sévigné du 28 février. 136.
évigné du 20 mars et du 6 avril. 135. Lettre de madame de Sévigné du
28
février. 136. Charamante avait été un des quatre
mars et du 6 avril. 135. Lettre de madame de Sévigné du 28 février.
136.
Charamante avait été un des quatre premiers valet
de madame de Sévigné du 28 février. 136. Charamante avait été un des
quatre
premiers valets de chambre du roi. Il était maîtr
s de chambre du roi. Il était maître d’hôtel de madame la dauphine.
137.
Le lecteur aimerait à trouver ici de nouvelles no
ici de nouvelles notions sur la figure et la taille de cette femme de
quarante-cinq
ans, dont la résistance affligeait le roi le plus
e affligeait le roi le plus galant du monde, et plus jeune qu’elle de
trois
ans. Jr regrette de ne pouvoir donner cette satis
ocument historique sur le personnel de madame de Maintenon à l’âge de
quarante-cinq
ans ; mais comme j’aime autant qu’un autre à me l
rapporte à l’époque du mariage de madame de Maintenon avec Louis XIV,
deux
ans plus tard que l’époque où nous sommes arrêtés
émoire. « Madame de Maintenon, » dit madame de Genlis, « avait alors
quarante-sept
ans. Mais ayant pris depuis deux ans beaucoup d’e
me de Genlis, « avait alors quarante-sept ans. Mais ayant pris depuis
deux
ans beaucoup d’embonpoint, sans rien perdre de la
ans une telle intimité sans en être passionnément amoureux. En effet,
Louis
réunissait sur elle tous les sentiments de son cœ
cœur, l’admiration, l’amitié, la confiance et l’amour. » (Genlis, t.
II
, p. 93). 138. T. XIII, p. 111 et suiv. 139. Le
ation, l’amitié, la confiance et l’amour. » (Genlis, t. II, p. 93).
138.
T. XIII, p. 111 et suiv. 139. Lettres de Madame,
t l’amour. » (Genlis, t. II, p. 93). 138. T. XIII, p. 111 et suiv.
139.
Lettres de Madame, t. I, p. 84. 140. Lettres, p.
, p. 93). 138. T. XIII, p. 111 et suiv. 139. Lettres de Madame, t.
I
, p. 84. 140. Lettres, p. 151. 141. Lettres, p.
138. T. XIII, p. 111 et suiv. 139. Lettres de Madame, t. I, p. 84.
140.
Lettres, p. 151. 141. Lettres, p. 175. 142. C’
t suiv. 139. Lettres de Madame, t. I, p. 84. 140. Lettres, p. 151.
141.
Lettres, p. 175. 142. C’est une fausse vue de c
Madame, t. I, p. 84. 140. Lettres, p. 151. 141. Lettres, p. 175.
142.
C’est une fausse vue de considérer le mariage de
t peut-être donnée sans elle, et elle ne l’eût pas donnée sans lui.
143.
Caractères, chap. xiii, de la mode. 144. Carac
eût pas donnée sans lui. 143. Caractères, chap. xiii, de la mode.
144.
Caractères, chap. xiv.
lui appartenir : le prince jugea le poète, et le poète jugea le roi.
Louis
ouvrit l’entrée de sa cour à l’auteur comique, co
. Mais rien n’est funeste à la comédie comme ces époques où il existe
mille
tyrans subalternes, qui forment une espèce d’assu
de. L’occasion était heureuse, et Molière l’avait habilement choisie.
Louis
, brillant de jeunesse, commençait à déployer cett
olupté, que le poète sollicita la permission de faire représenter les
trois
premiers actes d’une comédie qui n’était pas enco
n grand roi est à peine assez grande contre la colère des dévots ; et
Louis
, qui avait une volonté ferme et prompte, sentit q
te ne manqua pas de le dire aux flatteurs empressés de le répéter. En
1662,
le roi était en Lorraine à la tête de son armée ;
ée ; son ancien précepteur, l’évêque de Rhodes, assistait au souper ;
Louis
l’engagea à y prendre part : « Je ne ferai qu’une
pauvre homme ! Molière était du voyage ; il écouta et il écrivit. Les
trois
premiers actes du Tartuffe, représentés à Versail
it. Les trois premiers actes du Tartuffe, représentés à Versailles le
16
mai 1664, le furent encore à Villers-Cotterêts ch
trois premiers actes du Tartuffe, représentés à Versailles le 16 mai
1664,
le furent encore à Villers-Cotterêts chez Monsieu
e 16 mai 1664, le furent encore à Villers-Cotterêts chez Monsieur, le
24
septembre suivant, en présence du roi et de toute
suivant, en présence du roi et de toute la famille royale. Enfin, le
29
novembre de la même année, on joua la pièce entiè
s reproche, il était donc intéressé lui-même à ce qu’il parut ; après
trois
ans d’épreuve il en permit la représentation. Mai
ceste, il a pour les méchants des haines vigoureuses. Ce fut enfin le
5
août 1667 que Molière, usant de la permission qu’
il a pour les méchants des haines vigoureuses. Ce fut enfin le 5 août
1667
que Molière, usant de la permission qu’il avait o
peler du premier président au monarque, et ce fut sa première pensée.
Deux
acteurs, La Thorillière et La Grange, furent envo
blic qui se renouvelle de jour en jour ; il excite au même moment sur
vingt
scènes diverses les transports de l’élite d’une n
siècles et sous tous les règnes ! Le dénouement du Tartuffe consacre
deux
souvenirs glorieux pour Louis XIV ; il rappelle q
ui permit le Tartuffe, il applaudit encore le roi qui vengea Molière.
Louis
devina juste en lui prêtant son appui : la reconn
lui revêtus ; Et, dans son cabinet, que sa muse en campagne Vole dans
mille
auteurs les sottises d’Espagne : Mais le siècle l
avait pas défendu Don Juan, mais qu’il avait fait jouer à sa cour les
trois
premiers actes du Tartuffe, qu’il avait assisté d
nté au roi dans l’intervalle qui s’écoula entre la représentation des
trois
premiers actes à Versailles, et le moment où il f
is de jouer la pièce pour la première fois en public, c’est-à-dire de
1664
à 1667. Et précisément, le libelle signé Rochemon
ouer la pièce pour la première fois en public, c’est-à-dire de 1664 à
1667.
Et précisément, le libelle signé Rochemont a paru
de 1664 à 1667. Et précisément, le libelle signé Rochemont a paru en
1665,
et il a été imprimé chez Nicolas Pepingue, marcha
archand libraire, par permission de M. le baillif du palais, datée du
8
avril de la même année. Telle est, à coup sûr, l’
tions, enfante chef-d’œuvre sur chef-d’œuvre ; qui, après l’essai des
trois
premiers actes du Tartuffe sur le théâtre de Vers
président, Amphitryon, L’Avare, et George Dandin ? Le premier de ces
trois
ouvrages peut donner lieu à une remarque curieuse
ort de la comédie du Tartuffe, ne disent rien de celle de Scaramouche
4.
» « La raison de cela, répondit le prince, c’est
es seuls écrits par lesquels il ait cru devoir se défendre devant ses
deux
protecteurs, le public et le monarque. Quelques a
é une Lettre sur la comédie de l’Imposteur, qui parut sous la date du
20
août 1667, c’est-à-dire quinze jours après la déf
ttre sur la comédie de l’Imposteur, qui parut sous la date du 20 août
1667,
c’est-à-dire quinze jours après la défense de la
de l’Imposteur, qui parut sous la date du 20 août 1667, c’est-à-dire
quinze
jours après la défense de la pièce par le premier
s rapports, de l’attention des critiques et des moralistes. Lorsqu’en
1667
Molière, sur une permission verbale du roi, donna
sta voluptate, dont la traduction française a été imprimée à Paris en
1505,
et se trouve citée dans le Dictionnaire étymologi
rd, comme beaux petits saints, S’en allaient en pèlerinage, C’étaient
deux
vrais tartufs, deux archipatelins. Il paraît que
ts saints, S’en allaient en pèlerinage, C’étaient deux vrais tartufs,
deux
archipatelins. Il paraît que le costume du perso
cessions n’avaient pas désarmé la colère des dévots. Ce ne fut que le
5
février 1669, c’est-à-dire dix-huit mois après la
’avaient pas désarmé la colère des dévots. Ce ne fut que le 5 février
1669,
c’est-à-dire dix-huit mois après la défense du Ta
é la colère des dévots. Ce ne fut que le 5 février 1669, c’est-à-dire
dix-huit
mois après la défense du Tartuffe par le premier
as le seul changement qu’il ait fait à sa pièce dans l’intervalle des
dix-huit
mois où elle fut défendue, quoi qu’en disent les
taillée de chaque scène que donne de l’ouvrage joué une seule fois en
1667
l’auteur de la Lettre sur la comédie de l’Imposte
ts de plusieurs personnes vraiment pieuses ; il en citait tour à tour
six
ou sept qu’il montrait comme réunissant tous les
yse avec le plus grand soin, et presque mot à mot, la scène entre les
deux
beaux-frères, n’y fait aucune mention de ces port
frères, n’y fait aucune mention de ces portraits, et qu’il a parlé de
six
ou sept dans celle de l’exposition. Il est certai
is, apprenant la trahison du scélérat, veut absolument lui couper les
deux
oreilles, et même l’assommer pour sortir d’affair
it convaincu que le fameux Bernagasse, joué à la comédie italienne en
1667,
a été imité du Tartuffe, et n’a paru qu’après lui
aurait pu s’assurer que ce même sujet fut mis au Théâtre français en
1708,
sous le titre de Dom Basilique Bernagasse, comédi
n 1708, sous le titre de Dom Basilique Bernagasse, comédie anonyme en
six
actes et en prose, divisée en deux parties dont l
ique Bernagasse, comédie anonyme en six actes et en prose, divisée en
deux
parties dont la première, selon l’auteur de La Bi
vrai, un père de famille simple et crédule. Ce père, nommé Lisée, a
cinq
filles. Le mariage des unes à faire, celui des au
e frère revient à Milan, où se passe la scène, et la ressemblance des
deux
ménechmes complique de plus en plus l’intrigue, e
outes les intrigues se débrouillent, les ennemis se réconcilient, les
deux
jumeaux se reconnaissent, la paix et la joie rent
spirituelles et célestes. Pour être abbé je rien suis pas moins homme
5
; vous voyez que je suis jeune encore, vous ne de
ée Les Hypocrites. Un aventurier espagnol nommé Montufar est lié avec
deux
filles suspectes, l’une jeune et l’autre vieille
ser l’une de ses compagnes pour sa mère, et l’autre pour sa sœur. Ces
trois
personnages affectent la piété la plus fervente ;
ur leurs pas : mais un gentilhomme, qui a été jadis l’amant d’une des
deux
pèlerines, et qui connaît Montufar pour un vrai c
que auteur de Jodelet a représenté le genre de vie de Montufar et des
deux
aventurières de Séville. « Leurs lits, fort simpl
fallait pour dormir délicieusement. Leur porte en hiver se fermait à
cinq
heures, en été à sept, avec autant de ponctualité
le. Est-il vrai, dites-moi ? il se hâte de répondre : Il m’en a dit
deux
mots ; mais, madame, à vrai dire, Ce n’est pas le
ommencé sous les Tellier et sous les Lachaise ; il a fallu sans doute
vingt
ans de succès pour qu’une glorieuse prescription
ots. Parmi les orateurs sacrés qui condamnèrent le Tartuffe il en est
deux
des plus illustres qui aient immortalisé la chair
cours qu’on juge les hommes, c’est par leurs actions ; et à peine les
deux
caractères seront mis en jeu qu’on dira : Voilà l
rise est impossible : avant de faire paraître son Tartuffe il emploie
deux
actes entiers à le peindre ; quand il entre, il e
un homme de génie, qui expira non sur la scène, mais dans les bras de
deux
religieuses, sœurs de la charité, dont il avait t
s dont on ait jamais infecté les oreilles des chrétiens ! Comment des
milliers
de voix ne lui ont-elles pas répondu que les pièc
un homme ait jamais faite sur les misères de l’humanité. Étienne.
1.
Fêtes de Versailles, sixième journée et premier p
es de Versailles, sixième journée et premier placet sur le Tartuffe.
2.
Il faudrait se consume. Mais les tartuffes, comme
ite. Ils lui reprochent cependant d’écrire d’une manière incorrecte.
3.
Et pour être Romain on n’en est pas moins homme.
te. 3. Et pour être Romain on n’en est pas moins homme. (Sertorius)
4.
Scaramouche ermite, pièce jouée à la cour, dans
paraître plusieurs fois en disant : Questo per mortificar la carne.
5.
Ah ! pour être dévot, je n’en suis pas moins homm
h ! pour être dévot, je n’en suis pas moins homme. (Le Tartuffe, acte
III
, scène 3.) 6. Je citerai avec plaisir M. Tascher
re dévot, je n’en suis pas moins homme. (Le Tartuffe, acte III, scène
3.
) 6. Je citerai avec plaisir M. Taschereau, qui a
vot, je n’en suis pas moins homme. (Le Tartuffe, acte III, scène 3.)
6.
Je citerai avec plaisir M. Taschereau, qui a fait
Chapitre
IV
. Que la critique doit être écrite avec zèle, et
e d’études sur Molière, ou dont Molière est le prétexte, je trouve, à
cinq
ans, à dix ans, à quinze ans de distance l’un de
ur Molière, ou dont Molière est le prétexte, je trouve, à cinq ans, à
dix
ans, à quinze ans de distance l’un de l’autre, tr
ou dont Molière est le prétexte, je trouve, à cinq ans, à dix ans, à
quinze
ans de distance l’un de l’autre, trois chapitres
uve, à cinq ans, à dix ans, à quinze ans de distance l’un de l’autre,
trois
chapitres à propos de Don Juan ; — c’est en vain
tes et irrésistibles raisons pour ne pas publier, tout à la fois, ces
trois
chapitres, il s’élève dans mon esprit et dans ma
ieurs bons motifs qui me poussent à reproduire, en leur ensemble, ces
trois
chapitres, écrits à des époques si diverses, et p
a façon de l’Eurus déchaîné sur les sables de l’Océan ? Étaient-ce là
deux
miracles de vengeance impitoyable, d’ironie impla
ous apprenions notre humble métier, à l’ombre féconde et libre de ces
dix-huit
ans de prospérité, sous le règne bienveillant du
le règne bienveillant du meilleur de tous les rois, la révolution de
1848,
qui faisait sourdement son chemin, éclatait parei
règne de Philippe le Bel ! Ceci dit, (il fallait le dire !) voici mes
trois
Don Juan. Le Don Juan en vers. — Thomas Corneil
utons de Panurge appliquée au vers et à la prose. Comme depuis tantôt
cent
cinquante ans la Comédie-Française s’était mise à
de Panurge appliquée au vers et à la prose. Comme depuis tantôt cent
cinquante
ans la Comédie-Française s’était mise à rimer le
s mémoires obstinées. Un Comédien-Français eût appris plus facilement
dix
mille vers du premier venu, que Le Festin de Pier
moires obstinées. Un Comédien-Français eût appris plus facilement dix
mille
vers du premier venu, que Le Festin de Pierre, te
a consolation. Mademoiselle de Brie et la vieille Laforest, voilà les
deux
amies de Molière, et ses deux véritables gardes d
Brie et la vieille Laforest, voilà les deux amies de Molière, et ses
deux
véritables gardes du corps, aussi sont-elles insé
ce pauvre cœur si facile à troubler. Puisque vous vouliez absolument
deux
femmes pour accompagner la statue de bronze de Mo
mmes pour accompagner la statue de bronze de Molière, prenez donc ces
deux
-là et vous ferez justice ; — en même temps vous a
rvante et l’élégante comédienne ; ce gros rire et ce fin sourire, ces
deux
bonnes mains, et ces deux mains si fines ; ce tab
ienne ; ce gros rire et ce fin sourire, ces deux bonnes mains, et ces
deux
mains si fines ; ce tablier et ces dentelles ; vo
sur le patron d’une pièce espagnole qu’on lui a racontée. Hier donc,
16
janvier (1665), Molière, la troupe étant réunie,
on d’une pièce espagnole qu’on lui a racontée. Hier donc, 16 janvier (
1665
), Molière, la troupe étant réunie, nous a lu cett
du sien, et qu’il s’était peu servi de la statue que l’on ne voit que
deux
ou trois fois, et laquelle prononce à peine quelq
et qu’il s’était peu servi de la statue que l’on ne voit que deux ou
trois
fois, et laquelle prononce à peine quelques parol
jamais assouvi. C’est le diable ! c’est mieux que le diable ; il est
cent
fois plus dangereux ; il a en partage l’esprit, l
tuffe ne pouvait pas avoir un plus digne auxiliaire. À ce compte, les
deux
années, l’an 1664, l’année de Tartuffe, et l’an 1
as avoir un plus digne auxiliaire. À ce compte, les deux années, l’an
1664,
l’année de Tartuffe, et l’an 1665, l’année du Fes
À ce compte, les deux années, l’an 1664, l’année de Tartuffe, et l’an
1665,
l’année du Festin de Pierre, me paraissent deux a
de Tartuffe, et l’an 1665, l’année du Festin de Pierre, me paraissent
deux
années d’une lutte terrible, d’un travail acharné
ait Sancho Pança de son vivant ; heureux âne qui porte dans sa besace
cent
fois plus de philosophie qu’Aristote n’en portait
ion impertinente. — Voilà la question ! De cette différence entre les
deux
héros l’explication est bien simple : l’un est un
rbres si doucement agités par le zéphyr printanier : — « Je crois que
deux
et deux a sont quatre, et que quatre et quatre so
doucement agités par le zéphyr printanier : — « Je crois que deux et
deux
a sont quatre, et que quatre et quatre sont huit.
gités par le zéphyr printanier : — « Je crois que deux et deux a sont
quatre
, et que quatre et quatre sont huit. » Pour ce qui
phyr printanier : — « Je crois que deux et deux a sont quatre, et que
quatre
et quatre sont huit. » Pour ce qui est de la part
anier : — « Je crois que deux et deux a sont quatre, et que quatre et
quatre
sont huit. » Pour ce qui est de la partie bouffon
Je crois que deux et deux a sont quatre, et que quatre et quatre sont
huit
. » Pour ce qui est de la partie bouffonne des deu
tre et quatre sont huit. » Pour ce qui est de la partie bouffonne des
deux
drames, elle n’est pas moindre dans l’Hamlet que
les corruptions de l’esprit et des sens. Laissez venir seulement ces
deux
corrupteurs de la morale et de l’innocence, laiss
ndre, lorsque tout d’un coup, dans les folles journées du carnaval de
1665,
Molière fit représenter une comédie intitulée : D
à la merveille, à la magie, à la statue, à peine si elle paraissait,
deux
ou trois fois, pour prononcer quelques rares et t
rveille, à la magie, à la statue, à peine si elle paraissait, deux ou
trois
fois, pour prononcer quelques rares et terribles
s en belle humeur aujourd’hui ; tant pis pour lui ; nous serons, dans
trois
jours, à la semaine sainte, et nous irons au serm
nde chère, et vive la joie ! Voilà comment parlaient les bourgeois de
1665
; car en 1665 il y avait déjà des bourgeois lettr
vive la joie ! Voilà comment parlaient les bourgeois de 1665 ; car en
1665
il y avait déjà des bourgeois lettrés tout autant
eois lettrés tout autant que messieurs les bourgeois de l’an de grâce
1852.
Ce n’est pas de ceux-là qu’on peut dire qu’ils on
ine l’ancien. Aussi le Don Juan de Molière fut-il à peine représenté,
quinze
fois, en tout un hiver. C’est qu’en effet, lorsqu
rose éloquente et forte, messieurs les comédiens ouvraient une trappe
deux
fois plus large ; ils rapetissaient la comédie, i
Don Juan ses plus belles tirades, en revanche on ajoutera un plat ou
deux
à la table de Don Juan. Ce n’est pas seulement d’
s’appelle Robert Macaire, et quand ses plus hardis paradoxes ont été
mille
fois dépassés, quand le doute, l’ironie, le blasp
ns importantes. On accueillait avec enthousiasme ces héros grandis de
vingt
coudées. On saluait avec amour, avec terreur, ce
campagne, lui a fait de sombres menaces, la mer a voulu l’engloutir,
deux
jolies filles de la campagne, deux alouettes au d
naces, la mer a voulu l’engloutir, deux jolies filles de la campagne,
deux
alouettes au doux plumage qu’il avait prises à la
e s’agit plus de séduire Charlotte et Mathurine et de leur baiser les
deux
mains lavées avec du son, il s’agit de regarder f
Don Juan. — M. Proudhon. — La Propriété c’est le vol. C’était le
11
décembre 1848, — la France venait d’entrer dans u
M. Proudhon. — La Propriété c’est le vol. C’était le 11 décembre
1848,
— la France venait d’entrer dans une nouvelle fiè
s et les autres, le nouveau souverain qu’il nous faudra aimer pendant
quatre
années ; au bout de ces quatre années : — Vous av
verain qu’il nous faudra aimer pendant quatre années ; au bout de ces
quatre
années : — Vous avez été un bon et sage prince, d
e, par Molière lui-même, la scène du pauvre qui reste effacée pendant
deux
siècles ! En vain La Bruyère l’a replacée dans un
Pierre sans la statue ; oui, mais il faut répéter qu’en l’an de grâce
1665,
la statue a tout fait passer. Toujours est-il qu’
gneur ! Oui, ce même M. Dimanche, qui vous présente un bon à payer de
dix
ans, comme si c’était une dette de la veille, ce
à ne nous dit rien qui vaille, Monseigneur. Quand l’heure aura sonné,
M
, Dimanche arrivera avant le pauvre ; le premier i
x bien, dit Plutus ; mais crois-moi, nous n’aurons pas vécu ensemble,
deux
ou trois jours, que tu ne vaudras pas grand-chose
dit Plutus ; mais crois-moi, nous n’aurons pas vécu ensemble, deux ou
trois
jours, que tu ne vaudras pas grand-chose ! — Essa
ne : il n’y a que l’Argent qui nous trouve insatiables. — Tu possèdes
treize
talents, tu en veux seize ! D’où je conclus, ô Pl
qui nous trouve insatiables. — Tu possèdes treize talents, tu en veux
seize
! D’où je conclus, ô Plutus ! que tu es le plus p
structeur de nos plus chères libertés, ce mal venu qui a fait reculer
trente-deux
millions d’hommes, le mauvais citoyen que l’exécr
nos plus chères libertés, ce mal venu qui a fait reculer trente-deux
millions
d’hommes, le mauvais citoyen que l’exécration pub
d’Aristophane où la venue du communisme était prédite, il y a tantôt
trois
mille ans. Proudhon (ou Carion) et les villageo
stophane où la venue du communisme était prédite, il y a tantôt trois
mille
ans. Proudhon (ou Carion) et les villageois. P
omédie à machines, afin que les plus beaux rêves amoureux d’un roi de
vingt
ans soient réalisés sur un théâtre ? — Quelle vie
rquer par le bruit harmonieux qu’il savait rencontrer dans le choc de
deux
casseroles de cuivre et de leurs deux couvercles
vait rencontrer dans le choc de deux casseroles de cuivre et de leurs
deux
couvercles ! Ce singe effronté et malin inventait
aître s’appelle Richelieu ou bien Louis XIV. D’abord on se déguise en
mille
habits plus étranges celui-ci que celle-là ; plus
a hotteuse aux provisions dit des gueulées avec le joueur de bâtons à
deux
bouts, pendant que la servante à tortillon se moq
core le balayeur !) était représenté par M. Séguier… M. le chancelier
trente
ans plus tard. Et M. Séguier (un futur garde des
jaillissantes, à la lueur de ces flambeaux, aux sons mélodieux de ces
vingt-quatre
violons et de ces quarante petits violons (tout u
s flambeaux, aux sons mélodieux de ces vingt-quatre violons et de ces
quarante
petits violons (tout un orchestre) conduits par L
de Liancourt, de Sénécé, de La Fayette, de Sévigné (en amazone, avec
deux
tetons ! remarquait Bensérade), ce fut de ne pas
alliope, et autres cruautés aimables, mademoiselle de Praslin, et les
trois
Mazarins, suivies de tout le corps de la musique.
composée sous l’invocation du Père Liber, étrange Dieu, accompagné de
soixante-quatre
voix, vingt-huit violes et quatorze luths ! Voilà
tion du Père Liber, étrange Dieu, accompagné de soixante-quatre voix,
vingt-huit
violes et quatorze luths ! Voilà donc comment se
trange Dieu, accompagné de soixante-quatre voix, vingt-huit violes et
quatorze
luths ! Voilà donc comment se passait la vie à Ve
s sortes de fêtes et d’amusements parmi une troupe de jeunes gens des
deux
sexes, qui tous portaient et avaient le droit de
bien peu, ou même point de mélange, parce qu’on ne peut appeler ainsi
trois
ou quatre peut-être de médiocre étoffe, qui n’y é
ou même point de mélange, parce qu’on ne peut appeler ainsi trois ou
quatre
peut-être de médiocre étoffe, qui n’y étaient adm
’autre essayait son violon dans les cuisines de la princesse. — À eux
trois
, ces grands amuseurs, ils se furent bien vite emp
s se furent bien vite emparés de Versailles, et de ses amours ; à eux
trois
, ils se mirent à célébrer les dieux nouveaux de c
urvivaient aux heures de folie. — Ainsi fut improvisé, au mois de mai
1665,
L’Amour médecin, qui a l’honneur d’être compté pa
que Sa Majesté m’ait commandés ; il a été proposé, fait et, appris en
cinq
jours… » Ainsi, le roi ne se gênait avec personne
dé de lui prendre une bicoque. Il fallait que la chose fût prête dans
cinq
jours ; la chose était prête, et si, par bonheur,
nu proverbe : « Vous êtes orfèvre, monsieur Josse » ; si la scène des
quatre
médecins est un chef-d’œuvre de gaieté, eh bien !
cendent de leur gloire pour chanter le prologue : Unissons-nous tous
trois
, d’une ardeur sans seconde, Pour donner du plaisi
i avec les années, comme ferait le parfum d’un flacon débouché depuis
deux
siècles ! Cet Amour médecin tient donc peu de pla
chanté, mimé, dansé, paré, en grand habit. — Quand il improvisait, en
trois
jours, les trois actes de L’Amour médecin, Molièr
sé, paré, en grand habit. — Quand il improvisait, en trois jours, les
trois
actes de L’Amour médecin, Molière se mettait au n
t auditoire du Théâtre-Français confondit d’un bout à l’autre, de ces
trois
petits actes, beaucoup trop allongés, le principa
de Molière a applaudi sérieusement le sonnet d’Oronte ! Le public de
1850
a sifflé, de très bonne foi, le marchand d’orviét
! À peine mort, il devint le sujet de louanges sans fin… le héros de
mille
apothéoses ! — On a même imprimé, dans ses œuvres
si les sacristies se souviennent que ce grand homme est né à Dijon le
27
septembre 1627 ! Eh ! mon Dieu ! quels honneurs o
ties se souviennent que ce grand homme est né à Dijon le 27 septembre
1627
! Eh ! mon Dieu ! quels honneurs ont suivi Montes
es nations libres et des peuples intelligents, le deuil abominable du
24
janvier ! Le bruit de ces fêtes, le bruit de ces
he de quelle façon ces royales amours ont été traitées), j’en choisis
deux
, un drame de la Gaîté, c’est-à-dire un drame quas
nal, est mieux élevé et plus poli que l’Ambigu-Comique, il a imprimé,
soixante
fois de suite, sur son affiche élégante : Madame
es lettres, et sa politesse ne lui a pas gâté sa recette, d’un écu de
six
francs. Étrange destinée de madame la duchesse de
e ; alors enfin, elle dit adieu au monde ; elle part… mais cette fois
Louis
n’ira plus la chercher ; alors il faut que Bossue
, la coutume des maîtresses royales, interrompue depuis Henri IV, par
deux
cardinaux ministres, et certes ce fut une grande
alors que la France comprit combien elle devait de reconnaissance aux
deux
maîtresses de Louis XIV ; aussi ne furent-elles j
evient chez elle et s’évanouit cette fois pour tout de bon, ainsi les
deux
premiers actes finissent par un évanouissement ;
priment le vrai au travers du prisme de l’idéal ». Dans sa préface nº
1,
M. Bulwer se plaint que jusqu’à présent Louis XIV
tées, aux ressources sans culture, « et cætera ». Dans une préface nº
2,
M. Bulwer nous raconte qu’il avait commencé par p
le théâtre de Covent-Garden, plus aveugle et plus complaisant que les
deux
autres, non seulement accepta ce chef-d’œuvre les
en tout point à l’auteur de la duchesse de La Vallière. La préface nº
3
nous prévient que l’auteur a fait à son œuvre des
fût bien subtile pour avoir été si peu regrettée. Dans une préface nº
4,
l’auteur se plaint des comédiens, race inintellig
« Le cœur d’un tourtereau bat sous cette poitrine de lion ! » Scène
III
. — Le théâtre représente les jardins de Fontaineb
e maîtresse. Quand le roi vit chastement, il nous pille, il nous vole
quatre-vingt-dix-neuf
pour cent. — Les temps sont bien changés. Nos pèr
it chastement, il nous pille, il nous vole quatre-vingt-dix-neuf pour
cent
. — Les temps sont bien changés. Nos pères, comme
de que sa lumière pour briller ! — La présence même de la grandeur de
Louis
élève l’âme au-dessus d’une vile tentation. Il se
t jusqu’à la corde. Bragelone. — « Tu mens ! » À ce : Tu mens ! nos
deux
coqs-plumets tirent leur épée. Ils se battent ; L
riez été bien aimable, vous, polisson ! » La belle compagnie ! Acte
III
. — Intérieur d’une chapelle, le tonnerre, les écl
V, quand on s’appelait madame la duchesse de Vaujours, et qu’on était
trois
fois mère, avec aussi peu de sans-gêne que si l’o
e Bossuet, autant qu’on a pu cette résolution d’un grand ridicule. » (
16
janvier 1671). Rions donc, et que madame de Monte
autant qu’on a pu cette résolution d’un grand ridicule. » (16 janvier
1671
). Rions donc, et que madame de Montespan soit con
rdonné à cette femme, en ce moment couverte de la cendre des morts ! (
4
juin 1675.) Soyons charitables, épargnons cette h
à cette femme, en ce moment couverte de la cendre des morts ! (4 juin
1675.
) Soyons charitables, épargnons cette humiliante c
valoir beaucoup parce qu’elle s’est chargée d’or, de pierreries et de
mille
autres ornements. Pour la parer, la nature s’épui
ce jargon de femme-de-chambre à propos de la vertu perdue ! » Enfin
Louis
, resté seul, se dit à lui-même : « Je verrai Lauz
, qui nécessite un surcroît de dépense, notre trésorier vous comptera
cent
mille couronnes. M. de Montespan (avec ravisseme
nécessite un surcroît de dépense, notre trésorier vous comptera cent
mille
couronnes. M. de Montespan (avec ravissement). —
mptera cent mille couronnes. M. de Montespan (avec ravissement). — «
Cent
mille couronnes ! » Eh bien ! c’est là encore me
a cent mille couronnes. M. de Montespan (avec ravissement). — « Cent
mille
couronnes ! » Eh bien ! c’est là encore mentir à
sement ce doit être, de pouvoir seulement contenter un atome du divin
Louis
; que serait-ce de remplir son âme entière ?… Per
sonore et triomphante, lui dirait que la terre n’est que l’esclave de
Louis
! » Et cette folle, qu’on fait parler ainsi trois
st que l’esclave de Louis ! » Et cette folle, qu’on fait parler ainsi
trois
pages durant, c’est madame de Montespan, cette su
a toile, tisse ; la plus forte araignée dévorera l’autre ; un de nous
deux
doit succomber. » Il paraît que dès le premier j
pirituel et licencieux copiste de Louis XIV, « que l’amour brûlant de
Louis
pour mademoiselle de La Vallière est tombé de son
heureux de Paris. »La plaisanterie n’est pas nouvelle et voici tantôt
six
ans que M. de Lauzun nous parle de ses créanciers
iselle de La Vallière une vieille écharpe qu’elle lui a donnée il y a
huit
ans ; la première personne que rencontre le moine
ui reproche d’avoir dévoré le peuple et d’avoir bu ses sueurs. : « Un
million
de soldats ont versé leur sang pour payer vos lau
Un million de soldats ont versé leur sang pour payer vos lauriers, un
million
de paysans sont morts à la peine pour vous bâtir
de Maintenon. Et que répond le roi à ces injures ? Le roi répond par
trois
bêtises insupportables : Première bêtise. — On l
le roi pour se remettre d’une alarme si chaude ? Je vous le donne en
cent
à deviner. Le roi appelle un des gens de madame d
, cela nous remet. » Et le roi boit ! Le cinquième acte est digne des
quatre
autres : rien ne marche et rien n’avance ; c’est
dire vrai, Messieurs, il y a eu de singuliers changements depuis que
Louis
et sa gloire ont disparu de la scène des vivants.
ne des vivants. Dans ma jeunesse, quand les ducs désiraient sortir, —
six
chevaux les menaient à près d’un demi-mille de ch
nd les ducs désiraient sortir, — six chevaux les menaient à près d’un
demi-mille
de chez eux ; mais aujourd’hui un duc prend ses p
is aujourd’hui un duc prend ses promenades vers la lune26 et fait son
demi-mille
en ballon ! De mon temps, les honnêtes gens qui,
e jamais sa rente. Les fonds publics ? — qui, diable, peut vivre avec
2
pour 100 ? Mais, Dieu merci ! il y a pour se cons
s sa rente. Les fonds publics ? — qui, diable, peut vivre avec 2 pour
100
? Mais, Dieu merci ! il y a pour se consoler quel
(Il en prend un.) Premières des façons nombreuses de lever le vent. “
Quarante
pour cent — nouveaux cabriolets à neuf roues !” —
un.) Premières des façons nombreuses de lever le vent. “Quarante pour
cent
— nouveaux cabriolets à neuf roues !” — “Chemin d
breuses de lever le vent. “Quarante pour cent — nouveaux cabriolets à
neuf
roues !” — “Chemin de fer de Gretna-Green, dix mi
nouveaux cabriolets à neuf roues !” — “Chemin de fer de Gretna-Green,
dix
milles à la minute, cent-vingt-cinq francs l’acti
eaux cabriolets à neuf roues !” — “Chemin de fer de Gretna-Green, dix
milles
à la minute, cent-vingt-cinq francs l’action !” M
aire des portes en gomme indiennes. Nouvelles banques qui vous paient
trois
pour cent. — Je vois ce que c’est. — Elles empoch
rtes en gomme indiennes. Nouvelles banques qui vous paient trois pour
cent
. — Je vois ce que c’est. — Elles empochent vos ce
paient trois pour cent. — Je vois ce que c’est. — Elles empochent vos
cents
et vous rendent trois ! Tout cela s’appelle des c
. — Je vois ce que c’est. — Elles empochent vos cents et vous rendent
trois
! Tout cela s’appelle des compagnies — toutes dem
la grâce en personne, — le charme, — et mademoiselle Rachel qui, dans
huit
jours de là, allait chanter La Marseillaise, une
ise, une très belle représentation du Don Juan copié sur l’édition de
1682,
délivré de ses ratures et de ses cartons, fut don
délivré de ses ratures et de ses cartons, fut donnée en l’honneur du
deux
cent vingt-cinquième anniversaire de la naissance
vré de ses ratures et de ses cartons, fut donnée en l’honneur du deux
cent
vingt-cinquième anniversaire de la naissance de M
’Espagne, élégante jeunesse, visage charmant et brun, éclairé par ces
deux
grands yeux bienveillants et étonné ? ! À la voir
ventures amoureuses, à ce damné Don Juan. Ce Don Juan est une œuvre à
mille
faces ; on le peut admirer à outrance, on le peut
ourner au drame et aux coups de théâtre. Notez bien que chacun de ces
cinq
actes de Molière, si vous le prenez à part, est u
e, elle-même, par un privilège dont elle jouit seule, a beau paraître
deux
fois, au commencement et à la fin du drame, rien
e et spirituel à la fois. Ici Charlotte, plus loin Pierrot ; pour ces
deux
êtres, ce sont vraiment deux êtres réels, bien na
Charlotte, plus loin Pierrot ; pour ces deux êtres, ce sont vraiment
deux
êtres réels, bien naïfs, bien vrais ; naïve celle
vée ; mais le beau rôle, à qui est-il ? Le beau rôle appartient à ces
deux
jeunes filles qui se défendent avec leur amour, a
t éveillé, cette suite de conséquences logiques, ce grand : peut-être
29
! poursuivi dans ses derniers retranchements par
e soit supportable, qu’il ne tienne ni à son argent, ni à sa vie, les
deux
choses que les hommes estiment le plus. De même q
fille que vous poursuiviez dans votre barque fragile, vous avez perdu
deux
jolies filles de la campagne sicilienne, deux alo
ragile, vous avez perdu deux jolies filles de la campagne sicilienne,
deux
alouettes au beau plumage que vous aviez prises à
n sens. Il ne fallait pas déranger pour si peu de leur piédestal, les
deux
statues de Pradier, la Comédie sérieuse que l’on
e l’on prendrait pour la fille aînée de M. Scribe ou de Marivaux. Ces
deux
échos d’une poésie plus remplie d’idées que d’ima
comme on dit, le bec dans l’eau, sans doute pour mieux ressembler aux
deux
statues de la fontaine Molière. 14. D’Alembert
ute pour mieux ressembler aux deux statues de la fontaine Molière.
14.
D’Alembert, Préface de l’Encyclopédie. 15. Long
la fontaine Molière. 14. D’Alembert, Préface de l’Encyclopédie.
15.
Longin, en son Traité du sublime. 16. Ceci soit
Préface de l’Encyclopédie. 15. Longin, en son Traité du sublime.
16.
Ceci soit dit à la louange de la Révolution de 18
aité du sublime. 16. Ceci soit dit à la louange de la Révolution de
1848
; on parlait en ces termes d’un respect mérité, d
it en ces termes d’un respect mérité, de S. M. la reine des Français,
six
semaines après la Révolution, et nul ne trouvait
spects qui allaient consoler cette touchante majesté dans son exil !
17.
« Sincerum fuit sic eorum judicium, nihil ut pos
ictes de la grammaire, aux instincts les plus exigeants de l’esprit.
18.
Barathron. 19. « Cui non auditæ Demosthenis vi
ire, aux instincts les plus exigeants de l’esprit. 18. Barathron.
19.
« Cui non auditæ Demosthenis vigiliæ. » 20. « Ip
prit. 18. Barathron. 19. « Cui non auditæ Demosthenis vigiliæ. »
20.
« Ipsa tristitia et severitate popularis. » 21.
osthenis vigiliæ. » 20. « Ipsa tristitia et severitate popularis. »
21.
Tacite l’a dit : Timidi et imbelles, quales amœna
Ces Grecs timides et efféminés, à la façon des hommes d’Orient ! »
22.
« La retraite de madame de La Vallière aux Carmél
causé des tempêtes ; il faut qu’il en coûte pour sauver les âmes. »
23.
Sermon pour la prise de voile de madame de La V
. » 23. Sermon pour la prise de voile de madame de La Vallière.
24.
Pour nous reposer de ces folies, relisons la péro
de repos que dans l’essence du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »
25.
Madame de Sévigné. 26. Allusion au duc détrôné
ce du Père, du Fils et du Saint-Esprit. » 25. Madame de Sévigné.
26.
Allusion au duc détrôné de Brunswick, qui était d
qui était du dernier voyage aérien de M. Green, de Londres au Rhin.
27.
Interdum vocem comœdia tollit. 28. « La vie e
M. Green, de Londres au Rhin. 27. Interdum vocem comœdia tollit.
28.
« La vie est un ennui que chacun trompe à sa man
nières sont bonnes à Don Juan : » Mallefille, Mémoires de Don Juan.
29.
« Comme la science, comme la guerre et l’amour,
Chapitre
IV
Agitations et corruption de la cour – Causes d
la cour – Causes d’accroissement pour la société de Rambouillet entre
1610
et 1623. La régence de Marie de Médicis fut ce q
– Causes d’accroissement pour la société de Rambouillet entre 1610 et
1623.
La régence de Marie de Médicis fut ce qu’elle de
n, pour se soulever. Des états-généraux sont convoqués sans fruit, en
1614.
En 1615, Louis XIII, majeur, âgé de quatorze ans,
e soulever. Des états-généraux sont convoqués sans fruit, en 1614. En
1615,
Louis XIII, majeur, âgé de quatorze ans, épouse A
nt convoqués sans fruit, en 1614. En 1615, Louis XIII, majeur, âgé de
quatorze
ans, épouse Anne d’Autriche, âgée de treize. Alor
is XIII, majeur, âgé de quatorze ans, épouse Anne d’Autriche, âgée de
treize
. Alors, aidé de Luynes, qui avait dressé pour lui
i, qu’elle avait fait maréchal d’Ancre, elle est reléguée à Blois, en
1617
; le maréchal d’Ancre est assassiné ; Galigaï, sa
ssi violents contre sa mère. L’Étoile nous l’apprend, sous la date du
19
mai 161019 : sa mère, au début de sa régence, ava
lents contre sa mère. L’Étoile nous l’apprend, sous la date du 19 mai
161019
: sa mère, au début de sa régence, avait cru sign
ir en lui faisant, donner le fouet pour n’avoir pas voulu prier Dieu.
Louis
avait neuf ans et il était roi. Les historiens on
isant, donner le fouet pour n’avoir pas voulu prier Dieu. Louis avait
neuf
ans et il était roi. Les historiens ont-ils pu cr
s ayant succédé au maréchal d’Ancre, se rend aussi odieux que lui. En
1619,
le duc d’Épernon délivre de sa propre autorité Ma
cantonnent à Montauban ; ils y sont assiégés. Au milieu du siège, en
1621,
Luynes meurt subitement d’une fièvre maligne à l’
ège, en 1621, Luynes meurt subitement d’une fièvre maligne à l’âge de
quarante-trois
ans. L’édit de Nantes est confirmé ; les chefs de
illeurs pas sans nuages. Louis XIII ne s’attacha point à la reine. En
1620,
il avait dix-neuf ans, et la reine dix-huit ; leu
s nuages. Louis XIII ne s’attacha point à la reine. En 1620, il avait
dix-neuf
ans, et la reine dix-huit ; leur jeunesse ne les
attacha point à la reine. En 1620, il avait dix-neuf ans, et la reine
dix-huit
; leur jeunesse ne les empêchait pas de vivre ens
hait pas de vivre ensemble très froidement. Le roi eut successivement
deux
passions assez vives, mais réputées chastes, d’âm
grandit par son contraste avec ces désordres et ces petitesses. Entre
1610
et 1620, la société de Rambouillet reçut un accro
par son contraste avec ces désordres et ces petitesses. Entre 1610 et
1620,
la société de Rambouillet reçut un accroissement
et reçut un accroissement d’hommes illustres : savoir, Balzac, âgé de
vingt-cinq
ans, Chapelain, moins âgé d’un an que Balzac, Voi
s, Chapelain, moins âgé d’un an que Balzac, Voiture, âgé seulement de
vingt
ans en 1618. Vers 1615, Armand Duplessis, âgé de
moins âgé d’un an que Balzac, Voiture, âgé seulement de vingt ans en
1618.
Vers 1615, Armand Duplessis, âgé de vingt ans, qu
d’un an que Balzac, Voiture, âgé seulement de vingt ans en 1618. Vers
1615,
Armand Duplessis, âgé de vingt ans, qui avait déj
é seulement de vingt ans en 1618. Vers 1615, Armand Duplessis, âgé de
vingt
ans, qui avait déjà paru aux états-généraux de 16
uplessis, âgé de vingt ans, qui avait déjà paru aux états-généraux de
1614
avec distinction, fut aussi introduit à l’hôtel d
es ridicules de Molière. Voiture s’était fait remarquer, dès l’âge de
quinze
ans, par une longue épitre au roi, ouvrage de jeu
lieu de croire cependant qu’on y reçut Madeleine de Scudéry, âgée de
treize
ans seulement, en 1620, mais qui était du même âg
qu’on y reçut Madeleine de Scudéry, âgée de treize ans seulement, en
1620,
mais qui était du même âge que Julie de Rambouill
e sa personne ; il eut place à la table du grand-maître de la maison,
1
000 fr. d’appointements, un valet et un cheval à
sa personne ; il eut place à la table du grand-maître de la maison, 1
000
fr. d’appointements, un valet et un cheval à son
res apparences de son caractère. La marquise de Rambouillet, mariée à
seize
ans, en 1600, était déjà mère de sept enfants en
de son caractère. La marquise de Rambouillet, mariée à seize ans, en
1600,
était déjà mère de sept enfants en 1610. Sa vie é
llet, mariée à seize ans, en 1600, était déjà mère de sept enfants en
1610.
Sa vie était toute sédentaire ; son amusement des
n n’allait pas à la comédie tous les jours qu’on la jouait. Ce fut en
1607
que la marquise eut sa cinquième fille, Julie, de
penser qu’elles parlaient de même. Dans sa trente-sixième lettre, en
1633,
il dit à la mère : « Je devrais craindre, par vot
us verrons dans la période suivante la vérité amplement éclaircie.
19.
On lit ce qui suit dans le journal de L’Étoile, s
t qu’on ne me fît point fouetter. » (Journal du règne de Henri IV, t.
IV
, p. 99.) On voit dans une lettre de Malherbe, du
de Henri IV, t. IV, p. 99.) On voit dans une lettre de Malherbe, du
17
juillet 1615, de quelle familiarité plus que lest
V, t. IV, p. 99.) On voit dans une lettre de Malherbe, du 17 juillet
1615,
de quelle familiarité plus que leste usaient avec
de quelle familiarité plus que leste usaient avec Louis XIII, âgé de
quatorze
ans, les personnes qui devaient aux autres l’exem
demeurèrent à se reposer, attendant que le cidre fût venu. On apporta
deux
bouteilles et deux verres ; M. de Souvray et le p
poser, attendant que le cidre fût venu. On apporta deux bouteilles et
deux
verres ; M. de Souvray et le prince burent de fur
nt au désavantage du roi ; mais elles ne furent point exécutées. »
20.
Il ne faut pas en croire Les Visionnaires de Desm
Visionnaires de Desmarets. Voyez une note de Monmerqué sur la lettre
589
de Sévigné, t. VI, p. 133. La pièce des Visionnai
smarets. Voyez une note de Monmerqué sur la lettre 589 de Sévigné, t.
VI
, p. 133. La pièce des Visionnaires est de 1637 ;
ettre 589 de Sévigné, t. VI, p. 133. La pièce des Visionnaires est de
1637
; le cardinal de Richelieu en avait donné l’idée.
aime que la comédie. Les Visionnaires ont précédé Le Menteur, joué en
1642.
L’auteur a peint des folies, non des caractères.
répondre avec plus de bon sens. Mais cette conférence, qui remonte au
1er
juin 1663, avait, aux yeux des contemporains, un
avec plus de bon sens. Mais cette conférence, qui remonte au 1er juin
1663,
avait, aux yeux des contemporains, un tort consid
bien, — il poursuit encore aujourd’hui, grâce à Tartufe. Disons donc
deux
mots, si vous le voulez bien, de toutes ces pièce
Molière. Arriéré ! quand j’étudie le maître, je voudrais l’être, — de
deux
cent vingt ans au moins pour le pouvoir étudier s
re. Arriéré ! quand j’étudie le maître, je voudrais l’être, — de deux
cent
vingt ans au moins pour le pouvoir étudier sur le
rriéré ! quand j’étudie le maître, je voudrais l’être, — de deux cent
vingt
ans au moins pour le pouvoir étudier sur le vif.
che une bouteille, je veux dire quand on en joue un quelque part, les
douze
ou quinze cents personnes appelées à la dégustati
outeille, je veux dire quand on en joue un quelque part, les douze ou
quinze
cents personnes appelées à la dégustation se recu
e, je veux dire quand on en joue un quelque part, les douze ou quinze
cents
personnes appelées à la dégustation se recueillen
ours. Supposons-nous, si vous le voulez bien, revenus à l’an de grâce
1662,
au lendemain de la Noël, et tâchons de nous orien
un peu l’effet d’arriver de province. C’est l’aurore du grand règne.
Louis
a vingt-cinq ans. L’État c’est lui, depuis surtou
l’effet d’arriver de province. C’est l’aurore du grand règne. Louis a
vingt-cinq
ans. L’État c’est lui, depuis surtout que Fouquet
a belle jambe, et sa noble chevelure flottante, car ce n’est que dans
dix
ans qu’il désespérera le monde en prenant la perr
dans la première ferveur de cet amour, qui eût tant fait pardonner à
Louis
, s’il ne l’eût trahi ; il en naîtra l’année proch
Le temps n’est plus des âpres génies. Descartes est à l’index ; voilà
quatre
mois que Pascal est mort ; Corneille subsiste, ma
connu, fait pleurer les nymphes de Vaux. Racine est un jeune homme de
vingt-deux
ans, à qui s’intéresse Molière, qui lui jouera da
Dubuisson, l’honore de son embarrassante protection. Il y a bien une
dizaine
d’abbés à l’Académie, et quelques évêques ; cela,
vêques ; cela, d’ailleurs, ne semble pas suffire… aux abbés ; et l’un
deux
, le d’Aubignac, si fort ennemi de Corneille, vien
elle. En. voici l’affiche, rouge et noire ; voyez ; elle annonce pour
deux
heures, l’École des Femmes ; point de noms d’acte
cteurs, mais on sait qu’il joue dans toutes ses pièces. L’affiche dit
deux
heures : mais vous n’ignorez pas que l’heure du d
l’heure du dîner retarde le spectacle ; on ne commence plus qu’après
quatre
heures, d’autant que c’est l’usage d’attendre que
llot ont-ils l’épée. Nous qui ne sommes que clercs ou bourgeois, pour
quinze
sols nous irons au parterre ; les loges sont de t
ourgeois, pour quinze sols nous irons au parterre ; les loges sont de
trois
livres ; les belles galeries dorées de cent dix s
erre ; les loges sont de trois livres ; les belles galeries dorées de
cent
dix sols ; les seigneurs du bel air donnent un de
; les loges sont de trois livres ; les belles galeries dorées de cent
dix
sols ; les seigneurs du bel air donnent un demi-l
a troupe, qui se trouva une belle après-midi sans théâtre. On y tient
mille
à l’aise, et puisque nous sommes debout comme les
e. On y tient mille à l’aise, et puisque nous sommes debout comme les
cinq
cents qui sont au parterre, considérons le lieu.
y tient mille à l’aise, et puisque nous sommes debout comme les cinq
cents
qui sont au parterre, considérons le lieu. L’écla
ons le lieu. L’éclairage est brillant, et ne rappelle que de loin les
deux
lattes mises en croix avec une chandelle à chaque
le luminaire, aux premiers temps de Louis XIII ; il est à présent de
deux
lustres de dix bougies, pendus au-dessus de l’ava
ux premiers temps de Louis XIII ; il est à présent de deux lustres de
dix
bougies, pendus au-dessus de l’avant-scène d’où l
ffleur : le souffleur est derrière la scène ; point d’orchestre : les
six
violons sont dans une loge. Ces loges, où sont no
la façon dont il joue le tragique. — Un garçon d’esprit toutefois.. ;
II
m’a fait pâmer de rire dans telle pièce de Scarro
ce Scarron, quel génie !… Vraiment, ce Molière est à Paris ! — Depuis
quatre
ans ; Monsieur patronne sa troupe ; et il plaît a
jeter dans le théâtre ! — Il s’y est jeté de lui-même il y a quelque
dix-sept
ans ; et il est à décider si ce fut l’amour d’une
farce qu’on donne après la tragédie. Le décor est fort simple : c’est
deux
maisons sur le devant et, le reste, une place de
t tous les acteurs réduits à entrer par le fond, comme le veulent ces
deux
rangs de marquis en demi-cercle ? — C’est un mal
es, ce brouhaha s’apaise, et derrière les marquis, là-bas, paraissent
deux
bourgeois, ce semble, de mise assez cossue, qui s
joue ; c’est son personnage que vous avez sous les yeux ; un homme de
quarante
ans passés, assez bien nourri, de bonne mine et l
pende toute de lui ; celle qu’il a choisie lui inspira de l’amour dès
quatre
ans ; il l’a achetée de sa mère, une bonne paysan
Par malheur il a eu soin de choisir, pour veiller sur son innocente,
deux
valets aussi simples qu’elle ; et ces deux naïfs,
veiller sur son innocente, deux valets aussi simples qu’elle ; et ces
deux
naïfs, disputant à qui n’ouvrira pas, laissent pe
ouce et si paisible, qu’à son âge, elle joue Agnès au naturel et qu’à
soixante
ans, quand elle voudra cesser de le jouer, le pub
pète sur la scène : « Tarte à la crème ! » Ah ! ah ! tarte à la crème
I
On rit, on querelle ; cependant on reste dans l’a
érément la pudeur violée des marquises ; mais cela est bien plus fort
deux
mots plus loin : AGNÈS Hé ! il m’a… ARNOLPHE Quo
ton.de parodie : Je suis maître, je parle ; allez, obéissez !… Tous
deux
rentrent ; et avant même qu’ils aient disparu, le
ui blessée !… Et M. Boursault, qui a des tablettes, griffonne entre
deux
piliers, pendant que le parterre, en belle humeur
sonne ; il est constamment en scène, faisant son personnage entre ces
deux
rangs de marquis dont il entend les murmures et d
ès de gagner la partie. — Il a pillé Scarron ! dit l’un. — Straparole
1’ajoute
l’autre. — Dorimon ! renchérit un troisième. — Qu
s devenir l’opprobre des humains ! — C’est un athéiste ! Il drape les
dix
commandements ! Il mettra en scène les sept péché
Agnès ; il y suffit d’une échelle, Agnès ouvrira la fenêtre, et tous
deux
prendront la volée. Ainsi dit l’amoureux, affolé
ices le croient mort ; les voilà, épouvantés, qui se retirent… Mais à
vingt
ans, on ne se laisse pas ainsi déferrer l’âme du
son manteau, et prend la main d’Agnès, qui ne le reconnaît point. Les
deux
enfants — ils le sont par la confiance et la pure
ne. C’est quelque sort qu’il faut qu’il ait jeté sur toi, Et tu seras
cent
fois plus heureuse avec moi. Ta forte passion est
ce qu’il fait là, Horace au désespoir le ferait comme lui, mais il a
vingt
ans, et ce serait touchant et pathétique ; Arnolp
s il a vingt ans, et ce serait touchant et pathétique ; Arnolphe en a
quarante-deux
, il est absurde et ridicule ; et Agnès, qui l’a d
: Tenez, tous vos discours ne me touchent point l’âme ; Horace avec
deux
mots enterait plus que vous. Et c’est au milieu
s. Et c’est au milieu des rires qu’Arnolphe reçoit cette nasarde. Ah
I
comme Molière joue cette scène ! Et qui résistera
ents, amateur de théâtre, qui, à toutes les premières, se cotise avec
trois
ou quatre voisins pour offrir une loge à leurs fe
teur de théâtre, qui, à toutes les premières, se cotise avec trois ou
quatre
voisins pour offrir une loge à leurs femmes et s’
spréaux, qui, déjà, l’air satisfait, s’en va monologuant les vers que
cinq
jours plus tard il enverra pour étrennes à Molièr
que cinq jours plus tard il enverra pour étrennes à Molière : En vain
mille
jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censur
après que le roi se la fut fait jouer, le jour des Rois justement, le
6
janvier, et qu’elle l’eut fait rire, dit le vérid
est à ce moment que Molière fut couché sur l’État pour une pension de
mille
livres. Même chiffre que Corneille le Jeune, cinq
our une pension de mille livres. Même chiffre que Corneille le Jeune,
cinq
cents livres de moins que Benserade, entre lesque
ne pension de mille livres. Même chiffre que Corneille le Jeune, cinq
cents
livres de moins que Benserade, entre lesquels il
te français qui ait été et le mieux renté certes, puisqu’il eut, lui,
3,000
livres. Il n’importe : la libéralité du roi fut p
vre : un excellent poète comique. Il se sentit encouragé et lança, le
1er
juin, sa Critique de l’École des Femmes. Sa femme
qui eut plus tard tant de succès dans Georgette, eut consécutivement
vingt-huit
indispositions de ce genre, sans que cela l’arrêt
n’ai pas l’intention d’analyser ce petit chef-d’œuvre, qui, dans ses
vingt
pages, nous en dit plus que les plus gros livres
une réplique à la pièce de Boursault. Molière l’improvisa en moins de
huit
jours. Sa facilité était admirable ; il y en a da
les, une pièce de Mme de Villedieu, — une aventurière fameuse par ses
deux
maris bigames et par ses duels, et qui avait été,
Ce fut chez les comédiens une belle colère ; j’en rougis encore après
deux
siècles. Mais nous sommes devenus meilleurs, Dieu
Molière d’avoir épousé sa fille. On sait la réponse de Louis XIV : le
28
février -1664, l’enfant né à Molière six semaines
oir épousé sa fille. On sait la réponse de Louis XIV : le 28 février -
1664,
l’enfant né à Molière six semaines auparavant éta
la réponse de Louis XIV : le 28 février -1664, l’enfant né à Molière
six
semaines auparavant était tenu sur les fonts de b
était tenu sur les fonts de baptême par le duc de Créquy, tenant pour
Louis
quatorzième, roi de France et de Navarre, et par
roi couvrant le comédien si venimeusement accusé fait honneur à tous
deux
: et la postérité ne doit pas trop la chicaner, p
’est à elle que nous devons cet éternel bienfait : à savoir, moins de
trois
mois après, l’apparition du Tartufe (mai 1664). M
t : à savoir, moins de trois mois après, l’apparition du Tartufe (mai
1664
). Mais il faut que je m’arrête ici : l’amour de m
ommer. Aujourd’hui, nous causons de l’École des Femmes, restée, après
deux
cent vingt ans, la plus jeune des quatre grandes
. Aujourd’hui, nous causons de l’École des Femmes, restée, après deux
cent
vingt ans, la plus jeune des quatre grandes pièce
ourd’hui, nous causons de l’École des Femmes, restée, après deux cent
vingt
ans, la plus jeune des quatre grandes pièces de M
cole des Femmes, restée, après deux cent vingt ans, la plus jeune des
quatre
grandes pièces de Molière. C’est que, comme le Ta
toujours été soucieux de. ce grand problème : leur éducation ; et aux
deux
bouts de sa carrière, l’École des Femmes et les F
ts sont si vivants, si gais, si colorés, que l’action même produirait
dix
fois moins d’effet. Supposez que ce soit sous nos
oilà l’imprévu, voilà le rire. Et ces monologues d’Arnolphe ! Il en a
douze
, bien comptés, dont la plupart fort longs : et pa
bien comptés, dont la plupart fort longs : et pas un qui se répète !
Douze
monologues ! Qu’est-ce qu’on disait donc, que c’e
son répertoire, et j’espère que ce jour-là, quoique ennemi du genre,
M
, Sarcey ne dédaignera pas de lui prêter l’oreille
est le contraire d’un Hamlet : l’homme le réjouit, et la femme aussi.
11
est pour la nature, pour la liberté du cœur, pour
t je viens de parler, ne date que de la Princesse d’Élide, qui est de
1664.
Molière ne peut donc l’avoir pleurée en 1662. Je
sse d’Élide, qui est de 1664. Molière ne peut donc l’avoir pleurée en
1662.
Je soutiens au contraire que dans toute cette gue
a bâti sur ses attraits naissants Et cru la mitonner pour moi pendant
treize
ans, Afin qu’un jeune fou dont elle s’amourache M
e si gaiement berné par sa pupille, une innocente, et par ses valets,
deux
imbéciles ? Pourquoi j’y tiens ? mais parce que c
; parce qu’en un mot le paroxysme de la passion-, qui offre toujours
deux
faces la face ridicule et la face sublime, nous d
nrose disait : Et si dans la province Il se donnait en tout
vingt
coups de nerf de bœuf, Mon père pour sa part en e
tout vingt coups de nerf de bœuf, Mon père pour sa part en emboursait
dix-neuf
. Et répétait : dix-neuf ! ajoutant ainsi deux sy
de bœuf, Mon père pour sa part en emboursait dix-neuf. Et répétait :
dix-neuf
! ajoutant ainsi deux syllabes à son vers et estr
part en emboursait dix-neuf. Et répétait : dix-neuf ! ajoutant ainsi
deux
syllabes à son vers et estropiant son auteur. Cel
et cela lui était égal. Il n’avait chez lui, en fait de tableaux, que
deux
portraits, l’un de Molière, l’autre de Corneille.
, expliquez-moi donc pourquoi l’on ne voit dans votre cabinet que ces
deux
portraits, qui sont deux croûtes ? — Vous croyez
quoi l’on ne voit dans votre cabinet que ces deux portraits, qui sont
deux
croûtes ? — Vous croyez ? me répondit-il. Moi, je
harmait. Merveille, je le répète, qu’il pouvait réaliser même loin de
3a
scène, en face d’un verre d’eau et d’un encrier,
qu’il s’imagine pétrir à son gré, et à son usage. Il a acheté Agnès à
quatre
ans, comme un Turc, dirait Lisette, qui achète po
me- il l’entend, c’est une clôture, et Agnès devrait se priver de ses
cinq
sens pour satisfaire uniquement aux siens. Vérita
e voit pas de mal à tout ; ce qu’elle a fait. Le daubeur est daubé :
1’effronté
railleur, qui poursuivait de ses lardons tant d’e
auvre Holopherne si ; méchamment mis à mal par Judith ! — Car Agnès a
mille
raisons. : que m’avait pas Judith. Est-ce que vou
foi du monde… elle ne le croit pas ; et elle le lui dit : Horace avec
deux
mots ferait cent fois plus que lui ; parce qu’Hor
e ne le croit pas ; et elle le lui dit : Horace avec deux mots ferait
cent
fois plus que lui ; parce qu’Horace serait naïf,
désinvolture et la grâce ; il saute par la fenêtre avec des jambes de
quinze
ans ; il est souriant, il est attendri ; il a dan
avantage. Arnolphe, faisant cette concession, paraîtra fort libéral à
mille
et mille gens. La théorie est simple. Ce n’est pa
Arnolphe, faisant cette concession, paraîtra fort libéral à mille et
mille
gens. La théorie est simple. Ce n’est pas de l’éd
e, par le mysticisme, Armande sacrifie la nature ; — parce que toutes
deux
, par suite, portent atteinte à la société humaine
eut-être en même temps le plus aimable compagnon, fort capable, entre
deux
arrêtés ou deux découvertes, d’improviser en sour
temps le plus aimable compagnon, fort capable, entre deux arrêtés ou
deux
découvertes, d’improviser en souriant de jolis ve
Béjart. Mais il y a à cela bien des explications : le milieu où tous
deux
vivaient ; le caractère vain et futile d’Armande,
arable verve comique, ni la souveraine impartialité de son génie.
1.
M. Ed. Thierry. — Discours prononcé sur la tombe
Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français Le
15
janvier 1844, l’édilité parisienne, assistée de l
Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français Le 15 janvier
1844,
l’édilité parisienne, assistée de l’Institut et s
sociétaires du Théâtre-Français ont eu l’heureuse idée de célébrer le
225e
anniversaire de la naissance de Molière par une a
au de sa couronne dramatique, vendu par sa veuve et soustrait, depuis
cent
soixante-dix ans, aux applaudissements de la foul
sa couronne dramatique, vendu par sa veuve et soustrait, depuis cent
soixante-dix
ans, aux applaudissements de la foule. L’ombre du
puiser plus fréquemment aux sources romantiques. Quoi qu’il en soit,
quatre
ans après la mort de Molière, par suite d’un arra
ne chute, le Festin de Pierre composa le spectacle à lui seul pendant
quinze
jours consécutifs, et fit faire à la comédie un é
tives : celle, entre autres, de la cinquième représentation s’éleva à
2,390
livres, somme très considérable pour le temps. Ce
n’approchoient point de l’emportement qui paroît au Festin de Pierre
3.
» On aimerait à rencontrer, dans les écrits conte
tel que le sien. Déjà malade, il ne put, dans la lettre qui parut le
14
février, la veille même de la première représenta
lien, Va commencer4… Nous ne possédons malheureusement, pour l’année
1665,
qu’une seule lettre de Mme de Sévigné, qui n’étai
pas les épigrammes de Sganarelle contre le vin émétique, et pourtant,
six
mois plus tard, il saluait de sa verve railleuse
mplie par Thomas Corneille s’est maintenue fort au-delà du besoin. De
1677
à 1847, comptez les années ! c’est plus que n’ont
ar Thomas Corneille s’est maintenue fort au-delà du besoin. De 1677 à
1847,
comptez les années ! c’est plus que n’ont duré le
r, elle a été interprétée d’une manière sublime par Ligier, qui, avec
quatre
ou cinq paroles sorties du cœur, sans cris, sans
été interprétée d’une manière sublime par Ligier, qui, avec quatre ou
cinq
paroles sorties du cœur, sans cris, sans gestes,
qui termine ce bel épisode, mais ce trait seul, que nous retrouvons,
dix-sept
ans plus tard, la scène entière, moins les dernie
ngers ! Il a fallu l’existence des éditions frauduleuses d’Amsterdam,
1683,
et de Bruxelles, 1694, pour qu’au xixe siècle, l
istence des éditions frauduleuses d’Amsterdam, 1683, et de Bruxelles,
1694,
pour qu’au xixe siècle, les derniers éditeurs de
iècle, les derniers éditeurs de Molière aient pu nous rendre enfin, à
deux
cents ans d’intervalle, le texte si péniblement c
, les derniers éditeurs de Molière aient pu nous rendre enfin, à deux
cents
ans d’intervalle, le texte si péniblement complét
ns d’intervalle, le texte si péniblement complété du Festin de Pierre
8.
Si cette résurrection solennelle du vrai Don Juan
ce qui en arrivera. » - Je conçois qu’on ait été obligé de faire, en
1677,
des retranchements aussi fâcheux ; mais ce qui me
statue vengeresse à point nommé pour empêcher la conclusion d’une des
mille
et une amourettes du héros, vraie peccadille assu
a bien fait. Dans Tirso et dans le traducteur italien, le mort soupe
deux
fois avec son meurtrier, la première fois comme i
où vient le second titre de la pièce espagnole el combidado de piedra
13
; la seconde fois chez lui, c’est-à-dire dans l’é
el ; pour toute musique, des voix étranges et formidables sortent des
quatre
piliers qui soutiennent le mausolée et chantent u
piliers qui soutiennent le mausolée et chantent un lent De profundis
14.
Quand les chants ont cessé, la foudre éclate, la
je devrais en reporter l’honneur à Tirso de Molina ! Qui donc, il y a
quarante
ans, connaissait, seulement de nom, Fray Gabriel
dre, dans sa fraîcheur première, ce drame sur lequel ont pesé près de
deux
siècles de silence. L’élite de la Comédie s’est p
ne se soit pas montré de préférence dans le rôle demi-tragique de don
Louis
, ce Chromes iratus, si proche parent du père du M
tus, si proche parent du père du Menteur. Il nous semble qu’entre ces
deux
choix l’artiste, bien avisé, a fait le meilleur e
habile. Pour moi, j’aurais encore mieux aimé qu’il eût entrepris les
deux
tâches. Elles seraient possibles et d’un grand ef
me Volnys, chargée du personnage sacrifié d’Elvire, qui ne paraît que
deux
fois pour faire d’amers reproches ou donner d’aus
e Convié de pierre, que les comédiens italiens jouaient à Paris, vers
1657,
la dernière scène de la pièce montrait aux specta
e a voulu que sa pièce se terminât ; par le rire. CHARLES MAGNIN.
1.
On peut voir une quittance de Mlle Molière donnée
l’achat du Festin de Pierre, dans l’Histoire du théâtre-Français, t.
XII
, p. 61. 2. Mémoire sur la vie et les ouvrages d
estin de Pierre, dans l’Histoire du théâtre-Français, t. XII, p. 61.
2.
Mémoire sur la vie et les ouvrages de Molière.
, t. XII, p. 61. 2. Mémoire sur la vie et les ouvrages de Molière.
3.
Louis XIV aurait bien dû sommer ce savant homme d
e. Leur production eût été un merveilleux service rendu aux lettres.
4.
Cet article n’est pas le dernier de la Muse histo
sent les frères Parfait. La dernière lettre de Loret porte la date du
28
mars. Robinet continua dans le même style cette b
28 mars. Robinet continua dans le même style cette bizarre gazette.
5.
C’est dans Don Juan que Molière commença les host
ans Don Juan que Molière commença les hostilités contre la médecine.
6.
Dans la pensée de Molière, don Juan se montre ici
pocrite de philosophie, comme il sera bientôt hypocrite de religion.
7.
Voyez tome VII, p. 177-179 de l’édit, de 1682. 8
losophie, comme il sera bientôt hypocrite de religion. 7. Voyez tome
VII
, p. 177-179 de l’édit, de 1682. 8. En 1813, M. S
t hypocrite de religion. 7. Voyez tome VII, p. 177-179 de l’édit, de
1682.
8. En 1813, M. Simonnin publia pour la première
rite de religion. 7. Voyez tome VII, p. 177-179 de l’édit, de 1682.
8.
En 1813, M. Simonnin publia pour la première fois
e religion. 7. Voyez tome VII, p. 177-179 de l’édit, de 1682. 8. En
1813,
M. Simonnin publia pour la première fois, d’après
1813, M. Simonnin publia pour la première fois, d’après l’édition de
1683,
les scènes que l’on croyait perdues. Voy. Molière
de 1683, les scènes que l’on croyait perdues. Voy. Molière commenté ;
2
vol. in-12. 9. Jetons un voile sur ces tristes a
ènes que l’on croyait perdues. Voy. Molière commenté ; 2 vol. in-12.
9.
Jetons un voile sur ces tristes aberrations de go
ière, vers et prose, d’être entaché « de jargon et de barbarisme. »
10.
Dorimon, dans sa tragi-comédie intitulée le Festi
ie intitulée le Festin de Pierre ou l’Athée foudroyé, jouée à Lyon en
1658
et un peu plus tard à Paris, n’a pas non plus trè
la gradation des crimes. Il fait débuter son héros par le parricide.
11.
Je crois, sans pouvoir l’affirmer, que le Don Jua
pouvoir l’affirmer, que le Don Juan italien qui fut joué à Paris vers
1657
était Il Convitato di pietra del Giacinto Andrea
ers 1657 était Il Convitato di pietra del Giacinto Andrea Cicognini.
12.
C’est ce que nous apprend de Villiers, un des act
de Villiers, un des acteurs de l’hôtel de Bourgogne, qui fit jouer en
1659
la première imitation de la pièce italienne. On a
ns, qui croyaient que l’original de la statue se nommait don Pierre.
13.
Cette partie du titre ne se trouve pas dans toute
sous les yeux. On a eu tort d’accuser Voltaire de l’avoir inventée.
14.
Ce dernier détail n’appartient pas à Tirso de Mol
i cette pièce arrangée que l’on représente ordinairement en Espagne.
15.
De Villiers, l’auteur du Festin de Pierre ou le F
e Villiers, l’auteur du Festin de Pierre ou le Fils criminel, joué en
1659,
et, dont nous avons déjà dit un mot, assure, dans
simont (qu’il ne faut pas confondre avec Dorimon) le traita encore en
1669.
Sa pièce, intitulée le Nouveau Festin de Pierre o
J’ajouterai que Goldoni a fait jouer à Venise, pendant le carnaval de
1736,
Don Giovanni Tenorio, o sia il dissoluto. On voit
u commandeur placée sur le mausolée, mais elle ne parle ni ne marche,
deux
actions extravagantes et invraisemblables, comme
semblables, comme Goldoni l’établit victorieusement dans sa préface.
16.
M. de Schlegel, à qui il appartenait de faire cet
PRÉFACE Le faux dévot serait plein d’espérances ! Mais, depuis
trois
siècles, la France l’a trop de fois affligé... Le
e (Voltaire) lui arrache ses dernières victimes... Molière, entre les
deux
, lui trouve son vrai nom : Tartuffe ! Molière, âm
je m’instruis à respecter en eux la mémoire de nos pères. Septembre
1852.
I. Molière naquit à Paris le 15 janvier 16
ruis à respecter en eux la mémoire de nos pères. Septembre 1852.
I
. Molière naquit à Paris le 15 janvier 1622. Se
re de nos pères. Septembre 1852. I. Molière naquit à Paris le
15
janvier 1622. Ses parents, nommés Poquelin, tapis
ères. Septembre 1852. I. Molière naquit à Paris le 15 janvier
1622.
Ses parents, nommés Poquelin, tapissiers de père
on : AU PAVILLON DES CINGES. Le père, très à son aise, mais se voyant
huit
enfants en bas-âge, n’avait point d’autre ambitio
dans leurs chaises au magasin de son père. Dans cet état de choses, à
dix
ans, il perdit sa mère. Son père, l’année d’ensui
er acteur du temps, le petit Poquelin voyait, à l’Hôtel de Bourgogne,
trois
comiques célèbres et de talent : Gauthier-Garguil
célèbres et de talent : Gauthier-Garguille, Gros-Guillaume, Turlupin,
trois
pauvres garçons qui, précisément, moururent dans
n ressentirent, les emporta aussi dans la même semaine. Molière avait
douze
ans alors ; d’avoir vu disparaître ainsi ses troi
ine. Molière avait douze ans alors ; d’avoir vu disparaître ainsi ses
trois
acteurs favoris, cela lui rendit plus cher encore
e, cette marâtre, ces nouveaux venus préférés... Et puis il avait ses
quatorze
ans, et il s’y mêlait ce vague besoin de connaîtr
en même temps que dans une réalité si touchante par l’aventure de ces
deux
comédiens morts ensemble de la mort d’un ami ?
venture de ces deux comédiens morts ensemble de la mort d’un ami ?
II
. Plein de courage, allant et revenant tous les
es et ses régents, le petit Poquelin fit des progrès si rapides qu’en
cinq
années il acheva ses humanités et sa philosophie.
M. Gassendi, de son côté, proclamait l’existence du vide, découvrait
cinq
satellites de Jupiter, attaquait les sectateurs d
omédies qu’ils lisaient et jouaient ensemble dans les récréations.
III
. Il sortit des Jésuites à dix-neuf ans. Son gr
nt ensemble dans les récréations. III. Il sortit des Jésuites à
dix-neuf
ans. Son grand-père était mort il y avait trois a
tit des Jésuites à dix-neuf ans. Son grand-père était mort il y avait
trois
ans déjà; son père se trouvant infirme, il fut ob
i dura près d’un an, la plupart des biographes laissent une lacune de
trois
années, trois années, sans doute, d’isolement et
un an, la plupart des biographes laissent une lacune de trois années,
trois
années, sans doute, d’isolement et d’études, dura
étaient dans leur éclat. De grands esprits partout se préparaient.
IV
. Poquelin, en 1645, à vingt-trois ans, est de
lat. De grands esprits partout se préparaient. IV. Poquelin, en
1645,
à vingt-trois ans, est de retour à Paris et reçu
grands esprits partout se préparaient. IV. Poquelin, en 1645, à
vingt-trois
ans, est de retour à Paris et reçu avocat, suivan
Nesle, au milieu d’une troupe bourgeoise organisée depuis peu par les
deux
frères Béjart et leur sœur Madeleine. La comédie,
ient emportées par le succès du Cid. De plus, le roi avait publié, en
1641,
une déclaration par laquelle il défendait que l’é
es qu’il eût fallu pour charmer Molière. Il ne pouvait placer en elle
1’espoir
d’une famille comme il l’eût voulue ! Mais Madele
it, ce nom déplaisait moins à Molière. » On a peu de détails sur les
cinq
premières années de ses pérégrinations en provinc
Thébaïde, la même dont il donna plus tard le plan à Racine. Après ces
cinq
années de courses, en 1650, il reparaît à Paris,
onna plus tard le plan à Racine. Après ces cinq années de courses, en
1650,
il reparaît à Paris, et s’y essaie de nouveau par
tention par son esprit, par son noble savoir-vivre et par sa probité.
Mille
anecdotes bizarres se répandaient de leurs cinq a
e et par sa probité. Mille anecdotes bizarres se répandaient de leurs
cinq
années de vie aventureuse. Scarron ne puisa-t-il
retournèrent en province, et de nouveau les détails manquent jusqu’en
1653
; mais on sait bien positivement que Molière deme
année là à Lyon, qu’il y eut le plus grand succès, qu’il y mit à bas
deux
autres troupes dont les meilleurs le suivirent, t
e à sa chacune ici, J’ai des démangeaisons de mariage aussi, Etc.
V.
La troupe, après s’être fait applaudir dans l’
e sur les saillies des valets. L’intérêt naissait, dans l’Étourdi, de
mille
contre-temps inattendus. On est charmé, dans le D
urquoi plus celui de Mascarille ou de Gros-Réné ? Afin de permettre à
deux
de ses camarades de faire valoir leurs talents co
n se sentait avec eux comme en famille. Étant repassé par Avignon, en
1657,
Molière y trouva Mignard qui revenait d’Italie, o
57, Molière y trouva Mignard qui revenait d’Italie, où il était resté
vingt-deux
ans, et ils lièrent ensemble une amitié qui dura
a toute leur vie. Ces pérégrinations, ces succès en province durèrent
treize
années (tout le temps de la Fronde), après quoi l
embarras, dans les hôtelleries, qu’il écrivit l’Étourdi, le Dépit, et
vingt
autres pièces dont je n’ai point parlé : Les Troi
urdi, le Dépit, et vingt autres pièces dont je n’ai point parlé : Les
Trois
Docteurs rivaux, Le Maître d’École, Gorgibus dans
ds (où il trouva le type du bon huissier à verge), dura tout l’été de
1658,
et Molière fit, dans cet été, plusieurs voyages s
sieur, fut admise à l’honneur d’une représentation devant la cour.
VI
. Le théâtre, comme décorations et machines, ét
rendait presque tout noirs, on s’avisa de faire des chandeliers avec
deux
lattes mises en croix, portant chacun quatre chan
faire des chandeliers avec deux lattes mises en croix, portant chacun
quatre
chandelles pour mettre au-devant du théâtre. Ces
et les moucher. La symphonie était d’une flûte et d’un tambour, ou de
deux
méchants violons au plus. » Molière et les Béjar
médiens; et ils y jouèrent alternativement avec les Italiens jusqu’en
1660,
époque à laquelle ils s’établirent au Palais-Roya
con d’une belle, à la manière espagnole, puis des valets rusés jouant
mille
bons tours à de risibles Gérontes, leur enlevant
présentations : il fallut doubler, tripler le prix des places pendant
quatre
mois. On accourait de vingt lieues à la ronde. Du
bler, tripler le prix des places pendant quatre mois. On accourait de
vingt
lieues à la ronde. Du milieu du parterre un vieil
mps, n’en fit que mieux connaissance avec les nouveaux comédiens ; et
quarante
représentations ne suffirent point à l’empresseme
entrées fréquentes qui furent sa force contre bien des intrigues.
VII
. Établi dans sa nouvelle salle, il semble qu’i
ble qu’il ait voulu s’élever à un ton plus noble ; au mois de février
1661.
Neuf mois après Sganarelle, il donna Don Garde de
’il ait voulu s’élever à un ton plus noble ; au mois de février 1661.
Neuf
mois après Sganarelle, il donna Don Garde de Nava
n eût pu dire tout ce qu’il dit. Il n’hésita pas longtemps : en juin,
quatre
mois après Don Garcie, il représente l’École des
nt en lui. La ressemblance, d’ailleurs, est-elle donc si grande ? Les
deux
vieillards, dans Térence, élèvent deux garçons :
est-elle donc si grande ? Les deux vieillards, dans Térence, élèvent
deux
garçons : cela seul ne change-t-il pas tout ? Il
Vaux, donnée par Fouquet, à la veille de sa disgrâce, au mois d’août
1661,
deux mois après l’École des Maris. Ici les ridi
donnée par Fouquet, à la veille de sa disgrâce, au mois d’août 1661,
deux
mois après l’École des Maris. Ici les ridicules
posez à mes yeux le triomphe d’un autre; Oui, je souffrirai tout.
VIII
. Huit mois après l’École des Maris, nous arriv
es yeux le triomphe d’un autre; Oui, je souffrirai tout. VIII.
Huit
mois après l’École des Maris, nous arrivons enfin
, nous arrivons enfin au temps de son mariage... On peut le dire, les
trois
années (1658-1661) qui viennent de s’écouler depu
s enfin au temps de son mariage... On peut le dire, les trois années (
1658-1661
) qui viennent de s’écouler depuis son retour à Pa
ent quelques jours. D’un autre côté la petite Armande était allée, de
treize
à seize ans, dans cet intervalle, et Molière heur
ues jours. D’un autre côté la petite Armande était allée, de treize à
seize
ans, dans cet intervalle, et Molière heureux de s
mes si doux je me laisse emporter […] Sa grâce est la plus forte.
IX
. Molière se maria le 20 février 1662, à Saint-
porter […] Sa grâce est la plus forte. IX. Molière se maria le
20
février 1662, à Saint-Germain-l’Auxerrois, la vei
Sa grâce est la plus forte. IX. Molière se maria le 20 février
1662,
à Saint-Germain-l’Auxerrois, la veille du Mardi-G
1662, à Saint-Germain-l’Auxerrois, la veille du Mardi-Gras : il avait
quarante
ans passés ; Armande n’en avait pas dix-sept. «
du Mardi-Gras : il avait quarante ans passés ; Armande n’en avait pas
dix-sept
. « Celle-ci ne fut pas plutôt Mme Molière, dit G
ns l’attendaient. La maison de Molière, son théâtre surtout, ouvert à
cent
sortes de gens, l’exposèrent, dès qu’elle fut mar
gère, il prévit où cette légèreté pouvait la conduire. Il la supplia,
cent
fois, comme un enfant, d’être moins coquette, moi
ère pièce qu’il donna fut l’École des Femmes : elle parut en décembre
1662,
après dix mois de ménage. Trompé dans sa femme qu
’il donna fut l’École des Femmes : elle parut en décembre 1662, après
dix
mois de ménage. Trompé dans sa femme qu’il avait
qui avait été pour elle si généreux, si tendre ! Qui lui avait donné
treize
années de sa vie, et qui, pourtant, avait laissé
out à puiser : Homo sum,>et nihil humani a me alienum puto.
X.
L’École des Femmes fit scandale ; les dévots s
and comédien. Mais, au plus fort du scandale, au premier jour de l’an
1663,
Boileau lui adressa ses stances : En vain mille
premier jour de l’an 1663, Boileau lui adressa ses stances : En vain
mille
jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censur
i-même ne voulut pas rester neutre : il se déclara par une pension de
1000
livres à Molière. De là, le Remerciement au Roi,
ps que Molière commença le Misanthrope, ce fut sa consolation pendant
trois
années; c’est là qu’il soulageait son âme, qu’il
s tristesses. Outre la Critique de l’École des Femmes, au mois de mai
1663,
il avait donné, en octobre suivant, l’Impromptu d
Et moi je juge que ce n’est ni l’un, ni l’autre ; vous êtes fous tous
deux
de vouloir vous appliquer ces sortes de choses, e
stait à frapper le coup de grâce. Dans les derniers jours de décembre
1663,
un Montfleury, de l’Hôtel-de-Bourgogne, présenta
éponse de nul côté, et l’on commençait à être fort surpris ; mais, le
28
février suivant (1664), deux mois après la requêt
et l’on commençait à être fort surpris ; mais, le 28 février suivant (
1664
), deux mois après la requête de Montfleury, la Fr
commençait à être fort surpris ; mais, le 28 février suivant (1664),
deux
mois après la requête de Montfleury, la France vi
ismaux, le premier-né de son grand comédien. L’enfant reçut le nom de
Louis
! XI. Molière, par cela même qu’il osait ch
premier-né de son grand comédien. L’enfant reçut le nom de Louis !
XI
. Molière, par cela même qu’il osait chaque jou
t sans contrainte... Aussi voyez, lorsque Le Vayer perdit son fils (
1664
), comme il lui écrivit : Aux larmes, Le Vayer, l
éternel de son âme, tout le reste était éphémère. Au commencement de
1664,
il donna au Louvre, le Mariage Forcé, avec grand
le; Louis XIV et ses courtisans y dansèrent. La pièce, représentée en
trois
actes devant la cour, fut réduite en un seul pour
Oui ! — mais serai-je point cocu ? Il s’en va prendre conseil de
deux
philosophes. Les pauvres gens, hélas ! sont bien
la forme, mais la figure d’un chapeau. Après cela il voit apparaître
mille
chimères dansant autour de lui : la jalousie, les
urèrent sept jours, avec cavalcades, jeux, courses; le roi y remporta
quatre
prix. Après les courses, la nuit venue, il y eut
, la nuit venue, il y eut des collations féeriques, éclairées par des
milliers
de flambeaux, et servies par deux cents officiers
ns féeriques, éclairées par des milliers de flambeaux, et servies par
deux
cents officiers. Tout à coup un théâtre chargé de
eriques, éclairées par des milliers de flambeaux, et servies par deux
cents
officiers. Tout à coup un théâtre chargé de music
tables, comme par enchantement, et la comédie commença à la clarté de
cinq
cents girandoles vertes et argent qui portaient d
s, comme par enchantement, et la comédie commença à la clarté de cinq
cents
girandoles vertes et argent qui portaient des bou
isseur du roi, y joua le rôle de Moron, plaisant de la princesse.
XII
. Malgré ces interruptions, le Misanthrope se c
le rôle de Don Juan, par le spectacle de Done Élvire en pleurs et des
deux
paysannes trompées, il allait flétrir à jamais l’
asme d’un côté, avec rage de l’autre ; il ne fallait pas languir. Dès
1664,
les trois premiers actes du Tartuffe furent repré
côté, avec rage de l’autre ; il ne fallait pas languir. Dès 1664, les
trois
premiers actes du Tartuffe furent représentés à V
tient le rang, À qui je n’ai rien fait qu’être sincère et franc.
XIII
. Les choses en étaient à ce point lorsque l’at
utes les autres troupes comiques et tragiques (et il y en avait alors
cinq
à Paris), se prirent à jouer à l’envie des Festin
seul en une nuit... » Peu de temps auparavant, dans cette même année
1664,
le fils de Lamothe Le Vayer, un de ses amis, étai
effet, dans Guy-Patin, que les médecins de Le Vayer lui ayant donné
trois
fois le vin émétique, l’envoyèrent au pays d’où p
personne ne revient. Molière, peu de temps après, perdit son petit
Louis
; de là, encore, la terrible critique de l’Amour M
un cri, comme ses autres pièces, parti du fond de ses entrailles.
XIV
. Tartuffe, malgré ces interruptions, n’en ava
uel scandale pour les zélés ! On les voyait courir, tout hagards, par
mille
souterrains, et même en plein soleil, assiégeant
ns réponse : il dotait les comédiens de Molière d’une pension de sept
mille
livres, leur faisait de magnifiques présents : ma
e que le sombre devait se mêler à toutes choses autour de Molière.
XV
. Le roi lui avait promis toute sa protection p
’ait reçu la royauté en France, sur le rôle qu’elle avait à jouer.
XVI
. Molière n’avait lu de Tartuffe, à ses amis, q
pris chez lui; lui qui avait tant fait pour cela, qui s’était, durant
seize
années, préparé avec tant de soins une compagne s
nirs, lorsque tout lui manquait à la fois dans le présent ? Son petit
Louis
, qu’il eût tant aimé, était mort... Armande, à la
esse, à cette création pure et sereine du rôle d’Henriette, traverser
six
années encore de souffrance. Accablé de tristesse
e. Molière, pour les contenter, autant que possible, leur arrangea en
cinq
jours sa comédie de l’Amour Médecin. La pièce pl
De plus, il venait d’y avoir, à propos de lavements et de seringues,
deux
grands procès ridicules des médecins de Rouen et
dont toute la France avait ri. L’Amour Médecin fut joué en septembre
1665
; Molière y remplissait le rôle de Sganarelle, ce
areille aventure. Ah ! ma fille ! ma pauvre fille ! » Ils arrivent à
quatre
, en grande cérémonie; ils tâtent la malade, s’ass
t de lui bien souvent que procèdent les maladies (dit Clitandre).
XVII
. Environ ce temps-là une coureuse, nommée la R
a générosité de Molière, vint le prier de lui prêter son théâtre pour
trois
représentations seulement, afin de pouvoir, par l
ère y consentit. On annonçait, dans cette troupe, un petit miracle de
treize
à quatorze ans, nommé Baron. La ville entière le
sentit. On annonçait, dans cette troupe, un petit miracle de treize à
quatorze
ans, nommé Baron. La ville entière le courut voir
et la Raisin, en une seule fois, tant il y vint de monde, fit plus de
mille
écus. Molière, un peu malade, n’était pas allé vo
Molière, un peu malade, n’était pas allé voir le petit Baron dans les
deux
premiers jours; mais on lui en dit tant de mervei
, interrogea le jeune homme et le fit causer, et il ajouta aux habits
six
beaux louis d’or. Le pauvre enfant croyait rêver,
miniez vous-même ce que je lui dois donner. » Baron dit qu’il croyait
quatre
pistoles suffisantes. « Eh bien ! dit Molière, je
tre pistoles suffisantes. « Eh bien ! dit Molière, je vais lui donner
quatre
pistoles pour moi; mais en voici vingt autres que
t Molière, je vais lui donner quatre pistoles pour moi; mais en voici
vingt
autres que je lui donnerai de votre part : je veu
Molière donnait avec tant de plaisir, dit Grimarest, lui avait coûté
deux
mille cinq cents livres, et il était presque neuf
ère donnait avec tant de plaisir, dit Grimarest, lui avait coûté deux
mille
cinq cents livres, et il était presque neuf. Il a
nnait avec tant de plaisir, dit Grimarest, lui avait coûté deux mille
cinq
cents livres, et il était presque neuf. Il assais
avec tant de plaisir, dit Grimarest, lui avait coûté deux mille cinq
cents
livres, et il était presque neuf. Il assaisonna c
st, lui avait coûté deux mille cinq cents livres, et il était presque
neuf
. Il assaisonna ce présent d’un bon accueil qu’il
Mondorge. » Il le consola et l’embrassa, dit un autre biographe.
XVIII
. L’année 1665 s’était ainsi écoulée sans que l
e consola et l’embrassa, dit un autre biographe. XVIII. L’année
1665
s’était ainsi écoulée sans que le Misanthrope eût
que le Misanthrope eût encore paru ; mais dans les premiers jours de
1666,
Molière se disposait à le donner au public, lorsq
? Molière avait beaucoup d’ordre ; il se faisait un revenu de plus de
trente
mille livres, fortune considérable pour l’époque,
re avait beaucoup d’ordre ; il se faisait un revenu de plus de trente
mille
livres, fortune considérable pour l’époque, et qu
vres, fortune considérable pour l’époque, et qui pouvait équivaloir à
cent
vingt mille francs de rente de notre temps. Cela
fortune considérable pour l’époque, et qui pouvait équivaloir à cent
vingt
mille francs de rente de notre temps. Cela lui pe
ne considérable pour l’époque, et qui pouvait équivaloir à cent vingt
mille
francs de rente de notre temps. Cela lui permetta
cablé d’affaires, acteur, auteur, directeur, valet de chambre du roi,
cent
personnes à conduire et les trois quarts du temps
directeur, valet de chambre du roi, cent personnes à conduire et les
trois
quarts du temps malade, il fallait bien que tout
uil avec un vieux valet appelé Godemer, qui le servait depuis plus de
trente
ans. La lutte était terrible et les combattants a
que je suis en possession du devant de votre carrosse depuis plus de
trente
ans, pourquoi voulez-vous me l’ôter sans raison ?
bes alors; mais à présent je ne puis plus marcher. En un mot comme en
cent
, vous m’avez habitué au carrosse, je ne puis plus
ous en rapportez à moi,dit Molière, je vais tâcher de mettre d’accord
deux
si honnêtes gens. Vous avez tort, dit-il à Godeme
rêt, qui présidait au ménage, tandis que, sous ses ordres, agissaient
deux
ou trois filles de cuisine. Parmi ces filles se t
présidait au ménage, tandis que, sous ses ordres, agissaient deux ou
trois
filles de cuisine. Parmi ces filles se trouvait m
e même piège, se laisser recevoir Mandarin et marquis de Miskou, avec
mille
cérémonies burlesques ? Un auteur dramatique, Poi
re. Madeleine Béjart, qui était bel esprit, avait fait une comédie en
cinq
actes sur le sujet de Don Quichotte. Molière voul
plus charmant du monde aux choses qu’elle fait, et l’on voit briller
mille
grâces en toutes ses actions; une douceur pleine
és chez Mlle Debrie n’étaient pas trop fatigantes, dit Grimarest: «En
huit
jours une petite conservation, c’en était assez p
elle ! Un air doux et posé [...] M’inspira de l’amour pour elle dès
quatre
ans. L’innocence, les jeux, les naïvetés de l’en
nteau d’Arnolphe, il disait au public : En sage philosophe on m’a vu
vingt
années Contempler des maris les tristes destinées
’à me faire connaître ma faiblesse, sans en pouvoir triompher ? »
XIX
. Le Misanthrope, sorti de tout ce qui précède,
X. Le Misanthrope, sorti de tout ce qui précède, joué, à partir du
4
juin 1666, de deux jours en deux jours (parce qu’
e Misanthrope, sorti de tout ce qui précède, joué, à partir du 4 juin
1666,
de deux jours en deux jours (parce qu’alors on ne
rope, sorti de tout ce qui précède, joué, à partir du 4 juin 1666, de
deux
jours en deux jours (parce qu’alors on ne jouait
tout ce qui précède, joué, à partir du 4 juin 1666, de deux jours en
deux
jours (parce qu’alors on ne jouait que de deux jo
1666, de deux jours en deux jours (parce qu’alors on ne jouait que de
deux
jours l’un), eut vingt-et-une représentations con
eprésentations consécutives avec foule, quoique joué seul et dans les
deux
mois les plus chauds de l’année. La France ne cro
es applaudissements éclatèrent, et l’on ne pouvait point se lasser de
deux
chefs-d’œuvre si différents. XX. N’imaginon
on ne pouvait point se lasser de deux chefs-d’œuvre si différents.
XX
. N’imaginons pas, toutefois, que Molière ait é
ceste, enfui dans un désert; il avait écrit Don Juan et Tartuffe.
XXI
. Molière, au milieu de son activité de ses tri
a comédie, dans sa loge, vêtu comme un petit seigneur. Vers la fin de
1666,
Louis XIV voulant donner à sa cour le grand diver
e voir chaque jour, Je ne le croie atteint déjà d’un peu d’amour. Et
trois
bergères se disputaient son cœur (Molière avait-i
a représenta donc devant le roi telle qu’elle était, c’est-à-dire les
deux
premiers actes seulement. Au lieu de l’achever, M
propre figure amaigrie par les travaux, les chagrins et la maladie.
Deux
magiciens commencent, en dansant, un enchantement
ciens commencent, en dansant, un enchantement pour embellir Lycas ;
Six
démons dansants habillent Lycas d’une manière rid
sies royales. Aussi, Sa Majesté, au commencement de la nouvelle année
1667,
ayant demandé, pour une deuxième représentation d
le Sicilien ne put être joué à Paris qu’au mois de juin, c’est-à-dire
cinq
mois plus tard. Molière fut tout ce temps incommo
Molière bientôt écrira pour lui, dans Pysché, le rôle de l’Amour.
XXII
. Molière avait une autre joie encore que celle
ie encore que celle du retour de Baron: il allait jouer Tartuffe. Le
5
août 1667, le roi étant en Flandre, la pièce fut
re que celle du retour de Baron: il allait jouer Tartuffe. Le 5 août
1667,
le roi étant en Flandre, la pièce fut représentée
pris l’ordre de Sa Majesté. » Toutefois, il ne perdit pas de temps ;
deux
jours après, le 8 août, il dépêcha vers le roi, d
jesté. » Toutefois, il ne perdit pas de temps ; deux jours après, le
8
août, il dépêcha vers le roi, devant Lille, deux
; deux jours après, le 8 août, il dépêcha vers le roi, devant Lille,
deux
de ses comédiens, Lagrange et Lathorillère, porte
fermé son théâtre; il ne le rouvrit qu’après cette réponse du roi, le
25
septembre. La polémique, durant cet intervalle, n
pièce, n’étant, suivant lui, QU’UNE INSTRUCTION TRÈS CHRÉTIENNE.
XXIII
. Molière, ne pouvant jouer sa pièce, se remit
travail : il reprit l’étude des anciens, et donna au mois de janvier
1668,
Amphitryon, sujet antique cette fois, mais forme
fut écrit pour sa femme, et qu’il avait, à cette époque, un enfant de
deux
ans dont il ne se croyait pas le père. NON, CE N’
ussi qu’Armande fît le rôle d’Angélique, femme de Georges Dandin.
XXIV
. Molière, cependant, vieillissait peu à peu de
ère était fou. « Nous prend-il pour des benêts, de nous faire essuyer
cinq
actes de prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravag
s de cette pièce, que bientôt après pourtant tout le monde admira.
XXV
. Son génie allait ainsi produisant toujours, m
eprésentation de sa pièce proscrite. Cette représentation eut lieu le
20
septembre 1668, à la grande satisfaction de tous
de sa pièce proscrite. Cette représentation eut lieu le 20 septembre
1668,
à la grande satisfaction de tous ceux qui la vire
eptembre 1668, à la grande satisfaction de tous ceux qui la virent. À
trois
mois et demi de là, le roi leva enfin tout obstac
nfin tout obstacle, et Tartuffe fut pour toujours livré au public (le
5
février 1669). La ville entière, durant trois moi
obstacle, et Tartuffe fut pour toujours livré au public (le 5 février
1669
). La ville entière, durant trois mois, par son em
oujours livré au public (le 5 février 1669). La ville entière, durant
trois
mois, par son empressement, par ses bravos et son
es bravos et son enthousiasme, vengea l’auteur de toutes les cabales.
Quarante-quatre
représentations, coup sur coup, suffirent à peine
arer à la mort. Molière, de son côté, donnait à Chambord, en octobre
1669,
Monsieur de Pourceaugnac. Il avait écrit pour lu
apables de faire Pourceaugnac que le Misanthrope, on se trompe. »
XVI
. À mesure qu’il vivait plus éloigné de sa femm
ait se reposer dans celle de son ami. Il écrivit, en cette même année
1669,
pour être utile à Mignard auprès de Colbert, son
ment s’y consomme, Et les emplois de feu demandent tout un homme.
XXVII
. Au commencement de 1670, le roi voulant de no
lois de feu demandent tout un homme. XXVII. Au commencement de
1670,
le roi voulant de nouveau donner à sa cour un spe
it pour sujet, afin de pouvoir lier ensemble tant de choses diverses,
deux
princes rivaux qui, dans le champêtre séjour de l
fin, se soit hâté dans les dernières années de sa vie. Les pièces en
cinq
actes (mais en prose) se succédaient coup sur cou
teur ne prend le théâtre, il va tomber dans la farce italienne. »
XXVIII
. Cependant il donna encore, au mois de janvier
ienne. » XXVIII. Cependant il donna encore, au mois de janvier
1671,
une pièce à grand spectacle, à féeries, Psyché. C
roi, appela à son secours Corneille, Quinault et Lulli. Corneille, à
soixante-cinq
ans, fit, à cette occasion, les plus gracieux ver
, qu’il aimait, pour qui et avec qui il travaillait, il mit aussi ces
deux
vers dans le deuxième acte : Dans tous les clima
Dans tout l’éclat et la fraîcheur de sa beauté première, n’ayant que
dix-neuf
ans, il joua d’une manière charmante le rôle de l
’Arnolphe ; il le confia à un autre, il ne pouvait plus prononcer ces
deux
vers : Aurais-je pu prévoir, quand je l’ai vu pe
troisième scène du troisième acte, qui dut certainement enflammer les
deux
acteurs, surtout le jeune Baron, qui s’y entendai
es choses de la vie ! Les Fourberies de Scapin furent représentées le
24
mai 1671. Il joua le rôle de Scapin, qui allait s
es de la vie ! Les Fourberies de Scapin furent représentées le 24 mai
1671.
Il joua le rôle de Scapin, qui allait si bien, da
d’Escarbagnas, où il ne joua point et qu’il ne fit point imprimer.
XXIX
. Cependant ses amis effrayés des progrès de so
cruellement qu’il le fut. Les Femmes savantes furent représentées le
11
mars 1672. La comédie atteignait ici, comme art e
ment qu’il le fut. Les Femmes savantes furent représentées le 11 mars
1672.
La comédie atteignait ici, comme art et comme sty
t de sérénité, trop simple pour le théâtre, n’eut point de succès.
XXX
. Six mois après la représentation des Femmes s
énité, trop simple pour le théâtre, n’eut point de succès. XXX.
Six
mois après la représentation des Femmes savantes,
Six mois après la représentation des Femmes savantes, en septembre
1672,
Armande devint mère pour la troisième fois. Moliè
Puimorin. L’enfant reçut les noms de Pierre Jean-Baptiste Armand, les
deux
noms réunis du père et de la mère, précédés de ce
ès sa naissance, comme avait fait le premier ; le second seul ( né en
1665,
au temps des relations avec le comte de Guiche, )
t effrayants. Il n’avait pourtant encore que cinquante-et-un ans !
XXXI
. Boileau vint le voir et le trouva fort incomm
public, assemblé tous les soirs, qui venait l’écouter depuis plus de
trente
ans, il lui avait confié les secrets de son âme,
qui me désespère. Votre plus haut savoir n’est que pure chimère.
XXXII
. Le vendredi 17 février 1673, jour où « l’on d
re plus haut savoir n’est que pure chimère. XXXII. Le vendredi
17
février 1673, jour où « l’on devait donner la tro
t savoir n’est que pure chimère. XXXII. Le vendredi 17 février
1673,
jour où « l’on devait donner la troisième représe
e remettre : « Comment voulez-vous que je fasse ? leur dit-il, il y a
cinquante
pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
e de coutume, il ne jouerait point ce jour-là s’ils n’étaient prêts à
quatre
heures précises pour jouer la comédie : « Sans ce
l’argent. » Les comédiens tinrent les lustres allumés précisément à
quatre
heures; Molière représenta avec beaucoup de diffi
outa-t-il, allez dire à ma femme qu’elle monte. » Il resta assisté de
deux
sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinai
volonté du Seigneur. Enfin, il rendit l’esprit entre les bras de ces
deux
bonnes sœurs; le sang qui lui sortait par la bouc
i, quand sa femme et Baron remontèrent, ils le trouvèrent mort. »
XXXIII
. Ainsi se termina, entre deux sœurs de charité
ent, ils le trouvèrent mort. » XXXIII. Ainsi se termina, entre
deux
sœurs de charité, cette vie si pleine, si agitée.
ndres de La Fontaine; et ce ne sont point leurs os que renferment les
deux
tombeaux du Père-Lachaise, sur lesquels on ne lit
urtant sans quelque émotion, dans un tel lieu, les noms réunis de ces
deux
hommes qui, de leur vivant, se sont aimés, appréc
jà fait tant de fois, donner le récit de ses funérailles; mais, après
deux
siècles de gloire, à quoi bon renouveler cette ho
as aimé, combien tu as été bon et sincère. Je dirai pourtant qu’après
mille
démarches, après avoir attendu plusieurs jours, e
dans un coin du cimetière Saint-Joseph. Le cortège se composait d’une
centaine
de ses amis, qui le pleurèrent et le bénirent. J’
ne fut point tout à fait oublié de celle qu’il avait tant aimée.
1.
Tant que l’âge des fleurs Nous rit, qui, las ! D
aujourd’hui, applaudit à la gloire de Molière. J. C. Préface [
I
] Aimer Molière, — j’entends l’aimer sincèremen
coup trop pour moi. Aimer Molière, c’est être également à l’abri et à
mille
lieues de cet autre fanatisme politique, froid, s
t sens de l’esprit chez les autres comme pour soi. Sainte-Beuve. [
II
] Molière est si grand, que chaque fois qu’on l
en temps nous retournions vers elles pour rafraîchir nos impressions (
12
mai 1825). … Quel homme que Molière ! quelle âme
s nous retournions vers elles pour rafraîchir nos impressions (12 mai
1825
). … Quel homme que Molière ! quelle âme grande et
au-delà. Molière montrait aux hommes ce qu’ils sont pour les châtier (
29
janvier 1826). … Je connais et j’aime Molière dep
lière montrait aux hommes ce qu’ils sont pour les châtier (29 janvier
1826
). … Je connais et j’aime Molière depuis ma jeunes
s ce grand Grec pour le seul homme qui puisse être comparé à Molière (
28
mars 1827). Goethe. [III] Je me figure que
nd Grec pour le seul homme qui puisse être comparé à Molière (28 mars
1827
). Goethe. [III] Je me figure que Dieu, dan
homme qui puisse être comparé à Molière (28 mars 1827). Goethe. [
III
] Je me figure que Dieu, dans sa bonté, voulant
us, Français, qu’à personne, il appartient à l’univers1. Kemble.
I
. La Semaine de Molière Tous les ans, lorsqu’ar
I. La Semaine de Molière Tous les ans, lorsqu’arrive cette date du
15
janvier, anniversaire du jour où Molière naquit,
de Molière était plus funèbre, mais elle eut dû être plus solennelle.
1873
est le deux centième anniversaire de la mort de M
tait plus funèbre, mais elle eut dû être plus solennelle. 1873 est le
deux
centième anniversaire de la mort de Molière. La F
d’hier, si nous voulons voir demain fleurir des gloires inconnues. Le
17
février 1873, à dix heures du soir, il y avait ju
nous voulons voir demain fleurir des gloires inconnues. Le 17 février
1873,
à dix heures du soir, il y avait juste deux cents
lons voir demain fleurir des gloires inconnues. Le 17 février 1873, à
dix
heures du soir, il y avait juste deux cents ans q
inconnues. Le 17 février 1873, à dix heures du soir, il y avait juste
deux
cents ans que Molière était mort, âgé de cinquant
nues. Le 17 février 1873, à dix heures du soir, il y avait juste deux
cents
ans que Molière était mort, âgé de cinquante et u
soir, il y avait juste deux cents ans que Molière était mort, âgé de
cinquante
et un ans, un mois et deux jours. C’était là le c
ts ans que Molière était mort, âgé de cinquante et un ans, un mois et
deux
jours. C’était là le cas ou jamais, pour nos théâ
là tout le bruit qu’on a fait autour de ce grand nom à l’occasion du
deux
centième anniversaire de cette mort. On a laissé
ème anniversaire de cette mort. On a laissé passer la date funèbre du
17
février sans la fixer, sans la marquer par une so
, hardi, joyeux et sain, éternel comme la lumière. On a donc joué, le
17
février 1873, sur le Burg-Theater de Vienne, L’Av
yeux et sain, éternel comme la lumière. On a donc joué, le 17 février
1873,
sur le Burg-Theater de Vienne, L’Avare, de Molièr
teur d’un ouvrage, célèbre en Autriche, sur la révolution ibérique de
1868,
Les Actualités espagnoles, livre à relire encore
et à nous faire aimer ? M. Lauser constate tout d’abord que « depuis
deux
siècles l’affection et l’admiration des Français
s auteurs français, il appartient à l’humanité tout entière comme les
deux
poètes nationaux de l’Italie et de l’Espagne : Da
oulangerie, ouverte depuis peu en face de l’emplacement où naquit, le
14
janvier 1622, Jean-Baptiste Poquelin, porte sur s
ouverte depuis peu en face de l’emplacement où naquit, le 14 janvier
1622,
Jean-Baptiste Poquelin, porte sur son enseigne ce
aris, que c’est bien la maison de la rue de Richelieu qui porte le nº
343.
Au coin de cette même rue de Richelieu et du boul
Regnard, et Marivaux habitait également rue de Richelieu vers l’année
1763.
Rien n’est plus tragique que cette agonie de Moli
il accepta chez Ninon de Lenclos acheva d’irriter ses poumons. Depuis
quinze
ans sa poitrine malade le dévorait d’un feu intér
olière, la dernière sans doute. Il allait mourir bientôt. Le vendredi
17
février 1673, jour où devait avoir lieu la quatri
dernière sans doute. Il allait mourir bientôt. Le vendredi 17 février
1673,
jour où devait avoir lieu la quatrième représenta
le point d’honneur de tout à l’heure et l’idée du devoir : « Il y a
cinquante
pauvres diables qui n’ont que leur journée pour v
aint-Eustache, la paroisse de Molière, et demandaient un confesseur ;
deux
curés refusaient, ils s’appelaient, l’un, Lenfant
ntre les bras d’un gentilhomme, M. Couthon. Aux pieds du lit priaient
deux
religieuses à genoux. Ces notes de Grimarest gard
ailles de ce grand homme de bien qui s’appelait Molière ? La nuit, le
21
février, malgré la foule qui hurlait devant la ma
hurlait devant la maison et à qui Armande Béjart jeta par la fenêtre
mille
livres pour l’apaiser, la bière de Molière portée
nous venons de relire avec profit, M. E. Burat de Gurgy, a publié, en
1838,
dans Le Monde dramatique (4e année, t. VI, p. 353
t, M. E. Burat de Gurgy, a publié, en 1838, dans Le Monde dramatique (
4e
année, t. VI, p. 353), un curieux article sur cet
t de Gurgy, a publié, en 1838, dans Le Monde dramatique (4e année, t.
VI
, p. 353), un curieux article sur cette Maison de
Grimarest : « Cette maison, dit M. de Gurgy, est inscrite sous le nº
34
de la rue de Richelieu, vis-à-vis la fontaine6. S
mmuniquaient ensemble au moyen d’un escalier de bois fort roide et de
deux
pieds et demi de largeur. On y voit à présent la
paru sous une couche de couleur grise. La lumière arrive là à travers
trois
fenêtres excessivement larges et dont la maçonner
re que c’est une excellente peinture. Parallèlement au foyer sont les
deux
autres croisées, entre lesquelles Molière avait s
nt les portières de lampas et les meubles en chêne de celui qui avait
30
000 francs de revenu, qu’il dépensait sans ostent
les portières de lampas et les meubles en chêne de celui qui avait 30
000
francs de revenu, qu’il dépensait sans ostentatio
bite le cordonnier qui a eu l’obligeance de nous y laisser entrer, le
7
mai 1838, en nous avouant (étrange indifférence !
e cordonnier qui a eu l’obligeance de nous y laisser entrer, le 7 mai
1838,
en nous avouant (étrange indifférence !) que nous
ns le premier et le seul qui lui en eût adressé la demande. » Depuis
trente-cinq
ans, l’intérieur de l’appartement où mourut Moliè
es recherches plus nouvelles veulent que Molière ait habité non le nº
34
de la rue Richelieu, mais le nº 40. Rien n’est pr
t que Molière ait habité non le nº 34 de la rue Richelieu, mais le nº
40.
Rien n’est prouvé : et adhuc sub judice lis est
en de fois essaya-t-on d’organiser une souscription pour Molière ! En
1818,
une commission, dont faisaient partie Casimir Pér
(je dis aucun) souscripteur ne se présenta. Quelques années après, en
1835,
une nouvelle commission, composée de MM. Thiers,
iption dans le même but. Croira-t-on que la somme souscrite s’éleva à
trois
cent cinquante francs ? Il fallut s’y reprendre à
dans le même but. Croira-t-on que la somme souscrite s’éleva à trois
cent
cinquante francs ? Il fallut s’y reprendre à troi
le même but. Croira-t-on que la somme souscrite s’éleva à trois cent
cinquante
francs ? Il fallut s’y reprendre à trois fois et
s’y missent corps et âme pour que Molière eût son monument8. Le jeudi
10
mai 1838, le Théâtre-Français donna une représent
sent corps et âme pour que Molière eût son monument8. Le jeudi 10 mai
1838,
le Théâtre-Français donna une représentation extr
bénéfice de la souscription pour Molière. La recette nette s’éleva à
17
242 francs 65 centimes. Cent ans après la mort de
néfice de la souscription pour Molière. La recette nette s’éleva à 17
242
francs 65 centimes. Cent ans après la mort de Mol
a souscription pour Molière. La recette nette s’éleva à 17 242 francs
65
centimes. Cent ans après la mort de Molière, en 1
ouscription pour Molière. La recette nette s’éleva à 17 242 francs 65
centimes
. Cent ans après la mort de Molière, en 1773, la C
n pour Molière. La recette nette s’éleva à 17 242 francs 65 centimes.
Cent
ans après la mort de Molière, en 1773, la Comédie
va à 17 242 francs 65 centimes. Cent ans après la mort de Molière, en
1773,
la Comédie-Française avait déjà donné une représe
représentation de L’Assemblée, qui doit être jouée mercredi prochain,
17
courant, pour célébrer la centenaire de Molière,
consentement au projet énoncé ci-dessus, quoiqu’il ait été agité par
deux
de nos camarades qu’il serait peut-être plus conv
s supérieurs. Lettre du sieur Lekain à M. le duc de Duras. Le
12
février 1773. Monseigneur, J’ai pris la liber
s. Lettre du sieur Lekain à M. le duc de Duras. Le 12 février
1773.
Monseigneur, J’ai pris la liberté de me rendr
sa vie, etc. Réponse de M. le duc de Duras au sieur Lekain. Le
14
février 1773. J’approuve fort votre idée, mon
c. Réponse de M. le duc de Duras au sieur Lekain. Le 14 février
1773.
J’approuve fort votre idée, mon cher Lekain, p
plus d’obstacles. On pouvait librement fêter Molière. Aussi, le lundi
15
février 1773, Lekain s’avança sur le devant de la
acles. On pouvait librement fêter Molière. Aussi, le lundi 15 février
1773,
Lekain s’avança sur le devant de la scène et fit
pièce nouvelle. La recette de cette représentation solennelle fut de
trois
mille six cents livres seulement. Mais, quoi ! le
nouvelle. La recette de cette représentation solennelle fut de trois
mille
six cents livres seulement. Mais, quoi ! le cente
lle. La recette de cette représentation solennelle fut de trois mille
six
cents livres seulement. Mais, quoi ! le centenair
La recette de cette représentation solennelle fut de trois mille six
cents
livres seulement. Mais, quoi ! le centenaire de M
neur était sauf, et la Maison de Molière avait mieux mérité de lui en
1773
qu’en 1873. II. Les débuts de Molière Nous
sauf, et la Maison de Molière avait mieux mérité de lui en 1773 qu’en
1873.
II. Les débuts de Molière Nous avons dit co
la Maison de Molière avait mieux mérité de lui en 1773 qu’en 1873.
II
. Les débuts de Molière Nous avons dit comment
ens de Molière ont perdu cette occasion de célébrer solennellement le
deux
centième anniversaire de la mort de Molière, comm
’ont pas toujours oublié cette date à la fois glorieuse et triste. En
1871,
pendant le siège de Paris, lorsqu’arriva la date
triste. En 1871, pendant le siège de Paris, lorsqu’arriva la date du
15
janvier, anniversaire de la naissance de Molière,
entait la France éternelle aux yeux de la France martyre et abaissée.
Trois
ans auparavant, en janvier 1868, à l’occasion du
ux de la France martyre et abaissée. Trois ans auparavant, en janvier
1868,
à l’occasion du deux cent quarante-sixième annive
e et abaissée. Trois ans auparavant, en janvier 1868, à l’occasion du
deux
cent quarante-sixième anniversaire de la naissanc
abaissée. Trois ans auparavant, en janvier 1868, à l’occasion du deux
cent
quarante-sixième anniversaire de la naissance de
comme on a dit, du Molière inédit. Ce petit acte contenait, en effet,
douze
fragments inédits ou peu connus, attribués à Moli
fait, en somme, pour ces miettes de Molière, que ce qu’avait fait, en
1682,
Champmeslé pour des scènes détachées du Dom Juan
t ensemble, tant bien que mal, et les fit représenter avec succès. Le
15
janvier 1866, M. Alphonse Pagès avait, à peu près
tant bien que mal, et les fit représenter avec succès. Le 15 janvier
1866,
M. Alphonse Pagès avait, à peu près de même, rimé
elles furent longues, ces années de luttes, d’essais, de tentatives.
Quatorze
ans ! Après avoir tout étudié, tout appris : la t
repasserez ! » Molière repassa, mais plus tard, je l’ai dit, près de
quinze
ans après. Et que de souffrances, en ces quinze a
je l’ai dit, près de quinze ans après. Et que de souffrances, en ces
quinze
années, que de déceptions ; toutes les tribulatio
le nom de l’auteur nouveau, et lorsqu’enfin il l’imprime, au bout de
trois
ans, à propos de L’École des femmes, il l’écrit M
du prince de Conti, pour lequel il dansait et peut-être écrivait, en
1655,
à Montpellier, le ballet des Incompatibles, ne me
s routes. On donnait, nous dit M. Raymond, aux acteurs un cheval pour
trois
, aux actrices un cheval pour deux. Quant à Molièr
aymond, aux acteurs un cheval pour trois, aux actrices un cheval pour
deux
. Quant à Molière, en sa qualité de directeur, il
écessaires pour transporter le petit théâtre de Molière et sa troupe
13.
Cette note fort curieuse montre quelle sorte d’au
Que je repaissais d’harmonie Au milieu de sept ou
huit
plats, Exempt de soin et d’embar
de l’Hôtel-Dieu la première représentation qu’il donna à Rouen (juin
1658
). Il devait, au mois d’août suivant, donner encor
logis où habitaient Pierre et Thomas Corneille14. Molière avait alors
trente-six
ans, Thomas Corneille trente-deux et le grand Cor
mas Corneille14. Molière avait alors trente-six ans, Thomas Corneille
trente-deux
et le grand Corneille cinquante-deux. On s’imagin
rs trente-six ans, Thomas Corneille trente-deux et le grand Corneille
cinquante-deux
. On s’imagine les causeries de ces trois hommes i
le grand Corneille cinquante-deux. On s’imagine les causeries de ces
trois
hommes illustres, les conseils donnés par le créa
nous cause la vue de ce misérable homme assis dans un fauteuil entre
deux
fraters en robe noire et un apothicaire à nez de
-même voulut voir de près le comédien dont on parlait tant. Ce fut le
24
octobre 1658 que Molière et ses camarades eurent
t voir de près le comédien dont on parlait tant. Ce fut le 24 octobre
1658
que Molière et ses camarades eurent l’honneur de
ent. Dans ce sensible affront, ne sçachant où m’en prendre, Je me vis
mille
fois sur le point de me pendre ; Mais d’un coup d
prouve à écouter cette langue impérissable et jeune ! Et cela date de
deux
siècles ! Et les comédies contemporaines les plus
contemporaines les plus applaudies et les plus fanées déjà datent de
dix
années à peine ! Quel étonnement ! On croirait vo
es et s’amusant avec Pulcinella, tout en songeant à George Dandin.
III
. Molière intime Ce n’était pas, lorsque Molièr
t à ce choix. » Bret, dans son édition des Œuvres de Molière (Paris,
1773
), fait suivre la Vie de Molière par Voltaire, qu’
vant L’Étourdi, Molière n’avait-il pas écrit Le Docteur amoureux, Les
Trois
Docteurs rivaux, Le Maître d’école, Le Médecin vo
Gorgibus dans le sac, Le Grand Benêt de fils, et certaine comédie en
trois
actes, Joquenet ou les vieillards dupés, où le bi
ophile Jacob a cru trouver la première forme des Fourberies de Scapin
19
? Molière écrivit même alors des ballets et M. P.
des ballets et M. P. Lacroix a publié le ballet des Incompatibles, à
huit
entrées, dansé à Montpellier devant Mgr le Prince
rince et Mme la Princesse de Conti (d’après l’édition de Montpellier,
1655
). Quelques vers de cette pièce sembleraient indiq
turant ainsi qu’on parviendra peut-être à retrouver (j’en doute après
deux
siècles) les fragments dispersés des œuvres inédi
de Molière, disait-il, sa veuve remit au comédien La Grange (mort en
1692
) des manuscrits, des papiers que celui-ci dut san
doute laisser à sa veuve. La veuve de La Grange, qui ne mourut qu’en
1727,
vendit sa bibliothèque et les manuscrits aussi, o
rits de Molière n’ont pas été découverts. Peut-être la célébration du
deux
centième anniversaire de sa mort appellera-t-elle
titre seul a survécu, des lambeaux déchirés, maculés et plus précieux
cent
fois que les plus purs vélins ? Qui sait s’il n’y
comédie du Docteur amoureux, et celle du Maître d’école, et celle des
Trois
Docteurs rivaux que Molière jeune improvisait en
rançais. Nous avons vu Molière arriver à Paris et s’y fixer. Il avait
trente-six
ans. Il rapportait de la province une science pro
où Molière s’était établi, ne devait pas durer longtemps. En octobre
1660,
la salle fut démolie pour laisser libre la constr
propres tragédies et fait parodier Le Cid de son rival Corneille. Le
4
février 1661, Molière donnait là sans succès son
ragédies et fait parodier Le Cid de son rival Corneille. Le 4 février
1661,
Molière donnait là sans succès son Dom Garcie de
donnait là sans succès son Dom Garcie de Navarre et ce n’était que le
24
juin suivant, avec L’École des maris, qu’il retro
Le sieur de Molière et sa troupe arrivèrent à Paris au mois d’octobre
1658
et se donnèrent à Monsieur, frère unique du roi,
accorda l’honneur de sa protection et le titre de ses comédiens, avec
300
livres de pension pour chaque comédien. » Cette m
pas en réserve la note suivante de la main même de La Grange : « Les
trois
cents livres n’ont jamais été payées. » On trouv
n réserve la note suivante de la main même de La Grange : « Les trois
cents
livres n’ont jamais été payées. » On trouvera da
ers, chez M. Le Tellier, par exemple, un jour de mardi gras. Je copie
deux
de ces notes intéressantes. « Vendredi 14 août 1
de mardi gras. Je copie deux de ces notes intéressantes. « Vendredi
14
août 1665, la troupe alla à Saint-Germain-en-Laye
i gras. Je copie deux de ces notes intéressantes. « Vendredi 14 août
1665,
la troupe alla à Saint-Germain-en-Laye, le roi di
ui appartînt et la demanda à Monsieur. Sa Majesté donna en même temps
6000
livres de pension à la troupe qui prit congé de M
e sa protection, et prit ce titre : La troupe du roi. » « Le vendredi
12
juin 1665, la troupe est allée à Versailles par o
tection, et prit ce titre : La troupe du roi. » « Le vendredi 12 juin
1665,
la troupe est allée à Versailles par ordre du roi
t imité du Convitato di Pietra que les Comédiens de l’Art jouaient en
1657,
sur canevas, au théâtre du Petit-Bourbon. On retr
servait de fort près, il ne put consommer son mariage pendant plus de
neuf
mois ; c’eût été risquer un éclat qu’il voulait é
oi et qui voulait que Molière eût épousé sa propre fille ? Durant les
deux
années qui précédèrent la naissance d’Armande, il
dans sa Gazette, nous a laissé un croquis assez rapide de la Molière (
1663
) : Pour vous peindre, belle Molière, Il faudrait
s, devinrent les véritables confidents du malheureux. « C’était à ces
deux
messieurs qu’il se livrait sans réserve. Ne me pl
ombrage malgré moi. J’y trouve à redire, je m’en plains. Cette femme,
cent
fois plus raisonnable que je ne le suis, veut jou
e qu’en ma place vous passeriez encore de plus mauvais quarts d’heure
29
. » Le passage que j’ai souligné donnerait raiso
de Brie, sa maîtresse, qu’il n’aimait point, mais qui l’amusait. « En
huit
jours, dit La Martinière, il avait avec elle une
arge tombe de pierre, et durant un hiver fort rude, elle fit voiturer
cent
voies de bois dans le cimetière Saint-Joseph, afi
a tombe de Molière. Il en résulta que la pierre calcinée se fendit en
deux
morceaux, mais du moins les indigents avaient eu
é à la Molière, c’en fut assez pour former de la dissension entre ces
trois
femmes. La Du Parc pour se mettre bien avec sa no
ur voir le spectacle. Elle n’y fut pas plus tôt que la Molière envoya
deux
gardes pour la faire sortir de l’amphithéâtre, et
e touchaient, irrité contre le médecin, pour se venger de lui, fit en
cinq
jours de temps la comédie de L’Amour médecin, don
die de L’Amour médecin, dont il fit un divertissement pour le roi, le
15
de septembre 1665, et qu’il représenta à Paris, l
édecin, dont il fit un divertissement pour le roi, le 15 de septembre
1665,
et qu’il représenta à Paris, le 12 du même mois.
pour le roi, le 15 de septembre 1665, et qu’il représenta à Paris, le
12
du même mois. » Il faut prendre l’anecdote pour
aits, pour les peindre, il empruntait à son propre caractère ! Il y a
deux
sortes de gens : ceux qui aiment et ceux qui se l
ait plus aimant qu’aimé. Aussi fut-il méconnu et même de son père. En
1668,
le vieux tapissier Poquelin, qui jadis tenait, à
issant tomber, tout en causant, qu’il cherchait à placer une somme de
10
000 livres — c’était une somme énorme pour le tem
ant tomber, tout en causant, qu’il cherchait à placer une somme de 10
000
livres — c’était une somme énorme pour le temps —
obité. Le tapissier Poquelin était sûr de la sienne ; il emprunta ces
10
000 livres, et il ignora toujours que ce qu’il re
té. Le tapissier Poquelin était sûr de la sienne ; il emprunta ces 10
000
livres, et il ignora toujours que ce qu’il receva
, — que le vieillard avait banni. Nous savons aussi que Molière prêta
12
000 livres à Lulli, manquant d’argent pour bâtir
que le vieillard avait banni. Nous savons aussi que Molière prêta 12
000
livres à Lulli, manquant d’argent pour bâtir sa m
ir sa maison de la butte Saint-Roch. Cette maison, où Lulli mourut en
1773,
porte le nº 45 de la rue Neuve-des-Petits-Champs
butte Saint-Roch. Cette maison, où Lulli mourut en 1773, porte le nº
45
de la rue Neuve-des-Petits-Champs ; elle est rema
comme un fils ; Corneille vieux, dont il reçut l’Attila en le payant
2
000 livres ; autant de noms illustres qui témoign
omme un fils ; Corneille vieux, dont il reçut l’Attila en le payant 2
000
livres ; autant de noms illustres qui témoignent
ales, le récit des désordres arrivés à la Comédie du Palais-Royal, le
13
janvier 1673, pendant une représentation de Psych
cit des désordres arrivés à la Comédie du Palais-Royal, le 13 janvier
1673,
pendant une représentation de Psyché. Molière, qu
d’un mot cette grande âme altérée d’amour et accablée de douleur.
IV
. Les grandes comédies Il est trois œuvres où M
d’amour et accablée de douleur. IV. Les grandes comédies Il est
trois
œuvres où Molière me semble avoir atteint non seu
: c’est Le Misanthrope, Tartuffe et Dom Juan, ou le Festin de Pierre
32.
Là, il nous offre non seulement les exemplaires l
coups de couteau empoisonnés que reçut Molière ? Il avait achevé les
trois
premiers actes de sa comédie. On les donne, tels
les dévots en armes, les fanfarons de vertu prêts au combat. Lorsque,
six
mois après la représentation des trois premiers a
vertu prêts au combat. Lorsque, six mois après la représentation des
trois
premiers actes à Versailles, Molière fit représen
e laisser jouer la pièce. Cette permission verbale était formelle. Le
5
août 1667, Tartuffe fut donné pour la première fo
er jouer la pièce. Cette permission verbale était formelle. Le 5 août
1667,
Tartuffe fut donné pour la première fois, mais le
pièce : « Monsieur le premier président ne voulait pas qu’on le jouât
33
. » Et, éternelle sottise des censeurs, à l’heur
leur parut, — dirent-ils, — un blasphème. L’humanité ! qu’était-ce en
1665
que cette intruse et cette pécore ? Molière dut s
du pauvre diable d’homme de génie était si forte et si puissante que
dix-sept
ans plus tard, lorsque Vinot et La Grange réimpri
le pauvre » et « l’humanité » de Dom Juan au moyen de cartons. Quoi !
dix-sept
ans plus tard ? Certaines haines sont donc bien t
que les camarades de Molière voulurent que l’auteur eût toute sa vie
deux
parts dans le gain de la troupe toutes les fois q
rait Tartuffe ; mais, à côté de ce public de goût qui se pressait aux
quarante-quatre
représentations consécutives de l’ouvrage (c’étai
ace le magnifique auteur des Nuits un peu au-dessus de Brizeux ou des
deux
Deschamps. La postérité, qui commence parfois au
au monde, qu’Aimé Martin avait vu et que M. Paul Lacroix découvrit en
1822,
a été publié dans la Collection Moliéresque. On y
la cervelle de l’enfance, tenir la femme sous son pouvoir, et par ces
deux
puissances faites de faiblesses, — la femme et l’
exprimer, avons-nous dit, dans une autre pièce qui fut représentée le
16
février 1665, quelques-unes des idées qu’il avait
vons-nous dit, dans une autre pièce qui fut représentée le 16 février
1665,
quelques-unes des idées qu’il avait mises dans sa
ceptique et valet crédule deviennent aussitôt la personnification des
deux
sentiments qui divisent le monde, et la comédie,
omédie, cette fois, nous présente, dans leur antagonisme éternel, les
deux
types de l’ignorant que son ignorance charme, qui
telles audaces. La comédie de Dom Juan n’était pas représentée depuis
six
semaines qu’un certain de Rochemont, dans lequel
. La lecture de ce pamphlet de Rochemont, qui mérita d’être appelé en
1665
le bras droit des Tartuffes , indigne et fait so
danger pour Molière dans ces perfides accusations. N’oublions pas que
trois
ans avant la représentation du Festin de Pierre,
l lui sera beaucoup pardonné, parce qu’il a beaucoup aimé Molière.
V.
Molière comédien C’est une question curieuse e
bsurde pantomime ou quelque chose de très bruyant. » Ainsi, pour ces
deux
hommes, l’Anglais du xvie siècle et le Français
refaire tour à tour Montfleury et Mlle de Beauchâteau, comédiens tous
deux
de l’hôtel de Bourgogne. Dans un pamphlet (de Vil
e), La Vengeance des marquis, ou Réponse à l’Impromptu de Versailles (
1664
), nous voyons que Molière — l’auteur l’appelle Al
vare. M. Soleirol, dans son livre, Molière et sa Troupe, nous a donné
deux
gravures représentant Molière en costume de théât
ère en costume de théâtre : dans le premier de ces portraits (daté de
1658
), Molière, couronne en tête, la barbe entière, es
tière, est représenté dans le rôle de Vulcain ; dans l’autre, daté de
1668,
Molière, les cheveux longs, la petite moustache a
rade, Molière ayant composé une sorte de romance où se trouvaient ces
deux
vers : Et tracez sur les herbettes L’image de vo
l’envie continuait à l’accabler de ses satires. Une comédie, jouée en
1669,
au théâtre du Marais ou à l’hôtel de Bourgogne, —
qu’il avait faite devant le roi. C’est ainsi que le Mercure galant de
1672
(t. I, p. 207) nous montre Molière venant, deux j
it faite devant le roi. C’est ainsi que le Mercure galant de 1672 (t.
I
, p. 207) nous montre Molière venant, deux jours a
le Mercure galant de 1672 (t. I, p. 207) nous montre Molière venant,
deux
jours avant la représentation des Femmes savantes
portrait du poète Cotin. « Une querelle de l’auteur, il y a environ
huit
ans, avec un homme de lettres qu’on prétend être
st suffisamment justifié de cela par une harangue qu’il fit au public
deux
jours avant la première représentation de sa pièc
’a encore eu personne qu’on puisse lui comparer. (Ceci était écrit en
1745
et reste vrai en 1873.) On a reproché à Molière q
qu’on puisse lui comparer. (Ceci était écrit en 1745 et reste vrai en
1873.
) On a reproché à Molière qu’il donnait des farces
rain, l’auteur du Livre sans nom (publié à Lyon, chez Baritel l’aîné,
MDCCXI
), plaçait déjà, presque au lendemain de la mort d
nent se plaindre et réclament contre le malheureux un bannissement de
six
cents ans aux Enfers, et que les juges demandent
se plaindre et réclament contre le malheureux un bannissement de six
cents
ans aux Enfers, et que les juges demandent où log
pondu, avec Térence et Plaute ! » La postérité n’a pas mieux dit.
VI
. Les calomniateurs de Molière Ces pages ne son
ns mariage du comédien Marcel, représenté sur le théâtre du Marais en
1671.
Ce Marcel, d’abord fort lié avec Molière, se réco
Marcel, après la mort du grand comique. Dans ce Mariage sans mariage
42,
l’auteur nous avertit que le héros ressemble beau
Molière avait adopté et qu’il aimait comme un fils : Quoique depuis
six
ans que, voyageant tous deux, D’une forte amitié
il aimait comme un fils : Quoique depuis six ans que, voyageant tous
deux
, D’une forte amitié nous serrâmes les nœuds, Il m
au de Somaize, dans sa comédie des Véritables Précieuses (Jean Ribou,
1660
), se moque de Molière, qu’il ridiculise sous le p
autre pamphlet, plus violent, en réponse au Cocu imaginaire (joué le
18
mars 1660), ce fut La Cocue imaginaire. Le privil
amphlet, plus violent, en réponse au Cocu imaginaire (joué le 18 mars
1660
), ce fut La Cocue imaginaire. Le privilège est da
e 18 mars 1660), ce fut La Cocue imaginaire. Le privilège est daté du
25
juillet 1660. L’auteur, faisant allusion à Molièr
660), ce fut La Cocue imaginaire. Le privilège est daté du 25 juillet
1660.
L’auteur, faisant allusion à Molière, écrit qu’il
langage des Précieuses et nous parle de « l’agrément donné entre les
deux
sœurs (le lavement) ; et de la volupté de l’amour
on Dépit amoureux à force de coups de chapeau et d’offrir les loges à
deux
pistoles ». Dans La Mort de Lusse-tu-cru, Lusse-t
ou la Défense de l’École des femmes, par le sieur de la Croix (Paris,
1664
), et Molière, sous le nom d’Alcidor, y est ainsi
aris, 1664), et Molière, sous le nom d’Alcidor, y est ainsi peint, en
deux
traits : « Il lit tous les livres satiriques, il
e de Chevalier, comédien du théâtre du Marais, Les Amours de Calotin (
1663
), la trace de cette anecdote qui nous représente
lheureux grand homme Molière devait en rencontrer de plus atroces. En
1668,
un an avant la publication de Tartuffe, qui faisa
era dans ces vers la preuve que ce chantre est l’auteur enragé de ces
quatre
vers hideux, rimés contre Molière en forme d’épit
, Assis la tête un peu baissée, Dessus une chaise percée, Faisant
cent
tours de harlequins, Tant de ses pieds que de ses
hin (à la Sphère), à Paris, chez Claude Barbin, au Signe-de-la-Croix,
1669
(petit in-12). M. Lacroix nous dit que c’est là u
de flagornerie. La première édition d’Élomire hypocondre est datée de
1670
(Paris, Charles de Sercy, au Palais, au sixième p
alais, au sixième pilier de la grand’salle, à la Bonne Foy couronnée,
1670,
in-12, de 4 folios préliminaires et de 112 pages)
e pilier de la grand’salle, à la Bonne Foy couronnée, 1670, in-12, de
4
folios préliminaires et de 112 pages). Elle est f
la Bonne Foy couronnée, 1670, in-12, de 4 folios préliminaires et de
112
pages). Elle est fort rare et à peu près introuva
es). Elle est fort rare et à peu près introuvable. La deuxième est de
1672.
Entre ces deux années se place le procès en diffa
rt rare et à peu près introuvable. La deuxième est de 1672. Entre ces
deux
années se place le procès en diffamation que le m
u le jour… » La première édition était ornée d’une estampe gravée par
L.
Weyen, et représentant Molière prenant des leçons
ce grand écolier du plus grand des bouffons Ne fasse et ne refasse en
cent
et cent façons ; Tantôt pour exprimer les soucis
écolier du plus grand des bouffons Ne fasse et ne refasse en cent et
cent
façons ; Tantôt pour exprimer les soucis d’un mén
cent et cent façons ; Tantôt pour exprimer les soucis d’un ménage, De
mille
et mille plis il fronce son visage ; Puis joignan
ent façons ; Tantôt pour exprimer les soucis d’un ménage, De mille et
mille
plis il fronce son visage ; Puis joignant la pâle
oire, sans rayons, sans fracas, sont-ils plus heureux que Molière.
VII
. Les portraits de Molière Ce ne sont pas seule
ue, dans la posture d’un homme qui rêve. Il avait les yeux collés sur
trois
ou quatre personnes de qualité qui marchandaient
la posture d’un homme qui rêve. Il avait les yeux collés sur trois ou
quatre
personnes de qualité qui marchandaient des dentel
e préféré-je celui que peignit Mignard et que M. Étienne Arago acheta
6
500 francs (on en voulait 7 500 francs) à la vent
préféré-je celui que peignit Mignard et que M. Étienne Arago acheta 6
500
francs (on en voulait 7 500 francs) à la vente Vi
it Mignard et que M. Étienne Arago acheta 6 500 francs (on en voulait
7
500 francs) à la vente Vidal, pour le compte de l
Mignard et que M. Étienne Arago acheta 6 500 francs (on en voulait 7
500
francs) à la vente Vidal, pour le compte de la Co
ciale et fort étudiée de M. Henri Lavoix sur les Portraits de Molière
50,
le critique passe en revue ceux des portraits de
le long de la peinture et dit : Farceurs français et italiens depuis
soixante
ans et plus, peints en 1670. Étrange promiscuité
Farceurs français et italiens depuis soixante ans et plus, peints en
1670.
Étrange promiscuité qui place ainsi un tel homme
ortrait, aujourd’hui perdu, que peignit Mignard et que grava Nolin en
1685.
Celui-là est vraiment une page d’histoire et, pou
ortraits contenus dans le livre de M. Soleirol, Molière et sa Troupe (
1858
) ; il faut signaler aussi tout particulièrement l
lerie historique des portraits des comédiens de la troupe de Molière (
2e
édit., 1859. Lyon, Scheuring). Ces documents grav
orique des portraits des comédiens de la troupe de Molière (2e édit.,
1859.
Lyon, Scheuring). Ces documents gravés et imprimé
cuments gravés et imprimés sont indispensables pour tout moliérophile
51.
C’est peut-être ici et maintenant qu’il convient
ant de Térence et de Molière : « Quel homme on aurait pu faire de ces
deux
comiques ! » Peut-être croyait-il être indulgent
es sociétés littéraires, des discours prononcés, et le Mercure galant
52
nous a conservé le texte de l’oraison funèbre que
qui sont demeurés enfouis jusqu’aujourd’hui dans le Mercure galant de
1673.
Voici d’abord comment le Mercure annonce la mort
ontaine s’y trouve, puis d’autres encore, mais nous n’en citerons que
deux
: Si dans son art c’est être un ouvrier parfait,
u’il contrefaisait tout et de masques, parce qu’il démasquait tout, «
deux
marionnettes, dit le Mercure, paraissent aux deux
démasquait tout, « deux marionnettes, dit le Mercure, paraissent aux
deux
coins de la chaise où est placé Cléante ». C’est
te le Mercure galant, fut à peine achevée que chacun se leva et donna
mille
louanges à Cléante, qui tourna lui-même en plaisa
écriait Saint-Foix54. Où sont-elles ? Où sont leurs mausolées ? » En
1778,
l’Académie française avait fait placer chez elle
t ce vers : Rien ne manque à sa gloire, il manquait à la nôtre ! En
1792,
le 6 juillet, les administrateurs d’une section d
: Rien ne manque à sa gloire, il manquait à la nôtre ! En 1792, le
6
juillet, les administrateurs d’une section du qua
toute pleine encore du génie, de la pensée et du rire de ce Mort.
VIII
. Conclusion « Prétendre à dire du nouveau à p
nçais, d’autant plus aimé qu’il est plus battu du sort. C’est donc le
deux
centième anniversaire de la mort d’un Français qu
versaire de la mort d’un Français qu’aurait dû célébrer la France, le
17
février 1873. Et quelle distance, quelle antithès
la mort d’un Français qu’aurait dû célébrer la France, le 17 février
1873.
Et quelle distance, quelle antithèse entre ces de
e, le 17 février 1873. Et quelle distance, quelle antithèse entre ces
deux
dates : 17 février 1673 — 17 février 1873 ! Pour
ier 1873. Et quelle distance, quelle antithèse entre ces deux dates :
17
février 1673 — 17 février 1873 ! Pour Molière, la
t quelle distance, quelle antithèse entre ces deux dates : 17 février
1673
— 17 février 1873 ! Pour Molière, la postérité to
e distance, quelle antithèse entre ces deux dates : 17 février 1673 —
17
février 1873 ! Pour Molière, la postérité tout en
quelle antithèse entre ces deux dates : 17 février 1673 — 17 février
1873
! Pour Molière, la postérité tout entière tient d
février 1873 ! Pour Molière, la postérité tout entière tient dans ces
deux
siècles. La réparation des injustices dont il fut
il illumina de sa gloire personnelle, tout cela est compris entre ces
deux
chiffres. Lorsque Molière mourut, le cadavre du m
se nomme Le Malade imaginaire. Que de personnages s’agitent entre ces
deux
pièces, tous si vivants qu’on les connaît mieux q
ut un monde de types, de caractères, palpite, pour ainsi dire, depuis
deux
siècles et vit à côté du monde réel. Or ce monde,
er, voilà pourquoi nous le préférons. Nous avons trop négligé, depuis
cinquante
ans, le culte de la tradition nationale en littér
ravestissement douloureux. À ce jeu, une nation perdrait, en moins de
cent
ans, son originalité et son génie. Le pauvre Alfr
jouterons avec Molière « le soldat de l’humanité ». Appendice
I
. La troupe de Molière Après avoir parlé de Mol
ituer pour cette époque de débuts, comprenait, d’après Grimarest, les
deux
frères Jacques et Louis Béjart, Madeleine Béjart,
Béjart, de Brie, Hervé, Menou, Magdelon et Vaucelles, faisaient, vers
1650,
partie de la troupe ambulante de Molière. Mais, p
ns et les comédiennes qui en firent partie. Béjart (Joseph), l’aîné (
1645-1659
), le frère aîné des sœurs Béjart. — Joua avec Mol
art était bègue. Il joua le rôle de Pandolfe dans L’Étourdi. Béjart (
Louis
), le cadet, dit l’Aiguisé (1645-1678). — Dans le
de Pandolfe dans L’Étourdi. Béjart (Louis), le cadet, dit l’Aiguisé (
1645-1678
). — Dans le tragique, il jouait les troisièmes rô
Louis Béjart était boiteux. Il avait reçu un coup d’épée en séparant
deux
de ses amis qui se battaient en duel sur la place
se battaient en duel sur la place du Palais-Royal. Du Fresne (Ch.) (
1645-1680
). — Comédien de l’Illustre Théâtre et peintre du
avec la troupe de Molière. Du Parc (René Berthelot), dit Gros-René (
1645-1665
). — Un des fondateurs de l’Illustre Théâtre, fils
it amoureux et dans Sganarelle. De Brie (Edme Villequin ou Wilquin) (
1653-1676
). — Créa, entre autres choses, M. Loyal dans Tart
ge forcé. La Grange (Charles Varlet, sieur de), né à Amiens, mort en
1692.
— Intelligent acteur qui devait, avec un ami de M
au public la première édition des Œuvres de Molière (Paris, Thierry,
1682
). — Représenta nombre de personnages dans les com
ut l’honneur de créer le personnage de Tartuffe. Quitta le théâtre en
1689
et mourut en 1695 ; son ami, le curé de Conflans-
éer le personnage de Tartuffe. Quitta le théâtre en 1689 et mourut en
1695
; son ami, le curé de Conflans-Sainte-Honorine, p
eur de), frère de Jodelet, quitta la troupe du Marais pour entrer, en
1659,
dans la troupe de Molière. Joua Gorgibus dans Les
tenville, Mme Pernelle, Mme Jourdain, d’autres encore. Vécut jusqu’en
1700.
Baron (Michel Bayron, dit). — On l’a appelé le c
ançaise (M. Hillemacher). Michel Baron disait de lui-même : « Il faut
cent
ans pour faire un César ; mais il faudrait dix si
lui-même : « Il faut cent ans pour faire un César ; mais il faudrait
dix
siècles pour faire un comédien tel que moi ! » Ex
acher le catalogue sous le pseudonyme de Giam. Battista Chiacchiarone
57.
Molier. — C’est le nom d’un danseur qui représen
de l’Île enchantée de Molière. Béjart (Marie-Madeleine), l’aînée des
trois
filles de Joseph Béjart. — Parisienne, née en 161
ine), l’aînée des trois filles de Joseph Béjart. — Parisienne, née en
1618
et morte en 1672, un an avant Molière. Jouait Mar
trois filles de Joseph Béjart. — Parisienne, née en 1618 et morte en
1672,
un an avant Molière. Jouait Marinette dans Le Dép
On la voit aussi raccommodant les pièces, par exemple Don Quichotte (
30
janvier 1666. Registre de La Grange). Elle représ
aussi raccommodant les pièces, par exemple Don Quichotte (30 janvier
1666.
Registre de La Grange). Elle représentait à la fo
in comme Pourceaugnac ; remariée à Aubry, auteur de Démétrius. Née en
1624,
elle survécut à Molière (morte en 1675). Elle ne
, auteur de Démétrius. Née en 1624, elle survécut à Molière (morte en
1675
). Elle ne se distingua que rarement, mais se dist
çon admirable et les applaudissements ne tarissaient pas . Mourut en
1706.
Elle jouait aussi Mariane dans L’Avare et Armande
omédienne et danseuse. — M. Ch. Louandre cite le Mercure de France de
1740,
qui dit qu’elle faisait certaines cabrioles remar
s, qu’on voyait ses jambes au moyen d’une jupe qui était ouverte des
deux
côtés, avec des bas de soie, attachés au moyen d’
t, demoiselle), la plus jeune des filles de Joseph Béjart. — Née vers
1643,
morte le 30 novembre 1700. Elle ne joua, sans dou
la plus jeune des filles de Joseph Béjart. — Née vers 1643, morte le
30
novembre 1700. Elle ne joua, sans doute, la coméd
ne des filles de Joseph Béjart. — Née vers 1643, morte le 30 novembre
1700.
Elle ne joua, sans doute, la comédie qu’après son
ne joua, sans doute, la comédie qu’après son mariage qui eut lieu le
20
février 1662. Le Registre de La Grange mentionne
ans doute, la comédie qu’après son mariage qui eut lieu le 20 février
1662.
Le Registre de La Grange mentionne son nom pour l
. Le Registre de La Grange mentionne son nom pour la première fois le
9
juin de cette même année. Grésinde, nom emprunté
le. Lorsque Molière fut mort, abreuvé de chagrins, la Molière épousa,
quatre
ans après, le 31 mai 1677, un certain Isaac-Franç
ut mort, abreuvé de chagrins, la Molière épousa, quatre ans après, le
31
mai 1677, un certain Isaac-François Guérin, sieur
, abreuvé de chagrins, la Molière épousa, quatre ans après, le 31 mai
1677,
un certain Isaac-François Guérin, sieur d’Estrich
alant qui l’épousa et vécut avec elle à Argenteuil, où elle mourut le
23
mai 1723. Marotte (mademoiselle), dite aussi Mar
ui l’épousa et vécut avec elle à Argenteuil, où elle mourut le 23 mai
1723.
Marotte (mademoiselle), dite aussi Marotte Beaup
e par une blanchisseuse, mariée à Beauval, applaudie à Paris, morte à
soixante-treize
ans, après avoir eu vingt-quatre enfants. Joua, e
auval, applaudie à Paris, morte à soixante-treize ans, après avoir eu
vingt-quatre
enfants. Joua, entre autres rôles, Nicole du Bour
on. Reprit le rôle d’Agnès après Mlle de Brie, qui le jouait encore à
soixante
ans sonnés. Ses Lettres au Mercure de France (167
ouait encore à soixante ans sonnés. Ses Lettres au Mercure de France (
1673,
1722 et 1740) sont curieuses pour l’histoire de M
encore à soixante ans sonnés. Ses Lettres au Mercure de France (1673,
1722
et 1740) sont curieuses pour l’histoire de Molièr
soixante ans sonnés. Ses Lettres au Mercure de France (1673, 1722 et
1740
) sont curieuses pour l’histoire de Molière. Beau
(Louise Pitel de Beauval, demoiselle). — C’est la fille de Beauval. À
huit
ans, elle joua la petite Louison du Malade imagin
ajoute encore le comédien Ragueneau, sieur de l’Estang (né à Paris en
1617,
mort à Lyon en 1654), puis Croisac, Prévost, figu
dien Ragueneau, sieur de l’Estang (né à Paris en 1617, mort à Lyon en
1654
), puis Croisac, Prévost, figurant, et sa femme, r
ce qu’on a dit plus haut, la composition de la troupe de Molière.
II
. Louis XIV et les marionnettes (document inédit)
es nouvelles marionnettes, sous le nom de troupe royale des Pigmées.
Louis
par la grâce de Dieu roy de France et de Navarre
accordons privilége de donner ses représentations pendant le cours de
vingt
années à dater du présent dans nostre bonne ville
nition exemplaire. Car tel est nostre plaisir. Donné à Versailles, le
33e
jour de Mars l’an de grâce 1675 et de notre règne
nostre plaisir. Donné à Versailles, le 33e jour de Mars l’an de grâce
1675
et de notre règne. Signé Louis. (Archives Nati
es, le 33e jour de Mars l’an de grâce 1675 et de notre règne. Signé
Louis
. (Archives Nationales.) III. Mariage de Moliè
âce 1675 et de notre règne. Signé Louis. (Archives Nationales.)
III
. Mariage de Molière « Du lundy vingtiesme (fé
nales.) III. Mariage de Molière « Du lundy vingtiesme (février
1662
), Jean-Baptiste Poquelin, fils de Jean Poquelin e
ard, fille de feu Joseph Béiard et de Marie Herué, d’autre part, tous
deux
de cette paroisse, vis à vis le Palais-Royal, fia
ne Béiard, frère et sœur de lad. mariée et d’autres, avec dispense de
deux
bans. (Signé.) » (Regist. 161 de Saint- Germain-
mariée et d’autres, avec dispense de deux bans. (Signé.) » (Regist.
161
de Saint- Germain-l’Auxerrois, Archives de la vil
egist. 161 de Saint- Germain-l’Auxerrois, Archives de la ville58.)
IV
. Funérailles de Molière Pour Monsieur Boyvin,
sieur Boyvin, prestre, docteur en théologie, à Saint-Joseph. « Mardi,
21
fevrier 1673, sur les neuf heures du soir, l’on a
n, prestre, docteur en théologie, à Saint-Joseph. « Mardi, 21 fevrier
1673,
sur les neuf heures du soir, l’on a fait le convo
cteur en théologie, à Saint-Joseph. « Mardi, 21 fevrier 1673, sur les
neuf
heures du soir, l’on a fait le convoy de Jean-Bap
ssier-valet de chambre, illustre comédien, sans autre pompe, sinon de
trois
ecclesiastiques ; quatre prestres ont porté le co
illustre comédien, sans autre pompe, sinon de trois ecclesiastiques ;
quatre
prestres ont porté le corps dans une bière de boi
é le corps dans une bière de bois couverte du poelle des tapissiers ;
six
enfants bleus portans six cierges dans six chande
de bois couverte du poelle des tapissiers ; six enfants bleus portans
six
cierges dans six chandeliers d’argent ; plusieurs
du poelle des tapissiers ; six enfants bleus portans six cierges dans
six
chandeliers d’argent ; plusieurs laquais portans
y avoit grande foule de peuple, et l’on a fait distribution de mil à
douze
cens livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à c
de mil à douze cens livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à chacun
cinq
sols. Ledit Moliere estoit décédé le vendredy au
à chacun cinq sols. Ledit Moliere estoit décédé le vendredy au soir,
17
février 1673. M. l’archevesque avoit ordonné qu’i
inq sols. Ledit Moliere estoit décédé le vendredy au soir, 17 février
1673.
M. l’archevesque avoit ordonné qu’il fust ainsi e
Néantmoins l’on a ordonné quantité de messes pour le defunt59. »
V.
Épitaphes de Molière Ci-gît qui parut sur la
ue tu peignis si bien Tu leur avais repris de leur ingratitude60.
VI
. Le Jubilé de Molière Le Jubilé artistique cél
. VI. Le Jubilé de Molière Le Jubilé artistique célébré en mai
1873,
en l’honneur de Molière, n’aura pas été la premiè
ondateur de la maison, le Théâtre-Français avait composé, en novembre
1852,
une splendide et unique soirée. Devant un rideau
te soirée triomphale qui a donné à M. Ballande l’idée de renouveler à
vingt
ans de distance la même fête, car lui-même en fai
car lui-même en faisait partie et y parut dans le rôle de Sextus.
VII
. Un nouvel autographe de Molière « Circonstan
phe de Molière « Circonstance assez bizarre, l’on connaît à peine
deux
lignes authentiques de l’écriture de Molière. » M
mis la main sur une demi-page de Molière écrite et signée par lui le
24
février 1656. Le dossier où cette précieuse trouv
n sur une demi-page de Molière écrite et signée par lui le 24 février
1656.
Le dossier où cette précieuse trouvaille a été fa
. « Cet autographe de Molière est écrit sur une feuille de papier de
21
centimètres de large environ sur 29 de hauteur et
« Cet autographe de Molière est écrit sur une feuille de papier de 21
centimètres
de large environ sur 29 de hauteur et occupe la m
crit sur une feuille de papier de 21 centimètres de large environ sur
29
de hauteur et occupe la moitié supérieure de cett
r le Pecq thresorier de la bource des Estats du Languedoc la somme de
six
mille liures à nous accordez par messieurs du Bur
Pecq thresorier de la bource des Estats du Languedoc la somme de six
mille
liures à nous accordez par messieurs du Bureau de
mme ie le quitte faict à Pezenas ce vingt-quatriesme jour de feburier
1656.
« Molière / « Quittance de six
e jour de feburier 1656. « Molière / « Quittance de
six
mille liures. » « L’écriture, dit l’archiviste
ur de feburier 1656. « Molière / « Quittance de six
mille
liures. » « L’écriture, dit l’archiviste dans s
doute au prince de Conti que Molière fut redevable de cette somme de
6
000 livres. Une reproduction fac-simile de cet au
oute au prince de Conti que Molière fut redevable de cette somme de 6
000
livres. Une reproduction fac-simile de cet autogr
ciété des Bibliophiles languedociens, fondée à Montpellier en juillet
1872,
annonce sous ce titre : Additions à la vie de Mol
publication de son livre des Pérégrinations de Molière en Languedoc,
1858.
(Voyez le Rapport sur la Découverte d’un autograp
par M. de la Pijardière, archiviste du département (Montpellier, chez
C.
Coulet, libraire, 1873.) Ce M. L. de la Pijardièr
re, archiviste du département (Montpellier, chez C. Coulet, libraire,
1873.
) Ce M. L. de la Pijardière n’est autre que notre
ques. Et cette dernière découverte, qui date d’un mois à peine (avril
1873
), servira de conclusion naturelle au présent volu
es amis de Molière, pour trouver et déterrer encore du nouveau !
1.
Anecdote contée par M. Auger et citée par M. Paul
l’acteur anglais vaut bien celle d’un critique allemand ou français.
2.
Voyez Molière in Deutschland, von Paul Lindau. (W
Voyez Molière in Deutschland, von Paul Lindau. (Wien, Arnold Hilbetg,
1867,
in-8.) 3. D’autres prétendent que c’est la maiso
in Deutschland, von Paul Lindau. (Wien, Arnold Hilbetg, 1867, in-8.)
3.
D’autres prétendent que c’est la maison qui porte
. D’autres prétendent que c’est la maison qui porte aujourd’hui le nº
40.
4. Ce portrait, le voici : « Molière n’était ni
utres prétendent que c’est la maison qui porte aujourd’hui le nº 40.
4.
Ce portrait, le voici : « Molière n’était ni trop
à cette gravité et à ce sérieux, qui ne reconnaît le contemplateur ?
5.
Voyez plus loin les Épitaphes de Molière. 6. Nou
aît le contemplateur ? 5. Voyez plus loin les Épitaphes de Molière.
6.
Nous acceptons cette tradition. Aujourd’hui, l’ap
6. Nous acceptons cette tradition. Aujourd’hui, l’appartement du nº
34
est occupé par un bureau de placement pour employ
ment du nº 34 est occupé par un bureau de placement pour employés des
deux
sexes. Cette maison, qui s’ouvre sur le passage H
n marchand de vins, M. Gibout, et un boucher, M. Bouquet jeune. Le nº
40,
haute et fière maison située en face la rue Ville
un marchand d’appareils à gaz, un magasin de jouets et un tailleur.
7.
N’est-ce pas plutôt celui que possède la Comédie-
se et qui représente Molière dans son costume de La Mort de Pompée ?
8.
Voyez la Lettre de M. Régnier, de la Comédie-Fran
ative à la construction de la fontaine Molière (Moniteur universel du
25
mars 1838). 9. Cette comédie de L’Assemblée fut
la construction de la fontaine Molière (Moniteur universel du 25 mars
1838
). 9. Cette comédie de L’Assemblée fut imprimée
uction de la fontaine Molière (Moniteur universel du 25 mars 1838).
9.
Cette comédie de L’Assemblée fut imprimée : L’Ass
rs, par l’abbé de Schosnes, représentée par les comédiens français le
17
février 1773 (Paris, Callot, 1773, in-8 de 48 pag
bbé de Schosnes, représentée par les comédiens français le 17 février
1773
(Paris, Callot, 1773, in-8 de 48 pages). Nous tro
ésentée par les comédiens français le 17 février 1773 (Paris, Callot,
1773,
in-8 de 48 pages). Nous trouvons encore cette piè
s comédiens français le 17 février 1773 (Paris, Callot, 1773, in-8 de
48
pages). Nous trouvons encore cette pièce dans la
if à l’apothéose de Molière, représenté par les comédiens français le
18
février 1773 (Paris, Veuve Duchesne, 1773, in-8 d
héose de Molière, représenté par les comédiens français le 18 février
1773
(Paris, Veuve Duchesne, 1773, in-8 de 64 pages).
par les comédiens français le 18 février 1773 (Paris, Veuve Duchesne,
1773,
in-8 de 64 pages). L’auteur était l’abbé Lebeau d
ens français le 18 février 1773 (Paris, Veuve Duchesne, 1773, in-8 de
64
pages). L’auteur était l’abbé Lebeau de Schosne.
la Comédie de Bordeaux ; comédie-vaudeville (Bordeaux, Veuve Calamy,
1773,
in-8). — Nous citerons encore parmi les pièces de
ire de Molière, une comédie de M. Samson : La Fête de Molière (Odéon,
15
janvier 1823). 10. Recherches sur le séjour de
ère, une comédie de M. Samson : La Fête de Molière (Odéon, 15 janvier
1823
). 10. Recherches sur le séjour de Molière dans
comédie de M. Samson : La Fête de Molière (Odéon, 15 janvier 1823).
10.
Recherches sur le séjour de Molière dans l’ouest
0. Recherches sur le séjour de Molière dans l’ouest de la France, en
1648,
par Benjamin Fillon (Fontenay-le-Comte, in-8, 187
de la France, en 1648, par Benjamin Fillon (Fontenay-le-Comte, in-8,
1871
). 11. Les Origines du théâtre de Lyon (Lyon, Sc
rance, en 1648, par Benjamin Fillon (Fontenay-le-Comte, in-8, 1871).
11.
Les Origines du théâtre de Lyon (Lyon, Scheuring
in-8, 1871). 11. Les Origines du théâtre de Lyon (Lyon, Scheuring,
1865,
in-8). 12. Promenades et causeries, par Eug. N
11. Les Origines du théâtre de Lyon (Lyon, Scheuring, 1865, in-8).
12.
Promenades et causeries, par Eug. Noël (Rouen, S
-8). 12. Promenades et causeries, par Eug. Noël (Rouen, Schneider,
1872,
in-18). Voyez aussi, sur le séjour de Molière en
brochure de M. le professeur Bouquet, Molière et sa troupe à Rouen.
13.
Le Fauteuil de Molière à Pézenas (Magasin pittor
uen. 13. Le Fauteuil de Molière à Pézenas (Magasin pittoresque, t.
IV
, p. 247). Curieux article sur la boutique du barb
comme on sait, se rendait Molière tous les samedis, jours de marché.
14.
Cette salle, dit M. Noël, se trouvait vraisemblab
is ; or les frères Corneille habitaient rue de la Pie, c’est-à-dire à
quatre
minutes du théâtre où Molière allait jouer Nicomè
olière allait jouer Nicomède (voy. Rouen, promenades et souvenirs).
15.
Je recueille ici, d’après le bibliothécaire de Li
Je recueille ici, d’après le bibliothécaire de Limoges, M. Goursolen,
trois
fragments peu importants, mais utiles à rapproche
moges au xviie siècle, par P. Laforest. (Limoges, Chapoulaud frères,
1862,
in-8.) À la page 6 : — Rencontrer à cent lieues
par P. Laforest. (Limoges, Chapoulaud frères, 1862, in-8.) À la page
6
: — Rencontrer à cent lieues de Paris, au fond
moges, Chapoulaud frères, 1862, in-8.) À la page 6 : — Rencontrer à
cent
lieues de Paris, au fond des bois du Limousin, un
genre d’étonnement que La Fontaine paraît avoir éprouvé, lorsque, en
1663,
il accompagna son parent et son ami Jeannart, imp
ur de leur teint, etc. En note. — La lettre du fabuliste, datée du
19
décembre 1663, en fait pressentir une seconde qui
eint, etc. En note. — La lettre du fabuliste, datée du 19 décembre
1663,
en fait pressentir une seconde qui ne s’est pas r
rait s’apprécier impartialement à Limoges. Almanach limousin, année
1861.
— Théâtre, par H. Ducourtieux : — L’accueil que
urants, inde iræ. » La Voix de la province, revue littéraire, année
1862,
ier numéro, Chronique : — Molière, on l’a répé
t et de la sûreté de leur jugement. (Aucune indication d’origine.)
16.
Louis XIV devait plus tard se consoler de la mort
Louis XIV devait plus tard se consoler de la mort de ce Molière qu’en
1658
il accueillait si bien, en accordant un privilège
x Pygmées par le grand Roi. — Cette pièce intéressante est inédite.)
17.
Bruzen de la Martinière qui compléta ou plutôt re
re, nommé Marcel. L’édition que j’ai consultée est celle d’Amsterdam,
1735.
Les Œuvres de M. de Molière, augmentées d’une nou
auteur, avec figures en taille-douce (Amsterdam, chez Herman Uytwerf,
1735
). Cette édition contient L’Ombre de Molière, de B
radition relative au grand-père de Molière est sans doute apocryphe.
18.
Ce mot est celui des Fourberies de Scapin. Dans L
ué, Cyrano fait dire, dans la scène entre Granger et Corbinelli (acte
II
, scène iv) : — Que diable aller faire dans la ga
re ! galère ! s’écrie Granger, tu mets bien ma bourse aux galères !
19.
L’Alcantor de Joquenet ne serait autre qu’Argante
autre qu’Argante, Garganelle que Géronte, et Sylvie que Zerbinette.
20.
Le ballet des Incompatibles a été réimprimé aussi
ur la Jeunesse de Molière (Bruxelles, avec préface de F. Delbasse).
21.
Les représentations ne devinrent quotidiennes qu’
rue Guénégaud, toujours sous le même titre de la troupe du Roi. »
22.
Le Livre d’or, Plutarque universel (tome Ier, in
du Roi. » 22. Le Livre d’or, Plutarque universel (tome Ier, in-4,
1866
). 23. Voyez dans le très savant et amusant ouvra
» 22. Le Livre d’or, Plutarque universel (tome Ier, in-4, 1866).
23.
Voyez dans le très savant et amusant ouvrage de M
, le chapitre consacré à Molière, d’après le registre de La Grange.
24.
M. Étienne Arago a trouvé dans un manuscrit de Ph
de Philibert de Lamare, conseiller au parlement de Dijon, commencé en
1673
(Bibliothèque Richelieu), une anecdote qui ne se
ière mourût comme était mort Tabarin, assassiné par un gentilhomme.
25.
Molière et la Comédie italienne. 26. Vie de Mo
ssassiné par un gentilhomme. 25. Molière et la Comédie italienne.
26.
Vie de Moliere, dans l’édition de ses Œuvres (Am
oliere, dans l’édition de ses Œuvres (Amsterdam, chez Herman Uytwerf,
1735
). Beffara a prouvé, par la publication de l’acte
ra, dans l’édition des Grands écrivains français de M. Alph. Pagès.)
27.
Ce petit Louis, né le 19 janvier 1664, mourut le
ition des Grands écrivains français de M. Alph. Pagès.) 27. Ce petit
Louis
, né le 19 janvier 1664, mourut le 10 novembre de
nds écrivains français de M. Alph. Pagès.) 27. Ce petit Louis, né le
19
janvier 1664, mourut le 10 novembre de la même an
ns français de M. Alph. Pagès.) 27. Ce petit Louis, né le 19 janvier
1664,
mourut le 10 novembre de la même année. Molière e
. Alph. Pagès.) 27. Ce petit Louis, né le 19 janvier 1664, mourut le
10
novembre de la même année. Molière eut encore un
même année. Molière eut encore un fils, Pierre-Baptiste-Armand, né le
15
septembre 1672, mort le 11 octobre de la même ann
olière eut encore un fils, Pierre-Baptiste-Armand, né le 15 septembre
1672,
mort le 11 octobre de la même année. Son troisièm
ore un fils, Pierre-Baptiste-Armand, né le 15 septembre 1672, mort le
11
octobre de la même année. Son troisième enfant fu
e année. Son troisième enfant fut une fille, Esprit-Madeleine, née le
4
août 1665. Sa mère voulait en faire une religieus
. Son troisième enfant fut une fille, Esprit-Madeleine, née le 4 août
1665.
Sa mère voulait en faire une religieuse. Elle mou
e. C’est elle qui répondait à quelqu’un qui lui demandait son âge : «
Quinze
ans et demi, mais n’en dites rien à ma mère ! »
son âge : « Quinze ans et demi, mais n’en dites rien à ma mère ! »
28.
Voyez l’édition de l’Histoire de la Guérin, qu’a
n, qu’a publiée, avec une préface et des notes, M. Jules Bonnassies.
29.
Œuvres de Molière, édition d’Amsterdam, 1735. Vi
s, M. Jules Bonnassies. 29. Œuvres de Molière, édition d’Amsterdam,
1735.
Vie de l’auteur, p. 57. 30. La de Brie ne devai
vres de Molière, édition d’Amsterdam, 1735. Vie de l’auteur, p. 57.
30.
La de Brie ne devait pas être, je pense, si laide
Galerie de la troupe de Molière, confirme la vérité de ce quatrain.
31.
Voyez M. Paul Albert, La Littérature française au
31. Voyez M. Paul Albert, La Littérature française au xviie siècle.
32.
Il faudrait peut-être ajouter une quatrième pièce
comparable, cruelle et charmante comédie, où Arnolphe égale Othello.
33.
Je cite ce mot qui n’a rien d’authentique, qui es
onne le ton des dispositions de quelques personnages contre Molière.
34.
Molière répondit par un placet au roi contre ce c
curé et « les Faux Monnayeurs en dévotion ». Pierre Roulès mourut le
8
juillet 1666, deux ans et demi avant la représent
les Faux Monnayeurs en dévotion ». Pierre Roulès mourut le 8 juillet
1666,
deux ans et demi avant la représentation de Tartu
aux Monnayeurs en dévotion ». Pierre Roulès mourut le 8 juillet 1666,
deux
ans et demi avant la représentation de Tartuffe,
deux ans et demi avant la représentation de Tartuffe, qui eut lieu le
5
février 1669. 35. Quelqu’un a écrit que Tartuffe
t demi avant la représentation de Tartuffe, qui eut lieu le 5 février
1669.
35. Quelqu’un a écrit que Tartuffe a été composé
avant la représentation de Tartuffe, qui eut lieu le 5 février 1669.
35.
Quelqu’un a écrit que Tartuffe a été composé à la
uffe serait un portrait du P. La Chaise. Cela est radicalement faux.
36.
L’édition complète, un des hommes les plus remarq
spois pour avoir, en beaucoup de points, le dernier mot sur Molière.
37.
Voyez les Observations sur le Festin de Pierre, p
ans la Collection Moliéresque du bibliophile Jacob (tirée seulement à
100
exemplaires numérotés). 38. Voyez le livre de M.
du bibliophile Jacob (tirée seulement à 100 exemplaires numérotés).
38.
Voyez le livre de M. F. Hillemacher sur La Troupe
. 38. Voyez le livre de M. F. Hillemacher sur La Troupe de Molière.
39.
« Il aimait à parler en public, il n’en perdait
un sujet de haranguer pour le premier jour de comédie. » (Marcel.)
40.
Le Mercure galant, soit dit en passant, se montre
duchesse de Nemours, sur la fièvre quarte. (Œuvres meslées, édit. de
1659,
2e partie, pages 78-79) : Votre prudence est end
sse de Nemours, sur la fièvre quarte. (Œuvres meslées, édit. de 1659,
2e
partie, pages 78-79) : Votre prudence est endorm
ur la fièvre quarte. (Œuvres meslées, édit. de 1659, 2e partie, pages
78-79
) : Votre prudence est endormie De traiter magnif
aration de l’auteur de la comédie, a confondu Cotin avec Trissotin.
41.
Il faut consulter aussi les Hommes illustres de C
de Ch. Perrault, l’auteur des Contes, et le Dictionnaire de Bayle (t.
IV
). 42. Publié d’après l’édition de Paris, 1670. J
Perrault, l’auteur des Contes, et le Dictionnaire de Bayle (t. IV).
42.
Publié d’après l’édition de Paris, 1670. J. Gay e
ictionnaire de Bayle (t. IV). 42. Publié d’après l’édition de Paris,
1670.
J. Gay et fils (Turin, 1869). 43. Il faut lire,
42. Publié d’après l’édition de Paris, 1670. J. Gay et fils (Turin,
1869
). 43. Il faut lire, dans Les Amours de Calotin,
blié d’après l’édition de Paris, 1670. J. Gay et fils (Turin, 1869).
43.
Il faut lire, dans Les Amours de Calotin, la conv
excellent ouvrage de M. Victor Fournel, Les Contemporains de Molière (
2
vol. in-8). 44. Variante : Un ridicule mantele
e de M. Victor Fournel, Les Contemporains de Molière (2 vol. in-8).
44.
Variante : Un ridicule mantelet Que Scaramouche
n oncle… Si j’avais une rime en oncle, Je m’en servirais bien ici.
45.
Voyez Élomire hypocondre, ou les Médecins vengés,
ussay, avec une notice de M. P. Lacroix (Genève, chez J. Gay et fils,
1867
). M. Maurice Raynaud s’est beaucoup servi, et ave
let dans son livre si intéressant, Les Médecins au temps de Molière.
46.
M. Em. Raymond a donc tort d’affirmer, dans l’app
n Molière en Languedoc, que Molière opposa le dédain à la calomnie.
47.
Voyez les Œuvres de M. de Molière (à Toulouse, ch
47. Voyez les Œuvres de M. de Molière (à Toulouse, chez Dupuy, M. DC.
XCVII
). La vie de Molière qui forme la préface est de M
l. J’y lis : « Il s’était joué lui-même sur cette incommodité dans la
5e
scène du 2e acte de L’Avare, lorsque Arpagon dit
« Il s’était joué lui-même sur cette incommodité dans la 5e scène du
2e
acte de L’Avare, lorsque Arpagon dit à Frosine :
à tousser.” Cependant c’est cette toux qui a abrégé sa vie de plus de
vingt
ans. Il était d’ailleurs d’une très bonne constit
s aucun remède, il n’eût pas manqué de forces pour le surmonter. »
48.
On retrouve là, dans les questions incessantes d’
ne farce, Le Pied de Mouton de Martainville, rendit populaire près de
deux
siècles plus tard. 49. Élomire hypocondre, acte
on de Martainville, rendit populaire près de deux siècles plus tard.
49.
Élomire hypocondre, acte IV, scènei. 50. Gazet
ulaire près de deux siècles plus tard. 49. Élomire hypocondre, acte
IV
, scènei. 50. Gazette des Beaux-Arts, nº du 1er
e deux siècles plus tard. 49. Élomire hypocondre, acte IV, scènei.
50.
Gazette des Beaux-Arts, nº du 1er mars 1872. 51
mire hypocondre, acte IV, scènei. 50. Gazette des Beaux-Arts, nº du
1er
mars 1872. 51. M. P. Lacroix, si érudit en tout
condre, acte IV, scènei. 50. Gazette des Beaux-Arts, nº du 1er mars
1872.
51. M. P. Lacroix, si érudit en tout ce qui conc
acte IV, scènei. 50. Gazette des Beaux-Arts, nº du 1er mars 1872.
51.
M. P. Lacroix, si érudit en tout ce qui concerne
s curieux des livres, c’est la Bibliographie Moliéresque, contenant :
1º
la description de toutes les éditions des œuvres
cription de toutes les éditions des œuvres et des pièces de Molière ;
2º
les imitations et traductions desdites pièces ; 3
ièces de Molière ; 2º les imitations et traductions desdites pièces ;
3º
les ballets, fêtes de cour, poésies de Molière, e
es pièces ; 3º les ballets, fêtes de cour, poésies de Molière, etc. ;
4º
l’indication des ouvrages en tout genre concernan
s, par le bibliophile Jacob (P. Lacroix). Turin, chez J. Gay et fils,
1872.
— Tiré à 204 exemplaires. 52. Tome IV, p. 266 et
ophile Jacob (P. Lacroix). Turin, chez J. Gay et fils, 1872. — Tiré à
204
exemplaires. 52. Tome IV, p. 266 et suiv. 53. T
acroix). Turin, chez J. Gay et fils, 1872. — Tiré à 204 exemplaires.
52.
Tome IV, p. 266 et suiv. 53. Tome IV. 54. Essa
Turin, chez J. Gay et fils, 1872. — Tiré à 204 exemplaires. 52. Tome
IV
, p. 266 et suiv. 53. Tome IV. 54. Essais sur P
fils, 1872. — Tiré à 204 exemplaires. 52. Tome IV, p. 266 et suiv.
53.
Tome IV. 54. Essais sur Paris, tome III. 55. C
72. — Tiré à 204 exemplaires. 52. Tome IV, p. 266 et suiv. 53. Tome
IV
. 54. Essais sur Paris, tome III. 55. Cailhava
Tiré à 204 exemplaires. 52. Tome IV, p. 266 et suiv. 53. Tome IV.
54.
Essais sur Paris, tome III. 55. Cailhava portai
. Tome IV, p. 266 et suiv. 53. Tome IV. 54. Essais sur Paris, tome
III
. 55. Cailhava portait, enchâssée dans une bague,
IV, p. 266 et suiv. 53. Tome IV. 54. Essais sur Paris, tome III.
55.
Cailhava portait, enchâssée dans une bague, une d
55. Cailhava portait, enchâssée dans une bague, une dent de Molière.
56.
Galerie historique des portraits des comédiens d
des comédiens de la troupe de Molière (Lyon, Nicolas Scheuring, in-8.
1869,
2e édit.). 57. À propos de Lulli, je trouve, da
médiens de la troupe de Molière (Lyon, Nicolas Scheuring, in-8. 1869,
2e
édit.). 57. À propos de Lulli, je trouve, dans
troupe de Molière (Lyon, Nicolas Scheuring, in-8. 1869, 2e édit.).
57.
À propos de Lulli, je trouve, dans une publicatio
prise par feu Quérard, le bibliographe, et intitulée Le Quérard (tome
II
, p. 640), un renseignement qui vaut d’être recuei
feu d’artifice qu’il s’avisa de faire vis-à-vis sa maison en l’année
1674,
publièrent partout que, s’il n’avait pas réussi d
s, et même la finale du précédent, se retrouvent mot pour mot dans la
6e
scène du 5e acte de Sertorius de Pierre Corneille
a finale du précédent, se retrouvent mot pour mot dans la 6e scène du
5e
acte de Sertorius de Pierre Corneille. — Il est t
du théâtre du Marais qui y faisait effet*. La similitude complète des
deux
vers, qui ne sont pas ce qu’on appelle vers de re
de tous mes sentiments distingués. « Frédéric Hillemacher. » Paris,
5
novembre 1856. * Voir ce que nous avons dit du ta
sentiments distingués. « Frédéric Hillemacher. » Paris, 5 novembre
1856.
* Voir ce que nous avons dit du talent d’imitatio
lent d’imitation de Molière au chapitre intitulé Molière comédien.
58.
Publié par M. A. Jal. 59. Publié par M. Benjamin
au chapitre intitulé Molière comédien. 58. Publié par M. A. Jal.
59.
Publié par M. Benjamin Fillon. 60. Tiré du Mercu
en. 58. Publié par M. A. Jal. 59. Publié par M. Benjamin Fillon.
60.
Tiré du Mercure galant.
station de la comédie et du drame. Corneille écrit Le Menteur, et les
trois
derniers actes du Cid merveilleux, qui tourne, co
igné, malgré son maître Ménage, n’en était pas tout à fait ignorante.
Trente
ans plus tard, sous ce thème pilier des halles, v
jà de la bourgeoisie : entrer chez le roi, avoir bouche en cour, avec
trois
cents livres de gages, et trente-sept livres dix
la bourgeoisie : entrer chez le roi, avoir bouche en cour, avec trois
cents
livres de gages, et trente-sept livres dix sous d
ez le roi, avoir bouche en cour, avec trois cents livres de gages, et
trente-sept
livres dix sous de récompense chaque année, pour
uche en cour, avec trois cents livres de gages, et trente-sept livres
dix
sous de récompense chaque année, pour un service
e-sept livres dix sous de récompense chaque année, pour un service de
trois
mois ! Ajoutons tout l’aise et le relief d’un off
-d’œuvre. On étudiait assez vite aux premiers jours du grand siècle ;
quatre
ou cinq ans suffisaient à ces études qui, pour ai
On étudiait assez vite aux premiers jours du grand siècle ; quatre ou
cinq
ans suffisaient à ces études qui, pour ainsi dire
e du roi Louis XIII et de Richelieu, dans cette terrible année où ces
deux
jeunes gens, M. de Cinq-Mars et M. de Thou, livré
ns, M. de Cinq-Mars et M. de Thou, livrés à Laubardemont (M. de Thou,
trente-deux
ans ! M. de Cinq-Mars, vingt-quatre ans !), tombè
livrés à Laubardemont (M. de Thou, trente-deux ans ! M. de Cinq-Mars,
vingt-quatre
ans !), tombèrent, si peu coupables, sous la hach
montrer, sitôt, protégeant Molière, son condisciple. Le poète a déjà
vingt-trois
ans, et bien vite il a pris son parti d’obéir aux
doute de rien. Celui-ci voulut avoir des camarades, il en trouva des
deux
sexes. Les uns et les autres, à peine ils eurent
ur leur plaire, inventa Le Docteur amoureux, Le Maître d’école et Les
Trois
Docteurs. Le vent qui passe emportait l’air et la
ont sauvé de l’oubli Le Médecin volant et la Jalousie de Barbouillé,
deux
précieux et charmants canevas du comédien vagabon
ière… et la dernière troupe de Molière. Il a commencé par engager les
deux
frères Béjart, Gros-René, mademoiselle Duparc, ma
s premières gaietés, avait été bâtie la Halle aux cuirs. M. Scribe, à
vingt
ans, n’eût pas négligé d’écrire un joli couplet à
prendre un nom de comédie, et le fils de Poquelin, avant de débuter (
1645
), s’appelle Molière. II ne se doutait pas que ce
, et le fils de Poquelin, avant de débuter (1645), s’appelle Molière.
II
ne se doutait pas que ce nom d’emprunt deviendrai
cellente facture : Trufaldin. D’un chêne grand et fort, Dont près de
deux
cents ans ont fait déjà le sort, Je viens de déta
nte facture : Trufaldin. D’un chêne grand et fort, Dont près de deux
cents
ans ont fait déjà le sort, Je viens de détacher u
ur raisonnable, Dont j’ai fait sur-le-champ, avec beaucoup d’ardeur, (
II
montre son bras.) Un bâton à peu près… oui de cet
… oui de cette grandeur, Moins gros par l’un des bouts, mais plus que
trente
gaules. Propre, comme je pense, à rosser les épau
toute sa comédie, il en possédait le langage. À la fin, quand pendant
trois
grands mois, L’Étourdi eut charmé les habitants d
gné. À Pézenas enfin, et cette fois sans conteste, se rencontrent les
deux
condisciples du collège de Clermont, Molière et l
bereau de Thespis, à la suite de la comédie. Ô la belle chose ! avoir
vingt
ans, être un génie, et marcher d’un pas résolu à
vait payé, sans doute, et par toutes les misères de l’inventeur, dans
mille
essais sans nom, avec des comédiens sans talent e
à fatigué, mais certain de sa destinée, il s’en revient, avec bientôt
vingt
ans de plus, du fond de ces provinces ignorantes,
du Marais à Jodelet. Restait la salle du Petit-Bourbon, où jouaient,
trois
fois par semaine, ces mêmes Italiens à qui Molièr
« Il n’y a rien de si petit que le Petit-Bourbon. Le théâtre est de
dix-huit
toises de longueur sur huit de largeur, au bout d
e le Petit-Bourbon. Le théâtre est de dix-huit toises de longueur sur
huit
de largeur, au bout de laquelle il y a encore un
laquelle il y a encore un demi-rond de sept toises de profondeur sur
huit
et demi de large, le tout en voûte semée de fleur
rectement opposé au dais de Leurs Majestés, était élevé un théâtre de
six
pieds de hauteur, de huit toises de largeur et d’
de Leurs Majestés, était élevé un théâtre de six pieds de hauteur, de
huit
toises de largeur et d’autant de profondeur ».
rendait presque tout noirs, on s’avisa de faire des chandeliers avec
deux
lattes mises en croix, partant chacun quatre chan
faire des chandeliers avec deux lattes mises en croix, partant chacun
quatre
chandelles, pour mettre au devant du théâtre. Ces
ur les moucher. La symphonie était d’une flûte et d’un tambour, ou de
deux
méchants violons, au plus. » Enfin, quelle que
e Rambouillet était encore en sa toute-puissance, et les délicats des
deux
sexes, honorés à la ville, écoutés à la cour, éta
les, écrivit en vers bien frappés : Sganarelle, ou le Cocu imaginaire
2.
Le mot était vif, le nom était nouveau. Sganarell
nt du prince, il se sentit délivré de toute gêne. Hélas ! en moins de
quinze
années devait s’accomplir toute sa destinée. Il s
ez Sganarelle et sa belle ironie, à propos des modes de l’an de grâce
1661
: Ne voudriez-vous point, dis-je, sur ces matièr
la ligure ? Et comme ils riaient, tous ces jeunes gens ! et, comme à
vingt-deux
ans qu’elle pouvait avoir, s’amusait la jeune rei
neurs de cette jeune cour, pour s’occuper comme il l’eût fallu de ces
trois
hommes dont le roi prenait parfois les conseils.
ncé. À Molière il avait commandé tout un spectacle et lui avait donné
quinze
jours, pas une heure de plus, pour que rien ne ma
heure de plus, pour que rien ne manquât à ces fêtes de l’esprit ! Ces
quinze
jours suffirent au poète ; il fit sa comédie, il
es Femmes savantes. Le Misanthrope et Les Femmes savantes, voilà les
deux
grandes œuvres. Il écrivit le rôle excellent de C
heureux, nous conviendrons volontiers que c’est un peu sa faute. Il a
quarante
ans ; il épouse une petite comédienne égrillarde
a quarante ans ; il épouse une petite comédienne égrillarde qui en a
dix-huit
à peine ; il est sérieux, elle est gaie et folâtr
tout à l’heure, évoqué des abîmes par la toute-puissance du drame aux
mille
aspects, Don Juan va paraître ? On entend déjà l’
de, en effet, s’il peut aller plus loin ? À cette demande ont répondu
deux
voix souveraines, qui traverseront les âges : Mir
en ces anecdotes. Même on a retrouvé, par grand bonheur, un billet de
douze
cents livres, consenti par Baron, au fameux fripo
anecdotes. Même on a retrouvé, par grand bonheur, un billet de douze
cents
livres, consenti par Baron, au fameux fripon Roll
t écrit, que cette signature de Molière, a rencontré un acheteur pour
mille
écus. Que dirait Rollet ? Il paraît qu’Armande Bé
mal vêtu : — Que ferais-tu ? dit Molière à Baron. — Je lui donnerais
dix
écus, reprit Baron. — Ce n’est pas trop de cent é
on. — Je lui donnerais dix écus, reprit Baron. — Ce n’est pas trop de
cent
écus, répondit Molière, tu les donneras en ton no
par-dessus le marché, l’habit brodé de Don Juan. On ferait volontiers
deux
parts superbes de l’œuvre entière de Molière. La
ironies. Ajoutez le courage et l’ardeur du lion : Prends la foudre,
Louis
, et va comme un lion… Donc, voici Tartuffe. Il a
a sécurité de son mariage, au milieu d’une cour, où régnait un roi de
vingt-cinq
ans, parmi la fleur de la noblesse française ? Il
île enchantée (inauguration du palais et des jardins de Versailles en
1664
), les jeunes comédiennes mêlées aux jeunes courti
e Versailles, au jour favorable des chandelles, une belle personne de
vingt
ans, doit s’attendre à trouver une infidèle. À co
race, Molière avait un collaborateur digne de lui, Pierre Corneille à
soixante
ans ; et Corneille, par des vers charmants, que l
gaietés, Sire, dans les enchantements de Versailles, au bruit de vos
mille
jets d’eau, entouré des plus vaillants capitaines
rispent ! Ses jambes refusent tout service ! À le voir, ainsi plié en
deux
, la tête enveloppée d’un bonnet et affaissé dans
toute leur féroce puissance, n’ont assisté à une pareille hécatombe.
15
janvier 1622 — 17 février 1673 !… Qui dira jamais
féroce puissance, n’ont assisté à une pareille hécatombe. 15 janvier
1622
— 17 février 1673 !… Qui dira jamais le travail,
puissance, n’ont assisté à une pareille hécatombe. 15 janvier 1622 —
17
février 1673 !… Qui dira jamais le travail, le gé
n’ont assisté à une pareille hécatombe. 15 janvier 1622 — 17 février
1673
!… Qui dira jamais le travail, le génie et les do
poitrine se déchira tout à fait. On l’emporta du théâtre. Il mourut à
dix
heures du soir, entre deux sœurs de charité que l
fait. On l’emporta du théâtre. Il mourut à dix heures du soir, entre
deux
sœurs de charité que la bonne Laforest avait appe
l’archevêque de Paris, Harlay de Champvallon, ne permit qu’au bout de
trois
jours, qu’il fût enterré sans prières, sans cérém
au cimetière de Saint-Joseph, dans- la rue Montmartre, à la lueur de
deux
cents flambeaux. Deux prêtres suivaient, sans pri
imetière de Saint-Joseph, dans- la rue Montmartre, à la lueur de deux
cents
flambeaux. Deux prêtres suivaient, sans prières.
-Joseph, dans- la rue Montmartre, à la lueur de deux cents flambeaux.
Deux
prêtres suivaient, sans prières. O misère inatten
: Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez ! » Jules Janin.
1.
Théâtre complet de Chevalier, comédien de la trou
1. Théâtre complet de Chevalier, comédien de la troupe du Marais.
3
vol. petit in-12, v. f., contenant dix pièces, sa
comédien de la troupe du Marais. 3 vol. petit in-12, v. f., contenant
dix
pièces, savoir :Le Pédagogue amoureux, comédie (5
v. f., contenant dix pièces, savoir :Le Pédagogue amoureux, comédie (
5
a. v.). Paris, Pierre Baudouyn, 1665. — Le Soldat
ir :Le Pédagogue amoureux, comédie (5 a. v.). Paris, Pierre Baudouyn,
1665.
— Le Soldat poltron, comédie (1 a. v. de 4 pieds)
5 a. v.). Paris, Pierre Baudouyn, 1665. — Le Soldat poltron, comédie (
1
a. v. de 4 pieds). Paris, Gabriel (juillet, 1668.
aris, Pierre Baudouyn, 1665. — Le Soldat poltron, comédie (1 a. v. de
4
pieds). Paris, Gabriel (juillet, 1668. — Le Carte
oldat poltron, comédie (1 a. v. de 4 pieds). Paris, Gabriel (juillet,
1668.
— Le Cartel de Guillot, comédie (1 a. v. de 4 pie
eds). Paris, Gabriel (juillet, 1668. — Le Cartel de Guillot, comédie (
1
a. v. de 4 pieds). Paris, J. Ribou, 1661. — L’Int
, Gabriel (juillet, 1668. — Le Cartel de Guillot, comédie (1 a. v. de
4
pieds). Paris, J. Ribou, 1661. — L’Intrigue des c
Le Cartel de Guillot, comédie (1 a. v. de 4 pieds). Paris, J. Ribou,
1661.
— L’Intrigue des carrosses à cinq sous, comédie (
. v. de 4 pieds). Paris, J. Ribou, 1661. — L’Intrigue des carrosses à
cinq
sous, comédie (3 a. v.). Paris, Pierre Baudouyn,
ris, J. Ribou, 1661. — L’Intrigue des carrosses à cinq sous, comédie (
3
a. v.). Paris, Pierre Baudouyn, 1663. — La Désola
des carrosses à cinq sous, comédie (3 a. v.). Paris, Pierre Baudouyn,
1663.
— La Désolation des filoux sur la défense des arm
ur la défense des armes, ou les Malades qui se portent bien, comédie (
1
a. v. de 4 pieds). Paris, Pierre Bienfait, 1662.
se des armes, ou les Malades qui se portent bien, comédie (1 a. v. de
4
pieds). Paris, Pierre Bienfait, 1662. — La Disgrâ
e portent bien, comédie (1 a. v. de 4 pieds). Paris, Pierre Bienfait,
1662.
— La Disgrâce des domestiques, comédie (1 a. v. d
Paris, Pierre Bienfait, 1662. — La Disgrâce des domestiques, comédie (
1
a. v. de 4 pieds). Paris, Pierre Bienfait, 1662.
re Bienfait, 1662. — La Disgrâce des domestiques, comédie (1 a. v. de
4
pieds). Paris, Pierre Bienfait, 1662. — Les Galan
es domestiques, comédie (1 a. v. de 4 pieds). Paris, Pierre Bienfait,
1662.
— Les Galants ridicules, ou les Amours de Guillot
les Amours de Guillot et de Ragotin, comédie (id., id.). ibid., id.,
1662.
— Les Barbons amoureux et rivaux de leurs fils, c
, id., 1662. — Les Barbons amoureux et rivaux de leurs fils, comédie (
2
a. v.). Paris, Guillaume de Luyne, 1662. — Les Am
t rivaux de leurs fils, comédie (2 a. v.). Paris, Guillaume de Luyne,
1662.
— Les Amours de Calotin, comédie (3 a. v.). Paris
). Paris, Guillaume de Luyne, 1662. — Les Amours de Calotin, comédie (
3
a. v.). Paris, Charles de Sercy, 1664. — Les Aven
— Les Amours de Calotin, comédie (3 a. v.). Paris, Charles de Sercy,
1664.
— Les Aventures de nuit, comédie (3 a. v.). Paris
v.). Paris, Charles de Sercy, 1664. — Les Aventures de nuit, comédie (
3
a. v.). Paris, N. Pépingué, 1666. 2. Nous lision
1664. — Les Aventures de nuit, comédie (3 a. v.). Paris, N. Pépingué,
1666.
2. Nous lisions, l’autre jour, dans les jugement
Les Aventures de nuit, comédie (3 a. v.). Paris, N. Pépingué, 1666.
2.
Nous lisions, l’autre jour, dans les jugements du
es jugements du savant Baillet,le Cocu imaginaire, annoncé ainsi : le
C
… imaginaire ; tant le nuit semblait nouveau dans
dans les premiers jours de ce siècle éclairé de si douces clartés.
3.
On lit dans le manuscrit de La Grange, qui longte
e, les détails que voici : La troupe se composait, dans l’origine, de
onze
personnes en tout : six acteurs, quatre actrices
: La troupe se composait, dans l’origine, de onze personnes en tout :
six
acteurs, quatre actrices et un gagiste. Ce person
e composait, dans l’origine, de onze personnes en tout : six acteurs,
quatre
actrices et un gagiste. Ce personnel, très restre
oici la liste des frais de chaque jour : À Saint-Germain. portier
3
liv. 15 s. À Gilot, portier 3 liv. 10 s. À le
liste des frais de chaque jour : À Saint-Germain. portier 3 liv.
15
s. À Gilot, portier 3 liv. 10 s. À leur valet
jour : À Saint-Germain. portier 3 liv. 15 s. À Gilot, portier
3
liv. 10 s. À leur valet, frère dudit Saint-Germai
À Saint-Germain. portier 3 liv. 15 s. À Gilot, portier 3 liv.
10
s. À leur valet, frère dudit Saint-Germain 1
portier 3 liv. 10 s. À leur valet, frère dudit Saint-Germain
1
liv. 10 s. Un sergent et douze soldats aux gardes
r 3 liv. 10 s. À leur valet, frère dudit Saint-Germain 1 liv.
10
s. Un sergent et douze soldats aux gardes 15
leur valet, frère dudit Saint-Germain 1 liv. 10 s. Un sergent et
douze
soldats aux gardes 15 liv. À madame de l’Esta
t-Germain 1 liv. 10 s. Un sergent et douze soldats aux gardes
15
liv. À madame de l’Estang. receveuse 3 liv. À
ze soldats aux gardes 15 liv. À madame de l’Estang. receveuse
3
liv. À madame Provost ou Nanon Brillard 3 liv
l’Estang. receveuse 3 liv. À madame Provost ou Nanon Brillard
3
liv. 4 ouvreurs de loges 6 liv. Ouvreurs du t
g. receveuse 3 liv. À madame Provost ou Nanon Brillard 3 liv.
4
ouvreurs de loges 6 liv. Ouvreurs du théâtre
À madame Provost ou Nanon Brillard 3 liv. 4 ouvreurs de loges
6
liv. Ouvreurs du théâtre et amphithéâtre 3 li
ouvreurs de loges 6 liv. Ouvreurs du théâtre et amphithéâtre
3
liv. Décorateurs Crosniers 4 liv. 10 s. Au si
reurs du théâtre et amphithéâtre 3 liv. Décorateurs Crosniers
4
liv. 10 s. Au sieur Chrestien, concierge 1 li
u théâtre et amphithéâtre 3 liv. Décorateurs Crosniers 4 liv.
10
s. Au sieur Chrestien, concierge 1 liv. 10 s.
orateurs Crosniers 4 liv. 10 s. Au sieur Chrestien, concierge
1
liv. 10 s. 4 violons 6 liv. Chandelle 11
s Crosniers 4 liv. 10 s. Au sieur Chrestien, concierge 1 liv.
10
s. 4 violons 6 liv. Chandelle 11 liv. Aff
niers 4 liv. 10 s. Au sieur Chrestien, concierge 1 liv. 10 s.
4
violons 6 liv. Chandelle 11 liv. Affiches
v. 10 s. Au sieur Chrestien, concierge 1 liv. 10 s. 4 violons
6
liv. Chandelle 11 liv. Affiches rouge et noir
estien, concierge 1 liv. 10 s. 4 violons 6 liv. Chandelle
11
liv. Affiches rouge et noire et afficheurs 8
liv. Chandelle 11 liv. Affiches rouge et noire et afficheurs
8
liv. 4 s. Collation pour la troupe 1 liv. Cha
handelle 11 liv. Affiches rouge et noire et afficheurs 8 liv.
4
s. Collation pour la troupe 1 liv. Charités
e et noire et afficheurs 8 liv. 4 s. Collation pour la troupe
1
liv. Charités 1 liv. Valets communs 1 liv
eurs 8 liv. 4 s. Collation pour la troupe 1 liv. Charités
1
liv. Valets communs 1 liv. [Total]73 liv. 4 s
tion pour la troupe 1 liv. Charités 1 liv. Valets communs
1
liv. [Total]73 liv. 4 s. Ces « charités » s’appli
roupe 1 liv. Charités 1 liv. Valets communs 1 liv. [Total]
73
liv. 4 s. Ces « charités » s’appliquaient la plup
1 liv. Charités 1 liv. Valets communs 1 liv. [Total]73 liv.
4
s. Ces « charités » s’appliquaient la plupart du
tre de La Grange contient plusieurs mentions comme celles-ci :« Donné
9
liv. à un capucin révolté ou deffroqué, pour char
. à un capucin révolté ou deffroqué, pour charité… Donné aux capucins
7
liv. 10 s… Donné aux capucins tous les restes de
capucin révolté ou deffroqué, pour charité… Donné aux capucins 7 liv.
10
s… Donné aux capucins tous les restes de chambrée
ucins 7 liv. 10 s… Donné aux capucins tous les restes de chambrées de
20
s., 45 s., 24 s., etc… »
liv. 10 s… Donné aux capucins tous les restes de chambrées de 20 s.,
45
s., 24 s., etc… »
0 s… Donné aux capucins tous les restes de chambrées de 20 s., 45 s.,
24
s., etc… »
ents qui avaient appartenu au même cadavre ; poussières confondues en
mille
poussières. Allez donc leur dire, au milieu de ce
nsport Me fait précipiter ma mort Pour faire vivre ma mémoire ! Ces
quatre
vers sont revenus bien souvent à mon souvenir ; i
nière mode et paré de toute l’élégance maternelle ; il revient, après
vingt
ans, d’un monde inconnu, il revient tout chargé d
vos prévisions, s’il arrive que vous ayez deviné juste, une fois sur
dix
, et si, en fin de compte, vous avez pour amis les
uange, il mêla bientôt quelques rudes et sincères conseils. Entre ces
deux
femmes, celle-ci qui s’en va emportant la comédie
e Dorval ? Mademoiselle Mars, mademoiselle Rachel, madame Dorval, ces
trois
femmes sont trois drapeaux, trois guidons qui nou
selle Mars, mademoiselle Rachel, madame Dorval, ces trois femmes sont
trois
drapeaux, trois guidons qui nous mèneront dans ce
moiselle Rachel, madame Dorval, ces trois femmes sont trois drapeaux,
trois
guidons qui nous mèneront dans cette suite d’étud
c de Saint-Simon dans ses Mémoires se peut appliquer au feuilleton de
1830
; M. le duc de Saint-Simon félicite le jeune roi
rmes, que de colères, que d’injures et quel débordement incroyable de
mille
fureurs insensées contre les écrivains malavisés
intés, les impuissants, les inconnus, qui voudraient être célèbres en
vingt-quatre
heures, les esprits fanfarons et stériles, les di
ne l’ordre de laisser représenter Tartuffe, dont il a vu chez lui les
trois
premiers actes. Le véritable critique, en ce temp
hanson éclate et brille à travers les barreaux de fer ; elle perce en
mille
échos les voûtes abaissées de la Conciergerie ; e
a d’âme en âme, à travers la France consolée, appelant à son aide les
trois
passions de la France d’autrefois, de la France d
afin de tenter, sur nouveaux frais, une nouvelle aventure, au bout de
huit
jours ! De plus gros messieurs que nous se sont c
abattue en son vrai champ de bataille ? Est-ce mourir si, même après
dix
ans, un seul homme se rappelle ce grand cri qui l
neur et le respect de l’esprit humain. « Je voudrais bien y être dans
vingt
ans, disait Fontenelle, pour savoir ce que ça dev
Fontenelle était peu ambitieux, même dans ses vœux les plus hardis.
Vingt
ans, ce n’est pas assez pour accomplir une révolu
s un pays comme la France, plus fidèle à ses poètes qu’à ses rois. En
vingt
ans la France accomplira au besoin toute une révo
France accomplira au besoin toute une révolution, mais qu’est-ce que
vingt
ans pour savoir ce que deviendra l’art, le goût,
l’esprit de ce grand peuple de France ? Fontenelle était mort depuis
deux
fois vingt ans que M. de La Harpe, en pleine chai
de ce grand peuple de France ? Fontenelle était mort depuis deux fois
vingt
ans que M. de La Harpe, en pleine chaire d’humani
voilà pourtant ce que Fontenelle aurait vu chez nous s’il avait vécu
cent
trente et un ans ! Convenez cependant que ce n’ét
à pourtant ce que Fontenelle aurait vu chez nous s’il avait vécu cent
trente
et un ans ! Convenez cependant que ce n’était pas
suivant les mœurs des Grecs et des Romains. De plus, nous n’avons que
six
pièces de ce grand auteur Mais enfin, Molière a o
des phrases les plus forcées et les moins naturelles. Térence dit en
quatre
mots, avec la plus élégante simplicité, ce que Mo
badinage de la comédie italienne. » Et Fénelon cite, pour finir, les
deux
vers de Boileau à propos du sac ridicule où Scapi
on temps des guerres religieuses, avait remplacé la guerre civile par
mille
querelles. Jansénius avait été le prétexte à tout
e que les Provinciales. Ils peuvent se dire l’un à l’autre, comme ces
deux
conspirateurs dans une tragédie de Schiller : — N
es chefs-d’œuvre de cette force pour battre en brèche une croyance de
dix-sept
cents ans ! Attribuer cette ruine à l’Essai sur l
d’œuvre de cette force pour battre en brèche une croyance de dix-sept
cents
ans ! Attribuer cette ruine à l’Essai sur les mœu
i et celui-là, par les mêmes raisons qui devaient les perdre tous les
deux
. Ce ne fut pas sans une certaine terreur que Moli
s, où il resta jusqu’à ce que le jeune abbé de Châteauneuf, qui avait
dix-sept
ans, l’eût retrouvé et rapporté à la dame, qui en
ix-sept ans, l’eût retrouvé et rapporté à la dame, qui en avait alors
quatre-vingt
bien sonnés. Toujours est-il que la voix de madem
ne très grande et très belle comédie. — Si bien que dans les fêtes de
1664
que le roi donnait, à la fois, pour inaugurer son
ctoires et ses amours, il fut permis à Molière de jouer à la cour ses
trois
premiers actes. — De Versailles, la pièce passa à
ceux qui l’avaient entendu lire, ne savaient de cette comédie que les
trois
premiers actes, et l’on se demandait : Comment fe
vous pensez bien que la cour les avait reconnus, l’un et l’autre, ces
deux
ministres devant lesquels toute la cour s’était p
on, l’ami de Racine et de Despréaux. Ce mot-là est un anachronisme de
cent
cinquante ans, au moins. Il faut avouer que le co
’ami de Racine et de Despréaux. Ce mot-là est un anachronisme de cent
cinquante
ans, au moins. Il faut avouer que le coup était r
traita avec le roi Louis XIV, de puissance à puissance, lui envoyant
deux
députés, munis de ses pleins-pouvoirs, les sieurs
les sieurs de La Grange et de La Thorillière, à qui la Comédie donna
mille
francs pour leur voyage. Les députés, partis en p
Les députés, partis en poste, arrivèrent devant la ville de Lille le
6
août. M. le prince de Conti, le condisciple et le
nte et triste, qu’on a saignée la veille, et qui n’a rien pris depuis
trois
jours. Or, mademoiselle Molière ne voulait ni cha
fort âgé, très obéissant à son évêque, à ses supérieurs, qui, depuis
vingt
ans, était régent de philosophie et de théologie,
ais Tartuffe, mais la préface de Molière, dont il se préoccupe depuis
vingt
ans. Molière a dit que quelques Pères de l’Église
, qui retentissent partout dans les opéras de Quinault, à qui j’ai vu
cent
fois déplorer ces égarements » : mais assurément
de Molière la comédie était à naître encore. Ô la belle chose, avoir
vingt
ans, être un génie, et marcher d’un pas résolu à
enchantements de la vie errante du comédien nomade. Vie enchantée, à
vingt
ans ; le bonhomme Scarron, dans un livre qui ne v
mps quelle frappante ressemblance entre Molière et Shakespeare ! Tous
deux
, poètes dramatiques au même degré, brisent leur c
e Louis XIV ; il a besoin de cette cour qui est toute la France, pour
cent
ans au moins. Aussitôt le chariot de Molière chan
petites œuvres du roi ; il frappa impunément, et au grand plaisir de
Louis
, sur les petits marquis, les petits barons, les c
et à gauche, à tort et à travers ; même il en fouetta jusqu’au sang,
Louis
l’encourageant, Louis applaudissant et riant aux
t à travers ; même il en fouetta jusqu’au sang, Louis l’encourageant,
Louis
applaudissant et riant aux éclats de ces vengeanc
rlait souvent des choses de son art ; il lui permit de faire son lit,
trois
fois par an ; même un soir il l’invita à souper,
e cet homme illustre, à ce point que c’est à peine si l’on a conservé
deux
ou trois signatures de Molière. De son côté, cet
mme illustre, à ce point que c’est à peine si l’on a conservé deux ou
trois
signatures de Molière. De son côté, cet homme qui
charmante que Molière a jetée, à pleines mains, dans cette comédie en
trois
actes, il n’y a pas, dans tout le drame moderne (
s les détails. Quand Molière fit représenter cette comédie-ballet, en
1673,
le roi se portait bien, à coup sûr ; toute cette
ace et passe de gauche à droite. Bref, à tort ou à raison, il souffre
mille
morts dans une seule ; et cependant vous voulez q
es tortures, sous prétexte que cela fait toujours passer une heure ou
deux
! Par ma foi, je vous trouve bien exigeants. — Je
on pour vous, sire, dans les jardins de Versailles, au murmure de vos
mille
jets d’eau, entouré des plus vaillants capitaines
ait d’une passion si tendre, il avait renoncé à son régime ordinaire (
deux
tasses de lait par jour), et il s’était mis au ré
qu’à la fin, sa tâche de poète, de comédien, de directeur de théâtre,
trois
tâches pour lesquelles il ne faut rien moins que
quelles il ne faut rien moins que sept hommes aujourd’hui, à savoir :
deux
poètes comiques au moins pour faire une comédie ;
ui, à savoir : deux poètes comiques au moins pour faire une comédie ;
trois
comédiens qui jouent : celui-ci la tragédie, celu
talent imaginables, n’en peuvent plus, et demandent grâce au bout de
dix
ans de ce rude métier. Maintenant placez-vous au
is veulent qu’on fasse relâche. — « Laissez-moi, mes amis ; il y a là
cinquante
pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
ont-ils si je ne joue pas ? » Grande leçon donnée à nos comédiens des
deux
sexes, qui ne demandent qu’un prétexte pour se di
rispent ! Ses jambes refusent tout service ! À le voir, ainsi plié en
deux
, la tête enveloppée d’un bonnet et affaissé dans
ue ainsi la comédie, on le trouverait plus touchant et plus terrible,
mille
fois, que la statue du Commandeur. Enfin, tant bi
sous la main, quelque grand poète à admirer. Je suppose que, pendant
quinze
jours, cela se voit dans le cours de l’année, l’e
de vue favorable, et qui irait se poser tout juste au même point que
vingt
autres dessinateurs de ce vaste et impérissable m
uniquement pour un méchant vaudeville à quoi nul ne songe au bout de
huit
jours ! Et ce noble feu, mêlé de colère, que vous
quelle joie et quelle fête vous les retrouverez ces pages sérieuses,
cent
fois plus vivantes que les colifichets de vos mei
n de papillons quelque brillant scarabée à la rude écorce, au bout de
dix
ans, il aura conservé toutes les apparences de la
mon mieux, comment l’unité se peut rencontrer même dans un travail de
vingt-cinq
ans) j’arrive au commencement de la comédie et à
publique, l’esprit qui se jette en plein air, le rire qui se tient à
deux
mains pour ne pas éclater ; cette comédie sent le
ne belle chose ! L’Étourdi fut joué pour la première fois à Lyon en
1653,
à Paris cinq ans plus tard. Le sieur de La Grange
! L’Étourdi fut joué pour la première fois à Lyon en 1653, à Paris
cinq
ans plus tard. Le sieur de La Grange, jeune et be
moiselle de Brie, grande, bien faite et très jolie, qui resta jeune à
cinquante
ans, s’appelait Célie ; mademoiselle Duparc, cett
mademoiselle Duparc, cette belle personne qui fut aimée à la fois des
deux
Corneille, de Racine, de La Fontaine, de Molière,
adame Menjaud, jeune encore, prenait congé du Théâtre-Français, après
vingt
années d’un bon et fidèle service. C’était, sans
un comédien. Il ne faut pas tant de choses, Dieu merci, mais il faut
cent
fois davantage : il faut l’instinct. — Êtes-vous
les, car plus que toute autre, elle a deviné l’obstacle. Elle a lutté
vingt
ans, non pas toujours sans succès et sans gloire.
t bon, dans ces œuvres populaires où chaque rôle a sa récompense ! En
trente
vers, l’huissier Loyal est récompensé de sa peine
ère comédie que Molière ait écrite, L’Étourdi, il y a de cela bientôt
deux
cents ans. Quand Molière écrivit, au courant de l
omédie que Molière ait écrite, L’Étourdi, il y a de cela bientôt deux
cents
ans. Quand Molière écrivit, au courant de la plum
amuser de chacun et de tous ; le reste à la grâce de Dieu ! Le reste (
dix
chefs-d’œuvre !) ne ressemble pas mal au hasard q
dans cette vivante image du valet de l’ancienne comédie. Pendant ces
quatre
actes, si remplis, Monrose ne s’arrêtait pas un s
ut donc que l’inflexible Géronimo lui fasse son compte : — Vous aviez
vingt
ans avant d’aller à Rome ; vous y êtes resté huit
pte : — Vous aviez vingt ans avant d’aller à Rome ; vous y êtes resté
huit
ans, sept en Angleterre, cinq en Hollande, etc.,
vant d’aller à Rome ; vous y êtes resté huit ans, sept en Angleterre,
cinq
en Hollande, etc., total cinquante-deux ! Vous av
tes resté huit ans, sept en Angleterre, cinq en Hollande, etc., total
cinquante-deux
! Vous avez cinquante-deux ans, seigneur Sganarel
Angleterre, cinq en Hollande, etc., total cinquante-deux ! Vous avez
cinquante-deux
ans, seigneur Sganarelle, songez-y ! Mais Sganare
qui vont sortir de moi, de petites figures qui me ressembleront comme
deux
gouttes d’eau, qui se joueront a continuellement
plus ses petits yeux sont éveillés, et plus vite ils découvriront ces
cinquante-deux
ans endormis et blottis sous ta perruque ! plus e
heure ! Le voilà bien loin de cette belle femme qui devait lui faire
mille
caresses, le dorloter, et venir le frotter quand
t loin aussi de ces petites figures qui devaient lui ressembler comme
deux
gouttes d’eau ! Et ces petits yeux éveillés, et c
les sens, pour faire rétablir dans toute sa rigueur, un arrêt de l’an
1624
qui défendait, sous peine de la vie, d’enseigner
un homme qui mourra avant qu’il soit peu et qui n’a tout au plus que
six
mois dans le ventre. (Apercevant Sganarelle.) Ah
mer. En pareille occasion, l’avare ( Plût à Dieu que je les eusse ces
dix
mille écus !) se met à la torture. Mais l’avare n
En pareille occasion, l’avare ( Plût à Dieu que je les eusse ces dix
mille
écus !) se met à la torture. Mais l’avare n’est j
ses politesses : — C’est trop d’honneur que vous nous faites à tous
deux
! C’est tout à fait comme si elle disait : — Mons
Le Sicilien fut l’ornement le plus durable des fêtes royales de
1667,
à l’instant même où régnait mademoiselle de La Va
son ancien valet le barbier Figaro. Mais quelle différence entre ces
deux
amour ?, grand Dieu ! entre ces deux confidents !
Mais quelle différence entre ces deux amour ?, grand Dieu ! entre ces
deux
confidents ! Le jeune Adraste est naïvement amour
Sicilien, il ne se montre pas, il est vrai, mais il est plus amusant
cent
fois que Lajeunesse et Léveillé, ce Léveillé maud
dre est beaucoup mieux élevé que Bartholo, la belle fille grecque est
cent
fois plus modeste, plus retenue et plus gracieuse
ller à lui-même, et avant d’arriver à son but il ne sera pas éconduit
trois
ou quatre fois comme un sot. Le peintre Damon qui
i-même, et avant d’arriver à son but il ne sera pas éconduit trois ou
quatre
fois comme un sot. Le peintre Damon qui est son a
z son jaloux. Or cette entrée d’Adraste, chez sa jeune maîtresse, est
cent
fois préférable à l’entrée du comte Almaviva chez
t dans la scène principale, qui est toute la comédie, quand enfin les
deux
amants de Molière sont en présence, comme cette f
e le barbier couvre d’écume et de quolibets cette tête grotesque, les
deux
amants, espionnés de si près, peuvent à peine éch
V, mademoiselle de La Vallière, madame Henriette d’Angleterre, et par
deux
Noblet, Noblet aîné, le chanteur, Noblet cadet, l
ours de ces tendresses folles : sœur Louise de la Miséricorde. Enfin,
deux
ou trois fois depuis ce temps, la dynastie de Lou
ces tendresses folles : sœur Louise de la Miséricorde. Enfin, deux ou
trois
fois depuis ce temps, la dynastie de Louis XIV a
t, elle existe ; il n’y a pas déjà si longtemps que l’on disait : Les
trois
Noblet ! Le Philinte de Molière. — Fabre d’Ég
e de Molière, ce fut Jean-Jacques Rousseau lui-même. En effet, jamais
deux
grands génies ne furent séparés l’un de l’autre p
és l’un de l’autre par plus d’antipathies. Grands moralistes tous les
deux
, Molière et Rousseau, ils ont vu tous les deux le
ds moralistes tous les deux, Molière et Rousseau, ils ont vu tous les
deux
le cœur humain, sous un aspect bien différent. Mo
nversation de jeunes gens et de jeunes femmes, dans ces médisances de
vingt
ans, les absents auront grand tort, et qu’ils fer
rable, en effet ! car c’était là une difficulté très grande : ajouter
cinq
actes à une comédie de Molière, à son chef-d’œuvr
rchie et la vieille société vont finir, pour faire place au peuple de
89,
en un mot, faire le premier, et tout d’un coup, d
, que le mot : ministère. Il est au ministère, plaignons son système,
deux
mots du temps philosophique. Du temps de Molière,
nte de Fabre raisonne jusqu’à sa bonté ; Philinte reçoit Alceste avec
mille
protestations mensongères d’amitié et de dévoueme
, ne l’oubliez pas, cette comédie est jouée, pour la première fois en
1790,
et nous n’étions pas loin des avocats du Jeu de P
nvenables l’un à l’autre, et si honnêtes gens ! À l’instant même, ces
deux
hommes, l’un roturier de l’ancienne Cour, l’autre
, venir au secours d’un inconnu, d’un imbécile qui s’est laissé voler
six
cent mille francs ! D’ailleurs un philosophe n’a-
nir au secours d’un inconnu, d’un imbécile qui s’est laissé voler six
cent
mille francs ! D’ailleurs un philosophe n’a-t-il
u secours d’un inconnu, d’un imbécile qui s’est laissé voler six cent
mille
francs ! D’ailleurs un philosophe n’a-t-il pas so
s heures néfastes, sur les planches du Théâtre-Français. À peine, sur
quatre
ou cinq cents qui se hasardent à cette lutte dése
éfastes, sur les planches du Théâtre-Français. À peine, sur quatre ou
cinq
cents qui se hasardent à cette lutte désespérée c
es, sur les planches du Théâtre-Français. À peine, sur quatre ou cinq
cents
qui se hasardent à cette lutte désespérée contre
sache dans ce pêle-mêle de toutes choses ? qu’il y avait, autrefois,
deux
sociétés bien différentes, Paris et Versailles, l
étés bien différentes, Paris et Versailles, la ville et la cour ; ces
deux
sociétés étaient bien plus séparées l’une de l’au
les étaient séparées par les usages et par les mœurs. Ce n’était, des
deux
parts, ni la même langue, ni les mêmes façons d’a
et modeste qui essuyait ses grosses larmes ; Acaste et Clitandre, ces
deux
héros de l’Œil-de-Bœuf, vous représentent M. le d
tout comme mademoiselle de Lenclos était une exception. La lutte des
deux
amants est admirable ; tout l’amour est d’un côté
us les entretiens ? Il couvre de son mépris ces grandes brailleries !
Trois
ans plus tard, Molière eût moins maltraité M. de
M. de Lauzun, M. de Lauzun était à la Bastille. Mais en l’an de grâce
1666,
M. de Lauzun était le favori du roi, il était l’h
enon elle-même, à propos de Scarron. — Ce troisième acte est égal aux
deux
premiers. Alceste n’y paraît qu’à la dernière scè
lus loin, et pour compléter sa vengeance, Molière met en présence les
deux
amants de sa femme, M. de Guiche et M. de Lauzun.
femme, qui niait que cette lettre fut adressée à un homme, Molière, à
deux
genoux, demandait pardon de son emportement. Nobl
de comédie ? En effet, et seulement de ce jour à jamais mémorable, le
4
juin 1666, la comédie était trouvée. Je vous lais
die ? En effet, et seulement de ce jour à jamais mémorable, le 4 juin
1666,
la comédie était trouvée. Je vous laisse à penser
beau siècle, il nous restait — aux premiers jours de la Révolution de
1830
— mademoiselle Mars ! Elmire. — Célimène. — Sy
esprit qui pétille, il est vrai, et qui jette partout en son chemin,
mille
étincelles, mais sans efforts, mais sans recherch
à quelque patois de village ; au village il a sa grâce et son parfum,
vingt
pas plus loin ce patois des campagnes devient une
ires, lorsque La Métromanie, une merveille, à peine reparaît tous les
vingt
ans, la comédie de Marivaux a conservé son charme
eurs, comme cette aimable vieille est bien vêtue, élégante et tirée à
quatre
épingles ! Que de riches dentelles à son bonnet,
, à sa verve un peu lente, à sa raillerie animée, intelligente, entre
deux
sourires. Nous l’aimons aussi, parce que ces beau
s la Sylvia de Marivaux et de mademoiselle Mars ! Un peu plus loin, à
deux
chapitres d’ici, vous retrouverez Marivaux ; il a
rnal qui soit durable, d’un écrivain habile à faire une lieue ou même
deux
lieues, sur une feuille de parquet. Les uns et le
le nouvelle ; Marivaux a fait, de l’histoire de Marianne, un livre en
deux
tomes. C’est à l’écrivain qui écrit, chaque jour,
dupe de se donner tant de peine, pour te retenir dans ses liens !
1.
La Néotemachie poétique du Blanc. — Paris, 1610
r dans ses liens ! 1. La Néotemachie poétique du Blanc. — Paris,
1610.
— 2 parties en 4 vol. in 4º. 2. In multitudine
es liens ! 1. La Néotemachie poétique du Blanc. — Paris, 1610. —
2
parties en 4 vol. in 4º. 2. In multitudine rege
1. La Néotemachie poétique du Blanc. — Paris, 1610. — 2 parties en
4
vol. in 4º. 2. In multitudine regenda plus pœna
éotemachie poétique du Blanc. — Paris, 1610. — 2 parties en 4 vol. in
4º
. 2. In multitudine regenda plus pœna quam obseq
achie poétique du Blanc. — Paris, 1610. — 2 parties en 4 vol. in 4º.
2.
In multitudine regenda plus pœna quam obsequium
in 4º. 2. In multitudine regenda plus pœna quam obsequium valet.
3.
Réflexions sur la grammaire, la rhétorique, la p
pétuel de l’Académie, par feu M. de Fénelon, archevêque de Cambray.
4.
C’est la scène d’une comédie de Térence : le Phor
æ triginta minæ. Combien d’argent vous faut-il ? — Fort peu d’argent,
trente
mines ! Geta. Triginta ! Illic percara est, Phœ
Istæc vero vilis est !
Trente
mines ! C’est hors de prix ! répond l’esclave. —
prix ! répond l’esclave. — C’est pour rien ! réplique l’amoureux.
5.
Et pour votre procès, dont vous pouvez vous pla
n le bon droit maltraité, Et je veux qu’il demeure à la postérité.
6.
Non pas que les avocats célèbres fussent rares en
egna triformi. Personat…… Et parmi ces illustres, n’oublions pas les
deux
avocats, les deux héros qui auront bientôt pour c
sonat…… Et parmi ces illustres, n’oublions pas les deux avocats, les
deux
héros qui auront bientôt pour clients le roi et l
ts le roi et la reine de France, M. de Sèze et M. Chauveau-Lagarde.
7.
Pourquoi Vienne (en Dauphiné) venait-elle ainsi s
n sens le jeune auteur de Lucrèce, d’Ulysse et de Charlotte Corday !
8.
On dit même que le journal n’est pas tout à fait
t bien servi, entre notamment : La Vie de M. de Molière de Grimarest (
1705
) et le Moliérana, Cousin d’Avalon (1801). Les Ane
e M. de Molière de Grimarest (1705) et le Moliérana, Cousin d’Avalon (
1801
). Les Anecdotes dramatiques de Clément et Laporte
sin d’Avalon (1801). Les Anecdotes dramatiques de Clément et Laporte (
1775
) s’imposent entre les deux comme un recueil très
ecdotes dramatiques de Clément et Laporte (1775) s’imposent entre les
deux
comme un recueil très général, sur les auteurs, l
Molière. Cette compilation était une partie de son travail de Master
II
(2014), sous la direction de Georges Forestier. E
ière. Cette compilation était une partie de son travail de Master II (
2014
), sous la direction de Georges Forestier. En édit
ère (Jean-Baptiste Poquelin, si célèbre sous le nom de) né à Paris en
1620,
mort en 1673, était fils et petit-fils de Valet-d
iste Poquelin, si célèbre sous le nom de) né à Paris en 1620, mort en
1673,
était fils et petit-fils de Valet-de-chambre Tapi
ait fils et petit-fils de Valet-de-chambre Tapissier du Roi. Il passa
quatorze
ans dans la maison paternelle, où l’on ne songea
es au Collège de Clermont. Il remplit cette carrière dans l’espace de
cinq
ans, pendant lesquels il contracta une étroite li
ans la plupart de ses ouvrages. Le voyage de Louis XIII à Narbonne en
1641,
interrompit des occupations d’autant plus agréabl
aient à peine le nom de Comédies, telles que le Docteur amoureux, les
Trois
Docteurs Rivaux, etc. Molière les a probablement
lle du Palais Royal. Enfin sa Troupe fut arrêtée au service du Roi en
1665
; et ce fut alors, que l’on vit règne le vrai goû
urs petites Farces, comme le Docteur amoureux, le Docteur pédant, les
Trois
Docteurs Rivaux, le Maître d’École, le Médecin vo
ter de bonnes lois, se soumettent eux-mêmes à d’anciens abus. Tome
I
, p. 2 Pour n’avoir pas trouvé bonne cette Comé
tulée Élomire Hypocondre. Élomire est l’anagramme de Molière. Tome
I
, p. 4 C’est dans les Dialogues d’Érasme3, que
aux Précieuses Ridicules, et aux Femmes Savantes de Molière. Tome
I
, p. 33-34 1704, Furetiriana, p. 103-105 1705,
Ridicules, et aux Femmes Savantes de Molière. Tome I, p. 33-34
1704,
Furetiriana, p. 103-105 1705, Grimarest, p. 148-1
ntes de Molière. Tome I, p. 33-34 1704, Furetiriana, p. 103-105
1705,
Grimarest, p. 148-150 1742, Bolaeana, p. 104-105
p. 33-34 1704, Furetiriana, p. 103-105 1705, Grimarest, p. 148-150
1742,
Bolaeana, p. 104-105 Racine voulant donner sa Tra
le ferai prêcher par quelqu’un qui s’en acquittera mieux que lui ».
1801,
Moliérana, 61, p. 99 Tome I, p. 45 Benser
par quelqu’un qui s’en acquittera mieux que lui ». 1801, Moliérana,
61,
p. 99 Tome I, p. 45 Benserade* avait atta
en acquittera mieux que lui ». 1801, Moliérana, 61, p. 99 Tome
I
, p. 45 Benserade* avait attaqué Molière qui ré
its ; ce qui piqua également et Benserade* et son Protecteur. Tome
I
, p. 62-63 1705, Grimarest, p. 40-42 Molière lo
qua également et Benserade* et son Protecteur. Tome I, p. 62-63
1705,
Grimarest, p. 40-42 Molière logeait chez un Médec
gnifie un Saigneur, à M. d’Aquin5 qui ordonnait souvent la saignée.
1801,
Moliérana, 7, p. 38 Tome I, p. 66 La Crit
r, à M. d’Aquin5 qui ordonnait souvent la saignée. 1801, Moliérana,
7,
p. 38 Tome I, p. 66 La Critique de quelqu
i ordonnait souvent la saignée. 1801, Moliérana, 7, p. 38 Tome
I
, p. 66 La Critique de quelques Comédiens de Mo
Molière : Hors Molière, pour vous il n’est point de salut. Tome
I
, p. 70-71 Boileau n’était pas content de ces d
de salut. Tome I, p. 70-71 Boileau n’était pas content de ces
deux
vers, quoiqu’en dépit de leur irrégularité gramma
citait même un vers de Rotrou, qu’il prétendait plus naturel que ces
deux
-ci qui sont de Molière : Et j’étais venu, je vou
e Rotrou : J’étais chez nous longtemps avant que d’arriver. Tome
I
, p. 71 1705, Grimarest, p. 103-104 Madame Daci
J’étais chez nous longtemps avant que d’arriver. Tome I, p. 71
1705,
Grimarest, p. 103-104 Madame Dacier6 avait compos
ider cette dispute, je crois que M. Perrault* gagnerait sa cause. »
1801,
Moliérana, 39, p. 69 Tome I, p. 71 « J’ét
e, je crois que M. Perrault* gagnerait sa cause. » 1801, Moliérana,
39,
p. 69 Tome I, p. 71 « J’étais hier à la C
errault* gagnerait sa cause. » 1801, Moliérana, 39, p. 69 Tome
I
, p. 71 « J’étais hier à la Comédie, disait une
vertissante : c’est bien dommage qu’elle apprenne à pécher. » Tome
I
, p. 72 Avant Molière, un Poète Italien, Ludovi
» Tome I, p. 72 Avant Molière, un Poète Italien, Ludovico Dolce
7,
avait imité l’Amphitrion de Plaute* dans une Comé
it imité l’Amphitrion de Plaute* dans une Comédie intitulée Il Marito
8.
Dryden9 a aussi traité le même sujet, et a beauco
ritable Amphitrion pour les dettes contractées par le Dieu ». Tome
I
, p. 155-156 Mlle Beauval, Actrice de la Troupe
rès la Pièce, le Roi dit à Molière : Je reçois votre Actrice. Tome
I
, p. 128 Cette excellente Pièce avait été donné
rice. Tome I, p. 128 Cette excellente Pièce avait été donnée en
1667
; mais le même préjugé, dit-on, qui fit tomber Le
empressement, ce qu’on avait méprisé peu de temps auparavant. Tome
I
, p. 128 Cette Comédie a été traduite en plusie
leterre. La Traduction surtout de M. Filding12, qui eut à Londres, en
1733,
plus de trente représentations, passe pour une de
aduction surtout de M. Filding12, qui eut à Londres, en 1733, plus de
trente
représentations, passe pour une des meilleures.
lus de trente représentations, passe pour une des meilleures. Tome
I
, p. 128 M. Riccoboni13, dans ses remarques sur
ait pas fait mention d’une Pièce de l’Arioste intitulée Gli Suppositi
14,
où se trouve le commencement de la sixième Scène
e commencement de la sixième Scène du Second Acte de l’Avare. Tome
I
, p. 128 1704, Furetiriana, p. 103-105 1705, Gr
t de la sixième Scène du Second Acte de l’Avare. Tome I, p. 128
1704,
Furetiriana, p. 103-105 1705, Grimarest, p. 148-1
d Acte de l’Avare. Tome I, p. 128 1704, Furetiriana, p. 103-105
1705,
Grimarest, p. 148-150 1742, Bolaeana, p. 104-105
, p. 128 1704, Furetiriana, p. 103-105 1705, Grimarest, p. 148-150
1742,
Bolaeana, p. 104-105 Après que Racine se fut brou
i, pour croire que vous n’y ayez pas ri, du moins intérieurement ».
1801,
Moliérana, 61, p. 99 Tome I, p. 129 Moliè
e vous n’y ayez pas ri, du moins intérieurement ». 1801, Moliérana,
61,
p. 99 Tome I, p. 129 Molière était sujet
ri, du moins intérieurement ». 1801, Moliérana, 61, p. 99 Tome
I
, p. 129 Molière était sujet à un mal de poitri
. C’est à quoi Frosine15 fait allusion dans le second Acte de l’Avare
16,
en disant à Harpagon17, dont Molière jouait le rô
xion ne vous sied point mal ; et vous avez grâce à tousser ». Tome
I
, p. 129 Béjar le Comédien18, qui fut camarade
emeura estropié d’une blessure qu’il avait reçue au pied, en séparant
deux
de ses amis qui se battaient en duel. Il fut char
ses amis qui se battaient en duel. Il fut chargé du rôle de la Flêche
19
dans la Comédie de l’Avare ; et Harpagon dit de c
par allusion : « Je ne me plais point à voir ce chien de boiteux-là »
20.
Ce fut un signal pour les Acteurs de Province ; i
iteux, toute autre injure qui vient dans la tête de l’Acteur. Tome
I
, p. 155 On prétend que Molière a peint le cara
même ridicule ; mais lorsqu’on veut vérifier cette Anecdote, on nomme
vingt
personnes différentes ; ce qui engage à croire qu
ère n’a eu que des vues générales en composant ce personnage. Tome
I
, p. 155 On disait que le Philosophe de cette C
, qui fit emprunter son chapeau pour le donner à Du Croissy*. Tome
I
, p. 155 À la première représentation de cette
verte, qui lui rapportait toujours de mauvaises nouvelles. Au bout de
cinq
ou six jours, on joua cette Pièce pour la seconde
ui lui rapportait toujours de mauvaises nouvelles. Au bout de cinq ou
six
jours, on joua cette Pièce pour la seconde fois.
que mal, ce que le Roi venait de dire à l’avantage de cette Pièce.
1801,
Moliérana, 12, p. 43-44 Tome I, p. 156 Mo
le Roi venait de dire à l’avantage de cette Pièce. 1801, Moliérana,
12,
p. 43-44 Tome I, p. 156 Molière, dans cet
l’avantage de cette Pièce. 1801, Moliérana, 12, p. 43-44 Tome
I
, p. 156 Molière, dans cette même Comédie, a do
défauts que ce Valet relève dans le portrait de sa Maîtresse. Tome
I
, p. 156 Lully* ayant traité d’une charge de Se
eut beau leur dire qu’il n’avait jamais représenté sur le Théâtre que
trois
fois, dans le Bourgeois-Gentilhomme, et cela deva
t que lui répondre, lui expédia un ordre qui le fit recevoir. Tome
I
, p. 156-157 L’ambassadeur de Siam, étant à Par
oir. Tome I, p. 156-157 L’ambassadeur de Siam, étant à Paris en
1686,
vint à la Comédie Française, et vit jouer le Bour
argent de l’Avare serait prise, et que l’Avare serait trompé. Tome
I
, p. 176 Le Carnaval : Lorsque cette Mascarade
ve Saint-Georges. Ce Divertissement a paru, pour la première fois, en
1675,
pour amuser le Public, après qu’on en eut régalé
75, pour amuser le Public, après qu’on en eut régalé la Cour. Tome
I
, p. 178 La Casaque : C’est une de ces petites
qu’il faisait jouer ensuite à Paris après les grandes Pièces. Tome
I
, p. 213 La Scène cinquième du troisième Acte d
trouva, ce qu’effectivement ils étaient, détestables. Là-dessus, nos
deux
Poètes se dirent à-peu-près l’un à l’autre, les d
l’un à l’autre, les douceurs que Molière a si agréablement rimées.
1801,
Moliérana, 36, p. 64-67 Tome I, p. 213 17
les douceurs que Molière a si agréablement rimées. 1801, Moliérana,
36,
p. 64-67 Tome I, p. 213 1705, Grimarest,
e a si agréablement rimées. 1801, Moliérana, 36, p. 64-67 Tome
I
, p. 213 1705, Grimarest, p. 21-23 Un Bourgeois
lement rimées. 1801, Moliérana, 36, p. 64-67 Tome I, p. 213
1705,
Grimarest, p. 21-23 Un Bourgeois de Paris, qui fa
aire : vous seriez bien heureux d’en être quitte à si bon marché ».
1801,
Moliérana, 37, p. 67-68 Tome I, p. 213 ; tom
z bien heureux d’en être quitte à si bon marché ». 1801, Moliérana,
37,
p. 67-68 Tome I, p. 213 ; tome III p. 368
e quitte à si bon marché ». 1801, Moliérana, 37, p. 67-68 Tome
I
, p. 213 ; tome III p. 368 Cette petite Comédie
marché ». 1801, Moliérana, 37, p. 67-68 Tome I, p. 213 ; tome
III
p. 368 Cette petite Comédie est tirée d’une Pi
Italienne, intitulée Il Cornuto per opinione25. Elle fut représentée
quarante
fois de suite, quoique pendant l’absence de la Co
té des beautés de cette Comédie, il s’était aperçu, après y avoir été
cinq
à six fois, qu’il l’avait retenue par cœur ; que,
anté des beautés de cette Pièce, il s’était aperçu, après y avoir été
cinq
ou six fois, qu’il l’avoir retenue par cœur ; que
beautés de cette Pièce, il s’était aperçu, après y avoir été cinq ou
six
fois, qu’il l’avoir retenue par cœur ; que, dans
vait pris le parti de la faire imprimer, et de la lui dédier. Tome
I
, p. 224 Cette petite Pièce est une peinture na
nt faits exprès pour lui, par Molière, à ce que l’on prétend. Tome
I
, p. 224 À la Scène seizième de cette Comédie [
sse. « Je trouve ces vers admirables, et ne les appelle pas seulement
deux
strophes, comme vous ; mais deux épigrammes aussi
les, et ne les appelle pas seulement deux strophes, comme vous ; mais
deux
épigrammes aussi bonnes que toutes celles de Mart
e n’est pas ce Martial-là, Madame ; c’est un Auteur qui vivait il y a
trente
ou quarante ans »30. Ce Martial, qui ne faisait p
s ce Martial-là, Madame ; c’est un Auteur qui vivait il y a trente ou
quarante
ans »30. Ce Martial, qui ne faisait point de vers
à, Madame ; c’est un Auteur qui vivait il y a trente ou quarante ans »
30.
Ce Martial, qui ne faisait point de vers, était u
ignait à cette qualité celle de Valet-de-chambre de Monsieur. Tome
I
, p. 225 Mde. de Villarceaux31, dont le mari ét
rave Pédagogue : Quem habuit successorem Belus Rex assyriorum ? Ninum
32,
répondit le jeune Marquis. Mde. de Villarceaux, f
re en fit sa dix-neuvième Scène de la Comtesse d’Escarbagnas. Tome
I
, p. 226-227 Mlle Molière* rentrait dans sa log
x et La Tourelle furent punies devant la porte de la Comédie. Tome
I
, p. 230 Il parait que la Princesse d’Élide de
incesse d’Élide de Molière a pu fournir le sujet de la Coquette Fixée
36.
Tome I, p. 242 On trouve dans cette Comédie
ide de Molière a pu fournir le sujet de la Coquette Fixée 36. Tome
I
, p. 242 On trouve dans cette Comédie37 la même
nde à la Flèche à voir ses mains, et qui, après les avoir vues toutes
deux
, demande encore les autres. Voici comment Chapuze
’autre Philippin Allez la chercher ; en ai-je une douzaine ? Tome
I
, p. 255 Une Comédie Italienne du Sechi 39, int
e une douzaine ? Tome I, p. 255 Une Comédie Italienne du Sechi
39,
intitulée : La Filia creduta Maschio 40 fournit à
e Comédie Italienne du Sechi 39, intitulée : La Filia creduta Maschio
40
fournit à Molière l’idée et le Canevas de cette P
été jouée auparavant aux États de Languedoc, tenus à Béziers. Tome
I
, p. 270, 271 Molière avait fait cette petite P
uparavant aux États de Languedoc, tenus à Béziers. Tome I, p. 270,
271
Molière avait fait cette petite Pièce pour les
fit renaître la mode de représenter de petites Pièces d’un Acte ou de
trois
, après celle de cinq. Usage qui était perdu depui
e représenter de petites Pièces d’un Acte ou de trois, après celle de
cinq
. Usage qui était perdu depuis longtemps, et qui a
it perdu depuis longtemps, et qui a toujours subsisté depuis. Tome
I
, p. 270-271 Outre Le Docteur Amoureux, Molière
lière avait fait plusieurs autres petites Farces pareilles, comme Les
Trois
Docteurs Rivaux, Le Maître d’école, etc. On a cru
fond, à la manière des Comédiens Italiens ; mais si l’on en juge par
deux
Pièces du même genre qui sont parvenues jusqu’à n
nues jusqu’à nous, elles étaient écrites et dialoguées en entier. Ces
deux
Pièces se trouvent dans le Cabinet de quelque cur
Canevas, quoi qu’informe du troisième Acte de George Dandin. Tome
I
, p. 271 1742, Bolaeana, p. 31-32 Despréaux ne
i qu’informe du troisième Acte de George Dandin. Tome I, p. 271
1742,
Bolaeana, p. 31-32 Despréaux ne se lassait pas d’
ier feu, et qu’il lui était impossible de revenir sur ses ouvrages.
1801,
Moliérana, 62, p. 100 Tome I, p. 271 1721
lui était impossible de revenir sur ses ouvrages. 1801, Moliérana,
62,
p. 100 Tome I, p. 271 1721, Segraisiana,
de revenir sur ses ouvrages. 1801, Moliérana, 62, p. 100 Tome
I
, p. 271 1721, Segraisiana, p. 212-214 Ce furen
ur ses ouvrages. 1801, Moliérana, 62, p. 100 Tome I, p. 271
1721,
Segraisiana, p. 212-214 Ce furent les Précieuse R
r les fragments de Ménandre*. Je n’ai plus qu’à étudier le monde. »
1801,
Moliérana, 64, p. 100-101 Tome I, p. 272-273
e Ménandre*. Je n’ai plus qu’à étudier le monde. » 1801, Moliérana,
64,
p. 100-101 Tome I, p. 272-273 Molière jou
qu’à étudier le monde. » 1801, Moliérana, 64, p. 100-101 Tome
I
, p. 272-273 Molière joua le rôle de Dom Garcie
riomphèrent quelque temps. Visé* s’en réjouit dans son Mercure Galant
41.
Dom Garcie ne fut imprimé qu’après la mort de l’A
’Acte second, qui sont dans la sixième Scène de l’Amphitrion. Tome
I
, p. 274 1705, Grimarest, p. 76-77 Don Quichot
qui sont dans la sixième Scène de l’Amphitrion. Tome I, p. 274
1705,
Grimarest, p. 76-77 Don Quichotte, Comédie, joué
uichotte et les Sancho n’ont jamais fait grande fortune au Théâtre.
1801,
Moliérana, 72, p. 106-108 Tome I, p. 282
ancho n’ont jamais fait grande fortune au Théâtre. 1801, Moliérana,
72,
p. 106-108 Tome I, p. 282 L’idée principa
rande fortune au Théâtre. 1801, Moliérana, 72, p. 106-108 Tome
I
, p. 282 L’idée principale de cette Comédie [L’
ée d’un Livre intitulé : Les Nuits Facétieuses du Seigneur Straparole
42,
dans une histoire duquel un Rival vient tous les
’il est son Rival, des faveurs qu’il obtient de sa Maîtresse. Tome
I
, p. 282-283 1705, Grimarest, p. 27-29 L’École
, des faveurs qu’il obtient de sa Maîtresse. Tome I, p. 282-283
1705,
Grimarest, p. 27-29 L’École des Femmes éprouva d
ose avec indignation, et le marqua au Duc d’une manière assez vive.
1801,
Moliérana, 40, p. 69-70 Tome I, p. 283-284
ion, et le marqua au Duc d’une manière assez vive. 1801, Moliérana,
40,
p. 69-70 Tome I, p. 283-284 Mlle Debrie*,
c d’une manière assez vive. 1801, Moliérana, 40, p. 69-70 Tome
I
, p. 283-284 Mlle Debrie*, grande et bien faite
’Agnès, jusqu’à ce qu’elle quitta le Théâtre. Elle le jouait encore à
65
ans. Tome I, p. 284 Thomas Corneille* se fa
ce qu’elle quitta le Théâtre. Elle le jouait encore à 65 ans. Tome
I
, p. 284 Thomas Corneille* se faisait appeler M
fossé bourbeux Et de Monsieur de L’Île en prit le nom pompeux.45
1801,
Moliérana, 11, p. 42 Tome I, p. 284-285 D
t de Monsieur de L’Île en prit le nom pompeux.45 1801, Moliérana,
11,
p. 42 Tome I, p. 284-285 Despréaux disait
le en prit le nom pompeux.45 1801, Moliérana, 11, p. 42 Tome
I
, p. 284-285 Despréaux disait que, lisant à Mol
de Chrysalde : Il est un peu blessé sur certaines matières. Tome
I
, p. 285 Stances de Despréaux à Molière, sur la
omédie de L’École des femmes, que plusieurs gens frondaient. En vain
mille
jaloux esprits, Molière, osent, avec mépris, Cens
Si tu savais un peu moins plaire, Tu ne leur déplairais pas tant.
1801,
Moliérana, 58, p. 95-96 Tome I, p. 285-286
peu moins plaire, Tu ne leur déplairais pas tant. 1801, Moliérana,
58,
p. 95-96 Tome I, p. 285-286 Cette petite
leur déplairais pas tant. 1801, Moliérana, 58, p. 95-96 Tome
I
, p. 285-286 Cette petite Pièce [La Critique de
croyant qu’il était seul capable de se donner des louanges ». Tome
I
, p. 286-287 Cette Pièce [l’École des maris] es
une pupille dont le vieillard amoureux se trouvait le tuteur. Tome
I
, p. 288 Cette Comédie49 fut précédée d’un Prol
ette Comédie49 fut précédée d’un Prologue intitulé L’Ombre de Molière
50,
par l’Auteur de la Comédie, lequel a gardé l’Anon
me : à moins cependant que cette dédicace ne soit une feinte. Tome
I
, p. 321-322 Il y a dans cette Pièce une Scène5
rés de sa maison, Scène que Renard a employée dans son Retour Imprévu
53.
On trouve aussi, dans la même Pièce, un monologue
’un autre jouit maintenant de mon mal et de mon dommage !55. Tome
I
, p. 326-327 1705, Grimarest, p. 12-15 C’est la
aintenant de mon mal et de mon dommage !55. Tome I, p. 326-327
1705,
Grimarest, p. 12-15 C’est la première Pièce régul
Molière ait donnée au Public. Elle avait d’abord été jouée à Lyon, en
1653.
Le Prince de Conti*, devant lequel on la représen
héâtre Français Molière préféra de suivre l’impulsion de son génie.
1801,
Moliérana, 2, p. 34-35 Tome I, p. 335 M.
olière préféra de suivre l’impulsion de son génie. 1801, Moliérana,
2,
p. 34-35 Tome I, p. 335 M. Fouquet* engag
re l’impulsion de son génie. 1801, Moliérana, 2, p. 34-35 Tome
I
, p. 335 M. Fouquet* engagea Molière à composer
la Comédie des Fâcheux fut conçue, faite, apprise, et représentée en
quinze
jours. À la première représentation de cette Pièc
divertissement qu’Elle semblait attendre. En même temps, au milieu de
vingt
jets d’eau naturels, s’ouvrit une coquille, d’où
vers que M. Pélisson* avait faits et qui servent de Prologue. Tome
I
, p. 335-336 Bien des gens ont cru que Chapelle
t-on, le plus beau naturel et les plus heureuses négligences. Tome
I
, p. 336-337 [1693] 1715, Ménagiana, tome III,
naturel et les plus heureuses négligences. Tome I, p. 336-337 [
1693
] 1715, Ménagiana, tome III, p. 24 1705, Grimarest
el et les plus heureuses négligences. Tome I, p. 336-337 [1693]
1715,
Ménagiana, tome III, p. 24 1705, Grimarest, p. 26
es négligences. Tome I, p. 336-337 [1693] 1715, Ménagiana, tome
III
, p. 24 1705, Grimarest, p. 26-27 Le Roi, en sorta
ces. Tome I, p. 336-337 [1693] 1715, Ménagiana, tome III, p. 24
1705,
Grimarest, p. 26-27 Le Roi, en sortant de la prem
assez : la Scène du Fâcheux Chasseur fut faite et apprise en moins de
vingt-quatre
heures ; et, comme Molière n’entendait rien au ja
ourt lui-même, de lui indiquer les termes dont il devait se servir.
1801,
Moliérana, 38, p. 68-69 Tome I, p. 337 Ce
lui indiquer les termes dont il devait se servir. 1801, Moliérana,
38,
p. 68-69 Tome I, p. 337 Cette Farce57 éta
s dont il devait se servir. 1801, Moliérana, 38, p. 68-69 Tome
I
, p. 337 Cette Farce57 était sans doute le Cane
lui, que Molière n’appelait jamais autrement que le Fagoteux. Tome
I
, p. 316 Corneille dit qu’en travaillant à cett
ière*, en ces termes : je soussigné confesse avoir reçu de Troupe, en
deux
payements, la somme de deux mille deux cents livr
ussigné confesse avoir reçu de Troupe, en deux payements, la somme de
deux
mille deux cents livres, tant pour moi que pour M
né confesse avoir reçu de Troupe, en deux payements, la somme de deux
mille
deux cents livres, tant pour moi que pour M. Corn
fesse avoir reçu de Troupe, en deux payements, la somme de deux mille
deux
cents livres, tant pour moi que pour M. Corneille
avoir reçu de Troupe, en deux payements, la somme de deux mille deux
cents
livres, tant pour moi que pour M. Corneille, de l
t, et que j’ai fait mettre en vers par ledit Sieur Corneille. Tome
I
, p. 354 Le Silence du Roi sur cette Comédie [L
it très-bonne, et qu’elle lui avait fait beaucoup de plaisir. Tome
I
, p. 354 1724, Carpentariana, p. 55-56 Molière
, et qu’elle lui avait fait beaucoup de plaisir. Tome I, p. 354
1724,
Carpentariana, p. 55-56 Molière a joué dans ses F
e, ni à critiquer. Si ce récit est vrai, il fait honneur à Ménage*.
1801,
Moliérana, 65, p. 101-102 Tome I, p. 355
. Si ce récit est vrai, il fait honneur à Ménage*. 1801, Moliérana,
65,
p. 101-102 Tome I, p. 355 L’Abbé Cotin*,
l fait honneur à Ménage*. 1801, Moliérana, 65, p. 101-102 Tome
I
, p. 355 L’Abbé Cotin*, irrité contre Despréaux
ge sous ce titre : La Critique désintéressée sur les satyres du temps
60.
Il y chargea Despréaux des injures les plus gross
e, à la risée publique, dans la Comédie des Femmes savantes. Tome
I
, p. 355-356 cf. 1742, Bolaeana, p. 34 Boileau
e, dans la Comédie des Femmes savantes. Tome I, p. 355-356 cf.
1742,
Bolaeana, p. 34 Boileau corrigea deux vers de la
Tome I, p. 355-356 cf. 1742, Bolaeana, p. 34 Boileau corrigea
deux
vers de la première Scène des Femmes savantes, qu
beaux côtés qu’il la faut imiter Despréaux trouva du jargon dans ces
deux
vers, et les rétablit de cette façon : Quand sur
nd se régler, C’est par ses beaux endroits qu’il lui faut ressembler ;
61
Ce fut aussi Despréaux, à ce que prétendent que
ière sut si bien faire son profit dans sa Scène incomparable. Tome
I
, p. 356 Molière fit acheter un des habits de C
pté Montmaur*, n’a tant été turlupiné que le pauvre Cotin*. On fit en
1682,
peu de temps après sa mort, ces quatre vers : Sa
que le pauvre Cotin*. On fit en 1682, peu de temps après sa mort, ces
quatre
vers : Savez-vous en quoi Cotin* Diffère d
un ton doux. Ce sont des choses cependant que Molière désavouait. »
1801,
Moliérana, 25, p. 52-53 Tome I, p. 357-359
ont des choses cependant que Molière désavouait. » 1801, Moliérana,
25,
p. 52-53 Tome I, p. 357-359 L’auteur de B
t que Molière désavouait. » 1801, Moliérana, 25, p. 52-53 Tome
I
, p. 357-359 L’auteur de Bolaeana dit, au sujet
harlatan, qui sait mettre à propos du baume sur les plaies. » Tome
I
, p. 360-361 Cette Comédie a reçu sur le Théâtr
est le premier qui l’a traité sous le titre de El Comvidado de Piedra
65,
ce qui a été mal rendu en notre langue par le Fes
tte dernière qu’on joue présentement sur le Théâtre Français. Tome
I
, p. 360-361 Molière a inséré, dans cette Pièce
rançais. Tome I, p. 360-361 Molière a inséré, dans cette Pièce,
deux
Scènes imitées du Pédant Joué 69, Comédie de Cyra
olière a inséré, dans cette Pièce, deux Scènes imitées du Pédant Joué
69,
Comédie de Cyrano de Bergerac*. Mais lui-même, da
on reprochait à Molière cette sorte de plagiat, il répondait : « Ces
deux
Scènes sont assez bonnes : cela m’appartenait de
en oublié, je n’ai rien ajouté Que désiriez-vous plus ? Etc. Tome
I
, p. 361 Molière, en traitant le sujet bizarre
m ! Prends cet argent, je te le donne pour l’amour de l’humanité. »
1801,
Moliérana, 93, p. 136-138 Tome I, p. 392-393
gent, je te le donne pour l’amour de l’humanité. » 1801, Moliérana,
93,
p. 136-138 Tome I, p. 392-393 Cette Pièce
l’amour de l’humanité. » 1801, Moliérana, 93, p. 136-138 Tome
I
, p. 392-393 Cette Pièce est en partie une de c
lière avait préparées en Province, sous titre de Gorgibus dans le Sac
72.
Despréaux donna atteinte à cette Pièce, par ces d
gibus dans le Sac 72. Despréaux donna atteinte à cette Pièce, par ces
deux
vers de son Art Poétique : Dans ce sac ridicule,
plus grande partie des Spectateurs, et soutenir son Théâtre. Tome
I
, p. 394-395 1705, Grimarest, p. 165 Quand Boil
ie des Spectateurs, et soutenir son Théâtre. Tome I, p. 394-395
1705,
Grimarest, p. 165 Quand Boileau a reproché à Moli
Farces de Tabarin. On sera peut-être curieux de voir ici l’extrait de
deux
de ces Farces que Molière connaissait sûrement.
ux de ces Farces que Molière connaissait sûrement. Piphagne, Farce à
cinq
personnages, en Prose. Piphagne est un vieillard
r, et de son mari, et du valet de Rodomont, dit à Tabarin que ce sont
deux
cochons qui sont dans ces sacs, et les lui vend v
arin que ce sont deux cochons qui sont dans ces sacs, et les lui vend
vingt
écus. Tabarin prend un couteau de cuisine, délie
teau de cuisine, délie les sacs, et est fort surpris d’en voir sortir
deux
hommes. On rit beaucoup de son étonnement : et to
’il ne s’y était caché, que pour ne pas épouser une vieille qui avait
cinquante
mille écus. Lucas, tenté par une si grosse somme,
était caché, que pour ne pas épouser une vieille qui avait cinquante
mille
écus. Lucas, tenté par une si grosse somme, prend
trouve enfin le moyen de se faire reconnaître ; et la Pièce finit.
1801,
Moliérana, 57, p. 94 Tome I, p. 408 1705,
moyen de se faire reconnaître ; et la Pièce finit. 1801, Moliérana,
57,
p. 94 Tome I, p. 408 1705, Grimarest, p.
connaître ; et la Pièce finit. 1801, Moliérana, 57, p. 94 Tome
I
, p. 408 1705, Grimarest, p. 104-106 Le sujet d
t la Pièce finit. 1801, Moliérana, 57, p. 94 Tome I, p. 408
1705,
Grimarest, p. 104-106 Le sujet de cette Pièce [Ge
i bon, que plusieurs Auteurs l’ont mis en usage depuis avec succès.
1801,
Moliérana, 9, p. 41 Tome I, p. 412 Ce tit
urs Auteurs l’ont mis en usage depuis avec succès. 1801, Moliérana,
9,
p. 41 Tome I, p. 412 Ce titre74 semble in
is en usage depuis avec succès. 1801, Moliérana, 9, p. 41 Tome
I
, p. 412 Ce titre74 semble indiquer le Canevas
s de Scapin, où ce dernier fait mettre Géronte75 dans un sac. Tome
I
, p. 414 Ne serait-ce point ici le modèle76 sur
urait travaillé son Thomas Diafoirus77 du Malade Imaginaire ? Tome
I
, p. 452 Cette Pièce[ ? ? ?] était une réponse
et de Villiers y jouaient des rôles sous leurs noms propres. Tome
I
, p. 453-454 Cette Pièce [L’impromptu de Versai
écouvrait le ton faux et outré de leur déclamation chantante. Tome
I
, p. 470-471 On trouve, dans cette Farce, un Ca
aliens qui ne pouvaient divertir que par le jeu du théâtre ». Tome
I
, p. 506 1705, Grimarest, p. 153-155 C’est ici
pouvaient divertir que par le jeu du théâtre ». Tome I, p. 506
1705,
Grimarest, p. 153-155 C’est ici la dernière produ
ea, ce jour-là, de ses camarades, qu’on commençât la représentation à
quatre
heures précises. Sa femme et Baron* le pressèrent
on, rue de Richelieu, où il fut suffoqué d’un vomissement de sang, le
17
février 1673. Tome I, p. 506 1705, Grimares
Richelieu, où il fut suffoqué d’un vomissement de sang, le 17 février
1673.
Tome I, p. 506 1705, Grimarest, p. 161 1715
il fut suffoqué d’un vomissement de sang, le 17 février 1673. Tome
I
, p. 506 1705, Grimarest, p. 161 1715, Ménagian
ué d’un vomissement de sang, le 17 février 1673. Tome I, p. 506
1705,
Grimarest, p. 161 1715, Ménagiana, tome I, p. 78
ang, le 17 février 1673. Tome I, p. 506 1705, Grimarest, p. 161
1715,
Ménagiana, tome I, p. 78 Quand Molière mourut, pl
3. Tome I, p. 506 1705, Grimarest, p. 161 1715, Ménagiana, tome
I
, p. 78 Quand Molière mourut, plusieurs mauvais Po
ement le Prince en la recevant, que Molière me présentât la vôtre !
1801,
Moliérana, 51, p. 85-86 Tome I, p. 507 De
n la recevant, que Molière me présentât la vôtre ! 1801, Moliérana,
51,
p. 85-86 Tome I, p. 507 Deux mois avant l
ère me présentât la vôtre ! 1801, Moliérana, 51, p. 85-86 Tome
I
, p. 507 Deux mois avant la mort de Molière, De
tât la vôtre ! 1801, Moliérana, 51, p. 85-86 Tome I, p. 507
Deux
mois avant la mort de Molière, Despréaux l’étant
à dévouer son dos à toutes les bastonnades de la Comédie » ! Tome
I
, p. 507-50879 Dans le temps que Molière compo
En le ridiculisant, Molière lui ouvrit la voie des richesses. Tome
I
, p. 508 Le latin macaronique, qui fait tant r
nsemble avec Mlle Ninon de Lenclos* et Madame de la Sablière. Tome
I
, p. 508-509 Dans la même Pièce, l’Apothicaire
it bien que vous n’avez pas coutume de parler à des visages » Tome
I
, p. 509 Le mari de Mlle Beauval était un faibl
lui fit le plus de réputation alors, fut le rôle de Thomas Diaforius
81,
dans le Malade Imaginaire, qu’il jouait supérieur
cipalement de Mlle Beauval qui représentait le personnage de Toinette
82.
Cette Actrice, peu endurante, après lui avoir rép
a donné de meilleures leçons que les miennes pour ce rôle ». Tome
I
, p. 509-511 1705, Grimarest, p. 71-75 Peu de j
eures leçons que les miennes pour ce rôle ». Tome I, p. 509-511
1705,
Grimarest, p. 71-75 Peu de jours avant les représ
pour qu’aucune personne de la Maison du Roi n’eut ses entrées gratis
83
à son spectacle. Ces Messieurs ne trouvèrent pas
s furieux, outrés de la résistance qu’il avait faite, le percèrent de
cent
coups ; et chacun d’eux, en entrant, lui donnait
h ! Messieurs, leur dit-il ; épargnez du moins un pauvre vieillard de
soixante
et quinze ans, qui n’a plus que quelques jours à
s, leur dit-il ; épargnez du moins un pauvre vieillard de soixante et
quinze
ans, qui n’a plus que quelques jours à vivre ». L
ue je n’aie importuné le Roi pour avoir l’ordre qui nous a mis tous à
deux
doigts de notre perte ; il est question présentem
le Roi fut instruit de ce désordre, il ordonna aux Commandants de ces
quatre
Corps, de les faire mettre sous les armes le lend
allait laisser ce petit avantage qui n’ayant pas le moyen de dépenser
quinze
sols, ne voyaient le spectacle que par charité. C
temps-là, la Maison du Roi n’est point entrée gratis à la Comédie.
1801,
Moliérana, 4, p. 36 Tome I, p. 518 1730,
son du Roi n’est point entrée gratis à la Comédie. 1801, Moliérana,
4,
p. 36 Tome I, p. 518 1730, ****Ana, p. 18
int entrée gratis à la Comédie. 1801, Moliérana, 4, p. 36 Tome
I
, p. 518 1730, ****Ana, p. 18 Le fameux Comte d
atis à la Comédie. 1801, Moliérana, 4, p. 36 Tome I, p. 518
1730,
****Ana, p. 18 Le fameux Comte de Grammont, dont
t du bruit ; il repassait en France sans avoir conclu avec elle ; les
deux
Frères de la Demoiselle le joignirent à Douvres,
votre sœur ; et j’y retourne avec vous, pour finir cette affaire. »
1801,
Moliérana, 3, p. 35 Tome I, p. 518 Cette
’y retourne avec vous, pour finir cette affaire. » 1801, Moliérana,
3,
p. 35 Tome I, p. 518 Cette Pièce [Le Mari
us, pour finir cette affaire. » 1801, Moliérana, 3, p. 35 Tome
I
, p. 518 Cette Pièce [Le Mariage Forcé] fut rep
e titre, où Louis XIV dansa. Elle fut mise en vers par un anonyme, en
1674.
Tome I, p. 532 L’Auteur composa cette Farce
uis XIV dansa. Elle fut mise en vers par un anonyme, en 1674. Tome
I
, p. 532 L’Auteur composa cette Farce de plusie
t en est tiré d’un ancien Conte ou Fabliau, intitulé : Le Vilain Mire
84,
qui était manuscrit à la Bibliothèque du Roi, et
qui était manuscrit à la Bibliothèque du Roi, et qui a été imprimé en
1756.
Tome I, p. 533 Il y a une anecdote assez pl
scrit à la Bibliothèque du Roi, et qui a été imprimé en 1756. Tome
I
, p. 533 Il y a une anecdote assez plaisante au
r esses plena ! Ah ! Ah ! Cora mea lagena, Vacua cur jaces ?
1801,
Moliérana, 8, p. 39-40 Tome I, p. 533 Le
h ! Ah ! Cora mea lagena, Vacua cur jaces ? 1801, Moliérana,
8,
p. 39-40 Tome I, p. 533 Le Perruquier don
na, Vacua cur jaces ? 1801, Moliérana, 8, p. 39-40 Tome
I
, p. 533 Le Perruquier dont parle Despréaux de
r caractère dans la première Scène de son Médecin malgré lui. Tome
I
, p. 537 Molière n’avait composé que les deux p
ecin malgré lui. Tome I, p. 537 Molière n’avait composé que les
deux
premiers actes de cette Pastorale ; elle fut repr
t-germain. Guérin*, fils du Comédien de ce nom, acheva cette Pièce en
1699,
y joignit des intermèdes, et changea la versifica
ce en 1699, y joignit des intermèdes, et changea la versification des
deux
premiers actes, qu’il mit en vers libres et irrég
eurs au présent du moineau que Mirtil donnait à sa Maîtresse. Tome
I
, p. 558 C’est la Pastorale de Molière, dont Gu
’est la Pastorale de Molière, dont Guérin*, fils du comédien, mit les
deux
actes en vers lyriques, y en ajouta un troisième
; et obtint de Monseigneur, un ordre de faire jouer la Pièce. Tome
I
, p. 559 Le Père Geoffroy88, Jésuite, fit jouer
Pièce. Tome I, p. 559 Le Père Geoffroy88, Jésuite, fit jouer en
1753,
au Collège de Louis le Grand, une Comédie intitul
anthrope : mais différente à tous égards de celle de Molière. Tome
I
, p. 559 Les comédiens avaient jugé peu favorab
gotier comme il l’avait prévu, eut un si grand succès, qu’on le donna
trois
mois de suite, mais toujours suivi du Misanthrope
ujours suivi du Misanthrope. La farce fit écouter la Comédie. Tome
I
, p. 559 On rapporte un fait singulier, qui peu
tint que cette Comédie aurait bientôt un succès des plus éclatants.
1801,
Moliérana, 31, p. 59-61 Tome I, p. 559 Le
médie aurait bientôt un succès des plus éclatants. 1801, Moliérana,
31,
p. 59-61 Tome I, p. 559 Les ennemis de Mo
succès des plus éclatants. 1801, Moliérana, 31, p. 59-61 Tome
I
, p. 559 Les ennemis de Molière voulurent persu
tant, qu’il aurait bien voulu ressembler au Misanthrope de Molière.
1801,
Moliérana, 33, p. 62 Tome I, p. 559-560 1
t bien voulu ressembler au Misanthrope de Molière. 1801, Moliérana,
33,
p. 62 Tome I, p. 559-560 1705, Grimarest,
ler au Misanthrope de Molière. 1801, Moliérana, 33, p. 62 Tome
I
, p. 559-560 1705, Grimarest, p. 101 Les faux d
e de Molière. 1801, Moliérana, 33, p. 62 Tome I, p. 559-560
1705,
Grimarest, p. 101 Les faux dévots, irrités de la
es faux dévots, irrités de la Comédie du Tartuffe, dont il avait paru
trois
Actes dès 1664, firent courir dans Paris plusieur
irrités de la Comédie du Tartuffe, dont il avait paru trois Actes dès
1664,
firent courir dans Paris plusieurs libelles très
est même condamnable Un Livre à mériter la dernière rigueur, etc.
1801,
Moliérana, 49, p. 81-82 Tome I, p. 560-561
able Un Livre à mériter la dernière rigueur, etc. 1801, Moliérana,
49,
p. 81-82 Tome I, p. 560-561 Boileau racon
la dernière rigueur, etc. 1801, Moliérana, 49, p. 81-82 Tome
I
, p. 560-561 Boileau racontait que Molière, apr
it regretter que Molière n’ait pas fourni une plus longue carrière.
1801,
Moliérana, 41, p. 71-72 Tome I, p. 560-561
Molière n’ait pas fourni une plus longue carrière. 1801, Moliérana,
41,
p. 71-72 Tome I, p. 560-561 1742, Bolaean
i une plus longue carrière. 1801, Moliérana, 41, p. 71-72 Tome
I
, p. 560-561 1742, Bolaeana, p. 151 Il y a dans
carrière. 1801, Moliérana, 41, p. 71-72 Tome I, p. 560-561
1742,
Bolaeana, p. 151 Il y a dans cette même Comédie u
à propos dans la dernière Scène du Second Acte de son Misanthrope.
1801,
Moliérana, 34, p. 62-63 Tome I, p. 561 Lo
dernière Scène du Second Acte de son Misanthrope. 1801, Moliérana,
34,
p. 62-63 Tome I, p. 561 Lorsque Molière d
nd Acte de son Misanthrope. 1801, Moliérana, 34, p. 62-63 Tome
I
, p. 561 Lorsque Molière donna son Misanthrope,
ait fait une mauvaise Pièce ; retournez-y ; et examinez-la mieux »
1801,
Moliérana, 32, p. 61-62 Tome I, p. 561 Ba
vaise Pièce ; retournez-y ; et examinez-la mieux » 1801, Moliérana,
32,
p. 61-62 Tome I, p. 561 Baron* prétendait
-y ; et examinez-la mieux » 1801, Moliérana, 32, p. 61-62 Tome
I
, p. 561 Baron* prétendait que la force et le j
les ris, s’il en eût échappé, n’eussent pas été comme forcés. Tome
I
, p. 561 Angelo, Docteur de l’ancienne Troupe I
our faire des ronds. Molière l’écouta avec beaucoup d’attention ; et,
quinze
jours après, Angélo fut surpris de voir dans l’af
Troupe de Molière, la Comédie du Misanthrope annoncée et promise ; et
trois
semaines, ou tout au plus tard un mois après, on
u tout au plus tard un mois après, on représenta cette Pièce. Tome
II
, p. 7-8 Brécourt* a été un bon Comédien dans l
édien dans le Tragique et dans le comique. Après avoir joué Antiochus
91
dans la Tragédie de Bérénice 92, il représentait
e comique. Après avoir joué Antiochus 91 dans la Tragédie de Bérénice
92,
il représentait le rôle de Colin93 dans la petite
ntait le rôle de Colin93 dans la petite Comédie de La Noce de Village
94.
Cet Acteur jouant d’original le rôle d’Alain95, d
IV, charmé de son jeu : Cet homme-là ferait rire une pierre. Tome
II
, p. 41 Cette Pastorale96 faisait partie du Bal
it pas jouer un rôle bien brillant à Molière dans cette Fête. Tome
II
, p. 93-94 Lorsqu’on reprochait à Molière d’avo
are, chez les Anglais, pouvait faire à la plupart de ses critiques.
1801,
Moliérana, 88, p. 132 Tome II, p. 94 La T
lais, pouvait faire à la plupart de ses critiques. 1801, Moliérana,
88,
p. 132 Tome II, p. 94 La Troupe de Molièr
la plupart de ses critiques. 1801, Moliérana, 88, p. 132 Tome
II
, p. 94 La Troupe de Molière fit doubler, pour
es ridicules], le prix ordinaire des places, qui n’était alors que de
dix
sols au Parterre. Tome II, p. 95 1693, Ména
re des places, qui n’était alors que de dix sols au Parterre. Tome
II
, p. 95 1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en 171
, qui n’était alors que de dix sols au Parterre. Tome II, p. 95
1693,
Ménagiana, p. 278 (reprise en 1715 : tome I, p. 2
au Parterre. Tome II, p. 95 1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en
1715
: tome I, p. 251-252 ; tome II, p. 65) 1705, Grim
Tome II, p. 95 1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en 1715 : tome
I
, p. 251-252 ; tome II, p. 65) 1705, Grimarest, p.
1693, Ménagiana, p. 278 (reprise en 1715 : tome I, p. 251-252 ; tome
II
, p. 65) 1705, Grimarest, p. 19-20 Tout l’Hôtel de
giana, p. 278 (reprise en 1715 : tome I, p. 251-252 ; tome II, p. 65)
1705,
Grimarest, p. 19-20 Tout l’Hôtel de Rambouillet*
brûler ce que nous avons adoré, et adoré ce que nous avons brûlé. »
1801,
Moliérana, 13, p. 44 Tome II, p. 95 1705,
s avons adoré, et adoré ce que nous avons brûlé. » 1801, Moliérana,
13,
p. 44 Tome II, p. 95 1705, Grimarest, p.
oré ce que nous avons brûlé. » 1801, Moliérana, 13, p. 44 Tome
II
, p. 95 1705, Grimarest, p. 20 Un jour qu’on re
us avons brûlé. » 1801, Moliérana, 13, p. 44 Tome II, p. 95
1705,
Grimarest, p. 20 Un jour qu’on représentait les P
milieu du Parterre : « Courage, Molière ; voilà la bonne Comédie. »
1801,
Moliérana, 14, p. 44-45 Tome II, p. 95-96
e : « Courage, Molière ; voilà la bonne Comédie. » 1801, Moliérana,
14,
p. 44-45 Tome II, p. 95-96 Depuis 1673, a
; voilà la bonne Comédie. » 1801, Moliérana, 14, p. 44-45 Tome
II
, p. 95-96 Depuis 1673, année dans laquelle la
e. » 1801, Moliérana, 14, p. 44-45 Tome II, p. 95-96 Depuis
1673,
année dans laquelle la France perdit Molière, on
s Pièces de vers heureux. Voici comme ce genre s’introduisit. Tome
II
, p. 102-103 Cette Pièce faisait partie des Fêt
rnée par sa Princesse d’Élide, et ceux de la sixième par un essai des
trois
premiers actes de Tartuffe ; tout cela rendit cet
e. Ce fut même, de sa part, une galanterie assez fine, de présenter à
deux
Reines, Espagnoles de naissance, l’imitation d’un
ni, qui les fit jouer dans son pays avant de venir en France. Tome
II
, p. 109 Molière ne put faire que le premier Ac
t sévère, s’amollit pour plaire à Louis XIV. L’Auteur de Cinna fit, à
soixante-cinq
ans, cette déclaration de Psyché à l’Amour, qui p
es paroles de la Plainte Italienne. Voyez Pirame de la Serre. Tome
II
, p. 109-110 Baron, fils du fameux Baron*, Comé
n ; et elle rompit, pour ce dernier, avec son Altesse Royale. Tome
II
, p. 110 La superbe Salle des Machines, constru
it qu’aux seules représentation de Psyché, et fut abandonnée jusqu’en
1716.
On en fit usage alors pour les Ballets, dont on a
laquelle nous voyons aujourd’hui les Comédiens de la Nation. Tome
II
, p. 110 M. de la Motte104 disait que le Roman
arié, et que ce sujet eût pu seul lui faire inventer l’Opéra. Tome
II
, p. 120 Cette Pièce, très ancienne en Italie,
ux surtout, en a très bien profité dans l’Heureux Stratagème. Tome
II
, p. 169 Molière, bien moins satisfait que pers
Tome II, p. 169 Molière, bien moins satisfait que personne, des
deux
ouvrages qu’il avait joints au Ballet des Muses,
ue. Voyez les Amants Magnifiques. Voyez la Pastorale Comique. Tome
II
, p. 169-170 C’est dans la troisième Scène du S
’il se doit justice ; et qu’il en est le seul dispensateur. » Tome
II
, p. 202 Cette Comédie n’est qu’une traduction
02 Cette Comédie n’est qu’une traduction libre de la Serva amoroso
106
de M. Goldoni107, qui lui-même a pris dans le Mal
tamment le caractère de la Belle-mère, et tout le dénouement. Tome
II
, p. 202 Voici une Comédie qui a fait beaucoup
d’abomination ; et l’on trouvait rien qui ne méritait le feu. Tome
II
, p. 202 Lorsque Molière donna son Tartuffe, on
qu’il ne me sera pas permis de faire des sermons sur le Théâtre » ?
1801,
Moliérana, 21, p. 50 Tome II, p. 202-203108
pas permis de faire des sermons sur le Théâtre » ? 1801, Moliérana,
21,
p. 50 Tome II, p. 202-203108 Les trois p
des sermons sur le Théâtre » ? 1801, Moliérana, 21, p. 50 Tome
II
, p. 202-203108 Les trois premiers Actes du Ta
» ? 1801, Moliérana, 21, p. 50 Tome II, p. 202-203108 Les
trois
premiers Actes du Tartuffe avaient été représenté
aient été représentés à la sixième journée des fêtes de Versailles le
douze
mai 1664, en présence du Roi et des Reines. Le Ro
représentés à la sixième journée des fêtes de Versailles le douze mai
1664,
en présence du Roi et des Reines. Le Roi défendit
x, un grand collet111, une épée et des dentelles sur l’habit. Tome
II
, p. 203-204 Louis XIV marchait vers la Lorrain
203-204 Louis XIV marchait vers la Lorraine sur la fin de l’été de
1662.
Accoutumé, dans ses premières campagnes, à ne fai
t il sut si bien se servir dans son Tartuffe. Le Roi, en écoutant les
trois
premiers Actes de cette Comédie aux Fêtes de Vers
e Scène ; Molière l’en fit ressouvenir, et ne lui déplut pas. Tome
II
, p. 203 On a ignoré longtemps où Molière avait
s apprend à cet égard. Molière se trouvant chez le Nonce du Pape avec
deux
Ecclésiastiques, dont l’air mortifié et hypocrite
ateur, prit de-là l’idée de donner à son Imposteur le nom Tartuffe.
1801,
Moliérana, 78, p. 118-119 Tome II, p. 204
l’idée de donner à son Imposteur le nom Tartuffe. 1801, Moliérana,
78,
p. 118-119 Tome II, p. 204 Plusieurs pers
mposteur le nom Tartuffe. 1801, Moliérana, 78, p. 118-119 Tome
II
, p. 204 Plusieurs personnes ont écrit que Moli
Canevas de la Comédie de Molière, et l’ont intitulé Doctor Bacchetone
113.
Le Tartuffe était bien antérieur aux Farces Itali
ce qui a été vérifié d’une manière à ne laisser aucune doute. Tome
II
, p. 205 Molière dut à Chapelle* la connaissanc
e de cette fille célèbre. « Lorsque M. de Gourville114, qui fut nommé
vingt-quatre
heures pour succéder à Colbert*, et que nous avon
pendu en personne, comme il le fut en effigie, s’enfuit de France en
1661,
il laissa deux cassettes pleines d’argent, l’une
ne, comme il le fut en effigie, s’enfuit de France en 1661, il laissa
deux
cassettes pleines d’argent, l’une à Mademoiselle
l’âme de Gourville à un argent qui sûrement l’aurait damné ». Tome
II
, p. 205 On prétend que l’original du Tartuffe
n ample Mémoire de toutes les hypocrisies de l’Abbé Roquette. Tome
II
, p. 205 Molière, après avoir lu le Misanthrope
la préférence qu’il donnait à ce dernier ouvrage sur l’autre. Tome
II
, p. 206 Deux ans après, le Roi donna une permi
qu’il donnait à ce dernier ouvrage sur l’autre. Tome II, p. 206
Deux
ans après, le Roi donna une permission authentiqu
n coûte, je me suis repenti plusieurs fois de l’avoir fait ». Tome
II
, p. 206 « J’avais autrefois, dit Ménage*, ente
I, p. 206 « J’avais autrefois, dit Ménage*, entendu lire à Molière
trois
Actes de son Tartuffe, chez M. de Montmor*, où se
e, et qu’il n’y avait rien qui ne pût être utile au Public ». Tome
II
, p. 206-207 Le fameux Père Bourdaloue118 fut u
e ; mais, dans le fond, le plus mercenaire et le plus lâche » Tome
II
, p. 207-208 La Bruyère, en traçant le caractèr
blir ; il y a là des droits trop forts et trop inviolables. » Tome
II
, p. 208 Le changement le plus marqué qu’on ait
ent le plus marqué qu’on ait fait au Tartuffe, est à ce vers120, Acte
III
, Scène VII. Ô ciel ! pardonne-lui121 la douleur
marqué qu’on ait fait au Tartuffe, est à ce vers120, Acte III, Scène
VII
. Ô ciel ! pardonne-lui121 la douleur qu’il me do
Il y avait : Ô ciel ! pardonnez-moi, comme je lui pardonne Tome
II
, p. 208 On permit de jouer sur le Théâtre Scar
lière les joue eux-même ; et c’est ce qu’ils ne peuvent souffrir. »
1801,
Moliérana, 20, p. 49-50 Tome II, p. 208 M
x-même ; et c’est ce qu’ils ne peuvent souffrir. » 1801, Moliérana,
20,
p. 49-50 Tome II, p. 208 Molière se donna
’ils ne peuvent souffrir. » 1801, Moliérana, 20, p. 49-50 Tome
II
, p. 208 Molière se donnait beaucoup de peines
2 convalescente, qu’elle devait représenter dans le Tartuffe. Tome
II
, p. 209 La première Comédie que Piron* vit à P
ia-t-il, si cet ouvrage n’était pas fait, il ne se ferait jamais. »
1801,
Moliérana, 68, p. 104 Tome II, p. 209 Des
uvrage n’était pas fait, il ne se ferait jamais. » 1801, Moliérana,
68,
p. 104 Tome II, p. 209 Des acteurs de Pro
it, il ne se ferait jamais. » 1801, Moliérana, 68, p. 104 Tome
II
, p. 209 Des acteurs de Province jouaient dans
lui qui annonça dit : « Messieurs, vous aurez demain le Tartuffe. »
1801,
Moliérana, 19, p. 48-49 Tome II, p. 209 L
it : « Messieurs, vous aurez demain le Tartuffe. » 1801, Moliérana,
19,
p. 48-49 Tome II, p. 209 Les Camarades de
aurez demain le Tartuffe. » 1801, Moliérana, 19, p. 48-49 Tome
II
, p. 209 Les Camarades de Molière voulurent abs
Tartuffe, ce qui a toujours été depuis régulièrement exécuté. Tome
II
, p. 215-216 Une tradition constante veut que l
que cette Pièce fut représentée, Racine n’avait presque rien changé à
deux
récits admirables, qui sont dans l’Antigone de Ro
it appropriés, soit qu’il crût ne pouvoir mieux faire, que de retirer
deux
si beaux morceaux de la poussière ; soit que Moli
ux morceaux de la poussière ; soit que Molière ne lui ayant donné que
six
semaines pour achever sa Tragédie, il ne lui fût
s après, il la mit dans l’état où nous la voyons aujourd’hui. Tome
II
, p. 231125 Despréaux* distinguait ordinaireme
d’hui. Tome II, p. 231125 Despréaux* distinguait ordinairement
deux
sortes de Galimatias : le Galimatias simple et le
ecteurs. Il citait par exemple de ce dernier genre de Galimatias, ces
quatre
vers de la Tragédie de Tite et Bérénice 126 du gr
nre de Galimatias, ces quatre vers de la Tragédie de Tite et Bérénice
126
du grand Corneille. Acte premier, Scène deuxième.
erme, Que les restes d’un feu, que j’avais cru si fort, Puissent dans
quatre
jours se promettre ma mort ?127 Baron* devait f
ement, parce qu’il l’aimait ; et ensuite le pria de lui expliquer ces
quatre
vers, disant qu’il ne les entendait pas. Corneill
z-les toujours ; tel qui ne les entendra pas, les admirera ». Tome
II
, p. 303 « J’avais environ onze ans, dit M. de
entendra pas, les admirera ». Tome II, p. 303 « J’avais environ
onze
ans, dit M. de Voltaire, quand je lus tout seul,
hitryon de Molière. Je ris au point de gober à la renverse. » Tome
II
, p. 316 En annonçant cette Pièce129, faite pou
it de la représentation à l’érection de la Statue de Molière. Tome
II
, p. 318 L’Auteur Anglais, qui a traduit dans s
e charme : « Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger »
130.
Un moment après, il songe qu’il lui en coûterait
’encre ordinaire. Le traducteur a renchéri131 sur l’original. Tome
II
, p. 324-325 Molière a puisé dans cette Comédie
e enfin le plus honteux, Mon Père ? Et qui paraît le plus sot de nous
deux
? Etc.135 Tome II, p. 377-378136 Une ave
Mon Père ? Et qui paraît le plus sot de nous deux ? Etc.135 Tome
II
, p. 377-378136 Une aventure extraordinaire fo
ce châtiment devant l’Hôtel de Guénégaud où logeait Molière. Tome
II
, p. 393 1705, Grimarest, p. 138-139 Cette comé
devant l’Hôtel de Guénégaud où logeait Molière. Tome II, p. 393
1705,
Grimarest, p. 138-139 Cette comédie [Monsieur de
ivertissement au goût du peuple, qui se réjouit fort à cette pièce.
1801,
Moliérana, 89, p. 133 Tome II, p. 406 C’e
goût du peuple, qui se réjouit fort à cette pièce. 1801, Moliérana,
89,
p. 133 Tome II, p. 406 C’est par les crit
e réjouit fort à cette pièce. 1801, Moliérana, 89, p. 133 Tome
II
, p. 406 C’est par les critiques fines et judic
venir de ne pas les imiter. Préville140 disait dans les Foyers devant
cent
personnes : « Je voudrais pour tout au monde, qu’
ts. Si la première fois que cela m’arriva, un connaisseur m’eût lâché
deux
bons coups de sifflet, il m’aurait fait rentrer e
m’aurait fait rentrer en moi-même ; et je serais meilleur. » Tome
II
, p. 432 Le Roi de Prusse141 dit quelque part,
à l’une de nos Pièces modernes. Le même Prince voyait jouer le Cercle
142
par ses Comédiens : les beaux esprits Français qu
ter à Paris, pour goûter toutes les beautés du Misanthrope ». Tome
II
, p. 443 Louis XIV demanda à Racine, à Quinault
tacha au sujet de Psyché, qui obtint la préférence. La Grange-Chancel
143
avait souvent entendu dire à Racine, que le sujet
n conséquence il traita ce sujet pour le mariage de Louis XV. Tome
II
, p. 475 Le Roi du Portugal a fait traduire not
présenter à Lisbonne ; et la Pièce à eu le plus grand succès. Tome
II
, p. 475 On raconte qu’Armand144, ce fameux Act
la Scène Françoise depuis quelques années, entreprit, en buvant avec
deux
de ses camarades, de les faire pleurer avec la Fa
e, même dans les Pièces qu’ils représentent journellement ? » Tome
III
, p. 39-40 Béjart*, (Armande-Gresinde-Claire-Él
autant d’adorateurs que d’applaudissements. Elle quitta le Théâtre le
14
Octobre 1694, et mourut le 3 Novembre 1700. La De
orateurs que d’applaudissements. Elle quitta le Théâtre le 14 Octobre
1694,
et mourut le 3 Novembre 1700. La Demoiselle Béjar
audissements. Elle quitta le Théâtre le 14 Octobre 1694, et mourut le
3
Novembre 1700. La Demoiselle Béjart sa mère, qui
s. Elle quitta le Théâtre le 14 Octobre 1694, et mourut le 3 Novembre
1700.
La Demoiselle Béjart sa mère, qui avait épousé en
omédienne, jouait les Soubrettes et les rôles ridicules, et mourut en
1672.
Tome III, p. 163-164 Ducroisy*, (Philippe G
ait les Soubrettes et les rôles ridicules, et mourut en 1672. Tome
III
, p. 163-164 Ducroisy*, (Philippe Gassaud), Gen
pria un Prêtre de ses amis de faire la cérémonie à sa place. Tome
III
, p. 230 Hubert* (André) Acteur François, mort
lace. Tome III, p. 230 Hubert* (André) Acteur François, mort en
17
…. Il était l’original de plusieurs rôles qu’il re
mme. Celui qu’il représentait dans les Femmes Savantes, Mde. Jourdain
148,
dans le Bourgeois Gentilhomme ; et Mde. Jobin 149
tes, Mde. Jourdain 148, dans le Bourgeois Gentilhomme ; et Mde. Jobin
149,
dans la Devineresse 150, lui ont attiré l’applaud
ans le Bourgeois Gentilhomme ; et Mde. Jobin 149, dans la Devineresse
150,
lui ont attiré l’applaudissement de tout Paris. I
s de femme, que Hubert* jouait, furent donnés à Mlle Beauval. Tome
III
, p. 254 La Grange151, (Charles Varlet, sieur d
rcs. On prétend qu’il laissa plus de cent-mille écus de bien. Tome
III
, p. 340-349 Molière (Jean-Baptiste Poquelin, s
ère (Jean-Baptiste Poquelin, si célèbre sous le nom de) né à Paris en
1620,
mort en 1673, était fils et petit-fils de Valet-d
iste Poquelin, si célèbre sous le nom de) né à Paris en 1620, mort en
1673,
était fils et petit-fils de Valet-de-chambre Tapi
ait fils et petit-fils de Valet-de-chambre Tapissier du Roi. Il passa
quatorze
ans dans la maison paternelle, où l’on ne songea
es au Collège de Clermont. Il remplit cette carrière dans l’espace de
cinq
ans, pendant lesquels il contracta une étroite li
ans la plupart de ses ouvrages. Le voyage de Louis XIII à Narbonne en
1641,
interrompit des occupations d’autant plus agréabl
aient à peine le nom de Comédies, telles que le Docteur amoureux, les
Trois
Docteurs Rivaux, etc. Molière les a probablement
lle du Palais Royal. Enfin sa Troupe fut arrêtée au service du Roi en
1665
; et ce fut alors, que l’on vit régner le vrai go
urs petites Farces, comme le Docteur amoureux, le Docteur pédant, les
Trois
Docteurs Rivaux, le Maître d’École, le Médecin vo
ter de bonnes lois, se soumettent eux-mêmes à d’anciens abus. Tome
III
, p. 344 Tantôt Plaute*, tantôt Térence*, Toujo
ours Molière cependant : Quel homme ! Avouons que la France En perdit
trois
, en le perdant. Tome III, p. 344 Molière ét
homme ! Avouons que la France En perdit trois, en le perdant. Tome
III
, p. 344 Molière étant mort, les Comédiens se d
errement serait fait sans pompe et sans bruit. Il se fit en effet par
deux
Prêtres qui accompagnent le corps sans chanter ;
oi ! L’on refuse la sépulture à un homme qui mérite des Autels ! ».
1801,
Moliérana, 50, p. 83-85 Tome III, p. 344-345
la sépulture à un homme qui mérite des Autels ! ». 1801, Moliérana,
50,
p. 83-85 Tome III, p. 344-345, 347 1742,
qui mérite des Autels ! ». 1801, Moliérana, 50, p. 83-85 Tome
III
, p. 344-345, 347 1742, Bolaeana, p. 35 Molière
utels ! ». 1801, Moliérana, 50, p. 83-85 Tome III, p. 344-345,
347
1742, Bolaeana, p. 35 Molière récitait en Comé
». 1801, Moliérana, 50, p. 83-85 Tome III, p. 344-345, 347
1742,
Bolaeana, p. 35 Molière récitait en Comédien sur
de Molière, et qui avait joué le rôle d’une des Grâces dans Psyché en
1671,
a donné ce portrait de Molière. « Il n’était ni t
enfants, pour tirer des conjectures de leurs mouvements naturels. »
1801,
Moliérana, 1, p. 33 Tome III, p. 345-346
er des conjectures de leurs mouvements naturels. » 1801, Moliérana,
1,
p. 33 Tome III, p. 345-346 À peine Molièr
de leurs mouvements naturels. » 1801, Moliérana, 1, p. 33 Tome
III
, p. 345-346 À peine Molière fut mort, que Pari
agnard, qui tout admire, N’ont pas lu tes écrits en vain : Tous
deux
se sont instruits, en ne pensant qu’a rire. Enfin
, que tu peignis si bien, Tu les avais repris de leur ingratitude.
1801,
Moliérana, 52, p. 86 Tome III, p. 346 169
si bien, Tu les avais repris de leur ingratitude. 1801, Moliérana,
52,
p. 86 Tome III, p. 346 1694, Arliquiniana
s repris de leur ingratitude. 1801, Moliérana, 52, p. 86 Tome
III
, p. 346 1694, Arliquiniana, p. 13-14 Épitaphe
r ingratitude. 1801, Moliérana, 52, p. 86 Tome III, p. 346
1694,
Arliquiniana, p. 13-14 Épitaphe de Molière par l
isent Plaute* et Térence* ; Et cependant le seul Molière y gît. Leurs
trois
talents ne formaient qu’un esprit, Dont le bel Ai
selon toute apparence, Térence* et Plaute* et Molière sont morts.
1801,
Moliérana, 98, p. 142 Tome III, p. 346 Un
rence, Térence* et Plaute* et Molière sont morts. 1801, Moliérana,
98,
p. 142 Tome III, p. 346 Un Abbé présenta
aute* et Molière sont morts. 1801, Moliérana, 98, p. 142 Tome
III
, p. 346 Un Abbé présenta à M. le Prince l’Épit
à M. le Prince l’Épitaphe suivante, dont on a parlé au bas de la page
507,
du Second Tome de cet ouvrage155. Ci-gît q
, Trouva si belle la copie Qu’elle en fit un original.
1801,
Moliérana, 96, p. 140-141 Tome III, p. 346-3
belle la copie Qu’elle en fit un original. 1801, Moliérana,
96,
p. 140-141 Tome III, p. 346-347 Molière a
elle en fit un original. 1801, Moliérana, 96, p. 140-141 Tome
III
, p. 346-347 Molière avait un grand-père qui l’
omédien que Bellerose ». Cette réponse frappa le jeune homme. Tome
III
, p. 347 Le père de Molière, fâché du parti que
ien plus agréable que celle d’un homme qui tient des Pensionnaires.
1801,
Moliérana, 17, p. 47-48 Tome III, p. 347
que celle d’un homme qui tient des Pensionnaires. 1801, Moliérana,
17,
p. 47-48 Tome III, p. 347 1715, Ménagiana
ui tient des Pensionnaires. 1801, Moliérana, 17, p. 47-48 Tome
III
, p. 347 1715, Ménagiana, tome 4, p. 173-174 On
nsionnaires. 1801, Moliérana, 17, p. 47-48 Tome III, p. 347
1715,
Ménagiana, tome 4, p. 173-174 On était assemblé p
oliérana, 17, p. 47-48 Tome III, p. 347 1715, Ménagiana, tome
4,
p. 173-174 On était assemblé pour la seconde repr
artuffe ; mais M. le Premier Président ne veut pas qu’on le joue ».
1801,
Moliérana, 18, p. 48 Tome III, p. 347-348
le Premier Président ne veut pas qu’on le joue ». 1801, Moliérana,
18,
p. 48 Tome III, p. 347-348 Quoique Molièr
t ne veut pas qu’on le joue ». 1801, Moliérana, 18, p. 48 Tome
III
, p. 347-348 Quoique Molière fût très agréable
sieurs endroit, sur ce qui se passait dans sa propre famille. Tome
III
, p. 348 1705, Grimarest, p. 85-67 Baron* annon
sur ce qui se passait dans sa propre famille. Tome III, p. 348
1705,
Grimarest, p. 85-67 Baron* annonça un jour à Moli
oc ; c’est un honnête-homme. Que jugez-vous qu’il faille lui donner ?
Quatre
Pistoles, dit Baron*, après avoir hésité quelques
a Molière, je vais les lui donner pour moi ; donnez-lui pour vous ces
vingt
autres que voilà ». Mondorge parut ; Molière l’em
it, un magnifique habit de Théâtre, pour jouer les rôles Tragiques.
1801,
Moliérana, 45, p. 77-78 Tome III, p. 348
habit de Théâtre, pour jouer les rôles Tragiques. 1801, Moliérana,
45,
p. 77-78 Tome III, p. 348 Le Grand-Condé*
jouer les rôles Tragiques. 1801, Moliérana, 45, p. 77-78 Tome
III
, p. 348 Le Grand-Condé* disait que Corneille é
ourrait dire que Molière est le Bréviaire de tous les hommes. Tome
III
, p. 349 Louis XIV, se bottant pour aller à la
épondait Despréaux, à qui il n’échappe jamais une sottise ? » Tome
III
, p. 349 Molière était désigné pour remplir la
remplir. Ce fait est attesté par une note de l’Académie Française.
1801,
Moliérana, 5, p. 37 Tome III, p. 436 Deux
est attesté par une note de l’Académie Française. 1801, Moliérana,
5,
p. 37 Tome III, p. 436 Deux ou trois ans
e note de l’Académie Française. 1801, Moliérana, 5, p. 37 Tome
III
, p. 436 Deux ou trois ans après la mort de Mol
démie Française. 1801, Moliérana, 5, p. 37 Tome III, p. 436
Deux
ou trois ans après la mort de Molière, il y eut u
ançaise. 1801, Moliérana, 5, p. 37 Tome III, p. 436 Deux ou
trois
ans après la mort de Molière, il y eut un hiver t
la mort de Molière, il y eut un hiver très-rude. Sa veuve fit porter
cent
voies159 de bois sur la tombe de son mari, et les
chauffer les pauvres du quartier. La grande chaleur du feu fendit en
deux
la pierre qui couvrait la tombe. Tome III, p.
haleur du feu fendit en deux la pierre qui couvrait la tombe. Tome
III
, p. 467 Somaise*, (Antoine Bodeau de) vivait d
cès des précieuses ; il mit en Vers les Précieuses ridicules. Tome
III
, p. 490 Un Acteur, jouant le rôle d’Harpagon d
tomber en courant, et en criant au voleur, à la Scène de la Cassette
160.
Loin de chercher à se relever, il eut la présence
fut persuadé qu’il était tombé exprès, pour mieux rendre son jeu.
1.
Coquille : représentions (Anecdotes Dramatiques)
Coquille : représentions (Anecdotes Dramatiques) → représentations.
2.
??? 3. Érasme, Didier (Rotterdam v. 1469 – Bâl
: représentions (Anecdotes Dramatiques) → représentations. 2. ???
3.
Érasme, Didier (Rotterdam v. 1469 – Bâle 1536) :
tiques) → représentations. 2. ??? 3. Érasme, Didier (Rotterdam v.
1469
– Bâle 1536) : humaniste hollandais. Fils naturel
présentations. 2. ??? 3. Érasme, Didier (Rotterdam v. 1469 – Bâle
1536
) : humaniste hollandais. Fils naturel, il entra a
a vie n’est ensuite que celles de ses voyages et de ses œuvres. Entre
1500
et 1506, il écrivit les Adages et le Manuel du ch
est ensuite que celles de ses voyages et de ses œuvres. Entre 1500 et
1506,
il écrivit les Adages et le Manuel du chevalier c
ges et le Manuel du chevalier chrétien. Lors de son séjour en Italie (
1506-1509
), il fréquenta Manuce et apprit le grec, qu’il en
lement son Novum Testamentum et la première édition des Colloques. En
1521,
il s’établit à Bâle où, dans la période de confli
sarcienda Ecclesiae concerdia. […]. (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 4. Chapuzeau, 1661, L’Académie des femmes : c
a Ecclesiae concerdia. […]. (Le Petit Robert des noms propres 2007).
4.
Chapuzeau, 1661, L’Académie des femmes : comédie
cerdia. […]. (Le Petit Robert des noms propres 2007). 4. Chapuzeau,
1661,
L’Académie des femmes : comédie en 3 actes et en
opres 2007). 4. Chapuzeau, 1661, L’Académie des femmes : comédie en
3
actes et en vers. 5. Aquin, Antoine d’ (1620 –
puzeau, 1661, L’Académie des femmes : comédie en 3 actes et en vers.
5.
Aquin, Antoine d’ (1620 – Vichy 1696) : Médecin
e des femmes : comédie en 3 actes et en vers. 5. Aquin, Antoine d’ (
1620
– Vichy 1696) : Médecin de Marie-Thérèse d’Autric
: comédie en 3 actes et en vers. 5. Aquin, Antoine d’ (1620 – Vichy
1696
) : Médecin de Marie-Thérèse d’Autriche, puis de L
e-Thérèse d’Autriche, puis de Louis XIV lui-même, il fut disgracié en
1693.
(Le petit robert des noms propres 2007). 6. Dac
lui-même, il fut disgracié en 1693. (Le petit robert des noms propres
2007
). 6. Dacier, Anne Lefebvre, Mme(Preuilly-sur-Cl
, il fut disgracié en 1693. (Le petit robert des noms propres 2007).
6.
Dacier, Anne Lefebvre, Mme(Preuilly-sur-Claise 1
ms propres 2007). 6. Dacier, Anne Lefebvre, Mme(Preuilly-sur-Claise
1647
– Paris 1720) : érudite française, épouse d’André
07). 6. Dacier, Anne Lefebvre, Mme(Preuilly-sur-Claise 1647 – Paris
1720
) : érudite française, épouse d’André Dacier, elle
econde querelle des Anciens et des Modernes. Traductrice de L’Iliade (
1699
) et de L’Odyssée (1708) d’Homère, elle s’opposa a
iens et des Modernes. Traductrice de L’Iliade (1699) et de L’Odyssée (
1708
) d’Homère, elle s’opposa aux libres adaptations d
pour les Anciens dans son traité des Causes de la corruption du goût (
1714
). (Le Petit Robert des noms propres 2007). 7. D
es de la corruption du goût (1714). (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 7. Dolce, Ludovico (Venise, 1508 – 1568) : au
corruption du goût (1714). (Le Petit Robert des noms propres 2007).
7.
Dolce, Ludovico (Venise, 1508 – 1568) : auteur p
Le Petit Robert des noms propres 2007). 7. Dolce, Ludovico (Venise,
1508
– 1568) : auteur polygraphe, un grammairien et un
t Robert des noms propres 2007). 7. Dolce, Ludovico (Venise, 1508 –
1568
) : auteur polygraphe, un grammairien et un théori
lygraphe, un grammairien et un théoricien de la peinture italienne.
8.
Coquille : Il Merito → Il Marito. Dolce, Lodovic
e italienne. 8. Coquille : Il Merito → Il Marito. Dolce, Lodovico,
1545,
Il Marito : comédie en 5 actes et en vers. 9.
Il Merito → Il Marito. Dolce, Lodovico, 1545, Il Marito : comédie en
5
actes et en vers. 9. Dryden, John Aldwinkle (N
Dolce, Lodovico, 1545, Il Marito : comédie en 5 actes et en vers.
9.
Dryden, John Aldwinkle (Northamptonshire, 1631 –
n 5 actes et en vers. 9. Dryden, John Aldwinkle (Northamptonshire,
1631
– Londres, 1700) : auteur dramatique anglais. Poè
vers. 9. Dryden, John Aldwinkle (Northamptonshire, 1631 – Londres,
1700
) : auteur dramatique anglais. Poète-lauréat, adap
te-lauréat, adaptateur et librettiste (King Arthur avec Purcell). Dès
1663,
il instaure la comédie gaie, développant de spiri
coquettes autour du contrat moral entre époux (le Mariage à la mode,
1671
). Il remanie Molière dans Sir Martin Mar-all (166
Mariage à la mode, 1671). Il remanie Molière dans Sir Martin Mar-all (
1667
), crée plusieurs tragédies à grand spectacle d’un
ïque : The Conquest of Granada (La Conquête de Grenade), Aureng-Zebe (
1675
). Vrai Boileau anglais dans son Essai sur la poés
ar leur plume, Mrs. Behn et Mrs. Mary Aix. (DET, A-M Imbert, p. 532)
10.
Montagu, Lady Mary Wortley (26 mai 1689 – 21 aoû
Mary Aix. (DET, A-M Imbert, p. 532) 10. Montagu, Lady Mary Wortley (
26
mai 1689 – 21 août 1762) : écrivaine britannique.
x. (DET, A-M Imbert, p. 532) 10. Montagu, Lady Mary Wortley (26 mai
1689
– 21 août 1762) : écrivaine britannique. 11. Ni
, A-M Imbert, p. 532) 10. Montagu, Lady Mary Wortley (26 mai 1689 –
21
août 1762) : écrivaine britannique. 11. Nicole
bert, p. 532) 10. Montagu, Lady Mary Wortley (26 mai 1689 – 21 août
1762
) : écrivaine britannique. 11. Nicole (Bourgeois
y Mary Wortley (26 mai 1689 – 21 août 1762) : écrivaine britannique.
11.
Nicole (Bourgeois gentilhomme) : servante. 12.
ivaine britannique. 11. Nicole (Bourgeois gentilhomme) : servante.
12.
Fielding, Henry Sharpham (Park, Somersetshire, 1
mme) : servante. 12. Fielding, Henry Sharpham (Park, Somersetshire,
1705
– Lisbonne, 1754) : écrivain anglais, auteur d’un
12. Fielding, Henry Sharpham (Park, Somersetshire, 1705 – Lisbonne,
1754
) : écrivain anglais, auteur d’une trentaine de co
une pochade sur la comédie contemporaine, comme Tom Thumb (Tom Pouce,
1730
) et The Covent Garden Tragedy, des satires de la
e, opéra farce, préfigurant la « revue ». (DET, A-M Imbert, p. 657).
13.
Riccoboni, Louis (Modène, 1674 ou 1677 – Paris,
préfigurant la « revue ». (DET, A-M Imbert, p. 657). 13. Riccoboni,
Louis
(Modène, 1674 ou 1677 – Paris, 5 décembre 1753) :
« revue ». (DET, A-M Imbert, p. 657). 13. Riccoboni, Louis (Modène,
1674
ou 1677 – Paris, 5 décembre 1753) : acteur célèbr
». (DET, A-M Imbert, p. 657). 13. Riccoboni, Louis (Modène, 1674 ou
1677
– Paris, 5 décembre 1753) : acteur célèbre, auteu
mbert, p. 657). 13. Riccoboni, Louis (Modène, 1674 ou 1677 – Paris,
5
décembre 1753) : acteur célèbre, auteur et critiq
57). 13. Riccoboni, Louis (Modène, 1674 ou 1677 – Paris, 5 décembre
1753
) : acteur célèbre, auteur et critique dramatique.
5 décembre 1753) : acteur célèbre, auteur et critique dramatique. En
1716,
le Régent donne à sa troupe de comédiens la salle
: Riccoboni se fait appelait Lelio, et sa femme, Hélène Flaminia. En
1729,
il est à la cour de Parme, puis revient à Paris e
Flaminia. En 1729, il est à la cour de Parme, puis revient à Paris en
1731,
ne paraît plus sur scène, mais il écrit sur le th
écrit sur le théâtre, en italien et en français. (DLF XVIII p. 1119)
14.
Arioste, Ludovico Ariosto dit l’ (Reggio Emilia
XVIII p. 1119) 14. Arioste, Ludovico Ariosto dit l’ (Reggio Emilia
1474
– Ferrare 1533) : poète dramatique italien. Il fa
14. Arioste, Ludovico Ariosto dit l’ (Reggio Emilia 1474 – Ferrare
1533
) : poète dramatique italien. Il fait à Ferrare de
ctions officielles dont la surintendance aux spectacles de la cour en
1525.
L’éclat de Roland furieux (Orlando Furioso, 1516
acles de la cour en 1525. L’éclat de Roland furieux (Orlando Furioso,
1516
et 1532) offusque le reste de son œuvre. Pour le
la cour en 1525. L’éclat de Roland furieux (Orlando Furioso, 1516 et
1532
) offusque le reste de son œuvre. Pour le théâtre,
16 et 1532) offusque le reste de son œuvre. Pour le théâtre, il écrit
cinq
comédies, dont une inachevée. Dans le prologue de
es, dont une inachevée. Dans le prologue de la première, La Cassaria (
1508,
en prose ; 1529, en vers), il revendique la nouve
hevée. Dans le prologue de la première, La Cassaria (1508, en prose ;
1529,
en vers), il revendique la nouveauté absolue de s
ièce par rapport aux comédiens antiques. [...]. Il en va de même pour
I
Suppositi (1509, en prose ; 1532, en vers). Il Ne
ort aux comédiens antiques. [...]. Il en va de même pour I Suppositi (
1509,
en prose ; 1532, en vers). Il Negromante (composé
antiques. [...]. Il en va de même pour I Suppositi (1509, en prose ;
1532,
en vers). Il Negromante (composé en 1510, achevée
Suppositi (1509, en prose ; 1532, en vers). Il Negromante (composé en
1510,
achevée en 1520) s’inscrit entièrement dans la cu
en prose ; 1532, en vers). Il Negromante (composé en 1510, achevée en
1520
) s’inscrit entièrement dans la culture de la Rena
tre « la vanité des superstitions de la magie ». La Lena (carnaval de
1528
) fait vivre le monde authentique des faubourgs de
tire est vive, mais le style très maîtrisé en tempère l’âpreté. (DET,
V.
Tasca, p. 112). 15. Frosine ( L’Avare) : Femme
le style très maîtrisé en tempère l’âpreté. (DET, V. Tasca, p. 112).
15.
Frosine ( L’Avare) : Femme d’intrigue 16. Acte
(DET, V. Tasca, p. 112). 15. Frosine ( L’Avare) : Femme d’intrigue
16.
Acte II, scène 6. 17. Harpagon ( L’Avare) : Pè
asca, p. 112). 15. Frosine ( L’Avare) : Femme d’intrigue 16. Acte
II
, scène 6. 17. Harpagon ( L’Avare) : Père de Clé
12). 15. Frosine ( L’Avare) : Femme d’intrigue 16. Acte II, scène
6.
17. Harpagon ( L’Avare) : Père de Cléante et d’
15. Frosine ( L’Avare) : Femme d’intrigue 16. Acte II, scène 6.
17.
Harpagon ( L’Avare) : Père de Cléante et d’Élise
on ( L’Avare) : Père de Cléante et d’Élise, et amoureux de Marianne.
18.
Béjart, Louis dit L’Éguisé (1630 – 1678) : acteu
: Père de Cléante et d’Élise, et amoureux de Marianne. 18. Béjart,
Louis
dit L’Éguisé (1630 – 1678) : acteur. On ne peut d
t d’Élise, et amoureux de Marianne. 18. Béjart, Louis dit L’Éguisé (
1630
– 1678) : acteur. On ne peut déterminer la date o
se, et amoureux de Marianne. 18. Béjart, Louis dit L’Éguisé (1630 –
1678
) : acteur. On ne peut déterminer la date où il en
lière ; en tout cas, il est du nombre des acteurs qui s’installent en
1658
dans la salle du Petit-Bourbon. Il boitait, et ne
secondaires, sauf dans l’Avare où il représentait La Flèche. En mars
1670,
il prit sa retraite avec une pension de 1000 livr
tait La Flèche. En mars 1670, il prit sa retraite avec une pension de
1000
livres, et mourut le 13 octobre 1678. (DLF XVII p
70, il prit sa retraite avec une pension de 1000 livres, et mourut le
13
octobre 1678. (DLF XVII p. 129) 19. La Flèche (
sa retraite avec une pension de 1000 livres, et mourut le 13 octobre
1678.
(DLF XVII p. 129) 19. La Flèche ( L’Avare) : Va
sion de 1000 livres, et mourut le 13 octobre 1678. (DLF XVII p. 129)
19.
La Flèche ( L’Avare) : Valet de Cléante. 20. L
78. (DLF XVII p. 129) 19. La Flèche ( L’Avare) : Valet de Cléante.
20.
L’Avare, Acte I, scène 3. 21. Lucile ( Le Bour
9) 19. La Flèche ( L’Avare) : Valet de Cléante. 20. L’Avare, Acte
I
, scène 3. 21. Lucile ( Le Bourgeois gentilhomme
La Flèche ( L’Avare) : Valet de Cléante. 20. L’Avare, Acte I, scène
3.
21. Lucile ( Le Bourgeois gentilhomme) : fille
lèche ( L’Avare) : Valet de Cléante. 20. L’Avare, Acte I, scène 3.
21.
Lucile ( Le Bourgeois gentilhomme) : fille de M.
3. 21. Lucile ( Le Bourgeois gentilhomme) : fille de M. Jourdain.
22.
Cléonte ( Le Bourgeois gentilhomme) : amoureux d
ain. 22. Cléonte ( Le Bourgeois gentilhomme) : amoureux de Lucile.
23.
Covielle ( Le Bourgeois gentilhomme) : valet de
cile. 23. Covielle ( Le Bourgeois gentilhomme) : valet de Cléonte.
24.
Montpensier, Anne Marie Louise d’Orléans, duches
rie Louise d’Orléans, duchesse de, dite la Grande Mademoiselle (Paris
1627
– id. 1693) : fille de Gaston d’Orléans et de Mar
d’Orléans, duchesse de, dite la Grande Mademoiselle (Paris 1627 – id.
1693
) : fille de Gaston d’Orléans et de Marie de Bourb
e pour défendre Condé, lors de la bataille du faubourg Saint-Antoine (
1652
). Elle était une des plus riches héritières d’Eur
mariage qui échouèrent tous et finit par épouser secrètement Lauzun (
1681
) dont elle se sépara bientôt. Elle a laissé des M
ientôt. Elle a laissé des Mémoires. (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 25. Il Ritratto ou Arlichino cornuto per opi
lle a laissé des Mémoires. (Le Petit Robert des noms propres 2007).
25.
Il Ritratto ou Arlichino cornuto per opinione (L
ortrait ou Arlequin cocu imaginaire) : canevas italien en prose et en
trois
actes. Comédie qui n’a pas été imprimé. 26. Sel
italien en prose et en trois actes. Comédie qui n’a pas été imprimé.
26.
Selon la notice de Claude Bourqui et Georges For
pléiade, Neufvillaine est un homme de paille, un personnage fictif.
27.
Madame Pernelle ( Tartuffe) : mère d’Orgon. 28.
personnage fictif. 27. Madame Pernelle ( Tartuffe) : mère d’Orgon.
28.
Madame Jourdain ( Bourgeois gentilhomme) : femme
dame Jourdain ( Bourgeois gentilhomme) : femme de Monsieur Jourdain.
29.
Madame de Sotenville ( George Dandin) : femme de
me de Sotenville ( George Dandin) : femme de Monsieur de Sotenville.
30.
Scène 5. Selon la note 6 de la notice de Georges
ville ( George Dandin) : femme de Monsieur de Sotenville. 30. Scène
5.
Selon la note 6 de la notice de Georges Forestier
ndin) : femme de Monsieur de Sotenville. 30. Scène 5. Selon la note
6
de la notice de Georges Forestier et Claude Bourq
. La comtesse ignore l’existence de l’auteur latin homonyme (v.40-103
av. J.-C.
) fort connu pour ses épigrammes licencieuses dont
de Marolles avait donné une traduction destinée au public mondain en
1655,
et Tibaudier le situe mal ou le confond. » (p. 17
ondain en 1655, et Tibaudier le situe mal ou le confond. » (p. 1708)
31.
Denise de la Fontaine, Marquise de Villarceaux,
ne de la Fontaine, seigneur d’Esches et d’Orgerus. Elle fut mariée le
8
mai 1643 à Louis de Mornay (1619-1691), militaire
la Fontaine, seigneur d’Esches et d’Orgerus. Elle fut mariée le 8 mai
1643
à Louis de Mornay (1619-1691), militaire et court
Esches et d’Orgerus. Elle fut mariée le 8 mai 1643 à Louis de Mornay (
1619-1691
), militaire et courtisan. (Moreri, 1759). 32. T
1643 à Louis de Mornay (1619-1691), militaire et courtisan. (Moreri,
1759
). 32. Traduction : « Quel fut le successeur de
Louis de Mornay (1619-1691), militaire et courtisan. (Moreri, 1759).
32.
Traduction : « Quel fut le successeur de Belus,
Traduction : « Quel fut le successeur de Belus, roi des Assyriens ?
33.
Selon Clément et de Laporte, la comédie joué est
édie en un Acte et en prose dont la première représentation serait de
1689
et la première publication de 1694. 34. ??? 35.
première représentation serait de 1689 et la première publication de
1694.
34. ??? 35. ??? 36. Voisenon, 1746, La Coquet
re représentation serait de 1689 et la première publication de 1694.
34.
??? 35. ??? 36. Voisenon, 1746, La Coquette fi
entation serait de 1689 et la première publication de 1694. 34. ???
35.
??? 36. Voisenon, 1746, La Coquette fixée : com
serait de 1689 et la première publication de 1694. 34. ??? 35. ???
36.
Voisenon, 1746, La Coquette fixée : comédie en 3
et la première publication de 1694. 34. ??? 35. ??? 36. Voisenon,
1746,
La Coquette fixée : comédie en 3 actes et en vers
34. ??? 35. ??? 36. Voisenon, 1746, La Coquette fixée : comédie en
3
actes et en vers, avec un divertissement, au théâ
e en 3 actes et en vers, avec un divertissement, au théâtre italien.
37.
Chappuzeau, 1663, La Dame d’intrigue ou le riche
n vers, avec un divertissement, au théâtre italien. 37. Chappuzeau,
1663,
La Dame d’intrigue ou le riche vilain : comédie e
Chappuzeau, 1663, La Dame d’intrigue ou le riche vilain : comédie en
3
actes et en vers. 38. Chappuzeau, Samuel (Paris
Dame d’intrigue ou le riche vilain : comédie en 3 actes et en vers.
38.
Chappuzeau, Samuel (Paris, 1625 – Paris, 1701) :
ain : comédie en 3 actes et en vers. 38. Chappuzeau, Samuel (Paris,
1625
– Paris, 1701) : sa famille était protestante, or
en 3 actes et en vers. 38. Chappuzeau, Samuel (Paris, 1625 – Paris,
1701
) : sa famille était protestante, originaire du Po
chesse de Hesse-Cassel, correcteur d’imprimerie et professeur à Lyon (
1651
), précepteur de Guillaume d’Orange, citoyen de Ge
on à Paris, pour finir gouverneur des pages à la cour du duc de Zell (
1682
). Chargé d’une nombreuse famille, avec peu de res
mbreux renseignements sur le mode de vie des comédiens. Il traite : «
I
. De l’Usage de la comédie, II. Des auteurs qui so
mode de vie des comédiens. Il traite : « I. De l’Usage de la comédie,
II
. Des auteurs qui soutiennent le théâtre, III. De
De l’Usage de la comédie, II. Des auteurs qui soutiennent le théâtre,
III
. De la conduite des comédiens. » (DLF XVII p. 272
le théâtre, III. De la conduite des comédiens. » (DLF XVII p. 272).
39.
Secchi, Niccolò : Dramaturge italien du XVIe siè
p. 272). 39. Secchi, Niccolò : Dramaturge italien du XVIe siècle.
40.
Secchi, 1581, L’interesse (La Filia creduta Masc
. Secchi, Niccolò : Dramaturge italien du XVIe siècle. 40. Secchi,
1581,
L’interesse (La Filia creduta Maschio) : comédie.
40. Secchi, 1581, L’interesse (La Filia creduta Maschio) : comédie.
41.
Donneau de Visé, Le Mercure galant : revue franç
41. Donneau de Visé, Le Mercure galant : revue française fondée en
1672.
42. Straparola, Giovanni Francesco (vers 1480
onneau de Visé, Le Mercure galant : revue française fondée en 1672.
42.
Straparola, Giovanni Francesco (vers 1480 – 1557
française fondée en 1672. 42. Straparola, Giovanni Francesco (vers
1480
– 1557) Straparola, 1550–1553, Les Nuits facétie
se fondée en 1672. 42. Straparola, Giovanni Francesco (vers 1480 –
1557
) Straparola, 1550–1553, Les Nuits facétieuses :
42. Straparola, Giovanni Francesco (vers 1480 – 1557) Straparola,
1550
–1553, Les Nuits facétieuses : ouvrage composé de
Straparola, Giovanni Francesco (vers 1480 – 1557) Straparola, 1550–
1553,
Les Nuits facétieuses : ouvrage composé de 75 nou
7) Straparola, 1550–1553, Les Nuits facétieuses : ouvrage composé de
75
nouvelles. 43. ??? 44. L’École des femmes, Ag
1550–1553, Les Nuits facétieuses : ouvrage composé de 75 nouvelles.
43.
??? 44. L’École des femmes, Agnès : Jeune fille
, Les Nuits facétieuses : ouvrage composé de 75 nouvelles. 43. ???
44.
L’École des femmes, Agnès : Jeune fille innocent
École des femmes, Agnès : Jeune fille innocente élevée par Arnolphe.
45.
Acte I, scène 1, vers 175-182. 46. La Mothe Le
femmes, Agnès : Jeune fille innocente élevée par Arnolphe. 45. Acte
I
, scène 1, vers 175-182. 46. La Mothe Le Vayer,
gnès : Jeune fille innocente élevée par Arnolphe. 45. Acte I, scène
1,
vers 175-182. 46. La Mothe Le Vayer, François d
eune fille innocente élevée par Arnolphe. 45. Acte I, scène 1, vers
175-182.
46. La Mothe Le Vayer, François de (Paris, 1588
innocente élevée par Arnolphe. 45. Acte I, scène 1, vers 175-182.
46.
La Mothe Le Vayer, François de (Paris, 1588 – 16
, scène 1, vers 175-182. 46. La Mothe Le Vayer, François de (Paris,
1588
– 1672) : philosophe. Il était fils d’un magistra
1, vers 175-182. 46. La Mothe Le Vayer, François de (Paris, 1588 –
1672
) : philosophe. Il était fils d’un magistrat, auqu
672) : philosophe. Il était fils d’un magistrat, auquel il succéda en
1625.
Mais il abandonna bientôt sa charge pour se consa
tude. Esprit d’une curiosité universelle, il fut reçu à l’Académie en
1639,
et comme il avait publié en 1640 un livre intitul
rselle, il fut reçu à l’Académie en 1639, et comme il avait publié en
1640
un livre intitulé : De l’Instruction de M. le Dau
qu’il lui fit faire la décidèrent à le placer auprès du jeune roi, de
1652
à 1660. (DLF XVII, p. 689). 47. Straton : philo
ui fit faire la décidèrent à le placer auprès du jeune roi, de 1652 à
1660.
(DLF XVII, p. 689). 47. Straton : philosophe gr
à le placer auprès du jeune roi, de 1652 à 1660. (DLF XVII, p. 689).
47.
Straton : philosophe grec péripatéticien (Lampsa
. Straton : philosophe grec péripatéticien (Lampsaque ? - Athènes ? -
268
). On l’appela le Physicien, car au Lycée dont il
. On l’appela le Physicien, car au Lycée dont il fut le directeur de -
288
à -268, il orienta les recherches et l’enseigneme
appela le Physicien, car au Lycée dont il fut le directeur de -288 à -
268,
il orienta les recherches et l’enseignement surto
dans l’explication des phénomènes. (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 48. Boccace (1349-1253) Le Décaméron. 49. V
explication des phénomènes. (Le Petit Robert des noms propres 2007).
48.
Boccace (1349-1253) Le Décaméron. 49. Voisenon
s phénomènes. (Le Petit Robert des noms propres 2007). 48. Boccace (
1349-1253
) Le Décaméron. 49. Voisenon (1739) L’École du M
bert des noms propres 2007). 48. Boccace (1349-1253) Le Décaméron.
49.
Voisenon (1739) L’École du Monde : comédie en 1
ropres 2007). 48. Boccace (1349-1253) Le Décaméron. 49. Voisenon (
1739
) L’École du Monde : comédie en 1 acte et en vers
53) Le Décaméron. 49. Voisenon (1739) L’École du Monde : comédie en
1
acte et en vers libre. 50. 1674, L’Ombre de Mol
isenon (1739) L’École du Monde : comédie en 1 acte et en vers libre.
50.
1674, L’Ombre de Molière : comédie en 1 acte et
n (1739) L’École du Monde : comédie en 1 acte et en vers libre. 50.
1674,
L’Ombre de Molière : comédie en 1 acte et en pros
1 acte et en vers libre. 50. 1674, L’Ombre de Molière : comédie en
1
acte et en prose. 51. Voisenon, Claude-Henri de
bre. 50. 1674, L’Ombre de Molière : comédie en 1 acte et en prose.
51.
Voisenon, Claude-Henri de Fusée de, Comte de Voi
on, Claude-Henri de Fusée de, Comte de Voisenon dit Abbé de Voisenon (
1708
– 1775), abbé du Jard et homme de lettres. (Wikip
ude-Henri de Fusée de, Comte de Voisenon dit Abbé de Voisenon (1708 –
1775
), abbé du Jard et homme de lettres. (Wikipédia).
isenon (1708 – 1775), abbé du Jard et homme de lettres. (Wikipédia).
52.
Larivey, 1579, Les Esprits : comédie en 5 actes
1775), abbé du Jard et homme de lettres. (Wikipédia). 52. Larivey,
1579,
Les Esprits : comédie en 5 actes et en prose. 53
e lettres. (Wikipédia). 52. Larivey, 1579, Les Esprits : comédie en
5
actes et en prose. 53. Regnard, Jean-François (
. 52. Larivey, 1579, Les Esprits : comédie en 5 actes et en prose.
53.
Regnard, Jean-François (1700) Le Retour imprévu
prits : comédie en 5 actes et en prose. 53. Regnard, Jean-François (
1700
) Le Retour imprévu : comédie en 1 acte et en pros
e. 53. Regnard, Jean-François (1700) Le Retour imprévu : comédie en
1
acte et en prose. 54. Larivey, Pierre de (Troye
n-François (1700) Le Retour imprévu : comédie en 1 acte et en prose.
54.
Larivey, Pierre de (Troyes, v.1540 – id. v.1619)
raductions de Piccolomini et de l’Arétin (L’Humanité de Jésus-Christ,
1604
), c’est surtout par ses imitations et transpositi
té du style. Œuvres principales : La Veuve, Les Esprits, Le Morfondu (
1579
). (Le Petit Robert des noms propres 2007). 55.
e, Les Esprits, Le Morfondu (1579). (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 55. Acte III, scène 6. 56. Anne d’Autriche
sprits, Le Morfondu (1579). (Le Petit Robert des noms propres 2007).
55.
Acte III, scène 6. 56. Anne d’Autriche (Vallad
Morfondu (1579). (Le Petit Robert des noms propres 2007). 55. Acte
III
, scène 6. 56. Anne d’Autriche (Valladolid 1601-
1579). (Le Petit Robert des noms propres 2007). 55. Acte III, scène
6.
56. Anne d’Autriche (Valladolid 1601- Paris 166
). (Le Petit Robert des noms propres 2007). 55. Acte III, scène 6.
56.
Anne d’Autriche (Valladolid 1601- Paris 1666) :
res 2007). 55. Acte III, scène 6. 56. Anne d’Autriche (Valladolid
1601-
Paris 1666) : Reine de France. Fille de Philippe
55. Acte III, scène 6. 56. Anne d’Autriche (Valladolid 1601- Paris
1666
) : Reine de France. Fille de Philippe III d’Espag
de France. Fille de Philippe III d’Espagne, elle épousa Louis XIII en
1615
et lui donna deux fils (Louis XIV et Philippe d’O
e Philippe III d’Espagne, elle épousa Louis XIII en 1615 et lui donna
deux
fils (Louis XIV et Philippe d’Orléans), après vin
1615 et lui donna deux fils (Louis XIV et Philippe d’Orléans), après
vingt-trois
ans d’un mariage peu heureux. Compromise par l’am
frère le roi d’Espagne. À la mort de Louis XIII, elle devint régente (
1643-1661
) et gouverna avec Mazarin avec qui elle contracta
e lorsque son fils prit le pouvoir. (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 57. 1663, Le Fagoteux, selon les Anecdotes Dr
e son fils prit le pouvoir. (Le Petit Robert des noms propres 2007).
57.
1663, Le Fagoteux, selon les Anecdotes Dramatiqu
fils prit le pouvoir. (Le Petit Robert des noms propres 2007). 57.
1663,
Le Fagoteux, selon les Anecdotes Dramatiques. 58
res 2007). 57. 1663, Le Fagoteux, selon les Anecdotes Dramatiques.
58.
Horace, Quintus Horatius Flaccus (Venouse -65 -
ecdotes Dramatiques. 58. Horace, Quintus Horatius Flaccus (Venouse -
65
- -8) : poète latin. […] Il fut instruit par les
s Dramatiques. 58. Horace, Quintus Horatius Flaccus (Venouse -65 - -
8
) : poète latin. […] Il fut instruit par les meill
Brutus, le meurtrier de César, et combattit à ses côtés à Philippes (-
42
). Après la défaite, il revint à Rome où il vécut
vers lyriques (épodes) où il déplorait les malheurs de sa patrie. En -
39,
Virgile*, qu’il connut sans doute dans les cercle
nut sans doute dans les cercles épicuriens, le présenta à Mécène. En -
33,
il reçut de ce dernier une villa près de Tibur où
n à se l’attacher comme secrétaire. (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 59. Juvenal, Decimus Junius Juvenalis (Aquinu
’attacher comme secrétaire. (Le Petit Robert des noms propres 2007).
59.
Juvenal, Decimus Junius Juvenalis (Aquinum, Camp
2007). 59. Juvenal, Decimus Junius Juvenalis (Aquinum, Campanie, v.
55
– v. 140) : poète satirique latin Auteur de seize
59. Juvenal, Decimus Junius Juvenalis (Aquinum, Campanie, v. 55 – v.
140
) : poète satirique latin Auteur de seize Satires
(Aquinum, Campanie, v. 55 – v. 140) : poète satirique latin Auteur de
seize
Satires dans lesquelles il poursuivit avec une vi
l’on exaltée Cicéron et Tite-Live. (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 60. Cotin, abbé, 1690-1700, La Critique désin
altée Cicéron et Tite-Live. (Le Petit Robert des noms propres 2007).
60.
Cotin, abbé, 1690-1700, La Critique désintéressé
ite-Live. (Le Petit Robert des noms propres 2007). 60. Cotin, abbé,
1690-1700,
La Critique désintéressée sur les satyres du temp
abbé, 1690-1700, La Critique désintéressée sur les satyres du temps.
61.
Acte I, scène 1, v.73-74. 62. Richelet, César
-1700, La Critique désintéressée sur les satyres du temps. 61. Acte
I
, scène 1, v.73-74. 62. Richelet, César Pierre (
Critique désintéressée sur les satyres du temps. 61. Acte I, scène
1,
v.73-74. 62. Richelet, César Pierre (Cheminon v
intéressée sur les satyres du temps. 61. Acte I, scène 1, v.73-74.
62.
Richelet, César Pierre (Cheminon v. 1626 – Paris
Acte I, scène 1, v.73-74. 62. Richelet, César Pierre (Cheminon v.
1626
– Paris 1698) : lexicographe français. Il est l’a
ne 1, v.73-74. 62. Richelet, César Pierre (Cheminon v. 1626 – Paris
1698
) : lexicographe français. Il est l’auteur d’un Di
: lexicographe français. Il est l’auteur d’un Dictionnaire français (
1680
), témoignage précieux sur la langue du XVIIe sièc
notamment sur la langue familière, et d’une Versification française (
1671
). (Le Petit robert des noms propres 2007). 63.
une Versification française (1671). (Le Petit robert des noms propres
2007
). 63. Madame de Rambouillet, Catherine de Vivon
fication française (1671). (Le Petit robert des noms propres 2007).
63.
Madame de Rambouillet, Catherine de Vivonne, et s
duchesse de Montausier, Julie d’Angennes. Angennes, Julie d’ (Paris
1607-
id. 1671) : fille de la marquise de Rambouillet e
de Montausier, Julie d’Angennes. Angennes, Julie d’ (Paris 1607- id.
1671
) : fille de la marquise de Rambouillet et épouse
er pour elle La Guirlande de Julie. (Le Petit Robert des noms propres
2007
) 64. Tirso de Molina, ou Feray Gabriel Téllez
elle La Guirlande de Julie. (Le Petit Robert des noms propres 2007)
64.
Tirso de Molina, ou Feray Gabriel Téllez (Madrid
s 2007) 64. Tirso de Molina, ou Feray Gabriel Téllez (Madrid, vers
1583
- Soria 1648) : auteur dramatique, surnommé le Sh
Tirso de Molina, ou Feray Gabriel Téllez (Madrid, vers 1583 - Soria
1648
) : auteur dramatique, surnommé le Shakespeare esp
lez, dit Tirso de Molina, fait profession dans l’ordre de la Merci en
1601.
Il exerce de hautes charges dans son ordre dont i
e en prose est contenue dans Cigarrales de Toledo (Vergers de Tolède,
1621
) et dans Deleitar aprovechando (S’amuser avec pro
de Tolède, 1621) et dans Deleitar aprovechando (S’amuser avec profit,
1635
). Son œuvre dramatique est considérable […]. L’Ab
Convive de pierre (El Burlador de Seville y Convidado de piedra, vers
1621-1622
) conte les amours tumultueuse ou diaboliques de d
r immédiat. El Condenado por desconfiado (le Damné par défiance, vers
1625
; l’attribution à Tirso n’est plus guère contesté
s comédies de mœurs ou d’intrigue :[...].(DET, B. Sesé p. 1630-1631)
65.
Coquille : El Combibado de Piedra (Anecdotes Dra
1631) 65. Coquille : El Combibado de Piedra (Anecdotes Dramatiques,
1775
) → El Comvidado de Piedra. 66. Villiers, Claude
do de Piedra (Anecdotes Dramatiques, 1775) → El Comvidado de Piedra.
66.
Villiers, Claude Deschamps, dit de (1601 – Illie
) → El Comvidado de Piedra. 66. Villiers, Claude Deschamps, dit de (
1601
– Illiers, 1681) : acteur, en 1624 aux côtés de M
de Piedra. 66. Villiers, Claude Deschamps, dit de (1601 – Illiers,
1681
) : acteur, en 1624 aux côtés de Montdory, à parti
illiers, Claude Deschamps, dit de (1601 – Illiers, 1681) : acteur, en
1624
aux côtés de Montdory, à parti de 1634, et au moi
– Illiers, 1681) : acteur, en 1624 aux côtés de Montdory, à parti de
1634,
et au moins jusqu’en 1639, au théâtre du Marais,
en 1624 aux côtés de Montdory, à parti de 1634, et au moins jusqu’en
1639,
au théâtre du Marais, enfin à l’hôtel de Bourgogn
jusqu’en 1639, au théâtre du Marais, enfin à l’hôtel de Bourgogne, de
1642
à 1670. C’est ce qui lui valut les sarcasmes de M
n 1639, au théâtre du Marais, enfin à l’hôtel de Bourgogne, de 1642 à
1670.
C’est ce qui lui valut les sarcasmes de Molière d
Juan, du Festin de Pierre de Villiers, joué à l’hôtel de Bourgogne en
1660.
Deux autres comédies peuvent lui être sûrement at
du Festin de Pierre de Villiers, joué à l’hôtel de Bourgogne en 1660.
Deux
autres comédies peuvent lui être sûrement attribu
autres comédies peuvent lui être sûrement attribuées : Les Ramoneurs (
1662
) et L’Apothicaire dévalisé (1666). Il fut marié d
sûrement attribuées : Les Ramoneurs (1662) et L’Apothicaire dévalisé (
1666
). Il fut marié deux fois à des comédiennes ; la s
: Les Ramoneurs (1662) et L’Apothicaire dévalisé (1666). Il fut marié
deux
fois à des comédiennes ; la seconde Mlle de Villi
, Marguerite Béguet, fut la créatrice du rôle de Chimène au Marais en
1637,
avant de suivre, vers 1642, son mari à l’hôtel de
créatrice du rôle de Chimène au Marais en 1637, avant de suivre, vers
1642,
son mari à l’hôtel de Bourgogne. (DLF XVII p. 125
ivre, vers 1642, son mari à l’hôtel de Bourgogne. (DLF XVII p. 1258)
67.
Dorimond, Nicolas Drouin, dit (Paris, v. 1628 –
ne. (DLF XVII p. 1258) 67. Dorimond, Nicolas Drouin, dit (Paris, v.
1628
– v. 1664) : acteur et auteur, joua surtout en pr
VII p. 1258) 67. Dorimond, Nicolas Drouin, dit (Paris, v. 1628 – v.
1664
) : acteur et auteur, joua surtout en province et
: acteur et auteur, joua surtout en province et à l’étranger : Lyon,
1658
; Savoie, 1659 ; Turin ; Dijon, 1660 ; rue des Qu
teur, joua surtout en province et à l’étranger : Lyon, 1658 ; Savoie,
1659
; Turin ; Dijon, 1660 ; rue des Quatre-Vents à Pa
province et à l’étranger : Lyon, 1658 ; Savoie, 1659 ; Turin ; Dijon,
1660
; rue des Quatre-Vents à Paris, 1660 ; Pays-Bas,
; Savoie, 1659 ; Turin ; Dijon, 1660 ; rue des Quatre-Vents à Paris,
1660
; Pays-Bas, 1662-1663. Sa compagnie, dite « troup
Turin ; Dijon, 1660 ; rue des Quatre-Vents à Paris, 1660 ; Pays-Bas,
1662-1663.
Sa compagnie, dite « troupe de Mademoiselle », co
1662-1663. Sa compagnie, dite « troupe de Mademoiselle », comprenait
dix
personnes, dont sa femme, Marie Dumont et son frè
nt sa femme, Marie Dumont et son frère Louis, dit Dorimond jeune. Dès
1659
la compagnie lui attribuait une part supplémentai
ar elle ne jouait que les pièces qu’il composait. (DLF XVII p. 395).
68.
Rosimond, Claude Roze ou Larose dit (? – Paris,
F XVII p. 395). 68. Rosimond, Claude Roze ou Larose dit (? – Paris,
1686
) : comédien, joua à Rouen, puis sans doute à Gren
Paris, 1686) : comédien, joua à Rouen, puis sans doute à Grenoble. En
1673,
il entra à la troupe du Marais où il reprit le rô
rent les mêmes difficultés pour son enterrement. (DLF XVII, p. 1113)
69.
Cyrano de Bergerac, 1654, Le Pédant joué : coméd
s pour son enterrement. (DLF XVII, p. 1113) 69. Cyrano de Bergerac,
1654,
Le Pédant joué : comédie en 5 actes et en prose.
p. 1113) 69. Cyrano de Bergerac, 1654, Le Pédant joué : comédie en
5
actes et en prose. Selon la notice de la pléiade,
: comédie en 5 actes et en prose. Selon la notice de la pléiade, page
1471,
tome II, les deux scènes insérées sont la scène d
n 5 actes et en prose. Selon la notice de la pléiade, page 1471, tome
II
, les deux scènes insérées sont la scène de la gal
s et en prose. Selon la notice de la pléiade, page 1471, tome II, les
deux
scènes insérées sont la scène de la galère (Acte
1, tome II, les deux scènes insérées sont la scène de la galère (Acte
II
, scène 4) et la scène du rire de Zerbinette (Acte
, les deux scènes insérées sont la scène de la galère (Acte II, scène
4
) et la scène du rire de Zerbinette (Acte III, scè
la galère (Acte II, scène 4) et la scène du rire de Zerbinette (Acte
III
, scène 2). 70. Rotrou, 1647, La Sœur : comédie
(Acte II, scène 4) et la scène du rire de Zerbinette (Acte III, scène
2
). 70. Rotrou, 1647, La Sœur : comédien en 5 ac
II, scène 4) et la scène du rire de Zerbinette (Acte III, scène 2).
70.
Rotrou, 1647, La Sœur : comédien en 5 actes et e
et la scène du rire de Zerbinette (Acte III, scène 2). 70. Rotrou,
1647,
La Sœur : comédien en 5 actes et en vers. La scèn
nette (Acte III, scène 2). 70. Rotrou, 1647, La Sœur : comédien en
5
actes et en vers. La scène citée dans cette anecd
n 5 actes et en vers. La scène citée dans cette anecdote est la scène
I
de l’acte I. 71. Acte III, scène 2 : scène du p
en vers. La scène citée dans cette anecdote est la scène I de l’acte
I
. 71. Acte III, scène 2 : scène du pauvre qui de
vers. La scène citée dans cette anecdote est la scène I de l’acte I.
71.
Acte III, scène 2 : scène du pauvre qui demande
cène citée dans cette anecdote est la scène I de l’acte I. 71. Acte
III
, scène 2 : scène du pauvre qui demande l’aumône.
dans cette anecdote est la scène I de l’acte I. 71. Acte III, scène
2
: scène du pauvre qui demande l’aumône. 72. Mo
I. 71. Acte III, scène 2 : scène du pauvre qui demande l’aumône.
72.
Molière, 1661, Gorgibus dans le sac : farce non
III, scène 2 : scène du pauvre qui demande l’aumône. 72. Molière,
1661,
Gorgibus dans le sac : farce non imprimée. 73.
ne. 72. Molière, 1661, Gorgibus dans le sac : farce non imprimée.
73.
Boileau, 1674, Art poétique, III, p. 400. 74.
ière, 1661, Gorgibus dans le sac : farce non imprimée. 73. Boileau,
1674,
Art poétique, III, p. 400. 74. Molière, 1663, G
dans le sac : farce non imprimée. 73. Boileau, 1674, Art poétique,
III
, p. 400. 74. Molière, 1663, Gogibus dans le sac
farce non imprimée. 73. Boileau, 1674, Art poétique, III, p. 400.
74.
Molière, 1663, Gogibus dans le sac (selon les An
rimée. 73. Boileau, 1674, Art poétique, III, p. 400. 74. Molière,
1663,
Gogibus dans le sac (selon les Anecdotes Dramatiq
olière, 1663, Gogibus dans le sac (selon les Anecdotes Dramatiques).
75.
Géronte ( Les Fourberies de Scapin) : père de Lé
ronte ( Les Fourberies de Scapin) : père de Léandre, et de Hyacinte.
76.
Molière, 1664, Le Grand benet de fils : modèle d
urberies de Scapin) : père de Léandre, et de Hyacinte. 76. Molière,
1664,
Le Grand benet de fils : modèle du Malade imagina
ils : modèle du Malade imaginaire (selon les Anecdotes Dramatiques).
77.
Diaforius, Thomas (Malade imaginaire) : Fils de
mas (Malade imaginaire) : Fils de M. Diaforius et amant d’Angélique.
78.
Brossette, Claude (Taizé, 1671 – Lyon, 1743) : a
de M. Diaforius et amant d’Angélique. 78. Brossette, Claude (Taizé,
1671
– Lyon, 1743) : avocat au parlement de Lyon, érud
us et amant d’Angélique. 78. Brossette, Claude (Taizé, 1671 – Lyon,
1743
) : avocat au parlement de Lyon, érudit et fondate
était lié avec Boileau, composa un commentaire de son œuvre (Genève,
1716
) ainsi que de celle de Math(urin Régnier. On a pe
perdu le manuscrit qu’il consacra à Molière. [...] (DLF XVIII p232.)
79.
On peut retrouver cette anecdote dans L’Esprit d
On peut retrouver cette anecdote dans L’Esprit de Molière de Beffara (
1777
). Mais également chez Eudore Soulié dans ses Rech
galement chez Eudore Soulié dans ses Recherches sur Molière datant de
1863
et chez l’abbé Guillon en 1797. Elle est reprise
s ses Recherches sur Molière datant de 1863 et chez l’abbé Guillon en
1797.
Elle est reprise notamment par Auger dans Les Œuv
Molière. (Pierre Bonvallet, Molière de tous les jours, p. 264-267.)
80.
Néologisme, médecin qui fait des lavements. 81.
ours, p. 264-267.) 80. Néologisme, médecin qui fait des lavements.
81.
Diaforius, Thomas (Malade imaginaire) : Fils de
mas (Malade imaginaire) : Fils de M. Diaforius et amant d’Angélique.
82.
Toinette ( Malade imaginaire) : servante. 83.
t amant d’Angélique. 82. Toinette ( Malade imaginaire) : servante.
83.
GRATIS : Ce mot est purement Latin, et signifie,
Latin, et signifie, Par grâce, sans qu’il en coûte rien. (Furetière,
1690
). 84. Le Vilain Mire, fabliau anonyme datant du
et signifie, Par grâce, sans qu’il en coûte rien. (Furetière, 1690).
84.
Le Vilain Mire, fabliau anonyme datant du XIIIe
1690). 84. Le Vilain Mire, fabliau anonyme datant du XIIIe siècle.
85.
??? 86. CLABAUDEUR : Criailleur, importun et f
. Le Vilain Mire, fabliau anonyme datant du XIIIe siècle. 85. ???
86.
CLABAUDEUR : Criailleur, importun et fâcheux cri
ortun et fâcheux criailleur, qui clabaude lorsqu’il parle. (Richelet,
1680
). 87. Guérin, 1699, Mirtil et Mélicerte : pasto
fâcheux criailleur, qui clabaude lorsqu’il parle. (Richelet, 1680).
87.
Guérin, 1699, Mirtil et Mélicerte : pastorale hé
illeur, qui clabaude lorsqu’il parle. (Richelet, 1680). 87. Guérin,
1699,
Mirtil et Mélicerte : pastorale héroïque. 88. G
1680). 87. Guérin, 1699, Mirtil et Mélicerte : pastorale héroïque.
88.
Geoffroy, Jean-Baptiste (Charolles, 1706 – Semur
certe : pastorale héroïque. 88. Geoffroy, Jean-Baptiste (Charolles,
1706
– Semur, 1782) : jésuite. Professeur de lettres à
ale héroïque. 88. Geoffroy, Jean-Baptiste (Charolles, 1706 – Semur,
1782
) : jésuite. Professeur de lettres à Rouen, Caen,
, 1782) : jésuite. Professeur de lettres à Rouen, Caen, La Flèche et,
vingt-deux
ans durant, à Paris, membre des académies de Caen
ours en latin. Ses Sermons (et oraisons funèbres) parurent à Lyon, en
1788,
4 vol. (DLF XVIIIe, p. 534). 89. Acte I, scène
n latin. Ses Sermons (et oraisons funèbres) parurent à Lyon, en 1788,
4
vol. (DLF XVIIIe, p. 534). 89. Acte I, scène 2.
ns funèbres) parurent à Lyon, en 1788, 4 vol. (DLF XVIIIe, p. 534).
89.
Acte I, scène 2. Oronte ( Le Misanthrope) : aman
es) parurent à Lyon, en 1788, 4 vol. (DLF XVIIIe, p. 534). 89. Acte
I
, scène 2. Oronte ( Le Misanthrope) : amant de Cé
ent à Lyon, en 1788, 4 vol. (DLF XVIIIe, p. 534). 89. Acte I, scène
2.
Oronte ( Le Misanthrope) : amant de Célimène.
89. Acte I, scène 2. Oronte ( Le Misanthrope) : amant de Célimène.
90.
Acte I, scène 2, v. 393-394. Note 35 « Cette cha
, scène 2. Oronte ( Le Misanthrope) : amant de Célimène. 90. Acte
I
, scène 2, v. 393-394. Note 35 « Cette chanson ne
. Oronte ( Le Misanthrope) : amant de Célimène. 90. Acte I, scène
2,
v. 393-394. Note 35 « Cette chanson ne figure dan
nte ( Le Misanthrope) : amant de Célimène. 90. Acte I, scène 2, v.
393-394.
Note 35 « Cette chanson ne figure dans aucun des
thrope) : amant de Célimène. 90. Acte I, scène 2, v. 393-394. Note
35
« Cette chanson ne figure dans aucun des recueils
Note 35 « Cette chanson ne figure dans aucun des recueils parus avant
1670.
Elle sera largement diffusée, en revanche, dès la
par sa variante La Bonne Aventure, au gué. » (p. 1459 de la pléiade)
91.
Antiochus (Racine, 1670, Bérénice) : roi de Coma
Aventure, au gué. » (p. 1459 de la pléiade) 91. Antiochus (Racine,
1670,
Bérénice) : roi de Comagène. 92. Racine, 1670,
pléiade) 91. Antiochus (Racine, 1670, Bérénice) : roi de Comagène.
92.
Racine, 1670, Bérénice : tragédie en 5 actes et
Antiochus (Racine, 1670, Bérénice) : roi de Comagène. 92. Racine,
1670,
Bérénice : tragédie en 5 actes et en vers. 93.
rénice) : roi de Comagène. 92. Racine, 1670, Bérénice : tragédie en
5
actes et en vers. 93. Colin (Brécourt, 1666, La
gène. 92. Racine, 1670, Bérénice : tragédie en 5 actes et en vers.
93.
Colin (Brécourt, 1666, La Noce de village) : le
70, Bérénice : tragédie en 5 actes et en vers. 93. Colin (Brécourt,
1666,
La Noce de village) : le marié. 94. Brécourt, s
n vers. 93. Colin (Brécourt, 1666, La Noce de village) : le marié.
94.
Brécourt, sieur Guillaume Marcoureau dit, 1666,
village) : le marié. 94. Brécourt, sieur Guillaume Marcoureau dit,
1666,
La Noce de village. 95. Alain ( L’École des fem
Brécourt, sieur Guillaume Marcoureau dit, 1666, La Noce de village.
95.
Alain ( L’École des femmes) : paysan et servant
e. 95. Alain ( L’École des femmes) : paysan et servant d’Arnolphe.
96.
Molière, 1666, Pastorale Comique : comédie en 1
( L’École des femmes) : paysan et servant d’Arnolphe. 96. Molière,
1666,
Pastorale Comique : comédie en 1 acte et en vers,
rvant d’Arnolphe. 96. Molière, 1666, Pastorale Comique : comédie en
1
acte et en vers, troisième entrée du Ballet des M
comédie en 1 acte et en vers, troisième entrée du Ballet des Muses.
97.
Destouches, pseudonyme de Philippe Néricault (To
des Muses. 97. Destouches, pseudonyme de Philippe Néricault (Tours
1680
– Villiers-en-Bière 1754) : auteur dramatique fra
hes, pseudonyme de Philippe Néricault (Tours 1680 – Villiers-en-Bière
1754
) : auteur dramatique français. Fils d’organiste,
aractère (L’Ingrat, l’Irrésolu, le Médisant), avec un grand succès en
1732,
le Glorieux, toujours à la Comédie-Française. Il
re de la comédie larmoyante, avec en particulier le Philosophe marié (
1727
). [...]. (DET, M. de Rougemont p. 489) 98. Viga
ier le Philosophe marié (1727). [...]. (DET, M. de Rougemont p. 489)
98.
Vigarani, Carlos (Reggio nell’Emilia 1623 – Pari
T, M. de Rougemont p. 489) 98. Vigarani, Carlos (Reggio nell’Emilia
1623
– Paris 1713) : architecte et ingénieur italien,
emont p. 489) 98. Vigarani, Carlos (Reggio nell’Emilia 1623 – Paris
1713
) : architecte et ingénieur italien, fils aîné de
française assurée après le passage et le départ de France en octobre
1665
du Cavalier Bernin. Il construit des théâtres pro
nin. Il construit des théâtres provisioires à la cour (Saint-Germain,
1666,
1670, Versailles, 1668), collabore avec Molière (
l construit des théâtres provisioires à la cour (Saint-Germain, 1666,
1670,
Versailles, 1668), collabore avec Molière (La Pri
éâtres provisioires à la cour (Saint-Germain, 1666, 1670, Versailles,
1668
), collabore avec Molière (La Princesse d’Élide, 1
670, Versailles, 1668), collabore avec Molière (La Princesse d’Élide,
1664,
George Dandin, 1668) et surtout avec Lully jusqu’
), collabore avec Molière (La Princesse d’Élide, 1664, George Dandin,
1668
) et surtout avec Lully jusqu’en 1680 (les Fêtes d
se d’Élide, 1664, George Dandin, 1668) et surtout avec Lully jusqu’en
1680
(les Fêtes de l’Amour et de Bacchus à Versailles,
Lully jusqu’en 1680 (les Fêtes de l’Amour et de Bacchus à Versailles,
1668,
puis de l’Académie royale de musique Cadmus et He
illes, 1668, puis de l’Académie royale de musique Cadmus et Hermione,
1673,
Alceste, 1674, Athys, 1676, Isis, 1677) assurant
is de l’Académie royale de musique Cadmus et Hermione, 1673, Alceste,
1674,
Athys, 1676, Isis, 1677) assurant lui-même aussi
mie royale de musique Cadmus et Hermione, 1673, Alceste, 1674, Athys,
1676,
Isis, 1677) assurant lui-même aussi des mises en
e musique Cadmus et Hermione, 1673, Alceste, 1674, Athys, 1676, Isis,
1677
) assurant lui-même aussi des mises en scène (Iphi
ses en scène (Iphigénie de Racine, le Malade imaginaire de Molière en
1674
). (DET, M. Freydefont p. 1708) 99. Périgny, Oc
Malade imaginaire de Molière en 1674). (DET, M. Freydefont p. 1708)
99.
Périgny, Octave, président de (1625 – 1670) : pr
). (DET, M. Freydefont p. 1708) 99. Périgny, Octave, président de (
1625
– 1670) : précepteur du dauphin, fils de Louis XI
, M. Freydefont p. 1708) 99. Périgny, Octave, président de (1625 –
1670
) : précepteur du dauphin, fils de Louis XIV, de 1
ident de (1625 – 1670) : précepteur du dauphin, fils de Louis XIV, de
1667
à 1670, et poète qui travailla pour les fêtes de
e (1625 – 1670) : précepteur du dauphin, fils de Louis XIV, de 1667 à
1670,
et poète qui travailla pour les fêtes de la cour
, de 1667 à 1670, et poète qui travailla pour les fêtes de la cour en
1664
notamment et collabora aux Mémoires du roi, adres
sa une parodie d’une scène de l’opéra de Thésée. (DLF XVII, p. 983).
100.
Desmares, Christine Antoinette Charlotte dite la
II, p. 983). 100. Desmares, Christine Antoinette Charlotte dite la (
1682
– 12 septembre 1753) : comédienne française. Elle
983). 100. Desmares, Christine Antoinette Charlotte dite la (1682 –
12
septembre 1753) : comédienne française. Elle débu
Desmares, Christine Antoinette Charlotte dite la (1682 – 12 septembre
1753
) : comédienne française. Elle débuta sa carrière
e française. Elle débuta sa carrière à la comédie-français à l’âge de
16
ans. Elle se retira de la troupe en 1721. Elle fu
la comédie-français à l’âge de 16 ans. Elle se retira de la troupe en
1721.
Elle fut la maîtresse de Philippe, duc d’Orléans.
1721. Elle fut la maîtresse de Philippe, duc d’Orléans. Elle meurt le
12
septembre 1753. (César.org et Wikipédia). 101.
t la maîtresse de Philippe, duc d’Orléans. Elle meurt le 12 septembre
1753.
(César.org et Wikipédia). 101. Orléans, Philipp
’Orléans. Elle meurt le 12 septembre 1753. (César.org et Wikipédia).
101.
Orléans, Philippe, duc d’ (Saint-Cloud 1674 – Ve
ésar.org et Wikipédia). 101. Orléans, Philippe, duc d’ (Saint-Cloud
1674
– Versailles 1723) : régent de France. (Le Petit
dia). 101. Orléans, Philippe, duc d’ (Saint-Cloud 1674 – Versailles
1723
) : régent de France. (Le Petit Robert des noms pr
ersailles 1723) : régent de France. (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 102. Ratabon, Antoine (1617 – 12 mars 1670) :
s 1723) : régent de France. (Le Petit Robert des noms propres 2007).
102.
Ratabon, Antoine (1617 – 12 mars 1670) : conseil
ce. (Le Petit Robert des noms propres 2007). 102. Ratabon, Antoine (
1617
– 12 mars 1670) : conseiller du roi, il fut le su
Petit Robert des noms propres 2007). 102. Ratabon, Antoine (1617 –
12
mars 1670) : conseiller du roi, il fut le surinte
obert des noms propres 2007). 102. Ratabon, Antoine (1617 – 12 mars
1670
) : conseiller du roi, il fut le surintendant géné
fut le surintendant général des bâtiments de Louis XIV. (Wikipédia).
103.
Vigarani (Reggio nell’Emilia 1588 – Modène 1663)
iments de Louis XIV. (Wikipédia). 103. Vigarani (Reggio nell’Emilia
1588
– Modène 1663) : architecte et ingénieur italien.
s XIV. (Wikipédia). 103. Vigarani (Reggio nell’Emilia 1588 – Modène
1663
) : architecte et ingénieur italien. En 1659, Maza
nell’Emilia 1588 – Modène 1663) : architecte et ingénieur italien. En
1659,
Mazarin appelle à Paris Gaspare, le préférant à T
ette mission. C’est le début de l’ère des Vigarani en France. Venu en
1659,
Gaspare repartira en 1662 pour Modène. (DET, M. F
t de l’ère des Vigarani en France. Venu en 1659, Gaspare repartira en
1662
pour Modène. (DET, M. Freydefont p. 1708). 104.
Gaspare repartira en 1662 pour Modène. (DET, M. Freydefont p. 1708).
104.
La Motte, Antoine Houdar de (Paris, 1672 – 1731)
T, M. Freydefont p. 1708). 104. La Motte, Antoine Houdar de (Paris,
1672
– 1731) : auteur dramatique. Fils de chapelier, i
reydefont p. 1708). 104. La Motte, Antoine Houdar de (Paris, 1672 –
1731
) : auteur dramatique. Fils de chapelier, il étudi
t, mais une vocation irrésistible l’entraîne vers l’art dramatique. À
vingt
ans, il donne au Théâtre-Italiens sa première piè
Il entre à Trappe, mais s’en prend point l’habit, en sort au bout de
deux
mois et reparaît au théâtre avec son charmant opé
il donne coup sur coup de nombreuses œuvres lyriques où il introduit
trois
innovations : le ballet proprement dit, la pastor
comédie-ballet. Il eut aussi quelque bonheur au Théâtre-Français avec
six
comédies et quatre tragédies, notamment Inès de C
Il eut aussi quelque bonheur au Théâtre-Français avec six comédies et
quatre
tragédies, notamment Inès de Castro. Il était ent
s, notamment Inès de Castro. Il était entré à l’Académie française le
8
février 1710 malgré les manœuvres déloyales de so
nt Inès de Castro. Il était entré à l’Académie française le 8 février
1710
malgré les manœuvres déloyales de son adversaire
de la Veuve Laurent, de Graudot, et du Café Procope. Devenu aveugle à
quarante-trois
ans, il prit son infirmité avec une résignation m
infirmité avec une résignation magnifique […]. (DLF XVIII, p. 682).
105.
Moreto y Cabaña, Augustin (Madrid 1618 – Tolède
ue […]. (DLF XVIII, p. 682). 105. Moreto y Cabaña, Augustin (Madrid
1618
– Tolède 1669) : poète et auteur dramatique préco
VIII, p. 682). 105. Moreto y Cabaña, Augustin (Madrid 1618 – Tolède
1669
) : poète et auteur dramatique précoce et abondant
. Son chef-d’œuvre, le Dédain par le dédain (El Desdén con el desdén,
1652,
[canegvas italien en 5 actes]), a été imité, adap
in par le dédain (El Desdén con el desdén, 1652, [canegvas italien en
5
actes]), a été imité, adapté ou traduit par Moliè
d’Élide), Carlos Gozzi et bien d’autres. (DET, F. Serralta p. 1140).
106.
Goldoni, Carlo, 1752, La Serva amorosa (La Serva
et bien d’autres. (DET, F. Serralta p. 1140). 106. Goldoni, Carlo,
1752,
La Serva amorosa (La Servante amoureuse) : comédi
, Carlo, 1752, La Serva amorosa (La Servante amoureuse) : comédie, en
trois
actes et en prose. 107. Goldoni, Carlo (Venise
orosa (La Servante amoureuse) : comédie, en trois actes et en prose.
107.
Goldoni, Carlo (Venise 1707 – Paris 1793) : aute
: comédie, en trois actes et en prose. 107. Goldoni, Carlo (Venise
1707
– Paris 1793) : auteur dramatique italien, dont l
n trois actes et en prose. 107. Goldoni, Carlo (Venise 1707 – Paris
1793
) : auteur dramatique italien, dont le nom est att
ies, de nombreux livrets d’intermèdes comiques ou d’opéras et plus de
cents
comédies. (DET p. 736 V. Tasca). 108. Selon Pie
ntermèdes comiques ou d’opéras et plus de cents comédies. (DET p. 736
V.
Tasca). 108. Selon Pierre Bonvallet, on trouve
miques ou d’opéras et plus de cents comédies. (DET p. 736 V. Tasca).
108.
Selon Pierre Bonvallet, on trouve cette anecdote
llet, on trouve cette anecdote dans Les Œuvres de Molière par Bret en
1773.
On peut également la rencontre en 1822 chez Petit
Œuvres de Molière par Bret en 1773. On peut également la rencontre en
1822
chez Petitot dans Les Œuvres de Molière et dans c
itot dans Les Œuvres de Molière et dans celle de Charles Guillaume en
1824.Taschereau
utilise dans son ouvrage Histoire de la vie et de
et des ouvrages de Molière. Elle est notamment utilisée par Bazin en
1848
dans un article. (Pierre Bonvallet, Molière de to
n article. (Pierre Bonvallet, Molière de tous les jours, p. 97-103).
109.
PRELAT : Supérieur Ecclésiastique constitué dans
iastique constitué dans une éminente dignité de l’Église. (Furetière,
1690
). 110. LEGAT : est un Cardinal que le Pape env
constitué dans une éminente dignité de l’Église. (Furetière, 1690).
110.
LEGAT : est un Cardinal que le Pape envoyé comme
rande pompe et cérémonie pour quelque affaire importante. (Furetière,
1690
). 111. COLLET : Partie de l’habillement qui joi
mpe et cérémonie pour quelque affaire importante. (Furetière, 1690).
111.
COLLET : Partie de l’habillement qui joint le co
l’habillement qui joint le cou, qui se met autour du cou. (Furetière,
1690
). 112. Gigli, Girolamo : célèbre dramaturge ita
ement qui joint le cou, qui se met autour du cou. (Furetière, 1690).
112.
Gigli, Girolamo : célèbre dramaturge italien de
a première moitié du XVIIIe siècle. Il a notamment écrit Don Pilone.
113.
Gioanelli, Bonvicino, 1701, Il Dottor Baccheton
siècle. Il a notamment écrit Don Pilone. 113. Gioanelli, Bonvicino,
1701,
Il Dottor Baccheton (Le docteur bigot). 114. Go
Gioanelli, Bonvicino, 1701, Il Dottor Baccheton (Le docteur bigot).
114.
Gourville, Jean Hérault de (1625-1703) : financi
ttor Baccheton (Le docteur bigot). 114. Gourville, Jean Hérault de (
1625-1703
) : financier, entre au service de La Rochefoucaul
ucoup besoin » (Bourgeois-André). Il avait épousé secrètement une des
trois
sœurs du duc de La Rochefoucauld. (DLF XVII, p. 5
une des trois sœurs du duc de La Rochefoucauld. (DLF XVII, p. 553).
115.
Roquette, Gabriel de (1623 ou 1626, Toulouse – 2
de La Rochefoucauld. (DLF XVII, p. 553). 115. Roquette, Gabriel de (
1623
ou 1626, Toulouse – 23 février 1707) : évêque fra
chefoucauld. (DLF XVII, p. 553). 115. Roquette, Gabriel de (1623 ou
1626,
Toulouse – 23 février 1707) : évêque français du
XVII, p. 553). 115. Roquette, Gabriel de (1623 ou 1626, Toulouse –
23
février 1707) : évêque français du XVIIe siècle,
53). 115. Roquette, Gabriel de (1623 ou 1626, Toulouse – 23 février
1707
) : évêque français du XVIIe siècle, qui fut évêqu
er 1707) : évêque français du XVIIe siècle, qui fut évêque d’Autun de
1666
à 1702, mais également grand vicaire du prince de
) : évêque français du XVIIe siècle, qui fut évêque d’Autun de 1666 à
1702,
mais également grand vicaire du prince de Conti (
utun de 1666 à 1702, mais également grand vicaire du prince de Conti (
1647
ou 1648) et abbé de Cluny. (Wikipédia) 116. Gui
1666 à 1702, mais également grand vicaire du prince de Conti (1647 ou
1648
) et abbé de Cluny. (Wikipédia) 116. Guillerague
aire du prince de Conti (1647 ou 1648) et abbé de Cluny. (Wikipédia)
116.
Guilleragues, Gabriel de Lavergne, vicomte de (B
pédia) 116. Guilleragues, Gabriel de Lavergne, vicomte de (Bordeaux
1628
- Constantinople 1685) : issu d’une bonne famille
gues, Gabriel de Lavergne, vicomte de (Bordeaux 1628 - Constantinople
1685
) : issu d’une bonne famille bordelaise appartenan
du temps, il obtint la présidence de la Cour des aides de bordeaux en
1660,
puis, multipliant les séjours à la cour, devint s
ésigna comme ambassadeur en Turquie. Il partit pour Constantinople en
1677,
et y mourut en 1685. Auteur de lettres et de poèm
eur en Turquie. Il partit pour Constantinople en 1677, et y mourut en
1685.
Auteur de lettres et de poèmes galants (les Valen
st surtout le romancier des fameuses Lettres portugaises, publiées en
1669,
dont la paternité et le statut ont longtemps cons
atut ont longtemps constitué une énigme. [...] (DLF XVII, p570-571)
117.
C’est l’épître V qui est consacré à M. de Guille
nstitué une énigme. [...] (DLF XVII, p570-571) 117. C’est l’épître
V
qui est consacré à M. de Guilleragues. Il commenc
Guilleragues. Il commence ainsi : « Esprit né pour la cour, [...] ».
118.
Bourdaloue, Père Louis (Bourges 1632 – Paris 170
prit né pour la cour, [...] ». 118. Bourdaloue, Père Louis (Bourges
1632
– Paris 1704) : prédicateur français. Après avoir
la cour, [...] ». 118. Bourdaloue, Père Louis (Bourges 1632 – Paris
1704
) : prédicateur français. Après avoir enseigné che
desquels il appartenait, Bourdaloue fit ses débuts de prédicateur en
1666,
vint à Paris en 1669 et acquit une grande notorié
it, Bourdaloue fit ses débuts de prédicateur en 1666, vint à Paris en
1669
et acquit une grande notoriété auprès de la cour
devant laquelle il prêcha très souvent pour le carême et l’avent (de
1670
à 1693). Après la révocation de l’édit de Nantes
laquelle il prêcha très souvent pour le carême et l’avent (de 1670 à
1693
). Après la révocation de l’édit de Nantes (1685),
et l’avent (de 1670 à 1693). Après la révocation de l’édit de Nantes (
1685
), il fut envoyé par Louis XIV enseigner les nouve
é par Louis XIV enseigner les nouveaux convertis du Languedoc ; après
1696,
il se voua essentiellement aux œuvres de charité.
s le Sermon sur l’hypocrisie). Ses Sermons et Œuvres diverses (posth.
1707-1734
) ont été repris dans une édition de 1822-1826. (L
Œuvres diverses (posth. 1707-1734) ont été repris dans une édition de
1822-1826.
(Le Petit Robert des noms propres 2007). 119. O
pris dans une édition de 1822-1826. (Le Petit Robert des noms propres
2007
). 119. Onuphre (La Bruyère, 1688, Caractères) :
s une édition de 1822-1826. (Le Petit Robert des noms propres 2007).
119.
Onuphre (La Bruyère, 1688, Caractères) : représe
(Le Petit Robert des noms propres 2007). 119. Onuphre (La Bruyère,
1688,
Caractères) : représente le type du faux dévot, «
688, Caractères) : représente le type du faux dévot, « De la mode ».
120.
Vers 1142. Selon la note de Georges Forestier et
ères) : représente le type du faux dévot, « De la mode ». 120. Vers
1142.
Selon la note de Georges Forestier et de Claude B
aire office de second hémistiche de ce vers. Une anecdote répandue au
XVIII
siècle veut que la substitution ait été effectuée
é effectuée lors des représentations de la troupe de Molière. » (note
21,
p. 1403). 121. Coquille : Pardonnez (Anecdotes
s des représentations de la troupe de Molière. » (note 21, p. 1403).
121.
Coquille : Pardonnez (Anecdotes Dramatiques, 177
ote 21, p. 1403). 121. Coquille : Pardonnez (Anecdotes Dramatiques,
1775
) → Pardonne. 122. Elmire ( Tartuffe) : femme d
21. Coquille : Pardonnez (Anecdotes Dramatiques, 1775) → Pardonne.
122.
Elmire ( Tartuffe) : femme d’Orgon. 123. Racin
iques, 1775) → Pardonne. 122. Elmire ( Tartuffe) : femme d’Orgon.
123.
Racine, 1664, La Thébaïde ou les frères ennemis
Pardonne. 122. Elmire ( Tartuffe) : femme d’Orgon. 123. Racine,
1664,
La Thébaïde ou les frères ennemis : tragédie en 5
123. Racine, 1664, La Thébaïde ou les frères ennemis : tragédie en
5
actes et en vers. 124. Rotrou, 1637, Antigone :
La Thébaïde ou les frères ennemis : tragédie en 5 actes et en vers.
124.
Rotrou, 1637, Antigone : tragédie en 5 actes et
u les frères ennemis : tragédie en 5 actes et en vers. 124. Rotrou,
1637,
Antigone : tragédie en 5 actes et en vers. 125.
ie en 5 actes et en vers. 124. Rotrou, 1637, Antigone : tragédie en
5
actes et en vers. 125. Selon Pierre Bonvallet,
ers. 124. Rotrou, 1637, Antigone : tragédie en 5 actes et en vers.
125.
Selon Pierre Bonvallet, on rencontre cette anecd
première fois chez Cizeron-Rival dans ses Récréations littéraires de
1765.
il nous dit également où il a trouvé cette anecdo
rossette. (Pierre Bonvallet, Molière de tous les jours, p. 228-230.)
126.
Corneille, 1670, Tite et Bérénice : comédie-héro
Bonvallet, Molière de tous les jours, p. 228-230.) 126. Corneille,
1670,
Tite et Bérénice : comédie-héroïque en 5 actes et
-230.) 126. Corneille, 1670, Tite et Bérénice : comédie-héroïque en
5
actes et en vers. 127. v.159-162. 128. Domiti
le, 1670, Tite et Bérénice : comédie-héroïque en 5 actes et en vers.
127.
v.159-162. 128. Domitian (Corneille, 1670, Tit
Bérénice : comédie-héroïque en 5 actes et en vers. 127. v.159-162.
128.
Domitian (Corneille, 1670, Tite et Bérénice) : f
en 5 actes et en vers. 127. v.159-162. 128. Domitian (Corneille,
1670,
Tite et Bérénice) : frère de Tite et l’amant de D
ille, 1670, Tite et Bérénice) : frère de Tite et l’amant de Domitie.
129.
Le Beau de Schosne, 1773, L’Assemblée : comédie
ce) : frère de Tite et l’amant de Domitie. 129. Le Beau de Schosne,
1773,
L’Assemblée : comédie en un acte et en vers. 130
Beau de Schosne, 1773, L’Assemblée : comédie en un acte et en vers.
130.
Acte III, scène 1. 131. Coquille : renchér → r
hosne, 1773, L’Assemblée : comédie en un acte et en vers. 130. Acte
III
, scène 1. 131. Coquille : renchér → renchéri.
, L’Assemblée : comédie en un acte et en vers. 130. Acte III, scène
1.
131. Coquille : renchér → renchéri. 132. Bois
Assemblée : comédie en un acte et en vers. 130. Acte III, scène 1.
131.
Coquille : renchér → renchéri. 132. Boisrobert
ers. 130. Acte III, scène 1. 131. Coquille : renchér → renchéri.
132.
Boisrobert, 1653, La Belle plaideuse : comédie e
II, scène 1. 131. Coquille : renchér → renchéri. 132. Boisrobert,
1653,
La Belle plaideuse : comédie en 5 actes et en ver
→ renchéri. 132. Boisrobert, 1653, La Belle plaideuse : comédie en
5
actes et en vers. Boisrobert, François Le Métel,
5 actes et en vers. Boisrobert, François Le Métel, seigneur de (Caen
1589
– Paris 1662) : dramaturge français, quelque temp
vers. Boisrobert, François Le Métel, seigneur de (Caen 1589 – Paris
1662
) : dramaturge français, quelque temps avocat, il
, il devient le secrétaire de Richelieu. Il fait partie du groupe des
Cinq
Auteurs, et est à l’origine de l’Académie françai
nq Auteurs, et est à l’origine de l’Académie française où il entre en
1634.
Il intervient dans toutes les affaires du monde d
des œuvres collectives et à diverses commandes, Boisrobert publie en
1633
à 1657 une quinzaine de pièces inégalement réussi
vres collectives et à diverses commandes, Boisrobert publie en 1633 à
1657
une quinzaine de pièces inégalement réussies. Il
ction d’intrigues complexes, par exemple dans la Jalouse d’elle-même (
1650
), qui doit beaucoup à Tirso de Molina, ou dans le
d’elle-même (1650), qui doit beaucoup à Tirso de Molina, ou dans les
Trois
Oronte qui repose sur un imbroglio. (DET, p. 220,
Oronte qui repose sur un imbroglio. (DET, p. 220, J.-P. Ryngaert.)
133.
Ergaste (Boisrobert, La Belle plaideuse, 1653) :
20, J.-P. Ryngaert.) 133. Ergaste (Boisrobert, La Belle plaideuse,
1653
) : amant de Corine et fils d’Amidor. 134. Cori
bert, La Belle plaideuse, 1653) : amant de Corine et fils d’Amidor.
134.
Corine (Boisrobert, La Belle plaideuse, 1653) :
ine et fils d’Amidor. 134. Corine (Boisrobert, La Belle plaideuse,
1653
) : maîtresse d’Ergaste. 135. La Belle Plaideus
orine (Boisrobert, La Belle plaideuse, 1653) : maîtresse d’Ergaste.
135.
La Belle Plaideuse, Acte I, scène 8. 136. Même
ideuse, 1653) : maîtresse d’Ergaste. 135. La Belle Plaideuse, Acte
I
, scène 8. 136. Même contenu que l’anecdote en t
653) : maîtresse d’Ergaste. 135. La Belle Plaideuse, Acte I, scène
8.
136. Même contenu que l’anecdote en tome I p. 2
: maîtresse d’Ergaste. 135. La Belle Plaideuse, Acte I, scène 8.
136.
Même contenu que l’anecdote en tome I p. 226-227
laideuse, Acte I, scène 8. 136. Même contenu que l’anecdote en tome
I
p. 226-227 137. La Fausse Clélie ou l’inconnu :
I, scène 8. 136. Même contenu que l’anecdote en tome I p. 226-227
137.
La Fausse Clélie ou l’inconnu : comédie, d’un au
nnu : comédie, d’un auteur anonyme (selon les Anecdotes Dramatiques)
138.
Montfleury, pseudonyme de Zacharie Jacob (en Anj
ramatiques) 138. Montfleury, pseudonyme de Zacharie Jacob (en Anjou
1600
– Paris 1667) : comédien français de l’Hôtel de B
138. Montfleury, pseudonyme de Zacharie Jacob (en Anjou 1600 – Paris
1667
) : comédien français de l’Hôtel de Bourgogne à pa
– Paris 1667) : comédien français de l’Hôtel de Bourgogne à partir de
1638.
fils de comédiens, marié à une comédienne qui lui
ir de 1638. fils de comédiens, marié à une comédienne qui lui donnera
six
enfants ; deux seront comédiennes et un deviendra
ls de comédiens, marié à une comédienne qui lui donnera six enfants ;
deux
seront comédiennes et un deviendra auteur dramati
de Versailles. Il est l’auteur d’une tragédie, la Mort d’Asdrubal, en
1647.
(DET, C. Scherer p. 1134.) 139. C’est Mademoise
s. Il est l’auteur d’une tragédie, la Mort d’Asdrubal, en 1647. (DET,
C.
Scherer p. 1134.) 139. C’est Mademoiselle Beauc
ne tragédie, la Mort d’Asdrubal, en 1647. (DET, C. Scherer p. 1134.)
139.
C’est Mademoiselle Beauchateau* dont il est ques
eauchateau* dont il est question ici et non Mademoiselle du Château.
140.
Préville, pseudonyme de Pierre Louis Dubus (Pars
du Château. 140. Préville, pseudonyme de Pierre Louis Dubus (Parsi
1721
– Beauvais 1799) : acteur comique français. Fils
0. Préville, pseudonyme de Pierre Louis Dubus (Parsi 1721 – Beauvais
1799
) : acteur comique français. Fils d’un tapissier,
vient comédien de campagne. Jean Monnet l’engage à l’Opéra-Comique en
1743
puis il tourne en province, avant de débuter à la
uis il tourne en province, avant de débuter à la Comédie-Française en
1753.
C’est le grand acteur comique du XVIIIe siècle ;
l’appelle l’« enfant de la nature ». Il joue beaucoup et crée plus de
soixante
rôles dont le Figaro de Barbier de Séville, avant
dont le Figaro de Barbier de Séville, avant de prendre sa retraite en
1786.
Il est un des créateurs de l’École royale de décl
mille, c’est un modèle d’acteur bon citoyen et respecté. Il rejoue en
1791-1792
et en 1794-1795. Sa femme, Madeleine Drouin MmePr
modèle d’acteur bon citoyen et respecté. Il rejoue en 1791-1792 et en
1794-1795.
Sa femme, Madeleine Drouin MmePréville (Le Mans 1
1792 et en 1794-1795. Sa femme, Madeleine Drouin MmePréville (Le Mans
1731-
Senlis 1794) joue à la Comédie-Française de 1756
94-1795. Sa femme, Madeleine Drouin MmePréville (Le Mans 1731- Senlis
1794
) joue à la Comédie-Française de 1756 à 1789. (DET
mePréville (Le Mans 1731- Senlis 1794) joue à la Comédie-Française de
1756
à 1789. (DET, M. de Rougemont p. 1332). 141. Fr
lle (Le Mans 1731- Senlis 1794) joue à la Comédie-Française de 1756 à
1789.
(DET, M. de Rougemont p. 1332). 141. Frédéric I
la Comédie-Française de 1756 à 1789. (DET, M. de Rougemont p. 1332).
141.
Frédéric II le Grand (Berlin 1712 – Potsdam 1786
. (DET, M. de Rougemont p. 1332). 141. Frédéric II le Grand (Berlin
1712
– Potsdam 1786) : roi de Prusse de 1740 à 1786.
ougemont p. 1332). 141. Frédéric II le Grand (Berlin 1712 – Potsdam
1786
) : roi de Prusse de 1740 à 1786. 142. Poinsine
Frédéric II le Grand (Berlin 1712 – Potsdam 1786) : roi de Prusse de
1740
à 1786. 142. Poinsinet, Antoine-Alexandre-Henr
ic II le Grand (Berlin 1712 – Potsdam 1786) : roi de Prusse de 1740 à
1786.
142. Poinsinet, Antoine-Alexandre-Henri (Fonta
Grand (Berlin 1712 – Potsdam 1786) : roi de Prusse de 1740 à 1786.
142.
Poinsinet, Antoine-Alexandre-Henri (Fontaineblea
40 à 1786. 142. Poinsinet, Antoine-Alexandre-Henri (Fontainebleau,
1735
– Cordoue, 1769. Poète et dramaturge) : dramaturg
. Poinsinet, Antoine-Alexandre-Henri (Fontainebleau, 1735 – Cordoue,
1769.
Poète et dramaturge) : dramaturge. Fils du notair
ntra de bonne heure un goût très vif pour la poésie et le théâtre : à
dix-huit
ans, il faisait applaudir une parodie, Totinet. S
s et opéras-comiques, et des Épîtres en vers. Il voyagea en Italie en
1760
et, en 1769, il était en Espagne avec une troupe
comiques, et des Épîtres en vers. Il voyagea en Italie en 1760 et, en
1769,
il était en Espagne avec une troupe d’acteurs et
t honneur, à la condition qu’il sache le russe ; il travaille pendant
six
mois avant de se rendre compte qu’il étudie un ma
u’il étudie un manuel de bas-breton. (DLF XVIII p. 1046). Poinsinet,
1771,
Le Cercle ou la soirée à la mode : en 1 acte et e
III p. 1046). Poinsinet, 1771, Le Cercle ou la soirée à la mode : en
1
acte et en prose. 143. Lagrange-Chancel, Franç
et, 1771, Le Cercle ou la soirée à la mode : en 1 acte et en prose.
143.
Lagrange-Chancel, François Joseph de Chancel sie
Chancel, François Joseph de Chancel sieur de Lagrange, dit (Périgueux
1677
– Antoniac 1658) : auteur dramatique et pamphléta
s Joseph de Chancel sieur de Lagrange, dit (Périgueux 1677 – Antoniac
1658
) : auteur dramatique et pamphlétaire français. Ce
Ce brillant mais pauvre aristocrate périgourdin, présenté à la cour à
quatorze
ans, reçoit des leçons de Racine et fait jouer sa
e Racine et fait jouer sa première tragédie à la Comédie-Française en
1694.
Une demi-douzaine d’autres suivra, ainsi que quel
e Régent ses Philippiques, s’évade du fort de Sainte-Marguerite après
quatre
ans de prison, et ne pourra rentrer en Périgord q
te après quatre ans de prison, et ne pourra rentrer en Périgord qu’en
1729
: sa carrière théâtrale parisienne est terminée.
rrière théâtrale parisienne est terminée. Ses tragédies, dont Amasis (
1701
) et Ino et Mélicerte (1713) ont le plus marqué, a
est terminée. Ses tragédies, dont Amasis (1701) et Ino et Mélicerte (
1713
) ont le plus marqué, allient à la poétique racini
nienne un piment romanesque et cruel. (DET, M. de Rougemont p. 952).
144.
Armand, François Huguet, dit (Richelieu, 1er jui
de Rougemont p. 952). 144. Armand, François Huguet, dit (Richelieu,
1er
juin 1699 – Paris, 26 décembre 1765) : comédien d
ont p. 952). 144. Armand, François Huguet, dit (Richelieu, 1er juin
1699
– Paris, 26 décembre 1765) : comédien de grande r
144. Armand, François Huguet, dit (Richelieu, 1er juin 1699 – Paris,
26
décembre 1765) : comédien de grande réputation, a
, François Huguet, dit (Richelieu, 1er juin 1699 – Paris, 26 décembre
1765
) : comédien de grande réputation, auquel le roi a
eux Événement en collaboration avec Derozée, fut joué à Versailles le
23
décembre 1751. il eut deux fils comédiens qui pri
t en collaboration avec Derozée, fut joué à Versailles le 23 décembre
1751.
il eut deux fils comédiens qui prirent son pseudo
ation avec Derozée, fut joué à Versailles le 23 décembre 1751. il eut
deux
fils comédiens qui prirent son pseudonymes : Arma
ux fils comédiens qui prirent son pseudonymes : Armand aîné débuta en
1759
et Armand jeune en 1771. [...] ( DLF XVIIIe siècl
irent son pseudonymes : Armand aîné débuta en 1759 et Armand jeune en
1771.
[...] ( DLF XVIIIe siècle, p. 86). 145. EXEMPT
en 1759 et Armand jeune en 1771. [...] ( DLF XVIIIe siècle, p. 86).
145.
EXEMPT : Officier de certaine compagnie de garde
certaine compagnie de gardes. (Dictionnaire de l’Académie Françaises,
1694
). 146. Modène, Esprit de Rémond de Mormoiron, c
compagnie de gardes. (Dictionnaire de l’Académie Françaises, 1694).
146.
Modène, Esprit de Rémond de Mormoiron, comte de
aises, 1694). 146. Modène, Esprit de Rémond de Mormoiron, comte de (
1608-1672
) : gentilhomme du Comtat-Venaissin [, fils de Fra
nçois de Rémond, protégé de Luynes, puis de Gaston d’Orléans, mort en
1632
[...]. Il s’attacha à la fortune du duc de Guise
e de la troupe de Molière, Madeleine l’hermite […]. (DLF XVII, p861)
147.
GOUTTEUX, EUSE : Celui qui est travaillé des gou
qui est travaillé des gouttes, qui est sujet aux gouttes. (Furetière
1690
). 148. Madame Jourdain : femme de Monsieur Jourd
travaillé des gouttes, qui est sujet aux gouttes. (Furetière 1690).
148.
Madame Jourdain : femme de Monsieur Jourdain. 14
Furetière 1690). 148. Madame Jourdain : femme de Monsieur Jourdain.
149.
Madame Jobin : Devineresse. 150. Corneille, Tho
dain : femme de Monsieur Jourdain. 149. Madame Jobin : Devineresse.
150.
Corneille, Thomas et Donneau de Visé, Jean, 1679
bin : Devineresse. 150. Corneille, Thomas et Donneau de Visé, Jean,
1679,
La Devineresse ou les faux enchantements : comédi
sé, Jean, 1679, La Devineresse ou les faux enchantements : comédie en
5
actes, en prose et musique. 151. La Grange, pse
ou les faux enchantements : comédie en 5 actes, en prose et musique.
151.
La Grange, pseudonyme de Charles Varlet (Amiens
se et musique. 151. La Grange, pseudonyme de Charles Varlet (Amiens
1635
– Paris 1692) : comédien français de la troupe de
. 151. La Grange, pseudonyme de Charles Varlet (Amiens 1635 – Paris
1692
) : comédien français de la troupe de Molière à pa
– Paris 1692) : comédien français de la troupe de Molière à partir de
1659.
Spécialisé dans les rôles de jeune premier, il es
auteur du célèbre « registre », [...]. La Grange tint pendant plus de
trente
ans jusqu’à la mort de Molière, mais aussi après,
ter et défendre la troupe à la cour et dans des procès, surtout après
1673.
Il se marie tard à trente-sept ans en 1672 avec M
à la cour et dans des procès, surtout après 1673. Il se marie tard à
trente-sept
ans en 1672 avec Marie Ragueneau, fille du pâtiss
des procès, surtout après 1673. Il se marie tard à trente-sept ans en
1672
avec Marie Ragueneau, fille du pâtissier poète. I
avec Marie Ragueneau, fille du pâtissier poète. Il meurt subitement à
cinquante-sept
ans. (DET, C. Scherer, p. 952). 152. CHICANE :
e du pâtissier poète. Il meurt subitement à cinquante-sept ans. (DET,
C.
Scherer, p. 952). 152. CHICANE : Abus des procé
Il meurt subitement à cinquante-sept ans. (DET, C. Scherer, p. 952).
152.
CHICANE : Abus des procédures judiciaires, quand
ns qui se font dans les affaires et négociations civiles. (Furetière,
1690
). 153. Coquille : représentions (Anecdotes Dram
e font dans les affaires et négociations civiles. (Furetière, 1690).
153.
Coquille : représentions (Anecdotes Dramatiques)
Coquille : représentions (Anecdotes Dramatiques) → représentations.
154.
On retrouve cette anecdote page 37 du Bolaeana d
ramatiques) → représentations. 154. On retrouve cette anecdote page
37
du Bolaeana datant 1742. « Au reste Monsieur Desp
tations. 154. On retrouve cette anecdote page 37 du Bolaeana datant
1742.
« Au reste Monsieur Despréaux* trouvait la prose
bles, voisins que les maîtres de l’Art appellent des Frères Chapeaux (
I
) Allusion à des moines qui ont leur suite quelque
sser l’anecdote du Bolaeana dans la catégorie : Jugements d’auteurs.
155.
La référence donnée est fausse. Certes, à la pag
s d’auteurs. 155. La référence donnée est fausse. Certes, à la page
507
on parle de cet abbé mais cela n’est pas dans le
, à la page 507 on parle de cet abbé mais cela n’est pas dans le tome
II
des Anecdotes Dramatiques mais dans le tome I. 1
n’est pas dans le tome II des Anecdotes Dramatiques mais dans le tome
I
. 156. Mignot, Jean dit Mondorge : comédien fran
t pas dans le tome II des Anecdotes Dramatiques mais dans le tome I.
156.
Mignot, Jean dit Mondorge : comédien français. O
sa vie. Sa mère se nomme Jeanne Imbert et son père Étienne Mignot. Le
28
février 1666, il se marie avec Angélique Messa. I
mère se nomme Jeanne Imbert et son père Étienne Mignot. Le 28 février
1666,
il se marie avec Angélique Messa. Il meurt en 167
ot. Le 28 février 1666, il se marie avec Angélique Messa. Il meurt en
1678.
(César.org). 157. INCARTADE : Insulte ou affron
66, il se marie avec Angélique Messa. Il meurt en 1678. (César.org).
157.
INCARTADE : Insulte ou affront qu’on fait à quel
affront qu’on fait à quelqu’un en public et par bravade. (Furetière,
1690
). 158. Albert de Luynes, Charles-Honoré d’, duc
qu’on fait à quelqu’un en public et par bravade. (Furetière, 1690).
158.
Albert de Luynes, Charles-Honoré d’, duc de Chev
1690). 158. Albert de Luynes, Charles-Honoré d’, duc de Chevreuse (
7
octobre 1646 – 5 novembre 1712), militaire frança
58. Albert de Luynes, Charles-Honoré d’, duc de Chevreuse (7 octobre
1646
– 5 novembre 1712), militaire français. Il était
bert de Luynes, Charles-Honoré d’, duc de Chevreuse (7 octobre 1646 –
5
novembre 1712), militaire français. Il était cons
nes, Charles-Honoré d’, duc de Chevreuse (7 octobre 1646 – 5 novembre
1712
), militaire français. Il était conseiller de Loui
ançais. Il était conseiller de Louis XIV à titre privé. (Wikipédia).
159.
VOIE : Charge de quelque chose qu’on porte, ou qu
Charge de quelque chose qu’on porte, ou qu’on fait porter. (Richelet,
1680
). 160. Acte IV, scène 7.
e quelque chose qu’on porte, ou qu’on fait porter. (Richelet, 1680).
160.
Acte IV, scène 7.
hose qu’on porte, ou qu’on fait porter. (Richelet, 1680). 160. Acte
IV
, scène 7.
porte, ou qu’on fait porter. (Richelet, 1680). 160. Acte IV, scène
7.
ce moment particulier de la première du Misanthrope, c’est-à-dire le
4
juin 1666, Molière devait être fort en peine. — I
ent particulier de la première du Misanthrope, c’est-à-dire le 4 juin
1666,
Molière devait être fort en peine. — Il relevait
issé de confidences et chacun sait qu’il ne nous reste de sa main que
six
lignes, qui sont une quittance. Il est donc malai
ques-unes, jusqu’alors inédites, ayant été insérées dans l’édition de
1866,
les critiques littéraires, mis en goût ; en reche
rendus ; et Prévost-Paradol mit la main par fortune sur un recueil du
XVIII
siècle, qui en contenait une, adressée à Santeuil
re moins les femmes sans doute. Il eut été bien ingrat. Madeleine, de
quatre
ans plus âgée que lui, lui fut tutélaire et mater
à l’instar de Jupiter au siège de Troie, pouvait gouverner à la fois
trois
déesses : Madeleine, et Mlle du Parc, qui le chan
it Alceste, comme Arnolphe, comme Orgon, comme M. Jourdain, comme ses
dix
Sganarelle, comme tant d’autres. Tous sont égalem
ère et point l’enfant du siècle. Alceste et Desgenais, diantre, c’est
deux
… mais pas deux Alcestes ! Molière eût, bien ri de
enfant du siècle. Alceste et Desgenais, diantre, c’est deux… mais pas
deux
Alcestes ! Molière eût, bien ri de ces révélation
quel procès. — Décidément ce bel esprit, cet amoureux transi, qui fit
treize
ans la cour à sa femme, ce courtisan heureux, ce
t : Il joue un tel, lorsque ce sont des choses qui peuvent convenir à
cent
personnes ? Comme l’affaire de la comédie est de
vait compter parmi ceux qui applaudissaient, par esprit de vengeance,
douze
marquis, six précieuses, vingt coquettes et trent
rmi ceux qui applaudissaient, par esprit de vengeance, douze marquis,
six
précieuses, vingt coquettes et trente cocus. En d
laudissaient, par esprit de vengeance, douze marquis, six précieuses,
vingt
coquettes et trente cocus. En définitive, Alceste
sprit de vengeance, douze marquis, six précieuses, vingt coquettes et
trente
cocus. En définitive, Alceste n’est la copie d’au
du Boulan veut que nous voyions..… les cahiers des États-Généraux de
89
! Évidemment il attache trop d’importance aux que
bien de temps ? A peine a-t-il dit une vérité qu’il se hâte d’enfiler
vingt
folies. Il a toujours raison quand il commence, e
en somme Si les écus du bonhomme Sont légers ou sont de poids. Et en
deux
mots, Saint-Simon nous peint le juge ; « Dès qu’
violabilité que confère aux prêtres la loi divine, de confondre ainsi
deux
choses distinctes, et de gouverner, eux aussi, en
rrêt me fasse, Je me garderai bien de vouloir qu’on le casse. Ce sont
vingt
mille francs qu’il m’en pourra coûter, Mais pour
e fasse, Je me garderai bien de vouloir qu’on le casse. Ce sont vingt
mille
francs qu’il m’en pourra coûter, Mais pour vingt
casse. Ce sont vingt mille francs qu’il m’en pourra coûter, Mais pour
vingt
mille francs j’aurai droit de pester Contre l’ini
Ce sont vingt mille francs qu’il m’en pourra coûter, Mais pour vingt
mille
francs j’aurai droit de pester Contre l’iniquité
re de la vingtième année, et que ce n’est pas le temps d’être prude à
vingt
ans ; et ceux de son milieu, c’est-à-dire de son
t j’ai de sûrs témoins de votre trahison, Là, dans ma poche. Ah ! ah
I
cela vous surprend ? cela devait arriver pourtant
rire le parterre ! » répète-t-il à chaque paragraphe, et cela pendant
dix
pages, avec une fureur croissante. Vous voyez ? d
tausier. Je me demande comment un même type peut ressembler si bien à
deux
hommes qui se ressemblaient si peu l’un l’autre.
lutter d’érudition avec M. de La Pommeraye : je crois cependant qu’en
1666,
dix ans après les Provinciales, sept ans après le
d’érudition avec M. de La Pommeraye : je crois cependant qu’en 1666,
dix
ans après les Provinciales, sept ans après les Pr
ité, pour me mettre dans mon tort, une scène de Don Juan celle où don
Louis
dit : « La naissance n’est rien où la vertu n’est
dés littéraires et des visées humanitaires qui ne devaient éclore que
deux
siècles après lui ; et c’est vous enfin qui dimin
Préface
I
Si Montfleury a créé le jeu de la tragédie, M
comédien ; c’est qu’il mettait en scène son idée ; c’est qu’il créait
deux
fois ses personnages, une fois dans son imaginati
ire le Siècle de Molière, comme on dit déjà le Siècle de Voltaire.
II
Quand j’étais directeur du Théâtre-Français,
e première bonne fortune qu’on m’apporta pour rien, pour un billet de
mille
francs : cinq cents dessins aux trois crayons, à
e fortune qu’on m’apporta pour rien, pour un billet de mille francs :
cinq
cents dessins aux trois crayons, à la sanguine, à
tune qu’on m’apporta pour rien, pour un billet de mille francs : cinq
cents
dessins aux trois crayons, à la sanguine, à la mi
ta pour rien, pour un billet de mille francs : cinq cents dessins aux
trois
crayons, à la sanguine, à la mine de plomb, porta
onde qui ne veut pas être nommée, mais qui est bien connue, m’a donné
huit
portraits quelle suppose venir de la fille de Mol
nt par les inscriptions, mais parce que la vérité parle tout haut.
III
Il est impossible d’admettre, un seul instant
u trait ? » Je possède le pastel original : il y a un abîme entre les
deux
femmes. Dans le pastel tout est fondu, l’œil est
e joue ainsi la niaiserie ? Remarque que Mlle Beaubourg, qui débuta à
huit
ans dans le rôle de Louison du Malade imaginaire,
e son « extérieur disgracieux ; » d’où vient qu’elle séduisit jusqu’à
trois
maris, dont un homme de cour à la mode, Jacques D
et de leur théâtre. Chacun d’eux porte la marque de l’originalité.
IV
Je publie un premier volume aujourd’hui. Je c
est après sa mère une des plus curieuses figures de son temps. En ces
trois
volumes je donnerai plus d’une fois le portrait d
d’une fois le portrait de la mime femme ; je ne donnerai pas moins de
quatre
portraits de la femme de Molière. J’espère que le
sous les yeux de quoi nourrir leur curiosité. On n’a pas mis moins de
six
graveurs h cette œuvre délicate ; on leur a moins
achet de la vérité. L’histoire ne vit que par la vérité. AR-H-YE.
I
. Madeleine Béjart Certes quand Molière fut de
orté par sa jeunesse, courant les aventures du Roman comique avec ses
trois
amoureuses, Madeleine Béjart, Mlle Du Parc et Cat
adeleine Béjart, Mlle Du Parc et Catherine de Brie, belles toutes les
trois
, jouant pour son cœur ardent toutes les symphonie
es charmes, je ne pus si tût quitter ces charmants amis ; je demeurai
trois
mois à Lyon, parmi les jeux, la comédie et les fe
i avec Molière sur le Rhône qui mène en Avignon, où étant arrivé avec
quarante
pistoles de reste du débris de mon naufrage, comm
ivertissaient galamment les bienheureux passants qui aiment à jouer à
trois
dés. T’en fus encore averti charitablement par un
e prétends au paradis, que je n’en ai jamais vu aucun qui, au bout de
quinze
jours, ne soit sorti mieux vêtu que notre premier
à ma passion dominante, et, jour pour jour, je me trouvai, au bout de
trois
mois, au même état que mon marchand de linge m’av
Que je repaissais d’harmonie, Au milieu de sept ou
huit
plats, Exempt de soins et d’embar
ces beaux messieurs des États Qui tous les jours ont
six
ducats, La musique et la comédie,
ls représentent tous les jours sur le théâtre. Après donc avoir passé
six
bons mois dans cette cocagne et avoir reçu de M.
, a peint franchement le tableau du Roman comique de Molière : Il a
trente
ans, et la charrette Où vagit son art, nouveau-né
le sieur de Molière et sa troupe arrivèrent à Paris au mois d’octobre
1658
et se donnèrent à Monsieur, frère unique du Roi,
accorda l’honneur de sa protection et le titre de ses comédiens, avec
300
livres de pension pour chaque comédien. La troupe
édien. La troupe de Monsieur commença au Louvre devant Sa Majesté, le
24
octobre 1658, par Nicomède et Le Docteur amoureux
roupe de Monsieur commença au Louvre devant Sa Majesté, le 24 octobre
1658,
par Nicomède et Le Docteur amoureux. » Après avo
tudions les figures de la troupe. Saluons d’abord Madeleine Béjart.
II
Le théâtre donne aux femmes un doux rayon d’i
ité d’un siècle. En France la renommée des comédiennes a déjà franchi
trois
siècles. Qui ne connaît aujourd’hui Madeleine Béj
u’elles mettent au monde ; on leur accorde le droit d’avoir un amant,
deux
amants, trois amants. Pour jouer les passions, il
nt au monde ; on leur accorde le droit d’avoir un amant, deux amants,
trois
amants. Pour jouer les passions, il faut bien avo
s voudraient jeter insolemment les couleurs et les parfums de la rose
1
Madeleine Béjart, une des premières, sinon la pre
rgueil au théâtre ? Madeleine Béjart avait couru la province avec ses
deux
frères avant de se hasarder avec Molière. En 1637
a province avec ses deux frères avant de se hasarder avec Molière. En
1637,
elle faisait les beaux jours du Languedoc et de l
plutôt alors qu’elle connut le comte de Modène, dont elle eut bientôt
deux
filles : la femme de Molière, Armande, dont on n’
t on n’a pas trouvé l’acte de naissance, et celle qui fut baptisée le
11
juillet 1638 à l’église Saint-Eustache sous le no
s trouvé l’acte de naissance, et celle qui fut baptisée le 11 juillet
1638
à l’église Saint-Eustache sous le nom de François
pas imposable que plus tard, dans ses pérégrinations avec Molière de
1647
à 1650, elle n’eût suivi à Naples le comte de Mod
posable que plus tard, dans ses pérégrinations avec Molière de 1647 à
1650,
elle n’eût suivi à Naples le comte de Modène qui
deleine Béjart : Registres de St-Eustache : « Onzième de juillet (mil
six
cent trente-huit) fut baptisée Françoise, née du
ine Béjart : Registres de St-Eustache : « Onzième de juillet (mil six
cent
trente-huit) fut baptisée Françoise, née du samed
éjart : Registres de St-Eustache : « Onzième de juillet (mil six cent
trente-huit
) fut baptisée Françoise, née du samedi, troisième
nes ayant de certains offices. Dans le contrat de mariage de Molière (
23
janvier 1662), Marie Hervé se dit veuve de feu Jo
e certains offices. Dans le contrat de mariage de Molière (23 janvier
1662
), Marie Hervé se dit veuve de feu Joseph Béjart,
e nom de Béjart dans tous les villages qui s’appellent Belleville.
III
Molière avait trouvé non seulement une maître
oussait joliment les vers. Selon la tradition elle a fait représenter
deux
de ses comédies en courant la province. Le regist
gistre de La Grange cite une pièce qu’elle avait « raccommodée ». Dès
1636,
avant sa rencontre avec Molière, elle jouait déjà
Songez à soulager mes peines, Ou, du moins, à me rendre un jour Pour
mille
écus de point de Gênes. Je fais ce que vous mérit
oulant toutefois vous plaire, Afin de trouver de l’argent. J’ai couru
cent
fins le notaire. Que mon sort voua fasse pitié :
sont indifférents ; Vous n’avez point de syndérèse ; Philis, pour mes
dix
mille francs1, Souffrez su moins que je vous bais
indifférents ; Vous n’avez point de syndérèse ; Philis, pour mes dix
mille
francs1, Souffrez su moins que je vous baise ! O
eau que sur votre modèle, Et qu’ils se prisent moins d’avoir bâti les
deux
, Que d’avoir achevé l’ouvrage de vos yeux : Car,
us-même, Vos gestes, vos regards, vos ris et vos discours Font mourir
mille
amants et naître mille amours. Mais, dans ce bel
s regards, vos ris et vos discours Font mourir mille amants et naître
mille
amours. Mais, dans ce bel amas de grâces nonpare
si pénible ouvrage, Elle vous a mal fait l’humeur et le courage ; Ces
deux
manquent en vous et ternissent le teint Des plus
vous plaît et rien ne vous contente, Et votre esprit, flottant entre
cent
passions, A beaucoup de desseins et peu d’affecti
sur ses yeux, ces beaux yeux Qui lancent d’un seul trait la flamme en
mille
lieux ; Quand je représentais à ma vive mémoire L
ésinvolture toute française d’Alfred de Musset étaient aussi vrais en
1865
qu’en 1645. Dites-moi si c’est inconstance, Capr
toute française d’Alfred de Musset étaient aussi vrais en 1865 qu’en
1645.
Dites-moi si c’est inconstance, Caprice, ou bien
oins de lettres que vous, Et n vous répondiez à tous Il vous faudrait
vingt
secrétaires. Quoiqu’à la fameuse Angélique Cent b
Une foule vous accompagne Et la moitié de vos amants Pourrait former
trois
régiments Plus forts que celui de Champagne. Soye
t les servantes avec le vif éclat de rire d’Augustine Brohan mourut à
cinquante-cinq
ans, le 17 février 1672, dans sa maison vis-à-vis
vif éclat de rire d’Augustine Brohan mourut à cinquante-cinq ans, le
17
février 1672, dans sa maison vis-à-vis du Palais-
de rire d’Augustine Brohan mourut à cinquante-cinq ans, le 17 février
1672,
dans sa maison vis-à-vis du Palais-Royal. Née en
ut de grandes inquiétudes comme il avait de grands chagrins. Le mardi
11
octobre 1672 il perdit son petit garçon. On fit r
es inquiétudes comme il avait de grands chagrins. Le mardi 11 octobre
1672
il perdit son petit garçon. On fit relâche, mais
avait faim. Tout est triste à la comédie en cette dernière année : le
17
février, Madeleine Béjart meurt sans pouvoir dire
jour-là « la troupe était à Saint-Germain pour le ballet du Roi ».
IV
Madeleine Béjart a, pour ainsi dire, deux act
ur le ballet du Roi ». IV Madeleine Béjart a, pour ainsi dire,
deux
actes mortuaires. Voici le premier au registre de
er au registre de Saint-Germain l’Auxerrois : « Le dit jour, vendredi
dix-neuf
février seize-cent soixante et douze, le corps de
ain l’Auxerrois : « Le dit jour, vendredi dix-neuf février seize-cent
soixante
et douze, le corps de feue damoiselle Marie Magde
ois : « Le dit jour, vendredi dix-neuf février seize-cent soixante et
douze
, le corps de feue damoiselle Marie Magdelaine Béj
ire, de Voulge. » Voilà le second acte : « Le dix-septième (février
1672
) demoiselle Magdeleinne Béjart est décédée parois
Saint-Paul et ensuite inhumé dans le charnier de la dicte église, le
dix-neuf
du dit mois. (Signé :) Béjart Léguisé. J.-B.-P. M
e. Elle lègue sur son héritage de quoi payer chaque jour à perpétuité
cinq
sous, en l’honneur des cinq plaies de Notre-Seign
ge de quoi payer chaque jour à perpétuité cinq sous, en l’honneur des
cinq
plaies de Notre-Seigneur, à cinq pauvres auxquels
rpétuité cinq sous, en l’honneur des cinq plaies de Notre-Seigneur, à
cinq
pauvres auxquels cette aumône sera faite par le c
ré de Saint-Paul ; c’est à peu près comme si elle léguait aujourd’hui
cinq
cents francs de rente perpétuelle aux pauvres. No
Saint-Paul ; c’est à peu près comme si elle léguait aujourd’hui cinq
cents
francs de rente perpétuelle aux pauvres. Nous voy
blesse et son mal augmentant toujours. » Ce dernier codicille est du
14
février, Madeleine mourut le 17 février. On retro
jours. » Ce dernier codicille est du 14 février, Madeleine mourut le
17
février. On retrouve en l’étude de Me Émile Jozon
l’étude de Me Émile Jozon le testament de Madeleine Béjart, écrit le
9
janvier 1672, soit cinq semaines avant sa mort. C
e Me Émile Jozon le testament de Madeleine Béjart, écrit le 9 janvier
1672,
soit cinq semaines avant sa mort. C’est Eudore So
Jozon le testament de Madeleine Béjart, écrit le 9 janvier 1672, soit
cinq
semaines avant sa mort. C’est Eudore Soulié qui a
que voudront choisir le sieur son frère et les damoiselles ses sœurs,
deux
messes basses de requiem par chacune semaine, don
venus qui en proviendront, être payé par chacun jour, i perpétuité, à
cinq
pauvres qui seront nommés par lesdites damoiselle
iselle de Molière, l’une d’elles, et de ceux qui naîtront dudit aîné,
cinq
sols en l’honneur des cinq plaies de Notre-Seigne
elles, et de ceux qui naîtront dudit aîné, cinq sols en l’honneur des
cinq
plaies de Notre-Seigneur, qui sera un sol à chacu
Jean-Baptiste Poquelin Molière, ses sœurs susdites, et à chacun d’eux
trois
, quatre cents livres de rente et pension viagère,
ptiste Poquelin Molière, ses sœurs susdites, et à chacun d’eux trois,
quatre
cents livres de rente et pension viagère, à prend
Poquelin Molière, ses sœurs susdites, et à chacun d’eux trois, quatre
cents
livres de rente et pension viagère, à prendre sur
légataires universels sous-nommés, à mesure que chacun desdits sieur
Louis
et damoiselles Geneviève et Grésinde Béjart décéd
-à-vis l’église Saint-Joseph, et qu’à mesure qu’il y en aura, jusqu’à
vingt
ou trente mille livres au plus, ils soient employ
église Saint-Joseph, et qu’à mesure qu’il y en aura, jusqu’à vingt ou
trente
mille livres au plus, ils soient employés en acqu
Saint-Joseph, et qu’à mesure qu’il y en aura, jusqu’à vingt ou trente
mille
livres au plus, ils soient employés en acquisitio
re, présent lu et relu en ladite chambre où elle est malade, l’an mil
six
cent soixante-douze, le neuvième jour de janvier,
présent lu et relu en ladite chambre où elle est malade, l’an mil six
cent
soixante-douze, le neuvième jour de janvier, depu
nt lu et relu en ladite chambre où elle est malade, l’an mil six cent
soixante-douze
, le neuvième jour de janvier, depuis huit heures
l’an mil six cent soixante-douze, le neuvième jour de janvier, depuis
huit
heures du soir jusques à deux heures aussi du soi
ze, le neuvième jour de janvier, depuis huit heures du soir jusques à
deux
heures aussi du soir, et a signé : M. Beiart. O
odicille qui ne changea rien à ces dispositions ; le codicille est du
14
février ; ce jour-là « ladite damoiselle aurait d
est, et notamment que sa vue est affaiblie ». On fit l’inventaire les
12
et 17 mars. On indiqua beaucoup de costumes de th
t notamment que sa vue est affaiblie ». On fit l’inventaire les 12 et
17
mars. On indiqua beaucoup de costumes de théâtre
âtre où l’or et l’argent font du tapage. La vaisselle d’argent pesait
35
marcs. Les bijoux se composaient d’une bague en r
ait 35 marcs. Les bijoux se composaient d’une bague en rose garnie de
onze
petits diamants, un autre diamant carré et six à
gue en rose garnie de onze petits diamants, un autre diamant carré et
six
à côté, une pierre bleue, un collier de soixante-
un autre diamant carré et six à côté, une pierre bleue, un collier de
soixante-dix
perles baroques, enfin une bague en or « en laque
ues, enfin une bague en or « en laquelle est enchâssé un saphir prisé
cent
sous ». On a remarqué que lorsqu’un notaire fait
tés pour ce qu’ils valent ; chez Madeleine, il n’y avait pas moins de
dix-sept
mille huit cent neuf livres un sou, « en espèces
ce qu’ils valent ; chez Madeleine, il n’y avait pas moins de dix-sept
mille
huit cent neuf livres un sou, « en espèces de lou
ils valent ; chez Madeleine, il n’y avait pas moins de dix-sept mille
huit
cent neuf livres un sou, « en espèces de louis d’
alent ; chez Madeleine, il n’y avait pas moins de dix-sept mille huit
cent
neuf livres un sou, « en espèces de louis d’or, p
; chez Madeleine, il n’y avait pas moins de dix-sept mille huit cent
neuf
livres un sou, « en espèces de louis d’or, pistol
neuf livres un sou, « en espèces de louis d’or, pistoles et pièces de
quatre
pistoles d’Espagne, et louis blancs de trente sol
, pistoles et pièces de quatre pistoles d’Espagne, et louis blancs de
trente
sols ». Aujourd’hui l’inventaire de la fortune mo
inventaire de la fortune mobilière de Madeleine s’élèverait à plus de
cent
mille francs. Il y avait en outre sa fortune en c
taire de la fortune mobilière de Madeleine s’élèverait à plus de cent
mille
francs. Il y avait en outre sa fortune en contrat
z pénétrer dans l’intérieur de Madeleine Béjart, entrons chez elle le
12
mars avec l’exécuteur testamentaire, Armande Béja
une grande lèchefrite, le tout de fer, prisé ensemble comme tel quel,
cent
sols, ci… cs Item. Un chaudron, un poêlon, etc.
cs Item. Un chaudron, un poêlon, etc., le tout cuivre jaune, prisé
six
livres, ci… vilt. Item. Une platine de cuivre ja
ne platine de cuivre jaune et un crochet de fer, etc., prisé ensemble
cent
sols, ci… cs. Item. Un grand chandelier de cuivr
cent sols, ci… cs. Item. Un grand chandelier de cuivre jaune, prisé
trente
sols, ci… xxxs. Item. Deux marmites, dont une sa
grand chandelier de cuivre jaune, prisé trente sols, ci… xxxs. Item.
Deux
marmites, dont une sans pieds, une cloche et son
ar sans couvercle, le tout cuivre rouge et tels quels, prisé ensemble
six
livres, ci… vilt. Item. En pots, plats, écuelles
elles, assiettes et autres ustensiles d’étain sonnant, la quantité de
soixante-cinq
livres et demie pesant, prisé la livre dix sols,
, la quantité de soixante-cinq livres et demie pesant, prisé la livre
dix
sols, revenant audit prix à la somme de trente-de
ie pesant, prisé la livre dix sols, revenant audit prix à la somme de
trente-deux
livres quinze sols, ci… xxxiilt xvs. Item. Une t
livre dix sols, revenant audit prix à la somme de trente-deux livres
quinze
sols, ci… xxxiilt xvs. Item. Une tenture de tapi
iilt xvs. Item. Une tenture de tapisserie de Flandres, à verdure, en
six
pièces, faisant de tour dix-huit à dix-neuf aunes
de tapisserie de Flandres, à verdure, en six pièces, faisant de tour
dix-huit
à dix-neuf aunes sur deux aunes deux tiers de hau
rie de Flandres, à verdure, en six pièces, faisant de tour dix-huit à
dix-neuf
aunes sur deux aunes deux tiers de haut, prisé tr
verdure, en six pièces, faisant de tour dix-huit à dix-neuf aunes sur
deux
aunes deux tiers de haut, prisé trois cent cinqua
six pièces, faisant de tour dix-huit à dix-neuf aunes sur deux aunes
deux
tiers de haut, prisé trois cent cinquante livres,
ur dix-huit à dix-neuf aunes sur deux aunes deux tiers de haut, prisé
trois
cent cinquante livres, ci… iiis llt. Item. Quatr
-huit à dix-neuf aunes sur deux aunes deux tiers de haut, prisé trois
cent
cinquante livres, ci… iiis llt. Item. Quatre feu
à dix-neuf aunes sur deux aunes deux tiers de haut, prisé trois cent
cinquante
livres, ci… iiis llt. Item. Quatre feuilles de p
iers de haut, prisé trois cent cinquante livres, ci… iiis llt. Item.
Quatre
feuilles de paravent garnies de serge grise, pris
t. Item. Quatre feuilles de paravent garnies de serge grise, prisées
trois
livres, ci… iiilt. Item. Quatorze tabourets de b
avent garnies de serge grise, prisées trois livres, ci… iiilt. Item.
Quatorze
tabourets de bois de noyer, couverts de toile, et
t une petite table en bois blanc, forme ovale, posée sur son châssis,
deux
caisses de bois blanc, une grande manne d’osier e
autre petite table de bois de chêne, le tout tel quel, prisé ensemble
cinquante
sols, ci… ls. Item. Un vieil guéridon et deux tr
l, prisé ensemble cinquante sols, ci… ls. Item. Un vieil guéridon et
deux
tringles de fer tels quels, prisé ensemble douze
Un vieil guéridon et deux tringles de fer tels quels, prisé ensemble
douze
sols, ci… xiis. Item. Une seringue avec son étui
semble douze sols, ci… xiis. Item. Une seringue avec son étui, prisé
trente
sols, ci… xxxs. Vous voyez que la seringue de la
diennes. Nous entrons maintenant dans une chambre sur la rue. Item.
Trois
matelas doublés de toile et futaine, dont deux re
e sur la rue. Item. Trois matelas doublés de toile et futaine, dont
deux
remplis de laine et l’autre de bourre et bourrela
t, un petit traversin et un petit oreiller de coutil rempli de plume,
deux
couvertures de laine blanche, etc., le tout tel q
couvertures de laine blanche, etc., le tout tel quel, prisé ensemble
trente-cinq
livres, ci… xxxvlt Item. Un grand cabinet d’ébè
monté sur ses pieds, garni de plusieurs tiroirs par le dedans, prisé
soixante
livres, ci… lxlt. Item. Un tour de lit de serge
es, ci… lxlt. Item. Un tour de lit de serge de Mouy jaune, contenant
six
pièces, tel quel, prisé cent sols, ci… lxlt. Ite
de lit de serge de Mouy jaune, contenant six pièces, tel quel, prisé
cent
sols, ci… lxlt. Item. Une poêle à confiture, de
onfiture, de cuivre rouge et un petit fourneau de fer, prisé ensemble
trois
livres, ci… iiilt. Item. Un autre matelas garni
autre matelas garni de toile et futaine, rempli de bourrelanisse, et
six
couvertures de chaires, de serge jaune : prisé en
nisse, et six couvertures de chaires, de serge jaune : prisé ensemble
quatre
livres, ci… ivlt. Item. Une moyenne paire de che
ci… ivlt. Item. Une moyenne paire de chenets de cuivre jaune ; prisé
quatre
livres dix sols, ci… ivlt xs. Item. Six coffres
m. Une moyenne paire de chenets de cuivre jaune ; prisé quatre livres
dix
sols, ci… ivlt xs. Item. Six coffres de bahut, d
s de cuivre jaune ; prisé quatre livres dix sols, ci… ivlt xs. Item.
Six
coffres de bahut, dont quatre ronds et deux carré
uatre livres dix sols, ci… ivlt xs. Item. Six coffres de bahut, dont
quatre
ronds et deux carrés, garnis de leurs serrures fe
sols, ci… ivlt xs. Item. Six coffres de bahut, dont quatre ronds et
deux
carrés, garnis de leurs serrures fermant à clef,
garnis de leurs serrures fermant à clef, tels quels, prisés ensemble
huit
livres, ci… viilt. Item. Quatre petites cassette
nt à clef, tels quels, prisés ensemble huit livres, ci… viilt. Item.
Quatre
petites cassettes, telles quelles, garnies de leu
s quelles, garnies de leurs serrures fermant à clef, prisées ensemble
cinquante
sols, ci… ls. Dans ces cassettes nous allons voi
Item. Une veste de brocart d’or dont la dentelle les fausse, prisée
soixante
livres, ci… lxlt. Item. Un corps de paysanne, de
d’argent, et la jupe de satin vert de Gênes, garnie de guipure, prisé
trente
livres, ci… xxxlt. Item. Une autre jupe de satin
nte livres, ci… xxxlt. Item. Une autre jupe de satin vert, garnie de
six
broderies or et argent, une autre jupe de toile d
er de satin blanc, garni de dentelle d’argent, prisé le tout ensemble
soixante-quinze
livres, ci… lxxvlt. Item. Un déshabillé complet,
tem. Un déshabillé complet, couleur aurore, garni d’argent fin, prisé
deux
cents livres, ci… iiclt. Item. Un autre déshabil
Un déshabillé complet, couleur aurore, garni d’argent fin, prisé deux
cents
livres, ci… iiclt. Item. Un autre déshabillé de
e, garni de dentelles d’argent tant plein que vide, prisé la somme de
trois
cents livres, ci… iiiclt. Item. Un juste-au-corp
ni de dentelles d’argent tant plein que vide, prisé la somme de trois
cents
livres, ci… iiiclt. Item. Un juste-au-corps de s
t une jupe de taffetas couleur de cerise ; prisé ensemble la somme de
cinquante
livres, ci… llt. Item. Une chemise de gaze douce
ps, une jupe de taffetas vert, garnie de dentelle d’argent fin, prisé
quatre-vingt-dix
livres, ci… iiiixxxlt. Item. Une toilette de vel
tte de velours couleur de cerise, garnie de dentelle d’argent, prisée
trois
livres, ci… iiilt. Item. Un déshabillé de brocar
m. Un déshabillé de brocart gris rayé, garni de dentelle noire, prisé
dix
livres, ci… xlt. Item. Un manteau de taffetas no
livres, ci… xlt. Item. Un manteau de taffetas noir, tel quel, prisé
quatre
livres, ci… iiiilt, Item. Un déshabillé de taffe
Item. Un habit de drap d’Espagne noir, une jupe d’entre-deux, prisé
trente
livres, ci… xxxlt. Item. Une jupe et une tavayol
isé… viilt. Item. Un jupe de brocart incarnat, blanc et noir, prisée
huit
livres, ci… viiilt. Item. Une jupe de tabis jaun
sée huit livres, ci… viiilt. Item. Une jupe de tabis jaune, Ramie de
six
petites dentelles d’argent fin, prisée douze livr
e de tabis jaune, Ramie de six petites dentelles d’argent fin, prisée
douze
livres, ci…xiilt. Item. Une jupe de brocart doub
, ci…xiilt. Item. Une jupe de brocart double, à grand ramage, prisée
quinze
livres, ci… xvlt. Item. Quatre corps dérobés de
rocart double, à grand ramage, prisée quinze livres, ci… xvlt. Item.
Quatre
corps dérobés de différentes couleurs, garnis de
fférentes couleurs, garnis de dentelles or et argent, prisés ensemble
vingt
livres, ci… xxlt. Item. Deux tonnelets et deux p
entelles or et argent, prisés ensemble vingt livres, ci… xxlt. Item.
Deux
tonnelets et deux paires de manches, l’un de velo
ent, prisés ensemble vingt livres, ci… xxlt. Item. Deux tonnelets et
deux
paires de manches, l’un de velours couleur de cer
de toile d’argent blanc et vert, garnis de dentelle, prisés ensemble
trente
livres, ci… xxxlt. Item. Une casaque, un pourpoi
ci… xxxlt. Item. Une casaque, un pourpoint de toile d’argent, prisé
quinze
livres, ci… xvlt. Item. Une robe de toile coton
tem. Une robe de toile coton rouge et le bonnet doublé de drap, prisé
trois
livres, ci… iiilt. Item. Un habit couleur de feu
tines, garnies de galon or et argent, et un carquois, prisés ensemble
douze
livres, ci… xiilt. Item. Une jupe de taffetas bl
oir, garnies d’argent, prisés ensemble sept livres, ci… viilt. Item.
Quatre
draps de grosse toile de chanvre, prisés ensemble
iilt. Item. Quatre draps de grosse toile de chanvre, prisés ensemble
quatorze
livres, ci… xiiiilt. Item. Quinze chemises à usa
oile de chanvre, prisés ensemble quatorze livres, ci… xiiiilt. Item.
Quinze
chemises à usage de ladite défunte, de toile de c
à usage de ladite défunte, de toile de chanvre, dont sept blanches et
huit
jaunes, prisées ensemble vingt-cinq livres, ci… x
toile de chanvre, dont sept blanches et huit jaunes, prisées ensemble
vingt-cinq
livres, ci… xxvlt. Item. Deux jupes de toile de
et huit jaunes, prisées ensemble vingt-cinq livres, ci… xxvlt. Item.
Deux
jupes de toile de coton blanche et un juste-au-co
de toile de coton blanche et un juste-au-corps aussi de toile, prisé
cent
sols, ci… cs. Item. Un rideau de fenêtre de toil
nt sols, ci… cs. Item. Un rideau de fenêtre de toile de coton, prisé
quarante
sols, ci… xls. Item. Un petit paquet de mouchoir
em. Un petit paquet de mouchoirs, tabliers et autre menu linge, prisé
quatre
livres, ci… iiiilt. Nous voici à la vaisselle d’
revenue des grandeurs. Item. Un bassin rond, une aiguière couverte,
deux
grands et deux petits flambeaux, une écuelle couv
ndeurs. Item. Un bassin rond, une aiguière couverte, deux grands et
deux
petits flambeaux, une écuelle couverte, une tasse
lambeaux, une écuelle couverte, une tasse ronde, une petite salière à
quatre
pieds, un vinaigrier, un porte-mouchette avec son
autre paire de mouchettes et son portant, une autre grande salière à
quatre
branches, quatre cuillères et quatre fourchettes
ouchettes et son portant, une autre grande salière à quatre branches,
quatre
cuillères et quatre fourchettes à trois fourchons
tant, une autre grande salière à quatre branches, quatre cuillères et
quatre
fourchettes à trois fourchons, le tout poinçon de
e salière à quatre branches, quatre cuillères et quatre fourchettes à
trois
fourchons, le tout poinçon de Paris et pesant ens
fourchons, le tout poinçon de Paris et pesant ensemble la quantité de
trente-cinq
marcs une once, prisé le marc, à sa juste valeur,
té de trente-cinq marcs une once, prisé le marc, à sa juste valeur, à
vingt-sept
livres, revenant audit prix à la somme de… ixcxlv
ix à la somme de… ixcxlviiilt xvs. Item. Une bague en rose garnie de
onze
petits diamants, prisée quarante livres, ci… xllt
xvs. Item. Une bague en rose garnie de onze petits diamants, prisée
quarante
livres, ci… xllt. Item. Une autre bagne de diama
quarante livres, ci… xllt. Item. Une autre bagne de diamant carré et
six
à côté, prisée trente livres, ci… xxxlt. Item. U
… xllt. Item. Une autre bagne de diamant carré et six à côté, prisée
trente
livres, ci… xxxlt. Item. Une autre bague garnie
ci… xxxlt. Item. Une autre bague garnie d’une pierre bleue, prisée,
huit
livres, ci… viiilt. Item. Une autre bague améthy
ée, huit livres, ci… viiilt. Item. Une autre bague améthyste, prisée
six
livres, ci… vilt. Item. Une autre bague améthyst
prisée six livres, ci… vilt. Item. Une autre bague améthyste, prisée
huit
livres, ci… viiilt. Item. Un autre bague d’or en
Item. Un autre bague d’or en laquelle est enchâssé un saphir, prisée
cent
sols, ci… cs. Sans doute chacune de ces bagues r
et du comte de Modène. Il y avait aussi dans les bijoux un collier de
soixante-dix
perles baroques ; ce collier à coup sûr lui venai
e au xviie siècle. Nous arrivons aux deniers comptants. On a compté
dix-sept
mille huit cent neuf livres un sol, en espèces de
e siècle. Nous arrivons aux deniers comptants. On a compté dix-sept
mille
huit cent neuf livres un sol, en espèces de louis
cle. Nous arrivons aux deniers comptants. On a compté dix-sept mille
huit
cent neuf livres un sol, en espèces de louis d’or
Nous arrivons aux deniers comptants. On a compté dix-sept mille huit
cent
neuf livres un sol, en espèces de louis d’or, pis
arrivons aux deniers comptants. On a compté dix-sept mille huit cent
neuf
livres un sol, en espèces de louis d’or, pistoles
t neuf livres un sol, en espèces de louis d’or, pistoles et pièces de
quatre
pistoles d’Espagne, louis blancs de trente sols,
’or, pistoles et pièces de quatre pistoles d’Espagne, louis blancs de
trente
sols, ci… xxxs On voit que Madeleine Béjart th
, jour pour jour, il suivrait dans la mort sa première camarade ?
II
. Mademoiselle de Brie Si Armande fut cruelle
Molière. Ainsi « Jeanne-Catherine », fille de Romain Toutbel, née le
26
août 1669, eut pour parrain, à Saint-Roch, le 10
. Ainsi « Jeanne-Catherine », fille de Romain Toutbel, née le 26 août
1669,
eut pour parrain, à Saint-Roch, le 10 septembre s
main Toutbel, née le 26 août 1669, eut pour parrain, à Saint-Roch, le
10
septembre suivant, « Jean-Baptiste Poplain Molièr
aint-Germain. » Catherine signa cet acte : « Catherine du Rozet. » Le
12
décembre 1672, elle fut encore marraine avec Moli
. » Catherine signa cet acte : « Catherine du Rozet. » Le 12 décembre
1672,
elle fut encore marraine avec Molière, d’une des
filles quand il choisissait pour l’autre la maîtresse de Molière. Ces
quatre
strophes qui sont quatre petits chefs-d’œuvre, —
it pour l’autre la maîtresse de Molière. Ces quatre strophes qui sont
quatre
petits chefs-d’œuvre, — Alfred de Musset les sava
, c’est votre voix… O belle main ! ô belle bouche ! Que je vous baise
mille
fois ! Quand Molière ne fut plus de ce monde, M
monde fut pris à son innocence. Et cette innocence eut éternellement
dix-sept
ans. Ce fut à ce point que quarante ans plus tard
cette innocence eut éternellement dix-sept ans. Ce fut à ce point que
quarante
ans plus tard, Mlle de Brie jouait encore les Agn
jours le même cœur ; il aurait pu l’appeler le chien de la maison.
III
. La du Parc Mlle Du Parc mit le feu aux quatr
hien de la maison. III. La du Parc Mlle Du Parc mit le feu aux
quatre
coins de Paris et de Versailles, mais ce qui lui
donne sa renommée rayonnante, c’est qu’elle mit la passion au cœur de
quatre
hommes de génie s’il en fut, Molière, Corneille,
a Fontaine ; ce fut là une gloire sans pareille, dirait Célimène. Ces
quatre
hommes de génie ne mirent pas l’épée à la main po
’était amoureux ; Quel beau roman à faire, cette comédienne entre ces
quatre
amoureux illustres et jouant avec eux de l’éventa
cacher ses chutes sous l’éventail ! Ses chutes, il faut en constater
deux
: une avec Molière, une avec Racine : la comédie
e regain de l’amour si elle ne le condamnait à se nourrir d’idéal !
II
Chapelle, ami de Molière, a conté gaiement qu
s-tu pas un homme avisé ? Vois par là qu’il n’est pas aisé D’accorder
trois
femmes ensemble ! Fais-en donc ton profit. Surtou
mon cœur ne me le dit pas. La beauté de cette cruelle Est fameuse par
cent
trépas ; Mes yeux me disent qu’elle est belle, Ma
Mes yeux me disent qu’elle est belle, Mais mon cœur ne me le dit pas.
Mille
amants, d’une ardeur fidèle, Accompagnent toujour
sez toujours Votre lan la landeridette, Votre lan la landerida5 ?
III
Racine enleva Mlle Du Parc à Molière, à son c
a rencontre avec Molière. Selon ces historiens, quand elle mourut, le
13
décembre 1668, elle n’avait que vingt-cinq ans ;
avec Molière. Selon ces historiens, quand elle mourut, le 13 décembre
1668,
elle n’avait que vingt-cinq ans ; c’était là un â
historiens, quand elle mourut, le 13 décembre 1668, elle n’avait que
vingt-cinq
ans ; c’était là un âge de théâtre, puisqu’elle é
s premières caravanes. Il faudrait supposer qu’elle fût alors âgée de
deux
ou trois ans, ce qui eût été une comédienne invra
res caravanes. Il faudrait supposer qu’elle fût alors âgée de deux ou
trois
ans, ce qui eût été une comédienne invraisemblabl
comédienne invraisemblable. Jal, un peu plus exact, la fait naître en
1633
; vieillissons-la encore un peu et n’en croyons p
r en ce temps-là les actes de décès n’étaient pas authentiques. « Du
13
décembre 1668, Marquise de Gorle, veuve de feu Re
s-là les actes de décès n’étaient pas authentiques. « Du 13 décembre
1668,
Marquise de Gorle, veuve de feu René Berthelot, v
ur Du Parc, l’une des comédiennes de la troupe royale, âgée d’environ
25
ans, décédée le onzième du présent mois, rue de R
à on enterrait sa jeunesse en pleine jeunesse. Aux fêtes de Pâques de
1858,
Molière vint avec sa troupe7, à Rouen, au jeu de
s de 1858, Molière vint avec sa troupe7, à Rouen, au jeu de paume des
Deux
Maures, donner des représentations. On peut consu
ont des plus constants ; Mais c’est un meuble inutile Qu’un galant de
cinquante
ans. Ou des sonnets comme celui-là : D’un accue
ère. Tout se paie ici-bas, même les jeux cruels de la coquetterie.
IV
C’est surtout en lisant les poètes qu’on se d
avec, s’il faut le dire, une espèce de rage ; On le repousse, on fait
cent
projets superflus : Le trait qu’on porte au cœur
ffort qu’on se fait pour l’éteindre. Mlle Du Parc était morte depuis
quatre
ans, lorsque Corneille faisait représenter Pulché
t comme à l’époque où une douleur quotidienne le venait aiguillonner.
Dix
ans après Sertorius, nous retrouvons les mêmes mo
n après Psyché, puisque Mmede Sévigné en parle dès le mois de janvier
1672,
est peut-être encore plus surprenant. Si vous vou
iste aventure, À peine ai-je loisir d’y sentir sa blessure ; Grâces à
vingt
amants dont chez vous on se rit, Dès que votre œi
aissait bien le cœur humain, s’y laissait prendre tout le premier.
V
Mais Racine était le moins naïf des hommes de
mait. Il n’avait pas encore fait le Cid, ni le Misanthrope, comme ses
deux
rivaux, mais il avait une grande force sous la ma
orté cette accusation ? C’était la Voisin. Dans son interrogatoire du
17
février 1680, elle déclara, « qu’elle avait connu
accusation ? C’était la Voisin. Dans son interrogatoire du 17 février
1680,
elle déclara, « qu’elle avait connu la demoiselle
l ; à n’en pas douter, Racine fut du convoi, on le reconnaît dans ces
trois
vers : Item, les poètes de théâtre Dont l’on, le
r ainsi dire consacré les larmes de Racine. Tragédie sans musique.
VI
Je ne sais pas si Molière accompagna jusqu’au
ette femme qui était une des plus fraîches images de sa jeunesse. Ces
quatre
vers ne sont pas de Molière ; on les lui a attrib
our ce portrait de la Du Parc : Sa bouche parle sans rien dire Et ses
deux
yeux tirent de l’arc ! Louis Racine nie les amou
lancs. Et puis, c’était peut-être pour ne pas — l’embarrasser ? —
IV
. Geneviève Béjart Molière peint ainsi une des
ndu l’une avec l’autre. Molière seul était capable de cette aventure.
Deux
ans après, le jeudi 27 novembre 1664, Geneviève B
olière seul était capable de cette aventure. Deux ans après, le jeudi
27
novembre 1664, Geneviève Béjart se maria à son to
était capable de cette aventure. Deux ans après, le jeudi 27 novembre
1664,
Geneviève Béjart se maria à son tour, elle avait
oges. Molière, qui était témoin de sa sœur, ne vit-il pas là dans ces
deux
personnages, qui n’étaient que de simples bourgeo
le ainsi de la mort de Geneviève : « Le troisième jour de juillet mil
six
cent soixante-quinze (1675) MmeAubry mourut ; l’o
insi de la mort de Geneviève : « Le troisième jour de juillet mil six
cent
soixante-quinze (1675) MmeAubry mourut ; l’on ne
de la mort de Geneviève : « Le troisième jour de juillet mil six cent
soixante-quinze
(1675) MmeAubry mourut ; l’on ne joua point le ve
eviève : « Le troisième jour de juillet mil six cent soixante-quinze (
1675
) MmeAubry mourut ; l’on ne joua point le vendredi
ourut ; l’on ne joua point le vendredi cinquième. » Morte le mercredi
3,
Geneviève Béjart fut inhumée le lendemain au cime
e paroisse contient l’acte que voici : « Le quatrième jour de juillet
1675
a été fait le convoi, service et enterrement de G
é fait le convoi, service et enterrement de Geneviève Béjart, âgée de
quarante-quatre
ans, femme de M. Aubry, paveur ordinaire du roi.
n qu’elle atteignit son quarantième printemps. Quoi qu’il en soit, le
19
décembre 1672, Jean-Baptiste Aubry, âgé de trente
teignit son quarantième printemps. Quoi qu’il en soit, le 19 décembre
1672,
Jean-Baptiste Aubry, âgé de trente-six ans, selon
Quoi qu’il en soit, le 19 décembre 1672, Jean-Baptiste Aubry, âgé de
trente-six
ans, selon la déclaration inscrite dans l’acte de
t-Germain l’Auxerrois la veuve de Léonard de Loménie, qu’il perdit le
3
juillet 1675. Il ne resta pas longtemps fidèle à
l’Auxerrois la veuve de Léonard de Loménie, qu’il perdit le 3 juillet
1675.
Il ne resta pas longtemps fidèle à la mémoire de
et 1675. Il ne resta pas longtemps fidèle à la mémoire de Geneviève ;
deux
ans ne s’étaient pas écoulés qu’il avait convolé
s. On n’a pas trouvé l’acte de son mariage avec sa seconde femme ; le
31
mai 1677, elle signa avec son mari l’acte des fia
’a pas trouvé l’acte de son mariage avec sa seconde femme ; le 31 mai
1677,
elle signa avec son mari l’acte des fiançailles e
blondes rayonnantes qui illuminent leur chemin comme les comètes.
V.
Mademoiselle du Croisy12 Du Croisy n’était p
le type a des physionomies sans nombre. J’ai vu le Tartuffe joué par
dix
comédiens de marque, qui tous le jouaient bien av
us représentez. On lit dans le registre de La Grange sous la date de
1659
: Le sieur du Croisy et sa femme entrèrent dans l
t sa femme entrèrent dans la troupe comme acteurs nouveaux. Il a créé
vingt-deux
rôles dans les pièces de Molière, car il était là
était là au Dépit amoureux ; il y était encore au Malade imaginaire.
Vingt-deux
rôles où ce merveilleux comédien montrait vingt-d
lade imaginaire. Vingt-deux rôles où ce merveilleux comédien montrait
vingt-deux
figures, toute la gamme des passions et du caract
i en a fait la découverte, cette curiosité des Archives nationales :
1666.
— 12 janvier. Requête de Du Croisy et de sa femme
ait la découverte, cette curiosité des Archives nationales : 1666. —
12
janvier. Requête de Du Croisy et de sa femme adre
Nicolas de Lécole, sieur de Saint-Maurice, disant que, depuis sept à
huit
mois en çà le nommé Robert Pioger, fils de Me Pio
ein prémédité entre lui et ladite damoiselle Marie de Lécole, âgée de
18
ans, icelle damoiselle. Et la servante des suppli
ert Pioger, attendu le rapt mentionné en la présente requête. Fait le
12
janvier 1666. Signé : Frérand. » Et puisque nous
attendu le rapt mentionné en la présente requête. Fait le 12 janvier
1666.
Signé : Frérand. » Et puisque nous sommes aux Ar
’âge d’or des servantes de Molière, où toutes les servantes volent :
1673.
— 23 février. Plainte de Du Croisy contre une ser
r des servantes de Molière, où toutes les servantes volent : 1673. —
23
février. Plainte de Du Croisy contre une servante
23 février. Plainte de Du Croisy contre une servante voleuse. « L’an
1673,
le jeudi 23e jour de février, sur les deux heures
inte de Du Croisy contre une servante voleuse. « L’an 1673, le jeudi
23e
jour de février, sur les deux heures de relevée,
servante voleuse. « L’an 1673, le jeudi 23e jour de février, sur les
deux
heures de relevée, nous Jean David, commissaire a
nt ledit sieur Du Croisy nous a fait plainte et dit qu’il y a environ
trois
mois que la damoiselle sa femme prit pour servant
conserva le rôle d’Agnès jusqu’à sa retraite. Elle le jouait encore à
soixante-cinq
ans. » La Du Croisy se consola gaiement par ce m
consola gaiement par ce mot : « La de Brie a toujours l’air d’avoir
vingt
ans, mais c’est moi qui les tiens. » On trouve
tiens. » On trouve dans le Mercure de France ses lettres datées de
1675,
1722 et 1740. On a dit qu’il n’y avait pas de mei
. » On trouve dans le Mercure de France ses lettres datées de 1675,
1722
et 1740. On a dit qu’il n’y avait pas de meilleur
trouve dans le Mercure de France ses lettres datées de 1675, 1722 et
1740.
On a dit qu’il n’y avait pas de meilleur historie
es jambes et partie de ses cuisses par le moyen de sa jupe fendue des
deux
côtés, avec des bas de soie, attachés au haut d’u
remplir ce rôle parfaitement il faudrait que la Des Œillets jouât les
deux
premiers actes, et la Champmeslé les deux autres
ue la Des Œillets jouât les deux premiers actes, et la Champmeslé les
deux
autres ; voulant faire entendre par là que celle-
n de Molière, quand une actrice de sa troupe parlait encore de lui en
1756
? En effet, Mlle Du Croisy, qui mourut presque ce
e Du Croisy, qui mourut presque centenaire à Saint-Germain, jouait en
1671
une des Grâces dans Psyché. Elle fut admise en 16
ermain, jouait en 1671 une des Grâces dans Psyché. Elle fut admise en
1673.
Elle joua les confidentes avec une grâce abandonn
cer Mlle de Brie dans les Agnès, on ne lui trouva pas, elle qui avait
vingt
ans, les airs de naïveté et de jeunesse que la ma
tresse de Molière avait conservés avec tant de charme jusqu’à plus de
soixante
ans. VI. Mademoiselle de La Grange Marie R
avait conservés avec tant de charme jusqu’à plus de soixante ans.
VI
. Mademoiselle de La Grange Marie Ragueneau de
ts, lettres, poésies, — des autographes qu’on paierait aujourd’hui un
million
— et de ne les avoir pas transmis en mains loyale
rait des receptes et affaires de la Comédie depuis Pasques de l’année
1659,
appartenant au sieur La Grange, l’un des comédien
servi de fille de chambre à Mlle de Brie ; qu’elle eût représenté en
1658
une femme affligée dans la Psyché de Rouen ; qu’e
fligée dans la Psyché de Rouen ; qu’elle eût été, plus tard, sous ses
deux
noms, Marotte dans Les Précieuses ridicules, Mlle
its et gestes des comédiens et des spectateurs, qui nous initie après
deux
siècles aux délices de l’en tracte. Il y avait un
mpagnes. Il jouait le rôle d’un homme de particule, toujours suivi de
deux
pages, habillé comme un gentilhomme ruiné, velour
séductions, je ne pus quitter sitôt ces charmants amis : je demeurai
trois
mois à Lyon parmi les jeux, la comédie et le fest
ai avec Molière sur le Rhône qui mène à Avignon, où étant arrivé avec
quarante
pistoles de reste des débris de mon naufrage, com
mmes qui divertissaient les bienheureux passants qui aiment à jouer à
trois
dés. » Donnons encore la parole à d’Assoucy pour
ire un personnage de Suisse, où, quoique son rôle fût tout au plus de
quatre
vers, il s’en acquitta si bien, qu’en moins d’un
r la de Brie que parle théâtre ; mais l’heure glorieuse va sonner. Le
24
février 1672, le dimanche de la Quasimodo, La Gra
e que parle théâtre ; mais l’heure glorieuse va sonner. Le 24 février
1672,
le dimanche de la Quasimodo, La Grange écrit sur
Quasimodo, La Grange écrit sur son registre : — « Je fus fiancé lundi
25e
et je fus marié à Saint-Germain l’Auxerrois avec
t-ils pas des airs et des noms de gentilhomme ! Marie Ragueneau avait
trente-trois
ans ; par la grâce de son mariage, elle devenait
rosettes de ses souliers. Mlle de La Grange arriva à part entière en
1676.
Elle jouait les caractères en femme qui a été à b
davantage, Si l’on voulait l’aimer pour rien. Il parait par ce vers
deux
fois impertinent qu’il lui fallait payer pour êtr
u : des perles dans du fumier ; des trésors enfouis comme des morts à
six
pieds sous terre. Ce qu’il y a de plus singulier,
ope à Érasme. Il est pourtant peint en pied, de face, de profil et de
trois
quarts dans l’Éloge de la Folie : « On passerait
uffler mot. S’agit-il d’acheter, de faire un acte quelconque, une ces
mille
négociations que veut le commerce journalier de l
belle eau ce petit diamant presque perdu dans l’Éloge de la Folie.
VII
. La Beauval Quand le cardinal de Richelieu bâ
nt de chefs-d’œuvre inattendus, à ces immortelles comédies qui depuis
trois
siècles sont l’orgueil du théâtre et du génie fra
ureux aujourd’hui si par la vertu d’une magicienne nous pouvions, nos
quinze
sols à la main, entrer au parterre avec les garde
e le célèbre Saint-Germain et le célèbre Gillot qui gardent la porte,
deux
vraies cariatides ; comme nous donnerions avec jo
jour ou plutôt dans la demi-nuit avec son cordon de chandelles et ses
trois
lustres qui n’ont pas encore remplacé le soleil.
rois lustres qui n’ont pas encore remplacé le soleil. Il est près de
quatre
heures. On entre par-ci, on entre par-là, pour l’
ire une armée au feu ; poète de génie, ce qui l’oblige tous les ans à
deux
ou trois chefs-d’œuvre ; familier des grands de c
armée au feu ; poète de génie, ce qui l’oblige tous les ans à deux ou
trois
chefs-d’œuvre ; familier des grands de ce monde q
our les spectateurs ce M. de Molière est un prodige16. Silence ! Les
six
violons chantent d’une voix claire et vibrante un
a planté sa chaise, Et de son large dos morguant les spectateurs. Aux
trois
quarts du parterre a caché les acteurs. Heureuse
? Est-ce Madeleine Béjart ou Jeanne Beauval ? C’est Jeanne Beauval.
II
Voulez-vous savoir sa vie aventureuse ? Elle n
lles ne fut pas tous les jours à la noce avec une femme qui lui donna
vingt-huit
enfants. Paphetin chassa Beauval et obtint de l’a
un ordre qui défendait à tous les curés de son diocèse de marier ces
deux
fous. Que fit la fille ? Un dimanche, elle s’habi
selon la tradition, les amoureux ne logeaient pas dans une chambre à
deux
lits. Mais je vais donner le récit d’un historien
de l’enfant sa mère véritable ; elle l’avait élevée jusqu’à l’âge de
dix
ans dans la perspective de blanchir la toile de H
ces de la république de Hollande, vit Jeanne chez sa blanchisseuse, «
II
proposa à celle-ci de prendre sa fille d’adoption
u temps où la troupe de Paphetin y donnait des représentations. « Les
deux
directeurs ne s’associèrent point ; ils restèrent
le voulait l’épouser. » Le moucheur de chandelles, Jean Pitel, en vit
trente-six
chandelles. « L’actrice à la mode consentait à de
rvertis dans le ménage. Quoi qu’il en soit, selon le vers connu : « À
vingt-sept
ans, j’avais déjà quatorze enfants. » III
qu’il en soit, selon le vers connu : « À vingt-sept ans, j’avais déjà
quatorze
enfants. » III Mlle Beauval n’était pas fa
vers connu : « À vingt-sept ans, j’avais déjà quatorze enfants. »
III
Mlle Beauval n’était pas faite pour adoucir le
nette du Malade imaginaire. Elle garda sa gaieté jusqu’au tombeau. Le
20
mars 1720, âgée de soixante-treize ans, elle riai
Malade imaginaire. Elle garda sa gaieté jusqu’au tombeau. Le 20 mars
1720,
âgée de soixante-treize ans, elle riait encore n’
aire. Elle garda sa gaieté jusqu’au tombeau. Le 20 mars 1720, âgée de
soixante-treize
ans, elle riait encore n’ayant plus que le souffl
Molière trouvait-il un vif plaisir dans la compagnie de ce « diable à
quatre
», selon le mot de Regnard. Elle ne savait rien d
ontrer. Son entrée au Théâtre français est presque de l’histoire : en
1670,
Colbert prit les ordres de Louis XIV pour l’engag
a troupe dont faisaient partie les Beauval était à Mâcon, lorsque, le
1er
août 1670, un courrier, parti de Saint-Germain, p
dont faisaient partie les Beauval était à Mâcon, lorsque, le 1er août
1670,
un courrier, parti de Saint-Germain, porta à Jean
ion du présent ordre. Fait à Saint-Germain-en-Laye, le xxxie juillet
1670.
Signé Louis et plus bas Colbert. » Voici une aut
nt ordre. Fait à Saint-Germain-en-Laye, le xxxie juillet 1670. Signé
Louis
et plus bas Colbert. » Voici une autre page offi
à Paris après avoir reçu une lettre de cachet, et eut une part. Et «
deux
mois après, M. de Molière manda de la même troupe
pagne M. et Mlle Beauval pour une part et demie, à la charge de payer
500
livres de la pension du sieur Bejard (qui s’était
ivres de la pension du sieur Bejard (qui s’était retiré à Pâques), et
3
livres chaque jour de représentation à Chasteaune
le roi ne la voulait pas sur son théâtre. Comme elle était grosse de
quatre
mois, Louis XIV dit avec humeur : « Qu’elle retou
t prendre l’essor, Avec sa Cour si florissante, Et pendant des jours,
quinze
ou trente. Molière, privilégié, Comme seul des ta
l’essor, Avec sa Cour si florissante, Et pendant des jours, quinze ou
trente
. Molière, privilégié, Comme seul des talents doué
Aussi ce fut avec un sentiment de joie et de regret qu’elle revint en
1680
au vrai théâtre de la comédie, quand les deux tro
egret qu’elle revint en 1680 au vrai théâtre de la comédie, quand les
deux
troupes se réunirent. Celle qui n’obéissait qu’au
n emploi, je me retire ; bonsoir, la compagnie. » Ceci se passait en
1704,
il y avait donc trente-quatre ans que Mlle Beauva
; bonsoir, la compagnie. » Ceci se passait en 1704, il y avait donc
trente-quatre
ans que Mlle Beauval jouait la comédie à Paris ;
» Et s’animant : « Que pourrait-on me reprocher ? J’ai mis au monde
vingt-quatre
ou vingt-huit enfants, je ne sais plus combien ;
: « Que pourrait-on me reprocher ? J’ai mis au monde vingt-quatre ou
vingt-huit
enfants, je ne sais plus combien ; une Agnès ou u
s plus combien ; une Agnès ou une d’Escarbagnas eût passé chaque fois
six
semaines au lit, — les paresseuses ! — moi, je re
u lit, — les paresseuses ! — moi, je reprenais mon service au bout de
huit
jours, parce que je suis une femme des anciens te
ri, car elle ne lui permit pas de rester au théâtre sans sa femme.
IV
Du reste, l’intérieur de ces deux comédiens é
ster au théâtre sans sa femme. IV Du reste, l’intérieur de ces
deux
comédiens était bien une autre comédie. Si le mar
le premier, qui a déniché les merles. Voici, par exemple, en novembre
1685,
une « plainte de Beauval contre Jacques Deshayes,
e la Beauval, car le mari n’emboîtait le pas que sur le sien. En août
1795,
nouvelle plainte « contre une servante voleuse ».
eur de Beauval, officier du Roi ; lequel nous a dit qu’il y a environ
six
jours, il aurait rendu plainte à Me Bizoton, auss
ambre, de laquelle il aurait fait diverses perquisitions depuis lundi
8
jours en cette ville de Paris et enfin aurait déc
logée dans la chambre où nous sommes, aurait retrouvé dans ses hardes
deux
cornettes, une de petite dentelle du Havre et l’a
de petite dentelle du Havre et l’autre d’une grande dentelle large de
six
doigts de malines à double réseau, deux autres co
d’une grande dentelle large de six doigts de malines à double réseau,
deux
autres cornettes de linon rayé avec une petite de
Angélique lui ayant emporté, outre lesdites hardes, dans son cabinet
36
louis d’or neufs et 14 écus neufs. Pourquoi requi
porté, outre lesdites hardes, dans son cabinet 36 louis d’or neufs et
14
écus neufs. Pourquoi requiert notre transport à l
n son expression, elle portait des cornettes « en dentelles larges de
six
doigts de malines à double réseau ». Beauval avai
s époux Beauval. Mais le mari veillait au grain. Voici une plainte en
1694
contre des individus qui avaient coupé du seigle
ire la moisson. Mais en voici bien d’une autre ! C’est une plainte en
1695
« contre une servante ivrognesse et voleuse ». Il
e servante ivrognesse et voleuse ». Il y en avait donc déjà ? « L’an
1695,
le jeudi 25e jour d’août, sur les dix heures du m
gnesse et voleuse ». Il y en avait donc déjà ? « L’an 1695, le jeudi
25e
jour d’août, sur les dix heures du matin, en l’hô
en avait donc déjà ? « L’an 1695, le jeudi 25e jour d’août, sur les
dix
heures du matin, en l’hôtel de nous, Charles Bizo
porte de Bussi : lequel nous a fait plainte et dit qu’il y a environ
six
semaines son épouse aurait pris pour servante de
l’on lui prenait et notamment le jour d’hier ayant mis dans sa poche
huit
petites pièces de quatre sols, une pièce de six s
tamment le jour d’hier ayant mis dans sa poche huit petites pièces de
quatre
sols, une pièce de six sols de reste de monnaie q
nt mis dans sa poche huit petites pièces de quatre sols, une pièce de
six
sols de reste de monnaie que son chandelier lui a
soin, ladite Catherine lui serait venue dire qu’il n’y avait plus que
quatre
pièces de 4 sols et une de 6 sols, ce qui aurait
erine lui serait venue dire qu’il n’y avait plus que quatre pièces de
4
sols et une de 6 sols, ce qui aurait lait que lad
venue dire qu’il n’y avait plus que quatre pièces de 4 sols et une de
6
sols, ce qui aurait lait que ladite damoiselle so
dit que sûrement elle était volée et qu’elle avait lesdites pièces de
4
sols et liards en icelle. » Que penseraient aujo
ent aujourd’hui Sarah Bernhardt, Croizette ou Brohan de ces pièces de
quatre
sols et liards en icelle qui jouent un si grand r
ui lui avait donné un soufflet ». Ne passons pas une ligne : « L’an
1702,
le lundi 13e jour de mars, sur les trois heures a
nné un soufflet ». Ne passons pas une ligne : « L’an 1702, le lundi
13e
jour de mars, sur les trois heures après midi, no
sons pas une ligne : « L’an 1702, le lundi 13e jour de mars, sur les
trois
heures après midi, nous, Charles Bizoton, commiss
e Jean Pitel, sieur de Beauval, nous a fait plainte et dit que depuis
quinze
jours ou trois semaines elle aurait pris à son se
eur de Beauval, nous a fait plainte et dit que depuis quinze jours ou
trois
semaines elle aurait pris à son service, en quali
u’il nous a paru dans une chambre derrière celle de ladite plaignante
deux
carreaux de vitre casses où ladite Legrand s’est
me Beauval, je vais apprendre à lire à mes enfants. » Elle avait eu
vingt-quatre
enfants ! aussi jamais maîtresse d’école n’eut un
allures endiablées. Elle ne se reposa que le lundi, vingtième de mars
1720,
la mort l’ayant couchée dans le tombeau, « Il n’y
Célimène avant la lettre, c’est-à-dire avant la femme de Molière.
VIII
. Mademoiselle Beaupré Mademoiselle Beaupré lu
eaupré et Mlle des Urlies. Il y avait, à n’en pas douter, un amant ou
deux
là-dessous. Elles mirent l’épée à la main « après
in. — Et en disant cela, c’était à la fin de la farce, elle va quérir
deux
épées point épointées. La fille en prit une, croy
ettre l’épée à la main. Mlle Marotte passa à la Comédie-Française de
1669
à 1672. Hillemacher l’a un peu défigurée, puisqu’
’épée à la main. Mlle Marotte passa à la Comédie-Française de 1669 à
1672.
Hillemacher l’a un peu défigurée, puisqu’elle éta
fait un grand tort. Nous avions ci-devant des pièces de théâtre pour
trois
écus que l’on nous faisait en une nuit : on y éta
argent et nous gagnons peu de chose. » Bien de l’argent, c’est-à-dire
cent
écus par chef-d’œuvre ! IX. La Servante de Mol
ose. » Bien de l’argent, c’est-à-dire cent écus par chef-d’œuvre !
IX
. La Servante de Molière La servante de Molièr
Roi demandait quel était le plus grand homme de son règne, à l’un des
deux
qui répondait : C’est Molière. La réponse doit êt
une. Voici un acte de décès à Saint-Germain-l’Auxerrois : « Le lundi,
9e
juillet 1668, fut inhumée Louise Lefebvre, veuve
un acte de décès à Saint-Germain-l’Auxerrois : « Le lundi, 9e juillet
1668,
fut inhumée Louise Lefebvre, veuve de Edme Jorand
s voyons la première Laforest. Grimarest raconte cette scène datée de
1664
: « Quelque temps après le retour de Baron, on j
servante qui faisait alors tout son domestique, quoiqu’il eût près de
trente
mille livres de rentes. Cette femme était dans la
e qui faisait alors tout son domestique, quoiqu’il eût près de trente
mille
livres de rentes. Cette femme était dans la couli
de la bouche de Molière. M. Taschereau rapporte l’aventure à l’année
167019
; mais voilà une difficulté à l’adoption de cette
e. La Grange, dans son journal commencé seulement à Pâques de l’année
1659,
dit que « Sancho Panse, pièce raccommodée par Mll
ommodée par Mlle Béjart », fut joué pour la première fois « le samedi
5e
juin 1659 ». L’ouvrage eut quelques représentatio
par Mlle Béjart », fut joué pour la première fois « le samedi 5e juin
1659
». L’ouvrage eut quelques représentations en 1660
« le samedi 5e juin 1659 ». L’ouvrage eut quelques représentations en
1660,
1662, 1663 et fut représenté pour la dernière foi
amedi 5e juin 1659 ». L’ouvrage eut quelques représentations en 1660,
1662,
1663 et fut représenté pour la dernière fois « le
5e juin 1659 ». L’ouvrage eut quelques représentations en 1660, 1662,
1663
et fut représenté pour la dernière fois « le vend
660, 1662, 1663 et fut représenté pour la dernière fois « le vendredi
20e
novembre 1665 ». « Si la petite aventure de l’âne
63 et fut représenté pour la dernière fois « le vendredi 20e novembre
1665
». « Si la petite aventure de l’âne eut lieu en p
s jours avant la première représentation de Mélicerte c’est-à-dire de
1660
à 1665. Une Laforest était au service de Molière
avant la première représentation de Mélicerte c’est-à-dire de 1660 à
1665.
Une Laforest était au service de Molière ; on en
édie française, tenu par La Thorillière. » Sous la date « du vendredi
19
décembre 1664 », on lit cette mention : « À Lafor
se, tenu par La Thorillière. » Sous la date « du vendredi 19 décembre
1664
», on lit cette mention : « À Laforest, 31 » On s
du vendredi 19 décembre 1664 », on lit cette mention : « À Laforest,
31
» On se demande pourquoi. C’est bien simple : Mol
ution des Femmes savantes, on trouve : Martine, servante de cuisine
20.
Dans l’inventaire après la mort de Molière, on v
le temps de mourir ? Pourquoi s’appelaient-elles Laforest toutes les
deux
? Qui sait même s’il n’y en a pas trois ou quatre
ient-elles Laforest toutes les deux ? Qui sait même s’il n’y en a pas
trois
ou quatre du même nom ? C’est qu’on avait coutume
s Laforest toutes les deux ? Qui sait même s’il n’y en a pas trois ou
quatre
du même nom ? C’est qu’on avait coutume dans ce t
es ridicules : « Bravo, monsieur de Molière, voilà la comédie ! »
X.
Mlle de La Thorillière Mademoiselle Dancourt
qu’il n’y avait que demi-mal. Thérèse de La Thorillière était née en
1663.
Quand Dancourt l’enleva, en 1680, il n’avait guèr
rèse de La Thorillière était née en 1663. Quand Dancourt l’enleva, en
1680,
il n’avait guère que dix-huit ans et demi. Elle n
t née en 1663. Quand Dancourt l’enleva, en 1680, il n’avait guère que
dix-huit
ans et demi. Elle n’en avait que dix-sept. Comme
1680, il n’avait guère que dix-huit ans et demi. Elle n’en avait que
dix-sept
. Comme on dit : « De part et d’autre, c’était le
s contredit les meilleurs maîtres du monde. Comme « ils se levaient à
quatre
heures du matin pour prier Dieu à huit heures du
e. Comme « ils se levaient à quatre heures du matin pour prier Dieu à
huit
heures du soir »,ils pouvaient, en passant, culti
petite chambre de la rue Saint-Jacques, qui n’était pas une chambre à
deux
lits, ils furent si heureux que Thérèse oublia, l
, d’aller à la Comédie. Après la lune de miel de l’amour, une lune de
quatre
semaines comme toutes les lunes, elle entraîna Da
ième, de gueules â un lion d’argent et un chef cousu d’azur chargé de
trois
étoiles d’argent », ils daignèrent reconnaître qu
rmes étaient « d’azur à une hure de sanglier de sable, accompagnée de
trois
glands de sinople ». Mais, qui le croirait ? ce f
qu’il « en mourut » peu de temps après. Selon La Grange, « le samedi
27
juillet 1680, M. de La Thorillière est mort à l’h
mourut » peu de temps après. Selon La Grange, « le samedi 27 juillet
1680,
M. de La Thorillière est mort à l’hôtel de Bourgo
st mort à l’hôtel de Bourgogne, ce qui a donné lieu à la jonction des
deux
troupes ». Le mariage avait été célébré à Saint-M
nction des deux troupes ». Le mariage avait été célébré à Saint-Méry,
trois
mois auparavant, le 15 avril. Il parait que Thérè
Le mariage avait été célébré à Saint-Méry, trois mois auparavant, le
15
avril. Il parait que Thérèse était une très jolie
Palais-Royal ; aussi je m’étonne qu’elle ne fut pas enlevée avant ses
dix-sept
ans ! XI. Mlle Brécourt, Mlle Beaubourg, Mlle
si je m’étonne qu’elle ne fut pas enlevée avant ses dix-sept ans !
XI
. Mlle Brécourt, Mlle Beaubourg, Mlle Barrillionet
, une des nombreuses filles de la Beauval. C’est elle qui, à l’âge de
huit
ans, créa le rôle de Louison dans Le Malade imagi
ce n’était pas non plus un miracle de beauté. Elle n’en eut pas moins
trois
maris. On allait bien dans cette famille où la mè
ns trois maris. On allait bien dans cette famille où la mère avait eu
vingt-quatre
ou vingt-huit enfants. Hillemacher a gravé Mlle B
On allait bien dans cette famille où la mère avait eu vingt-quatre ou
vingt-huit
enfants. Hillemacher a gravé Mlle Beaubourg d’apr
tre de La Thorillière, avec cette mention : « À Philipotte, une livre
dix
sols » pour avoir figuré le personnage muet d’une
es sœurs. Sans doute elle fut heureuse : elle n’a pas d’histoire.
1.
Pour soutenir l’Illustre théâtre et les comédienn
utenir l’Illustre théâtre et les comédiennes, Molière, par un acte du
31
mars 1644, dépose « chez une marchande deux ruban
’Illustre théâtre et les comédiennes, Molière, par un acte du 31 mars
1644,
dépose « chez une marchande deux rubans en broder
es, Molière, par un acte du 31 mars 1644, dépose « chez une marchande
deux
rubans en broderie d’or et d’argent, comme nantis
ubans en broderie d’or et d’argent, comme nantissement d’une somme de
291
livres tournois. II y a loin de là, sans doute, à
r et d’argent, comme nantissement d’une somme de 291 livres tournois.
II
y a loin de là, sans doute, à une avance de dix m
e 291 livres tournois. II y a loin de là, sans doute, à une avance de
dix
mille francs ; mais les rubans en broderie d’or e
1 livres tournois. II y a loin de là, sans doute, à une avance de dix
mille
francs ; mais les rubans en broderie d’or et d’ar
bans en broderie d’or et d’argent avaient pu le conduire tout droit à
mille
écus de points de Gènes. En tout cas, il fut empr
ilis, comme une boutade d’amant ruiné et disgracié ». Paul Lacroix.
2.
Le bibliophile Jacob dit ici ; « Ce passage, où l
rait reconnaître alors dans l’un d’eux le grand Dieu des combats. »
3.
La Vicomtesse Caltros, jouée par Mlle du Parc.
des combats. » 3. La Vicomtesse Caltros, jouée par Mlle du Parc.
4.
Le Marquis de Marenville, joué par Molière. 5.
e par Mlle du Parc. 4. Le Marquis de Marenville, joué par Molière.
5.
Toutes ces poésies de Molière ont été publiées pa
Bibliophile Jacob dans le petit volume édité par Alphonse Lemerre en
1869.
Il est prouvé que Molière dans les années vagabon
ils devenus ? Où sont-ils ? Comment les découvrir, les deviner, entre
mille
? Telle a été ma préoccupation, et c’est pour cel
euilleté et refeuilleté bien des livres et bien des manuscrits depuis
vingt-cinq
ans. Lorsque Boileau Despréaux écrivit sa fameuse
peine de mettre au service de ses sentiments ou de ses galanteries.
6.
Mlle Du Parc variait ses plaisirs. Non-seulement
tre. « On voyait ses jambes au moyen d’une jupe qui était ouverte des
deux
côtés, avec des bas de soie attachés au haut d’un
ôtés, avec des bas de soie attachés au haut d’une petite culotte. »
7.
« Outre Molière, le personnel des acteurs se comp
sœur de Madeleine, la future femme de Molière, qui n’avait guère que
treize
ans lorsqu’elle vint à Rouen. » (Bouquet.) 8. Ce
n’avait guère que treize ans lorsqu’elle vint à Rouen. » (Bouquet.)
8.
Ce roman n’a pas encore eu d’historien, mais déjà
llois a étudié d’un regard pénétrant le sentiment amoureux du poète.
9.
Toute cette tragédie calomnieuse est éloquemment
t éloquemment flagellée par Marc de Montifaud : Racine et la Voisin.
10.
Ce paveur ordinaire du roi prit alors le titre de
it dire, par les gens de théâtre, qu’il avait pris un nom à son gré.
11.
Aubry ne se décida qu’un peu tard à briguer les s
se décida qu’un peu tard à briguer les suffrages du public ; il avait
cinquante-trois
sus quand il donna sa première tragédie, Dimitriu
trius, représentée sur le théâtre de la rue Guénégaud, le « vendredi,
10e
jour de juin 1689. »Le registre de la Comédie fra
e sur le théâtre de la rue Guénégaud, le « vendredi, 10e jour de juin
1689.
»Le registre de la Comédie française pour l’année
jour de juin 1689. »Le registre de la Comédie française pour l’année
1689
porte, à cette date, la mention suivante : « Dimi
us, tragédie nouvelle de M. Aubry, première représentation au Simple,
509
l. ». La feuille sur laquelle sont inscrites les
le sur laquelle sont inscrites les dépenses faites pour la journée du
30
juin et les recettes du spectacle de ce jour port
30 juin et les recettes du spectacle de ce jour porte : « Dimitrius,
11e
et dernière fois pour l’auteur et leCocuimaginair
« Dimitrius, 11e et dernière fois pour l’auteur et leCocuimaginaire,
316
livres. » C’était par égard pour l’ombre de Genev
C’était par égard pour l’ombre de Geneviève Béjart, qu’on avait joué
onze
fois ce Dimitrius. 12. « Du Croisy », petit fief
’ombre de Geneviève Béjart, qu’on avait joué onze fois ce Dimitrius.
12.
« Du Croisy », petit fief de la Beauce, où les si
dien pour lui confier le rôle de Tartuffe. La Grange, sous la date de
1659
: « Le sieur Du Croisy et sa femme entrèrent dans
arti du théâtre comme son frère, et devint : Mlle de Bellerose. Jal.
13.
Variante. — Mais de trop près son papa la talonn
erose. Jal. 13. Variante. — Mais de trop près son papa la talonne.
14.
Dans l’histoire de la fille de Molière on trouve
de la fille de Molière on trouve d’autres lettres de Mlle Du Croisy.
15.
On croit qu’elle avait couru la province avec Mol
Croisy. 15. On croit qu’elle avait couru la province avec Molière.
16.
Qui a le mieux peint en une page cette vie en ple
le manteau de satin couleur de musc de Sganarelle. Il se marie entre
deux
représentations de L’École des maris, données dan
insi de la mort de Molière. Morte tua vivens. » Voilà qui est dit.
17.
P. 269 vº d’un Registre de la secrétairerie d’Éta
. 17. P. 269 vº d’un Registre de la secrétairerie d’État, pour l’an
1670,
gardé à la Bibliothèque. 18. Quatre mois après s
de la secrétairerie d’État, pour l’an 1670, gardé à la Bibliothèque.
18.
Quatre mois après son début, c’est-à-dire le 15 n
a secrétairerie d’État, pour l’an 1670, gardé à la Bibliothèque. 18.
Quatre
mois après son début, c’est-à-dire le 15 novembre
à la Bibliothèque. 18. Quatre mois après son début, c’est-à-dire le
15
novembre 1670, Mlle Beauval mit au monde une fill
thèque. 18. Quatre mois après son début, c’est-à-dire le 15 novembre
1670,
Mlle Beauval mit au monde une fille, que, le même
c, femme d’Edme Villequin, officier du Roi. » C’est là Mlle de Brie.
19.
Grimarest dit que Laforest était la servante de M
de curieuses notes sur les servantes de Molière sans rien prouver.
20.
Il y avait aussi une seconde Marotte. Il semble b
oit Pour seconder en ce rencontre Les appas dont elle fait montre.
21.
Elle fut aussi de la troupe de Molière parce qu’e
vie est en quelque sorte le mythe de la comédie. Voici un peu plus de
deux
cents ans que Molière est entré dans la postérité
st en quelque sorte le mythe de la comédie. Voici un peu plus de deux
cents
ans que Molière est entré dans la postérité. Depu
lus de deux cents ans que Molière est entré dans la postérité. Depuis
deux
siècles on réimprime, on juge, on critique ses œu
re se perde avec eux. L’interprétation faiblit. Louis XIV ne peut, en
1700,
assister jusqu’au bout à une représentation de L’
les premiers biographes du poète : Grimarest, Bruzen de Lamartinière.
Deux
éditions importantes eurent lieu, celle de Joly,
amartinière. Deux éditions importantes eurent lieu, celle de Joly, en
1734,
celle de Bret, en 1773. Le célèbre acteur tragiqu
ns importantes eurent lieu, celle de Joly, en 1734, celle de Bret, en
1773.
Le célèbre acteur tragique Lekain, à l’occasion d
bre acteur tragique Lekain, à l’occasion du centenaire de Molière, en
1773,
eut l’idée de rendre un hommage public au grand p
e représentation exceptionnelle fut donnée à la Comédie française, le
17
février, et le bénéfice en devait être consacré à
es, aurait suffi pour subvenir à la dépense projetée, ne s’éleva qu’à
3,600
livres ou environ. Il fallut qu’à la honte des ri
en l’honneur du poète comique fut faite par l’Académie française. Dès
1769,
l’éloge de Molière avait été mis au concours par
ssits. Cette joute littéraire ne fut pas sans effet sur l’opinion. En
1778,
l’Académie compléta la réparation en plaçant dans
t avec un accent de reproche : « Il faut qu’un corps illustre attende
cent
années pour apprendre à l’Europe que nous ne somm
. La diffusion presque immédiate de son œuvre fut extraordinaire. Dès
1670,
à l’époque du voyage diplomatique de la duchesse
n : The School for scandal. L’édition de Molière publiée à Londres en
1732
est une des premières éditions de luxe du grand é
ussi vite qu’en Angleterre. Il fut traduit et imprimé à Francfort dès
1670.
Avant la fin du XVIIe siècle, deux traductions pl
raduit et imprimé à Francfort dès 1670. Avant la fin du XVIIe siècle,
deux
traductions plus complètes parurent, l’une d’elle
tin : Histrio gallicus, comico satyricus sine exemplo, […] Nuremberg,
1695.
L’Allemagne déploya, dans les représentations sur
in du XVIIe siècle. La remarquable traduction de Nicolas di Castelli (
1696-1698
), quoique imprimée à Leipzig, était destinée à la
et l’histoire de Molière, dans la comédie qu’il fit jouer à Turin, en
1751,
sous le titre de Il Moliere. Mercier, trente ans
’il fit jouer à Turin, en 1751, sous le titre de Il Moliere. Mercier,
trente
ans plus tard, ne fit qu’imiter Goldoni. « N’est-
ensuite. La Ecuela de los Maridos, El Medico a palos, conquéraient en
1812
et 1814 la nation que nos armes n’avaient pu soum
La Ecuela de los Maridos, El Medico a palos, conquéraient en 1812 et
1814
la nation que nos armes n’avaient pu soumettre. L
van Kropotov traduisait une partie des œuvres de Molière en russe, en
1767.
En moins de cent ans, la renommée de Molière s’ét
isait une partie des œuvres de Molière en russe, en 1767. En moins de
cent
ans, la renommée de Molière s’était étendue dans
Mercier, pour joindre l’exemple au précepte, empruntait à Goldoni son
II
Moliere, le transformait à sa manière, et faisait
s père et fils, dans Le Médecin malgré lui, arrangé en opéra-comique (
1791
), introduisaient le Ça ira révolutionnaire. À la
é les principales variantes dans un feuilleton du Journal des Débats (
12
août 1833). Le correcteur s’était attaché à faire
incipales variantes dans un feuilleton du Journal des Débats (12 août
1833
). Le correcteur s’était attaché à faire disparaît
e, Et le nom de Monsieur est chez lui hors d’usage. Le correcteur de
1793
fait dire à Célimène : Ô l’ennuyeux conteur ! Ja
chez lui hors d’usage. Et d’être tutoyé lui paraît un outrage. Ces
deux
derniers vers sont d’une fantaisie assez divertis
es Contât, Devienne, Mlle, Mars déjà. Le vieux Préville, reparut même
deux
ou trois fois dans Le Malade imaginaire. Un parei
t, Devienne, Mlle, Mars déjà. Le vieux Préville, reparut même deux ou
trois
fois dans Le Malade imaginaire. Un pareil moment
immortelles. » Les travaux sur l’auteur comique se multiplièrent. En
1802,
Cailhava publiait ses études sur Molière. Plus ta
r démontrait, dans son Cours analytique de littérature générale (tome
II
), que « l’examen des pièces de Molière suffit à c
succédèrent à courts intervalles. On vit paraître celles de Petitot (
1812
), d’Auger (1819-1825), d’Auguis (1823), de Tasche
ourts intervalles. On vit paraître celles de Petitot (1812), d’Auger (
1819-1825
), d’Auguis (1823), de Taschereau (1823-1824), d’A
vit paraître celles de Petitot (1812), d’Auger (1819-1825), d’Auguis (
1823
), de Taschereau (1823-1824), d’Aimé Martin (1824-
Petitot (1812), d’Auger (1819-1825), d’Auguis (1823), de Taschereau (
1823-1824
), d’Aimé Martin (1824-1826). Ce retour de la Fran
819-1825), d’Auguis (1823), de Taschereau (1823-1824), d’Aimé Martin (
1824-1826
). Ce retour de la France vers le plus vrai et le
Lindau a publié sur Molière plusieurs ouvrages distingués. Messieurs
C.
Humbert, de Bielefeld, le docteur Schweitzer, H.
e refusant, dans une fête que lui donnaient les comédiens français en
1800,
à admettre que Molière appartienne à la France pl
La critique anglaise a toujours été hautement favorable à Molière. En
1828,
deux revues qui venaient de se fonder à Londres,
tique anglaise a toujours été hautement favorable à Molière. En 1828,
deux
revues qui venaient de se fonder à Londres, la Fo
on patriotique « We certainly have in comedy no name equal to Molière
2
». disait l’écrivain. Molière n’a point déchu, de
lors, dans l’opinion du public anglais. On en eut la preuve, lorsque,
deux
fois la Comédie française alla en corps donner de
e alla en corps donner des représentations à Londres, au mois d’avril
1871
et au mois de juin 1879. Molière fit surtout les
es représentations à Londres, au mois d’avril 1871 et au mois de juin
1879.
Molière fit surtout les frais du répertoire ancie
de juin 1879. Molière fit surtout les frais du répertoire ancien. En
1871,
Tartuffe fut représenté 9 fois dans la capitale d
tout les frais du répertoire ancien. En 1871, Tartuffe fut représenté
9
fois dans la capitale de la Grande-Bretagne, Le M
résenté 9 fois dans la capitale de la Grande-Bretagne, Le Misanthrope
4
fois, L’Avare 4 fois, Les Fourberies de Scapin 3
ans la capitale de la Grande-Bretagne, Le Misanthrope 4 fois, L’Avare
4
fois, Les Fourberies de Scapin 3 fois, Le Médecin
agne, Le Misanthrope 4 fois, L’Avare 4 fois, Les Fourberies de Scapin
3
fois, Le Médecin malgré lui 4 fois, Le Malade ima
’Avare 4 fois, Les Fourberies de Scapin 3 fois, Le Médecin malgré lui
4
fois, Le Malade imaginaire 2 fois, Le Dépit amour
de Scapin 3 fois, Le Médecin malgré lui 4 fois, Le Malade imaginaire
2
fois, Le Dépit amoureux 2 fois, L’École des maris
cin malgré lui 4 fois, Le Malade imaginaire 2 fois, Le Dépit amoureux
2
fois, L’École des maris 1 fois. Voilà pour quelle
Malade imaginaire 2 fois, Le Dépit amoureux 2 fois, L’École des maris
1
fois. Voilà pour quelle part Molière contribuait
a France, pendant que Paris subissait les désastres de la Commune. En
1879,
son rôle ne fut pas moins important. On put const
beaucoup le public anglais. Vous savez que L’Étourdi reproduit durant
cinq
actes et à satiété, la même situation, qui revien
le force comique ne faut-il pas qu’il y ait dans ces œuvres pour qu’à
deux
cents ans de distance, chez un peuple dont les mœ
rce comique ne faut-il pas qu’il y ait dans ces œuvres pour qu’à deux
cents
ans de distance, chez un peuple dont les mœurs di
chez les Anglais. Un article publié dans le North American Review, en
1828,
mérite d’être placé sur la même ligne que ceux de
t traduit, mais il est représenté. Un imprésario arménien, il y a une
dizaine
d’années, avait monté au centre de la ville un th
nous, la lutte, ou l’insurrection littéraire qui éclata un peu avant
1830,
ne porta à la renommée et à l’influence de Molièr
l’ancienne littérature. Victor Hugo, dans le volume sur Shakespeare (
1864
), qui est comme le dernier manifeste de l’école r
ler qu’en face de ce terrain étaient les fenêtres de la maison où, le
17
février 1673, l’auteur du Malade imaginaire fut r
ace de ce terrain étaient les fenêtres de la maison où, le 17 février
1673,
l’auteur du Malade imaginaire fut rapporté mouran
fut émise par M. Régnier, de la Comédie française, dans une lettre du
25
mars 1837 au préfet de la Seine. Le conseil munic
e par M. Régnier, de la Comédie française, dans une lettre du 25 mars
1837
au préfet de la Seine. Le conseil municipal, la C
ommage qui lui est décerné. » L’inauguration du monument eut lieu le
15
janvier 1844. Elle eut tout le caractère d’une cé
lui est décerné. » L’inauguration du monument eut lieu le 15 janvier
1844.
Elle eut tout le caractère d’une cérémonie nation
pire. M. Despois a relevé, sur les registres de la Comédie française,
2051
représentations de Molière de 1851 à 1870. Les re
registres de la Comédie française, 2051 représentations de Molière de
1851
à 1870. Les recherches si heureuses de M. Eudore
es de la Comédie française, 2051 représentations de Molière de 1851 à
1870.
Les recherches si heureuses de M. Eudore Soulié d
ui ont assisté à la représentation diurne de la Comédie française, le
16
janvier 1871, en garderont à jamais la mémoire. O
sté à la représentation diurne de la Comédie française, le 16 janvier
1871,
en garderont à jamais la mémoire. On célébrait, d
à jamais la mémoire. On célébrait, dans Paris assiégé et bombardé, le
deux
cent quarante-neuvième anniversaire de la naissan
ais la mémoire. On célébrait, dans Paris assiégé et bombardé, le deux
cent
quarante-neuvième anniversaire de la naissance de
sance de Molière. On joua le Dépit amoureux et Amphitryon. Entre les
deux
pièces, M. Coquelin dit des stances de M. Gondine
urtri, blessé, stoïque, Qui fête le génie au bruit de leur canon… En
1873,
lorsque vint le deux-centième anniversaire de la
e Molière, nous étions encore sous le coup des funestes événements de
1870
et de 1871. Cet anniversaire fut célébré cependan
nous étions encore sous le coup des funestes événements de 1870 et de
1871.
Cet anniversaire fut célébré cependant par l’init
héâtre. Des conférences et des représentations diurnes eurent lieu du
15
au 22 mai. Du moins, la France endolorie attesta
. Des conférences et des représentations diurnes eurent lieu du 15 au
22
mai. Du moins, la France endolorie attesta qu’ell
ule ligne de l’écriture authentique de Molière. Nous avons maintenant
deux
quittances, l’une de 1650, l’autre de 1656, retro
thentique de Molière. Nous avons maintenant deux quittances, l’une de
1650,
l’autre de 1656, retrouvées par M. de la Pijardiè
ère. Nous avons maintenant deux quittances, l’une de 1650, l’autre de
1656,
retrouvées par M. de la Pijardière, archiviste de
il ne semble pas qu’il puisse y avoir encore de contestation. Plus de
soixante
signatures de Molière sont connues. Un recueil pé
liériste, fondé par M. Monval, archiviste de la Comédie française, en
1879,
et parvenu déjà à sa huitième année, centralise l
SANCE ET JEUNESSE DE MOLIÈRE Jean-Baptiste Poquelin fut baptisé le
15
janvier 1622. Voici la teneur de l’acte de baptêm
UNESSE DE MOLIÈRE Jean-Baptiste Poquelin fut baptisé le 15 janvier
1622.
Voici la teneur de l’acte de baptême de Molière,
gistres de la paroisse Saint-Eustache, et découvert par M. Beffara en
1821
: Du samedi 15 janvier 1622, fut baptisé Jean, f
isse Saint-Eustache, et découvert par M. Beffara en 1821 : Du samedi
15
janvier 1622, fut baptisé Jean, fils de Jean Poug
Eustache, et découvert par M. Beffara en 1821 : Du samedi 15 janvier
1622,
fut baptisé Jean, fils de Jean Pouguelin, tapissi
le nom de Jean, et non celui de Jean-Baptiste. Un second fils, né en
1624,
ayant été baptisé sous le nom de Jean, qui était
un oranger pour en atteindre les fruits. Démolie au mois de nivôse an
X
(1802), elle fut reconstruite après avoir subi un
oranger pour en atteindre les fruits. Démolie au mois de nivôse an X (
1802
), elle fut reconstruite après avoir subi un retra
i un retrait d’alignement considérable : elle porte aujourd’hui le n°
96
de la rue, et au mois d’octobre 1876 on a placé s
ble : elle porte aujourd’hui le n° 96 de la rue, et au mois d’octobre
1876
on a placé sur sa façade une plaque de marbre noi
ison a été construite sur l’emplacement de celle où est né Molière le
15
janvier 1622. » Il n’y a certitude que cette mai
construite sur l’emplacement de celle où est né Molière le 15 janvier
1622.
» Il n’y a certitude que cette maison ait été ha
rtitude que cette maison ait été habitée par Molière que pour l’année
1637.
Un extrait de l’État de la taxe des boues de la V
rait de l’État de la taxe des boues de la Ville de Paris pour l’année
1637
porte en effet cette mention « Maison où pend pou
boutique et court, faisant le coin de la rue des Étuves. » Molière en
1637
avait déjà quinze ans. Il est possible sans doute
t, faisant le coin de la rue des Étuves. » Molière en 1637 avait déjà
quinze
ans. Il est possible sans doute que le maître tap
n Poquelin, pendant cet intervalle, eût déménagé, et qu’il habitât en
1622
une autre maison de la rue Saint-Honoré. Mais la
nçailles et de mariage de Jean Poquelin, le père de Molière, sont des
25
et 27 avril 1621. Leur contrat de mariage est ant
es et de mariage de Jean Poquelin, le père de Molière, sont des 25 et
27
avril 1621. Leur contrat de mariage est antérieur
mariage de Jean Poquelin, le père de Molière, sont des 25 et 27 avril
1621.
Leur contrat de mariage est antérieur de deux moi
ont des 25 et 27 avril 1621. Leur contrat de mariage est antérieur de
deux
mois, du 22 février. Du 27 avril au 15 janvier, o
27 avril 1621. Leur contrat de mariage est antérieur de deux mois, du
22
février. Du 27 avril au 15 janvier, où Molière es
Leur contrat de mariage est antérieur de deux mois, du 22 février. Du
27
avril au 15 janvier, où Molière est né au plus ta
de mariage est antérieur de deux mois, du 22 février. Du 27 avril au
15
janvier, où Molière est né au plus tard, puisqu’i
ière est né au plus tard, puisqu’il fut baptisé ce jour-là, on compte
huit
mois et dix-huit jours. « Ce n’est pas le seul si
u plus tard, puisqu’il fut baptisé ce jour-là, on compte huit mois et
dix-huit
jours. « Ce n’est pas le seul signe de précocité
mille avaient fourni des juges et des consuls à la ville de Paris. En
1631,
Jean Poquelin succéda à la charge de tapissier va
ison. Jean Poquelin devint tapissier ordinaire de la maison du roi le
2
avril 1631, par la résignation de son frère, Nico
an Poquelin devint tapissier ordinaire de la maison du roi le 2 avril
1631,
par la résignation de son frère, Nicolas Poquelin
s encore attaché à cet emploi. La transaction ne fut définitive qu’en
1637.
C’était là un de ces offices de cour qui s’acheta
t moyennant finance et se transmettaient presque héréditairement. Les
huit
tapissiers ayant qualité de valet de chambre fais
ts enregistrés par la Cour des aides. Leur service était seulement de
trois
mois, avec trois cents livres de gages et trente-
r la Cour des aides. Leur service était seulement de trois mois, avec
trois
cents livres de gages et trente-sept livres dix s
our des aides. Leur service était seulement de trois mois, avec trois
cents
livres de gages et trente-sept livres dix sous de
ce était seulement de trois mois, avec trois cents livres de gages et
trente-sept
livres dix sous de récompense. Le commerce recher
de trois mois, avec trois cents livres de gages et trente-sept livres
dix
sous de récompense. Le commerce recherchait et pa
droit comme un bourgeois notable ; aussi voit-on, quand il mourut en
1669,
qu’il fut inhumé avec beaucoup d’honneur dans l’É
lise Saint-Eustache : service complet, assistance de M. le curé et de
quatre
prêtres porteurs. Ainsi Molière naît à Paris ; il
était bien choisi par la destinée. Marie Cressé mourut au mois de mai
1632,
à l’âge de trente et un ans, ayant donné le jour
par la destinée. Marie Cressé mourut au mois de mai 1632, à l’âge de
trente
et un ans, ayant donné le jour à six enfants, don
mois de mai 1632, à l’âge de trente et un ans, ayant donné le jour à
six
enfants, dont quatre lui survivaient : Jean âgé d
à l’âge de trente et un ans, ayant donné le jour à six enfants, dont
quatre
lui survivaient : Jean âgé de dix ans (Molière),
onné le jour à six enfants, dont quatre lui survivaient : Jean âgé de
dix
ans (Molière), un autre Jean, âgé de huit ans, Ni
ui survivaient : Jean âgé de dix ans (Molière), un autre Jean, âgé de
huit
ans, Nicolas, âgé de six ans, et Madeleine Poquel
de dix ans (Molière), un autre Jean, âgé de huit ans, Nicolas, âgé de
six
ans, et Madeleine Poquelin, âgée de cinq ans. Ce
de huit ans, Nicolas, âgé de six ans, et Madeleine Poquelin, âgée de
cinq
ans. Ce sont les frères et sœur de Molière, qui n
ence. La part que Marie Cressé laissa à chacun de ses enfants, fut de
cinq
mille livres, bien qu’elle n’eût reçu que 2200 li
La part que Marie Cressé laissa à chacun de ses enfants, fut de cinq
mille
livres, bien qu’elle n’eût reçu que 2200 livres d
de ses enfants, fut de cinq mille livres, bien qu’elle n’eût reçu que
2200
livres de dot. Le commerce du tapissier avait don
. Le commerce du tapissier avait donc grandement prospéré pendant les
onze
années de cette union. L’inventaire, après décès
e un luxe, dont l’inventaire fait après le décès de Jean Poquelin, en
1669,
ne donnera plus l’idée. Le 30 mai 1633, juste au
après le décès de Jean Poquelin, en 1669, ne donnera plus l’idée. Le
30
mai 1633, juste au bout d’un an de veuvage, Jean
le décès de Jean Poquelin, en 1669, ne donnera plus l’idée. Le 30 mai
1633,
juste au bout d’un an de veuvage, Jean Poquelin é
eurette, sur laquelle on a peu de renseignements. Catherine mourut le
2
novembre 1636, trois ans après son mariage. Elle
r laquelle on a peu de renseignements. Catherine mourut le 2 novembre
1636,
trois ans après son mariage. Elle avait eu deux f
elle on a peu de renseignements. Catherine mourut le 2 novembre 1636,
trois
ans après son mariage. Elle avait eu deux filles
mourut le 2 novembre 1636, trois ans après son mariage. Elle avait eu
deux
filles dans cet intervalle, sœurs consanguines de
rs consanguines de Molière. Ainsi, le futur Molière fut élevé jusqu’à
dix
ans par une mère qui paraît avoir été une femme é
e celle-ci ne permet pas, toutefois, de croire que Molière, qui avait
quatorze
ans lorsqu’elle mourut, ait pu comme on l’a dit,
d’après elle la Béline du Malade imaginaire. Jean Poquelin acheta le
30
septembre, une maison sise sous les piliers des H
iers des Halles « devant le pilori » ; mais il n’alla s’y établir que
dix
ans plus tard. Il y demeura jusqu’à sa mort. En
s’y établir que dix ans plus tard. Il y demeura jusqu’à sa mort. En
1637,
Jean Poquelin assure à son fils aîné, alors âgé d
En 1637, Jean Poquelin assure à son fils aîné, alors âgé de près de
seize
ans, la survivance de la charge de tapissier et v
rge de tapissier et valet de chambre du roi, par provision en date du
14
décembre. C’était une formalité à remplir, et la
el que l’on a longtemps attribué ce rôle, mais celui-ci étant mort en
1626,
ainsi que l’a prouvé l’acte mortuaire retrouvé pa
(aujourd’hui Louis-le-Grand). Molière, entré au collège de Clermont à
quatorze
ans, en 1636, aurait terminé ses humanités au moi
s-le-Grand). Molière, entré au collège de Clermont à quatorze ans, en
1636,
aurait terminé ses humanités au mois d’août 1641.
à quatorze ans, en 1636, aurait terminé ses humanités au mois d’août
1641.
C’était une des plus grandes maisons d’éducation
isons d’éducation de Paris ; les Jésuites la dirigeaient ; il y avait
trois
cents maîtres, et quatre cents écoliers internes
d’éducation de Paris ; les Jésuites la dirigeaient ; il y avait trois
cents
maîtres, et quatre cents écoliers internes parmi
is ; les Jésuites la dirigeaient ; il y avait trois cents maîtres, et
quatre
cents écoliers internes parmi lesquels les enfant
s Jésuites la dirigeaient ; il y avait trois cents maîtres, et quatre
cents
écoliers internes parmi lesquels les enfants des
rand Condé et de Mlle de Longueville ; le prince était de sept ans et
huit
mois plus jeune que Molière ; plus tard cependant
e fit une si grande réputation d’originalité. Cela se serait passé en
1640,
pendant que Molière achevait sa rhétorique. C’est
u les Médecins vengés, fait parler ainsi Élomire ou Molière : […] En
quarante
, ou quelque peu devant, Je sortis du collège et j
Je me fis avocat au retour des vacances. Je suivis le barreau pendant
cinq
ou six mois, Où j’appris à plein fond l’ordonnanc
s avocat au retour des vacances. Je suivis le barreau pendant cinq ou
six
mois, Où j’appris à plein fond l’ordonnance et le
du métier. Le jeune Poquelin fit-il, pendant le deuxième trimestre de
1642,
le voyage de Roussillon à la suite de Louis XIII,
été témoin de l’arrestation de Cinq-Mars, qui eut lieu à Narbonne le
13
juin 1642. On a ajouté, mais sans preuve, que Mol
oin de l’arrestation de Cinq-Mars, qui eut lieu à Narbonne le 13 juin
1642.
On a ajouté, mais sans preuve, que Molière rejoig
d’inexactitudes, pourrait s’appliquer aussi bien à ce qui se passa en
1643,
comme on le verra tout à l’heure. Cependant le pr
dant le premier voyage à Narbonne, du mois d’avril au mois de juillet
1642,
peut être considéré comme très vraisemblable : le
us sommes parvenus, c’est-à-dire jusqu’à la seconde moitié de l’année
1642,
nous ne découvrons aucune manifestation sérieuse
tapissier se serait fait l’élève des charlatans du Pont-Neuf : Chez
deux
grands charlatans il apprenait un rôle, Chez ces
les épreuves, Quoique dans le quartier nous connussions les veuves De
six
fameux bouffons crevés dans cet emploi. En d’aut
us cherchons les premiers symptômes. Jean Poquelin le tapissier avait
deux
loges et demie en la halle couverte de la foire S
une admiration excessive. La Grange, dans la préface de l’édition de
1682,
a constaté l’inclination que Molière eut, dès ses
t Boileau aurait voulu plus tard lui supprimer la moitié. CHAPITRE
II
. DÉBUTS À PARIS, L’ILLUSTRE THÉÂTRE On touchai
pleine d’effervescence et d’élan. Le cardinal Richelieu était mort le
5
décembre 1642, précédant de moins d’une année le
fervescence et d’élan. Le cardinal Richelieu était mort le 5 décembre
1642,
précédant de moins d’une année le roi Louis XIII
a France respira à l’aise lorsqu’il ne fut plus. Le règne d’un roi de
cinq
ans s’ouvrait par des victoires : les batailles d
oi de cinq ans s’ouvrait par des victoires : les batailles de Rocroy (
1643
), de Fribourg (1644), de Nordlingen (1645), prépa
rait par des victoires : les batailles de Rocroy (1643), de Fribourg (
1644
), de Nordlingen (1645), préparaient le traité de
: les batailles de Rocroy (1643), de Fribourg (1644), de Nordlingen (
1645
), préparaient le traité de Westphalie. Les triomp
Les triomphes littéraires égalaient les triomphes guerriers. L’année
1640
avait vu représenter coup sur coup Horace, Cinna,
avait vu représenter coup sur coup Horace, Cinna, Polyeucte : l’année
1642,
La Mort de Pompée et Le Menteur ; l’année 1644, R
, Polyeucte : l’année 1642, La Mort de Pompée et Le Menteur ; l’année
1644,
Rodogune. Le grand Corneille, âgé de trente-huit
ée et Le Menteur ; l’année 1644, Rodogune. Le grand Corneille, âgé de
trente-huit
ans, était dans toute sa gloire, et, comme dit Vo
ération qui se formait comptait dans ses rangs La Fontaine, qui avait
vingt-quatre
ans, Pascal, qui avait vingt-deux ans, Bossuet, q
ses rangs La Fontaine, qui avait vingt-quatre ans, Pascal, qui avait
vingt-deux
ans, Bossuet, qui avait dix-huit ans, lorsque Mol
ingt-quatre ans, Pascal, qui avait vingt-deux ans, Bossuet, qui avait
dix-huit
ans, lorsque Molière en avait vingt-trois. Marie
t-deux ans, Bossuet, qui avait dix-huit ans, lorsque Molière en avait
vingt-trois
. Marie de Rabutin-Chantal venait d’épouser, à l’â
it vingt-trois. Marie de Rabutin-Chantal venait d’épouser, à l’âge de
dix-huit
ans, le marquis de Sévigné. C’est la première pha
us forte et la plus originale. Jean-Baptiste Poquelin fit, en l’année
1643,
le pas décisif dans la voie où son génie le pouss
on bonheur, Qu’en ce premier transport de ton âme ravie Tu les nommas
cent
fois ton salut et ta vie. Jean-Baptiste Poquelin
é, un autre adversaire de Molière, s’exprimait avec plus de mesure en
1663,
dans les Nouvelles nouvelles, lorsqu’il disait :
ne Béjart tout ensemble, celle-ci sans doute à cause de celle-là. Les
deux
passions sont d’accord ; la dominante toutefois,
jouissait alors de quelque réputation, François de Molière, auteur de
deux
romans intitulés l’un La Semaine amoureuse et l’a
l fut contemporain. Lorsque Scarron dit, dans sa Gazette burlesque du
23
février 1655 : Je fis chère très singulière Avec
mporain. Lorsque Scarron dit, dans sa Gazette burlesque du 23 février
1655
: Je fis chère très singulière Avecque l’aimable
nous par la renonciation à la survivance de la charge de son père. Le
6
janvier 1643, il reçoit de son père la somme de 6
a renonciation à la survivance de la charge de son père. Le 6 janvier
1643,
il reçoit de son père la somme de 630 livres, tan
rge de son père. Le 6 janvier 1643, il reçoit de son père la somme de
630
livres, tant de ce qui lui pouvait appartenir de
de tout droit qu’il y pouvait prétendre. Jean-Baptiste Poquelin avait
vingt
et un ans, ce qui alors n’était pas l’âge de la m
ce qui alors n’était pas l’âge de la majorité. On n’était majeur qu’à
vingt-cinq
ans. La survivance de la charge de tapissier du r
nommé Jean. L’aîné reprit la survivance après la mort de son frère en
1660.
Molière n’a jamais cessé du reste, de se qualifie
dans plusieurs actes et contrats, notamment dans l’acte de baptême du
10
janvier 1650 à Narbonne. Le frère puîné ne fut re
urs actes et contrats, notamment dans l’acte de baptême du 10 janvier
1650
à Narbonne. Le frère puîné ne fut reçu en surviva
nvier 1650 à Narbonne. Le frère puîné ne fut reçu en survivance qu’en
1657
; le père continuant ses fonctions n’avait pas ju
âtre à Paris ne se réalisa pas immédiatement après la renonciation du
6
janvier. Nous avons dit déjà que les principaux a
ces jeunes gens, Joseph Béjart, décéda au commencement de cette année
1643.
Le 10 mars, sa veuve Marie Hervé introduisait une
s gens, Joseph Béjart, décéda au commencement de cette année 1643. Le
10
mars, sa veuve Marie Hervé introduisait une requê
à renoncer à la succession de son défunt mari. Marie Hervé, mariée le
6
octobre 1615, avait eu onze ou douze enfants. Il
à la succession de son défunt mari. Marie Hervé, mariée le 6 octobre
1615,
avait eu onze ou douze enfants. Il lui en restait
n de son défunt mari. Marie Hervé, mariée le 6 octobre 1615, avait eu
onze
ou douze enfants. Il lui en restait cinq vivants
défunt mari. Marie Hervé, mariée le 6 octobre 1615, avait eu onze ou
douze
enfants. Il lui en restait cinq vivants à l’époqu
le 6 octobre 1615, avait eu onze ou douze enfants. Il lui en restait
cinq
vivants à l’époque du décès du père ; elle les no
père ; elle les nomme dans sa requête : Joseph, Madeleine, Geneviève,
Louis
, et une petite non baptisée. Joseph Béjart avait
ne, Geneviève, Louis, et une petite non baptisée. Joseph Béjart avait
vingt-six
, peut-être vingt-sept ans ; Madeleine, née en 161
et une petite non baptisée. Joseph Béjart avait vingt-six, peut-être
vingt-sept
ans ; Madeleine, née en 1618, vingt-cinq ans. Gen
Béjart avait vingt-six, peut-être vingt-sept ans ; Madeleine, née en
1618,
vingt-cinq ans. Geneviève Béjart, si l’on s’en ra
t avait vingt-six, peut-être vingt-sept ans ; Madeleine, née en 1618,
vingt-cinq
ans. Geneviève Béjart, si l’on s’en rapporte à l’
q ans. Geneviève Béjart, si l’on s’en rapporte à l’acte de mariage du
19
septembre 1672, n’aurait eu que onze ans, et, si
ève Béjart, si l’on s’en rapporte à l’acte de mariage du 19 septembre
1672,
n’aurait eu que onze ans, et, si l’on s’en rappor
en rapporte à l’acte de mariage du 19 septembre 1672, n’aurait eu que
onze
ans, et, si l’on s’en rapporte à l’acte d’inhumat
onze ans, et, si l’on s’en rapporte à l’acte d’inhumation de juillet
1675,
que douze ans, à cette date de 1643. Une erreur s
et, si l’on s’en rapporte à l’acte d’inhumation de juillet 1675, que
douze
ans, à cette date de 1643. Une erreur semble bien
à l’acte d’inhumation de juillet 1675, que douze ans, à cette date de
1643.
Une erreur semble bien probable dans ces deux act
e ans, à cette date de 1643. Une erreur semble bien probable dans ces
deux
actes, car à onze ou douze ans, on ne l’aurait po
e de 1643. Une erreur semble bien probable dans ces deux actes, car à
onze
ou douze ans, on ne l’aurait point fait figurer p
3. Une erreur semble bien probable dans ces deux actes, car à onze ou
douze
ans, on ne l’aurait point fait figurer parmi les
rices de l’Illustre Théâtre. C’est elle, sans doute, qui était née le
2
juillet 16244 et elle avait alors dix-neuf ans. L
’Illustre Théâtre. C’est elle, sans doute, qui était née le 2 juillet
16244
et elle avait alors dix-neuf ans. Louis Béjart, b
lle, sans doute, qui était née le 2 juillet 16244 et elle avait alors
dix-neuf
ans. Louis Béjart, baptisé le 4 décembre 1630, av
llet 16244 et elle avait alors dix-neuf ans. Louis Béjart, baptisé le
4
décembre 1630, avait à peine treize ans. Il est p
et elle avait alors dix-neuf ans. Louis Béjart, baptisé le 4 décembre
1630,
avait à peine treize ans. Il est probable que le
dix-neuf ans. Louis Béjart, baptisé le 4 décembre 1630, avait à peine
treize
ans. Il est probable que le décès du père de ces
jeunes gens retarda de quelques mois la constitution de la troupe. Le
30
juin, le contrat de société fut passé à Paris. La
Cet acte est trop important pour n’être pas donné ici textuellement.
30
juin 1643. Contrat de société entre les Comédiens
est trop important pour n’être pas donné ici textuellement. 30 juin
1643.
Contrat de société entre les Comédiens de l’illus
d’entre eux, aucun ne pourra se retirer de la troupe sans en avertir
quatre
mois auparavant, comme pareillement la troupe n’e
ent la troupe n’en pourra congédier aucun sans lui en donner avis les
quatre
mois auparavant. Item que les pièces nouvelles d
celles qui sortiront de la troupe à l’amiable suivant lad. clause des
quatre
mois tireront leurs parts contingentes de tous le
enu de bailler et payer au profit des autres de la troupe la somme de
trois
mille livres tournois pour les dédommager inconti
bailler et payer au profit des autres de la troupe la somme de trois
mille
livres tournois pour les dédommager incontinent e
e Surlis, en la maison de lad. veuve Béjart devant déclarée. L’an mil
six
cent quarante trois le trentième et dernier jour
rlis, en la maison de lad. veuve Béjart devant déclarée. L’an mil six
cent
quarante trois le trentième et dernier jour de ju
en la maison de lad. veuve Béjart devant déclarée. L’an mil six cent
quarante
trois le trentième et dernier jour de juin après
ison de lad. veuve Béjart devant déclarée. L’an mil six cent quarante
trois
le trentième et dernier jour de juin après midi e
e, comme elle-même le constate sur sous sceau et sur ses affiches, le
25
août 1680 par la jonction des deux troupes de l’h
elle-même le constate sur sous sceau et sur ses affiches, le 25 août
1680
par la jonction des deux troupes de l’hôtel de Bo
r sous sceau et sur ses affiches, le 25 août 1680 par la jonction des
deux
troupes de l’hôtel de Bourgogne et de l’hôtel de
ut être fixée ni à son installation dans la salle du Palais-Royal, le
20
janvier 1661, ni à son installation dans la salle
ée ni à son installation dans la salle du Palais-Royal, le 20 janvier
1661,
ni à son installation dans la salle du Petit-Bour
anvier 1661, ni à son installation dans la salle du Petit-Bourbon, le
3
novembre 1658, ni à la représentation qu’elle ava
, ni à son installation dans la salle du Petit-Bourbon, le 3 novembre
1658,
ni à la représentation qu’elle avait donnée au Lo
à la représentation qu’elle avait donnée au Louvre devant le roi, le
24
octobre précédent. Elle arrivait là toute constit
nalement à son véritable point de départ, à l’acte de constitution du
30
juin 1643. C’est l’une des sources d’un grand fle
à son véritable point de départ, à l’acte de constitution du 30 juin
1643.
C’est l’une des sources d’un grand fleuve, source
’une seule et même personne avec l’auteur de L’Hôpital des fous et de
trois
ou quatre autres pièces citées dans L’Histoire du
e et même personne avec l’auteur de L’Hôpital des fous et de trois ou
quatre
autres pièces citées dans L’Histoire du Théâtre f
e personnage, il devait être le doyen de la troupe ; il était né vers
1610
et avait par conséquent environ 33 ans. Dans tous
de la troupe ; il était né vers 1610 et avait par conséquent environ
33
ans. Dans tous les actes où il figure comme acteu
il figure comme acteur de l’Illustre Théâtre, il signe Denis Beys ou
D.
Beys ou Beys. Les frères Parfait nomment Charles
un bon ivrogne, et c’est le vin qui le tua. Loret, dans sa lettre du
4
octobre 1659, lui fait cette épitaphe : Beys, qu
rogne, et c’est le vin qui le tua. Loret, dans sa lettre du 4 octobre
1659,
lui fait cette épitaphe : Beys, qui n’eut jamais
on et jardin au cul-de-sac de la rue de Thorigny. Joseph Béjart avait
vingt-six
ou vingt-sept ans. Il était l’aîné de Madeleine,
au cul-de-sac de la rue de Thorigny. Joseph Béjart avait vingt-six ou
vingt-sept
ans. Il était l’aîné de Madeleine, qui était née
six ou vingt-sept ans. Il était l’aîné de Madeleine, qui était née en
1618,
et Joseph Béjart, le père, avait épousé Marie Her
t née en 1618, et Joseph Béjart, le père, avait épousé Marie Hervé en
1615.
Il était déjà engagé dans le parti de la comédie
t, avait fort bien pu faire lui-même en province une tournée avec les
deux
aînés de ses enfants et monter même sur le théâtr
trop conjectural. Ce qui est certain et bon à retenir, c’est que les
trois
Béjart qui sont signataires du contrat du 30 juin
etenir, c’est que les trois Béjart qui sont signataires du contrat du
30
juin formeront, avec J.-B. Poquelin, le noyau sol
maître écrivain, empruntait à Jean Poquelin, le père, au mois de juin
1641
et le 1er août 1643, des sommes de 172 et de 160
vain, empruntait à Jean Poquelin, le père, au mois de juin 1641 et le
1er
août 1643, des sommes de 172 et de 160 livres. On
runtait à Jean Poquelin, le père, au mois de juin 1641 et le 1er août
1643,
des sommes de 172 et de 160 livres. On le voit da
lin, le père, au mois de juin 1641 et le 1er août 1643, des sommes de
172
et de 160 livres. On le voit dans un autre acte s
re, au mois de juin 1641 et le 1er août 1643, des sommes de 172 et de
160
livres. On le voit dans un autre acte signer Geor
Il est à noter que le second emprunt de Pinel au tapissier, celui du
1er
août, a suivi d’un grand mois son enrôlement dans
avaux d’écriture. Georges Pinel était marié, car pour l’obligation du
1er
août, sa femme, Anne Pernay, souscrit avec lui. M
l privé du roi, et de Françoise Lesguillon, devait être fort jeune en
16437.
C’est pour cela sans doute que sa mère signe avec
arfait lui attribuent, outre la Généreuse Allemande, tragi-comédie en
deux
journées, huit pièces de théâtre : L’Inconstance
ibuent, outre la Généreuse Allemande, tragi-comédie en deux journées,
huit
pièces de théâtre : L’Inconstance d’Hylas (1630),
die en deux journées, huit pièces de théâtre : L’Inconstance d’Hylas (
1630
), La sœur Valeureuse (1633), Le Railleur (1636),
pièces de théâtre : L’Inconstance d’Hylas (1630), La sœur Valeureuse (
1633
), Le Railleur (1636), Le Véritable Capitan Matamo
L’Inconstance d’Hylas (1630), La sœur Valeureuse (1633), Le Railleur (
1636
), Le Véritable Capitan Matamore (1637). Lisanor o
Valeureuse (1633), Le Railleur (1636), Le Véritable Capitan Matamore (
1637
). Lisanor ou la cour bergère (1639), Le Mausolée
6), Le Véritable Capitan Matamore (1637). Lisanor ou la cour bergère (
1639
), Le Mausolée (1639), Le Jugement équitable de Ch
itan Matamore (1637). Lisanor ou la cour bergère (1639), Le Mausolée (
1639
), Le Jugement équitable de Charles le Hardy, dern
Le Jugement équitable de Charles le Hardy, dernier duc de Bourgogne (
1644
), Papyre ou le dictateur Romain (1645). Ils const
ardy, dernier duc de Bourgogne (1644), Papyre ou le dictateur Romain (
1645
). Ils constatent que dans le privilège de L’Incon
solite ou le secret des romans, par André Mareschal » Paris, Du Bray,
1627,
2 vol. in-8°. On serait tenté de croire qu’il y e
ou le secret des romans, par André Mareschal » Paris, Du Bray, 1627,
2
vol. in-8°. On serait tenté de croire qu’il y eut
l. in-8°. On serait tenté de croire qu’il y eut en même temps à Paris
deux
Mareschal, tous deux avocats en parlement, tous d
enté de croire qu’il y eut en même temps à Paris deux Mareschal, tous
deux
avocats en parlement, tous deux poètes dramatique
me temps à Paris deux Mareschal, tous deux avocats en parlement, tous
deux
poètes dramatiques, l’un Antoine, l’autre André ;
pparente dualité. Ce qui est certain c’est que la minute de l’acte du
trente
juin 1643 porte bien en toutes lettres André Mare
lité. Ce qui est certain c’est que la minute de l’acte du trente juin
1643
porte bien en toutes lettres André Mareschal. Les
du trente juin 1643 porte bien en toutes lettres André Mareschal. Les
deux
autres signatures sont celles d’hommes de loi. La
. Mlle.. A. Vitu, dans un opuscule sur Le Jeu de paume des Mestayers (
1883
), a établi que ce jeu de paume occupait l’emplace
ce jeu de paume occupait l’emplacement que représentent aujourd’hui (
1891
) les numéros 10, 12-14 sur la rue Mazarine, les n
ccupait l’emplacement que représentent aujourd’hui (1891) les numéros
10,
12-14 sur la rue Mazarine, les numéros 11 et 13 s
ait l’emplacement que représentent aujourd’hui (1891) les numéros 10,
12-14
sur la rue Mazarine, les numéros 11 et 13 sur la
urd’hui (1891) les numéros 10, 12-14 sur la rue Mazarine, les numéros
11
et 13 sur la rue de Seine. Par bail du 12 septemb
i (1891) les numéros 10, 12-14 sur la rue Mazarine, les numéros 11 et
13
sur la rue de Seine. Par bail du 12 septembre 164
a rue Mazarine, les numéros 11 et 13 sur la rue de Seine. Par bail du
12
septembre 1643, le maître paumier Noël Gallois le
e, les numéros 11 et 13 sur la rue de Seine. Par bail du 12 septembre
1643,
le maître paumier Noël Gallois leur loua ce jeu d
r Noël Gallois leur loua ce jeu de paume moyennant un loyer annuel de
1900
livres. C’était alors une grosse somme. Ces jeune
transformer enfin le jeu de paume en salle de spectacle. Par acte du
31
octobre, quatre « maîtres joueurs d’instruments »
enfin le jeu de paume en salle de spectacle. Par acte du 31 octobre,
quatre
« maîtres joueurs d’instruments » furent engagés
urs d’instruments » furent engagés pour former l’orchestre, moyennant
vingt
sous par jour chacun pendant trois ans. Puis, la
pour former l’orchestre, moyennant vingt sous par jour chacun pendant
trois
ans. Puis, la salle ne pouvant être prête que ver
is, afin qu’elle soit prête à leur retour. Cet acte est signé par les
dix
signataires du contrat du 30 juin, plus une nouve
leur retour. Cet acte est signé par les dix signataires du contrat du
30
juin, plus une nouvelle recrue qui signe Chaterin
ecrue qui signe Chaterine ou Catherine Bourgeois. Il porte la date du
3
novembre 1643. La foire du Pardon ou de Saint-Rom
igne Chaterine ou Catherine Bourgeois. Il porte la date du 3 novembre
1643.
La foire du Pardon ou de Saint-Romain s’ouvre le
du 3 novembre 1643. La foire du Pardon ou de Saint-Romain s’ouvre le
23
octobre et se continue par delà la fête de la Tou
prétend avoir tirée du Bolœana, mais qui ne se trouve dans aucun des
deux
ouvrages que l’on connaît sous ce titre : « - Ou
la capitale normande. Ils étaient de retour à la fin de décembre. Le
28
de ce mois, ils purent s’adresser à Léonard Aubry
bâtiments du roi, et passer avec lui un marché pour faire et parfaire
douze
toises de long sur trois toises de large de pavé
er avec lui un marché pour faire et parfaire douze toises de long sur
trois
toises de large de pavé au devant du jeu de paume
t « dans jeudi prochain venant, pourvu que le temps le permette ». Le
28
décembre 1643 était un lundi ; le jeudi suivant é
di prochain venant, pourvu que le temps le permette ». Le 28 décembre
1643
était un lundi ; le jeudi suivant était le 31. Si
tte ». Le 28 décembre 1643 était un lundi ; le jeudi suivant était le
31.
Si le temps le permit et si les conditions du mar
ation de l’Illustre Théâtre put avoir lieu le premier jour de l’année
1644.
Si l’on s’en rapporte à Charles Perrault, les fra
rendait presque tout noirs, on s’avisa de faire des chandeliers avec
deux
lattes mises en croix, portant chacun quatre chan
faire des chandeliers avec deux lattes mises en croix, portant chacun
quatre
chandelles, pour mettre au devant du théâtre. Ces
et les moucher. La symphonie était d’une flûte et d’un tambour, ou de
deux
violons au plus. » Telle était la scène ; figurez
nt de chaque côté et formant les loges où le prix des places était de
dix
sols, le parterre debout où l’on payait cinq sols
prix des places était de dix sols, le parterre debout où l’on payait
cinq
sols ; voilà à peu près dans quelles conditions o
, et non le soir. La porte était ouverte à une heure, on commençait à
deux
heures, et l’on finissait entre quatre et cinq. L
rte à une heure, on commençait à deux heures, et l’on finissait entre
quatre
et cinq. Le succès ne fut pas brillant. L’auteur
heure, on commençait à deux heures, et l’on finissait entre quatre et
cinq
. Le succès ne fut pas brillant. L’auteur d’Élomir
pièce intitulée La Mort de Sénèque, de Tristan l’Hermite, imprimée en
1645.
Et plus tard La Fontaine la louait en ces termes
tre honorable ne lui fut pas d’une grande utilité. Un acte notarié du
28
juin contient l’engagement d’un danseur nommé Dan
ment à Rouen. Il entre dans la troupe de l’illustre Théâtre moyennant
trente-cinq
sous par jour, jouant ou ne jouant pas, et quaran
âtre moyennant trente-cinq sous par jour, jouant ou ne jouant pas, et
quarante
, c’est-à-dire cinq sous de plus, les jours où il
inq sous par jour, jouant ou ne jouant pas, et quarante, c’est-à-dire
cinq
sous de plus, les jours où il jouera. Les comédie
s la jeune troupe. Les historiens du Théâtre Français citent au moins
onze
pièces de ce poète antérieures à 1645 ; il put ac
héâtre Français citent au moins onze pièces de ce poète antérieures à
1645
; il put accroître le répertoire du nouveau théât
1645 ; il put accroître le répertoire du nouveau théâtre. Il donna en
1644,
d’après les frères Parfait : Perside ou la suite
e, et Saint Alexis ou l’illustre Olympie, tragédie. L’année suivante,
deux
pièces également : Le Martyre de Saint-Eustache,
ot illustre. L’Illustre Théâtre était donc bien fait pour lui, et les
quatre
pièces que nous venons de citer furent, selon tou
t, selon toute apparence, représentées par Molière et ses compagnons.
Deux
autres actes, l’un du 1er juillet 1644, l’autre d
eprésentées par Molière et ses compagnons. Deux autres actes, l’un du
1er
juillet 1644, l’autre du 9 septembre, signalent l
par Molière et ses compagnons. Deux autres actes, l’un du 1er juillet
1644,
l’autre du 9 septembre, signalent l’engagement de
s compagnons. Deux autres actes, l’un du 1er juillet 1644, l’autre du
9
septembre, signalent l’engagement de deux nouveau
u 1er juillet 1644, l’autre du 9 septembre, signalent l’engagement de
deux
nouveaux acteurs, l’un nommé Philippe Millot, l’a
ant, le clerc de procureur, s’est déjà retiré de la troupe. L’acte du
9
septembre est relatif à un prêt de onze cents liv
à retiré de la troupe. L’acte du 9 septembre est relatif à un prêt de
onze
cents livres fait par messire Louis Baulot, prêt
iré de la troupe. L’acte du 9 septembre est relatif à un prêt de onze
cents
livres fait par messire Louis Baulot, prêt destin
de Crispe, de Tristan l’Hermite, qu’à acquitter le loyer de la salle.
Quinze
ans plus tard, la troupe, établie au Petit-Bourbo
ans plus tard, la troupe, établie au Petit-Bourbon, jouait encore les
deux
tragédies mentionnées dans l’acte de 1644. ainsi
-Bourbon, jouait encore les deux tragédies mentionnées dans l’acte de
1644.
ainsi qu’on le voit par le registre de La Grange
1644. ainsi qu’on le voit par le registre de La Grange à la date des
5,
7, 18 juin, 15 juillet, 7, 9 octobre 1659. Voici
44. ainsi qu’on le voit par le registre de La Grange à la date des 5,
7,
18 juin, 15 juillet, 7, 9 octobre 1659. Voici don
ainsi qu’on le voit par le registre de La Grange à la date des 5, 7,
18
juin, 15 juillet, 7, 9 octobre 1659. Voici donc s
’on le voit par le registre de La Grange à la date des 5, 7, 18 juin,
15
juillet, 7, 9 octobre 1659. Voici donc sept pièce
par le registre de La Grange à la date des 5, 7, 18 juin, 15 juillet,
7,
9 octobre 1659. Voici donc sept pièces que nous s
le registre de La Grange à la date des 5, 7, 18 juin, 15 juillet, 7,
9
octobre 1659. Voici donc sept pièces que nous sav
re de La Grange à la date des 5, 7, 18 juin, 15 juillet, 7, 9 octobre
1659.
Voici donc sept pièces que nous savons ou pouvons
, de Tristan, La Mort de Crispe, du même, le Scévole, de du Ryer, les
quatre
pièces de Nicolas Desfontaines très probablement.
rès probablement. Ajoutons-y un Artaxerce du poète Magnon, imprimé en
1645,
et portant expressément qu’il a été représenté su
t expressément qu’il a été représenté sur L’Illustre Théâtre. En tout
huit
pièces ; c’est un aperçu du répertoire des compag
; il demeura au Jeu de paume des Mestayers jusqu’à la fin de l’année
1644.
Est-ce à l’année 1644 ou à 1645 que se réfèrent l
paume des Mestayers jusqu’à la fin de l’année 1644. Est-ce à l’année
1644
ou à 1645 que se réfèrent les stances adressées (
Mestayers jusqu’à la fin de l’année 1644. Est-ce à l’année 1644 ou à
1645
que se réfèrent les stances adressées (par un ano
troupes, qu’on trouve dans un Recueil de diverses poésies imprimé en
1646
? Déjà, dit l’auteur de ces vers, qui était proba
uc de Guise fit-il ce partage de sa garde-robe ? Est-ce dans l’été de
1644,
avant de suivre le duc d’Orléans dans la campagne
’empara de Gravelines ? Est-ce l’année suivante, avant la campagne de
1645
? On peut hésiter entre ces deux années. On s’exp
année suivante, avant la campagne de 1645 ? On peut hésiter entre ces
deux
années. On s’explique aisément la part que Molièr
leur théâtre à l’autre extrémité de la ville, sur la rive droite. Le
19
décembre 1644, Jean-Baptiste Poquelin, tant en so
à l’autre extrémité de la ville, sur la rive droite. Le 19 décembre
1644,
Jean-Baptiste Poquelin, tant en son nom que comme
our d’une année au faubourg Saint-Germain se réglait par une dette de
deux
mille six cents livres, ainsi qu’il résulte des a
’une année au faubourg Saint-Germain se réglait par une dette de deux
mille
six cents livres, ainsi qu’il résulte des actes p
nnée au faubourg Saint-Germain se réglait par une dette de deux mille
six
cents livres, ainsi qu’il résulte des actes publi
au faubourg Saint-Germain se réglait par une dette de deux mille six
cents
livres, ainsi qu’il résulte des actes publiés par
ai des Ormes, au port Saint-Paul. Ils passent pour cela, à la date du
20
décembre, un marché avec le maître charpentier Gi
charpentier Girault, qui s’engage à livrer la nouvelle salle pour le
8
janvier suivant. C’est donc vers cette époque, si
arrêté et emprisonné au Grand-Châtelet au commencement du mois d’août
1645,
en vertu d’une sentence donnée par les juges cons
toine Fausser, maître chandelier, et faute de payement de la somme de
cent
quinze livres d’une part, et de vingt-sept livres
Fausser, maître chandelier, et faute de payement de la somme de cent
quinze
livres d’une part, et de vingt-sept livres d’autr
faute de payement de la somme de cent quinze livres d’une part, et de
vingt-sept
livres d’autre part. Le lieutenant civil Dreux d’
Dreux d’Aubray ordonna sa mise en liberté à sa caution juratoire pour
six
mois ; mais d’autres créanciers intervinrent. Fra
rous. Un linger nommé Dubourg obtient un décret de prise de corps. Le
4
août, le chef des comédiens de l’Illustre Théâtre
aveur Léonard Aubry, avec qui nous avons vu les comédiens traiter, le
28
décembre 1643, consentit à se rendre pleige cauti
d Aubry, avec qui nous avons vu les comédiens traiter, le 28 décembre
1643,
consentit à se rendre pleige caution pour Jean-Ba
à se rendre pleige caution pour Jean-Baptiste Poquelin de Molière. Le
13
août celui-ci est en liberté et s’oblige, avec se
aître paveur. Ils sont assemblés « au jeu de paume de la Croix-Noire,
six
rue de la Barée (des Barrés), proche l’Ave Maria
à lui payer, en l’acquit de son fils aîné et à sa prière, la somme de
trois
cents livres, par promesse du 24 décembre 1646, e
payer, en l’acquit de son fils aîné et à sa prière, la somme de trois
cents
livres, par promesse du 24 décembre 1646, et Léon
aîné et à sa prière, la somme de trois cents livres, par promesse du
24
décembre 1646, et Léonard Aubry donner quittance
a prière, la somme de trois cents livres, par promesse du 24 décembre
1646,
et Léonard Aubry donner quittance du dernier et p
ry donner quittance du dernier et parfait payement de ladite somme le
1er
juin 1649. Les pauvres comédiens de l’Illustre Th
quittance du dernier et parfait payement de ladite somme le 1er juin
1649.
Les pauvres comédiens de l’Illustre Théâtre repas
l ne parle pas non plus du jeu de paume des Mestayers, il ne cite que
deux
stations ; on pourrait croire qu’il en a simpleme
ière se limite donc certainement à une année et demie, et peut-être à
deux
années. Molière s’y jette à corps perdu. Il est e
ique, comme l’espagnol Rojas avait écrit son Viage entretenido ; tous
deux
ont reproduit, dans ces étranges peintures, un cô
étranges peintures, un côté fantasque des mœurs de leur temps ; tous
deux
ont retracé une page bizarre de l’histoire morale
tracé une page bizarre de l’histoire morale de leur pays. CHAPITRE
III
. DÉPART. LES COMÉDIENS DE M. LE DUC D’ÉPERNON
ERNON Les comédiens durent quitter Paris dans les derniers mois de
1645
ou au commencement de 1646. On n’a point la date
nt quitter Paris dans les derniers mois de 1645 ou au commencement de
1646.
On n’a point la date précise. On ne sait non plus
les comédiens de l’Illustre Théâtre offre sept signatures ; celles de
quatre
acteurs : Béjart, Poquelin, Germain Rabel, Germai
tre acteurs : Béjart, Poquelin, Germain Rabel, Germain Clérin ; et de
trois
actrices : Madeleine et Geneviève Béjart et Cathe
ade et déjà, elle en a reconstitué en partie l’itinéraire capricieux.
Deux
sortes d’actes ont servi particulièrement dans ce
nditions : un maximum pour le prix des places, fixé le plus souvent à
cinq
sous pour le parterre et dix sous pour la galerie
prix des places, fixé le plus souvent à cinq sous pour le parterre et
dix
sous pour la galerie ; puis une représentation au
long de sa route pour retrouver la maison paternelle. Au moyen de ces
deux
sortes de documents exhumés des archives des prin
le poète bourguignon, des relations qui furent très durables, puisque
quatorze
ans plus tard les mêmes comédiens, de retour à Pa
e œuvre tragique. Or, ce Magnon dont l’Artaxerce avait été imprimé en
1645,
fit imprimer en 1646 une tragi-comédie de Josapha
ce Magnon dont l’Artaxerce avait été imprimé en 1645, fit imprimer en
1646
une tragi-comédie de Josaphat dont l’épître dédic
infortunes qui auraient marqué les courses de la Béjart antérieures à
1643
? Ou bien la protection du duc se serait-elle man
n peu avant l’impression du Josaphat, dont l’achevé d’imprimer est du
12
octobre 1646 ? À bien lire le passage de Magnon,
l’impression du Josaphat, dont l’achevé d’imprimer est du 12 octobre
1646
? À bien lire le passage de Magnon, c’est ce dern
erneur de la Guyenne. Cette pièce fut achevée d’imprimer à la date du
28
avril 1646, et le privilège du roi accordé au lib
la Guyenne. Cette pièce fut achevée d’imprimer à la date du 28 avril
1646,
et le privilège du roi accordé au libraire Quinet
28 avril 1646, et le privilège du roi accordé au libraire Quinet pour
cinq
ans est du 9 février précédent. Or dans la dédica
t le privilège du roi accordé au libraire Quinet pour cinq ans est du
9
février précédent. Or dans la dédicace de sa pièc
rnard de Nogaret d’Épernon eut lieu dans les premiers mois de l’année
1646,
au plus tard. Elles rendent aussi moins vraisembl
âtre voyageant dans l’ouest de la France pendant ces premiers mois de
1646.
Cette troupe n’aurait donc point mené la vie de c
man comique Léandre à Destin ; j’espère un jour d’avoir pour le moins
douze
mille livres de rente, pourvu que mon père meure
mique Léandre à Destin ; j’espère un jour d’avoir pour le moins douze
mille
livres de rente, pourvu que mon père meure ; car
e livres de rente, pourvu que mon père meure ; car encore qu’il y ait
quatre-vingts
ans qu’il fait enrager tous ceux qui dépendent de
moi qu’il ne meure jamais qu’à espérer que je lui succède un jour en
trois
fort belles terres qui font tout son bien. » Voil
trême À rendre par sa mort tous vos désirs contents. (L’Étourdi, Acte
II
, scène 1.) Mais il met ces paroles dans la bouch
ndre par sa mort tous vos désirs contents. (L’Étourdi, Acte II, scène
1.
) Mais il met ces paroles dans la bouche d’un val
Polynice que Molière aurait joué dans cette ville. L’éditeur Bret, en
1773,
met cette tradition au compte de Montesquieu. L’é
on au compte de Montesquieu. L’éditeur de Racine, Germain Garnier, en
1807,
disait encore : « Plusieurs personnes ont entendu
t simplement. Grimarest raconte l’anecdote dans sa Vie de Molière, en
1705.
La Grange-Chancel la confirme dans la préface de
en 1705. La Grange-Chancel la confirme dans la préface de ses œuvres (
1735
), avec d’autant plus d’assurance que le temps s’é
ans sa Vie de Molière. Il fournit de sa propre imagination un prêt de
cent
louis de Molière à Racine. Ainsi croissent les lé
lle fut même promise sur les affiches de celle-ci (lettre de décembre
1663
), mais seulement après trois autres pièces. Le je
affiches de celle-ci (lettre de décembre 1663), mais seulement après
trois
autres pièces. Le jeune auteur impatient porta sa
s. Le jeune auteur impatient porta sa pièce à Molière, qui la joua le
20
juin 1664. Il fit cette première fois faux bond à
une auteur impatient porta sa pièce à Molière, qui la joua le 20 juin
1664.
Il fit cette première fois faux bond à l’hôtel de
64. Il fit cette première fois faux bond à l’hôtel de Bourgogne comme
deux
ans plus tard il faussa compagnie à Molière. Il e
sonnelle. Que Molière ait fait représenter une tragédie à Bordeaux en
1646,
c’est tout à fait invraisemblable. La troupe fit
peut-être, il est vrai, d’autres séjours en cette ville, pendant les
trois
ou quatre années qui suivirent ; mais l’anecdote
e, il est vrai, d’autres séjours en cette ville, pendant les trois ou
quatre
années qui suivirent ; mais l’anecdote de Molière
se pure ; rien n’est venu la confirmer jusqu’ici. On voit que l’année
1646
ne nous offre que des indications assez vagues. E
t que l’année 1646 ne nous offre que des indications assez vagues. En
1647,
les renseignements deviennent un peu plus positif
qu’on leur avait faite, qui est qu’on leur avait promis une somme de
six
cents livres et le port et la conduite de leurs b
on leur avait faite, qui est qu’on leur avait promis une somme de six
cents
livres et le port et la conduite de leurs bagages
ien affectionné serviteur. DE BRETEUIL. Carcassonne, neuvième octobre
1647.
» Quels étaient ces comédiens de M. le duc d’Épe
gneur le comte, il leur fut accordé pour le dédommagement la somme de
500
livres payées et avancées par la susdite ville d’
rthelot et Pierre Rebelhon, retenue par M. Bernard Bruel, notaire, le
24e
octobre dudit an 1647. » Ainsi l’intervention de
elhon, retenue par M. Bernard Bruel, notaire, le 24e octobre dudit an
1647.
» Ainsi l’intervention de l’intendant de la prov
nt efficace : les consuls d’Albi s’étaient contentés de réduire d’une
centaine
de livres la somme réclamée par les comédiens. Le
par les comédiens. Les noms des acteurs qui ont signé la quittance du
24
octobre 1646 vont nous devenir bientôt familiers.
édiens. Les noms des acteurs qui ont signé la quittance du 24 octobre
1646
vont nous devenir bientôt familiers. René Berthel
ierre Rebelhon (lisez Réveillon) avaient déjà fait partie, à Lyon, en
1643,
d’une même troupe comique qui comptait aussi parm
icolas Desfontaines, celui qui s’était agrégé à l’Illustre Théâtre en
1644.
S’ils étaient devenus « comédiens du duc d’Éperno
e que cette troupe est bien celle de Son Altesse d’Épernon, l’une des
deux
troupes provinciales qui passaient pour les plus
Béjart forte de l’appui trouvé auprès du gouverneur de la Guyenne en
1646,
aurait, au printemps de 1647, époque où les troup
é auprès du gouverneur de la Guyenne en 1646, aurait, au printemps de
1647,
époque où les troupes provinciales se reformaient
églises du Maine. » Madeleine du Freigne qu’il avait mariée à Lyon en
1543,
à François de La Cour, était sans doute sa fille1
ge. La pièce de comptabilité que nous venons de reproduire nous donne
trois
stations des comédiens. Ils étaient à Toulouse ve
it connu le vieux poète Goudouly, et non, comme on le prétend, en mai
1649,
Pierre Goudouly étant à cette dernière date retir
re date retiré au cloître des Carmes, et proche de sa fin ; il mourut
quatre
mois après12. Leur séjour à Albi se place en août
mmencement d’octobre à Carcassonne. Au printemps de l’année suivante,
1648,
la troupe est en Bretagne et en Vendée. On lit su
istres de l’Hôtel-de-Ville de Nantes les actes suivants : « Du jeudi
23e
jour d’avril mille six cent quarante-huit… Ce jou
-de-Ville de Nantes les actes suivants : « Du jeudi 23e jour d’avril
mille
six cent quarante-huit… Ce jour est venu au Burea
lle de Nantes les actes suivants : « Du jeudi 23e jour d’avril mille
six
cent quarante-huit… Ce jour est venu au Bureau le
de Nantes les actes suivants : « Du jeudi 23e jour d’avril mille six
cent
quarante-huit… Ce jour est venu au Bureau le sr M
ntes les actes suivants : « Du jeudi 23e jour d’avril mille six cent
quarante-huit
… Ce jour est venu au Bureau le sr Morlierre, l’un
n, auquel jour il sera avisé ce qui sera trouvé à propos. Du dimanche
26e
jour d’avril 1648 […] De l’avis commun du Bureau
sera avisé ce qui sera trouvé à propos. Du dimanche 26e jour d’avril
1648
[…] De l’avis commun du Bureau […] défenses sont
’agit de la convalescence du maréchal de la Meilleraye.) Du dimanche,
17e
jour de mai 1648… Ce jour a été mandé et fait ent
alescence du maréchal de la Meilleraye.) Du dimanche, 17e jour de mai
1648
… Ce jour a été mandé et fait entrer au Bureau Duf
de dissiper tout ce qui pouvait subsister de doutes à cet égard : le
dix-huit
mai, en la paroisse Saint-Léonard de cette ville,
nicipales, étant plus âgé et plus expérimenté. L’acte de naissance du
18
mai montre que Marie Hervé accompagnait ses enfan
l’Éguisé, fut venu se joindre au reste de la famille ; il avait alors
dix-huit
ans. Avec ce dernier et sa mère, nous aurions neu
il avait alors dix-huit ans. Avec ce dernier et sa mère, nous aurions
neuf
personnages de cette compagnie, c’est-à-dire bien
agnie entière, car ces troupes de campagne ne comptaient guère qu’une
dizaine
d’artistes tout au plus. Les représentations, ina
d’artistes tout au plus. Les représentations, inaugurées à Nantes le
17
mai, n’eurent pas beaucoup de succès. Les histori
tenir la concurrence d’un Vénitien nommé Segale, qui fut autorisé, le
24
mai, à organiser « jeux de marionnettes et représ
ne requête adressée au lieutenant particulier de la ville, en date du
9
juin 1648, que Dufresne, étant à Nantes, « avait
ête adressée au lieutenant particulier de la ville, en date du 9 juin
1648,
que Dufresne, étant à Nantes, « avait pris à loye
où se tient le jeu de paume de cette ville de Fontenay-le-Comte, pour
vingt
et un jours, qui commenceront à courir le quinziè
imanches et fêtes étant en icelui temps, qui fait en tout la somme de
cent
quarante-sept livres ». Dufresne avait donné des
hes et fêtes étant en icelui temps, qui fait en tout la somme de cent
quarante-sept
livres ». Dufresne avait donné des arrhes ; il de
esté au cœur de Molière une longue rancune qui lui aurait fait créer,
vingt
ans plus tard, Monsieur de Pourceaugnac.Il n’est
s affaires politiques se compliquaient. Les barricades du mois d’août
1648
commencèrent, à Paris, les guerres de la Fronde.
mois d’août 1648 commencèrent, à Paris, les guerres de la Fronde. Le
6
janvier 1649, la reine régente Anne d’Autriche s’
ût 1648 commencèrent, à Paris, les guerres de la Fronde. Le 6 janvier
1649,
la reine régente Anne d’Autriche s’enfuit de la c
e les habitants de Bordeaux et leur gouverneur éclata au mois d’avril
1649.
La troupe des comédiens, au mois de mai 1649, est
éclata au mois d’avril 1649. La troupe des comédiens, au mois de mai
1649,
est à Toulouse. M. Galibert a relevé sur les anci
levé sur les anciens registres de cette ville la mention suivante : «
16
mai 1649, payé au sieur Dufresne et autres comédi
r les anciens registres de cette ville la mention suivante : « 16 mai
1649,
payé au sieur Dufresne et autres comédiens de sa
, payé au sieur Dufresne et autres comédiens de sa troupe la somme de
soixante
et quinze livres pour avoir, du mandement de mess
eur Dufresne et autres comédiens de sa troupe la somme de soixante et
quinze
livres pour avoir, du mandement de messieurs les
ctitude particulière, et le rédacteur aurait-il voulu indiquer par là
deux
choses distinctes ? Non ; il n’y faut voir, selon
simple redondance de style, sans autre intention. Un acte de baptême (
26
ou 27 décembre de cette année 1649), où figurent
redondance de style, sans autre intention. Un acte de baptême (26 ou
27
décembre de cette année 1649), où figurent comme
autre intention. Un acte de baptême (26 ou 27 décembre de cette année
1649
), où figurent comme parrain et marraine Charles D
ne troupe de comédiens, et sur laquelle le conseil aurait délibéré le
8
novembre 1649. Ce n’est point Molière qui avait a
e comédiens, et sur laquelle le conseil aurait délibéré le 8 novembre
1649.
Ce n’est point Molière qui avait adressé cette re
9. Ce n’est point Molière qui avait adressé cette requête. En janvier
1650,
nouvel acte de baptême où Molière, ou plutôt Jean
hécaire de la ville. Depuis lors, Le Moliériste, dans la livraison du
1er
avril 1881, en a donné une transcription un peu d
la ville. Depuis lors, Le Moliériste, dans la livraison du 1er avril
1881,
en a donné une transcription un peu différente pa
cette transcription, qui semble plus exacte que l’autre : « L’an mil
six
cens cinquante et le dixième janvier, par moi, cu
nscription, qui semble plus exacte que l’autre : « L’an mil six cens
cinquante
et le dixième janvier, par moi, curé soussigné, a
Mlle de Brie, et Julien Meindre de Rochessauve figure dans un acte du
22
février 1655, passé à Montpellier, comme caution
e, et Julien Meindre de Rochessauve figure dans un acte du 22 février
1655,
passé à Montpellier, comme caution d’une somme de
du 22 février 1655, passé à Montpellier, comme caution d’une somme de
3200
livres due à Madeleine Béjart15. Il y est qualifi
elle-même un rôle, mais assistant comme spectatrice à la comédie. En
1650,
elle avait dix-huit ans et avait déjà fait beauco
e, mais assistant comme spectatrice à la comédie. En 1650, elle avait
dix-huit
ans et avait déjà fait beaucoup parler d’elle16.
troupe revient à Agen, où elle déploie ses talents au mois de février
1650.
M. Adolphe Magen a fait connaître la mention suiv
un vieux registre de l’Hôtel de ville, intitulé Journal pour l’année
1649
et finissant en 1652 : « Le treizième dudit (moi
l’Hôtel de ville, intitulé Journal pour l’année 1649 et finissant en
1652
: « Le treizième dudit (mois de février) suivant
part de leur compagnie et nous dire qu’il étaient en cette ville par
1’ordre
de monseigneur notre gouverneur17. » Le registre
erneur17. » Le registre où M. Magen a fait cette découverte comprend
quatre
années, de 1649 à 1652. La mention de la visite d
gistre où M. Magen a fait cette découverte comprend quatre années, de
1649
à 1652. La mention de la visite de Dufresne aux c
où M. Magen a fait cette découverte comprend quatre années, de 1649 à
1652.
La mention de la visite de Dufresne aux consuls d
652. La mention de la visite de Dufresne aux consuls d’Agen est au f°
101,
ce qui correspond, ainsi que M. Magen l’a fait ob
. Magen l’a fait observer dans une lettre à M. Loiseleur18, à février
1650.
On remarquera que les comédiens avertissent tout
r, c’est bien le duc d’Épernon, alors à Agen. Il n’y a guère moins de
quatre-vingts
lieues de Narbonne à Agen. Le voyage était long e
c d’Orléans, voyageait dans les mêmes provinces, un peu plus tard, en
1657.
Nous voyons, par des actes publiés par M. Jules R
actes publiés par M. Jules Rolland19, qu’elle avait un bagage pesant
soixante-huit
quintaux (6800 livres), ce qui est un poids respe
les Rolland19, qu’elle avait un bagage pesant soixante-huit quintaux (
6800
livres), ce qui est un poids respectable. Il résu
rs frais de transports aux comédiens du duc d’Épernon. Nous voyons en
1657
les mêmes magistrats obligés de faire transporter
, à Albi, s’engagent à voiturer la troupe et ses bagages (du poids de
soixante-huit
quintaux, comme nous avons dit) jusqu’à Castres,
t quintaux, comme nous avons dit) jusqu’à Castres, qui n’est qu’à une
dizaine
de lieues d’Albi, moyennant la somme de 85 livres
s, qui n’est qu’à une dizaine de lieues d’Albi, moyennant la somme de
85
livres. Les consuls acquittent cette somme, pour
la petite ville, Admirant les talents de mon petit troupeau, Protesta
mille
fois que rien n’était plus beau ; Surtout quand s
n, vous le savez, hélas ! l’empêchait bien. Car, ne prenant alors que
cinq
sols par personne, Nous recevions si peu qu’encor
re des leçons. Molière revint-il à Paris au printemps de cette année
1650
? Rien ne le prouve. En 1651, c’est différent ; o
t-il à Paris au printemps de cette année 1650 ? Rien ne le prouve. En
1651,
c’est différent ; on sait qu’il y était de sa per
ssée par-devant maîtres Leroux et Levasseur, notaires au Châtelet, le
14e
jour d’avril 1651, faite par Jean Poquelin, fils
aîtres Leroux et Levasseur, notaires au Châtelet, le 14e jour d’avril
1651,
faite par Jean Poquelin, fils aîné du défunt, c’e
aite par Jean Poquelin, fils aîné du défunt, c’est-à-dire Molière. Du
24
octobre 1650 au 14 janvier 1651. Molière et les B
an Poquelin, fils aîné du défunt, c’est-à-dire Molière. Du 24 octobre
1650
au 14 janvier 1651. Molière et les Béjart furent
lin, fils aîné du défunt, c’est-à-dire Molière. Du 24 octobre 1650 au
14
janvier 1651. Molière et les Béjart furent à Péze
îné du défunt, c’est-à-dire Molière. Du 24 octobre 1650 au 14 janvier
1651.
Molière et les Béjart furent à Pézenas, au servic
e Languedoc Pierre de Reich de Pennautier, constatant l’allocation de
quatre
mille livres « aux comédiens qui ont servi pendan
edoc Pierre de Reich de Pennautier, constatant l’allocation de quatre
mille
livres « aux comédiens qui ont servi pendant troi
location de quatre mille livres « aux comédiens qui ont servi pendant
trois
mois que les états ont été sur pied (24 octobre 1
iens qui ont servi pendant trois mois que les états ont été sur pied (
24
octobre 1650 au 14 janvier 1651) » et par la quit
t servi pendant trois mois que les états ont été sur pied (24 octobre
1650
au 14 janvier 1651) » et par la quittance écrite
pendant trois mois que les états ont été sur pied (24 octobre 1650 au
14
janvier 1651) » et par la quittance écrite de la
is mois que les états ont été sur pied (24 octobre 1650 au 14 janvier
1651
) » et par la quittance écrite de la main de Moliè
ière et ainsi conçue : « J’ai reçu de Monsieur Pennautier la somme de
quatre
mille livres ordonnées aux comédiens par Messieur
ainsi conçue : « J’ai reçu de Monsieur Pennautier la somme de quatre
mille
livres ordonnées aux comédiens par Messieurs des
es ordonnées aux comédiens par Messieurs des États. Fait à Pézenas ce
17e
décembre mille six cent cinquante. Molière. Pour
aux comédiens par Messieurs des États. Fait à Pézenas ce 17e décembre
mille
six cent cinquante. Molière. Pour 4000 livres. »
médiens par Messieurs des États. Fait à Pézenas ce 17e décembre mille
six
cent cinquante. Molière. Pour 4000 livres. » Les
ens par Messieurs des États. Fait à Pézenas ce 17e décembre mille six
cent
cinquante. Molière. Pour 4000 livres. » Les dépe
ar Messieurs des États. Fait à Pézenas ce 17e décembre mille six cent
cinquante
. Molière. Pour 4000 livres. » Les dépenses du co
ait à Pézenas ce 17e décembre mille six cent cinquante. Molière. Pour
4000
livres. » Les dépenses du compte ou comptereau d
lence des procès-verbaux des séances des états sur ces largesses. Les
deux
pièces ont été découvertes par M. L. de la Pijard
viste de l’Hérault, et publiés par lui dans Le Moliériste de novembre
1885.
Elles ont une grande importance pour la biographi
thentique ; elles donnent une valeur presque égale au reçu de février
1656,
antérieurement découvert par M. de la Pijardière,
comptes, puisqu’il est payé bien avant l’expiration de la session, le
17
décembre 1650 ; on en pourrait conclure que ces c
squ’il est payé bien avant l’expiration de la session, le 17 décembre
1650
; on en pourrait conclure que ces comédiens n’éta
voir presque tous les ans remplir le même emploi. A la fin de l’année
1651
et au commencement de 1652, Molière et ses compag
emplir le même emploi. A la fin de l’année 1651 et au commencement de
1652,
Molière et ses compagnons sont à Carcassonne, où
sser infiniment celui qu’il a pour Dieu, puisqu’il a vu presque périr
deux
de ses plus plus gentilles créatures sans daigner
saurais exprimer avec quelle grâce le plus agile de mes pages faisait
dix
lieues par jour, ni les louanges qu’il a emportée
ma personne. Je remercie Dieu de cette rencontre, et suis, monsieur…
C.
D. Cette lettre se trouve dans les Œuvres mêlées
personne. Je remercie Dieu de cette rencontre, et suis, monsieur… C.
D.
Cette lettre se trouve dans les Œuvres mêlées de
uve dans les Œuvres mêlées de M. Dassoucy à Paris, chez J.-B. Loyson,
1653.
Notez la date. M. Auguste Baluffe a découvert qui
bien entendu), mais par le parlement de Toulouse, au mois de décembre
1651,
pour y soutenir des mesures d’économie, et qui, c
quitta Carcassonne pour regagner Toulouse dans les premiers jours de
1652.
C’est en cette circonstance que, peut-être à la r
ait alors à Carcassonne, et, comme les états y tenaient leur session (
31
juillet 1651 - 10 janvier 1652), la troupe y étai
Carcassonne, et, comme les états y tenaient leur session (31 juillet
1651
- 10 janvier 1652), la troupe y était évidemment
sonne, et, comme les états y tenaient leur session (31 juillet 1651 -
10
janvier 1652), la troupe y était évidemment avec
comme les états y tenaient leur session (31 juillet 1651 - 10 janvier
1652
), la troupe y était évidemment avec lui en représ
la troupe y était évidemment avec lui en représentations. CHAPITRE
IV
. LES COMÉDIENS DE MONSEIGNEUR LE PRINCE DE CONTI
ns de M. le duc d’Épernon, et que nous avons vue sillonner le Midi de
1646
au commencement de 1652. prend alors son principa
n, et que nous avons vue sillonner le Midi de 1646 au commencement de
1652.
prend alors son principal établissement à Lyon, p
au mois de décembre, car un des acteurs, Pierre Réveillon, tient, le
19
de ce mois, un enfant sur les fonts de baptême en
e demoiselle Marquise-Thérèse de Gorla. On a le contrat de mariage du
19
février 1653, signé par Jean-Baptiste Poquelin, D
e Marquise-Thérèse de Gorla. On a le contrat de mariage du 19 février
1653,
signé par Jean-Baptiste Poquelin, Dufresne. Josep
resne. Joseph Béjart. La bénédiction nuptiale fut donnée aux époux le
23
fevrier. Les actes authentiques ont été publiés p
tait passé, selon toute vraisemblance, au commencement de cette année
1653
: Molière avait fait représenter sa première gran
ccès considérable. Les auteurs de la préface des œuvres de Molière de
1682
s’expriment ainsi : « Il (Molière) vint à Lyon en
de Molière de 1682 s’expriment ainsi : « Il (Molière) vint à Lyon en
1653,
et ce fut là qu’il exposa au public sa première c
prince de Conti, ce qu’il fit en premier lieu en septembre ou octobre
1653.
Dès cette époque, il fut engagé au service du pri
ndant le même La Grange, qui fut l’un des rédacteurs de la préface de
1682,
a consigné sur son registre manuscrit la date de
la préface de 1682, a consigné sur son registre manuscrit la date de
1655
pour la représentation de la première comédie de
présentation de la pièce avait eu lieu dans les premières semaines de
1653.
En tout cas, Mlle Duparc est certainement dans la
récit de l’abbé de Cosnac, qu’on lira plus loin. On verra enfin qu’en
1655
il est assez difficile de trouver place pour la r
Molière écrivain, à en juger par ce qui nous est connu, débute donc à
trente
ans. Il y avait neuf années qu’il s’était fait co
juger par ce qui nous est connu, débute donc à trente ans. Il y avait
neuf
années qu’il s’était fait comédien, et six qu’il
à trente ans. Il y avait neuf années qu’il s’était fait comédien, et
six
qu’il promenait à travers la France sa muse obscu
ccès. Les Lyonnais coururent en foule au nouveau théâtre. À partir de
1653,
les progrès de la troupe de Molière sont visibles
ne fera plus que grandir. Vers la fin de juillet de cette même année
1653,
se passaient en Guyenne des événements qui ne dev
vers la fin de l’année, il se rendit à Paris : il y vint épouser (le
24
février 1654) la nièce du ministre contre lequel
n de l’année, il se rendit à Paris : il y vint épouser (le 24 février
1654
) la nièce du ministre contre lequel il avait pris
du ministre contre lequel il avait pris les armes, et il en partit le
26
mai, quittant la cour et sa femme pour aller comm
solus de la faire monter sur le théâtre de Pézenas, et de leur donner
deux
mille écus de mon argent, plutôt que de leur manq
de la faire monter sur le théâtre de Pézenas, et de leur donner deux
mille
écus de mon argent, plutôt que de leur manquer de
r le prince de Conti touchant la comédie et les spectacles, écrite en
1667.
Cet abbé était attaché à la maison du prince dès
ère avec le prince. La présence de la troupe à Montpellier en janvier
1654
résulte d’un acte de baptême du 6 de ce mois. Voi
troupe à Montpellier en janvier 1654 résulte d’un acte de baptême du
6
de ce mois. Voici cet acte, relevé sur le registr
evé sur le registre de l’Église paroissiale de Saint-Firmin23 : « Le
6
janvier 1654 a été baptisé à Saint-Pierre, Jean-B
registre de l’Église paroissiale de Saint-Firmin23 : « Le 6 janvier
1654
a été baptisé à Saint-Pierre, Jean-Baptiste du Ja
tisé à Saint-Pierre, Jean-Baptiste du Jardin, né le troisième octobre
1653,
fils de Jean et d’Élisabeth de La Porte. Le parra
erthelot et de demoiselle Marquise de Gorla, sa femme24, à la date du
8
mars ; un autre acte du 26, où Marquise Thérèse d
Marquise de Gorla, sa femme24, à la date du 8 mars ; un autre acte du
26,
où Marquise Thérèse de Gorla est marraine25. Dans
ise Thérèse de Gorla est marraine25. Dans un autre baptême célébré le
3
novembre 1654, à Lyon, Pierre Réveillon est parra
de Gorla est marraine25. Dans un autre baptême célébré le 3 novembre
1654,
à Lyon, Pierre Réveillon est parrain et Marquise
ibérations consulaires de Vienne, au mois de septembre de cette année
1654,
la mention de certaines difficultés qui s’élevère
ion et des jeunes personnes à une comédie que Molière avait composée.
Deux
ou trois de ces places avaient été, par hasard, l
es jeunes personnes à une comédie que Molière avait composée. Deux ou
trois
de ces places avaient été, par hasard, louées à J
t général de la même cour (à Vienne), interposant leur médiation, les
deux
parties se réconcilièrent et la querelle s’apaisa
roit que cet incident aurait eu lieu à une date antérieure, peu après
1641,
qui est la date donnée par Chorier, et qu’il se s
seulement hypothétique, mais tout à fait invraisemblable : Molière à
dix-neuf
ans, n’eût fait que quitter les bancs du collège.
tance des événements. Nous tenons donc avec M. Brouchoud pour l’année
1654.
Si cette page de Chorier était contemporaine des
qu’il emploie autant de valeur. Le prince de Conti, après chacune des
deux
campagnes qu’il fit en Roussillon, présida, en ve
Languedoc, la première fois à Montpellier, où la session s’ouvrit le
7
décembre 1654 et dura une partie de l’hiver ; la
la première fois à Montpellier, où la session s’ouvrit le 7 décembre
1654
et dura une partie de l’hiver ; la seconde fois à
re 1654 et dura une partie de l’hiver ; la seconde fois à Pézenas (du
4
novembre 1655 au 22 février 1656). Molière et sa
dura une partie de l’hiver ; la seconde fois à Pézenas (du 4 novembre
1655
au 22 février 1656). Molière et sa troupe assistè
partie de l’hiver ; la seconde fois à Pézenas (du 4 novembre 1655 au
22
février 1656). Molière et sa troupe assistèrent à
l’hiver ; la seconde fois à Pézenas (du 4 novembre 1655 au 22 février
1656
). Molière et sa troupe assistèrent à l’une et à l
nce. Les comédiens furent appelés à Montpellier pendant la session de
1654-55
(7 décembre 1654-14 mars 1655). C’est en décembre
comédiens furent appelés à Montpellier pendant la session de 1654-55 (
7
décembre 1654-14 mars 1655). C’est en décembre 16
urent appelés à Montpellier pendant la session de 1654-55 (7 décembre
1654-14
mars 1655). C’est en décembre 1654, juste au mome
à Montpellier pendant la session de 1654-55 (7 décembre 1654-14 mars
1655
). C’est en décembre 1654, juste au moment de l’ou
session de 1654-55 (7 décembre 1654-14 mars 1655). C’est en décembre
1654,
juste au moment de l’ouverture des états, que mou
alait les représentants de la province. Vers l’époque du carnaval, en
1655,
fut dansé à Montpellier, devant Mgr le prince et
ncesse de Conti, un grand ballet intitulé Le Ballet des Incompatibles
29.
On sait ce qu’étaient ces ballets de cour, qui eu
’est de faire paraître ensemble les extrêmes opposés, par exemple les
quatre
Éléments, qui passaient alors pour des principes
des Suisses, une bacchante et une naïade, enfin le dieu du Silence et
six
femmes. Il y a deux récits : l’un, en tête de la
cchante et une naïade, enfin le dieu du Silence et six femmes. Il y a
deux
récits : l’un, en tête de la première partie, est
té convoqués aux états du Languedoc, et des acteurs. Molière y paraît
deux
fois. Dans la première partie, il figure le poète
onti, c’était la première campagne de Catalogne, qui avait eu lieu en
1654,
et l’illustre victoire dont l’orgueil de l’Espagn
de l’Espagne avait poussé des soupirs, c’était la prise de Puycerda (
21
octobre), qui avait terminé honorablement cette c
en son propre nom ? Est-ce comme caissière de la société ?) place le
18
février une somme de trois mille deux cents livre
-ce comme caissière de la société ?) place le 18 février une somme de
trois
mille deux cents livres. Le 18 février 1655, Anto
mme caissière de la société ?) place le 18 février une somme de trois
mille
deux cents livres. Le 18 février 1655, Antoine Ba
issière de la société ?) place le 18 février une somme de trois mille
deux
cents livres. Le 18 février 1655, Antoine Baratie
re de la société ?) place le 18 février une somme de trois mille deux
cents
livres. Le 18 février 1655, Antoine Baratier, con
?) place le 18 février une somme de trois mille deux cents livres. Le
18
février 1655, Antoine Baratier, conseiller du roi
18 février une somme de trois mille deux cents livres. Le 18 février
1655,
Antoine Baratier, conseiller du roi, receveur des
l héréditaire de Montélimart », devoir à Madeleine Béjart la somme de
trois
mille deux cents livres « pour les causes et à pa
ditaire de Montélimart », devoir à Madeleine Béjart la somme de trois
mille
deux cents livres « pour les causes et à payer au
e de Montélimart », devoir à Madeleine Béjart la somme de trois mille
deux
cents livres « pour les causes et à payer au term
Montélimart », devoir à Madeleine Béjart la somme de trois mille deux
cents
livres « pour les causes et à payer au terme y dé
x cents livres « pour les causes et à payer au terme y déclarés ». Le
22
du même mois, noble homme Julien Meindre, sieur d
ntélimart pour son obligation « envers ladite damoiselle Béjart ». Le
1er
avril, elle fit à la province du Languedoc un prê
éjart ». Le 1er avril, elle fit à la province du Languedoc un prêt de
dix
mille livres. Notez que, si l’on veut avoir la va
t ». Le 1er avril, elle fit à la province du Languedoc un prêt de dix
mille
livres. Notez que, si l’on veut avoir la valeur a
ut avoir la valeur actuelle de ces sommes, il faut les multiplier par
cinq
. De quelques indications recueillies par Emmanuel
De quelques indications recueillies par Emmanuel Raymond (M. Galibert)
31,
on peut conclure qu’une somme de cinq mille livre
ar Emmanuel Raymond (M. Galibert)31, on peut conclure qu’une somme de
cinq
mille livres fut assignée par le prince de Conti
manuel Raymond (M. Galibert)31, on peut conclure qu’une somme de cinq
mille
livres fut assignée par le prince de Conti à ses
e de Conti à ses comédiens pour leur service pendant cette session de
1654-1655.
C’est bien probable, puisque nous avons vu qu’une
1655. C’est bien probable, puisque nous avons vu qu’une allocation de
4000
livres leur fut accordée pour la session de 1650-
qu’une allocation de 4000 livres leur fut accordée pour la session de
1650-1651
à Pézenas, puisque nous allons voir qu’une alloca
de 1650-1651 à Pézenas, puisque nous allons voir qu’une allocation de
6000
livres leur sera attribuée pour la session de 165
’une allocation de 6000 livres leur sera attribuée pour la session de
1655-1656
tenue également à Pézenas. Il a été établi encore
es comptes du trésorier de la bourse de Languedoc, pour la session de
1650-1651,
publié par M. de La Pijardière, que ces allocatio
ar S.A.R. Mgr le prince de Conti, en la ville de Montpellier, l’année
1654
». L’ouvrage, imprimé in-folio à Lyon par Jasserm
lier peu après la clôture des états. Elle est à Lyon à la fin d’avril
1655.
Un acte de mariage entre deux comédiens nommés Fo
tats. Elle est à Lyon à la fin d’avril 1655. Un acte de mariage entre
deux
comédiens nommés Foulle-Martin et Anne Reynis, le
mariage entre deux comédiens nommés Foulle-Martin et Anne Reynis, le
29
de ce mois, est donné par M. Brouchoud en fac-sim
is, le 29 de ce mois, est donné par M. Brouchoud en fac-similé32. Les
deux
époux y sont dits comédiens de la troupe de M. le
s avec Molière, et nous avons reproduit une lettre qu’il lui écrivait
trois
ans avant l’époque où nous sommes. Sa fortune err
s. Sa fortune errante le conduisit à Lyon au commencement de l’été de
1656.
« Ce qui me charma le plus (en arrivant à Lyon),
charmes, je ne pus quitter de sitôt ces charmants amis : je demeurai
trois
mois à Lyon parmi les jeux, les comédiens et les
me qui divertissaient les bienheureux passants qui aimaient à jouer à
trois
dés. » Dassoucy resta un mois à Avignon. Il y f
te douce compagnie Que je repaissais d’harmonie, Au milieu de sept ou
huit
plats, Exempt de soin et d’embarras, Je passais d
oi qu’on die De ces beaux messieurs des états, Qui tous les jours ont
six
ducats, La musique et la comédie, A cette table b
ls représentent tous les jours sur le théâtre. Après donc avoir passé
six
bons mois, dans cette Cocagne, et avoir reçu de M
u temps : un mois passé à Avignon nous ramène à la fin de septembre ;
trois
mois à Lyon, à la fin de juin. On peut bien mettr
qui y étaient arrivés à la fin d’avril. Cela laisse un intervalle de
six
semaines si l’on veut que L’Étourdi ait été repré
sa présence. Un extrait des procès-verbaux de la session des États de
1655-1656,
publié par M. Galifert et cité par M. J. Loiseleu
es comédiens à l’hôtel d’Alfonce, où résidait le prince, à la date du
2
novembre ; voici cet extrait : « Messieurs les Év
tibule qui regarde ladite cour, lequel, après avoir laissé passer les
trois
ordres, serait venu à eux et leur aurait dit qu’i
s le lit, laquelle aurait reçu leur visite avec beaucoup de civilité »
35.
Ces comédiens qui étaient cause que l’on recevai
ades. Ils demeurèrent à Pézenas pendant toute la durée de la session (
4
nov. 1655-22 février 1656). Pendant ce séjour et
ls demeurèrent à Pézenas pendant toute la durée de la session (4 nov.
1655-22
février 1656). Pendant ce séjour et d’autres qu’i
Pézenas pendant toute la durée de la session (4 nov. 1655-22 février
1656
). Pendant ce séjour et d’autres qu’ils firent en
s, mais dont il faut tenir compte si l’on veut être complet. En voici
trois
ou quatre : La Fontaine de Gignac : Molière tra
ont il faut tenir compte si l’on veut être complet. En voici trois ou
quatre
: La Fontaine de Gignac : Molière traversait un
intérêt. « M. de P…, dit-on38, conserve une quittance de la somme de
trente
livres faite au nom de Molière par un voiturier q
né à Pézenas. » À la fin de la session des états, qui furent clos le
22
février 1656, six mille livres fut accordées à la
s. » À la fin de la session des états, qui furent clos le 22 février
1656,
six mille livres fut accordées à la troupe par le
À la fin de la session des états, qui furent clos le 22 février 1656,
six
mille livres fut accordées à la troupe par le bur
fin de la session des états, qui furent clos le 22 février 1656, six
mille
livres fut accordées à la troupe par le bureau de
ar le bureau des comptes. Le reçu de Molière a été retrouvé, en avril
1873,
par M. de la Pijardière, archiviste de l’Hérault.
r le Secq, trésorier de la bourse des états du Languedoc, la somme de
six
mille lires à nous accorder par Messieurs du Bure
Secq, trésorier de la bourse des états du Languedoc, la somme de six
mille
lires à nous accorder par Messieurs du Bureau des
Bureau des comptes, de laquelle somme je le quitte. Fait à Pézenas ce
vingt
quatrième jour de février 1656. MOLIÈRE. Quittanc
somme je le quitte. Fait à Pézenas ce vingt quatrième jour de février
1656.
MOLIÈRE. Quittance de six mille lires. » Joseph
ézenas ce vingt quatrième jour de février 1656. MOLIÈRE. Quittance de
six
mille lires. » Joseph Béjart toucha le même jour
as ce vingt quatrième jour de février 1656. MOLIÈRE. Quittance de six
mille
lires. » Joseph Béjart toucha le même jour quinz
E. Quittance de six mille lires. » Joseph Béjart toucha le même jour
quinze
cents livres pour l’ouvrage dont nous avons parlé
tance de six mille lires. » Joseph Béjart toucha le même jour quinze
cents
livres pour l’ouvrage dont nous avons parlé. Sa q
nce est ainsi formulée : « J’ai reçu de Monsieur le Secq la somme de
quinze
cents lires qui m’a été accordée par la délibérat
ainsi formulée : « J’ai reçu de Monsieur le Secq la somme de quinze
cents
lires qui m’a été accordée par la délibération de
de laquelle somme je quitte ledit Monsieur le Secq. Fait à Pézenas ce
24
février 1656. BÉJART. Pour 1500 lires. » Pour le
somme je quitte ledit Monsieur le Secq. Fait à Pézenas ce 24 février
1656.
BÉJART. Pour 1500 lires. » Pour le généalogiste
dit Monsieur le Secq. Fait à Pézenas ce 24 février 1656. BÉJART. Pour
1500
lires. » Pour le généalogiste Béjart, une courte
e délibération des états est ainsi constatée dans le procès verbal du
20
février : « Sur ce qui a été représenté que le si
ités. La troupe partit immédiatement pour Narbonne, où elle était le
26
février 1656. Les archives communales de cette vi
roupe partit immédiatement pour Narbonne, où elle était le 26 février
1656.
Les archives communales de cette ville contiennen
sse, où elle doit aller à son retour de Paris, désireraient de passer
quinze
jours en cette ville pour la satisfaction publiqu
d’avis de remercier lesdits comédiens et leur donner la salle. » Le
3
mai suivant, les comédiens sont encore à Narbonne
r le prince de Conti sur le fond des étapes à la fin de la session de
1654-1655,
en fournissaient le montant aux comédiens, à savo
n de 1654-1655, en fournissaient le montant aux comédiens, à savoir :
1250
livres en espèces (il n’est pas sûr que ces 1250
omédiens, à savoir : 1250 livres en espèces (il n’est pas sûr que ces
1250
livres furent payées) et 3750 en une lettre de ch
es en espèces (il n’est pas sûr que ces 1250 livres furent payées) et
3750
en une lettre de change tirée par Cassaignes sur
ration des consuls de Narbonne ? Auraient-ils été à Bordeaux entre le
15
mars et le 3 mai, ou seraient-ils partis de Narbo
suls de Narbonne ? Auraient-ils été à Bordeaux entre le 15 mars et le
3
mai, ou seraient-ils partis de Narbonne seulement
réforme est en train de s’accomplir en lui. Dès les premiers mois de
1656,
la conversion du prince est un fait accompli. (Vi
’Alet) . Au moment où la session des États de Languedoc fut close, le
22
février 1656, il acceptait « avec une docilité d’
moment où la session des États de Languedoc fut close, le 22 février
1656,
il acceptait « avec une docilité d’enfant », les
oète comédien n’est plus la même que lorsqu’il était arrivé à Lyon en
1652,
il ne devait pas seulement cette meilleure fortun
’établit également et lui vaut des amitiés solides. En cet automne de
1656,
Chapelle et Bachaumont se rendant aux eaux d’Enca
ent son ancien condisciple. Toutefois, plus d’un épisode du récit des
deux
Parisiens mérite d’être retenu, si l’on songe que
us donner bientôt. Les états de Languedoc s’ouvrirent, en cette année
1656,
à Béziers, le 17 novembre. Le comte de Bieule39 a
es états de Languedoc s’ouvrirent, en cette année 1656, à Béziers, le
17
novembre. Le comte de Bieule39 avait reçu commiss
ission du roi pour la convocation et la direction des états. Entre ce
17
novembre et la fin de l’année, Molière fit représ
e a été représentée pour la première fois aux états de Languedoc l’an
1656.
M. le comte de Bioule, lieutenant du roi, préside
ant du roi, président aux états. » Et dans la préface de l’édition de
1682,
on lit : « La seconde comédie de M. de Molière fu
ée par les adversaires même de l’auteur. De Vizé disait plus tard (en
1663
) dans ses Nouvelles nouvelles : « Ensuite il fit
e ayant pour titre : La Fameuse comédienne ou l’histoire de la Guérin
40.
Ce livre, dirigé contre la veuve de Molière, bas,
avances que comme Clitandre répond à Armande dans Les Femmes savantes
42.
Tel est le récit que nous trouvons dans les premi
une que le poète leur avait ménagée. Le procès verbal de la séance du
16
décembre 1656, contient le paragraphe suivant : «
oète leur avait ménagée. Le procès verbal de la séance du 16 décembre
1656,
contient le paragraphe suivant : « Sur les plaint
entation du Dépit amoureux ? En ce cas, la décision aurait précédé de
deux
ou trois jours, selon toute apparence, la représe
du Dépit amoureux ? En ce cas, la décision aurait précédé de deux ou
trois
jours, selon toute apparence, la représentation d
leur déclaration. La représentation pourrait donc être fixée vers le
19
ou 21 décembre. Mais peut-être est-ce tirer de l’
déclaration. La représentation pourrait donc être fixée vers le 19 ou
21
décembre. Mais peut-être est-ce tirer de l’acte d
nt que la seconde comédie de Molière parut d’abord à Béziers dans les
six
dernières semaines de l’année 1656 ; il n’y a poi
re parut d’abord à Béziers dans les six dernières semaines de l’année
1656
; il n’y a point grand intérêt à préciser davanta
. du bureau des comptes ne l’avaient été l’année précédente. C’est le
16
avril que lui fut votée une allocation de cinq ce
née précédente. C’est le 16 avril que lui fut votée une allocation de
cinq
cents livres, accompagnée d’une imitation à n’y p
récédente. C’est le 16 avril que lui fut votée une allocation de cinq
cents
livres, accompagnée d’une imitation à n’y plus re
; le procès verbal dit : « A été accordé au sieur Béjart la somme de
cinq
cents livres, pour un livre qu’il a fait des qual
procès verbal dit : « A été accordé au sieur Béjart la somme de cinq
cents
livres, pour un livre qu’il a fait des qualités,
ser. » Si l’on en croit un passage des Aventures de Dassoucy (Paris,
1679,
in-12), la troupe aurait encore reçu, à Béziers,
, Christine, sœur de Louis XIII et veuve de Victor-Amédée, chanson en
deux
couplets, dont voici le premier : Loin de moi, l
utant que ceux-ci se prolongèrent jusqu’au mois de juin. À la date du
12.
avril 1657, Madeleine Béjart est probablement à N
ceux-ci se prolongèrent jusqu’au mois de juin. À la date du 12. avril
1657,
Madeleine Béjart est probablement à Nîmes, où une
née « par Pierre Le Blanc, juge pour le roi en la cour de Nîmes », le
12
avril 1657, à l’effet de poursuivre le remboursem
Pierre Le Blanc, juge pour le roi en la cour de Nîmes », le 12 avril
1657,
à l’effet de poursuivre le remboursement de l’obl
ril 1657, à l’effet de poursuivre le remboursement de l’obligation de
3200
livres souscrite par Antoine Baratier, à Montélim
tion de 3200 livres souscrite par Antoine Baratier, à Montélimart, le
18
février 1655. Molière accompagnait-il Madeleine ?
0 livres souscrite par Antoine Baratier, à Montélimart, le 18 février
1655.
Molière accompagnait-il Madeleine ? La troupe éta
55. Molière accompagnait-il Madeleine ? La troupe était-elle avec ses
deux
principaux directeurs ? La question ne peut-être
us en plus d’influence, écrivait de Lyon à l’abbé Ciron, à la date du
15
mai 1657 : « Il y a des comédiens ici qui portai
lus d’influence, écrivait de Lyon à l’abbé Ciron, à la date du 15 mai
1657
: « Il y a des comédiens ici qui portaient autre
n que je n’ai eu garde de les aller voir… » Quelques jours après, le
16
juin, la troupe est à Dijon ; elle est encore con
n. On peut rappeler ici ce que Racine écrivait d’Uzès à M. Vitard, le
25
juillet 1662 : « M. le prince de Conti est à troi
rappeler ici ce que Racine écrivait d’Uzès à M. Vitard, le 25 juillet
1662
: « M. le prince de Conti est à trois lieues de c
’Uzès à M. Vitard, le 25 juillet 1662 : « M. le prince de Conti est à
trois
lieues de cette ville et se fait furieusement cra
dent à Molière la permission d’ouvrir son théâtre, à charge de verser
90
livres pour les pauvres de l’hôpital, et de ne pr
verser 90 livres pour les pauvres de l’hôpital, et de ne prendre que
20
sous pour les pièces nouvelles et 10 sous pour le
l’hôpital, et de ne prendre que 20 sous pour les pièces nouvelles et
10
sous pour les anciennes. Le tripotier, qui louait
es. Le tripotier, qui louait les sièges, ne devait pas exiger plus de
2
sous pour chaque chaise, à peine de 50 livres d’a
s, ne devait pas exiger plus de 2 sous pour chaque chaise, à peine de
50
livres d’amende. « C’étaient à peu près, dit M. H
lus que la session des états du Languedoc avait commencé à Pézenas le
8
octobre, et qu’elle finit le 24 février 1658. On
Languedoc avait commencé à Pézenas le 8 octobre, et qu’elle finit le
24
février 1658. On ne sait si Molière y alla, mais
avait commencé à Pézenas le 8 octobre, et qu’elle finit le 24 février
1658.
On ne sait si Molière y alla, mais ces réunions a
ion. Les administrateurs de l’Aumône générale de Lyon accordèrent, le
6
janvier, un secours de 18 livres tournois à une d
de l’Aumône générale de Lyon accordèrent, le 6 janvier, un secours de
18
livres tournois à une demoiselle Vérand, veuve d’
troupe passa le carnaval à Grenoble. C’est la notice de l’édition de
1682
qui le dit expressément. Elle eut là les mêmes di
eut là les mêmes difficultés qu’elle aurait rencontrées à Vienne, en
1654,
d’après M. Brouchoud. Comptant peut-être un peu t
istre des délibérations de l’hôtel de ville, le texte suivant : « Du
2
février 1658. Il a été tenu conseil ordinaire dan
délibérations de l’hôtel de ville, le texte suivant : « Du 2 février
1658.
Il a été tenu conseil ordinaire dans l’Hôtel de V
eil ordinaire dans l’Hôtel de Ville où étaient présents messieurs les
quatre
consuls, et il a été proposé par M. le premier co
qui leur doit être donnée par mesd. sieurs les consuls et du conseil »
44.
Ce petit conflit n’eut d’ailleurs pas de suite.
Cependant les amis de Molière, disent les rédacteurs de la Préface de
1682,
lui conseillaient de se rapprocher de Paris. Dans
recueillis. Une lettre de Thomas Corneille à l’abbé de Pure, datée du
19
mai 1658, contient le passage suivant, ainsi impr
lis. Une lettre de Thomas Corneille à l’abbé de Pure, datée du 19 mai
1658,
contient le passage suivant, ainsi imprimé dans l
nante… Elle s’est lassée du veuvage. Nous attendons ici (à Rouen) les
deux
beautés que vous croyez devoir disputer cet hiver
lit : Mlle Le Baron, c’est la veuve de l’acteur André Baron, mort en
1655
; elle n’appartenait point à la troupe de Molière
approximative de l’installation de la troupe à Rouen. En cette année
1658,
deux représentations furent données au profit des
ximative de l’installation de la troupe à Rouen. En cette année 1658,
deux
représentations furent données au profit des pauv
ent données au profit des pauvres de l’Hôtel-Dieu de Rouen : l’une le
20
juin, qui produisit 77 livres 4 sols et 7 deniers
es pauvres de l’Hôtel-Dieu de Rouen : l’une le 20 juin, qui produisit
77
livres 4 sols et 7 deniers ; l’autre le 21 août,
de l’Hôtel-Dieu de Rouen : l’une le 20 juin, qui produisit 77 livres
4
sols et 7 deniers ; l’autre le 21 août, qui produ
l-Dieu de Rouen : l’une le 20 juin, qui produisit 77 livres 4 sols et
7
deniers ; l’autre le 21 août, qui produisit 44 li
le 20 juin, qui produisit 77 livres 4 sols et 7 deniers ; l’autre le
21
août, qui produisit 44 livres 15 sols. Ces représ
sit 77 livres 4 sols et 7 deniers ; l’autre le 21 août, qui produisit
44
livres 15 sols. Ces représentations avaient-elles
res 4 sols et 7 deniers ; l’autre le 21 août, qui produisit 44 livres
15
sols. Ces représentations avaient-elles été donné
t-ce là qu’un souvenir timide de la protection du prince de Conti. Le
12
juillet, Madeleine Béjart, logée au jeu de paume
uchet, prend la fin du bail du jeu de paume des Marais, à Paris, pour
dix-huit
mois, du 1er octobre 1658 au 1er avril 1660. La f
n du bail du jeu de paume des Marais, à Paris, pour dix-huit mois, du
1er
octobre 1658 au 1er avril 1660. La fin du bail ét
jeu de paume des Marais, à Paris, pour dix-huit mois, du 1er octobre
1658
au 1er avril 1660. La fin du bail était cédée par
paume des Marais, à Paris, pour dix-huit mois, du 1er octobre 1658 au
1er
avril 1660. La fin du bail était cédée par messir
Marais, à Paris, pour dix-huit mois, du 1er octobre 1658 au 1er avril
1660.
La fin du bail était cédée par messire Louis Redh
l, font partie du marché. Cette location a lieu moyennant la somme de
trois
mille livres par chacun an, « payable aux quatre
t partie du marché. Cette location a lieu moyennant la somme de trois
mille
livres par chacun an, « payable aux quatre termes
moyennant la somme de trois mille livres par chacun an, « payable aux
quatre
termes de l’an à Paris accoutumés ». Pour l’accom
rla, autrement dit Mlle Duparc, que nous avons vue épouser à Lyon, en
1653,
René Berthelot dit Duparc, obtint à Rouen un bril
Rouen un brillant succès, succès de beauté autant que de talent. Les
deux
Corneille s’éprirent d’elle. Le grand Corneille,
ans échauffer son cœur ! Corneille avait, du reste, jeune encore, en
1632,
raillé ces amours d’imagination, sans pouvoir, co
la tête… Par là je m’appris à rimer. On ne sait à quel moment de ces
huit
dernières années fixer la représentation de L’And
eleine de l’Hermite, qui est marraine avec Molière dans le baptême du
6
janvier 1654 à Montpellier ? Mlle Menou ? On retr
l’Hermite, qui est marraine avec Molière dans le baptême du 6 janvier
1654
à Montpellier ? Mlle Menou ? On retrouve ce nom c
onsigné sur son registre que son beau-père Ragueneau mourut à Lyon le
18
août 1654. La représentation où il a un rôle est
sur son registre que son beau-père Ragueneau mourut à Lyon le 18 août
1654.
La représentation où il a un rôle est donc antéri
utre cause, ou faut-il faire remonter la représentation avant l’année
1653,
où elle entra dans la troupe ? Mais, d’autre part
Mlle Menou, qui joue Éphyre, n’était qu’une toute jeune personne vers
1659
ou 1660, date probable de la lettre de Chapelle,
ou, qui joue Éphyre, n’était qu’une toute jeune personne vers 1659 ou
1660,
date probable de la lettre de Chapelle, elle n’eû
te probable de la lettre de Chapelle, elle n’eût été qu’une enfant en
1653,
et, quoique Éphyre soit un petit rôle de quatre v
t été qu’une enfant en 1653, et, quoique Éphyre soit un petit rôle de
quatre
vers, encore n’est-ce pas un rôle d’enfant : c’es
e des questions embarrassantes. En tout cas, ce n’est pas à Rouen, en
1658,
que cette représentation aurait été donnée, car l
us à Rouen, comme le disent les auteurs de la préface de l’édition de
1682,
que pour se rapprocher de Paris. Ceux qui jouèren
ter bientôt celui de due d’Orléans (à la mort de son oncle Gaston, en
1660
), Monsieur avait deux années de moins que le roi,
ue d’Orléans (à la mort de son oncle Gaston, en 1660), Monsieur avait
deux
années de moins que le roi, c’est-à-dire dix-huit
n 1660), Monsieur avait deux années de moins que le roi, c’est-à-dire
dix-huit
ans. On lui fit venir l’envie d’avoir une troupe
ge, le premier et indispensable succès de son ambition. Molière avait
trente-six
ans au moment où il allait trouver enfin un théât
il a parcouru, et voyons quels sont les résultats de cette période de
douze
ans qui vient de s’accomplir. Cette longue odyssé
lière. Ce qui se passa au château de la Grange avait dû se renouveler
mille
fois dans des circonstances moins importantes, il
nées. Battre l’estrade, courir la campagne, comme fit Molière pendant
douze
années, c’était fourrager parmi les originaux ; M
Fail, Brantôme, Rabelais, les vieux conteurs, en remontant jusqu’aux
Quinze
Joies de mariage. Il avait donc une vaste lecture
ocher ou de l’en féliciter ironiquement, écoutons l’auteur de Zélinde
46
: « II faut, si vous voulez réussir, que vous pre
u de l’en féliciter ironiquement, écoutons l’auteur de Zélinde 46 : «
II
faut, si vous voulez réussir, que vous preniez la
ion par ces compositions qui avaient toujours la vogue en province. «
II
fit des farces, dit de Vizé, qui réussirent un pe
ncial. C’est ainsi que sur le registre de La Grange sont indiqués, de
1659
à 1564 : Les Trois docteurs rivaux, Le Maître d’
C’est ainsi que sur le registre de La Grange sont indiqués, de 1659 à
1564
: Les Trois docteurs rivaux, Le Maître d’école,
que sur le registre de La Grange sont indiqués, de 1659 à 1564 : Les
Trois
docteurs rivaux, Le Maître d’école, Le Docteur am
s-René, La Casaque, Le Médecin volant, La Jalousie du Barbouillé. Ces
deux
dernières sont les seules que nous possédions. C’
c, contenait l’idée d’une scène fameuse des Fourberies de Scapin. Les
Trois
Docteurs rivaux, Le Docteur pédant, Le Maître d’é
étude et de volonté, qu’il n’en mit à préparer l’auteur comique ; ces
deux
parties de son art paraissent avoir toujours été
fin du siècle : L’art de prononcer parfaitement la langue française (
1687
), par J. H. (Hindret). L’auteur attribue à Molièr
s de nos infinitifs terminés en er : ce qui ne se faisait pas, il y a
trente
ans, particulièrement par les comédiens de provin
rt aîné, Béjart cadet, Duparc, Dufresne, Debrie et Croisac (gagiste à
deux
livres par jour), et de Mlles Béjart (Madeleine),
rt (Madeleine), Duparc, Debrie et Hervé (Geneviève Béjart) ; en tout,
onze
personnes. Cette troupe, autant qu’on peut le con
quelques embarras qu’elle ait pu éprouver d’abord, on la voit, après
1653,
faire bonne figure aux états et partout. Ses déco
une année seulement après le retour, laissa une somme considérable :
vingt-quatre
mille écus d’or, si l’on en croit Guy Patin, qui
ulement après le retour, laissa une somme considérable : vingt-quatre
mille
écus d’or, si l’on en croit Guy Patin, qui écrit,
écus d’or, si l’on en croit Guy Patin, qui écrit, dans une lettre du
27
mai 1669 : « Il est mort depuis trois jours un co
’or, si l’on en croit Guy Patin, qui écrit, dans une lettre du 27 mai
1669
: « Il est mort depuis trois jours un comédien, n
tin, qui écrit, dans une lettre du 27 mai 1669 : « Il est mort depuis
trois
jours un comédien, nommé Béjart, qui avait vingt-
« Il est mort depuis trois jours un comédien, nommé Béjart, qui avait
vingt-quatre
mille écus en or : Jampridem Syrus in Tiberim d
depuis trois jours un comédien, nommé Béjart, qui avait vingt-quatre
mille
écus en or : Jampridem Syrus in Tiberim defluit
Ne diriez-vous pas que le Pérou n’est plus en Amérique, mais à Paris
51
? » Si Joseph Béjart avait pu faire de si brillan
as probable que ses compagnons fussent dans le dénuement. CHAPITRE
V.
RETOUR À PARIS PREMIÈRE ÉPOQUE DE LA CARRIÈRE COM
OMIQUE DE MOLIÈRE DES PRÉCIEUSES RIDICULES À L’ÉCOLE DES MARIS Le
24
octobre 1658, Molière et ses compagnons eurent l’
OLIÈRE DES PRÉCIEUSES RIDICULES À L’ÉCOLE DES MARIS Le 24 octobre
1658,
Molière et ses compagnons eurent l’honneur de par
’avança vers la rampe, et, pour emprunter les termes de la préface de
1682,
« après avoir remercié Sa Majesté, en des termes
ique du roi ", lequel accordait à chacun des comédiens une pension de
trois
cents livres, « Nota, dit La Grange, que les troi
u roi ", lequel accordait à chacun des comédiens une pension de trois
cents
livres, « Nota, dit La Grange, que les trois cent
ens une pension de trois cents livres, « Nota, dit La Grange, que les
trois
cents livres n’ont point été payées ». Elle obtin
e pension de trois cents livres, « Nota, dit La Grange, que les trois
cents
livres n’ont point été payées ». Elle obtint en m
e Loret, ni la gazette en prose n’en firent mention. Le surlendemain,
26
octobre, le roi et la cour partirent pour Lyon, o
t pour Lyon, où ils devaient rester jusqu’à la fin du mois de janvier
1659.
Molière s’arrangea immédiatement avec les comédie
s’arrangea immédiatement avec les comédiens italiens, à qui il donna
quinze
cents livres pour jouer les jours extraordinaires
ngea immédiatement avec les comédiens italiens, à qui il donna quinze
cents
livres pour jouer les jours extraordinaires, c’es
dis, mercredis, jeudis et samedis. La salle du Petit-Bourbon, que les
deux
troupes se partagèrent, était située vis-à-vis du
ait alors jusqu’au quai. « Cette salle, dit un contemporain52, est de
dix-huit
toises de longueur sur huit de largeur ; au haut
salle, dit un contemporain52, est de dix-huit toises de longueur sur
huit
de largeur ; au haut de laquelle il y a encore un
de laquelle il y a encore un demi-rond de sept toises de profond sur
huit
et demie de large : le out en voûte semée de fleu
directement opposé au dais de Leurs Majestés, est élevé un théâtre de
six
pieds de hauteur, de huit toises de largeur et de
s de Leurs Majestés, est élevé un théâtre de six pieds de hauteur, de
huit
toises de largeur et de profondeur. » Telle était
e temps dans son droit, et commença à représenter en public le samedi
2
novembre 165853. Il persista d’abord à vouloir jo
s son droit, et commença à représenter en public le samedi 2 novembre
165853.
Il persista d’abord à vouloir jouer la tragédie,
itement. Dans ce sensible affront ne sachant où me prendre, Je me vis
mille
fois sur le point de me pendre ; Mais, d’un coup
du public parisien : chacune de ces pièces, frais déduits, produisit
soixante-dix
pistoles à chacun des sociétaires. Lorsque la cou
ix pistoles à chacun des sociétaires. Lorsque la cour revint à Paris (
28
janvier 1659), le jeune patron de la troupe daign
à chacun des sociétaires. Lorsque la cour revint à Paris (28 janvier
1659
), le jeune patron de la troupe daigna honorer de
de sa présence une représentation de l’une de ces comédies. C’est le
12
février qu’il alla rendre visite à ses comédiens,
. C’est le 12 février qu’il alla rendre visite à ses comédiens, et le
15
du même mois Loret écrivait dans la Muse historiq
at dans la préface de ses œuvres pour une époque un peu plus tardive (
1672
). C’est alors, selon nous, que Molière dut étudie
ce grand écolier du plus grand des bouffons Ne fasse et ne refasse en
cent
et cent façons : Tantôt pour exprimer les soucis
écolier du plus grand des bouffons Ne fasse et ne refasse en cent et
cent
façons : Tantôt pour exprimer les soucis d’un mén
cent et cent façons : Tantôt pour exprimer les soucis d’un ménage, De
mille
et mille plis il fronce son visage ; Puis, joigna
ent façons : Tantôt pour exprimer les soucis d’un ménage, De mille et
mille
plis il fronce son visage ; Puis, joignant la pâl
gagements, et que la troupe se reconstituait. À Pâques de cette année
1659,
la troupe subit d’importantes modifications. Dupa
roisy et sa femme, « acteurs nouveaux à Paris », y furent enrôlés. Le
11
mai, la troupe jouait au Louvre L’Étourdi pour le
rôle de Lélie avec peine ; il mourut quelques jours plus tard, âgé de
quarante-deux
ou quarante-trois ans. La troupe resta donc compo
c peine ; il mourut quelques jours plus tard, âgé de quarante-deux ou
quarante-trois
ans. La troupe resta donc composée de onze person
quarante-deux ou quarante-trois ans. La troupe resta donc composée de
onze
personnes : Molière, Béjart cadet, Debrie, Jodele
olitiques allaient s’accomplir. La paix fut signée avec l’Espagne (le
7
novembre). Les négociations du mariage de Louis X
re esprit ni au génie de notre langue. Vers le moment où nous sommes (
1659
), quelques moqueries s’étaient déjà fait entendre
nevas comique du même abbé sur le même sujet fut joué en italien, dès
1656,
au Petit-Bourbon. La royauté des précieuses était
à ses ennemis naturels, et il n’hésita pas à se faire l’agresseur. Le
18
novembre 1659, la troupe de Monsieur joua Les Pré
s naturels, et il n’hésita pas à se faire l’agresseur. Le 18 novembre
1659,
la troupe de Monsieur joua Les Précieuses Ridicul
tait dans la réalité ou dans la fiction théâtrale. On vit d’abord les
deux
nouveaux acteurs, La Grange et Du Croisy, s’inter
onné jusqu’au menton, « un des vaillants hommes du siècle, un brave a
trois
poils ». Quant au pétulant marquis de Mascarille,
ets infatués d’eux-mêmes, beaux esprits bavards et impertinents. Tous
deux
, le marquis et le vicomte, mêlent du reste à leur
» Mais le Menagiana, il est bon de le remarquer, ne fut publié qu’en
1693,
c’est-à-dire trente-quatre ans plus tard. Ménage
a, il est bon de le remarquer, ne fut publié qu’en 1693, c’est-à-dire
trente-quatre
ans plus tard. Ménage avait donc eu le temps de s
n. La défense fut levée, en effet. La seconde représentation eut lieu
quatorze
jours après la première, le 2 décembre. Cette int
seconde représentation eut lieu quatorze jours après la première, le
2
décembre. Cette interdiction momentanée ne fit, c
le, c’est-à-dire que le prix de certaines places fut doublé ; on paya
trente
sous au parterre au lieu de quinze. Le gazetier L
taines places fut doublé ; on paya trente sous au parterre au lieu de
quinze
. Le gazetier Loret, attiré comme tout le monde au
e de Boisrobert, Le Néron de monsieur Gilbert, Alcibiade, Amalazonte
60,
Dont la cour a fait tant de compte, Ni le Fédéri
emble friande À plusieurs, tant sages que fous ! Pour moi, j’y portai
trente
sous : Mais, oyant leurs fines paroles, J’en ris
trente sous : Mais, oyant leurs fines paroles, J’en ris pour plus de
dix
pistoles61. « Tout est d’une rare valeur dans ce
toles61. « Tout est d’une rare valeur dans ce feuilleton, qui date de
deux
siècles, dit M. Bazin, et la confusion des auteur
plus délicat qui ait jamais paru au théâtre : on est venu à Paris de
vingt
lieues à la ronde, afin d’en avoir le divertissem
étaire de Marie Mancini, qui devint princesse Colonna au mois d’avril
1661.
Marie Mancini, célèbre par son roman avec le jeun
emmes, qui fut joué au Marais sous le titre de L’Académie des Femmes (
1661
). Quant aux critiques, ils se contentaient de dir
ules qui les imitent mal64. » Enfin, il fit jouer sur son théâtre, en
1660,
une comédie de Gilbert intitulée La Vraie et la f
ent, se trouvait, comme on dit, hors de pages. Il avait alors près de
trente-huit
ans. Il est enfin éclairé sur sa véritable voie ;
confrères ». À partir de ce moment, nous allons voir, pendant près de
treize
ans, se succéder les chefs-d’œuvre avec une prodi
prodigieuse rapidité. Jodelet mourut le vendredi saint de cette année
1660.
Loret en parle ainsi dans sa gazette : Notre Dém
à nature ; Et voici pour sa sépulture : « Ici gît qui de Jodelet Joua
cinquante
ans le rôlet Et qui fut de même farine Que Gros-G
illaume et Jean-Farine, Hormis qu’il parlait mieux du nez Que lesdits
deux
enfarinez. Il fut un comique agréable, Et, pour p
éâtre du Marais, rentrèrent, à Pâques, dans la troupe de Monsieur. Le
28
mai, pendant que la cour était toujours dans le M
tives ; il semble, lorsqu’on écoute Sganarelle, entendre l’auteur des
Quinze
joies de mariage revenu au jour et parlant, non p
nte la jeunesse de Molière, qui s’en allait tantôt passée. À l’âge de
trente-huit
ans et plus, il lui fallait un caractère plus mûr
, « il se trouva assez de personnes de condition pour remplir plus de
quarante
fois les loges et le théâtre du Petit-Bourbon, et
on du jeu de Molière dans ce rôle de Sganarelle : « Molière changeait
vingt
fois son visage dans le courant de la pièce ; il
poète et celui du comédien. La pièce fut ainsi publiée au mois d’août
1660.
Le nom de l’auteur n’y était pas même mentionné ;
ulier, c’est que ce bénévole éditeur s’était muni d’un privilège pour
cinq
ans, avec défense à tous autres , c’est-à-dire m
que cette épître se trouve dans quelques exemplaires de l’édition de
1660
et dans la plupart des éditions suivantes. « Cela
n plus qu’à votre troupe, puisque votre pièce avait été jouée près de
cinquante
fois ». Il avait craint, en outre, touchante soll
ant plus facilement gain de cause qu’il s’était prémuni, à la date du
31
mars 1660 (trois jours après la représentation du
facilement gain de cause qu’il s’était prémuni, à la date du 31 mars
1660
(trois jours après la représentation du Cocu imag
ement gain de cause qu’il s’était prémuni, à la date du 31 mars 1660 (
trois
jours après la représentation du Cocu imaginaire)
e, non encore représenté, privilège dont il fit transport de sa main,
deux
ans plus tard, le 18 octobre 1662, à Claude Barbi
é, privilège dont il fit transport de sa main, deux ans plus tard, le
18
octobre 1662, à Claude Barbin et Gabriel Quinet.
e dont il fit transport de sa main, deux ans plus tard, le 18 octobre
1662,
à Claude Barbin et Gabriel Quinet. Toutefois, il
eux caquette Aussi pour joindre à sa gazette ; Item, par libéralité,
Cinq
cents livres de gravité À l’un et à l’autre Corne
aquette Aussi pour joindre à sa gazette ; Item, par libéralité, Cinq
cents
livres de gravité À l’un et à l’autre Corneille,
IV et sa jeune épouse, Marie-Thérèse, étaient arrivés à Vincennes. Le
26
août, ils firent leur entrée solennelle. On peut
. Transcrivons ce que La Grange nous apprend à ce sujet : « Le lundi,
11
octobre, le théâtre du Petit-Bourbon commença à ê
aire les grosses réparations de la salle du Palais-Royal : il y avait
trois
poutres de la charpente pourries et étayées, et l
e sire a trouvé bon, dit Loret dans la Muse historique, à la date du
30
octobre 1660. Qu’on leur donne et qu’on leur app
ouvé bon, dit Loret dans la Muse historique, à la date du 30 octobre
1660.
Qu’on leur donne et qu’on leur apprête, Pour exe
es, était celle que le cardinal de Richelieu avait fait construire en
1639
pour la représentation de Mirame. Elle était situ
mode qu’il y ait jamais eu, dit Sauval66, quoiqu’il ne consiste qu’en
vingt-sept
degrés et en deux rangées de loges. Il est dressé
eu, dit Sauval66, quoiqu’il ne consiste qu’en vingt-sept degrés et en
deux
rangées de loges. Il est dressé dans une salle qu
ux rangées de loges. Il est dressé dans une salle qui n’a pas plus de
neuf
toises de large ; l’espace destiné pour les spect
uf toises de large ; l’espace destiné pour les spectateurs n’en a que
dix
ou onze de profondeur, et cependant un si petit l
es de large ; l’espace destiné pour les spectateurs n’en a que dix ou
onze
de profondeur, et cependant un si petit lieu tien
ix ou onze de profondeur, et cependant un si petit lieu tient jusqu’à
quatre
mille personnes… Les degrés des théâtres anciens,
nze de profondeur, et cependant un si petit lieu tient jusqu’à quatre
mille
personnes… Les degrés des théâtres anciens, qui n
nt à s’élever de plusieurs toises au-dessus des acteurs, et depuis le
trente
ou quarantième jusqu’à l’infini ; joint qu’ils oc
iens. Au Palais-Royal il n’en va pas ainsi ; là, les degrés n’ont que
quatre
[p.139] ou cinq pouces de haut, et par ce moyen,
yal il n’en va pas ainsi ; là, les degrés n’ont que quatre [p.139] ou
cinq
pouces de haut, et par ce moyen, dans un lieu où
lieu où les Grecs et les Romains auraient eu de la peine à en placer
six
ou sept au plus, il s’en trouve vingt-sept ; on l
raient eu de la peine à en placer six ou sept au plus, il s’en trouve
vingt-sept
; on les monte et descend aisément, et comme ils
eptième degré ne sont point au-dessus des acteurs. Mais parce qu’avec
quatre
ou cinq pouces de hauteur il n’y aurait pas eu mo
gré ne sont point au-dessus des acteurs. Mais parce qu’avec quatre ou
cinq
pouces de hauteur il n’y aurait pas eu moyen de s
’en aperçoive une partie68 ». Molière avait bien fait de marquer par
deux
triomphes éclatants les deux années qu’il venait
Molière avait bien fait de marquer par deux triomphes éclatants les
deux
années qu’il venait de passer à Paris. Il est dou
ermeture de la salle du Petit-Bourbon, furent admis à jouer au Louvre
trois
fois de suite, les 16, 21 et 26 octobre. Le 26, c
etit-Bourbon, furent admis à jouer au Louvre trois fois de suite, les
16,
21 et 26 octobre. Le 26, ce fut chez le cardinal
-Bourbon, furent admis à jouer au Louvre trois fois de suite, les 16,
21
et 26 octobre. Le 26, ce fut chez le cardinal Maz
on, furent admis à jouer au Louvre trois fois de suite, les 16, 21 et
26
octobre. Le 26, ce fut chez le cardinal Mazarin q
s à jouer au Louvre trois fois de suite, les 16, 21 et 26 octobre. Le
26,
ce fut chez le cardinal Mazarin que la représenta
nts du cardinal. » Sa Majesté ou plutôt Mazarin gratifia la troupe de
trois
mille livres ; ce fut peut-être aussi dans cette
cardinal. » Sa Majesté ou plutôt Mazarin gratifia la troupe de trois
mille
livres ; ce fut peut-être aussi dans cette occasi
i et Sganarelle, une hospitalité généreuse ; et, dans l’intervalle de
trois
mois qui s’écoula avant que son théâtre fût prêt,
de trois mois qui s’écoula avant que son théâtre fût prêt, elle gagna
cinq
mille cent quinze livres. Nous trouvons les rense
ois mois qui s’écoula avant que son théâtre fût prêt, elle gagna cinq
mille
cent quinze livres. Nous trouvons les renseigneme
is qui s’écoula avant que son théâtre fût prêt, elle gagna cinq mille
cent
quinze livres. Nous trouvons les renseignements p
i s’écoula avant que son théâtre fût prêt, elle gagna cinq mille cent
quinze
livres. Nous trouvons les renseignements plus pré
tait le maître d’hôtel du roi), à la place Royale, Le Dépit amoureux,
200
livres. Une visite chez M. le maréchal d’Aumont,
Dépit amoureux, 200 livres. Une visite chez M. le maréchal d’Aumont,
220
livres, Une visite chez M. Fouquet, surintendant
ite chez M. Fouquet, surintendant des finances, L’Étourdi et Le Cocu,
500
livres. Une visite chez M. le maréchal de La Meil
site chez M. le maréchal de La Meilleraye, Le Cocu et Les Précieuses,
220
livres. Une visite chez M. de La Bazinière, tréso
es. Une visite chez M. de La Bazinière, trésorier de l’Épargne, idem,
300
livres. Une visite chez M. le duc de Roquelaure,
ivres. Une visite chez M. le duc de Roquelaure, L’Étourdi et Le Cocu,
25
louis d’or : 275 livres. Une visite chez M. le du
e chez M. le duc de Roquelaure, L’Étourdi et Le Cocu, 25 louis d’or :
275
livres. Une visite chez M. le duc de Mercœur, Le
275 livres. Une visite chez M. le duc de Mercœur, Le Cocu imaginaire,
150
livres. Une visite chez M. le comte de Vaillac,
M. le comte de Vaillac, L’Héritier ridicule (de Scarron) et Le Cocu,
220
livres. POUR LE ROI. Le samedi 16 octobre, au Lou
ridicule (de Scarron) et Le Cocu, 220 livres. POUR LE ROI. Le samedi
16
octobre, au Louvre, Le Dépit amoureux et Le Médec
octobre, au Louvre, Le Dépit amoureux et Le Médecin volant. Le jeudi
21
octobre, L’Étourdi et Les Précieuses, au Louvre.
Le jeudi 21 octobre, L’Étourdi et Les Précieuses, au Louvre. Le mardi
26
octobre, L’Étourdi et Les Précieuses, au Louvre,
mps en temps dans un grand cabinet). Sa Majesté gratifia la troupe de
3000
livres. Le 23 novembre, un mardi, on a joué à Vin
s un grand cabinet). Sa Majesté gratifia la troupe de 3000 livres. Le
23
novembre, un mardi, on a joué à Vincennes, devant
e roi et Son Éminence, Don Japhet (de Scarron) et Le Cocu. Le samedi
4
décembre, joué au Louvre, pour le roi, Jodelet pr
joué au Louvre, pour le roi, Jodelet prince (de Thomas Corneille). Le
25
décembre, joué au Louvre, Don Bertrand (de Thomas
La troupe a reçu, dans l’intervalle qu’elle n’a point joué en public,
cinq
mille cent quinze livres. » La salle du Palais-R
oupe a reçu, dans l’intervalle qu’elle n’a point joué en public, cinq
mille
cent quinze livres. » La salle du Palais-Roval s
reçu, dans l’intervalle qu’elle n’a point joué en public, cinq mille
cent
quinze livres. » La salle du Palais-Roval s’ouvr
, dans l’intervalle qu’elle n’a point joué en public, cinq mille cent
quinze
livres. » La salle du Palais-Roval s’ouvrit le 2
inq mille cent quinze livres. » La salle du Palais-Roval s’ouvrit le
20
janvier 1661 ; la troupe de Monsieur y joua Le Dé
ent quinze livres. » La salle du Palais-Roval s’ouvrit le 20 janvier
1661
; la troupe de Monsieur y joua Le Dépit amoureux
de Navarre ou le prince jaloux parut sur la scène du Palais-Royal le
4
février 1661 ; il y éprouva le plus malheureux so
e ou le prince jaloux parut sur la scène du Palais-Royal le 4 février
1661
; il y éprouva le plus malheureux sort. La chute
é tour à tour à la pitié ou au sourire ; il reste incertain entre ces
deux
sentiments, et sans pouvoir se décider pour l’un
son dessein, il tenait à sa pièce. Il la représenta devant le roi, le
29
septembre 1662, en octobre 1663 à Chantilly et de
il tenait à sa pièce. Il la représenta devant le roi, le 29 septembre
1662,
en octobre 1663 à Chantilly et deux fois à Versai
èce. Il la représenta devant le roi, le 29 septembre 1662, en octobre
1663
à Chantilly et deux fois à Versailles. Il essaya
a devant le roi, le 29 septembre 1662, en octobre 1663 à Chantilly et
deux
fois à Versailles. Il essaya même de la reprendre
et deux fois à Versailles. Il essaya même de la reprendre en novembre
1663
(le 4 et le 6 de ce mois) sur le théâtre du Palai
ois à Versailles. Il essaya même de la reprendre en novembre 1663 (le
4
et le 6 de ce mois) sur le théâtre du Palais-Roya
rsailles. Il essaya même de la reprendre en novembre 1663 (le 4 et le
6
de ce mois) sur le théâtre du Palais-Royal, en l’
essai qui, pour un autre que Molière, seraient des coups de maître. «
II
y a un écrivain de génie, dit M. Nisard, dans L’É
dre un nouvel essor. En même temps, la mort du cardinal Mazarin (mars
1661
), qui changea la face de la cour, devait exercer
nfluence considérable sur les destinées du poète comique. CHAPITRE
VI
. DEUXIÈME ÉPOQUE DU THÉÂTRE DE MOLIÈRE L’ÉCOLE DE
E ÉPOQUE DU THÉÂTRE DE MOLIÈRE L’ÉCOLE DES MARIS Louis XIV, âgé de
vingt-trois
ans, se trouva, à la mort du cardinal Mazarin, ma
il. Ce prince, dont Mazarin disait : « Il y a en lui de l’étoffe pour
quatre
rois » inaugura, au milieu des circonstances les
comme la sympathie et durable autant que l’égoïsme. Du moment où ces
deux
hommes, placés à de telles distances dans l’ordre
son talent lui fournissait le reste. À vrai dire, il y a de Louis XIV
deux
créations du même temps et du même genre, Colbert
it et opiniâtre et de l’aveugle et sotte vanité. Nous avons vu depuis
deux
siècles des Aristes en nombre presque infini, et
représentée pour la première fois sur le théâtre du Palais-Royal, le
24
juin 1661, effaça l’impression désavantageuse que
ntée pour la première fois sur le théâtre du Palais-Royal, le 24 juin
1661,
effaça l’impression désavantageuse que Don Garde
n désavantageuse que Don Garde avait laissée. Le succès fut confirmé,
douze
jours après la première représentation, devant un
jours après la première représentation, devant un illustre public. Le
11
juillet, la troupe de Monsieur fut appelée à joue
ustes, le fastueux financier n’avait pas oublié la comédie. Il avait,
quinze
jours à l’avance, chargé Molière de lui composer
èce à laquelle on put mêler des intermèdes de danse et de musique. En
quinze
jours il fallait que la pièce fut conçue, faite,
pièce fut conçue, faite, apprise et représentée. Molière fut prêt. Le
17
août, après le repas de midi, les conviés, qui ét
s’excusait avec un feint embarras, une coquille s’ouvrit au milieu de
vingt
jets d’eau naturels, et il en sortit une naïade q
i ; il se mit aussitôt à l’œuvre, et intercala dans la pièce la scène
VII
du deuxième acte. Lorsque Les Fâcheux furent joué
deuxième acte. Lorsque Les Fâcheux furent joués une seconde fois, le
27
août, à Fontainebleau, on y vit figurer un nouvea
e Vaux ; il en fit la description à M. de Maucroix dans une lettre du
22
août. Il n’oublie pas la comédie des Fâcheux, et
de ceux qui les premiers ont apprécié Molière, c’est La Fontaine. Ces
deux
génies, les plus originaux de leur époque, se son
Il y a en effet une contre-partie aux vers de La Fontaine. Un jour, à
deux
ou trois ans de là, que Racine et Boileau avaient
n effet une contre-partie aux vers de La Fontaine. Un jour, à deux ou
trois
ans de là, que Racine et Boileau avaient raillé u
eaux esprits ont beau se trémousser, ils n’effaceront par le bonhomme
71.
» Les Fâcheux ne parurent que trois mois plus t
ils n’effaceront par le bonhomme 71. » Les Fâcheux ne parurent que
trois
mois plus tard sur la scène du Palais-Royal. Ce d
de ses finances, et ne pas supporter la tutelle des surintendants. Le
29
août, il partit pour la Bretagne. Le 5 septembre,
tutelle des surintendants. Le 29 août, il partit pour la Bretagne. Le
5
septembre, il fit arrêter à Nantes Fouquet, dont
veur de réjouissances publiques. Un dauphin naquit à Fontainebleau le
1er
novembre. Les Fâcheux furent joués à Paris, le 4
à Fontainebleau le 1er novembre. Les Fâcheux furent joués à Paris, le
4
novembre, et eurent quarante-deux représentations
novembre. Les Fâcheux furent joués à Paris, le 4 novembre, et eurent
quarante-deux
représentations consécutives. Vers la fin de ce m
uarante-deux représentations consécutives. Vers la fin de ce mois, le
20
novembre 1661, Molière tint sur les fonts baptism
représentations consécutives. Vers la fin de ce mois, le 20 novembre
1661,
Molière tint sur les fonts baptismaux une fille d
conservé ce titre puisque nous le lui avons vu prendre à Narbonne, en
1650,
dans une circonstance toute semblable. Mais nous
père dans l’exercice de sa charge. Ce Jean Poquelin le jeune, mort le
6
avril 1660, laissa sa femme, Marie Maillart, ence
s l’exercice de sa charge. Ce Jean Poquelin le jeune, mort le 6 avril
1660,
laissa sa femme, Marie Maillart, enceinte d’une f
roi. C’est bien de lui qu’il s’agit dans L’État de France, publié en
1663,
où sont indiqués, au nombre des huit tapissiers v
ans L’État de France, publié en 1663, où sont indiqués, au nombre des
huit
tapissiers valets de chambre, pour le trimestre d
fallait se retirer prudemment sous la tente, pour observer enfin les
mille
indications à l’aide desquels il sut gouverner sa
e de service ; toute la cour s’empressa de lui faire des invitations »
72.
M. Despois a contesté la vraisemblance de cette
son livre sur Le Théâtre français sous Louis XIV, est Mme Campan, en
1823.
Elle dit la tenir de son beau-père, qui la tenait
traire en toutes lettres : M. Lafosse ou de Lafosse. Remarquons qu’en
1773,
lorsqu’il s’agit de célébrer le premier centenair
ne et de la mettre à la porte. Ce contrôleur qui avait payé sa charge
soixante
ou quatre-vingt mille francs, était un homme de b
mettre à la porte. Ce contrôleur qui avait payé sa charge soixante ou
quatre-vingt
mille francs, était un homme de bonne famille et
orte. Ce contrôleur qui avait payé sa charge soixante ou quatre-vingt
mille
francs, était un homme de bonne famille et qui av
un homme de bonne famille et qui avait eu l’honneur de servir le roi
vingt-cinq
ans dans un de ses régiments. Ainsi honteusement
u’il faisait à l’art qui était le but exclusif de sa vie. CHAPITRE
VII
. INTÉRIEUR DE MOLIÈRE ; SON MARIAGE Nous venon
’il gagnait annuellement étaient considérables. Il recevait jusqu’ici
deux
parts dans les bénéfices du théâtre : l’une comme
éâtre : l’une comme acteur, l’autre comme auteur. À partir de l’année
1663,
il eut deux parts à ce dernier titre, par conséqu
comme acteur, l’autre comme auteur. À partir de l’année 1663, il eut
deux
parts à ce dernier titre, par conséquent trois pa
de l’année 1663, il eut deux parts à ce dernier titre, par conséquent
trois
parts de sociétaire. On s’accorde à évaluer ses r
ois parts de sociétaire. On s’accorde à évaluer ses revenus à environ
trente
mille livres, ce qui représentait alors plus de c
ts de sociétaire. On s’accorde à évaluer ses revenus à environ trente
mille
livres, ce qui représentait alors plus de cent mi
enus à environ trente mille livres, ce qui représentait alors plus de
cent
mille francs d’à présent. À supposer qu’il n’eût
à environ trente mille livres, ce qui représentait alors plus de cent
mille
francs d’à présent. À supposer qu’il n’eût pas en
l’était, l’esprit tendu par ses créations incessantes, embarrassé de
mille
soucis, obligé de ménager soigneusement son temps
if à ce pauvre comédien nommé Mondorge, à qui il fit donner par Baron
vingt-quatre
pistoles et un habit de théâtre qui avait coûté d
ar Baron vingt-quatre pistoles et un habit de théâtre qui avait coûté
deux
mille cinq cents livres. « On a toujours remarqué
ron vingt-quatre pistoles et un habit de théâtre qui avait coûté deux
mille
cinq cents livres. « On a toujours remarqué, dit
ngt-quatre pistoles et un habit de théâtre qui avait coûté deux mille
cinq
cents livres. « On a toujours remarqué, dit Grima
uatre pistoles et un habit de théâtre qui avait coûté deux mille cinq
cents
livres. « On a toujours remarqué, dit Grimarest,
était chargé. C’était d’abord Madeleine Béjart, âgée alors de près de
quarante-quatre
ans, à qui il avait laissé la conduite de sa mais
s particularisez le déplaisir que vous donnent les partialités de vos
trois
grandes actrices pour la distribution de vos rôle
e, sur les différents intérêts de la troupe céleste, pour réduire les
trois
déesses à ses volontés. Si nous en voulons croi
-tu pas qu’un homme avisé Voit par là qu’il n’est pas aisé D’accorder
trois
femmes ensemble ? Fais-en donc ton profit ; surto
nsiblement, dit Chapelle, et, dans l’impossibilité d’aller à Paris de
cinq
ou six jours, je vous souhaite de tout mon cœur e
nt, dit Chapelle, et, dans l’impossibilité d’aller à Paris de cinq ou
six
jours, je vous souhaite de tout mon cœur en repos
pas, Tout en sève et larmes l’en prie, Et jalouse de la prairie, Dans
cinq
ou six jours se promet De l’attirer à son sommet.
t en sève et larmes l’en prie, Et jalouse de la prairie, Dans cinq ou
six
jours se promet De l’attirer à son sommet. « Vo
r, ajoute-il, était frère de Roger de Menou de Champluisant qui, vers
1622,
avait épousé Edme Luillier, d’une famille illustr
n amour qui devait durer toute sa vie. Au commencement de cette année
1662,
il se détermina à en faire sa femme. Il avait alo
cette année 1662, il se détermina à en faire sa femme. Il avait alors
quarante
ans. Son existence avait été singulièrement agité
e rapportent guère, Et je laisse à son choix liberté tout entière. Si
quatre
mille écus de rente bien venants, Une grande tend
rtent guère, Et je laisse à son choix liberté tout entière. Si quatre
mille
écus de rente bien venants, Une grande tendresse
le. Le contrat de mariage de Molière et d’Armande Béjart fut signé le
23
janvier 1662. Ce document, publié en 1863 par M.
rat de mariage de Molière et d’Armande Béjart fut signé le 23 janvier
1662.
Ce document, publié en 1863 par M. E. Soulié, est
d’Armande Béjart fut signé le 23 janvier 1662. Ce document, publié en
1863
par M. E. Soulié, est si important qu’il convient
sabeth Béjard, sa fille, et dudit défunt sieur de Belleville, âgée de
vingt
ans ou environ, à ce présente de son vouloir et c
dite damoiselle sa fille, la veille de leurs épousailles, la somme de
dix
mille livres tournois, dont un tiers entrera en l
damoiselle sa fille, la veille de leurs épousailles, la somme de dix
mille
livres tournois, dont un tiers entrera en ladite
es tournois, dont un tiers entrera en ladite future communauté et les
deux
autres tiers demeureront propres à ladite future
Ledit futur époux a doué et doue sadite future épouse de la somme de
quatre
mille livres tournois de douaire préfixe pour une
futur époux a doué et doue sadite future épouse de la somme de quatre
mille
livres tournois de douaire préfixe pour une fois
auté, tels qu’il voudra choisir, réciproquement jusques à la somme de
mille
livres76, suivant la prisée de l’inventaire, et s
c. Fait et passé à Paris, en la maison de ladite damoiselle, l’an mil
six
cent soixante-deux, le vingt-troisième jour de ja
ait et passé à Paris, en la maison de ladite damoiselle, l’an mil six
cent
soixante-deux, le vingt-troisième jour de janvier
t passé à Paris, en la maison de ladite damoiselle, l’an mil six cent
soixante-deux
, le vingt-troisième jour de janvier, et ont signé
inde Béjard. lui a payé et d’elle confesse avoir reçu ladite somme de
dix
mille livres que ladite avait promis bailler et d
Béjard. lui a payé et d’elle confesse avoir reçu ladite somme de dix
mille
livres que ladite avait promis bailler et donner
at et en faveur d’icelui, dont quittance. Fait et passé ès études, le
vingt-quatre
juin mil six cent soixante-deux, et a signé : J.
ui, dont quittance. Fait et passé ès études, le vingt-quatre juin mil
six
cent soixante-deux, et a signé : J. B. Poquelin
dont quittance. Fait et passé ès études, le vingt-quatre juin mil six
cent
soixante-deux, et a signé : J. B. Poquelin Moliè
quittance. Fait et passé ès études, le vingt-quatre juin mil six cent
soixante-deux
, et a signé : J. B. Poquelin Molière. Ogier. Pai
Poquelin Molière. Ogier. Pain. Le mariage fut célébré le lundi gras,
20
février 1662, à Saint-Germain-l’Auxerrois, en pré
olière. Ogier. Pain. Le mariage fut célébré le lundi gras, 20 février
1662,
à Saint-Germain-l’Auxerrois, en présence des deux
i gras, 20 février 1662, à Saint-Germain-l’Auxerrois, en présence des
deux
familles. L’acte de mariage, publié d’abord par B
Bejard, fille de Joseph Bejard et de Marie Hervé, d’autre part, tous
deux
de cette paroisse77, vis-à-vis le Palais-Royal, f
e Bejard, frère et sœur de lad. mariée, et d’autres, avec dispense de
deux
bans. Jean Baptiste Poquelin. Armande Gresinde B
on baptisée » déclarée par Marie Hervé dans l’acte de renonciation du
10
mars 1643. Née par conséquent ou à la fin de 1642
sée » déclarée par Marie Hervé dans l’acte de renonciation du 10 mars
1643.
Née par conséquent ou à la fin de 1642 ou tout au
te de renonciation du 10 mars 1643. Née par conséquent ou à la fin de
1642
ou tout au commencement de 1643, elle avait dix-n
43. Née par conséquent ou à la fin de 1642 ou tout au commencement de
1643,
elle avait dix-neuf à vingt ans à l’époque de son
quent ou à la fin de 1642 ou tout au commencement de 1643, elle avait
dix-neuf
à vingt ans à l’époque de son mariage. Tous les d
la fin de 1642 ou tout au commencement de 1643, elle avait dix-neuf à
vingt
ans à l’époque de son mariage. Tous les documents
: la procuration des héritiers de Marie Hervé à Madeleine Béjart, du
14
février 1671 ; le testament et codicille de Madel
ration des héritiers de Marie Hervé à Madeleine Béjart, du 14 février
1671
; le testament et codicille de Madeleine, la proc
ent et codicille de Madeleine, la procuration de Molière à Armande du
12
mars 1672, le contrat de mariage de J.-B. Aubry e
odicille de Madeleine, la procuration de Molière à Armande du 12 mars
1672,
le contrat de mariage de J.-B. Aubry et Geneviève
ars 1672, le contrat de mariage de J.-B. Aubry et Geneviève Béjart du
15
septembre 1672, la requête de l’archevêque de Par
contrat de mariage de J.-B. Aubry et Geneviève Béjart du 15 septembre
1672,
la requête de l’archevêque de Paris pour l’enterr
e Paris pour l’enterrement de Molière78, la constitution de rentes du
12
février 1674. le contrat entre la veuve de Molièr
r l’enterrement de Molière78, la constitution de rentes du 12 février
1674.
le contrat entre la veuve de Molière et les margu
tre la veuve de Molière et les marguilliers de l’église Saint-Paul du
16
mars 1677, et les lettres de ratification de ce c
euve de Molière et les marguilliers de l’église Saint-Paul du 16 mars
1677,
et les lettres de ratification de ce contrat : le
jusqu’à ce que les recherches de M. Beffara eussent remis au jour, en
1821,
le document authentique que nous avons reproduit
ien simple : si Armande était la fille de Madeleine, comme elle avait
dix-neuf
ans, elle était née vers 1643 ; or, les relations
ille de Madeleine, comme elle avait dix-neuf ans, elle était née vers
1643
; or, les relations de Molière et de Madeleine av
dernier écho dans un Mémoire pour le sieur Guichard contre Lulli, en
1676,
trois ans après la mort de Molière80. Quoique cet
er écho dans un Mémoire pour le sieur Guichard contre Lulli, en 1676,
trois
ans après la mort de Molière80. Quoique cette odi
ougir. Béjart père était mort. La mère vivait et avait un peu plus de
soixante
ans : elle consentit à se déclarer mère et à fair
it à se déclarer mère et à faire feu son mari père de l’enfant née en
164581.
. »Ce raisonnement a séduit quelques bons esprits.
ssance même de l’enfant, d’où la fausse déclaration de Marie Hervé le
10
mars 1643. Et pourquoi ce complot ? parce que Mad
ême de l’enfant, d’où la fausse déclaration de Marie Hervé le 10 mars
1643.
Et pourquoi ce complot ? parce que Madeleine avai
faire épouser par le comte de Modène, et que cette seconde fille, née
quatre
ou cinq ans après l’autre, aurait été une preuve
ser par le comte de Modène, et que cette seconde fille, née quatre ou
cinq
ans après l’autre, aurait été une preuve d’infidé
ement élevé. Le comte de Modène était marié ; il ne devint veuf qu’en
164982,
alors que la petite Armande avait déjà sept ans.
ce noble aventurier, une extrême facilité de mœurs. On cherche midi à
quatorze
heures, comme on dit vulgairement, en prêtant à M
au nom de ses enfants mineurs, car de ces enfants, il y en avait bien
trois
qui étaient mineurs, mais il y en avait deux qui
nts, il y en avait bien trois qui étaient mineurs, mais il y en avait
deux
qui ne l’étaient plus. Joseph, Madeleine, dit M.
a que des dettes est un acte qu’on simplifie autant que possible. Sur
cinq
enfants, il y avait trois mineurs ; cela suffisai
cte qu’on simplifie autant que possible. Sur cinq enfants, il y avait
trois
mineurs ; cela suffisait pour que tous les enfant
amis rassemblés pour donner leur avis sur cette renonciation, il y a
deux
procureurs au Châtelet, sans compter M. Pierre Bé
e fonde sur l’âge de Marie Hervé. L’acte d’inhumation de Marie Hervé (
9
janvier 1670) lui donne quatre-vingts ans à cette
r l’âge de Marie Hervé. L’acte d’inhumation de Marie Hervé (9 janvier
1670
) lui donne quatre-vingts ans à cette date. Donc à
Hervé. L’acte d’inhumation de Marie Hervé (9 janvier 1670) lui donne
quatre-vingts
ans à cette date. Donc à la fin de 1642, au momen
vier 1670) lui donne quatre-vingts ans à cette date. Donc à la fin de
1642,
au moment où elle donna le jour à Armande, elle a
in de 1642, au moment où elle donna le jour à Armande, elle aurait eu
cinquante-deux
ans. C’est là une maternité bien tardive. D’abord
ps de Marie Hervé, veuve de honorable homme Joseph Béjard, décédée le
9
janvier 1670, âgée de 75 ans. » Pour une inscript
e Hervé, veuve de honorable homme Joseph Béjard, décédée le 9 janvier
1670,
âgée de 75 ans. » Pour une inscription gravée sur
de honorable homme Joseph Béjard, décédée le 9 janvier 1670, âgée de
75
ans. » Pour une inscription gravée sur la pierre,
a cherché à donner la date précise. Ainsi Marie Hervé n’aurait pas eu
cinquante-deux
ans lorsqu’elle donna le jour à Armande, mais qua
t pas eu cinquante-deux ans lorsqu’elle donna le jour à Armande, mais
quarante-sept
ou quarante-huit, ce qui n’a plus rien d’extraord
e-deux ans lorsqu’elle donna le jour à Armande, mais quarante-sept ou
quarante-huit
, ce qui n’a plus rien d’extraordinaire. Je sais b
ns aujourd’hui. Les parturitions sont peu communes, sans doute, après
cinquante
ans, mais, ainsi que le constate M. Jal, ne sont
pourtant pas d’une rareté extrême. Marie Hervé avait eu une fille en
1639,
c’est-à-dire trois ans avant de donner le jour à
rareté extrême. Marie Hervé avait eu une fille en 1639, c’est-à-dire
trois
ans avant de donner le jour à Armande, ce qui mon
ans le contrat de mariage que Marie Hervé donne à sa fille une dot de
dix
mille livres tournois. Là-dessus on se récrie : O
le contrat de mariage que Marie Hervé donne à sa fille une dot de dix
mille
livres tournois. Là-dessus on se récrie : Où la v
e : Où la veuve Béjart aurait-elle trouvé cette grosse somme ? Quand,
deux
ans plus tard, sa fille Geneviève épousa Léonard
re de la future épouse. L’argument ne vaut rien. En admettant que les
dix
mille livres vinssent de Madeleine, il est fort p
e la future épouse. L’argument ne vaut rien. En admettant que les dix
mille
livres vinssent de Madeleine, il est fort possibl
ffection toute particulière pour cette cadette, plus jeune qu’elle de
vingt-cinq
ans, qu’elle avait sans doute élevée, traitée plu
it sa préférée. Mais ce qui est plus probable, c’est que cette dot de
dix
mille livres, que Molière reconnaît avoir reçue p
a préférée. Mais ce qui est plus probable, c’est que cette dot de dix
mille
livres, que Molière reconnaît avoir reçue par qui
dix mille livres, que Molière reconnaît avoir reçue par quittance du
24
juin, était une dot fictive. Il n’est rien de plu
on prétend avoir existé dans la célébration du mariage. « Au lieu des
trois
bans publics exigés pour tous les mariages, on ob
que les églises que repeuplera le carême, sont toutes désertes, vers
dix
heures du soir, et après que Molière était allé j
man. M. Éd. Fournier s’en réfère d’abord à l’acte de mariage du lundi
20
février 166288. C’est là qu’il est dit que les ép
Fournier s’en réfère d’abord à l’acte de mariage du lundi 20 février
166288.
C’est là qu’il est dit que les époux furent fianc
ion de Mgr le cardinal de Retz, archevêque de Paris, avec dispense de
deux
bans. Cette dispense de deux bans s’accordait, en
z, archevêque de Paris, avec dispense de deux bans. Cette dispense de
deux
bans s’accordait, en ce temps-là, aussi facilemen
squels même se faisait remarquer l’absence de la sœur de Madeleine… »
Cinq
témoins ont signé : Poquelin le père, Marie Hervé
ut droit de l’étude du notaire à Saint-Germain-l’Auxerrois, alors que
vingt-neuf
jours (du 23 janvier au 20 février) s’écoulèrent
u notaire à Saint-Germain-l’Auxerrois, alors que vingt-neuf jours (du
23
janvier au 20 février) s’écoulèrent entre le cont
int-Germain-l’Auxerrois, alors que vingt-neuf jours (du 23 janvier au
20
février) s’écoulèrent entre le contrat et la céré
e et à quelle heure cette dernière cérémonie ? le mardi gras […] vers
dix
heures du soir, etc. » Ici M. Fournier quitt
tout à l’heure. Nous avons vu que cet acte fixait le mariage au lundi
20
février. M. Jal conclut de l’examen du registre p
amen du registre paroissial que le mariage dut avoir lieu le matin, à
dix
ou onze heures. L’acte est, en effet, le premier
registre paroissial que le mariage dut avoir lieu le matin, à dix ou
onze
heures. L’acte est, en effet, le premier inscrit
ui-là. Il est clair que si la bénédiction nuptiale avait été donnée à
dix
heures du soir, la constatation sur le registre,
r quoi se fonde donc M. Fournier ? Le registre de La Grange offre les
deux
mentions que voici. À la fin de l’année théâtrale
ange offre les deux mentions que voici. À la fin de l’année théâtrale
1660-1661,
La Grange inscrit ces mots : « Avant que de recom
commencer, après Pâques, au Palais-Royal, monsieur de Molière demanda
deux
parts au lieu d’une qu’il avait. La troupe lui ac
M. de Molière épousa Armande-Claire-Élisabeth Béjard le mardi gras de
1662.
» Et plus loin, au 14 février 1662, il indique c
de-Claire-Élisabeth Béjard le mardi gras de 1662. » Et plus loin, au
14
février 1662, il indique comme pièces jouées : «
lisabeth Béjard le mardi gras de 1662. » Et plus loin, au 14 février
1662,
il indique comme pièces jouées : « Les Visionnair
, il écrit : « Mariage de M. de Molière au sortir de la visite. » En
1662,
le mardi gras fut, non le 14 février, mais le 21
Molière au sortir de la visite. » En 1662, le mardi gras fut, non le
14
février, mais le 21 février. Il y a donc contradi
la visite. » En 1662, le mardi gras fut, non le 14 février, mais le
21
février. Il y a donc contradiction dans les terme
mais le 21 février. Il y a donc contradiction dans les termes de ces
deux
inscriptions. La première a certainement été fait
rs de La Grange n’étaient plus bien précis. M. Jal explique ainsi les
deux
mentions : « Le mardi 14 février, Molière et ses
lus bien précis. M. Jal explique ainsi les deux mentions : « Le mardi
14
février, Molière et ses acteurs, après avoir donn
mariage, pressenti par eux dès la rentrée de Pâques et conclu dès le
23
janvier… Quant au mariage du mardi gras, le maria
3 janvier… Quant au mariage du mardi gras, le mariage civil datant du
23
janvier et le mariage religieux ayant été fait le
ses camarades de théâtre à l’occasion de son mariage, ait eu lieu le
14
février, sept jours avant la célébration ; et que
f de la troupe, à propos de la double part qui lui fut votée à Pâques
1661,
ait fait une confusion expliquée par la cérémonie
lière prit le parti d’épouser Armande secrètement ; il ne put pendant
neuf
mois échapper à la surveillance que cette mégère
et rester la vraie femme : arrangement ridicule que Molière supporta
neuf
mois, et qu’il eût supporté toujours. Mais la pet
mariage change bien les gens, et vous ne m’auriez pas dit cela il y a
dix-huit
mois. » Nous n’avons plus qu’à donner un crayon
ielle, au sujet de Lucile représentée par Mlle de Molière, à la scène
IX
du troisième acte du Bourgeois gentilhomme : — V
ène IX du troisième acte du Bourgeois gentilhomme : — Vous trouverez
cent
personnes qui seront plus dignes de vous. Premièr
comme dit Grimarest. Au baptême d’un enfant dont elle était marraine (
23
juin 1663), elle se faisait inscrire : « femme de
t Grimarest. Au baptême d’un enfant dont elle était marraine (23 juin
1663
), elle se faisait inscrire : « femme de Jean-Bapt
ait. Loret nous apprend que les acteurs et les actrices, au nombre de
quinze
, reçurent à cette occasion chacun cent pistoles d
t les actrices, au nombre de quinze, reçurent à cette occasion chacun
cent
pistoles de récompense. Brécourt et La Thorillièr
rillière étaient entrés dans la troupe au mois de juin de cette année
1662
; et ce fut leur adjonction qui éleva à quinze le
s de juin de cette année 1662 ; et ce fut leur adjonction qui éleva à
quinze
le nombre des parts, qui n’avait été jusqu’alors
leva à quinze le nombre des parts, qui n’avait été jusqu’alors que de
dix
, de douze et de treize. Il est à propos de signal
uinze le nombre des parts, qui n’avait été jusqu’alors que de dix, de
douze
et de treize. Il est à propos de signaler aussi l
bre des parts, qui n’avait été jusqu’alors que de dix, de douze et de
treize
. Il est à propos de signaler aussi le retour de l
e la troupe italienne, qui eut lieu au mois de janvier de cette année
166293
; les Italiens obtinrent d’alterner de nouveau ave
naires, et, sur l’ordre du roi, ils payèrent aux Français la somme de
deux
mille livres pour moitié des frais d’établissemen
s, et, sur l’ordre du roi, ils payèrent aux Français la somme de deux
mille
livres pour moitié des frais d’établissement de l
nière dénomination qui s’est conservée jusqu’à nos jours. CHAPITRE
VIII
. DEUXIÈME ÉPOQUE DU THÉÂTRE DE MOLIÈRE L’ÉCOLE DE
és. « Ce bon jaloux dont je vous conte (c’est un des narrateurs des
Cent
Nouvelles nouvelles du roi Louis XI qui parle mai
la Dieu merci, les histoires anciennes, comme Mathéolet, Juvénal, Les
Quinze
joies de mariage et autres plusieurs dont je ne s
: C’est quelque sort qu’il faut qu’il ait jeté sur toi, Et tu seras
cent
fois plus heureuse avec moi. Ta forte passion est
a bâti sur ses attraits naissants, Et cru la mitonner pour moi durant
treize
ans, Afin qu’un jeune fou dont elle s’amourache M
tes et ces larmes qui font rire. Représentée pour la première fois le
26
décembre 1662 sur le théâtre du Palais-Royal, L’É
armes qui font rire. Représentée pour la première fois le 26 décembre
1662
sur le théâtre du Palais-Royal, L’École des Femme
L’École des femmes qu’on peut surtout appliquer les vers de l’épître
VII
de Boileau : L’ignorance et l’erreur à ses naiss
pectacles selon la tradition de l’Église, et qui parut après sa mort (
1667
), L’École des femmes est citée comme une œuvre li
plairais pas tant. L’École des Femmes fut représentée au Louvre, le
6
janvier 1663. Le roi goûta cette comédie, Qui fi
as tant. L’École des Femmes fut représentée au Louvre, le 6 janvier
1663.
Le roi goûta cette comédie, Qui fit rire leurs M
appuis. Il marcha en avant, il fit imprimer son ouvrage, qui parut le
17
mars 1663, avec une dédicace à Madame Henriette d
Il marcha en avant, il fit imprimer son ouvrage, qui parut le 17 mars
1663,
avec une dédicace à Madame Henriette d’Orléans. D
Critique de l’École des femmes parut sur la scène du Palais-Royal le
1er
juin suivant. Cette conversation littéraire, dans
qui cherche à prendre sa revanche du coup terrible qu’elle a reçu en
1659.
Molière répond à tout le monde. Il glisse assez l
udes, qui se récriaient contre ce le, cet impertinent le, de la scène
VI
du deuxième acte. Il dénonçait en passant les cab
cité, se hâta d’achever Zélinde, qu’il fit imprimer avec privilège du
15
juillet 1663. Cette pièce informe ne laisse pas q
ta d’achever Zélinde, qu’il fit imprimer avec privilège du 15 juillet
1663.
Cette pièce informe ne laisse pas que d’être curi
faite pour le théâtre. Ils demandèrent une pièce à un jeune auteur de
vingt-cinq
ans, fort peu connu, qui saisit avec empressement
hôtel de Bourgogne à la fin de septembre ou au commencement d’octobre
1653,
Le Portrait du Peintre permit à toutes les haines
dans la Vie de Molière. attribuée à Bruzen de La Martinière (La Haye,
1725
), que l’anecdote est racontée pour la première fo
La Haye, 1725), que l’anecdote est racontée pour la première fois : «
II
s’avisa d’une vengeance aussi indigne d’un homme
s propres yeux. » Ici encore le témoignage est tardif ; il se produit
soixante-deux
ans après le fait ; la critique rigoureuse serait
n quelque chose de vrai dans l’anecdote. Voici ce qu’écrit de Vizé en
1663
: « Vous savez, dit un des interlocuteurs, l’ave
plus de lumières que les autres. » Le roi fit inscrire Molière pour
mille
livres sur la liste des pensions accordées aux li
représailles, et lui offrit pour cela le théâtre même de la cour. En
huit
jours, Molière composa et fit apprendre L’Impromp
fit apprendre L’Impromptu de Versailles, qui fut représenté entre le
15
et le 19 octobre 1663 (14 octobre dans l’édition
ndre L’Impromptu de Versailles, qui fut représenté entre le 15 et le
19
octobre 1663 (14 octobre dans l’édition de 1682 ;
omptu de Versailles, qui fut représenté entre le 15 et le 19 octobre
1663
(14 octobre dans l’édition de 1682 ; mais le roi
de Versailles, qui fut représenté entre le 15 et le 19 octobre 1663 (
14
octobre dans l’édition de 1682 ; mais le roi ne p
senté entre le 15 et le 19 octobre 1663 (14 octobre dans l’édition de
1682
; mais le roi ne partit de Vincennes que le 15 po
re dans l’édition de 1682 ; mais le roi ne partit de Vincennes que le
15
pour rentrer à Versailles). Molière avait reprodu
tire de Molière et les attaques que se permettaient ses antagonistes.
Deux
ouvrages avaient répondu ou essayé de répondre à
nt répondu ou essayé de répondre à La Critique de l’École des femmes,
deux
pièces également s’efforcèrent de contre-balancer
e premier Sganarelle n’était qu’en imagination : « Il a été jusques à
trente
et un cocus voir Le Portrait du peintre ; trente
« Il a été jusques à trente et un cocus voir Le Portrait du peintre ;
trente
de ces cocus applaudirent, et le dernier fit tout
er, elle n’en voulait point. » La Lettre sur les affaires du théâtre (
1664
), qui est probablement du même auteur, revient su
lement la Vengeance des marquis, est L’Impromptu de l’hôtel de Conclé
96,
de A-J. Montfleurv, fils de l’acteur. On n’a pu e
Dans une lettre à son ami l’abbé Le Vasseur, de novembre ou décembre
1663,
il écrit : « Montfleury a fait une requête contre
pas attendre. Un premier enfant étant né à Molière de son mariage, le
19
janvier 1664, Louis XIV et Madame lui firent l’ho
e. Un premier enfant étant né à Molière de son mariage, le 19 janvier
1664,
Louis XIV et Madame lui firent l’honneur de tenir
r, par procuration, sur les fonts de baptême cet enfant qui fut nommé
Louis
par le duc de Créquy, tenant pour le roi, et par
me relevé sur les registres de Saint-Germain-l’Auxerrois : Du jeudi,
28
février 1664, fut baptisé Louis, fils de M. Jean-
ur les registres de Saint-Germain-l’Auxerrois : Du jeudi, 28 février
1664,
fut baptisé Louis, fils de M. Jean-Baptiste Moliè
e Saint-Germain-l’Auxerrois : Du jeudi, 28 février 1664, fut baptisé
Louis
, fils de M. Jean-Baptiste Molière, valet de chamb
ier gentilhomme de la chambre du roi, ambassadeur à Rome, tenant pour
Louis
quatorzième, roi de France et de Navarre ; la mar
Madame Henriette d’Angleterre, duchesse d’Orléans. L’enfant est né le
19
janvier audit an. Signé : Colombet. Nous n’avon
omique sur les œuvres de M. de Molière, en un acte, en prose (octobre
1663
), par Robinet, le même qui continua la gazette en
ait le charme et l’agrément de la vie : « S’il en était cru, dit l’un
deux
, les hommes se rengaineraient dans leurs étuis du
u la Défense de l’École des femmes, par le sieur de La Croix (février
1664
), est une apologie : Apollon, pris pour juge, pro
n, dans une comédie de Chevalier, intitulée Les Amours de Calotin, en
trois
actes, en vers99, le premier acte et la première
es passagères et qui n’était pas destiné à leur survivre. CHAPITRE
IX
. LE TARTUFFE ET DON JUAN La protection souvera
se montrer plus dévoué que jamais aux plaisirs du roi. Il fournit, le
29
janvier 1664, aux divertissements de la cour Le M
plus dévoué que jamais aux plaisirs du roi. Il fournit, le 29 janvier
1664,
aux divertissements de la cour Le Mariage forcé,
rtissements de la cour Le Mariage forcé, à la fois ballet et comédie.
Huit
entrées de ballet étaient intercalées dans l’acti
x d’artifice, courses, loteries, collations ; une semaine entière (du
7
au 14) passée hors de la vie commune dans les rég
rtifice, courses, loteries, collations ; une semaine entière (du 7 au
14
) passée hors de la vie commune dans les régions d
essin de l’action, où figuraient le roi et toute la cour, composée de
six
cents personnes, était du duc de Saint-Aignan ; c
n de l’action, où figuraient le roi et toute la cour, composée de six
cents
personnes, était du duc de Saint-Aignan ; cela s’
upe de Molière servait d’auxiliaire à ces nobles acteurs. La reine et
trois
cents dames étaient à demi engagées dans l’action
Molière servait d’auxiliaire à ces nobles acteurs. La reine et trois
cents
dames étaient à demi engagées dans l’action, à de
e ; elle en jouissait confondue dans la foule. Quand, le second jour (
8
mai), le paladin Roger voulut donner la comédie a
ie aux dames, un théâtre se dressa aussitôt en plein air, éclairé par
mille
bougies et flambeaux, et la troupe du Palais-Roya
up, et, en effet, ce qu’on pouvait prévoir ne se fit pas attendre. Le
12
mai, sixième jour de la fête, on s’assembla le so
ds seigneurs et de grandes dames qui venaient d’admirer le ballet des
douze
signes du Zodiaque, et la chute du palais d’Alcin
au spectacle, certes bien inattendu, qu’il leur offrit, ce furent les
trois
premiers actes d’une comédie nommée Le Tartuffe.
épara Le Tartuffe, qui éclata à l’improviste au milieu des féeries de
1664.
Il ne paraît pas que la cour, dans l’éblouissemen
n assiste à une stratégie vraiment curieuse, qui dure pendant près de
cinq
années avec des succès passagers et des revers, m
aration complète pour l’insulte subie par notre ambassadeur à Rome en
1662.
Ce légat, cardinal et neveu du saint-père, fut ex
ui offrit à Fontainebleau, la comédie ne fut pas oubliée. Le mercredi
30
juillet 1664, Molière et sa troupe jouèrent La Pr
Fontainebleau, la comédie ne fut pas oubliée. Le mercredi 30 juillet
1664,
Molière et sa troupe jouèrent La Princesse d’Élid
jésuites, étaient-ce les jansénistes que Le Tartuffe attaquait ? Les
deux
partis paraissent l’avoir opposé à leurs adversai
mmorales et corruptrices des molinistes ; et, en effet, dans la scène
V
du quatrième acte, Tartuffe parle comme un casuis
! » Ce jour était, comme nous l’apprend l’histoire du jansénisme, le
26
août 1664. Tout le monde voulait voir ou entendre
jour était, comme nous l’apprend l’histoire du jansénisme, le 26 août
1664.
Tout le monde voulait voir ou entendre cette pièc
e avec Tartuffe y doit jouer son rôle, disait Boileau dans la satire
III
, et il ajoutait en note : « Le Tartuffe en ce tem
yale ne crurent pas, bien entendu, que la défense fût faite pour eux.
Trois
mois après la surprise du 12 mai, la troupe de Mo
u, que la défense fût faite pour eux. Trois mois après la surprise du
12
mai, la troupe de Molière est mandée à Villers-Co
ée à Villers-Cotterets, chez Monsieur, frère du roi ; elle y reste du
20
au 27 septembre, et, entre autres pièces, elle y
illers-Cotterets, chez Monsieur, frère du roi ; elle y reste du 20 au
27
septembre, et, entre autres pièces, elle y joue e
u 20 au 27 septembre, et, entre autres pièces, elle y joue encore les
trois
premiers actes du Tartuffe, le 25 septembre. La r
s pièces, elle y joue encore les trois premiers actes du Tartuffe, le
25
septembre. La reine mère, Anne d’Autriche, qui s’
erets, n’assista pas à la représentation ; elle revint à Vincennes le
18,
et il n’est pas certain non plus que Louis XIV, q
assisté. D’après La Gazette il serait revenu de Villers-Cotterets le
24.
À la fin de novembre de cette même année 1664, Mo
de Villers-Cotterets le 24. À la fin de novembre de cette même année
1664,
Molière et ses compagnons furent appelés au châte
Gonzague, veuve de son second mari Édouard, électeur Palatin, mort le
10
mars 1663. Le 11 décembre 1663. la fille de cette
, veuve de son second mari Édouard, électeur Palatin, mort le 10 mars
1663.
Le 11 décembre 1663. la fille de cette princesse
e son second mari Édouard, électeur Palatin, mort le 10 mars 1663. Le
11
décembre 1663. la fille de cette princesse avait
mari Édouard, électeur Palatin, mort le 10 mars 1663. Le 11 décembre
1663.
la fille de cette princesse avait épousé le duc d
époque dont nous parlons, il était encore très jeune : il n’avait que
vingt
et un ans. La Palatine, Anne de Gonzague de Clève
dont Bossuet a fait une magnifique oraison funèbre. Elle avait alors
quarante-huit
ans, et elle était bien près d’avoir ce rêve, cet
isément, une lettre du prince de Condé à cette dernière, à la date du
28
novembre 1664, annonce le voyage de la famille au
lettre du prince de Condé à cette dernière, à la date du 28 novembre
1664,
annonce le voyage de la famille au château du Rai
ille au château du Raincy : « Nous allons aujourd’hui, dit-il, passer
cinq
ou six jours au Raincy avec toute la famille pour
château du Raincy : « Nous allons aujourd’hui, dit-il, passer cinq ou
six
jours au Raincy avec toute la famille pour tenir
Ainsi M. le Duc faisait certainement partie de ce voyage de novembre
1664,
et il fut un de ceux qui assistèrent à la représe
et sa troupe, or cette représentation fut la première du Tartuffe en
cinq
actes, La Grange inscrit sur son registre : « Le
du Tartuffe en cinq actes, La Grange inscrit sur son registre : « Le
29
novembre, la troupe est allée au Raincy, maison d
Paris, par ordre de Mgr le prince de Condé, pour y jouer Tartuffe en
cinq
actes. Reçu 1000 livres. » Et dans l’édition des
de Mgr le prince de Condé, pour y jouer Tartuffe en cinq actes. Reçu
1000
livres. » Et dans l’édition des œuvres de Molièr
ctes. Reçu 1000 livres. » Et dans l’édition des œuvres de Molière de
1682,
à laquelle le même La Grange donna ses soins, la
ite : « Cette comédie, y lisons-nous, parfaite, entière et achevée en
cinq
actes, a été représentée, la première et la secon
fois, au château du Raincy, près Paris, pour S. A. S. le Prince, les
29
novembre 1664 et 8 novembre de l’année suivante 1
âteau du Raincy, près Paris, pour S. A. S. le Prince, les 29 novembre
1664
et 8 novembre de l’année suivante 1665… » La Gra
Raincy, près Paris, pour S. A. S. le Prince, les 29 novembre 1664 et
8
novembre de l’année suivante 1665… » La Grange a
S. le Prince, les 29 novembre 1664 et 8 novembre de l’année suivante
1665
… » La Grange a-t-il pu se tromper dans une attes
nge a-t-il pu se tromper dans une attestation qu’il a répétée ainsi à
dix-huit
ans d’intervalle, dans une assertion où le soin d
quelles il avait pris part. Et d’ailleurs, lorsque parut l’édition de
1682,
Condé, le duc d’Enghien, étaient vivants, et ce d
drait aussi y avoir Tartufe. Parlez-lui en donc pour qu’il tienne ces
deux
comédies prestes et s’il y a quelque rôle à repas
RI-JULES DE BOURBON. Sans aucun doute ce billet est du mois d’octobre
1665
et se rapporte à la représentation du Tartuffe qu
e rapporte à la représentation du Tartuffe qui eut lieu au Raincy, le
8
novembre de cette année. Comment donc le duc d’En
die-Française, a cherché à expliquer l’apparente contradiction de ces
deux
témoignages également irrécusables. Il a fait rem
gnier croit donc que le prince de Condé, ayant vu la pièce entière le
29
novembre 1664, avait conseillé à Molière quelques
donc que le prince de Condé, ayant vu la pièce entière le 29 novembre
1664,
avait conseillé à Molière quelques corrections qu
lausible, et nous ne voyons pas de meilleure solution du problème. Le
16
février 1665, Molière représenta sur le théâtre d
t nous ne voyons pas de meilleure solution du problème. Le 16 février
1665,
Molière représenta sur le théâtre du Palais-Royal
ce. La troupe italienne avait joué une imitation de cette comédie, en
1657
ou 1658, sur le théâtre du Petit-Bourbon. Des piè
roupe italienne avait joué une imitation de cette comédie, en 1657 ou
1658,
sur le théâtre du Petit-Bourbon. Des pièces franç
jet avaient été représentées par la troupe de Mademoiselle, à Lyon en
1658
et à Paris en 1661, par les comédiens de l’hôtel
résentées par la troupe de Mademoiselle, à Lyon en 1658 et à Paris en
1661,
par les comédiens de l’hôtel de Bourgogne en 1659
1658 et à Paris en 1661, par les comédiens de l’hôtel de Bourgogne en
1659,
sous ce titre dès lors consacré : Le Festin de Pi
é lui et pour contenter ses comédiens, qui voulaient avoir, comme les
quatre
autres théâtres, leur statue du Commandeur. Il es
première fois imprimée en France dans son intégrité par M. Simonin en
1813.
Disons que si Molière n’avait eu d’autre intentio
son cœur, et de lancer contre ses adversaires la violente tirade : «
II
n’y a plus de honte maintenant à cela. Aujourd’hu
on, mais du domaine de l’histoire ? Le Tartuffe et Don Juan sont les
deux
plus grands efforts du génie observateur. En effe
u, dit-il, va-t-elle se nicher ! » Il y a quelque analogie entre les
deux
traits. C’est le même sentiment qui perce de part
erre, ainsi compris, aggrava ce qu’il semblait vouloir réparer. Après
quinze
représentations, la clôture annuelle survint. Don
fut pas publiée du vivant de Molière, et ne le fut, dans l’édition de
1682,
qu’avec de graves mutilations. Quoiqu’elle eût ét
n orage plus violent encore que n’avait fait L’École des femmes. Les
deux
principales attaques dont Le Tartuffe et Le Festi
D’autre part, quelques écrivains prirent la défense de Molière. On a
deux
de ces apologies en réponse au sieur de Rochemont
l’autre intitulée « Lettre sur les Observations, etc. ». Mais toutes
deux
sont anonymes, tant l’opposition soulevée contre
pria son frère de lui céder ses comédiens, leur assura une pension de
six
mille livres, et la troupe de Monsieur devint dès
son frère de lui céder ses comédiens, leur assura une pension de six
mille
livres, et la troupe de Monsieur devint dès lors
n de six mille livres, et la troupe de Monsieur devint dès lors (août
1665
) la troupe du roi. La Grange écrit sur son regist
665) la troupe du roi. La Grange écrit sur son registre : « Vendredi,
14e
août, la troupe alla à Saint-Germain-en-Laye ; le
appartient, et la demanda à Monsieur. Sa Majesté donna en même temps
six
mille livres de pension à la troupe, qui prit con
artient, et la demanda à Monsieur. Sa Majesté donna en même temps six
mille
livres de pension à la troupe, qui prit congé de
ueur aux Rochemont et aux Roullé ; il dit au roi dans son discours de
1665
: Tous ces gens éperdus au seul nom de satire… C
ière, S’il se moque de Dieu, craint Tartuffe et Molière. CHAPITRE
X.
TROUBLES À LA PORTE DU THÉÂTRE ET AU PARTERRE LE
cette année théâtrale si bien remplie qui vient de s’écouler (Pâques
1664
- Pâques 1665), il y a quelques particularités d’
héâtrale si bien remplie qui vient de s’écouler (Pâques 1664 - Pâques
1665
), il y a quelques particularités d’un ordre moins
lques particularités d’un ordre moins littéraire à signaler. À Pâques
1665,
Brécourt sortit de la troupe pour entrer à l’hôte
parc, ce compagnon des premières pérégrinations de Molière, mourut le
4
novembre. « Mlle Du Croisy, ayant remboursé, de
r Duparc que de celle de Mlle Du Croisy. Ainsi elle resta composée de
douze
parts. » À partir du 14 novembre 1664, La Grange
e Du Croisy. Ainsi elle resta composée de douze parts. » À partir du
14
novembre 1664, La Grange remplaça Molière comme o
Ainsi elle resta composée de douze parts. » À partir du 14 novembre
1664,
La Grange remplaça Molière comme orateur de la tr
héâtre avaient été multipliées pendant les mois de juin et de juillet
1664
: « Le 6 juin, à La Fontaine, portier, 3 livres ;
nt été multipliées pendant les mois de juin et de juillet 1664 : « Le
6
juin, à La Fontaine, portier, 3 livres ; le 17, a
ois de juin et de juillet 1664 : « Le 6 juin, à La Fontaine, portier,
3
livres ; le 17, au portier blessé, 12 livres ; le
de juillet 1664 : « Le 6 juin, à La Fontaine, portier, 3 livres ; le
17,
au portier blessé, 12 livres ; le 29, pour le por
6 juin, à La Fontaine, portier, 3 livres ; le 17, au portier blessé,
12
livres ; le 29, pour le portier blessé, 9 livres.
ontaine, portier, 3 livres ; le 17, au portier blessé, 12 livres ; le
29,
pour le portier blessé, 9 livres. » À la représen
le 17, au portier blessé, 12 livres ; le 29, pour le portier blessé,
9
livres. » À la représentation suivante, qui eut l
9 livres. » À la représentation suivante, qui eut lieu, non le mardi
1er
juillet, mais le vendredi 4, La Thorillière inscr
on suivante, qui eut lieu, non le mardi 1er juillet, mais le vendredi
4,
La Thorillière inscrit encore : « Au frère de La
4, La Thorillière inscrit encore : « Au frère de La Fontaine, blessé,
11
livres. » En outre, la troupe prit le soin de fai
sque à chaque représentation de ce mois. Enfin, en regard de celle du
24,
on lit : « Pour l’exempt, 20 livres ; pour le pro
e ce mois. Enfin, en regard de celle du 24, on lit : « Pour l’exempt,
20
livres ; pour le procureur, 20 livres. » Cela se
celle du 24, on lit : « Pour l’exempt, 20 livres ; pour le procureur,
20
livres. » Cela semble indiquer un été orageux et
que, désarmé, il aurait la vie sauve. Les assaillants le percèrent de
cent
coups d’épée, et chacun d’eux, en entrant, lui do
Hé ! messieurs, leur dit-il, épargnez au moins un pauvre vieillard de
soixante-quinze
ans, qui n’a plus que quelques jours à vivre ! »
ntérieurs, les autres postérieurs à la date où nous sommes. Le samedi
25
février 1662, le portier Germain est attaqué par
les autres postérieurs à la date où nous sommes. Le samedi 25 février
1662,
le portier Germain est attaqué par cinq quidams q
sommes. Le samedi 25 février 1662, le portier Germain est attaqué par
cinq
quidams qui veulent entrer au théâtre. C’était jo
és, étaient des hommes de chambre de MM. de Béthune et de Roquelaure.
Deux
coups de feu tirés on ne sait par qui avaient tué
ure. Deux coups de feu tirés on ne sait par qui avaient tué ou blessé
deux
des assaillants et dégagé le portier, près de suc
forte estocade, car La Grange inscrit sur son registre, à la date du
20
mars 1661 : « Donné à Saint-Germain, portier, pou
stocade, car La Grange inscrit sur son registre, à la date du 20 mars
1661
: « Donné à Saint-Germain, portier, pour sa bless
du 20 mars 1661 : « Donné à Saint-Germain, portier, pour sa blessure,
55
livres. » Louis Béjart, l’Éguisé, qui était lui-
l’Éguisé, qui était lui-même assez belliqueux, dépose une plainte le
23
août 1668 contre un particulier qui l’avait menac
é, qui était lui-même assez belliqueux, dépose une plainte le 23 août
1668
contre un particulier qui l’avait menacé de son é
avons ici la date exacte de la bagarre racontée par Grimarest : août
1668
; le meurtre commis contre le portier et l’insult
ens s’appliquent parfaitement à son récit. Il y a une interruption du
12
au 19, et du 19 au 26 signalée sur le registre de
appliquent parfaitement à son récit. Il y a une interruption du 12 au
19,
et du 19 au 26 signalée sur le registre de La Gra
parfaitement à son récit. Il y a une interruption du 12 au 19, et du
19
au 26 signalée sur le registre de La Grange. Quat
itement à son récit. Il y a une interruption du 12 au 19, et du 19 au
26
signalée sur le registre de La Grange. Quatre ans
on du 12 au 19, et du 19 au 26 signalée sur le registre de La Grange.
Quatre
ans plus tard, le dimanche 9 octobre 1672, il y e
nalée sur le registre de La Grange. Quatre ans plus tard, le dimanche
9
octobre 1672, il y eut un grand vacarme au parter
le registre de La Grange. Quatre ans plus tard, le dimanche 9 octobre
1672,
il y eut un grand vacarme au parterre ; on jouait
n, pour épuiser ce sujet en une fois, la représentation de Psyché, le
13
janvier 1673, fut grandement troublée. Une trenta
iser ce sujet en une fois, la représentation de Psyché, le 13 janvier
1673,
fut grandement troublée. Une trentaine de gens d’
e des belles journées où Louis XIV signala sa magnificence. Ce fut le
13
juin 1665. La comédie y eut part, bien entendu ;
lles journées où Louis XIV signala sa magnificence. Ce fut le 13 juin
1665.
La comédie y eut part, bien entendu ; il n’y avai
été élevé dans le parc ; que disons-nous : un théâtre ? Il y en avait
trois
: un au milieu, destiné à la comédie ; les deux a
âtre ? Il y en avait trois : un au milieu, destiné à la comédie ; les
deux
autres pour la musique. C’étaient des théâtres de
rcades de cyprès les reliaient les uns aux autres en les séparant, et
quarante
cyprès de douze pieds de haut, plantés à droite e
s reliaient les uns aux autres en les séparant, et quarante cyprès de
douze
pieds de haut, plantés à droite et à gauche de ch
sentait un vaste jardin d’espaliers, encadré à droite et à gauche par
deux
grands corps de logis, au fond par un riche porti
et s’enfonçant dans l’épaisseur d’un bois. Le long des espaliers, des
deux
côtés de la scène, se profilaient trois lignes d’
is. Le long des espaliers, des deux côtés de la scène, se profilaient
trois
lignes d’orangers entremêlés de girandes de crist
e feu parmi la verdure. Ajoutez, pour enfermer le tout, des myrtes de
dix
pieds, formant deux petits bois sous les arcades,
ure. Ajoutez, pour enfermer le tout, des myrtes de dix pieds, formant
deux
petits bois sous les arcades, et, pour tout éclai
s, formant deux petits bois sous les arcades, et, pour tout éclairer,
cent
lustres de cristal secondés par plus de quatre mi
et, pour tout éclairer, cent lustres de cristal secondés par plus de
quatre
mille autres lumières102. » Qu’allait-on jouer s
ur tout éclairer, cent lustres de cristal secondés par plus de quatre
mille
autres lumières102. » Qu’allait-on jouer sur ce
lière qui fut appelée à l’occuper. Molière avait fait représenter, le
24
avril précédent, une tragi-comédie de Mlle Desjar
registre de La Grange (Le Favori seulement dans l’imprimé), avait eu
treize
représentations jusqu’au 22 mai, avec de médiocre
i seulement dans l’imprimé), avait eu treize représentations jusqu’au
22
mai, avec de médiocres recettes. Elle aurait dû r
ce eût été choisie pour divertir le roi et la cour dans la journée du
13
juin. Mais le souvenir des événements les plus re
n registre la part que s’y donna le chef de la troupe : « Le vendredi
12
juin, écrit-il, la troupe est allée à Versailles
it déjà. Il ne resta rien à innover au théâtre après lui. CHAPITRE
XI
. L’HOMME DANS MOLIÈRE Au mois d’août 1665, Mol
tre après lui. CHAPITRE XI. L’HOMME DANS MOLIÈRE Au mois d’août
1665,
Molière devint père d’une fille qui reçut du comt
iques du poète sont datées ordinairement des brillantes fêtes de l’an
1664.
C’est à Versailles que son bonheur conjugal reçut
ce roman, comme le remarque M. Bazin, une objection grave, c’est que
deux
des personnages qu’on y fait figurer se trouvaien
le que nous avons précédemment reproduit. La lettre qu’il écrivit, en
1664,
à la Mothe Le Vayer, pour le consoler de la perte
ue, dans la posture d’un homme qui rêve. Il avait les yeux collés sur
trois
ou quatre personnes de qualité qui marchandaient
la posture d’un homme qui rêve. Il avait les yeux collés sur trois ou
quatre
personnes de qualité qui marchandaient des dentel
composant son roman des Amours de Psyché et de Cupidon, qui parut en
1669,
donna aux fabuleuses aventures de ses personnages
entures de ses personnages un cadre très réel : c’est la promenade de
quatre
amis : Polyphile, Ariste, Acanthe et Gélaste, dan
a gaîté, défenseur de la comédie. Mais c’est une erreur manifeste. En
1664-1665,
date où l’entretien est supposé avoir lieu, Moliè
e des sentiments vulgaires et des idées médiocres. Si vous suivez les
quatre
amis dans leur discussion sur le mérite comparé d
s de rire, point. Avez-vous entendu dire à qui que ce soit : « Il y a
huit
jours entiers que nous rions ; je vous prie, pleu
ai honte pour vous. » Vous figurez-vous Boileau, presque inconnu, à
vingt-neuf
ou trente ans, parlant ainsi à Molière qui en a q
vous. » Vous figurez-vous Boileau, presque inconnu, à vingt-neuf ou
trente
ans, parlant ainsi à Molière qui en a quarante-tr
inconnu, à vingt-neuf ou trente ans, parlant ainsi à Molière qui en a
quarante-trois
ou quarante-quatre ? disant un peu plus loin : «
euf ou trente ans, parlant ainsi à Molière qui en a quarante-trois ou
quarante-quatre
? disant un peu plus loin : « Vous êtes le plus f
pe et Le Tartuffe ? Vous figurez-vous Acanthe, c’est-à-dire Racine, à
vingt-six
ou vingt-sept ans, le raillant de son penchant à
uffe ? Vous figurez-vous Acanthe, c’est-à-dire Racine, à vingt-six ou
vingt-sept
ans, le raillant de son penchant à contredire et
à qui est bien, et vous faites votre devoir. Oh ! les gens heureux et
trois
fois heureux que vous êtes ! Moi, misérable, je n
te que nous avons rapportée à propos de la représentation des Fâcheux
105.
Racine, âgé de vingt-cinq ans, avait vu son premi
pportée à propos de la représentation des Fâcheux 105. Racine, âgé de
vingt-cinq
ans, avait vu son premier ouvrage dramatique, Les
vu son premier ouvrage dramatique, Les Frères ennemis, représenté en
1664
sur le théâtre du Palais-Royal. Molière accueilli
lière accueillit encore sa seconde pièce, Alexandre, qui fut jouée le
4
décembre 1668. Le 18 du même mois, à la grande su
illit encore sa seconde pièce, Alexandre, qui fut jouée le 4 décembre
1668.
Le 18 du même mois, à la grande surprise des comé
ore sa seconde pièce, Alexandre, qui fut jouée le 4 décembre 1668. Le
18
du même mois, à la grande surprise des comédiens
» Un tel procédé blessa justement Molière, qui cessa de voir Racine.
Deux
ans plus tard. Racine enleva à la troupe du Palai
entre Corneille et Molière. La troupe du Palais-Royal joua Attila en
1667
; elle représenta la tragédie de Tite et Bérénice
à l’hôtel de Bourgogne. Molière payait ces pièces au vieux Corneille
deux
mille livres, ce qui était alors un prix élevé. N
hôtel de Bourgogne. Molière payait ces pièces au vieux Corneille deux
mille
livres, ce qui était alors un prix élevé. Nous le
s plus fidèles amis de Molière. Ils s’étaient rencontrés à Avignon en
1657,
lorsque Mignard revenait d’Italie ; ils restèrent
ndait pas les éloges. On voit même que ce dernier prêta à l’autre, le
14
décembre 1670, une somme de onze mille livres, mo
s éloges. On voit même que ce dernier prêta à l’autre, le 14 décembre
1670,
une somme de onze mille livres, moyennant une con
ême que ce dernier prêta à l’autre, le 14 décembre 1670, une somme de
onze
mille livres, moyennant une constitution de rente
ue ce dernier prêta à l’autre, le 14 décembre 1670, une somme de onze
mille
livres, moyennant une constitution de rente de ci
ne somme de onze mille livres, moyennant une constitution de rente de
cinq
cent cinquante livres, somme que Lulli employa à
mme de onze mille livres, moyennant une constitution de rente de cinq
cent
cinquante livres, somme que Lulli employa à bâtir
e onze mille livres, moyennant une constitution de rente de cinq cent
cinquante
livres, somme que Lulli employa à bâtir la maison
de la rue Sainte-Anne et de la rue Neuve-des-Petits-Champs. Lorsque,
deux
ans plus tard, le Florentin obtint le privilège d
musique, son premier soin fut de solliciter une ordonnance (signée le
14
avril 1672) qui portait défense aux autres théâtr
son premier soin fut de solliciter une ordonnance (signée le 14 avril
1672
) qui portait défense aux autres théâtres d’employ
nse aux autres théâtres d’employer dans leurs représentations plus de
six
chanteurs et de douze violons. Cette ordonnance n
res d’employer dans leurs représentations plus de six chanteurs et de
douze
violons. Cette ordonnance n’était pas faite pour
artisan et l’admirateur. C’est à l’occasion de la mort de cet ami, en
1664,
que Molière écrivit le sonnet et la lettre toucha
La Sagesse, crois-moi, peut pleurer elle-même. On se propose à tort
cent
prétextes divers Pour vouloir d’un œil sec voir m
contre les docteurs de la vieille roche, Mauvillain fut élu doyen en
1666.
Novateur, longtemps persécuté, il ne devait se fa
en note d’un exemplaire de l’ Index funereus , de Jean de Vaux (édit.
1724
) : « Ce docteur, Armand de Mauvillain, a démérité
ute presque aucune foi à leurs raisonnements ni à leurs prescriptions
106
. » CHAPITRE XII. COMMENCEMENT DES HOSTILITÉS
i à leurs raisonnements ni à leurs prescriptions 106 . » CHAPITRE
XII
. COMMENCEMENT DES HOSTILITÉS CONTRE LA MÉDECINE E
LA MÉDECINE ET LES MÉDECINS Molière, à l’époque où nous sommes, en
1665,
allait commencer la guerre contre les médecins. D
écial de M. Raynaud ; il faut y joindre le Journal de la santé du Roi
107,
qui abonde en curieux renseignements et en exempl
ous offrent les historiens font pâlir ceux qu’a tracés la comédie. Le
15
septembre 1665, les comédiens du roi allèrent rep
es historiens font pâlir ceux qu’a tracés la comédie. Le 15 septembre
1665,
les comédiens du roi allèrent représenter à Versa
e petite pièce intitulée L’Amour médecin, faite, appprise et jouée en
cinq
jours. Cet impromptu mettait en scène quatre doct
aite, appprise et jouée en cinq jours. Cet impromptu mettait en scène
quatre
docteurs dans lesquels les contemporains s’accord
le roi, qui en a bien ri. »Lorsque la pièce fut donnée à la ville, le
22
septembre, il écrit encore : « On joue présenteme
beaucoup de crédit, et qu’il n’était pas bon d’avoir contre soi. Les
cinq
médecins de la comédie de Molière s’appellent Tom
in de Madame. On avait vu près du lit de mort du cardinal Mazarin, en
1661,
ces médecins alors fameux : Guénaut, Valot, Braye
obinet, qui constate le rétablissement du comédien, dans sa lettre du
21
février 1666. Épuisé par les veilles, les passion
constate le rétablissement du comédien, dans sa lettre du 21 février
1666.
Épuisé par les veilles, les passions, les chagrin
a longtemps après lui une tradition et un jeu de théâtre. CHAPITRE
XIII
. TROISIÈME ÉPOQUE DU THÉÂTRE DE MOLIÈRE DU MISANT
UX FEMMES SAVANTES Le théâtre du Palais-Royal était resté fermé du
27
décembre 1665 au 21 février 1666, à cause de la m
VANTES Le théâtre du Palais-Royal était resté fermé du 27 décembre
1665
au 21 février 1666, à cause de la maladie de Moli
Le théâtre du Palais-Royal était resté fermé du 27 décembre 1665 au
21
février 1666, à cause de la maladie de Molière, e
e du Palais-Royal était resté fermé du 27 décembre 1665 au 21 février
1666,
à cause de la maladie de Molière, et par suite de
t par suite de la mort de la reine-mère, Anne d’Autriche, survenue le
20
janvier. Le 4 juin suivant, la troupe du roi joua
la mort de la reine-mère, Anne d’Autriche, survenue le 20 janvier. Le
4
juin suivant, la troupe du roi joua Le Misanthrop
verts », et Célimène était jouée au naturel par Armande Béjart ; ces
deux
époux se trouvaient donc avoir à peu près la même
autre qu’il faut entendre ce que disent les auteurs de la préface de
1682
: « Molière observait les manières et les mœurs d
originale. Molière n’est pas plus Alceste que Philinte, quoique tous
deux
tiennent un peu de lui. À plus forte raison, ne c
. Le Misanthrope, seul, sans autre pièce pour l’accompagner, fut joué
vingt
et une fois de suite ; ce nombre de représentatio
Il fut apprécié à sa valeur par les gens de goût. Subligny écrit, le
17
juin, dans sa Muse dauphine : « C’est un chef-d’œ
libraire Ribou imprima en tête de la première édition de la comédie (
1667
). Tout ce qu’il y avait d’esprits cultivés et dél
ment, il tenait prêt peut-être Le Médecin malgré lui, qui fut joué le
6
août, c’est-à-dire deux mois après Le Misanthrope
peut-être Le Médecin malgré lui, qui fut joué le 6 août, c’est-à-dire
deux
mois après Le Misanthrope. On donnait l’un à la s
e la reine mère fut terminé, les fêtes recommencèrent. Vers la fin de
1666,
Louis XIV voulut donner à sa cour le grand divert
s, arrangé par Benserade. Molière composa pour cette circonstance les
deux
premiers actes de Mélicerte. C’est pour le jeune
eanne Auzoult, actrice et beauté célèbre en son temps. Il était né le
8
octobre 1653. Demeuré orphelin à l’âge de neuf an
ult, actrice et beauté célèbre en son temps. Il était né le 8 octobre
1653.
Demeuré orphelin à l’âge de neuf ans, on l’avait
son temps. Il était né le 8 octobre 1653. Demeuré orphelin à l’âge de
neuf
ans, on l’avait engagé dans une troupe de jeunes
aris. Elle était revenue sans ressources dans cette dernière ville en
1665
et avait demandé à Molière de lui prêter sa salle
ville en 1665 et avait demandé à Molière de lui prêter sa salle pour
trois
représentations. À la troisième de ces représenta
ducation de Baron et fonda sur lui de grandes espérances. Baron avait
treize
ans quand Molière lui donna le rôle de Myrtil dan
ssez celui-là ; et encore dans un temps où il est chargé d’un rôle de
six
cents vers dans la pièce que nous devons représen
celui-là ; et encore dans un temps où il est chargé d’un rôle de six
cents
vers dans la pièce que nous devons représenter in
yal109. Molière y remplissait le rôle insensé et effréné de Lycas : «
Six
démons dansants habillent Lycas d’une manière rid
ait passionné et qui ne vivait que par la passion. Au mois de février
1667,
Molière introduisit, dans le Ballet des Muses, Le
e d’opéra-comique. La troupe de Molière, qui était partie de Paris le
1er
décembre 1666, ne fit sa rentrée au théâtre du Pa
ique. La troupe de Molière, qui était partie de Paris le 1er décembre
1666,
ne fit sa rentrée au théâtre du Palais-Royal que
er décembre 1666, ne fit sa rentrée au théâtre du Palais-Royal que le
25
février suivant. Le Sicilien ne fut joué à la vil
que le 25 février suivant. Le Sicilien ne fut joué à la ville que le
10
juin. Molière, épuisé de fatigues, éprouva dans l
rouva dans l’intervalle une nouvelle crise de sa maladie qui, pendant
deux
mois, le tint éloigné de la scène. Il avait altér
hangé de face. Après la mort de Philippe IV, roi d’Espagne (septembre
1665
), Louis XIV, au nom de sa femme, Marie-Thérèse, r
Brabant, le Hainaut, le Limbourg, Namur, Anvers, etc. Au printemps de
1667,
trois armées, dont l’une avait pour chef le maréc
t, le Hainaut, le Limbourg, Namur, Anvers, etc. Au printemps de 1667,
trois
armées, dont l’une avait pour chef le maréchal de
chef le maréchal de Turenne, se mirent en mouvement. Le roi partit le
16
mai, et à sa suite toute la cour ; la reine, les
Vallière, dans de vastes carrosses prirent le chemin des Flandres. Le
3
juin, Louis entrait à Charleroi ; le 25, à Tourna
, dans de vastes carrosses prirent le chemin des Flandres. Le 3 juin,
Louis
entrait à Charleroi ; le 25, à Tournai. Le 2 juil
ent le chemin des Flandres. Le 3 juin, Louis entrait à Charleroi ; le
25,
à Tournai. Le 2 juillet, il était devant Douai, q
Flandres. Le 3 juin, Louis entrait à Charleroi ; le 25, à Tournai. Le
2
juillet, il était devant Douai, qui se rendit le
25, à Tournai. Le 2 juillet, il était devant Douai, qui se rendit le
6.
Le 31, il prenait possession d’Oudenarde. De là,
Tournai. Le 2 juillet, il était devant Douai, qui se rendit le 6. Le
31,
il prenait possession d’Oudenarde. De là, les Fra
t que Paris, au dire de M. de Sévigné, était désert, Molière joua, le
5
août, sur le théâtre du Palais-Royal, la comédie
sur le théâtre du Palais-Royal, la comédie qui était interdite depuis
trois
ans. Il l’avait intitulée L’Imposteur, avait chan
ituer en sa faveur ce qu’on nomme un fait accompli. C’est le vendredi
5
que L’Imposteur fut joué. Le lendemain samedi, jo
érant obtenir que le roi confirmerait ses allégations, fit partir, le
8
août, deux acteurs de sa troupe, La Thorillière e
tenir que le roi confirmerait ses allégations, fit partir, le 8 août,
deux
acteurs de sa troupe, La Thorillière et La Grange
presque d’inquiéter le monarque pour ses divertissements à venir. Le
11
août, une ordonnance de l’archevêque de Paris fut
médies, Donné à Paris sous le sceau de nos armes, ce onzième août mil
six
cent soixante-sept. HARDOUIN, archevêque de Par
es, Donné à Paris sous le sceau de nos armes, ce onzième août mil six
cent
soixante-sept. HARDOUIN, archevêque de Paris. P
onné à Paris sous le sceau de nos armes, ce onzième août mil six cent
soixante-sept
. HARDOUIN, archevêque de Paris. Par mondit seig
t. HARDOUIN, archevêque de Paris. Par mondit seigneur, Petit. » Le
10
du même mois parut une Lettre sur cette comédie,
er de nouveau la pièce, et qu’ils la joueraient. » Lille se rendit le
27
août, le roi revint à Saint-Germain le 7 septembr
aient. » Lille se rendit le 27 août, le roi revint à Saint-Germain le
7
septembre, et l’on ne vit pas jouer Le Tartuffe.
uis le départ de La Grange et de La Thorillière, ne les reprit que le
25
septembre 1667. Ce jour-là le théâtre rouvrit par
de La Grange et de La Thorillière, ne les reprit que le 25 septembre
1667.
Ce jour-là le théâtre rouvrit par Le Misanthrope.
rouvrit par Le Misanthrope. Robinet, parlant de la représentation du
25
septembre ou de celles qui la suivirent immédiate
suivirent immédiatement, écrit sous forme d’apostille à sa lettre du
8
octobre : J’oubliais une nouveauté Qui doit char
parut pas dans la Délie de de Vizé, qui fut donnée sur son théâtre le
28
octobre110. On ne voit pas son nom dans les repré
ne voit pas son nom dans les représentations données à Versailles du
6
au 9 novembre. Cependant il est assez difficile d
oit pas son nom dans les représentations données à Versailles du 6 au
9
novembre. Cependant il est assez difficile de cro
l’improviste. C’est du moins ce que raconte Robinet dans sa lettre du
12
novembre : Sur toutes nouveautés Qui plurent à L
novembre : Sur toutes nouveautés Qui plurent à Leurs Majestés, À vos
deux
royales altesses, Princes, princesses, ducs, duch
e nouvelle éclipse du comédien, car Robinet, à la fin de sa lettre du
31
décembre de la même année, écrit : Veux-tu, lect
que l’on idolâtre, Y remonte sur son théâtre. Molière joua ce mardi
3
janvier 1668 au Palais-Royal, le 5 aux Tuileries
idolâtre, Y remonte sur son théâtre. Molière joua ce mardi 3 janvier
1668
au Palais-Royal, le 5 aux Tuileries ; puis, le 13
on théâtre. Molière joua ce mardi 3 janvier 1668 au Palais-Royal, le
5
aux Tuileries ; puis, le 13 janvier, il représent
e mardi 3 janvier 1668 au Palais-Royal, le 5 aux Tuileries ; puis, le
13
janvier, il représenta sur son théâtre Amphitryon
e, vent, péril, chaleur, froidure. Dès qu’ils parlent, il faut voler.
Vingt
ans d’assidu service N’en obtiennent rien pour no
e d’écarter tout soupçon de basse flatterie. Pendant ce même hiver de
1668.
Condé, ayant rassemblé une armée dans la Bourgogn
une armée dans la Bourgogne, dont il avait le gouvernement, entra le
1er
février dans la Franche-Comté, que des émissaires
é, que des émissaires avaient travaillée à l’avance. Le roi partit le
2
février de Saint-Germain. Quatorze jours après, l
t travaillée à l’avance. Le roi partit le 2 février de Saint-Germain.
Quatorze
jours après, la Franche-Comté était conquise. Le
nt-Germain. Quatorze jours après, la Franche-Comté était conquise. Le
2
mai, Louis XIV signait le traité d’Aix-la-Chapell
lébrer ces glorieux succès, une fête non moins brillante que celle de
1664
fut, le 18 juillet, donnée par le roi dans les no
orieux succès, une fête non moins brillante que celle de 1664 fut, le
18
juillet, donnée par le roi dans les nouveaux jard
pièce à la veine un peu âpre des fabliaux. À quelque temps de là, le
5
août, la reine mit au monde un second fils de Fra
que l’on fait pouffe. De rire presque l’on s’étouffe. Mais entre les
deux
, leur auteur, Et qui l’est de telle hauteur, Fit
is entre les deux, leur auteur, Et qui l’est de telle hauteur, Fit en
cinq
ou six périodes Valant six des meilleures odes, U
les deux, leur auteur, Et qui l’est de telle hauteur, Fit en cinq ou
six
périodes Valant six des meilleures odes, Un disco
ur, Et qui l’est de telle hauteur, Fit en cinq ou six périodes Valant
six
des meilleures odes, Un discours qui bien reçu fu
dans Les Fâcheux, les principaux rôles de fâcheux ou d’importuns. Le
9
septembre, moins de deux mois après George Dandin
principaux rôles de fâcheux ou d’importuns. Le 9 septembre, moins de
deux
mois après George Dandin, L’Avare, grande et prof
ez froidement accueilli par le public ; il n’eut dans le principe que
neuf
représentations, et, repris deux mois plus tard,
blic ; il n’eut dans le principe que neuf représentations, et, repris
deux
mois plus tard, il eut à peine une meilleure fort
des esprits et leur éducation ne se firent qu’avec lenteur. Le mardi
5
février 1669, la troupe du roi annonça le matin e
ts et leur éducation ne se firent qu’avec lenteur. Le mardi 5 février
1669,
la troupe du roi annonça le matin et joua le soir
rdée ? On sait seulement que la comédie proscrite avait été jouée, le
20
septembre précédent, à Chantilly, devant le princ
fius, Faut-il que de vous voir l’envie Me coûte peut-être la vie ! »
Quarante-quatre
représentations consécutives suffirent à peine à
promet et veut s’obliger par-devant notaire de me faire vivre encore
trente
années, si je puis lui obtenir une grâce de Votre
tre, où l’on a cru reconnaître le style de Pradon, se termine par ces
deux
vers : Un si fameux succès ne lui fut jamais du,
dre ou les Médecins vengés, par Le Boulanger de Chalussay, publiée en
1670.
Il est fort difficile toutefois de reconnaître de
s la dette de reconnaissance qu’il avait contractée envers le roi. Le
6
octobre 1669, il donna à Chambord avec tous les o
de reconnaissance qu’il avait contractée envers le roi. Le 6 octobre
1669,
il donna à Chambord avec tous les ornements de la
t un retour offensif contre les médecins. La consultation de la scène
XI
est si vraie dans son exagération, qu on en trouv
fut pourtant encore l’âme du divertissement royal du mois de février
1670.
C’est sur les indications du roi lui-même qu’il c
imprimée de son vivant. La Grange inscrit sur son registre : « Jeudi
30
janvier la troupe est allée à Saint-Germain pour
roupe est allée à Saint-Germain pour le Roi. Le retour a été le mardi
18
février. Pour lequel voyage et celui de Chambord,
uel voyage et celui de Chambord, le Roi, l’a gratifiée de la somme de
douze
mille livres qui ont été partagées en douze parts
yage et celui de Chambord, le Roi, l’a gratifiée de la somme de douze
mille
livres qui ont été partagées en douze parts, en c
gratifiée de la somme de douze mille livres qui ont été partagées en
douze
parts, en comptant une part pour l’auteur. » Lou
ouis XIV, disons-nous, avait lui-même fourni le sujet de la pièce : «
Deux
princes rivaux, qui, dans le champêtre séjour de
ion ? Boileau, dans une lettre à Monchesnai sur la comédie (septembre
1707
), dit : « Croyez-moi, monsieur, attaquez nos trag
aval. » Britannicus avait été représenté, pour la première fois, le
13
décembre 1669. Si Louis XIV avait dansé le 4 févr
itannicus avait été représenté, pour la première fois, le 13 décembre
1669.
Si Louis XIV avait dansé le 4 février 1670 dans l
ur la première fois, le 13 décembre 1669. Si Louis XIV avait dansé le
4
février 1670 dans le divertissement des Amants ma
ière fois, le 13 décembre 1669. Si Louis XIV avait dansé le 4 février
1670
dans le divertissement des Amants magnifiques, l’
re rapportés eurent lieu dans la troupe du roi ; Louis Béjart, âgé de
quarante
ans, prit sa retraite et reçut une pension annuel
gé de quarante ans, prit sa retraite et reçut une pension annuelle de
mille
livres. L’acte, passé par-devant Me Levasseur, no
L’acte, passé par-devant Me Levasseur, notaire, rue Saint-Honoré, le
16
avril 1670, existe. Ceux qui ont pris part à cet
passé par-devant Me Levasseur, notaire, rue Saint-Honoré, le 16 avril
1670,
existe. Ceux qui ont pris part à cet acte sont :
upe du roi, qui, depuis le départ de Mlle Duparc, c’est-à-dire depuis
1667,
comptait onze sociétaires, y compris Louis Béjart
, depuis le départ de Mlle Duparc, c’est-à-dire depuis 1667, comptait
onze
sociétaires, y compris Louis Béjart. C’était la p
n, qui avait quitté Paris depuis les représentations de Mélicerte, en
1661,
revint et eut une part dans la société. Molière e
ait été enrôlé. Il leur donna une part et demie, a la charge de paver
cinq
cents livres de la pension de Louis Béjart, et tr
té enrôlé. Il leur donna une part et demie, a la charge de paver cinq
cents
livres de la pension de Louis Béjart, et trois li
a charge de paver cinq cents livres de la pension de Louis Béjart, et
trois
livres, chaque jour de représentation, à Châteaun
r de représentation, à Châteauneuf, gagiste de la troupe. CHAPITRE
XIV
. MOLIÈRE À AUTEUIL Vers l’époque du voyage de
horillière à Lille, à la suite de la représentation de L’Imposteur du
5
août 1667, Molière loua une habitation a Auteuil.
ère à Lille, à la suite de la représentation de L’Imposteur du 5 août
1667,
Molière loua une habitation a Auteuil. Auteuil ét
d’Orléans, fie de Louis XIII. Cette propriété avait une superficie de
14500
mètres. Un corps de logis principal, avec perron
sé d’une salle a manger, d’une cuisine, d’une chambre à coucher et de
deux
chambres en mansarde. Le locataire avait le droit
vait le droit de se promener dans le jardin. Le loyer annuel était de
400
livres. Moyennant 20 écus de plus, Molière eut un
omener dans le jardin. Le loyer annuel était de 400 livres. Moyennant
20
écus de plus, Molière eut une chambre d’ami dans
’information auquel donna lieu une rixe qui survint dans la maison le
21
août 1667, acte que M. Parent de Rosan a communiq
tion auquel donna lieu une rixe qui survint dans la maison le 21 août
1667,
acte que M. Parent de Rosan a communiqué à M..J.
e, car on voit dans l’inventaire après décès de Molière la mention de
cent
dix livres dues au défunt par la Raviguotte d’Aut
r on voit dans l’inventaire après décès de Molière la mention de cent
dix
livres dues au défunt par la Raviguotte d’Auteuil
lement le nom de la femme du nouveau jardinier. Dans l’information du
21
août, tout révèle que Molière et son ami étaient
la veuve, pour attester les bonnes vie et mœurs de son paroissien. Le
30
mars 1671, Molière fut parrain à Auteuil d’un fil
, pour attester les bonnes vie et mœurs de son paroissien. Le 30 mars
1671,
Molière fut parrain à Auteuil d’un fils de Claude
on sur le registre paroissial qui a été détruit dans les incendies de
1871,
messire Jean-Baptiste Poquelin Molière, écuyer, v
un grand nombre. L’acte était signé Jean-Baptiste Poquelin Molière et
C.
Jennequin. Dans l’inventaire après décès de Moliè
la campagne. Cette installation n’avait rien de somptueux. Il y avait
deux
lits, celui de Molière, celui de la chambre d’ami
aire est l’article qui concerne les livres et qui est ainsi conçu : «
Deux
tomes in-folio intitulés les Œuvres de Balzac ; d
ainsi conçu : « Deux tomes in-folio intitulés les Œuvres de Balzac ;
deux
autres volumes des Œuvres et vies de Plutarque ;
Métamorphoses d’Ovide ; un autre de Héliodore ; un autre d’Hérodote ;
deux
autres de Diodore Sicilien ; un autre de Valère l
dote ; deux autres de Diodore Sicilien ; un autre de Valère le Grand.
Quatre
volumes in-4° : l’un, la Physique de Rohault, un
res de César, un autre du Voyage du Levant, un autre volume d’Horace.
Dix-huit
autres volumes in-8° et in-12. Prisés, ensemble,
e d’Horace. Dix-huit autres volumes in-8° et in-12. Prisés, ensemble,
30
livres. » Voilà tous ouvrages de poids. À moins
Voilà tous ouvrages de poids. À moins que l’on ne se rabatte sur les
dix-huit
volumes mentionnés en bloc, il n’y a rien là pour
Une besace dont il chargea son bras, en sortant du bateau, apprit aux
deux
philosophes que cet arbitre qu’ils s’étaient donn
Chapelle et son valet Godemer. Ce valet, qui servait Chapelle depuis
trente
ans, avait coutume de se placer sur le devant du
quand il voyageait avec son maître. Un jour qu’ils étaient gris tous
deux
, comme il ne leur arrivait que trop souvent, il p
r passé en diverses mains, elle fut achetée par la ville de Paris, en
1867.
Les bâtiments furent démolis pour le percement d’
lit : « Ici s’élevait une maison de campagne habitée par Molière vers
1667.
» Les termes vagues dans lesquels cette inscripti
en confirmer l’exactitude ou la rectifier, s’il y a lieu. CHAPITRE
XV
. TROISIÈME ÉPOQUE DU THÉÂTRE DE MOLIÈRE DU MISANT
U THÉÂTRE DE MOLIÈRE DU MISANTHROPE AUX FEMMES SAVANTES (suite) Le
14
octobre 1670, la troupe représenta à Chambord Le
E MOLIÈRE DU MISANTHROPE AUX FEMMES SAVANTES (suite) Le 14 octobre
1670,
la troupe représenta à Chambord Le Bourgeois gent
s Le Bourgeois gentilhomme et grandit jusqu’à une sorte de lyrisme. «
II
faut admirer, dit Sainte-Beuve, ce surcroît toujo
a tomber. Cet homme-là donne dans la farce italienne. » « Il se passa
cinq
ou six jours avant que l’on représentât cette piè
. Cet homme-là donne dans la farce italienne. » « Il se passa cinq ou
six
jours avant que l’on représentât cette pièce pour
e l’on représentât cette pièce pour la seconde fois ; et, pendant ces
cinq
jours, Molière, tout mortifié, se tint caché dans
us voyons, dans la Gazette, que la seconde représentation eut lieu le
16
octobre, trois jours, par conséquent, et non cinq
ans la Gazette, que la seconde représentation eut lieu le 16 octobre,
trois
jours, par conséquent, et non cinq jours après la
sentation eut lieu le 16 octobre, trois jours, par conséquent, et non
cinq
jours après la première. Le Bourgeois gentilhomme
s la première. Le Bourgeois gentilhomme fut encore joué à Chambord le
20
et le 21, puis à Saint-Germain-en-Laye le 9, le 1
ière. Le Bourgeois gentilhomme fut encore joué à Chambord le 20 et le
21,
puis à Saint-Germain-en-Laye le 9, le 11 et le 13
ncore joué à Chambord le 20 et le 21, puis à Saint-Germain-en-Laye le
9,
le 11 et le 13 novembre. Lorsque la cour fut bien
joué à Chambord le 20 et le 21, puis à Saint-Germain-en-Laye le 9, le
11
et le 13 novembre. Lorsque la cour fut bien rassa
ambord le 20 et le 21, puis à Saint-Germain-en-Laye le 9, le 11 et le
13
novembre. Lorsque la cour fut bien rassasiée de c
jouir la ville. Le Bourgeois gentilhomme fut donné au Palais-Royal le
23
novembre, et y reçut un joyeux accueil. Louis XIV
entière, il prit pour collaborateur Pierre Corneille, qui avait alors
soixante-cinq
ans. Quinault composa les vers destinés à être ch
aux Tuileries dans toute la splendeur de sa mise en scène en janvier
1671.
La troupe, par une délibération qui est mentionné
représenter la nouvelle tragi-comédie sur le théâtre du Palais-Royal.
II
fallut, bien entendu, rabattre un peu des magnifi
ires, les frais ordinaires s’élevèrent pour cette pièce au chiffre de
351
livres par jour. Voici un extrait de la délibérat
ion consignée sur le registre de La Grange : « Ledit jour, mercredi,
15e
d’avril, après une délibération de la compagnie d
laiton, et généralement toutes choses, se sont montées à la somme de
quatre
mille trois cent cinquante-neuf livres un sol. Fr
, et généralement toutes choses, se sont montées à la somme de quatre
mille
trois cent cinquante-neuf livres un sol. Frais or
énéralement toutes choses, se sont montées à la somme de quatre mille
trois
cent cinquante-neuf livres un sol. Frais ordinair
ement toutes choses, se sont montées à la somme de quatre mille trois
cent
cinquante-neuf livres un sol. Frais ordinaires… E
toutes choses, se sont montées à la somme de quatre mille trois cent
cinquante-neuf
livres un sol. Frais ordinaires… En tout, 351 liv
e trois cent cinquante-neuf livres un sol. Frais ordinaires… En tout,
351
livres. Dans le cours de la pièce, M. de Beaucham
reçu de récompense, pour avoir fait le ballet et conduit la musique,
onze
cents livres, non compris les onze livres par jou
de récompense, pour avoir fait le ballet et conduit la musique, onze
cents
livres, non compris les onze livres par jour que
t le ballet et conduit la musique, onze cents livres, non compris les
onze
livres par jour que la troupe lui a données, tant
vaient faits tous les arts qui s’y rattachent. Psyché y fut jouée le
24
juillet, et n’eut pas moins de trente-huit représ
rattachent. Psyché y fut jouée le 24 juillet, et n’eut pas moins de
trente-huit
représentations consécutives. C’était, en ce temp
Nous avons dit qu’il était rentré dans la troupe peu après Pâques de
1670.
Baron avait alors de dix-sept à dix-huit ans. Il
rentré dans la troupe peu après Pâques de 1670. Baron avait alors de
dix-sept
à dix-huit ans. Il était né en 1653. Il était déj
s la troupe peu après Pâques de 1670. Baron avait alors de dix-sept à
dix-huit
ans. Il était né en 1653. Il était déjà le séduis
de 1670. Baron avait alors de dix-sept à dix-huit ans. Il était né en
1653.
Il était déjà le séduisant jeune premier qui fais
onte que, dans ces représentations, l’aversion qui existait entre ces
deux
personnages se changea en un sentiment tout contr
de l’anecdote pour permettre d’en apprécier la valeur. Depuis plus de
trois
ans, Molière travaillait pour les divertissements
pour les divertissements de la cour. C’est à la ville qu’il donna (le
24
mai) Les Fourberies de Scapin, où il semble faire
Le Pédant joué, qui fut publiée chez Ch. de Sercy, in-4° et in-12, en
1654,
mais qui avait été composée plus anciennement. Or
ue qui l’emmène en Barbarie, si lui, Géronte, ne le rachète moyennant
cinq
cents écus, offre une frappante analogie avec la
i l’emmène en Barbarie, si lui, Géronte, ne le rachète moyennant cinq
cents
écus, offre une frappante analogie avec la scène
moyennant cinq cents écus, offre une frappante analogie avec la scène
VI
du deuxième acte du Pédant joué. Le mot de Géront
comme il l’est dans celle de Molière. L’autre scène qu’on trouve des
deux
parts est celle où Zerbinette dans Molière, Genev
é victime. La comédie de Cyrano a été composée très probablement vers
1645.
Une allusion qu’elle contient en donne la date. L
nt en donne la date. Les Fourberies de Scapin ont été représentées en
1671.
Le Pédant joué a donc sur elles une avance d’envi
sentées en 1671. Le Pédant joué a donc sur elles une avance d’environ
vingt-six
ans. Il ne semble pas qu’il puisse y avoir de dou
six ans. Il ne semble pas qu’il puisse y avoir de doute sur celui des
deux
auteurs qui a le mérite de la priorité,et la trad
apporte que Molière, lorsqu’on lui reprochait de s’être approprié les
deux
scènes de Cyrano, se contentait de répondre : « O
d’idées et même d’essais comiques. Molière aurait esquissé alors les
deux
scènes en question, dont Cyrano aurait le premier
’il existait avant Cyrano et avant Molière des scènes qu’ils ont tous
deux
imitées, l’un maladroitement, burlesquement, l’au
de Flaminio Scala, qui servaient à la troupe des Gelosi, imprimés en
1611.
Dans ces canevas, les scènes sont indiquées seule
que ce fils est tombé entre les mains des bandits et mis à rançon de
cent
écus. Pantalon, après bien des grimaces, lui donn
pons fort, ou nous apercevons ici la scène qui a été le prototype des
deux
scènes françaises, avec une variante : les raviss
ou Che andava far in quella galera ? Cyrano et Molière l’auront tous
deux
entendue et ne l’auront pas oubliée. Et, si Moliè
La comtesse d’Escarbagnas fut représentée à Saint-Germain-en-Laye, le
2
décembre 1671 pendant les fêtes qui célébrèrent l
d’Escarbagnas fut représentée à Saint-Germain-en-Laye, le 2 décembre
1671
pendant les fêtes qui célébrèrent le mariage de M
gue qui ait jamais été entendue au théâtre, Les Femmes savantes. Les
deux
pédants qui apportent le trouble dans la maison d
ssotin, n’étaient autres, suivant une opinion communément admise, que
deux
beaux esprits du temps, fort en réputation : Ména
Femmes savantes furent représentées sur le théâtre du Palais-Royal le
11
mars 1671. Elles eurent à peu près la même fortun
avantes furent représentées sur le théâtre du Palais-Royal le 11 mars
1671.
Elles eurent à peu près la même fortune que Le Mi
ie Ragueneau de l’Estang, que venait d’épouser La Grange. CHAPITRE
XVI
. DERNIÈRE ŒUVRE ET MORT DE MOLIÈRE Au mois de
APITRE XVI. DERNIÈRE ŒUVRE ET MORT DE MOLIÈRE Au mois de septembre
1671,
pendant les représentations de Psyché au théâtre
sez gravement malade. C’est ce que Robinet constate dans sa lettre du
26
septembre 1671 : La belle Psyché qui tout charme
malade. C’est ce que Robinet constate dans sa lettre du 26 septembre
1671
: La belle Psyché qui tout charme Justes dieux !
ppe. Voici ce que Robinet dit de la jeune Angélique dans sa lettre du
3
octobre 1671 : On voyait là depuis deux fois Ce
ce que Robinet dit de la jeune Angélique dans sa lettre du 3 octobre
1671
: On voyait là depuis deux fois Ce que noter sur
une Angélique dans sa lettre du 3 octobre 1671 : On voyait là depuis
deux
fois Ce que noter surtout je dois, Une merveille
erveille sans seconde. Laquelle charme tout le monde ; Une actrice de
quatorze
ans Qui, récitant des vers trois cens, Et cinquan
me tout le monde ; Une actrice de quatorze ans Qui, récitant des vers
trois
cens, Et cinquante encor, que je pense113, Jouait
e ; Une actrice de quatorze ans Qui, récitant des vers trois cens, Et
cinquante
encor, que je pense113, Jouait un rôle d’importan
D’esprit et de grâce pourvue, Et de vous assez bien connue, Qui, dans
deux
jours, avait appris Ce beau rôle, qu’elle avait p
emoiselle de Molière. Le même nouvelliste annonce, dans sa lettre du
24
octobre, la rentrée de Mlle de Molière au théâtre
endant cette maladie ? Toujours est-il qu’une réconciliation eut lieu
dix
mois avant Le Malade imaginaire, c’est-à-dire en
n eut lieu dix mois avant Le Malade imaginaire, c’est-à-dire en avril
1672
seulement ; mais il est assez naturel de croire q
faite », quitta l’usage du lait et se mit à la viande, eut un fils le
15
septembre 1672, conçu par conséquent au mois de j
ta l’usage du lait et se mit à la viande, eut un fils le 15 septembre
1672,
conçu par conséquent au mois de janvier. La récon
de janvier. La réconciliation avait donc marqué les derniers mois de
1671.
On dira : Peut-être la conception précéda-t-elle
s pas avoir plus que lui, nous qui n’y avons pas autant d’intérêt. Le
17
février 1672, Madeleine Béjart mourut « pendant q
plus que lui, nous qui n’y avons pas autant d’intérêt. Le 17 février
1672,
Madeleine Béjart mourut « pendant que la troupe é
oit de sépulture avait été acquis par Madeleine elle-même, à peu près
deux
ans auparavant, lorsque sa mère Marie Hervé avait
lorsque sa mère Marie Hervé avait été inhumée dans cette paroisse le
9
janvier 1670. Madeleine fut enterrée très canoniq
a mère Marie Hervé avait été inhumée dans cette paroisse le 9 janvier
1670.
Madeleine fut enterrée très canoniquement, sans a
obstacle, et pas plus pour elle que pour son frère Joseph, enterré en
1659,
on ne s’abstint de mentionner qu’elle avait été c
rituels. Madeleine avait fait les choses fort généreusement, fondant
deux
messes basses de Requiem par chaque semaine, et u
ant deux messes basses de Requiem par chaque semaine, et une rente de
cinq
sous par jour à distribuer à cinq pauvres à perpé
par chaque semaine, et une rente de cinq sous par jour à distribuer à
cinq
pauvres à perpétuité par le curé de la paroisse.
était l’église où Joseph Béjart et Marie Hervé avaient été fiancés le
7
septembre, et maries le 8 octobre 1615, et elle é
éjart et Marie Hervé avaient été fiancés le 7 septembre, et maries le
8
octobre 1615, et elle était restée comme la paroi
arie Hervé avaient été fiancés le 7 septembre, et maries le 8 octobre
1615,
et elle était restée comme la paroisse de prédile
de théâtre, non plus que de l’argenterie et des bijoux prisés environ
3000
livres, elle laissait en deniers comptants une so
environ 3000 livres, elle laissait en deniers comptants une somme de
17800
livres, qui représente a peu près 80000 francs de
eniers comptants une somme de 17800 livres, qui représente a peu près
80000
francs de la monnaie actuelle. Madeleine lègue pa
les de La Villaubrun et de Molière (Geneviève et Armande), ses sœurs,
400
livres de rente viagère, à chacun. Elle nomme Arm
, paveur ordinaire des bâtiments du roi, qui avait fait esplanader en
1643
les abords de l’illustre Théâtre aux fossés Saint
ve n’avait signé le sien. Il y avait probablement désaccord entre les
deux
sœurs, peut-être à cause de la prédilection que M
ue pour la plus jeune. Molière loua pour la Saint-Rémy de cette année
1672
la plus grande partie d’une maison sise rue Riche
r René Baudellet, tailleur et valet de chambre de la reine. Moyennant
1300
livres par an, Molière et sa femme avaient la jou
et sa femme avaient la jouissance du premier, du second étage, et de
quatre
entresols au-dessous, plus cuisine, écurie et rem
ssée, caves et greniers. Le bail, publié par M. Eudore Soulié, est du
26
juillet. Cette maison occupait, dans la rue Riche
rue Richelieu, l’emplacement de celles qui portent aujourd’hui les n°
38
et 40114. Molière devint père, comme nous l’avons
chelieu, l’emplacement de celles qui portent aujourd’hui les n° 38 et
40114.
Molière devint père, comme nous l’avons dit, le 1
i les n° 38 et 40114. Molière devint père, comme nous l’avons dit, le
15
septembre, d’un fils que Pierre Boileau Puymorin
au Puymorin et Catherine Mignard tinrent sur les fonts baptismaux, le
1er
octobre, et qui mourut le 11 de ce mois. La santé
rd tinrent sur les fonts baptismaux, le 1er octobre, et qui mourut le
11
de ce mois. La santé de Molière allait toujours e
ange sur son registre constate une interruption du spectacle le mardi
9
et le vendredi 12 août, « M. de Molière étant ind
stre constate une interruption du spectacle le mardi 9 et le vendredi
12
août, « M. de Molière étant indisposé ». De plus
renonçât au théâtre. Voici ce que nous lisons dans Cizeron-Rival : «
Deux
mois avant la mort de Molière, M. Despréaux alla
rlant de Molière, et affirmer que pour lui c’est à peine si entre ces
deux
existences une séparation subsistait : la confusi
s haut savoir n’est que pure chimère. Le curieux passage de la scène
III
du troisième acte, où Béralde, parlant de cet « i
tastique. La première représentation du Malade imaginaire eut lieu le
10
février 1673, au Palais-Royal. Pourquoi au théâtr
a première représentation du Malade imaginaire eut lieu le 10 février
1673,
au Palais-Royal. Pourquoi au théâtre du Palais-Ro
ne rupture entre Molière et Lulli avait été consommée pendant l’année
1672.
Lulli, à qui des lettres patentes avaient permis
par les comédiens de l’hôtel de Bourgogne. Robinet, dans sa lettre du
18
février 1673, constate en effet le succès de cett
édiens de l’hôtel de Bourgogne. Robinet, dans sa lettre du 18 février
1673,
constate en effet le succès de cette tragédie à S
lière, exclu de ces fêtes dont il était l’âme depuis si longtemps. Le
17
février, jour de la quatrième représentation, Mol
e remettre. « Comment voulez-vous que je fasse ? leur dit-il ; il y a
cinquante
pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
e de coutume, il ne jouerait point ce jour-là s’ils n’étaient prêts à
quatre
heures précises pour jouer la comédie. « Sans cel
omédiens tinrent les lustres allumés et la toile levée, précisément à
quatre
heures. Molière représenta avec beaucoup de diffi
outa-t-il, allez dire à ma femme qu’elle monte. » Il resta assisté de
deux
sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinai
a volonté du Seigneur. Enfin il rendit l’esprit entre les bras de ces
deux
bonnes sœurs ; le sang qui sortait par sa bouche
st une circonstance intéressante et singulière que la présence de ces
deux
religieuses qui se trouvent là pour assister aux
pour recevoir les sacrements115 ; on en avait envoyé chercher un. Les
deux
premiers ecclésiastiques auxquels on s’adressa re
a que lorsque Molière venait d’expirer. Mais, grâce à la présence des
deux
sœurs, qui recevaient du comédien une charitable
dans le sens que vous voudrez lui donner) à cette mort. CHAPITRE
XVII
. OBSÈQUES DE MOLIÈRE, INHUMATION ET SÉPULTURE, SA
La Grange, après avoir écrit sur son registre la recette du vendredi
17
février, 1219 livres, ajoute : « Ce même jour, ap
après avoir écrit sur son registre la recette du vendredi 17 février,
1219
livres, ajoute : « Ce même jour, après la comédie
rier, 1219 livres, ajoute : « Ce même jour, après la comédie, sur les
dix
heures du soir, monsieur de Molière mourut dans s
il se rompit une veine dans le corps, et ne vécut pas demie heure ou
trois
quarts d’heure depuis ladite veine rompue… » La
ladite veine rompue… » La lettre de Robinet, datée du jour suivant,
18
février, traduit assez bien l’émotion causée par
ue soudaine : Notre vrai Térence françois Qui vaut mieux que l’autre
cent
fois, Molière, cet incomparable, Et de plus en pl
ême chagrin par ce trépas réduit. Je mis fin à ces vers en février le
dix-huit
. Molière expiré, une grave question surgit aussi
niers moments de Molière. Elle a été publiée pour la première fois en
1800,
dans « Le Conservateur ou Recueil de morceaux iné
ant que vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février mil
six
cent soixante-treize, sur les neuf heures du soir
que vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février mil six
cent
soixante-treize, sur les neuf heures du soir, led
endredi dernier, dix-septième du présent mois de février mil six cent
soixante-treize
, sur les neuf heures du soir, ledit feu sieur de
ième du présent mois de février mil six cent soixante-treize, sur les
neuf
heures du soir, ledit feu sieur de Molière s’étan
he sa paroisse, lesquels s’adressèrent à messieurs Lenfant et Lechat.
deux
prêtres habituez en ladite paroisse, qui refusère
le sentiment d’un bon chrétien, ainsi qu’il a témoigné en présence de
deux
dames religieuses, demeurant en la même maison, d
t à Paris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mil
six
cent soixante-treize. Signé : Archevêque de Pari
Paris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mil six
cent
soixante-treize. Signé : Archevêque de Paris. »
, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mil six cent
soixante-treize
. Signé : Archevêque de Paris. » La veuve de Moli
aroisse, à condition néanmoins que ce sera sans aucune pompe, et avec
deux
prêtres seulement et hors des heures du jour, et
s selon leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil
six
cent soixante-treize. Ainsi signé : Archevêque de
lon leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil six
cent
soixante-treize. Ainsi signé : Archevêque de Pari
eur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil six cent
soixante-treize
. Ainsi signé : Archevêque de Paris. Et au-dessous
notaires au Châtelet de Paris soussignés, le vingt-et-unième mars mil
six
cent soixante-treize. Signé : Le Vasseur. » Tout
ires au Châtelet de Paris soussignés, le vingt-et-unième mars mil six
cent
soixante-treize. Signé : Le Vasseur. » Toute cet
au Châtelet de Paris soussignés, le vingt-et-unième mars mil six cent
soixante-treize
. Signé : Le Vasseur. » Toute cette instance avai
reize. Signé : Le Vasseur. » Toute cette instance avait pris plus de
trois
jours. Le quatrième jour, 21 février, vers les ne
ute cette instance avait pris plus de trois jours. Le quatrième jour,
21
février, vers les neuf heures du soir, le convoi
ait pris plus de trois jours. Le quatrième jour, 21 février, vers les
neuf
heures du soir, le convoi eut lieu. De précieux d
ion adressée à M. Boivin, prêtre, docteur en théologie116 : « Mardi,
21
février, sur les neuf heures du soir, lit-on dans
ivin, prêtre, docteur en théologie116 : « Mardi, 21 février, sur les
neuf
heures du soir, lit-on dans ce récit, l’on a fait
alet de chambre du roi, illustre comédien, sans autre pompe, sinon de
trois
ecclésiastiques ; quatre prêtres ont porté le cor
illustre comédien, sans autre pompe, sinon de trois ecclésiastiques ;
quatre
prêtres ont porté le corps dans une bière de bois
é le corps dans une bière de bois couverte du poëlle des tapissiers ;
six
enfants bleus portant six cierges dans six chande
de bois couverte du poëlle des tapissiers ; six enfants bleus portant
six
cierges dans six chandeliers d’argent ; plusieurs
du poëlle des tapissiers ; six enfants bleus portant six cierges dans
six
chandeliers d’argent ; plusieurs laquais portant
ix. Il y avait grande foule du peuple, et l’on a fait distribution de
mille
à douze cents livres aux pauvres qui s’y sont tro
avait grande foule du peuple, et l’on a fait distribution de mille à
douze
cents livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à
grande foule du peuple, et l’on a fait distribution de mille à douze
cents
livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à chacun
mille à douze cents livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à chacun
cinq
sols. Ledit Molière était décédé le vendredi au s
, à chacun cinq sols. Ledit Molière était décédé le vendredi au soir,
17
février 1673. M. l’archevêque avait ordonné qu’il
cinq sols. Ledit Molière était décédé le vendredi au soir, 17 février
1673.
M. l’archevêque avait ordonné qu’il fût enterré s
sur les conseils de ceux qui l’entouraient, jeta par les fenêtres une
centaine
de pistoles à ce peuple amassé, « en le suppliant
Quoi ! l’on refusera la sépulture à un homme qui a mérité des autels
119
! » « Molière était à peine expiré, dit un cont
ur empressement même. Voici l’épitaphe dont Robinet orna sa lettre du
25
février 1673 : Dans cet obscur tombeau repose Ce
ment même. Voici l’épitaphe dont Robinet orna sa lettre du 25 février
1673
: Dans cet obscur tombeau repose Ce comique chré
l l’est sous cette tombe à faire à tous pitié. La Fontaine, qui, en
1661,
s’était si hautement écrié : « C’est mon homme !
gisent Plaute et Térence ; Et cependant le seul Molière y gît : Leurs
trois
talents ne formaient qu’un esprit Dont le bel art
récepteur du Dauphin et qui fut plus tard évêque d’Avranches, composa
quatre
vers latins que Grimarest nous a conservés et tra
e campagnard, qui tout admire, N’ont pas lu tes écrits en vain : Tous
deux
se sont instruits, en ne pensant qu’à rire. En v
dont il croyait pourtant avoir eu à se plaindre, et qui composa, des
1673,
L’Ombre de Molière et son épitaphe. Un inconnu,
n, dit Molière, comédien, au cimetière des morts-nés, à Paris. » De
deux
comédiens la lin est bien diverse : Genet, en se
P. Lacroix a citée dans le Bulletin du Bibliophile (novembre-décembre
1860
), va plus loin encore dans l’insulte ; nous ne vo
pas qu’on le regrette tous les jours… Samuel Chapuzeau qui publia en
1674
un précieux petit volume sur le Théâtre français,
hôtel de Bourgogne, se firent honneur en la jouant au moins une fois (
1674
). En même temps, le père Rapin portait sur Molièr
ave et droit jugement dans ses Réflexions sur la poétique d’Aristote (
1674
) : Personne n’a porté le ridicule de la comédie
nthousiasme s’était attiédi, prit sa revanche dans l’épître à Racine (
1677
), à qui il cite, pour le consoler des injustices
re, obtenu par prière. Pour jamais sous la tombe eût enfermé Molière.
Mille
de ces beaux traits aujourd’hui si vanté ? Furent
ra revenir. Et sur ses brodequins ne put plus se tenir. Molière, des
trois
enfants qu’il avait eus, ne laissait qu’une fille
rvation des droits de la veuve et de la fille mineure fut commencé le
13
mars et dura six jours. M. E. Soulié a retrouvé e
ts de la veuve et de la fille mineure fut commencé le 13 mars et dura
six
jours. M. E. Soulié a retrouvé et publié ce docum
document, qui donne une idée du grand luxe dont s’entourait Molière :
treize
cents livres de lover par an pour son appartement
t, qui donne une idée du grand luxe dont s’entourait Molière : treize
cents
livres de lover par an pour son appartement de la
nts livres de lover par an pour son appartement de la rue Richelieu ;
quatre
cents livres pour son appartement d’Auteuil (il f
res de lover par an pour son appartement de la rue Richelieu ; quatre
cents
livres pour son appartement d’Auteuil (il faut qu
mobilier somptueux, dans lequel le lit des époux entre en compte pour
deux
mille livres ; deux cent quarante marcs d’argente
ier somptueux, dans lequel le lit des époux entre en compte pour deux
mille
livres ; deux cent quarante marcs d’argenterie, v
dans lequel le lit des époux entre en compte pour deux mille livres ;
deux
cent quarante marcs d’argenterie, valant six mill
lequel le lit des époux entre en compte pour deux mille livres ; deux
cent
quarante marcs d’argenterie, valant six mille deu
l le lit des époux entre en compte pour deux mille livres ; deux cent
quarante
marcs d’argenterie, valant six mille deux cent qu
our deux mille livres ; deux cent quarante marcs d’argenterie, valant
six
mille deux cent quarante livres. Les deux parties
deux mille livres ; deux cent quarante marcs d’argenterie, valant six
mille
deux cent quarante livres. Les deux parties les p
ille livres ; deux cent quarante marcs d’argenterie, valant six mille
deux
cent quarante livres. Les deux parties les plus c
livres ; deux cent quarante marcs d’argenterie, valant six mille deux
cent
quarante livres. Les deux parties les plus curieu
s ; deux cent quarante marcs d’argenterie, valant six mille deux cent
quarante
livres. Les deux parties les plus curieuses de ce
e marcs d’argenterie, valant six mille deux cent quarante livres. Les
deux
parties les plus curieuses de cet inventaire sont
e, des chausses de brocart aussi garnies de rubans vert et aurore, et
deux
points de Sedan. Le pourpoint de taffetas garni d
ec une petite dentelle d’argent fin, une chemisette de même taffetas,
deux
cuissards de satin rouge, une paire de souliers a
pon, un caleçon et cuissards, ledit tonnelet de moire verte, garni de
deux
dentelles or et argent ; la chemisette de velours
ffe avec une veste de satin doublée de ouate et un bas de saie, prisé
quinze
livres, ci XV l. Item. Un juste-au-corps et chau
de satin doublée de ouate et un bas de saie, prisé quinze livres, ci
XV
l. Item. Un juste-au-corps et chausses de drap d
t chausses de drap d’Hollande noir, une paire de bas de soie ; prisés
dix
livres, ci X l. Item. Un juste-à-corps et chauss
rap d’Hollande noir, une paire de bas de soie ; prisés dix livres, ci
X
l. Item. Un juste-à-corps et chausses de droguet
é de taffetas noir, une paire de bas de laine et une d’estame ; prisé
quinze
livres, ci xv l. Item. Un juste-à-corps de rhing
, les jarretières et bas de soie, avec une garniture de satin ; prisé
vingt-cinq
livres, ci XXV l. Item. Une robe de chambre de b
as de soie, avec une garniture de satin ; prisé vingt-cinq livres, ci
XXV
l. Item. Une robe de chambre de brocart rayé, do
Une robe de chambre de brocart rayé, doublé de taffetas bleu : prisée
vingt-cinq
livres, ci XXV l. « On croit voir Molière dans la
brocart rayé, doublé de taffetas bleu : prisée vingt-cinq livres, ci
XXV
l. « On croit voir Molière dans la rue. dit M. So
rages qui y sont mentionnés : La sainte Bible, et figures d’icelle.
Deux
vol. in-fol., à Paris. Plutarque. Trois vol. in-
e Bible, et figures d’icelle. Deux vol. in-fol., à Paris. Plutarque.
Trois
vol. in-fol., un à Paris et deux à Auteuil. Héro
vol. in-fol., à Paris. Plutarque. Trois vol. in-fol., un à Paris et
deux
à Auteuil. Hérodote. Un vol. in-fol., à Auteuil.
à Auteuil. Hérodote. Un vol. in-fol., à Auteuil. Diodore de Sicile.
Deux
vol. in-fol., à Autouil. Dioscoride. Deux vol. i
teuil. Diodore de Sicile. Deux vol. in-fol., à Autouil. Dioscoride.
Deux
vol. in-fol., à Paris. Lucien. In-4°, à Paris.
en. In-4°, à Paris. Héliodore. Un vol. in-fol., à Auteuil. Térence.
Deux
vol. in-fol., à Paris. César. Les Commentaires.
Paris. César. Les Commentaires. Un vol. in-4°. à Auteuil. Virgile.
Trois
vol. in-fol., à Paris. Horace. Un vol. in-4. à A
is vol. in-fol., à Paris. Horace. Un vol. in-4. à Auteuil. Sénèque.
Deux
vol. in-fol., à Paris. Tite Live. Deux vol. in-f
l. in-4. à Auteuil. Sénèque. Deux vol. in-fol., à Paris. Tite Live.
Deux
vol. in-fol., à Paris. Ovide. Les Métamorphoses.
ntaigne. Les Essais. Un vol. in-fol., à Auteuil. Balzac. Les Œuvres.
Deux
vol. in-fol., à Auteuil. La Mothe le Vayer. Deux
Balzac. Les Œuvres. Deux vol. in-fol., à Auteuil. La Mothe le Vayer.
Deux
vol. in-ful., à Paris. Georges de Scudéry. Alari
Alaric ou Rome vaincue. Un vol. in-fol., à Paris. Pierre Corneille.
Deux
vol. in-fol., à Paris. Rohault. Traité de Physiq
vol. in-4, à Auteuil. Comédies françaises, italiennes et espagnoles.
Deux
cent quarante vol., à Paris. Poésies. Quelques v
in-4, à Auteuil. Comédies françaises, italiennes et espagnoles. Deux
cent
quarante vol., à Paris. Poésies. Quelques volume
à Auteuil. Comédies françaises, italiennes et espagnoles. Deux cent
quarante
vol., à Paris. Poésies. Quelques volumes, à Pari
es volumes, à Paris. Dictionnaire et traités de philosophie. Environ
vingt
vol., à Paris. Histoires d’Espagne, de France et
Paris. Voyage du Levant. Un vol. in-4°. à Auteuil. Voyages. environ
huit
vol. in-4°, à Paris. Calepin. Dictionnaire des l
, à Paris. Calepin. Dictionnaire des langues latine, italienne, etc.
Deux
vol. in-fol., à Paris. Claude Paradin. Alliances
te surtout, qu’on ne nous cite pas ? Nous apprenons que Molière avait
deux
cent quarante volumes de comédies françaises, ita
rtout, qu’on ne nous cite pas ? Nous apprenons que Molière avait deux
cent
quarante volumes de comédies françaises, italienn
, qu’on ne nous cite pas ? Nous apprenons que Molière avait deux cent
quarante
volumes de comédies françaises, italiennes et esp
its, livres, argenterie, deniers comptant, etc., une valeur d’environ
18000
l. Il est dû à la succession, en y comprenant l
r d’environ 18000 l. Il est dû à la succession, en y comprenant les
dix
mille livres réclamées par la veuve aux héritiers
environ 18000 l. Il est dû à la succession, en y comprenant les dix
mille
livres réclamées par la veuve aux héritiers Poque
livres réclamées par la veuve aux héritiers Poquelin, un peu plus de
25000.
Total : 43000 l. Les dettes s’élèvent à près de 3
es par la veuve aux héritiers Poquelin, un peu plus de 25000. Total :
43000
l. Les dettes s’élèvent à près de 3000. L’actif d
un peu plus de 25000. Total : 43000 l. Les dettes s’élèvent à près de
3000.
L’actif de la succession est par conséquent de 40
lèvent à près de 3000. L’actif de la succession est par conséquent de
40000
l. Si donc le poète avait un revenu de trente mi
n est par conséquent de 40000 l. Si donc le poète avait un revenu de
trente
mille livres par an, il était loin d’en posséder
ar conséquent de 40000 l. Si donc le poète avait un revenu de trente
mille
livres par an, il était loin d’en posséder le cap
grâce, même auprès des plus acharnés détracteurs, ne resta veuve que
quatre
ans. Les violentes inimitiés auxquelles elle étai
les factums d’Henri Guichard, dans le procès qu’il eut avec Lulli en
1676,
et où Mlle Molière et d’autres comédiennes furent
t en redoublant le scandale. Il est une étrange aventure qui se passa
deux
années après la mort de Molière, et qui mérite d’
aient, en somme, tourner qu’à sa justification. Aussi effacerons-nous
deux
ou trois traits qui ne témoignent que de l’hostil
n somme, tourner qu’à sa justification. Aussi effacerons-nous deux ou
trois
traits qui ne témoignent que de l’hostilité aveug
êtes indigne qu’on en conserve pour vous ; après m’être venue trouver
vingt
fois dans un lieu comme celui où je vous ai vue,
avait d’en user avec la Molière de cette façon, leur protestant avec
mille
serments qu il la connaissait pour l’avoir vue pl
fût le même qu il avait donnée à la Tourelle, encore que celui-là fût
deux
fois plus gros. À cet affront, que la demoiselle
ui était entre elle et la Tourelle. Bref, une sentence du Châtelet du
15
septembre 1675 condamna messire François Lescot,
e elle et la Tourelle. Bref, une sentence du Châtelet du 15 septembre
1675
condamna messire François Lescot, conseiller du r
e réparation verbale à Mlle Molière en présence de témoins et à payer
200
livres pour dommages-intérêts et dépens ; et « Je
et devant la porte de ladite Molière ; et ce fait, être bannies pour
trois
ans de la ville, prévôté et vicomte de Paris, etc
naire qui existe entre cette affaire et un procès fameux qui eut lieu
cent
dix ans plus tard. L’aventure arrivée à la veuve
qui existe entre cette affaire et un procès fameux qui eut lieu cent
dix
ans plus tard. L’aventure arrivée à la veuve de M
fut pas représentée. Thomas Corneille y fit allusion dans L’Inconnu (
25
nov. 1675). Dans cette pièce, une bohémienne, dis
représentée. Thomas Corneille y fit allusion dans L’Inconnu (25 nov.
1675
). Dans cette pièce, une bohémienne, disant la bon
e pièce, une bohémienne, disant la bonne aventure à la comtesse (acte
III
, scène VI), lui adresse les vers suivants : Cett
e bohémienne, disant la bonne aventure à la comtesse (acte III, scène
VI
), lui adresse les vers suivants : Cette ligne qu
olière qui remplissait le rôle de la comtesse. Le dernier jour de mai
1677,
c’est-à-dire moins de deux années après cet escla
le de la comtesse. Le dernier jour de mai 1677, c’est-à-dire moins de
deux
années après cet esclandre, Armande Béjart épousa
in du Tricher ou d’Estriché, comme elle comédien ; et elle en eut, en
1678,
un fils qui fut nommé Nicolas-Armand-Martial Guér
ue le constate notamment l’auteur des Entretiens galants à la date de
1681.
Elle restait inimitable dans les pièces de son pr
pièces de son premier mari. Elle prit sa retraite avec une pension de
mille
livres, le 14 octobre 1694. Dès 1688, l’auteur de
mier mari. Elle prit sa retraite avec une pension de mille livres, le
14
octobre 1694. Dès 1688, l’auteur de La Fameuse co
Elle prit sa retraite avec une pension de mille livres, le 14 octobre
1694.
Dès 1688, l’auteur de La Fameuse comédienne convi
sa retraite avec une pension de mille livres, le 14 octobre 1694. Dès
1688,
l’auteur de La Fameuse comédienne convient qu’ell
d’avilir la femme ils pourraient avilir aussi le mari. Elle mourut le
30
novembre de l’année 1700, âgée de cinquante-cinq
ourraient avilir aussi le mari. Elle mourut le 30 novembre de l’année
1700,
âgée de cinquante-cinq ans, d’après l’acte de déc
ir aussi le mari. Elle mourut le 30 novembre de l’année 1700, âgée de
cinquante-cinq
ans, d’après l’acte de décès129. Les documents re
ments retrouvés par M. E. Soulié prouvent qu’elle avait un peu plus :
cinquante-sept
ou cinquante-huit ans. Son fils Nicolas Guérin mo
r M. E. Soulié prouvent qu’elle avait un peu plus : cinquante-sept ou
cinquante-huit
ans. Son fils Nicolas Guérin mourut en 1707 ou 17
nquante-sept ou cinquante-huit ans. Son fils Nicolas Guérin mourut en
1707
ou 1708, sans laisser d’enfants d’une demoiselle
sept ou cinquante-huit ans. Son fils Nicolas Guérin mourut en 1707 ou
1708,
sans laisser d’enfants d’une demoiselle Guignard
xigea, à sa majorité, des comptes de tutelle qui lui furent rendus le
9
mars 1691, et qui soulevèrent des contestations e
à sa majorité, des comptes de tutelle qui lui furent rendus le 9 mars
1691,
et qui soulevèrent des contestations entre elle e
re elle et les époux Guérin. Ces contestations ne furent apaisées que
deux
ans plus tard, le 26 septembre 1693. Elle se mari
érin. Ces contestations ne furent apaisées que deux ans plus tard, le
26
septembre 1693. Elle se maria le 29 juillet 1705,
testations ne furent apaisées que deux ans plus tard, le 26 septembre
1693.
Elle se maria le 29 juillet 1705, à l’âge de quar
aisées que deux ans plus tard, le 26 septembre 1693. Elle se maria le
29
juillet 1705, à l’âge de quarante ans, avec Claud
deux ans plus tard, le 26 septembre 1693. Elle se maria le 29 juillet
1705,
à l’âge de quarante ans, avec Claude de Rachel, é
d, le 26 septembre 1693. Elle se maria le 29 juillet 1705, à l’âge de
quarante
ans, avec Claude de Rachel, écuyer, sieur de Mont
arante ans, avec Claude de Rachel, écuyer, sieur de Montalant, âgé de
cinquante-neuf
ans. M. de Montalant était d’une bonne famille, m
e de la paroisse Saint-André des Arcs : il n’apportait en mariage que
cinq
cent livres de rente viagère, tandis que l’apport
la paroisse Saint-André des Arcs : il n’apportait en mariage que cinq
cent
livres de rente viagère, tandis que l’apport de M
agère, tandis que l’apport de Madeleine Poquelin est évalué à près de
soixante-six
mille livres. « C’était, dit M. Soulié, dont les
que l’apport de Madeleine Poquelin est évalué à près de soixante-six
mille
livres. « C’était, dit M. Soulié, dont les découv
on père et de sa mère. » M. et Mme de Montalant allèrent, en octobre
1713,
demeurer à Argenteuil, rue de Calais. M. Arsène H
ait rien sur elle qui ne fût de prix. »La fille de Molière mourut, le
23
mai 1723, sans postérité ; elle fut inhumée le le
n sur elle qui ne fût de prix. »La fille de Molière mourut, le 23 mai
1723,
sans postérité ; elle fut inhumée le lendemain, s
Denis d’Argenteuil. Claude de Rachel, sieur de Montalant, survécut de
quinze
années à sa femme et mourut le 15 juin 1738, âgé
sieur de Montalant, survécut de quinze années à sa femme et mourut le
15
juin 1738, âgé de quatre-vingt-treize ans. Par su
Montalant, survécut de quinze années à sa femme et mourut le 15 juin
1738,
âgé de quatre-vingt-treize ans. Par suite d’hérit
urvécut de quinze années à sa femme et mourut le 15 juin 1738, âgé de
quatre-vingt-treize
ans. Par suite d’héritages que Madeleine Poquelin
nrichi ; et son revenu, dans l’année qui précéda sa mort, s’élevait à
trente
mille livres. Il désignait pour exécuteur testame
; et son revenu, dans l’année qui précéda sa mort, s’élevait à trente
mille
livres. Il désignait pour exécuteur testamentaire
t au parlement, neveu de Molière. La famille Poquelin s’éteignit vers
1780
; celle de Pierre Chapuis a probablement aussi di
de La Grange et de Vinot, pour la publication des Œuvres posthumes en
1682.
Restèrent-ils entre les mains du premier ? Et par
onjecturer d’après quelques mots de la préface, que ce Guérin mit, en
1699,
à la pastorale de Mélicerte, qu’il avait voulu re
lus actives recherches, on en est arrivé à connaître aujourd’hui (mai
1892
) huit à dix lignes de l’écriture de Molière. C
tives recherches, on en est arrivé à connaître aujourd’hui (mai 1892)
huit
à dix lignes de l’écriture de Molière. CHAPITR
echerches, on en est arrivé à connaître aujourd’hui (mai 1892) huit à
dix
lignes de l’écriture de Molière. CHAPITRE XVII
ui (mai 1892) huit à dix lignes de l’écriture de Molière. CHAPITRE
XVIII
. CONCLUSION Molière, quand il mourut, le 17 fé
olière. CHAPITRE XVIII. CONCLUSION Molière, quand il mourut, le
17
février 1673, était âgé de cinquante et un ans, u
CHAPITRE XVIII. CONCLUSION Molière, quand il mourut, le 17 février
1673,
était âgé de cinquante et un ans, un mois et deux
CLUSION Molière, quand il mourut, le 17 février 1673, était âgé de
cinquante
et un ans, un mois et deux jours. Sa carrière com
rut, le 17 février 1673, était âgé de cinquante et un ans, un mois et
deux
jours. Sa carrière comique, depuis Les Précieuses
uses ridicules jusqu’au Malade imaginaire, avait été d’un peu plus de
treize
ans. Mais de combien de chefs-d’œuvre il avait se
l avait semé ce court espace ! Le comte de Bussy-Rabutin écrivait, le
23
février 1673, au père Rapin, jésuite : « Voilà Mo
é ce court espace ! Le comte de Bussy-Rabutin écrivait, le 23 février
1673,
au père Rapin, jésuite : « Voilà Molière mort en
peut-être le siècle suivant n’en verra-t-il pas un de sa façon. » «
Deux
siècles bientôt sont passés, remarque M. Bazin, e
du temps présent. On peut dire seulement de lui avec Sainte-Beuve : «
II
considérait volontiers cette triste humanité comm
n sujet rare et noble ? devait-il confondre les tours patibulaires de
deux
vils fourbes et l’avarice imbécile de deux crédul
les tours patibulaires de deux vils fourbes et l’avarice imbécile de
deux
crédules barbons avec les mœurs d’Alceste, avec l
de deux crédules barbons avec les mœurs d’Alceste, avec la fatuité de
deux
jeunes seigneurs et d’un courtisan bel esprit ? I
espeare, et en dépit du maître de philosophie de M. Jourdain, non pas
deux
, mais trois modes de langage : les vers, la prose
en dépit du maître de philosophie de M. Jourdain, non pas deux, mais
trois
modes de langage : les vers, la prose, et les ver
fait pas tort à l’admiration que ses ouvrages inspirent. APPENDICE
I
. LE THÉÂTRE ET LA TROUPE DE MOLIÈRE I. LE TH
es inspirent. APPENDICE I. LE THÉÂTRE ET LA TROUPE DE MOLIÈRE
I
. LE THÉÂTRE De 1659 à 1673, Molière changea un
ENDICE I. LE THÉÂTRE ET LA TROUPE DE MOLIÈRE I. LE THÉÂTRE De
1659
à 1673, Molière changea une fois seulement de sal
I. LE THÉÂTRE ET LA TROUPE DE MOLIÈRE I. LE THÉÂTRE De 1659 à
1673,
Molière changea une fois seulement de salle de sp
673, Molière changea une fois seulement de salle de spectacle. Ce fut
deux
ans après son retour que ce déplacement eut lieu
s son retour que ce déplacement eut lieu : au commencement de l’année
1661,
il passa de la salle du Petit-Bourbon à celle du
la salle du Petit-Bourbon à celle du Palais-Royal. La première de ces
deux
scènes ne vit naître que Les Précieuses ridicules
ais-Royal, suivant un calcul de M. Taschereau132, pouvait contenir un
millier
de personnes. Voici quelles étaient les places et
aces et quel était le prix de chaque catégorie : Billet de théâtre :
5
livres 10 sous. Billet de loge : 5 livres 10 sous
uel était le prix de chaque catégorie : Billet de théâtre : 5 livres
10
sous. Billet de loge : 5 livres 10 sous. Amphith
e catégorie : Billet de théâtre : 5 livres 10 sous. Billet de loge :
5
livres 10 sous. Amphithéâtre : 3 livres. Loges h
ie : Billet de théâtre : 5 livres 10 sous. Billet de loge : 5 livres
10
sous. Amphithéâtre : 3 livres. Loges hautes : 1
5 livres 10 sous. Billet de loge : 5 livres 10 sous. Amphithéâtre :
3
livres. Loges hautes : 1 livre 10 sous. Loges du
de loge : 5 livres 10 sous. Amphithéâtre : 3 livres. Loges hautes :
1
livre 10 sous. Loges du troisième rang : 1 livre.
: 5 livres 10 sous. Amphithéâtre : 3 livres. Loges hautes : 1 livre
10
sous. Loges du troisième rang : 1 livre. Parterre
: 3 livres. Loges hautes : 1 livre 10 sous. Loges du troisième rang :
1
livre. Parterre : 15 sous. Ces prix étaient, du
utes : 1 livre 10 sous. Loges du troisième rang : 1 livre. Parterre :
15
sous. Ces prix étaient, du reste, à peu près les
illis de Rotrou par les comédiens de l’hôtel de Bourgogne à la fin de
1652,
on lit ces vers : Venez en foule, apportez tous,
2, on lit ces vers : Venez en foule, apportez tous, Dans le parterre
quinze
sous, Cent dix sous dans les galeries. 110 sous
vers : Venez en foule, apportez tous, Dans le parterre quinze sous,
Cent
dix sous dans les galeries. 110 sous ne laissaie
: Venez en foule, apportez tous, Dans le parterre quinze sous, Cent
dix
sous dans les galeries. 110 sous ne laissaient p
tous, Dans le parterre quinze sous, Cent dix sous dans les galeries.
110
sous ne laissaient pas que d’être un prix assez é
ssez élevé pour une place de théâtre, puisqu’ils représentaient alors
vingt
francs de notre monnaie actuelle. De plus, on jou
Le prix des places de théâtre et des premières loges restait le même,
5
livres 10 sous. Mais la place d’amphithéâtre étai
es places de théâtre et des premières loges restait le même, 5 livres
10
sous. Mais la place d’amphithéâtre était portée d
même, 5 livres 10 sous. Mais la place d’amphithéâtre était portée de
trois
livres à 5 livres 10 sous ; les loges hautes, de
10 sous. Mais la place d’amphithéâtre était portée de trois livres à
5
livres 10 sous ; les loges hautes, de 30 sous par
Mais la place d’amphithéâtre était portée de trois livres à 5 livres
10
sous ; les loges hautes, de 30 sous par personne
tait portée de trois livres à 5 livres 10 sous ; les loges hautes, de
30
sous par personne à 3 livres ; les loges du trois
vres à 5 livres 10 sous ; les loges hautes, de 30 sous par personne à
3
livres ; les loges du troisième rang, de 1 livre
de 30 sous par personne à 3 livres ; les loges du troisième rang, de
1
livre à 2 livres ; et le parterre, de 15 sous à 3
s par personne à 3 livres ; les loges du troisième rang, de 1 livre à
2
livres ; et le parterre, de 15 sous à 30 sous. To
s loges du troisième rang, de 1 livre à 2 livres ; et le parterre, de
15
sous à 30 sous. Tout cela était déjà loin, comme
troisième rang, de 1 livre à 2 livres ; et le parterre, de 15 sous à
30
sous. Tout cela était déjà loin, comme on le voit
on le voit, des usages constatés par une ordonnance de police de l’an
1609,
qui, « sur la plainte que les comédiens exigent d
igent du peuple des sommes excessives, leur défend de prendre plus de
5
sous au parterre et 10 sous aux loges et galeries
mmes excessives, leur défend de prendre plus de 5 sous au parterre et
10
sous aux loges et galeries, sauf les cas où, ayan
te. » Au Petit-Bourbon, les recettes ne s’élevèrent jamais à plus de
1400
livres ; ce chiffre fut seulement atteint le mard
ais à plus de 1400 livres ; ce chiffre fut seulement atteint le mardi
2
décembre 1659, à la seconde représentation des Pr
de 1400 livres ; ce chiffre fut seulement atteint le mardi 2 décembre
1659,
à la seconde représentation des Précieuses ridicu
euses ridicules, jouées à l’extraordinaire, après une interdiction de
14
jours. Au Palais-Royal, les recettes montèrent so
tèrent, le jour de la première représentation du Tartuffe (reprise du
5
février 1669), à 2860 livres ; le jour de la cinq
jour de la première représentation du Tartuffe (reprise du 5 février
1669
), à 2860 livres ; le jour de la cinquième représe
la première représentation du Tartuffe (reprise du 5 février 1669), à
2860
livres ; le jour de la cinquième représentation,
rier 1669), à 2860 livres ; le jour de la cinquième représentation, à
2320
livres ; le jour de la neuvième, à 2278 livres, L
a cinquième représentation, à 2320 livres ; le jour de la neuvième, à
2278
livres, La première représentation du Malade imag
278 livres, La première représentation du Malade imaginaire produisit
1992
livres. Malgré la différence de la dimension des
a différence de la dimension des théâtres (le théâtre actuel contient
1650
places), si l’on tient compte de la pâleur relati
es grands jours, puisque ses plus fortes chambrées ne dépassent guère
6000
francs. On jouait trois fois par semaine, le dima
e ses plus fortes chambrées ne dépassent guère 6000 francs. On jouait
trois
fois par semaine, le dimanche, le mardi et le ven
aires, comme le fut la troupe de Monsieur à partir du mois de juillet
1659.
Le théâtre était, en outre, souvent fermé, soit q
cendre en quelque sorte dans la soirée. Cette ordonnance de police de
1609,
que nous venons de mentionner, fait très expresse
esse défense aux comédiens depuis le jour de la Saint-Martin jusqu’au
14
février, de jouer passé quatre heures et demie au
depuis le jour de la Saint-Martin jusqu’au 14 février, de jouer passé
quatre
heures et demie au plus tard : « auxquels, pour c
ignons de commencer précisément avec telles personnes qu’il y aura, à
deux
heures après midi, et de finir à ladite heure, qu
s qu’il y aura, à deux heures après midi, et de finir à ladite heure,
quatre
heures et demie, et que la porte soit ouverte à u
ns le roman d’Arthémise et Polianthe, par Boursault, roman imprimé en
1670,
on voit que le spectacle commençait à trois heure
ursault, roman imprimé en 1670, on voit que le spectacle commençait à
trois
heures et finissait à sept heures. La tirade d’Ér
nous apprend que la représentation du Malade imaginaire commençait à
quatre
heures et finissait vers neuf heures. Quelle que
ion du Malade imaginaire commençait à quatre heures et finissait vers
neuf
heures. Quelle que fût l’heure et quelle que fut
les. Les frais ordinaires de chaque soirée, pendant l’année théâtrale
1660-1661,
n’étaient que de 42 livres 19 sous. Pendant l’ann
chaque soirée, pendant l’année théâtrale 1660-1661, n’étaient que de
42
livres 19 sous. Pendant l’année 1662-1663, ces fr
irée, pendant l’année théâtrale 1660-1661, n’étaient que de 42 livres
19
sous. Pendant l’année 1662-1663, ces frais monten
âtrale 1660-1661, n’étaient que de 42 livres 19 sous. Pendant l’année
1662-1663,
ces frais montent par jour à 73 livres 4 sous. Il
vres 19 sous. Pendant l’année 1662-1663, ces frais montent par jour à
73
livres 4 sous. Ils vont augmentant encore suivant
us. Pendant l’année 1662-1663, ces frais montent par jour à 73 livres
4
sous. Ils vont augmentant encore suivant les circ
’on joue. Ainsi, les frais ordinaires de Psyché atteignent par jour à
351
livres. Les frais journaliers du Malade imaginair
Malade imaginaire, à cause de la musique, de la danse, etc., sont de
250
livres. Parmi les frais journaliers, à partir de
e, etc., sont de 250 livres. Parmi les frais journaliers, à partir de
1662,
on remarque une charité de 1 livre portée réguliè
i les frais journaliers, à partir de 1662, on remarque une charité de
1
livre portée régulièrement à la dépense. Nous voy
1 livre portée régulièrement à la dépense. Nous voyons, à la date du
17
juin 1663, une somme de 25 livres inscrite comme
portée régulièrement à la dépense. Nous voyons, à la date du 17 juin
1663,
une somme de 25 livres inscrite comme donnée aux
nt à la dépense. Nous voyons, à la date du 17 juin 1663, une somme de
25
livres inscrite comme donnée aux capucins. Était-
ortait quelques jets de flamme, quelques feux d’artifice. Pendant les
quinze
représentations du Festin de Pierre, les capucins
Juan et des « grands feux qui en sortent ». Ils ont le premier soir,
15
février, 30 sous ; le 20, 7 livres ; le 24, 5 liv
« grands feux qui en sortent ». Ils ont le premier soir, 15 février,
30
sous ; le 20, 7 livres ; le 24, 5 livres 3 sous ;
x qui en sortent ». Ils ont le premier soir, 15 février, 30 sous ; le
20,
7 livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livr
i en sortent ». Ils ont le premier soir, 15 février, 30 sous ; le 20,
7
livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres
. Ils ont le premier soir, 15 février, 30 sous ; le 20, 7 livres ; le
24,
5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 m
s ont le premier soir, 15 février, 30 sous ; le 20, 7 livres ; le 24,
5
livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mar
premier soir, 15 février, 30 sous ; le 20, 7 livres ; le 24, 5 livres
3
sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sou
, 15 février, 30 sous ; le 20, 7 livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le
27,
3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 l
février, 30 sous ; le 20, 7 livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27,
3
livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 liv
30 sous ; le 20, 7 livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres
7
sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 livres 5 sou
e 20, 7 livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le
8
mars, 30 sous ; le 10, 3 livres 5 sous ; le 13, 3
livres ; le 24, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mars,
30
sous ; le 10, 3 livres 5 sous ; le 13, 30 sous ;
4, 5 livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le
10,
3 livres 5 sous ; le 13, 30 sous ; le 15, 19 sous
livres 3 sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10,
3
livres 5 sous ; le 13, 30 sous ; le 15, 19 sous ;
sous ; le 27, 3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 livres
5
sous ; le 13, 30 sous ; le 15, 19 sous ; le 17, 3
7, 3 livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 livres 5 sous ; le
13,
30 sous ; le 15, 19 sous ; le 17, 35 sous ; le 20
livres 7 sous ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 livres 5 sous ; le 13,
30
sous ; le 15, 19 sous ; le 17, 35 sous ; le 20, 3
s ; le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 livres 5 sous ; le 13, 30 sous ; le
15,
19 sous ; le 17, 35 sous ; le 20, 30 sous. On ne
le 8 mars, 30 sous ; le 10, 3 livres 5 sous ; le 13, 30 sous ; le 15,
19
sous ; le 17, 35 sous ; le 20, 30 sous. On ne voi
sous ; le 10, 3 livres 5 sous ; le 13, 30 sous ; le 15, 19 sous ; le
17,
35 sous ; le 20, 30 sous. On ne voit plus par la
s ; le 10, 3 livres 5 sous ; le 13, 30 sous ; le 15, 19 sous ; le 17,
35
sous ; le 20, 30 sous. On ne voit plus par la sui
livres 5 sous ; le 13, 30 sous ; le 15, 19 sous ; le 17, 35 sous ; le
20,
30 sous. On ne voit plus par la suite de semblabl
es 5 sous ; le 13, 30 sous ; le 15, 19 sous ; le 17, 35 sous ; le 20,
30
sous. On ne voit plus par la suite de semblables
Les pères cordeliers en réclamèrent une part par la lettre suivante (
1696
) : « Messieurs, les pères cordeliers vous supplie
ugustins, grands augustins, touchent régulièrement, chaque communauté
3
livres par mois. Tous les dimanches, 18 sous sont
gulièrement, chaque communauté 3 livres par mois. Tous les dimanches,
18
sous sont inscrits pour les chandelles des religi
gieux (capucins). Les charités furent prélevées bénévolement jusqu’en
1699.
Alors seulement elles devinrent obligatoires : un
699. Alors seulement elles devinrent obligatoires : une ordonnance du
25
février porte que le roi, « voulant contribuer au
année. Total de ce que j’ai reçu depuis que je suis comédien à Paris,
25
avril 1659, jusqu’à la mort de M. de Molière, 17
tal de ce que j’ai reçu depuis que je suis comédien à Paris, 25 avril
1659,
jusqu’à la mort de M. de Molière, 17 février 1673
is comédien à Paris, 25 avril 1659, jusqu’à la mort de M. de Molière,
17
février 1673, et reste de ladite année : Jusques
à Paris, 25 avril 1659, jusqu’à la mort de M. de Molière, 17 février
1673,
et reste de ladite année : Jusques au 12 mars 16
. de Molière, 17 février 1673, et reste de ladite année : Jusques au
12
mars 1660 : 2995 livres 10 sous. Jusques au 1er a
ière, 17 février 1673, et reste de ladite année : Jusques au 12 mars
1660
: 2995 livres 10 sous. Jusques au 1er avril 1661
7 février 1673, et reste de ladite année : Jusques au 12 mars 1660 :
2995
livres 10 sous. Jusques au 1er avril 1661 : 2477
73, et reste de ladite année : Jusques au 12 mars 1660 : 2995 livres
10
sous. Jusques au 1er avril 1661 : 2477 - 6 - Jusq
te année : Jusques au 12 mars 1660 : 2995 livres 10 sous. Jusques au
1er
avril 1661 : 2477 - 6 - Jusques au 26 mars 1662 :
Jusques au 12 mars 1660 : 2995 livres 10 sous. Jusques au 1er avril
1661
: 2477 - 6 - Jusques au 26 mars 1662 : 4310 - 9 -
es au 12 mars 1660 : 2995 livres 10 sous. Jusques au 1er avril 1661 :
2477
- 6 - Jusques au 26 mars 1662 : 4310 - 9 - Jusque
2 mars 1660 : 2995 livres 10 sous. Jusques au 1er avril 1661 : 2477 -
6
- Jusques au 26 mars 1662 : 4310 - 9 - Jusques au
995 livres 10 sous. Jusques au 1er avril 1661 : 2477 - 6 - Jusques au
26
mars 1662 : 4310 - 9 - Jusques au 12 mars 1663 :
es 10 sous. Jusques au 1er avril 1661 : 2477 - 6 - Jusques au 26 mars
1662
: 4310 - 9 - Jusques au 12 mars 1663 : 3117 -12 -
ous. Jusques au 1er avril 1661 : 2477 - 6 - Jusques au 26 mars 1662 :
4310
- 9 - Jusques au 12 mars 1663 : 3117 -12 - Jusque
sques au 1er avril 1661 : 2477 - 6 - Jusques au 26 mars 1662 : 4310 -
9
- Jusques au 12 mars 1663 : 3117 -12 - Jusques au
ril 1661 : 2477 - 6 - Jusques au 26 mars 1662 : 4310 - 9 - Jusques au
12
mars 1663 : 3117 -12 - Jusques au 28 mars 1664 :,
: 2477 - 6 - Jusques au 26 mars 1662 : 4310 - 9 - Jusques au 12 mars
1663
: 3117 -12 - Jusques au 28 mars 1664 :,534 - 4 -
- 6 - Jusques au 26 mars 1662 : 4310 - 9 - Jusques au 12 mars 1663 :
3117
-12 - Jusques au 28 mars 1664 :,534 - 4 - Jusques
Jusques au 26 mars 1662 : 4310 - 9 - Jusques au 12 mars 1663 : 3117 -
12
- Jusques au 28 mars 1664 :,534 - 4 - Jusques au
ars 1662 : 4310 - 9 - Jusques au 12 mars 1663 : 3117 -12 - Jusques au
28
mars 1664 :,534 - 4 - Jusques au 20 mars 1665 : 3
: 4310 - 9 - Jusques au 12 mars 1663 : 3117 -12 - Jusques au 28 mars
1664
:,534 - 4 - Jusques au 20 mars 1665 : 3011 - 11 -
- 9 - Jusques au 12 mars 1663 : 3117 -12 - Jusques au 28 mars 1664 :,
534
- 4 - Jusques au 20 mars 1665 : 3011 - 11 - Jusqu
Jusques au 12 mars 1663 : 3117 -12 - Jusques au 28 mars 1664 :,534 -
4
- Jusques au 20 mars 1665 : 3011 - 11 - Jusques a
mars 1663 : 3117 -12 - Jusques au 28 mars 1664 :,534 - 4 - Jusques au
20
mars 1665 : 3011 - 11 - Jusques au 11 avril 1666
3 : 3117 -12 - Jusques au 28 mars 1664 :,534 - 4 - Jusques au 20 mars
1665
: 3011 - 11 - Jusques au 11 avril 1666 : 2243 - 5
7 -12 - Jusques au 28 mars 1664 :,534 - 4 - Jusques au 20 mars 1665 :
3011
- 11 - Jusques au 11 avril 1666 : 2243 - 5 - Jusq
Jusques au 28 mars 1664 :,534 - 4 - Jusques au 20 mars 1665 : 3011 -
11
- Jusques au 11 avril 1666 : 2243 - 5 - Jusques a
ars 1664 :,534 - 4 - Jusques au 20 mars 1665 : 3011 - 11 - Jusques au
11
avril 1666 : 2243 - 5 - Jusques au 29 mars 1667 :
:,534 - 4 - Jusques au 20 mars 1665 : 3011 - 11 - Jusques au 11 avril
1666
: 2243 - 5 - Jusques au 29 mars 1667 : 3352 - 11
4 - Jusques au 20 mars 1665 : 3011 - 11 - Jusques au 11 avril 1666 :
2243
- 5 - Jusques au 29 mars 1667 : 3352 - 11 - Jusqu
sques au 20 mars 1665 : 3011 - 11 - Jusques au 11 avril 1666 : 2243 -
5
- Jusques au 29 mars 1667 : 3352 - 11 - Jusques a
s 1665 : 3011 - 11 - Jusques au 11 avril 1666 : 2243 - 5 - Jusques au
29
mars 1667 : 3352 - 11 - Jusques au 17 mars 1668 :
3011 - 11 - Jusques au 11 avril 1666 : 2243 - 5 - Jusques au 29 mars
1667
: 3352 - 11 - Jusques au 17 mars 1668 : 2608 -13
11 - Jusques au 11 avril 1666 : 2243 - 5 - Jusques au 29 mars 1667 :
3352
- 11 - Jusques au 17 mars 1668 : 2608 -13 - Jusqu
usques au 11 avril 1666 : 2243 - 5 - Jusques au 29 mars 1667 : 3352 -
11
- Jusques au 17 mars 1668 : 2608 -13 - Jusques au
il 1666 : 2243 - 5 - Jusques au 29 mars 1667 : 3352 - 11 - Jusques au
17
mars 1668 : 2608 -13 - Jusques au 9 avril 1669 :
: 2243 - 5 - Jusques au 29 mars 1667 : 3352 - 11 - Jusques au 17 mars
1668
: 2608 -13 - Jusques au 9 avril 1669 : 5477 - 9 -
- 5 - Jusques au 29 mars 1667 : 3352 - 11 - Jusques au 17 mars 1668 :
2608
-13 - Jusques au 9 avril 1669 : 5477 - 9 - Jusque
Jusques au 29 mars 1667 : 3352 - 11 - Jusques au 17 mars 1668 : 2608 -
13
- Jusques au 9 avril 1669 : 5477 - 9 - Jusques au
rs 1667 : 3352 - 11 - Jusques au 17 mars 1668 : 2608 -13 - Jusques au
9
avril 1669 : 5477 - 9 - Jusques au 23 mars 1670 :
: 3352 - 11 - Jusques au 17 mars 1668 : 2608 -13 - Jusques au 9 avril
1669
: 5477 - 9 - Jusques au 23 mars 1670 : 4034 - 11
- 11 - Jusques au 17 mars 1668 : 2608 -13 - Jusques au 9 avril 1669 :
5477
- 9 - Jusques au 23 mars 1670 : 4034 - 11 - Jusqu
Jusques au 17 mars 1668 : 2608 -13 - Jusques au 9 avril 1669 : 5477 -
9
- Jusques au 23 mars 1670 : 4034 - 11 - Jusques a
ars 1668 : 2608 -13 - Jusques au 9 avril 1669 : 5477 - 9 - Jusques au
23
mars 1670 : 4034 - 11 - Jusques au 17 mars 1671 :
: 2608 -13 - Jusques au 9 avril 1669 : 5477 - 9 - Jusques au 23 mars
1670
: 4034 - 11 - Jusques au 17 mars 1671 : 4689 - 11
-13 - Jusques au 9 avril 1669 : 5477 - 9 - Jusques au 23 mars 1670 :
4034
- 11 - Jusques au 17 mars 1671 : 4689 - 11 - Jusq
Jusques au 9 avril 1669 : 5477 - 9 - Jusques au 23 mars 1670 : 4034 -
11
- Jusques au 17 mars 1671 : 4689 - 11 - Jusques a
il 1669 : 5477 - 9 - Jusques au 23 mars 1670 : 4034 - 11 - Jusques au
17
mars 1671 : 4689 - 11 - Jusques au 5 avril 1672 :
: 5477 - 9 - Jusques au 23 mars 1670 : 4034 - 11 - Jusques au 17 mars
1671
: 4689 - 11 - Jusques au 5 avril 1672 : 4233 - 11
- 9 - Jusques au 23 mars 1670 : 4034 - 11 - Jusques au 17 mars 1671 :
4689
- 11 - Jusques au 5 avril 1672 : 4233 - 11 - Jusq
usques au 23 mars 1670 : 4034 - 11 - Jusques au 17 mars 1671 : 4689 -
11
- Jusques au 5 avril 1672 : 4233 - 11 - Jusques a
s 1670 : 4034 - 11 - Jusques au 17 mars 1671 : 4689 - 11 - Jusques au
5
avril 1672 : 4233 - 11 - Jusques au 21 mars 1673
4034 - 11 - Jusques au 17 mars 1671 : 4689 - 11 - Jusques au 5 avril
1672
: 4233 - 11 - Jusques au 21 mars 1673 : 4585 - 13
11 - Jusques au 17 mars 1671 : 4689 - 11 - Jusques au 5 avril 1672 :
4233
- 11 - Jusques au 21 mars 1673 : 4585 - 13 - 5167
usques au 17 mars 1671 : 4689 - 11 - Jusques au 5 avril 1672 : 4233 -
11
- Jusques au 21 mars 1673 : 4585 - 13 - 51670 liv
s 1671 : 4689 - 11 - Jusques au 5 avril 1672 : 4233 - 11 - Jusques au
21
mars 1673 : 4585 - 13 - 51670 livres 14 sous. Le
4689 - 11 - Jusques au 5 avril 1672 : 4233 - 11 - Jusques au 21 mars
1673
: 4585 - 13 - 51670 livres 14 sous. Les conditio
11 - Jusques au 5 avril 1672 : 4233 - 11 - Jusques au 21 mars 1673 :
4585
- 13 - 51670 livres 14 sous. Les conditions fait
usques au 5 avril 1672 : 4233 - 11 - Jusques au 21 mars 1673 : 4585 -
13
- 51670 livres 14 sous. Les conditions faites au
s au 5 avril 1672 : 4233 - 11 - Jusques au 21 mars 1673 : 4585 - 13 -
51670
livres 14 sous. Les conditions faites aux auteur
1672 : 4233 - 11 - Jusques au 21 mars 1673 : 4585 - 13 - 51670 livres
14
sous. Les conditions faites aux auteurs avaient
fait un grand tort ; nous avions ci-devant des pièces de théâtre pour
trois
écus que l’on nous faisait en une nuit ; on y éta
côté et d’autre, dit Chapuzeau135, est de faire entrer l’auteur pour
deux
parts dans toutes les représentations de sa pièce
’on reçoit dans une chambrée (on appelait ainsi la recette d’un jour)
1660
livres et que la troupe soit composée de quatorze
i la recette d’un jour) 1660 livres et que la troupe soit composée de
quatorze
parts, l’auteur, ce soir-là, aura pour ses deux p
soit composée de quatorze parts, l’auteur, ce soir-là, aura pour ses
deux
parts 200 livres, les autres 60 livres, plus ou m
sée de quatorze parts, l’auteur, ce soir-là, aura pour ses deux parts
200
livres, les autres 60 livres, plus ou moins, étan
l’auteur, ce soir-là, aura pour ses deux parts 200 livres, les autres
60
livres, plus ou moins, étant levées par préciput
s des officiers. Si la pièce a un grand succès et tient bon au double
vingt
fois de suite, l’auteur est riche et les comédien
uvrage. Quelquefois les comédiens payent l’ouvrage comptant jusques à
200
pistoles et au delà, en le prenant des mains de l
x de cette volée que se font ces belles conditions du comptant et des
deux
parts. Quand la pièce a eu un grand succès, et au
res et des plus modestes, força un jour la troupe royale de reprendre
50
pistoles de la somme qu’elle lui avait envoyée po
ge. Enfin, la pièce lue et acceptée à la condition du comptant ou des
deux
parts, le plus souvent l’auteur et les comédiens
: ainsi, on donna à M. Gilbert pour La Vraie et la Fausse Précieuse,
550
livres ; Le 19 décembre 1662, on donna à M. Boyer
na à M. Gilbert pour La Vraie et la Fausse Précieuse, 550 livres ; Le
19
décembre 1662, on donna à M. Boyer 100 demi-louis
ert pour La Vraie et la Fausse Précieuse, 550 livres ; Le 19 décembre
1662,
on donna à M. Boyer 100 demi-louis (550 livres) d
usse Précieuse, 550 livres ; Le 19 décembre 1662, on donna à M. Boyer
100
demi-louis (550 livres) dans une bourse brodée d’
550 livres ; Le 19 décembre 1662, on donna à M. Boyer 100 demi-louis (
550
livres) dans une bourse brodée d’or et d’argent p
une bourse brodée d’or et d’argent pour la tragédie de Tonnaxare ; Le
4
mars 1667, à Pierre Corneille, pour Attila 2000 l
rse brodée d’or et d’argent pour la tragédie de Tonnaxare ; Le 4 mars
1667,
à Pierre Corneille, pour Attila 2000 livres. Le 2
agédie de Tonnaxare ; Le 4 mars 1667, à Pierre Corneille, pour Attila
2000
livres. Le 28 novembre 1670, au même, pour Béréni
are ; Le 4 mars 1667, à Pierre Corneille, pour Attila 2000 livres. Le
28
novembre 1670, au même, pour Bérénice, également
ars 1667, à Pierre Corneille, pour Attila 2000 livres. Le 28 novembre
1670,
au même, pour Bérénice, également 2000 livres. Ra
a 2000 livres. Le 28 novembre 1670, au même, pour Bérénice, également
2000
livres. Racine fut traité suivant l’autre méthode
traité suivant l’autre méthode, mais non moins favorablement : il eut
deux
parts d’auteur pour sa première pièce, Les Frères
ut deux parts d’auteur pour sa première pièce, Les Frères ennemis, en
1664.
La troupe étant composée cette année de quatorze
Les Frères ennemis, en 1664. La troupe étant composée cette année de
quatorze
parts, cela faisait 2/16 ou 1/8 de la recette. La
La troupe étant composée cette année de quatorze parts, cela faisait
2
/16 ou 1/8 de la recette. La tragédie de Racine fu
a troupe étant composée cette année de quatorze parts, cela faisait 2/
16
ou 1/8 de la recette. La tragédie de Racine fut j
pe étant composée cette année de quatorze parts, cela faisait 2/16 ou
1
/8 de la recette. La tragédie de Racine fut jouée
étant composée cette année de quatorze parts, cela faisait 2/16 ou 1/
8
de la recette. La tragédie de Racine fut jouée se
minée. On le voit, sur le registre de La Grange, toucher, en décembre
1659
et en janvier 1660, 1000 livres pour Les Précieus
sur le registre de La Grange, toucher, en décembre 1659 et en janvier
1660,
1000 livres pour Les Précieuses ridicules ; En ju
registre de La Grange, toucher, en décembre 1659 et en janvier 1660,
1000
livres pour Les Précieuses ridicules ; En juin, a
000 livres pour Les Précieuses ridicules ; En juin, août et septembre
1660,
1500 livres pour Le Cocu imaginaire ; le 7 septem
vres pour Les Précieuses ridicules ; En juin, août et septembre 1660,
1500
livres pour Le Cocu imaginaire ; le 7 septembre,
uin, août et septembre 1660, 1500 livres pour Le Cocu imaginaire ; le
7
septembre, La Grange écrit : « Achevé de payer M.
ayer M. de Molière pour Le Cocu en lui donnant pour la troisième fois
500
livres. » À la date de février 1661, pour Don Ga
ui donnant pour la troisième fois 500 livres. » À la date de février
1661,
pour Don Garde de Navarre, 968 livres ; pour Les
500 livres. » À la date de février 1661, pour Don Garde de Navarre,
968
livres ; pour Les Fâcheux, 1100 livres (100 louis
vrier 1661, pour Don Garde de Navarre, 968 livres ; pour Les Fâcheux,
1100
livres (100 louis) en décembre 1661. À partir de
our Don Garde de Navarre, 968 livres ; pour Les Fâcheux, 1100 livres (
100
louis) en décembre 1661. À partir de 1662, ce mod
e, 968 livres ; pour Les Fâcheux, 1100 livres (100 louis) en décembre
1661.
À partir de 1662, ce mode de payement est modifié
ur Les Fâcheux, 1100 livres (100 louis) en décembre 1661. À partir de
1662,
ce mode de payement est modifié. Molière reçoit,
ayement est modifié. Molière reçoit, quand on joue ses pièces, tantôt
deux
parts, tantôt une part d’auteur : deux parts pour
and on joue ses pièces, tantôt deux parts, tantôt une part d’auteur :
deux
parts pour L’École des femmes et pour Le Tartuffe
ouait L’École des Femmes, la recette de chaque soir était partagée en
dix-sept
parts au lieu de quinze. Sur ces dix-sept parts,
la recette de chaque soir était partagée en dix-sept parts au lieu de
quinze
. Sur ces dix-sept parts, quatre revenaient à Moli
aque soir était partagée en dix-sept parts au lieu de quinze. Sur ces
dix-sept
parts, quatre revenaient à Molière : il avait sa
partagée en dix-sept parts au lieu de quinze. Sur ces dix-sept parts,
quatre
revenaient à Molière : il avait sa part comme act
part comme acteur, celle de sa femme Armande Béjart comme actrice, et
deux
parts d’auteur. Ces conditions qui lui étaient fa
lculé que Molière n’avait pas touché pour ses droits d’auteur plus de
60000
livres ; ce chiffre, du reste, si on l’examine re
arrive facilement à reconstituer ce revenu annuel d’une trentaine de
mille
livres qu’on s’accorde à attribuer à Molière dans
s’accorde à attribuer à Molière dans les derniers temps de sa vie.
II
. LA TROUPE Les acteurs qui composaient la trou
ie et Hervé. Ceux ou celles qui vinrent s’y joindre ensuite sont : En
1659
: Jodelet, son frère De l’Épi, La Grange, Du Croi
: Jodelet, son frère De l’Épi, La Grange, Du Croisy et sa femme ; En
1662
: Armande Béjart, Brécourt, La Thorillière ; Hube
mme ; En 1662 : Armande Béjart, Brécourt, La Thorillière ; Hubert, en
1664
; En 1670 : Baron, Beauval et sa femme ; Marie Ra
662 : Armande Béjart, Brécourt, La Thorillière ; Hubert, en 1664 ; En
1670
: Baron, Beauval et sa femme ; Marie Ragueneau de
eauval et sa femme ; Marie Ragueneau de l’Estang (Mlle La Grange), en
1672.
Nous allons passer en revue cette suite de person
e, qui prit le parti de la comédie. Né, comme nous l’avons dit136, en
1616
ou 1617, il fut un des comédiens de l’illustre Th
rit le parti de la comédie. Né, comme nous l’avons dit136, en 1616 ou
1617,
il fut un des comédiens de l’illustre Théâtre, et
t prit part à toutes les pérégrinations de la troupe entre les années
1646
et 1658. On l’a vu figurer plus d’une fois dans l
art à toutes les pérégrinations de la troupe entre les années 1646 et
1658.
On l’a vu figurer plus d’une fois dans l’histoire
s dans l’histoire de ces pérégrinations ; à Montpellier, aux États de
1654-1655,
il représentait un peintre et un ivrogne dans le
lasons et armes des seigneurs barons des États de Languedoc, tenus en
1654,
ouvrage de Joseph Béjart, dédié au prince de Cont
vrage de Joseph Béjart, dédié au prince de Conti et imprimé à Lyon en
1655.
Joseph Béjart n’assista qu’aux débuts de la carri
la troupe de Monsieur que pendant quelques mois ; il tomba malade le
11
mai 1659, dans une représentation de L’Étourdi do
upe de Monsieur que pendant quelques mois ; il tomba malade le 11 mai
1659,
dans une représentation de L’Étourdi donnée au Lo
ans une représentation de L’Étourdi donnée au Louvre, et il mourut le
21
du même mois. Les comédiens interrompirent le spe
urut le 21 du même mois. Les comédiens interrompirent le spectacle du
20
mai au 2 juin, à cause de la perte de ce camarade
du même mois. Les comédiens interrompirent le spectacle du 20 mai au
2
juin, à cause de la perte de ce camarade. Voici l
r M. Jal sur le registre de Saint-Germain l’Auxerrois : « Dudit jour (
26
mai 1659) convoi de cinquante-quatre, vêpres, de
l sur le registre de Saint-Germain l’Auxerrois : « Dudit jour (26 mai
1659
) convoi de cinquante-quatre, vêpres, de Joseph Be
e de Saint-Germain l’Auxerrois : « Dudit jour (26 mai 1659) convoi de
cinquante-quatre
, vêpres, de Joseph Beygar (sic), comédien, pris s
ris sur le quai de l’Escholle et porté en carrosse à Saint-Paul. Reçu
20
livres. » On manque de renseignements sur le mér
yait. Pour le corriger de ce défaut, sa mère, Marie Hervé, traita, le
14
avril 1644, avec un médecin d’Angers nommé Alexan
r le corriger de ce défaut, sa mère, Marie Hervé, traita, le 14 avril
1644,
avec un médecin d’Angers nommé Alexandre Sorin, q
s cette comédie. MADELEINE BÉJART Madeleine Béjart était née le
8
janvier 1618. Elle avait eu, de bonne heure, le g
médie. MADELEINE BÉJART Madeleine Béjart était née le 8 janvier
1618.
Elle avait eu, de bonne heure, le goût du théâtre
r 1618. Elle avait eu, de bonne heure, le goût du théâtre. Elle avait
dix-huit
ans lorsqu’elle adressa à Rotrou un quatrain qui
uatrain qui fut imprimé en tête de la tragédie de Hercule mourant, en
1636
: Ton Hercule mourant va te rendre immortel ; Au
sa mémoire, Son bûcher servira pour te faire un autel. Dès l’âge de
dix-huit
ou dix-neuf ans elle mena le train de la comédie
Son bûcher servira pour te faire un autel. Dès l’âge de dix-huit ou
dix-neuf
ans elle mena le train de la comédie nomade, eut
dinaire de Monsieur (Gaston d’Orléans). Elle en eut une fille, née le
3
juillet 1638 et baptisée sous le nom de Françoise
Monsieur (Gaston d’Orléans). Elle en eut une fille, née le 3 juillet
1638
et baptisée sous le nom de Françoise. Madeleine e
ient cette existence de comédiens de campagne qu’ils menèrent pendant
treize
ans. Madeleine Béjart, femme de tête et entendue
sent domicile pour la pension constituée au profit de Louis Béjart en
1670.
Elle conservait donc toujours une supériorité dan
yant été « arrangée par Mlle Béjart ». Elle mourut au commencement de
1672,
un an jour pour jour avant la mort de Molière. Ro
n jour pour jour avant la mort de Molière. Robinet, dans sa lettre du
20
février, où il rend compte de la représentation d
egistres de la paroisse de Saint-Germain-l’Auxerrois : « Le vendredi
19
février 1672, le corps de feue damoiselle Marie-M
la paroisse de Saint-Germain-l’Auxerrois : « Le vendredi 19 février
1672,
le corps de feue damoiselle Marie-Madeleine Béjar
aire, et de Voulges. » et sur ceux de la paroisse Saint-Paul : « Le
17
février 1672, demoiselle Madeleine Béjart est déc
Voulges. » et sur ceux de la paroisse Saint-Paul : « Le 17 février
1672,
demoiselle Madeleine Béjart est décédée paroisse
Saint-Paul, et ensuite inhumé sous les charniers de ladite église, le
19
dudit mois. Signé Béjart-l’éguisé, J.-B.-P. Mol
sé, J.-B.-P. Molière. » Le testament de Madeleine Béjart, en date du
2
janvier 1672, institue Armande Béjart sa légatair
P. Molière. » Le testament de Madeleine Béjart, en date du 2 janvier
1672,
institue Armande Béjart sa légataire universelle
de placer les deniers comptants. L’inventaire de Madeleine Béjart, du
12
mars 1672, dressé devant Me Mouffle, notaire, con
r les deniers comptants. L’inventaire de Madeleine Béjart, du 12 mars
1672,
dressé devant Me Mouffle, notaire, contient le po
ocuration, annexée à l’inventaire même, est signée : J.-B.-P. Molière
137.
MADEMOISELLE HERVÉ (GENEVIÈVE BÉJART) Genev
e Béjart, sœur de Madeleine, était, selon toute vraisemblance, née le
2
juillet 1624138. On la nommait Mlle Hervé, du nom
sœur de Madeleine, était, selon toute vraisemblance, née le 2 juillet
1624138.
On la nommait Mlle Hervé, du nom de sa mère Marie
Mlle Hervé, du nom de sa mère Marie Hervé. Geneviève Béjart se maria
deux
fois ; elle épousa, le jeudi 27 novembre 1664, Lé
ie Hervé. Geneviève Béjart se maria deux fois ; elle épousa, le jeudi
27
novembre 1664, Léonard de Loménie, qualifié quelq
neviève Béjart se maria deux fois ; elle épousa, le jeudi 27 novembre
1664,
Léonard de Loménie, qualifié quelquefois sr de la
qualifié quelquefois sr de la Ville-Aubrun. Elle se remaria le lundi
19
septembre 1672, à l’âge de quarante-huit ans (l’a
lquefois sr de la Ville-Aubrun. Elle se remaria le lundi 19 septembre
1672,
à l’âge de quarante-huit ans (l’acte de mariage n
Ville-Aubrun. Elle se remaria le lundi 19 septembre 1672, à l’âge de
quarante-huit
ans (l’acte de mariage ne lui en donne que quaran
, à l’âge de quarante-huit ans (l’acte de mariage ne lui en donne que
quarante
), avec Jean-Baptiste Aubry, âgé de trente-six ans
riage ne lui en donne que quarante), avec Jean-Baptiste Aubry, âgé de
trente-six
ans, paveur ordinaire des bâtiments du roi. Aubry
es bâtiments du roi. Aubry composa une tragédie de Démétrius jouée le
10
juin 1689 et non imprimée. Nous lui avons vu pren
ents du roi. Aubry composa une tragédie de Démétrius jouée le 10 juin
1689
et non imprimée. Nous lui avons vu prendre une pa
ut une des signataires de l’acte de société de l’illustre Théâtre, du
30
juin 1643. Elle partagea depuis lors les destinée
es signataires de l’acte de société de l’illustre Théâtre, du 30 juin
1643.
Elle partagea depuis lors les destinées de la tro
Aubry) figure dans la nouvelle troupe pour une demi-part. Elle mourut
deux
ans après. La Grange inscrit sur son registre : «
après. La Grange inscrit sur son registre : « Le troisième de juillet
1675,
Mlle Aubry mourut ; l’on ne joua point le vendred
t-Sulpice contient l’acte que voici : « Le quatrième jour de juillet
1675
a été fait le convoi, service et enterrement de G
é fait le convoi, service et enterrement de Geneviève Béjart, âgée de
quarante-quatre
ans139, femme de Aubry, paveur ordinaire du roi e
ordinaire du roi et l’un des entrepreneurs du pavé de Paris, morte le
3e
du présent mois, rue de Seyne, à l’hôtel d’Arras,
ridique qui lui ait reproché cette disgrâce. Louis Béjart était né le
4
décembre 1630 ; il n’avait que treize ans lorsque
lui ait reproché cette disgrâce. Louis Béjart était né le 4 décembre
1630
; il n’avait que treize ans lorsque fut fondé l’i
e disgrâce. Louis Béjart était né le 4 décembre 1630 ; il n’avait que
treize
ans lorsque fut fondé l’illustre Théâtre. On ne s
rendit boiteux. Se trouvant sur la place du Palais-Royal, il aperçut
deux
de ses amis qui venaient de mettre l’épée à la ma
aces. M. Campardon a publié une plainte de Louis Béjart, à la date du
31
mai 1661, contre un nommé Gené, autrement dit Gra
. Campardon a publié une plainte de Louis Béjart, à la date du 31 mai
1661,
contre un nommé Gené, autrement dit Grand-Maison,
e blessure à la cuisse droite, qu’il avait déjà blessée142. Lorsqu’en
1668
Molière donna L’Avare, il fit dire à Harpagon, pa
de son fils : « Je ne me plais point à voir ce chien de boiteux-là. »
Louis
jouait ce personnage de Laflèche. Grâce à cette p
qui appartenaient à ce comédien. Béjart l’Éguisé, à Pâques de l’année
1670,
prit sa retraite. « Le sieur Béjart, par délibéra
bération de toute la troupe a été mis, dit La Grange, à la pension de
1000
livres, et est sorti de la troupe. Cette pension
celle qu’on donne aux acteurs de l’hôtel de Bourgogne » Il mourut le
29
septembre 1678. Voici la mention relevée par M. J
donne aux acteurs de l’hôtel de Bourgogne » Il mourut le 29 septembre
1678.
Voici la mention relevée par M. Jal sur le regist
la mention relevée par M. Jal sur le registre de Saint-Sulpice : « Le
quatorze
octobre, Louis Béjart, sr de Léguisé, officier au
éjart, sr de Léguisé, officier au régiment de la Ferté, âgé d’environ
quarante-cinq
ans143, mort le 13, rue Guénégaud, au logis du sr
au régiment de la Ferté, âgé d’environ quarante-cinq ans143, mort le
13,
rue Guénégaud, au logis du sr Mécard, marchand ch
u régiment de la Ferté dans l’acte mortuaire de sa sœur Geneviève, en
1675.
On ignore quand ni, comment il avait pu acquérir
soucy, que nous avons vu hébergé par les Béjart, en Provence, pendant
six
bons mois de l’année 1655-1656. De retour de Home
hébergé par les Béjart, en Provence, pendant six bons mois de l’année
1655-1656.
De retour de Home, à l’âge de soixante-dix ans Da
ant six bons mois de l’année 1655-1656. De retour de Home, à l’âge de
soixante-dix
ans Dassoucy fut arrêté (mars 1673) et incarcéré
retour de Home, à l’âge de soixante-dix ans Dassoucy fut arrêté (mars
1673
) et incarcéré au Petit-Châtelet. « Là, dit-il, je
. J’y restai étendu comme un homme frappé de la foudre, et y demeurai
quatre
jours sans remuer ni prendre aucun aliment. À moi
pos transcrire cette page de l’auteur anonyme des Entretiens galants (
1681
) : Cette belle scène du Malade imaginaire (la le
nes muettes qui sont d’un grand goût pour tout le monde. — J’ai porté
cent
fois cette réflexion plus loin que vous, reprit B
et son beau-frère pour témoins et pour garants de toutes ses actions
146
; un second mariage la [p.364] rendit femme d’in
des comédiens de Mgr le duc d’Épernon est constatée au mois d’octobre
1647149.
Duparc, à partir de cette époque, ne quitta plus
ue, ne quitta plus la troupe, sauf une absence d’une année, de Pâques
1659
à Pâques 1660, qu’il passa au Marais. C’est penda
plus la troupe, sauf une absence d’une année, de Pâques 1659 à Pâques
1660,
qu’il passa au Marais. C’est pendant cette année
C’est pendant cette année que nous le voyons figurer, avec Jodelet et
quatre
acteurs italiens, dans une pièce jouée à l’improv
à Vincennes. Voici en quels termes Loret, dans sa Muse historique du
31
mai 1659, rend compte de ce divertissement : La
ennes. Voici en quels termes Loret, dans sa Muse historique du 31 mai
1659,
rend compte de ce divertissement : La cour a pas
compte de ce divertissement : La cour a passé dans Vincenne Cinq ou
six
jours de la semaine ; Château certainement royal,
Savoir : des bals, ballets et danses. D’ailleurs quelques comédiens,
Deux
François, quatre Italiens, Sur un sujet qu’ils co
ls, ballets et danses. D’ailleurs quelques comédiens, Deux François,
quatre
Italiens, Sur un sujet qu’ils concertèrent, Tous
eux François, quatre Italiens, Sur un sujet qu’ils concertèrent, Tous
six
ensemble se mêlèrent Pour faire mirabilia ; Savoi
t. Pour Trivelin et Scaramouche, Qui se font souvent escarmouche, Ces
deux
rares facétieux Tout de bon y firent des mieux. G
-René, Gros-René petit enfant ; Gros-René écolier. Duparc mourut le
28
octobre 1664. Ses camarades ne jouèrent pas ce jo
-René petit enfant ; Gros-René écolier. Duparc mourut le 28 octobre
1664.
Ses camarades ne jouèrent pas ce jour-là, quoique
fut un mardi. Mention sur le registre de Saint-Germain l’Auxerrois du
29
octobre : « Convoi de 20, vespres, de feu René Du
le registre de Saint-Germain l’Auxerrois du 29 octobre : « Convoi de
20,
vespres, de feu René Du Parc, vivant comédien de
Marquise-Thérèse de Gorla, qui épousa René Berthelot, dit Duparc, le
23
février 1653, était fille de Giacomo de Gorla, se
hérèse de Gorla, qui épousa René Berthelot, dit Duparc, le 23 février
1653,
était fille de Giacomo de Gorla, se qualifiant pr
se soit entrée dans la troupe de Molière et des Béjart beaucoup avant
1653,
époque de son mariage. Elle y était certainement
ns tous les actes exhumés par M. Brouchoud ou M. Jal (sauf un seul du
13
octobre 1659, où elle est dénommée Marguerite-Thé
actes exhumés par M. Brouchoud ou M. Jal (sauf un seul du 13 octobre
1659,
où elle est dénommée Marguerite-Thérèse de Gorle)
uise-Thérèse donna ses prénoms à une enfant dont elle fut marraine le
26
mars 1654 (paroisse Saint-Paul, à Lyon) ; son act
rèse donna ses prénoms à une enfant dont elle fut marraine le 26 mars
1654
(paroisse Saint-Paul, à Lyon) ; son acte de décès
le 26 mars 1654 (paroisse Saint-Paul, à Lyon) ; son acte de décès du
13
décembre 1668, à Paris, désigne encore et finalem
1654 (paroisse Saint-Paul, à Lyon) ; son acte de décès du 13 décembre
1668,
à Paris, désigne encore et finalement Marquise-Th
mé en surnom par les poètes, notamment par les Corneille, à Rouen, en
1658.
Pierre Corneille a fait de Marquise la marquise,
t partie de ses cuisses par le moyen d’une jupe qui était ouverte des
deux
côtés, avec des bas de soie attachés au haut d’un
mpressions de Mlle Poisson, la fille de l’acteur Du Croisy, qui avait
quinze
ans quand Molière mourut, et qui n’avait pu aperc
s grands poètes ses contemporains. Nous avons dit155 que, à Rouen, en
1658,
elle eut de vifs admirateurs dans l’un et l’autre
le théâtre du Palais-Royal. Aussi ce fut lui qui, à Pâques de l’année
1667,
détermina cette actrice à quitter la troupe de Mo
le y joua supérieurement Andromaque. Elle mourut l’année suivante, le
11
décembre 1668. Voici ce que le successeur de Lore
périeurement Andromaque. Elle mourut l’année suivante, le 11 décembre
1668.
Voici ce que le successeur de Loret, Robinet, écr
668. Voici ce que le successeur de Loret, Robinet, écrit à la date du
15
décembre : L’hôtel de Bourgogne est en deuil, De
bien voulu mettre ici. Mention sur le registre de Saint-Roch : « Du
13
décembre 1668, Marquise Thérèze de Gorle, veuve d
mettre ici. Mention sur le registre de Saint-Roch : « Du 13 décembre
1668,
Marquise Thérèze de Gorle, veuve de feu René Bert
ur du Parc, l’une des comédiennes de la troupe royale, âgée d’environ
vingt-cinq
ans159, décédée le onzième du présent mois, rue d
DEBRIE Edme Villequin dit Debrie, était né à Ferrières-en-Brie, le
24
octobre 1607. M. Charles Constant, dans son opusc
dme Villequin dit Debrie, était né à Ferrières-en-Brie, le 24 octobre
1607.
M. Charles Constant, dans son opuscule Molière à
ontainebleau, donne l’acte de baptême de ce comédien : « Ce jourd’hui
vingt-quatre
octobre, an que dessus, a été baptisé Edme, fils
pré. » (Extrait des registres paroissiaux de Ferrières-en-Brie, année
1607.
) Il était frère consanguin d’Estienne Villequin,
ement dans la troupe que lorsqu’elle rentra à Paris au mois d’octobre
1658
; il avait alors cinquante et un ans. Il paraît q
ue lorsqu’elle rentra à Paris au mois d’octobre 1658 ; il avait alors
cinquante
et un ans. Il paraît que, pour des causes qui ne
» Cette observation n’a peut-être pas grand fondement. Il mourut en
1676.
Mention sur le registre de la paroisse Saint-Andr
r le registre de la paroisse Saint-André : « le neuvième jour de mars
1676,
environ six [p.372] heures du matin, Edme Debrie,
de la paroisse Saint-André : « le neuvième jour de mars 1676, environ
six
[p.372] heures du matin, Edme Debrie, bourgeois d
ît dans la vie de Molière pour la première fois à Narbonne en janvier
1650,
c’est-à-dire bien antérieurement à l’époque où on
me, où elle figure également comme marraine avec Molière, à Paris, le
10
septembre 1669. Ce sont les seules circonstances
igure également comme marraine avec Molière, à Paris, le 10 septembre
1669.
Ce sont les seules circonstances que nous connais
Sa mère s’appelait Nicolle Ravanne ; remariée à Jean Brouart, un des
vingt-quatre
violons du roi, Nicolle Ravanne eut une autre fil
Ravanne eut une autre fille, Jeanne-Françoise Brouart, qui épousa, le
23
avril 1672, Jean Baraillon, tailleur ordinaire de
ut une autre fille, Jeanne-Françoise Brouart, qui épousa, le 23 avril
1672,
Jean Baraillon, tailleur ordinaire des ballets du
istre de La Grange. M. Jal a constaté que Mlle Debrie donna le jour à
deux
enfants : elle eut une fille le 9 novembre 1659 ;
que Mlle Debrie donna le jour à deux enfants : elle eut une fille le
9
novembre 1659 ; cette fille fut baptisée le 10 et
ebrie donna le jour à deux enfants : elle eut une fille le 9 novembre
1659
; cette fille fut baptisée le 10 et nommée Cather
: elle eut une fille le 9 novembre 1659 ; cette fille fut baptisée le
10
et nommée Catherine-Nicolle ; le parrain fut le p
la mère dut être remise pour jouer dans Les Précieuses ridicules, le
18
novembre. Elle eut un fils, Jean-Baptiste Villequ
un fils, Jean-Baptiste Villequin dont on n’a que l’acte de mariage du
3
avril 1691 ; il épousa « Madeleine Jacob, fille d
Jean-Baptiste Villequin dont on n’a que l’acte de mariage du 3 avril
1691
; il épousa « Madeleine Jacob, fille du défunt ma
es du temps. Mlle Debrie prit sa retraite et fut mise à la pension le
14
avril 1685. Selon Lemazurier, elle mourut le 19 n
ps. Mlle Debrie prit sa retraite et fut mise à la pension le 14 avril
1685.
Selon Lemazurier, elle mourut le 19 novembre 1706
mise à la pension le 14 avril 1685. Selon Lemazurier, elle mourut le
19
novembre 1706 ; mais on n’a point son acte de déc
ension le 14 avril 1685. Selon Lemazurier, elle mourut le 19 novembre
1706
; mais on n’a point son acte de décès. DUFRESN
troupe quelques mois après qu’elle se fut installée à Paris. À Pâques
1659,
il se retira à Argentan, son pays natal. Il ne fu
nt ses pérégrinations provinciales. Nous l’avons vu à Alby en octobre
1647,
à Nantes en avril 1648, à Narbonne en décembre 16
ovinciales. Nous l’avons vu à Alby en octobre 1647, à Nantes en avril
1648,
à Narbonne en décembre 1649 et janvier 1650, à Ag
Alby en octobre 1647, à Nantes en avril 1648, à Narbonne en décembre
1649
et janvier 1650, à Agen le mois suivant, à Lyon e
1647, à Nantes en avril 1648, à Narbonne en décembre 1649 et janvier
1650,
à Agen le mois suivant, à Lyon en avril 1655, etc
écembre 1649 et janvier 1650, à Agen le mois suivant, à Lyon en avril
1655,
etc. Il a, dans les commencements, certaines appa
rtie de la troupe de Molière un peu moins d’une année : depuis Pâques
1659
jusqu’au vendredi saint de l’année 1660, jour de
s d’une année : depuis Pâques 1659 jusqu’au vendredi saint de l’année
1660,
jour de sa mort, Il n’y joua d’original que le rô
rmé par une plainte signée par son frère François Bedeau de Lespy, le
14
novembre 1662, qu’a retrouvée M. Campardon. On a
plainte signée par son frère François Bedeau de Lespy, le 14 novembre
1662,
qu’a retrouvée M. Campardon. On a cru longtemps q
carron, le protagoniste du Maître Valet, de Don Japhet d’Arménie, des
Trois
Dorothées, etc. Il est intéressant, toutefois, qu
même temps que lui dans la troupe de Monsieur et il y resta jusqu’en
1663.
À Pâques de cette année, La Grange marque sur son
: « Le sieur de L’Épy, l’un des acteurs de la troupe, âgé de plus de
soixante
ans s’est retiré auprès d’Angers, à une terre qu’
semblent en tout cas avoir été de Paris, où ils avaient été mariés le
5
mai 1634 à Saint-Germain l’Auxerrois. Le père de
nt en tout cas avoir été de Paris, où ils avaient été mariés le 5 mai
1634
à Saint-Germain l’Auxerrois. Le père de Charles V
mariage de son fils, de capitaine du château de Nanteuil. En décembre
1636,
il était avec sa femme à Montpellier où il faisai
let plus tard comédien sous le nom de Verneuil ; il y était encore en
1638,
où il faisait ondoyer une fille née le 14 mai. On
l ; il y était encore en 1638, où il faisait ondoyer une fille née le
14
mai. On croit qu’il partit de cette ville pour al
e Charles Varlet, le futur compagnon de Molière, aurait vu le jour en
1639,
puisqu’il se donne trente-trois ans dans son cont
r compagnon de Molière, aurait vu le jour en 1639, puisqu’il se donne
trente-trois
ans dans son contrat de mariage, en 1672. Devenu
, puisqu’il se donne trente-trois ans dans son contrat de mariage, en
1672.
Devenu comédien, ainsi que son frère Achille, par
Monsieur, c’est-à-dire dans la troupe de Molière, à Pâques de l’année
1659
; il ne la quitta plus jusqu’à sa mort, au mois d
l’année 1659 ; il ne la quitta plus jusqu’à sa mort, au mois de mars
1692.
Il remplit la plupart des premiers rôles dans les
us, je n’ai rien à vous dire », vaut les plus grands éloges. Molière,
six
ans avant sa mort lui confia l’emploi d’orateur d
la venir voir par quelques éloges qu’il lui donne ; et ce sont là les
trois
parties sur lesquelles roule son compliment. Le p
’assemblée, à l’ouverture du théâtre de la troupe du roi (le dimanche
9
juillet 1673), était dans la dernière justesse. C
, à l’ouverture du théâtre de la troupe du roi (le dimanche 9 juillet
1673
), était dans la dernière justesse. Ce qu’il avait
La Grange a laissé un registre ou journal où il a consigné, depuis le
28
avril 1659 jusqu’au 31 août 1685, les titres des
a laissé un registre ou journal où il a consigné, depuis le 28 avril
1659
jusqu’au 31 août 1685, les titres des pièces repr
egistre ou journal où il a consigné, depuis le 28 avril 1659 jusqu’au
31
août 1685, les titres des pièces représentées cha
ou journal où il a consigné, depuis le 28 avril 1659 jusqu’au 31 août
1685,
les titres des pièces représentées chaque jour, l
rançaise, par les soins de M. Jules Claye, imprimeur-éditeur, janvier
1876.
Une notice sur La Grange, par M. Édouard Thierry,
i de l’auteur, la première édition complète des œuvres de Molière, en
1682.
Les deux derniers volumes, tomes VII et VIII de c
eur, la première édition complète des œuvres de Molière, en 1682. Les
deux
derniers volumes, tomes VII et VIII de cette édit
lète des œuvres de Molière, en 1682. Les deux derniers volumes, tomes
VII
et VIII de cette édition, mirent au jour Don Gard
s œuvres de Molière, en 1682. Les deux derniers volumes, tomes VII et
VIII
de cette édition, mirent au jour Don Garde de Nav
sur son registre la date de son mariage : « Le dimanche de Quasimodo,
24e
Avril 1672, je fus fiancé, et le lendemain lundi,
gistre la date de son mariage : « Le dimanche de Quasimodo, 24e Avril
1672,
je fus fiancé, et le lendemain lundi, 25e, je fus
e de Quasimodo, 24e Avril 1672, je fus fiancé, et le lendemain lundi,
25e
, je fus marié à Saint-Germain de l’Auxerrois, ave
me qui la rendit malheureuse, il en mourut de chagrin ». Il mourut le
1er
mars 1692, en son domicile, rue de Buci, et fut e
rendit malheureuse, il en mourut de chagrin ». Il mourut le 1er mars
1692,
en son domicile, rue de Buci, et fut enterré à Sa
s riche. MADEMOISELLE DE LA GRANGE Marie Ragueneau était née le
18
mai 1639 ; elle avait donc trente-trois ans (et n
. MADEMOISELLE DE LA GRANGE Marie Ragueneau était née le 18 mai
1639
; elle avait donc trente-trois ans (et non vingt-
GRANGE Marie Ragueneau était née le 18 mai 1639 ; elle avait donc
trente-trois
ans (et non vingt-neuf, comme il est dit dans l’a
u était née le 18 mai 1639 ; elle avait donc trente-trois ans (et non
vingt-neuf
, comme il est dit dans l’acte de mariage) quand e
mme il est dit dans l’acte de mariage) quand elle épousa La Grange en
1672.
Marie Ragueneau était fille de Cyprien Ragueneau,
672. Marie Ragueneau était fille de Cyprien Ragueneau, mort à Lyon le
18
août 1654. Ce Ragueneau fut une figure originale
ie Ragueneau était fille de Cyprien Ragueneau, mort à Lyon le 18 août
1654.
Ce Ragueneau fut une figure originale de ce temps
ire un personnage de suisse, où, quoique son rôle fût tout au plus de
quatre
vers, il s’en acquitta si bien qu’en moins d’un a
rouleau le cède à ta varlope. Je commence à connaître, après plus de
dix
ans, Que dessous moi Pégase est un cheval qui cho
it ces fonctions avec Mlle Gobert, laquelle déjà veuve, se remaria le
26
août 1659, avec Jean-Louis Citoys, sieur de la Ri
onctions avec Mlle Gobert, laquelle déjà veuve, se remaria le 26 août
1659,
avec Jean-Louis Citoys, sieur de la Richardière.
ec Jean-Louis Citoys, sieur de la Richardière. Elles avaient ensemble
trois
livres chaque jour de représentation. Chose assez
stimée, puisque toute la troupe, Molière en tête, signa ce contrat de
1659.
La fille de Ragueneau, nommée aussi Marie ou Maro
t, sous son vrai nom, la servante Marotte des Précieuses ridicules en
1659.
En ces occasions, elle avait une rémunération spé
i-part, et encore avec quelques chicanes, dans la troupe, à Pâques de
1672,
en devenant Mademoiselle de La Grange. Elle acqui
fier le rôle de la comtesse d’Escarbagnas. Robinet, dans sa lettre du
1er
août 1671, parlant de la manière dont elle avait
ôle de la comtesse d’Escarbagnas. Robinet, dans sa lettre du 1er août
1671,
parlant de la manière dont elle avait rempli le p
ent distribués aux autres sociétaires lorsqu’elle prit sa retraite en
1692167.
Elle eut du roi la pension de mille livres, et mo
orsqu’elle prit sa retraite en 1692167. Elle eut du roi la pension de
mille
livres, et mourut le 3 février 1727, à l’âge de q
en 1692167. Elle eut du roi la pension de mille livres, et mourut le
3
février 1727, à l’âge de quatre-vingt-huit ans.
7. Elle eut du roi la pension de mille livres, et mourut le 3 février
1727,
à l’âge de quatre-vingt-huit ans. LES DU CROIS
i la pension de mille livres, et mourut le 3 février 1727, à l’âge de
quatre-vingt-huit
ans. LES DU CROISY Philibert Gassot, sieur
entra dans la troupe de Molière en même temps que La Grange, à Pâques
1659.
Ce fut un acteur de mérite. Molière lui confia le
ui le regardait comme un de ses meilleurs paroissiens. Il y mourut en
1695
(âgé de soixante-six ans). Le curé de Conflans fu
it comme un de ses meilleurs paroissiens. Il y mourut en 1695 (âgé de
soixante-six
ans). Le curé de Conflans fut si fort touché de c
au théâtre, où elle ne rendait que de médiocres services. À Pâques de
1664,
La Grange inscrit sur son registre : « Mlle Du Cr
ursant ceux qui ne consentaient pas à sa dite part » ; et à Pâques de
1665,
il inscrit : « Monsieur Duparc étant mort le 4 no
» ; et à Pâques de 1665, il inscrit : « Monsieur Duparc étant mort le
4
novembre 1664, et Mlle Du Croisy ayant remboursé,
ques de 1665, il inscrit : « Monsieur Duparc étant mort le 4 novembre
1664,
et Mlle Du Croisy ayant remboursé, de sa part qu’
enir. Ainsi Mlle Du Croisy se trouva déchue de sa part. » Une de ses
deux
filles, Marie-Angélique Gassot, joua dans Psyché
la troupe après la mort de Molière, épousa Paul Poisson, et mourut en
1756.
à quatre-vingt-dix-huit ans168. BRÉCOURT Gu
e après la mort de Molière, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756. à
quatre-vingt-dix-huit
ans168. BRÉCOURT Guillaume Marcoureau, sieu
. BRÉCOURT Guillaume Marcoureau, sieur de Brécourt, fit pendant
deux
ans partie de la troupe de Monsieur (de juin 1662
écourt, fit pendant deux ans partie de la troupe de Monsieur (de juin
1662
à Pâques 1664). Lorsqu’il y entra, il sortait de
ndant deux ans partie de la troupe de Monsieur (de juin 1662 à Pâques
1664
). Lorsqu’il y entra, il sortait de la troupe du M
érénice de Racine. On cite de lui un trait qui prouve son courage, En
1678,
étant à la chasse du roi, il joua une assez longu
ans une troupe française qui était entretenue par le prince d’Orange (
1680
). Il revint cependant à Paris ; mais on est forcé
épourvues de mérite. En voici les titres : La Feinte mort de Jodelet (
1660
), Le Jaloux invisible (1666), La Noce de village
i les titres : La Feinte mort de Jodelet (1660), Le Jaloux invisible (
1666
), La Noce de village (1666), L’Ombre de Molière (
rt de Jodelet (1660), Le Jaloux invisible (1666), La Noce de village (
1666
), L’Ombre de Molière (1674), Timon (1684), Pendan
loux invisible (1666), La Noce de village (1666), L’Ombre de Molière (
1674
), Timon (1684), Pendant qu’il fit partie de la tr
(1666), La Noce de village (1666), L’Ombre de Molière (1674), Timon (
1684
), Pendant qu’il fit partie de la troupe du Palais
, un acte de réparation : à la fois de la part de Fauteur, qui avait,
dix
ans auparavant, quitté brusquement Molière à la s
ôtel de Condé et La Vengeance des marquis. Brécourt avait épousé, le
18
décembre 1659, Estiennette Desurlis, une de ses c
é et La Vengeance des marquis. Brécourt avait épousé, le 18 décembre
1659,
Estiennette Desurlis, une de ses camarades du Mar
9, Estiennette Desurlis, une de ses camarades du Marais. Il mourut le
28
mars 1685. On a dit qu’il s’était rompu une veine
nnette Desurlis, une de ses camarades du Marais. Il mourut le 28 mars
1685.
On a dit qu’il s’était rompu une veine en représe
Mais l’anecdote ne paraît pas absolument vraie ; Brécourt joua encore
deux
fois après la dernière représentation de Timon à
ois après la dernière représentation de Timon à Versailles, et mourut
trois
mois et demi après cette représentation. Ses dett
is et demi après cette représentation. Ses dettes montaient à plus de
20000
livres au delà de sa succession. Voici l’acte d’i
0000 livres au delà de sa succession. Voici l’acte d’inhumation : Le
29e
jour dud. mois (mars 1685), a été fait le convoi,
succession. Voici l’acte d’inhumation : Le 29e jour dud. mois (mars
1685
), a été fait le convoi, service et enterrement de
it renoncé à la comédie par acte dont la copie est ci-dessous, âgé de
quarante-huit
ans, mort le 28e de mars, demt rue de Seine, aux
acte dont la copie est ci-dessous, âgé de quarante-huit ans, mort le
28e
de mars, demt rue de Seine, aux Trois Poissons :
âgé de quarante-huit ans, mort le 28e de mars, demt rue de Seine, aux
Trois
Poissons : et ont assisté aud. enterrement Franço
e registre de Saint-Nicolas des Champs, l’acte suivant : Le dimanche
14e
jour d’avril 1658, premier banc d’entre François
nt-Nicolas des Champs, l’acte suivant : Le dimanche 14e jour d’avril
1658,
premier banc d’entre François Le Noir, écuyer, sr
e et maréchal de camp, garçon majeur, jouissant de ses droits, âgé de
trente-deux
ans, demeurant rue de la Marche, et Marie Petit-J
Paris, et de Marie Bidot, demeurant rue de Poictou ; épousé le mardi
30e
jour desd. mois et an. Ainsi La Thorillière étai
mardi 30e jour desd. mois et an. Ainsi La Thorillière était né vers
1626.
Pierre Petit-Jean, le père de Marie, jouait la co
nom de La Roque. Ils eurent un fils, Pierre de La Thorillière, né le
3
septembre 1659 ; une première fille, Charlotte, n
oque. Ils eurent un fils, Pierre de La Thorillière, né le 3 septembre
1659
; une première fille, Charlotte, née le 16 avril
lière, né le 3 septembre 1659 ; une première fille, Charlotte, née le
16
avril 1661 ; une seconde fille, Thérèse-Marie-Jea
le 3 septembre 1659 ; une première fille, Charlotte, née le 16 avril
1661
; une seconde fille, Thérèse-Marie-Jeanne, née le
ée le 16 avril 1661 ; une seconde fille, Thérèse-Marie-Jeanne, née le
15
juillet 1663. Au baptême de Charlotte, La Thorill
ril 1661 ; une seconde fille, Thérèse-Marie-Jeanne, née le 15 juillet
1663.
Au baptême de Charlotte, La Thorillière se qualif
’il avait quitté l’armée pour le théâtre et était entré au Marais. Le
10
juin 1662, La Grange constate l’entrée de La Thor
t quitté l’armée pour le théâtre et était entré au Marais. Le 10 juin
1662,
La Grange constate l’entrée de La Thorillière dan
sionomie. Il fut quelque temps le comptable de la troupe. Il a laissé
deux
registres embrassant la période du 6 avril 1663 a
ble de la troupe. Il a laissé deux registres embrassant la période du
6
avril 1663 au 6 janvier 1665. Il composa et fit j
a troupe. Il a laissé deux registres embrassant la période du 6 avril
1663
au 6 janvier 1665. Il composa et fit jouer au Pal
. Il a laissé deux registres embrassant la période du 6 avril 1663 au
6
janvier 1665. Il composa et fit jouer au Palais-R
ssé deux registres embrassant la période du 6 avril 1663 au 6 janvier
1665.
Il composa et fit jouer au Palais-Royal, le 2 déc
l 1663 au 6 janvier 1665. Il composa et fit jouer au Palais-Royal, le
2
décembre 1667, une tragédie intitulée Marc-Antoin
janvier 1665. Il composa et fit jouer au Palais-Royal, le 2 décembre
1667,
une tragédie intitulée Marc-Antoine et Cléopâtre.
mbre 1667, une tragédie intitulée Marc-Antoine et Cléopâtre. Elle eut
douze
représentations, ce qui indique quelque succès, e
t de Molière : il entra avec Baron à l’hôtel de Bourgogne à Pâques de
1673.
La Grange signale sa mort sur son registre : « M.
mort sur son registre : « M. de La Thorillière, écrit-il à la date du
26
juillet 1680, est mort à l’hôtel de Bourgogne, ce
n registre : « M. de La Thorillière, écrit-il à la date du 26 juillet
1680,
est mort à l’hôtel de Bourgogne, ce qui a donné l
st mort à l’hôtel de Bourgogne, ce qui a donné lieu à la jonction des
deux
troupes deux mois après. » Son fils fut un très
ôtel de Bourgogne, ce qui a donné lieu à la jonction des deux troupes
deux
mois après. » Son fils fut un très grand comédie
oupe du Marais, entra dans celle du Palais-Royal au renouvellement de
1664.
Il fut, après La Thorillière, le comptable de la
s La Thorillière, le comptable de la troupe. Son registre commence au
28
avril 1672 et finit au 21 mars 1673. Il se retira
illière, le comptable de la troupe. Son registre commence au 28 avril
1672
et finit au 21 mars 1673. Il se retira avec une p
able de la troupe. Son registre commence au 28 avril 1672 et finit au
21
mars 1673. Il se retira avec une pension de mille
la troupe. Son registre commence au 28 avril 1672 et finit au 21 mars
1673.
Il se retira avec une pension de mille livres le
avril 1672 et finit au 21 mars 1673. Il se retira avec une pension de
mille
livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19
nit au 21 mars 1673. Il se retira avec une pension de mille livres le
14
avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre 170
mars 1673. Il se retira avec une pension de mille livres le 14 avril
1685,
et mourut le vendredi 19 novembre 1700. De Vizé,
c une pension de mille livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi
19
novembre 1700. De Vizé, en annonçant les changeme
n de mille livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre
1700.
De Vizé, en annonçant les changements arrivés dan
nçant les changements arrivés dans la troupe des comédiens du roi, en
1687,
parle ainsi du sieur Hubert : « Cet acteur était
éciproque que Hubert et sa femme, Catherine Morant, se firent en juin
1659.
BARON « Molière éleva et forma un homme, d
onne qu’on représente. » Michel Boyron, dit Baron, naquit à Paris le
8
octobre 1653. Michel était fils d’André Boyron, c
représente. » Michel Boyron, dit Baron, naquit à Paris le 8 octobre
1653.
Michel était fils d’André Boyron, comédien du roi
donnait ces différents noms (nous avons vu encore Mlle Le Baron, page
102
), Jeanne Auzoult ou Auzou fut une beauté célèbre
: « Mesdames, voilà la Baron », et elles prenaient la fuite. Veuve en
1655
elle mourut au mois de septembre 1662, à l’âge de
es prenaient la fuite. Veuve en 1655 elle mourut au mois de septembre
1662,
à l’âge de trente-sept ans. Loret fit son épitaph
uite. Veuve en 1655 elle mourut au mois de septembre 1662, à l’âge de
trente-sept
ans. Loret fit son épitaphe dans la Muse historiq
e de trente-sept ans. Loret fit son épitaphe dans la Muse historique (
9
septembre) : Cette actrice de grand renom, Dont
nom, Cette merveille du théâtre Dont Paris était idolâtre… Est depuis
deux
jours dans la bière, Et la mort n’a point respect
point respecté Cette singulière beauté, etc. Elle avait eu, non pas
seize
, comme dit Tallemant des Réaux, mais six enfants.
c. Elle avait eu, non pas seize, comme dit Tallemant des Réaux, mais
six
enfants. Michel Baron avait neuf ans lorsqu’il de
, comme dit Tallemant des Réaux, mais six enfants. Michel Baron avait
neuf
ans lorsqu’il demeura orphelin. Grimarest a racon
il faisait entrer le plus jeune de ses enfants, J.-B. Raisin, âgé de
cinq
ans, et qui déjà savait jouer de l’épinette. Grâc
naires. Nous avons dit170 comment Molière l’engagea dans sa troupe en
1665,
et prit dès lors le plus grand soin de son éducat
que je dois lui donner. » Baron, ne pouvant s’en défendre, statua sur
quatre
pistoles, qu’il croyait suffisantes pour donner à
orge la facilité de joindre une troupe. « Hé bien, je vais lui donner
quatre
pistoles pour moi, dit Molière à Baron, puisque v
, dit Molière à Baron, puisque vous le jugez à propos ; mais en voilà
vingt
autres que je lui donnerai pour vous : je veux qu
cet habit, que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté
deux
mille cinq cents livres, et il était presque tout
habit, que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux
mille
cinq cents livres, et il était presque tout neuf.
que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille
cinq
cents livres, et il était presque tout neuf. Il a
Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille cinq
cents
livres, et il était presque tout neuf. Il assaiso
ui avait coûté deux mille cinq cents livres, et il était presque tout
neuf
. Il assaisonna ce présent d’un bon accueil qu’il
était pas attendu à tant de libéralité. Molière chargea Baron, âgé de
treize
ans, du personnage de Myrtil dans Mélicerte. Pend
homme. » La Grange consigne en effet sur son registre, à la date de
1670
: « Quelques jours après qu’on eut recommencé apr
ron à son retour fut celui de Domitien dans la Bérénice de Corneille (
28
novembre 1670). L’année suivante, il joua avec un
tour fut celui de Domitien dans la Bérénice de Corneille (28 novembre
1670
). L’année suivante, il joua avec un très grand su
qui n’a pour garant qu’un libelle sans autorité. Baron avait à peine
vingt
ans lorsqu’il joua Alceste dans Le Misanthrope (2
n avait à peine vingt ans lorsqu’il joua Alceste dans Le Misanthrope (
24
janvier 1673), moins d’un mois avant la mort de s
eine vingt ans lorsqu’il joua Alceste dans Le Misanthrope (24 janvier
1673
), moins d’un mois avant la mort de son maître. La
ne commence qu’après la mort de Molière ; elle se prolongea jusqu’en
1729
; il est vrai, avec une interruption de trente an
le se prolongea jusqu’en 1729 ; il est vrai, avec une interruption de
trente
ans. Baron ne fut pas seulement acteur ; il compo
il composa un certain nombre de comédies, qui ont été recueillies en
deux
volumes (1736), ou trois volumes (1759). Il mouru
certain nombre de comédies, qui ont été recueillies en deux volumes (
1736
), ou trois volumes (1759). Il mourut le 22 décemb
ombre de comédies, qui ont été recueillies en deux volumes (1736), ou
trois
volumes (1759). Il mourut le 22 décembre 1729, mo
es, qui ont été recueillies en deux volumes (1736), ou trois volumes (
1759
). Il mourut le 22 décembre 1729, moins de trois m
eillies en deux volumes (1736), ou trois volumes (1759). Il mourut le
22
décembre 1729, moins de trois mois après avoir qu
eux volumes (1736), ou trois volumes (1759). Il mourut le 22 décembre
1729,
moins de trois mois après avoir quitté la scène.
36), ou trois volumes (1759). Il mourut le 22 décembre 1729, moins de
trois
mois après avoir quitté la scène. Il avait épousé
rmes que nous avons transcrits, La Grange ajoute sur son registre : «
Deux
mois après (juillet 1670), M. de Molière manda de
crits, La Grange ajoute sur son registre : « Deux mois après (juillet
1670
), M. de Molière manda de la même troupe de campag
al, fort honnête homme du reste et bon camarade, quitta la comédie en
1704
et mourut le 29 décembre 1709. MADEMOISELLE BE
omme du reste et bon camarade, quitta la comédie en 1704 et mourut le
29
décembre 1709. MADEMOISELLE BEAUVAL Jeanne-
e et bon camarade, quitta la comédie en 1704 et mourut le 29 décembre
1709.
MADEMOISELLE BEAUVAL Jeanne-Olivier Bourgui
ELLE BEAUVAL Jeanne-Olivier Bourguignon était née en Hollande vers
1649.
Actrice de la troupe de campagne dans laquelle Be
andelles, elle épousa celui-ci de haute lutte. Ils étaient à Lyon, en
1669,
quand elle jeta son dévolu sur ce mari débonnaire
elle jeta son dévolu sur ce mari débonnaire. Les frères Parfait (tome
XIV
) racontent ainsi les circonstances de son mariage
evêque un arrêté défendant à tous les curés de son diocèse d’unir les
deux
sujets dont il s’agit. Mlle Bourguigon se rendit
rice fut appelée à Paris : À Saint-Germain-en-Laye, le XXXIe juillet
1670.
S. M. voulant toujours entretenir les troupes de
représentations du Bourgeois gentilhomme. Robinet, dans sa lettre du
27
septembre 1670, dit que sur la scène du Palais-Ro
ons du Bourgeois gentilhomme. Robinet, dans sa lettre du 27 septembre
1670,
dit que sur la scène du Palais-Royal : On voit d
en est l’ornement. Le Bourgeois gentilhomme fut joué à Chambord le
13
octobre suivant. Mlle Beauval fut chargée du rôle
’on ne l’a dit. L’auteur du Dictionnaire critique n’en a constaté que
dix
ou douze. Elle mourut le 20 mars 1720, âgée d’env
l’a dit. L’auteur du Dictionnaire critique n’en a constaté que dix ou
douze
. Elle mourut le 20 mars 1720, âgée d’environ soix
ictionnaire critique n’en a constaté que dix ou douze. Elle mourut le
20
mars 1720, âgée d’environ soixante-dix ans. Tel e
ire critique n’en a constaté que dix ou douze. Elle mourut le 20 mars
1720,
âgée d’environ soixante-dix ans. Tel est le group
onstaté que dix ou douze. Elle mourut le 20 mars 1720, âgée d’environ
soixante-dix
ans. Tel est le groupe d’acteurs et d’actrices do
e qu’ils restent jusqu’à un certain point associés à sa renommée.
III
. LA TROUPE DE MOLIÈRE APRÈS SA MORT Quelles fu
autre point sur lequel nous devons des renseignements au lecteur. Du
17
au 24 février 1673, le théâtre du Palais-Royal fu
point sur lequel nous devons des renseignements au lecteur. Du 17 au
24
février 1673, le théâtre du Palais-Royal fut ferm
lequel nous devons des renseignements au lecteur. Du 17 au 24 février
1673,
le théâtre du Palais-Royal fut fermé. On lit sur
diens de l’hôtel de Bourgogne. Cependant, après avoir été le dimanche
19
et mardi 21 sans jouer en attendant les ordres du
ôtel de Bourgogne. Cependant, après avoir été le dimanche 19 et mardi
21
sans jouer en attendant les ordres du roi, on rec
sans jouer en attendant les ordres du roi, on recommença le vendredi
24
par le Misanthrope. » Baron remplissait, à vingt
recommença le vendredi 24 par le Misanthrope. » Baron remplissait, à
vingt
ans, le rôle d’Alceste. Le Malade imaginaire fut
ans, le rôle d’Alceste. Le Malade imaginaire fut repris le vendredi,
3
mars, avec La Thorillière dans le rôle d’Argan, e
ôle d’Argan, et continué jusqu’à la clôture ordinaire qui eut lieu le
21.
Pendant la clôture de Pâques, quatre des principa
a clôture ordinaire qui eut lieu le 21. Pendant la clôture de Pâques,
quatre
des principaux acteurs de la troupe, La Thorilliè
en vertu du nouveau privilège de Lulli, fermée par ordre à partir du
1er
avril 1672, elle demeura en gage au marquis de So
du nouveau privilège de Lulli, fermée par ordre à partir du 1er avril
1672,
elle demeura en gage au marquis de Sourdéac et au
lle que Mlle Molière et ses camarades achetèrent pour s’y établir, le
23
mai 1673. Ils avaient, au préalable, et par contr
Mlle Molière et ses camarades achetèrent pour s’y établir, le 23 mai
1673.
Ils avaient, au préalable, et par contrat du 3 ma
établir, le 23 mai 1673. Ils avaient, au préalable, et par contrat du
3
mai, attaché à leur compagnie le sieur Rosimond,
ur Rosimond, comédien du Marais, et Mlle Angélique Du Croisy, âgée de
quinze
ans. Le roi, apprenant ces arrangements, déclara
es arrangements, déclara qu’il voulait qu’il n’y eût plus à Paris que
deux
troupes de comédiens français, l’une à l’hôtel de
teurs et des actrices du théâtre du Marais, et il les incorpora, sauf
deux
, dans l’ancienne troupe du Palais-Royal. Le 23 ju
les incorpora, sauf deux, dans l’ancienne troupe du Palais-Royal. Le
23
juin 1673, un arrêté de M. de La Reynie autorisa
orpora, sauf deux, dans l’ancienne troupe du Palais-Royal. Le 23 juin
1673,
un arrêté de M. de La Reynie autorisa l’établisse
veau théâtre et cassa la compagnie du Marais. La troupe formée de ces
deux
fameux débris174 continua de porter le nom de la
re noir au-dessus de la porte de son hôtel ». Elle ouvrit le dimanche
9
juillet 1673, par le Tartuffe, et fit, pour son d
-dessus de la porte de son hôtel ». Elle ouvrit le dimanche 9 juillet
1673,
par le Tartuffe, et fit, pour son début, une rece
juillet 1673, par le Tartuffe, et fit, pour son début, une recette de
744
liv. 15 s. Parmi les auteurs qui avaient suivi la
673, par le Tartuffe, et fit, pour son début, une recette de 744 liv.
15
s. Parmi les auteurs qui avaient suivi la troupe
prospérité de la nouvelle société, à laquelle vinrent se joindre, en
1679,
la célèbre Champmeslé et son mari. Les comédiens
dinaires, c’est-à-dire les lundi, mercredi, jeudi et samedi, jusqu’en
1680.
Au mois d’août 1680, à la suite de la mort de La
e les lundi, mercredi, jeudi et samedi, jusqu’en 1680. Au mois d’août
1680,
à la suite de la mort de La Thorillière, le roi f
1680, à la suite de la mort de La Thorillière, le roi fit savoir aux
deux
troupes de l’hôtel de Bourgogne et de l’hôtel de
it garder à son service et qui devaient former la nouvelle compagnie.
Vingt-sept
noms y furent inscrits175. La lettre de cachet de
s termes suivants : « Sa Majesté ayant estimé à propos de réunir les
deux
troupes de comédiens établies à l’hôtel de Bourgo
te troupe176 ; Sa Majesté a ordonné et ordonne qu’à l’avenir lesdites
deux
troupes de comédiens français seront réunies pour
Enjoint Sa Majesté au sieur de la Reynie, etc. Fait à Versailles, le
21
octobre 1680. Signé : Louis, et au bas Colbert.
Majesté au sieur de la Reynie, etc. Fait à Versailles, le 21 octobre
1680.
Signé : Louis, et au bas Colbert. » « C’est ai
r de la Reynie, etc. Fait à Versailles, le 21 octobre 1680. Signé :
Louis
, et au bas Colbert. » « C’est ainsi, dit M. Régn
Régnier, qu’en bien peu d’années la troupe de Molière eut absorbé les
deux
théâtres qu’à son arrivée à Paris elle avait trou
avait trouvés en possession de la faveur publique. » La troupe paya
800
livres aux comédiens italiens, qui allèrent s’éta
la jouissance de son théâtre. Elle joua tous les jours. Un brevet du
24
août 1682 lui assura une pension annuelle de 1200
ssance de son théâtre. Elle joua tous les jours. Un brevet du 24 août
1682
lui assura une pension annuelle de 12000 livres.
s jours. Un brevet du 24 août 1682 lui assura une pension annuelle de
12000
livres. À quelque temps de là, lorsqu’il s’agit d
e du nouvel établissement ; et le roi fit signifier aux comédiens, le
20
juillet 1687, d’aller loger en un autre endroit.
établissement ; et le roi fit signifier aux comédiens, le 20 juillet
1687,
d’aller loger en un autre endroit. Thalie et Melp
herchèrent longtemps un asile. Racine écrivait à Boileau à la date du
8
août : « La nouvelle qui fait ici le plus de brui
on les éloignât de ce collège. Ils ont déjà marchandé des places dans
cinq
ou six endroits ; mais partout où ils vont, c’est
loignât de ce collège. Ils ont déjà marchandé des places dans cinq ou
six
endroits ; mais partout où ils vont, c’est mervei
ue de l’Ancienne-Comédie). Sur l’emplacement de ce jeu de paume et de
deux
maisons voisines, fut construite la salle qu’on i
de deux maisons voisines, fut construite la salle qu’on inaugura, le
18
avril 1689, par Phèdre et Le Médecin malgré lui,
maisons voisines, fut construite la salle qu’on inaugura, le 18 avril
1689,
par Phèdre et Le Médecin malgré lui, et dans laqu
par Phèdre et Le Médecin malgré lui, et dans laquelle pendant près de
cent
ans la Comédie française eut sa résidence. Les co
nt demeurés en possession de l’hôtel de Bourgogne, furent expulses en
1697.
Les comédiens espagnols avaient quitté la France
comédiens espagnols avaient quitté la France au printemps de l’année
1673.
Nous avons dit178 qu’au commencement du règne de
ivirent le retour de Molière à Paris, il y eut en cette ville jusqu’à
six
théâtres, dont quatre d’acteurs français et deux
e Molière à Paris, il y eut en cette ville jusqu’à six théâtres, dont
quatre
d’acteurs français et deux d’acteurs étrangers. À
n cette ville jusqu’à six théâtres, dont quatre d’acteurs français et
deux
d’acteurs étrangers. À la fin du siècle il n’en s
sait qu’il s’est répandu un bruit, mais bien fondé, l’année dernière (
1711
), que les comédiens, après la mort de Monseigneur
rtie du XVIIIe siècle. Elle quitta la rue des Fossés-Saint-Germain en
1770
et s’établit, avec l’agrément du roi, dans la sal
i, dans la salle des Machines aux Tuileries, où elle demeura jusqu’au
9
avril 1782. À cette époque, elle se transporta au
la salle des Machines aux Tuileries, où elle demeura jusqu’au 9 avril
1782.
À cette époque, elle se transporta au nouveau thé
é, et qui porte aujourd’hui le nom d’Odéon. Bouleversée par la loi de
1791
qui proclama la liberté des théâtres, déchirée pa
tions et des devoirs dont elle ne saurait s’affranchir. APPENDICE
II
. L’ÉPIGRAPHE MOLIÉRESQUE À PARIS Lorsque vous
uche, au premier étage d’une maison portant sur la rue actuelle le n°
31
un buste en marbre blanc, au-dessous duquel on li
. Cette maison a été bâtie sur l’emplacement de celle où il naquit le
15
janvier 1620 ». Ce buste fut placé et cette inscr
son a été bâtie sur l’emplacement de celle où il naquit le 15 janvier
1620
». Ce buste fut placé et cette inscription fut ré
anvier 1620 ». Ce buste fut placé et cette inscription fut rédigée en
1799
par les soins de Cailhava, Alexandre Lenoir et De
précisément à la rue du Pont-Neuf et vous la suivez pendant quelques
centaines
de pas, vous apercevez au deuxième étage d’une ma
s de pas, vous apercevez au deuxième étage d’une maison portant le n°
96
et formant le coin de la rue Saint-Honoré et de l
son a été construite sur l’emplacement de celle où est né Molière, le
15
janvier 1622. » Cette inscription a été posée en
onstruite sur l’emplacement de celle où est né Molière, le 15 janvier
1622.
» Cette inscription a été posée en 1876 par les s
st né Molière, le 15 janvier 1622. » Cette inscription a été posée en
1876
par les soins et aux frais du Cercle de la critiq
naissance de Molière. C’est la première qui a tort. Molière est né en
1622.
Il n’y a plus de contestation sur ce point. Mois
t né en 1622. Il n’y a plus de contestation sur ce point. Mois de ces
deux
maisons situées à une assez grande distance l’une
olière ? Ceux de nos contemporains qui ont fait poser la plaque du n°
96
de la rue Saint-Honoré ont été déterminés par les
ivantes : Le contrat de mariage entre Jean Poquelin et Marie Cressé (
22
février 1621), les auteurs de Molière, constate q
Le contrat de mariage entre Jean Poquelin et Marie Cressé (22 février
1621
), les auteurs de Molière, constate que Jean Poque
Saint-Honoré, paroisse Saint-Eustache. L’acte de baptême de Molière (
15
janvier 1022), désigne Jean Poquelin et Marie Cre
ré, paroisse Saint-Eustache. L’acte de baptême de Molière (15 janvier
1022
), désigne Jean Poquelin et Marie Cressé comme dem
demeurant rue Saint-Honoré. L’inventaire après décès de Marie Cressé (
19-31
janvier 1633), l’acte d’acquisition par Jean Poqu
Saint-Honoré. L’inventaire après décès de Marie Cressé (19-31 janvier
1633
), l’acte d’acquisition par Jean Poquelin d’une ma
quisition par Jean Poquelin d’une maison sous les piliers des Halles (
30
septembre 1633), la transaction entre Nicolas et
Jean Poquelin d’une maison sous les piliers des Halles (30 septembre
1633
), la transaction entre Nicolas et Jean Poquelin p
ion entre Nicolas et Jean Poquelin pour l’office de tapissier du roi (
29
mars 1637), formulent tous son adresse de la même
e Nicolas et Jean Poquelin pour l’office de tapissier du roi (29 mars
1637
), formulent tous son adresse de la même manière :
t-Honoré, paroisse Saint-Eustache. Enfin, un rôle des taxes levées en
1637
pour le nettoiement des rues de Paris, mentionne
seul prouve qu’ils habitaient au coin de la rue des Vieilles-Étuves,
quinze
ans après la naissance de Molière. Qui sait s’ils
s, surtout lorsque la désignation reste identiquement la même. « Les
deux
maisons à plaques, dit-on encore, celle de la rue
r que Grimarest veut parler de la maison achetée par Jean Poquelin en
1633
sous les piliers des Halles, située devant le pil
te maison devint le domicile de Jean Poquelin père à la Saint-Jean de
1643.
Il la loua plus tard à son second fils, le frère
s, le frère puîné de Molière, en lui cédant son fonds de commerce, en
1654,
mais il y conservait un logement, et à partir de
Cette maison resta dans la famille, et M. Soulié a exhumé des baux de
1695
et de 1700 par lesquels les héritiers de Jean Poq
n resta dans la famille, et M. Soulié a exhumé des baux de 1695 et de
1700
par lesquels les héritiers de Jean Poquelin, nota
ait tout intérêt à les faire disparaître. Quant à l’inscription du n°
96
de la rue Saint-Honoré, il nous semble qu’on peut
ean-Baptiste Poquelin (le futur Molière) habitait chez ses parents en
1636
; il est très probable et il est permis de croire
er absolument le séjour de Molière en cet endroit que pour les années
1636
et suivantes. Les plaques et inscriptions mortuai
t du Théâtre-Français au boulevard, vous pouvez lire sur la maison n°
34
cette inscription : « Molière est mort dans cette
son n° 34 cette inscription : « Molière est mort dans cette maison le
17
février 1673 à l’âge de cinquante et un ans. » Un
ette inscription : « Molière est mort dans cette maison le 17 février
1673
à l’âge de cinquante et un ans. » Un peu plus loi
: « Molière est mort dans cette maison le 17 février 1673 à l’âge de
cinquante
et un ans. » Un peu plus loin, sur la maison n° 4
à l’âge de cinquante et un ans. » Un peu plus loin, sur la maison n°
40,
vous lisez : « Ici s’élevait la maison où Molière
40, vous lisez : « Ici s’élevait la maison où Molière, né à Paris le
15
janvier 1622, est mort le 17 février 1673. » Les
isez : « Ici s’élevait la maison où Molière, né à Paris le 15 janvier
1622,
est mort le 17 février 1673. » Les deux inscript
vait la maison où Molière, né à Paris le 15 janvier 1622, est mort le
17
février 1673. » Les deux inscriptions sont récen
son où Molière, né à Paris le 15 janvier 1622, est mort le 17 février
1673.
» Les deux inscriptions sont récentes. La premiè
e, né à Paris le 15 janvier 1622, est mort le 17 février 1673. » Les
deux
inscriptions sont récentes. La première est du mê
ne un monument en l’honneur de Molière. L’inscription de la maison n°
40
est d’hier ; elle a été placée après la publicati
A. Vitu : « la Maison mortuaire de Molière, Paris, Alphonse Lemerre,
1882.
» Cet ouvrage tranchait la question de l’emplacem
ci encore une simplification serait désirable, et l’inscription du n°
34
devrait être supprimée. « Voilà de belles vétille
tive à Molière, la plaque d’Auteuil dont il est parlé ci-dessus, page
283,
et celle concernant le théâtre du Palais-Royal do
concernant le théâtre du Palais-Royal dont il est question à la page
345.
L’histoire de la sépulture de Molière depuis les
ouve dans notre seconde édition des Œuvres complètes de Molière, tome
1,
pages 313-385. 1. « Molière et Louis XIV », R
notre seconde édition des Œuvres complètes de Molière, tome 1, pages
313-385.
1. « Molière et Louis XIV », Revue des Deux-M
e édition des Œuvres complètes de Molière, tome 1, pages 313-385.
1.
« Molière et Louis XIV », Revue des Deux-Mondes,
1. « Molière et Louis XIV », Revue des Deux-Mondes, M. Larroumet,
15
septembre 1886. 2. “Nous n’avons certainement pa
ère et Louis XIV », Revue des Deux-Mondes, M. Larroumet, 15 septembre
1886.
2. “Nous n’avons certainement pas, dans la coméd
Louis XIV », Revue des Deux-Mondes, M. Larroumet, 15 septembre 1886.
2.
“Nous n’avons certainement pas, dans la comédie,
s n’avons certainement pas, dans la comédie, un nom égal à Molière.”
3.
Voyez appendice II. 4. Voyez Jal, p. 177 5. Le
ent pas, dans la comédie, un nom égal à Molière.” 3. Voyez appendice
II
. 4. Voyez Jal, p. 177 5. Le mot disposer était
as, dans la comédie, un nom égal à Molière.” 3. Voyez appendice II.
4.
Voyez Jal, p. 177 5. Le mot disposer était alors
n nom égal à Molière.” 3. Voyez appendice II. 4. Voyez Jal, p. 177
5.
Le mot disposer était alors le mot technique pour
s du procès-verbal de l’assemblée des comédiens français à la date du
26
juillet 1693 : « M. de Champmeslé a disposé le rô
-verbal de l’assemblée des comédiens français à la date du 26 juillet
1693
: « M. de Champmeslé a disposé le rôle de Josseli
ière… » Voyez notre édition des Œuvres complètes de La Fontaine, tome
V
, page XXXIV. 6. Mot difficile à lire. 7. Elle
Voyez notre édition des Œuvres complètes de La Fontaine, tome V, page
XXXIV
. 6. Mot difficile à lire. 7. Elle avait quinze
re édition des Œuvres complètes de La Fontaine, tome V, page XXXIV.
6.
Mot difficile à lire. 7. Elle avait quinze ou se
lètes de La Fontaine, tome V, page XXXIV. 6. Mot difficile à lire.
7.
Elle avait quinze ou seize ans. Voyez Le Moliéris
ntaine, tome V, page XXXIV. 6. Mot difficile à lire. 7. Elle avait
quinze
ou seize ans. Voyez Le Moliériste, novembre 1883,
me V, page XXXIV. 6. Mot difficile à lire. 7. Elle avait quinze ou
seize
ans. Voyez Le Moliériste, novembre 1883, p. 241.
re. 7. Elle avait quinze ou seize ans. Voyez Le Moliériste, novembre
1883,
p. 241. 8. Le Moliériste, neuvième année, p. 20
ait quinze ou seize ans. Voyez Le Moliériste, novembre 1883, p. 241.
8.
Le Moliériste, neuvième année, p. 207 9. Voy. M
e, novembre 1883, p. 241. 8. Le Moliériste, neuvième année, p. 207
9.
Voy. M. de Modène, ses deux femmes et Madeleine B
8. Le Moliériste, neuvième année, p. 207 9. Voy. M. de Modène, ses
deux
femmes et Madeleine Béjart par Henri Chardon. Par
femmes et Madeleine Béjart par Henri Chardon. Paris, Alphonse Picard,
1886,
p. 192. 10. Carcassonne, voyez la souscription.
eine Béjart par Henri Chardon. Paris, Alphonse Picard, 1886, p. 192.
10.
Carcassonne, voyez la souscription. 11. Brouchou
honse Picard, 1886, p. 192. 10. Carcassonne, voyez la souscription.
11.
Brouchoud, document VIII. 12. Le Moliériste, 1e
92. 10. Carcassonne, voyez la souscription. 11. Brouchoud, document
VIII
. 12. Le Moliériste, 1e année, p. 17. 13. Brune
. Carcassonne, voyez la souscription. 11. Brouchoud, document VIII.
12.
Le Moliériste, 1e année, p. 17. 13. Brunetière,
la souscription. 11. Brouchoud, document VIII. 12. Le Moliériste,
1e
année, p. 17. 13. Brunetière, Études critiques,
11. Brouchoud, document VIII. 12. Le Moliériste, 1e année, p. 17.
13.
Brunetière, Études critiques, p. 106. 14. Journ
iériste, 1e année, p. 17. 13. Brunetière, Études critiques, p. 106.
14.
Journal de Toulouse, 6 mars 1864. 15. Voyez Rec
13. Brunetière, Études critiques, p. 106. 14. Journal de Toulouse,
6
mars 1864. 15. Voyez Recherches sur Molière, par
unetière, Études critiques, p. 106. 14. Journal de Toulouse, 6 mars
1864.
15. Voyez Recherches sur Molière, par M. Eud. So
e, Études critiques, p. 106. 14. Journal de Toulouse, 6 mars 1864.
15.
Voyez Recherches sur Molière, par M. Eud. Soulié,
1864. 15. Voyez Recherches sur Molière, par M. Eud. Soulié, p. 254.
16.
Fille du prévôt de la maréchaussée d’Alençon, née
ié, p. 254. 16. Fille du prévôt de la maréchaussée d’Alençon, née en
1632,
Mlle Desjardins s’enfuit à seize ans de la maison
de la maréchaussée d’Alençon, née en 1632, Mlle Desjardins s’enfuit à
seize
ans de la maison paternelle et courut le monde av
i, où résidait Villedieu, et le provoque en duel. Sur le terrain, les
deux
amants se réconcilient et se rendent en Hollande
s difficulté. Après avoir résidé quelque temps dans les Pays-Bas, les
deux
époux rentrèrent en France. Boisset de Villedieu
er des tragédies, des comédies, et publia un grand nombre de romans.
17.
La Troupe de Molière à Agen, 8 pages. Agen. Noub
publia un grand nombre de romans. 17. La Troupe de Molière à Agen,
8
pages. Agen. Noubel, 1874. Deuxième tirage, Paris
de romans. 17. La Troupe de Molière à Agen, 8 pages. Agen. Noubel,
1874.
Deuxième tirage, Paris et Bordeaux, 1877. 18. L
gen, 8 pages. Agen. Noubel, 1874. Deuxième tirage, Paris et Bordeaux,
1877.
18. Les Points obscurs, p. 380. 19. Le Moliér
pages. Agen. Noubel, 1874. Deuxième tirage, Paris et Bordeaux, 1877.
18.
Les Points obscurs, p. 380. 19. Le Moliériste,
e tirage, Paris et Bordeaux, 1877. 18. Les Points obscurs, p. 380.
19.
Le Moliériste, 1e année, p. 142. 20. Voyez Le M
ordeaux, 1877. 18. Les Points obscurs, p. 380. 19. Le Moliériste,
1e
année, p. 142. 20. Voyez Le Moliériste, septembr
Les Points obscurs, p. 380. 19. Le Moliériste, 1e année, p. 142.
20.
Voyez Le Moliériste, septembre 1884. 21. Mémoir
Le Moliériste, 1e année, p. 142. 20. Voyez Le Moliériste, septembre
1884.
21. Mémoires de Daniel de Cosnac, archevêque d’
iériste, 1e année, p. 142. 20. Voyez Le Moliériste, septembre 1884.
21.
Mémoires de Daniel de Cosnac, archevêque d’Aix,
istoire de France, par le comte Jules de Cosnac ; Paris, J. Renouard,
1852.
22. Nouvelles nouvelles, par M. de Vizé ; Paris
de France, par le comte Jules de Cosnac ; Paris, J. Renouard, 1852.
22.
Nouvelles nouvelles, par M. de Vizé ; Paris, Gab
2. 22. Nouvelles nouvelles, par M. de Vizé ; Paris, Gabriel Quinet,
1663.
23. Voyez Le Moliériste, 1e année, p. 45. 24. L
Nouvelles nouvelles, par M. de Vizé ; Paris, Gabriel Quinet, 1663.
23.
Voyez Le Moliériste, 1e année, p. 45. 24. Les ac
r M. de Vizé ; Paris, Gabriel Quinet, 1663. 23. Voyez Le Moliériste,
1e
année, p. 45. 24. Les actrices mariées s’appelai
is, Gabriel Quinet, 1663. 23. Voyez Le Moliériste, 1e année, p. 45.
24.
Les actrices mariées s’appelaient Mademoiselle, e
appelaient Mademoiselle, et non Madame. L’usage établissait entre ces
deux
qualifications des nuances qui varièrent beaucoup
nobles. C’était celui que prenaient les actrices, à tort ou à droit.
25.
Brouchoud, documents II et III. 26. Idem, ibid.
prenaient les actrices, à tort ou à droit. 25. Brouchoud, documents
II
et III. 26. Idem, ibid. IV. 27. Voyez Le Moliér
ient les actrices, à tort ou à droit. 25. Brouchoud, documents II et
III
. 26. Idem, ibid. IV. 27. Voyez Le Moliériste, 4
es actrices, à tort ou à droit. 25. Brouchoud, documents II et III.
26.
Idem, ibid. IV. 27. Voyez Le Moliériste, 4e anné
ort ou à droit. 25. Brouchoud, documents II et III. 26. Idem, ibid.
IV
. 27. Voyez Le Moliériste, 4e année, p. 72. 28.
u à droit. 25. Brouchoud, documents II et III. 26. Idem, ibid. IV.
27.
Voyez Le Moliériste, 4e année, p. 72. 28. De Pe
, documents II et III. 26. Idem, ibid. IV. 27. Voyez Le Moliériste,
4e
année, p. 72. 28. De Petri Boessatii, equitis e
III. 26. Idem, ibid. IV. 27. Voyez Le Moliériste, 4e année, p. 72.
28.
De Petri Boessatii, equitis et comitis palatini.
iri clarissimi, vita, libri duo Nicolaï Choreri Viennensis, Grenoble,
1680,
in-12. 29. Imprimé à Montpellier, par Daniel Pec
, vita, libri duo Nicolaï Choreri Viennensis, Grenoble, 1680, in-12.
29.
Imprimé à Montpellier, par Daniel Pech, imprimeur
rimé à Montpellier, par Daniel Pech, imprimeur du roi et de la ville,
1655,
in-4°. 30. On l’a déjà vu figurer dans l’acte de
lier, par Daniel Pech, imprimeur du roi et de la ville, 1655, in-4°.
30.
On l’a déjà vu figurer dans l’acte de baptême du
e, 1655, in-4°. 30. On l’a déjà vu figurer dans l’acte de baptême du
10
janvier 1650, à Narbonne. 31. Histoire des péré
-4°. 30. On l’a déjà vu figurer dans l’acte de baptême du 10 janvier
1650,
à Narbonne. 31. Histoire des pérégrinations de
jà vu figurer dans l’acte de baptême du 10 janvier 1650, à Narbonne.
31.
Histoire des pérégrinations de Molière dans le L
onne. 31. Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc,
1838.
32. Document V. 33. Aventures de Dassoucy, t.
31. Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, 1838.
32.
Document V. 33. Aventures de Dassoucy, t. 1, p
des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, 1838. 32. Document
V.
33. Aventures de Dassoucy, t. 1, p 309. 34. No
pérégrinations de Molière dans le Languedoc, 1838. 32. Document V.
33.
Aventures de Dassoucy, t. 1, p 309. 34. Nommé s
le Languedoc, 1838. 32. Document V. 33. Aventures de Dassoucy, t.
1,
p 309. 34. Nommé secrétaire des commandements du
anguedoc, 1838. 32. Document V. 33. Aventures de Dassoucy, t. 1, p
309.
34. Nommé secrétaire des commandements du prince
oc, 1838. 32. Document V. 33. Aventures de Dassoucy, t. 1, p 309.
34.
Nommé secrétaire des commandements du prince de C
es commandements du prince de Conti après la mort de J.-F. Sarrasin.
35.
M. de la Pijardière, Molière, son séjour à Montpe
arrasin. 35. M. de la Pijardière, Molière, son séjour à Montpellier,
1887.
36. Molière et la Comédie italienne, Paris, Did
. 35. M. de la Pijardière, Molière, son séjour à Montpellier, 1887.
36.
Molière et la Comédie italienne, Paris, Didier e
r, 1887. 36. Molière et la Comédie italienne, Paris, Didier et Cie,
1867,
p. 250. 37. Feuilleton de L’Étendard du 21 janvi
Molière et la Comédie italienne, Paris, Didier et Cie, 1867, p. 250.
37.
Feuilleton de L’Étendard du 21 janvier 1867. 38.
Paris, Didier et Cie, 1867, p. 250. 37. Feuilleton de L’Étendard du
21
janvier 1867. 38. Voyez Le Moliériste, 6e année,
ier et Cie, 1867, p. 250. 37. Feuilleton de L’Étendard du 21 janvier
1867.
38. Voyez Le Moliériste, 6e année, p. 173. 39.
Cie, 1867, p. 250. 37. Feuilleton de L’Étendard du 21 janvier 1867.
38.
Voyez Le Moliériste, 6e année, p. 173. 39. La Gr
euilleton de L’Étendard du 21 janvier 1867. 38. Voyez Le Moliériste,
6e
année, p. 173. 39. La Grange écrit de Bioule. M.
dard du 21 janvier 1867. 38. Voyez Le Moliériste, 6e année, p. 173.
39.
La Grange écrit de Bioule. M. de la Pijardière co
te que ce nom est écrit de Bieule dans les procès verbaux des États.
40.
Publié à Francfort, en 1688, chez Fraus Rottember
Bieule dans les procès verbaux des États. 40. Publié à Francfort, en
1688,
chez Fraus Rottemberg. 41. Les deux Corneille, R
des États. 40. Publié à Francfort, en 1688, chez Fraus Rottemberg.
41.
Les deux Corneille, Racine et La Fontaine en fure
ts. 40. Publié à Francfort, en 1688, chez Fraus Rottemberg. 41. Les
deux
Corneille, Racine et La Fontaine en furent amoure
. 41. Les deux Corneille, Racine et La Fontaine en furent amoureux.
42.
Acte I, scène 2. 43. La troupe du Roman comique
s deux Corneille, Racine et La Fontaine en furent amoureux. 42. Acte
I
, scène 2. 43. La troupe du Roman comique dévoil
rneille, Racine et La Fontaine en furent amoureux. 42. Acte I, scène
2.
43. La troupe du Roman comique dévoilée, p. 72.
lle, Racine et La Fontaine en furent amoureux. 42. Acte I, scène 2.
43.
La troupe du Roman comique dévoilée, p. 72. 44.
. Acte I, scène 2. 43. La troupe du Roman comique dévoilée, p. 72.
44.
Archives des Missions scientifiques, 2e série, t
n comique dévoilée, p. 72. 44. Archives des Missions scientifiques,
2e
série, tome I, p. 385. 45. Dans son opuscule : L
lée, p. 72. 44. Archives des Missions scientifiques, 2e série, tome
I
, p. 385. 45. Dans son opuscule : La troupe de Mo
44. Archives des Missions scientifiques, 2e série, tome I, p. 385.
45.
Dans son opuscule : La troupe de Molière et les d
tome I, p. 385. 45. Dans son opuscule : La troupe de Molière et les
deux
Corneille à Rouen, en 1658. Paris, A. Glaudin, 18
son opuscule : La troupe de Molière et les deux Corneille à Rouen, en
1658.
Paris, A. Glaudin, 1880. M. P. Mesnard a constaté
de Molière et les deux Corneille à Rouen, en 1658. Paris, A. Glaudin,
1880.
M. P. Mesnard a constaté que l’autographe qui est
liothèque nationale porte bien exactement M. Le Baron et M. Béjart.
46.
Zélinde, comédie, ou la Véritable Critique de l’
ritable Critique de l’école des femmes et la Critique de la critique,
1663.
47. Mercure de France, mai 1740. Le témoignage
Critique de l’école des femmes et la Critique de la critique, 1663.
47.
Mercure de France, mai 1740. Le témoignage est f
mes et la Critique de la critique, 1663. 47. Mercure de France, mai
1740.
Le témoignage est fort tardif, mais Mlle Poisson
nir de Molière : elle avait joué le rôle d’une des sœurs de Psyché en
1671,
elle avait suppléé Molière lui-même dans le rôle
i-même dans le rôle de Réphyre à partir des derniers jours de janvier
1672.
Et puis, sociétaire dès 1673, elle avait du enten
à partir des derniers jours de janvier 1672. Et puis, sociétaire dès
1673,
elle avait du entendre parler beaucoup de lui par
avait du entendre parler beaucoup de lui par ses anciens camarades.
48.
Promenade de Saint-Cloud, par Guéret. 49. Commu
r ses anciens camarades. 48. Promenade de Saint-Cloud, par Guéret.
49.
Communication de M. Thurot, de l’Institut, à M. D
uéret. 49. Communication de M. Thurot, de l’Institut, à M. Despois.
50.
De Vizé, Nouvelles, nouvelles. 51. La somme est
t, de l’Institut, à M. Despois. 50. De Vizé, Nouvelles, nouvelles.
51.
La somme est sans doute fort exagérée ; Guy Patin
nventaire des biens meubles de Béjart l’aîné. Ils ne sont estimés que
348
livres 7 sols. Voyez Le Moliériste de juillet 18
es biens meubles de Béjart l’aîné. Ils ne sont estimés que 348 livres
7
sols. Voyez Le Moliériste de juillet 1885. Mais
e sont estimés que 348 livres 7 sols. Voyez Le Moliériste de juillet
1885.
Mais n’y a-t-il pas eu quelque dissimulation ? II
iste de juillet 1885. Mais n’y a-t-il pas eu quelque dissimulation ?
II
pourrait bien y avoir ici une exagération en sens
e, et si Guy Patin dit trop, l’inventaire ne dit peut-être pas tout.
52.
Richer, Mercure françois, 1615. 53. Dans la pré
’inventaire ne dit peut-être pas tout. 52. Richer, Mercure françois,
1615.
53. Dans la préface de 1682, Lagrange dit le 3
ire ne dit peut-être pas tout. 52. Richer, Mercure françois, 1615.
53.
Dans la préface de 1682, Lagrange dit le 3 novemb
s tout. 52. Richer, Mercure françois, 1615. 53. Dans la préface de
1682,
Lagrange dit le 3 novembre. Sur son registre, il
ercure françois, 1615. 53. Dans la préface de 1682, Lagrange dit le
3
novembre. Sur son registre, il a écrit : « Le jou
e 3 novembre. Sur son registre, il a écrit : « Le jour des Trépassés,
3
novembre. » Le jour des Morts en 1658 fut un same
a écrit : « Le jour des Trépassés, 3 novembre. » Le jour des Morts en
1658
fut un samedi. Loret termine la lettre de ce jour
rts en 1658 fut un samedi. Loret termine la lettre de ce jour par ces
deux
vers : Fait à Paris et non à Loches Le jour des
Morts au son des cloches. Le dimanche appartenait aux Italiens.
54.
Pendant la première partie du règne de Louis XIV,
4. Pendant la première partie du règne de Louis XIV, il y eut à Paris
quatre
troupes de comédiens français : l’hôtel de Bourgo
ait le directeur ; enfin la troupe de Mademoiselle, qui s’établit, en
1661,
rue des Quatre-Vents, mais dont l’existence fut c
. On voit combien le goût du théâtre était développé dans la nation.
55.
Jodelet a changé de troupe, Et s’en va jouer to
va jouer tout de bon Désormais au Petit-Bourbon. (Loret, « Lettre du
26
avril 1659 ») 56. Épître à S.A.R. Mademoisel
tout de bon Désormais au Petit-Bourbon. (Loret, « Lettre du 26 avril
1659
») 56. Épître à S.A.R. Mademoiselle en tête
Désormais au Petit-Bourbon. (Loret, « Lettre du 26 avril 1659 »)
56.
Épître à S.A.R. Mademoiselle en tête de L’Écolier
. Épître à S.A.R. Mademoiselle en tête de L’Écolier de Salamanque.
57.
Scarron s’exprimait ainsi : Mais revenons aux fâ
n que façonnières, Et ne sont pas précieuses de prix, Comme il en est
deux
ou trois dans Paris, Que l’on respecte autant que
çonnières, Et ne sont pas précieuses de prix, Comme il en est deux ou
trois
dans Paris, Que l’on respecte autant que des prin
Scarron,À Monseigneur le maréchal d’Albret, épître chagrine ou satire
II
.) Les voyageurs Chapelle et Bachaumont avaient f
leur Voyage, où Molière est devancé. (Édition Saint-Marc, p. 47.)
58.
Noms romanesques de Mmes de Rambouillet, Arragonn
58. Noms romanesques de Mmes de Rambouillet, Arragonnais et le Roi.
59.
Récit en prose et en vers de la Farce des Précie
. 59. Récit en prose et en vers de la Farce des Précieuses ; Paris,
1660.
Il a été question précédemment de Mme de Villedie
l a été question précédemment de Mme de Villedieu (Mlle Desjardins).
60.
De Quinault. 61. Lettre du 6 décembre 1659, « Ap
récédemment de Mme de Villedieu (Mlle Desjardins). 60. De Quinault.
61.
Lettre du 6 décembre 1659, « Apostille. » 62. F.
Mme de Villedieu (Mlle Desjardins). 60. De Quinault. 61. Lettre du
6
décembre 1659, « Apostille. » 62. F. Doneau, dan
ledieu (Mlle Desjardins). 60. De Quinault. 61. Lettre du 6 décembre
1659,
« Apostille. » 62. F. Doneau, dans la préface d’
s). 60. De Quinault. 61. Lettre du 6 décembre 1659, « Apostille. »
62.
F. Doneau, dans la préface d’une petite pièce int
ntitulée : Les Amours d’Alcippe et de Céphise ou la Cocue imaginaire,
1660.
63. « Mais qu’attendre d’un homme qui tire toute
e : Les Amours d’Alcippe et de Céphise ou la Cocue imaginaire, 1660.
63.
« Mais qu’attendre d’un homme qui tire toute sa g
la veuve.” (Préface des Véritables Précieuses, du sieur de Somaize ;
1660.
) 64. La pièce fut achevée d’imprimer le 20 juin
e.” (Préface des Véritables Précieuses, du sieur de Somaize ; 1660.)
64.
La pièce fut achevée d’imprimer le 20 juin 1660.
du sieur de Somaize ; 1660.) 64. La pièce fut achevée d’imprimer le
20
juin 1660. 65. DONEAU, préface de La Cocue imagi
r de Somaize ; 1660.) 64. La pièce fut achevée d’imprimer le 20 juin
1660.
65. DONEAU, préface de La Cocue imaginaire. 66
maize ; 1660.) 64. La pièce fut achevée d’imprimer le 20 juin 1660.
65.
DONEAU, préface de La Cocue imaginaire. 66. An
rimer le 20 juin 1660. 65. DONEAU, préface de La Cocue imaginaire.
66.
Antiquités de Paris, t. III, p. 47. 67. Banquet
ONEAU, préface de La Cocue imaginaire. 66. Antiquités de Paris, t.
III
, p. 47. 67. Banquettes. 68. Cette salle consacr
e de La Cocue imaginaire. 66. Antiquités de Paris, t. III, p. 47.
67.
Banquettes. 68. Cette salle consacrée après la m
ginaire. 66. Antiquités de Paris, t. III, p. 47. 67. Banquettes.
68.
Cette salle consacrée après la mort de Molière à
eprésentation des tragédies lyriques appelées opéras, fut détruite en
1763
par un incendie, reconstruite peu après, et incen
3 par un incendie, reconstruite peu après, et incendiée de nouveau en
1771.
On bâtit alors le théâtre de la Porte-Saint-Marti
nouveau en 1771. On bâtit alors le théâtre de la Porte-Saint-Martin.
69.
Muse historique, 17 juillet 1761 70. Où Maucroi
tit alors le théâtre de la Porte-Saint-Martin. 69. Muse historique,
17
juillet 1761 70. Où Maucroix était alors. 71. L
e théâtre de la Porte-Saint-Martin. 69. Muse historique, 17 juillet
1761
70. Où Maucroix était alors. 71. Le même mot, s
tre de la Porte-Saint-Martin. 69. Muse historique, 17 juillet 1761
70.
Où Maucroix était alors. 71. Le même mot, sous u
69. Muse historique, 17 juillet 1761 70. Où Maucroix était alors.
71.
Le même mot, sous une forme un peu différente, es
émoires sur la vie de Jean Racine, Louis Racine, édition de Lausanne,
1747,
p. 121 72. Mémoires de Mme Campan. Anecdotes du
vie de Jean Racine, Louis Racine, édition de Lausanne, 1747, p. 121
72.
Mémoires de Mme Campan. Anecdotes du règne de Lo
. 121 72. Mémoires de Mme Campan. Anecdotes du règne de Louis XIV.
73.
Le Théâtre français sous Louis XIV, Paris, Hache
Louis XIV. 73. Le Théâtre français sous Louis XIV, Paris, Hachette,
1874,
livre V, ch. 2. 74. Le Boulanger de Chalussay, É
73. Le Théâtre français sous Louis XIV, Paris, Hachette, 1874, livre
V
, ch. 2. 74. Le Boulanger de Chalussay, Élomire h
Théâtre français sous Louis XIV, Paris, Hachette, 1874, livre V, ch.
2.
74. Le Boulanger de Chalussay, Élomire hypocondr
âtre français sous Louis XIV, Paris, Hachette, 1874, livre V, ch. 2.
74.
Le Boulanger de Chalussay, Élomire hypocondre ou
Boulanger de Chalussay, Élomire hypocondre ou les Médecins vengés.
75.
Voyez Œuvres de Chapelle, édition Saint-Marc, p.
vengés. 75. Voyez Œuvres de Chapelle, édition Saint-Marc, p. 184.
76.
Il y a deux mille ; deux est rayé avec cette note
75. Voyez Œuvres de Chapelle, édition Saint-Marc, p. 184. 76. Il y a
deux
mille ; deux est rayé avec cette note en marge :
oyez Œuvres de Chapelle, édition Saint-Marc, p. 184. 76. Il y a deux
mille
; deux est rayé avec cette note en marge : Le mot
res de Chapelle, édition Saint-Marc, p. 184. 76. Il y a deux mille ;
deux
est rayé avec cette note en marge : Le mot de deu
l y a deux mille ; deux est rayé avec cette note en marge : Le mot de
deux
-ci endroit rayé du consentement des parties.J.P.
consentement des parties.J.P. M..H. J.B.P.M. A.G.B. M..B. L.B. A.B.
77.
Saint-Germain-l’Auxerrois 78. La veuve de Molièr
M..H. J.B.P.M. A.G.B. M..B. L.B. A.B. 77. Saint-Germain-l’Auxerrois
78.
La veuve de Molière y appelle J.-B. Aubry, mari d
re y appelle J.-B. Aubry, mari de Geneviève Béjart, son beau-frère.
79.
La tradition sur ce point n’avait pas été toutefo
e qu’on l’a prétendu. Dans la « lettre de l’abbé d’Allainval (mort en
1753
) sur Baron et la demoiselle Lecouvreur », l’auteu
(mort en 1753) sur Baron et la demoiselle Lecouvreur », l’auteur dit
deux
fois de Louis Béjart : « Camarade de Molière et f
rt : « Camarade de Molière et frère de sa femme ; son beau-frère… »
80.
L’auteur de ce Mémoire n’est pas conséquent avec
rd n’est qu’un tissu d’injures grossières ramassées de toutes parts.
81.
Il faudrait lire : en 1643. 82. La Troupe du Ro
ures grossières ramassées de toutes parts. 81. Il faudrait lire : en
1643.
82. La Troupe du Roman comique dévoilée, par H.
ossières ramassées de toutes parts. 81. Il faudrait lire : en 1643.
82.
La Troupe du Roman comique dévoilée, par H. Char
3. 82. La Troupe du Roman comique dévoilée, par H. Chardon, p. 13.
83.
Nous ne citons pas textuellement, nous résumons l
tuellement, nous résumons la pensée de l’auteur des Points obscurs.
84.
Le Moliériste, mai 1886, p. 51. 85. De Malherb
s la pensée de l’auteur des Points obscurs. 84. Le Moliériste, mai
1886,
p. 51. 85. De Malherbe à Bossuet, Paris 1885, p
l’auteur des Points obscurs. 84. Le Moliériste, mai 1886, p. 51.
85.
De Malherbe à Bossuet, Paris 1885, p. 97. 86.
. Le Moliériste, mai 1886, p. 51. 85. De Malherbe à Bossuet, Paris
1885,
p. 97. 86. Œuvres de Racine, édition de Saint-M
te, mai 1886, p. 51. 85. De Malherbe à Bossuet, Paris 1885, p. 97.
86.
Œuvres de Racine, édition de Saint-Marc Girardin
uvres de Racine, édition de Saint-Marc Girardin et Louis Moland, tome
VII
, p. 408. 87. Études sur la vie et les œuvres de
e, édition de Saint-Marc Girardin et Louis Moland, tome VII, p. 408.
87.
Études sur la vie et les œuvres de Molière, 1885
, tome VII, p. 408. 87. Études sur la vie et les œuvres de Molière,
1885,
p. 19. 88. Voyez ci-devant p. 168. 89. Revue d
408. 87. Études sur la vie et les œuvres de Molière, 1885, p. 19.
88.
Voyez ci-devant p. 168. 89. Revue de l’Instruct
et les œuvres de Molière, 1885, p. 19. 88. Voyez ci-devant p. 168.
89.
Revue de l’Instruction publique, 18 février 1864
. 88. Voyez ci-devant p. 168. 89. Revue de l’Instruction publique,
18
février 1864. 90. Prêtée à Montfleury, et qui ce
z ci-devant p. 168. 89. Revue de l’Instruction publique, 18 février
1864.
90. Prêtée à Montfleury, et qui certainement éta
vant p. 168. 89. Revue de l’Instruction publique, 18 février 1864.
90.
Prêtée à Montfleury, et qui certainement était so
Montfleury, et qui certainement était sous-entendue dans sa requête.
91.
M. Michelet. 92. Mlle Poisson, fille de Du Crois
certainement était sous-entendue dans sa requête. 91. M. Michelet.
92.
Mlle Poisson, fille de Du Croisy. 93. Ils avaien
sa requête. 91. M. Michelet. 92. Mlle Poisson, fille de Du Croisy.
93.
Ils avaient été cinq mois à Fontainebleau, lorsqu
Michelet. 92. Mlle Poisson, fille de Du Croisy. 93. Ils avaient été
cinq
mois à Fontainebleau, lorsqu’ils vinrent à Paris.
s avaient été cinq mois à Fontainebleau, lorsqu’ils vinrent à Paris.
94.
Muse historique, lettre du 13 janvier 1663. 95.
nebleau, lorsqu’ils vinrent à Paris. 94. Muse historique, lettre du
13
janvier 1663. 95. Ajustés, parés. 96. Joué en j
rsqu’ils vinrent à Paris. 94. Muse historique, lettre du 13 janvier
1663.
95. Ajustés, parés. 96. Joué en janvier 1664 à
s vinrent à Paris. 94. Muse historique, lettre du 13 janvier 1663.
95.
Ajustés, parés. 96. Joué en janvier 1664 à l’hôt
4. Muse historique, lettre du 13 janvier 1663. 95. Ajustés, parés.
96.
Joué en janvier 1664 à l’hôtel de Bourgogne. 97.
lettre du 13 janvier 1663. 95. Ajustés, parés. 96. Joué en janvier
1664
à l’hôtel de Bourgogne. 97. Racine se sert d’une
5. Ajustés, parés. 96. Joué en janvier 1664 à l’hôtel de Bourgogne.
97.
Racine se sert d’une expression un peu plus crue.
use d’avoir épousé sa propre fille », ce qui aggravait l’accusation.
98.
Œuvres complètes de Racine, édit. Moland, tome V
it l’accusation. 98. Œuvres complètes de Racine, édit. Moland, tome
VII
, p. 408. 99. Jouée sur le théâtre du Marais, et
n. 98. Œuvres complètes de Racine, édit. Moland, tome VII, p. 408.
99.
Jouée sur le théâtre du Marais, et imprimée avec
8. 99. Jouée sur le théâtre du Marais, et imprimée avec privilège du
30
janvier 1664. 100. La remarque est d’Auger. 101
ée sur le théâtre du Marais, et imprimée avec privilège du 30 janvier
1664.
100. La remarque est d’Auger. 101. Ces registre
le théâtre du Marais, et imprimée avec privilège du 30 janvier 1664.
100.
La remarque est d’Auger. 101. Ces registres vont
ée avec privilège du 30 janvier 1664. 100. La remarque est d’Auger.
101.
Ces registres vont du 16 avril 1663 au 6 janvier
vier 1664. 100. La remarque est d’Auger. 101. Ces registres vont du
16
avril 1663 au 6 janvier 1665. Ils constituent, pe
. 100. La remarque est d’Auger. 101. Ces registres vont du 16 avril
1663
au 6 janvier 1665. Ils constituent, pendant cette
La remarque est d’Auger. 101. Ces registres vont du 16 avril 1663 au
6
janvier 1665. Ils constituent, pendant cette péri
e est d’Auger. 101. Ces registres vont du 16 avril 1663 au 6 janvier
1665.
Ils constituent, pendant cette période, le livre
cette période, le livre de comptes de la troupe. Le premier registre (
1663-1664
) a été publié dans la Collection moliéresque par
63-1664) a été publié dans la Collection moliéresque par M. Monval en
1890.
102. Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année, page
) a été publié dans la Collection moliéresque par M. Monval en 1890.
102.
Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année, page 12. 1
moliéresque par M. Monval en 1890. 102. Ed. Thierry, Le Moliériste,
3e
année, page 12. 103. Voyez ci-devant, page 111.
r M. Monval en 1890. 102. Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année, page
12.
103. Voyez ci-devant, page 111. 104. Mercure d
Monval en 1890. 102. Ed. Thierry, Le Moliériste, 3e année, page 12.
103.
Voyez ci-devant, page 111. 104. Mercure de Fran
hierry, Le Moliériste, 3e année, page 12. 103. Voyez ci-devant, page
111.
104. Mercure de France, mai 1740. Lettre sur la
, Le Moliériste, 3e année, page 12. 103. Voyez ci-devant, page 111.
104.
Mercure de France, mai 1740. Lettre sur la vie e
ge 12. 103. Voyez ci-devant, page 111. 104. Mercure de France, mai
1740.
Lettre sur la vie et les ouvrages de Molière et s
de Molière et sur les comédiens de son temps. (Voyez édition Monval,
1887.
) 105. Voy., ci-devant, page 154. 106. Voyez Les
ère et sur les comédiens de son temps. (Voyez édition Monval, 1887.)
105.
Voy., ci-devant, page 154. 106. Voyez Les Médeci
son temps. (Voyez édition Monval, 1887.) 105. Voy., ci-devant, page
154.
106. Voyez Les Médecins au temps de Molière, par
emps. (Voyez édition Monval, 1887.) 105. Voy., ci-devant, page 154.
106.
Voyez Les Médecins au temps de Molière, par Mauri
6. Voyez Les Médecins au temps de Molière, par Maurice Raynaud, chap.
VIII
. 107. Édité par M. J.-A. Le Roy, conservateur de
z Les Médecins au temps de Molière, par Maurice Raynaud, chap. VIII.
107.
Édité par M. J.-A. Le Roy, conservateur de la bib
oy, conservateur de la bibliothèque de la ville de Versailles, Paris,
1862.
108. Ces vers de Robinet (lettre du 27 décembre
servateur de la bibliothèque de la ville de Versailles, Paris, 1862.
108.
Ces vers de Robinet (lettre du 27 décembre 1667)
ille de Versailles, Paris, 1862. 108. Ces vers de Robinet (lettre du
27
décembre 1667) sont écrits à propos de l’Alexandr
ailles, Paris, 1862. 108. Ces vers de Robinet (lettre du 27 décembre
1667
) sont écrits à propos de l’Alexandre de Racine.
du 27 décembre 1667) sont écrits à propos de l’Alexandre de Racine.
109.
Le texte n’en a pas été conservé. On n’en a que d
vé. On n’en a que des fragments dans le livret du Ballet des Muses.
110.
Voyez la lettre de Robinet du 5 novembre. 111. R
s le livret du Ballet des Muses. 110. Voyez la lettre de Robinet du
5
novembre. 111. Relation de la fête de Versailles
u Ballet des Muses. 110. Voyez la lettre de Robinet du 5 novembre.
111.
Relation de la fête de Versailles de 1668. 112.
de Robinet du 5 novembre. 111. Relation de la fête de Versailles de
1668.
112. Il y avait une longue prairie le long de la
inet du 5 novembre. 111. Relation de la fête de Versailles de 1668.
112.
Il y avait une longue prairie le long de la Seine
eine. La « rue des Pâtures ». qui subsiste, en conserve le souvenir.
113.
Le rôle d’Aglaure a deux cent trente vers, celui
s ». qui subsiste, en conserve le souvenir. 113. Le rôle d’Aglaure a
deux
cent trente vers, celui de Cidippe quatre-vingt-t
qui subsiste, en conserve le souvenir. 113. Le rôle d’Aglaure a deux
cent
trente vers, celui de Cidippe quatre-vingt-treize
ubsiste, en conserve le souvenir. 113. Le rôle d’Aglaure a deux cent
trente
vers, celui de Cidippe quatre-vingt-treize. Robin
ir. 113. Le rôle d’Aglaure a deux cent trente vers, celui de Cidippe
quatre-vingt-treize
. Robinet exagère donc. Toutefois cela donne pense
e Mlle Du Croisy joua le rôle d’Aglaure plutôt que celui de Cidippe.
114.
Voy. La Maison mortuaire de Molière, par Aug. Vit
Maison mortuaire de Molière, par Aug. Vitu ; Paris, Alphonse Lemerre,
1882.
115. Voyez ci-après, page 306. 116. Cette relat
mortuaire de Molière, par Aug. Vitu ; Paris, Alphonse Lemerre, 1882.
115.
Voyez ci-après, page 306. 116. Cette relation, s
Aug. Vitu ; Paris, Alphonse Lemerre, 1882. 115. Voyez ci-après, page
306.
116. Cette relation, sans signature, a été publi
itu ; Paris, Alphonse Lemerre, 1882. 115. Voyez ci-après, page 306.
116.
Cette relation, sans signature, a été publiée par
Considérations historiques et artistiques sur les monnaies de France,
1850,
in-8°, page 193.M..B. Fillon en envoya l’autograp
toriques et artistiques sur les monnaies de France, 1850, in-8°, page
193.M.
.B. Fillon en envoya l’autographe à M. Taschereau.
l’autographe à M. Taschereau. Cet autographe figura auMusée Molière,
15-23
mai 1873, et il est inscrit sous le n° 5 dans le
phe à M. Taschereau. Cet autographe figura auMusée Molière, 15-23 mai
1873,
et il est inscrit sous le n° 5 dans le catalogue
figura auMusée Molière, 15-23 mai 1873, et il est inscrit sous le n°
5
dans le catalogue de ce musée. 117. Voyez le Jou
1873, et il est inscrit sous le n° 5 dans le catalogue de ce musée.
117.
Voyez le Journal du voyage de deux Hollandais à P
5 dans le catalogue de ce musée. 117. Voyez le Journal du voyage de
deux
Hollandais à Paris en 1657-1658, publié par M. P.
musée. 117. Voyez le Journal du voyage de deux Hollandais à Paris en
1657-1658,
publié par M. P. Faugère ; Paris, Duprat, 1862.
ndais à Paris en 1657-1658, publié par M. P. Faugère ; Paris, Duprat,
1862.
118. Voyez ci-après, page 308. 119. Note de Bro
Paris en 1657-1658, publié par M. P. Faugère ; Paris, Duprat, 1862.
118.
Voyez ci-après, page 308. 119. Note de Brossette
é par M. P. Faugère ; Paris, Duprat, 1862. 118. Voyez ci-après, page
308.
119. Note de Brossette sur l’épître vu de Boilea
M. P. Faugère ; Paris, Duprat, 1862. 118. Voyez ci-après, page 308.
119.
Note de Brossette sur l’épître vu de Boileau, rep
eau, reproduite dans L’Iconographie moliéresque de Paul Lacroix, page
261.
120. Il mourut en venant de jouer une comédie in
eproduite dans L’Iconographie moliéresque de Paul Lacroix, page 261.
120.
Il mourut en venant de jouer une comédie intitulé
e Malade imaginaire, où il parlait des médecins. (Note de l’auteur.)
121.
Bibl. nat. Portefeuille Vallant, 13. F. Fr. 17056
médecins. (Note de l’auteur.) 121. Bibl. nat. Portefeuille Vallant,
13.
F. Fr. 17056. 122. Grimarest dit pareillement :
(Note de l’auteur.) 121. Bibl. nat. Portefeuille Vallant, 13. F. Fr.
17056.
122. Grimarest dit pareillement : « Aussitôt que
l’auteur.) 121. Bibl. nat. Portefeuille Vallant, 13. F. Fr. 17056.
122.
Grimarest dit pareillement : « Aussitôt que Moliè
nformer le roi ; Sa Majesté en fut touchée et daigna le témoigner. »
123.
Elle était née le 4 août 1665. 124. Bas de saie
esté en fut touchée et daigna le témoigner. » 123. Elle était née le
4
août 1665. 124. Bas de saie : sorte de jupe pli
fut touchée et daigna le témoigner. » 123. Elle était née le 4 août
1665.
124. Bas de saie : sorte de jupe plissée s’arrê
uchée et daigna le témoigner. » 123. Elle était née le 4 août 1665.
124.
Bas de saie : sorte de jupe plissée s’arrêtant a
5. 124. Bas de saie : sorte de jupe plissée s’arrêtant aux genoux.
125.
Juste-au-corps : espèce de veste qui va jusqu’au
squ’au genoux, qui serre le corps et montre la taille. (Furetière.)
126.
Droguet, étoffe de laine. 127. Guichard, accusé
s et montre la taille. (Furetière.) 126. Droguet, étoffe de laine.
127.
Guichard, accusé d’avoir fait la proposition d’em
tentait un procès en diffamation contre Lulli, Sébastien Aubry, etc.
128.
Registre de La Grange. 129. Voici cet acte de dé
ion contre Lulli, Sébastien Aubry, etc. 128. Registre de La Grange.
129.
Voici cet acte de décès, inscrit aux registres de
x registres des convois de la paroisse de Saint-Sulpice, pour l’année
1700,
f° 41 :« Ledit jour, 2 décembre 1700, a été fait
es des convois de la paroisse de Saint-Sulpice, pour l’année 1700, f°
41
:« Ledit jour, 2 décembre 1700, a été fait le con
la paroisse de Saint-Sulpice, pour l’année 1700, f° 41 :« Ledit jour,
2
décembre 1700, a été fait le convoi, service et e
de Saint-Sulpice, pour l’année 1700, f° 41 :« Ledit jour, 2 décembre
1700,
a été fait le convoi, service et enterrement de d
h Béjart, femme de M. François-Isaac Guérin, officier du roi, âgée de
cinquante-cinq
ans, décédée le dernier jour de novembre de la pr
éfunte, qui ont signé, Guérin, François Mignot et Jacques Raisin. »
130.
Le Mercure galant, 1e année, t. IV, p. 302. 131
érin, François Mignot et Jacques Raisin. » 130. Le Mercure galant,
1e
année, t. IV, p. 302. 131. On a récemment posé a
s Mignot et Jacques Raisin. » 130. Le Mercure galant, 1e année, t.
IV
, p. 302. 131. On a récemment posé au coin de la
acques Raisin. » 130. Le Mercure galant, 1e année, t. IV, p. 302.
131.
On a récemment posé au coin de la place du Palais
Ici s’élevait la salle de spectacle du Palais-Cardinal, inaugurée en
1641,
occupée par la troupe de Molière de 1661 à 1673 e
lais-Cardinal, inaugurée en 1641, occupée par la troupe de Molière de
1661
à 1673 et par l’Académie royale de musique depuis
rdinal, inaugurée en 1641, occupée par la troupe de Molière de 1661 à
1673
et par l’Académie royale de musique depuis 1673 j
de Molière de 1661 à 1673 et par l’Académie royale de musique depuis
1673
jusqu’à l’incendie de 1763. » 132. Histoire de
et par l’Académie royale de musique depuis 1673 jusqu’à l’incendie de
1763.
» 132. Histoire de la troupe de Molière, journ
cadémie royale de musique depuis 1673 jusqu’à l’incendie de 1763. »
132.
Histoire de la troupe de Molière, journal L’Ordr
de 1763. » 132. Histoire de la troupe de Molière, journal L’Ordre,
12
mars 1850. 133. Et ailleurs. On se rappelle la l
» 132. Histoire de la troupe de Molière, journal L’Ordre, 12 mars
1850.
133. Et ailleurs. On se rappelle la lettre de Ml
2. Histoire de la troupe de Molière, journal L’Ordre, 12 mars 1850.
133.
Et ailleurs. On se rappelle la lettre de Mlle de
50. 133. Et ailleurs. On se rappelle la lettre de Mlle de Sévigné du
20
février 1671 ; « Des capucins, pleins de charité
t ailleurs. On se rappelle la lettre de Mlle de Sévigné du 20 février
1671
; « Des capucins, pleins de charité et d’adresse,
et d’adresse, travaillèrent si bien qu’ils coupèrent le feu, etc. »
134.
Ils avaient leur couvent dans la rue qui est aujo
uvent dans la rue qui est aujourd’hui la rue de l’École-de-Médecine.
135.
Le Théâtre français, page 85. 136. Voyez page 4
d’hui la rue de l’École-de-Médecine. 135. Le Théâtre français, page
85.
136. Voyez page 40. 137. Voyez Recherches sur M
la rue de l’École-de-Médecine. 135. Le Théâtre français, page 85.
136.
Voyez page 40. 137. Voyez Recherches sur Molière
le-de-Médecine. 135. Le Théâtre français, page 85. 136. Voyez page
40.
137. Voyez Recherches sur Molière, par E. Soulié
-Médecine. 135. Le Théâtre français, page 85. 136. Voyez page 40.
137.
Voyez Recherches sur Molière, par E. Soulié, p. 2
page 40. 137. Voyez Recherches sur Molière, par E. Soulié, p. 247.
138.
Voyez p. 36. 139. Elle avait cinquante et un ans
ez Recherches sur Molière, par E. Soulié, p. 247. 138. Voyez p. 36.
139.
Elle avait cinquante et un ans, si, comme on peut
r Molière, par E. Soulié, p. 247. 138. Voyez p. 36. 139. Elle avait
cinquante
et un ans, si, comme on peut le conjecturer, elle
quante et un ans, si, comme on peut le conjecturer, elle était née en
1624.
140. Voyez page 229. 141. Histoire du Théâtre
et un ans, si, comme on peut le conjecturer, elle était née en 1624.
140.
Voyez page 229. 141. Histoire du Théâtre frança
omme on peut le conjecturer, elle était née en 1624. 140. Voyez page
229.
141. Histoire du Théâtre français, tome XI, p.
n peut le conjecturer, elle était née en 1624. 140. Voyez page 229.
141.
Histoire du Théâtre français, tome XI, p. 305.
1624. 140. Voyez page 229. 141. Histoire du Théâtre français, tome
XI
, p. 305. 142. Nouvelles pièces sur Molière et s
oyez page 229. 141. Histoire du Théâtre français, tome XI, p. 305.
142.
Nouvelles pièces sur Molière et sur quelques com
s pièces sur Molière et sur quelques comédiens de sa troupe, p. 178.
143.
Il avait quarante-huit ans. 144. La Prison de M
olière et sur quelques comédiens de sa troupe, p. 178. 143. Il avait
quarante-huit
ans. 144. La Prison de M. Dassoucy, Paris, Quen
es comédiens de sa troupe, p. 178. 143. Il avait quarante-huit ans.
144.
La Prison de M. Dassoucy, Paris, Quenel, 1678.
it quarante-huit ans. 144. La Prison de M. Dassoucy, Paris, Quenel,
1678.
145. DORIMENE Mon Dieu, Dorante, il faut des d
ante-huit ans. 144. La Prison de M. Dassoucy, Paris, Quenel, 1678.
145.
DORIMENE Mon Dieu, Dorante, il faut des deux pa
Paris, Quenel, 1678. 145. DORIMENE Mon Dieu, Dorante, il faut des
deux
parts bien des qualités pour vivre heureusement e
eux parts bien des qualités pour vivre heureusement ensemble ; et les
deux
plus raisonnables personnes du monde ont souvent
une union dont ils soient satisfaits Le Bourgeois gentilhomme, acte
III
scène XVII. 146. Mlle Molière, lorsque la comé
dont ils soient satisfaits Le Bourgeois gentilhomme, acte III scène
XVII
. 146. Mlle Molière, lorsque la comédie s’établ
soient satisfaits Le Bourgeois gentilhomme, acte III scène XVII.
146.
Mlle Molière, lorsque la comédie s’établit à l’hô
Mlle Molière, lorsque la comédie s’établit à l’hôtel de Guénégaud, en
1673,
loua le 16 août, par bail de six ans, avec Aubry
lorsque la comédie s’établit à l’hôtel de Guénégaud, en 1673, loua le
16
août, par bail de six ans, avec Aubry et Genevièv
établit à l’hôtel de Guénégaud, en 1673, loua le 16 août, par bail de
six
ans, avec Aubry et Geneviève Béjart, l’hôtel d’Ar
au théâtre. (Jules Bonassies, La Fameuse comédienne ; Paris, Barraud,
1870,
p. XX.) 147. Voyez page 332. 148. Voyez Broucho
les Bonassies, La Fameuse comédienne ; Paris, Barraud, 1870, p. XX.)
147.
Voyez page 332. 148. Voyez Brouchoud, Les Origin
a Fameuse comédienne ; Paris, Barraud, 1870, p. XX.) 147. Voyez page
332.
148. Voyez Brouchoud, Les Origines du théâtre de
use comédienne ; Paris, Barraud, 1870, p. XX.) 147. Voyez page 332.
148.
Voyez Brouchoud, Les Origines du théâtre de Lyon,
332. 148. Voyez Brouchoud, Les Origines du théâtre de Lyon, p. 55.
149.
Voyez ci-devant, p. 60. 150. Orazio (Romagnesi).
es Origines du théâtre de Lyon, p. 55. 149. Voyez ci-devant, p. 60.
150.
Orazio (Romagnesi). 151. La Grange, sur son regi
Lyon, p. 55. 149. Voyez ci-devant, p. 60. 150. Orazio (Romagnesi).
151.
La Grange, sur son registre, désigne le mardi 4 n
azio (Romagnesi). 151. La Grange, sur son registre, désigne le mardi
4
novembre. Il se trompe d’une semaine. 152. Voyez
n registre, désigne le mardi 4 novembre. Il se trompe d’une semaine.
152.
Voyez la demande de permission de séjour faite pa
e séjour faite par Jacques ou Giacomo de Gorla au consulat de Lyon le
20
décembre 1635, dans Le Moliériste du mois d’octob
te par Jacques ou Giacomo de Gorla au consulat de Lyon le 20 décembre
1635,
dans Le Moliériste du mois d’octobre 1882. Marqui
lat de Lyon le 20 décembre 1635, dans Le Moliériste du mois d’octobre
1882.
Marquise-Thérèse pourrait bien, par conséquent, ê
it bien, par conséquent, être née à Lyon. Son acte de décès lui donne
vingt-cinq
ans en 1638. Elle serait née. par conséquent, en
quent, être née à Lyon. Son acte de décès lui donne vingt-cinq ans en
1638.
Elle serait née. par conséquent, en 1643 ; elle s
lui donne vingt-cinq ans en 1638. Elle serait née. par conséquent, en
1643
; elle se serait mariée à dix ans. Ce qui n’est p
8. Elle serait née. par conséquent, en 1643 ; elle se serait mariée à
dix
ans. Ce qui n’est pas possible. L’acte de décès d
x ans. Ce qui n’est pas possible. L’acte de décès doit la rajeunir de
cinq
ou six ans. 153. Voyez page 78. 154. L’estampe
e qui n’est pas possible. L’acte de décès doit la rajeunir de cinq ou
six
ans. 153. Voyez page 78. 154. L’estampe est rep
t pas possible. L’acte de décès doit la rajeunir de cinq ou six ans.
153.
Voyez page 78. 154. L’estampe est reproduite dan
L’acte de décès doit la rajeunir de cinq ou six ans. 153. Voyez page
78.
154. L’estampe est reproduite dans le volume de
e de décès doit la rajeunir de cinq ou six ans. 153. Voyez page 78.
154.
L’estampe est reproduite dans le volume de M. Pau
ns, usages et costumes, publié à la librairie A.-F. Didot, in-4, page
311.
155. Voyez page 103. 156. Variante : Allez, bel
ages et costumes, publié à la librairie A.-F. Didot, in-4, page 311.
155.
Voyez page 103. 156. Variante : Allez, belle mar
, publié à la librairie A.-F. Didot, in-4, page 311. 155. Voyez page
103.
156. Variante : Allez, belle marquise. C’est la
ié à la librairie A.-F. Didot, in-4, page 311. 155. Voyez page 103.
156.
Variante : Allez, belle marquise. C’est la pièce
B. A. T., ou ailleurs : Sur le départ de mademoiselle la marquise de
C.
A. B. Il n’y a là, selon nous, qu’une façon de dé
eu la qualité réelle de la personne à qui ces vers étaient adressés.
157.
Racine. 158. Mignard. 159. Voyez la note 2 de l
réelle de la personne à qui ces vers étaient adressés. 157. Racine.
158.
Mignard. 159. Voyez la note 2 de la page 356. 1
rsonne à qui ces vers étaient adressés. 157. Racine. 158. Mignard.
159.
Voyez la note 2 de la page 356. 160. Voyez p. 90
rs étaient adressés. 157. Racine. 158. Mignard. 159. Voyez la note
2
de la page 356. 160. Voyez p. 90. 161. Recueill
ressés. 157. Racine. 158. Mignard. 159. Voyez la note 2 de la page
356.
160. Voyez p. 90. 161. Recueillie par les frère
. 157. Racine. 158. Mignard. 159. Voyez la note 2 de la page 356.
160.
Voyez p. 90. 161. Recueillie par les frères Parf
8. Mignard. 159. Voyez la note 2 de la page 356. 160. Voyez p. 90.
161.
Recueillie par les frères Parfait, dans L’Histoir
lie par les frères Parfait, dans L’Histoire du Théâtre français, tome
XII
, page 472. 162. Portraits des comédiennes de l’h
s frères Parfait, dans L’Histoire du Théâtre français, tome XII, page
472.
162. Portraits des comédiennes de l’hôtel de Gué
es Parfait, dans L’Histoire du Théâtre français, tome XII, page 472.
162.
Portraits des comédiennes de l’hôtel de Guénégaud
ennes de l’hôtel de Guénégaud, à la suite de La Fameuse Comédienne.
163.
Le théâtre français, Chapuzeau, p. 197 – 198. 1
Fameuse Comédienne. 163. Le théâtre français, Chapuzeau, p. 197 –
198.
164. Le théâtre français, p. 282. 165. Aventu
se Comédienne. 163. Le théâtre français, Chapuzeau, p. 197 – 198.
164.
Le théâtre français, p. 282. 165. Aventures d’
ançais, Chapuzeau, p. 197 – 198. 164. Le théâtre français, p. 282.
165.
Aventures d’Italie, ch. XII. 166. Il est vrai q
8. 164. Le théâtre français, p. 282. 165. Aventures d’Italie, ch.
XII
. 166. Il est vrai que Dassoucy prétend que c’est
4. Le théâtre français, p. 282. 165. Aventures d’Italie, ch. XII.
166.
Il est vrai que Dassoucy prétend que c’est Beys q
t vrai que Dassoucy prétend que c’est Beys qui lui faisait des vers.
167.
Dossier de La Grange, n° VI. 168. Voyez ci-devan
e c’est Beys qui lui faisait des vers. 167. Dossier de La Grange, n°
VI
. 168. Voyez ci-devant, note 1, p. 111 et p. 294.
st Beys qui lui faisait des vers. 167. Dossier de La Grange, n° VI.
168.
Voyez ci-devant, note 1, p. 111 et p. 294. 169.
vers. 167. Dossier de La Grange, n° VI. 168. Voyez ci-devant, note
1,
p. 111 et p. 294. 169. Voyez la notice sur Bréco
e La Grange, n° VI. 168. Voyez ci-devant, note 1, p. 111 et p. 294.
169.
Voyez la notice sur Brécourt, Le Jaloux invisible
olière, dans Les contemporains de Molière, publiés par M. Fournel, t.
I
, p. 478. Voyez aussi un article de M. Georges Mon
aussi un article de M. Georges Monval dans Le Moliériste de novembre
1883.
170. P. 259. 171. Voyez ci-devant p. 287. 172.
un article de M. Georges Monval dans Le Moliériste de novembre 1883.
170.
P. 259. 171. Voyez ci-devant p. 287. 172. Deppi
M. Georges Monval dans Le Moliériste de novembre 1883. 170. P. 259.
171.
Voyez ci-devant p. 287. 172. Depping, Correspond
ériste de novembre 1883. 170. P. 259. 171. Voyez ci-devant p. 287.
172.
Depping, Correspondance administrative sous Louis
87. 172. Depping, Correspondance administrative sous Louis XIV, tome
IV
, page 571. 173. Œuvres diverses de M. de Segrai
Depping, Correspondance administrative sous Louis XIV, tome IV, page
571.
173. Œuvres diverses de M. de Segrais ; édition
ng, Correspondance administrative sous Louis XIV, tome IV, page 571.
173.
Œuvres diverses de M. de Segrais ; édition d’Ams
e 571. 173. Œuvres diverses de M. de Segrais ; édition d’Amsterdam,
1722,
t. I, p. 173. 174. Voici les noms des acteurs e
73. Œuvres diverses de M. de Segrais ; édition d’Amsterdam, 1722, t.
I
, p. 173. 174. Voici les noms des acteurs et des
iverses de M. de Segrais ; édition d’Amsterdam, 1722, t. I, p. 173.
174.
Voici les noms des acteurs et des actrices qui co
éac et Champeron : machinistes (c’est ainsi que La Grange désigne ces
deux
personnages). En tout, vingt et un sociétaires qu
es (c’est ainsi que La Grange désigne ces deux personnages). En tout,
vingt
et un sociétaires qui avaient ensemble dix-sept p
x personnages). En tout, vingt et un sociétaires qui avaient ensemble
dix-sept
parts et demie, et auxquels il faut ajouter un pe
r un pensionnaire.« Le produit des recettes, disait encore Fleury, en
1771.
se répartit entre les acteurs sociétaires dans de
, on procède au partage dans l’échelle de proportion établie. »
175.
Ces noms sont les suivants : Sieurs : Champmeslé,
ebrie, Dennebaut, Dupin, Guyot, Angélique Du Croisy, Raisin. En tout,
quinze
acteurs et douze actrices intervenant dans la soc
Dupin, Guyot, Angélique Du Croisy, Raisin. En tout, quinze acteurs et
douze
actrices intervenant dans la société pour vingt e
ut, quinze acteurs et douze actrices intervenant dans la société pour
vingt
et une parts et un quart. 176. Ce système d’a
intervenant dans la société pour vingt et une parts et un quart.
176.
Ce système d’amélioration ne paraît pas avoir eu
i-même. On lit dans le Journal du marquis de Dangeau, sous la date du
9
octobre 1700 : « Le roi, qui n’avait paru à aucun
lit dans le Journal du marquis de Dangeau, sous la date du 9 octobre
1700
: « Le roi, qui n’avait paru à aucune comédie dep
puis longtemps, vit, dans la tribune de la duchesse de Bourgogne, les
trois
premiers actes de L’Avare ; mais il ne trouva pas
ressa fort de rester jusqu’à la fin, mais il ne put s’y résoudre. »
177.
Avocat alors en renom. 178. Page 120, note 1. 1
la fin, mais il ne put s’y résoudre. » 177. Avocat alors en renom.
178.
Page 120, note 1. 179. Mémoire des principaux ac
is il ne put s’y résoudre. » 177. Avocat alors en renom. 178. Page
120,
note 1. 179. Mémoire des principaux actes de ver
ut s’y résoudre. » 177. Avocat alors en renom. 178. Page 120, note
1.
179. Mémoire des principaux actes de vertu qu’un
’y résoudre. » 177. Avocat alors en renom. 178. Page 120, note 1.
179.
Mémoire des principaux actes de vertu qu’une pers
qu’une personne de probité a remarqués en feu Monseigneur le Dauphin (
1712
).
de lettrés qui ont le culte de Molière ; aussi n’a-t-il été tiré qu’à
cent
cinquante exemplaires. J’y ai réuni quelques arti
ttrés qui ont le culte de Molière ; aussi n’a-t-il été tiré qu’à cent
cinquante
exemplaires. J’y ai réuni quelques articles auxqu
qu’un succès pareil fût réservé à la proposition qu’on lira dans mes
deux
dernières pages, celle de créer à Paris un Musée-
tenue pour terminée. Enfin, j’ai discuté à nouveau dans ces articles
deux
questions sur lesquelles on n’est pas près de s’a
is vu conduit et comme contraint à y revenir par le retentissement de
deux
études récentes, où elles sont traitées avec tale
assez maintenant pour se croire dispensé d’y prêter encore attention.
18
mars 1886. I. Fanatiques et détracteurs de Mol
intenant pour se croire dispensé d’y prêter encore attention. 18 mars
1886.
I. Fanatiques et détracteurs de Molière. J
pour se croire dispensé d’y prêter encore attention. 18 mars 1886.
I
. Fanatiques et détracteurs de Molière. Je ne
tent pris à la longue d’un certain agacement nerveux. C’était, il y a
trois
ans, le fait de M. Ed. Scherer : c’est le fait au
s moliéristes trop exclusifs, si Molière a plus d’admirateurs que ses
deux
grands rivaux dramatiques, il le doit justement a
ournissaient à sa verve comique, si l’on ignore enfin sa liaison avec
trois
célèbres médecins, qui durent l’aider de leurs re
d’une élude sur Molière publiée dans le numéro du journal le Temps du
19
mars 1882, et dont celle qui m’occupe en ce momen
ude sur Molière publiée dans le numéro du journal le Temps du 19 mars
1882,
et dont celle qui m’occupe en ce moment nous rend
et tourne la justice. (Acte
V
, sc. I.) Vauvenargues est plus rigoureux encore
rne la justice. (Acte V, sc.
I
.) Vauvenargues est plus rigoureux encore : « Il
e tâche que j’ai déjà remplie plusieurs fois dans le journal le Temps
4,
en les entretenant des découvertes les plus récen
qu’elles réclament, les contradictions qu’elles peuvent soulever.
II
. La belle-mère de Molière. Il y a, dans la vi
II. La belle-mère de Molière. Il y a, dans la vie de Molière,
deux
problèmes qu’on pourra discuter tant qu’on voudra
uelle on s’arrête : le premier est l’origine de celle qu’il épousa le
29
février 1662, le second celui des dérèglements im
arrête : le premier est l’origine de celle qu’il épousa le 29 février
1662,
le second celui des dérèglements imputés à cette
n touche à la délicatesse, l’autre à la dignité du poète, et tous les
deux
à son honneur. Il n’est pas douteux, bien qu’Édou
ce de Claire - Armande - Grésinde - Élisabeth Béjart, c’est-à-dire en
1643,
Molière ne fût déjà en liaison réglée avec la fam
aurait, à tout le moins, épousé la fille ou la sœur de sa maîtresse,
deux
cas sociaux qui, pour n’être pas sans exemple, ne
de la plaider à nouveau dans la Revue des Deux-Mondes, où il a publié
deux
articles, l’un sur Madeleine Béjart, l’autre sur
Qu’on se rappelle la communauté d’intérêts qui unit si longtemps les
deux
chefs de la troupe de 1’Illustre théâtre, leurs l
nauté d’intérêts qui unit si longtemps les deux chefs de la troupe de
1’Illustre
théâtre, leurs longues pérégrinations dans le Mid
ans les granges, lui jeune et ardent, elle nullement farouche, mère à
vingt
ans d’une petite fille dont le père est M. de Mod
l a épousé la fille. » Voilà, d’un seul coup et dans une même phrase,
deux
faits qu’on s’ingénie aujourd’hui à révoquer en d
de celle-ci envers Armande. Ajoutons que l’opinion de Boileau sur ces
deux
points a été celle de tout le monde pendant un si
tant toute créance. Or, cet acte est mensonger en effet ; il contient
deux
déclarations fausses, et voici dans quelles circo
oici dans quelles circonstances il a été fait. Vers la fin de l’année
1642,
la famille Béjart a quitté sa résidence urbaine e
. Qui l’a mise au monde ? Est-ce la femme Béjart-Hervé, alors âgée de
cinquante-trois
ans ? Est-ce sa fille Madeleine, qui n’en a que v
ée de cinquante-trois ans ? Est-ce sa fille Madeleine, qui n’en a que
vingt-cinq
? Bien des raisons se réunissent pour l’attribuer
ave embarras ! car Joseph, l’aîné de la famille, alors âgé de plus de
vingt-six
ans, et le plus proche parent dans la ligne pater
hargé de convoquer le conseil de famille, passer pour âgé de moins de
vingt-cinq
ans, et Madeleine aussi, par contre-coup, car, si
forte raison faut-il qu’elle le soit aussi : il n’y a d’ailleurs que
deux
mois et demi qu’elle a dépassé l’âge auquel la co
s fixe la majorité. Ce beau plan réussit à merveille. Au mois de mars
1643,
la veuve Béjart, qui, bien qu’absente temporairem
ant civil Antoine Ferrand. Elle lui déclare que son mari lui a laissé
cinq
enfants tous encore mineurs : Joseph, Madeleine,
issé cinq enfants tous encore mineurs : Joseph, Madeleine, Geneviève,
Louis
et une petite fille non encore baptisée, et elle
e la loi devait exiger plus tard ; quelques mois de plus ou de moins,
deux
ou trois ans même, ne faisaient pas une affaire.
devait exiger plus tard ; quelques mois de plus ou de moins, deux ou
trois
ans même, ne faisaient pas une affaire. Donc, si
moins, deux ou trois ans même, ne faisaient pas une affaire. Donc, si
deux
des enfants Béjart se rajeunirent de parti pris,
cette complication de procédure ; un acte pouvait suffire au lieu de
trois
; on n’en fit qu’un. Voilà, ce semble, leur seul
r, n’avait-elle pas l’âge requis pour les émancipations, c’est-à-dire
dix-sept
ans, selon les usages de Paris ? Si la veuve Béja
i la veuve Béjart, le jour où elle fit nommer un subrogé-tuteur à ses
cinq
enfants, avait dit au lieutenant civil, un haut f
le bras droit du prévôt de Paris, si elle avait dit à ce juge : « Les
deux
aînés ont dépassé vingt-cinq ans ; mais, pour sim
de Paris, si elle avait dit à ce juge : « Les deux aînés ont dépassé
vingt-cinq
ans ; mais, pour simplifier et ne faire qu’un seu
rat. Si je souscris à votre proposition, tous les engagements que vos
deux
aînés ont consentis depuis leur majorité réelle p
par un seul acte, et, pour ce qui est des frais, quand même on ferait
trois
renonciations distinctes, ils seraient encore ins
it écu pour chacun. Votre fille, dites-vous, n’est majeure que depuis
deux
mois. Qu’importe ? Ignorez-vous d’ailleurs que, d
de comparaître ici : c’est à lui d’accepter une charge qui peut durer
vingt-cinq
ans, non à un étranger, qui ne saurait prendre in
ude de la fausse maternité. Elle éclate, cette fausse maternité, dans
deux
autres actes importants, le contrat de mariage de
libéralité. M. Larroumet lui-même n’est pas éloigné de croire que les
dix
mille livres, montant de la dot, furent fournies
ralité. M. Larroumet lui-même n’est pas éloigné de croire que les dix
mille
livres, montant de la dot, furent fournies par Ma
Non ; car, en pareil cas, le contrat est quittancé ; on n’attend pas
quatre
mois pour constater le payement d’une dot fictive
clause dut paraître dure à la femme de Molière, et le codicille fait
trois
jours avant le décès de Madeleine, et qu’elle n’e
itée que ton frère et ta sœur, à chacun desquels tu laisses seulement
400
livres de rente viagère ! Que m’importe que mes e
urs bénéfices annuels que de leur avoir, se faire quelque chose comme
vingt-cinq
ou trente mille livres de rente, environ 180,000
annuels que de leur avoir, se faire quelque chose comme vingt-cinq ou
trente
mille livres de rente, environ 180,000 francs de
que de leur avoir, se faire quelque chose comme vingt-cinq ou trente
mille
livres de rente, environ 180,000 francs de nos jo
elque chose comme vingt-cinq ou trente mille livres de rente, environ
180,000
francs de nos jours. Au contraire, Joseph et Gene
t la sœur de Madeleine, étaient loin de vivre dans l’opulence. Quand,
six
mois après le décès de sa sœur, Geneviève, veuve
ait guère d’autres moyens d’existence que son talent d’artiste et les
400
livres de pension viagère que lui avait légués sa
fils ! Car elle avait un enfant de son premier mariage, un fils d’une
dizaine
d’années, Jean-Baptiste de Loménie. Si ce fait im
e point rancune à Molière et à sa femme, et quand elle se remarie, le
5
septembre 1672, le poète assiste à son contrat :
une à Molière et à sa femme, et quand elle se remarie, le 5 septembre
1672,
le poète assiste à son contrat : Armande, sur le
cas puisse faire un esprit sage, c’est de suspendre son jugement.
III
. Les infortunes conjugales de Molière. Autant
t les mœurs de la jeune femme à laquelle Molière, plus âgé qu’elle de
vingt
ans, eut le tort et le malheur d’associer sa vie,
e à d’amples controverses. Bien que Grimarest, dont le livre parut en
1705,
eût affecté de prendre sa défense, par ménagement
re, l’un d’eux faisait remarquer, dans un recueil autorisé, qu’a part
deux
ou trois allusions on n’a contre Armande Béjart q
d’eux faisait remarquer, dans un recueil autorisé, qu’a part deux ou
trois
allusions on n’a contre Armande Béjart que deux d
é, qu’a part deux ou trois allusions on n’a contre Armande Béjart que
deux
dépositions contemporaines, toutes deux bien susp
n’a contre Armande Béjart que deux dépositions contemporaines, toutes
deux
bien suspectes. Les allusions partent de Montfleu
à ce genre de plaisanterie. Je ne m’y arrête pas autrement ; mais les
deux
dépositions contemporaines (et c’est trois qu’il
te pas autrement ; mais les deux dépositions contemporaines (et c’est
trois
qu’il aurait fallu dire) méritent une tout autre
Guichard et pourquoi Lulli l’accusa de vouloir attenter à sa vie.
IV
. L’affaire Guichard. Henri Guichard portait l
ans, frère unique du roi. De Visé raconte, dans son Mercure galant de
1673,
une fête donnée à la cour par Monsieur dans son c
, et où les feux et les cascades étaient réfléchis à l’infini par des
milliers
de miroirs convergents. Elle avait été organisée
, est le premier opéra français régulier qui ait été joué à Paris. Le
28
juin 1669, Perrin obtint des lettres patentes por
premier opéra français régulier qui ait été joué à Paris. Le 28 juin
1669,
Perrin obtint des lettres patentes portant permis
aume de la Bouteille, rue Mazarine, en face de la rue Guénégaud : les
trois
associés firent construire là un théâtre. Mais bi
rt peu d’emplois dont je ne sois en passe. Il obtint donc du roi, le
29
mars 1672, des lettres patentes qui lui transféra
’emplois dont je ne sois en passe. Il obtint donc du roi, le 29 mars
1672,
des lettres patentes qui lui transféraient le pri
préjudice. Conformément aux volontés royales, un arrêt de la Cour, du
27
juin 1672, ordonna l’enregistrement des lettres p
e. Conformément aux volontés royales, un arrêt de la Cour, du 27 juin
1672,
ordonna l’enregistrement des lettres patentes acc
Lulli et Guichard furent en hostilité déclarée. Hommes d’esprit tous
deux
, leur guerre, avant d’éclater devant les tribunau
de ce monstrueux monopole, il lui fallait une salle pour l’exploiter.
Huit
mois après justement, Molière, qui jouissait de l
t lié avec Baptiste, comme on appelait Lulli, et lui avait même prêté
onze
mille livres remboursables à la volonté du débite
avec Baptiste, comme on appelait Lulli, et lui avait même prêté onze
mille
livres remboursables à la volonté du débiteur. C’
térisaient, il commença par faire interdire à son ami d’avoir plus de
six
violons dans son orchestre ; puis il commanda à Q
avec une rapidité brutale : les pauvres comédiens n’avaient joué que
douze
fois depuis la mort de leur illustre directeur, q
mbert et le marquis de Sourdéac, et qui leur fut affermée à raison de
2,400
livres par an. Ils durent de plus donner une part
es à M. de Sourdéac et une autre à M. de Champéron, son associé, tous
deux
qualifiés de machinistes dans la liste des sociét
ux qualifiés de machinistes dans la liste des sociétaires inscrits en
1676
sur le registre de La Grange, et compter au premi
registre de La Grange, et compter au premier pour prix de son théâtre
14,000
livres qui leur furent prêtées par « M. Boudet, t
00 livres qui leur furent prêtées par « M. Boudet, tapissier du roi »
7,
oncle et subrogé tuteur de la fille de Molière. C
, oncle et subrogé tuteur de la fille de Molière. Ce prêt fut fait le
23
mai 1673. La veille, Lulli, qui avait hâte de se
et subrogé tuteur de la fille de Molière. Ce prêt fut fait le 23 mai
1673.
La veille, Lulli, qui avait hâte de se débarrasse
e se débarrasser du fardeau de la reconnaissance, avait remboursé les
11,000
livres que le poète lui avait prêtées trois ans a
nce, avait remboursé les 11,000 livres que le poète lui avait prêtées
trois
ans auparavant, et ce fut évidemment avec partie
ait, lui dépossédé de son privilège, elle de son théâtre, et tous les
deux
par les intrigues du musicien italien. Au mois de
s les deux par les intrigues du musicien italien. Au mois de novembre
1674,
Armande donnait un grand dîner servi par de nombr
Armande donnait un grand dîner servi par de nombreux domestiques des
deux
sexes, car elle avait conservé, quoique veuve dep
stiques des deux sexes, car elle avait conservé, quoique veuve depuis
vingt
mois déjà, un grand train de maison. Henri Guicha
rain de maison. Henri Guichard assistait à ce festin, en compagnie de
deux
de ses parents, de plusieurs camarades de Mlle Mo
actrice à l’Opéra, et il donne même à entendre dans son factum d’août
1676
que l’accusation dont il fut l’objet de la part d
Pendant le repas, la conversation tomba naturellement sur Lulli, dont
deux
convives au moins avaient tant à se plaindre, et
la place de garde et surveillant de son théâtre aux appointements de
1,800
livres. L’instruction fut longue et prit une tour
ut pas toutefois sans précautions ni longues hésitations. Pendant les
quatre
premiers mois qui suivirent l’incarcération de Gu
ar eux connus. Celui que Lulli avait obtenu fut lu au mois de juillet
1675,
et c’est seulement à la fin de septembre que la v
le, et il est étonnant que personne ne l’ait encore relevée. Trots ou
quatre
ans après la mort de Molière, Guichard connaissai
rait à la publicité un fait que Beffara passe pour avoir découvert en
1821,
à savoir qu’Armande était non la fille de Madelei
ulevait dans son âme, de n’avoir pu parler avec plus de retenue (page
2
). Du reste, il faut dire, à sa décharge, que Lull
que rien ne justifia. Ils avancèrent encore que Guichard, en l’année
1669,
avait volé et emporté les ornements de l’église d
r obtenir que Me Jacques Defita, lieutenant criminel au Châtelet, fît
deux
enquêtes successives dans le monastère, bien que,
dans leur maison. Leur certificat est imprimé tout au long à la page
14
de la réponse de Guichard. Ce dernier nous révèle
juges récusés pardonnent plus rarement encore. La cour, par arrêt du
16
mai 1676, rendu après des plaidoiries qui durèren
récusés pardonnent plus rarement encore. La cour, par arrêt du 16 mai
1676,
rendu après des plaidoiries qui durèrent cinq aud
r, par arrêt du 16 mai 1676, rendu après des plaidoiries qui durèrent
cinq
audiences, ordonna que le procès serait continué
a que le procès serait continué par le lieutenant criminel ; puis, le
17
septembre, ce juge rendit une sentence qui déclar
fondée. On remarquera la sévérité avec laquelle la justice frappait à
deux
reprises deux accusateurs d’Armande9. » L’autre a
arquera la sévérité avec laquelle la justice frappait à deux reprises
deux
accusateurs d’Armande9. » L’autre accusateur étai
droit de continuer le procès criminel. Cet arrêt se terminait par ces
cinq
ou six petits mots qui auraient dû modérer sa joi
continuer le procès criminel. Cet arrêt se terminait par ces cinq ou
six
petits mots qui auraient dû modérer sa joie : « s
us. Son adversaire interjeta appel en effet, et la cour, par arrêt du
12
avril 1677, mit la sentence à néant, et, faisant
dversaire interjeta appel en effet, et la cour, par arrêt du 12 avril
1677,
mit la sentence à néant, et, faisant droit sur le
tenu aucune réparation des injures qui lui avaient été prodiguées.
V.
L’histoire de la Guérin. Comme on a pu s’en c
, M. Bazin avait déjà essayé de la fournir, il y a maintenant près de
quarante
ans, et la voici résumée en quelques lignes. Le p
bord, mais. à Versailles, pendant les fêtes brillantes données en mai
1664,
que la Princesse d’Elide fut représentée pour la
la première fois. M. Bazin remarquait de plus qu’à cette époque, des
trois
amants prêtés à la Molière par le libelle, l’un,
e qu’on a écrit depuis sur ce sujet n’est que le développement de ces
deux
courtes observations. Mais le judicieux auteur de
de Prosper Marchand, article que M. Walkenaër déclare très exact.
VI
. La vérité sur Mme Molière. Guichard est un e
date approximative de la note, qui doit avoir été écrite vers l’année
1666,
après la première représentation du, époque où Mo
elle appela la garde qui arrêta le malencontreux président. C’est, à
cent
dix ans de distance, comme une première répétitio
appela la garde qui arrêta le malencontreux président. C’est, à cent
dix
ans de distance, comme une première répétition de
rrestation, mis en liberté sous caution. Une sentence du Châtelet, du
17
septembre 1675, confirmée un mois après par la co
is en liberté sous caution. Une sentence du Châtelet, du 17 septembre
1675,
confirmée un mois après par la cour, le condamna
rigantes dont il avait été dupe furent plus durement traitées. Toutes
deux
devaient être fustigées, nues, devant la principa
tion, il est certain que Mlle Molière ne fut pas une Lucrèce11. »
VII
. Un beau trait controversé. M. Auguste Vitu n
les titres. C’est le moliériste qui a prouvé que Molière mourut au n°
40
de la rue Richelieu, mais c’est l’archéologue qui
Il eût évité l’ennui de s’entendre dire qu’il avait consacré moins de
40
pages à son sujet et plus de 400 à ce qui ne l’es
re dire qu’il avait consacré moins de 40 pages à son sujet et plus de
400
à ce qui ne l’est pas ; et l’ouvrage, qui est for
istoire de Paris, et l’on ne pourrait dire, tant il sait associer les
deux
qualités, si c’est le disciple de Taschereau ou c
t-Honoré et de la rue des Vieilles-Étuves, aujourd’hui rue Sauvai. Le
30
septembre 1638, son père, Jean Pocquelin, qui ven
e la rue des Vieilles-Étuves, aujourd’hui rue Sauvai. Le 30 septembre
1638,
son père, Jean Pocquelin, qui venait d’épouser en
cette maison. M. Vitu cite en effet divers baux desquels il résulte :
1°
Que Pocquelin père n’a dû prendre personnellement
ellement possession de cet immeuble qu’après la Saint-Jean de l’année
1643.
A cette époque, son fils, séparé de lui, selon to
on fils, séparé de lui, selon toute vraisemblance, au moins depuis le
6
janvier précédent, époque où il s’était fait rend
au Marais, avec sa nouvelle famille, les Béjart, ou tout près d’elle.
2°
Que Molière, qui n’est pas né aux piliers des Hal
au voisinage immédiat de la rue Mauconseil et de l’hôtel de Bourgogne
12
. » Trente-cinq ans après que Pocquelin père en
nage immédiat de la rue Mauconseil et de l’hôtel de Bourgogne 12 . »
Trente-cinq
ans après que Pocquelin père en fut devenu propri
naître, et sous le nom de son ami le savant Jacques Rohault, prêta en
deux
fois à son père les dix mille livres que devaient
son ami le savant Jacques Rohault, prêta en deux fois à son père les
dix
mille livres que devaient coûter les travaux, et
ami le savant Jacques Rohault, prêta en deux fois à son père les dix
mille
livres que devaient coûter les travaux, et pour l
aux, et pour lesquelles ce dernier constitua une rente perpétuelle de
cinq
cents livres au profit de Rohault, qui la rétrocé
et pour lesquelles ce dernier constitua une rente perpétuelle de cinq
cents
livres au profit de Rohault, qui la rétrocéda tou
rement, et il a presque réussi à retourner l’opinion sur ce point. Le
15
janvier 1881, jour anniversaire de la naissance d
il a presque réussi à retourner l’opinion sur ce point. Le 15 janvier
1881,
jour anniversaire de la naissance de Molière, M.
te autre conséquence que de savoir si le grand comique est mort au n°
42
ou bien au n° 40 de la rue Richelieu. « Les cond
nce que de savoir si le grand comique est mort au n° 42 ou bien au n°
40
de la rue Richelieu. « Les conditions du contrat
elieu. « Les conditions du contrat, disait M. Vitu dans le Figaro du
16
janvier 1881, étaient fort serrées et fort dures.
es conditions du contrat, disait M. Vitu dans le Figaro du 16 janvier
1881,
étaient fort serrées et fort dures. Non seulement
cte de prévoyance. » Pocquelin père, quand il fit cet emprunt, avait
soixante-quatorze
ans ; il était sur le bord de sa tombe, car il mo
atorze ans ; il était sur le bord de sa tombe, car il mourut moins de
six
mois après le premier prêt fait par Rohault et de
il mourut moins de six mois après le premier prêt fait par Rohault et
deux
mois seulement après le second, c’est-à-dire au m
ent à leur terme. Sans l’obligation à lui imposée de fournir dans les
trois
mois les marchés et devis représentant la somme p
ré de mercenaires, car ses héritiers autres que son fils aîné étaient
trois
enfants mineurs ? Molière ne voulait qu’une chose
reux, si vieux et si délabrés, qu’ils ne furent à sa mort estimés que
1,263
livres 9 sous. Si l’on joint à cette somme 870 li
x et si délabrés, qu’ils ne furent à sa mort estimés que 1,263 livres
9
sous. Si l’on joint à cette somme 870 livres de n
sa mort estimés que 1,263 livres 9 sous. Si l’on joint à cette somme
870
livres de numéraire qui furent trouvées dans un m
n meuble et qui probablement lui restaient sur le second emprunt fait
deux
mois auparavant, on aura toute l’importance de sa
« La maison ne représentait pas, en ce temps-là, un loyer supérieur a
500
livres, » nous dit M. Vitu, qui ajoute : « De sor
on de la totalité des revenus. » Puisque la maison ne rapportait que
500
livres et qu’elle était chargée d’impôts et de fr
s points insuffisante. Qu’on demande au Crédit foncier s’il prêterait
dix
mille francs sur un immeuble tombant en ruine et
ints insuffisante. Qu’on demande au Crédit foncier s’il prêterait dix
mille
francs sur un immeuble tombant en ruine et qui, a
nt en ruine et qui, après sa reconstruction, ne devrait être loué que
500
fr. Ce serait beaucoup s’il avançait seulement mo
aire ; si telle eût été sa volonté, il aurait anéanti les grosses des
deux
constitutions de rente, et sa veuve ne les eût pa
père consistait en objets mobiliers sans valeur, qu’ils payassent les
deux
tiers leur incombant dans la rente de 500 livres
leur, qu’ils payassent les deux tiers leur incombant dans la rente de
500
livres dont cet immeuble sans produit était grevé
un bail qui suive immédiatement la mort de Pocquelin père, arrivée en
1669
: le premier qu’il cite parmi ceux qui sont posté
u’il cite parmi ceux qui sont postérieurs à ce décès porte la date de
1698.
La maison rapportait alors 540 livres ; elle fut
térieurs à ce décès porte la date de 1698. La maison rapportait alors
540
livres ; elle fut louée 750 livres en 1695 et 900
date de 1698. La maison rapportait alors 540 livres ; elle fut louée
750
livres en 1695 et 900 cinq ans après. C’est seule
La maison rapportait alors 540 livres ; elle fut louée 750 livres en
1695
et 900 cinq ans après. C’est seulement en 1711 qu
on rapportait alors 540 livres ; elle fut louée 750 livres en 1695 et
900
cinq ans après. C’est seulement en 1711 qu’une tr
apportait alors 540 livres ; elle fut louée 750 livres en 1695 et 900
cinq
ans après. C’est seulement en 1711 qu’une transac
ut louée 750 livres en 1695 et 900 cinq ans après. C’est seulement en
1711
qu’une transaction intervint entre la fille de Mo
tinction de l’arriéré, après quoi elle prélèverait sur ces loyers les
500
livres montant de la rente et partagerait le surp
el qu’il était en effet, bon fils en même temps qu’excellent père.
VIII
. Si les restes de Molière ont en le sort de ceux
. Si les restes de Molière ont en le sort de ceux de Voltaire. Le
1er
octobre 1884, lors du deuxième centenaire de la m
tes de Molière ont en le sort de ceux de Voltaire. Le 1er octobre
1884,
lors du deuxième centenaire de la mort de Pierre
ment annotées de quelques pièces de Molière, publia, dans le Temps du
2
octobre, un curieux article où il soutenait que l
les, ont condamné la comédie et les spectacles. Le rituel de Paris de
1645
ordonne de rejeter les comédiens de la communion,
ns de la communion, et Jean de Gondi, premier archevêque de Paris, en
1623,
ajouta même à cette prescription celle de priver
na la question dans la Revue critique d’histoire et de littérature du
3
novembre 1884 ; il adopta pleinement mes raisons,
ion dans la Revue critique d’histoire et de littérature du 3 novembre
1884
; il adopta pleinement mes raisons, y joignit de
d’enterrer Molière au cimetière Saint-Joseph, mais à la nuit noire (à
huit
heures du soir, en février !), comme s’il eût vou
Il l’a émise dans un curieux travail publié par le Moliériste de juin
1884,
sous ce titre : La sépulture ecclésiastique donné
authenticité, a en effet, sur le rapport de M. G. Mon val, en date du
28
décembre 1881, remis à statuer définitivement tou
, a en effet, sur le rapport de M. G. Mon val, en date du 28 décembre
1881,
remis à statuer définitivement touchant les répar
u culte des grands hommes14, ce qui est aujourd’hui un fait accompli.
Deux
témoins oculaires présents à l’inhumation de Moli
sa-t-on dormir en paix ? Dans son Parnasse françois, livre imprimé en
1752,
cinquante-neuf ans après la mort de Molière, Tito
n dormir en paix ? Dans son Parnasse françois, livre imprimé en 1752,
cinquante-neuf
ans après la mort de Molière, Titon du Tillet écr
on se demanderait pourquoi ceux qui dirigèrent les fouilles faites en
1792
pour retrouver les restes de Molière ne cherchère
né par une action très belle et très remarquable de cette demoiselle.
Deux
ou trois ans après la mort de Molière, il y eut u
ne action très belle et très remarquable de cette demoiselle. Deux ou
trois
ans après la mort de Molière, il y eut un hiver t
s la mort de Molière, il y eut un hiver très froid. Elle fit voiturer
cent
voies de bois dans ledit cimetière, lequel bois f
pauvres du quartier : la grande chaleur du feu ouvrit cette pierre en
deux
. Voilà ce que j’ai appris, il y a environ vingt a
ouvrit cette pierre en deux. Voilà ce que j’ai appris, il y a environ
vingt
ans, d’un ancien chapelain de Saint-Joseph, qui m
té de ce vieux chapelain, relatant des faits accomplis depuis près de
quarante
ans, que les deux commissaires délégués par la se
in, relatant des faits accomplis depuis près de quarante ans, que les
deux
commissaires délégués par la section dite de Moli
e et de La Fontaine s’appuyèrent pour diriger les fouilles opérées le
6
juillet 1792, dans le but de retrouver les restes
Fontaine s’appuyèrent pour diriger les fouilles opérées le 6 juillet
1792,
dans le but de retrouver les restes du premier de
à cœur de conserver intacte. La moindre réflexion devait lui dire que
cent
voies de bois (quelque chose comme 192 stères), m
réflexion devait lui dire que cent voies de bois (quelque chose comme
192
stères), même brûlées en plusieurs fois, allaient
rrespondant de l’abbé Boyvin y assistait également, en même temps que
cent
autres personnes ; l’un et l’autre s’accordent po
osée la pierre ; et du Tillet ajoute que la tombe se voyait encore en
1752,
cinquante-neuf ans après la mort de Molière. Pour
a pierre ; et du Tillet ajoute que la tombe se voyait encore en 1752,
cinquante-neuf
ans après la mort de Molière. Pour tirer de la ph
ent l’acte d’absurde imprévoyance dont elle se rendit coupable et ces
cent
voies de bois brûlées sur la pierre tombale : ell
choses singulières et surprenantes. La conduite des investigateurs de
1792
d’abord. Les commissaires délégués par la section
française, de Pellisson, page où il est dit que La Fontaine, mort le
13
avril 1695, fut enterré le lendemain « dans le ci
e, de Pellisson, page où il est dit que La Fontaine, mort le 13 avril
1695,
fut enterré le lendemain « dans le cimetière Sain
le cimetière Saint-Joseph, à l’endroit même où Molière avait été mis
vingt-deux
ans auparavant. » Le plus simple bon sens voulait
avant. » Le plus simple bon sens voulait donc que Fleury cherchât les
deux
amis au même endroit, l’un à côté de l’autre. Poi
deux amis au même endroit, l’un à côté de l’autre. Point du tout : le
6
juillet 1792, il va droit au mur de la petite mai
au même endroit, l’un à côté de l’autre. Point du tout : le 6 juillet
1792,
il va droit au mur de la petite maison bâtie en t
est là qu’il fouille et qu’il trouve ou croit trouver Molière ; puis,
quatre
mois et demi après, il fait creuser au pied de la
était indivisible ? Pourquoi lui prêter confiance en ce qui concerne
4e
corps de La Fontaine et le rejeter en ce qui touc
les fragments déposés avec les ossements dans une terre sablonneuse à
trois
pieds de profondeur. » Voilà un second fait bien
dépôt, il y a une bière de chêne, et la fosse qui la contient n’a pas
cinq
pieds de profondeur, comme les fosses ordinaires,
t n’a pas cinq pieds de profondeur, comme les fosses ordinaires, mais
trois
pieds seulement, ce qui semble indiquer qu’elle a
le y avoir été initié. Il s’appelait Les-Isles-Le-Bas et a publié, en
1674,
un an après la mort de l’auteur du, un petit volu
bien des restrictions : enterrement sans aucune pompe, la nuit, avec
deux
prêtres seulement ; défense de célébrer aucun ser
en de plus facile que de le faire transporter hors du lieu consacré ;
deux
hommes suffisaient à l’opération. Ainsi, la viola
t de Rousseau ne serait pas un fait sans précédent, et l’analogie des
deux
scènes lugubres est frappante. C’est la nuit auss
e des deux scènes lugubres est frappante. C’est la nuit aussi que les
deux
grands écrivains du dix-huitième siècle furent ar
ticité de ceux de Molière pour bien douteuse. Mais qu’importe que les
deux
illustres amis soient ou non sous ces deux humble
e. Mais qu’importe que les deux illustres amis soient ou non sous ces
deux
humbles mausolées ? Si la foule des visiteurs est
cts ; elle ne se trompe point sur le véritable objet de son culte.
IX
. L’excommunication des comédiens. Au sujet de
. Ch.-L. Livet a adressé au Temps, qui l’a publiée dans son numéro du
7
novembre 1884, la lettre suivante : Deux mots à
vet a adressé au Temps, qui l’a publiée dans son numéro du 7 novembre
1884,
la lettre suivante : Deux mots à M. Loiseleur,
’a publiée dans son numéro du 7 novembre 1884, la lettre suivante :
Deux
mots à M. Loiseleur, à propos de Molière. M. Lois
uver son dire, il cite la date des infortunes de Molière et le nom de
quatre
de ces heureux collaborateurs : c’est là que nous
e prenons en défaut. En effet, à la date des fêtes de Versailles, mai
1664,
le comte de Guiche était en Pologne. Une lettre d
n outre, les médecins diront si Mlle Molière, qui venait d’accoucher,
six
semaines avant les fêtes, était une conquête dési
rrive à l’excommunication des comédiens. M. Loiseleur a eu contre moi
deux
auxiliaires : l’un, M. Gazier, s’est rallié à mon
ntre un comédien quelconque, soit avant, soit après le fameux édit de
1641
? Non. Un excommunié pouvait-il tenir un enfant s
fonts baptismaux ? Non. Or, Molière a été plusieurs fois parrain, et
vingt
autres comédiens avec lui. Un excommunié pouvait-
nié peut-il communier ? Non. Or, Molière a communié sûrement à Pâques
1672,
et probablement les années précédentes. Tout ceci
vant toute confession : qu’ils eussent à témoigner de leur repentir ;
2°
qu’ils eussent à renoncer à leur péché. — Louis X
olière recevra la sépulture ecclésiastique, comme Madeleine Béjart et
vingt
autres comédiens, qui ont même été enterrés dans
harangue, ses larmes, ne suffirent pas : il lui fallut répartir entre
quatre
à cinq mille personnes une somme de 1,000 livres,
ses larmes, ne suffirent pas : il lui fallut répartir entre quatre à
cinq
mille personnes une somme de 1,000 livres, équiva
larmes, ne suffirent pas : il lui fallut répartir entre quatre à cinq
mille
personnes une somme de 1,000 livres, équivalant à
lui fallut répartir entre quatre à cinq mille personnes une somme de
1,000
livres, équivalant à 5,000 ou 6,000 fr. de notre
quatre à cinq mille personnes une somme de 1,000 livres, équivalant à
5,000
ou 6,000 fr. de notre monnaie. Si dans cette tris
cinq mille personnes une somme de 1,000 livres, équivalant à 5,000 ou
6,000
fr. de notre monnaie. Si dans cette triste affair
dir ni diminuer la gloire immortelle de son nom. Ch.-L. Livet. Vichy,
4
novembre 1885. Réponse de M. Loiseleur. Je re
nuer la gloire immortelle de son nom. Ch.-L. Livet. Vichy, 4 novembre
1885.
Réponse de M. Loiseleur. Je remercie mon aima
les, ont condamné la comédie et les spectacles. Le rituel de Paris de
1645
ordonne de rejeter les comédiens de la communion,
ens de la communion, et Jean de Gondi, premier archevêque de Paris en
1623,
ajouta même à cette prescription celle de priver
uvé de les manifester à un prêtre, par suite de la résistance que les
deux
premiers ecclésiastiques auxquels on s’adressa op
entiments d’un bon chrétien, ainsi qu’il en a témoigné en présence de
deux
dames religieuses demeurant en la même maison, d’
r des principes, en se fondant notamment sur la déclaration royale du
16
avril 1641, qui relevait les comédiens d’infamie,
ncipes, en se fondant notamment sur la déclaration royale du 16 avril
1641,
qui relevait les comédiens d’infamie, sous cette
onfrères interprétaient avec un esprit plus large. De là la nécessité
4e
recourir au roi et à l’archevêque de Paris, Harla
en même temps la condition que ce serait « sans aucune pompe et avec
deux
prêtres seulement, et hors des heures du jour ; q
siastique leur est déniée. » (Maximes et réflexions sur la comédie, §
XI
.) Inutile de rien ajouter, si ce n’est que cette
, si ce n’est que cette loi de l’Église était alors la loi de l’État.
Trois
ans après la mort de Molière, cette même loi fut
biographie de Molière, mais on en pourrait citer bien d’autres19.
X.
Les autographes de Molière. Aurions-nous enfi
ttres sous le pseudonyme de Louis Lacour, qu’en revient l’honneur. En
1873,
M. de la Pijardière avait déjà rencontré, dans le
ilité du trésorier de la Bourse, une pièce signée Molière et datée du
24
février 1656 ; c’est encore dans ces papiers, don
ésorier de la Bourse, une pièce signée Molière et datée du 24 février
1656
; c’est encore dans ces papiers, dont le nombre d
février 1656 ; c’est encore dans ces papiers, dont le nombre dépasse
deux
cent mille, qu’il a fait sa nouvelle trouvaille.
ier 1656 ; c’est encore dans ces papiers, dont le nombre dépasse deux
cent
mille, qu’il a fait sa nouvelle trouvaille. Ce d
656 ; c’est encore dans ces papiers, dont le nombre dépasse deux cent
mille
, qu’il a fait sa nouvelle trouvaille. Ce documen
ument, dont un fac-similé a été publié dans le Moliériste de novembre
1885,
est ainsi conçu : J’ay receu de Monsieur de pena
5, est ainsi conçu : J’ay receu de Monsieur de penautier la somme de
quatre
mille liures ordonnées aux comédiens par Messieur
ainsi conçu : J’ay receu de Monsieur de penautier la somme de quatre
mille
liures ordonnées aux comédiens par Messieurs des
s ordonnées aux comédiens par Messieurs des Estats faict a pezenas ce
17e
décembre mil six cent cinquante. Moliere. Pour 4,
omédiens par Messieurs des Estats faict a pezenas ce 17e décembre mil
six
cent cinquante. Moliere. Pour 4,000 1. Voici mai
iens par Messieurs des Estats faict a pezenas ce 17e décembre mil six
cent
cinquante. Moliere. Pour 4,000 1. Voici maintena
par Messieurs des Estats faict a pezenas ce 17e décembre mil six cent
cinquante
. Moliere. Pour 4,000 1. Voici maintenant l’autre
faict a pezenas ce 17e décembre mil six cent cinquante. Moliere. Pour
4,000
1. Voici maintenant l’autre document, découvert
a pezenas ce 17e décembre mil six cent cinquante. Moliere. Pour 4,000
1.
Voici maintenant l’autre document, découvert en
liere. Pour 4,000 1. Voici maintenant l’autre document, découvert en
1873,
et qui est aussi une quittance donnée au trésorie
r le secq thresorier de la bource des Estats du languedoc la somme de
six
mille liures a nous accordez par messieurs du Bur
secq thresorier de la bource des Estats du languedoc la somme de six
mille
liures a nous accordez par messieurs du Bureau de
Bureau des comptes, de laquelle somme ie le quitte faict à Pézenas ce
vingt
quatriesme iour de feburier 1656. Moliere. Quit
mme ie le quitte faict à Pézenas ce vingt quatriesme iour de feburier
1656.
Moliere. Quittance de six mille liures. L’écri
as ce vingt quatriesme iour de feburier 1656. Moliere. Quittance de
six
mille liures. L’écriture des deux documents offr
e vingt quatriesme iour de feburier 1656. Moliere. Quittance de six
mille
liures. L’écriture des deux documents offre des
urier 1656. Moliere. Quittance de six mille liures. L’écriture des
deux
documents offre des ressemblances frappantes : il
t sortis de la même main, en sorte que, si l’authenticité de l’un des
deux
est suspectée, celle de l’autre doit l’être égale
it l’être également. Or, c’est ce qui est arrivé pour la quittance de
1656.
Dans la bibliographie qui termine le premier volu
Pour qu’on fût assuré de réussir dans une pareille tâche, il faudrait
deux
lignes au moins qui fussent bien certainement de
u moins qui fussent bien certainement de l’auteur du Tartuffe, et ces
deux
lignes, où les trouver ? Ses manuscrits, ses. let
t ces deux lignes, où les trouver ? Ses manuscrits, ses. lettres, les
milliers
de billets qu’il a dû écrire, tout a disparu, et
t ces vers : ................................Si vous trouviez demain
Deux
lignes seulement écrites de sa main, Vous seriez
existe ; j’en connais. Et moi aussi j’en connais : Il en est jusqu’à
trois
que je pourrais citer. Le premier consiste en tr
l en est jusqu’à trois que je pourrais citer. Le premier consiste en
trois
lignes écrites sur une bande dé parchemin collée
t dans la troisième édition du Dictionnaire de l’Académie, publiée en
1740,
qu’on voit apparaître un accent sur les mots term
catalogue de la bibliothèque dramatique de M. de Soleinne, rédigé en
1843
par Paul Lacroix, figure, sous le n° 1,147, un ex
e M. de Soleinne, rédigé en 1843 par Paul Lacroix, figure, sous le n°
1,147,
un exemplaire d tragédie de Corneille, imprimée à
7, un exemplaire d tragédie de Corneille, imprimée à Rouen en l’année
1651.
Cet exemplaire, un moment possédé par Pont-de-Ves
une des curiosités les plus attrayantes du Musée Molière, organisé en
1873,
au Théâtre-Italien, à l’occasion du deuxième cent
n’hésitait pas à lui en faire honneur et à voir son écriture dans les
vingt-cinq
noms d’acteurs tracés à la plume, soit au commenc
t Eugène Charavay. « J’ai comparé, ajoutait-il, le nom du poète écrit
deux
fois sur l’exemplaire d’ Andromède avec les signa
s’appuyait, on aurait à cette heure, comme points de comparaison, les
deux
quittances de Montpellier mises au jour par M. de
on, M. Georges Monval, archiviste de la Comédie-Française, lequel, en
1873,
avait organisé le Musée Molière pour M. Ballande,
marge. Je dois dire que cette écriture ne ressemble guère à celle des
deux
autographes découverts à Montpellier. » Voici en
rsqu’elle fut divulguée, ne rencontra pas moins de défenseurs que les
deux
précédentes, mais qui n’en parait pas moins tout
représentation des ballets et des comédies, et peut contenir sept ou
huit
mille personnes. » Les fondations durent être com
ésentation des ballets et des comédies, et peut contenir sept ou huit
mille
personnes. » Les fondations durent être commencée
nnes. » Les fondations durent être commencées au printemps de l’année
1660,
et telle serait la date de l’autographe. Bien qu’
u’à cette époque la troupe de Molière, qui n’était à Paris que depuis
dix-huit
mois, n’appartînt point au roi, mais à son frère,
riel Charavay, qui publia son opinion dans l’Amateur d’autographes du
1er
janvier 1863. « Nous l’avons vue et revue plusieu
y, qui publia son opinion dans l’Amateur d’autographes du 1er janvier
1863.
« Nous l’avons vue et revue plusieurs fois, dit-i
té convaincu qu’elle est d’une authenticité incontestable, et que les
deux
lignes signées de Molière sont parfaitement de sa
s’éloigne notablement de la forme que présentent ces lettres dans les
deux
pièces de Montpellier. Le corps de l’écriture, le
le, ne sont pas moins différents. Autant l’écriture des quittances de
1650
et 1656 est nette, hardie, élancée, autant celle
ont pas moins différents. Autant l’écriture des quittances de 1650 et
1656
est nette, hardie, élancée, autant celle du devis
de 1650 et 1656 est nette, hardie, élancée, autant celle du devis de
1660
est lourde et posée. Il est vrai, et je l’ai dit
osée. Il est vrai, et je l’ai dit en commençant, que la quittance de
1656
n’a point échappé à la défiance, désormais très é
n perd beaucoup de force, à mon avis, depuis que sa congénère, écrite
six
ans auparavant, est venue prêter son appui à la p
a sincérité de ces pièces, confondues et perdues au milieu de plus de
deux
cent mille autres provenant des États du Languedo
cérité de ces pièces, confondues et perdues au milieu de plus de deux
cent
mille autres provenant des États du Languedoc, et
é de ces pièces, confondues et perdues au milieu de plus de deux cent
mille
autres provenant des États du Languedoc, et dont
i, qui fût populaire ; mais comment les trésoriers des Étals, soit en
1650,
soit en 1656, ont-ils pu s’en contenter dans des
ulaire ; mais comment les trésoriers des Étals, soit en 1650, soit en
1656,
ont-ils pu s’en contenter dans des pièces qui eng
que offre, sous le rapport de la signature, quelque analogie avec les
deux
reçus de Montpellier : c’est un engagement contra
Montpellier : c’est un engagement contracté, suivant acte notarié du
28
juin 1644, par le danseur Daniel Mallet envers le
lier : c’est un engagement contracté, suivant acte notarié du 28 juin
1644,
par le danseur Daniel Mallet envers les comédiens
de deniers que fit à son profit le mathématicien Rohault par acte du
31
août 1668 ; La Grange le lui donne toujours, et C
ers que fit à son profit le mathématicien Rohault par acte du 31 août
1668
; La Grange le lui donne toujours, et Chapelle au
le répète, il est douteux qu’il en existe. La signature anormale des
deux
pièces de 1650 et 1656 est d’autant plus étrange
est douteux qu’il en existe. La signature anormale des deux pièces de
1650
et 1656 est d’autant plus étrange qu’on connaît u
eux qu’il en existe. La signature anormale des deux pièces de 1650 et
1656
est d’autant plus étrange qu’on connaît un acte q
t plus étrange qu’on connaît un acte qui se place justement entre ces
deux
dates et qui est signé J.-B. Pocquelin. Cet acte,
gné J.-B. Pocquelin. Cet acte, reçu par Tho-mazet, notaire à Lyon, le
19
février 1653, est le contrat de mariage de René B
ocquelin. Cet acte, reçu par Tho-mazet, notaire à Lyon, le 19 février
1653,
est le contrat de mariage de René Berthelot, dit
ans ses Origines du théâtre de Lyon. Aurait-il donc existé à la fois
deux
Molière ? C’est là qu’il en faut venir si l’on ti
. Il existait, a-t-on dit, nombre de Molière dans le bas Languedoc en
1656
; deux ans avant cette date, qui est celle du reç
istait, a-t-on dit, nombre de Molière dans le bas Languedoc en 1656 ;
deux
ans avant cette date, qui est celle du reçu de si
nguedoc en 1656 ; deux ans avant cette date, qui est celle du reçu de
six
mille livres, il y en avait un à Pézenas. Un Char
doc en 1656 ; deux ans avant cette date, qui est celle du reçu de six
mille
livres, il y en avait un à Pézenas. Un Charles de
y en avait un à Pézenas. Un Charles de Molière, qui vivait encore en
1660,
a dressé à Agde, en 1603, un inventaire des docum
Un Charles de Molière, qui vivait encore en 1660, a dressé à Agde, en
1603,
un inventaire des documents et papiers des archiv
uverait, n’a-t-on pas la preuve que celui qui fut appelé à Pézenas en
1656
était le vrai, le seul qui compte, l’auteur-acteu
avoir raconté, dans ses, la grasse hospitalité qu’il reçut à Lyon, en
1655,
de Molière et des Béjart, ajoute : « Étant comman
ir contient sur ce point une énonciation formelle, et, par ainsi, les
deux
documents se prêtent un mutuel appui. Je crois do
r, malgré l’étrange anomalie que présentent leurs signatures, que ces
deux
pièces sont bien de Molière, et j’ajoute que la s
hentiques. Tout le monde peut s’en assurer. Des fac-similé du reçu de
1656
se trouvent dans l’Iconographie moliéresque de Pa
dre Dumas a acquise pour l’offrir à la Comédie-Française. Les lettres
M
et L offrent des différences ; mais toutes les au
umas a acquise pour l’offrir à la Comédie-Française. Les lettres M et
L
offrent des différences ; mais toutes les autres
t, après la dernière, on remarque ce petit trait incliné, placé entre
deux
points, que le poète comique a tracé à la fin de
, M. Etienne Charavay, l’archiviste paléographe bien connu, à la page
244
(5e et 6e séries), où il décrit la pièce achetée
Etienne Charavay, l’archiviste paléographe bien connu, à la page 244 (
5e
et 6e séries), où il décrit la pièce achetée par
e Charavay, l’archiviste paléographe bien connu, à la page 244 (5e et
6e
séries), où il décrit la pièce achetée par M. Ale
r Paul Lacroix, puis le devis de la salle des machines et surtout les
deux
quittances de Montpellier. La lumière jaillirait
temps que de l’étude rai-sonnée de l’origine et des caractères de ces
quatre
pièces. Si leur réunion présentait quelques diffi
ée par les experts, en exposant dans le foyer du Théâtre-Français les
quatre
pièces controversées. Et, de la sorte, nous sauri
ance, sans contestation possible, attribuer a la main qui a écrit ces
trois
maîtresses œuvres, l’honneur éternel de l’esprit
ienne Charavay a adressé au Temps, qui l’a insérée dans son numéro du
12
janvier 1886, la lettre suivante : Dans son arti
vay a adressé au Temps, qui l’a insérée dans son numéro du 12 janvier
1886,
la lettre suivante : Dans son article sur la déc
suis inscrit en faux contre la quittance découverte à Montpellier en
1873
par mon érudit confrère Louis Lacour de la Pijard
ur et une explication aux lecteurs du Temps. Voici l’une et l’autre :
1°
J’ai examiné à Montpellier, en 1877, la quittance
du Temps. Voici l’une et l’autre : 1° J’ai examiné à Montpellier, en
1877,
la quittance en question. Elle m’a paru, en tant
me un autographe indiscutable de Molière la quittance de Montpellier.
2°
Je considère comme fausses les deux lignes qui au
olière la quittance de Montpellier. 2° Je considère comme fausses les
deux
lignes qui auraient été apposées par Molière sur
llement mon opinion à cet égard dans le catalogue que j’ai dressé, en
1881,
de la collection de cet amateur. Le document lui-
es de Molière. Je reconnais aisément que la teneur de la quittance de
1650,
mentionnant une somme accordée aux comédiens par
e et Louis Moland. Je pourrai fournir tout d’abord à cette commission
deux
des documents réclamés par M. Loiseleur, le devis
nstituer par cet examen des éléments d’appréciation de l’écriture des
deux
quittances de Montpellier. L’idée d’exposer les p
ette occasion pour rendre à Molière le même hommage qu’on a rendu, en
1884,
au grand Corneille ? Une exposition moliéresque a
d’exécution. Voici ce qu’on lit a ce sujet dans le numéro du Temps du
9
février 1886 : Dans un récent article, notre émi
n. Voici ce qu’on lit a ce sujet dans le numéro du Temps du 9 février
1886
: Dans un récent article, notre éminent collabor
sée de l’écriture de Molière : il a montré, on s’en souvient, que des
cinq
autographes qu’on lui attribue, trois sont d’une
ontré, on s’en souvient, que des cinq autographes qu’on lui attribue,
trois
sont d’une authenticité plus que douteuse. Tout e
ne authenticité plus que douteuse. Tout en se déclarant favorable aux
deux
derniers, qui sont des quittances découvertes à M
raphes bien connu, a déclaré, dans une lettre qu’il nous adressait le
12
janvier, se rallier aux deux propositions du très
é, dans une lettre qu’il nous adressait le 12 janvier, se rallier aux
deux
propositions du très érudit bibliothécaire et pro
tions du très érudit bibliothécaire et proposé d’étendre l’examen aux
vingt-cinq
ou trente signatures de Molière apposées au bas d
érudit bibliothécaire et proposé d’étendre l’examen aux vingt-cinq ou
trente
signatures de Molière apposées au bas d’actes de
te du Théâtre-Français. Elle se compose, outre l’auteur du projet, de
seize
personnes : MM. Henri Bordier, Campardon, Étienne
mbre de l’Institut, arbitre souverain en matière de paléographie.
XI
. L’énigme d’Alceste. Proposition de créer un Musé
ère attribué à Sébastien Bourdon. Lors de l’Exposition universelle de
1878,
ce portrait, donné par Ingres au musée de Montaub
bien il est toujours de saison, l’article publié par le Temps (n° du
20
juin 1879) où j’ai examiné et discuté l’Énigme d’
est toujours de saison, l’article publié par le Temps (n° du 20 juin
1879
) où j’ai examiné et discuté l’Énigme d’Alceste de
cette période d’un quart de siècle qui va de l’invasion espagnole, en
1636,
jusqu’à la paix des Pyrénées, en 1660. Tout devie
va de l’invasion espagnole, en 1636, jusqu’à la paix des Pyrénées, en
1660.
Tout devient intrigue, hypocrisie, mensonge ; tou
et Racine qui alors ne l’était guère24. » J’ajouterai pourtant à ces
deux
noms celui de François Loyseau, ce bon curé d’Aut
vec celui de Port-Royal, de cette grande maison ennuyeuse et ennuyée.
II
était si peu affilié à ses graves solitaires, il
authentique des autographes de Molière qu’on connaisse, a publié, en
1877,
un petit livré intitulé : le Tartuffe par ordre d
l y a bien de la fantaisie, de l’imagination, du besoin de trouver du
neuf
à tout prix au fond de toutes ces prétendues déco
’est pas une médiocre prévention contre leur solidité qu’il ait fallu
deux
siècles pour les faire et qu’aucun contemporain n
isamment pourquoi Philinte et Cléante ne pouvaient être les héros des
deux
chefs-d’œuvre où ils figurent. Je sais bien qu’on
randeurs m’ennuient, le sentiment est desséché. La gloire est fade. A
vingt-neuf
ans, j’ai tout épuisé ; il ne me reste plus qu’à
ait-elle pas pour lui ce que Rouen a fait naguère pour Corneille ? En
1873,
à propos du second centenaire de la mort du grand
e. Voilà l’idée jetée au vent : que de plus habiles la fécondent.
1.
Revue des Deux-Mondes du ler décembre 1884. 2.
s habiles la fécondent. 1. Revue des Deux-Mondes du ler décembre
1884.
2. On peut consulter sur ce point la savante étu
es la fécondent. 1. Revue des Deux-Mondes du ler décembre 1884.
2.
On peut consulter sur ce point la savante étude d
vante étude de M. Maurice Reynaud, Les Médecins au temps de Molière.
3.
Voir plus loin le chapitre intitulé : L’Énigme d’
lière. 3. Voir plus loin le chapitre intitulé : L’Énigme d’Alceste.
4.
Les restes mortels de Molière et de La Fontaine
ceste. 4. Les restes mortels de Molière et de La Fontaine ; nos des
5
et 13 décembre 1877 ; Molière en, nos des 9 et 12
. 4. Les restes mortels de Molière et de La Fontaine ; nos des 5 et
13
décembre 1877 ; Molière en, nos des 9 et 12 août
estes mortels de Molière et de La Fontaine ; nos des 5 et 13 décembre
1877
; Molière en, nos des 9 et 12 août 1880. Toutes l
de La Fontaine ; nos des 5 et 13 décembre 1877 ; Molière en, nos des
9
et 12 août 1880. Toutes les études contenues dans
a Fontaine ; nos des 5 et 13 décembre 1877 ; Molière en, nos des 9 et
12
août 1880. Toutes les études contenues dans le pr
ne ; nos des 5 et 13 décembre 1877 ; Molière en, nos des 9 et 12 août
1880.
Toutes les études contenues dans le présent opusc
tenues dans le présent opuscule ont également paru dans le Temps, les
neuf
premiers chapitres en octobre et novembre 1885 et
aru dans le Temps, les neuf premiers chapitres en octobre et novembre
1885
et le dixième le 7 janvier 1886. C’est le même jo
neuf premiers chapitres en octobre et novembre 1885 et le dixième le
7
janvier 1886. C’est le même journal enfin qui ava
iers chapitres en octobre et novembre 1885 et le dixième le 7 janvier
1886.
C’est le même journal enfin qui avait eu la prime
u accorder quelque valeur : Les points obscurs de la vie de Molière.
5.
Numéros des 1er mai et 15 juin 1885. 6. Revue d
que valeur : Les points obscurs de la vie de Molière. 5. Numéros des
1er
mai et 15 juin 1885. 6. Revue des Deux-Mondes d
: Les points obscurs de la vie de Molière. 5. Numéros des 1er mai et
15
juin 1885. 6. Revue des Deux-Mondes du 1er déce
ints obscurs de la vie de Molière. 5. Numéros des 1er mai et 15 juin
1885.
6. Revue des Deux-Mondes du 1er décembre 1884.
scurs de la vie de Molière. 5. Numéros des 1er mai et 15 juin 1885.
6.
Revue des Deux-Mondes du 1er décembre 1884. 7.
5. Numéros des 1er mai et 15 juin 1885. 6. Revue des Deux-Mondes du
1er
décembre 1884. 7. E. Despois, Le Théâtre-Françai
s 1er mai et 15 juin 1885. 6. Revue des Deux-Mondes du 1er décembre
1884.
7. E. Despois, Le Théâtre-Français sous Louis XI
ai et 15 juin 1885. 6. Revue des Deux-Mondes du 1er décembre 1884.
7.
E. Despois, Le Théâtre-Français sous Louis XIV, p
bre 1884. 7. E. Despois, Le Théâtre-Français sous Louis XIV, p. 36.
8.
Response du sieur Guichard aux libelles diffamat
idial en la chambre criminelle de l’ancien Chastelet de Paris. — Août
1676,
p. 20. 9. Articles de la Revue des Deux-Mondes c
ambre criminelle de l’ancien Chastelet de Paris. — Août 1676, p. 20.
9.
Articles de la Revue des Deux-Mondes cités plus h
76, p. 20. 9. Articles de la Revue des Deux-Mondes cités plus haut.
10.
Les points obscurs de la vie de Molière, p. 302.
és plus haut. 10. Les points obscurs de la vie de Molière, p. 302.
11.
Études critiques, p. 189. 12. Mémoires de la S
bscurs de la vie de Molière, p. 302. 11. Études critiques, p. 189.
12.
Mémoires de la Société de l’histoire de Paris, t
ques, p. 189. 12. Mémoires de la Société de l’histoire de Paris, t.
XI
, p. 256. 13. Au moment où ces lignes furent écri
12. Mémoires de la Société de l’histoire de Paris, t. XI, p. 256.
13.
Au moment où ces lignes furent écrites, le dernie
droits, fait l’honneur de me citer, pour m’approuver ou me combattre,
deux
preuves d’estime dont je lui suis également recon
La partie bibliographique n’est pas moins étudiée que la biographie.
14.
Le Moliériste, numéro d’avril 1882. 15. Voyez le
s moins étudiée que la biographie. 14. Le Moliériste, numéro d’avril
1882.
15. Voyez le Temps du 28 février 1885. 16. Dic
étudiée que la biographie. 14. Le Moliériste, numéro d’avril 1882.
15.
Voyez le Temps du 28 février 1885. 16. Dictionn
phie. 14. Le Moliériste, numéro d’avril 1882. 15. Voyez le Temps du
28
février 1885. 16. Dictionnaire des cas de consc
Le Moliériste, numéro d’avril 1882. 15. Voyez le Temps du 28 février
1885.
16. Dictionnaire des cas de conscience, par de
ériste, numéro d’avril 1882. 15. Voyez le Temps du 28 février 1885.
16.
Dictionnaire des cas de conscience, par de Lamet
as de conscience, par de Lamet et Fromageau, docteurs en Sorbonne, t.
I
, col. 797 et suivantes, et Dictionnaire des cas d
nscience, par de Lamet et Fromageau, docteurs en Sorbonne, t. I, col.
797
et suivantes, et Dictionnaire des cas de conscien
797 et suivantes, et Dictionnaire des cas de conscience de Pontas, t.
I
, p. 746. 17. Voyez celle de Marcoureau de Brécou
ntes, et Dictionnaire des cas de conscience de Pontas, t. I, p. 746.
17.
Voyez celle de Marcoureau de Brécourt, comédien d
17. Voyez celle de Marcoureau de Brécourt, comédien du roi, mort le
29
mars 1685 ; p. 18 de la brochure de M. Her-luison
yez celle de Marcoureau de Brécourt, comédien du roi, mort le 29 mars
1685
; p. 18 de la brochure de M. Her-luison sur les a
M. Her-luison sur les actes d’état civil d’artistes et de comédiens.
18.
Il faut dire que les deux motifs de tolérance que
es d’état civil d’artistes et de comédiens. 18. Il faut dire que les
deux
motifs de tolérance que je résume ici sont combat
dans le dictionnaire de Lamet et Fromageau, cité plus haut en note.
19.
On peut lire à ce sujet un article de M. Georges
à ce sujet un article de M. Georges Monval dans le Moliériste d’avril
1885,
article que j’ai le regret d’avoir connu trop tar
r connu trop tard pour l’opposer à M. Livet au cours de ma réplique.
20.
On a signalé neuf baptistères où Molière figure c
pour l’opposer à M. Livet au cours de ma réplique. 20. On a signalé
neuf
baptistères où Molière figure comme parrain : c’é
accordait volontiers aux actrices de sa troupe qui devenaient mères.
21.
Voir le Moliériste de juin 1885. L’auteur de l’ar
es de sa troupe qui devenaient mères. 21. Voir le Moliériste de juin
1885.
L’auteur de l’article où ces arguments sont expos
rder plus de foi que de raison, car il déclare qu’il croit le reçu de
1656
authenthique, « sans en être sûr. » 22. A ceux
re qu’il croit le reçu de 1656 authenthique, « sans en être sûr. »
22.
A ceux qui objecteraient que les représentations
un document que M. Georges Monval a publié dans le Moliériste d’avril
1881.
C’est une délibération du conseil de ville de Nar
1881. C’est une délibération du conseil de ville de Narbonne datée du
26
février 1656, et qui commence ainsi : « Sur ce q
une délibération du conseil de ville de Narbonne datée du 26 février
1656,
et qui commence ainsi : « Sur ce que M. le premi
sse, où elle doit aller à son retour de Paris, désireraient de passer
quinze
jours dans cette ville pour la satisfaction publi
ser quinze jours dans cette ville pour la satisfaction publique… »
23.
En réalité, le secret dont parle Cousin n’a point
hrope n’est la copie d’aucun original. » (Voir Madame de Longueville,
1853,
ch. XI, p. 191, note 1.) C’est à peu près le cont
t la copie d’aucun original. » (Voir Madame de Longueville, 1853, ch.
XI
, p. 191, note 1.) C’est à peu près le contraire d
n original. » (Voir Madame de Longueville, 1853, ch. XI, p. 191, note
1.
) C’est à peu près le contraire de ce que M. du Bo
d a déjà fait cette remarque dans sa notice sur le Misanthrope, au t.
V
, p. 380 de cette magnifique édition de Molière, p
Hachette, et où il se montre le digne continuateur d’Eugène Despois.
24.
Port-Royal, t. III, p. 266, 267.
e montre le digne continuateur d’Eugène Despois. 24. Port-Royal, t.
III
, p. 266, 267.
igne continuateur d’Eugène Despois. 24. Port-Royal, t. III, p. 266,
267.
lit, Jean-Baptiste Pocquelin de Molière est né dans cette maison en
1620
: et cette inscription, toute simple qu’elle est
risent le mieux, me saura gré sans doute de passer légèrement sur les
trente-huit
premières années de ta vie ; ton génie ne s’y man
; ton génie ne s’y manifestant que par intervalles, préparait plus de
vingt
chefs-d’œuvre, et moins de trois lustres devaient
e par intervalles, préparait plus de vingt chefs-d’œuvre, et moins de
trois
lustres devaient les créer comme par enchantement
de trois lustres devaient les créer comme par enchantement. Depuis
1620
jusqu’à la fin de 1653. Le père de Pocquelin,
nt les créer comme par enchantement. Depuis 1620 jusqu’à la fin de
1653.
Le père de Pocquelin, valet-de-chambre-tapissi
t le firent élever d’une manière conforme à leur profession. Aussi, à
quatorze
ans, ne savait-il que lire et écrire ; mais son g
autres, redoublaient d’efforts pour effacer la gloire de Hardy ; les
quatre
premières pièces de Corneille éclipsaient cette f
ille éclipsaient cette foule de rivaux et multipliaient les théâtres.
Deux
comédiens alors célèbres, Belle-Rose et Montdory,
le confient à un maître de pension qui l’envoie externe aux Jésuites.
Deux
bonnes fortunes attendaient Pocquelin au collège
ile, et que nous lui verrons mettre en action dans toutes ses pièces.
Cinq
années suffisent à Pocquelin pour achever ses étu
ent-ils, pendant plusieurs années : je le vois cependant, dès l’année
1645,
se mêler à des jeunes gens qui s’amusaient à joue
la carrière, ont commencé par se faire oublier de la sorte. Depuis
1654
jusqu’à la fin de 1657. Les principaux comédie
cé par se faire oublier de la sorte. Depuis 1654 jusqu’à la fin de
1657.
Les principaux comédiens de la troupe dirigée
diens de la troupe dirigée par Molière, sont mademoiselle Béjart, les
deux
frères de cette actrice, Duparc et sa femme, Gros
t les États. Molière y fait jouer, outre L’Étourdi, Le Dépit amoureux
8,
et quelques canevas dont on ne connaît guère plus
connaît guère plus que les titres, tels que Le Docteur amoureux, Les
Trois
Docteurs rivaux, Le Maître en Droit, Le Médecin v
, préféra la gloire à une place lucrative9. Molière, âgé pour lors de
trente-quatre
ans, consacre les trois années suivantes à parcou
lucrative9. Molière, âgé pour lors de trente-quatre ans, consacre les
trois
années suivantes à parcourir les différentes prov
soins partagés réussissent rarement, même auprès des Muses. Année
1658.
Établissement de Molière à Paris. — L’Étourdi
celle de Monsieur, il obtint la permission de s’y établir ; ce fut le
23
octobre, que sa troupe joua la tragédie de Nicomè
e. L’Étourdi ou les Contre-temps. Cet ouvrage parut à Paris le
3
novembre, on y reconnaît des détails, des projets
italienne, composée par Nicolo Barbieri, dit Beltrame, et imprimée en
1629,
neuf ans après la naissance de Molière. Je suppos
nne, composée par Nicolo Barbieri, dit Beltrame, et imprimée en 1629,
neuf
ans après la naissance de Molière. Je suppose, qu
si fort, qu’il est comme un homme hébété. Son valet, Scapin, imagine
mille
moyens pour enlever la belle à Arlequin, marchand
en s’emparant du fond, eût conservé la nuance. Dans la scène v, acte
IV
, Mascarille querelle son maître sur ses distracti
e bien répétée, bien tournée et retournée, sert non seulement à filer
cinq
actes, mais nous en fournit encore quinze ou ving
e, sert non seulement à filer cinq actes, mais nous en fournit encore
quinze
ou vingt autres sous divers titres ! L’expositio
n seulement à filer cinq actes, mais nous en fournit encore quinze ou
vingt
autres sous divers titres ! L’exposition. — La t
autres sous divers titres ! L’exposition. — La toile à peine levée,
six
vers nous apprennent que Lélie a Léandre pour riv
la bourse d’Anselme, et par l’approbation que son silence donne à ces
deux
vers de Mascarille : Votre père fait voir une pa
idéré, qui a des inadvertances, un imprudent : Molière a resserré ces
trois
significations dans le titre de L’Étourdi, c’est
« Un brouillon, une bête, un brusque, un étourdi, éQue sais-je ! un…
cent
fois plus encor que je ne di. » J’ai vu quelques
du ton faux, ni de l’attitude forcée de l’acteur. À la fin de l’acte
II
, lorsque Mascarille dit à son maître, qui s’obsti
’un enfantillage pour le moins déplacé, et non de l’étourderie. Acte
IV
, scène ire , Lélie paraît vêtu en Arménien ; je l
is comment l’oser, lorsque, pendant toute une scène contenant plus de
cent
vers, je le vois uniquement occupé à jouer avec l
i remplie de goût, que lui fit Préville après la pièce : Qui de nous
deux
était le comique ? Jeunes acteurs, qui ne savez
ux jeunes gens les plaisirs de la vie. Les comédiens retranchent les
quatre
derniers vers, comme trop immoraux ; et l’on assu
de son aveu. J’aurais pris la liberté de dire à Molière lui-même, ces
quatre
derniers vers sont bien persuasifs dans la bouche
e qui veut faire accepter ses bons offices par un jeune étourdi ; les
deux
, qui les précèdent, plus immoraux et sans finesse
nt-ils aussi bien le but de Mascarille ? Dans la scène iii de l’acte
V
, « Andrés tombe des nues, dit un commentateur, et
nom de Zanobio Ruberti, que sa voix, Pendant tout ce récit, répétait
mille
fois. Après avoir demandé aux comédiens dignes d
t je lui soumettrai celle qui me paraît nécessaire à la fin de l’acte
III
. Trufaldin verse un vase de nuit sur la tête de
mes découverts, tirons de ce côté. Je désirerais qu’on supprimât les
deux
derniers vers ; il est inutile, je crois, de dire
si la femme de Magnifico accouchait d’un garçon, le Docteur donnerait
quatre
mille écus. Une fille vient au monde, Magnifico,
emme de Magnifico accouchait d’un garçon, le Docteur donnerait quatre
mille
écus. Une fille vient au monde, Magnifico, tenant
lever sa fille, Diane, sous le nom de Fédéric. Le faux Fédéric a déjà
vingt
ans, quand son père s’avise d’avoir des remords,
retenir de son amour. Le mystère du déguisement est découvert, et les
deux
fils du Docteur épousent les deux filles de Magni
u déguisement est découvert, et les deux fils du Docteur épousent les
deux
filles de Magnifico. Lisez la pièce de Molière.
ue dans la pièce italienne, et cela parce qu’elles pèchent toutes les
deux
contre la première des règles. Jamais au spectat
spectateur n’offrez rien d’incroyable. La scène de Métaphraste, acte
II
, est tirée du Déniaisé, comédie de Gillet de la T
t pour Rebut, Flaminia se fait apporter tous les billets doux que ses
trois
amants, Pantalon, Mario et Lélio, lui ont adressé
t ; Et c’est un imposteur enfin que je vous rends, ni le couteau de
six
blancs, ni le demi-cent d’éguilles de Paris, que
Le genre. — D’intrigue, quoi qu’en dise Voltaire, l’ouvrage en a même
deux
, et c’est un grand défaut. L’exposition. — Mauva
à nos Mascarille, si cet ouvrage est jamais repris, d’imiter dans ces
deux
rôles Armand et Préville ; le premier y était plu
remier y était plus vigoureux, le second plus agréable, mais tous les
deux
n’y avaient qu’un gros bon sens, et jamais de l’e
sert encore assez bien, pour que je puisse dire à nos jeunes premiers
15
: si vous avez jamais le bonheur de jouer la bell
la décence me défend d’entrer dans de plus longs détails. Année
1659.
Les Précieuses ridicules. Les Précieuses rid
jaloux de Molière, se déchaînèrent contre sa pièce ; en vain Somaize
16
essaya d’en faire la critique dans Les Véritables
ique dans Les Véritables Précieuses et dans Le Procès des précieuses,
deux
comédies de sa façon ; en vain il finit par mettr
e la pièce de Molière en méchants vers, elle n’en fut pas moins jouée
quatre
mois de suite, et cependant dès la seconde représ
pas celui de l’abbé de Pure, ce serait plutôt un entretien comique en
six
entrées, dialogué, l’an 1656, par Chappuzeau, et
ce serait plutôt un entretien comique en six entrées, dialogué, l’an
1656,
par Chappuzeau, et intitulé Le Cercle des femmes.
sous le titre de L’Académie des femmes. Jugeons, en peu de mots, les
deux
ouvrages. L’héroïne de Chappuzeau n’affecte que l
ons les plus familières, même avec leurs gens, et refusent la main de
deux
hommes aimables qui se sont écartés des règles pr
s et parcimonieux, de ne traiter sans façon que leur père ? Année
1660.
Sganarelle, ou le Cocu imaginaire 19. Encore
on que leur père ? Année 1660. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire
19.
Encore une année durant laquelle Molière ne do
pièce en un acte ; elle fut jouée sur le théâtre du Petit-Bourbon, le
28
mai. Si l’on jugeait du mérite d’un ouvrage par l
ses représentations, nous trouverions celui-ci excellent ; il en eut
quarante
de suite, en été, saison toujours contraire au sp
ganarelle, ou le Cocu imaginaire, est tiré d’une comédie italienne en
cinq
actes, intitulée : Il Ritratto, Le Portrait ; ou
Célio a risqué sa vie, lui cède Eleonora. Lisez la pièce de Molière
20.
Des imitations. Bret a imprimé que la pièc
e servir de quelques parties de l’échafaudage du maçon italien. » Les
deux
édifices ont le même plan, le même fondement, les
te aiuti. Notre poète a si bien embelli cette idée, qu’il en a tiré
vingt-huit
vers, dont pas un seul n’est à retrancher. Sen
retrancher. Sentiment sur la pièce. Le titre. — La pièce en a
deux
; le premier fixe trop notre attention sur un per
ret trouve des longueurs dans cette scène, et propose d’en retrancher
seize
vers : à la place de l’acteur, et une fois décidé
parvenons à bien connaître Molière, elle y aura contribué. Année
1661.
Dom Garcie de Navarre, ou le Prince jaloux ; L
; Les Fâcheux. Molière, riche des matériaux qu’il avait amassés les
deux
années précédentes, et durant lesquelles il n’ava
x années précédentes, et durant lesquelles il n’avait mis au jour que
deux
pièces d’un seul acte, en donna trois dans le cou
elles il n’avait mis au jour que deux pièces d’un seul acte, en donna
trois
dans le courant de celle-ci, Dom Garcie de Navarr
elieu avait fait élever dans son palais ; Molière l’obtint du roi, le
4
novembre 1660, et l’on y représenta, Le Prince ja
fait élever dans son palais ; Molière l’obtint du roi, le 4 novembre
1660,
et l’on y représenta, Le Prince jaloux, le 4 févr
u roi, le 4 novembre 1660, et l’on y représenta, Le Prince jaloux, le
4
février suivant. L’ouvrage fut généralement désap
auteur, rendaient ses juges difficiles ; d’ailleurs les comédiens des
cinq
troupes, qui rivalisaient alors avec la sienne, n
n avec la française. Précis de Il Principe Geloso, Tragi-Comédie en
cinq
actes. Don Rodrigue, roi de Valence, voit Del
e qu’avait fait Molière en montant sur son nouveau théâtre. Ce fut le
4
juin, quatre mois après la première représentatio
it fait Molière en montant sur son nouveau théâtre. Ce fut le 4 juin,
quatre
mois après la première représentation de l’infort
tous les suffrages. Les Adelphes de Térence ont fourni à notre auteur
deux
de ses principaux caractères. C’est dans une nouv
, nous parlerons de l’effet qu’aurait dû produire l’opposition de ces
deux
caractères. Extrait de Boccace. Nouvelle XXII
l’opposition de ces deux caractères. Extrait de Boccace. Nouvelle
XXIII
. Une dame de Florence devient passionnément a
, le corps droit, le jarret tendu, ils aillent, côte à côte, et comme
deux
soldats alignés, depuis le milieu d’une rue jusqu
faire rire, ignore-t-il que le public est censé n’être pas là ? Acte
II
, scène viii, Valère reçoit une lettre d’Isabelle
cule la question que je vais leur faire. N’importe ; la voici : Acte
II
, scène ix 26, Valère prie Sganarelle de dire à s
on que je vais leur faire. N’importe ; la voici : Acte II, scène ix
26,
Valère prie Sganarelle de dire à sa pupille, ………
il n’a jamais pensé À rien dont son honneur ait lieu d’être offensé.
Deux
scènes après, le tuteur s’acquitte si bien de la
mmission, qu’il débite à Isabelle, sans se tromper d’un seul mot, les
douze
vers que lui a dit Valère ; il a la mémoire heure
vais détacher quelques mots magiques. Dans ce rôle, Baron se donnait
cinquante-huit
ans à peu près ; il avait la mine riante ; il éta
isemblance, des divertissements ; et Molière, à qui l’on ne donna que
quinze
jours pour concevoir et remplir un sujet propre à
rigue des Fâcheux. Chapelle lui offrit de faire la scène de Caritidès
27
et l’exécuta si mal qu’elle fut rejetée. Cependan
t à vouloir usurper la gloire d’autrui. La pièce fut jouée à Vaux, le
16
août ; elle plut beaucoup au roi, qui dit à l’aut
ou plutôt ordonnée, fut prête pour la représentation qui eut lieu le
27
du même mois, à Fontainebleau. Molière, qui n’ent
intrigue ; donnons un aperçu de l’un et de l’autre. Horace. Satire
IX
. Le poète raconte que, marchant dans la rue S
lui faire manquer l’heure du rendez-vous. Lisez la pièce de Molière
28.
Des imitations. On peut, en lisant la satir
ans intermèdes, et avec le costume du temps où elle parut. Année
1662.
L’École des femmes. Dans le courant de cette
féconde, notre auteur fit paraître une seule pièce, mais excellente.
Deux
divinités bien propres à donner des distractions,
vite une nouveauté. La comédie de L’École des femmes parut à Paris le
26
décembre. Elle mit le comble à la jalousie des au
tourmentait. Un anonyme donna encore du même ouvrage une critique en
six
dialogues, intitulée Panégyrique de l’École des f
caution inutile. Nouvelle de Scarron. Un gentilhomme de Grenade a
mille
aventures que nous supprimons, et qui lui donnent
faisait des révérences, à propos ou non, et regardait son mari entre
deux
yeux ; celui-ci, satisfait de la trouver encore p
ait terminer la pièce plus heureusement32. De la tradition. Les
trois
principaux personnages de la pièce sont : Arnolph
en a-t-elle pas de plus varié, de plus difficile à saisir. Arnolphe a
quarante-deux
ans. Qui diable vous a fait aussi vous aviser À
lphe a quarante-deux ans. Qui diable vous a fait aussi vous aviser À
quarante-deux
ans de vous débaptiser ? Il est dans cet âge où
lde croit-il pouvoir donner impunément à Arnolphe, en scène avec lui,
dix
ans de plus ou de moins ? et cependant, toutes le
e Brie, qui avait joué d’original le rôle d’Agnès, l’avait, à près de
soixante
ans, cédé à une jeune actrice ; lorsque celle-ci
ut obligée de reprendre ce même rôle, et elle le garda encore jusqu’à
soixante-cinq
ans. » On ne me persuadera pas, on ne persuadera
e ou former une jeune actrice, elle n’eût pu être remplacée avant ses
soixante-cinq
ans, et je le soutiens à tous les acteurs qui, pa
oute avoir le mérite de la brièveté ; je n’en réclame pas moins, acte
III
, scène ire , les vers dans lesquels Arnolphe veu
ène ii , les maximes du mariage qu’on abandonne pour n’en débiter que
deux
des moins saillantes, la première et la sixième ;
té, pour en faire mieux ressortir le piquant. Je réclame encore, acte
IV
, scène v , le monologue que les comédiens réduise
core, acte IV, scène v , le monologue que les comédiens réduisent aux
trois
derniers vers, et qu’ils font gauchement commence
diens ou des spectateurs ? peut-être des uns et des autres. Année
1663.
La Critique de l’école des femmes ; Remercieme
nt le journaliste Devisé ; Boursault, qui n’avait pas encore fait ses
Deux
Ésopes ; tous les demi-beaux esprits ; les marqui
une pareille rapsodie jusqu’au bout ». Ce fait est consigné dans ces
deux
vers de Boileau : Le commandeur voulait la scène
ait ; et il acheva de les immoler dans L’Impromptu de Versailles. Ces
trois
ouvrages vont nous prouver successivement s’il ét
, fit inscrire Molière sur la liste des pensionnaires, et lui accorda
cent
pistoles ; somme assez considérable pour le temps
t avec lequel les comédiens de l’Hôtel de Bourgogne, jaloux d’Élomire
36
saisissaient toutes les occasions de contrarier s
mptu de Versailles, fait réellement en impromptu, paraît à la cour le
14
octobre, et à Paris le 4 novembre suivant. Lisez
éellement en impromptu, paraît à la cour le 14 octobre, et à Paris le
4
novembre suivant. Lisez la pièce de Molière.
roi de théâtre puisse remplir un trône, s’il n’est gros et gras comme
quatre
, s’il n’est entripaillé comme il faut, et voulez
age, avec noblesse ; sans fausse modestie et sans orgueil. Année
1664.
Le Mariage forcé ; La Princesse d’Élide. La
pare ses paroles. Voilà, dès ce moment, la guerre déclarée entre les
deux
troupes ! mais les auteurs tragiques prennent le
ibue de tout son pouvoir à sa réussite, et fait présent à l’auteur de
cent
louis. Triomphe, Melpomène ! ce jeune poète est R
rendre cette union plus durable, plus utile. Baron, âgé pour lors de
neuf
à dix ans, était dans la troupe de la Raisin, à q
cette union plus durable, plus utile. Baron, âgé pour lors de neuf à
dix
ans, était dans la troupe de la Raisin, à qui Mol
rcé par un songe agréable, surtout lorsque Molière lui fit présent de
six
louis, en lui recommandant de ne les dépenser qu’
ombe à ses genoux, en le suppliant de permettre que Baron joue encore
trois
jours avec ses petits camarades ; ce bienfait ass
camarades ; ce bienfait assure sa fortune, dit-elle ; — non seulement
trois
jours, répond Molière, mais huit. Dès ce moment,
fortune, dit-elle ; — non seulement trois jours, répond Molière, mais
huit
. Dès ce moment, Molière regarda Baron comme son e
dait par un prudent hom hom, qui, flattant ou piquant tour à tour les
deux
adversaires, les animait l’un contre l’autre ; et
à tour les deux adversaires, les animait l’un contre l’autre ; et les
deux
philosophes, déjà bien échauffés, bien enroués, r
x reparurent dans la cinquième ; le soir de la sixième, on essaya les
trois
premiers actes du Tartuffe ; et le dernier jour,
Le Mariage forcé. Cette bagatelle fut d’abord jouée au Louvre, en
trois
actes, avec des intermèdes, les 29 et 31 janvier,
fut d’abord jouée au Louvre, en trois actes, avec des intermèdes, les
29
et 31 janvier, intitulée alors Ballet du roi. Rep
abord jouée au Louvre, en trois actes, avec des intermèdes, les 29 et
31
janvier, intitulée alors Ballet du roi. Représent
, les 29 et 31 janvier, intitulée alors Ballet du roi. Représentée le
15
février suivant, sur le théâtre du Palais-Royal,
Représentée le 15 février suivant, sur le théâtre du Palais-Royal, en
trois
actes, et sans intermèdes, elle prit le titre qu’
rincesse d’Élide. Cette comédie-ballet fut jouée à Versailles, le
8
mai, et sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 octo
t jouée à Versailles, le 8 mai, et sur le théâtre du Palais-Royal, le
9
octobre suivant. Pressé par les ordres du roi, Mo
première scène du second acte ; c’est, dit-on, pour faire sa cour aux
deux
reines, espagnoles de naissance, qu’il prit son s
e espagnole. Diane n’aime que la chasse, et fait le désespoir de
deux
princes épris de ses charmes ; un troisième, nomm
les événements ou des ordres supérieurs que par son génie. Année
1665.
Dom Juan, ou le Festin de Pierre ; L’Amour méd
nnaissance pour son roi, rendons justice aux motifs qui ont dicté les
deux
pièces, mais sans renoncer au plaisir d’y trouver
Dom Juan, ou le Festin de Pierre, sur le théâtre du Palais-Royal, le
15
février. L’ouvrage ne réussit pas : la cabale la
idable s’éleva contre lui, et les faux dévots, qu’alarmaient déjà les
trois
premiers actes du Tartuffe, empruntèrent le nom d
et la fit donner sur le théâtre de Guénégaud, par la troupe formée en
1673,
des débris de celle du Marais, et de celle du Pal
simplicité des petites filles séduites, les leçons vigoureuses de dom
Louis
, la générosité des frères d’Elvire, enfin, le por
mme elle a prêché pesamment pour le convertir ! — Convenez que si dom
Louis
n’a pas opéré cette conversion, ce n’est pas faut
— Bah ! tant qu’il te plaira ; il n’est certainement pas aisé d’avoir
vingt
genres de scélératesse sans révolter le spectateu
t la fixer tout à fait à son service, en lui accordant une pension de
7
000 livres, et le titre de troupe du roi. Qu’on j
la fixer tout à fait à son service, en lui accordant une pension de 7
000
livres, et le titre de troupe du roi. Qu’on juge
aussi l’Amour médecin fut-il proposé, fait, appris, et représenté en
cinq
jours. Il y a grande apparence que Molière, avant
ela aurait-il couru le risque de lui déplaire en mettant en scène ses
quatre
premiers médecins, et en les accablant des traits
a dans le choix de ces noms, voilà des messieurs en bonnes mains. Les
quatre
médecins de la cour étaient Desfougerais 42, Espr
en bonnes mains. Les quatre médecins de la cour étaient Desfougerais
42,
Esprit 43, Guenant 44, Dacquin 45. On ignore quel
mains. Les quatre médecins de la cour étaient Desfougerais 42, Esprit
43,
Guenant 44, Dacquin 45. On ignore quel est le cin
uatre médecins de la cour étaient Desfougerais 42, Esprit 43, Guenant
44,
Dacquin 45. On ignore quel est le cinquième joué
ns de la cour étaient Desfougerais 42, Esprit 43, Guenant 44, Dacquin
45.
On ignore quel est le cinquième joué dans la pièc
e joué dans la pièce. Molière l’appelle Fillerin : ce nom, composé de
deux
mots grecs, et qui signifie ami de la mort, se ra
ulté entière. L’Amour médecin fut donné sans succès à Versailles, le
15
septembre, et réussit à Paris, le 22. Nous trouve
nné sans succès à Versailles, le 15 septembre, et réussit à Paris, le
22.
Nous trouverons dans l’ouvrage, des choses qui pa
u Phormion de Térence. Contentons-nous d’indiquer les endroits de ces
trois
pièces qu’on pourra reconnaître dans celle de not
on, voulant faire casser un mariage contracté par son fils, rassemble
quatre
avocats, et les consulte, ils sont tous d’un avis
t deviennent bien plus intéressantes. La scène où Sganarelle consulte
quatre
médecins sur la maladie de sa fille est évidemmen
die de sa fille est évidemment calquée sur celle où Demiphon consulte
quatre
avocats, mais, les hommes tenant plus à la vie qu
n de penser que le faux médecin soit l’amant de sa fille. Dans l’acte
II
, scène ire , Lisette avance que, « par bonnes rai
te d’une fièvre ou d’une fluxion de poitrine ; mais elle est morte de
quatre
médecins et de deux apothicaires ». Pline, dans s
ne fluxion de poitrine ; mais elle est morte de quatre médecins et de
deux
apothicaires ». Pline, dans son Histoire naturell
une place distinguée parmi les meilleures petites pièces. Année
1666.
Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélic
gré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique. Nous devons cette année
quatre
nouveautés à Molière, Le Misanthrope, Le Médecin
nspirer l’autre, elle a pris son masque le plus grotesque ; quant aux
deux
dernières, la Muse comique semble n’y être pour r
de ce chef- d’œuvre ; il fut donné sur le théâtre du Palais-Royal, le
4
juin. La première représentation fut orageuse ; «
qui espère jouir d’un bien, désespère tout le temps qu’il espère. Les
deux
vers espagnols et les suivants n’ont-ils pas un a
lle ? Belle Philis, on désespère Alors qu’on espère toujours. Acte
II
, scène v, Éliante dit : L’amour, pour l’ordinair
position avec le sien, et qu’avant la fin du premier acte, composé de
trois
scènes, on connaît déjà, non seulement les person
l’exige, mais toujours rapide et toujours marchant au but. Le style
47.
— Plusieurs personnes ont dit que Molière, bien l
leurs assez fortes, pour qu’il pût être l’unique objet d’une pièce en
cinq
actes, le met en opposition avec une prude, un be
, et Dom Japhet d’Arménie, au Misanthrope ; mais que penser de Racine
48,
quand nous lisons dans l’abbé du Bos : « Despréau
e le bien remplir en m’y montrant impatient, bourru, même brutal, les
mille
et mille détours employés pour faire sentir à Oro
remplir en m’y montrant impatient, bourru, même brutal, les mille et
mille
détours employés pour faire sentir à Oronte que s
ridicules ? Grandval jouait parfaitement, dit-on, le rôle d’Alceste
49,
et, cependant, je sais que, lorsqu’il reprochait
t me confondre avec les pédants, tels que les Vadius ou les Trissotin
50.
Si je jouais le rôle de Philinte, je serais l’ami
rendrais pas un ton moqueur ; et, dans la scène où la coquette et les
deux
marquis rient de sa brusquerie, je ne frapperais
cherché le billet , n’a pas voulu que je fisse la burlesque revue de
vingt
chiffons de papier52, que je cherchasse, comme Ar
tort de m’excuser ; la prude Arsinoé aura dit vrai ; le courroux des
deux
petits maîtres sera moins comique ; enfin, Alcest
Médecin malgré lui fut représenté sur le théâtre du Palais-Royal, le
9
août. Apprenons d’abord à nos lecteurs d’où Moliè
espérant que sa tristesse et ses larmes écarteraient les soupirants.
Deux
courriers de la cour se présentent chez l’affligé
, avoue qu’il est un grand homme ; paraît devant la princesse, risque
mille
singeries, et les efforts que fait la malade pour
que l’impatience de Louis XIV ne permit pas d’achever, ne parut qu’en
deux
actes ; elle fit partie du Ballet des Muses, donn
ctes ; elle fit partie du Ballet des Muses, donné à Saint-Germain, le
2
décembre, composé par Benserade, et dansé par le
ur, ainsi que ses partisans, ne purent déguiser leur dépit. Année
1667.
Le Sicilien ; Le Tartuffe, ou l’Imposteur. C
, et dont il était aussi mécontent que ses amis ; il substitua, à ces
deux
ouvrages indignes de sa plume, Le Sicilien, ou l’
hange ; mais il ne put le soumettre au jugement des Parisiens, que le
10
juin suivant. Il s’était chargé du rôle de dom Pè
ous grands dieux ! et par où commencer ? Après la représentation des
trois
premiers actes de cette comédie, qui eut lieu, co
me nous l’avons dit, à la sixième journée des fêtes de Versailles, le
12
mai 1664, « le roi la défendit pour le public, ju
l’avons dit, à la sixième journée des fêtes de Versailles, le 12 mai
1664,
« le roi la défendit pour le public, jusqu’à ce q
t examinée par des gens capables de la juger avec discernement ». Ces
trois
premiers actes furent encore joués à Villers-Cott
illers-Cotterêts, chez Monsieur, en présence du roi et des reines, le
24
septembre suivant. La pièce entière parut ensuite
ivant. La pièce entière parut ensuite au Rinci, chez M. le Prince, le
29
novembre de la même année, et le 9 novembre 1665.
e au Rinci, chez M. le Prince, le 29 novembre de la même année, et le
9
novembre 1665. Constamment applaudie sur ces dive
chez M. le Prince, le 29 novembre de la même année, et le 9 novembre
1665.
Constamment applaudie sur ces divers théâtres, et
seule particularité ; mais comme Molière, dans sa préface et dans ses
deux
placets au roi, en a rendu compte plus plaisammen
entation du Tartuffe : il fut joué sur le théâtre du Palais-Royal, le
5
août 1667. Quoi qu’en ait dit Riccoboni, Molière
n du Tartuffe : il fut joué sur le théâtre du Palais-Royal, le 5 août
1667.
Quoi qu’en ait dit Riccoboni, Molière ne doit rie
rapport fondé sur des faits. Orgon, pressé par son beau-frère, acte
I
, scène vi , de tenir la parole qu’il a donnée à V
oudra de Molière, a bien plus le mérite de l’à-propos. Molière, acte
II
, scène iii , par ce vers : Ah ! pour être dévot,
urnée du Décaméron, non seulement l’idée du vers cité, mais celle des
deux
suivants : Et lorsqu’on vient à voir vos céleste
ore mi constrigne a cosi fare. Molière faisait dire à Tartuffe, acte
III
, scène vi : Ô ciel ! pardonne lui comme je lui
ennemis de Molière et les gens superficiels peuvent seuls blâmer ces
deux
motifs, puisque l’exempt et l’éloge du roi n’enlè
pas, sans rien perdre de sa beauté, dans toutes les pièces où il y a
deux
amants ? ne ressemble-t-elle pas surtout à celle
alade : « Non, dit-il, mais je viens d’entendre débiter pitoyablement
quatre
vers de ma pièce, et je ne saurais voir maltraite
s pour un écolier : quelle erreur ! c’était l’auteur d’une comédie en
cinq
actes ; il me prie d’entendre sa pièce, et de lui
s lestes, grâce à son enjouement, ne paraissaient que gais. Après ces
deux
actrices, mademoiselle Lusi, charmante dans une i
té avec mépris en présence de sa fille. Ajoutons qu’en appliquant ces
quatre
vers à Orgon, Dorine semble vouloir excuser Elmir
si elle parlait à une veuve prête à convoler en troisième noce ? Ces
deux
vers encore : Et je vous verrais nu, du haut jus
jolies mines, dès qu’elle blesse la raison. Par exemple, dans l’acte
V
, scène iv, Dorine, quoique très applaudie, a un t
, dans l’acte V, scène iv, Dorine, quoique très applaudie, a un tort,
deux
torts, trois torts, en prenant Loyal par le haut
e V, scène iv, Dorine, quoique très applaudie, a un tort, deux torts,
trois
torts, en prenant Loyal par le haut de la tête et
possède son Molière ; il a non seulement varié avec intelligence ces
quatre
exclamations, le pauvre homme ! mais les quatre
vec intelligence ces quatre exclamations, le pauvre homme ! mais les
quatre
interrogations qui les préparent, et Tartuffe ?
prescrit en toutes lettres ce que vous blâmez. — D’accord ; voici ses
trois
notes : première note, Elmire, après avoir touss
sur la table ; Molière a voulu que l’actrice, en donnant un coup ou
deux
, avertît Orgon qu’il devrait être suffisamment dé
journaliste ; il dédaigna mes remarques, et je le cherchai vainement
huit
jours après au même théâtre, où l’on donnait la m
ant, madame Pernelle, dont rien n’annonce la caducité, a tout au plus
soixante-dix
ans, Marianne dix-huit, Damis vingt-quatre, si no
rien n’annonce la caducité, a tout au plus soixante-dix ans, Marianne
dix-huit
, Damis vingt-quatre, si nous en croyons ce vers :
a caducité, a tout au plus soixante-dix ans, Marianne dix-huit, Damis
vingt-quatre
, si nous en croyons ce vers : Voilà tout justeme
qui, en parlant à son interlocuteur, le regarderait constamment entre
deux
yeux, ferait une des gaucheries les plus contrair
les acteurs, en pareil cas, ont, comme les peintres, la ressource des
trois
quarts : le Cléante dont je parle me semble négli
dont je parle me semble négliger un peu trop cette règle. Dans l’acte
I
, scène vi, Orgon et Cléante sont seuls ; le premi
ordinaires, Ils veulent que chacun soit aveugle comme eux ; mais ces
deux
premiers vers une fois débités, il a complaisamme
complaisamment adressé au parterre le reste de la tirade composée de
vingt-huit
vers ; et ce dernier seulement : Que cela vous s
rgon. Immédiatement après ce couplet, Cléante en a débité un autre de
cinquante-sept
vers, en s’avançant sur les rampes ; aussi, n’a-t
une convalescente peut avoir sa coquetterie, même son opulence. Acte
III
, scène iii, Tartuffe met la main sur les genoux d
point le bras qu’on lui présente si complaisamment. Elmire dit, acte
IV
, scène iv : Au moins je vais toucher une étrang
ayer et pour varier le couplet, peut-elle se permettre de badiner ces
deux
vers : J’aurai lieu de cesser dès que vous vous
ter… : disons rapidement qu’il est, dans l’une et dans l’autre de ces
deux
manières, des nuances propres à être saisies, à ê
tuffe ; mais monsieur le premier Président ne veut pas qu’on le joue
57.
Comment accorder, dira-t-on, l’épigramme de Moliè
pour être mis en action ; vous ne savez pas les apprécier. Année
1668.
Amphitryon ; L’Avare ; George Dandin. Avant
; L’Avare ; George Dandin. Avant de faire des observations sur ces
trois
ouvrages, nous devons, d’après la tâche que nous
ent le consoler ; elle voyait avec peine ses bontés pour un enfant de
treize
ans, pour Baron : elle s’oublia même jusqu’au poi
lut en vain l’apaiser : par égard pour son maître, il joua un rôle de
six
cent vers dont il était chargé dans une pièce nou
en vain l’apaiser : par égard pour son maître, il joua un rôle de six
cent
vers dont il était chargé dans une pièce nouvelle
Alcmène, et le renvoie vers le port, à grands coups de bâton. Acte
deux
. Amphitryon arrive avec Sosie, qu’il gronde d
rcher des témoins pour attester la vérité de ce qu’il avance. Acte
trois
. Jupiter, toujours sous la figure d’Amphitryo
iter, il ordonne à Sosie d’aller inviter le pilote Blépharon. Acte
quatre
. Amphitryon n’a pas trouvé les témoins qu’il
chasse à coups de pierres, et lui défend de troubler les plaisirs de
deux
époux nouvellement réconciliés ; Sosie arrive, Am
Jupiter vient mettre le holà, et Sosie se range de son parti. Acte
cinq
. La servante d’Amphitryon annonce qu’Alcmène e
cinq. La servante d’Amphitryon annonce qu’Alcmène est accouchée de
deux
garçons. Jupiter, au bruit du tonnerre, apprend à
ent sur la pièce et les imitations. Le sujet. — Indécent dans les
deux
pièces ; remercions cependant Molière de nous avo
Alcmène ; la prétendue Alcmène a même l’honnêteté de répondre à Sosie
62
; et dans l’ouvrage latin, c’est au public seulem
t ; le français, rempli de finesse et d’économie dramatique. Dans les
deux
pièces Jupiter paraît, au bruit du tonnerre, et d
oux qu’il est son rival heureux ; mais chez Plaute, Bromie a déjà mis
deux
fois le public dans la confidence, d’abord, en lu
la confidence, d’abord, en lui apprenant qu’Alcmène a donné le jour à
deux
garçons, et ensuite en annonçant à son maître que
sont amenés par le sujet comme ceux dont s’est emparé Rotrou dans ses
Deux
Sosies ; mais nous devons dire qu’Euripide et apr
après, lui, Ennius réclament la pensée fine et délicate qui anime ces
quatre
vers : Tous les discours sont des sottises, Part
diens ne savent pas la distinguer de celle qu’éprouve George Dandin !
Deux
Alcmène m’ont singulièrement frappé par la différ
nous fûmes nous coucher ; aussi ne fut-elle point applaudie. Et des
deux
Sosies, qu’en doit dire la tradition ? Que les je
perdent beaucoup à n’avoir pas vu Du… et Préville jouer ensemble ces
deux
rôles ; l’écolier et le maître disparaissaient ;
e : Mercure sur un nuage, la nuit dans un char traîné dans l’air par
deux
chevaux. Nous savons cependant, à n’en pas doute
nseignements comme les plus sûrs, enfonçaient Mercure et la Nuit dans
deux
balcons obscurs, d’où ils débitaient fort à leur
la retirer à la septième représentation, ne la fit reparaître que le
9
septembre suivant, deux mois avant George Dandin,
ième représentation, ne la fit reparaître que le 9 septembre suivant,
deux
mois avant George Dandin, donné pour la première
eux mois avant George Dandin, donné pour la première fois à Paris, le
9
novembre : c’est donc à tort que plusieurs éditeu
ière pièce avant L’Avare ; et nous avons pour garant de notre opinion
trois
gazettes rimées de Robinet. Pourquoi L’Avare ne r
e les rimailleurs du temps avaient persuadé au public qu’une pièce en
cinq
actes devait être rimée pour avoir quelque mérite
est-il fou, et nous prend-t-il pour des grues, de nous faire essuyer
cinq
actes de prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravag
gré les jaloux, malgré Racine même ; c’est le cas d’appliquer ici ces
deux
vers de La Métromanie : Mais à l’humanité, si pa
e bien mieux. Harpagon fouille le valet de son fils ; il examine ses
deux
mains, et lui demande ensuite à voir les autres.
e un esclave auprès de son trésor, le fouille, l’oblige à montrer ses
deux
mains, et lui demande à voir la troisième. J’esti
tribuer de l’argent ; Euclion désirerait bien ne pas abandonner un ou
deux
écus qui lui reviennent ; outre que ce serait aut
dans la bourse des usuriers ; il ne l’exhorte pas à placer, au denier
douze
, l’argent qu’il gagne au jeu ; il n’est pas lui-m
t voir Pantalon empruntant de l’argent au Docteur, qui lui compte les
deux
tiers de la somme, seulement, et veut lui donner,
t présent ; Magnifico enrage et n’ose démentir son valet. Jugeons les
deux
scènes en peu de mots : dans l’italienne, Magnifi
nds encore moins pourquoi Molière, en ourdissant son canevas, a tendu
deux
fils qui ne devaient servir à rien. Harpagon, dan
scène vi , annonce qu’il destine une veuve à son fils, et dans l’acte
IV
, scène ire , Frosine veut dégoûter Harpagon de so
e maître Jacques tend la main mais Harpagon ne tire que son mouchoir
69.
Vous en voyez encore qui, en s’écriant, après le
cette ridicule plaisanterie. Vous en voyez enfin qui, fâchés de voir
deux
chandelles allumées, ne se contentent pas d’en so
onfondu. Cette comédie parut à Versailles avec des intermèdes, le
18
juillet, et sur le théâtre du Palais-Royal, le 9
des intermèdes, le 18 juillet, et sur le théâtre du Palais-Royal, le
9
novembre, débarrassée de tous ses prétendus agrém
aravant Boccace, dont George Dandin est tiré. Précis de la Nouvelle
LXIV
. Tome II. Gite, mariée à Tofan, profite du s
cace, dont George Dandin est tiré. Précis de la Nouvelle LXIV. Tome
II
. Gite, mariée à Tofan, profite du sommeil de
a les mêmes raisons que Tofan pour laisser sa femme à la porte : les
deux
héroïnes ont recours au même stratagème, pour fai
sur la pièce. Le genre. — D’intrigue. Le titre. — La pièce en a
deux
: le second est le véritable, il nous annonce le
loin d’être morale, devient d’une immoralité révoltante ? Année
1669
La Gloire du Val-De-Grâce ; Monsieur de Pource
La comédie du Tartuffe fut jouée à Chantilly, chez le grand Condé, le
2
septembre 1668 ; six mois après, Louis XIV accord
u Tartuffe fut jouée à Chantilly, chez le grand Condé, le 2 septembre
1668
; six mois après, Louis XIV accorda une nouvelle
ffe fut jouée à Chantilly, chez le grand Condé, le 2 septembre 1668 ;
six
mois après, Louis XIV accorda une nouvelle pensio
u chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre. Il y parut pour la seconde fois, le
5
février 1669, et l’affluence fut grande, dit Robi
uvre des chefs-d’œuvre. Il y parut pour la seconde fois, le 5 février
1669,
et l’affluence fut grande, dit Robinet : Je vous
aissa nulle part. Le succès du Tartuffe fut tel, qu’on le représenta
trois
mois de suite, et les comédiens décidèrent qu’à l
diens de l’Hôtel de Bourgogne s’empressèrent de mettre au théâtre, le
2
mars 1669 ; et bientôt ils eurent assez peu de dé
e l’Hôtel de Bourgogne s’empressèrent de mettre au théâtre, le 2 mars
1669
; et bientôt ils eurent assez peu de délicatesse
e. Imprimé pour la première fois, à Paris, chez Pierre le Petit, en
1669.
Lisez le poème. Bret dit « qu’Avignon fut le l
de Saint-Remi… ; et que, réunis depuis à Paris, ils se donnèrent tous
deux
des preuves de leur attachement. Mignard laissa à
ent que le génie serait en droit de réclamer plusieurs morceaux ; les
neuf
Muses doivent surtout applaudir à la noble fierté
Monsieur de Pourceaugnac. Cette pièce fut jouée à Chambord, le
16
octobre, et à Paris, le 15 novembre. Elle eut le
c. Cette pièce fut jouée à Chambord, le 16 octobre, et à Paris, le
15
novembre. Elle eut le plus grand succès ; les jal
comédien du Marais. Guillot, chargé par son maître d’emprunter
cinquante
pistoles sur une bague, s’adresse à un chevalier
onne comédie. » Délivrons M. de Pourceaugnac de quelques suisses, des
trois
quarts de ses prétendus enfants, des lavements qu
fre les plus grandes difficultés ; on n’est pas aisément bête pendant
cinq
actes, et l’acteur est perdu, si quelques naïveté
r l’auteur, peut transmettre la tradition la plus vicieuse. Année
1670.
Les Amants magnifiques ; Le Bourgeois gentilho
marade en Languedoc ; combien pensez-vous que je doive lui donner ? —
Quatre
pistoles. — À la bonne heure, voilà quatre pistol
ue je doive lui donner ? — Quatre pistoles. — À la bonne heure, voilà
quatre
pistoles que je vous charge de lui remettre de ma
vous charge de lui remettre de ma part, et je lui ferai accepter ces
vingt
autres de la vôtre. On connaît aussi l’anecdote d
e des bons mots, et de leur sacrifier ses meilleurs amis. Passons aux
deux
nouveautés jouées dans le courant de cette année.
théâtre de Paris, pas même de la faire imprimer, elle ne le fut qu’en
1682,
neuf ans après la mort de Molière. Alors les comé
e de Paris, pas même de la faire imprimer, elle ne le fut qu’en 1682,
neuf
ans après la mort de Molière. Alors les comédiens
ourraient avoir à la ville le même succès qu’ils avaient eu à la cour
douze
ans avant, montèrent la pièce à grands frais, mai
levé comme fils d’un pêcheur, sous le nom de Carlos, se distingue par
mille
exploits guerriers, et se fait aimer de la reine
arquis, prenez ma bague, et la donnez pour marque, Au plus digne des
trois
, pour en faire un monarque. Dans la superbe scène
rbe scène qui suit celle-ci, Carlos s’explique en ces termes avec ses
trois
rivaux : De cet anneau dépend le diadème, Il va
e roi, a-t-on écrit, ayant donné le sujet de la comédie, désirait que
deux
princes rivaux y régalassent, à l’envi l’un de l’
Le Bourgeois gentilhomme. Cette comédie fut jouée à Chambord, le
14
octobre, et à Paris, le 29 novembre. Jamais pièce
Cette comédie fut jouée à Chambord, le 14 octobre, et à Paris, le
29
novembre. Jamais pièce n’offrit un plus vaste cha
marquis de… ; le pauvre homme extravague, il est épuisé. Il se passa
cinq
à six jours avant que l’on représentât la pièce p
s de… ; le pauvre homme extravague, il est épuisé. Il se passa cinq à
six
jours avant que l’on représentât la pièce pour la
ennent à la pièce. Voilà quelques légères taches ; mais rachetées par
mille
beautés, et d’un genre à mériter que Voltaire ne
i disait : comme cette cérémonie est longue. Encore un reproche, acte
IV
, scène ii , madame Jourdain surprend son époux à
édition faite même sous les yeux de Molière, et nous lui dirions, les
quatre
perfides mots, c’est moi qui paie , une fois pro
venait de reprendre Le Bourgeois gentilhomme, un habitué, qui depuis
trente
ans faisait les honneurs du balcon, et qui payait
n’est pas de la dernière édition, et l’amant de Lucile a tout au plus
trente
ans ; pourquoi gâter un rôle dont les meilleurs a
e d’Olban, et de l’avoir bien joué, pendant l’absence de son camarade
M
…, qu’elle n’aimait pas ; et voilà pourquoi, dans
comédiens, la scène est insensiblement livrée aux jeunes premiers de
cinquante
ans, aux nourrices de quinze, aux hommes de cour
blement livrée aux jeunes premiers de cinquante ans, aux nourrices de
quinze
, aux hommes de cour sans maintien, aux valets de
s ? Venez admirer un tel, vous dis-je, grâce à son talent, il n’a que
vingt-cinq
ans. Dites que nous voudrions nous le persuader,
’hiver percera certainement à travers le surtout du printemps, et ces
deux
vers, du Roi de Cocagne, s’offriront naturellemen
e, Mais tout ce qu’il pouvait n’avait pas de quoi plaire. Année
1671
Les Fourberies de Scapin ; Psyché. Il y a
u’il fustige, sont bonnes. Voyons, d’après cela, dans laquelle de ces
deux
classes nous placerons Les Fourberies de Scapin.
pièce donnée pour la première fois sur le théâtre du Palais-Royal, le
24
mai, a une origine des plus illustres ; elle est
d d’esclaves fort intéressé. Voilà l’avant-scène, voici l’action. Les
deux
vieillards reviennent ; Chremès, bien fâché de n’
pas évité ce défaut, nous dirons même que dans la pièce française les
deux
jeunes gens tiennent bien moins l’un à l’autre qu
ien moins l’un à l’autre que dans la pièce latine ; les aventures des
deux
cousins y sont intimement liées par l’adresse de
dresse de Phedria. Remarquons encore que dans l’une et l’antre pièce,
deux
fourbes animent la machine, mais que chez Molière
’il s’est caché dans le sac pour ne pas épouser une vieille, riche de
cinquante
mille écus. Lucas, tenté par la somme, prie Rodom
caché dans le sac pour ne pas épouser une vieille, riche de cinquante
mille
écus. Lucas, tenté par la somme, prie Rodomont de
point là flétrir ses premiers rôles, C’est de l’esprit embrasser les
deux
pôles ; Par deux chemins c’est tendre au même but
ses premiers rôles, C’est de l’esprit embrasser les deux pôles ; Par
deux
chemins c’est tendre au même but, Et s’illustrer
t, Et s’illustrer par un double attribut. De la tradition. Les
deux
vieillards de cette pièce sont tantôt des pères C
rphée du temps, prête les charmes de sa musique à tout l’ouvrage. Les
neuf
Muses et leurs favoris semblent être d’accord ave
elle eut beaucoup de reprises. Baron et mademoiselle Desmarets, tous
deux
jeunes, beaux, épris l’un de l’autre, animèrent l
x, épris l’un de l’autre, animèrent les rôles de l’Amour et de Psyché
73,
de tous les feux qu’ils ressentaient. Lisez la p
nt. Lisez la pièce de Molière. Sentiment sur l’ouvrage et sur ses
quatre
auteurs. Lulli. Nous ne jugerons pas sa m
lli. Nous ne jugerons pas sa musique ; il n’en sera pas de même de
deux
dialogues italiens de sa composition, placés dans
du second et du troisième, a été versifiée par le grand Corneille : à
soixante-quatre
ans il retrouva le feu, la grâce dont il avait be
reparaîtront-ils ces hommes si rares, à tant de titres ! Année
1672.
Les Femmes savantes ; La Comtesse d’Escarbagna
composition ; aussi, la comédie des Femmes savantes fut-elle plus de
quatre
ans sur le bureau : on en parlait déjà en 1668 ;
tes fut-elle plus de quatre ans sur le bureau : on en parlait déjà en
1668
; sur son titre seul, madame Dacier jugea à propo
sse d’Escarbagnas se suivirent de très près. La première fut jouée le
11
mars. Voici sans doute encore une des comédies qu
s négliger, et je leur offre pour modèle la cinquième scène de l’acte
III
des Femmes savantes. Vadius et Trissotin s’y donn
as sans doute à remarquer combien il a fallu d’invention pour trouver
cinq
actes dans un sujet aride ; combien il a fallu d’
actes dans un sujet aride ; combien il a fallu d’art pour nourrir ces
cinq
actes, d’une fable toujours vive et variée, sans
lui auquel il a l’air de ressembler. Philaminte, Armande, Bélise sont
trois
fausses savantes ; mais l’une est altière, l’autr
onde se complaît dans l’idée d’avoir un mari, des enfants, un ménage.
Deux
pédants également vains nous sont offerts ; mais
de Philaminte, la faiblesse de Chrysale, tiennent dans l’incertitude
deux
amants, et le public qui s’intéresse à eux ; Aris
tude deux amants, et le public qui s’intéresse à eux ; Ariste apporte
deux
lettres par lesquelles on apprend que la fortune
uements à citer, et qui sont très rares, l’on distingue ceux qui, aux
deux
qualités dont nous venons de parler, réunissent l
la plus nécessaire, la vraisemblance. La plupart des auteurs amènent
deux
rivaux sur la scène, et ne s’occupent que du soin
le rendre comique sans indécence. Jugez présentement s’il réunit ces
deux
qualités avec les Armande qui, trop démonstrative
nit ces deux qualités avec les Armande qui, trop démonstratives, font
mille
grimaces et secouent longtemps la tête pour nous
aussi, ne faut-il pas s’étonner si ce Molière, que nous avons vu, en
1651,
quitter son nom et sa profession pour se livrer s
ce divertissement parut à Saint-Germain-en-Laye, au mois de décembre
1671,
sous le titre de Ballet des Ballets. Ces deux piè
e, au mois de décembre 1671, sous le titre de Ballet des Ballets. Ces
deux
pièces composaient sept actes qui étaient précédé
médie en un acte, qu’il fit paraître à Paris, avec succès, en juillet
1672.
Voilà l’ouvrage dont nous devons nous occuper.
propres à satisfaire l’intérêt qu’il prend à notre auteur. Pésenas,
7
ventôse an 7. Je n’ai pas perdu un moment, mon
isfaire l’intérêt qu’il prend à notre auteur. Pésenas, 7 ventôse an
7.
Je n’ai pas perdu un moment, mon cher compatrio
moment, mon cher compatriote, depuis la réception de votre lettre du
10
nivôse, pour aller aux informations et me procure
elle pas plus l’air d’avoir été faite en province, que les Précieuses
79
? De la tradition. Si les commentateurs dis
dans le rôle même. On lit, dans La Sentinelle, journal de Louvet, nº
138,
cette anecdote, tirée des œuvres de Champfort :
oïne, il couvre de ridicule cette femme si fière de ses aïeux, de ses
deux
fils, le Marquis et le Commandeur, et de sa belle
a seule sottise Qu’on voit faire à ces messieurs-là80. » Année
1673.
Le Malade imaginaire. Le Malade imaginaire, c
sont tout à fait étrangers, parut sur le théâtre du Palais-Royal, le
10
février. Pour cette fois, aucun ordre n’avait for
cepté les comédiens. » Combien semblent en effet ne pas connaître ces
quatre
vers : Quand sur une personne on prétend se régl
aisait mademoiselle Gaussin ? Au lieu d’un seul cri, elle en poussait
deux
, mais qui se suivaient avec la rapidité d’un écla
: quelles sont les plus belles années d’une femme ? L’élève. Depuis
dix-huit
jusqu’à vingt-cinq, disent les gens sévères81. L
s plus belles années d’une femme ? L’élève. Depuis dix-huit jusqu’à
vingt-cinq
, disent les gens sévères81. Le professeur. Quel
rlant encore de ses plus belles années, ne doit donc avoir qu’environ
trente
ans ; aussi, madame Grandval ne se donnait-elle q
garde à ses difficultés ; je ne connais, dans tout notre théâtre, que
deux
rôles d’enfant : celui de Joas, et celui de la pe
trouverons son père indulgent, lorsqu’il l’appellera petite masque
82.
L’élève. Je sens tout ce que vous me faites remar
lui de Dorine, dans le Tartuffe ; eh ! quelle différence ! Toutes les
deux
protègent à la vérité une jeune personne menacée
ne pas jouer, ce jour-là, de le donner tout entier au repos : « Eh !
cinquante
pauvres ouvriers, de quoi vivront-ils ? Tout ce q
nt-ils ? Tout ce que je demande à mes camarades, c’est d’être prêts à
quatre
heures. » Il eut beaucoup de peine à finir le rôl
foqué par le sang qu’il rendait en abondance, expira dans les bras de
deux
sœurs quêteuses auxquelles il donnait l’hospitali
e deux sœurs quêteuses auxquelles il donnait l’hospitalité. Ce fut le
17
février 1673 que commença l’immortalité de Molièr
s quêteuses auxquelles il donnait l’hospitalité. Ce fut le 17 février
1673
que commença l’immortalité de Molière. Voltaire
ffaire. Je passe sous silence tous les bruits populaires, pour donner
deux
pièces authentiques. PLACET de LA VEUVE MOLIÈRE.
disant que, vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février
mille
six cent soixante-treize, sur les neufs heures du
que, vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février mille
six
cent soixante-treize, sur les neufs heures du soi
, vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février mille six
cent
soixante-treize, sur les neufs heures du soir, le
dredi dernier, dix-septième du présent mois de février mille six cent
soixante-treize
, sur les neufs heures du soir, ledit feu sieur de
e, sa paroisse, lesquels s’adressèrent à messieurs Lenfant et Lechat,
deux
prêtres habitués en ladite paroisse, qui refusère
le sentiment d’un bon chrétien, ainsi qu’il a témoigné en présence de
deux
dames religieuses demeurant en la même maison, d’
Fait à Paris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février
mille
six cent soixante-treize. Signé Archevêque de Par
à Paris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mille
six
cent soixante-treize. Signé Archevêque de Paris.
ris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mille six
cent
soixante-treize. Signé Archevêque de Paris. * O
dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mille six cent
soixante-treize
. Signé Archevêque de Paris. * ORDONNANCE de mon
roisse, à condition, néanmoins, que ce sera sans aucune pompe et avec
deux
prêtres seulement, et hors des œuvres du jour, et
rvées selon leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février
mille
six cent soixante-treize. Ainsi signé Archevêque
selon leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mille
six
cent soixante-treize. Ainsi signé Archevêque de P
n leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mille six
cent
soixante-treize. Ainsi signé Archevêque de Paris,
r forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mille six cent
soixante-treize
. Ainsi signé Archevêque de Paris, et au-dessous p
r les notaires au Châtelet de Paris, soussignez, le vingt-unième mars
mille
six cent soixante-treize. Le Vasseur. * Avan
notaires au Châtelet de Paris, soussignez, le vingt-unième mars mille
six
cent soixante-treize. Le Vasseur. * Avant qu
ires au Châtelet de Paris, soussignez, le vingt-unième mars mille six
cent
soixante-treize. Le Vasseur. * Avant qu’un p
au Châtelet de Paris, soussignez, le vingt-unième mars mille six cent
soixante-treize
. Le Vasseur. * Avant qu’un peu de terre obte
rre obtenu par prière, Pour jamais sous la tombe eût enfermé Molière,
Mille
de ses beaux traits aujourd’hui si vantés, Furent
bis movisses partius olim, Parcius heu ! lacrymis tingeret ora dolor
85
. Nous devons les vers suivants à Chapelle : P
e, qui n’ait un but moral comme les fables de La Fontaine ; aussi ces
deux
grands hommes se devinèrent-ils, du moment qu’ils
nouvel Élysée, dans le jardin du Musée français, vient de leur élever
deux
autels voisins l’un de l’autre. J’ai pressé sur m
C’est un homme… qui… ah !… un homme… un homme enfin. Tartuffe, acte
I
, scène vi . 1. Il y a dix ans qu’un librair
… ah !… un homme… un homme enfin. Tartuffe, acte I, scène vi .
1.
Il y a dix ans qu’un libraire de Strasbourg, cond
homme… un homme enfin. Tartuffe, acte I, scène vi . 1. Il y a
dix
ans qu’un libraire de Strasbourg, conduit chez mo
que l’extrait du mien, et M. Huet a refusé d’en imprimer un second.
2.
Alexandre Lenoir, artiste rempli de goût et de zè
zèle, à qui nous devons la réunion précieuse des monuments français.
3.
La troisième boutique à gauche sous les piliers d
es, en entrant par la rue Saint-Honoré. L’inscription y fut placée le
13
brumaire an 8 de la république, 4 novembre 1799,
par la rue Saint-Honoré. L’inscription y fut placée le 13 brumaire an
8
de la république, 4 novembre 1799, le croirait-on
oré. L’inscription y fut placée le 13 brumaire an 8 de la république,
4
novembre 1799, le croirait-on ? Laporte, fils de
ription y fut placée le 13 brumaire an 8 de la république, 4 novembre
1799,
le croirait-on ? Laporte, fils de l’ancien souffl
t qu’avec peine et soutenait naïvement que Molière n’était pas mort.
4.
Anne Boudet d’après Grimaret, contemporain de Mo
ntaires, je me propose d’en prendre tout ce qui pourra m’être utile.
5.
Boulanger, dans une comédie pitoyable intitulée
que suspecte, puisqu’on ne la doit qu’à la jalousie et à l’inimitié.
6.
Voltaire est du nombre. 7. C’est dans cette vill
a doit qu’à la jalousie et à l’inimitié. 6. Voltaire est du nombre.
7.
C’est dans cette ville que mademoiselle Béjart fi
fant suivit la troupe et prit l’habitude d’appeler Molière son mari.
8.
Deux pièces qu’il suffit de citer ici, et dont no
t suivit la troupe et prit l’habitude d’appeler Molière son mari. 8.
Deux
pièces qu’il suffit de citer ici, et dont nous pa
s parlerons plus amplement quand elles auront paru dans la capitale.
9.
Elle fut accordée à M. Simonnin. 10. L’Institut
s auront paru dans la capitale. 9. Elle fut accordée à M. Simonnin.
10.
L’Institut national y tient ses séances publiques
M. Simonnin. 10. L’Institut national y tient ses séances publiques.
11.
Voyez L’Art de la Comédie, troisième volume. 1
ances publiques. 11. Voyez L’Art de la Comédie, troisième volume.
12.
Préville, dans un de ces pèlerinages trop ordinai
nçale, bravo Préville, voilà le vrai talent, nous étions des… bêtes.
13.
Je ne nommerai aucun des masques intéressés à gar
ns celles de Marivaux, de Dancour, etc., l’un n’empêche pas l’autre.
14.
C’est après sa retraite que je fis connaissance a
t, en rentrant chez elle : « ah ! mes amis, que j’étais mauvaise ! »
15.
On nomme ainsi les rôles des jeunes amants. 16.
’étais mauvaise ! » 15. On nomme ainsi les rôles des jeunes amants.
16.
Antoine Bodeau de Somaize. 17. Celles du parterr
e ainsi les rôles des jeunes amants. 16. Antoine Bodeau de Somaize.
17.
Celles du parterre étaient alors à dix sols. 18.
6. Antoine Bodeau de Somaize. 17. Celles du parterre étaient alors à
dix
sols. 18. Molière joua, dit-on, ce rôle avec un
Bodeau de Somaize. 17. Celles du parterre étaient alors à dix sols.
18.
Molière joua, dit-on, ce rôle avec un masque : il
naissait donc pas encore les avantages d’un visage qui sait peindre.
19.
Un nommé Neuvillenaire assista aux six premières
d’un visage qui sait peindre. 19. Un nommé Neuvillenaire assista aux
six
premières représentations de cette pièce, l’appri
tte pièce, l’apprit par cœur, la fit imprimer et la dédia à Molière.
20.
Quelques éditeurs ont cru que la pièce avait été
20. Quelques éditeurs ont cru que la pièce avait été faite d’abord en
trois
actes, et ce n’est pas sans fondement, puisque le
que le théâtre reste vide après la sixième scène et la dix-septième.
21.
Ce nom n’est point imaginé par Molière, dit-on :
i d’un des témoins qu’on avait fait entendre dans les informations de
1650,
faites sur la conjuration publique. » Voyez les m
tion de Molière, il est du moins de son choix ; et cela nous suffit.
22.
Le lecteur retrouvera quelques vers de cette pièc
lecteur retrouvera quelques vers de cette pièce dans le Misanthrope.
23.
Pas un vers qui soit inutile, celui-ci par exempl
va favoriser Valère, Isabelle, et rendre le spectateur moins sévère.
24.
Voyez L’Art de la Comédie, volume premier, page
moins sévère. 24. Voyez L’Art de la Comédie, volume premier, page
309.
25. À la suite d’une lecture de cet article, à
sévère. 24. Voyez L’Art de la Comédie, volume premier, page 309.
25.
À la suite d’une lecture de cet article, à l’Inst
sacrifier des applaudissements trop faciles. » Point de réponse.
26.
On supprime les douze premiers vers de cette scèn
udissements trop faciles. » Point de réponse. 26. On supprime les
douze
premiers vers de cette scène ; nos maris devraien
u’on fît de la coquetterie, Comme de la guipure et de la broderie.
27.
Le placet de M. Caritidès était ridicule, dans un
ait-il pas à propos qu’on lui fit connaître et respecter sa langue ?
28.
On remarquera dans la préface, que Molière y prom
, qu’il l’eût fait, cet examen ! » et je partage bien leurs regrets.
29.
Pour entendre la scène du Joueur, on doit savoir
egrets. 29. Pour entendre la scène du Joueur, on doit savoir que les
six
entraient alors dans le jeu de piquet. 30. Moliè
r, on doit savoir que les six entraient alors dans le jeu de piquet.
30.
Molière ne prévoyait pas que son conseil serait s
dame Angot ; j’avance un fait, et je défie qu’on ose le contredire.
31.
Le discours de cette matrone et celui de Macette,
en l’abordant : Mon enfant, le bon Dieu puisse-t-il vous bénir !
32.
Voltaire « trouve le dénouement de L’École des fe
sur les comédies de Molière. (Voyez l’article de L’École des maris.)
33.
Question à tous les Arnolphe présents et à venir,
ts et à venir, sur le mot tarte à la crème : si après avoir dit, acte
I
, scène ire , je veux qu’elle réponde , ils s’ar
à la crème, de tout temps si critiquée, ne le serait plus, je pense.
34.
Encore un conseil à nos Agnès ; il est bon de les
de l’usage, une taille rondelette n’est pas d’une absolue nécessité.
35.
Les soubrettes les paysannes, qui pensent supplée
argent, un jupon et un tablier de gaze bordés d’une dentelle haute de
six
travers de doigt, tout cela couronné d’un fichu p
cela couronné d’un fichu plein, et d’un bonnet de la même richesse.
36.
Anagramme de Molière. 37. Sans négliger les plus
lein, et d’un bonnet de la même richesse. 36. Anagramme de Molière.
37.
Sans négliger les plus petits détails, lorsque, s
le mariage change bien les gens, vous ne m’auriez pas dit cela il y a
dix-huit
mois ». 38. Qu’aurait dit Montfleury, s’il eût d
bien les gens, vous ne m’auriez pas dit cela il y a dix-huit mois ».
38.
Qu’aurait dit Montfleury, s’il eût deviné que Mol
foyer, que ce portrait ; et cependant, lorsqu’ils annoncèrent, il y a
vingt-sept
ans, L’Assemblée, comédie destinée à célébrer la
à élever à leur ancien camarade, à leur père, une statue en marbre .
39.
Il avait aimé mademoiselle Hamilton, et repassait
39. Il avait aimé mademoiselle Hamilton, et repassait en France ; les
deux
frères de la demoiselle le joignirent à Douvres,
ser votre sœur, et j’y retourne avec vous pour finir cette affaire.
40.
Vers du Philosophe marié. 41. Voltaire nous a
avec vous pour finir cette affaire. 40. Vers du Philosophe marié.
41.
Voltaire nous a conservé une scène que Molière
in de l’auteur. Il est bon d’observer que Pierre Marcassus mourut en
1664,
et que Le Festin de Pierre, fait et représenté à
664, et que Le Festin de Pierre, fait et représenté à la hâte, est de
1665.
42. Desfonandrès, composé de je tue et homme.
que Le Festin de Pierre, fait et représenté à la hâte, est de 1665.
42.
Desfonandrès, composé de je tue et homme. 43. Ba
a hâte, est de 1665. 42. Desfonandrès, composé de je tue et homme.
43.
Bahis, composé d’aboyer, parce qu’il bredouillait
ue et homme. 43. Bahis, composé d’aboyer, parce qu’il bredouillait.
44.
Macroton, composé de long et de ton, parce qu’il
Macroton, composé de long et de ton, parce qu’il parlait lentement.
45.
Tomis, composé de coupant, parce qu’il était l’ap
Tomis, composé de coupant, parce qu’il était l’apôtre de la saignée.
46.
M. le duc de Saint-Aignan plaisantait un jour M.
duc, le ridicule du poète de qualité vous désigne bien davantage ».
47.
Dans l’acte i, scène ire , Alceste dit : Non, l’
en moi n’affaiblit pas la preuve. Le changement que l’on fait, acte
II
, scène ire , ne me paraît pas aussi satisfaisant
urtisan soit quelque chose de bien remarquable et de bien ridicule.
48.
Et de Jean-Jacques ; voyez sa lettre à d’Alembert
ridicule. 48. Et de Jean-Jacques ; voyez sa lettre à d’Alembert.
49.
Comment est-il possible que ce rôle fut jadis jou
ce rôle fut jadis joué par les acteurs en possession des manteaux ?
50.
Dangeville représentait très bien l’Homme au so
s : « Si Paris était dans la campagne, ce serait un beau village. »
51.
À quoi ne doit-on pas s’attendre, depuis qu’on a
la verve, un bel acte, en osant l’intituler Le Philinte de Molière.
52.
De deux ou trois, passe. 53. J’interromps l’imp
ve, un bel acte, en osant l’intituler Le Philinte de Molière. 52. De
deux
ou trois, passe. 53. J’interromps l’imprimeur,
el acte, en osant l’intituler Le Philinte de Molière. 52. De deux ou
trois
, passe. 53. J’interromps l’imprimeur, pour cons
t l’intituler Le Philinte de Molière. 52. De deux ou trois, passe.
53.
J’interromps l’imprimeur, pour consigner dans une
Dubois, après avoir longtemps cherché le billet, remet successivement
quatre
papiers à son maître ; celui-ci les parcourt des
la tête assurément ; et le parterre a couvert d’applaudissements ces
deux
acteurs, et les loges n’ont pas crié au parterre,
ié au parterre, Quoi ! vous avez, le front de trouver cela beau ?
54.
À la première représentation elle était intitulée
elle était intitulée L’Imposteur, et le héros s’appelait Panulphe.
55.
Il fut un temps où l’on n’osait pas débiter la ti
Le public eut la bonté d’applaudir à mon décret contre la calomnie.
56.
Encore trop scrupuleusement savante. 57. Cette m
écret contre la calomnie. 56. Encore trop scrupuleusement savante.
57.
Cette malignité a été parodiée : « des comédiens
main le Tartuffe ». (Vie de Molière, Histoire des Hommes illustres.)
58.
Les commentateurs, les historiens de Molière, dis
stres.) 58. Les commentateurs, les historiens de Molière, disent : «
huit
jours après que la comédie du Tartuffe eut été dé
usse, le roi n’était-il pas au camp, quand le Tartuffe fut défendu ?
59.
Les Indiens ont un Amphitryon dont parle Voltaire
ut défendu ? 59. Les Indiens ont un Amphitryon dont parle Voltaire.
60.
Voyez le Bolœana. 61. Plaute, dans la première
iens ont un Amphitryon dont parle Voltaire. 60. Voyez le Bolœana.
61.
Plaute, dans la première scène de son Amphitryon,
su trouver, dans ce peu de mots, toutes les grâces de son prologue.
62.
Dans les Harangueuses d’Aristophane, Praxagora p
ophane, Praxagora parle à sa lampe, mais la lampe ne lui répond pas.
63.
Boileau trouvait que la galanterie de Jupiter ne
its-maîtres, s’évertuer pour mirliflorer à qui mieux mieux ce rôle ?
64.
Voltaire dit, dans ses questions sur l’Encyclopéd
rs, mais que les comédiens voulurent la jouer telle qu’elle était ».
65.
Le comédien Subligni en était l’auteur. 66. Gr
telle qu’elle était ». 65. Le comédien Subligni en était l’auteur.
66.
Grandménil, m’entendant lire cet article, prit l
: « La scène se passe dans une chambre qui nécessairement doit avoir
quatre
murailles, l’une des quatre est supposée entre le
une chambre qui nécessairement doit avoir quatre murailles, l’une des
quatre
est supposée entre les comédiens et le spectateur
que cette réflexion fût rendue publique, je la soumets au lecteur.
67.
Voltaire trouve que « l’épreuve de l’Avare, sur
s la pièce de Racine ne parut qu’un mois avant la mort de Molière, en
1673,
et L’Avare est de 1668. 68. Aussi les acteurs o
parut qu’un mois avant la mort de Molière, en 1673, et L’Avare est de
1668.
68. Aussi les acteurs ont-ils grand tort de la
’un mois avant la mort de Molière, en 1673, et L’Avare est de 1668.
68.
Aussi les acteurs ont-ils grand tort de la mutile
ans Marivaux et dans Molière, lorsque la mémoire des comédiens était [
220
] en défaut, ils avaient la plus grande peine à re
il le fallait aussi recherché, que simple et naturel pour l’autre.
69.
Ferme les yeux Thalie, le meilleur de nos Harpago
Molière un morceau de taffetas vert avec lequel il essuie ses yeux.
70.
Les historiens disent : « mademoiselle Guérin n’a
ucation ne peuvent être reprochés à Molière ; elle avait tout au plus
dix
ans à la mort de son père. 71. Malgré l’intenti
à Molière ; elle avait tout au plus dix ans à la mort de son père.
71.
Malgré l’intention bien formelle de ne plus nous
imitations qu’on ait faites de l’Ode d’Horace, Donec gratus eram.
72.
L’Académie française, combattue depuis longtemps
uteur, à condition que l’acteur ne recevrait plus des coups de bâton.
Cent
huit ans après, d’Alembert a fait présent à l’Aca
, à condition que l’acteur ne recevrait plus des coups de bâton. Cent
huit
ans après, d’Alembert a fait présent à l’Académie
Molière, le jour de sa réception posthume à l’Académie française.
73.
Ce rôle avait été rempli à la cour par mademoisel
73. Ce rôle avait été rempli à la cour par mademoiselle Molière.
74.
M. le Texier a lu dernièrement une pièce de Moliè
s compte de cette séance académique en parlant du Malade imaginaire.
75.
Et c’était sa manière. Voyez l’article des Précie
75. Et c’était sa manière. Voyez l’article des Précieuses ridicules.
76.
Bayle reprochait à Molière de n’avoir fait la gue
ntêtement ». Nous répondrons à ce grand critique, eh ! le Tartuffe !
77.
C’est dans les Œuvres même de Cotin que Molière a
tateur, les lui fournit ; c’est avoir grande envie de citer Boileau.
78.
Madame la comtesse d’Escarbagnas était féconde en
fondait avec le poète de ce nom était un marchand parfumeur à Paris.
79.
Il y a dans la première scène quelques traits con
rmis des choses injurieuses contre Louis XIV et la nation française.
80.
Prologue d’Amphitryon. 81. L’illusion du théâtre
contre Louis XIV et la nation française. 80. Prologue d’Amphitryon.
81.
L’illusion du théâtre permet à un comédien de se
hitryon. 81. L’illusion du théâtre permet à un comédien de se donner
dix
ans de plus ou de moins qu’il n’a réellement, mai
x ans de plus ou de moins qu’il n’a réellement, mais pas davantage.
82.
Je n’ai jamais vu jouer passablement ce rôle, quo
e vit naître, l’admiration des nations étrangères le vengeait bien.
83.
Laporte, le souffleur de ce temps-là, m’a dit : j
, qu’il a l’air de le préparer, et que je m’y trompe journellement.
84.
Bientôt, oubliant sa douleur et la gloire attaché
lle aimait peu, Elle en prend un de chair, qu’elle aime davantage.
85.
Parmi les mille épitaphes, les élégies, les coméd
, Elle en prend un de chair, qu’elle aime davantage. 85. Parmi les
mille
épitaphes, les élégies, les comédies dans lesquel
pas contracté l’engagement de faire un recueil de pièces fugitives.
86.
Pourquoi ne m’est-il pas permis de lui donner ici
us de développement ? Mais je commente Molière, et non La Fontaine.
87.
On dit : « Molière soupait un jour avec Racine, D
e est si bête, qu’il ne croit pas avoir autant d’esprit que nous.
88.
Celle de Molière a plus de largeur d’une tempe à
eproduit les ouvrages. Le texte en a été scrupuleusement revu sur les
vingt-trois
pièces originales imprimées du vivant de Molière
possède la Bibliothèque impériale, et sur l’édition non cartonnée de
1682.
Comparant ensuite ce texte aux réimpressions mode
pu constater que, malgré l’affirmation du commentateur, l’édition de
1845,
présentée comme type à suivre désormais, ne donna
en cas de doute, pourra se reporter à la troisième édition, celle de
1844.
Mais ayant recueilli considérablement de faits et
en résulter pour lui et ses complices. Notez que Molière avait alors
quarante
ans, qu’il menait depuis longtemps une vie assez
pos est, bien entendu, moins qu’une conjecture, à peine une hypothèse
4
. » Avec M. Aimé-Martin on est tout autrement ex
de Molière ; — à la première représentation de L’École des femmes, en
1662,
mademoiselle Beauval, qui n’entra dans la troupe
femmes, en 1662, mademoiselle Beauval, qui n’entra dans la troupe que
huit
ans après ; et dans nombre d’autres pièces, pour
nt devant Louis XIV, au château de Vaux, le rôle d’Éraste des Fâcheux
6
qui, dans le fait, fut créé par La Grange. Le Reg
é-Martin ? C’est lui qui vous aurait tout appris. Nous avions imprimé
deux
fois notre Histoire de la vie et des ouvrages de
lière, quand il voulut, dans une note d’une de ses éditions, celle de
1837,
donner à entendre que sans lui nous n’aurions rie
ition du Tartuffe, de celle dont l’achevé d’imprimer porte la date du
6
juin 1669, Molière publia trois placets successiv
u Tartuffe, de celle dont l’achevé d’imprimer porte la date du 6 juin
1669,
Molière publia trois placets successivement adres
dont l’achevé d’imprimer porte la date du 6 juin 1669, Molière publia
trois
placets successivement adressés par lui au Roi, p
de Paris, celui de sa paroisse et le titre de son libelle, lorsqu’en
1835,
en compulsant le Recueil manuscrit de Conrart à l
scrit de Conrart à la Bibliothèque de l’Arsenal, nous découvrîmes les
deux
derniers de ces renseignements (t. XIII de la par
Arsenal, nous découvrîmes les deux derniers de ces renseignements (t.
XIII
de la partie in-folio de ce Recueil, p. 179). On
emy nous fournirent à leur tour le nom de ce curé, dont nous devions,
vingt
ans plus tard, par une troisième bonne fortune, r
troisième bonne fortune, retrouver le pamphlet. Nous consignâmes les
deux
premiers renseignements dans la Revue rétrospecti
remiers renseignements dans la Revue rétrospective, seconde série, t.
IV
, p. 461, année 1835, où M. Aimé-Martin alla les e
ents dans la Revue rétrospective, seconde série, t. IV, p. 461, année
1835,
où M. Aimé-Martin alla les emprunter en 1837, pou
e, t. IV, p. 461, année 1835, où M. Aimé-Martin alla les emprunter en
1837,
pour cette même édition, dont nous venons de cite
part, nous nous sommes renfermé dans une simple biographie, et depuis
trente-huit
ans que notre première édition a été publiée, pre
n modifier dans une édition nouvelle. Sommaire Livre premier.
1622-1661
1622-1641. Naissance de Poquelin ; sa famille
s une édition nouvelle. Sommaire Livre premier. 1622-1661
1622-1641.
Naissance de Poquelin ; sa famille ; son éducatio
er valet de chambre du Roi. Il entre au collège ; ses condisciples. —
1642.
Il suit le Roi à Narbonne. — 1644. Il étudie le d
e au collège ; ses condisciples. — 1642. Il suit le Roi à Narbonne. —
1644.
Il étudie le droit à Paris. — 1645. Son goût pour
642. Il suit le Roi à Narbonne. — 1644. Il étudie le droit à Paris. —
1645.
Son goût pour les spectacles. Il se met à la tête
iter. Détails sur sa troupe. Naissance d’Armande Béjart, qu’il épousa
dix-sept
ans après. — 1646. Ses courses en province : à Bo
roupe. Naissance d’Armande Béjart, qu’il épousa dix-sept ans après. —
1646.
Ses courses en province : à Bordeaux, où il fait
n ; à Vienne en Dauphiné, où ses représentations sont très suivies. —
1648.
Il obtient moins de succès à Nantes. — 1650. Narb
ons sont très suivies. — 1648. Il obtient moins de succès à Nantes. —
1650.
Narbonne. — 1653. Il revient à Lyon ; L’Étourdi.
ies. — 1648. Il obtient moins de succès à Nantes. — 1650. Narbonne. —
1653.
Il revient à Lyon ; L’Étourdi. Ses liaisons amour
l donne des représentations dans plusieurs petites villes voisines. —
1654.
Il va à Montpellier pendant les états. Preuve de
cette ville. Vacance de la place de secrétaire du prince de Conti. —
1655-1656.
Il retourne à Lyon ; va ensuite à Pézenas pour le
ésenter à Pézenas. Va à Béziers pour les états ; Le Dépit amoureux. —
1657.
Il revient à Lyon ; va à Avignon, où il se lie av
1657. Il revient à Lyon ; va à Avignon, où il se lie avec Mignard. —
1658.
Il passe le carnaval à Grenoble ; se rend à Rouen
Composition de sa troupe. Succès de L’Étourdi et du Dépit amoureux. —
1659.
Il engage de nouveaux acteurs ; Jodelet, de L’Esp
parterre. Interdiction de la seconde représentation levée au bout de
quinze
jours. On double le prix de certaines places. Gra
On double le prix de certaines places. Grand succès des Précieuses. —
1660.
Sganarelle ; intervention d’un mari trompé. Obser
ère obtient la salle du Palais-Royal ; démolition du Petit-Bourbon. —
1661.
Insuccès de Dom Garcie de Navarre. L’École des ma
sseur ; M. de Soyecourt ; naïvetés de ce seigneur. Livre deuxième.
1662-1667
1662. Portrait d’Armande Béjart ; Molière l’ép
Soyecourt ; naïvetés de ce seigneur. Livre deuxième. 1662-1667
1662.
Portrait d’Armande Béjart ; Molière l’épouse ; in
Béjart ; Molière l’épouse ; intérieur de son ménage ; sa femme et ses
deux
anciennes maîtresses. Racine lui demande des cons
on de L’École des femmes ; cabale contre cette pièce et son auteur. —
1663.
Stances de Boileau à Molière. Pension accordée à
imé du public. Montfleury fils et De Visé répondent à L’Impromptu par
deux
comédies. Portrait satirique de Molière acteur. I
ry père l’accuse d’avoir épousé sa fille ; évidence de la calomnie. —
1664.
Louis XIV et la duchesse d’Orléans parrain et mar
me aristotélique de l’université. Boileau adresse à Molière sa satire
II
. Anecdote invraisemblable à cette occasion. Histo
Princesse d’Élide ; détails sur les fous de cour ; représentation des
trois
premiers actes de Tartuffe. Libelle du curé de Sa
u manuscrit. Ce que l’abbé de Marolles nous apprend de cet ouvrage. —
1665.
Le Tartuffe, joué chez Monsieur et chez le prince
jugé par Boileau avec sévérité. Souper d’Auteuil. Sa liaison avec les
deux
Corneille ; anecdote sur Tite et Bérénice ; mot d
lle met fin aux réunions d’Auteuil et de la rue du Vieux-Colombier. —
1666.
Mort de la Reine mère. Succès du Misanthrope ; De
troupe. Le Sicilien, joué à Saint-Germain dans Le Ballet des Muses. —
1667.
Une indisposition de Molière retarde la représent
retarde la représentation du Sicilien à la ville. Livre troisième.
1667-1673
1667. Persécutions à l’occasion du Tartuffe.
résentation du Sicilien à la ville. Livre troisième. 1667-1673
1667.
Persécutions à l’occasion du Tartuffe. Ce qu’en d
Lettre sur la comédie de l’Imposteur justement attribuée à Molière. —
1668.
Succès d’Amphitryon. L’indécence du sujet ne choq
fait allusion à sa toux et à une infirmité récente de Béjart cadet. —
1669.
Reprise définitive du Tartuffe. Changements subis
une femme. Aventure du médecin Cressé et de la femme d’un barbier. —
1670.
Publication d’Élomire hypocondre. Changements sur
de Scaramouche à Paris. Aventure de Molière dans le rôle de Sancho. —
1671.
Psyché, composée pour les fêtes du carnaval. Asso
. Jalousie qu’en ressent D’Assoucy. Lettre qu’il adresse à Molière. —
1672.
Les Femmes savantes. Cotin et Ménage joués dans c
pour la troisième fois. Mort du nouveau-né et de Madeleine Béjart. —
1673.
Aggravation de l’état de santé de Molière. Le Mal
lui, il fait en vain demander un prêtre, et expire entre les bras de
deux
sœurs de charité logées chez lui. Livre quatri
lacé par elle dans la salle des séances. Son éloge mis au concours en
1769.
Extinction de la famille Poquelin en 1780. En 179
n éloge mis au concours en 1769. Extinction de la famille Poquelin en
1780.
En 1792, la section de Molière et de La Fontaine
is au concours en 1769. Extinction de la famille Poquelin en 1780. En
1792,
la section de Molière et de La Fontaine ordonne l
de leurs cendres. Doutes sur leur authenticité. On les transporte, en
1799,
au musée des monuments français, puis au cimetièr
u musée des monuments français, puis au cimetière du Père-Lachaise en
1817.
Dès 1773, Le Kain avait proposé d’ériger une stat
s monuments français, puis au cimetière du Père-Lachaise en 1817. Dès
1773,
Le Kain avait proposé d’ériger une statue à Moliè
ue à Molière. Nouvelles propositions de souscriptions dans ce but, en
1818,
1829, 1836. Inauguration du monument en 1844, ave
olière. Nouvelles propositions de souscriptions dans ce but, en 1818,
1829,
1836. Inauguration du monument en 1844, avec le c
. Nouvelles propositions de souscriptions dans ce but, en 1818, 1829,
1836.
Inauguration du monument en 1844, avec le concour
iptions dans ce but, en 1818, 1829, 1836. Inauguration du monument en
1844,
avec le concours de l’État. Molière accusé de pla
e de Molière. Influence de Molière sur son siècle. Livre premier.
1622-1601
Presque tous ceux qui se sont fait un nom dans
hilosophe qui fut comédien ! Jean-Baptiste Poquelin naquit à Paris le
15
janvier 1622. On avait cru longtemps qu’il était
ui fut comédien ! Jean-Baptiste Poquelin naquit à Paris le 15 janvier
1622.
On avait cru longtemps qu’il était né sous les pi
qu’il était né sous les piliers des Halles, où Regnard vint au monde
trente-cinq
ans plus tard ; mais on a aujourd’hui la certitud
rente-cinq ans plus tard ; mais on a aujourd’hui la certitude que nos
deux
premiers poètes comiques n’eurent point un bercea
jour dans la maison de la rue Saint-Honoré portant aujourd’hui le nº
96,
au coin de la rue des Vieilles-Étuves. Sa mère, M
fonctions importantes qui donnaient quelquefois la noblesse. Aîné de
dix
enfants, le jeune Poquelin fut dès son bas âge de
e Nicolas Poquelin, son oncle, en vertu d’une lettre de Louis XIII du
22
avril 1631, confirma encore Jean Poquelin dans ce
Poquelin, son oncle, en vertu d’une lettre de Louis XIII du 22 avril
1631,
confirma encore Jean Poquelin dans ce dessein. Au
ruction, il lui fit prendre part exclusivement à ses travaux jusqu’en
1637,
époque à laquelle il obtint pour lui la survivanc
laquelle il obtint pour lui la survivance de sa charge, appointée de
trois
cents livres. C’était tout ce que les marchands c
lle il obtint pour lui la survivance de sa charge, appointée de trois
cents
livres. C’était tout ce que les marchands croyaie
isemblance que celle de l’école, et n’en avait pas la barbarie ». Ces
deux
derniers partagèrent l’admiration de leur profess
que « son nez, qu’il avait tout défiguré, lui avait fait tuer plus de
dix
personnes, parce qu’il fallait mettre l’épée à la
public ; mais elle n’a guère d’autre mérite que celui d’avoir fourni
deux
scènes aux Fourberies de Scapin. Molière disait à
r de l’emploi de tapissier valet de chambre du Roi, il fut obligé, en
1642,
de suivre Louis XIII dans son voyage à Narbonne,
n lit dans une mauvaise comédie de Le Boulanger de Chalussay, Élomire
10
hypocondre, ou les Médecins vengés, qui parut en
alussay, Élomire 10 hypocondre, ou les Médecins vengés, qui parut en
1670.
Ce témoignage et celui d’un autre contemporain, l
quelin un point de ressemblance avec La Fontaine et Diderot, qui tous
deux
se trompèrent assez étrangement sur leur caractèr
e tragédie intitulée Artaxerce, d’un auteur nommé Magnon, imprimée en
1645,
dont le titre porte : Représentée par l’Illustre
ce longtemps encore après sa mort. Ce motif avait également déterminé
trois
acteurs, non moins célèbres par leur touchante et
entiment fut long. Hormis son père et son beau-frère, aucun d’eux, en
1662,
ne signa son acte de mariage. Vainement, quand il
que, jouer que de bien jeunes rôles, car il n’était né qu’à la fin de
1630.
Ceux-ci tenaient le jour d’un Joseph Béjart, auqu
s prirent le parti du théâtre. Malgré l’incurie de leurs parents, les
deux
Béjart se firent toujours remarquer par la nobles
pouse de Molière, ce ne fut que dans cette même année qu’elle naquit (
1645
). Ne voulant point intervertir l’ordre des événem
ne. Les circonstances de la vie de Molière, depuis le commencement de
1646
jusqu’en 1658, après avoir été presque toutes ent
stances de la vie de Molière, depuis le commencement de 1646 jusqu’en
1658,
après avoir été presque toutes entièrement ignoré
ion et des jeunes personnes à une comédie que Molière avait composée.
Deux
ou trois de ces places avaient été, par hasard, l
es jeunes personnes à une comédie que Molière avait composée. Deux ou
trois
de ces places avaient été, par hasard, louées à J
t général de la même cour (à Vienne), interposant leur médiation, les
deux
partis se réconcilièrent, et la querelle s’apaisa
s se réconcilièrent, et la querelle s’apaisa. » On sait encore qu’en
1648
Molière se trouvait à Nantes. Un des registres de
uvait à Nantes. Un des registres de la mairie le montre, à la date du
23
avril, venant demander au corps de ville, pour lu
ttes. On retrouve Molière et Du Fresne à Narbonne, au commencement de
1650.
Le 10 janvier Molière figurait comme parrain, dan
retrouve Molière et Du Fresne à Narbonne, au commencement de 1650. Le
10
janvier Molière figurait comme parrain, dans une
oignons ensuite la caravane comique et son chef qu’au commencement de
1653,
à Lyon, où fut représentée pour la première fois
vaient De Brie, Ragueneau et mesdemoiselles15 Du Parc et De Brie. Ces
deux
derniers noms nous amènent naturellement à parler
râces de cette comédienne au comte de Modène, qui avait eu d’elle, en
1638,
une fille naturelle. Bientôt il vit mademoiselle
le et jolie, qui cherche à calmer les chagrins amoureux d’un homme de
trente
ans, ne peut être longtemps reléguée au rôle de c
en œuvre avec lui. Plus tard, il fit allusion à sa position entre ces
deux
femmes par les rôles de Clitandre, d’Henriette et
d’œuvre. Ce fut probablement après la saison d’hiver, au printemps de
1653,
que Molière et ses camarades quittèrent Lyon pour
solus de les faire monter sur le théâtre à Pézenas, et de leur donner
mille
écus de mon argent plutôt que de leur manquer de
issement, auquel moi seul je prenais peu de part. » Il y a moins de
trente
ans, en faisant des réparations à une partie subs
ntagnac ; et on trouve encore dans les archives de la première de ces
quatre
villes l’ordre adressé par le prince de Conti aux
uitté depuis un certain temps son château, arriva dans cette ville le
31
décembre 1653, se rendant à Paris pour rentrer en
un certain temps son château, arriva dans cette ville le 31 décembre
1653,
se rendant à Paris pour rentrer en grâce en épous
ès ce jour-là dans la mémoire du futur auteur du Tartuffe. L’hiver de
1653
fut rendu fructueux pour la troupe par le succès
ison venue, elle reprit sa vie nomade, nous la retrouvons à la fin de
1654
à Montpellier, où le prince et la princesse de Co
Conti se rendirent pour l’ouverture des États de Languedoc, fixée au
7
décembre. À peine arrivé dans cette ville, le pri
nous l’apprend dans sa préface de l’édition des Œuvres de Molière de
1682,
lui prodigua ainsi qu’à ses camarades « des marqu
our les États de Languedoc16 ». Cette session des États fut close le
14
mars 1655. Molière, en quittant Montpellier, se r
États de Languedoc16 ». Cette session des États fut close le 14 mars
1655.
Molière, en quittant Montpellier, se rendit-il im
es charmes, je ne pus si tôt quitter ces charmants amis ; je demeurai
trois
mois à Lyon parmi les jeux, la comédie et les fes
ats de Languedoc furent ouverts à Pézenas, par le prince de Conti, le
4
novembre 1655. Nos comédiens y firent leur servic
uedoc furent ouverts à Pézenas, par le prince de Conti, le 4 novembre
1655.
Nos comédiens y firent leur service pendant toute
t leur service pendant toute la durée de la session, qui fut close le
22
février 1656. « Après donc, continue d’Assoucy, a
ice pendant toute la durée de la session, qui fut close le 22 février
1656.
« Après donc, continue d’Assoucy, avoir passé six
ose le 22 février 1656. « Après donc, continue d’Assoucy, avoir passé
six
bons mois dans cette cocagne et avoir reçu de mon
rémunération de son service pendant cette session une assignation de
5
000 livres sur le fonds des étapes de la province
émunération de son service pendant cette session une assignation de 5
000
livres sur le fonds des étapes de la province. Ce
n nouveau vote à l’assemblée par qui il avait déjà fait voter près de
2
millions pour concourir à l’entretien des armées
nouveau vote à l’assemblée par qui il avait déjà fait voter près de 2
millions
pour concourir à l’entretien des armées du Roi et
près de 2 millions pour concourir à l’entretien des armées du Roi et
60
000 livres pour son compte personnel, il ne fit p
ès de 2 millions pour concourir à l’entretien des armées du Roi et 60
000
livres pour son compte personnel, il ne fit pas r
l’entrepreneur des étapes lui-même ; et, par une convention passée le
3
mai 1656, en présence de M. de Cathelan, viguier
epreneur des étapes lui-même ; et, par une convention passée le 3 mai
1656,
en présence de M. de Cathelan, viguier et juge ro
en cas de non-paiement. La convention porte quittance d’une somme de
1
250 livres, le quart de la créance, qui était pro
n cas de non-paiement. La convention porte quittance d’une somme de 1
250
livres, le quart de la créance, qui était probabl
tition. Ils ne se virent réellement donner qu’une lettre de change de
3
750 livres à leur ordre, tirée par Cassaignes sur
tion. Ils ne se virent réellement donner qu’une lettre de change de 3
750
livres à leur ordre, tirée par Cassaignes sur Duf
par lesquelles il préludait à ses belles compositions. C’étaient Les
Trois
Docteurs rivaux et Le Maître d’école, dont il ne
vaux et Le Maître d’école, dont il ne nous reste que les titres. Mais
deux
autres de ces bluettes que nous possédons, Le Méd
pas de grands regrets pour la perte des premières. L’intrigue de ces
deux
petites comédies a bien quelques traits de ressem
e saillant dans ses moindres ouvrages ». C’est dans cette même année
1656
que Molière en fit jouer un bien plus digne des a
le laisser-aller de quelques-uns de ses collègues, prit, à la date du
6
décembre 1656, la délibération suivante : « Sur l
aller de quelques-uns de ses collègues, prit, à la date du 6 décembre
1656,
la délibération suivante : « Sur les plaintes qui
s en agréèrent l’hommage, mais de mauvaise grâce, car dans un vote du
16
avril 1657, par lequel ils allouèrent une gratifi
èrent l’hommage, mais de mauvaise grâce, car dans un vote du 16 avril
1657,
par lequel ils allouèrent une gratification de ci
vote du 16 avril 1657, par lequel ils allouèrent une gratification de
cinq
cents livres à l’auteur, ils déclarèrent qu’à l’a
du 16 avril 1657, par lequel ils allouèrent une gratification de cinq
cents
livres à l’auteur, ils déclarèrent qu’à l’avenir
sion des États, interrompue à plusieurs reprises, ne fut close que le
1er
juin 1657. Tout donne à penser que Molière avait
États, interrompue à plusieurs reprises, ne fut close que le 1er juin
1657.
Tout donne à penser que Molière avait quitté Bézi
ueil qu’il avait toujours reçu à Lyon, il y revint au commencement de
1657.
Il paraît y avoir donné, au profit des pauvres, u
Il paraît y avoir donné, au profit des pauvres, une représentation le
19
février, et une autre le 11 juin suivant, peut-êt
profit des pauvres, une représentation le 19 février, et une autre le
11
juin suivant, peut-être après une absence nouvell
les voyages et les séjours que nous allons la voir faire à la fin de
1657
et au commencement de 1658, ne nous permettent pa
que nous allons la voir faire à la fin de 1657 et au commencement de
1658,
ne nous permettent pas un instant d’admettre qu’e
erniers temps20, « faire son service aux États de Pézenas, ouverts le
8
octobre ». Outre qu’il lui était rendu bien impos
de décembre installée à Avignon, où elle avait déjà également joué en
1653.
Molière y rencontra Mignard, qui, revenant d’Ital
ncontra Mignard, qui, revenant d’Italie, où il avait séjourné pendant
vingt-deux
ans (1636-1658), s’était arrêté dans le Comtat po
qui, revenant d’Italie, où il avait séjourné pendant vingt-deux ans (
1636-1658
), s’était arrêté dans le Comtat pour dessiner les
a trop fameuse marquise de Gange. C’est là que se contracta entre ces
deux
hommes célèbres une union qui concourut pour ains
loire du Val-de-Grâce à célébrer le talent de son peintre. Il y avait
treize
ans que Molière courait la province, et, quoique
toutes les troupes nomades, bien qu’il eût composé déjà pour elle ses
deux
premiers ouvrages, son nom comme artiste, comme a
une revue qu’il passait des comédiens de son temps, antérieurement à
1658
: « Il faut finir par la Béjart (l’aînée). Je ne
ange, qui nous l’apprennent), ces amis de Molière, au commencement de
1658,
« lui conseillèrent de s’approcher de Paris en fa
introduire à la cour21 ». Après avoir passé à Grenoble le carnaval de
1658,
Molière se rendit donc à Rouen avec sa troupe ver
r des rivaux puissants et nombreux. Il y avait à cette époque à Paris
trois
troupes : les Comédiens italiens, qui avaient nat
in du temps, un historien du théâtre, Chappuzeau. Il fallait donc que
1’autorisation
qu’il poursuivait fût sollicitée sans bruit, sans
Le sieur de Molière et sa troupe arrivèrent à Paris au mois d’octobre
1658,
et se donnèrent à Monsieur, frère unique du Roi,
accorda l’honneur de sa protection et le titre de ses Comédiens, avec
trois
cents livres de pension pour chaque comédien. » L
a l’honneur de sa protection et le titre de ses Comédiens, avec trois
cents
livres de pension pour chaque comédien. » La Gran
a Grange, qui est un chroniqueur minutieux, ajoute : « Nota : que les
trois
cents livres n’ont point été payées22. » On verra
ge, qui est un chroniqueur minutieux, ajoute : « Nota : que les trois
cents
livres n’ont point été payées22. » On verra par d
n’était pénétré des obligations que lui imposait ce patronage. « Le
24
octobre 1658, disent La Grange et Vinot, cette tr
nétré des obligations que lui imposait ce patronage. « Le 24 octobre
1658,
disent La Grange et Vinot, cette troupe commença
x venus allaient profiter ; ceux-ci eurent à lui compter une somme de
quinze
cents livres. Il fut convenu de plus que les Ital
allaient profiter ; ceux-ci eurent à lui compter une somme de quinze
cents
livres. Il fut convenu de plus que les Italiens c
tion ne se commandait pas alors comme de nos jours par une presse aux
cent
voix. Il n’y avait que la Gazette en prose de Ren
lle, fussent minutieusement enregistrés dans ces feuilles, aucune des
deux
ne dit mot du début au Louvre de la troupe nouvel
qui elle se composait. « La troupe, dit La Grange, était composée de
dix
parts et un gagiste : « Les sieurs Molière, Béjar
’aîné, Béjart cadet, Du Parc, Du Fresne, De Brie, Croisac, gagiste, à
deux
livres par jour ; « Mesdemoiselles Béjart, Du Par
re ne nous ont rien appris. Il eut le tort, pour sa gloire, de mourir
six
mois après l’installation de la troupe à Paris, c
éjart le jeune, qui passe pour être monté sur la scène avant l’âge de
quinze
ans, jouait dans la comédie les pères et les seco
s imprimé son nom d’après les archives de la mairie de Nantes d’avril
164825.
Voilà la date de l’enrôlement de Du Fresne. D’un
Voilà la date de l’enrôlement de Du Fresne. D’un autre côté, à Pâques
1659,
La Grange, qui, à ce moment même précisément, éta
u, car, à Pâques suivant, on fit, en le congédiant, l’économie de ses
deux
livres par jour. Nous voici arrivé à la partie fé
es dispositions de Louis XIV. Madeleine Béjart comptait alors plus de
quarante
ans. Elle était née le 8 janvier 1618. Elle avait
deleine Béjart comptait alors plus de quarante ans. Elle était née le
8
janvier 1618. Elle avait un long usage de la scèn
jart comptait alors plus de quarante ans. Elle était née le 8 janvier
1618.
Elle avait un long usage de la scène. Son talent
t partie de ses cuisses par le moyen d’une jupe qui était ouverte des
deux
côtés, avec des bas de soie attachés au haut d’un
Recueil manuscrit de Conrart nous apprend que, dans cette même année
1658,
pendant le séjour que la troupe avait fait à Roue
e année 1658, pendant le séjour que la troupe avait fait à Rouen, les
deux
Corneille en raffolèrent ; La Fontaine est donné
e lui départit le don de paraître toujours jeune, mais évidemment, en
1658,
elle était loin d’avoir déjà besoin de ce privilè
déjà besoin de ce privilège, car elle put rester au théâtre jusqu’en
1685,
et elle vécut jusqu’en 1706. Elle jouait avec le
car elle put rester au théâtre jusqu’en 1685, et elle vécut jusqu’en
1706.
Elle jouait avec le plus grand succès dans le tra
apitale pour se rendre à Lyon, où il devait séjourner pendant près de
trois
mois. Le chef de troupe avait donc saisi le derni
qu’il en soit de cette interprétation, sans perdre beaucoup de temps,
dix
jours seulement après le 24 octobre, « le jour de
rétation, sans perdre beaucoup de temps, dix jours seulement après le
24
octobre, « le jour des Trépassés, 3 novembre 1658
ps, dix jours seulement après le 24 octobre, « le jour des Trépassés,
3
novembre 1658, la troupe commença à représenter e
rs seulement après le 24 octobre, « le jour des Trépassés, 3 novembre
1658,
la troupe commença à représenter en public », dit
du Petit-Bourbon. Sa pièce d’ouverture fut L’Étourdi. Depuis l’année
1642,
où notre scène comique resplendit du succès le pl
quand un comédien, directeur d’une troupe nomade, qui, bien qu’âgé de
trente-deux
ans, n’avait encore composé, que quelques farces
senter dans la province, où cette caravane comique se trouvait alors,
deux
comédies en cinq actes et en vers. Une telle entr
ovince, où cette caravane comique se trouvait alors, deux comédies en
cinq
actes et en vers. Une telle entreprise dut paraît
ncore lui-même. Presque tout ce qui lui appartient en propre dans ces
deux
productions, comme tout ce qu’il a emprunté à ses
vent méconnue. Du jour de leur début public à la suspension de Pâques
1659,
il est impossible de suivre jour par jour les nou
s la troupe et ne s’en fit le garde-note qu’à partir de la rentrée de
1659.
C’est par lui que nous savons toutefois qu’après
à Paris, eut un grand succès, et produisit de part pour chaque acteur
soixante
et dix pistoles. » — « Le Dépit amoureux, comédie
un grand succès, et produisit de part pour chaque acteur soixante et
dix
pistoles. » — « Le Dépit amoureux, comédie du sie
ue acteur autant que L’Étourdi. » Comme il nous a déjà appris que les
dix
acteurs avaient une part égale, c’est donc cent q
a déjà appris que les dix acteurs avaient une part égale, c’est donc
cent
quarante pistoles que L’Étourdi et Le Dépit amour
jà appris que les dix acteurs avaient une part égale, c’est donc cent
quarante
pistoles que L’Étourdi et Le Dépit amoureux valur
istoles que L’Étourdi et Le Dépit amoureux valurent à chacun d’eux en
cinq
mois, de l’ouverture du théâtre à la suspension d
x en cinq mois, de l’ouverture du théâtre à la suspension de Pâques ;
quatorze
cents pistoles que ces deux pièces procurèrent à
mois, de l’ouverture du théâtre à la suspension de Pâques ; quatorze
cents
pistoles que ces deux pièces procurèrent à l’ense
u théâtre à la suspension de Pâques ; quatorze cents pistoles que ces
deux
pièces procurèrent à l’ensemble de la troupe, tou
troupe, tous frais payés. Si nous insistons autant sur le produit des
deux
premières comédies de Molière, c’est que nous en
a conséquence que la troupe ne varia pas autrement son répertoire, du
3
novembre au commencement d’avril 1659 ; qu’elle s
a pas autrement son répertoire, du 3 novembre au commencement d’avril
1659
; qu’elle se conforma au constant usage des hôtel
du Marais, de ne donner à chaque représentation qu’une seule pièce en
cinq
actes, et, soit que le succès qu’une de ses farce
ttendre du public, soit par tout autre motif, qu’aucune autre que ces
deux
pièces ne figura assez probablement sur l’affiche
ces deux pièces ne figura assez probablement sur l’affiche durant ces
cinq
mois. S’il en était autrement, le succès d’argent
e hypothèse, eût dépassé toute vraisemblance. Chaque acteur, dans ces
cinq
mois, ne dut avoir rien de plus pour son dixième
ans ces cinq mois, ne dut avoir rien de plus pour son dixième que les
quinze
cent quarante livres27 que lui valut le produit d
cinq mois, ne dut avoir rien de plus pour son dixième que les quinze
cent
quarante livres27 que lui valut le produit des de
mois, ne dut avoir rien de plus pour son dixième que les quinze cent
quarante
livres27 que lui valut le produit des deux comédi
me que les quinze cent quarante livres27 que lui valut le produit des
deux
comédies, et ce qui le prouve surabondamment, c’e
deux comédies, et ce qui le prouve surabondamment, c’est que dans les
cinq
mois qui suivirent l’ouverture après Pâques, c’es
de chacun d’entre eux ne s’éleva qu’à la moitié de cette même somme (
775
livres environ), et cependant, si, dans cette der
de Bourgogne28, malgré le silence obstiné des gazetiers, Molière, ses
deux
ouvrages et ses camarades furent à leur début bie
n’est que l’aveu d’un détracteur confondu : « Après le succès de ces
deux
pièces, dit-il, son théâtre commença à se trouver
t nombre, car nous voyons, par le registre de La Grange, à la date de
1660,
que l’affiche, « pour deux fois », pour la veille
ar le registre de La Grange, à la date de 1660, que l’affiche, « pour
deux
fois », pour la veille et le jour du spectacle, n
’entrait dans les frais de chaque représentation que pour sept livres
dix
sous. Mais l’affiche n’était pas toujours alors l
ce et le nom des acteurs devant y jouer. L’orateur d’une troupe avait
deux
fonctions principales. « C’est à lui, écrivait Ch
ns principales. « C’est à lui, écrivait Chappuzeau au commencement de
1674,
c’est à lui de faire la harangue et de composer l
rts de l’une à l’autre, il suit presque la même règle pour toutes les
deux
. Le discours qu’il vient faire à l’issue de la co
la venir voir par quelques éloges qu’il lui donne ; et ce sont là les
trois
parties sur lesquelles roule son compliment. Le p
osité même par des affiches en vers. Il ne nous en a été conservé que
quatre
: deux d’un des faiseurs habituels de l’hôtel de
e par des affiches en vers. Il ne nous en a été conservé que quatre :
deux
d’un des faiseurs habituels de l’hôtel de Bourgog
tuels de l’hôtel de Bourgogne, de Villiers, comédien-auteur, pour les
deux
premières représentations de la reprise d’Amaryll
gée et remise à la scène par Tristan29, et les autres de Scarron, aux
deux
premiers jours de son Jodelet souffleté, pour le
. Enfin, Monsieur étant allé au théâtre du Petit-Bourbon voir une des
deux
pièces de Molière, Loret, qui cultivait les bonne
duc d’Orléans avec leur réserve, crut ne pouvoir, dans son numéro du
15
février, garder le silence sur cette démarche du
ils recevaient du rare honneur De jouer devant tel seigneur. L’année
1659
fut heureuse pour la troupe et pour la gloire de
e du Marais, qu’ils devaient du reste abandonner à son tour, à Pâques
1660,
pour revenir à Molière ; il se priva même des ser
il enrôla un farceur en renom, Jodelet, et son frère, De L’Espy, tous
deux
du Marais, et trois autres acteurs nouveaux à Par
r en renom, Jodelet, et son frère, De L’Espy, tous deux du Marais, et
trois
autres acteurs nouveaux à Paris, Du Croisy, sa fe
r dans le commerce de la vie, il devint l’ami de Molière, et donna en
1682,
avec Vinot, la première édition complète des Œuvr
notre auteur. La troupe s’était trouvée, par ces mouvements, portée à
douze
parts ; mais peu après la réouverture, elle eut à
la réouverture, elle eut à déplorer la mort d’un des siens. Le samedi
11
mai, elle avait donné en public L’Étourdi. Le soi
ba malade, et acheva son rôle de L’Étourdi avec peine. » Il mourut le
21,
et après la représentation du 20 mai, le registre
’Étourdi avec peine. » Il mourut le 21, et après la représentation du
20
mai, le registre ajoute : « Interruption à cause
la mort de M. Béjart. » Les représentations ne furent reprises que le
2
juin. Cette suspension était à la fois un hommage
pertoire la mort d’un des membres d’une société qui n’en comptait que
douze
. Guy Patin, dans une lettre du 27 mai 1659, dit :
ne société qui n’en comptait que douze. Guy Patin, dans une lettre du
27
mai 1659, dit : « Il est mort ici, depuis trois j
été qui n’en comptait que douze. Guy Patin, dans une lettre du 27 mai
1659,
dit : « Il est mort ici, depuis trois jours, un c
atin, dans une lettre du 27 mai 1659, dit : « Il est mort ici, depuis
trois
jours, un comédien nommé Béjart qui avait vingt-q
est mort ici, depuis trois jours, un comédien nommé Béjart qui avait
vingt-quatre
mille écus en or. » Si ce chiffre n’a rien d’exag
, depuis trois jours, un comédien nommé Béjart qui avait vingt-quatre
mille
écus en or. » Si ce chiffre n’a rien d’exagéré, i
que nous avons vu les États de Béziers faire à cet ouvrage. Le mardi
18
novembre, l’affiche portait : Cinna et Les Précie
composer avec ce nom. Le premier fut choisi pour le remplacer, et en
1672,
Fléchier, consacrant ainsi ce ridicule, s’en serv
n, où l’esprit se purifiait, où la vertu était révérée sous le nom de
1’
“incomparable Arthénice”, où se rendaient tant de
de son esprit, s’attacha à son char, et consentit à soupirer pendant
quatorze
ans avant d’obtenir d’elle le oui de l’hyménée. P
u, il n’y a pas longtemps, dit La Bruyère, un cercle de personnes des
deux
sexes, liées ensemble par la conversation et par
ble, Les Héros de roman, dont Boileau ne prépara la publication qu’en
1710,
n’étaient plus guère qu’un coup porté à un ennemi
n’étaient plus guère qu’un coup porté à un ennemi à terre. Ce fut le
18
novembre 1659 que Molière livra cette attaque au
lus guère qu’un coup porté à un ennemi à terre. Ce fut le 18 novembre
1659
que Molière livra cette attaque au faux goût. Out
le sacrifice de l’amour-propre et le plus grand triomphe de la vérité
32
». La seconde représentation de la pièce fut ann
. La seconde représentation de la pièce fut annoncée pour le vendredi
21
; mais c’était compter sans la colère des précieu
faire appel à la bienveillance du Roi. Louis XIV était depuis plus de
trois
mois aux Pyrénées, négociant pour la paix et pour
aix et pour son mariage, dont le double traité venait d’être signé le
7
novembre à Saint-Jean-de-Luz, et d’être apporté l
d’être signé le 7 novembre à Saint-Jean-de-Luz, et d’être apporté le
14
à Paris par le marquis de Soyecourt. Il fallut en
èce nouvelle. On se trouvait précisément alors en avoir simultanément
deux
en répétition. Depuis son arrivée à Paris, la tro
s de Rotrou et du Scévole de Du Ryer, pièces jouées également sur les
deux
autres théâtres. Elle ne s’était encore vu confie
ragique. Pour la comédie, elle pouvait varier son répertoire avec les
deux
pièces de Molière, le théâtre de Scarron que lui
Mais, pour la tragédie, ils avaient dû accueillir les propositions de
deux
auteurs qui s’étaient risqués à venir offrir leur
e M. Coqueteau La Clairière, de Rouen », dit La Grange, fut donnée le
23
novembre. La conspiration organisée contre les no
ragédie fut de nature à vaincre la ligue silencieuse : elle n’eut que
trois
représentations dont le produit fut peu élevé. La
eprésentations dont le produit fut peu élevé. La seconde fut jouée le
12
décembre ; c’était une Zénobie de ce même Magnon
avant d’entreprendre leur pèlerinage commun en province, avaient, en
1645,
représenté l’Artaxerce sur l’Illustre Théâtre. Il
aisé sans doute, et nous voyons par le Registre de La Grange que, le
10
août précédent, on avait « retiré sur la chambrée
a Grange que, le 10 août précédent, on avait « retiré sur la chambrée
100
livres pour M. Magnon, auteur ». Zénobie, jouée s
la chambrée 100 livres pour M. Magnon, auteur ». Zénobie, jouée seule
trois
fois consécutives, ne produisit presque rien à la
nt de l’intérêt à Magnon ; ils donnèrent néanmoins, malgré cet échec,
trois
fois encore sa tragédie, en lui prêtant le puissa
a largement avant tous les autres. Voyez plutôt sa Muse historique du
13
décembre : Si, dans ma forte conjecture, Je ne m
t-Bourbon, qui, ayant obtenu la levée de l’interdit, put enfin, après
quinze
jours d’interruption, jouer de nouveau, le 2 déce
t, put enfin, après quinze jours d’interruption, jouer de nouveau, le
2
décembre, Les Précieuses ridicules, précédées de
recette, qui, avant Les Précieuses ridicules, n’avait jamais dépassé
393
livres, qui, à la première représentation de cett
la première représentation de cette pièce, n’avait atteint encore que
563
livres, s’éleva à 1 400. Aussi Loret, dans sa let
tion de cette pièce, n’avait atteint encore que 563 livres, s’éleva à
1
400. Aussi Loret, dans sa lettre du 6 décembre, s
on de cette pièce, n’avait atteint encore que 563 livres, s’éleva à 1
400.
Aussi Loret, dans sa lettre du 6 décembre, se cro
ncore que 563 livres, s’éleva à 1 400. Aussi Loret, dans sa lettre du
6
décembre, se croit-il forcé de mentionner ce succ
de Bois-Robert, Le Néron de monsieur Gilbert, Alcibiade, Amalazonte
35,
Dont la cour a fait tant de compte, Ni le Fédéric
emble friande À plusieurs, tant sages que fous ! Pour moi, j’y portai
trente
sous ; Mais, oyant leurs fines paroles, J’en ris
trente sous ; Mais, oyant leurs fines paroles, J’en ris pour plus de
dix
pistoles. Nous ne savons pas si le rire de Loret
il ne nous avait intéressés qu’aux ruses d’un valet ou aux amours de
deux
jeunes gens. Dès ce moment, il s’engage à nous fa
nviée par les plus grands seigneurs et les plus riches financiers. Du
16
avril 1659, jour où le grand maître de l’artiller
les plus grands seigneurs et les plus riches financiers. Du 16 avril
1659,
jour où le grand maître de l’artillerie l’avait,
it venir à son château de Chilly, près de Longjumeau, il faut aller à
dix
mois de là, jusqu’après le succès des Précieuses,
ller à dix mois de là, jusqu’après le succès des Précieuses, jusqu’au
4
février 1660, pour trouver une autre visite. Ce f
mois de là, jusqu’après le succès des Précieuses, jusqu’au 4 février
1660,
pour trouver une autre visite. Ce fut chez M. de
uénégaud, qui demanda L’Étourdi et Les Précieuses. Mais le mardi gras
10
du même mois, même spectacle chez M. Le Tellier ;
rdi gras 10 du même mois, même spectacle chez M. Le Tellier ; puis le
4
mars, Les Précieuses « chez madame Sanguin pour M
s, Les Précieuses « chez madame Sanguin pour M. le Prince » ; puis le
8,
Les Précieuses encore chez le chevalier de Gramon
is le 8, Les Précieuses encore chez le chevalier de Gramont ; puis le
10,
toujours Les Précieuses, chez madame la maréchale
se Mancini, une des nièces du cardinal, et fut fait duc de Mazarin en
1661.
La Grange ne nous dit pas si M. de Guénégaud, che
spirait des inquiétudes ; mais La Grange a inscrit plus tard : « Reçu
deux
cent vingt livres. » Plus heureux que sages ! Enf
it des inquiétudes ; mais La Grange a inscrit plus tard : « Reçu deux
cent
vingt livres. » Plus heureux que sages ! Enfin la
s inquiétudes ; mais La Grange a inscrit plus tard : « Reçu deux cent
vingt
livres. » Plus heureux que sages ! Enfin la maréc
sorier et receveur général du Dauphiné, avait épousée à peine âgée de
seize
ans, en supplantant son secrétaire ; Marie Mignot
e maîtresse de Henri IV, et qui enfin, ayant perdu ce second mari, le
20
avril 1660, quarante jours après la visite de la
se de Henri IV, et qui enfin, ayant perdu ce second mari, le 20 avril
1660,
quarante jours après la visite de la troupe de Mo
Henri IV, et qui enfin, ayant perdu ce second mari, le 20 avril 1660,
quarante
jours après la visite de la troupe de Molière à s
nt des Carmélites de la rue du Bouloy, chez lesquelles elle mourut le
30
novembre 1711, à quatre-vingt-quatorze ou quatre-
lites de la rue du Bouloy, chez lesquelles elle mourut le 30 novembre
1711,
à quatre-vingt-quatorze ou quatre-vingt-quinze an
la rue du Bouloy, chez lesquelles elle mourut le 30 novembre 1711, à
quatre-vingt-quatorze
ou quatre-vingt-quinze ans. Cette vogue des Préci
esquelles elle mourut le 30 novembre 1711, à quatre-vingt-quatorze ou
quatre-vingt-quinze
ans. Cette vogue des Précieuses ridicules fut aug
u l’a voulu ! » La pièce sortit pour la première fois de la presse le
29
janvier 166037 ; les exemplaires en furent rapide
! » La pièce sortit pour la première fois de la presse le 29 janvier
166037
; les exemplaires en furent rapidement enlevés ;
oins cependant que la moralité de la pièce ne soit renfermée dans ces
deux
vers aux maris trompés : Quel mal cela fait-il ?
genre, le succès en fut tel dès la première représentation, donnée le
28
mai, qu’elle attira constamment la foule pendant
e le 28 mai, qu’elle attira constamment la foule pendant une série de
trente-quatre
représentations, uniquement interrompue par la fe
onstate cette vogue à sa façon par un vers burlesque de son Testament
39.
La chaleur de la saison et les fêtes du mariage d
du mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse, célébré à Fontarabie le
3
juin 1660, fêtes qui forcèrent toute la cour à se
iage de Louis XIV et de Marie-Thérèse, célébré à Fontarabie le 3 juin
1660,
fêtes qui forcèrent toute la cour à se rendre dan
sentations, écrit sous la dictée des acteurs, sollicita et obtint, le
26
juillet 1660, un privilège en vertu duquel la piè
écrit sous la dictée des acteurs, sollicita et obtint, le 26 juillet
1660,
un privilège en vertu duquel la pièce imprimée pa
, non plus qu’à votre troupe, puisque votre pièce a été jouée près de
cinquante
fois. » Il y avait, quant alors, exagération du c
’avait fait bâtir pour la représentation de Mirame, tragédie jouée en
1639,
sous le nom de Desmarets, dans laquelle il avait
639, sous le nom de Desmarets, dans laquelle il avait composé plus de
cinq
cents vers, et dont la mise en scène lui coûta, s
sous le nom de Desmarets, dans laquelle il avait composé plus de cinq
cents
vers, et dont la mise en scène lui coûta, selon G
cinq cents vers, et dont la mise en scène lui coûta, selon Guy Patin,
cent
mille écus, trois cent mille selon d’autres conte
cents vers, et dont la mise en scène lui coûta, selon Guy Patin, cent
mille
écus, trois cent mille selon d’autres contemporai
et dont la mise en scène lui coûta, selon Guy Patin, cent mille écus,
trois
cent mille selon d’autres contemporains ; selon t
t la mise en scène lui coûta, selon Guy Patin, cent mille écus, trois
cent
mille selon d’autres contemporains ; selon tous,
mise en scène lui coûta, selon Guy Patin, cent mille écus, trois cent
mille
selon d’autres contemporains ; selon tous, sa rép
ation des tragédies lyriques, appelées depuis opéras, fut détruite en
1763
par un incendie, et qui, reconstruite peu après,
incendie, et qui, reconstruite peu après, fut incendiée de nouveau le
8
juin 1781. La troupe de Molière y débuta le 20 ja
e, et qui, reconstruite peu après, fut incendiée de nouveau le 8 juin
1781.
La troupe de Molière y débuta le 20 janvier 1661
incendiée de nouveau le 8 juin 1781. La troupe de Molière y débuta le
20
janvier 1661 par Le Dépit amoureux et Le Cocu ima
e nouveau le 8 juin 1781. La troupe de Molière y débuta le 20 janvier
1661
par Le Dépit amoureux et Le Cocu imaginaire. Lais
aire les grosses réparations de la salle du Palais-Royal : il y avait
trois
poutres de la charpente pourries et étayées, et l
tection du Roi et de Monsieur. » Pendant cette suspension de plus de
trois
mois, ils allèrent plusieurs fois en visite chez
de beaucoup le plus généreux de tous les visités. Enfin ils jouèrent
six
fois au palais du Louvre et à Vincennes42, et la
on privée, les indemnisèrent à cette occasion par une somme totale de
5
115 livres, chiffre dans lequel les libéralités d
privée, les indemnisèrent à cette occasion par une somme totale de 5
115
livres, chiffre dans lequel les libéralités de Mo
regretter à Molière les beaux jours du théâtre du Petit-Bourbon. Ses
deux
premières pièces, après avoir charmé la province,
es faire les délices de Paris ; les Précieuses ridicules avaient jeté
1’alarme
dans le camp de l’hôtel Rambouillet ; Le Cocu ima
de Navarre, que, dans sa préface des Véritables Précieuses de janvier
1660,
Somaize nous a appris avoir été lu de côté et d’a
r Molière avant la première représentation des Précieuses de novembre
1659,
Dom Garcie de Navarre fut risqué par lui sur le t
Navarre fut risqué par lui sur le théâtre du Palais-Royal le vendredi
4
février 1661. Le genre faux de la pièce et le jeu
t risqué par lui sur le théâtre du Palais-Royal le vendredi 4 février
1661.
Le genre faux de la pièce et le jeu de Molière dé
en fanfares de gloire pour accueillir le tuteur d’Isabelle. Ce fut le
24
juin que Molière se vengea de ses ennemis par le
e Molière se vengea de ses ennemis par le succès de L’École des maris
43.
Cette pièce, qui, malgré les efforts des envieux,
, fut ensuite représentée dans une réjouissance donnée par Fouquet le
12
du mois suivant, dans sa magnifique terre de Vaux
u Roi, et Henriette d’Angleterre, que ce prince venait d’épouser ; le
13,
dans le jour, à Fontainebleau, devant le Roi et l
Roi et la Reine, et le soir chez la surintendante. Puis, le lendemain
14,
La Grange nous l’apprend, « M. le marquis de Rich
gencour, Fouilloux, Gourdon et Méneville, Qui d’agréments ont plus de
mille
. Sans nous occuper de la galante communauté, nou
ptable exact, ajoute : « M. le marquis de Richelieu donna à la troupe
80
pistoles d’or, ou 880 livres. — M. le surintendan
: « M. le marquis de Richelieu donna à la troupe 80 pistoles d’or, ou
880
livres. — M. le surintendant donna 1 500 livres.
la troupe 80 pistoles d’or, ou 880 livres. — M. le surintendant donna
1
500 livres. » Le nom du trop fameux surintendant
troupe 80 pistoles d’or, ou 880 livres. — M. le surintendant donna 1
500
livres. » Le nom du trop fameux surintendant se
is, à un autre triomphe de Molière. Les Fâcheux furent représentés le
17
août chez ce favori et cette victime de l’inconst
vertissement qu’elle semblait attendre ». En même temps, au milieu de
vingt
jets d’eau naturels, un rocher se changea en une
Bellière de faire cesser ses rigueurs et ses scrupules par l’offre de
deux
cent mille francs !!! Il en coûte si peu à un min
ère de faire cesser ses rigueurs et ses scrupules par l’offre de deux
cent
mille francs !!! Il en coûte si peu à un ministre
e faire cesser ses rigueurs et ses scrupules par l’offre de deux cent
mille
francs !!! Il en coûte si peu à un ministre pour
, qui rapporte ce fait ; cette scène fut faite et apprise en moins de
vingt-quatre
heures. » Et le Roi eut la satisfaction, à la rep
ction, à la représentation de cette comédie donnée à Fontainebleau le
25
du même mois, d’y voir joint ce rôle, « dont il a
ir joint ce rôle, « dont il avait eu la bonté de lui ouvrir les idées
45
». Mais une particularité non moins plaisante qu
ion le rôle que joue Arnolphe dans L’École des femmes lorsqu’il prête
cent
pistoles à Horace pour mener à bout son intrigue
avons dit que cette scène du chasseur avait été ajoutée à la pièce en
vingt-quatre
heures. La pièce elle-même, ainsi que nous l’appr
dans son Avertissement, fut conçue, faite, apprise et représentée en
quinze
jours. Rien ne prouve mieux combien Grimarest éta
ous eût-il révélé le secret de son art, cet immortel génie qui depuis
deux
siècles est resté sans rival, comme il avait été
resté sans rival, comme il avait été sans modèle. Livre deuxième.
1662-1667
J’ai vu beaucoup d’hymens, aucuns d’eux ne me
ymens, aucuns d’eux ne me tentent ; Cependant des humains presque les
quatre
parts S’exposent hardiment au plus grand des hasa
les quatre parts S’exposent hardiment au plus grand des hasards ; Les
quatre
parts aussi des humains se repentent.
e la jeune Béjart, dont nous avons rapporté la naissance à la date de
1645,
dessiné par un mari toujours amant46. Confiée de
ait, aurait-il pu distinguer la reconnaissance de l’amour ? Aussi, le
20
février 1662, crut-il faire un long bail avec le
-il pu distinguer la reconnaissance de l’amour ? Aussi, le 20 février
1662,
crut-il faire un long bail avec le bonheur en con
être constamment obsédé des plaintes jalouses et des querelles de ces
trois
femmes. Chapelle lui rappelait dans une de ses le
-tu pas qu’un homme avisé Voit par là qu’il n’est pas aisé D’accorder
trois
femmes ensemble ? Fais-en donc ton profit. Surtou
sa naissance. L’aveuglement de l’amour lui laissa croire que, mari de
quarante
ans, sérieux, passionné et jaloux, il saurait cap
rieux, passionné et jaloux, il saurait captiver et fixer une femme de
dix-sept
ans, vive, légère et coquette. Bientôt il fut cru
ragea, loua ses dispositions, et, ajoute la tradition, lui fit don de
cent
louis. Vauvenargues a dit à ce sujet : « Un des p
omme serait le plus grand poète de son siècle. On dit qu’il lui donna
cent
louis pour l’encourager à entreprendre une tragéd
et leur génie », Colbert n’avait pas fait plus pour le jeune poète :
cent
louis avaient également été la récompense de sa m
u envers le chef de troupe qui l’avait aidé de sa propre épargne ! Le
26
décembre, Molière fit représenter L’École des fem
au, à cette époque, n’avait encore rien publié, mais il avait composé
trois
de ses satires, en avait fait des lectures nombre
comme poète, lui assuraient dès lors celle de juge éclairé : En vain
mille
jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censur
en qualité de bel esprit, et a été couché sur l’état pour la somme de
1
000 livres. Sur quoi il fit un Remerciement en ve
qualité de bel esprit, et a été couché sur l’état pour la somme de 1
000
livres. Sur quoi il fit un Remerciement en vers p
XIV, en effet, sur la proposition de Colbert, créa au commencement de
1663
des pensions pour un certain nombre d’hommes de l
ieux avait remplacé madame de Calvimont. Déjà, dès le mois de juillet
1662,
Racine, qui se trouvait alors à Uzès, écrivait de
2, Racine, qui se trouvait alors à Uzès, écrivait de lui à la date du
25
: « Une troupe de comédiens s’étaient venus établ
qui ne fut publié qu’un an après sa mort, arrivée au commencement de
1666
: « Il faut avouer de bonne foi que la comédie mo
, notre chroniqueur, tout en enregistrant le succès dans sa lettre du
13
janvier, a bien soin d’ajouter avec prudence : S
pas autant de ménagement, car la pièce fut représentée au Louvre les
6
et 20 janvier, et Madame, Henriette d’Angleterre,
autant de ménagement, car la pièce fut représentée au Louvre les 6 et
20
janvier, et Madame, Henriette d’Angleterre, en ac
ette d’Angleterre, en accepta la dédicace quand Molière la publia, le
17
mars. Peu après Pâques et la réouverture du théât
publia, le 17 mars. Peu après Pâques et la réouverture du théâtre, le
12
avril, la Reine mère tomba malade d’une fièvre do
sa vie en danger et Paris en prières et en processions. La Gazette du
26
mai annonça que la fièvre l’avait quittée le 20.
ssions. La Gazette du 26 mai annonça que la fièvre l’avait quittée le
20.
Mais cette même feuille apprenait que dans la nui
quittée le 20. Mais cette même feuille apprenait que dans la nuit du
15
au 16 mai la jeune Reine avait été prise par la r
ée le 20. Mais cette même feuille apprenait que dans la nuit du 15 au
16
mai la jeune Reine avait été prise par la rougeol
our, se vit ainsi conduit à interrompre le succès de sa pièce pendant
deux
mois et à ne la redonner que le 1er juin avec la
re le succès de sa pièce pendant deux mois et à ne la redonner que le
1er
juin avec la première représentation de La Critiq
Critique de l’École des femmes. Le calcul avait été bien entendu : du
1er
juin au 12 août suivant, le spectacle se composa
l’École des femmes. Le calcul avait été bien entendu : du 1er juin au
12
août suivant, le spectacle se composa constamment
ation, de L’École et de La Critique, qui furent ainsi jouées ensemble
trente-deux
fois consécutives. Malgré le soin que Molière ava
remières semaines. La rougeole l’avait pris à son tour. La Gazette du
9
juin 1663 annonça à la fois sa maladie et sa conv
s semaines. La rougeole l’avait pris à son tour. La Gazette du 9 juin
1663
annonça à la fois sa maladie et sa convalescence.
onça à la fois sa maladie et sa convalescence. C’est à Versailles, le
29
mai, qu’il était tombé malade, et comme, avant de
u des inquiétudes, cet état fut d’abord tenu secret, et la Gazette du
2
juin parlait du Roi de manière à donner le change
lles qui furent dites de toutes parts. « La France, dit la Gazette du
9,
n’a pu s’empêcher de témoigner sa crainte par un
éjouissances singulières dont cette capitale a donné l’exemple durant
deux
jours. » On trouve à la dépense extraordinaire du
exemple durant deux jours. » On trouve à la dépense extraordinaire du
12
juin sur le livre de comptes de La Thorillière :
é de Villiers raconte qu’un de ses amis s’était trouvé durant plus de
six
mois à la même table que l’auteur de Cinna sans s
ncline. Dans ce moment, le duc de La Feuillade lui saisit la tête des
deux
mains, et la frotte rudement contre les boutons d
attendant que le Roi fût obéi, La Critique fut achevée d’imprimer le
7
août 1663, et parut par conséquent peu de jours a
ant que le Roi fût obéi, La Critique fut achevée d’imprimer le 7 août
1663,
et parut par conséquent peu de jours après. Elle
criailleries de la fausse dévotion en faisant l’éloge de la vraie. Le
25
du même mois, Louis XIV partit du Louvre pour se
rraine, occupée au siège de Marsal. Il était de retour à Vincennes le
5
septembre, ayant fait, à la grande admiration de
septembre, ayant fait, à la grande admiration de la Gazette, près de
deux
cents lieues en onze jours50. Molière l’avait acc
embre, ayant fait, à la grande admiration de la Gazette, près de deux
cents
lieues en onze jours50. Molière l’avait accompagn
t, à la grande admiration de la Gazette, près de deux cents lieues en
onze
jours50. Molière l’avait accompagné, ou plutôt pr
Molière était du voyage, a dit M. Étienne : il écouta, il écrivit. »
Huit
mois après, à la représentation des trois premier
e : il écouta, il écrivit. » Huit mois après, à la représentation des
trois
premiers actes du Tartuffe, à Versailles, Louis X
la cour s’était rendue de Vincennes, et où ils allèrent eux-mêmes le
16
octobre52. Molière, autorisé, encouragé par Louis
à la cour le spectacle le plus inattendu, le plus nouveau pour elle.
Huit
jours auparavant, le Roi, suivant l’expression de
ant si rigoureusement observer l’étiquette. « Le Roi ne doit venir de
deux
heures », dit Molière au commencement de sa pièce
e de son Impromptu. — Puis après avoir bien eu le soin de répéter par
trois
fois que c’est le Roi qui lui a ordonné de se ven
rait qu’on avait fait de lui. La troupe était arrivée à Versailles le
16,
elle en repartit le 23 ; c’est donc dans cet inte
lui. La troupe était arrivée à Versailles le 16, elle en repartit le
23
; c’est donc dans cet intervalle que fut donné L’
ns la dernière semaine d’octobre, car Molière, de retour seulement le
23,
y assista, et le privilège pour l’impression de c
3, y assista, et le privilège pour l’impression de cette pièce est du
30
; c’est donc encore entre ces deux dates que se t
r l’impression de cette pièce est du 30 ; c’est donc encore entre ces
deux
dates que se trouve enclavée cette autre représen
n impassible. Nous serions même porté à croire qu’il a pu sourire aux
deux
seuls passages un peu plaisants que renferme cett
s, Dorante répond : Mais je sais le théâtre, et j’en lis la Pratique
54
; Quand la scène est sanglante une pièce est tragi
ne pièce est tragique ; Dans celle que je dis, le petit chat est mort
55.
……………………………………………… DAMIS. Quoi ! le trépas d’un c
ient un châtiment public. L’Impromptu de Versailles fut représenté le
4
novembre suivant sur le théâtre du Palais-Royal,
le 4 novembre suivant sur le théâtre du Palais-Royal, où il fut joué
dix-neuf
fois consécutives. Boursault fut abasourdi du cou
malgré ce qui y reste d’imputations graves, fut achevée d’imprimer le
17
novembre. Elle parut avec dédicace à M. le Duc, f
e mariage duquel Molière et sa troupe étaient précisément appelés, le
11
du mois suivant, à l’hôtel de Condé, où ils jouèr
e cet acteur boitait depuis qu’il avait été blessé en voulant séparer
deux
hommes mettant l’un contre l’autre l’épée à la ma
ment contre l’hôtel de Bourgogne. Pour lui, tout ce débat n’était des
deux
parts qu’une réclame : Ces messieurs n’ont desse
t, les appelèrent en visite, et ce dernier voulut revoir chez lui, le
22
décembre, ces Fâcheux, dont la première représent
cteurs avaient été appelés par eux à Chantilly pour y représenter, du
29
septembre au 5 octobre, presque tout le répertoir
té appelés par eux à Chantilly pour y représenter, du 29 septembre au
5
octobre, presque tout le répertoire de l’auteur.
r que, pressé par le temps, il emprunta, sans presque y rien changer,
deux
récits à l’Antigone de Rotrou. D’autres écrivains
, et le détermina à ne rien devoir qu’à lui-même : la pièce, jouée en
1664
et imprimée peu après, n’offrait plus de témoigna
ait plus de témoignage de cette ressemblance illicite. Vers la fin de
1663,
il se trouva en butte à des calomnies dont une ré
eleine Béjart. On pensait que c’était elle qui avait été baptisée, le
11
juillet 1638, comme étant née du commerce illégit
rt. On pensait que c’était elle qui avait été baptisée, le 11 juillet
1638,
comme étant née du commerce illégitime du comte d
ésinde-Claire-Élisabeth » ; la fille de Madeleine Béjart était née en
1638,
et mademoiselle Molière ne vit le jour qu’en 1645
éjart était née en 1638, et mademoiselle Molière ne vit le jour qu’en
1645,
ainsi que le prouve son acte de décès ; enfin Mol
’avons démontré, ne connut mademoiselle Béjart l’aînée qu’à la fin de
1645,
c’est-à-dire plus de sept ans après la naissance
ceux de sa femme n’eurent pas honte de renouveler cette calomnie. En
1676,
trois ans après la mort de cet écrivain, dont le
de sa femme n’eurent pas honte de renouveler cette calomnie. En 1676,
trois
ans après la mort de cet écrivain, dont le génie
l’envie. La requête de Montfleury avait été présentée vers la fin de
1663,
et le 28 février suivant le Roi et la duchesse d’
requête de Montfleury avait été présentée vers la fin de 1663, et le
28
février suivant le Roi et la duchesse d’Orléans f
it, à la fin de cette année théâtrale, s’élever à un total de plus de
4
500 francs, chiffre considérable pour le temps. M
, à la fin de cette année théâtrale, s’élever à un total de plus de 4
500
francs, chiffre considérable pour le temps. Moliè
omédies une somme une fois payée, à cette époque était récompensé par
deux
parts comme auteur, qui venaient s’ajouter à cell
avons déjà parlé : …… Pour te faire voir sa valeur infinie, Il tire
quatre
parts dedans sa compagnie. Ce poète avait été ch
nté à grands frais62, fut applaudi pour la première fois au Louvre le
29
janvier 1664, et sur le théâtre du Palais-Royal l
s frais62, fut applaudi pour la première fois au Louvre le 29 janvier
1664,
et sur le théâtre du Palais-Royal le 15 février s
is au Louvre le 29 janvier 1664, et sur le théâtre du Palais-Royal le
15
février suivant. Les plus grands seigneurs figurè
ublieux de la foi jurée, se mit à courir sur la route de Douvres. Les
deux
frères de la belle abandonnée l’y joignirent, et
illeurs comme fort « décrié pour la bravoure », ait eu ainsi au moins
deux
points de ressemblance avec le mari de Dorimène.
de ressemblance avec le mari de Dorimène. Cette petite pièce contient
deux
scènes, celles de Sganarelle avec les philosophes
Pancrace et Marphurius, qui ne paraissent à beaucoup de lecteurs que
deux
pitoyables parades. Mais quiconque se reporte au
nt également devant l’Arrêt burlesque de Boileau. Ce poète adressa en
1664
à Molière sa satire II, dans laquelle il lui dit
êt burlesque de Boileau. Ce poète adressa en 1664 à Molière sa satire
II
, dans laquelle il lui dit : Enseigne-moi, Molièr
er départ des Italiens ayant permis à Molière, dès le mois de juillet
1659,
de disposer des jours ordinaires. Loret parla de
rs ordinaires. Loret parla de ce spectacle dans sa Muse historique du
7
juin suivant. C’est parmi ces enfants que Molière
bienfaisance. Molière demanda à Baron ce qu’il fallait lui donner : «
Quatre
pistoles. — Donnez-lui quatre pistoles pour moi ;
à Baron ce qu’il fallait lui donner : « Quatre pistoles. — Donnez-lui
quatre
pistoles pour moi ; mais en voilà vingt autres qu
uatre pistoles. — Donnez-lui quatre pistoles pour moi ; mais en voilà
vingt
autres que je lui donnerai pour vous ; car je veu
upe du Palais-Royal, mais nous devons mentionner, à la date de Pâques
1664,
l’entrée de l’acteur Hubert, remplaçant, sinon da
’était pas le même, du moins dans sa part, le changeant Brécourt, qui
deux
ans plus tôt avait quitté l’hôtel du Marais pour
habitués du Palais-Royal, car il jouait avec un égal talent dans les
deux
genres. Il avait créé d’une manière si comique le
nt pour la première fois : « Cet homme-là ferait rire des pierres ! »
Huit
jours après la réouverture qui suivit Pâques, le
des pierres ! » Huit jours après la réouverture qui suivit Pâques, le
30
avril, « la troupe, dit La Grange, est partie par
à l’éclat d’une journée des fêtes données à Versailles au mois de mai
1664
par le Roi à la Reine et à la Reine mère, selon l
à mademoiselle de La Vallière, selon la chronique ; fêtes auxquelles
Louis
sut imprimer, comme à la plupart de ses faiblesse
lière en fit les principaux frais : sa Princesse d’Élide fut jouée le
8
mai, second jour des fêtes. Puis, quand les trois
se d’Élide fut jouée le 8 mai, second jour des fêtes. Puis, quand les
trois
journées du ballet héroïque et féerique eurent ét
sans être reliés les uns aux autres, n’en continuèrent pas moins. Le
11
mai, le soir, « Sa Majesté, dit le récit imprimé
universel a lui-même inventés, la comédie des Fâcheux ». Le lendemain
12,
le soir également, Sa Majesté fit jouer les trois
cheux ». Le lendemain 12, le soir également, Sa Majesté fit jouer les
trois
premiers actes d’une « comédie nommée Tartuffe, q
ontre les hypocrites…, qui fut trouvée fort divertissante ». Le mardi
13,
on joua la comédie du Mariage forcé, « puis le Ro
pourquoi la troupe du Palais-Royal, libre, à ce qu’il semble, dès le
14,
ne revint que le 22 et ne rouvrit son théâtre que
u Palais-Royal, libre, à ce qu’il semble, dès le 14, ne revint que le
22
et ne rouvrit son théâtre que le 25. La Gazette,
mble, dès le 14, ne revint que le 22 et ne rouvrit son théâtre que le
25.
La Gazette, toujours sans prononcer le nom de Mol
is dans tous les cas, le voyage aurait été inutile, car la Gazette du
17
mai publiait : « Ce grand monarque est soigneux d
de produire de très dangereux effets. » Loret, qui dans sa lettre du
10
mai disait, à l’occasion de la seconde journée de
e Molière, Cet auteur ayant vent en poupe, ajoute dans sa lettre du
24,
confirmant assez l’hypothèse à laquelle nous nous
nd de l’affaire. On voit, par l’article de la Gazette publié dès le
17
mai, combien on cherchait à envenimer les faits e
ns le récit des fêtes, que nous avons déjà cité et qui fut imprimé en
1664
par son ordre, au lieu de la sentence sans appel,
celui de Lycas attribué au sieur Prévost. Prévost et sa femme étaient
deux
serviteurs de la troupe. Le mari était utilisé pa
nnage qu’elle représentait. On lit sur le livre de La Thorillière, au
8
juin : « À Phlipote 1 livre 10 sous. » Ce rôle av
tait. On lit sur le livre de La Thorillière, au 8 juin : « À Phlipote
1
livre 10 sous. » Ce rôle avait bien peu d’importa
lit sur le livre de La Thorillière, au 8 juin : « À Phlipote 1 livre
10
sous. » Ce rôle avait bien peu d’importance, mais
le pauvre Molière s’attendrit et se laissa persuader. Le mois de juin
1664
fut si néfaste pour les portiers de la salle du P
Eh ! messieurs, leur dit-il, épargnez du moins un pauvre vieillard de
soixante-quinze
ans, qui n’a plus que quelques jours à vivre. » L
ge aux auteurs et aux personnes qui, n’ayant pas le moyen de dépenser
quinze
sols, ne voyaient le spectacle que par charité, s
ême abus et des désordres encore plus grands nécessitèrent en janvier
1673
une semblable ordonnance, sollicitée cette fois p
sollicitée cette fois par la troupe de l’hôtel de Bourgogne. C’est le
20
de ce malencontreux mois de juin que fut représen
pièce fit peu d’argent ; néanmoins la troupe du Palais-Royal la joua
quinze
fois consécutives et la comprit dans des spectacl
ans des spectacles qu’elle alla donner au château de Fontainebleau du
21
juillet au 13 août, à Villers-Cotterêts pour le f
cles qu’elle alla donner au château de Fontainebleau du 21 juillet au
13
août, à Villers-Cotterêts pour le frère du Roi en
êts pour le frère du Roi en septembre, et au château de Versailles du
13
au 25 octobre. Racine, La Grange nous le fait voi
ur le frère du Roi en septembre, et au château de Versailles du 13 au
25
octobre. Racine, La Grange nous le fait voir, eut
sailles du 13 au 25 octobre. Racine, La Grange nous le fait voir, eut
deux
parts comme auteur dans le produit des recettes d
urent ensuite données de loin à loin, ne dut guère lui valoir plus de
500
livres. Lui fit-on en outre cadeau d’un bijou ou
’un objet d’orfèvrerie ? Nous ne saurions l’affirmer, mais on lit, au
31
août, sur le Registre de La Thorillière : « Pour
e La Thorillière : « Pour achever de payer un orfèvre pour M. Racine,
24
livres. » « Le mardi 4 novembre, dit La Grange,
achever de payer un orfèvre pour M. Racine, 24 livres. » « Le mardi
4
novembre, dit La Grange, on ne joua point, à caus
part à mademoiselle Du Parc jusqu’à Pâques prochain. » — Le dimanche
9
du même mois fut donnée la première représentatio
on à la ville de La Princesse d’Élide, montée à grands frais et jouée
vingt-cinq
fois de suite. — Le 14 novembre, « J’ai, dit La G
’Élide, montée à grands frais et jouée vingt-cinq fois de suite. — Le
14
novembre, « J’ai, dit La Grange, commencé à annon
re ». Brossette nous apprend, dans son commentaire sur Boileau, qu’en
1664,
cet auteur étant chez le comte Du Broussin, bien
olles, qui a traduit ou trahi tous les poètes latins, fit paraître en
1659
la seconde édition d’une version en prose françai
ition d’une version en prose française de Lucrèce qu’il avait publiée
dix
ans auparavant, sous les auspices dédicatoires de
m’a dit qu’un bel esprit en fait une traduction en vers, dont j’ai vu
deux
ou trois stances du commencement du second livre,
qu’un bel esprit en fait une traduction en vers, dont j’ai vu deux ou
trois
stances du commencement du second livre, qui m’on
e connais et que j’estime extrêmement, ne manqueront pas de nous dire
cent
fois que le reste est égal, ce que j’aurai bien m
style, et que l’on ait eu le soin de n’en point altérer le sens. » En
1677,
l’infatigable abbé, auquel les vers coûtaient peu
rs, après la traduction en prose qui fut faite de Lucrèce dès l’année
1649,
dont il y a eu deux éditions. Ces vers n’ont vu l
on en prose qui fut faite de Lucrèce dès l’année 1649, dont il y a eu
deux
éditions. Ces vers n’ont vu le jour que par la bo
n contemporain ayant vu quelque chose de cette traduction perdue. Les
trois
actes du Tartuffe applaudis, mais défendus, aux f
s-Cotterêts, chez Monsieur, devant le Roi, la Reine et la Reine mère.
Deux
mois après, le prince de Condé fit représenter la
e Pierre, songea à le mettre en scène. Jouée pour la première fois le
15
février 1665, cette production souleva des tempêt
ongea à le mettre en scène. Jouée pour la première fois le 15 février
1665,
cette production souleva des tempêtes ; non pas q
la religion de l’autorité sur tous les dangers de cette comédie, que
dix-sept
ans plus tard, en 1682, Vinot et La Grange, l’aya
sur tous les dangers de cette comédie, que dix-sept ans plus tard, en
1682,
Vinot et La Grange, l’ayant fait imprimer dans le
. La quinzième représentation du Festin de Pierre avait été donnée le
20
mars 1665, dernier jour de l’année théâtrale. Ce
nzième représentation du Festin de Pierre avait été donnée le 20 mars
1665,
dernier jour de l’année théâtrale. Ce fut pendant
i du curé de Saint-Barthélemy. Son permis d’imprimer est à la date du
8
avril 1665. Cet écrit portait le nom, véritable o
é de Saint-Barthélemy. Son permis d’imprimer est à la date du 8 avril
1665.
Cet écrit portait le nom, véritable ou supposé, d
nt, mais avec des traits adoucis, dans le principal rôle de sa pièce.
Deux
partisans de Molière répondirent à ces calomnies
charnés. Appelé à Versailles avec sa troupe pour y jouer, le vendredi
12
juin, « Le Favori (comédie nouvelle de mademoisel
ses courtisans en faisant asseoir Molière à sa table ; au mois d’août
1665,
si des scrupules religieux ne lui permirent pas e
ommager l’auteur en attachant à sa personne, avec une pension de sept
mille
livres, sa troupe, qui jusque-là n’avait été que
uveau. Demandé pour un divertissement du Roi, L’Amour médecin fut, en
cinq
jours, proposé, fait, appris et représenté. La co
posé, fait, appris et représenté. La cour l’applaudit à Versailles le
15
septembre70, la ville confirma son jugement le 22
dit à Versailles le 15 septembre70, la ville confirma son jugement le
22.
Dans son avis Au Lecteur sur cette pièce, l’auteu
eux-mêmes à en faire douter par le scandale de leurs discussions. En
1664,
les médecins de Rouen et ceux de Marseille rendir
rendirent plainte devant les tribunaux contre les apothicaires de ces
deux
villes pour empiétement de droits. Les mémoires q
à cette occasion dévoilèrent des vérités fort peu honorables pour les
deux
corps et fort peu rassurantes pour les pauvres ma
démontré qu’ils n’accordaient leur confiance qu’à des empiriques. Les
quatre
médecins que Molière mit en scène dans cette pièc
e sa panacée universelle, l’antimoine, sa femme, sa fille, son neveu,
deux
de ses gendres et un très grand nombre d’autres m
ques suffisent pour expliquer les attaques de notre auteur contre ces
quatre
empiriques privilégiés que Louis XIV, auquel on n
ri Eut, en mourant, même aventure Que feu son père et son mari ! Tous
trois
sont morts par assassin, Ravaillac, Cromwell, méd
me on l’a prétendu, fait prendre aux acteurs chargés des rôles de ces
quatre
médecins des masques qui reproduisaient exactemen
t leurs traits. Il est aussi ridicule qu’injurieux pour la mémoire de
deux
grands hommes de penser un seul instant que l’un
uffe, sembla proposer la paix aux médecins : « La médecine, dit-il en
1669,
dans la Préface de ce dernier chef-d’œuvre, est u
our démesuré de la vie qui fait découvrir aux gens les mieux portants
mille
maladies mortelles, enfants de leur imagination.
doute, mais imposante encore, des Romains défendant, pendant près de
six
cents ans, l’entrée de leur ville aux médecins, e
te, mais imposante encore, des Romains défendant, pendant près de six
cents
ans, l’entrée de leur ville aux médecins, et les
t qu’il n’existe entre elles que cette différence en amélioration que
deux
siècles amènent naturellement chez un peuple poli
pédantesques. Un mois avant la représentation de L’Amour médecin, le
4
août, mademoiselle Molière donna le jour à un sec
Célimène ; mais, à l’exception de quelques traits isolés, d’une ou de
deux
scènes détachées, on ne le vit jamais faire d’all
isait entrer en « convulsions », et l’empêchait de travailler pendant
quinze
jours. Si ce biographe se fût borné à dire que se
a fin de sa carrière théâtrale. On prétend qu’elle le jouait encore à
soixante
ans. Le quatrain suivant, qui fut fait pour elle,
tres hommes d’esprit. Molière, La Fontaine et Racine se réunissaient
deux
ou trois fois la semaine chez Boileau, qui demeur
mes d’esprit. Molière, La Fontaine et Racine se réunissaient deux ou
trois
fois la semaine chez Boileau, qui demeurait alors
nt, comme l’admiration de la postérité les réunit après leur mort. «
Quatre
amis, dont la connaissance avait commencé par le
tait, suivant la gravité de son délit grammatical, condamné à en lire
quinze
ou vingt vers. « L’arrêt qui imposait la lecture
ant la gravité de son délit grammatical, condamné à en lire quinze ou
vingt
vers. « L’arrêt qui imposait la lecture d’une pag
prétendu déni de justice. Voici le fait : La Fontaine fit paraître en
1664
son conte intitulé Joconde. On avait publié en 16
e fit paraître en 1664 son conte intitulé Joconde. On avait publié en
1663
les œuvres posthumes de M. de Bouillon, dans lesq
urtout parmi ses prôneurs un M. de Saint-Gilles, qui offrit de parier
mille
livres en sa faveur. L’abbé Le Vayer accepta la g
n rapport, pour la mise en scène de l’Arsace de De Prade, en novembre
1662,
mais qui ne lui avait laissé que des souvenirs te
nvie de dire un bon mot, qui avait souvent de mauvaises suites ». Les
deux
anciens condisciples aimaient à se reporter quelq
sit avec fureur le moment de rétorquer les arguments de Chapelle. Les
deux
philosophes en étaient aux convulsions, et presqu
besace qu’il y avait mise en entrant. C’était un frère servant ; les
deux
philosophes n’avaient point vu son enseigne, et,
d’honneur, et qui réponde le mieux à notre conduite. Demain, sur les
huit
ou neuf heures du matin, bien à jeun, et devant t
ur, et qui réponde le mieux à notre conduite. Demain, sur les huit ou
neuf
heures du matin, bien à jeun, et devant tout le m
s veilles. Ce dernier confia d’ailleurs, un peu plus tard, le sort de
deux
pièces nouvelles à la troupe du Palais-Royal. Il
du nôtre, Molière ne fut pas recherché avec moins d’empressement par
deux
femmes qui se sont acquis une égale réputation :
onstance en amour ; l’autre, par sa fidélité envers ses amis ; toutes
deux
par leur grâce et leur esprit, Ninon de Lenclos e
Molière venait, congédiait tout le monde, et ils demeuraient souvent
trois
et quatre heures ensemble. On l’a entendu dire, a
venait, congédiait tout le monde, et ils demeuraient souvent trois et
quatre
heures ensemble. On l’a entendu dire, après une d
; et c’est avec un vif sentiment de regret que l’on ne rencontre que
deux
fois, dans sa correspondance, ce nom qui eût dû l
ue le prélude du tort que le même poète leur fit en enrôlant à Pâques
1667
mademoiselle Du Parc, qui était alors l’actrice l
moiselle Du Parc, qui était alors l’actrice la plus parfaite dans les
deux
genres et l’un des plus utiles soutiens de la tro
une protectrice. La Reine, mère de Louis XIV, termina sa carrière le
20
janvier 1666. L’espèce de recueillement de douleu
trice. La Reine, mère de Louis XIV, termina sa carrière le 20 janvier
1666.
L’espèce de recueillement de douleur que la longu
r à tous les gens dépendant de la cour, lui fit fermer son théâtre du
27
décembre 1665 au 21 février suivant, et l’empêcha
gens dépendant de la cour, lui fit fermer son théâtre du 27 décembre
1665
au 21 février suivant, et l’empêcha pendant un ce
pendant de la cour, lui fit fermer son théâtre du 27 décembre 1665 au
21
février suivant, et l’empêcha pendant un certain
rer après une pièce nouvelle, il se détermina à faire représenter, le
4
juin, le plus correct de ses chefs-d’œuvre, Le Mi
al, mais controuvé. Le Registre de La Grange fait foi que, représenté
vingt
et une fois de suite, nombre de représentations a
qui l’accompagnât et malgré les chaleurs de l’été, procura au théâtre
dix-sept
recettes productives et quatre autres de bien peu
haleurs de l’été, procura au théâtre dix-sept recettes productives et
quatre
autres de bien peu moins satisfaisantes. Quant au
sentation de cette farce qu’on la donna avec ce chef-d’œuvre, et cela
cinq
fois seulement. Cependant, il n’en est pas moins
illés, soit plutôt parce que la troupe du Palais-Royal avait donné le
5
octobre précédent la première représentation de s
taine, les noms des individus que Molière avait eus en vue en traçant
quatre
de ces figures ou de ses rôles. Timante le mystér
ès, légitimé lui-même par sa durée, n’était venu la couronner. Il y a
deux
choses seulement à reprendre dans cet ouvrage : l
’attribuer au hasard la similitude de leur position avec celle de ces
deux
personnages de la pièce. Plein de ses justes grie
eureux. Nous avons déjà dit que Le Médecin malgré lui fut applaudi le
6
août 1666. On sut apprécier dès la première repré
Nous avons déjà dit que Le Médecin malgré lui fut applaudi le 6 août
1666.
On sut apprécier dès la première représentation l
pour l’auteur de la chanson improvisée. À la fin de cette même année,
Louis
, toujours avide de plaisirs, voulut donner à sa c
emplir la partie du cadre que devaient occuper Thalie et Euterpe. Les
deux
premiers actes de Mélicerte, que Molière n’acheva
de la cour, qui y remplirent des rôles dansants. Baron, alors âgé de
treize
ans, fut chargé du personnage de Myrtil dans Méli
s fut représenté une seconde fois à Saint-Germain, au mois de janvier
1667.
Mais l’absence de Baron, et la justice que Molièr
consécutifs de la cour retinrent la troupe de Molière pendant près de
trois
mois à Saint-Germain. Partie de Paris le 1er déce
olière pendant près de trois mois à Saint-Germain. Partie de Paris le
1er
décembre 1666, elle ne fit sa rentrée au théâtre
t près de trois mois à Saint-Germain. Partie de Paris le 1er décembre
1666,
elle ne fit sa rentrée au théâtre du Palais-Royal
cembre 1666, elle ne fit sa rentrée au théâtre du Palais-Royal que le
25
février suivant, et reçut du Roi, pour cette abse
Royal que le 25 février suivant, et reçut du Roi, pour cette absence,
deux
années de la pension qu’il lui faisait. Huit jour
Roi, pour cette absence, deux années de la pension qu’il lui faisait.
Huit
jours après, le 4 mars suivant, elle représenta p
ce, deux années de la pension qu’il lui faisait. Huit jours après, le
4
mars suivant, elle représenta pour la première fo
pièce nouvelle de M. de Corneille l’aîné, pour laquelle on lui donna
deux
mille livres, prix fait », dit La Grange. Robinet
e nouvelle de M. de Corneille l’aîné, pour laquelle on lui donna deux
mille
livres, prix fait », dit La Grange. Robinet en re
nge. Robinet en rend ainsi compte dans sa Lettre en vers à Madame, du
13
mars 1667 : Cette dernière des merveilles De l’a
inet en rend ainsi compte dans sa Lettre en vers à Madame, du 13 mars
1667
: Cette dernière des merveilles De l’aîné des fa
y faire preuve de talent. Le Sicilien ne fut joué à la ville que le
10
juin suivant, avec la dix-huitième représentation
ième représentation d’Attila. Robinet nous apprend, dans sa Lettre du
11
juin, que ce retard du Sicilien, lequel du reste
ntre enfin à nos yeux Plus que jamais facétieux. Livre troisième.
1667-1673
Si Le Tartuffe n’était pas fait il ne se ferai
chez le frère du Roi, Le Tartuffe avait été honoré des suffrages des
deux
reines, du grand Condé, et de tout ce que la cour
sante qui sollicitait chaque jour l’éternelle suspension du Tartuffe.
Huit
jours après qu’il eut ajourné la représentation d
iques, nous rapporterons ici quelques passages d’un libelle publié en
1665,
ayant pour titre : Observations sur une comédie d
imaginable on ne pût reconnaître en lui un caractère sacré. Ce fut le
5
août que L’Imposteur, ainsi châtié, fut représent
a produire, et force fut d’attendre un nouvel ordre de Sa Majesté. Le
8
août, deux acteurs de la troupe, La Thorillière e
re, et force fut d’attendre un nouvel ordre de Sa Majesté. Le 8 août,
deux
acteurs de la troupe, La Thorillière et La Grange
représentations pendant toute la durée de leur absence, les reprit le
25
septembre. On s’étonnerait probablement que nous
la fausseté. Il n’est personne qui n’ait lu dans tous les ana que le
7
août, au moment où le public, accouru pour la sec
ommencer ses jouissances, la toile se leva, et que Molière, après les
trois
saluts d’usage alors comme aujourd’hui, dit en s’
e au mandement lancé par l’archevêque de Paris contre L’Imposteur, le
11
août. Il montrera contre quels puissants adversai
médies. Donné à Paris sous le sceau de nos armes, ce onzième août mil
six
cent soixante-sept. » « HARDOUIN, archevêque de
es. Donné à Paris sous le sceau de nos armes, ce onzième août mil six
cent
soixante-sept. » « HARDOUIN, archevêque de Pari
onné à Paris sous le sceau de nos armes, ce onzième août mil six cent
soixante-sept
. » « HARDOUIN, archevêque de Paris. « Par mondi
traité de Platina intitulé De honesta voluptate, imprimée à Paris en
1505,
et citée par Le Duchat dans son édition du Dictio
n du Dictionnaire étymologique de Ménage. L’un des chapitres du livre
IX
de ce traité est intitulé « Des Truffes ou Tartuf
e dernier n’est pas mieux fondé que les autres ; car Molière, pendant
quatre
actes, a principalement fait envisager le côté ri
: je viens d’entendre un acteur déclamer faussement et pitoyablement
quatre
vers de ma pièce ; et je ne saurais voir maltrait
que de Lyon une défense à tous les curés de son diocèse de marier ces
deux
amants. Mais l’esprit inventif de la future marié
nt dont ils menaçaient de se passer. Nous verrons plus tard, à Pâques
1670,
Beauval et sa femme entrer dans la troupe du Pala
Molière, dont il était l’âme, et qui ne peut pas avoir de pareille ».
Quinze
jours après la défense du parlement, on vit paraî
ze jours après la défense du parlement, on vit paraître, à la date du
20
août, une Lettre sur la comédie de l’Imposteur, q
er quelques changements qui différencient L’Imposteur et Le Tartuffe.
Cinq
mois après la première représentation de ce chef-
es les jouaient eux-mêmes, ce qu’ils ne pouvaient souffrir. Ce fut le
13
janvier que cette œuvre nouvelle fut donnée, pour
onner. » Cette comédie obtint un succès des plus grands, constaté par
vingt-neuf
représentations consécutives. Imprimée dans la mê
président était un brachmane, qui devina tout d’un coup que l’un des
deux
maîtres de la maison était une dupe et que l’autr
l’ancien congrès, qu’elle accorderait successivement ses faveurs aux
deux
prétendants, et que celui qui donnerait le plus d
elle vit le nouvel athlète se montrer digne d’être, seul, l’époux des
cinquante
filles de Danaüs ! On allait lui adjuger le prix,
Si tout Paris était allé rire des malheurs d’Amphitryon75, il avait,
deux
mois auparavant, donné bien des larmes à ceux d’A
e sous les traits d’une charmante transfuge, mademoiselle Du Parc. Le
25
mai 1668, on joua au théâtre du Palais-Royal la p
les traits d’une charmante transfuge, mademoiselle Du Parc. Le 25 mai
1668,
on joua au théâtre du Palais-Royal la première co
lors, La Folle Querelle, ou La Critique d’Andromaque. Cette pièce eut
dix-sept
représentations consécutives. La Préface de son v
ôpital. Peu de réjouissances avaient signalé à la cour le carnaval de
1668.
La conquête de la Franche-Comté avait tenu éloign
admirables pinceaux et traça le plaisant tableau de George Dandin. Le
18
juillet, un des jours de la fête, cette charmante
es des courtisans, qui virent leur décision confirmée par la ville le
9
novembre suivant, époque où, dégagée de ses inter
roduction riante d’une composition d’un ordre beaucoup plus élevé. Le
9
septembre 1668, il exposa aux yeux du public le t
ante d’une composition d’un ordre beaucoup plus élevé. Le 9 septembre
1668,
il exposa aux yeux du public le tableau des vilen
qui trouva un appui dans la sottise. Il n’eut, dans le principe, que
neuf
représentations, pas même consécutives. Repris de
le principe, que neuf représentations, pas même consécutives. Repris
deux
mois après, il disparut encore après avoir été jo
ives. Repris deux mois après, il disparut encore après avoir été joué
onze
fois. On a souvent répété que ce fut l’étrangeté
onze fois. On a souvent répété que ce fut l’étrangeté d’une pièce en
cinq
actes et en prose qui compromit le sort de celle-
celle-ci ; mais l’allégation est complètement fausse. Une comédie en
cinq
actes et en prose n’était pas alors une chose ass
ur bel esprit, et nous prend-il pour des benêts de nous faire essuyer
cinq
actes de prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravag
des phrases les plus forcées et les moins naturelles. Térence dit en
quatre
mots, avec la plus élégante simplicité, ce que ce
appartiennent au temps où vivait notre comique. Né au commencement de
1622,
c’est-à-dire près de dix-huit ans avant Racine, e
ivait notre comique. Né au commencement de 1622, c’est-à-dire près de
dix-huit
ans avant Racine, et mort en 1673, il ne put écri
t de 1622, c’est-à-dire près de dix-huit ans avant Racine, et mort en
1673,
il ne put écrire comme cet auteur ni comme Bossue
ie du Misanthrope et des Femmes savantes, et principalement celle des
quatre
premiers actes du Tartuffe. Ce que nous venons de
à un fils de voler son père, de lui manquer de respect, de lui faire
mille
insultants reproches, et, quand un père irrité lu
s enfants à manquer à ce qu’ils doivent à leurs pères ; mais tous les
deux
veulent apprendre aux pères à ne pas mettre à cet
cette cruelle épreuve la vertu de leurs enfants. » L’Avare fut, en
1733,
transporté avec un prodigieux succès sur la scène
déjà fait allusion, se trouvant sur la place du Palais-Royal, aperçut
deux
de ses amis qui venaient de mettre l’épée à la ma
it représenter cette comédie à Chantilly, et tout récemment encore le
20
septembre 1668, au mépris de la bouffonne excommu
r cette comédie à Chantilly, et tout récemment encore le 20 septembre
1668,
au mépris de la bouffonne excommunication de l’ar
la permission qu’il appelait depuis si longtemps de tous ses vœux. Le
5
février 1669, Le Tartuffe fut rendu à la juste im
ion qu’il appelait depuis si longtemps de tous ses vœux. Le 5 février
1669,
Le Tartuffe fut rendu à la juste impatience du pu
rier 1669, Le Tartuffe fut rendu à la juste impatience du public, que
quarante-quatre
représentations presque consécutives satisfirent
été, sinon une vertu, du moins un acte de courage, et il y a plus de
trente
ans, lorsque des personnages influents, semblant
sert à constater quelques modifications ou suppressions dans sept ou
huit
scènes ; en outre, Molière rendit à son personnag
tradition prétend aussi qu’à la première représentation, celle d’août
1667,
Panulphe disait, dans la scène vii de l’acte III,
tion, celle d’août 1667, Panulphe disait, dans la scène vii de l’acte
III
, en parlant du fils d’Orgon : Ô ciel ! pardonne-
n balancer le succès ; c’est dans ce dernier but que l’on représenta,
six
semaines après, sur le théâtre de l’hôtel de Bour
ci d’une comédie en un acte et en vers qu’un anonyme fit paraître, en
1670,
sous le titre de La Critique du Tartuffe. Il est
chef-d’œuvre, adressée à l’auteur par un de ses amis. Les noms de ces
deux
pamphlétaires sont demeurés ignorés. Mais Bret a
nstater encore la vérité du rôle que Molière avait créé à leur image.
Deux
personnages, plus éminents sans doute que ces deu
créé à leur image. Deux personnages, plus éminents sans doute que ces
deux
anonymes, s’élevèrent aussi contre lui. Le célèbr
’un homme de génie qui expira non sur la scène, mais dans les bras de
deux
religieuses, sœurs de la charité, dont il avait t
eur avoué et légitime de ses œuvres. Il avait précédemment publié, en
1667,
Le Misanthrope et Le Médecin malgré lui, en 1668,
édemment publié, en 1667, Le Misanthrope et Le Médecin malgré lui, en
1668,
Le Mariage forcé, Le Sicilien et Amphitryon, et,
e Mariage forcé, Le Sicilien et Amphitryon, et, dans cette même année
1669,
L’Avare et George Dandin. Gabriel Guéret nous app
sa Promenade de Saint-Cloud, que ce libraire avait donné du Tartuffe
deux
cents pistoles et qu’« il commençait à les regret
romenade de Saint-Cloud, que ce libraire avait donné du Tartuffe deux
cents
pistoles et qu’« il commençait à les regretter ».
nt que son édition ; mais, dès le mois de juin, c’est-à-dire moins de
trois
mois après, il était obligé d’en publier une seco
près, il était obligé d’en publier une seconde qu’il fit précéder des
trois
Placets de Molière au Roi. Le 6 octobre, Chambord
ne seconde qu’il fit précéder des trois Placets de Molière au Roi. Le
6
octobre, Chambord retentit des applaudissements q
la musique, ajoutaient encore à l’effet qu’elle pouvait produire. Le
15
du mois suivant, Paris s’égaya à son tour de la m
que faible, ait été imprimée au temps où elle fut composée ; mais en
1700
on la comprit dans un volume de Mélanges, l’Anony
nt les suffrages du public. Guy Patin prétend dans sa correspondance (
21
novembre 1669) que Molière songea à mettre à la s
ages du public. Guy Patin prétend dans sa correspondance (21 novembre
1669
) que Molière songea à mettre à la scène une histo
n malade ; dès qu’il fut entré dans la chambre, où il faisait sombre,
quatre
hommes se jetèrent sur lui, lui mirent une corde
ns et les pieds. Il se mit en défense, et se remua si bien contre ces
quatre
hommes qu’ils n’en pouvaient venir à bout. Le bru
voisins vinrent au secours et frappèrent à la porte. Cela obligea les
quatre
hommes de le lâcher et de s’enfuir. Le médecin al
pitié, du moins à son silence sur sa mésaventure. Au mois de janvier
1670
parut la comédie d’Élomire hypocondre ou Les Méde
s intolérant qu’il ne le sera plus tard. Son père avait été inhumé le
27
février 1669 dans l’église Saint-Eustache par « q
t qu’il ne le sera plus tard. Son père avait été inhumé le 27 février
1669
dans l’église Saint-Eustache par « quatre prêtres
vait été inhumé le 27 février 1669 dans l’église Saint-Eustache par «
quatre
prêtres porteurs, assistance de M. le curé ». La
s porteurs, assistance de M. le curé ». La mère de sa femme le fut le
9
janvier 1670 dans l’église Saint-Paul, et une ins
, assistance de M. le curé ». La mère de sa femme le fut le 9 janvier
1670
dans l’église Saint-Paul, et une inscription qu’o
itié et des soins qu’elle avait eus d’elle80 ». Il avait été admis le
10
septembre 1669 par le curé de Saint-Roch comme pa
oins qu’elle avait eus d’elle80 ». Il avait été admis le 10 septembre
1669
par le curé de Saint-Roch comme parrain de la fil
de Saint-Roch comme parrain de la fille d’un marchand ; il le fut le
15
novembre 1670 par le curé de Saint-Germain-en-Lay
ch comme parrain de la fille d’un marchand ; il le fut le 15 novembre
1670
par le curé de Saint-Germain-en-Laye81, et le 30
fut le 15 novembre 1670 par le curé de Saint-Germain-en-Laye81, et le
30
mars 1671 par celui d’Auteuil, pour tenir égaleme
5 novembre 1670 par le curé de Saint-Germain-en-Laye81, et le 30 mars
1671
par celui d’Auteuil, pour tenir également sur les
Auteuil, pour tenir également sur les fonts de baptême les enfants de
deux
officiers du Roi82. À Pâques 1670, d’assez notabl
les fonts de baptême les enfants de deux officiers du Roi82. À Pâques
1670,
d’assez notables changements s’opérèrent au théât
’exercice de son art fort difficile, fut obligé, bien qu’il n’eût que
quarante
ans, de songer à se retirer. Ses camarades, qui l
t à Paris après avoir reçu une lettre de cachet, et eut une part. Et,
deux
mois après, M. de Molière manda de la même troupe
ademoiselle de Beauval83 pour une part et demie, à la charge de payer
cinq
cents livres de la pension dudit sieur Béjart, et
iselle de Beauval83 pour une part et demie, à la charge de payer cinq
cents
livres de la pension dudit sieur Béjart, et trois
harge de payer cinq cents livres de la pension dudit sieur Béjart, et
trois
livres chaque jour de représentation à Château ne
sieur Béjart, et trois livres chaque jour de représentation à Château
neuf
, gagiste de la troupe. » Nous ferons connaître p
n de les lier ensemble, « Sa Majesté, dit Molière, choisit pour sujet
deux
princes rivaux qui, dans le champêtre séjour de l
ésenter sur son théâtre, et le garda en portefeuille. Ce ne fut qu’en
1682,
dans l’édition de Vinot et La Grange, qu’il fut i
pour la première fois ; et les Comédiens français ne pensèrent qu’en
1688
à le monter pour leur théâtre. Leur zèle et l’esp
et plus productif que ne le fut celui de cette comédie-ballet. Après
neuf
représentations fort peu suivies, ils se virent f
virent forcés de l’abandonner à l’oubli dont ils l’avaient tirée. En
1704,
Dancourt fit une tentative non moins malheureuse
n, ayant imprudemment annoncé la mort de Gassendi pour le mois d’août
1650,
ne vit pas son crédit s’écrouler entièrement par
se, où se trouva injustement compromis un nom auguste ? Enfin, il y a
cinquante
ans, qui n’a plaint les crédules faiblesses pour
e encore et Molière et son génie à quelques traits comiques, à une ou
deux
scènes ingénieusement filées et au rôle spirituel
né à cette princesse de renoncer à l’espoir d’épouser son amant ; et,
deux
mois après, elle eut la douleur de le voir enferm
t naturel de croire que le Roi dit à l’auteur de faire une comédie où
deux
princes se disputeraient en magnificence pour ébl
er de l’intérêt à un sujet si simple et si peu susceptible de fournir
cinq
actes, y joignit cet amour, dont la peinture dut
supérieur, un homme de bien, un cœur généreux. Mériterait-il donc ces
deux
titres, l’auteur qui, abusant de la protection d’
de renoncer à l’espoir d’épouser son amant ». Ce ne fut que le jeudi
18
décembre 1670, que cette défense fut faite par le
à l’espoir d’épouser son amant ». Ce ne fut que le jeudi 18 décembre
1670,
que cette défense fut faite par le Roi à la princ
raines, et notamment la lettre très détaillée de madame de Sévigné du
19
décembre 1670. Or, Les Amants magnifiques avaient
otamment la lettre très détaillée de madame de Sévigné du 19 décembre
1670.
Or, Les Amants magnifiques avaient été représenté
s magnifiques avaient été représentés, comme nous l’avons dit, dès le
7
septembre 1670, c’est-à-dire plus de trois mois a
s avaient été représentés, comme nous l’avons dit, dès le 7 septembre
1670,
c’est-à-dire plus de trois mois avant que l’on co
comme nous l’avons dit, dès le 7 septembre 1670, c’est-à-dire plus de
trois
mois avant que l’on connût ses chagrins et même s
iers connaissance des Amants magnifiques, il dit, à l’occasion de ces
deux
vers du troisième intermède, Et tracez sur les h
iances ne sont que des vices, que des défauts passagers : car, il y a
cinquante
ans, il n’y avait pas de Tartuffes ; il n’est plu
bassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages. Ce fut à Chambord, le
14
octobre 1670, que l’on représenta, pour la premiè
Tout marquis veut avoir des pages. Ce fut à Chambord, le 14 octobre
1670,
que l’on représenta, pour la première fois, cet i
s nobles confrères ; voilà ce qu’ils répétèrent tous à l’envi pendant
cinq
grands jours que la seconde représentation se fit
ands jours que la seconde représentation se fit attendre. Nous disons
cinq
grands jours : en effet, que l’on se peigne le ma
de Louis XIV ; et Le Bourgeois gentilhomme, représenté à la ville le
23
novembre 1670, contribua par son succès à attirer
V ; et Le Bourgeois gentilhomme, représenté à la ville le 23 novembre
1670,
contribua par son succès à attirer au théâtre du
aveugle de vanité n’est pas très rare à rencontrer. N’a-t-on pas vu,
seize
ans après, en 1686, l’abbé de Saint-Martin, homme
’est pas très rare à rencontrer. N’a-t-on pas vu, seize ans après, en
1686,
l’abbé de Saint-Martin, homme estimable, qui enri
numents agréables et d’établissements utiles, recevoir très gravement
trois
prétendus ambassadeurs de Siam, qui venaient lui
cette assertion en lisant cet ouvrage, qui d’ailleurs ne parut qu’en
1671,
c’est-à-dire un an après Le Bourgeois gentilhomme
se porter à celui de Scaramouche, revenu à Paris après une absence de
trois
ans. Cet acteur, ayant amassé dix ou douze mille
venu à Paris après une absence de trois ans. Cet acteur, ayant amassé
dix
ou douze mille livres de rente, qu’il avait placé
Paris après une absence de trois ans. Cet acteur, ayant amassé dix ou
douze
mille livres de rente, qu’il avait placés à Flore
après une absence de trois ans. Cet acteur, ayant amassé dix ou douze
mille
livres de rente, qu’il avait placés à Florence, s
la ramener au Palais-Royal. La troupe de Molière avait repris depuis
1660
une ancienne comédie intitulée Don Quichotte ou L
ôle de Sancho. Un jour qu’on la représentait (c’était, a-t-on dit, en
1670
), comme il devait paraître sur son âne, il se mit
de composer une pièce à grand spectacle pour les fêtes du carnaval de
1671.
Il songea à la fable de Psyché, qui appartient à
fable de Psyché, qui appartient à l’antiquité, et que La Fontaine, en
1669,
avait naturalisée dans notre littérature en rajeu
s que la première main à son ouvrage, il prit le parti de s’adjoindre
deux
collaborateurs, Corneille et Quinault, qui travai
ion dément sa prétendue inimitié contre Molière, fit le surplus, et à
soixante-cinq
ans retrouva toute la vigueur, tout le feu de sa
oème, qui fut soumis au jugement très favorable de la cour en janvier
1671,
sur le théâtre des Tuileries. « Il est à remarqu
arquer, dit La Grange, que le dimanche xve mars de la présente année
1671,
avant que de fermer le théâtre, la troupe a résol
ortes de représentations, tant simples que de machines, un concert de
douze
violons, ce qui n’a été exécuté qu’après la repré
es, journées d’ouvriers, et généralement toutes choses nécessaires, à
1
989 liv. 10 sols. Les Italiens sont entrés dans l
, journées d’ouvriers, et généralement toutes choses nécessaires, à 1
989
liv. 10 sols. Les Italiens sont entrés dans la mo
s d’ouvriers, et généralement toutes choses nécessaires, à 1 989 liv.
10
sols. Les Italiens sont entrés dans la moitié de
dépenses pour la préparation de Psyché h se sont montés à la somme de
4
359 liv. 1 sol.i Dans le cours de la pièce, M. de
penses pour la préparation de Psyché h se sont montés à la somme de 4
359
liv. 1 sol.i Dans le cours de la pièce, M. de Bea
ur la préparation de Psyché h se sont montés à la somme de 4 359 liv.
1
sol.i Dans le cours de la pièce, M. de Beauchamps
eçu de récompense, pour avoir fait les ballets et conduit la musique,
1
100 livres, non compris les 11 livres par jour qu
u de récompense, pour avoir fait les ballets et conduit la musique, 1
100
livres, non compris les 11 livres par jour que la
fait les ballets et conduit la musique, 1 100 livres, non compris les
11
livres par jour que la troupe lui a données tant
esure à la musique que pour entretenir les ballets. » Psyché, après
six
semaines de répétitions, fut représentée le 24 ju
ts. » Psyché, après six semaines de répétitions, fut représentée le
24
juillet sur le théâtre de Molière. On conçoit fac
qu’on eût vus jusque-là, des enfers, de la terre et des cieux. Aussi
trente-huit
recettes productives furent-elles la récompense d
mant de nouvelles liaisons, firent seules naître le trouble entre les
deux
amants, qui s’aperçurent trop tard qu’ils n’étaie
s succès. Depuis l’apparition de L’Avare, c’est-à-dire depuis plus de
trois
ans, il n’avait exercé son talent et son génie qu
les prémices de ses pièces, faire le meilleur accueil à celle-ci, le
24
mai, et revenir la voir pendant un assez grand no
jouée d’abord sur le théâtre de la cour, à Saint-Germain-en-Laye, le
2
décembre. Elle composait, avec une Pastorale dont
d’Henriette d’Angleterre, avait épousée, par procureur, à Châlons, le
16
novembre précédent. La Comtesse d’Escarbagnas ne
récédent. La Comtesse d’Escarbagnas ne fut représentée à Paris que le
8
juillet de l’année suivante. Les longues excursio
sprit contemplateur de favorables occasions d’y étudier et d’y saisir
mille
ridicules divers. Alors plus qu’aujourd’hui, les
urent servir à l’apaiser. La Comtesse d’Escarbagnas fut donnée à ses
quatorze
premières représentations consécutives avec Le Ma
encontre des rues Saint-Anne et Neuve des Petits-Champs, une somme de
11
000 livres, par un acte du 14 décembre 1670, réce
ontre des rues Saint-Anne et Neuve des Petits-Champs, une somme de 11
000
livres, par un acte du 14 décembre 1670, récemmen
t Neuve des Petits-Champs, une somme de 11 000 livres, par un acte du
14
décembre 1670, récemment découvert. Il lui avait
Petits-Champs, une somme de 11 000 livres, par un acte du 14 décembre
1670,
récemment découvert. Il lui avait successivement
t avoir à se plaindre du Florentin, qui avait sollicité et obtenu, le
14
avril 1672, une ordonnance du Roi portant défense
se plaindre du Florentin, qui avait sollicité et obtenu, le 14 avril
1672,
une ordonnance du Roi portant défense à tous autr
démie royale de musique d’employer dans leurs représentations plus de
six
chanteurs et de douze violons. Il demanda la musi
que d’employer dans leurs représentations plus de six chanteurs et de
douze
violons. Il demanda la musique des intermèdes du
ite du petit nombre d’exemplaires qui subsistent des Rimes redoublées
87.
« Malgré le malin détracteur, J’ai toujours été
contre le travers qui, phénix nouveau, renaissait de ses cendres. Le
11
mars, Les Femmes savantes parurent sur le théâtre
yant adressé quelques mots piquants, il n’y retourna plus, et mit ses
deux
adversaires en scène. Cette assertion a bien peu
ire casser le mariage de sa fille avec M. de La Rivière parce que les
trente-deux
quartiers de celui-ci n’étaient pas incontestable
ners. Despréaux à ce jeu répond par sa grimace, Et fait, en bateleur,
cent
tours de passe-passe. Puis ensuite, enivrés et du
, L’un sur l’autre tombant, renversent le festin ; On les promet tous
deux
quand on fait chère entière, Ainsi que l’on prome
couple aussi charmant ; Et dans la Croix-de-Fer91 eux seuls en valent
mille
Pour faire aux étrangers l’honneur de cette ville
Et, pour vivre, aux Coteaux donne la comédie92. Ce libelle parut en
1666,
et Molière prit encore le parti de ne pas répondr
u, quelques années après, de peindre le pédantisme, il se rappela ses
deux
antagonistes, qui pouvaient passer pour le type d
Boileau leur avait déclarée, mais surtout en empruntant à son recueil
deux
de ses pièces, le sonnet à la princesse Uranie et
ait pu abuser quelqu’un par la harangue qu’il prit la peine de faire
deux
jours avant la première représentation pour détou
ent semblant de ne pas connaître cet ancien ministre d’Apollon et des
neuf
Sœurs, proclamé indigne de sa charge et livré au
aveuglément admiré, si pompeusement vanté, mourut ignoré, en janvier
1682
; et « il y a toute apparence, dit encore Bayle,
nt trop légèrement faits les échos de ce bruit ridicule. Cotin mourut
dix
ans après la représentation des Femmes savantes,
ourut dix ans après la représentation des Femmes savantes, à l’âge de
soixante-dix-huit
ans. L’on voit que si c’est au chagrin qu’il faut
me vous ! » Ce point d’honneur consistait à ne pas abandonner plus de
cent
personnes que ses travaux faisaient vivre, et qui
ncilier avec sa femme. Molière se vit père pour la troisième fois, le
15
septembre 1672, d’un fils que Boileau-Puimorin, f
sa femme. Molière se vit père pour la troisième fois, le 15 septembre
1672,
d’un fils que Boileau-Puimorin, frère de Despréau
, et la fille du peintre Mignard, tinrent sur les fonts de baptême le
1er
octobre suivant ; mais il eut la douleur de perdr
1er octobre suivant ; mais il eut la douleur de perdre cet enfant le
11
de ce dernier mois. Le 17 février de la même anné
s il eut la douleur de perdre cet enfant le 11 de ce dernier mois. Le
17
février de la même année, Madeleine Béjart, sa be
edoutable. Le Malade imaginaire, ce chant du cygne, fut représenté le
10
février 1673 ; mais, hélas ! la Faculté devait êt
Le Malade imaginaire, ce chant du cygne, fut représenté le 10 février
1673
; mais, hélas ! la Faculté devait être trop tôt v
ion de Lyon, Molière, pendant le séjour qu’il y fit avec sa troupe en
1653,
passant un jour dans la rue Saint-Dominique de ce
à Lyon, était bien loin de songer à son Malade imaginaire, représenté
vingt
ans plus tard, se sera borné à remarquer le nom d
sellier, et nous trouvons sur le Registre de la Comédie, à la date du
14
décembre 1679 : « Payé à M. Loyal, pour une signi
nous trouvons sur le Registre de la Comédie, à la date du 14 décembre
1679
: « Payé à M. Loyal, pour une signification, 1 li
date du 14 décembre 1679 : « Payé à M. Loyal, pour une signification,
1
livre 10 sous. » L’huissier de la troupe s’appela
14 décembre 1679 : « Payé à M. Loyal, pour une signification, 1 livre
10
sous. » L’huissier de la troupe s’appelait donc L
ques. Le jour de la quatrième représentation du spectacle nouveau, le
17
février 1673, premier anniversaire de la mort de
ur de la quatrième représentation du spectacle nouveau, le 17 février
1673,
premier anniversaire de la mort de Madeleine Béja
ouer : « Comment voulez-vous que je fasse ? leur répondit-il ; il y a
cinquante
pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
ument. » Il fut convenu seulement que la représentation aurait lieu à
quatre
heures précises. Sa fluxion le fit si cruellement
ciel, et demanda un prêtre pour recevoir les secours de la religion.
Deux
ecclésiastiques de Saint-Eustache, sa paroisse, s
u sang qu’il rendait par la bouche, et expira entouré des siens et de
deux
pauvres sœurs religieuses qui venaient quêter à P
artuffe une touchante hospitalité. Livre quatrième Le siècle de
Louis
, le siècle des beaux-arts, N’accorda qu’à regret,
and Corneille, une tombe à Molière.
C.
Delavigne. Molière était mort sans les secours
t mort sans les secours de la religion. Mais le coupable fanatisme de
deux
prêtres avait été, comme on l’a vu, la seule caus
éfunt Molière qu’à la condition que ce serait sans aucune pompe, avec
deux
prêtres seulement, hors des heures du jour, et qu
ches, ces pourparlers et ces transactions avaient conduit du vendredi
17
au mardi 21 février. Ce dernier jour, quand la nu
urparlers et ces transactions avaient conduit du vendredi 17 au mardi
21
février. Ce dernier jour, quand la nuit fut venue
17 au mardi 21 février. Ce dernier jour, quand la nuit fut venue, des
milliers
de gens du peuple se réunirent devant la maison d
uer de l’argent à cette populace ; elle n’hésita pas, et une somme de
mille
à douze cents livres changea ces dispositions tum
’argent à cette populace ; elle n’hésita pas, et une somme de mille à
douze
cents livres changea ces dispositions tumultueuse
t à cette populace ; elle n’hésita pas, et une somme de mille à douze
cents
livres changea ces dispositions tumultueuses. Ces
ment de Molière accompagnèrent silencieusement ses restes. « Sur les
neuf
heures du soir, lisons-nous dans un récit contemp
ssier valet de chambre, illustre comédien, sans autre pompe, sinon de
trois
ecclésiastiques ; quatre prêtres ont porté le cor
illustre comédien, sans autre pompe, sinon de trois ecclésiastiques ;
quatre
prêtres ont porté le corps dans une bière de bois
té le corps dans une bière de bois couverte du poêle des tapissiers ;
six
enfants bleus portant six cierges dans six chande
de bois couverte du poêle des tapissiers ; six enfants bleus portant
six
cierges dans six chandeliers d’argent ; plusieurs
du poêle des tapissiers ; six enfants bleus portant six cierges dans
six
chandeliers d’argent ; plusieurs laquais portant
ix. Il y avait grande foule de peuple, et l’on a fait distribution de
mille
à douze cents livres aux pauvres qui s’y sont tro
avait grande foule de peuple, et l’on a fait distribution de mille à
douze
cents livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à
grande foule de peuple, et l’on a fait distribution de mille à douze
cents
livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à chacun
mille à douze cents livres aux pauvres qui s’y sont trouvés, à chacun
cinq
sols… M. l’archevêque avait ordonné qu’il fût ain
u gisent Plaute et Térence, Et cependant le seul Molière y gît. Leurs
trois
talents ne formaient qu’un esprit Dont le bel art
âtre demeura formé pendant sept jours, et ils ne le rouvrirent que le
24
février par Le Misanthrope. Les représentations d
Le Misanthrope. Les représentations du Malade imaginaire reprirent le
3
mars suivant. Ce fut La Thorillière qui assuma la
Guénégaud. Les mêmes considérations portèrent Louis XIV à rendre, le
16
janvier suivant, une ordonnance interdisant à tou
r l’impression, ce qui valut peu après à cette comédie une reprise de
trente-sept
représentations consécutives. À cette compagnie,
présentations consécutives. À cette compagnie, sept ans plus tard, en
1680,
se réunit la troupe de l’hôtel de Bourgogne. Il n
ns français sous le titre de « Troupe du Roi ». Molière mourut âgé de
cinquante
et un ans un mois et deux jours. C’est dans la fo
Troupe du Roi ». Molière mourut âgé de cinquante et un ans un mois et
deux
jours. C’est dans la force de son talent qu’il fu
tunités, et qui veulent qu’on les récompense d’avoir obsédé le prince
dix
ans durant ? Ceux qui caressent également tout le
charge. « Ci-devant, ajoute cet historien du théâtre qui écrivait en
1674,
quand l’orateur venait annoncer, toute l’assemblé
oductive. La Grange nous apprend qu’il reçut pour la sienne, dans les
cinq
dernières années de la vie de Molière, une moyenn
, dans les cinq dernières années de la vie de Molière, une moyenne de
quatre
mille six cents livres environ. Les frais de dépl
les cinq dernières années de la vie de Molière, une moyenne de quatre
mille
six cents livres environ. Les frais de déplacemen
nq dernières années de la vie de Molière, une moyenne de quatre mille
six
cents livres environ. Les frais de déplacement et
ernières années de la vie de Molière, une moyenne de quatre mille six
cents
livres environ. Les frais de déplacement et de no
Richelieu dans la maison, on le croit du moins, aujourd’hui numérotée
31.
Mais il n’était que locataire des propriétés qu’i
constamment, depuis la première représentation de L’École des femmes,
quatre
parts de sociétaire dans les bénéfices de son thé
les bénéfices de son théâtre : une pour sa femme, une comme acteur et
deux
comme auteur. Il en toucha même parfois cinq. On
mme, une comme acteur et deux comme auteur. Il en toucha même parfois
cinq
. On s’est généralement accordé à dire que ses rev
. On s’est généralement accordé à dire que ses revenus se montaient à
vingt-cinq
ou trente mille livres, somme considérable au dix
éralement accordé à dire que ses revenus se montaient à vingt-cinq ou
trente
mille livres, somme considérable au dix-septième
nt accordé à dire que ses revenus se montaient à vingt-cinq ou trente
mille
livres, somme considérable au dix-septième siècle
u’on plaça au milieu du cimetière Saint-Joseph, où on la voit encore (
1732
). Cette pierre est fendue par le milieu ; ce qui
né par une action très belle et très remarquable de cette demoiselle.
Deux
ou trois ans après la mort de Molière, il y eut u
ne action très belle et très remarquable de cette demoiselle. Deux ou
trois
ans après la mort de Molière, il y eut un hiver t
s la mort de Molière, il y eut un hiver très froid. Elle fit voiturer
cent
voies de bois dans ledit cimetière, lequel bois f
pauvres du quartier : la grande chaleur du feu ouvrit cette pierre en
deux
. Voilà ce que j’ai appris, il y a environ vingt a
ouvrit cette pierre en deux. Voilà ce que j’ai appris, il y a environ
vingt
ans, d’un ancien chapelain de Saint-Joseph, qui m
e. Elle se trouva, à peu près dans le même temps, compromise, grâce à
deux
intrigantes et à sa mauvaise réputation, dans une
à la complète instruction de ce procès. Une sentence du Châtelet, du
17
septembre 1675, condamna le président Lescot à fa
e instruction de ce procès. Une sentence du Châtelet, du 17 septembre
1675,
condamna le président Lescot à faire à mademoisel
oiselle Molière une réparation verbale en présence de témoins, et les
deux
intrigantes à subir nues la peine du fouet devant
t la maison de mademoiselle Molière, et en outre à un bannissement de
trois
ans de la ville de Paris. Madame Le Doux subit se
jugement, qui, sur son appel, avait été confirmé par le parlement, le
17
octobre suivant. La Tourelle était parvenue à s’é
rend un de chair qu’elle aime davantage. Leur mariage fut célébré le
31
mai 1677. Mais le sacrement rendit à Guérin tout
de chair qu’elle aime davantage. Leur mariage fut célébré le 31 mai
1677.
Mais le sacrement rendit à Guérin tout son esprit
ement Molière. Elle continua de faire l’agrément de la scène jusqu’au
14
octobre 1694, époque à laquelle elle prit sa retr
re. Elle continua de faire l’agrément de la scène jusqu’au 14 octobre
1694,
époque à laquelle elle prit sa retraite avec une
bre 1694, époque à laquelle elle prit sa retraite avec une pension de
mille
livres. Retirée dans son ménage, elle y mena, dis
e livres. Retirée dans son ménage, elle y mena, disent les auteurs de
1’Histoire
du Théâtre-Français, une conduite exemplaire, ret
ais, une conduite exemplaire, retour tardif sur elle-même, auquel ses
quarante-neuf
ans ôtaient malheureusement de son mérite. Elle t
ns ôtaient malheureusement de son mérite. Elle termina sa carrière le
30
novembre 1700. Son mari ne mourut que vingt-huit
alheureusement de son mérite. Elle termina sa carrière le 30 novembre
1700.
Son mari ne mourut que vingt-huit ans plus tard.
Elle termina sa carrière le 30 novembre 1700. Son mari ne mourut que
vingt-huit
ans plus tard. Il avait perdu vers la fin de 1707
ne mourut que vingt-huit ans plus tard. Il avait perdu vers la fin de
1707,
ou au commencement de 1708, un fils issu de leur
plus tard. Il avait perdu vers la fin de 1707, ou au commencement de
1708,
un fils issu de leur mariage, qui refit et acheva
lui appartenait pas, à lui, de refaire et de continuer l’auteur. Des
trois
enfants que Molière avait eus, un seul lui survéc
et la mère et la fille, lui demandant un jour l’âge qu’elle avait : «
Quinze
ans et demi, lui répondit-elle tout bas ; mais, a
d’attendre un parti du choix de sa mère, elle se laissa enlever vers
1685
ou 1686, c’est-à-dire à vingt ou vingt et un ans,
dre un parti du choix de sa mère, elle se laissa enlever vers 1685 ou
1686,
c’est-à-dire à vingt ou vingt et un ans, par le s
de sa mère, elle se laissa enlever vers 1685 ou 1686, c’est-à-dire à
vingt
ou vingt et un ans, par le sieur Rachel de Montal
re, elle se laissa enlever vers 1685 ou 1686, c’est-à-dire à vingt ou
vingt
et un ans, par le sieur Rachel de Montalant, homm
r Rachel de Montalant, homme d’une quarantaine d’années, et veuf avec
quatre
enfants. Mademoiselle Guérin commença quelques po
ent, et allèrent habiter Argenteuil, où madame de Montalant mourut le
23
mai 1723, et son mari le 4 juin 1738, sans avoir
allèrent habiter Argenteuil, où madame de Montalant mourut le 23 mai
1723,
et son mari le 4 juin 1738, sans avoir eu d’enfan
enteuil, où madame de Montalant mourut le 23 mai 1723, et son mari le
4
juin 1738, sans avoir eu d’enfants de leur mariag
, où madame de Montalant mourut le 23 mai 1723, et son mari le 4 juin
1738,
sans avoir eu d’enfants de leur mariage. Ainsi s’
siècle cherchèrent à faire oublier les torts de leurs devanciers. En
1778,
le buste de Molière fut placé dans la salle de le
vaient payé un autre tribut tardif à la mémoire de ce grand homme. En
1769
son éloge fut mis au concours et le prix fut déce
de la lecture publique de l’Éloge de Chamfort, une place honorable à
deux
arrière cousins de Molière ; M. Poquelin, vieilla
rait Piron qu’il avait un frère homme d’esprit. M. Poquelin mourut en
1772,
sans postérité. Quant aux autres membres de cette
époque, nous croyons pouvoir affirmer qu’ils moururent avant l’année
1780.
Depuis plus de quarante ans, le nom de Poquelin e
pouvoir affirmer qu’ils moururent avant l’année 1780. Depuis plus de
quarante
ans, le nom de Poquelin est éteint ; celui de Mol
, le nom de Poquelin est éteint ; celui de Molière vivra toujours. En
1792,
le champ du repos où les restes de l’auteur du Mi
s administrateurs, mus par un louable sentiment d’admiration pour ces
deux
immortels écrivains, ordonnèrent que leurs cendre
pour être déposées dans des monuments dignes de cette destination. Le
6
juillet, on procéda aux fouilles ; mais il est à
soit, les dépouilles funèbres qu’on recueillit comme étant celles des
deux
illustres amis ne reçurent pas les honneurs pour
indifférence, obtint, par ses instantes démarches, la translation des
deux
cercueils aux Petits-Augustins ; elle eut lieu sa
cercueils aux Petits-Augustins ; elle eut lieu sans aucune pompe, le
7
mai 1799. Le musée des Monuments français ayant é
eils aux Petits-Augustins ; elle eut lieu sans aucune pompe, le 7 mai
1799.
Le musée des Monuments français ayant été supprim
le 7 mai 1799. Le musée des Monuments français ayant été supprimé le
6
mars 1817, les restes présumés de Molière et de L
ai 1799. Le musée des Monuments français ayant été supprimé le 6 mars
1817,
les restes présumés de Molière et de La Fontaine,
prise, furent transportés au cimetière du Père-Lachaise. C’est là que
deux
tombeaux voisins, dont les noms qu’ils portent so
nt le plus bel ornement, rappellent à l’étranger qui visite ces lieux
deux
des titres les plus incontestables de notre gloir
mesquinerie de l’hommage funéraire que leur patrie leur a rendu ! Dès
1773,
à l’époque du centenaire de Molière, un artiste i
fondateur de la vraie comédie, du père et de l’ami des comédiens. En
1818
une feuille quotidienne103 proposa de nouveau l’é
nfluences de l’époque étaient peu favorables, et le projet avorta. En
1829
on tenta de le faire revivre, mais le ministre de
ement consacrées aux monuments érigés en l’honneur des souverains. En
1836,
nouveaux efforts et insuccès nouveau. Enfin, en 1
souverains. En 1836, nouveaux efforts et insuccès nouveau. Enfin, en
1838,
cette idée, conçue d’abord, on vient de le voir,
Paris ». La Chambre des Députés et la Chambre des Pairs adoptèrent en
1840
un projet de loi par lequel l’État, venant ajoute
et hommage le caractère qu’il devait avoir, le caractère national. Le
15
janvier 1844, jour anniversaire de la naissance d
le caractère qu’il devait avoir, le caractère national. Le 15 janvier
1844,
jour anniversaire de la naissance de Molière, le
de l’auteur du Misanthrope et du Tartuffe, Boileau ne parla guère que
deux
fois de lui dans ses ouvrages : la première, et c
uste envers le rival, envers le vainqueur du successeur de Plaute. En
1674
parut l’Art poétique. Molière n’y est point oubli
Daunou dans son Discours préliminaire sur l’auteur de ce poème, « les
huit
vers qui le concernent mêlent à la louange une si
point là flétrir ses premiers rôles, C’est de l’esprit embrasser les
deux
pôles, Par deux chemins c’est tendre au même but,
r ses premiers rôles, C’est de l’esprit embrasser les deux pôles, Par
deux
chemins c’est tendre au même but, Et s’illustrer
passe à la vérité les bornes habituelles de la plaisanterie, a trouvé
mille
défauts qui se sont jusqu’à ce jour cachés à tous
à peine refroidis. Boileau, il est vrai, dans son épître adressée, en
1667,
à Racine, n’affaiblit par aucune censure les élog
jamais. Addition Nous avions trouvé (voir les notes des pages
47
et 54) quelques détails relatifs à Molière dans u
s. Addition Nous avions trouvé (voir les notes des pages 47 et
54
) quelques détails relatifs à Molière dans un écri
ge de circonstance, intitulée Le Songe du rêveur, Paris, G. De Luyne,
1660,
qui fait connaître que La Pompe funèbre était de
nteuses, Lui déroba ses Précieuses, Puis à l’imprimeur les livra Pour
cent
francs qu’il en retira. Devons-nous souffrir cet
ameux sieur de Somaize ! …………………………………… — Quoi ! cet écrivain du pont
Neuf
Qui n’a pas pour avoir un œuf ? Dit Apollon tout
st mandé, condamné à faire amende honorable à Molière, puis berné par
quatre
palefreniers dans la couverture du cheval Pégase.
n fait de propriété littéraire, de Neuf-Villenaine et de Somaize.
1.
La Liberté de penser, revue démocratique (décemb
e Somaize. 1. La Liberté de penser, revue démocratique (décembre
1850-mai
1851), t. VII, p. 681. 2. La Liberté de penser,
. 1. La Liberté de penser, revue démocratique (décembre 1850-mai
1851
), t. VII, p. 681. 2. La Liberté de penser, revu
La Liberté de penser, revue démocratique (décembre 1850-mai 1851), t.
VII
, p. 681. 2. La Liberté de penser, revue démocra
penser, revue démocratique (décembre 1850-mai 1851), t. VII, p. 681.
2.
La Liberté de penser, revue démocratique (décemb
VII, p. 681. 2. La Liberté de penser, revue démocratique (décembre
1850-mai
1851), t. VII, p. 685 et 686. 3. Voir ci-après l
681. 2. La Liberté de penser, revue démocratique (décembre 1850-mai
1851
), t. VII, p. 685 et 686. 3. Voir ci-après les no
La Liberté de penser, revue démocratique (décembre 1850-mai 1851), t.
VII
, p. 685 et 686. 3. Voir ci-après les notes des p
enser, revue démocratique (décembre 1850-mai 1851), t. VII, p. 685 et
686.
3. Voir ci-après les notes des pages 87, 192 et
revue démocratique (décembre 1850-mai 1851), t. VII, p. 685 et 686.
3.
Voir ci-après les notes des pages 87, 192 et 207.
i 1851), t. VII, p. 685 et 686. 3. Voir ci-après les notes des pages
87,
192 et 207. 4. Revue française, 1857-58, t. XI,
51), t. VII, p. 685 et 686. 3. Voir ci-après les notes des pages 87,
192
et 207. 4. Revue française, 1857-58, t. XI, p.
VII, p. 685 et 686. 3. Voir ci-après les notes des pages 87, 192 et
207.
4. Revue française, 1857-58, t. XI, p. 109. 5.
p. 685 et 686. 3. Voir ci-après les notes des pages 87, 192 et 207.
4.
Revue française, 1857-58, t. XI, p. 109. 5. Nou
ir ci-après les notes des pages 87, 192 et 207. 4. Revue française,
1857-58,
t. XI, p. 109. 5. Nous aussi nous avons donné de
les notes des pages 87, 192 et 207. 4. Revue française, 1857-58, t.
XI
, p. 109. 5. Nous aussi nous avons donné des list
pages 87, 192 et 207. 4. Revue française, 1857-58, t. XI, p. 109.
5.
Nous aussi nous avons donné des listes d’acteurs,
u’elles semblaient avoir quelque apparence de certitude. (Éditeurs.)
6.
Notes historiques sur la vie de Molière, par Baz
urs.) 6. Notes historiques sur la vie de Molière, par Bazin, Paris,
1851,
p. 82. 7. Œuvres complètes de Molière, avec un
es historiques sur la vie de Molière, par Bazin, Paris, 1851, p. 82.
7.
Œuvres complètes de Molière, avec un travail de
èce, bibliographie, etc., par M. Louis Moland ; Pans, Garnier frères,
1863,
t. I, p. clxix. 8. M. Moland nous reproche (t.
iographie, etc., par M. Louis Moland ; Pans, Garnier frères, 1863, t.
I
, p. clxix. 8. M. Moland nous reproche (t. I, p.
, par M. Louis Moland ; Pans, Garnier frères, 1863, t. I, p. clxix.
8.
M. Moland nous reproche (t. I, p. lii, note) d’av
arnier frères, 1863, t. I, p. clxix. 8. M. Moland nous reproche (t.
I
, p. lii, note) d’avoir reproduit sans vérificatio
ns cette ville, mais nous avions eu le soin de dire à quel journal de
1834
nous faisions cet emprunt, et par là, il s’est tr
yions l’avoir mis en mesure d’éviter quand nous avons imprimé, il y a
dix
ans déjà, que le Registre de La Grange, à la date
rimé, il y a dix ans déjà, que le Registre de La Grange, à la date du
18
janvier 1664, jour de la première représentation
a dix ans déjà, que le Registre de La Grange, à la date du 18 janvier
1664,
jour de la première représentation de cette coméd
ce nouvelle de M. de Brécourt. » — Nous lui signalerons également ces
trois
assertions de sa page xcv, à l’occasion du succès
e vogue des Précieuses ridicules : « Le prix du parterre fut porté de
dix
à quinze sous. Le prix des autres places fut doub
e des Précieuses ridicules : « Le prix du parterre fut porté de dix à
quinze
sous. Le prix des autres places fut doublé. On fu
rix fut, c’est le Registre de La Grange qui le constate, à la date du
18
novembre 1659 : « À l’ordinaire, quinze sous au p
st le Registre de La Grange qui le constate, à la date du 18 novembre
1659
: « À l’ordinaire, quinze sous au parterre. » À l
nge qui le constate, à la date du 18 novembre 1659 : « À l’ordinaire,
quinze
sous au parterre. » À la seconde représentation,
ordinaire, quinze sous au parterre. » À la seconde représentation, le
2
décembre, on en doubla le prix, et le billet de p
oubla le prix, et le billet de parterre fut porté occasionnellement à
trente
sous : « À l’extraordinaire, trente sous », nous
rre fut porté occasionnellement à trente sous : « À l’extraordinaire,
trente
sous », nous apprend également le même Registre,
à cette dernière date. Loret dit de son côté : Pour moi, j’y portai
trente
sous. Maintenant Grimarest avait dit : « Le jour
es fut doublé, comme le pense un commentateur, mais qu’elle fut jouée
deux
fois par jour. À cette époque le spectacle commen
ouée deux fois par jour. À cette époque le spectacle commençait entre
trois
et quatre heures : deux représentations étaient d
fois par jour. À cette époque le spectacle commençait entre trois et
quatre
heures : deux représentations étaient donc possib
À cette époque le spectacle commençait entre trois et quatre heures :
deux
représentations étaient donc possibles ». M. Mola
c possibles ». M. Moland, on le voit, adopte, lui, tout à la fois les
deux
explications contraires. C’est le moyen d’avoir à
profiter de la faculté d’augmenter le prix des billets de parterre de
15
à 30 sous, — des loges du troisième rang de 1 liv
ter de la faculté d’augmenter le prix des billets de parterre de 15 à
30
sous, — des loges du troisième rang de 1 livre à
billets de parterre de 15 à 30 sous, — des loges du troisième rang de
1
livre à 2, — des loges hautes (secondes) de 1 liv
parterre de 15 à 30 sous, — des loges du troisième rang de 1 livre à
2,
— des loges hautes (secondes) de 1 livre 10 sous
es du troisième rang de 1 livre à 2, — des loges hautes (secondes) de
1
livre 10 sous à 3 livres, — de l’amphithéâtre de
oisième rang de 1 livre à 2, — des loges hautes (secondes) de 1 livre
10
sous à 3 livres, — de l’amphithéâtre de 3 livres
ng de 1 livre à 2, — des loges hautes (secondes) de 1 livre 10 sous à
3
livres, — de l’amphithéâtre de 3 livres à 5 livre
utes (secondes) de 1 livre 10 sous à 3 livres, — de l’amphithéâtre de
3
livres à 5 livres 10 sous. Les places de théâtre
des) de 1 livre 10 sous à 3 livres, — de l’amphithéâtre de 3 livres à
5
livres 10 sous. Les places de théâtre et de premi
livre 10 sous à 3 livres, — de l’amphithéâtre de 3 livres à 5 livres
10
sous. Les places de théâtre et de premières loges
re et de premières loges demeuraient toujours à leur prix ordinaire :
5
livres 10 sous. C’est ce que fait voir le registr
premières loges demeuraient toujours à leur prix ordinaire : 5 livres
10
sous. C’est ce que fait voir le registre de compt
t ce que fait voir le registre de compte tenu par Hubert pour l’année
1672.
Quant aux deux représentations par jour, elles so
ir le registre de compte tenu par Hubert pour l’année 1672. Quant aux
deux
représentations par jour, elles sont démenties et
âtres. Ces ordonnances faisaient aux comédiens, de la Saint-Martin au
15
février, « très expresses inhibitions et défenses
u 15 février, « très expresses inhibitions et défenses de jouer passé
quatre
heures et demie au plus tard ; et, pour cet effet
joint de commencer précisément, avec telles personnes qu’il y aura, à
deux
heures après-midi et finir à ladite heure ; que l
de baptême inscrit sur les registres de Saint-Eustache, à la date du
1er
octobre 1672, on ne voit pas figurer madame de Fo
inscrit sur les registres de Saint-Eustache, à la date du 1er octobre
1672,
on ne voit pas figurer madame de Fouquières, mais
rine-Marguerite Mignard, fille de Pierre Mignard, peintre du Roi ».
9.
Turlupinade. 10. Élomire, anagramme de Molière.
ignard, fille de Pierre Mignard, peintre du Roi ». 9. Turlupinade.
10.
Élomire, anagramme de Molière. 11. Cette opinio
tre du Roi ». 9. Turlupinade. 10. Élomire, anagramme de Molière.
11.
Cette opinion est très bien soutenue et établie d
n droit, intitulé « Molière avocat », et inséré au Constitutionnel du
30
juin 1852. 12. Nous devons dire que cette tradit
intitulé « Molière avocat », et inséré au Constitutionnel du 30 juin
1852.
12. Nous devons dire que cette tradition, si anc
lé « Molière avocat », et inséré au Constitutionnel du 30 juin 1852.
12.
Nous devons dire que cette tradition, si ancienne
, du passage de Molière et de sa troupe à Bordeaux au commencement de
1646
vient d’être combattue par M. Arnaud-Delcheverry,
M. Arnaud-Delcheverry, archiviste de la mairie de cette ville, pages
12
et suivantes de son Histoire des théâtres de Bord
s 12 et suivantes de son Histoire des théâtres de Bordeaux, Bordeaux,
1860,
in-8. Cet historien déclare qu’après l’avoir préc
ats, qu’il a récemment pris le soin de compulser, n’en eût rien dit.
13.
Tout récemment, dans la Revue de Bretagne et de V
a rédaction du registre ne se seraient pas produits dans son esprit.
14.
Histoire des pérégrinations de Molière dans le L
grinations de Molière dans le Languedoc, par M. Emm. Raymond ; Paris,
1858,
p. 49. 15. On ne donnait alors, et plus tard enc
Molière dans le Languedoc, par M. Emm. Raymond ; Paris, 1858, p. 49.
15.
On ne donnait alors, et plus tard encore, aux act
r les femmes bourgeoises qui se font appeler Madame, par le chevalier
D
*** (de Trissart), Paris, Beugnié, 1713. Nous adop
appeler Madame, par le chevalier D*** (de Trissart), Paris, Beugnié,
1713.
Nous adopterons cet usage ; autrement notre texte
renferme offriraient des disparates embarrassantes pour le lecteur.
16.
Ceux* qui ont affirmé récemment, avec une assuran
tenus par Mgr le prince de Conti en la ville de Montpellier, l’année
1654,
ouvrage qu’il dédia au prince ; et que l’année d’
S. A. S. Mgr le prince de Conti, tenant les États à Pézenas, l’année
1655,
il dit à leur protecteur, dans l’épître dédicatoi
qui parle. * Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, Paris,
1861,
p. 45, et M. Emm. Raymond, Histoire des pérégrina
toire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, p. 68, note.
17.
Histoire des pérégrinations de Molière dans le L
es pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages
103-106.
On doit à l’auteur de cet ouvrage la découverte d
nd, pages 103-106. On doit à l’auteur de cet ouvrage la découverte de
quatre
renseignements nouveaux sur Molière et ses camara
nouveaux sur Molière et ses camarades, celui que nous avons cité page
14,
celui-ci et deux autres que nous mentionnerons to
ière et ses camarades, celui que nous avons cité page 14, celui-ci et
deux
autres que nous mentionnerons tout à l’heure. Mal
autres que nous mentionnerons tout à l’heure. Malheureusement, de ces
quatre
faits, l’auteur a cru devoir faire un volume qu’i
a transcrites sans s’être bien rendu compte de leur portée, consacre
cinquante
pages à plaider pour Dufort contre Molière qu’il
d’ingratitude et d’indélicatesse, et à réclamer le remboursement des
5
000 francs de la succession de celui-ci. 18. Hi
’ingratitude et d’indélicatesse, et à réclamer le remboursement des 5
000
francs de la succession de celui-ci. 18. Histoi
amer le remboursement des 5 000 francs de la succession de celui-ci.
18.
Histoire des pérégrinations de Molière dans le L
es pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages
119-120.
19. Histoire des pérégrinations de Molière dans
nations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages 119-120.
19.
Histoire des pérégrinations de Molière dans le L
es pérégrinations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages
120-122.
20. Notes historiques sur la vie de Molière, pa
nations de Molière dans le Languedoc, par M. Raymond, pages 120-122.
20.
Notes historiques sur la vie de Molière, par Baz
0-122. 20. Notes historiques sur la vie de Molière, par Bazin, page
49.
21. Préface de l’édition des Œuvres de Molière d
. 20. Notes historiques sur la vie de Molière, par Bazin, page 49.
21.
Préface de l’édition des Œuvres de Molière de 168
ar Bazin, page 49. 21. Préface de l’édition des Œuvres de Molière de
1682.
22. Extrait des receptes et des affaires de la
n, page 49. 21. Préface de l’édition des Œuvres de Molière de 1682.
22.
Extrait des receptes et des affaires de la Coméd
des receptes et des affaires de la Comédie depuis Pasques de l’année
1659,
appartenant au sieur de La Grange, l’un des coméd
Roy ; manuscrit faisant partie des archives de la Comédie-Française.
23.
Aujourd’hui la rue du Louvre. 24. Chappuzeau nou
archives de la Comédie-Française. 23. Aujourd’hui la rue du Louvre.
24.
Chappuzeau nous fait connaître les avantages des
l est bon de remarquer ici que les comédiens n’ouvrent le théâtre que
trois
jours de la semaine, le vendredi, le dimanche et
ges que lui donnent l’annonce et l’affiche. On ne joue la comédie que
trois
jours de la semaine pour donner quelque relâche a
es divertissements demandent aussi les leurs. » (Le Théâtre français,
1674,
in-12, p. 90.) 25. Voir précédemment, p. 14. 26
andent aussi les leurs. » (Le Théâtre français, 1674, in-12, p. 90.)
25.
Voir précédemment, p. 14. 26. Lettre sur Molièr
héâtre français, 1674, in-12, p. 90.) 25. Voir précédemment, p. 14.
26.
Lettre sur Molière et les comédiens de son temps
re sur Molière et les comédiens de son temps ; Mercure de France, mai
1740,
p. 847. La Lettre ajoute que De Brie succéda à Du
Après la mort de celui-ci peut-être ; mais après son départ de Pâques
1659,
tous les historiens disent que Jodelet, appelé du
ans la troupe de Molière, le fut précisément pour remplacer Du Parc.
27.
La pistole valait alors onze livres. 28. Corneil
fut précisément pour remplacer Du Parc. 27. La pistole valait alors
onze
livres. 28. Corneille, éloigné de la scène depui
nt pour remplacer Du Parc. 27. La pistole valait alors onze livres.
28.
Corneille, éloigné de la scène depuis l’échec de
es. 28. Corneille, éloigné de la scène depuis l’échec de Pertharite (
1653
), déterminé par Fouquet à rentrer dans la carrièr
par Fouquet à rentrer dans la carrière, fit représenter son Œdipe le
24
janvier 1659. 29. Histoire du Théâtre-Français,
t à rentrer dans la carrière, fit représenter son Œdipe le 24 janvier
1659.
29. Histoire du Théâtre-Français, par les frère
trer dans la carrière, fit représenter son Œdipe le 24 janvier 1659.
29.
Histoire du Théâtre-Français, par les frères Par
1659. 29. Histoire du Théâtre-Français, par les frères Parfait, t.
VII
, p. 334, et t. VIII, p. 255. 30. Les Œuvres de
re du Théâtre-Français, par les frères Parfait, t. VII, p. 334, et t.
VIII
, p. 255. 30. Les Œuvres de M. Scarron, Rouen e
ançais, par les frères Parfait, t. VII, p. 334, et t. VIII, p. 255.
30.
Les Œuvres de M. Scarron, Rouen et Paris, 1663,
et t. VIII, p. 255. 30. Les Œuvres de M. Scarron, Rouen et Paris,
1663,
t. Ier, p. 254-256. Voici comment Scarron, dans l
is à nous tout argent est bon, Tant des prudes, que des coquettes.
31.
Autre fille de madame de Rambouillet et première
an, lequel devint, en troisièmes noces, gendre de madame de Sévigné.
32.
Toutefois, une anecdote curieuse, racontée par Co
e Ménage sembla désarmer Molière pour un long temps, et ce ne fut que
douze
ans plus tard, dans Les Femmes savantes, qu’il se
tin, qui se réjouissait tant ici de l’y voir, mais de l’y voir seul.
33.
Grand Dictionnaire historique des précieuses, Pa
voir seul. 33. Grand Dictionnaire historique des précieuses, Paris,
1661,
t. Il, p. 77 et suiv. 34. Bien que nous ayons dé
nnaire historique des précieuses, Paris, 1661, t. Il, p. 77 et suiv.
34.
Bien que nous ayons déjà publié ces détails il y
. 38 de l’une et p. 50 de l’autre des éditions de ce pamphlet, toutes
deux
publiées chez Jean Ribou, en 1660, in-12. 35. De
des éditions de ce pamphlet, toutes deux publiées chez Jean Ribou, en
1660,
in-12. 35. De M. Quinault. (Note de Loret.) 36.
e ce pamphlet, toutes deux publiées chez Jean Ribou, en 1660, in-12.
35.
De M. Quinault. (Note de Loret.) 36. « Mais qu’
ez Jean Ribou, en 1660, in-12. 35. De M. Quinault. (Note de Loret.)
36.
« Mais qu’attendre d’un homme qui tire toute sa
un acte, en prose, par Somaize, non représentée ; Paris, Jean Ribou,
1660,
in-12.) 37. Le privilège du Roi accordé à Guilla
ose, par Somaize, non représentée ; Paris, Jean Ribou, 1660, in-12.)
37.
Le privilège du Roi accordé à Guillaume de Luyne
n-12.) 37. Le privilège du Roi accordé à Guillaume de Luyne était du
19
janvier. Dans la mention qui en est faite sur le
thèque impériale, département des manuscrits), à la date du lendemain
20,
l’auteur de la pièce est nommé : le sieur de Moli
s, Charles de Sercy et Claude Barbin, en firent paraître dans l’année
1660,
le nom de l’auteur n’est pas plus donné dans l’ex
e cependant à la première personne. La Bibliothèque impériale possède
trois
éditions des Précieuses ridicules sous cette date
t que dans celle qui, à nos yeux, est bien évidemment la dernière des
trois
, que l’extrait imprimé du privilège le nomme, et
é du privilège le nomme, et encore l’appelle-t-il : le sieur Molier.
38.
La Pompe funèbre de M. Scarron, Paris, 1660, p.
-t-il : le sieur Molier. 38. La Pompe funèbre de M. Scarron, Paris,
1660,
p. 8, imprimé à la suite de Le Burlesque malade,
Paris, 1660, p. 8, imprimé à la suite de Le Burlesque malade, Paris,
1660,
in-12. — De Luyne et ses coassociés pour le privi
Dictionnaires des précieuses, fit paraître chez Jean Ribou, en avril
1660,
Les Précieuses ridicules mises en vers. Somaize d
de Molière ; la version ne fut pas interdite, et se réimprima en mars
1661.
Du reste, Somaize avait bien pu, dans sa demande
, par le registre de la chambre syndicale des libraires, à la date du
7
avril 1660, que le privilège avait été obtenu le
registre de la chambre syndicale des libraires, à la date du 7 avril
1660,
que le privilège avait été obtenu le 3 mars « pou
ires, à la date du 7 avril 1660, que le privilège avait été obtenu le
3
mars « pour un livre intitulé Le Procès des préci
e assez à une fusion de titres emmêlés en un seul par préméditation.
39.
Le Burlesque malade, Paris, 1660, p. 16. 40. «
mêlés en un seul par préméditation. 39. Le Burlesque malade, Paris,
1660,
p. 16. 40. « Notre amé Jean-Baptiste Poquelin de
ul par préméditation. 39. Le Burlesque malade, Paris, 1660, p. 16.
40.
« Notre amé Jean-Baptiste Poquelin de Molière… no
depuis peu composé pour notre divertissement une pièce de théâtre en
trois
actes intitulée L’École des maris, qu’il désirera
re d’un nommé Ribou, libraire-imprimeur, en faveur de l’exposant… »
41.
M. de Ratabon était évidemment d’un caractère trè
ns notre langage moderne, nous appelons la liberté du travail. « Le
6
de ce mois, dit la Gazette du 13 novembre 1660, o
ppelons la liberté du travail. « Le 6 de ce mois, dit la Gazette du
13
novembre 1660, on a publié ici des défenses à tou
iberté du travail. « Le 6 de ce mois, dit la Gazette du 13 novembre
1660,
on a publié ici des défenses à toutes personnes d
ans permission expresse du Roi, scellée du grand sceau, sous peine de
10
000 livres d’amende, applicables à l’hôpital géné
permission expresse du Roi, scellée du grand sceau, sous peine de 10
000
livres d’amende, applicables à l’hôpital général,
ébauche par ses prédécesseurs se trouve accompli sous son règne. »
42.
À l’occasion d’une de ces représentations au Louv
ntations au Louvre, on lit dans le Registre de La Grange : « Le mardi
26
octobre (1660). L’Étourdi et Les Précieuses, au L
Louvre, on lit dans le Registre de La Grange : « Le mardi 26 octobre (
1660
). L’Étourdi et Les Précieuses, au Louvre, chez So
er de ladite chaise de Son Éminence. Sa Majesté gratifia la troupe de
trois
mille livres. » La Grange ajoute en marge : « Not
ladite chaise de Son Éminence. Sa Majesté gratifia la troupe de trois
mille
livres. » La Grange ajoute en marge : « Nota que
gnito, et qu’il rentrait de temps en temps dans un grand cabinet. »
43.
Dès le 9 juillet, Molière, pour n’être plus devan
u’il rentrait de temps en temps dans un grand cabinet. » 43. Dès le
9
juillet, Molière, pour n’être plus devancé par le
btint le privilège dont nous avons donné un extrait au bas de la page
57,
et L’École des maris, achevée d’imprimer le 20 ao
ait au bas de la page 57, et L’École des maris, achevée d’imprimer le
20
août, parut, dédiée à Monsieur, chez De Sercy et
août, parut, dédiée à Monsieur, chez De Sercy et ses cessionnaires.
44.
Réponse à l’Impromptu de Versailles, ou la Venge
de Versailles, ou la Vengeance des Marquis (par De Visé), scène vii.
45.
Épître dédicatoire des Fâcheux. 46. Le Bourgeoi
rquis (par De Visé), scène vii. 45. Épître dédicatoire des Fâcheux.
46.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. ix. 47.
Épître dédicatoire des Fâcheux. 46. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. ix. 47. « Au sieur Chapelain, le plus grand
toire des Fâcheux. 46. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. ix.
47.
« Au sieur Chapelain, le plus grand poète françai
grand poète français qui ait jamais été, et du plus solide jugement,
3
000 livres. » 48. De Visé, dans Zélinde, ou la V
rand poète français qui ait jamais été, et du plus solide jugement, 3
000
livres. » 48. De Visé, dans Zélinde, ou la Vérit
çais qui ait jamais été, et du plus solide jugement, 3 000 livres. »
48.
De Visé, dans Zélinde, ou la Véritable Critique d
itique de la Critique, comédie non représentée, achevée d’imprimer le
4
août 1663, suppose une lettre adressée à Molière
de la Critique, comédie non représentée, achevée d’imprimer le 4 août
1663,
suppose une lettre adressée à Molière et par lui
de vraisemblable : la conduite du duc de La Feuillade va le prouver.
49.
Zélinde, comédie (par De Visé), sc. vii, p. 61 ;
rouver. 49. Zélinde, comédie (par De Visé), sc. vii, p. 61 ; Paris,
1663,
in-12. 50. Déjà, au mois de décembre précédent,
élinde, comédie (par De Visé), sc. vii, p. 61 ; Paris, 1663, in-12.
50.
Déjà, au mois de décembre précédent, Loret, dans
éjà, au mois de décembre précédent, Loret, dans sa Muse historique du
9,
avait manifesté un étonnement non moins grand pou
ns grand pour un voyage du Roi à Dunkerque, aller et retour, dont les
deux
fois « septante lieues » avaient été parcourues p
r un voyage du Roi à Dunkerque, aller et retour, dont les deux fois «
septante
lieues » avaient été parcourues par ce prince en
esogne. Voilà quel était alors le nec plus ultra de la locomotion.
51.
Le théâtre du Palais-Royal fit relâche du 17 au 2
tra de la locomotion. 51. Le théâtre du Palais-Royal fit relâche du
17
au 24 août, et ne donna ensuite, jusqu’au 11 sept
la locomotion. 51. Le théâtre du Palais-Royal fit relâche du 17 au
24
août, et ne donna ensuite, jusqu’au 11 septembre,
ais-Royal fit relâche du 17 au 24 août, et ne donna ensuite, jusqu’au
11
septembre, que des pièces où Molière ne jouait pa
ite, jusqu’au 11 septembre, que des pièces où Molière ne jouait pas.
52.
Le Registre de La Thorillière de 1663-64 (archive
ièces où Molière ne jouait pas. 52. Le Registre de La Thorillière de
1663-64
(archives de la Comédie-Française) est en désacco
) est en désaccord sur ce point avec celui de La Grange ; l’un dit le
16,
l’autre le 11. Mais la Gazette nous prouve que l’
ord sur ce point avec celui de La Grange ; l’un dit le 16, l’autre le
11.
Mais la Gazette nous prouve que l’exactitude est
mier. Le Roi et la cour n’arrivèrent de Vincennes à Versailles que le
15.
53. Sc. iii de La Vengeance des Marquis, p. 113
Le Roi et la cour n’arrivèrent de Vincennes à Versailles que le 15.
53.
Sc. iii de La Vengeance des Marquis, p. 113 et 11
ailles que le 15. 53. Sc. iii de La Vengeance des Marquis, p. 113 et
114
des Diversités galantes, Paris, 1664, in-12. 54.
Vengeance des Marquis, p. 113 et 114 des Diversités galantes, Paris,
1664,
in-12. 54. La Pratique du théâtre, par l’abbé D
Marquis, p. 113 et 114 des Diversités galantes, Paris, 1664, in-12.
54.
La Pratique du théâtre, par l’abbé D’Aubignac.
s, 1664, in-12. 54. La Pratique du théâtre, par l’abbé D’Aubignac.
55.
Hémistiche de L’École des femmes, act. Il, sc. vi
D’Aubignac. 55. Hémistiche de L’École des femmes, act. Il, sc. vi.
56.
Act. II, sc. vi. 57. Molière avait fait dire en
ac. 55. Hémistiche de L’École des femmes, act. Il, sc. vi. 56. Act.
II
, sc. vi. 57. Molière avait fait dire en effet à
stiche de L’École des femmes, act. Il, sc. vi. 56. Act. II, sc. vi.
57.
Molière avait fait dire en effet à Du Croisy, de
oisir tout exprès un auteur sans réputation. » Boursault prend durant
trois
pages cette dédaigneuse plaisanterie au sérieux,
roclame bien haut qu’il y aurait injustice à lui disputer son œuvre.
58.
Un biographe de Corneille a imprimé tout récemmen
Bruyère, augmentée de portraits nouveaux jusqu’à la neuvième édition (
1696
), il est au moins bien évident pour tout le monde
remière publication. Or, la première édition des Caractères a paru en
1688,
et c’est trente ans auparavant, le 28 avril 1659,
tion. Or, la première édition des Caractères a paru en 1688, et c’est
trente
ans auparavant, le 28 avril 1659, que Molière jou
ion des Caractères a paru en 1688, et c’est trente ans auparavant, le
28
avril 1659, que Molière joua pour la première foi
aractères a paru en 1688, et c’est trente ans auparavant, le 28 avril
1659,
que Molière joua pour la première fois Héraclius,
es du « contemporain », qui pouvait fort bien n’être pas encore né en
1659,
et dont le dire, démenti par une représentation n
eprésentation nouvelle, aurait mérité de n’être pas tiré de l’oubli.
59.
Oraison funèbre de Molière, Mercure galant, t. I
tiré de l’oubli. 59. Oraison funèbre de Molière, Mercure galant, t.
IV
, 1re année, p. 302. 60. Voir Le Mercure de Franc
de l’oubli. 59. Oraison funèbre de Molière, Mercure galant, t. IV,
1re
année, p. 302. 60. Voir Le Mercure de France, ma
raison funèbre de Molière, Mercure galant, t. IV, 1re année, p. 302.
60.
Voir Le Mercure de France, mai 1740, p. 840. — Le
galant, t. IV, 1re année, p. 302. 60. Voir Le Mercure de France, mai
1740,
p. 840. — Lettre sur la vie et les ouvrages de Mo
olière et sur les comédiens de son temps (par mademoiselle Poisson).
61.
À la fin de 1663, les cantons suisses envoyèrent
s comédiens de son temps (par mademoiselle Poisson). 61. À la fin de
1663,
les cantons suisses envoyèrent des ambassadeurs p
de grands honneurs sur toute la route, firent leur entrée à Paris le
9
novembre par le faubourg Saint-Antoine, entrée qu
étail desquelles la Gazette consacra ses feuilles extraordinaires des
16
et 23 novembre. Nous trouvons dans une lettre de
desquelles la Gazette consacra ses feuilles extraordinaires des 16 et
23
novembre. Nous trouvons dans une lettre de Racine
René bien enfariné, parce qu’ils n’entendaient point le français. »
62.
« Le ballet et les ornements », comme dit La Gra
gistre de La Grange : « Donné à M. de Beauchamp pour faire le ballet,
cinquante
louis d’or, ci 550 livres » ; puis, en rapprochan
onné à M. de Beauchamp pour faire le ballet, cinquante louis d’or, ci
550
livres » ; puis, en rapprochant ce Registre de ce
ce Registre de celui de La Thorillière, on trouve : Pour bas de soie,
135
livres 15 sous ; pour escarpins, 45 livres ; au t
de celui de La Thorillière, on trouve : Pour bas de soie, 135 livres
15
sous ; pour escarpins, 45 livres ; au tailleur, M
e, on trouve : Pour bas de soie, 135 livres 15 sous ; pour escarpins,
45
livres ; au tailleur, M. Baraillon, pour vingt et
15 sous ; pour escarpins, 45 livres ; au tailleur, M. Baraillon, pour
vingt
et un habits achetés, 253 livres ; plus quatre au
livres ; au tailleur, M. Baraillon, pour vingt et un habits achetés,
253
livres ; plus quatre autres, 66 livres ; plus pou
eur, M. Baraillon, pour vingt et un habits achetés, 253 livres ; plus
quatre
autres, 66 livres ; plus pour solde, 22 livres. E
on, pour vingt et un habits achetés, 253 livres ; plus quatre autres,
66
livres ; plus pour solde, 22 livres. Enfin, à la
chetés, 253 livres ; plus quatre autres, 66 livres ; plus pour solde,
22
livres. Enfin, à la dépense quotidienne extraordi
22 livres. Enfin, à la dépense quotidienne extraordinaire figurent :
neuf
danseurs, pour 45 livres ; douze violons, pour 36
la dépense quotidienne extraordinaire figurent : neuf danseurs, pour
45
livres ; douze violons, pour 36 livres ; puis un
quotidienne extraordinaire figurent : neuf danseurs, pour 45 livres ;
douze
violons, pour 36 livres ; puis un joueur de clave
inaire figurent : neuf danseurs, pour 45 livres ; douze violons, pour
36
livres ; puis un joueur de clavecin, puis un haut
entendu, pour tout ce monde, le surcroît de feu et de « chandelle ».
63.
Le pamphlet du curé de Saint-Barthélemy se trouve
royale ». Louis XIV, la Reine et leur cour partirent de Versailles le
14
mai 1664 et arrivèrent à Fontainebleau le 16. Ils
». Louis XIV, la Reine et leur cour partirent de Versailles le 14 mai
1664
et arrivèrent à Fontainebleau le 16. Ils en repar
rtirent de Versailles le 14 mai 1664 et arrivèrent à Fontainebleau le
16.
Ils en repartirent le 13 août. Molière date son p
4 mai 1664 et arrivèrent à Fontainebleau le 16. Ils en repartirent le
13
août. Molière date son placet à son tour par ce q
Créquy, son ambassadeur, le cardinal-légat arriva à Fontainebleau le
12
juillet 1664, vint faire son entrée à Paris le 9
n ambassadeur, le cardinal-légat arriva à Fontainebleau le 12 juillet
1664,
vint faire son entrée à Paris le 9 août, et en re
à Fontainebleau le 12 juillet 1664, vint faire son entrée à Paris le
9
août, et en repartit le 12 du même mois pour alle
llet 1664, vint faire son entrée à Paris le 9 août, et en repartit le
12
du même mois pour aller se réembarquer. Molière e
our aller se réembarquer. Molière et sa troupe avaient été appelés le
21
juillet à Fontainebleau, où ils séjournèrent et j
elés le 21 juillet à Fontainebleau, où ils séjournèrent et jouèrent «
quatre
fois La Princesse d’Élide devant M. le légat et u
son Registre. C’est évidemment là et alors que la lecture eut lieu.
64.
On trouve sur le Registre de La Thorillière, à la
lieu. 64. On trouve sur le Registre de La Thorillière, à la date du
6
de ce mois de juin : « À La Fontaine, portier, 3
llière, à la date du 6 de ce mois de juin : « À La Fontaine, portier,
3
livres » ; au 17 : « Au portier blessé, 12 livres
e du 6 de ce mois de juin : « À La Fontaine, portier, 3 livres » ; au
17
: « Au portier blessé, 12 livres » ; au 29 : « Po
: « À La Fontaine, portier, 3 livres » ; au 17 : « Au portier blessé,
12
livres » ; au 29 : « Pour le portier blessé, 9 li
, portier, 3 livres » ; au 17 : « Au portier blessé, 12 livres » ; au
29
: « Pour le portier blessé, 9 livres » ; et encor
« Au portier blessé, 12 livres » ; au 29 : « Pour le portier blessé,
9
livres » ; et encore à la représentation suivante
t encore à la représentation suivante, qui n’eut lieu que le vendredi
4
juillet, peut-être parce que quelque invasion ava
être parce que quelque invasion avait forcé de faire relâche le mardi
1er
: « Au frère de La Fontaine, blessé, 11 livres ».
cé de faire relâche le mardi 1er : « Au frère de La Fontaine, blessé,
11
livres ». En outre, la troupe prit le soin de fai
eprésentation de ce mois ; puis enfin en regard des frais de celle du
24,
on lit : « Pour l’exempt, 20 livres ; pour le pro
s enfin en regard des frais de celle du 24, on lit : « Pour l’exempt,
20
livres ; pour le procureur, 20 livres ». 65. Le
celle du 24, on lit : « Pour l’exempt, 20 livres ; pour le procureur,
20
livres ». 65. Lettre sur les Observations d’une
n lit : « Pour l’exempt, 20 livres ; pour le procureur, 20 livres ».
65.
Lettre sur les Observations d’une comédie du sie
die du sieur Molière intitulée le Festin de Pierre. Paris, G. Quinet,
1663,
in-12, p. 12. 66. La cinquième représentation, d
intitulée le Festin de Pierre. Paris, G. Quinet, 1663, in-12, p. 12.
66.
La cinquième représentation, donnée le mardi 24 f
1663, in-12, p. 12. 66. La cinquième représentation, donnée le mardi
24
février, produisit 2 390 livres. Les quinze repré
6. La cinquième représentation, donnée le mardi 24 février, produisit
2
390 livres. Les quinze représentations, du 15 fév
La cinquième représentation, donnée le mardi 24 février, produisit 2
390
livres. Les quinze représentations, du 15 février
présentation, donnée le mardi 24 février, produisit 2 390 livres. Les
quinze
représentations, du 15 février au 20 mars, valure
di 24 février, produisit 2 390 livres. Les quinze représentations, du
15
février au 20 mars, valurent à la troupe 19 614 l
produisit 2 390 livres. Les quinze représentations, du 15 février au
20
mars, valurent à la troupe 19 614 livres, soit, à
uinze représentations, du 15 février au 20 mars, valurent à la troupe
19
614 livres, soit, à la moyenne, 1 307 livres 12 s
ze représentations, du 15 février au 20 mars, valurent à la troupe 19
614
livres, soit, à la moyenne, 1 307 livres 12 sous
r au 20 mars, valurent à la troupe 19 614 livres, soit, à la moyenne,
1
307 livres 12 sous par jour, et à chacun des quat
au 20 mars, valurent à la troupe 19 614 livres, soit, à la moyenne, 1
307
livres 12 sous par jour, et à chacun des quatorze
valurent à la troupe 19 614 livres, soit, à la moyenne, 1 307 livres
12
sous par jour, et à chacun des quatorze acteurs,
s, soit, à la moyenne, 1 307 livres 12 sous par jour, et à chacun des
quatorze
acteurs, pour sa part, en dehors des deux parts d
r jour, et à chacun des quatorze acteurs, pour sa part, en dehors des
deux
parts de l’auteur, 1 030 livres 10 sous, rémunéra
quatorze acteurs, pour sa part, en dehors des deux parts de l’auteur,
1
030 livres 10 sous, rémunération considérable pou
atorze acteurs, pour sa part, en dehors des deux parts de l’auteur, 1
030
livres 10 sous, rémunération considérable pour ci
urs, pour sa part, en dehors des deux parts de l’auteur, 1 030 livres
10
sous, rémunération considérable pour cinq semaine
rts de l’auteur, 1 030 livres 10 sous, rémunération considérable pour
cinq
semaines seulement. 67. Nous trouvons la mention
res 10 sous, rémunération considérable pour cinq semaines seulement.
67.
Nous trouvons la mention suivante de ce privilège
is (Bibliothèque impériale, département des manuscrits), à la date du
24
mai 1665 : « Ce même jour, le sieur Louis Billain
liothèque impériale, département des manuscrits), à la date du 24 mai
1665
: « Ce même jour, le sieur Louis Billaine, marcha
ris, nous a présenté un privilège qu’il a obtenu pour l’impression de
deux
pièces de théâtre : l’une intitulée Arsace, roi d
de Pierre, par le sieur de Molière. Accordé pour sept ans, en date du
11
de mars 1665, et signé Justel. » 68. Observati
par le sieur de Molière. Accordé pour sept ans, en date du 11 de mars
1665,
et signé Justel. » 68. Observations sur une co
cordé pour sept ans, en date du 11 de mars 1665, et signé Justel. »
68.
Observations sur une comédie de Molière, intitul
lée le Festin de Pierre, par le sieur de Rochemont ; Paris, Pépingué,
1665,
in-12. 69. Nous avons déjà cité la Lettre sur le
de Pierre, par le sieur de Rochemont ; Paris, Pépingué, 1665, in-12.
69.
Nous avons déjà cité la Lettre sur les Observatio
uchant le Festin de Pierre de monsieur de Molière ; Paris, G. Quinet,
1665,
in-12. 70. On avait jusqu’ici toujours fixé cett
in de Pierre de monsieur de Molière ; Paris, G. Quinet, 1665, in-12.
70.
On avait jusqu’ici toujours fixé cette représenta
0. On avait jusqu’ici toujours fixé cette représentation à la Cour au
16
; le manuscrit intitulé Journal des Bienfaits du
Cour au 16 ; le manuscrit intitulé Journal des Bienfaits du Roi (tome
I
, 1661-70, septembre 1665) la fixe au 15. Le Regis
r au 16 ; le manuscrit intitulé Journal des Bienfaits du Roi (tome I,
1661-70,
septembre 1665) la fixe au 15. Le Registre de La
rit intitulé Journal des Bienfaits du Roi (tome I, 1661-70, septembre
1665
) la fixe au 15. Le Registre de La Grange établit
nal des Bienfaits du Roi (tome I, 1661-70, septembre 1665) la fixe au
15.
Le Registre de La Grange établit aussi qu’elle es
15. Le Registre de La Grange établit aussi qu’elle est antérieure au
16,
mais il donnerait à penser qu’elle dut avoir lieu
ntérieure au 16, mais il donnerait à penser qu’elle dut avoir lieu le
14.
71. Nous trouvons dans la correspondance manuscr
eure au 16, mais il donnerait à penser qu’elle dut avoir lieu le 14.
71.
Nous trouvons dans la correspondance manuscrite d
trouvons dans la correspondance manuscrite de Chapelain, à la date du
22
juin 1663, une lettre de lui à Colbert, renferman
dans la correspondance manuscrite de Chapelain, à la date du 22 juin
1663,
une lettre de lui à Colbert, renfermant le passag
a Seine, sur la liste soumise par Colbert au Roi, pour une pension de
800
livres : chiffre énorme, si l’on tient compte du
u poète et si l’on ne perd pas de vue que Molière n’y figura que pour
1
000 livres. 72. Fils de La Mothe le Vayer, mort
poète et si l’on ne perd pas de vue que Molière n’y figura que pour 1
000
livres. 72. Fils de La Mothe le Vayer, mort en s
’on ne perd pas de vue que Molière n’y figura que pour 1 000 livres.
72.
Fils de La Mothe le Vayer, mort en septembre 1664
pour 1 000 livres. 72. Fils de La Mothe le Vayer, mort en septembre
1664.
Il avait été précepteur de Monsieur. Boileau lui
sies galantes, de la comtesse de La Suze et de Pellisson ; Amsterdam,
1695,
in-12, 2e partie, p. 270. Omis ensuite dans l’édi
, de la comtesse de La Suze et de Pellisson ; Amsterdam, 1695, in-12,
2e
partie, p. 270. Omis ensuite dans l’édition du mê
12, 2e partie, p. 270. Omis ensuite dans l’édition du même Recueil de
1741,
ce sonnet n’a pris place que longtemps après dans
onnet n’a pris place que longtemps après dans les Œuvres de Molière.
73.
Mémoires sur Madame de Sévigné, par Walckenaer,
res de Molière. 73. Mémoires sur Madame de Sévigné, par Walckenaer,
2e
partie, p. 290 et 503. 74. Nous croyons devoir c
Mémoires sur Madame de Sévigné, par Walckenaer, 2e partie, p. 290 et
503.
74. Nous croyons devoir changer quelques-unes de
res sur Madame de Sévigné, par Walckenaer, 2e partie, p. 290 et 503.
74.
Nous croyons devoir changer quelques-unes des exp
s devoir changer quelques-unes des expressions du récit de Voltaire.
75.
Disons tout de suite, pour en finir avec cette pi
ec ce caractère, on chercha après son entrée à Paris, qui eut lieu le
26
août 1668, à lui donner tous les plaisirs que not
ractère, on chercha après son entrée à Paris, qui eut lieu le 26 août
1668,
à lui donner tous les plaisirs que notre capitale
ner tous les plaisirs que notre capitale pouvait fournir alors, et le
18
septembre on le mena au théâtre du Palais-Royal,
et à son fils, à qui on présenta, sur l’amphithéâtre où ils étaient,
deux
grands bassins, l’un de confitures sèches et l’au
rdinaire du Roi, touchant les Moscovites arrivés en France en l’année
1668,
p. 28. — Bibliothèque impériale, département des
thèque impériale, département des manuscrits, Supplément français, nº
2566.
) 76. La recette de la première représentation se
mpériale, département des manuscrits, Supplément français, nº 2566.)
76.
La recette de la première représentation se monta
s, nº 2566.) 76. La recette de la première représentation se monta à
2
860 livres ; jamais spectacle n’avait fait encais
nº 2566.) 76. La recette de la première représentation se monta à 2
860
livres ; jamais spectacle n’avait fait encaisser
upe du Palais-Royal. La part de chaque sociétaire fut, ce jour-là, de
208
livres 4 sous. Les recettes continuèrent à être c
is-Royal. La part de chaque sociétaire fut, ce jour-là, de 208 livres
4
sous. Les recettes continuèrent à être considérab
Aussi la part annuelle, qui n’avait été dans l’exercice clos à Pâques
1668
que de 2 606 livres 13 sous, se monta-t-elle dans
t annuelle, qui n’avait été dans l’exercice clos à Pâques 1668 que de
2
606 livres 13 sous, se monta-t-elle dans l’année
annuelle, qui n’avait été dans l’exercice clos à Pâques 1668 que de 2
606
livres 13 sous, se monta-t-elle dans l’année fini
ui n’avait été dans l’exercice clos à Pâques 1668 que de 2 606 livres
13
sous, se monta-t-elle dans l’année finissant à Pâ
2 606 livres 13 sous, se monta-t-elle dans l’année finissant à Pâques
1669
à 5 477 livres 3 sous. Du 5 février au 9 avril, j
ivres 13 sous, se monta-t-elle dans l’année finissant à Pâques 1669 à
5
477 livres 3 sous. Du 5 février au 9 avril, jour
res 13 sous, se monta-t-elle dans l’année finissant à Pâques 1669 à 5
477
livres 3 sous. Du 5 février au 9 avril, jour de l
, se monta-t-elle dans l’année finissant à Pâques 1669 à 5 477 livres
3
sous. Du 5 février au 9 avril, jour de la clôture
t-elle dans l’année finissant à Pâques 1669 à 5 477 livres 3 sous. Du
5
février au 9 avril, jour de la clôture, on donna
’année finissant à Pâques 1669 à 5 477 livres 3 sous. Du 5 février au
9
avril, jour de la clôture, on donna uniquement Le
e Tartuffe, et, outre les représentations publiques, on alla le jouer
cinq
fois en visite, usage bien près d’être abandonné
oi, que la noblesse de son nouveau titre obligeait sans doute, car le
21
août 1669 elle alla pour la dernière fois en visi
la noblesse de son nouveau titre obligeait sans doute, car le 21 août
1669
elle alla pour la dernière fois en visite chez Ma
se déplaça plus ensuite que pour aller chez le Roi et chez Monsieur.
77.
Voir précédemment, page 54, note 2, et page 57, n
pour aller chez le Roi et chez Monsieur. 77. Voir précédemment, page
54,
note 2, et page 57, note 1. 78. Un historien li
r chez le Roi et chez Monsieur. 77. Voir précédemment, page 54, note
2,
et page 57, note 1. 78. Un historien littéraire
oi et chez Monsieur. 77. Voir précédemment, page 54, note 2, et page
57,
note 1. 78. Un historien littéraire de beaucoup
z Monsieur. 77. Voir précédemment, page 54, note 2, et page 57, note
1.
78. Un historien littéraire de beaucoup d’espri
sieur. 77. Voir précédemment, page 54, note 2, et page 57, note 1.
78.
Un historien littéraire de beaucoup d’esprit et d
patriotes de Monsieur de Pourceaugnac, car cette comédie fut jouée le
6
octobre 1669, tandis qu’Élomire hypocondre, non r
de Monsieur de Pourceaugnac, car cette comédie fut jouée le 6 octobre
1669,
tandis qu’Élomire hypocondre, non représenté, ne
re hypocondre, non représenté, ne fut imprimé et publié qu’en janvier
1670.
C’est d’ailleurs un infâme libelle dramatique où
vengé de lui en se bornant à en faire un mystifié. * Revue française (
1857
), t. XI, p. 106 et 107. Comment Molière fit Tartu
ui en se bornant à en faire un mystifié. * Revue française (1857), t.
XI
, p. 106 et 107. Comment Molière fit Tartuffe, par
nt à en faire un mystifié. * Revue française (1857), t. XI, p. 106 et
107.
Comment Molière fit Tartuffe, par M. Édouard Four
106 et 107. Comment Molière fit Tartuffe, par M. Édouard Fournier.
79.
Beffara, note manuscrite. Ce Cressé était fils de
stantiores ævi sui consultores et operatores merito numerandus. Obiit
15
novemb. anni 1661. » Index funereus chirurgorum p
ui consultores et operatores merito numerandus. Obiit 15 novemb. anni
1661.
» Index funereus chirurgorum parisiensium ab anno
novemb. anni 1661. » Index funereus chirurgorum parisiensium ab anno
1315
ad unnum 1714 ; Trivoltii et Parisiis, 1714, in-1
1661. » Index funereus chirurgorum parisiensium ab anno 1315 ad unnum
1714
; Trivoltii et Parisiis, 1714, in-12, p. 47. 80
orum parisiensium ab anno 1315 ad unnum 1714 ; Trivoltii et Parisiis,
1714,
in-12, p. 47. 80. Cette inscription et l’épitap
nno 1315 ad unnum 1714 ; Trivoltii et Parisiis, 1714, in-12, p. 47.
80.
Cette inscription et l’épitaphe, qui se trouvent
ui se trouvent dans le Recueil d’épitaphes du Supplément français, nº
5024,
p. 289, du département des manuscrits de la Bibli
Bibliothèque Impériale, nous ont été signalées par M. Paul Lacroix.
81.
Acte de baptême communiqué par M. Ravenel. 82. A
par M. Paul Lacroix. 81. Acte de baptême communiqué par M. Ravenel.
82.
Acte de baptême communiqué par M. Rochebilière.
ar M. Ravenel. 82. Acte de baptême communiqué par M. Rochebilière.
83.
Ils furent appelés par la lettre de cachet suivan
re de cachet suivante : « À Saint-Germain-en-Laye, le xxxie juillet
1670.
— S. M. voulant toujours entretenir les troupes d
istres du Secrétariat de la maison du Roi. Imprimé par M. Depping, t.
IV
, p. 571 de la Correspondance administrative sous
ce. Nous avons relevé, aux Archives de l’Empire, au verso du feuillet
88
de l’ancien Registre du secrétariat de la maison
uillet 88 de l’ancien Registre du secrétariat de la maison du Roi, E.
3345
(fº 88 verso), devenu O 1er, deux formules de Ven
de l’ancien Registre du secrétariat de la maison du Roi, E. 3345 (fº
88
verso), devenu O 1er, deux formules de Veniat, l’
e du secrétariat de la maison du Roi, E. 3345 (fº 88 verso), devenu O
1er
, deux formules de Veniat, l’un pour faire venir u
secrétariat de la maison du Roi, E. 3345 (fº 88 verso), devenu O 1er,
deux
formules de Veniat, l’un pour faire venir un comé
faire venir un capucin prêcher l’avent devant le Roi, conçus tous les
deux
à peu près dans les mêmes termes. 84. La Grange
vant le Roi, conçus tous les deux à peu près dans les mêmes termes.
84.
La Grange enregistre au 28 novembre la première r
deux à peu près dans les mêmes termes. 84. La Grange enregistre au
28
novembre la première représentation de « Bérénice
« Bérénice, pièce nouvelle de M. de Corneille l’aîné, dont on a payé
2
000 livres ». La première représentation du Bourg
Bérénice, pièce nouvelle de M. de Corneille l’aîné, dont on a payé 2
000
livres ». La première représentation du Bourgeois
vres ». La première représentation du Bourgeois gentilhomme produisit
1
397 livres, la seconde 1 260. La première de Béré
es ». La première représentation du Bourgeois gentilhomme produisit 1
397
livres, la seconde 1 260. La première de Bérénice
sentation du Bourgeois gentilhomme produisit 1 397 livres, la seconde
1
260. La première de Bérénice s’éleva à 1 913 livr
ntation du Bourgeois gentilhomme produisit 1 397 livres, la seconde 1
260.
La première de Bérénice s’éleva à 1 913 livres 10
sit 1 397 livres, la seconde 1 260. La première de Bérénice s’éleva à
1
913 livres 10 sous, la seconde à 1 669 livres. Le
t 1 397 livres, la seconde 1 260. La première de Bérénice s’éleva à 1
913
livres 10 sous, la seconde à 1 669 livres. Les de
res, la seconde 1 260. La première de Bérénice s’éleva à 1 913 livres
10
sous, la seconde à 1 669 livres. Les deux pièces
La première de Bérénice s’éleva à 1 913 livres 10 sous, la seconde à
1
669 livres. Les deux pièces ayant été jouées pres
a première de Bérénice s’éleva à 1 913 livres 10 sous, la seconde à 1
669
livres. Les deux pièces ayant été jouées presque
rénice s’éleva à 1 913 livres 10 sous, la seconde à 1 669 livres. Les
deux
pièces ayant été jouées presque simultanément, on
n en alterna les représentations : Le Bourgeois gentilhomme en obtint
vingt-quatre
avant la clôture de Pâques suivant, et Bérénice,
ivant, et Bérénice, dont les recettes s’abaissèrent considérablement,
vingt
. 85. La piquante et inventive ingéniosité de M.
t Bérénice, dont les recettes s’abaissèrent considérablement, vingt.
85.
La piquante et inventive ingéniosité de M. Éd. Fo
de la représentation de Psyché, placer le vieux Corneille, malgré ses
soixante-cinq
ans, entre deux passions amoureuses, l’une pour l
syché, placer le vieux Corneille, malgré ses soixante-cinq ans, entre
deux
passions amoureuses, l’une pour la femme de Moliè
é à Lyon dans la troupe de Molière. Elle fut successivement utilité à
trois
livres par spectacle, quand elle jouait, receveus
u des places, et enfin, lorsqu’elle eut épousé l’acteur La Grange, le
25
avril 1672, actrice à une demi-part presque aussi
ces, et enfin, lorsqu’elle eut épousé l’acteur La Grange, le 25 avril
1672,
actrice à une demi-part presque aussitôt réduite
actrice à une demi-part presque aussitôt réduite et fort contestée.
86.
C’est donc bien à tort que Chamfort a dit : « C’e
vains et plus ridicules. Cela ne fit qu’augmenter, bien entendu, et,
trente-sept
ans après, M. Harpin, bien arrondi, s’appelait Tu
trente-sept ans après, M. Harpin, bien arrondi, s’appelait Turcaret.
87.
Ce que nous allons citer se trouve pages 118-125
i, s’appelait Turcaret. 87. Ce que nous allons citer se trouve pages
118-125
d’un appendice commençant à la page 91 et allant
ons citer se trouve pages 118-125 d’un appendice commençant à la page
91
et allant à 138 (136 seulement numérotées), placé
ouve pages 118-125 d’un appendice commençant à la page 91 et allant à
138
(136 seulement numérotées), placé à la suite de l
pages 118-125 d’un appendice commençant à la page 91 et allant à 138 (
136
seulement numérotées), placé à la suite de l’exem
de la Bibliothèque impériale des Rimes redoublées de M. D’Assoucy.
88.
Charpentier, à l’âge de quinze ans, vers 1650, ét
e des Rimes redoublées de M. D’Assoucy. 88. Charpentier, à l’âge de
quinze
ans, vers 1650, était en effet allé en Italie pou
blées de M. D’Assoucy. 88. Charpentier, à l’âge de quinze ans, vers
1650,
était en effet allé en Italie pour étudier la pei
ole de Carissimi, et étudia pendant plusieurs années sous ce maître.
89.
Molière. 90. Allusion à la satire III de Boileau
mi, et étudia pendant plusieurs années sous ce maître. 89. Molière.
90.
Allusion à la satire III de Boileau. 91. Fameux
sieurs années sous ce maître. 89. Molière. 90. Allusion à la satire
III
de Boileau. 91. Fameux cabaret du temps. 92. Po
s ce maître. 89. Molière. 90. Allusion à la satire III de Boileau.
91.
Fameux cabaret du temps. 92. Pour l’Ordre des Co
. Allusion à la satire III de Boileau. 91. Fameux cabaret du temps.
92.
Pour l’Ordre des Coteaux, association de gourmand
ands d’élite, voir les Œuvres de Boileau, édit. de M. Saint-Surin, t.
I
, p. 117, note 1. 93. « Cette qualité me fut don
ir les Œuvres de Boileau, édit. de M. Saint-Surin, t. I, p. 117, note
1.
93. « Cette qualité me fut donnée par quelques
es Œuvres de Boileau, édit. de M. Saint-Surin, t. I, p. 117, note 1.
93.
« Cette qualité me fut donnée par quelques perso
ondition. » (Œuvres galantes de M. Cotin. Discours sur les énigmes.)
94.
La pièce elle-même paraît avoir été d’avance anno
habitude, inscrit sur son Registre, à la douzième représentation, le
29
avril 1671 : Les Femmes savantes ou Trissotin, et
, inscrit sur son Registre, à la douzième représentation, le 29 avril
1671
: Les Femmes savantes ou Trissotin, et à la quato
vril 1671 : Les Femmes savantes ou Trissotin, et à la quatorzième, le
3
mai, uniquement : Trissotin. Madame de Sévigné éc
mai, uniquement : Trissotin. Madame de Sévigné écrivait, le mercredi
9
mars 1672, surveille du jour de la première repré
niquement : Trissotin. Madame de Sévigné écrivait, le mercredi 9 mars
1672,
surveille du jour de la première représentation,
et sa Poétique ; voilà tout ce qu’on peut faire pour son service. »
95.
On peut penser aussi tout simplement que Molière,
ésent du verbe fleurer (sentir, exhaler une odeur) alors très usité.
96.
Bolæana (par Montchesnay) ; Amsterdam, 1742, p.
odeur) alors très usité. 96. Bolæana (par Montchesnay) ; Amsterdam,
1742,
p. 34. — Récréations littéraires, par C. R*** (Ci
Montchesnay) ; Amsterdam, 1742, p. 34. — Récréations littéraires, par
C.
R*** (Cizeron-Rival) ; Lyon, 1765, p. 13. 97. L
p. 34. — Récréations littéraires, par C. R*** (Cizeron-Rival) ; Lyon,
1765,
p. 13. 97. Les Médecins au temps de Molière, pa
ations littéraires, par C. R*** (Cizeron-Rival) ; Lyon, 1765, p. 13.
97.
Les Médecins au temps de Molière, par M. Maurice
7. Les Médecins au temps de Molière, par M. Maurice Reynaud ; Paris,
1863,
in-18, p. 485, note. 98. La requête de la femme
Molière, par M. Maurice Reynaud ; Paris, 1863, in-18, p. 485, note.
98.
La requête de la femme de Molière, pour l’inhumat
lise Saint-Germain, lui a administré les sacrements à Pâques dernier (
1672
) ». 99. La lettre qui nous fournit ces détails f
-Germain, lui a administré les sacrements à Pâques dernier (1672) ».
99.
La lettre qui nous fournit ces détails fut écrite
Tartuffe, et de beaucoup de pièces relatives à la famille Poquelin.
100.
Voici ce sonnet, qui nous a été signalé par M. Pa
ière, comédien, au cimetière des morts-nés, à Paris », et se lit page
27
de L’Apollon français, ou l’Abrégé des règles de
’Apollon français, ou l’Abrégé des règles de la poésie française, par
L.
I. L. B. G. N. (Les Îles Le Bas) ; Rouen, Julien
ollon français, ou l’Abrégé des règles de la poésie française, par L.
I
. L. B. G. N. (Les Îles Le Bas) ; Rouen, Julien Co
on français, ou l’Abrégé des règles de la poésie française, par L. I.
L.
B. G. N. (Les Îles Le Bas) ; Rouen, Julien Couran
ise, par L. I. L. B. G. N. (Les Îles Le Bas) ; Rouen, Julien Courant,
1674,
in-12 : De deux comédiens la fin est bien divers
B. G. N. (Les Îles Le Bas) ; Rouen, Julien Courant, 1674, in-12 : De
deux
comédiens la fin est bien diverse : Genest, en se
rd l’effet du baptême, Et dans sa sépulture il devient un mort-né.
101.
Dans le nombre se trouvait L’Ombre de Molière et
nombre se trouvait L’Ombre de Molière et son épitaphe, par D’Assoucy,
1673,
in-4º. Le pauvre diable fut arrêté peu de jours a
res suppositions sur les motifs de sa nouvelle incarcération qui dura
six
mois, il se demande si ce ne fut pas pour cette p
émoignages de sympathie. (Voir La Prison de Monsieur Dassoucy, Paris,
1678,
in-12, pages 71 et 160, et La Jeunesse de Molière
thie. (Voir La Prison de Monsieur Dassoucy, Paris, 1678, in-12, pages
71
et 160, et La Jeunesse de Molière, par M. Paul La
(Voir La Prison de Monsieur Dassoucy, Paris, 1678, in-12, pages 71 et
160,
et La Jeunesse de Molière, par M. Paul Lacroix, B
71 et 160, et La Jeunesse de Molière, par M. Paul Lacroix, Bruxelles,
1856,
in-32, pages 176-178.) 102. Chapelain, dans sa C
unesse de Molière, par M. Paul Lacroix, Bruxelles, 1856, in-32, pages
176-178.
) 102. Chapelain, dans sa Correspondance manuscri
olière, par M. Paul Lacroix, Bruxelles, 1856, in-32, pages 176-178.)
102.
Chapelain, dans sa Correspondance manuscrite où l
, dans sa Correspondance manuscrite où le nom de Molière est prononcé
deux
fois et avec sympathie, dit de même dans une lett
prononcé deux fois et avec sympathie, dit de même dans une lettre du
4
juin 1673, à Ottavio Ferrari, savant professeur d
cé deux fois et avec sympathie, dit de même dans une lettre du 4 juin
1673,
à Ottavio Ferrari, savant professeur de Padoue, q
ute de notre siècle, en est péri au milieu de sa dernière action… »
103.
Le Constitutionnel. a. [NdE] Texte original : «
e et des tragédies de Racine. Le mérite supérieur des ouvrages de ces
deux
grands génies eut à combattre d’abord les préjugé
qui eut tout le succès qu’il s’en était promis. Le Tartuffe parut en
1669,
avec une permission expresse de Louis XIV, et fut
sse de Louis XIV, et fut reçu avec de grands applaudissements. Depuis
1664,
cette pièce avait été arrêtée par la brigue des f
le, et Mme Deshoulières, sans exclure ceux qui sont plus modernes.
1666.
Le Misanthrope Comédie en cinq actes, en vers,
re ceux qui sont plus modernes. 1666. Le Misanthrope Comédie en
cinq
actes, en vers, de M. Molière, représentée sur le
e M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le vendredi
4
juin. Voici le poème dramatique le plus parfait
gotier, comme il l’avait prévu, eut un si grand succès qu’on le donna
trois
mois de suite, mais toujours précédé du Misanthro
confus. « Ce premier acte, ayant plu à tout le monde, et n’ayant que
deux
scènes, doit être parfaitement beau ; puisque les
aller. C’est ici où l’esprit de Molière se fait remarquer, puisqu’en
deux
vers joints à quelque action qui marque du dépit,
ope même, sans le faire sortir de son caractère. Sa maîtresse lui dit
deux
fois de demeurer, il témoigne qu’il n’en veut rie
onne congé avec un peu de froideur, il demeure, et montre, en faisant
deux
ou trois pas pour s’en aller, et en revenant auss
gé avec un peu de froideur, il demeure, et montre, en faisant deux ou
trois
pas pour s’en aller, et en revenant aussitôt, que
entes, et si naturellement touchées, et représentées dans l’espace de
quatre
vers, on voit une scène de conversation où se ren
e de quatre vers, on voit une scène de conversation où se rencontrent
deux
marquis, l’ami du Misanthrope, et la cousine de l
rsation fait voir que l’auteur n’est pas épuisé, puisqu’on y parle de
vingt
caractères, de gens qui sont admirablement bien d
e est à peine finie qu’il fait une action digne de lui, en disant aux
deux
marquis qu’il ne sortira point qu’ils ne soient s
cte finit. « L’ouverture du troisième se fait par une scène entre les
deux
marquis, qui disent des choses fort convenables à
remarquerez dans la suite. « Il y a dans le même acte une scène entre
deux
femmes que l’on trouve d’autant plus belle que le
lé la première se fâche, quand l’autre la paie en même monnaie. « Ces
deux
femmes, après s’être parlé à cœur ouvert touchant
enu avec la même vigueur qu’il fait paraître en ouvrant la pièce. Ces
deux
personnes parlent quelque temps des sentiments de
Cette scène est fort agréable. Tous les acteurs sont raillés dans les
deux
lettres, et quoique cela soit nouveau au théâtre,
binet ne donne pas moins de louange au Misanthrope, Lettre en vers du
12
juin 1666. Le Misanthrope enfin se joue, J
donne pas moins de louange au Misanthrope, Lettre en vers du 12 juin
1666.
Le Misanthrope enfin se joue, Je le vis di
des acteurs, Charme et ravit les spectateurs, Et l’on y peut voir les
trois
Grâces, Menant les amours sur leurs traces, Sous
enant les amours sur leurs traces, Sous le visage et les attraits, De
trois
objets jeunes, et frais, Molière, Du Parc, et de
acer un passage tiré d’un in-4 de la bibliothèque de Saint-Victor, n°
688
Q.Q. Ce volume est rempli de notes manuscrites de
pour faire des ronds ; Molière l’écouta avec beaucoup d’attention, et
quinze
jours après, le sieur Angelo fut surpris de voir
a troupe de Molière la comédie du Misanthrope annoncée et promise, et
trois
semaines, ou tout au plus tard un mois après, on
qu’il n’était pas possible qu’une aussi belle pièce que celle-là, en
cinq
actes, et dont les vers sont fort beaux, eût été
tiste Pocquelin, si célèbre sous le nom de Molière, naquit à Paris en
1620.
Il était fils et petit-fils de valets de chambre-
sa mère, fille aussi de tapissiersa, s’appelait N… Boutet ; il passa
quatorze
années dans la maison paternelleb, et l’on ne son
au collège de Clermont. « Il remplit cette carrière dans l’espace de
cinq
ansa, pendant lesquels il contracta une étroite l
s la plupart de ses ouvrages. « Le voyage de Louis XIII à Narbonne en
1641,
interrompit des occupations d’autant plus agréabl
ps des guerres civiles qui agitèrent Paris et tout le royaume, depuis
1648
jusqu’en 1651. Molière l’employa vraisemblablemen
civiles qui agitèrent Paris et tout le royaume, depuis 1648 jusqu’en
1651.
Molière l’employa vraisemblablement à composer se
muns ; ils formèrent de concert une troupe, et partirent pour Lyon en
1653a
. « On y représenta L’Étourdi, pièce en cinq acte
partirent pour Lyon en 1653a. « On y représenta L’Étourdi, pièce en
cinq
actes, qui enleva presque tous les spectateurs au
rt de la scène française en décida autrement. « Sur la fin de l’année
1657,
Molière avec sa troupe partit pour Grenoble, il y
vec sa troupe partit pour Grenoble, il y resta pendant le Carnaval de
1658a
. Il vint passer l’été à Rouen ; et dans les fréqu
auprès de Monsieur, qui le présenta au roi et à la reine mère. Dès le
24
octobre de la même année, sa troupe représenta la
médiens italiens sur le théâtre du Petit-Bourbon. « Au mois d’octobre
1660,
la salle du Petit-Bourbon fut démolie pour constr
si souvent employée pour les divertissements du roi qu’au mois d’août
1665,
Sa Majesté trouva à propos de l’arrêter tout à fa
arrêter tout à fait à son service, en lui donnant une pension de sept
mille
livres ; M. Molière et les principaux de ses comp
roi, qu’elle a toujours retenu jusqu’à sa jonction qui a été faite en
1680.
« Après qu’elle fut à Sa Majesté, M. Molière cont
qu’il était aisé de faire grâce à des taches si légères. « Enfin, en
1673,
après avoir réussi dans toutes les pièces qu’il a
ea ce jour-là de ses camarades que l’on commençât la représentation à
quatre
heures précises ; mais sa femme et Baron le press
uivie d’un vomissement de sang qui le suffoqua. Il mourut le vendredi
17
février 1673a, âgé de cinquante-trois ans, entre
vomissement de sang qui le suffoqua. Il mourut le vendredi 17 février
1673a
, âgé de cinquante-trois ans, entre les bras de de
sang qui le suffoqua. Il mourut le vendredi 17 février 1673a, âgé de
cinquante-trois
ans, entre les bras de deux de ces sœurs religieu
dredi 17 février 1673a, âgé de cinquante-trois ans, entre les bras de
deux
de ces sœurs religieuses qui viennent quêter à Pa
, l’accompagna avec respect. Le convoi se fit tranquillement le mardi
21
février, à la clarté de plus de cent flambeaux, p
voi se fit tranquillement le mardi 21 février, à la clarté de plus de
cent
flambeaux, portés par ses amis. « À peine Molière
toutes les autres sont très peu de choses. Nous allons rapporter les
deux
pièces dont nous venons de parler. [*]Orne
rd qui tout admire, N’ont pas lu tes écrits en vain, Tous
deux
se sont instruits, en ne pensant qu’à rire. *** E
gisent, Plaute et Térence, Et cependant le seul Molière y gît ; Leurs
trois
talents ne formaient qu’un esprit, Dont le bel ar
e nombre des ouvragesa que Molière a composés dans l’espace d’environ
vingt
années, au milieu de tant d’occupations différent
lui a reproché de s’être répété quelquefois, comme dans la scène1 des
deux
marquis du Misanthrope, imitée en partie de celle
d’Éraste dans Le Dépit amoureux ; si Clitandre, dans L’Amour médecin
3,
produit à peu près le même incident qu’Adraste da
in 3, produit à peu près le même incident qu’Adraste dans Le Sicilien
4,
on peut du moins, dans la comparaison de ces scèn
a exprimées en différents temps. Mais il ne faut point confondre les
deux
scènes de L’Amour médecin et du Sicilien, que nou
. C’est ainsi que Plaute et Térence avaient imité les Grecs. Mais les
deux
poètes latins, plus uniformes dans le choix des c
l’ait consultée sur Le Misanthrope et sur Les Femmes savantes. « Ces
deux
pièces, dont le genre même était inconnu à l’Anti
bruit des heureuses dispositions du jeune Baron, âgé alors d’environ
onze
ans, avait déterminé Molière à demander au roi un
doc, c’est un honnête homme, que jugez-vous qu’il faille lui donner ?
Quatre
pistoles, dit Baron, après avoir hésité quelque t
a Molière, je vais les lui donner pour moi, donnez-lui pour vous ces
vingt
autres que voilà ; Mondorge parut, Molière l’emb
avait dérangé un livre, c’en était assez pour qu’il ne travaillât de
quinze
jours ; il y avait peu de domestiques qu’il ne tr
et quel fléau de ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces
deux
comiques ! » Le jugement du père Porée2 sur Moli
comme lui des amours impudiques. » Les auteurs du Journal littéraire
1,
en rapportant ce passage du discours du père Poré
ieusement ; « Qu’ils auraient souhaité que ce savant jésuite eût fait
deux
choses : la première, qu’en censurant nos poètes
de théâtre de M. Molière. L’Étourdi, ou les Contretemps, comédie en
cinq
actes, en vers, représentée sur le théâtre du Pet
en cinq actes, en vers, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbon,
1658.
Le Dépit amoureux, comédie en cinq actes, en ver
sur le théâtre du Petit-Bourbon, 1658. Le Dépit amoureux, comédie en
cinq
actes, en vers, représentée sur le théâtre du Pet
en cinq actes, en vers, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbon,
1658.
Les Précieuses ridicules, comédie en un acte, en
ie en un acte, en prose, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbon,
1659.
Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, comédie en un
die en un acte, en vers, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbon,
1660.
Dom Garcie de Navarre, ou le Prince jaloux, comé
660. Dom Garcie de Navarre, ou le Prince jaloux, comédie héroïque en
cinq
actes, en vers, représentée sur le théâtre du Pal
en cinq actes, en vers, représentée sur le théâtre du Palais-Royal*,
1661.
L’École des maris, comédie en trois actes, en ve
sur le théâtre du Palais-Royal*, 1661. L’École des maris, comédie en
trois
actes, en vers, 1662. Les Fâcheux, comédie-balle
is-Royal*, 1661. L’École des maris, comédie en trois actes, en vers,
1662.
Les Fâcheux, comédie-ballet, en trois actes, en
médie en trois actes, en vers, 1662. Les Fâcheux, comédie-ballet, en
trois
actes, en vers, représentée à Vaux et à Paris, 16
médie-ballet, en trois actes, en vers, représentée à Vaux et à Paris,
1661.
L’École des femmes, comédie en cinq actes et en
représentée à Vaux et à Paris, 1661. L’École des femmes, comédie en
cinq
actes et en vers, 1662. La Critique de l’École d
à Paris, 1661. L’École des femmes, comédie en cinq actes et en vers,
1662.
La Critique de l’École des femmes, comédie en un
62. La Critique de l’École des femmes, comédie en un acte, en prose,
1663.
L’Impromptu de Versailles, comédie en un acte, e
s, comédie en un acte, en prose, représentée à Versailles et à Paris,
1663.
La Princesse d’Élide, comédie-ballet, le premier
ond en vers (le reste en prose), représentée à Versailles et à Paris,
1664.
Le Mariage forcé, comédie-ballet, en un acte, en
Louvre et sur le théâtre du Palais-Royal, avec quelques changements,
1664.
Dom Juan, ou le Festin de Pierre, comédie en cin
ques changements, 1664. Dom Juan, ou le Festin de Pierre, comédie en
cinq
actes, en prose, 1665. L’Amour médecin, comédie
. Dom Juan, ou le Festin de Pierre, comédie en cinq actes, en prose,
1665.
L’Amour médecin, comédie en trois actes, en pros
, comédie en cinq actes, en prose, 1665. L’Amour médecin, comédie en
trois
actes, en prose, avec un prologue, représentée à
tes, en prose, avec un prologue, représentée à Versailles et à Paris,
1665.
Le Misanthrope, comédie en cinq actes, en vers,
eprésentée à Versailles et à Paris, 1665. Le Misanthrope, comédie en
cinq
actes, en vers, 1666. Le Médecin malgré lui, com
es et à Paris, 1665. Le Misanthrope, comédie en cinq actes, en vers,
1666.
Le Médecin malgré lui, comédie en trois actes, e
édie en cinq actes, en vers, 1666. Le Médecin malgré lui, comédie en
trois
actes, en prose, 1666. Mélicerte, pastorale héro
vers, 1666. Le Médecin malgré lui, comédie en trois actes, en prose,
1666.
Mélicerte, pastorale héroïque, en vers, deux act
trois actes, en prose, 1666. Mélicerte, pastorale héroïque, en vers,
deux
actes (pièce non finie), représentée à Saint-Germ
inie), représentée à Saint-Germain-en-Laye, dans Le Ballet des Muses,
1666.
Fragment d’une pastorale comique, représentée à
t-Germain-en-Laye, dans Le Ballet des Muses, à la suite de Mélicerte,
1666.
Le Sicilien, ou l’Amour peintre, comédie-ballet,
sentée à Saint-Germain-en-Laye, dans Le Ballet des Muses, et à Paris,
1667.
Tartuffe, ou l’Imposteur, comédie en cinq actes,
et des Muses, et à Paris, 1667. Tartuffe, ou l’Imposteur, comédie en
cinq
actes, en vers, représentée en 1667, et depuis sa
tuffe, ou l’Imposteur, comédie en cinq actes, en vers, représentée en
1667,
et depuis sans interruption en 1669. Amphitryon,
q actes, en vers, représentée en 1667, et depuis sans interruption en
1669.
Amphitryon, comédie en trois actes, en vers, ave
en 1667, et depuis sans interruption en 1669. Amphitryon, comédie en
trois
actes, en vers, avec un prologue, 1668. L’Avare,
1669. Amphitryon, comédie en trois actes, en vers, avec un prologue,
1668.
L’Avare, comédie en cinq actes et en prose, 1668
en trois actes, en vers, avec un prologue, 1668. L’Avare, comédie en
cinq
actes et en prose, 1668. George Dandin, ou le Ma
avec un prologue, 1668. L’Avare, comédie en cinq actes et en prose,
1668.
George Dandin, ou le Mari confondu, comédie en t
es et en prose, 1668. George Dandin, ou le Mari confondu, comédie en
trois
actes, en prose, représentée avec des intermèdes
ésentée avec des intermèdes à Versailles, et sans intermèdes à Paris,
1668.
Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet, en tro
termèdes à Paris, 1668. Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet, en
trois
actes, en prose, représentée à Chambord et à Pari
-ballet, en trois actes, en prose, représentée à Chambord et à Paris,
1669.
Les Amants magnifiques, comédie-ballet, en cinq
hambord et à Paris, 1669. Les Amants magnifiques, comédie-ballet, en
cinq
actes, en prose, représentée à Saint-Germain-en-L
ballet, en cinq actes, en prose, représentée à Saint-Germain-en-Laye,
1670,
et à Paris en 1688. Le Bourgeois gentilhomme, co
s, en prose, représentée à Saint-Germain-en-Laye, 1670, et à Paris en
1688.
Le Bourgeois gentilhomme, comédie-ballet, en cin
70, et à Paris en 1688. Le Bourgeois gentilhomme, comédie-ballet, en
cinq
actes, en prose, représentée à Chambord et à Pari
e-ballet, en cinq actes, en prose, représentée à Chambord et à Paris,
1670.
Les Fourberies de Scapin, comédie en trois actes
ée à Chambord et à Paris, 1670. Les Fourberies de Scapin, comédie en
trois
actes, en prose, 1671. Psyché, tragédie-ballet,
s, 1670. Les Fourberies de Scapin, comédie en trois actes, en prose,
1671.
Psyché, tragédie-ballet, en cinq actes, en vers,
comédie en trois actes, en prose, 1671. Psyché, tragédie-ballet, en
cinq
actes, en vers, représentée au palais des Tuileri
allet, en cinq actes, en vers, représentée au palais des Tuileries en
1670,
et au Palais-Royal, 1671. Molière n’a composé qu
ers, représentée au palais des Tuileries en 1670, et au Palais-Royal,
1671.
Molière n’a composé que le premier acte, et la p
des intermèdes sont de M. Quinault. Les Femmes savantes, comédie en
cinq
actes, en vers, 1672. La Comtesse d’Escarbagnas,
e M. Quinault. Les Femmes savantes, comédie en cinq actes, en vers,
1672.
La Comtesse d’Escarbagnas, comédie-ballet, repré
nt-Germain-en-Laye et à Paris, sans intermèdes, en un acte, en prose,
1672.
Le Malade imaginaire, comédie-ballet, en trois a
en un acte, en prose, 1672. Le Malade imaginaire, comédie-ballet, en
trois
actes, en prose, avec un prologue, 1673. Comédies
aginaire, comédie-ballet, en trois actes, en prose, avec un prologue,
1673.
Comédies du même auteur, non imprimées, et jouées
, et jouées en province. Le Docteur amoureux, joué depuis à Paris en
1658
*. Les Trois Docteurs rivaux. Le Maître d’école
en province. Le Docteur amoureux, joué depuis à Paris en 1658*. Les
Trois
Docteurs rivaux. Le Maître d’école a. Le Médeci
tre d’école a. Le Médecin volant. La Jalousie de Barbouillé a. Dans
deux
registres de la troupe de Molière, dont le premie
s deux registres de la troupe de Molière, dont le premier commence le
6
avril 1663, et finit le 6 janvier 1664, et le sec
egistres de la troupe de Molière, dont le premier commence le 6 avril
1663,
et finit le 6 janvier 1664, et le second reprend
upe de Molière, dont le premier commence le 6 avril 1663, et finit le
6
janvier 1664, et le second reprend au 12 janvier
ière, dont le premier commence le 6 avril 1663, et finit le 6 janvier
1664,
et le second reprend au 12 janvier de la même ann
le 6 avril 1663, et finit le 6 janvier 1664, et le second reprend au
12
janvier de la même année 1664, et est terminé le
e 6 janvier 1664, et le second reprend au 12 janvier de la même année
1664,
et est terminé le 4 janvier 1665. On trouve le ti
second reprend au 12 janvier de la même année 1664, et est terminé le
4
janvier 1665. On trouve le titre de différentes p
rend au 12 janvier de la même année 1664, et est terminé le 4 janvier
1665.
On trouve le titre de différentes petites comédie
our proposer notre conjecture aux amateurs du théâtre français. Année
1663.
Du 13 avril, Le Docteur pédant. Du 15 ……, La Jalo
ser notre conjecture aux amateurs du théâtre français. Année 1663. Du
13
avril, Le Docteur pédant. Du 15 ……, La Jalousie d
s du théâtre français. Année 1663. Du 13 avril, Le Docteur pédant. Du
15
……, La Jalousie du Gros-René. Même année 1663. Du
il, Le Docteur pédant. Du 15 ……, La Jalousie du Gros-René. Même année
1663.
Du 17 avril, Gorgibus dans le sac a. Du 20 ……, Le
cteur pédant. Du 15 ……, La Jalousie du Gros-René. Même année 1663. Du
17
avril, Gorgibus dans le sac a. Du 20 ……, Le Fagot
u Gros-René. Même année 1663. Du 17 avril, Gorgibus dans le sac a. Du
20
……, Le Fagoteux b. Année 1664. Du 20 janvier, Le
. Du 17 avril, Gorgibus dans le sac a. Du 20 ……, Le Fagoteux b. Année
1664.
Du 20 janvier, Le Grand Benêt de fils c. Du 27 av
vril, Gorgibus dans le sac a. Du 20 ……, Le Fagoteux b. Année 1664. Du
20
janvier, Le Grand Benêt de fils c. Du 27 avril, G
e Fagoteux b. Année 1664. Du 20 janvier, Le Grand Benêt de fils c. Du
27
avril, Gros-René, petit enfant. Du 25 mai, La Cas
r, Le Grand Benêt de fils c. Du 27 avril, Gros-René, petit enfant. Du
25
mai, La Casaque. 1666. Le Médecin malgré lui
ls c. Du 27 avril, Gros-René, petit enfant. Du 25 mai, La Casaque.
1666.
Le Médecin malgré lui Comédie en trois actes,
. Du 25 mai, La Casaque. 1666. Le Médecin malgré lui Comédie en
trois
actes, en prose, de M. Molière, représentée sur l
prose, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le
6
août « [*]Molière, ayant suspendu son chef-d’œ
farceur, pour plaire à la multitude. » Lettre en vers de Robinet du
15
août 1666. Un médecin vient de paraître, Qui d’H
, pour plaire à la multitude. » Lettre en vers de Robinet du 15 août
1666.
Un médecin vient de paraître, Qui d’Hippocrate e
ière scène de son Médecin malgré lui. Menagiana, de Paris, édition de
1729,
tome III, p. 18. 1666. Le Ballet des Muses
de son Médecin malgré lui. Menagiana, de Paris, édition de 1729, tome
III
, p. 18. 1666. Le Ballet des Muses De la co
malgré lui. Menagiana, de Paris, édition de 1729, tome III, p. 18.
1666.
Le Ballet des Muses De la composition de Mons
rade, dansé par Sa Majesté à son château de Saint-Germain-en-Laye, le
2
décembre. Ce ballet rassemble non seulement des
dans le quatrième volume des Œuvres de Molière, édition in-12, Paris,
1739.
« IVe entrée. Euterpe, muse pastorale. Quatre b
édition in-12, Paris, 1739. « IVe entrée. Euterpe, muse pastorale.
Quatre
bergers et quatre bergères dansent au chant de pl
ris, 1739. « IVe entrée. Euterpe, muse pastorale. Quatre bergers et
quatre
bergères dansent au chant de plusieurs autres, su
ur des chansons en forme de dialogue. » Il n’est pas douteux que les
deux
premiers actes de Mélicerte, pastorale héroïque (
mait la troisième entrée du Ballet des Muses, dansé par Sa Majesté le
2
décembre 1666, fut suivie d’une pastorale comique
isième entrée du Ballet des Muses, dansé par Sa Majesté le 2 décembre
1666,
fut suivie d’une pastorale comique », etc. Cepend
, nous engage à rendre compte de la pastorale héroïque de Molière.
1666.
Mélicerte Pastorale héroïque, en deux actes, e
ale héroïque de Molière. 1666. Mélicerte Pastorale héroïque, en
deux
actes, en vers, de M. Molière, représentée dans l
e entrée du Ballet des Muses. « [*]Molière n’avait composé que les
deux
premiers actes de cette Pastorale héroïque ; elle
ar la simplicité de l’expression ; en général, tout ce que disent les
deux
amants est du même tona. Guérin le fils*, qui en
que disent les deux amants est du même tona. Guérin le fils*, qui en
1699
acheva cette pièce, y joignit des intermèdes et c
cette pièce, y joignit des intermèdes et changea la versification des
deux
premiers actes, qu’il mit en vers libres et irrég
erons de Guérin le fils et de sa pastorale de Mélicerte, sous l’année
1699.
« Ve entrée. Clio, muse qui préside à l’Histoire
omédie, où sont introduits des poètes de différents caractères. »
1667.
Le Sicilien, ou l’Amour peintre Comédie-ballet
e, au mois de janvier, et à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le
10
juin suivant. « [*] Le Sicilien, ou l’Amour pe
is-Royal, voici de quelle façon Robinet l’annonça : Lettre en vers du
11
juin 1667. Depuis hier 1, pareillement, On
, voici de quelle façon Robinet l’annonça : Lettre en vers du 11 juin
1667.
Depuis hier 1, pareillement, On a pour div
obinet l’annonça : Lettre en vers du 11 juin 1667. Depuis hier
1,
pareillement, On a pour divertissement, Le Sicil
à nos yeux, Plus que jamais facétieux. Lettre en vers de Robinet, du
19
juin 1667. Je vis à mon aise, et très bien
ux, Plus que jamais facétieux. Lettre en vers de Robinet, du 19 juin
1667.
Je vis à mon aise, et très bien, Dimanche*
aut sur les lieux, Poster son oreille et ses yeux. Surtout, on y voit
deux
esclaves* Qui peuvent donner des entraves ; Deux
Surtout, on y voit deux esclaves* Qui peuvent donner des entraves ;
Deux
Grecques, qui grecques en tout, Peuvent pousser c
r des entraves ; Deux Grecques, qui grecques en tout, Peuvent pousser
cent
cœurs à bout, Comme étant tout à fait charmantes
Valent bien de l’argent, ma foi : Ce sont aussi présents du roi.
1668.
Amphitryon Comédie en trois actes, en vers lib
i : Ce sont aussi présents du roi. 1668. Amphitryon Comédie en
trois
actes, en vers libres, avec un prologue, de M. Mo
Palais-Royal, au commencement de janviera, et devant le roi le lundi
16
du même mois. Lettre en vers de Robinet, du 21
vant le roi le lundi 16 du même mois. Lettre en vers de Robinet, du
21
janvier 1668. Lundi* chez le nom pareil Si
le lundi 16 du même mois. Lettre en vers de Robinet, du 21 janvier
1668.
Lundi* chez le nom pareil Sire, On vit les
du 21 janvier 1668. Lundi* chez le nom pareil Sire, On vit les
deux
Amphitryons, Ou si l’on veut les deux Sosies, Qu’
le nom pareil Sire, On vit les deux Amphitryons, Ou si l’on veut les
deux
Sosies, Qu’on trouve dans les poésies, Du feu sie
es de Plaute qui a eu le plus de succèsa ; on la jouait encore à Rome
cinq
cents ans après lui ; et ce qui peut paraître sin
Plaute qui a eu le plus de succèsa ; on la jouait encore à Rome cinq
cents
ans après lui ; et ce qui peut paraître singulier
ssi à faire pencher la balance en faveur de Plaute ; le parallèle des
deux
comédies n’aurait servi qu’à montrer la supériori
lement pour objet de s’éclaircir sur la fidélité de leurs femmes. Les
deux
scènes ne produisent pas le même effet, par la di
Rotrou dans sa pièce des Sosies qu’il prétendait plus naturel que ces
deux
de Molière. Et j’étais venu, je vous jure, Avant
et c’est par l’intrigue qu’on la distingue du dialogue… On distingue
deux
sortes d’intrigues ; dans la première espèce, auc
la vraisemblance. « Nous n’avons, parmi les ouvrages des anciens, que
deux
modèles en ce genre, l’Amphitryon et Les Ménechme
que Jupiter, pour se défaire de Sosie, a fait inviter à dîner, voyant
deux
Amphitryons, ne savent de quel parti se ranger. A
oivent jamais être altérés par le merveilleux ou le surnaturel. »
1668.
George Dandin, ou le Mari confondu Comédie en
naturel. » 1668. George Dandin, ou le Mari confondu Comédie en
trois
actes, en prose, de M. Molière, représentée avec
de M. Molière, représentée avec des intermèdes à Versailles, le lundi
16
juillet, selon Robinet, et selon Félibien, le mer
s, le lundi 16 juillet, selon Robinet, et selon Félibien, le mercredi
18
juillet, et sans intermèdes, sur le théâtre du Pa
di 18 juillet, et sans intermèdes, sur le théâtre du Palais-Royal, le
9
novembre suivant. « [*]Le roi ayant accordé la
oi, un autre pour le bal. « Le mercredi, dix-huitième jour de juillet
1668,
le roi étant parti de Saint-Germain, vint dîner à
urs endroits des tables dressées, et de quoi se rafraîchir… « Sur les
six
heures du soir, le roi ayant commandé au marquis
s, et poursuit ainsi.) « À côté de la grande allée Royale, il y en a
deux
autres qui en sont éloignées d’environ deux cents
e allée Royale, il y en a deux autres qui en sont éloignées d’environ
deux
cents pas. Celle qui est à droite, en montant ver
ée Royale, il y en a deux autres qui en sont éloignées d’environ deux
cents
pas. Celle qui est à droite, en montant vers le c
pelle l’allée du Roi, et celle qui est à gauche l’allée des Prés. Ces
trois
allées sont traversées par une autre qui se termi
Prés. Ces trois allées sont traversées par une autre qui se termine à
deux
grilles, qui sont la clôture du petit parc. Ces d
qui se termine à deux grilles, qui sont la clôture du petit parc. Ces
deux
allées des côtés, et celle qui les traverse, ont
petit parc. Ces deux allées des côtés, et celle qui les traverse, ont
cinq
toises de large ; mais à l’endroit où elles se re
où elles se rencontrent, elles forment un grand espace, qui a plus de
treize
toises en carré. C’est dans cet endroit de l’allé
héâtre, qui avançait un peu dans le carré de la place, s’enfonçait de
dix
toises dans l’allée qui monte vers le château, et
lée qui monte vers le château, et laissait pour la salle un espace de
treize
toises de face sur neuf de large. « L’exhaussemen
eau, et laissait pour la salle un espace de treize toises de face sur
neuf
de large. « L’exhaussement de ce salon était de t
ises de face sur neuf de large. « L’exhaussement de ce salon était de
trente
pieds jusques a la corniche, d’où les côtés du pl
usques a la corniche, d’où les côtés du plafond s’élevaient encore de
huit
pieds jusqu’au dernier enfoncement. Il était couv
onvenable pour la décoration de ce lieu. Du haut du plafond pendaient
trente-deux
chandeliers de cristal, portant chacun dix bougie
plafond pendaient trente-deux chandeliers de cristal, portant chacun
dix
bougies de cire blanche. Autour de la salle étaie
étaient plusieurs sièges disposés en amphithéâtre, remplis de plus de
douze
cents personnes, et dans le parterre il y avait e
t plusieurs sièges disposés en amphithéâtre, remplis de plus de douze
cents
personnes, et dans le parterre il y avait encore
bancs une plus grande quantité de monde. Cette salle était percée par
deux
grandes arcades, dont l’une était vis-à-vis du th
du côté qui va vers la grande allée. L’ouverture du théâtre était de
trente-six
pieds ; et de chaque côté, il y avait deux grande
du théâtre était de trente-six pieds ; et de chaque côté, il y avait
deux
grandes colonnes torses de bronze et de lapis, en
din d’une beauté extraordinaire… « L’ouverture du théâtre se fait par
quatre
bergersa déguisés en valets de fêtes, qui, accomp
par quatre bergersa déguisés en valets de fêtes, qui, accompagnés de
quatre
autres bergersb qui jouent de la flûte, font une
e, où il n’a demeuré que par contrainte. Climène et Clorisc, qui sont
deux
bergères amies, entendant le son des flûtes, vien
es instruments, et chantent, etc. « Tircis et Philèned, amants de ces
deux
bergères, les abordent, pour les entretenir de le
de leur passion, et font avec elles une scène en musique, etc. « Ces
deux
bergers se retirent l’âme pleine de douleur et de
t interrompu par une bergère qui lui vient apprendre le désespoir des
deux
bergers ; mais comme il est agité d’autres inquié
i vient dire que Tircis et Philène ne sont point morts, et lui montre
six
bateliersa qui les ont sauvés. Le paysan, importu
bres, sur lequel était assise toute la troupe de Bacchus, composée de
quarante
satyres. L’un d’eux1, s’avançant à la tête, chant
t le parti de l’Amour. « Un berger2 arrive qui se jette au milieu des
deux
partis pour les séparer, et leur chante ces vers
nous assemble : L’amour a des douceurs, Bacchus a des appas : Ce sont
deux
déités qui sont fort bien ensemble,
se mêlent ensemble ; et l’on voit parmi les bergers et les bergères,
quatre
des suivants de Bacchusa, avec thyrses, et quatre
rs et les bergères, quatre des suivants de Bacchusa, avec thyrses, et
quatre
bacchantesb, avec des espèces de tambours de basq
ir commencé par une seule voix, elle a fini par un concert de plus de
cent
personnes, que l’on a vues toutes à la fois sur u
dans le cinquième volume des Œuvres de Molière, édition in-12, Paris,
1739.
Il y trouvera aussi les paroles lyriques des inte
de la représentation de George Dandin. Lettre en vers de Robinet, du
21
juillet 1668. Dans le parc de ce beau Vers
ésentation de George Dandin. Lettre en vers de Robinet, du 21 juillet
1668.
Dans le parc de ce beau Versailles, Qui n’
it lundi* ce que les yeux Ne peuvent voir que chez les dieux, Ou chez
Louis
qui les égale, Dedans la pompe d’un régale. ……………
ale. Ô le charmant lieu que c’était ? L’or partout, certes éclatait ;
Trois
rangs de riches hautes lices, Décoraient ce lieu
mber dans la bière, Ayant été durant le cours, Tout au plus d’environ
huit
jours, Saigné dix fois pour une fièvre, Qui dans
Ayant été durant le cours, Tout au plus d’environ huit jours, Saigné
dix
fois pour une fièvre, Qui dans son sang faisait l
eur, et d’éducation, sont des sources intarissables de discorde entre
deux
personnes que l’intérêt d’une part, et de l’autre
er leur joie, et Robinet en rend le compte suivant. Lettre en vers du
18
août 1668. ……………………………………………… Comme chacun à leu
joie, et Robinet en rend le compte suivant. Lettre en vers du 18 août
1668.
……………………………………………… Comme chacun à leur exemple*,
que l’on fait pouffe, De rire presque l’on s’étouffe. Mais entre les
deux
, leur auteur, Et qui l’est de telle hauteur, Fit
is entre les deux, leur auteur, Et qui l’est de telle hauteur, Fit en
cinq
ou six périodes, Valant six des meilleures odes,
les deux, leur auteur, Et qui l’est de telle hauteur, Fit en cinq ou
six
périodes, Valant six des meilleures odes, Un dis
r, Et qui l’est de telle hauteur, Fit en cinq ou six périodes, Valant
six
des meilleures odes, Un discours, qui bien reçu
ulière, Et se surpassa ce jour-là : C’est tout dire, disant cela.
1668.
L’Avare Comédie en prose, en cinq actes, de M.
est tout dire, disant cela. 1668. L’Avare Comédie en prose, en
cinq
actes, de M. Molière, représentée sur le théâtre
actes, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le
9
septembrea. « [*]Le mérite de L’Avare céda pou
irer* à la septième représentation, le fit reparaître sur la scène en
1668.
On fut forcé de convenir qu’une prose élégante po
« [*]Cette excellente comédie avait été donnée au public (avant le
9
septembre 1668), mais le même préjugé qui fit tom
e excellente comédie avait été donnée au public (avant le 9 septembre
1668
), mais le même préjugé qui fit tomber Le Festin d
eux du spectateur. « Un autre défaut, à mon avis, c’est d’avoir donné
quatre
domestiques à l’Avarea et un à son fils. Harpagon
la fois de l’emploi de cuisinier et de cocher, n’a pas ordinairement
deux
laquais et un intendant. Un maître de l’art me ré
laquais et un intendant. Un maître de l’art me répondra peut-être que
cinq
domestiques chez Harpagon sont autant de ressorts
era que Molière aurait mieux fait d’éviter une faute semblable. Voilà
deux
défauts que je trouve dans L’Avare, mais le publi
age le mouvement de l’action, Molière s’est servi en grand maître des
deux
plus puissants ressorts qu’il soit possible d’ima
t le rappeler à lui-même, et contribuer à le guérir : ainsi, sans ces
deux
personnages, la passion principale ne trouverait
le, le caractère de l’Avare a réuni et confondu, pour ainsi dire, les
deux
actions. C’est dans cette partie, comme nous l’av
ut apprendre l’art de composer une fable d’action double, d’embrasser
deux
actions, et de les entrelacer si bien qu’elles ne
te et dans Gelli, on ne trouvera pas dans toute la comédie de L’Avare
quatre
scènes qui soient inventées par Molière. « Un ouv
fficile, car je suis presque certain qu’il a plus coûté à Molière que
deux
comédies de son invention, mérite l’attention, et
e. Lélio et Arlequin, valets dans la même maison. L’AVARE, acte
I
Lélio est amoureux de Flaminia, fille de Pa
Il Dottor Bachettone, ou le Docteur Bigot. ACTE
II
. Scène première. Le Docteur dévot et grand
orte en effet sa vaisselle. Le Docteur ne lui donne en argent que les
deux
tiers de la somme dont ils sont convenus, et lui
ajoutée. Arlequin, dévaliseur de maison. ACTE
II
. Scène V. Scapin fait accroire à Pantalon q
Arlequin, dévaliseur de maison. ACTE II. Scène
V.
Scapin fait accroire à Pantalon que sa maît
La Cameriera nobile, ou la Fille de chambre de qualité. ACTE
III
. Scène II. Lélio donne des coups de bâton à
meriera nobile, ou la Fille de chambre de qualité. ACTE III. Scène
II
. Lélio donne des coups de bâton à Scapin, c
are, et que Pantalon est généreux. La Cameriera nobile. ACTE
IV
. Scènes IV et V. Pantalon et le Docteur, ri
Pantalon est généreux. La Cameriera nobile. ACTE IV. Scènes
IV
et V. Pantalon et le Docteur, rivaux, en vi
lon est généreux. La Cameriera nobile. ACTE IV. Scènes IV et
V.
Pantalon et le Docteur, rivaux, en viennent
Pantalon et le Docteur, rivaux, en viennent aux mains, et sont
deux
fois séparés par Scapin, qui en leur demandant à
ianne. Lélio et Arlequin, valets dans la même maison. ACTE
V.
Scènes II et III. Arlequin, par l’animosité
Lélio et Arlequin, valets dans la même maison. ACTE V. Scènes
II
et III. Arlequin, par l’animosité qu’il a c
Lélio et Arlequin, valets dans la même maison. ACTE V. Scènes II et
III
. Arlequin, par l’animosité qu’il a contre L
çon Robinet rendit compte de la comédie de L’Avare. Lettre en vers du
15
septembre 1668. Prenant soin du plaisir pu
endit compte de la comédie de L’Avare. Lettre en vers du 15 septembre
1668.
Prenant soin du plaisir public, Moi, qui m
rtis que le sieur Molière, De qui l’âme est si familière, Avecque les
neuf
doctes Sœurs, Dont il reçoit mille douceurs, Donn
l’âme est si familière, Avecque les neuf doctes Sœurs, Dont il reçoit
mille
douceurs, Donne à présent sur son théâtre, Où son
ents, Qui font des mieux passer le temps. Lettre en vers du même, du
22
septembre 1668. Ces jours-ci, Monsieur et Madame
t des mieux passer le temps. Lettre en vers du même, du 22 septembre
1668.
Ces jours-ci, Monsieur et Madame, Si bien pourvu
Et Molière y montra son nez, C’en est je pense dire assez. Autre du
20
novembre. Je parle de la Saint Hubert. ………
re, Ont rencontré fort à leur goût Du commencement jusqu’au bout.
1669.
Tartuffe, ou l’Imposteur Comédie en cinq actes
ement jusqu’au bout. 1669. Tartuffe, ou l’Imposteur Comédie en
cinq
actes, en vers, de M. Molière, représentée sur le
en vers, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le
5
août 1667 (et défendue le lendemain) et depuis sa
, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 5 août
1667
(et défendue le lendemain) et depuis sans interru
1667 (et défendue le lendemain) et depuis sans interruption le mardi
5
février 1669. Lettre en vers de Robinet, du 9 f
défendue le lendemain) et depuis sans interruption le mardi 5 février
1669.
Lettre en vers de Robinet, du 9 février 1669.
interruption le mardi 5 février 1669. Lettre en vers de Robinet, du
9
février 1669. À propos de surprise ici, La
on le mardi 5 février 1669. Lettre en vers de Robinet, du 9 février
1669.
À propos de surprise ici, La mienne fut tr
rès grande aussi, Quand mardi1 je sus qu’en lumière, Le beau Tartuffe
2
de Molière, Allait paraître, et qu’en effet, Selo
ulle comédie Ne fut aussi tant applaudie. Lettre en vers du même, du
23
février 1669. À propos d’ébat théâtral : Toujour
e Ne fut aussi tant applaudie. Lettre en vers du même, du 23 février
1669.
À propos d’ébat théâtral : Toujours dans le Pala
t renom. Mais pas moins encor je n’admire, Son épouse la jeune Elmire
2,
Car on ne saurait constamment Jouer plus naturell
rait constamment Jouer plus naturellement. Leur mère, Madame Pernelle
3,
Est une fringante femelle, Et s’acquitte ma foi d
melle, Et s’acquitte ma foi des mieux, De son rôle facétieux. Dorine
4,
maîtresse servante, Est encor bien diversifiante.
orine 4, maîtresse servante, Est encor bien diversifiante. Et Cléante
5
enchante et ravit, Dans les excellents vers qu’il
Cléante 5 enchante et ravit, Dans les excellents vers qu’il dit. Ces
deux
autres, ou Dieu me damne, Damis 6, et sa sœur Ma
excellents vers qu’il dit. Ces deux autres, ou Dieu me damne, Damis
6,
et sa sœur Marianne 7, Qui font les deux enfants
dit. Ces deux autres, ou Dieu me damne, Damis 6, et sa sœur Marianne
7,
Qui font les deux enfants d’Orgon, Y font merveil
tres, ou Dieu me damne, Damis 6, et sa sœur Marianne 7, Qui font les
deux
enfants d’Orgon, Y font merveilles tout de bon.
font les deux enfants d’Orgon, Y font merveilles tout de bon. Valère
8
amant de cette belle, Des galants y semble un mod
t de cette belle, Des galants y semble un modèle : Et le bon Tartuffe
9,
en un mot, Charme en son rôle de bigot. « [*]L
e bon Tartuffe 9, en un mot, Charme en son rôle de bigot. « [*]Les
trois
premiers actes de Tartuffe avaient été représenté
aient été représentés à la sixième journée des fêtes de Versailles le
12
mai 16641, en présence du roi et des reines. Le r
té représentés à la sixième journée des fêtes de Versailles le 12 mai
16641,
en présence du roi et des reines. Le roi défendit
es sur tout l’habit, et crut pouvoir hasarder Tartuffe en cet état le
5
août 1667a. L’ordre, qui lui fut envoyé le lendem
tout l’habit, et crut pouvoir hasarder Tartuffe en cet état le 5 août
1667a
. L’ordre, qui lui fut envoyé le lendemainb, d’en
tête des différentes éditions de Tartuffe. Ce ne fut néanmoins qu’en
1669
que le roi donna une permission authentique de re
que de remettra cette comédie sur le théâtre. Elle reparut à Paris le
5
février de cette annéea. Dès qu’elle eut été conn
, que Cléante oppose à celui du vrai dévot. Tartuffe, annoncé pendant
deux
actes, paraît au troisième. L’intrigue alors, plu
age de l’hypocrite d’avec celui du vrai dévot. J’ai employé pour cela
deux
actes entiers à préparer la venue de mon scélérat
Finissons par un mot d’un grand prince sur la comédie du Tartuffe. «
Huit
jours après qu’elle eut été défendue, on représen
s que le lecteur connaît les Œuvres de Molière, et par conséquent les
trois
placets qui précèdent Le Tartuffe, dont on a empl
dent Le Tartuffe, dont on a employé les endroits les plus curieux des
deux
premiers, dans cet article. 1669. Monsieur de
les endroits les plus curieux des deux premiers, dans cet article.
1669.
Monsieur de Pourceaugnaca Comédie-ballet en t
cet article. 1669. Monsieur de Pourceaugnaca Comédie-ballet en
trois
actes, en prose, de M. Molière, représentée à Cha
trois actes, en prose, de M. Molière, représentée à Chambord le lundi
6
octobre1, et à Paris sur le théâtre du Palais-Roy
rd le lundi 6 octobre1, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le
15
novembre suivant. « [*]La comédie de Monsieur
Pourceaugnac devant le roi et la Cour, à Chambord. Lettre en vers, du
12
octobre 1669. Mais parlons un peu de Chamb
c devant le roi et la Cour, à Chambord. Lettre en vers, du 12 octobre
1669.
Mais parlons un peu de Chambord, Dont je d
nez, Avec plaisir furent lorgnés. Des avocats y faisaient rire, Plus
cent
fois qu’on ne saurait dire, Gitans de plaisante f
Royal, Robinet en fit mention ; voici ses termes : Lettre en vers, du
13
novembre 1669. Enfin j’ai vu Semel et bis,
et en fit mention ; voici ses termes : Lettre en vers, du 13 novembre
1669.
Enfin j’ai vu Semel et bis, La perle, la f
posons que le lecteur connaît les Œuvres de Molière, édition in-12 de
1739,
où ces intermèdes sont joints à la pièce. a.
ion que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admirer ; et que pour
vingt
personnes qui sont susceptibles de sentir des tra
sont susceptibles de sentir des traits délicats et élevés, il y en a
cent
qui les rebutent, faute de les connaître. Il ne f
e, et que le suffrage général n’ait été déclaré en sa faveur qu’après
huit
ou dix représentations, quand on fait réflexion a
e le suffrage général n’ait été déclaré en sa faveur qu’après huit ou
dix
représentations, quand on fait réflexion aux circ
5 et suivantes. a. Le Misanthrope fut joué pour la première fois le
4
juin 1666, et Le Médecin malgré lui ne parut que
ivantes. a. Le Misanthrope fut joué pour la première fois le 4 juin
1666,
et Le Médecin malgré lui ne parut que le 6 août s
remière fois le 4 juin 1666, et Le Médecin malgré lui ne parut que le
6
août suivant : ainsi, il y a plus d’un mois d’int
elle est aussi divisée par semaines. La première gazette est datée du
3
juin 1666, et la dernière du 24 décembre de la mê
t aussi divisée par semaines. La première gazette est datée du 3 juin
1666,
et la dernière du 24 décembre de la même année :
ines. La première gazette est datée du 3 juin 1666, et la dernière du
24
décembre de la même année : ces divers morceaux c
e année : ces divers morceaux composent un volume in-12, qui parut en
1667,
à Paris chez Claude Barbin. Subligny ne continua
de Barbin. Subligny ne continua pas cet ouvrage. *. [Note marginale]
6
juin, par conséquent le 4 juin était un vendredi.
tinua pas cet ouvrage. *. [Note marginale] 6 juin, par conséquent le
4
juin était un vendredi. [*]. [Note marginale] Mé
te marginale] Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Ces
deux
familles étaient établies sous les piliers des Ha
rès qu’on devait attendre de son empressement à y entrer. Il y étudia
cinq
années, il y suivit le cours des classes d’Armand
ecteur des lettres, et de Molière. « Il y avait alors dans ce collège
deux
enfants, qui eurent depuis beaucoup de réputation
incapable de les gouverner : il se contenta de lui laisser seulement
huit
mille livres de rentes, entre les mains de person
pable de les gouverner : il se contenta de lui laisser seulement huit
mille
livres de rentes, entre les mains de personnes qu
nt. » *. [Note marginale] Voyez l’article de Cyrano Bergerac, tome
VII
, p. 390. a. « [*]On s’étonnera peut-être que j
il se fit passer avocat. [*]ÉLOMIRE. En
quarante
ou quelque peu devant, Je sortis du collège, et j
e me fis avocat, au retour des vacances. Je suivis le barreau pendant
cinq
ou six mois, Où j’appris à plein fond, l’ordonnan
avocat, au retour des vacances. Je suivis le barreau pendant cinq ou
six
mois, Où j’appris à plein fond, l’ordonnance et l
la petite ville, Admirant les talents de mon petit troupeau, Protesta
mille
fois que rien n’était plus beau, Surtout quand su
marginale] Voyez les articles de Gros-Guillaume et de Turlupin, tome
IV
, p. 236-240. a. Si l’on en croit les Mémoires ma
avait commencé de jouer la comédie en province sur la fin de l’année
1645.
Ce fut à Bordeaux qu’il fit son coup d’essai, où
de Guyenne, le goûta et l’honora de son amitié. Chappuzeau, p. 193 et
194
de son Théâtre français, ne rapporte point ce fai
ne parle de Molière que lorsqu’il joua en Languedoc avec sa troupe en
1653.
Ce passage nous apprend en même temps les noms de
r Lyon. « La troupe du Palais-Royal fut établie sur la fin de l’année
1659
(1658), après que les principales personnes qui l
. « La troupe du Palais-Royal fut établie sur la fin de l’année 1659 (
1658
), après que les principales personnes qui la comp
veillance des états de la province ;Molière, Du Parc, de Brie, et les
deux
frères Béjart, avec les demoiselles Béjart, de Br
ite extraordinaire de Jean-Baptiste Molière, qui l’a soutenue à Paris
quatorze
ans de suite avec tant de gloire, lui donna une e
l fait également honneur au prince et au comédien. » a. « [*]Après
quatre
ou cinq années de succès dans la province, la tro
lement honneur au prince et au comédien. » a. « [*]Après quatre ou
cinq
années de succès dans la province, la troupe réso
[Note marginale] Préface des Œuvres de Molière, édition de Paris, en
1682.
[*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
nale] Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Le vendredi
17
février 1673, jour de la quatrième représentation
res sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Le vendredi 17 février
1673,
jour de la quatrième représentation du Malade ima
la quatrième représentation du Malade imaginaire, mourut M. Molière à
dix
heures du soir. Registre de la troupe de Molière.
la troupe de Molière. b. Frosine y fait allusion dans L’Avare, acte
II
, scène VI, en disant à Harpagon, que Molière repr
de Molière. b. Frosine y fait allusion dans L’Avare, acte II, scène
VI
, en disant à Harpagon, que Molière représentait :
e sur le jardin du Palais-Royal. a. « [*]Molière mourut assisté par
deux
sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinai
a volonté du Seigneur. Enfin il rendit l’esprit entre les bras de ces
deux
bonnes sœurs ; le sang qui sortait par sa bouche
l’enterrement serait fait sans pompe et sans bruit ; il fut fait par
deux
prêtres qui accompagnèrent le corps sans chanter,
uvent dans le quatrième volume du Mercure galant de M. de Visé, année
1675,
depuis la page 267 jusques et compris la page 307
me volume du Mercure galant de M. de Visé, année 1675, depuis la page
267
jusques et compris la page 307. Ces différentes p
M. de Visé, année 1675, depuis la page 267 jusques et compris la page
307.
Ces différentes pièces ne présentent que de fades
Du Croisy, comédien de la troupe de Molière (actuellement vivante en
1747
), elle a joué le rôle d’une des Grâces, dans Psyc
vante en 1747), elle a joué le rôle d’une des Grâces, dans Psyché, en
1671.
b. Molière faisait plus, il lisait ses ouvrages
es sur la vie et les ouvrages de Molière. *. [Note marginale] Épître
II
à M. Molière. 1. [Note marginale] ACTE III, scèn
es ouvrages de Molière. *. [Note marginale] Épître II à M. Molière.
1.
[Note marginale] ACTE III, scène I. 2. [Note mar
*. [Note marginale] Épître II à M. Molière. 1. [Note marginale] ACTE
III
, scène I. 2. [Note marginale] ACTE I, scène III.
rginale] Épître II à M. Molière. 1. [Note marginale] ACTE III, scène
I
. 2. [Note marginale] ACTE I, scène III. 3. [Not
ale] Épître II à M. Molière. 1. [Note marginale] ACTE III, scène I.
2.
[Note marginale] ACTE I, scène III. 3. [Note mar
re. 1. [Note marginale] ACTE III, scène I. 2. [Note marginale] ACTE
I
, scène III. 3. [Note marginale] ACTE III, scène
Note marginale] ACTE III, scène I. 2. [Note marginale] ACTE I, scène
III
. 3. [Note marginale] ACTE III, scène V. 4. [Not
arginale] ACTE III, scène I. 2. [Note marginale] ACTE I, scène III.
3.
[Note marginale] ACTE III, scène V. 4. [Note mar
I. 2. [Note marginale] ACTE I, scène III. 3. [Note marginale] ACTE
III
, scène V. 4. [Note marginale] Scène XII. a. «
te marginale] ACTE I, scène III. 3. [Note marginale] ACTE III, scène
V.
4. [Note marginale] Scène XII. a. « Chaque tro
arginale] ACTE I, scène III. 3. [Note marginale] ACTE III, scène V.
4.
[Note marginale] Scène XII. a. « Chaque troupe
I. 3. [Note marginale] ACTE III, scène V. 4. [Note marginale] Scène
XII
. a. « Chaque troupe avait dans ce temps-là un a
it cédé cet emploi au comédien La Grange. » a. « Non seulement en
1665
il obtint pour sa troupe le titre de Troupe du ro
en 1665 il obtint pour sa troupe le titre de Troupe du roi, avec sept
mille
livres de pension, mais sur les instances réitéré
s furieux, outrés de la résistance qu’il avait faite, le percèrent de
cent
coups d’épée, et chacun d’eux en entrant lui donn
Eh ! messieurs, leur dit-il, épargnez du moins un pauvre vieillard de
soixante-quinze
ans, qui n’a plus que quelques jours à vivre. Le
ue je n’aie importuné le roi pour avoir l’ordre qui nous a mis tous à
deux
doigts de notre perte, il est question présenteme
ge aux auteurs et aux personnes qui, n’ayant pas le moyen de dépenser
quinze
sols, ne voyaient le spectacle que par charité, s
s comédiens et comédiennes du Palais-Royal et du Marais, sous l’année
1673.
*. [Note marginale] Son nom de famille était Mi
s se trouvent à la fin du prologue des Amants magnifiques ; voici les
deux
derniers : Mais contre ma puissance, on n’en mur
it jamais naufrage. [*]. [Note marginale] Bolæana, in-12, p. 35 et
37.
1. [Note marginale] Allusion à des moines qui on
mais naufrage. [*]. [Note marginale] Bolæana, in-12, p. 35 et 37.
1.
[Note marginale] Allusion à des moines qui ont à
ines qui ont à leur suite quelque petit frère qui porte le chapeau.
2.
[Note marginale] Discours sur la question si le t
la question si le théâtre est une bonne école pour les mœurs, in-4°.
1.
[Note marginale] Tome XXI, première partie, p. 11
est une bonne école pour les mœurs, in-4°. 1. [Note marginale] Tome
XXI
, première partie, p. 115. a. Ce fait a été plusi
t, furent jouées sur le même théâtre. *. [Note marginale] Voyez tome
VIII
, p. 233. a. Dans les Mémoires sur la vie et les
ur la vie et les ouvrages de Molière, après avoir parlé du succès des
deux
premières comédies de Molière (L’Étourdi et Le Dé
aient à peine le nom de comédie ; telles que Le Docteur amoureux, Les
Trois
Docteurs rivaux, et Le Maître d’école, dont il ne
fond, à la manière des comédiens italiens ; mais si l’on en juge par
deux
pièces du même genre qui sont parvenues manuscrit
nt lui acquérir le degré de réputation auquel il aspirait. » a. Ces
deux
pièces se trouvent dans le cabinet de quelques cu
ière, avec des jugements sur ses ouvrages. *. [Note marginale] Chant
II
. [*]. [Note marginale] Argument du ballet. 1. [
Note marginale] Chant II. [*]. [Note marginale] Argument du ballet.
1.
[Note marginale] Pyrame et Thisbé, de Théophile.
ment du ballet. 1. [Note marginale] Pyrame et Thisbé, de Théophile.
2.
[Note marginale] Molière. *. [Note marginale] To
de Théophile. 2. [Note marginale] Molière. *. [Note marginale] Tome
IV
des Oeuvres de Molière, édition de Paris, in-12,
e marginale] Tome IV des Oeuvres de Molière, édition de Paris, in-12,
1739
[*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
vie et les ouvrages de Molière. a. « [*]Molière n’a jamais fait que
deux
actes de cette comédie, le roi se contenta de ces
amais fait que deux actes de cette comédie, le roi se contenta de ces
deux
actes dans la fête du Ballet des Muses. Le public
mais le génie. » *. [Note marginale] Fils du comédien qui mourut le
28
janvier 1728. *. [Note marginale] De l’Hôtel de
ie. » *. [Note marginale] Fils du comédien qui mourut le 28 janvier
1728.
*. [Note marginale] De l’Hôtel de Bourgogne. [*
uvrages de Molière s’est trompé en donnant le rôle d’Hali à Molière.
1.
[Note marginale] 10 juin. 2. [Note marginale] Le
’est trompé en donnant le rôle d’Hali à Molière. 1. [Note marginale]
10
juin. 2. [Note marginale] Le Ballet des Muses.
é en donnant le rôle d’Hali à Molière. 1. [Note marginale] 10 juin.
2.
[Note marginale] Le Ballet des Muses. *. [Note m
juin. 2. [Note marginale] Le Ballet des Muses. *. [Note marginale]
13
juin. *. [Note marginale] Mlles Molière et de Br
res de Molière marquent la première représentation de l’Amphitryon au
13
juin 1668. Cependant, par le passage d’une lettre
olière marquent la première représentation de l’Amphitryon au 13 juin
1668.
Cependant, par le passage d’une lettre de Robinet
i, on voit non seulement que cette comédie fut jouée devant le roi le
16
janvier précédent, mais aussi qu’elle avait été r
représentée à Paris avant de paraître à la Cour. *. [Note marginale]
16
janvier. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, a
ais il leur donne un autre tour : et s’il n’y avait qu’à comparer ces
deux
pièces l’une avec l’autre pour décider la dispute
a supériorité ou l’infériorité des anciens (M. Bayle écrivait ceci en
1696
), je crois que M. Perrault gagnerait bientôt sa c
e. *. [Note marginale] Voyez l’article de cette comédie sous l’année
1669.
*. [Note marginale] Voyez l’article de cette piè
année 1669. *. [Note marginale] Voyez l’article de cette pièce, tome
V
, p. 229 de cette Histoire. *. [Note marginale]
*. [Note marginale] Solventur risu tabulæ, tu missus abibis , Sat.
I
, l. II, v. 86. [*]. [Note marginale] Bolæana, in
Note marginale] Solventur risu tabulæ, tu missus abibis , Sat. I, l.
II
, v. 86. [*]. [Note marginale] Bolæana, in-12, p.
rginale] Solventur risu tabulæ, tu missus abibis , Sat. I, l. II, v.
86.
[*]. [Note marginale] Bolæana, in-12, p. 33. [*
Note marginale] Bolæana, in-12, p. 33. [*]. [Note marginale] Article
II
, « De l’intrigue », p. 4 et suiv. [*]. [Note mar
et suiv. [*]. [Note marginale] Relation de la fête de Versailles, du
18
juillet, par M. Félibien. a. Beauchamp, Saint-An
a Pierre, Favier. b. Bergères. Bonard, Arnald, Noblet et Foignard.
1.
[Note marginale] D’Estival. 2. Le Gros. a. Su
Bonard, Arnald, Noblet et Foignard. 1. [Note marginale] D’Estival.
2.
Le Gros. a. Suivants de Bacchus. Beauchamp, Do
b. Bacchantes. Paysan, Manceau, Le Roy, Pesan. *. [Note marginale]
16
juillet. *. [Note marginale] George Dandin. *.
res de Molière, qui marquent la première représentation de L’Avare au
9
septembre 1668. Cependant on sait que cette coméd
re, qui marquent la première représentation de L’Avare au 9 septembre
1668.
Cependant on sait que cette comédie avait été jou
c d’abord ; il l’éprouva dans son Avare (qui parut au mois de janvier
1668
). À peine fut-il représenté sept fois. La prose d
e est-il fou, et nous prend-il pour des benêts, de nous faire essuyer
cinq
actes en prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravag
njuste et ignorant, lorsqu’il donna son Avare pour la seconde fois le
9
septembre 1668. On y fut en foule, et il fut joué
norant, lorsqu’il donna son Avare pour la seconde fois le 9 septembre
1668.
On y fut en foule, et il fut joué presque toute l
que le public goûte rarement les bonnes choses quand il est dépaysé.
Cinq
actes de prose l’avaient révolté la première fois
l ne lui coûte rien. a. Voyez la comédie de La Belle Plaideuse, tome
VII
, p. 66 de cette Histoire. a. « Pour preuve de t
sur l’article de Molière, et le Teatro di Flaminio Scala, imprimé en
1611.
» Note de M. Riccoboni. 1. [Note marginale] 16 s
e Teatro di Flaminio Scala, imprimé en 1611. » Note de M. Riccoboni.
1.
[Note marginale] 16 septembre. 2. [Note marginal
Scala, imprimé en 1611. » Note de M. Riccoboni. 1. [Note marginale]
16
septembre. 2. [Note marginale] 20 septembre. *.
en 1611. » Note de M. Riccoboni. 1. [Note marginale] 16 septembre.
2.
[Note marginale] 20 septembre. *. [Note marginal
M. Riccoboni. 1. [Note marginale] 16 septembre. 2. [Note marginale]
20
septembre. *. [Note marginale] George Dandin. 1
. [Note marginale] 20 septembre. *. [Note marginale] George Dandin.
1.
[Note marginale] Mardi 5 février. 2. [Note margi
embre. *. [Note marginale] George Dandin. 1. [Note marginale] Mardi
5
février. 2. [Note marginale] Autrement L’Imposte
Note marginale] George Dandin. 1. [Note marginale] Mardi 5 février.
2.
[Note marginale] Autrement L’Imposteur. 1. [Note
ginale] Mardi 5 février. 2. [Note marginale] Autrement L’Imposteur.
1.
[Note marginale] M. Molière 2. [Note marginale]
te marginale] Autrement L’Imposteur. 1. [Note marginale] M. Molière
2.
[Note marginale] Mlle Molière. 3. [Note marginal
. 1. [Note marginale] M. Molière 2. [Note marginale] Mlle Molière.
3.
[Note marginale] Le sieur Béjart. 4. [Note margi
[Note marginale] Mlle Molière. 3. [Note marginale] Le sieur Béjart.
4.
[Note marginale] Mlle Béjart. 5. [Note marginale
[Note marginale] Le sieur Béjart. 4. [Note marginale] Mlle Béjart.
5.
[Note marginale] Le sieur La Thorillière. 6. [No
arginale] Mlle Béjart. 5. [Note marginale] Le sieur La Thorillière.
6.
[Note marginale] M. Hubert. 7. [Note marginale]
marginale] Le sieur La Thorillière. 6. [Note marginale] M. Hubert.
7.
[Note marginale] Mlle de Brie. 8. [Note marginal
. 6. [Note marginale] M. Hubert. 7. [Note marginale] Mlle de Brie.
8.
[Note marginale] Le sieur La Grange. 9. [Note ma
te marginale] Mlle de Brie. 8. [Note marginale] Le sieur La Grange.
9.
[Note marginale] Le sieur Du Croisy. [*]. [Note
*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière.
1.
[Note marginale] Tome IX, p. 268. 2. [Note margi
ires sur la vie et les ouvrages de Molière. 1. [Note marginale] Tome
IX
, p. 268. 2. [Note marginale] Premier placet sur
ie et les ouvrages de Molière. 1. [Note marginale] Tome IX, p. 268.
2.
[Note marginale] Premier placet sur Tartuffe. a.
p. 268. 2. [Note marginale] Premier placet sur Tartuffe. a. « Les
trois
premiers actes représentés à Versailles le 12 mai
Tartuffe. a. « Les trois premiers actes représentés à Versailles le
12
mai 1664 le furent encore à Villers-Cotterêts che
e. a. « Les trois premiers actes représentés à Versailles le 12 mai
1664
le furent encore à Villers-Cotterêts chez Monsieu
Villers-Cotterêts chez Monsieur, en présence du roi et des reines, le
24
septembre suivant. La pièce entière fut jouée à R
bre suivant. La pièce entière fut jouée à Raincy chez M. le Prince le
29
novembre de la même année ; et au même lieu le 9
hez M. le Prince le 29 novembre de la même année ; et au même lieu le
9
novembre 1665. » Mémoires sur la vie et les ouvra
rince le 29 novembre de la même année ; et au même lieu le 9 novembre
1665.
» Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière.
e 9 novembre 1665. » Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière.
3.
[Note marginale] Premier placet sur Tartuffe. a.
’est à cette occasion qu’il fait dire à Alceste (Le Misanthrope, acte
V
, scène première) : Un traître, dont on sait la s
ernière rigueur, Dont le fourbe a le front de me faire l’auteur. »
1.
[Note marginale] Premier placet sur Le Tartuffe.
e l’auteur. » 1. [Note marginale] Premier placet sur Le Tartuffe.
2.
[Note marginale] Second placet sur Le Tartuffe.
sur Le Tartuffe. 2. [Note marginale] Second placet sur Le Tartuffe.
3.
[Note marginale] Ibidem. b. « [*]Le changement
us marqué qu’on ait fait à la comédie du Tartuffe est à ce vers, acte
III
, scène VII : Ô Ciel, pardonnez-lui la douleur qu
u’on ait fait à la comédie du Tartuffe est à ce vers, acte III, scène
VII
: Ô Ciel, pardonnez-lui la douleur qu’il me donn
moi comme je lui pardonne. » c. Ce fut sur cette représentation du
5
août 1667 qu’un auteur anonyme composa une brochu
me je lui pardonne. » c. Ce fut sur cette représentation du 5 août
1667
qu’un auteur anonyme composa une brochure intitul
cun changement à sa comédie, lorsqu’elle reparut sans interruption le
5
février 1669, excepté que le nom de Panulphe fut
ment à sa comédie, lorsqu’elle reparut sans interruption le 5 février
1669,
excepté que le nom de Panulphe fut changé en celu
Le Tartuffe. La première représentation en fut donc faite à Paris le
5
août 1667. Le lendemain on allait le rejouer ; l’
tuffe. La première représentation en fut donc faite à Paris le 5 août
1667.
Le lendemain on allait le rejouer ; l’assemblée é
uvrages de Molière. b. « [*]La comédie du Tartuffe fut représentée
trois
mois de suite, et durera autant qu’il y aura en F
. Je lisais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois entendu lire
trois
actes chez M. de Montmor, où se trouvèrent aussi
ertissement au goût du peuple, qui se réjouit fort à cette pièce. »
1.
[Note marginale] Voyez ci-dessous la lettre en ve
1. [Note marginale] Voyez ci-dessous la lettre en vers de Robinet, du
12
octobre. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la
Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses ouvrages.
1.
[Note marginale] Par la troupe de Molière. 2. [N
nts sur ses ouvrages. 1. [Note marginale] Par la troupe de Molière.
2.
[Note marginale] Lundi 6 octobre. 3. [Note margi
[Note marginale] Par la troupe de Molière. 2. [Note marginale] Lundi
6
octobre. 3. [Note marginale] Pourceaugnac. [*].
ale] Par la troupe de Molière. 2. [Note marginale] Lundi 6 octobre.
3.
[Note marginale] Pourceaugnac. [*]. [Note margin
re. 3. [Note marginale] Pourceaugnac. [*]. [Note marginale] Lully.
1.
[Note marginale] Voyez la seconde scène de Pource
nale] Voyez la seconde scène de Pourceaugnac, Œuvres de Molière, tome
V
, édition in-12, 1739. 2. [Note marginale] Mlle H
onde scène de Pourceaugnac, Œuvres de Molière, tome V, édition in-12,
1739.
2. [Note marginale] Mlle Hilaire, les sieurs Gay
ène de Pourceaugnac, Œuvres de Molière, tome V, édition in-12, 1739.
2.
[Note marginale] Mlle Hilaire, les sieurs Gaye et
oivent déguster à petites doses, et non être avalés à grandes gorgées
1.
Le seul auteur de ce siècle, que notre cerveau pu
lement une parole que j’avais donnée en publiant Stendhal et ses amis
2,
examiner les notes consacrées à notre plus grand
e de Spoelberch de Lovenjoul, m’apporta un jour un Molière, publié en
1814,
chez Nicolle, en 6 volumes in-S, annoté par Petit
njoul, m’apporta un jour un Molière, publié en 1814, chez Nicolle, en
6
volumes in-S, annoté par Petitot. C’est ce Molièr
un nouveau choix, non moins significatif : Quelques remarques du vol.
V
, de Molière : « Le despotisme de Nap. (oléon) fe
sentiments de Molière, autrement que par son dire. Feseur de Roman à
6
fr. la feuille. » « Nigaud » de Petitot ! l’abse
it que Molière eut là-dessus des ordres de Colbert. » Dans le volume
I
, du Molière, à propos de la Vie de Molière. ô inf
a Vie de Molière. ô infortuné Petitot ! « Au contraire, sot. » (Page
6.
) « Plat écrivain. » (Page 21.) « Quelle lourdeur
Petitot ! « Au contraire, sot. » (Page 6.) « Plat écrivain. » (Page
21.
) « Quelle lourdeur de collège, pensées bourgeoise
stile de Me Dudeffand. " (Même page.) « Qu’en sais-tu, bête ? » (Page
28.
) Voici « le pauvre diable », lorsque Petitot par
re diable », lorsque Petitot parle des confesseurs et de l’hypocrisie
7
: « On peut se représenter la société perfection
fférentes pièces encore inédites, de notre auteur ou le concernant.
I
Molière était l’objet constant de l’étude de S
ntenant les notes manuscrites furent reliés dans l’édition publiée en
1814
chez Nicolle, en 6 volumes in-S annotés par Petit
scrites furent reliés dans l’édition publiée en 1814 chez Nicolle, en
6
volumes in-S annotés par Petitot. Ce qui prouve q
on, c’est que certaines lignes sont coupées, par exemple dans le tome
I
, p. 1, Vie de Molière, et que les derniers mots d
lle, il en dit : « For the sight, édition plus nette que la mienne de
1804.
» J’avais déjà marqué dans Stendhal et ses amis,
llets liminaires sont tirées de l’édition stéréotype de Firmin Didot,
17999.
Les pièces dont nous publions les notes se trouve
dont nous publions les notes se trouvent dans les volumes suivants :
IV
. Le Misanthrope (1666), pp. 49/126. V. Le Tartuff
les notes se trouvent dans les volumes suivants : IV. Le Misanthrope (
1666
), pp. 49/126. V. Le Tartuffe (1664), pp. 5/108.
e trouvent dans les volumes suivants : IV. Le Misanthrope (1666), pp.
49
/126. V. Le Tartuffe (1664), pp. 5/108. George Da
rouvent dans les volumes suivants : IV. Le Misanthrope (1666), pp. 49/
126.
V. Le Tartuffe (1664), pp. 5/108. George Dandin
nt dans les volumes suivants : IV. Le Misanthrope (1666), pp. 49/126.
V.
Le Tartuffe (1664), pp. 5/108. George Dandin (16
mes suivants : IV. Le Misanthrope (1666), pp. 49/126. V. Le Tartuffe (
1664
), pp. 5/108. George Dandin (1668), pp. 195/274.
s : IV. Le Misanthrope (1666), pp. 49/126. V. Le Tartuffe (1664), pp.
5
/108. George Dandin (1668), pp. 195/274. VI. L’Av
: IV. Le Misanthrope (1666), pp. 49/126. V. Le Tartuffe (1664), pp. 5/
108.
George Dandin (1668), pp. 195/274. VI. L’Avare (
(1666), pp. 49/126. V. Le Tartuffe (1664), pp. 5/108. George Dandin (
1668
), pp. 195/274. VI. L’Avare (1667), pp. 5/115. VII
49/126. V. Le Tartuffe (1664), pp. 5/108. George Dandin (1668), pp.
195
/274. VI. L’Avare (1667), pp. 5/115. VII. Les Four
126. V. Le Tartuffe (1664), pp. 5/108. George Dandin (1668), pp. 195/
274.
VI. L’Avare (1667), pp. 5/115. VII. Les Fourberie
V. Le Tartuffe (1664), pp. 5/108. George Dandin (1668), pp. 195/274.
VI
. L’Avare (1667), pp. 5/115. VII. Les Fourberies d
e (1664), pp. 5/108. George Dandin (1668), pp. 195/274. VI. L’Avare (
1667
), pp. 5/115. VII. Les Fourberies de Scapin (1671)
p. 5/108. George Dandin (1668), pp. 195/274. VI. L’Avare (1667), pp.
5
/115. VII. Les Fourberies de Scapin (1671), pp. 5
5/108. George Dandin (1668), pp. 195/274. VI. L’Avare (1667), pp. 5/
115.
VII. Les Fourberies de Scapin (1671), pp. 5 209.
8. George Dandin (1668), pp. 195/274. VI. L’Avare (1667), pp. 5/115.
VII
. Les Fourberies de Scapin (1671), pp. 5 209. VIII
95/274. VI. L’Avare (1667), pp. 5/115. VII. Les Fourberies de Scapin (
1671
), pp. 5 209. VIII. Les Femmes savantes (1672), pp
L’Avare (1667), pp. 5/115. VII. Les Fourberies de Scapin (1671), pp.
5
209. VIII. Les Femmes savantes (1672), pp. 5/93.
’Avare (1667), pp. 5/115. VII. Les Fourberies de Scapin (1671), pp. 5
209.
VIII. Les Femmes savantes (1672), pp. 5/93. (Bib
e (1667), pp. 5/115. VII. Les Fourberies de Scapin (1671), pp. 5 209.
VIII
. Les Femmes savantes (1672), pp. 5/93. (Biblioth
es Fourberies de Scapin (1671), pp. 5 209. VIII. Les Femmes savantes (
1672
), pp. 5/93. (Bibliothèque nationale, Inventaire
es de Scapin (1671), pp. 5 209. VIII. Les Femmes savantes (1672), pp.
5
/93. (Bibliothèque nationale, Inventaire 2, 825 —
de Scapin (1671), pp. 5 209. VIII. Les Femmes savantes (1672), pp. 5/
93.
(Bibliothèque nationale, Inventaire 2, 825 — Y +
emmes savantes (1672), pp. 5/93. (Bibliothèque nationale, Inventaire
2,
825 — Y + 5520. C. 7/14.) II. Notes manusc
es savantes (1672), pp. 5/93. (Bibliothèque nationale, Inventaire 2,
825
— Y + 5520. C. 7/14.) II. Notes manuscrite
s (1672), pp. 5/93. (Bibliothèque nationale, Inventaire 2, 825 — Y +
5520.
C. 7/14.) II. Notes manuscrites de Beyle r
2), pp. 5/93. (Bibliothèque nationale, Inventaire 2, 825 — Y + 5520.
C.
7/14.) II. Notes manuscrites de Beyle rela
pp. 5/93. (Bibliothèque nationale, Inventaire 2, 825 — Y + 5520. C.
7
/14.) II. Notes manuscrites de Beyle relati
p. 5/93. (Bibliothèque nationale, Inventaire 2, 825 — Y + 5520. C. 7/
14.
) II. Notes manuscrites de Beyle relatives
(Bibliothèque nationale, Inventaire 2, 825 — Y + 5520. C. 7/14.)
II
. Notes manuscrites de Beyle relatives à Molièr
vent et beaucoup de naturel dans la manière d’exposer ces incidens. (
4
January 1815, mad by Love ; je…) * * * 24 août 18
aucoup de naturel dans la manière d’exposer ces incidens. (4 January
1815,
mad by Love ; je…) * * * 24 août 1816, minuit 1 4
re d’exposer ces incidens. (4 January 1815, mad by Love ; je…) * * *
24
août 1816, minuit 1 4. Du comique de Shakespeare1
oser ces incidens. (4 January 1815, mad by Love ; je…) * * * 24 août
1816,
minuit 1 4. Du comique de Shakespeare11 La gaît
dens. (4 January 1815, mad by Love ; je…) * * * 24 août 1816, minuit
1
4. Du comique de Shakespeare11 La gaîté folle e
ns. (4 January 1815, mad by Love ; je…) * * * 24 août 1816, minuit 1
4.
Du comique de Shakespeare11 La gaîté folle et c
apelle à la terre. C’est exactement ce que nous avons tous éprouvés à
12
ans quand lisant des comédies en cachette, nous n
e qui se berce de ces illusions ne peut pas sentir la comédie. * * *
8
décembre 1809. On pourrait faire une espèce de t
rce de ces illusions ne peut pas sentir la comédie. * * * 8 décembre
1809.
On pourrait faire une espèce de traduction des P
, les gens qui mettent la mémoire à la place de l’esprit. * * * Juin
1810.
La comédie des Précieuses ridicules, pleine de c
n loin de Van der Werff = Collé. c’est un tableau du Titien13. * * *
8
mars 181614. Chaque homme de génie doit brocher
de Van der Werff = Collé. c’est un tableau du Titien13. * * * 8 mars
181614.
Chaque homme de génie doit brocher pour soi une
un Collé greffé sur un Machiavel. * * * À propos des Femmes savantes
16
: Modèles dans la nature Julie d’Angenes. Mme Da
ns Vivian, par miss Edgeworth. * * * À propos des Amants magnifiques
17
: « 9 août 1816. Excellens matériaux pour la pei
n, par miss Edgeworth. * * * À propos des Amants magnifiques 17 : «
9
août 1816. Excellens matériaux pour la peinture d
miss Edgeworth. * * * À propos des Amants magnifiques 17 : « 9 août
1816.
Excellens matériaux pour la peinture de la Cour d
axarque est même fort hardie contre la Religion. » * * * Décidément
1813
marque une date fatale dans la vie de Stendhal :
ne date fatale dans la vie de Stendhal : « J’arrive enfin à Milan le
7
septembre 1815 », dit-il18. Il est amoureux de la
le dans la vie de Stendhal : « J’arrive enfin à Milan le 7 septembre
1815
», dit-il18. Il est amoureux de la comtesse Simon
ole centrale du département de l’Isère, dans la deuxième division, le
29
fructidor an VII, un premier prix de mathématique
département de l’Isère, dans la deuxième division, le 29 fructidor an
VII
, un premier prix de mathématiques dont le certifi
er prix de mathématiques dont le certificat nous a été conservé20.
III
. Notes diverses manuscrites de Beyle tirées de
« Voici un systeme of comedy qui me fut dit par Myselft [sic] en août
181021.
Art de faire des comédies Avant de faire un pla
Écrire et numéroter les actions des personnages ridicules qui sont de
deux
genres : Iº Situation comique. 5º Situation pro
rsonnages ridicules qui sont de deux genres : Iº Situation comique.
5º
Situation prouvant le caractère. Les meilleures s
ce sujet, je décrirais le caractère de Saint-Bernard, par exemple, en
dix
lignes, mais en comédie il faudrait le faire conc
st-à dire qu‘on ne peut faire voir de contour que par l’opposition de
deux
couleurs : A et B. Or il faut avoir de la place p
s vu qu’il n’est mêlé dans aucune affaire importante ? * * * Moscou,
1er
octobre 1812. Unité de lieu Loi bête, imposée pa
’est mêlé dans aucune affaire importante ? * * * Moscou, 1er octobre
1812.
Unité de lieu Loi bête, imposée par un public bê
c’est une absurdité, une supposition. (Myself sans nulle vanité.) le
16
février 1813. * * * Le rire23 1 On rit par une
bsurdité, une supposition. (Myself sans nulle vanité.) le 16 février
1813.
* * * Le rire23 1 On rit par une jouissance d’a
n. (Myself sans nulle vanité.) le 16 février 1813. * * * Le rire23
1
On rit par une jouissance d’amour-propre fondée s
lque perfection que la faiblesse d’autrui nous montre en nous (Mis le
18
nov. 1815 dans sd). 2 Pour peindre un caractère d
fection que la faiblesse d’autrui nous montre en nous (Mis le 18 nov.
1815
dans sd). 2 Pour peindre un caractère d’une maniè
faiblesse d’autrui nous montre en nous (Mis le 18 nov. 1815 dans sd).
2
Pour peindre un caractère d’une manière qui plais
uvent, et beaucoup de naturel dans la manière d’exposer ces incidens (
4
janvier 1815)24. Hobbes in is (sic) Discourse on
beaucoup de naturel dans la manière d’exposer ces incidens (4 janvier
1815
)24. Hobbes in is (sic) Discourse on Human nature
oup de naturel dans la manière d’exposer ces incidens (4 janvier 1815)
24.
Hobbes in is (sic) Discourse on Human nature sais
t in-12 de la Bibliothèque nationale m’éclaira soudainement vers l’an
1803.
Ces lignes contiennent l’idée première des deux
dainement vers l’an 1803. Ces lignes contiennent l’idée première des
deux
essais sur le Rire écrits par Stendhal à la date
première des deux essais sur le Rire écrits par Stendhal à la date de
1823
et insérés l’un dans Racine et Shakespeare, l’aut
exact et eût imprimé le morceau de Hobbes sur le Rire, et le discours
XXXV
du Spectateur, la page de Saint-Lambert sur Moliè
e, l’éloge de Molière par Chamfort, quelques phrases de Duclos, chap.
IX
(ce chapitre IX de Duclos n’ajoute rien à la scie
lière par Chamfort, quelques phrases de Duclos, chap. IX (ce chapitre
IX
de Duclos n’ajoute rien à la science. Il ne se do
oire romaine en madrigaux), le morceau de Voltaire cité par Cailhava,
I
, 474, quelques alinéas de Collé, Mémoires, quatre
e romaine en madrigaux), le morceau de Voltaire cité par Cailhava, I,
474,
quelques alinéas de Collé, Mémoires, quatre ou ci
taire cité par Cailhava, I, 474, quelques alinéas de Collé, Mémoires,
quatre
ou cinq articles de Marmontel. » « Plana26 et moi
par Cailhava, I, 474, quelques alinéas de Collé, Mémoires, quatre ou
cinq
articles de Marmontel. » « Plana26 et moi avons r
ticles de Marmontel. » « Plana26 et moi avons ri comme des coffres en
1800
aux trois ou quatre premières lectures des Femmes
Marmontel. » « Plana26 et moi avons ri comme des coffres en 1800 aux
trois
ou quatre premières lectures des Femmes savantes
l. » « Plana26 et moi avons ri comme des coffres en 1800 aux trois ou
quatre
premières lectures des Femmes savantes ; aujourd’
qu’il n’y a rien à gagner Ainsi au Jaloux sans amour où il n’y a que
deux
pauvres petites plaisanteries, j’ai ri de manière
nteries, j’ai ri de manière à scandaliser le vicomte pessimiste27. »
10
avril 1814. (Seyssins ?) * * * « Encor Paris le 2
j’ai ri de manière à scandaliser le vicomte pessimiste27. » 10 avril
1814.
(Seyssins ?) * * * « Encor Paris le 24 mai 181128
e pessimiste27. » 10 avril 1814. (Seyssins ?) * * * « Encor Paris le
24
mai 181128. » (1815) « Tu ne perds rien à n’être
miste27. » 10 avril 1814. (Seyssins ?) * * * « Encor Paris le 24 mai
181128.
» (1815) « Tu ne perds rien à n’être plus au cou
10 avril 1814. (Seyssins ?) * * * « Encor Paris le 24 mai 181128. » (
1815
) « Tu ne perds rien à n’être plus au courant de
ars même à côté de qui j’étais ? « À propos de Don Juan, j’en demande
mille
pardons à Shleghel (sic) et à Mme de Staël, dont
pé dans ses plaisirs que par la mort. Cela n’est pas gai ». Seyssins
29.
IV. Le Molière de Grenoble Je marquais, dan
ses plaisirs que par la mort. Cela n’est pas gai ». Seyssins 29.
IV
. Le Molière de Grenoble Je marquais, dans Sten
nservés dans la bibliothèque de la ville de Grenoble : « une série de
28
volumes dans une reliure uniforme en demi-veau ve
tous les formats depuis l’in-folio jusqu’à l’in-12 », sous la cote R.
5896.
Le Molière est le volume 18 de cette série qui es
lio jusqu’à l’in-12 », sous la cote R. 5896. Le Molière est le volume
18
de cette série qui est ainsi désigné sous le nº 9
ière est le volume 18 de cette série qui est ainsi désigné sous le nº
958,
p. 288, du Catalogue général des Manuscrits des B
« Commentaires sur Molière et sur plusieurs de ses comédies, Novembre
1813.
— 138 feuillets, 248 sur 280 millim.30. » J’ai ex
taires sur Molière et sur plusieurs de ses comédies, Novembre 1813. —
138
feuillets, 248 sur 280 millim.30. » J’ai examiné
ère et sur plusieurs de ses comédies, Novembre 1813. — 138 feuillets,
248
sur 280 millim.30. » J’ai examiné à nouveau cette
ur plusieurs de ses comédies, Novembre 1813. — 138 feuillets, 248 sur
280
millim.30. » J’ai examiné à nouveau cette année (
ts, 248 sur 280 millim.30. » J’ai examiné à nouveau cette année (août
1896
) ce manuscrit, qui renferme des pièces in-4 et in
pièces in-4 et in-folio dont voici l’inventaire : — F. A. recto : No.
12.
Commentaires sur Molière, et sur plusieurs de ses
Commentaires sur Molière, et sur plusieurs de ses comédies, novembre
1813.
On Comedy. 8 décembre 1815. — F. A. verso et F.
Molière, et sur plusieurs de ses comédies, novembre 1813. On Comedy.
8
décembre 1815. — F. A. verso et F. B., blancs. 13
sur plusieurs de ses comédies, novembre 1813. On Comedy. 8 décembre
1815.
— F. A. verso et F. B., blancs. 138 feuillets chi
re 1813. On Comedy. 8 décembre 1815. — F. A. verso et F. B., blancs.
138
feuillets chiffrés : I — F. 1 Commentaire s
mbre 1815. — F. A. verso et F. B., blancs. 138 feuillets chiffrés :
I
— F. 1 Commentaire sur les Femmes savantes. C
— F. A. verso et F. B., blancs. 138 feuillets chiffrés : I — F.
1
Commentaire sur les Femmes savantes. C’est-à-dir
que eues en lisant cette Comédie, dans l’intervalle de mes R. V, les
2,
5 et 4 novembre 1813, Tome 331 de l’édon stéréoty
e eues en lisant cette Comédie, dans l’intervalle de mes R. V, les 2,
5
et 4 novembre 1813, Tome 331 de l’édon stéréotype
s en lisant cette Comédie, dans l’intervalle de mes R. V, les 2, 5 et
4
novembre 1813, Tome 331 de l’édon stéréotype de D
cette Comédie, dans l’intervalle de mes R. V, les 2, 5 et 4 novembre
1813,
Tome 331 de l’édon stéréotype de Didot. — F. 2.
die, dans l’intervalle de mes R. V, les 2, 5 et 4 novembre 1813, Tome
331
de l’édon stéréotype de Didot. — F. 2. recto. Ne
, 5 et 4 novembre 1813, Tome 331 de l’édon stéréotype de Didot. — F.
2.
recto. Ne commence qu’à la p. 125 de ma publicati
[jusqu’à] vétusté. » Puis le manuscrit continue comme le mien, Acte
IV
, etc., voir p. 126 : « Armande devient odieuse.
ande devient odieuse. » D’ailleurs le f. était numéroté par Stendhal
61
; il manque donc les ff. I-60 au manuscrit. — F.
roté par Stendhal 61 ; il manque donc les ff. I-60 au manuscrit. — F.
2.
verso : N’a pas (voir ma page 129) : « Allons, m
donc les ff. I-60 au manuscrit. — F. 2. verso : N’a pas (voir ma page
129
) : « Allons, monsieur. » mais il porte On en r
a page 129) : « Allons, monsieur. » mais il porte On en rit. — F.
3.
recto : RÉFLEXIONS GÉNÉRALES Elles finissent a
F. 3. recto : RÉFLEXIONS GÉNÉRALES Elles finissent au verso du f.
5
avec : « Place à l’Institut. » Qui se trouve p.
Place à l’Institut. » Qui se trouve p. 133 de ma publication ; le f.
6
est blanc ; le f. 7 reprend avec « Il y a des ar
» Qui se trouve p. 133 de ma publication ; le f. 6 est blanc ; le f.
7
reprend avec « Il y a des arts » à la p. 133 et
onc moins bon que le mien, qui paraît être une copie définitive. — F.
8
recto : Reprise des notes du premier acte qui dev
ecto : Reprise des notes du premier acte qui devraient précéder le f.
2
recto. — F. 10. recto : Nous retrouvons, daté «
des notes du premier acte qui devraient précéder le f. 2 recto. — F.
10.
recto : Nous retrouvons, daté « 29bre 1813 » jusq
ent précéder le f. 2 recto. — F. 10. recto : Nous retrouvons, daté «
29bre
1813 » jusqu’au 11 verso l’introduction : « Si v
écéder le f. 2 recto. — F. 10. recto : Nous retrouvons, daté « 29bre
1813
» jusqu’au 11 verso l’introduction : « Si vous l
ecto. — F. 10. recto : Nous retrouvons, daté « 29bre 1813 » jusqu’au
11
verso l’introduction : « Si vous lisez une coméd
ment revu, ainsi que par faute de soin et de connaissance du relieur.
II
— F. 12 recto — F. 15 recto : 4 9bre 1813. les F
u, ainsi que par faute de soin et de connaissance du relieur. II — F.
12
recto — F. 15 recto : 4 9bre 1813. les Fourberie
ar faute de soin et de connaissance du relieur. II — F. 12 recto — F.
15
recto : 4 9bre 1813. les Fourberies de Scapin. [
soin et de connaissance du relieur. II — F. 12 recto — F. 15 recto :
4
9bre 1813. les Fourberies de Scapin. [p.XVII]
in et de connaissance du relieur. II — F. 12 recto — F. 15 recto : 4
9bre
1813. les Fourberies de Scapin. [p.XVII] III
de connaissance du relieur. II — F. 12 recto — F. 15 recto : 4 9bre
1813.
les Fourberies de Scapin. [p.XVII] III
— F. 15 recto : 4 9bre 1813. les Fourberies de Scapin. [p.XVII]
III
Reprise des observations sur les Femmes
p.XVII] III Reprise des observations sur les Femmes — F.
16
recto : { savantes (3 9bre 1813). Acte 2. —
Reprise des observations sur les Femmes — F. 16 recto : { savantes (
3
9bre 1813). Acte 2. — F. 18. recto : Acte 3
eprise des observations sur les Femmes — F. 16 recto : { savantes (3
9bre
1813). Acte 2. — F. 18. recto : Acte 3. Le
e des observations sur les Femmes — F. 16 recto : { savantes (3 9bre
1813
). Acte 2. — F. 18. recto : Acte 3. Le relie
s sur les Femmes — F. 16 recto : { savantes (3 9bre 1813). Acte
2.
— F. 18. recto : Acte 3. Le relieur a fait une v
Femmes — F. 16 recto : { savantes (3 9bre 1813). Acte 2. — F.
18.
recto : Acte 3. Le relieur a fait une vraie salad
recto : { savantes (3 9bre 1813). Acte 2. — F. 18. recto : Acte
3.
Le relieur a fait une vraie salade. IV — F.
e 2. — F. 18. recto : Acte 3. Le relieur a fait une vraie salade.
IV
— F. 20. recto et verso : Diverses phrases jet
18. recto : Acte 3. Le relieur a fait une vraie salade. IV — F.
20.
recto et verso : Diverses phrases jetées au coura
a pensée. « To send to Gina from Paris un ex. des Chiamati parlanti,
3
vol.in-8º le La Harpe d’Auger. » V — F. no
un ex. des Chiamati parlanti, 3 vol.in-8º le La Harpe d’Auger. »
V
— F. non numéroté [20 bis] Manuscrit. Fin du
lanti, 3 vol.in-8º le La Harpe d’Auger. » V — F. non numéroté [
20
bis] Manuscrit. Fin du Commentaire sur George Da
numéroté [20 bis] Manuscrit. Fin du Commentaire sur George Dandin.
8
9bre à Milan. — F. 21-34 : Notes sur Dandin, feui
uméroté [20 bis] Manuscrit. Fin du Commentaire sur George Dandin. 8
9bre
à Milan. — F. 21-34 : Notes sur Dandin, feuillets
nuscrit. Fin du Commentaire sur George Dandin. 8 9bre à Milan. — F.
21-34
: Notes sur Dandin, feuillets également transposé
an. — F. 21-34 : Notes sur Dandin, feuillets également transposés.
VI
— F. 35. recto : Notes sur le Tartuffe. « Mi
-34 : Notes sur Dandin, feuillets également transposés. VI — F.
35.
recto : Notes sur le Tartuffe. « Milan from the
. VI — F. 35. recto : Notes sur le Tartuffe. « Milan from the
9th
till the 11th november 1813. Fait à Milan du 9 au
F. 35. recto : Notes sur le Tartuffe. « Milan from the 9th till the
11th
november 1813. Fait à Milan du 9 au 11 novembre 1
Notes sur le Tartuffe. « Milan from the 9th till the 11th november
1813.
Fait à Milan du 9 au 11 novembre 1813 » Continue
. « Milan from the 9th till the 11th november 1813. Fait à Milan du
9
au 11 novembre 1813 » Continue le Tartuffe jusqu
Milan from the 9th till the 11th november 1813. Fait à Milan du 9 au
11
novembre 1813 » Continue le Tartuffe jusqu’au f.
the 9th till the 11th november 1813. Fait à Milan du 9 au 11 novembre
1813
» Continue le Tartuffe jusqu’au f. 49 recto.
à Milan du 9 au 11 novembre 1813 » Continue le Tartuffe jusqu’au f.
49
recto. VII — F. 50. recto : No. 25. M. V.
au 11 novembre 1813 » Continue le Tartuffe jusqu’au f. 49 recto.
VII
— F. 50. recto : No. 25. M. V. D. M. « Voyag
re 1813 » Continue le Tartuffe jusqu’au f. 49 recto. VII — F.
50.
recto : No. 25. M. V. D. M. « Voyage à Brunswic
nue le Tartuffe jusqu’au f. 49 recto. VII — F. 50. recto : No.
25.
M. V. D. M. « Voyage à Brunswick, écrit en avri
0. recto : No. 25. M. V. D. M. « Voyage à Brunswick, écrit en avril
1808,
après un séjour de 16 mois dans le pays, y étant
D. M. « Voyage à Brunswick, écrit en avril 1808, après un séjour de
16
mois dans le pays, y étant arrivé le 13 novembre
vril 1808, après un séjour de 16 mois dans le pays, y étant arrivé le
13
novembre 1806. » « Suite d’Observations sur les l
près un séjour de 16 mois dans le pays, y étant arrivé le 13 novembre
1806.
» « Suite d’Observations sur les lieux, les auber
les auberges, les habitudes, l’aspect du pays, &c. « Le chapitre
3,
intitulé : Etat politique, mœurs, est resté inac
en qui se rapporte directement à la biographie de l’auteur32. » — F.
51.
recto : 13 avril 1808. Voyage a Brunswick, « Je s
pporte directement à la biographie de l’auteur32. » — F. 51. recto :
13
avril 1808. Voyage a Brunswick, « Je suis arrivé
rectement à la biographie de l’auteur32. » — F. 51. recto : 13 avril
1808.
Voyage a Brunswick, « Je suis arrivé le 13 Novemb
F. 51. recto : 13 avril 1808. Voyage a Brunswick, « Je suis arrivé le
13
Novembre 1806 dans un petit pays de 200 mile habi
: 13 avril 1808. Voyage a Brunswick, « Je suis arrivé le 13 Novembre
1806
dans un petit pays de 200 mile habitans célèbre p
Brunswick, « Je suis arrivé le 13 Novembre 1806 dans un petit pays de
200
mile habitans célèbre par son prince. Le duché de
onnu de toutes les petites principautés de l’Allemagne… » Va jusqu’à
74
verso. VIII — F. 75 recto : La Comtesse de
les petites principautés de l’Allemagne… » Va jusqu’à 74 verso.
VIII
— F. 75 recto : La Comtesse de Savoye, 20 nove
principautés de l’Allemagne… » Va jusqu’à 74 verso. VIII — F.
75
recto : La Comtesse de Savoye, 20 novembre 1820 j
jusqu’à 74 verso. VIII — F. 75 recto : La Comtesse de Savoye,
20
novembre 1820 jusqu’au f. 90 recto. IX — F
verso. VIII — F. 75 recto : La Comtesse de Savoye, 20 novembre
1820
jusqu’au f. 90 recto. IX — F. 91 recto — 1
— F. 75 recto : La Comtesse de Savoye, 20 novembre 1820 jusqu’au f.
90
recto. IX — F. 91 recto — 102 recto : Misa
o : La Comtesse de Savoye, 20 novembre 1820 jusqu’au f. 90 recto.
IX
— F. 91 recto — 102 recto : Misanthrope. X
esse de Savoye, 20 novembre 1820 jusqu’au f. 90 recto. IX — F.
91
recto — 102 recto : Misanthrope. X — F. 10
oye, 20 novembre 1820 jusqu’au f. 90 recto. IX — F. 91 recto —
102
recto : Misanthrope. X — F. 103 recto : Le
u f. 90 recto. IX — F. 91 recto — 102 recto : Misanthrope.
X
— F. 103 recto : Les Géorgiques. « Traduites
cto. IX — F. 91 recto — 102 recto : Misanthrope. X — F.
103
recto : Les Géorgiques. « Traduites mot à mot B
— F. 103 recto : Les Géorgiques. « Traduites mot à mot Brumaire an
11.
» XI — F. 107 recto — 110 recto : Notes su
recto : Les Géorgiques. « Traduites mot à mot Brumaire an 11. »
XI
— F. 107 recto — 110 recto : Notes sur le Misa
Géorgiques. « Traduites mot à mot Brumaire an 11. » XI — F.
107
recto — 110 recto : Notes sur le Misanthrope 31 X
« Traduites mot à mot Brumaire an 11. » XI — F. 107 recto —
110
recto : Notes sur le Misanthrope 31 Xbre 1813.
11. » XI — F. 107 recto — 110 recto : Notes sur le Misanthrope
31
Xbre 1813. XII — F. m : Remarques sur le P
XI — F. 107 recto — 110 recto : Notes sur le Misanthrope 31 Xbre
1813.
XII — F. m : Remarques sur le Plan du 27 g
F. 107 recto — 110 recto : Notes sur le Misanthrope 31 Xbre 1813.
XII
— F. m : Remarques sur le Plan du 27 germinal
isanthrope 31 Xbre 1813. XII — F. m : Remarques sur le Plan du
27
germinal n. La pièce des Deux Hommes, cf. Stendha
XII — F. m : Remarques sur le Plan du 27 germinal n. La pièce des
Deux
Hommes, cf. Stendhal et ses Amis, p. 110. XIII
nal n. La pièce des Deux Hommes, cf. Stendhal et ses Amis, p. 110.
XIII
— F. 112 recto à 133 recto : diverses pièces d
ce des Deux Hommes, cf. Stendhal et ses Amis, p. 110. XIII — F.
112
recto à 133 recto : diverses pièces dont (f. 113)
Hommes, cf. Stendhal et ses Amis, p. 110. XIII — F. 112 recto à
133
recto : diverses pièces dont (f. 113) la copie de
110. XIII — F. 112 recto à 133 recto : diverses pièces dont (f.
113
) la copie de la traduction partielle du premier l
traduction partielle du premier livre de Y Iliade de Lebrun ; lire f.
125
verso la consultation du médecin de Stendhal et f
brun ; lire f. 125 verso la consultation du médecin de Stendhal et f.
125
recto les réflexions de Stendhal, 30 juin 1817 :
on du médecin de Stendhal et f. 125 recto les réflexions de Stendhal,
30
juin 1817 : « Tout le mal est pletore, et stagna
decin de Stendhal et f. 125 recto les réflexions de Stendhal, 30 juin
1817
: « Tout le mal est pletore, et stagnation du sa
le mal est pletore, et stagnation du sang dans le côté du cœur »…
XIV
— F. 134 — 138 blancs. V. Volume de M. Al
letore, et stagnation du sang dans le côté du cœur »… XIV — F.
134
— 138 blancs. V. Volume de M. Alfred Mayrarg
, et stagnation du sang dans le côté du cœur »… XIV — F. 134 —
138
blancs. V. Volume de M. Alfred Mayrargues. E
u sang dans le côté du cœur »… XIV — F. 134 — 138 blancs.
V.
Volume de M. Alfred Mayrargues. Elementari sulla
ranscris ci-dessus. Le livre était accompagné de la lettre suivante :
V.
d’Avray, samedi. Cher ami, en arrivant à V. d’Av
de la lettre suivante : V. d’Avray, samedi. Cher ami, en arrivant à
V.
d’Avray, j’ai pratiqué des fouilles dans ma bibli
Rome le capitaine Bazouin, commandant la place de Civita-Vecchia, en
1865
il m’avait présenté à Civita-Vecchia à l’archéolo
ue Bucci, ami intime de Stendhal ; le Bucci était des plus charmants.
2º
Deux notes du signor Bucci à moi adressées avec l
Bucci, ami intime de Stendhal ; le Bucci était des plus charmants. 2º
Deux
notes du signor Bucci à moi adressées avec le vol
Mayrargues Voici la lettre du capitaine Bazouin. Civita-Vecchia. le
25
mars 1865. Cher monsieur. Je n’ai pas oublié le
ues Voici la lettre du capitaine Bazouin. Civita-Vecchia. le 25 mars
1865.
Cher monsieur. Je n’ai pas oublié le désir que v
cueil factice, qui porte le titre : Elementari sulla Poesia, comprend
six
pièces dont les deux premières en italien et les
orte le titre : Elementari sulla Poesia, comprend six pièces dont les
deux
premières en italien et les trois dernières en an
Poesia, comprend six pièces dont les deux premières en italien et les
trois
dernières en anglais. Nous allons passer successi
paraissant souvent fautive. Au verso de la reliure : « Hamlet
23
and 26 My author two pages feraient une bible. Ma
sant souvent fautive. Au verso de la reliure : « Hamlet 23 and
26
My author two pages feraient une bible. Ma illisi
itself seem me damp in speaking of my of the bishop Quentin Durward
5
janvier 1830. » Sur le recto du faux-titre : « 2
em me damp in speaking of my of the bishop Quentin Durward 5 janvier
1830.
» Sur le recto du faux-titre : « 2 RÈGLES HAIIII
op Quentin Durward 5 janvier 1830. » Sur le recto du faux-titre : «
2
RÈGLES HAIIII Des détails l’auteur ne doit pas |
ens secs la narration destinée à toucher. Comment toucher un homme de
60
ans ? » Sur le verso du faux-titre : « the mati
ans ? » Sur le verso du faux-titre : « the matin ? impossible sans
12000
au petit et très petit pied " « Définition. Le Fr
Être vain et vif souvent picoté par l’envie. » Hist. de la Peinture
181733.
Sur le titre de la première brochure : « to M. B
tmartre : Épitaphe : QUI GIACE ENRICO BEYLE MILANESE FU À MOSCÀ NELL
18I336
VISSE, SCRISSE, AMO VENERO CIMAROSA, MOZART37 E
on que : « Cette épitaphe subit une modification par son testament du
28
septembre 1840, déposé, pour minute, à M. Julien
tte épitaphe subit une modification par son testament du 28 septembre
1840,
déposé, pour minute, à M. Julien Yves, notaire à
is, comme on la voit sur son tombeau au cemetière [sic] de Montmartre
38
, savoir : ARRIGO BEYLE MILANESE VISSE SCRISSE,
8 , savoir : ARRIGO BEYLE MILANESE VISSE SCRISSE, AMÔ SE NE ANDIEDE
DI
ANNI… NEL 18.. Il recommandait de n’y ajouter a
ARRIGO BEYLE MILANESE VISSE SCRISSE, AMÔ SE NE ANDIEDE DI ANNI… NEL
18.
. Il recommandait de n’y ajouter aucune platitud
atitude élogieuse. » La troisième brochure est une édition de Hamlet
39
au bas de la p. ix. « Très bien 30 7bre 1822. An
rochure est une édition de Hamlet 39 au bas de la p. ix. « Très bien
30
7bre 1822. Anniversaire del Giardino » À propos
hure est une édition de Hamlet 39 au bas de la p. ix. « Très bien 30
7bre
1822. Anniversaire del Giardino » À propos d’une
est une édition de Hamlet 39 au bas de la p. ix. « Très bien 30 7bre
1822.
Anniversaire del Giardino » À propos d’une note
crayon) : Pour être compris des armateurs (amateurs ?) grossiers de
1580
Du reste parfait exemple du sublime 5 janvier 18
s (amateurs ?) grossiers de 1580 Du reste parfait exemple du sublime
5
janvier 1830. À la page suivante, 25, une note ré
s ?) grossiers de 1580 Du reste parfait exemple du sublime 5 janvier
1830.
À la page suivante, 25, une note répond à Hamlet
reste parfait exemple du sublime 5 janvier 1830. À la page suivante,
25,
une note répond à Hamlet parlant au Spectre : Ha
note répond à Hamlet parlant au Spectre : Haste me to know it, that
I
. with wings as swift As meditation, or the though
s au crayon, comme la précédente), le Spectre : But soft ! metkinks.
1
scent the morning air Déjà il a l’expérience de s
nt the morning air Déjà il a l’expérience de son nouvel état. » Page
26
: Le Spectre : Cut off even in the blossoms of m
book and volume of my brain. Unmix’d with baser matter, yes by heaven
I
have sworn it. « Etudiant allemand. » Observatio
suivantes : Epithète à la Delille pour plaire aux gens grossiers de
1570.
Il n’est pas Achille, mais un étudiant allemand.
rième pièce du recueil est la célèbre comédie de Sheridan, The Rivals
40
: Sur le titre même de la brochure : « Good à co
cepté le dernier acte. Bonne pièce de romanesque [illisible] Paris,
7
décembre 1821. leçon de Mr Daunou » Au bas de l
rnier acte. Bonne pièce de romanesque [illisible] Paris, 7 décembre
1821.
leçon de Mr Daunou » Au bas de la p. 76, la der
ière : “My letter on Richard III mal traduite in the Examiner of the
24
décembre 1821, le jour of my arrivalà Paris from
letter on Richard III mal traduite in the Examiner of the 24 décembre
1821,
le jour of my arrivalà Paris from London” La piè
24 décembre 1821, le jour of my arrivalà Paris from London” La pièce
5
du recueil est The Beaux’ Slratagem, de G. Farquh
ndon” La pièce 5 du recueil est The Beaux’ Slratagem, de G. Farquhar
41
: Au verso du deuxième f. prél. n. chiffré : « A
Au verso du deuxième f. prél. n. chiffré : « Apparemment Lichtfield
1720
28 7bre 1822.” P. 59, Mrs. Sullen : Hold, sir,
rso du deuxième f. prél. n. chiffré : « Apparemment Lichtfield 1720
28
7bre 1822.” P. 59, Mrs. Sullen : Hold, sir, buil
du deuxième f. prél. n. chiffré : « Apparemment Lichtfield 1720 28
7bre
1822.” P. 59, Mrs. Sullen : Hold, sir, build not
euxième f. prél. n. chiffré : « Apparemment Lichtfield 1720 28 7bre
1822.
” P. 59, Mrs. Sullen : Hold, sir, build not upon
d not upon that — for my most mor tal h follows, if you disobey wh at
I
command you now -leave me this minute -If he deni
e -If he denies. (Aside) I’m lost. « Ah que c’est bien ! » La pièce
6
du recueil est Macbeth, de Shakspeare42 qui n’est
recto du dernier feuillet de garde : THE GREATEST EVENT OF HIS LIFE
4
mars 1818 visite one who pleases to me 30 septemb
du dernier feuillet de garde : THE GREATEST EVENT OF HIS LIFE 4 mars
1818
visite one who pleases to me 30 septembre 1818 ne
E GREATEST EVENT OF HIS LIFE 4 mars 1818 visite one who pleases to me
30
septembre 1818 nell giardino 10 juin 1819 " TABL
ENT OF HIS LIFE 4 mars 1818 visite one who pleases to me 30 septembre
1818
nell giardino 10 juin 1819 " TABLE Brochures rom
ars 1818 visite one who pleases to me 30 septembre 1818 nell giardino
10
juin 1819 " TABLE Brochures romantiques de Mr
visite one who pleases to me 30 septembre 1818 nell giardino 10 juin
1819
" TABLE Brochures romantiques de Mr le Mis Er.
LE MANQUE DE LOVE IN MY LIFE « Les (figure) les (figure) les (figure)
43
ont passé leur tcms à orner leurs habits, moi à
e porterons d’habits. Dire après notre mort peut-être parlerait-on de
D
[illisible] Novembre 1830 » « 1827 me semble hi
re après notre mort peut-être parlerait-on de D [illisible] Novembre
1830
» « 1827 me semble hier 5 janvier 1830. » « L’
otre mort peut-être parlerait-on de D [illisible] Novembre 1830 » «
1827
me semble hier 5 janvier 1830. » « L’événement
arlerait-on de D [illisible] Novembre 1830 » « 1827 me semble hier
5
janvier 1830. » « L’événement frappant plus aprè
n de D [illisible] Novembre 1830 » « 1827 me semble hier 5 janvier
1830.
» « L’événement frappant plus après quarante ans
me semble hier 5 janvier 1830. » « L’événement frappant plus après
quarante
ans » 1er janvier 1830. « La Passion adoucir pa
5 janvier 1830. » « L’événement frappant plus après quarante ans »
1er
janvier 1830. « La Passion adoucir par notre civ
830. » « L’événement frappant plus après quarante ans » 1er janvier
1830.
« La Passion adoucir par notre civilisation ; ex
rdin du Roy. » Au recto de la reliure à la fin : Volume retrouvé le
24
avril 1827 rue de Grenelle saint-Germain ( ?) » «
oy. » Au recto de la reliure à la fin : Volume retrouvé le 24 avril
1827
rue de Grenelle saint-Germain ( ?) » « 24 avril 1
lume retrouvé le 24 avril 1827 rue de Grenelle saint-Germain ( ?) » «
24
avril 1827 écrit à M1’. Jeff par M. Rosterford (
ouvé le 24 avril 1827 rue de Grenelle saint-Germain ( ?) » « 24 avril
1827
écrit à M1’. Jeff par M. Rosterford ( ?) » [au cr
24 avril 1827 écrit à M1’. Jeff par M. Rosterford ( ?) » [au crayon]
1720
« 2 jours de mauvais goût ou différences de mon
1827 écrit à M1’. Jeff par M. Rosterford ( ?) » [au crayon] 1720 «
2
jours de mauvais goût ou différences de mon goût
j’en changerais) avec le goût du public Je dis le meilleur public de
1830
HAINE des détails mise en honneur par M. Scribe L
veut pas se prodiguer de là l’évêque poignardé de Quentin-Durward par
X
Apperçus à la La Bruyère pour faire avaler aux ge
a La Bruyère pour faire avaler aux gens secs la narration touchante.
5
janvier 1830. » À la suite des notes de Stendhal,
re pour faire avaler aux gens secs la narration touchante. 5 janvier
1830.
» À la suite des notes de Stendhal, transcrites p
titre ; Vie de César, sous la condition de n’avoir à les publier que
dix
ans après sa mort. M. Crozet, en m’en accusant ré
présent, ils n’ont pas été publiés, bien qu’ils auraient pu l’être en
52,
Stendhal étant mort le 23 mars 42. M. Prosper Mér
publiés, bien qu’ils auraient pu l’être en 52, Stendhal étant mort le
23
mars 42. M. Prosper Mérimée me demanda, il y a qu
bien qu’ils auraient pu l’être en 52, Stendhal étant mort le 23 mars
42.
M. Prosper Mérimée me demanda, il y a quelque tem
i trouvé le second volume de son ouvrage, Rome, Naples et Florence en
1S17
; avec beaucoup de notes autographes de l’auteur,
, il y en a quelques unes d’un frappant intérêt d’actualité. En voici
trois
spécimen « SITUATION PHYSIQUE DE ROME » "138 ans
d’actualité. En voici trois spécimen « SITUATION PHYSIQUE DE ROME » "
138
ans après la fondation de Rome, il y avait encore
ué par les prêtres, ne conviendra pas pour capitale à cette nation de
18
millions d’Italiens, qui naîtra dès que la France
par les prêtres, ne conviendra pas pour capitale à cette nation de 18
millions
d’Italiens, qui naîtra dès que la France lui enve
n de 18 millions d’Italiens, qui naîtra dès que la France lui enverra
quatre
régiments pour sage-femme ». (Approfondissement
iments pour sage-femme ». (Approfondissement pour la note de la page
302.
) « L’Italie a su dominer l’Europe parla seule as
i me fait admirer le Papisme. C’est l’astuce italienne qui a créé aux
trois
quarts cette religion, que nous croyons celle de
s celle de J.-C, mais qui au contraire a changé de direction tous les
deux
cents ans, et qui a eu une si profonde influence
le de J.-C, mais qui au contraire a changé de direction tous les deux
cents
ans, et qui a eu une si profonde influence sur le
par les beaux-arts (avec Raphaël et Cimarosa) ; il me semble que ces
quatre
manières de commander embrassent toutes les facul
er embrassent toutes les facultés intellectuelles de l’homme ». (Page
281.
) « Jugez d’un gouvernement par ceux qu’il place.
e qui peut supporter cette riche broderie, nommée le gouvernement des
deux
Chambres. » Parmi ses livres, il y a un volume d
agne de Iéna. Ce volume ne m’a pas quitté, et je ne l’ai guère lu. En
1809,
les Lettres persanes ont été bien souvent lues pa
a poche, lorsqu’il reçut le coup de la mitraille. Civita-Vecchia, le
2
mars 1865. Donat Bucci, héritier de Stendhal.
, lorsqu’il reçut le coup de la mitraille. Civita-Vecchia, le 2 mars
1865.
Donat Bucci, héritier de Stendhal. VI. Divers
ivita-Vecchia, le 2 mars 1865. Donat Bucci, héritier de Stendhal.
VI
. Diverses pièces inédites relatives à Stendhal
VI. Diverses pièces inédites relatives à Stendhal A Beyle (
1822
?). Lettre de Beyle a propos des Anecdotes arabes
Clarke44. Agréez, monsieur, l’hommage de ma reconnaissance H. Beyle
7
juillet,nº 63, Rue Richelieu. Monsieur, Monsie
éez, monsieur, l’hommage de ma reconnaissance H. Beyle 7 juillet,nº
63,
Rue Richelieu. Monsieur, Monsieur Faufiel. Ru
ue Richelieu. Monsieur, Monsieur Faufiel. Rue Neuve de Seine N º
6Sprès
la rue de Tournon, Paris 45 B 18 juin,
r Faufiel. Rue Neuve de Seine N º 6Sprès la rue de Tournon, Paris
45
B 18 juin, Corpus Domini, 1836. Je n’ai
ue Neuve de Seine N º 6Sprès la rue de Tournon, Paris 45 B
18
juin, Corpus Domini, 1836. Je n’ai pas dîné pend
Sprès la rue de Tournon, Paris 45 B 18 juin, Corpus Domini,
1836.
Je n’ai pas dîné pendant 26 jours mon noble ami,
45 B 18 juin, Corpus Domini, 1836. Je n’ai pas dîné pendant
26
jours mon noble ami, et les diners que je fais ac
suis traîné à la Muta di Portici, qui a le plus grand succès, malgré
deux
petits inconvénients, il n’y a pas de chanteuse e
Croiriez-vous que ce public en est réduit à ce point d’abjection que
deux
jeunes avocats m’ont demandé si à tout prendre le
la vie, au point où les Arts du dessin en étaient sous Constantin en
300,
on relevait les colonnes des temples, mais on les
ce Borghèse manque d’argent. Son frère Camille lui a cependant laissé
227
mille écus (1200 mille francs de rente) et des ca
orghèse manque d’argent. Son frère Camille lui a cependant laissé 227
mille
écus (1200 mille francs de rente) et des caisses
ue d’argent. Son frère Camille lui a cependant laissé 227 mille écus (
1200
mille francs de rente) et des caisses pleines. Un
argent. Son frère Camille lui a cependant laissé 227 mille écus (1200
mille
francs de rente) et des caisses pleines. Un seul
anque. Mais je ne vivrais pas comme eux, ils passent leur soirée avec
7
à 8 amis inférieurs, et approuvent tout et vont a
e. Mais je ne vivrais pas comme eux, ils passent leur soirée avec 7 à
8
amis inférieurs, et approuvent tout et vont au Ba
urs ici et les chaleurs grâce à Dieu ne sont pas encore venues. Après
40
jours de séjour je me suis sauvé de mon trou. Com
ens pour l’entendre et électriser les chanteurs. O varia hominum area
0
pectora cœca ! 46 [Sans signature] Monsieur Mon
re et électriser les chanteurs. O varia hominum area 0 pectora cœca !
46
[Sans signature] Monsieur Monsieur de Fiori à n
pectora cœca ! 46 [Sans signature] Monsieur Monsieur de Fiori à nº
10
Boulevard des Panoramas vis à vis le passage. P
e Fiori à nº 10 Boulevard des Panoramas vis à vis le passage. Paris
47
C Hôtel Giacinta, 11 Jr [1834 ?]48 Avez
à nº 10 Boulevard des Panoramas vis à vis le passage. Paris 47
C
Hôtel Giacinta, 11 Jr [1834 ?]48 Avez-vous l
Panoramas vis à vis le passage. Paris 47 C Hôtel Giacinta,
11
Jr [1834 ?]48 Avez-vous lu, Monsieur, la vie de
mas vis à vis le passage. Paris 47 C Hôtel Giacinta, 11 Jr [
1834
?]48 Avez-vous lu, Monsieur, la vie de Descarte
à vis le passage. Paris 47 C Hôtel Giacinta, 11 Jr [1834 ?]
48
Avez-vous lu, Monsieur, la vie de Descartes ? A
ous de quitter, un instant, la vie dissipée, il se mit à examiner les
40
ou 50 choses qu’il regardait comme des vérités. I
quitter, un instant, la vie dissipée, il se mit à examiner les 40 ou
50
choses qu’il regardait comme des vérités. Il s’ap
itulé de l’Esprit, qui pourra vous aider à apercevoir la fausseté des
3
/4 des choses que les charlatans de Paris apelent
ulé de l’Esprit, qui pourra vous aider à apercevoir la fausseté des 3/
4
des choses que les charlatans de Paris apelent vr
z, Monsieur, qu’il entre dans nos conventions que vous pourrez passer
5
jours par mois à Rome. Vous aurez à copier au Bur
asser 5 jours par mois à Rome. Vous aurez à copier au Bureau, pendant
5
ou 6 heures, soit des pièces officielles, soit de
5 jours par mois à Rome. Vous aurez à copier au Bureau, pendant 5 ou
6
heures, soit des pièces officielles, soit des not
en parlez ni ù Paris, ni ici. Du reste que vous travailliez au B1U de
8h
à 2 ou de 10H à 4. cela est indifférent. Quelquef
rlez ni ù Paris, ni ici. Du reste que vous travailliez au B1U de 8h à
2
ou de 10H à 4. cela est indifférent. Quelquefois
ù Paris, ni ici. Du reste que vous travailliez au B1U de 8h à 2 ou de
10H
à 4. cela est indifférent. Quelquefois les jours
s, ni ici. Du reste que vous travailliez au B1U de 8h à 2 ou de 10H à
4.
cela est indifférent. Quelquefois les jours de dé
art de Bau à vapeur il pourra être utile que vous veniez au Bau avant
10
heures. Il faut vous arranger avec Mr [illisible]
ures. Il faut vous arranger avec Mr [illisible] pour que l’un de vous
deux
se trouve au Bau de 9h à 4 ou 5. Si un marin ou u
er avec Mr [illisible] pour que l’un de vous deux se trouve au Bau de
9h
à 4 ou 5. Si un marin ou un voyageur a affaire au
ec Mr [illisible] pour que l’un de vous deux se trouve au Bau de 9h à
4
ou 5. Si un marin ou un voyageur a affaire au Bau
[illisible] pour que l’un de vous deux se trouve au Bau de 9h à 4 ou
5.
Si un marin ou un voyageur a affaire au Bau il co
ense pas que vous puissiez tenir à l’ennui d’une petite ville plus de
2
ou 3 mois. Si vous imitez Descartes, ce ne sera p
pas que vous puissiez tenir à l’ennui d’une petite ville plus de 2 ou
3
mois. Si vous imitez Descartes, ce ne sera pas du
cartes, ce ne sera pas du teins perdu. Vous pourriez passer à Rome du
2
au 11 Février, le carnaval finit le 11. Vous pour
s, ce ne sera pas du teins perdu. Vous pourriez passer à Rome du 2 au
11
Février, le carnaval finit le 11. Vous pourrez vo
Vous pourriez passer à Rome du 2 au 11 Février, le carnaval finit le
11.
Vous pourrez vous lier avec l’excellent M. Mauzi
probable, des tombeaux de Cornetto. Vous pourriez apprendre par cœur
8
pages de Goldoni. J’ai l’honneur d’être, Monsieur
ot premier [illisible] du Consulat de France, à Civita Vecchia.
VII
. Stendhal bibliothécaire49 Les lecteurs de St
hécaire49 Les lecteurs de Stendhal et ses Amis savent que l’année
1828
fut celle pendant laquelle Henri Beyle fut le plu
puissant protecteur en M. de Corbière, ministre de l’intérieur depuis
1821,
bras droit de M. de Villéle. L’amitié d’un grand
nsionné. Cependant de lui-même, Méon quitta la Bibliothèque du roi en
1829,
et c’est alors que se posa la candidature de M. d
jeune frère le célèbre « déchiffreur » des hiéroglyphes d’Egypte. Les
deux
Champollion avaient été professeurs à Grenoble et
vante que je retrouve dans les papiers du marquis de Pastoret52 :
I
BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris, le 9 mai 1829. M
s du marquis de Pastoret52 : I BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris, le
9
mai 1829. Monsieur, J’ai reçu avec un véritable
arquis de Pastoret52 : I BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris, le 9 mai
1829.
Monsieur, J’ai reçu avec un véritable plaisir la
de M. Beyle. J’ai eu l’occasion et l’avantage de le voir une fois ou
deux
, il y a bien longtemps, mais je n’ai pas oublié l
ncore une autre série de difficultés. M. Méon fut nommé employé après
dix-neuf
ans de surnuméraires au titre d’auxiliaire, et à
ployé après dix-neuf ans de surnuméraires au titre d’auxiliaire, et à
1,500
fr. Il y a derrière lui deux surnuméraires au mêm
rnuméraires au titre d’auxiliaire, et à 1,500 fr. Il y a derrière lui
deux
surnuméraires au même titre, travaillant depuis p
is plusieurs années dans l’expectation d’un avancement régulier, tous
deux
ayant du mérite, quoique inégalement, et je crois
cer M. Méon, chargé du travail du catalogue, si ce n’est par l’un des
deux
auxiliaires déjà familiarisés avec les détails de
Mareste. Quelques semaines plus tard, le baron Dacier54, qui, depuis
1800,
était conservateur à la Bibliothèque royale et qu
upçonne fort Champollion-Figeac d’avoir écrite de sa propre main :
II
. BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris, le 28 juin 1829
écrite de sa propre main : II . BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris, le
28
juin 1829. L ’ administrateur de la Bibliothèque
e sa propre main : II . BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris, le 28 juin
1829.
L ’ administrateur de la Bibliothèque du roi. M
opre main : II . BIBLIOTHÈQUE DU ROI Paris, le 28 juin 1829.
L
’ administrateur de la Bibliothèque du roi. Mons
Bibliothèque du roi. Monsieur le comte. J’ai reçu successivement les
deux
lettres que vous m’avez fait l’honneur de m’écrir
ussi pour la Bibliothèque du roi, le projet échoua : la révolution de
1830
éclata et l’on fit de Stendhal un consul à Civita
rappé d’apoplexie à la porte du ministère des affaires étrangères, le
22
mars 1842, fut transporté rue Neuve-des-Petits-C
apoplexie à la porte du ministère des affaires étrangères, le 22 mars
1842,
fut transporté rue Neuve-des-Petits-Champs, près
chez Champollion que mourut Stendhal, mais bien à son propre domicile
78,
rue Neuve-des-Petits-Champs ; au surplus, voici l
IT des minutes des actes de Décès. RECONSTITUÉS EN VERTU DE LÀ LOI DU
12
FÉVRIER 1S72 1er ARRONDISSEMENT DE PARIS. AN 1842
tes des actes de Décès. RECONSTITUÉS EN VERTU DE LÀ LOI DU 12 FÉVRIER
1S72
1er ARRONDISSEMENT DE PARIS. AN 1842 Du vingt-tro
es actes de Décès. RECONSTITUÉS EN VERTU DE LÀ LOI DU 12 FÉVRIER 1S72
1er
ARRONDISSEMENT DE PARIS. AN 1842 Du vingt-trois m
EN VERTU DE LÀ LOI DU 12 FÉVRIER 1S72 1er ARRONDISSEMENT DE PARIS. AN
1842
Du vingt-trois mars mil huit cent quarante-deux,
DE LÀ LOI DU 12 FÉVRIER 1S72 1er ARRONDISSEMENT DE PARIS. AN 1842 Du
vingt-trois
mars mil huit cent quarante-deux, à dix heures du
IER 1S72 1er ARRONDISSEMENT DE PARIS. AN 1842 Du vingt-trois mars mil
huit
cent quarante-deux, à dix heures du matin. Acte d
S72 1er ARRONDISSEMENT DE PARIS. AN 1842 Du vingt-trois mars mil huit
cent
quarante-deux, à dix heures du matin. Acte de déc
er ARRONDISSEMENT DE PARIS. AN 1842 Du vingt-trois mars mil huit cent
quarante-deux
, à dix heures du matin. Acte de décès de sr Henri
DE PARIS. AN 1842 Du vingt-trois mars mil huit cent quarante-deux, à
dix
heures du matin. Acte de décès de sr Henri-Marie
ès de sr Henri-Marie Beyle, consul de France à Civita-Yecchia, âgé de
cinquante-neuf
ans, chevalier de la Légion d’honneur, célibatair
e) et décédé à Paris, en son domicile rue Neuve-des-Petits-Champs, nº
78,
ce jourd’hui à deux heures du matin. Constaté par
s, en son domicile rue Neuve-des-Petits-Champs, nº 78, ce jourd’hui à
deux
heures du matin. Constaté par nous Maire, officie
r la déclaration des sieurs Joseph Romain Colomb, propriétaire âgé de
cinquante-sept
ans, demt, rue Notre-Dame-de-Grâce nº 5, Durand C
priétaire âgé de cinquante-sept ans, demt, rue Notre-Dame-de-Grâce nº
5,
Durand Cayrol, concierge âgé de vingt-quatre ans,
, demt, rue Notre-Dame-de-Grâce nº 5, Durand Cayrol, concierge âgé de
vingt-quatre
ans, demt. rue Neuve-des-Petits-Champs, nº 78, le
cierge âgé de vingt-quatre ans, demt. rue Neuve-des-Petits-Champs, nº
78,
lesquels ont signé avec nous, après lecture faite
te. Signé R. Colomb, Cayrol et Marbeau. Pour copie conforme, Paris le
29
mars 1842. Le Maire, signé Marbeau. Expédié et co
é R. Colomb, Cayrol et Marbeau. Pour copie conforme, Paris le 29 mars
1842.
Le Maire, signé Marbeau. Expédié et collationné p
e Poletnich notaire à Paris. Admis par la Commission, (loi du février
1872
) le membre delà Commission, signé Lorget. Pour ex
mbre delà Commission, signé Lorget. Pour expédition conforme Paris le
vingt
décembre mil huit cent quatre-vingt-dix-sept. Le
n, signé Lorget. Pour expédition conforme Paris le vingt décembre mil
huit
cent quatre-vingt-dix-sept. Le Secrétaire Général
gné Lorget. Pour expédition conforme Paris le vingt décembre mil huit
cent
quatre-vingt-dix-sept. Le Secrétaire Général de l
orget. Pour expédition conforme Paris le vingt décembre mil huit cent
quatre-vingt-dix-sept
. Le Secrétaire Général de la Préfecture. Pour le
aire Général, Le Conseiller de Préfecture délégué, [illisible].
VIII
.Vauvenargues55 Page xlvi de la Notice56 : CIT
ervitude est celle qui agit sur un peuple en corrompant ses mœurs. »
I
, page 32 : VAUVENARGUES : « Nous prenons quelquef
est celle qui agit sur un peuple en corrompant ses mœurs. » I, page
32
: VAUVENARGUES : « Nous prenons quelquefois pour
rend insensible aux autres choses. » BEYLE : " Profondément vrai. »
I
, page 35 : V :" Toutes les passions roulent sur l
ensible aux autres choses. » BEYLE : " Profondément vrai. » I, page
35
: V :" Toutes les passions roulent sur le plaisir
le aux autres choses. » BEYLE : " Profondément vrai. » I, page 35 :
V
:" Toutes les passions roulent sur le plaisir et
’en est l’essence et le fonds. » B : « L’amour de soi. Helvétius. "
I
, page 162 : V : « Chaulieu a su mêler avec une s
l’essence et le fonds. » B : « L’amour de soi. Helvétius. " I, page
162
: V : « Chaulieu a su mêler avec une simplicité
ce et le fonds. » B : « L’amour de soi. Helvétius. " I, page 162 :
V
: « Chaulieu a su mêler avec une simplicité noble
Chaulieu. et ceux qu’il emploie en traitant deMolière. » Même page :
V
: « Molière me parait un peu répréhensible d’avoi
e parait un peu répréhensible d’avoir pris des sujets trop bas.… »
II
, page 2 : V : « Il n’y aurait point d’erreurs qui
un peu répréhensible d’avoir pris des sujets trop bas.… » II, page
2
: V : « Il n’y aurait point d’erreurs qui ne péri
eu répréhensible d’avoir pris des sujets trop bas.… » II, page 2 :
V
: « Il n’y aurait point d’erreurs qui ne périssen
ne périssent d’elles-mêmes, rendues clairement. » B : « Admirable »
II
, Même page : V : « Ce qui fait souvent le mécompt
lles-mêmes, rendues clairement. » B : « Admirable » II, Même page :
V
: « Ce qui fait souvent le mécompte d’un écrivain
l les sent. « B : « Voir mieux que nature, c’est être mal organisé.
L.
David. » II, page 4 : V : « Le courage a plus de
B : « Voir mieux que nature, c’est être mal organisé. L. David. »
II
, page 4 : V : « Le courage a plus de ressources c
Voir mieux que nature, c’est être mal organisé. L. David. » II, page
4
: V : « Le courage a plus de ressources contre le
mieux que nature, c’est être mal organisé. L. David. » II, page 4 :
V
: « Le courage a plus de ressources contre les di
raison n’est elle pas courageuse ? Serait-elle raison sans cela ? »
II
, même page : V : « La guerre n’est pas si onéreus
le pas courageuse ? Serait-elle raison sans cela ? » II, même page :
V
: « La guerre n’est pas si onéreuse que la servit
pire est une invasion. » C’est le Commissaire des Guerres qui parle.
II
, page 5 : V : « Nous n’avons pas droit de rendre
une invasion. » C’est le Commissaire des Guerres qui parle. II, page
5
: V : « Nous n’avons pas droit de rendre misérabl
invasion. » C’est le Commissaire des Guerres qui parle. II, page 5 :
V
: « Nous n’avons pas droit de rendre misérables c
misérables ceux que nous ne pouvons rendre bons. » B : « Sublime. »
II
, page 7 : V : « L’estime s’use comme l’amour. »
s ceux que nous ne pouvons rendre bons. » B : « Sublime. » II, page
7
: V : « L’estime s’use comme l’amour. » B : « On
ux que nous ne pouvons rendre bons. » B : « Sublime. » II, page 7 :
V
: « L’estime s’use comme l’amour. » B : « On se
de parler de l’homme estimable, mais dans le cœur l’estime survit. »
II
, page 8 : V : « Le trafic de l’honneur n’enrichit
de l’homme estimable, mais dans le cœur l’estime survit. » II, page
8
: V : « Le trafic de l’honneur n’enrichit pas. »
l’homme estimable, mais dans le cœur l’estime survit. » II, page 8 :
V
: « Le trafic de l’honneur n’enrichit pas. » B :
8 : V : « Le trafic de l’honneur n’enrichit pas. » B : « Walpole. »
II
, page 13 : V : « Ce qui est arrogance dans les fa
Le trafic de l’honneur n’enrichit pas. » B : « Walpole. » II, page
13
: V : « Ce qui est arrogance dans les faibles, es
rafic de l’honneur n’enrichit pas. » B : « Walpole. » II, page 13 :
V
: « Ce qui est arrogance dans les faibles, est él
plus prêt à envahir que lorsqu’il est en révolution. Montesquieu. »
II
, même page : V :« On tire peu de service des vie
hir que lorsqu’il est en révolution. Montesquieu. » II, même page :
V
:« On tire peu de service des vieillards. » B :
des vieillards. » B :« L’expérience les a fatigués d’être bons. »
II
, page 21 : V : « On ne fait pas beaucoup de grand
llards. » B :« L’expérience les a fatigués d’être bons. » II, page
21
: V : « On ne fait pas beaucoup de grandes choses
s. » B :« L’expérience les a fatigués d’être bons. » II, page 21 :
V
: « On ne fait pas beaucoup de grandes choses par
B : « L’enthousiasme est l’entrepreneur des miracles. Montaigne. »
II
, même page : V : « La conscience est la plus chan
siasme est l’entrepreneur des miracles. Montaigne. » II, même page :
V
: « La conscience est la plus changeante des règl
st la plus changeante des règles. » B : « Et partant les remords. »
II
, page 23 : V : « La pensée de la mort nous trompe
s changeante des règles. » B : « Et partant les remords. » II, page
23
: V : « La pensée de la mort nous trompe ; car el
ngeante des règles. » B : « Et partant les remords. » II, page 23 :
V
: « La pensée de la mort nous trompe ; car elle n
jours la mort et c’est ce qui fait la misère de leurs vieux jours. »
II
, page 30 : V : « On peut aimer de tout son cœur c
mort et c’est ce qui fait la misère de leurs vieux jours. » II, page
30
: V : « On peut aimer de tout son cœur ceux en qu
et c’est ce qui fait la misère de leurs vieux jours. » II, page 30 :
V
: « On peut aimer de tout son cœur ceux en qui on
nos ennemis plus par nos défauts que par nos vertus. Mme de Staël. »
II
, pages 30 et 31 : V : « Si nos amis nous rendent
s plus par nos défauts que par nos vertus. Mme de Staël. » II, pages
30
et 31 : V : « Si nos amis nous rendent des servic
par nos défauts que par nos vertus. Mme de Staël. » II, pages 30 et
31
: V : « Si nos amis nous rendent des services, no
nos défauts que par nos vertus. Mme de Staël. » II, pages 30 et 31 :
V
: « Si nos amis nous rendent des services, nous p
s leur Amitié » B : « Que signifie donc ce mot devoir en amitié ? »
II
, page 31 : V : « Pour se soustraire à la force, o
itié » B : « Que signifie donc ce mot devoir en amitié ? » II, page
31
: V : « Pour se soustraire à la force, on a été o
» B : « Que signifie donc ce mot devoir en amitié ? » II, page 31 :
V
: « Pour se soustraire à la force, on a été oblig
justice. » B : « La justice c’est la force, suivant la majorité. "
II
, page 43 : V : « La vigueur d’esprit ou l’a dress
» B : « La justice c’est la force, suivant la majorité. " II, page
43
: V : « La vigueur d’esprit ou l’a dresse ont fai
: « La justice c’est la force, suivant la majorité. " II, page 43 :
V
: « La vigueur d’esprit ou l’a dresse ont fait le
r du corps n’établit-elle pas une supériorité et par là un moyen ? »
II
, page 49 : V : « On trouve dans l’histoire de gra
s n’établit-elle pas une supériorité et par là un moyen ? » II, page
49
: V : « On trouve dans l’histoire de grands perso
tablit-elle pas une supériorité et par là un moyen ? » II, page 49 :
V
: « On trouve dans l’histoire de grands personnag
mour ont gouvernés » B : " La volupté ou l’amour est une passion. »
II
, page 50 : V : « Le sot s’assoupit et fait la sie
gouvernés » B : " La volupté ou l’amour est une passion. » II, page
50
: V : « Le sot s’assoupit et fait la sieste en bo
rnés » B : " La volupté ou l’amour est une passion. » II, page 50 :
V
: « Le sot s’assoupit et fait la sieste en bonne
ans un salon dit de bonne compagnie, vous verrez s’il ne s’endort. »
II
, page 67 : V : « Nos passions se règlent ordinair
lon dit de bonne compagnie, vous verrez s’il ne s’endort. » II, page
67
: V : « Nos passions se règlent ordinairement sur
it de bonne compagnie, vous verrez s’il ne s’endort. » II, page 67 :
V
: « Nos passions se règlent ordinairement sur nos
rent (sic) sont presque nuisibles à nos besoins et à nos intérêts. »
II
, page 68 : V : « Le peuple et les grands n’ont ni
) sont presque nuisibles à nos besoins et à nos intérêts. » II, page
68
: V : « Le peuple et les grands n’ont ni les même
t presque nuisibles à nos besoins et à nos intérêts. » II, page 68 :
V
: « Le peuple et les grands n’ont ni les mêmes ve
peuple et des grands diffèrent plus par la forme que par le fond. »
II
, page 89 : V : « La licence étend toutes les vert
t des grands diffèrent plus par la forme que par le fond. » II, page
89
: V : « La licence étend toutes les vertus et tou
grands diffèrent plus par la forme que par le fond. » II, page 89 :
V
: « La licence étend toutes les vertus et tous le
ence étend toutes les vertus et tous les vices. » B : " Mirabeau. "
II
, même page : V : « La paix rend les peuples plus
s les vertus et tous les vices. » B : " Mirabeau. " II, même page :
V
: « La paix rend les peuples plus heureux et les
bles et les plus utiles pour les peuples sont les guerres civiles. »
II
, page 91 : V : « L’utilité de la vertu est si man
es plus utiles pour les peuples sont les guerres civiles. » II, page
91
: V : « L’utilité de la vertu est si manifeste qu
us utiles pour les peuples sont les guerres civiles. » II, page 91 :
V
: « L’utilité de la vertu est si manifeste que le
ce de la vertu qu’afin de mieux tromper et de duper plus aisément. »
II
, page 103 V :« La haine n’est pas moins volage
vertu qu’afin de mieux tromper et de duper plus aisément. » II, page
103
V :« La haine n’est pas moins volage que l’amit
qu’afin de mieux tromper et de duper plus aisément. » II, page 103
V
:« La haine n’est pas moins volage que l’amitié.
urs et impitoyables sont plus tenaces que les affections douces. »
II
, page 107 : V : « Le terme du courage est l’intré
pitoyables sont plus tenaces que les affections douces. » II, page
107
: V : « Le terme du courage est l’intrépidité dan
bles sont plus tenaces que les affections douces. » II, page 107 :
V
: « Le terme du courage est l’intrépidité dans le
dité dans le péril. » B : « Justum et tenacem propositi, etc .57 »
II
, page 108 : V : « Il n’y a point d’homme qui ait
le péril. » B : « Justum et tenacem propositi, etc .57 » II, page
108
: V : « Il n’y a point d’homme qui ait assez d’es
ril. » B : « Justum et tenacem propositi, etc .57 » II, page 108 :
V
: « Il n’y a point d’homme qui ait assez d’esprit
gens d’esprit seraient bien embarrassés sans les sots. Talleyrand. »
II
, page 110 : V : « Lorsqu’une pièce est faite pour
prit seraient bien embarrassés sans les sots. Talleyrand. » II, page
110
: V : « Lorsqu’une pièce est faite pour être joué
eraient bien embarrassés sans les sots. Talleyrand. » II, page 110 :
V
: « Lorsqu’une pièce est faite pour être jouée, i
prouvée par le parterre du théâtre pour lequel l’auteur l’a faite. »
II
. page 117 : V : « Combien de vertus et de vices s
ar le parterre du théâtre pour lequel l’auteur l’a faite. » II. page
117
: V : « Combien de vertus et de vices sont sans c
parterre du théâtre pour lequel l’auteur l’a faite. » II. page 117 :
V
: « Combien de vertus et de vices sont sans consé
vertus et de vices sont sans conséquence ! » B : « Ko es verdad. »
II
, page 120 : V: « Qui sait souffrir peut tout oser
t de vices sont sans conséquence ! » B : « Ko es verdad. » II, page
120
: V: « Qui sait souffrir peut tout oser. » B: «
ices sont sans conséquence ! » B : « Ko es verdad. » II, page 120 :
V
: « Qui sait souffrir peut tout oser. » B: « Tout
le sacrifice de sa vie est maître de la mienne. »( S. Shakespeare ?)
II
, page 128 V : « L’éloquence vaut mieux que le sa
ice de sa vie est maître de la mienne. »( S. Shakespeare ?) II, page
128
V : « L’éloquence vaut mieux que le savoir. » B
e sa vie est maître de la mienne. »( S. Shakespeare ?) II, page 128
V
: « L’éloquence vaut mieux que le savoir. » B :
orsque l’on m’a communiqué le volume de M. Jean de Mitty sur Napoléon
58.
L’ouvrage contient à la fin des notes sommaires e
livre en témoignage d’une ancienne et sincère amitié. Henri Cordier.
3,
Place Vintimille. I.Le Misanthrope Notes
e ancienne et sincère amitié. Henri Cordier. 3, Place Vintimille.
I
.Le Misanthrope Notes sur Le Misanthrope 59
Place Vintimille. I.Le Misanthrope Notes sur Le Misanthrope
59
La reconnaissance du comique étant en partie
naissance du comique étant en partie une affaire de mémoire. (Note de
1.000
an [Milan] I take for a year any entries at Frenc
take for a year any entries at French (theatre) from the18th december
1813.
Je note les endroits où l’on rit, avec la date de
oits où l’on rit, avec la date des représentations. Représentation du
16
décembre 181360, Fleury61 bien vieilli et Mlle Ma
rit, avec la date des représentations. Représentation du 16 décembre
181360,
Fleury61 bien vieilli et Mlle Mars62 Voir l’imit
l’imitation anglaise de Wicherlev intitulée l’Homme au franc procédé
63.
Il va sans dire que le mot Misanthrope est pris i
s Shakespeare, voyez Timon et le jugement que je viens d’en porter le
21
décembre 1813, tome VI de Letourneur64. [Acte p
e, voyez Timon et le jugement que je viens d’en porter le 21 décembre
1813,
tome VI de Letourneur64. [Acte premier, scène p
mon et le jugement que je viens d’en porter le 21 décembre 1813, tome
VI
de Letourneur64. [Acte premier, scène première]
ité. Cela est inintelligible pour un quart du parterre et obscur pour
deux
des autres quarts, tandis que tous comprennent da
iler Alceste qui fesait voir le ridicule et l’odieux de la monarchie.
6
janvier 1815. Philinte ……… Et donnez au procès u
te qui fesait voir le ridicule et l’odieux de la monarchie. 6 janvier
1815.
Philinte ……… Et donnez au procès une part de vos
se, Pour la beauté du fait, avoir perdu ma cause. R. [ri] ire fois.
16
décembre 1813. Philinte Pour moi, si je n’avois
beauté du fait, avoir perdu ma cause. R. [ri] ire fois. 16 décembre
1813.
Philinte Pour moi, si je n’avois qu’à former des
t tous mes soupirs ; Exposition bien froide. [Acte premier, scène
II
] Scène II Oronte, Alceste, Philinte Oronte S’
pirs ; Exposition bien froide. [Acte premier, scène II] Scène
II
Oronte, Alceste, Philinte Oronte S’il faut faire
eté nécessaire à chaque art, voyez la note sur les Balets de Vigano à
1000
ans [Milan]. Alceste Franchement, il est bon à m
s, il est plein de parodies de bon ton et du ton littéraire ; sur ces
deux
ridicules surnagent une petitesse et un manque de
tent de soi, et pédant, enfin absolument le Comte Magistrat de Dresde
1813.
16 décembre 1813. Alceste Et moi, je suis, monsi
e soi, et pédant, enfin absolument le Comte Magistrat de Dresde 1813.
16
décembre 1813. Alceste Et moi, je suis, monsieur
dant, enfin absolument le Comte Magistrat de Dresde 1813. 16 décembre
1813.
Alceste Et moi, je suis, monsieur, votre humble
cela du ton d’un défi, je n’exagère point65. [Acte premier, scène
III
] Scène III Philinte, Alceste Alceste Vous vou
un défi, je n’exagère point65. [Acte premier, scène III] Scène
III
Philinte, Alceste Alceste Vous vous moquez de moi
est la connaissance du cœur humain avec laquelle ils jugent. [Acte
II
, scène première] ACTE II Scène première Alces
umain avec laquelle ils jugent. [Acte II, scène première] ACTE
II
Scène première Alceste, Célimène Célimène Je pens
nstant, Vous n’en disiez peut-être aux autres tout autant ? [Acte
II
, scène V] Scène V Éliante, Philinte, Acaste,
us n’en disiez peut-être aux autres tout autant ? [Acte II, scène
V
] Scène V Éliante, Philinte, Acaste, Clitandre
z peut-être aux autres tout autant ? [Acte II, scène V] Scène
V
Éliante, Philinte, Acaste, Clitandre, Alceste, Cé
on. Leur critique sur le Robinet des nouveautés de Geoffroy. [Acte
III
, scène VII] ACTE III Scène VII Alceste, Arsin
itique sur le Robinet des nouveautés de Geoffroy. [Acte III, scène
VII
] ACTE III Scène VII Alceste, Arsinoé Arsinoé
Robinet des nouveautés de Geoffroy. [Acte III, scène VII] ACTE
III
Scène VII Alceste, Arsinoé Arsinoé Tous ceux sur
s nouveautés de Geoffroy. [Acte III, scène VII] ACTE III Scène
VII
Alceste, Arsinoé Arsinoé Tous ceux sur qui la cou
ée, mais elle est mal peinte. La fin de cet acte est froide. [Acte
IV
, scène première] ACTE IV Scène première Élian
La fin de cet acte est froide. [Acte IV, scène première] ACTE
IV
Scène première Éliante, Philinte Éliante Pour moi
oppose point à toute sa tendresse ; On tousse, cela est archi froid.
16
décembre 1813. [Acte IV, scène II] Scène I
à toute sa tendresse ; On tousse, cela est archi froid. 16 décembre
1813.
[Acte IV, scène II] Scène II Alceste, Élia
dresse ; On tousse, cela est archi froid. 16 décembre 1813. [Acte
IV
, scène II] Scène II Alceste, Éliante, Philint
On tousse, cela est archi froid. 16 décembre 1813. [Acte IV, scène
II
] Scène II Alceste, Éliante, Philinte Éliante
a est archi froid. 16 décembre 1813. [Acte IV, scène II] Scène
II
Alceste, Éliante, Philinte Éliante Moi, vous veng
u de l’infidèle r. [ri] de la singularité de la proposition. [Acte
IV
, scène III] Scène III Célimène, Alceste Alces
idèle r. [ri] de la singularité de la proposition. [Acte IV, scène
III
] Scène III Célimène, Alceste Alceste Ah ! que
de la singularité de la proposition. [Acte IV, scène III] Scène
III
Célimène, Alceste Alceste Ah ! que ce cœur est do
mon amour extrême. r. [ri] un peu de la duperie d’Alceste. [Acte
IV
, scène IV] Scène IV Célimène, Alceste, Dubois
extrême. r. [ri] un peu de la duperie d’Alceste. [Acte IV, scène
IV
] Scène IV Célimène, Alceste, Dubois Mon sot
ri] un peu de la duperie d’Alceste. [Acte IV, scène IV] Scène
IV
Célimène, Alceste, Dubois Mon sot dit avec mépri
le seul petit repos de gaieté au milieu de tout ce sérieux. [Acte
V
, scène première] ACTE V Scène première Alcest
té au milieu de tout ce sérieux. [Acte V, scène première] ACTE
V
Scène première Alceste, Philinte Alceste ……… Il c
murmure, Et tâche méchamment d’appuyer l’imposture ! Et la règle des
vingt-quatre
heures ? Et parce que j’en use avec honnêteté Et
flus. Ri franc[hement] de la caricature de Fleury, il contrefait les
deux
mots mais enfin de Philinte. Le public, après tan
je vais obliger Éliante à descendre. Je mettrais : engager. [Acte
V
, scène VI] Scène VI Célimène, Éliante, Arsino
bliger Éliante à descendre. Je mettrais : engager. [Acte V, scène
VI
] Scène VI Célimène, Éliante, Arsinoé, Alceste
à descendre. Je mettrais : engager. [Acte V, scène VI] Scène
VI
Célimène, Éliante, Arsinoé, Alceste, Philinte Alc
Arsinoé Le rebut de madame est une marchandise Terme bas. [Acte
V
, scène VII] Scène VII Célimène, Éliante, Alce
Le rebut de madame est une marchandise Terme bas. [Acte V, scène
VII
] Scène VII Célimène, Éliante, Alceste, Philin
dame est une marchandise Terme bas. [Acte V, scène VII] Scène
VII
Célimène, Éliante, Alceste, Philinte Célimène J’a
x bien lu. Les têtons des actrices, les beaux habits des acteurs, les
deux
queues ? du Misanthrope, le plaisir de lui reconn
cture de la lettre et la scène de Dubois, sont les seules exceptions.
16
décembre 1813 66. II. Tartuffe Sur le
lettre et la scène de Dubois, sont les seules exceptions. 16 décembre
1813
66. II. Tartuffe Sur le Tartuffe 67
e et la scène de Dubois, sont les seules exceptions. 16 décembre 1813
66.
II. Tartuffe Sur le Tartuffe 67
ne de Dubois, sont les seules exceptions. 16 décembre 1813 66.
II
. Tartuffe Sur le Tartuffe 67 [Acte pre
ptions. 16 décembre 1813 66. II. Tartuffe Sur le Tartuffe
67
[Acte premier, scène première] ACTE PRE
Qui osera peindre une vieille après cette première scène, et celle de
1’incrédulité
? Voilà un des véritables avantages d’être venu l
ssi celui de Mme Pernelle est bien autrement général. Il peut y avoir
cent
Williams en France, il y a deux ou trois millions
en autrement général. Il peut y avoir cent Williams en France, il y a
deux
ou trois millions de Mme Pernelle. Outre cela c’e
ment général. Il peut y avoir cent Williams en France, il y a deux ou
trois
millions de Mme Pernelle. Outre cela c’est un car
énéral. Il peut y avoir cent Williams en France, il y a deux ou trois
millions
de Mme Pernelle. Outre cela c’est un caractère ét
soutenues avec opiniâtreté, sera encore le caractère de vieille dans
deux
mille ans. Madame Pernelle Vous êtes, ma mie, un
enues avec opiniâtreté, sera encore le caractère de vieille dans deux
mille
ans. Madame Pernelle Vous êtes, ma mie, une fill
r parler, de n’être pas écoutée. Madame Pernelle Vous êtes un sot en
trois
lettres, mon fils ; C’est moi qui vous le dis, qu
C’est moi qui vous le dis, qui suis votre grand’mère ; Et j’ai prédit
cent
fois à mon fils, votre père, Art de Molière, per
ée. Stendhal a ajouté sur l’avant-dernière feuille de garde duvolume
IV
du Molière, à propos de ce passage : Notes fai
ont leurs têtes troublées De la confusion de telles assemblées ; Ces
deux
vers peignent bien le parti des Sots et des Trist
le spectateur regarde quelle mine ils font. [Acte premier, scène
II
] Scène II Cléante, Dorine Dorine Oh ! vraimen
regarde quelle mine ils font. [Acte premier, scène II] Scène
II
Cléante, Dorine Dorine Oh ! vraiment, tout cela n
s. Ce vers serait exécrable fait aujourd’hui. [Acte premier, scène
IV
] Scène IV Cléante, Damis, Dorine Dorine Il en
ait exécrable fait aujourd’hui. [Acte premier, scène IV] Scène
IV
Cléante, Damis, Dorine Dorine Il entre. Jeu. Ce
nière dont Orgon est regardé dans sa famille. [Acte premier, scène
V
] Scène V Orgon, Cléante, Dorine Cléante Je so
gon est regardé dans sa famille. [Acte premier, scène V] Scène
V
Orgon, Cléante, Dorine Cléante Je sortois, et j’a
mot de tendresse. Nous aimons et nous conférons notre protection. Ces
deux
jouissances se redoublent mutuellement. Ce mot pa
ue vous prenez à sa convalescence. Sarcasme. [Acte premier, scène
VI
] Scène VI Orgon, Cléante Orgon Mon frère, vou
à sa convalescence. Sarcasme. [Acte premier, scène VI] Scène
VI
Orgon, Cléante Orgon Mon frère, vous seriez charm
’un égoïste complet et très triste, un plat calculateur, qui sacrifie
douze
ou quinze ans de plaisir, pour avoir en échange u
te complet et très triste, un plat calculateur, qui sacrifie douze ou
quinze
ans de plaisir, pour avoir en échange un bonheur
à-dire au plus égoïste de tous les calculs. J’ai eu cette idée il y a
deux
ou trois ans. Faute d’écrire, je me donne la doub
u plus égoïste de tous les calculs. J’ai eu cette idée il y a deux ou
trois
ans. Faute d’écrire, je me donne la double peine
Orgon, après cette tirade. Molière fait conclure tout un caractère de
trente
vers. Mais aussi la critique précédente subsiste.
n êtes un peu dans votre âme entiché ; Et, comme je vous l’ai plus de
dix
jours prêché, Vous vous attirerez quelque méchant
nné qui fait un commerce singulier, dans l’espérance qu’il lui rendra
cent
pour cent ? Cléante Jamais contre un pécheur ils
it un commerce singulier, dans l’espérance qu’il lui rendra cent pour
cent
? Cléante Jamais contre un pécheur ils n’ont d’a
qui n’a pas le sou, quelque finesse qu’il ait, il pourrait au bout de
trois
semaines ou un mois d’intrigue tirer de Tartuffe
ar c’est le tems de la pièce où le spectateur hait le moins. [Acte
II
, scène première] ACTE II Scène première Orgon
où le spectateur hait le moins. [Acte II, scène première] ACTE
II
Scène première Orgon, Mariane Orgon Mariane ! L’
la marier à Tartuffe. Cela rend le désabusement plus urgent. [Acte
II
, scène II] Scène II Orgon, Mariane ; Dorine (
à Tartuffe. Cela rend le désabusement plus urgent. [Acte II, scène
II
] Scène II Orgon, Mariane ; Dorine (entrant do
la rend le désabusement plus urgent. [Acte II, scène II] Scène
II
Orgon, Mariane ; Dorine (entrant doucement, et se
indévot. Orgon Ensemble vous vivrez, dans vos ardeurs fidèles, Comme
deux
vrais enfants ; comme deux tourterelles : C’est
us vivrez, dans vos ardeurs fidèles, Comme deux vrais enfants ; comme
deux
tourterelles : C’est une des prétentions de l’Ég
Orgon. Cette scène piquante a très bien dissipé le sérieux. [Acte
II
, scène III] Scène III Mariane, Dorine Dorine
tte scène piquante a très bien dissipé le sérieux. [Acte II, scène
III
] Scène III Mariane, Dorine Dorine Fort bien.
nte a très bien dissipé le sérieux. [Acte II, scène III] Scène
III
Mariane, Dorine Dorine Fort bien. C’est un recour
le carnaval, vous pourrez espérer Le bal et la grand’bande, assavoir,
deux
musettes. Sarcasme. Rôle ridicule que l’on prête
Beaumarchais reproche au public, dans la préface de Figaro. [Acte
II
, scène IV] Scène IV Valère, Mariane, Dorine M
ais reproche au public, dans la préface de Figaro. [Acte II, scène
IV
] Scène IV Valère, Mariane, Dorine Mariane Eh
u public, dans la préface de Figaro. [Acte II, scène IV] Scène
IV
Valère, Mariane, Dorine Mariane Eh bien, c’est un
ai-je pas bien raison de n’apprendre ni le grec ni le latin. [Acte
III
, scène première] ACTE III Scène première Dami
rendre ni le grec ni le latin. [Acte III, scène première] ACTE
III
Scène première Damis, Dorine Damis Que la foudre,
l’attaque de Damis faite sans jugement n’aura pas de succès. [Acte
III
, scène II] Scène II Tartuffe, Dorine Dorine (
e Damis faite sans jugement n’aura pas de succès. [Acte III, scène
II
] Scène II Tartuffe, Dorine Dorine (à part)
sans jugement n’aura pas de succès. [Acte III, scène II] Scène
II
Tartuffe, Dorine Dorine (à part) Comme il s
de grossir sa voix d’une manière comique en disant ce vers. [Acte
III
, scène III] Scène III Elmire, Tartuffe (Damis
sa voix d’une manière comique en disant ce vers. [Acte III, scène
III
] Scène III Elmire, Tartuffe (Damis, sans se m
manière comique en disant ce vers. [Acte III, scène III] Scène
III
Elmire, Tartuffe (Damis, sans se montrer, entr’ou
anière ne peut tout au plus convenir qu’à un très beau jeune homme de
dix-huit
ans. » Ce raisonnement est juste, mais à force de
e caractère. C’est comme si Cervantes à force de donner de l’esprit à
D.
Quichotte, lui eût ôté l’erreur, l’imperfection d
provient de même de l’abus d’un esprit fort. Tartuffe Il m’en a dit
deux
mots : mais madame, à vrai dire, Ce n’est pas le
dévot (on m’annonce la Ballu que le Vice Roi a tourné casaque et que
60,000
hommes arrivent de la Suisse pour nous couper tou
itié qu’il vous porte ? Stile. Cela n’est pas assez vif ; couper les
deux
derniers vers en mettant : Peut-être un prompt av
richir votre espoir ; Et… Abus du stile figuré. J’ai remarqué il y a
trois
ou quatre ans sur le Misanthrope que le langage f
tre espoir ; Et… Abus du stile figuré. J’ai remarqué il y a trois ou
quatre
ans sur le Misanthrope que le langage familier ad
les Anglais est, je crois, en partie cause de ce changement. [Acte
III
, scène IV] Scène IV Elmire, Damis, Tartuffe D
est, je crois, en partie cause de ce changement. [Acte III, scène
IV
] Scène IV Elmire, Damis, Tartuffe Damis (sort
, en partie cause de ce changement. [Acte III, scène IV] Scène
IV
Elmire, Damis, Tartuffe Damis (sortant du cabinet
plus d’effet si le caractère eut permis de lui faire dire à Tartuffe,
deux
ou trois plaisanteries ou sarcasmes bien vifs.
ffet si le caractère eut permis de lui faire dire à Tartuffe, deux ou
trois
plaisanteries ou sarcasmes bien vifs. [Acte II
artuffe, deux ou trois plaisanteries ou sarcasmes bien vifs. [Acte
III
, scène VI] Scène VI Orgon, Damis, Tartuffe Ta
ux ou trois plaisanteries ou sarcasmes bien vifs. [Acte III, scène
VI
] Scène VI Orgon, Damis, Tartuffe Tartuffe Et
aisanteries ou sarcasmes bien vifs. [Acte III, scène VI] Scène
VI
Orgon, Damis, Tartuffe Tartuffe Et comme un crimi
ur sauver de l’odieux. L’âme du spectateur est sans cesse suspendue à
deux
pouces au dessus du fleuve de l’odieux. Voilà Dam
amis a peu d’esprit, sans sortir de son caractère de jeune emporté de
vingt-deux
ans, il fallait faire des politesses ironiques à
une rente de coups de bâtons, jusqu’à ce qu’il eut déguerpi. [Acte
III
, scène VII] Scène VII Orgon, Tartuffe Orgon L
e coups de bâtons, jusqu’à ce qu’il eut déguerpi. [Acte III, scène
VII
] Scène VII Orgon, Tartuffe Orgon Le pauvre ho
ns, jusqu’à ce qu’il eut déguerpi. [Acte III, scène VII] Scène
VII
Orgon, Tartuffe Orgon Le pauvre homme ! Allons vi
en est à la campagne de Russie. Gina trouve que mes lettres d’il y a
deux
ans étaient bien plus enflammées que celles de ce
flammées que celles de ce voyage-ci. C’est ma léthargie71. [Acte
IV
, scène première] ACTE IV Scène première Cléan
age-ci. C’est ma léthargie71. [Acte IV, scène première] ACTE
IV
Scène première Cléante, Tartuffe Cléante Oui, tou
de en parle, Tout le monde peut-il parler d’une chose arrivée il y a
trois
ou quatre heures au plus ? Toutes les fois qu’on
le, Tout le monde peut-il parler d’une chose arrivée il y a trois ou
quatre
heures au plus ? Toutes les fois qu’on fait inter
s fois qu’on fait intervenir l’opinion publique, il faut allonger les
vingt-quatre
heures, au reste, il me semble que sans le dire,
se sentent assez de ces règles de pédants. Cela comme la division en
cinq
actes est une invention de gens avec qui nous ne
tes est une invention de gens avec qui nous ne pourrions pas soutenir
dix
minutes de conversation, sans bâiller à nous déme
eurs ? Cléante pouvait tout au plus lui faire une menace énergique de
quatre
vers, appuyée de la vue d’un pistolet. Voilà la n
Mais elle fut peut-être nécessaire à Molière pour la police. [Acte
IV
, scène III] Scène III Orgon, Elmire, Mariane,
fut peut-être nécessaire à Molière pour la police. [Acte IV, scène
III
] Scène III Orgon, Elmire, Mariane, Cléante, D
écessaire à Molière pour la police. [Acte IV, scène III] Scène
III
Orgon, Elmire, Mariane, Cléante, Dorine Mariane (
ourner Orgon, et promptement, de donner sa fille à Tartuffe. [Acte
IV
, scène IV] Scène IV Elmire, Orgon Orgon Appro
on, et promptement, de donner sa fille à Tartuffe. [Acte IV, scène
IV
] Scène IV Elmire, Orgon Orgon Approchons cett
ment, de donner sa fille à Tartuffe. [Acte IV, scène IV] Scène
IV
Elmire, Orgon Orgon Approchons cette table, et vo
ion admirable. Un moderne auroit mis là une préface infinie. [Acte
IV
, scène V] Scène V Tartuffe, Elmire ; Orgon (s
ble. Un moderne auroit mis là une préface infinie. [Acte IV, scène
V
] Scène V Tartuffe, Elmire ; Orgon (sous la ta
ne auroit mis là une préface infinie. [Acte IV, scène V] Scène
V
Tartuffe, Elmire ; Orgon (sous la table). Tartuff
dicule de ses termes de piété. Au reste, il est assez malaisé d’avoir
deux
langages. On peut citer en exemple les comédiens
eulisme n’y laisserait sans doute pas mettre de nos jours. [Acte
IV
, scène VII] Scène VII Tartuffe, Elmire, Orgon
y laisserait sans doute pas mettre de nos jours. [Acte IV, scène
VII
] Scène VII Tartuffe, Elmire, Orgon Orgon (arr
ns doute pas mettre de nos jours. [Acte IV, scène VII] Scène
VII
Tartuffe, Elmire, Orgon Orgon (arrêtant Tartuffe)
rlent ici de me faire sortir ! Voilà l’odieux qui commence. [Acte
V
, scène première] ACTE V Scène première Orgon,
! Voilà l’odieux qui commence. [Acte V, scène première] ACTE
V
Scène première Orgon, Cléante Cléante Mais au vra
e celui de Voltaire ; et le plus grand tort des philosophes. [Acte
V
, scène IV] Scène IV Orgon, Madame Pernelle, E
e Voltaire ; et le plus grand tort des philosophes. [Acte V, scène
IV
] Scène IV Orgon, Madame Pernelle, Elmire, Mar
t le plus grand tort des philosophes. [Acte V, scène IV] Scène
IV
Orgon, Madame Pernelle, Elmire, Mariane, Cléante,
Orgon (à part). Du meilleur de mon cœur je donnerois, sur l’heure Les
cent
plus beaux louis de ce qui me demeure, Et pouvoir
grand coup de poing qui se puisse donner. On a tort de supprimer ces
quatre
vers qui relèvent un peu Orgon, et nous rappellen
tant tombé trop bas. Au reste c’est une terrible épreuve que celle de
cent
cinquante ans passés sur une pièce comique. On vo
tombé trop bas. Au reste c’est une terrible épreuve que celle de cent
cinquante
ans passés sur une pièce comique. On voit ce que
ut faire même sur une Tragédie dans le sort de Bajazet (Feuilleton du
4
novembre 1813. Jadis on s’intéressait à Atalide ;
me sur une Tragédie dans le sort de Bajazet (Feuilleton du 4 novembre
1813.
Jadis on s’intéressait à Atalide ; aujourd’hui qu
autres passions, c’est Roxane qui est l’objet de l’intérêt. [Acte
V
, scène V] Scène V Orgon, Madame Pernelle, Elm
assions, c’est Roxane qui est l’objet de l’intérêt. [Acte V, scène
V
] Scène V Orgon, Madame Pernelle, Elmire, Cléa
t Roxane qui est l’objet de l’intérêt. [Acte V, scène V] Scène
V
Orgon, Madame Pernelle, Elmire, Cléante, Mariane,
’il vous faut toujours dire. On a encore grand tort de supprimer ces
dix
vers qui éloignent le sentiment de l’odieux. [
pprimer ces dix vers qui éloignent le sentiment de l’odieux. [Acte
V
, scène VI] Scène VI Valère, Orgon, Madame Per
es dix vers qui éloignent le sentiment de l’odieux. [Acte V, scène
VI
] Scène VI Valère, Orgon, Madame Pernelle, Elm
i éloignent le sentiment de l’odieux. [Acte V, scène VI] Scène
VI
Valère, Orgon, Madame Pernelle, Elmire, Cléante,
i pour vous emmener, mon carrosse à la porte. Vu l’état du luxe, en.
1664,
nous sommes ici avec des gens de la première volé
e parlât pas de son régiment ou de sa charge de président. [Acte
V
, scène VII] Scène VII Tartuffe, un exempt, Ma
pas de son régiment ou de sa charge de président. [Acte V, scène
VII
] Scène VII Tartuffe, un exempt, Madame Pernel
ment ou de sa charge de président. [Acte V, scène VII] Scène
VII
Tartuffe, un exempt, Madame Pernelle, Orgon, Elmi
évot à côté de Tartuffe, un vieil évêque pieux, oncle d’Elmire âgé de
soixante-dix
ans et retiré à Paris, comme l’ancien évêque d’Al
le concilier, qu’on pourrait trouver le moyen de nous montrer une ou
deux
fois Tartuffe désapointé. L’évêque dirait à Orgon
un argument jaculatoire d’Orgon, une question, etc. Cette scène dans
L
… est bonne, mais bien moins comique puisque L… n’
, etc. Cette scène dans L… est bonne, mais bien moins comique puisque
L
… n’est pas un homme éminemment dévot comme Tartuf
puisque L… n’est pas un homme éminemment dévot comme Tartuffe. Voilà
deux
objections qui me semblent dignes de la pièce. La
re un peu froide, une des causes c’est que l’action marche lentement.
2º
qu’on y rit trop peu. Une des causes de la froide
a femme. Cela préviendrait la critique de La Bruyère (Article Onuphre)
73,
qui au reste me semble peu fondée. Je crois que l
dans le Tartuffe ? Écrit à Milan dans l’intervalle des rendez-vous du
9
au il novembre 181374. Lu à Milan le 8 mars 1816,
? Écrit à Milan dans l’intervalle des rendez-vous du 9 au il novembre
181374.
Lu à Milan le 8 mars 1816, malade de battemens d’
’intervalle des rendez-vous du 9 au il novembre 181374. Lu à Milan le
8
mars 1816, malade de battemens d’artère nerveux.
alle des rendez-vous du 9 au il novembre 181374. Lu à Milan le 8 mars
1816,
malade de battemens d’artère nerveux. Approuvé au
t d’avoir fait l’Amour], au lieu de travailler au genre Mocenigo.
III
.L’Avare L’Avare peut-il être ridicule 75 ? Ou
au genre Mocenigo. III.L’Avare L’Avare peut-il être ridicule
75
? Oui. 1º Le véritable Avare, en le montrant pusi
Mocenigo. III.L’Avare L’Avare peut-il être ridicule 75 ? Oui.
1º
Le véritable Avare, en le montrant pusillanime à
rompant sur la chose où sa passion lui fait croire qu’est le bonheur.
2º
(Deuxième espèce d’Avare) l’Ambitieux de plaisirs
la plaisanterie. au lieu de fournir du comique78. * * * [Note i, page
16
(édition in-8º de 1804).] Cette scène suppose un
ieu de fournir du comique78. * * * [Note i, page 16 (édition in-8º de
1804
).] Cette scène suppose un amour extrême entre Val
r le coloris. Il fallait attacher en montrant à nu, les sentiments de
deux
cœurs tendres. On peut se rappeler le premier duo
r le caractère, et aurait ainsi paru plus brillant et plus noble, ces
deux
sensations ne sont point données par la pièce. Va
e, mais qui peindrait parfaitement nos mœurs, au philosophe qui, dans
mille
ans, voudrait les connaître. * * * [Nº 2, page 21
au philosophe qui, dans mille ans, voudrait les connaître. * * * [Nº
2,
page 21.] Le coloris de cette scène ne prouve poi
osophe qui, dans mille ans, voudrait les connaître. * * * [Nº 2, page
21.
] Le coloris de cette scène ne prouve point encore
ire sur Molière, de Simonin, comparaison de Regnard à Molière, page.)
6e
principe.] Une scène ne nous semble bonne qu’auta
elui-ci en venant parler à sa sœur n’est pas raisonnable. * * * [Note
3,
page 29.] Marmontel, tome 2, page 143, édition co
en venant parler à sa sœur n’est pas raisonnable. * * * [Note 3, page
29.
] Marmontel, tome 2, page 143, édition complète, a
sœur n’est pas raisonnable. * * * [Note 3, page 29.] Marmontel, tome
2,
page 143, édition complète, assure que Molière a
est pas raisonnable. * * * [Note 3, page 29.] Marmontel, tome 2, page
143,
édition complète, assure que Molière a mis l’autr
ertain faste, n’est pas l’avare pur ; on répond que l’Avare pur ayant
cent
mille livres de rentes et vivant avec 10 sols par
n faste, n’est pas l’avare pur ; on répond que l’Avare pur ayant cent
mille
livres de rentes et vivant avec 10 sols par jour,
pond que l’Avare pur ayant cent mille livres de rentes et vivant avec
10
sols par jour, ne donnerait au parterre que le pl
petites maisons (voir l’excellent M. Edger, Bibliothèque britannique
81,
vers 1804). Nous avons conçu l’Avarice, Louis et
maisons (voir l’excellent M. Edger, Bibliothèque britannique 81, vers
1804
). Nous avons conçu l’Avarice, Louis et moi, en no
Bibliothèque britannique 81, vers 1804). Nous avons conçu l’Avarice,
Louis
et moi, en nous supposant économisant et dînant a
l’Avarice, Louis et moi, en nous supposant économisant et dînant avec
30
sols pour faire un grand voyage qui exige 100 lou
onomisant et dînant avec 30 sols pour faire un grand voyage qui exige
100
louis. Parvenus à cette somme l’habitude est pris
aisir aux privations, par l’effet de la passion de voyager. Ayant ces
100
louis dans notre secrétaire, nous nous ferions qu
s ferions quelques raisonnements pour nous prouver qu’il nous en faut
200
pour faire ce voyage avec agrément. Le voyage ser
rétextes. Quelle passion nous fera éloigner le voyage ? Il arrive que
1º
le sentiment de puissance réelle que me donne la
réelle que me donne la possession de ces beaux doubles Napoléons, et
2º
le plaisir de faire des châteaux en Espagne sur c
maintenant à faire des châteaux en Espagne, fondés sur ce trésor.
IV
. Les Fourberies de Scapin Les Fourberies d
ésor. IV. Les Fourberies de Scapin Les Fourberies de Scapin
82
Épigraphe de ce commentaire « Des choses comm
logue. Tout de suite quelque chose d’original qui réveille. ……… Page
131.
Dialogue singulier. Silvestre … ; et je vois s
laisanterie. L’on rit et l’on aime Silvestre. [Acte premier, scène
II
] Scène II Octave. Scapin, Silvestre Silvestre
’on rit et l’on aime Silvestre. [Acte premier, scène II] Scène
II
Octave. Scapin, Silvestre Silvestre Il consulte d
sonne, balance, prend sa résolution : le voilà marié avec elle depuis
trois
jours. C’est la strette de l’air. Octave Et, pa
re semblant d’attendre qu’on lui découvre la grande difficulté. Page
134.
Un caractère plein de force et d’esprit. Pages 1
ifficulté. Page 134. Un caractère plein de force et d’esprit. Pages
136-7.
Peinture vraie du commencement d’une passion. Pa
it. Pages 136-7. Peinture vraie du commencement d’une passion. Page
138.
Stile rapide qui amuse. Pour que ces nuances fass
t, il faut un génie de premier ordre. Scapin Je les aurais joué tous
deux
par-dessus la jambe. Avec la faiblesse d’enfant
jambe. Avec la faiblesse d’enfant d’Octave. [Acte premier, scène
III
] Scène III Hyacinte, Octave, Scapin, Silvest
faiblesse d’enfant d’Octave. [Acte premier, scène III] Scène
III
Hyacinte, Octave, Scapin, Silvestre Hyacinthe P
] Scène III Hyacinte, Octave, Scapin, Silvestre Hyacinthe Page
140.
Peinture vraie d’une jeune fille amoureuse. Page
acinthe Page 140. Peinture vraie d’une jeune fille amoureuse. Page
140.
J’ai ouï dire, … Remarquez l’exactitude du colori
où il faut la plus grande justesse de nuance. [Acte premier, scène
IV
] Scène IV Octave, Scapin, Silvestre Scapin
plus grande justesse de nuance. [Acte premier, scène IV] Scène
IV
Octave, Scapin, Silvestre Scapin Page 142. Cont
emier, scène IV] Scène IV Octave, Scapin, Silvestre Scapin Page
142.
Contraste amusant du caractère ferme de Scapin mû
arrive…. Second petit moyen de faire avaler. [Acte premier, scène
VI
] Scène VI Argante, Scapin ; Silvestre, dans le
ond petit moyen de faire avaler. [Acte premier, scène VI] Scène
VI
Argante, Scapin ; Silvestre, dans le fond du théâ
Scène VI Argante, Scapin ; Silvestre, dans le fond du théâtre. Page
145.
Excellente scène de flatterie, et la plus diffici
ès cette scène traitez si vous pouvez le sujet du flatteur. [Acte
II
, scène première] ACTE II Scène première Géron
s pouvez le sujet du flatteur. [Acte II, scène première] ACTE
II
Scène première Géronte, Argante Géronte Ma foi, s
au contraire, du genre des Fourberies de Scapin, le plaisir vient de
mille
petits thèmes (musique) successifs que traite l’a
? Hé ? Géronte Comment ? Très piquant. On doit rire à ce mot. Page
153.
Exemple qui fait conclure au spectateur qu’il est
vre. On rit de la vanité de Géronte qui va être désapointée. [Acte
II
, scène V] Scène V Hyacinthe, Octave, Léandre
t de la vanité de Géronte qui va être désapointée. [Acte II, scène
V
] Scène V Hyacinthe, Octave, Léandre, Scapin
de Géronte qui va être désapointée. [Acte II, scène V] Scène
V
Hyacinthe, Octave, Léandre, Scapin Léandre (l’ép
l est impossible de peindre un caractère d’une manière plus piquante.
Deux
mérites ici : Cela peint. Cela est plaisant. Trop
outes les Femmes savantes, le clandestin Mariage de Colmann. [Acte
II
, scène VII] Scène VII Léandre, Octave, Scapi
Femmes savantes, le clandestin Mariage de Colmann. [Acte II, scène
VII
] Scène VII Léandre, Octave, Scapin Scapin Me
le clandestin Mariage de Colmann. [Acte II, scène VII] Scène
VII
Léandre, Octave, Scapin Scapin Me traiter de coqu
on est sur-le-champ distrait par une nouvelle polissonnerie. [Acte
II
, scène VIII] Scène VIII Argante, Scapin Scapi
-le-champ distrait par une nouvelle polissonnerie. [Acte II, scène
VIII
] Scène VIII Argante, Scapin Scapin … Et ce qu
it par une nouvelle polissonnerie. [Acte II, scène VIII] Scène
VIII
Argante, Scapin Scapin … Et ce qui a manqué à m’a
j’en ai rendu grâces â mon bon destin. Cette note est sur moi. Vers
1803,
je pris réellement un peu l’habitude de cette phi
bien est-ce qu’il fait monter le mulet ? Excellent. On rit. [Acte
II
, scène IX] Scène IX Argante, Scapin ; Silvest
e qu’il fait monter le mulet ? Excellent. On rit. [Acte II, scène
IX
] Scène IX Argante, Scapin ; Silvestre (déguis
onter le mulet ? Excellent. On rit. [Acte II, scène IX] Scène
IX
Argante, Scapin ; Silvestre (déguisé en spadassin
Argante, Scapin ; Silvestre (déguisé en spadassin). Silvestre Page
173
… l’épée dans le ventre un petit ? augmente la peu
Page 173… l’épée dans le ventre un petit ? augmente la peur. [Acte
II
, scène X] Scène X Argante, Scapin Scapin Hé b
l’épée dans le ventre un petit ? augmente la peur. [Acte II, scène
X
] Scène X Argante, Scapin Scapin Hé bien ! vou
e ventre un petit ? augmente la peur. [Acte II, scène X] Scène
X
Argante, Scapin Scapin Hé bien ! vous voyez combi
e, Scapin Scapin Hé bien ! vous voyez combien de personnes tuées pour
deux
cents pistoles… Encore une plaisanterie que Scap
apin Scapin Hé bien ! vous voyez combien de personnes tuées pour deux
cents
pistoles… Encore une plaisanterie que Scapin se
onsieur, je suis un fourbe, ou je suis honnête homme ; c’est l’un des
deux
. La forme du raisonnement, pour le raisonnement
st pas bon, mais il est bon, et il faut encore en prendre. » [Acte
II
, scène XI] Scène XI Géronte, Scapin Scapin (s
, mais il est bon, et il faut encore en prendre. » [Acte II, scène
XI
] Scène XI Géronte, Scapin Scapin (seul) Et je
bon, et il faut encore en prendre. » [Acte II, scène XI] Scène
XI
Géronte, Scapin Scapin (seul) Et je veux qu’il me
de son fils. Scapin croit vraiment que c’est une imposture. [Acte
III
, scène première] ACTE III Scène première Zerb
iment que c’est une imposture. [Acte III, scène première] ACTE
III
Scène première Zerbinette, Hyacinte, Scapin, Silv
olière, à cause du mélange de mœurs différentes. Cela tue l’illusion.
6
août 1816. [Acte III, scène II] Scène II G
à cause du mélange de mœurs différentes. Cela tue l’illusion. 6 août
1816.
[Acte III, scène II] Scène II Géronte, Sca
ange de mœurs différentes. Cela tue l’illusion. 6 août 1816. [Acte
III
, scène II] Scène II Géronte, Scapin Scapin «
rs différentes. Cela tue l’illusion. 6 août 1816. [Acte III, scène
II
] Scène II Géronte, Scapin Scapin « Quoi ! jé
. Cela tue l’illusion. 6 août 1816. [Acte III, scène II] Scène
II
Géronte, Scapin Scapin « Quoi ! jé n’aurai pas l’
était trop morose pour bien apprécier l’extrême gaieté. Mais je vois
deux
objections contre le sac : iº On y voit à travers
º On y voit à travers de la toile, mais supposons-la serrée et neuve.
2º
Un homme qui est sur les épaules d’un autre sert
e figure de Géronte qui peu à peu comprend la mystification. [Acte
III
, scène III] Scène III Zerbinette, Géronte Zer
Géronte qui peu à peu comprend la mystification. [Acte III, scène
III
] Scène III Zerbinette, Géronte Zerbinette Il
u à peu comprend la mystification. [Acte III, scène III] Scène
III
Zerbinette, Géronte Zerbinette Il y a à son nom d
r la justice en mer après la galère du Turc. Ah ! ah ! ah ! [Acte
III
, scène XI] Scène XI Argante, Géronte. Octave,
e en mer après la galère du Turc. Ah ! ah ! ah ! [Acte III, scène
XI
] Scène XI Argante, Géronte. Octave, Hyacinte
la galère du Turc. Ah ! ah ! ah ! [Acte III, scène XI] Scène
XI
Argante, Géronte. Octave, Hyacinte Zerbinette, Né
des grands hommes, et cela n’y fait rien. Trouvé parfaitement vrai le
7
août 1816. V.George Dandin Notes sur Ge
nds hommes, et cela n’y fait rien. Trouvé parfaitement vrai le 7 août
1816.
V.George Dandin Notes sur George Dandin
rai le 7 août 1816. V.George Dandin Notes sur George Dandin
84
Je croyais hier de 2 à 7, en ayant les larmes
.George Dandin Notes sur George Dandin 84 Je croyais hier de
2
à 7, en ayant les larmes aux yeux, que je n’aurai
rge Dandin Notes sur George Dandin 84 Je croyais hier de 2 à
7,
en ayant les larmes aux yeux, que je n’aurais pas
rons encore plusieurs fois. Il n’eût rien manqué à mon bonheur depuis
deux
mois, si, dès le 10 ou le 15 septembre, je me fus
fois. Il n’eût rien manqué à mon bonheur depuis deux mois, si, dès le
10
ou le 15 septembre, je me fusse mis à lire Molièr
n’eût rien manqué à mon bonheur depuis deux mois, si, dès le 10 ou le
15
septembre, je me fusse mis à lire Molière la plum
. Iº Être ruiné par la famille noble et pauvre à laquelle on s’allie.
2º
En éprouver des mépris qui empoisonnent le cours
n éprouver des mépris qui empoisonnent le cours habituel de la vie.
3º
Iº Être cocufié d’une manière scandaleuse et tel
telle qu’une fille, votre égale, n’aurait pas osé se le permettre.
2º
Bien plus, par la circonstance que la fille est n
ntrer tout à fait vaincue a évité beaucoup de positions comiques. Les
trois
désavantages énoncés ci-dessus, donnent : iº Com
énoncés ci-dessus, donnent : iº Combat de la vanité et de l’avarice.
2º
La vanité de George Dandin désappointée par les m
ion ridicule avec un valet qui l’annonce mal en estropiant son titre.
II
a cette susceptibilité, cette inquiétude continue
de vanité G. Dandin s’attendant à des honneurs qu’il ne reçoit point.
3º
Troisième inconvénient d’un tel mariage : A. Êtr
aire par exemple un homme de finance, fermier général ayant hérité de
60.000
francs de rente de son père, ce qui permettrait d
laisanter par eux. plaisantant lui-même, sur ce qui lui perce le cœur
86.
Cinquième situation : Combat de la vanité et d
et du chagrin d’être cocu. Dans un moment où la vanité a le dessus, [
X
?] a engagé sa femme à aller à une superbe partie
ne superbe partie de chasse à Saverne chez le Prince Louis (de Rohan,
1780
). Là, il se voit faire cocu, et ce chagrin l’empo
gissant de ses parents : Développement du premier désavantage, page
2.
Être ruiné par la famille noble. C’est un ridicul
à faire voir (cependant G. Dandin très riche, n’a dans ce moment que
150
louis de disponibles, on le force à donner toute
onibles, on le force à donner toute cette somme, c’est-à-dire non pas
149
louis, mais les 150. « Moi je resterai sans le so
à donner toute cette somme, c’est-à-dire non pas 149 louis, mais les
150.
« Moi je resterai sans le sou, » dit-il à sa bell
ns trous. Il s’aperçoit bientôt qu’on s’est fiché de lui as my. Et a
deux
chagrins : Le premier d’avoir perdu 30.000 francs
st fiché de lui as my. Et a deux chagrins : Le premier d’avoir perdu
30.000
francs as my friend ; Le deuxième qu’on s’est moq
dans M. Recard de Collé (l’Amour d’autrefois et l’Amour actuel. Tome
2
). En un mot, Molière pour des raisons à lui connu
que je ne puis discuter nous montre iº Georges Dandin déjà repentant.
2º
Il le montre les trous bouchés et se prive ainsi
eurs cet autre inconvénient que je les sais par cœur. Jusqu’ici (page
11
) je n’ai pas ri, je me suis seulement rappelé qu’
Collé, le fond de la Scène donné, aurait pu placer (dans cette Scène)
cinq
ou six plaisanteries du plus grand monde, qui aur
e fond de la Scène donné, aurait pu placer (dans cette Scène) cinq ou
six
plaisanteries du plus grand monde, qui auraient f
st peut-être téméraire. (Voir les notes sur les Femmes savantes, page
150.
) Comédies classiques, par la facilité avec laquel
s pour m’éviter la peine de les réinventer, ce que j’ai fait au moins
deux
ou trois fois. [Acte premier, scène II] AC
’éviter la peine de les réinventer, ce que j’ai fait au moins deux ou
trois
fois. [Acte premier, scène II] ACTE premie
ce que j’ai fait au moins deux ou trois fois. [Acte premier, scène
II
] ACTE premier Scène II George Dandin, Lubin
eux ou trois fois. [Acte premier, scène II] ACTE premier Scène
II
George Dandin, Lubin Lubin Paix ! George Dandin Q
ix ! George Dandin Quoi donc ? On rit de la figure de Dandin ; après
deux
pages, l’expression est déjà faite, l’action a ma
ne veut pas qu’on fasse l’amour à sa femme ; et il feroit le diable à
quatre
, si cela venoit à ses oreilles. Vous comprenez bi
e qu’est, au prix de cela, une journée de travail, oü je ne gagne que
dix
sous ! Trait de vérité qui fait un grand plaisir
. Un poète commun est le plus grand admirateur de la comédie. Il sent
vingt
fois plus de plaisir à lire de ses pièces que le
e courtisan ? On rit de la figure de Dandin. [Acte premier, scène
III
] Scène III George Dandin (seul) Il me faut, d
On rit de la figure de Dandin. [Acte premier, scène III] Scène
III
George Dandin (seul) Il me faut, de ce pas, aller
on qui renferment une moitié d’acte, un acte. [Acte premier, scène
IV
] Scène IV Monsieur de Sotenville, Madame de S
ent une moitié d’acte, un acte. [Acte premier, scène IV] Scène
IV
Monsieur de Sotenville, Madame de Sotenville, Geo
moi, si l’on n’y met ordre. Stile frappant. [Acte premier, scène
V
] Scène V Monsieur de Sotenville, Clitandre,
n’y met ordre. Stile frappant. [Acte premier, scène V] Scène
V
Monsieur de Sotenville, Clitandre, George Dandin
dans un monde choisi. » (Duclos, Procès-verbal des mœurs françaises,
1750,
ou Considérations, 31). Clitandre Me croyez-vous
(Duclos, Procès-verbal des mœurs françaises, 1750, ou Considérations,
31
). Clitandre Me croyez-vous capable, monsieur, d’
t peut-être eu bien de la peine à comprendre. [Acte premier, scène
VI
] Scène VI Monsieur et Madame de Sotenville, A
bien de la peine à comprendre. [Acte premier, scène VI] Scène
VI
Monsieur et Madame de Sotenville, Angélique, Clit
l n’aurait plus convenu, pour peu que l’auteur eut élevé l’esprit des
trois
autres. George Dandin Taisez-vous, vous dis-je ;
ais déraisonnable) qui illumine la situation. [Acte premier, scène
VIII
] Scène VIII Monsieur de Sotenville, Clitandre
e) qui illumine la situation. [Acte premier, scène VIII] Scène
VIII
Monsieur de Sotenville, Clitandre, George Dandin
il doit croire que son beau-père le mystifie. [Acte premier, scène
IX
] Scène IX George Dandin (seul) Allons, il s’
que son beau-père le mystifie. [Acte premier, scène IX] Scène
IX
George Dandin (seul) Allons, il s’agit seulement
enu. Il la prendrait par famine, ainsi que sa fière famille. [Acte
II
, scène première] Acte II Scène première Clau
e, ainsi que sa fière famille. [Acte II, scène première] Acte
II
Scène première Claudine, Lubin Lubin Nous en uson
oit plaisant, c’est une maladresse au personnage de le dire. [Acte
II
, scène III] Scène III Clitandre, George Dandi
nt, c’est une maladresse au personnage de le dire. [Acte II, scène
III
] Scène III Clitandre, George Dandin, Angéliqu
aladresse au personnage de le dire. [Acte II, scène III] Scène
III
Clitandre, George Dandin, Angélique George Dandin
Dandin] vint trouver un jeune homme dans son lit ! » On rit. [Acte
II
, scène IV] Scène IV George Dandin, Angélique
nt trouver un jeune homme dans son lit ! » On rit. [Acte II, scène
IV
] Scène IV George Dandin, Angélique Angélique
jeune homme dans son lit ! » On rit. [Acte II, scène IV] Scène
IV
George Dandin, Angélique Angélique Oh ! les Dandi
nt s’ils veulent ; Ridicule très bien relevé par Angélique. [Acte
II
, scène VII] Scène VII George Dandin, Lubin Lu
eulent ; Ridicule très bien relevé par Angélique. [Acte II, scène
VII
] Scène VII George Dandin, Lubin Lubin Si vous
ule très bien relevé par Angélique. [Acte II, scène VII] Scène
VII
George Dandin, Lubin Lubin Si vous n’aviez pas ba
roit bien fin. et dont on rirait si ce rôle était bien joué. [Acte
II
, scène VIII] Scène VIII George Dandin (seul)
fin. et dont on rirait si ce rôle était bien joué. [Acte II, scène
VIII
] Scène VIII George Dandin (seul) Si je rentre
rirait si ce rôle était bien joué. [Acte II, scène VIII] Scène
VIII
George Dandin (seul) Si je rentre chez moi, je fe
ce pauvre mari dont le Général ennemi profite sur-le-champ. [Acte
II
, scène X] Scène X Angélique, Clitandre, Claud
mari dont le Général ennemi profite sur-le-champ. [Acte II, scène
X
] Scène X Angélique, Clitandre, Claudine ; Mon
Général ennemi profite sur-le-champ. [Acte II, scène X] Scène
X
Angélique, Clitandre, Claudine ; Monsieur de Sote
prouvant l’existence de l’honneur dans l’esprit d’Angélique. [Acte
II
, scène XIII] Scène XIII George Dandin (seul)
’existence de l’honneur dans l’esprit d’Angélique. [Acte II, scène
XIII
] Scène XIII George Dandin (seul) J’aurai du
onneur dans l’esprit d’Angélique. [Acte II, scène XIII] Scène
XIII
George Dandin (seul) J’aurai du dessous avec elle
andin qui est raisonnable, mais un peu lourd, un peu paysan. [Acte
III
, scène première] ACTE IIIScène première Clit
our l’entretenir. Peint plus particulièrement le courtisan. [Acte
III
, scène III] Scène III Angélique, Clitandre, C
tenir. Peint plus particulièrement le courtisan. [Acte III, scène
III
] Scène III Angélique, Clitandre, Claudine (as
lus particulièrement le courtisan. [Acte III, scène III] Scène
III
Angélique, Clitandre, Claudine (assis au fond) ;
’auteur d’avoir de l’esprit, aux dépens de la vraisemblance. [Acte
III
, scène IV] Scène IV Angélique, Clitandre
voir de l’esprit, aux dépens de la vraisemblance. [Acte III, scène
IV
] Scène IV Angélique, Clitandre, Claudine
t, aux dépens de la vraisemblance. [Acte III, scène IV] Scène
IV
Angélique, Clitandre, Claudine, Lubin (assis
, Colin George Dandin Où est-ce que tu es ? Approche, que je te donne
mille
coups. Je pense qu’il me fuit. La première parti
phrase est un peu pamphlet, mais la seconde est bien gaie. [Acte
III
, scène V] Scène V Angélique, Clitandre, Claud
un peu pamphlet, mais la seconde est bien gaie. [Acte III, scène
V
] Scène V Angélique, Clitandre, Claudine, Lubi
let, mais la seconde est bien gaie. [Acte III, scène V] Scène
V
Angélique, Clitandre, Claudine, Lubin George Dand
ais j’en reviens toujours là : il n’est pas assez élastique. [Acte
III
, scène VI] Scène VI Angélique, Clitandre, Cla
viens toujours là : il n’est pas assez élastique. [Acte III, scène
VI
] Scène VI Angélique, Clitandre, Claudine, Lub
là : il n’est pas assez élastique. [Acte III, scène VI] Scène
VI
Angélique, Clitandre, Claudine, Lubin Claudine Ma
us joli que Madame, il se fait tard. Esprit proprement dit. [Acte
III
, scène VIII] Scène VIII Angélique, Claudine,
Madame, il se fait tard. Esprit proprement dit. [Acte III, scène
VIII
] Scène VIII Angélique, Claudine, George Dandi
ait tard. Esprit proprement dit. [Acte III, scène VIII] Scène
VIII
Angélique, Claudine, George Dandin Angélique Mais
dis que la nuit G. Dandini ne peut voir le coup de poignard. [Acte
III
, scène XII] Scène XII Monsieur et Madame de S
nuit G. Dandini ne peut voir le coup de poignard. [Acte III, scène
XII
] Scène XII Monsieur et Madame de Sotenville,
ne peut voir le coup de poignard. [Acte III, scène XII] Scène
XII
Monsieur et Madame de Sotenville, Colin, Angéliqu
final de Cimarosa, tout se réunit pour redoubler le comique. [Acte
III
, scène XIV] Scène XIV Monsieur et madame de
marosa, tout se réunit pour redoubler le comique. [Acte III, scène
XIV
] Scène XIV Monsieur et madame de Sotenville,
réunit pour redoubler le comique. [Acte III, scène XIV] Scène
XIV
Monsieur et madame de Sotenville, Angélique, Geor
my happiness eût été parfaite [en] ce voyage, si je me fusse avisé le
15
septembre, que bonheur sans travail est impossibl
ur sans travail est impossible. Je ne suis pas comme Archimède.)
VI
. Les Femmes Savantes Les Femmes savantes
Archimède.) VI. Les Femmes Savantes Les Femmes savantes
89
Si vous lisez une comédie pour votre plaisir,
e. Il est important pour le bonheur, que les femmes des maris qui ont
20,000
livres de rente règlent les comptes de l’administ
irs, sans quoi l’ennui de la société la saisirait. Il est évident que
deux
heures par jour suffisent pour l’administration i
eux pour le bonheur du mari, de la femme et des enfants que passé ces
deux
heures, elle emploie son temps à lire les douze o
enfants que passé ces deux heures, elle emploie son temps à lire les
douze
ou quinze grands poètes, les bons historiens, et
que passé ces deux heures, elle emploie son temps à lire les douze ou
quinze
grands poètes, les bons historiens, et les bons r
nciers qu’à faire une paire de bas qu’on peut acheter aussi bons pour
6
francs, ou qu’à faire de la tapisserie ? Elle aur
tisan, du petit bourgeois doit travailler utilement, mais à partir de
12
ou 15.000 livres de rente, ne vaut-il pas mieux q
du petit bourgeois doit travailler utilement, mais à partir de 12 ou
15.000
livres de rente, ne vaut-il pas mieux qu’elle acq
s n’est-elle pas plus propre à diriger une famille que celle qui fait
dix
paires de bas et quatre fauteuils par an ? Le car
propre à diriger une famille que celle qui fait dix paires de bas et
quatre
fauteuils par an ? Le caractère de Femme savante
e l’homme qui ne veut pas être cocu, Arnolphe de l’Ecole des femmes.
2º
Exécution. Molière aura recours aux excès de cara
e. Or quelles sont les positions ridicules de la femme : Iº Savante ;
2
De la femme poète ? de Mme de Staël par exemple ?
me : Iº Savante ; 2 De la femme poète ? de Mme de Staël par exemple ?
3º
Quels sont les ridicules des savans et des poètes
trouver inconnue quand elle se croit l’objet des regards du public ;
2º
Quand elle croit avoir inspiré par sa conduite la
e qui était bien piémontais, bien fier, bien caustique, bien traître.
3º
Mme Necker croyant servir l’ambition qu’elle avai
, vient lire à ces dames un manuscrit qu’on lui a, dit-il, prêté pour
quatre
heures seulement et qui fait un bruit du diable à
que pourrait-on lui dire ? tel est mon bon plaisir, répondrait-elle.
4º
La prude ressemble assez à un Ingénieur, mais non
ce qui ne puisse pas exister dans l’eau et d’être détrompés, mais ces
deux
ridicules à force d’être communs ne font plus rir
en compact, mais il manque de vivacité. Les moindres réponses sont de
quatre
vers. Armande Mais sachons, s’il vous plaît, qui
Il me semble que Collé, le fond de la scène donnée, eût pu y mettre
cinq
ou six plaisanteries du ton du plus grand monde,
semble que Collé, le fond de la scène donnée, eût pu y mettre cinq ou
six
plaisanteries du ton du plus grand monde, qui aur
ton du grand monde s’est, je crois, extrêmement perfectionné de l’an
1672
à l’année 1772. Je ne crois pas qu’à la première
onde s’est, je crois, extrêmement perfectionné de l’an 1672 à l’année
1772.
Je ne crois pas qu’à la première de ces époques,
e indifférens) que celui de Mme Du Deffand92. [Acte premier, scène
II
] Scène II Clitandre, Armande, Henriette Arma
que celui de Mme Du Deffand92. [Acte premier, scène II] Scène
II
Clitandre, Armande, Henriette Armande Je ménage
face. Derniers abois, dernière mauvaise ressource de Tartuffe. Tome
VI
, in-8º, 121, les quatre premiers vers nous semble
niers abois, dernière mauvaise ressource de Tartuffe. Tome VI, in-8º,
121,
les quatre premiers vers nous semblent trop série
is, dernière mauvaise ressource de Tartuffe. Tome VI, in-8º, 121, les
quatre
premiers vers nous semblent trop sérieux, stile l
x, stile lourd de Mame. Le stile lourd ne convient qu’à Armande. Vers
10
à 13 peu galants pour Henriette, et lourds comme
ile lourd de Mame. Le stile lourd ne convient qu’à Armande. Vers 10 à
13
peu galants pour Henriette, et lourds comme toute
orts du courroux ? Bonne plaisanterie, tirée du fond du sujet. Page
123.
Il faut dire sans crime en riant à cause du crimi
re sans crime en riant à cause du criminelle du cinquième vers. Page
124.
On rit d’autant plus d’Armande, qu’en qualité de
Elle est entièrement battue. On rit beaucoup. [Acte premier, scène
III
] Scène III Clitandre, Henriette Mais, puisqu
ment battue. On rit beaucoup. [Acte premier, scène III] Scène
III
Clitandre, Henriette Mais, puisqu’il m’est permis
a qualité de savante détruit net la grâce, l’extermine partout. Voilà
vingt-deux
vers sans amour, mais non pas sans pédanterie. D’
ments de Clitandre sur cet objet doivent être connus d’Henriette. Ces
vingt-deux
vers-là sont un morceau de satire. Clitandre Son
onte ! Cette repartie a la vivacité moderne. [Acte premier, scène
IV
] Scène IV Bélise, Clitandre Bélise Et, dans t
repartie a la vivacité moderne. [Acte premier, scène IV] Scène
IV
Bélise, Clitandre Bélise Et, dans tous les romans
n rit, je crois. C’est de l’embarras de Clitandre. Le dialogue de ces
deux
amants manque de vivacité. Bélise Je vois où dou
une et non pas vieille comme on la montre au Théâtre-Français, elle a
trente-deux
ans, il faut supposer qu’elle a le tempérament de
e horreur véritable. Ce point ci a été très bien vérifié. Approuvé le
10
avril 1814. [Acte II, scène III] ACTE II
véritable. Ce point ci a été très bien vérifié. Approuvé le 10 avril
1814.
[Acte II, scène III] ACTE II Scène III Bé
point ci a été très bien vérifié. Approuvé le 10 avril 1814. [Acte
II
, scène III] ACTE II Scène III Bélise (entran
été très bien vérifié. Approuvé le 10 avril 1814. [Acte II, scène
III
] ACTE II Scène III Bélise (entrant doucement
vérifié. Approuvé le 10 avril 1814. [Acte II, scène III] ACTE
II
Scène III Bélise (entrant doucement, et écoutant)
Approuvé le 10 avril 1814. [Acte II, scène III] ACTE II Scène
III
Bélise (entrant doucement, et écoutant) ; Chrysal
ement, et écoutant) ; Chrysale, Ariste On ne rit pas jusqu’à la page
24.
Bélise Ah ! chimères ! ce sont des chimères, dit
’en aille. — Que je m’en allasse, Monsieur94, » dit Beauzée. [Acte
II
, scène IV] Scène IV Chrysale, Ariste Ariste M
— Que je m’en allasse, Monsieur94, » dit Beauzée. [Acte II, scène
IV
] Scène IV Chrysale, Ariste Ariste Mon frère,
allasse, Monsieur94, » dit Beauzée. [Acte II, scène IV] Scène
IV
Chrysale, Ariste Ariste Mon frère, il n’est pas m
z-vous ? il n’est pas nécessaire. Déraison d’un bon petit sanguin de
cinquante-cinq
ans. Cette scène est probante, prouve le caractèr
n sujet il faut faire la liste des scènes divisées : iº En probantes.
2º
En comiques où l’on rit, et à côté, le nom du per
où l’on rit, et à côté, le nom du personnage duquel on rit. [Acte
II
, scène VI] Scène VI Philaminte, Bélise, Chrys
it, et à côté, le nom du personnage duquel on rit. [Acte II, scène
VI
] Scène VI Philaminte, Bélise, Chrysale, Marti
le nom du personnage duquel on rit. [Acte II, scène VI] Scène
VI
Philaminte, Bélise, Chrysale, Martine Chrysale (s
e. Philaminte Elle a, d’une insolence à nulle autre pareille, Après
trente
leçons, insulté mon oreille Par l’impropriété d’u
r si on ne pourrait pas en tirer parti pour le beau langage. [Acte
III
, scène première] ACTE IIIScène première Phila
rvir de mère. Excellent ridicule de précieuse. On voit bien dans ces
deux
vers la nuance du maître à l’écolière. [Acte I
it bien dans ces deux vers la nuance du maître à l’écolière. [Acte
III
, scène II] Scène II Henriette, Philaminte, Bé
s ces deux vers la nuance du maître à l’écolière. [Acte III, scène
II
] Scène II Henriette, Philaminte, Bélise, Arma
s la nuance du maître à l’écolière. [Acte III, scène II] Scène
II
Henriette, Philaminte, Bélise, Armande Trissotin,
erie de Mme Janna (mémoires de Collé) paraîtra-t-elle peu piquante en
1913.
Philaminte J’aime superbement et magnifiquement
uante en 1913. Philaminte J’aime superbement et magnifiquement ; Ces
deux
adverbes joints font admirablement. Cette scène
s pas, pour moi, si chacun me ressemble, Mais j’entends là-dessous un
million
de mots. Philaminte trouve un vrai plaisir à cel
ce premier penchant de l’homme : chercher le bonheur. Philaminte De
mille
doux frissons vous vous sentez saisir Idem. Tri
Laïs ! voilà de l’érudition. Bélise L’enveloppe est jolie, et vaut un
million
. Que cela est fade pour moi ! Je sortirais sur l
t une espèce de plaisanterie. Voyez la définition de ce mot. [Acte
III
, scène III] Scène III Philaminte, Bélise, Arm
e de plaisanterie. Voyez la définition de ce mot. [Acte III, scène
III
] Scène III Philaminte, Bélise, Armande, Henri
ie. Voyez la définition de ce mot. [Acte III, scène III] Scène
III
Philaminte, Bélise, Armande, Henriette, Trissotin
es siècles. L’habit noir une habitude du siècle de l’auteur. [Acte
III
, scène IV] Scène IV Philaminte, Bélise, Arman
L’habit noir une habitude du siècle de l’auteur. [Acte III, scène
IV
] Scène IV Philaminte, Bélise, Armande, Henrie
une habitude du siècle de l’auteur. [Acte III, scène IV] Scène
IV
Philaminte, Bélise, Armande, Henriette Philaminte
neurs au moins de notre esprit. Petitesse de ces sottes-là. [Acte
III
, scène V] Scène V Trissotin, Vadius. Philamin
ins de notre esprit. Petitesse de ces sottes-là. [Acte III, scène
V
] Scène V Trissotin, Vadius. Philaminte, Bélis
esprit. Petitesse de ces sottes-là. [Acte III, scène V] Scène
V
Trissotin, Vadius. Philaminte, Bélise Armande, He
e soit dans La Nature. (Me rappeler M. de Cassini chez Mme Michaud en
1806.
) Trissotin En carrosse doré vous iriez par les r
ius On verroit le public vous dresser des statues. On rit de voir ces
deux
animaux se louer. Vadius Hom ! c’est une ballade,
t une étude et pour me mettre en train après la campagne de Moscou et
quinze
mois d’interruption.) [Acte III, scène VIII]
après la campagne de Moscou et quinze mois d’interruption.) [Acte
III
, scène VIII] Scène VIII Chrysale, Ariste, Cli
ampagne de Moscou et quinze mois d’interruption.) [Acte III, scène
VIII
] Scène VIII Chrysale, Ariste, Clitandre, Henr
u et quinze mois d’interruption.) [Acte III, scène VIII] Scène
VIII
Chrysale, Ariste, Clitandre, Henriette, Armande C
e fait pas rire, mais elle amuse, elle a moins de vétusté95. [Acte
IV
, scène première] ACTE IVScène première Philam
malgré vous devenir votre gendre. Armande devient odieuse. [Acte
IV
, scène II] Scène II Clitandre, Armande, Phil
us devenir votre gendre. Armande devient odieuse. [Acte IV, scène
II
] Scène II Clitandre, Armande, Philaminte Arm
re gendre. Armande devient odieuse. [Acte IV, scène II] Scène
II
Clitandre, Armande, Philaminte Armande Ce n’est
uvé de toutes vos fiertés. Quelle humiliation pour Armande. [Acte
IV
, scène VI] Scène VI Armande, Clitandre A
tes vos fiertés. Quelle humiliation pour Armande. [Acte IV, scène
VI
] Scène VI Armande, Clitandre Armande Oui
. Quelle humiliation pour Armande. [Acte IV, scène VI] Scène
VI
Armande, Clitandre Armande Oui ; je vais vous
de ma reconnoissance On ne rit point. Clitandre pourrait lui camper
deux
ou trois bonnes plaisanteries. [Acte V, scène
econnoissance On ne rit point. Clitandre pourrait lui camper deux ou
trois
bonnes plaisanteries. [Acte V, scène première
dre pourrait lui camper deux ou trois bonnes plaisanteries. [Acte
V
, scène première] ACTE VScène première Henriet
oint dans la scène qui me semble manquer encore de vivacité. [Acte
V
, scène II] Scène II Chrysale Ouais ! qu’est-c
la scène qui me semble manquer encore de vivacité. [Acte V, scène
II
] Scène II Chrysale Ouais ! qu’est-ce donc que
me semble manquer encore de vivacité. [Acte V, scène II] Scène
II
Chrysale Ouais ! qu’est-ce donc que ceci ? Je vou
sans raison et conséquemment parce qu’elles sont anciennes. [Acte
V
, scène III] Scène III Philaminte, Bélise, Ar
son et conséquemment parce qu’elles sont anciennes. [Acte V, scène
III
] Scène III Philaminte, Bélise, Armande, Tris
ment parce qu’elles sont anciennes. [Acte V, scène III] Scène
III
Philaminte, Bélise, Armande, Trissotin, Un Notair
t trait de faiblesse, cela peint bien mais ne fait pas rire. [Acte
V
, scène IV] Scène IV Ariste, Chrysale, Philami
e faiblesse, cela peint bien mais ne fait pas rire. [Acte V, scène
IV
] Scène IV Ariste, Chrysale, Philaminte, Bélis
ela peint bien mais ne fait pas rire. [Acte V, scène IV] Scène
IV
Ariste, Chrysale, Philaminte, Bélise, Henriette,
et quittez votre ennui Ici Molière abandonne sa thèse et montre que
1a
science sert à quelque chose aux femmes puisqu’el
de l’homme avide. Et pour nous et pour lui est même sublime. [Acte
V
, scène V] Scène V Ariste, Chrysale, Philamint
e avide. Et pour nous et pour lui est même sublime. [Acte V, scène
V
] Scène V Ariste, Chrysale, Philaminte, Bélise
our nous et pour lui est même sublime. [Acte V, scène V] Scène
V
Ariste, Chrysale, Philaminte, Bélise, Armande, He
e qu’il y a de moins bon dans cette pièce, ce sont les caractères des
trois
femmes savantes. Encore à proprement parler il n’
des trois femmes savantes. Encore à proprement parler il n’y en a que
deux
. Bélise n’est que frottée de ce ridicule, celui q
de Tartuffe jouant, par orgueil, l’amour platonique remplit aussi les
deux
tiers des vers que dit Armande. Il n’y a de grand
ce genre de plaisir qui fait que vous ouvrez votre croisée pour voir
deux
chiens qui se pillent dans la rue. La pièce est s
hiens qui se pillent dans la rue. La pièce est supérieurement écrite.
Trois
ou quatre morceaux me semblent même parfaits, mai
se pillent dans la rue. La pièce est supérieurement écrite. Trois ou
quatre
morceaux me semblent même parfaits, mais il me pa
s les mariages de convenance. Trissotin se conduit comme feraient les
deux
tiers des hommes ; il est ridicule comme ayant ét
Cet esprit réveille, intéresse (a [ex. ce paradoxe]). Chrysale et les
trois
femmes savantes sont pour moi dans ce cas. J’aura
mes savantes sont pour moi dans ce cas. J’aurais eu du plaisir à voir
trois
ou quatre plaisanteries piquantes tomber sur cett
tes sont pour moi dans ce cas. J’aurais eu du plaisir à voir trois ou
quatre
plaisanteries piquantes tomber sur cette Tartuffe
e qui est prouvé par plusieurs vers de la pièce. Le Sexe aussi, page
49.
Quelque bruit. page 64. Le gros du public admire
ieurs vers de la pièce. Le Sexe aussi, page 49. Quelque bruit. page
64.
Le gros du public admire un grand dessein, mais c
èce. Voirie jugement du P. Rapin rapporté par Geoffroy, feuilleton du
2
novembre ou du 3, et celui de Bussy Rabutin, je c
ent du P. Rapin rapporté par Geoffroy, feuilleton du 2 novembre ou du
3,
et celui de Bussy Rabutin, je crois, dans le recu
xécuté quant aux accessoires par Basche, me semble ridicule par cela.
II
y a de la fausseté à ce qu’il soit environné de t
es personnages vivants telle que celle de l’Empereur par Canova.
1.
« Some Bookes are to be Tasted, Others to be Swa
and with Diligence and Attention ». ( Bacon’s Essays, Of Studies).
2.
Stendhal et ses amis. Notes d’un curieux, in-4,
s, Of Studies). 2. Stendhal et ses amis. Notes d’un curieux, in-4,
1890.
3. Stendhal et ses amis, p. 2. 4. Stendhal et
tudies). 2. Stendhal et ses amis. Notes d’un curieux, in-4, 1890.
3.
Stendhal et ses amis, p. 2. 4. Stendhal et ses
is. Notes d’un curieux, in-4, 1890. 3. Stendhal et ses amis, p. 2.
4.
Stendhal et ses amis, p. 17. 5. Molière, I. p.
. 3. Stendhal et ses amis, p. 2. 4. Stendhal et ses amis, p. 17.
5.
Molière, I. p. 426. 6. Molière, I, Disc, prél.
al et ses amis, p. 2. 4. Stendhal et ses amis, p. 17. 5. Molière,
I
. p. 426. 6. Molière, I, Disc, prél., p. xxx. 7
is, p. 2. 4. Stendhal et ses amis, p. 17. 5. Molière, I. p. 426.
6.
Molière, I, Disc, prél., p. xxx. 7. Molière, I
Stendhal et ses amis, p. 17. 5. Molière, I. p. 426. 6. Molière,
I
, Disc, prél., p. xxx. 7. Molière, I, Disc, prél
. 17. 5. Molière, I. p. 426. 6. Molière, I, Disc, prél., p. xxx.
7.
Molière, I, Disc, prél., p. XLIV 8. Par exemple
lière, I. p. 426. 6. Molière, I, Disc, prél., p. xxx. 7. Molière,
I
, Disc, prél., p. XLIV 8. Par exemple le dos des
lière, I, Disc, prél., p. xxx. 7. Molière, I, Disc, prél., p. XLIV
8.
Par exemple le dos des volumes est marqué en queu
p. XLIV 8. Par exemple le dos des volumes est marqué en queue H. B.
9.
1 Œuvres de J.-B. Poquelin de Molière. — Edition
XLIV 8. Par exemple le dos des volumes est marqué en queue H. B. 9.
1
Œuvres de J.-B. Poquelin de Molière. — Edition st
a fonderie stéréotypes de Pierre Didot l’ainé, et de Firmin Didot. An
VII
, 1799, 8 vol. in-18. 10. Molière, V, feuillets
derie stéréotypes de Pierre Didot l’ainé, et de Firmin Didot. An VII,
1799,
8 vol. in-18. 10. Molière, V, feuillets de la f
stéréotypes de Pierre Didot l’ainé, et de Firmin Didot. An VII, 1799,
8
vol. in-18. 10. Molière, V, feuillets de la fin
Pierre Didot l’ainé, et de Firmin Didot. An VII, 1799, 8 vol. in-18.
10.
Molière, V, feuillets de la fin. 11. Je n’ai pa
’ainé, et de Firmin Didot. An VII, 1799, 8 vol. in-18. 10. Molière,
V
, feuillets de la fin. 11. Je n’ai pas besoin de
. An VII, 1799, 8 vol. in-18. 10. Molière, V, feuillets de la fin.
11.
Je n’ai pas besoin de rappeler que Shakespeare fu
dans le Merchant of Venice qui ne s’y trouve pas, mais bien Antonio.
12.
The Merchant of Venice. 13. Molière, II , à l
ne s’y trouve pas, mais bien Antonio. 12. The Merchant of Venice.
13.
Molière, II , à la fin 14. Cette note est tiré
pas, mais bien Antonio. 12. The Merchant of Venice. 13. Molière,
II
, à la fin 14. Cette note est tirée de la derniè
Antonio. 12. The Merchant of Venice. 13. Molière, II , à la fin
14.
Cette note est tirée de la dernière feuille de ga
fin 14. Cette note est tirée de la dernière feuille de garde du vol.
IV
du Molière. 15. Écrit au crayon. 16. Note tirée
ote est tirée de la dernière feuille de garde du vol. IV du Molière.
15.
Écrit au crayon. 16. Note tirée du vol VI. du Mo
rnière feuille de garde du vol. IV du Molière. 15. Écrit au crayon.
16.
Note tirée du vol VI. du Molière, p.114. 17. Not
e du vol. IV du Molière. 15. Écrit au crayon. 16. Note tirée du vol
VI
. du Molière, p.114. 17. Note tirée du vol. V, du
15. Écrit au crayon. 16. Note tirée du vol VI. du Molière, p.114.
17.
Note tirée du vol. V, du Molière, p.195. 18. Gre
16. Note tirée du vol VI. du Molière, p.114. 17. Note tirée du vol.
V
, du Molière, p.195. 18. Grenoble, vol. XI, et Jo
VI. du Molière, p.114. 17. Note tirée du vol. V, du Molière, p.195.
18.
Grenoble, vol. XI, et Journal, p. 440. 19. Greno
14. 17. Note tirée du vol. V, du Molière, p.195. 18. Grenoble, vol.
XI
, et Journal, p. 440. 19. Grenoble, Ibid. 20. Gr
l. V, du Molière, p.195. 18. Grenoble, vol. XI, et Journal, p. 440.
19.
Grenoble, Ibid. 20. Grenoble, R.. 5896. 21. Mo
95. 18. Grenoble, vol. XI, et Journal, p. 440. 19. Grenoble, Ibid.
20.
Grenoble, R.. 5896. 21. Molière, II ; feuillets
vol. XI, et Journal, p. 440. 19. Grenoble, Ibid. 20. Grenoble, R..
5896.
21. Molière, II ; feuillets de la fin. 22. Mo
I, et Journal, p. 440. 19. Grenoble, Ibid. 20. Grenoble, R.. 5896.
21.
Molière, II ; feuillets de la fin. 22. Molière
p. 440. 19. Grenoble, Ibid. 20. Grenoble, R.. 5896. 21. Molière,
II
; feuillets de la fin. 22. Molière. I. p. 72.
d. 20. Grenoble, R.. 5896. 21. Molière, II ; feuillets de la fin.
22.
Molière. I. p. 72. 23. Tiré des feuillets de la
le, R.. 5896. 21. Molière, II ; feuillets de la fin. 22. Molière.
I
. p. 72. 23. Tiré des feuillets de la fin du vol.
6. 21. Molière, II ; feuillets de la fin. 22. Molière. I. p. 72.
23.
Tiré des feuillets de la fin du vol. I, du Molièr
n. 22. Molière. I. p. 72. 23. Tiré des feuillets de la fin du vol.
I
, du Molière. 24. Répétition de Stendhal, voir p.
. I. p. 72. 23. Tiré des feuillets de la fin du vol. I, du Molière.
24.
Répétition de Stendhal, voir p.VI. 25. Voici une
a fin du vol. I, du Molière. 24. Répétition de Stendhal, voir p.VI.
25.
Voici une variante du même passage tiré du vol. I
dhal, voir p.VI. 25. Voici une variante du même passage tiré du vol.
I
, de Molière, p. LXXXII : « Hobbes, Ds sur la natu
it, à moins qu’il n’y ait du déshonneur attaché.” » Le Spectateur, t.
I
. Discours XXXV. 26. « Plana comme Alfieri, je cr
qu’il n’y ait du déshonneur attaché.” » Le Spectateur, t. I. Discours
XXXV
. 26. « Plana comme Alfieri, je crois, méprise to
’y ait du déshonneur attaché.” » Le Spectateur, t. I. Discours XXXV.
26.
« Plana comme Alfieri, je crois, méprise toute la
e, verrais que toute ma politique est attacata ». (Journal, p. 228).
27.
Cette note est tirée des feuillets blancs de la f
28). 27. Cette note est tirée des feuillets blancs de la fin du vol.
VI
, du Molière. 28. Cette note est tirée du vol. II
ote est tirée des feuillets blancs de la fin du vol. VI, du Molière.
28.
Cette note est tirée du vol. III, du Molière ; la
s de la fin du vol. VI, du Molière. 28. Cette note est tirée du vol.
III
, du Molière ; la date est mal écrite : probableme
tirée du vol. III, du Molière ; la date est mal écrite : probablement
1811,
parce que la page suivante est marquée 1811 : mai
al écrite : probablement 1811, parce que la page suivante est marquée
1811
: mais peut-être 1815. 29. Beyle lui-même. 30.
nt 1811, parce que la page suivante est marquée 1811 : mais peut-être
1815.
29. Beyle lui-même. 30. Ministère de l’Instruct
, parce que la page suivante est marquée 1811 : mais peut-être 1815.
29.
Beyle lui-même. 30. Ministère de l’Instruction p
uivante est marquée 1811 : mais peut-être 1815. 29. Beyle lui-même.
30.
Ministère de l’Instruction publique et des Beaux-
anuscrits des Bibliothèques publiques de France — Départements — Tome
VII
— Grenoble. Paris. Pion, 1889, in-8, pp. Lx-802 +
ubliques de France — Départements — Tome VII — Grenoble. Paris. Pion,
1889,
in-8, pp. Lx-802 + 1 f. n. ch. p. l’er. 31. Lire
rtements — Tome VII — Grenoble. Paris. Pion, 1889, in-8, pp. Lx-802 +
1
f. n. ch. p. l’er. 31. Lire vol. VIII. 32. Écri
Grenoble. Paris. Pion, 1889, in-8, pp. Lx-802 + 1 f. n. ch. p. l’er.
31.
Lire vol. VIII. 32. Écriture de P. Mérimée. 33.
s. Pion, 1889, in-8, pp. Lx-802 + 1 f. n. ch. p. l’er. 31. Lire vol.
VIII
. 32. Écriture de P. Mérimée. 33. Idee elementar
, 1889, in-8, pp. Lx-802 + 1 f. n. ch. p. l’er. 31. Lire vol. VIII.
32.
Écriture de P. Mérimée. 33. Idee elementari sull
f. n. ch. p. l’er. 31. Lire vol. VIII. 32. Écriture de P. Mérimée.
33.
Idee elementari sulla poesia romantica esposte da
lementari sulla poesia romantica esposte da Ermes Visconti. — Milano,
1818.
Dalla Tipografia di Vincenzo Ferrario. in-8, pp.
nti. — Milano, 1818. Dalla Tipografia di Vincenzo Ferrario. in-8, pp.
61
+ 1 p. n. ch. 34. Écriture de Beyle. 35. Dialog
— Milano, 1818. Dalla Tipografia di Vincenzo Ferrario. in-8, pp. 61 +
1
p. n. ch. 34. Écriture de Beyle. 35. Dialogo di
8. Dalla Tipografia di Vincenzo Ferrario. in-8, pp. 61 + 1 p. n. ch.
34.
Écriture de Beyle. 35. Dialogo di Ermes Visconti
incenzo Ferrario. in-8, pp. 61 + 1 p. n. ch. 34. Écriture de Beyle.
35.
Dialogo di Ermes Visconti sulle unità drammatiche
Ermes Visconti sulle unità drammatiche di tempo e di luogo — Milano,
1819.
Dalla Tipografia di Vincenzo Ferrario, in-8, pp.
uogo — Milano, 1819. Dalla Tipografia di Vincenzo Ferrario, in-8, pp.
51
-f-1 p. n. ch. 36. En réalité il y fut en 1812.
. Dalla Tipografia di Vincenzo Ferrario, in-8, pp. 51 -f-1 p. n. ch.
36.
En réalité il y fut en 1812. 37. Bucci lit Byron
nzo Ferrario, in-8, pp. 51 -f-1 p. n. ch. 36. En réalité il y fut en
1812.
37. Bucci lit Byron. 38. Cf. la vraie inscripti
rario, in-8, pp. 51 -f-1 p. n. ch. 36. En réalité il y fut en 1812.
37.
Bucci lit Byron. 38. Cf. la vraie inscription, p
-1 p. n. ch. 36. En réalité il y fut en 1812. 37. Bucci lit Byron.
38.
Cf. la vraie inscription, p. 133 de Stendhal et s
ron. 38. Cf. la vraie inscription, p. 133 de Stendhal et ses amis.
39.
Oxberry’s Edition. — Hamlet, a tragedy ; By Willi
y W. Simpkin, and R. Marshall. Siationers’Court, Lud gate-Street, and
C.
Chapple, 59, Pall-Mall. — 1820, in-8, pp. xxx-91
, and R. Marshall. Siationers’Court, Lud gate-Street, and C. Chapple,
59,
Pall-Mall. — 1820, in-8, pp. xxx-91 + i f. n. ch.
. Siationers’Court, Lud gate-Street, and C. Chapple, 59, Pall-Mall. —
1820,
in-8, pp. xxx-91 + i f. n. ch. En tête, le portra
xxx-91 + i f. n. ch. En tête, le portrait de Mr. Kean, as Hamlet.
40.
Oxberry s Edition. — The Rivais, a comedy ; By R
W. Simpkin. and R. Marshall, Stalioners’Court, Lud-gate-Street ; and
C.
Cliapple, 66, Pall-Mall. -- 1820, in-8, pp. x + 1
and R. Marshall, Stalioners’Court, Lud-gate-Street ; and C. Cliapple,
66,
Pall-Mall. -- 1820, in-8, pp. x + 1 f. Il. ch. +
talioners’Court, Lud-gate-Street ; and C. Cliapple, 66, Pall-Mall. --
1820,
in-8, pp. x + 1 f. Il. ch. + pp. Il + pp. 76. En
-gate-Street ; and C. Cliapple, 66, Pall-Mall. -- 1820, in-8, pp. x +
1
f. Il. ch. + pp. Il + pp. 76. En tête, le portrai
le, 66, Pall-Mall. -- 1820, in-8, pp. x + 1 f. Il. ch. + pp. Il + pp.
76.
En tête, le portrait de Mrs Davison, as Julia.
+ pp. Il + pp. 76. En tête, le portrait de Mrs Davison, as Julia.
41.
Oxberry’s Edition. — The Beaux’Stratagem, a Come
y W. Simpkin, and R. Marshall, Stationers’Court, Ludgate-Street ; and
C.
Chapple, 66, Pall-Mall. — 1819, in-8, pp. II -f-2
, and R. Marshall, Stationers’Court, Ludgate-Street ; and C. Chapple,
66,
Pall-Mall. — 1819, in-8, pp. II -f-2 ff. n. ch. -
, Stationers’Court, Ludgate-Street ; and C. Chapple, 66, Pall-Mall. —
1819,
in-8, pp. II -f-2 ff. n. ch. -j- pp. 7 ; + 1 f. :
rt, Ludgate-Street ; and C. Chapple, 66, Pall-Mall. — 1819, in-8, pp.
II
-f-2 ff. n. ch. -j- pp. 7 ; + 1 f. :i. ch. En têt
Chapple, 66, Pall-Mall. — 1819, in-8, pp. II -f-2 ff. n. ch. -j- pp.
7
; + 1 f. :i. ch. En tête, le portrait de Mr. Jone
le, 66, Pall-Mall. — 1819, in-8, pp. II -f-2 ff. n. ch. -j- pp. 7 ; +
1
f. :i. ch. En tête, le portrait de Mr. Jones, as
7 ; + 1 f. :i. ch. En tête, le portrait de Mr. Jones, as Archer.
42.
Oxberry’s Edition. — Macbeth. À tragedy : By Wil
by W. Simpkin, and R. Marshall, Stationers’Court. Ludgate-Street, and
C.
Chapple, 59, Pall-Mall. — 1821, in-8, pp. III -j-
n, and R. Marshall, Stationers’Court. Ludgate-Street, and C. Chapple,
59,
Pall-Mall. — 1821, in-8, pp. III -j- 1 f. n. ch.
l, Stationers’Court. Ludgate-Street, and C. Chapple, 59, Pall-Mall. —
1821,
in-8, pp. III -j- 1 f. n. ch. -f-PP- 74 En tête,
urt. Ludgate-Street, and C. Chapple, 59, Pall-Mall. — 1821, in-8, pp.
III
-j- 1 f. n. ch. -f-PP- 74 En tête, le portrait de
gate-Street, and C. Chapple, 59, Pall-Mall. — 1821, in-8, pp. III -j-
1
f. n. ch. -f-PP- 74 En tête, le portrait de Mr. M
Chapple, 59, Pall-Mall. — 1821, in-8, pp. III -j- 1 f. n. ch. -f-PP-
74
En tête, le portrait de Mr. Macready, as Macbeth.
n. ch. -f-PP- 74 En tête, le portrait de Mr. Macready, as Macbeth.
43.
Évidemment Stendhal a remplacé ici par une figure
43. Évidemment Stendhal a remplacé ici par une figure le mot sots.
44.
Note, Madame Clarke, (fille du capitaine Hay, de
a. — Un Salon à Paris. Madame Mohl et ses intimes Paris, Pion, s. d. [
1886
]. in-12.) 45. Pièce autographe manuscrite conse
aris. Madame Mohl et ses intimes Paris, Pion, s. d. [1886]. in-12.)
45.
Pièce autographe manuscrite conservée à la Biblio
èce autographe manuscrite conservée à la Bibliothèque de l’Institut.
46.
Lucrèce, De rerum Natura, lib. II. 14 : O miseras
à la Bibliothèque de l’Institut. 46. Lucrèce, De rerum Natura, lib.
II
. 14 : O miseras hominum menteis ! O pectora cæca.
a Bibliothèque de l’Institut. 46. Lucrèce, De rerum Natura, lib. II.
14
: O miseras hominum menteis ! O pectora cæca. 4
m Natura, lib. II. 14 : O miseras hominum menteis ! O pectora cæca.
47.
Collection Henri Cordier 48. Collection Henri Co
ras hominum menteis ! O pectora cæca. 47. Collection Henri Cordier
48.
Collection Henri Cordier. 49. Journal des Débat
cæca. 47. Collection Henri Cordier 48. Collection Henri Cordier.
49.
Journal des Débats, vendredi 29 oct. 1897 50. D
ier 48. Collection Henri Cordier. 49. Journal des Débats, vendredi
29
oct. 1897 50. Dominique-Martin Méon. né à Saint-
Collection Henri Cordier. 49. Journal des Débats, vendredi 29 oct.
1897
50. Dominique-Martin Méon. né à Saint-Nicolas (L
ction Henri Cordier. 49. Journal des Débats, vendredi 29 oct. 1897
50.
Dominique-Martin Méon. né à Saint-Nicolas (Lorrai
50. Dominique-Martin Méon. né à Saint-Nicolas (Lorraine) le Ier sept.
1748
; décédé le 5 mai 1829. 51. Jean-Jacques Champol
tin Méon. né à Saint-Nicolas (Lorraine) le Ier sept. 1748 ; décédé le
5
mai 1829. 51. Jean-Jacques Champollion, né à Fig
on. né à Saint-Nicolas (Lorraine) le Ier sept. 1748 ; décédé le 5 mai
1829.
51. Jean-Jacques Champollion, né à Figeac (Lot)
à Saint-Nicolas (Lorraine) le Ier sept. 1748 ; décédé le 5 mai 1829.
51.
Jean-Jacques Champollion, né à Figeac (Lot) 5 oct
écédé le 5 mai 1829. 51. Jean-Jacques Champollion, né à Figeac (Lot)
5
octobre 1778 ; décédé à Fontainebleau 9 mai 1867
mai 1829. 51. Jean-Jacques Champollion, né à Figeac (Lot) 5 octobre
1778
; décédé à Fontainebleau 9 mai 1867 ; il fut révo
hampollion, né à Figeac (Lot) 5 octobre 1778 ; décédé à Fontainebleau
9
mai 1867 ; il fut révoqué de ses fonctions à la B
lion, né à Figeac (Lot) 5 octobre 1778 ; décédé à Fontainebleau 9 mai
1867
; il fut révoqué de ses fonctions à la Bibliothèq
fut révoqué de ses fonctions à la Bibliothèque nationale le Ier mars
1848
et remplacé par Jean-Barthélemy Hauréau. 52. Col
nationale le Ier mars 1848 et remplacé par Jean-Barthélemy Hauréau.
52.
Collection Henri Cordier. 53. Le célèbre sinolog
remplacé par Jean-Barthélemy Hauréau. 52. Collection Henri Cordier.
53.
Le célèbre sinologue Jean-Pierre-Abel Rémusat, né
er. 53. Le célèbre sinologue Jean-Pierre-Abel Rémusat, né à Paris le
5
sept. 1788 ; mort dans cette ville le 2 juin 1832
Le célèbre sinologue Jean-Pierre-Abel Rémusat, né à Paris le 5 sept.
1788
; mort dans cette ville le 2 juin 1832. 54. Bon
e-Abel Rémusat, né à Paris le 5 sept. 1788 ; mort dans cette ville le
2
juin 1832. 54. Bon Joseph, Baron Dacier, né à Va
Rémusat, né à Paris le 5 sept. 1788 ; mort dans cette ville le 2 juin
1832.
54. Bon Joseph, Baron Dacier, né à Valognes (Man
, né à Paris le 5 sept. 1788 ; mort dans cette ville le 2 juin 1832.
54.
Bon Joseph, Baron Dacier, né à Valognes (Manche)
54. Bon Joseph, Baron Dacier, né à Valognes (Manche) le : Ier avril
1747
; décédé à Paris, 4 février 1833. 55. Je dois ce
Dacier, né à Valognes (Manche) le : Ier avril 1747 ; décédé à Paris,
4
février 1833. 55. Je dois ce précieux document à
é à Valognes (Manche) le : Ier avril 1747 ; décédé à Paris, 4 février
1833.
55. Je dois ce précieux document à l’obligeance
ognes (Manche) le : Ier avril 1747 ; décédé à Paris, 4 février 1833.
55.
Je dois ce précieux document à l’obligeance de M.
hèque particulière et provient de la collection du baron de Mareste.
56.
Œuvres complètes de Vauvenargues… Précédées d’une
es… Précédées d’une Notice.. par M. Suard.. Paris, Dentu, M.D.CCC.VI,
2
vol. in-S. — Bibl. Nat. R.2848. B. 4/5. — Inv. R.
uard.. Paris, Dentu, M.D.CCC.VI, 2 vol. in-S. — Bibl. Nat. R.2848. B.
4
/5. — Inv. R. 19,652 5. 57. 1 Horace, Carmina. li
rd.. Paris, Dentu, M.D.CCC.VI, 2 vol. in-S. — Bibl. Nat. R.2848. B. 4/
5.
— Inv. R. 19,652 5. 57. 1 Horace, Carmina. lib.
entu, M.D.CCC.VI, 2 vol. in-S. — Bibl. Nat. R.2848. B. 4/5. — Inv. R.
19,652
5. 57. 1 Horace, Carmina. lib. III, 3. 1 : Just
.D.CCC.VI, 2 vol. in-S. — Bibl. Nat. R.2848. B. 4/5. — Inv. R. 19,652
5.
57. 1 Horace, Carmina. lib. III, 3. 1 : Justum
CC.VI, 2 vol. in-S. — Bibl. Nat. R.2848. B. 4/5. — Inv. R. 19,652 5.
57.
1 Horace, Carmina. lib. III, 3. 1 : Justum ac te
I, 2 vol. in-S. — Bibl. Nat. R.2848. B. 4/5. — Inv. R. 19,652 5. 57.
1
Horace, Carmina. lib. III, 3. 1 : Justum ac tena
Nat. R.2848. B. 4/5. — Inv. R. 19,652 5. 57. 1 Horace, Carmina. lib.
III
, 3. 1 : Justum ac tenacem proposili virum… 58.
R.2848. B. 4/5. — Inv. R. 19,652 5. 57. 1 Horace, Carmina. lib. III,
3.
1 : Justum ac tenacem proposili virum… 58. Ste
848. B. 4/5. — Inv. R. 19,652 5. 57. 1 Horace, Carmina. lib. III, 3.
1
: Justum ac tenacem proposili virum… 58. Stend
race, Carmina. lib. III, 3. 1 : Justum ac tenacem proposili virum…
58.
Stendhal (Œuvres posthumes, : Napoléon. De l’Ital
introduction par Jean de Mitty. Paris, Éditions de la Revue blanche,
1897,
in-18, pp. XXV, 260. 59. Dans le volume III, du
Jean de Mitty. Paris, Éditions de la Revue blanche, 1897, in-18, pp.
XXV
, 260. 59. Dans le volume III, du Molière. — Dans
de Mitty. Paris, Éditions de la Revue blanche, 1897, in-18, pp. XXV,
260.
59. Dans le volume III, du Molière. — Dans le vo
tty. Paris, Éditions de la Revue blanche, 1897, in-18, pp. XXV, 260.
59.
Dans le volume III, du Molière. — Dans le volume
s de la Revue blanche, 1897, in-18, pp. XXV, 260. 59. Dans le volume
III
, du Molière. — Dans le volume IV, p. 49, de l’édi
, pp. XXV, 260. 59. Dans le volume III, du Molière. — Dans le volume
IV
, p. 49, de l’édition Didot 60. 5 Le jeudi 16 dé
ume III, du Molière. — Dans le volume IV, p. 49, de l’édition Didot
60.
5 Le jeudi 16 décembre 1813 le spectacle du Théât
III, du Molière. — Dans le volume IV, p. 49, de l’édition Didot 60.
5
Le jeudi 16 décembre 1813 le spectacle du Théâtre
ière. — Dans le volume IV, p. 49, de l’édition Didot 60. 5 Le jeudi
16
décembre 1813 le spectacle du Théâtre-Français se
le volume IV, p. 49, de l’édition Didot 60. 5 Le jeudi 16 décembre
1813
le spectacle du Théâtre-Français se composait de
Dumilâtre ; Mmes Mezeray, Mars, Desbrosses. Cf. Journal de l’Empire,
16
décembre 1813. Je ne sais pourquoi Fleury et Mlle
Mmes Mezeray, Mars, Desbrosses. Cf. Journal de l’Empire, 16 décembre
1813.
Je ne sais pourquoi Fleury et Mlle Mars sont omis
rquoi Fleury et Mlle Mars sont omis dans cette énumération de noms.
61.
Abraham-Joseph Bénard, dit Fleury, né à Chartres
on de noms. 61. Abraham-Joseph Bénard, dit Fleury, né à Chartres en
1751
; mort en 1822, à Orléans. 62. Geoffroy écrit d
1. Abraham-Joseph Bénard, dit Fleury, né à Chartres en 1751 ; mort en
1822,
à Orléans. 62. Geoffroy écrit dans le feuilleto
énard, dit Fleury, né à Chartres en 1751 ; mort en 1822, à Orléans.
62.
Geoffroy écrit dans le feuilleton du Journal de l
eoffroy écrit dans le feuilleton du Journal de l’Empire, à la date du
19
décembre 1813, p. 3 : « Toutes les représentatio
t dans le feuilleton du Journal de l’Empire, à la date du 19 décembre
1813,
p. 3 : « Toutes les représentations du Misantrop
sont joués par les acteurs chéris et adoptés par e public. Eleury et
M
lle Mars font au théâtre le destin des pièces aux
Anne-Françoise-Hippolyte Boutet-Monvel, dite Mlle Mars, née à Paris.
9
février 1779 ; morte à Paris, 20 mars 1847. 63
çoise-Hippolyte Boutet-Monvel, dite Mlle Mars, née à Paris. 9 février
1779
; morte à Paris, 20 mars 1847. 63. ‘William Wy
-Monvel, dite Mlle Mars, née à Paris. 9 février 1779 ; morte à Paris,
20
mars 1847. 63. ‘William Wycherley, né vers 164
dite Mlle Mars, née à Paris. 9 février 1779 ; morte à Paris, 20 mars
1847.
63. ‘William Wycherley, né vers 164c à Clive,
e Mars, née à Paris. 9 février 1779 ; morte à Paris, 20 mars 1847.
63.
‘William Wycherley, né vers 164c à Clive, près de
779 ; morte à Paris, 20 mars 1847. 63. ‘William Wycherley, né vers
164c
à Clive, près de Shrewsbury ; mort Ier janvier 17
ycherley, né vers 164c à Clive, près de Shrewsbury ; mort Ier janvier
1715.
The Plain Dealer, joué en 1677. « Je ne connais
rès de Shrewsbury ; mort Ier janvier 1715. The Plain Dealer, joué en
1677.
« Je ne connais point, dit Voltaire, de comédie
z les anciens ni chez les modernes où il y ait autant d’esprit. »
64.
Pierre Letourneur, né en 1736, à Valognes ; mort
ernes où il y ait autant d’esprit. » 64. Pierre Letourneur, né en
1736,
à Valognes ; mort le 24 janvier 1788 ; sa traduct
esprit. » 64. Pierre Letourneur, né en 1736, à Valognes ; mort le
24
janvier 1788 ; sa traduction du Théâtre de Shakes
64. Pierre Letourneur, né en 1736, à Valognes ; mort le 24 janvier
1788
; sa traduction du Théâtre de Shakespeare compren
le 24 janvier 1788 ; sa traduction du Théâtre de Shakespeare comprend
20
vol. in-8 (1776-1782). — Nouvelle édition précédé
1788 ; sa traduction du Théâtre de Shakespeare comprend 20 vol. in-8 (
1776-1782
). — Nouvelle édition précédée d’une notice biogra
t de Shakespeare gravé sur acier. Paris, imprimerie d’Amédée Saintin,
1835,
2 vol. gr. in-8. 65. 1 Quelques années auparava
hakespeare gravé sur acier. Paris, imprimerie d’Amédée Saintin, 1835,
2
vol. gr. in-8. 65. 1 Quelques années auparavant
r acier. Paris, imprimerie d’Amédée Saintin, 1835, 2 vol. gr. in-8.
65.
1 Quelques années auparavant, Stendhal, 20 mars 1
ier. Paris, imprimerie d’Amédée Saintin, 1835, 2 vol. gr. in-8. 65.
1
Quelques années auparavant, Stendhal, 20 mars 181
1835, 2 vol. gr. in-8. 65. 1 Quelques années auparavant, Stendhal,
20
mars 1810, écrivait (Journal, p. 159) : « Fleury
vol. gr. in-8. 65. 1 Quelques années auparavant, Stendhal, 20 mars
1810,
écrivait (Journal, p. 159) : « Fleury n’a décidém
ais, en revanche, Mars est parfaite dans les Fausses Confidences. »
66.
« Le Misanthrope est dans la comédie ce qu’Atha
anthrope est dans la comédie ce qu’Athalie est dans la tragédie ; ces
deux
chefs-d’œuvre ont le défaut d’être trop au-dessus
le défaut d’être trop au-dessus de la portée du vulgaire. »(Geoffroy,
I
, p. 331, Cours de Littérature dramatique.) 67. D
u vulgaire. »(Geoffroy, I, p. 331, Cours de Littérature dramatique.)
67.
Dans le vol. IV. du Molière. — Dans le vol. V, p.
ffroy, I, p. 331, Cours de Littérature dramatique.) 67. Dans le vol.
IV
. du Molière. — Dans le vol. V, p. 5 de l’éd. Dido
érature dramatique.) 67. Dans le vol. IV. du Molière. — Dans le vol.
V
, p. 5 de l’éd. Didot. 68. Je note que le Tartuf
Dans le vol. IV. du Molière. — Dans le vol. V, p. 5 de l’éd. Didot.
68.
Je note que le Tartuffe fut joué le mardi 23 févr
p. 5 de l’éd. Didot. 68. Je note que le Tartuffe fut joué le mardi
23
février 1814. — Stendhal nous avait déjà dit (Jou
éd. Didot. 68. Je note que le Tartuffe fut joué le mardi 23 février
1814.
— Stendhal nous avait déjà dit (Journal, 1805, p.
ué le mardi 23 février 1814. — Stendhal nous avait déjà dit (Journal,
1805,
p. 1741 : « Nous sortons, Percevant et moi, du Ta
artuffe, suivi des Folies Amoureuses. Mlle Mars a été divine dans les
deux
pièces, mais particulièrement dans le commencemen
trée des Folies. Nous l’avons appelée après la seconde pièce. » Et en
1806,
l. c., p. 317 : « Le Tartuffe. Mlle Mars,
une grande âme. Quelles nuances ! Quelle vérité ! C’est sublime. »
69.
Marie de Vichy. — Chamron, marquise Du Deffand, n
lime. » 69. Marie de Vichy. — Chamron, marquise Du Deffand, née en
1697
; morte le 23 septembre 1780 70. Saint François
arie de Vichy. — Chamron, marquise Du Deffand, née en 1697 ; morte le
23
septembre 1780 70. Saint François tenant dans se
. — Chamron, marquise Du Deffand, née en 1697 ; morte le 23 septembre
1780
70. Saint François tenant dans ses bras l’enfant
amron, marquise Du Deffand, née en 1697 ; morte le 23 septembre 1780
70.
Saint François tenant dans ses bras l’enfant-Jésu
l’enfant-Jésus, petit tableau charmant du Dominiquin, au Musée n°..…
71.
Voyez Métastase, tome XII ou XV. 72. Le cardinal
eau charmant du Dominiquin, au Musée n°..… 71. Voyez Métastase, tome
XII
ou XV. 72. Le cardinal Louis-François de Bausset
rmant du Dominiquin, au Musée n°..… 71. Voyez Métastase, tome XII ou
XV
. 72. Le cardinal Louis-François de Bausset, de l
du Dominiquin, au Musée n°..… 71. Voyez Métastase, tome XII ou XV.
72.
Le cardinal Louis-François de Bausset, de l’Acadé
ouis-François de Bausset, de l’Académie française, né à Pondichéry le
14
décembre 1748, mort le 21 juin 1824. 73. « Onup
s de Bausset, de l’Académie française, né à Pondichéry le 14 décembre
1748,
mort le 21 juin 1824. 73. « Onuphre n’a pour to
de l’Académie française, né à Pondichéry le 14 décembre 1748, mort le
21
juin 1824. 73. « Onuphre n’a pour tout lit qu’u
démie française, né à Pondichéry le 14 décembre 1748, mort le 21 juin
1824.
73. « Onuphre n’a pour tout lit qu’une housse d
rançaise, né à Pondichéry le 14 décembre 1748, mort le 21 juin 1824.
73.
« Onuphre n’a pour tout lit qu’une housse de ser
l se donne la discipline » (La Bruyère, les Caractères, Paris, Didot.
1853,
in-8, « De la Mode », p. 443.) 74. Avec la comte
, les Caractères, Paris, Didot. 1853, in-8, « De la Mode », p. 443.)
74.
Avec la comtesse Simonetta. 75. À la fin du vol.
853, in-8, « De la Mode », p. 443.) 74. Avec la comtesse Simonetta.
75.
À la fin du vol. IV du Molière. — Dans le vol. VI
de », p. 443.) 74. Avec la comtesse Simonetta. 75. À la fin du vol.
IV
du Molière. — Dans le vol. VI, p. 5, de l’édit. D
mtesse Simonetta. 75. À la fin du vol. IV du Molière. — Dans le vol.
VI
, p. 5, de l’édit. Didot 76. 5 On a joué l’Avare,
fin du vol. IV du Molière. — Dans le vol. VI, p. 5, de l’édit. Didot
76.
5 On a joué l’Avare, le mardi 1er février 1814, a
du vol. IV du Molière. — Dans le vol. VI, p. 5, de l’édit. Didot 76.
5
On a joué l’Avare, le mardi 1er février 1814, ave
le vol. VI, p. 5, de l’édit. Didot 76. 5 On a joué l’Avare, le mardi
1er
février 1814, avec Lacave, Michelot, Van-hove, Fa
p. 5, de l’édit. Didot 76. 5 On a joué l’Avare, le mardi 1er février
1814,
avec Lacave, Michelot, Van-hove, Faure, Dumilâtre
tiguenave. Mmes Dupuis, Michelot, Dupont ; il fut repris le vendredi,
4
mars 1814, avec Michot en plus ; Faure, Cartigny
ve. Mmes Dupuis, Michelot, Dupont ; il fut repris le vendredi, 4 mars
1814,
avec Michot en plus ; Faure, Cartigny en moins ;
ec Michot en plus ; Faure, Cartigny en moins ; et les mêmes femmes.
77.
C’est bien dans le Dissipateur qui fut joué à la
ien dans le Dissipateur qui fut joué à la Comédie-Française le samedi
15
janvier et le samedi 5 mars 1814, avec la distrib
qui fut joué à la Comédie-Française le samedi 15 janvier et le samedi
5
mars 1814, avec la distribution : Fleury, Saint-F
joué à la Comédie-Française le samedi 15 janvier et le samedi 5 mars
1814,
avec la distribution : Fleury, Saint-Fai, Armand,
n coffre, et puis mon cher argent Me console. J’en ai de quoi remplir
deux
pipes : …………….* * Voyez au Chapitre Livre la déf
pes : …………….* * Voyez au Chapitre Livre la définition de ces mots.
78.
Page 73 - LE DISSIPATEUR ou l’honneste Friponne,
…….* * Voyez au Chapitre Livre la définition de ces mots. 78. Page
73
- LE DISSIPATEUR ou l’honneste Friponne, Comédie,
. 78. Page 73 - LE DISSIPATEUR ou l’honneste Friponne, Comédie, par
M
; Nericault Destouches, de l’Académie Françoise.
s - M. DCC.XXXVI. Avec Approbation et privilège du Roy ; Pet ; in-8.
79.
Oui, dans une comédie d’intrigue, mais une scène
’intrigue, mais une scène qui fait rire, sans changement, est bonne.
80.
Avare de qualité et homme d’esprit qui florissait
0. Avare de qualité et homme d’esprit qui florissait à Grenoble, vers
1770
grand-père je crois de mon ami, le Vicomte. 81.
it à Grenoble, vers 1770 grand-père je crois de mon ami, le Vicomte.
81.
Bibliothèque britannique, rédigée par Auguste P
que britannique, rédigée par Auguste Pictet et F.-G. Maurice. Genève,
1796-1815,
140 vol. in-8. 82. Dans le vol. V du Molière. —
ique, rédigée par Auguste Pictet et F.-G. Maurice. Genève, 1796-1815,
140
vol. in-8. 82. Dans le vol. V du Molière. — Dans
r Auguste Pictet et F.-G. Maurice. Genève, 1796-1815, 140 vol. in-8.
82.
Dans le vol. V du Molière. — Dans le vol. VII, p.
et F.-G. Maurice. Genève, 1796-1815, 140 vol. in-8. 82. Dans le vol.
V
du Molière. — Dans le vol. VII, p. 131, 209 de l’
6-1815, 140 vol. in-8. 82. Dans le vol. V du Molière. — Dans le vol.
VII
, p. 131, 209 de l’édit. Didot. 83. Les Fourberi
ol. in-8. 82. Dans le vol. V du Molière. — Dans le vol. VII, p. 131,
209
de l’édit. Didot. 83. Les Fourberies de Scapin
vol. V du Molière. — Dans le vol. VII, p. 131, 209 de l’édit. Didot.
83.
Les Fourberies de Scapin étaient jouées à l’époq
min, Valmore, Artiguenave. Mmes Pelicier, Boissière, Dupont (mercredi
22
décembre 1813 et mardi Ier mars 1814). 84. Dans
, Artiguenave. Mmes Pelicier, Boissière, Dupont (mercredi 22 décembre
1813
et mardi Ier mars 1814). 84. Dans le vol. V du M
icier, Boissière, Dupont (mercredi 22 décembre 1813 et mardi Ier mars
1814
). 84. Dans le vol. V du Molière, 6 novembre 1813
oissière, Dupont (mercredi 22 décembre 1813 et mardi Ier mars 1814).
84.
Dans le vol. V du Molière, 6 novembre 1813. — Pré
(mercredi 22 décembre 1813 et mardi Ier mars 1814). 84. Dans le vol.
V
du Molière, 6 novembre 1813. — Précède Scapin dan
écembre 1813 et mardi Ier mars 1814). 84. Dans le vol. V du Molière,
6
novembre 1813. — Précède Scapin dans ce vol. — Vo
3 et mardi Ier mars 1814). 84. Dans le vol. V du Molière, 6 novembre
1813.
— Précède Scapin dans ce vol. — Vol. V, pp. 195-2
. V du Molière, 6 novembre 1813. — Précède Scapin dans ce vol. — Vol.
V
, pp. 195-274, de l’éd. Didot. George Dandin, joué
Molière, 6 novembre 1813. — Précède Scapin dans ce vol. — Vol. V, pp.
195-274,
de l’éd. Didot. George Dandin, joué le mardi 15 f
. — Vol. V, pp. 195-274, de l’éd. Didot. George Dandin, joué le mardi
15
février et le vendredi 25 mars 1814. 85. Acte I.
e l’éd. Didot. George Dandin, joué le mardi 15 février et le vendredi
25
mars 1814. 85. Acte I. scène I. 86. Si je n’eus
Didot. George Dandin, joué le mardi 15 février et le vendredi 25 mars
1814.
85. Acte I. scène I. 86. Si je n’eusse travaill
George Dandin, joué le mardi 15 février et le vendredi 25 mars 1814.
85.
Acte I. scène I. 86. Si je n’eusse travaillé la
ndin, joué le mardi 15 février et le vendredi 25 mars 1814. 85. Acte
I
. scène I. 86. Si je n’eusse travaillé la plume à
é le mardi 15 février et le vendredi 25 mars 1814. 85. Acte I. scène
I
. 86. Si je n’eusse travaillé la plume à la main,
mardi 15 février et le vendredi 25 mars 1814. 85. Acte I. scène I.
86.
Si je n’eusse travaillé la plume à la main, je n’
ravaillant sans plume, que la première idée, que le premier chaînon.
87.
Vie convenable, in Lutezia for a Mocenigo. The mo
go. The morning. travailler ; the evening, after dinner. à observer.
88.
Principe. Que les peintures soient très fortes, s
dieuses ; défaut de la force, tomber dans l’odieux ou l’extravagant.
89.
Dans le vol. VI du Molière. — Dans le vol. VIII,
de la force, tomber dans l’odieux ou l’extravagant. 89. Dans le vol.
VI
du Molière. — Dans le vol. VIII, p. 5, de l’édit.
eux ou l’extravagant. 89. Dans le vol. VI du Molière. — Dans le vol.
VIII
, p. 5, de l’édit. Didot. 90. Morin, le Sumac des
le vol. VI du Molière. — Dans le vol. VIII, p. 5, de l’édit. Didot.
90.
Morin, le Sumac des corroyeurs. 91. Elle a été j
. VIII, p. 5, de l’édit. Didot. 90. Morin, le Sumac des corroyeurs.
91.
Elle a été jouée le mercredi 9 et le mardi 22 fév
90. Morin, le Sumac des corroyeurs. 91. Elle a été jouée le mercredi
9
et le mardi 22 février 1814 92. Ce passage sur l
Sumac des corroyeurs. 91. Elle a été jouée le mercredi 9 et le mardi
22
février 1814 92. Ce passage sur le Comique est d
orroyeurs. 91. Elle a été jouée le mercredi 9 et le mardi 22 février
1814
92. Ce passage sur le Comique est déjà donné pag
urs. 91. Elle a été jouée le mercredi 9 et le mardi 22 février 1814
92.
Ce passage sur le Comique est déjà donné pages 84
i 22 février 1814 92. Ce passage sur le Comique est déjà donné pages
84-85.
Comparer les variantes. 93. On marche vers le d
sur le Comique est déjà donné pages 84-85. Comparer les variantes.
93.
On marche vers le dénouement, marche vers le bonh
on. Je mets une cravate pour aller diner Commencement de l’action.
94.
Nicolas Beauzée, grammairien, de l’Académie franç
4. Nicolas Beauzée, grammairien, de l’Académie française, né à Verdun
9
mai 1717 ; mort à Paris, 25 janvier 1789. 95. Ce
olas Beauzée, grammairien, de l’Académie française, né à Verdun 9 mai
1717
; mort à Paris, 25 janvier 1789. 95. Ce dernier
rien, de l’Académie française, né à Verdun 9 mai 1717 ; mort à Paris,
25
janvier 1789. 95. Ce dernier mot ne se trouve pa
Académie française, né à Verdun 9 mai 1717 ; mort à Paris, 25 janvier
1789.
95. Ce dernier mot ne se trouve pas dans le Moli
e française, né à Verdun 9 mai 1717 ; mort à Paris, 25 janvier 1789.
95.
Ce dernier mot ne se trouve pas dans le Molière a
mais le nerf de cette langue, cette clarté, celte verve, il n’y a pas
mille
Français en France capables d’en jouir véritablem
ccasion par les journaux les plus graves. Ils ont remarqué que depuis
deux
cents ans, « les dévots » n’ont pu enlever à Moli
on par les journaux les plus graves. Ils ont remarqué que depuis deux
cents
ans, « les dévots » n’ont pu enlever à Molière sa
n de grand poète et de « grand homme de bien » ; car on le loue à ces
deux
titres. Je sais que les « dévots » (on dit mainte
ver sur la morale personnelle et sur la morale officielle de Molière.
II
faut, sans entrer dans le détail, que Molière dem
nt parlé aux mêmes hommes et souvent traité les mêmes sujets. Ce sont
deux
moralistes, deux connaisseurs du cœur humain, deu
s hommes et souvent traité les mêmes sujets. Ce sont deux moralistes,
deux
connaisseurs du cœur humain, deux princes, deux r
es sujets. Ce sont deux moralistes, deux connaisseurs du cœur humain,
deux
princes, deux rois de l’éloquence. Après avoir gr
sont deux moralistes, deux connaisseurs du cœur humain, deux princes,
deux
rois de l’éloquence. Après avoir grandement excit
e, la morale et au point de vue des Lettres, la comparaison entre ces
deux
hommes ne sera pas sans utilité. Il y a là un épi
’esprit de Dieu, origine et fond de toutes les choses de ce monde.
I
. Vie de Molière Il existe un petit livre intit
coutons-le. Jean-Baptiste Poquelin, fils d’un marchand aisé de Paris
1
qui exerçait la charge assez recherchée de tapiss
s sous la conduite de Gassendi, étudia le droit, puis un beau jour, à
vingt-trois
ans, de concert avec quelques jeunes fils comme l
. La nature l’y poussait sans doute, une belle passion le décida. Ses
deux
principaux compagnons, les frères Béjart, avaient
gnons, les frères Béjart, avaient une sœur nommée Madeleine, fille de
vingt-sept
ans, qui n’en était plus à ses débuts. Cette dess
ur parler comme Georges Dandin, devint la maitresse du novice, et les
deux
frères n’en furent que davantage ses amis. Voilà
ement au seuil de cette vie vagabonde, il aurait pu étouffer en germe
trois
ou quatre chefs-d’œuvre, mais il aurait fait ce q
seuil de cette vie vagabonde, il aurait pu étouffer en germe trois ou
quatre
chefs-d’œuvre, mais il aurait fait ce que font to
r sur l’honneur de leur nom et sur l’avenir de leurs enfants. Pendant
treize
ans, Molière mena la vie de comédien nomade. Il j
ut tellement et s’y trouva si bien, qu’on ne pouvait plus se séparer.
Treize
ans passés au service du premier manant qui donne
se séparer. Treize ans passés au service du premier manant qui donne
cinq
sous pour qu’on le fasse rire ! Cette vie ne révè
s se présenteront plus tard. Achevons la biographie de Molière. Après
treize
ans de courses et d’aventures, âgé de trente-sept
raphie de Molière. Après treize ans de courses et d’aventures, âgé de
trente-sept
ans, il revint à Paris, rapportant l’Étourdi, le
-même ne trouva pas des plus mesurés : Le premier acteur de ce lieu
5,
L’honorant comme un demi-d eu, Lui fit une harang
eçoivent du rare honneur De jouer devant un tel Seigneur. Molière, à
trente-sept
ans, n’était encore qu’un acteur médiocre, au moi
ai contre les puissances fut la farce des Précieuses. Il l’écrivit en
1659,
dans l’année qui suivit son retour à Paris, après
« diffamé », suivant la très-juste expression de Boileau, avait été,
vingt
ans auparavant, une école de beau langage, de bon
; en moins d’un an, il s’était presque complètement débarrassé de ces
deux
défauts. Je dis presque complètement. Peu de temp
s de fortune ; ensuite parut Dom Garcie de Navarre, pièce héroïque en
cinq
actes, qui tomba. Molière avait une plaie au fond
mment ? Bazin va nous le dire. Mazarin était mort ; Louis XIV, âgé de
vingt-trois
ans, avait pris possession de son royaume : « Ce
pt comme la sympathie, durable autant que l’égoïsme. Du moment où ces
deux
hommes, placés à de telles distances dans l’ordre
ns l’ordre social, l’un roi hors de tutelle, l’autre bouffon émérite
6
et moraliste encore bien timide, se furent regard
son talent lui fournissait le reste. A vrai dire, il y a de Louis XIV
deux
créations du même temps et du même genre, Colbert
leur, que nous savons être allé si hardiment et si loin. L’Étourdi en
1653,
le Dépit amoureux en 1656, deux pièces pour la pr
allé si hardiment et si loin. L’Étourdi en 1653, le Dépit amoureux en
1656,
deux pièces pour la province ; à Paris, les Préci
i hardiment et si loin. L’Étourdi en 1653, le Dépit amoureux en 1656,
deux
pièces pour la province ; à Paris, les Précieuses
, deux pièces pour la province ; à Paris, les Précieuses ridicules en
1659,
Sganarelle en 1660, Dom Garcie de Navarre en 1661
a province ; à Paris, les Précieuses ridicules en 1659, Sganarelle en
1660,
Dom Garcie de Navarre en 1661 ; que de chemin per
euses ridicules en 1659, Sganarelle en 1660, Dom Garcie de Navarre en
1661
; que de chemin perdu ! Combien de détours pour a
yons de ce soleil, que le sourire du roi lui promette appui, et avant
trois
ans vous l’aurez vu a (teindre le dernier degré d
fait le Tartuffe. » Toute la vie littéraire de Molière, à partir de
1601,
démontre la parfaite exactitude de ces appréciati
trona la Critique de l’École des femmes, et fit donner une pension de
mille
livres à l’auteur, « excellent poêle comique ». —
dans les produits du théâtre, comme acteur et comme auteur, était de
trente
mille livres par an ; somme équivalente à cent mi
es produits du théâtre, comme acteur et comme auteur, était de trente
mille
livres par an ; somme équivalente à cent mille fr
mme auteur, était de trente mille livres par an ; somme équivalente à
cent
mille francs aujourd’hui. Il avait un certain goû
uteur, était de trente mille livres par an ; somme équivalente à cent
mille
francs aujourd’hui. Il avait un certain goût pour
quelles la faveur royale ni la faveur du public ne pouvaient rien. En
1662,
lorsqu’il venait de faire représenter Sganarelle
de faire représenter Sganarelle et l’École des Maris, Molière, âgé de
quarante
ans, épousa une toute jeune fille, élevée pour de
ins la sœur de l’autre Béjart, avec laquelle il faisait ménage depuis
seize
ou dix-sept ans. Bazin conte au long toute l’hist
ur de l’autre Béjart, avec laquelle il faisait ménage depuis seize ou
dix-sept
ans. Bazin conte au long toute l’histoire ; elle
t était mort, on ne sait quand ni où. La mère vivait et pouvait avoir
soixante
ans. Elle ôtait de nature fort complaisante ; car
ante ans. Elle ôtait de nature fort complaisante ; car on la voit, en
1658,
marraine de l’enfant illégitime dont accouche à v
on la voit, en 1658, marraine de l’enfant illégitime dont accouche à
vingt
ans sa fille Madeleine, alors maîtresse du sieur
onc à se déclarer mère et à faire feu son mari père de l’enfant né en
1645
; ce qui lui donnait, à elle, une fécondité de vi
de l’enfant né en 1645 ; ce qui lui donnait, à elle, une fécondité de
vingt-huit
ans, ce qui assurait à sa petite-fille, devenue s
emble confirmée par celui-ci : que le second enfant de Molière, né en
1665,
eut pour parrain ce même sieur de Modène, qu’on d
es nouveaux époux, et pour marraine Madeleine Béjart, sa maîtresse de
1638.
» Quel tripot ! Bazin, qui rapporte l’épisode av
ns du théâtre et il savourait amèrement le fruit de ses exemples. Les
onze
dernières années de sa vie, pleines de succès et
e le « roi qui faisait trembler tout le monde ? » Enfin, un jour, le
17
février 1675, au moment de paraître sur le théâtr
qui faisait trembler tout le monde ? » Enfin, un jour, le 17 février
1675,
au moment de paraître sur le théâtre pour la quat
evoir les derniers sacrements, qu’on avait envoyé en chercher un, que
deux
avaient refusé de venir, qu’un troisième n’arriva
’un troisième n’arriva qu’après la mort. Une relation, postérieure de
vingt
ou trente années, rapporte que Molière logeait da
ième n’arriva qu’après la mort. Une relation, postérieure de vingt ou
trente
années, rapporte que Molière logeait dans sa mais
nte années, rapporte que Molière logeait dans sa maison, par charité,
deux
religieuses « de celles qui viennent ordinairemen
onté du Seigneur. » Ce fut entre leurs bras qu’il rendit l’esprit.
II
. La Comédie Les moralistes de feuilleton et d
décadence qu’il ne pût faire encore Esther et Athalie. Racine avait
trente-huit
ans lorsqu’il renonça à travailler pour le théâtr
e chose ; mais Quinault ne l’était pas, et Bossuet écrit qu’il l’a vu
cent
fois « déplorer toutes ces fausses tendresses, to
t il se faut bien garder de confondre celle-là avec celle-ci. Ce sont
deux
personnes de qui les mœurs sont tout à fait oppos
. Oui, cette passion, de toutes la plus belle, Traîne dans un esprit
cent
vertus après elle ; Aux nobles actions elle pouss
le secret : le digne Arbate était un courtisan comme il s’en trouvait
cinquante
dans l’auditoire ; il s’adressait directement à L
se davantage ou qui feignent plus volontiers d’admirer sa sagesse. En
1694,
le monde supportait encore l’expression nue de la
s fruit ne soit pas encore éclos. « Saint Jacques nous a expliqué ces
deux
états de noire cœur : Chacun de nous est tenté pa
cité du sentiment, et enfin l’attachement au plaisir sensible. De ces
quatre
qualités des sens, les trois premières sont l’ouv
attachement au plaisir sensible. De ces quatre qualités des sens, les
trois
premières sont l’ouvrage du Créateur : mais c’est
e de la sagesse, la source de la corruption, la mort des vertus ; les
cinq
sens sont cinq ouvertures par où elle prend son c
, la source de la corruption, la mort des vertus ; les cinq sens sont
cinq
ouvertures par où elle prend son cours sur les ob
ers rit du tableau fidèle D’un avare souvent tracé sur son modèle, Et
mille
fois un fat finement exprimé, Méconnaît le portra
eux sa flamme, Que son bon dévot de mari11 » N’allons pas plus loin.
Deux
sortes de gens s’évertuent à démontrer l’utilité
ent aux mœurs le soin de se tirer d’affaire comme elles pourront. Ces
trois
partis forment à peu près tout le monde ; la chai
t point leur part, c’est la part du feu, hélas ! et celle du lion.
III
. La Chaire « Allez, enseignez toutes les nati
enseignez toutes les nations. » De ce commandement du Christ, depuis
dix-huit
siècles jaillit le torrent de la parole apostoliq
, la parole de Dieu venait comme de plein droit se faire entendre aux
deux
principales époques de la pénitence publique, l’A
autain. Quelques années après sa mort, un religieux, qui avait prêché
neuf
stations à la cour et qui se rendait le témoignag
aider, par ses prières, à obtenir de Dieu la victoire de ses passions
13
» Dans les listes des prédicateurs de la Cour co
urs de la Cour contemporains de la faveur de Molière, c’est-à-dire de
1659
à 1675, des Précieuses au Malade imaginaire, on t
la Cour contemporains de la faveur de Molière, c’est-à-dire de 1659 à
1675,
des Précieuses au Malade imaginaire, on trouve, p
ouve, parmi plusieurs autres maintenant oublies, les noms de Bossuet (
1662,
1665, 1666, 1669) ; Senault, de l’Oratoire (1662)
parmi plusieurs autres maintenant oublies, les noms de Bossuet (1662,
1665,
1666, 1669) ; Senault, de l’Oratoire (1662) ; Mas
plusieurs autres maintenant oublies, les noms de Bossuet (1662, 1665,
1666,
1669) ; Senault, de l’Oratoire (1662) ; Mascaron
urs autres maintenant oublies, les noms de Bossuet (1662, 1665, 1666,
1669
) ; Senault, de l’Oratoire (1662) ; Mascaron (1666
es noms de Bossuet (1662, 1665, 1666, 1669) ; Senault, de l’Oratoire (
1662
) ; Mascaron (1666, 1667, 1668, 1669, 1670, 1671)
(1662, 1665, 1666, 1669) ; Senault, de l’Oratoire (1662) ; Mascaron (
1666,
1667, 1668, 1669, 1670, 1671) ; Fromentières (166
, 1665, 1666, 1669) ; Senault, de l’Oratoire (1662) ; Mascaron (1666,
1667,
1668, 1669, 1670, 1671) ; Fromentières (1664, 167
, 1666, 1669) ; Senault, de l’Oratoire (1662) ; Mascaron (1666, 1667,
1668,
1669, 1670, 1671) ; Fromentières (1664, 1672) ; B
, 1669) ; Senault, de l’Oratoire (1662) ; Mascaron (1666, 1667, 1668,
1669,
1670, 1671) ; Fromentières (1664, 1672) ; Bourdal
) ; Senault, de l’Oratoire (1662) ; Mascaron (1666, 1667, 1668, 1669,
1670,
1671) ; Fromentières (1664, 1672) ; Bourdaloue (1
nault, de l’Oratoire (1662) ; Mascaron (1666, 1667, 1668, 1669, 1670,
1671
) ; Fromentières (1664, 1672) ; Bourdaloue (1670,
1662) ; Mascaron (1666, 1667, 1668, 1669, 1670, 1671) ; Fromentières (
1664,
1672) ; Bourdaloue (1670, 1672). En même temps qu
; Mascaron (1666, 1667, 1668, 1669, 1670, 1671) ; Fromentières (1664,
1672
) ; Bourdaloue (1670, 1672). En même temps que Mol
67, 1668, 1669, 1670, 1671) ; Fromentières (1664, 1672) ; Bourdaloue (
1670,
1672). En même temps que Molière, était arrivé à
68, 1669, 1670, 1671) ; Fromentières (1664, 1672) ; Bourdaloue (1670,
1672
). En même temps que Molière, était arrivé à Paris
ments, ces hennissements de cœurs lascifs sont supprimé s14 ! » En
1662,
l’abbé Bossuet, malgré sa jeunesse (trente-quatre
sont supprimé s14 ! » En 1662, l’abbé Bossuet, malgré sa jeunesse (
trente-quatre
ans), avait assez de renommée pour paraître à la
eau se demandait s’il y avait des malheureux dans l’univers lorsque
Louis
portait le sceptre. L’orateur sacré avait peint l
it point ce noble langage. Il y avait aussi des calamités publique en
1662
; des suites cruelles de la guerre, qu’aggravait
ement ce prince, en qui Mazarin disait qu’il y avait de l’étoffe pour
quatre
rois et pour un honnête homme : « Sire, vous save
présence de Louis XIV, des leçons plus personnelles, plus intimes. En
1665,
en 1666, en 1669, années de la Princesse d’Élide,
de Louis XIV, des leçons plus personnelles, plus intimes. En 1665, en
1666,
en 1669, années de la Princesse d’Élide, du Festi
XIV, des leçons plus personnelles, plus intimes. En 1665, en 1666, en
1669,
années de la Princesse d’Élide, du Festin de pier
iger aussi de ce côté le flambeau. Dans un sermon prêché au Louvre le
2
février 1662, il parle au jeune roi d’une volupt
de ce côté le flambeau. Dans un sermon prêché au Louvre le 2 février
1662,
il parle au jeune roi d’une volupté toute célest
l voyait déjà fléchissante fut emportée, le torrent déborda. Moins de
deux
ans après, on en était à la Princesse d’Élide, et
s et des poètes. Les prédicateurs ne restèrent pas muets. Un jour, en
1669,
l’année qui suivit la représentation d’Amphitryon
er la chaire que rarement et dans des occasions d’apparat ; Mascaron,
quatre
années après, fut nommé évêque de Tulle. Mais un
’imagination, se représenter l’effet de ce jam fœtet retentissant par
trois
fois au milieu de la cour. C’est la mort, c’est l
nt Paul par Jean Racine : Mon Dieu ! quelle guerre cruelle ! Je sens
deux
hommes en moi ! il s’écriait : « Ah ! que je con
s deux hommes en moi ! il s’écriait : « Ah ! que je connais bien ces
deux
hommes-là ! » L’homme de péché, entouré d’habiles
né aux seules suggestions de la morale littéraire ? Il se convertit à
quarante-deux
ans, il régna de longues années encore, et déjà u
de bien que Bossuet lui-même, son devancier, appelait son maître.
IV
. Bourdaloue Bourdaloue naquit à Bourges, en 1
ait son maître. IV. Bourdaloue Bourdaloue naquit à Bourges, en
1632,
dix années, après la naissance de Molière, dans l
n maître. IV. Bourdaloue Bourdaloue naquit à Bourges, en 1632,
dix
années, après la naissance de Molière, dans les p
on père, « recommandable par une grâce singulière à parler en public
15
», était conseiller au présidial de Bourges, et i
rande probité. La tante de Bourdaloue, Mmede Chamillart-Villatte, eut
quatre
fils, Chamillart-Villatte, président de chambre à
, Chamillart-Villatte, président de chambre à la Cour des Comptes, et
trois
autres qui se firent jésuites et qui furent de bo
mbattirent avec le plus d’ardeur ce progrès vers la ruine. A l’âge de
quinze
ans, Bourdaloue fit savoir à ses parents qu’il vo
suite des Béjart. Cette rencontre et ce contraste dans la vie de ces
deux
hommes ne sont pas les seuls que nous aurons à no
ent point permis ; mais on vit bien que sa vocation persistait. Après
trois
mois d’épreuve, le conseiller au présidial de Bou
t craignant de s’opposer une seconde fois à ses desseins16. »Ainsi, à
quinze
ans, Louis Bourdaloue, recevant la bénédiction de
nte à remplir ses devoirs, une piété qui n’avait rien que de solide
17
. » Ce noviciat dura dix-huit ans. Bourdaloue, ar
s, une piété qui n’avait rien que de solide 17 . » Ce noviciat dura
dix-huit
ans. Bourdaloue, arrivé à ce terme, âgé de trente
Ce noviciat dura dix-huit ans. Bourdaloue, arrivé à ce terme, âgé de
trente-trois
ans, s’était lui-même trouvé également propre à t
dromaque, les Plaideurs et Britannicus ; Boileau publiait les Satires
VIII
et IX ; la Fontaine, le VIe livre des Fables. Que
, les Plaideurs et Britannicus ; Boileau publiait les Satires VIII et
IX
; la Fontaine, le VIe livre des Fables. Quels jug
our la vie éternelle19. » Celte note aigre de Guy-Patin fait écho, à
dix
ans de distance, au premier cri de la Fontaine, d
ateur, ne se fit pas attendre. Il fut désigné pour prêcher l’Avent de
1672
; c’est l’année des Femmes savantes, celle qui pr
ue en présence du roi et de la cour, devant cet auditoire où Molière,
dix
années auparavant, s’était annoncé autre qu’un co
jugez par opposition aux récompenses du monde ; c’est-à-dire, par les
trois
essentielles différences que je vous prie de rema
dans le ciel sans avoir jamais régné sur la terre, c’est le sort d’un
million
de saints, et cela suffit pour être heureux. Régn
r sur la terre pour ne jamais régner dans le ciel, c’est le sort d’un
million
de princes, mais de princes réprouvés, et par con
rdaloue en pleine chapelle royale. Mmede Sévigné écrit à sa fille, le
15
avril 1672 : « Le maréchal de Grammont était l’au
n pleine chapelle royale. Mmede Sévigné écrit à sa fille, le 15 avril
1672
: « Le maréchal de Grammont était l’autre jour si
On le voit auprès de tous les grands, et jamais dans aucune affaire.
II
fait son affaire à lui, son devoir, qui est de s’
ndroits furent poussés comme les aurait poussés l’apôtre saint Paul
20
. » Mais arrivons à un acte plus signalé, où le
ndit le prédicateur, Dieu serait bien plus content, si Clagny était à
cinquante
lieues de Versailles. »En effet, Clagny était tro
oue attendit, et résolut de frapper plus fort. Mmede Sévigné écrit le
29
mars 1680 : « Nous entendîmes, après dîner, le se
ndit, et résolut de frapper plus fort. Mmede Sévigné écrit le 29 mars
1680
: « Nous entendîmes, après dîner, le sermon de Bo
loue y parle clairement de la marquise de Brinvilliers, suppliciée en
1676,
et des autres empoisonneurs, pour la recherche et
sonneurs, pour la recherche et le jugement desquels fut instituée, en
1680,
1a chambre ardente. En 1682 Mmede Montespan n’éta
rs, pour la recherche et le jugement desquels fut instituée, en 1680,
1a
chambre ardente. En 1682 Mmede Montespan n’était
t le jugement desquels fut instituée, en 1680, 1a chambre ardente. En
1682
Mmede Montespan n’était plus à la cour. Or, ce se
ormais totalement asservi à la plus impérieuse des passions. Il avait
quarante-deux
ans, et nul homme n’était aussi puissant et aussi
à tout prix remplir son devoir. Donc, le troisième dimanche de carême
1680,
Bourdaloue monte en chaire. Il prononce son texte
de rempart à la pureté, soient aujourd’hui bannies comme incommodes.
Cent
choses qui passaient pour scandaleuses, et qui au
la fin de ses jours, furent celles d’un chrétien. Bourdaloue, pendant
vingt-quatre
ans encore, continua d’évangéliser la cour et la
forces du dogme chrétien aux faiblesses sans nombre de l’âme humaine.
Deux
événements seulement sont à noter dans le cours u
dévouée au plus noble et au plus nécessaire des services publics. En
1685,
le roi, qui devait l’entendre pendant l’Avent, le
malgré tous mes efforts, obtenir du révérend Père provincial. Il y a
cinquante-deux
ans 22 que je vis dans la Compagnie, non pour moi
forts, obtenir du révérend Père provincial. Il y a cinquante-deux ans
22
que je vis dans la Compagnie, non pour moi, mais
, mais pour les autres ; du moins, plus pour les autres que pour moi.
Mille
affaires me détournent et m’empêchent de travaill
laborieuse. On voit dans le journal de l’abbé Le Dieu qu’il prêcha le
22
octobre 1702, aux Ursulines de Meaux. Bossuet y a
On voit dans le journal de l’abbé Le Dieu qu’il prêcha le 22 octobre
1702,
aux Ursulines de Meaux. Bossuet y avait dit la me
nes de Meaux. Bossuet y avait dit la messe et assista au sermon. Tous
deux
étaient près de leur fin. Bossuet mourut le 12 av
ista au sermon. Tous deux étaient près de leur fin. Bossuet mourut le
12
avril 1704 ; la même année, le 11 mai, Bourdaloue
ermon. Tous deux étaient près de leur fin. Bossuet mourut le 12 avril
1704
; la même année, le 11 mai, Bourdaloue tomba mala
près de leur fin. Bossuet mourut le 12 avril 1704 ; la même année, le
11
mai, Bourdaloue tomba malade et se sentit frappé
année, le 11 mai, Bourdaloue tomba malade et se sentit frappé à mort.
II
avait entendu des confessions et avait prêché la
it-il, que je fasse ce que j’ai si souvent prêché aux autres. » Et le
13
mai, plein d’humilité et de sérénité, il rendit d
il rendit doucement son âme au Dieu qu’il avait uniquement servi.
V.
Tartuffe Revenons sur nos pas et considérons
idérons dans le détail le contraste, ou pour mieux dire, la lutte des
deux
moralistes dont nous avons tracé le portrait géné
t accuser de partialité contre le poète. Bazin nous dit donc que, dès
1664,
et bien avant qu’il fût dans le commerce du publi
fe. L’un d’eux, assez récent et qui semble assez estimé, Aimé-Martin
23,
affiche l’anecdote suivante au bas de l’un des po
i ressemblants et la cour était alors si occupée des intrigues de ces
deux
femmes, qu’il est impossible de ne pas prêter à M
te duchesse de Navailles, que nos poqueliniens outragent encore après
deux
cents ans. Il l’appelle « une femme d’esprit qui
chesse de Navailles, que nos poqueliniens outragent encore après deux
cents
ans. Il l’appelle « une femme d’esprit qui avait
ui avoir ôté l’esprit, Molière lui ôte ici le cœur ; en quoi il pèche
deux
fois contre la plus indispensable vraisemblance,
Orgon n’étant ni d’un père, ni d’un chrétien qui observe sa religion.
II
n’y a point de dévot, pour absurde et mauvais chr
in, je ne voyais véritablement pas que personne pût penser à mal. Les
deux
premiers actes passèrent avec langueur ; la bouff
e fit à peine sourire. On prit doucement la scène très-peu tendre des
deux
amoureux, et l’on ne se dérida un peu qu’aux lazz
s luxueuses dimensions de sa personne admirablement nourrie, tenant à
deux
mains sa lorgnette braquée sur les « suaves merve
rsque l’opposition qui éloignait Tartuffe de la scène fut vaincue par
cinq
années d’ingénieuses manœuvres, les murmures cont
lu venger la dévotion véritable, ressemble à Pascal soutenant que les
cinq
propositions ne sont pas dans Jansénius, et s’app
’il faut regarder de près. Elle a eu l’honneur d’être réfutée par les
deux
plus grands orateurs sacrés du grand siècle. Nous
sens de l’œuvre, et nous livrera vraiment le secret de la comédie.
VI
. Défense de Molière. — Jugement de Bourdaloue
age de l’hypocrite d’avec celui du vrai dévot. J’ai employé pour cela
deux
actes entiers à préparer la venue de mon scélérat
vont bien au fait du personnage et de la comédie ! Tandis que pendant
cinq
actes le spectateur a sous les yeux toutes les tu
ment divisées des partisans et des victimes du Tartuffe. Il distingue
trois
sortes de personnes qui, sans être hypocrites ni
pres sentiments. La tentation qui résulte de l’hypocrisie d’autrui, a
trois
effets également pernicieux dans les chrétiens fa
richir sans prendre d’autre peine que de faire un bon somme après ses
quatre
repas ? Je cherche un refuge pour l’âme du specta
rche un refuge pour l’âme du spectateur contre l’un ou l’autre de ces
trois
périls, et je défie qu’on le découvre dans la piè
errons quelle caricature Molière en a tracée dans le Misanthrope.
VII
. Les Dévots de cœur Molière et Bourdaloue dise
beaux dehors qui frappent les yeux ? Et moi je lui dis : Pourquoi de
deux
partis prendre le moins favorable ; et sur un vag
faire saluer l’instrument du vice comme un auxiliaire de la vertu. En
1795
les révolutionnaires installèrent dans un lieu pu
e Paul, célèbre philanthrope français. Je ne sais si l’inscription de
1795
était aussi révoltante et, pour dire le mot, auss
pte de l’indifférence criminelle où ils sont à cet égard, et ramène à
deux
principes honteux leur sagesse, qu’il appelle une
e l’esprit et la faiblesse du cœur, d’où naissent parmi les chrétiens
deux
caractères également contraires à l’esprit du chr
èdent à la crainte et au respect humain. Or, selon Bourdaloue, de ces
deux
caractères le premier est une prudence trompeuse,
votre indifférence pour Dieu n’en serait pas moins criminelle, et en
mille
rencontres le zèle ne vous obligerait pas moins à
la conscience affermie qui s’est examinée devant Dieu je présente ces
deux
personnages, et je lui demande : Quel est le dévo
alement, tout est faux dans les principes et dans la combinaison. Les
deux
faces du caractère sont outrées et indéfinies. Al
. Il lui manquait quelque chose pour assembler, même en peinture, ces
deux
grandeurs morales qui le séduisaient et en former
lera la cause de celte insuffisance et nous servira de conclusion.
VIII
. Le Misanthrope Les commentateurs du Misanthro
e laissent plus pousser l’ongle ou la barbe, que les jeunes veuves de
vingt
ans se contentent des seuls feux du seul homme qu
qu’elles épouseront, que les juges fassent toujours justice ; exiger
cent
autres choses impossibles, et parce qu’elles sont
nte a de l’esprit et pas de caractère : c’est le cas de dire que tous
deux
ensemble ne pèsent pas un homme de bien. La sages
er franc. La morale de théâtre, tranchant brusquement la question des
deux
côtés, ne la résout ni de l’un ni de l’autre. Ell
us vrai, et, malgré la diversité des apparences, c’est exactement des
deux
côtés la même philosophie, la même fille de l’org
t du théologien et ce dernier trait signale le vice non-seulement des
deux
caractères d’Alceste et de Philinte et de toute l
fait tout pour ces animaux-là. La comédie du Misanthrope nous montre
trois
femmes : aucune ne déroge aux traits caractéristi
à la corruption et en est inexorablement flagellée. Molière a oublié
deux
choses de grande conséquence : la première, que s
me. Elle a le droit d’être médiocre et de médiocrement aimer. Pendant
trois
mois de l’année 1865, toutes les âmes sensibles d
être médiocre et de médiocrement aimer. Pendant trois mois de l’année
1865,
toutes les âmes sensibles de France ont adoré une
ront que je n’ai pas fait partie du parterre qui canonise Scapin.
1.
Molière est le premier en mérite des écrivains cé
ns, Rutebeuf et François Villon, qui sont si bien de la même lignée.
2.
Deux de ces farces, attribuées à l’auteur du Misa
Rutebeuf et François Villon, qui sont si bien de la même lignée. 2.
Deux
de ces farces, attribuées à l’auteur du Misanthro
et prennent place maintenant dans ses œuvres. Elles sont grossières.
3.
Lettre à d’Alembert, sur les spectacles. 4. Max
Elles sont grossières. 3. Lettre à d’Alembert, sur les spectacles.
4.
Maximes et réflexions sur la comédie. 5. C’éta
ert, sur les spectacles. 4. Maximes et réflexions sur la comédie.
5.
C’était Molière. 6. Le titre de bouffon, que Baz
es. 4. Maximes et réflexions sur la comédie. 5. C’était Molière.
6.
Le titre de bouffon, que Bazin donne sans sourcil
indiquer que l’ancienne signification de ce nom a bien changé depuis
cent
cinquante ans. Voyez plus haut comment l’entendai
quer que l’ancienne signification de ce nom a bien changé depuis cent
cinquante
ans. Voyez plus haut comment l’entendait Bossuet.
is cent cinquante ans. Voyez plus haut comment l’entendait Bossuet.
7.
« Les rois éclairés comme vous, n’ont pas besoin
us faut, et savent mieux que nous ce qu’ils nous doivent accorder. » (
1er
Placet au Roi, à l’occasion de la comédie de l’Im
ordres absolus, le souverain juge et le maître de toutes choses.
8.
Un commentateur de Molière, fanatique et lourd co
Bérénice, donnait cependant d’autres conseils que ceux de Molière.
9.
On entend Dorine : Vous êtes donc bien tendre à l
lleurs si vertueuse et si décente, a cependant parlé comme Bossuet.
10.
Lettre de Lefranc à Louis Racine. 11. Préface d
pendant parlé comme Bossuet. 10. Lettre de Lefranc à Louis Racine.
11.
Préface de Zaïre.Le même Voltaire, qui se moquai
pauvres sur les recettes du théâtre a pour origine une imposition de
800
livres parisis frappée sur les confrères de la Pa
frappée sur les confrères de la Passion par un arrêt du Parlement de
1541,
pour que les pauvres fussent indemnisés de l’extr
ent dans le budget que soldait autrefois volontairement la charité !
12.
On prêchait encore devant le roi le jeudi saint e
i le jeudi saint et le jour de la Pentecôte. Il y avait primitivement
huit
prédicateurs du roi, choisis parmi les plushabile
nd aumônier qui appelait tour à tour les orateurs les plus renommés.
13.
Le P. La Rüe, jésuite, préface des sermons. 14.
les plus renommés. 13. Le P. La Rüe, jésuite, préface des sermons.
14.
Sermon pour le jour des Morts. Tome VIII de la be
ésuite, préface des sermons. 14. Sermon pour le jour des Morts. Tome
VIII
de la belle et définitive édition de Louis Vivès,
édition de Louis Vivès, publiée par les soins de M. F. Lâchât, Paris,
1802.
Il suffit de lire ce sermon, tout ébauché qu’il e
ulent voir lorsque Molière vint enfinarmé des Précieuses ridicules.
15.
Notice du P. Bretonneau 16. Bretonneau. 17. Élo
nt enfinarmé des Précieuses ridicules. 15. Notice du P. Bretonneau
16.
Bretonneau. 17. Éloge de Bourdaloue. Cet éloge f
Précieuses ridicules. 15. Notice du P. Bretonneau 16. Bretonneau.
17.
Éloge de Bourdaloue. Cet éloge fut écrit le lende
et adressé aux diverses maisons de la Compagnie. Mémoires de Trévoux,
1704.
18. Lettre à Mmede Grignan, mars 1671. 19. Lett
ssé aux diverses maisons de la Compagnie. Mémoires de Trévoux, 1704.
18.
Lettre à Mmede Grignan, mars 1671. 19. Lettre à
mpagnie. Mémoires de Trévoux, 1704. 18. Lettre à Mmede Grignan, mars
1671.
19. Lettre à Falconet, 14 janvier 1670. 20. Let
. Mémoires de Trévoux, 1704. 18. Lettre à Mmede Grignan, mars 1671.
19.
Lettre à Falconet, 14 janvier 1670. 20. Lettre d
1704. 18. Lettre à Mmede Grignan, mars 1671. 19. Lettre à Falconet,
14
janvier 1670. 20. Lettre de Mmede Sévigné à Mmed
Lettre à Mmede Grignan, mars 1671. 19. Lettre à Falconet, 14 janvier
1670.
20. Lettre de Mmede Sévigné à Mmede Grignan. 21
à Mmede Grignan, mars 1671. 19. Lettre à Falconet, 14 janvier 1670.
20.
Lettre de Mmede Sévigné à Mmede Grignan. 21. Jou
onet, 14 janvier 1670. 20. Lettre de Mmede Sévigné à Mmede Grignan.
21.
Journal de Dangeau. 22. Ces mots donnent la date
0. Lettre de Mmede Sévigné à Mmede Grignan. 21. Journal de Dangeau.
22.
Ces mots donnent la date de cette lettre, elle es
22. Ces mots donnent la date de cette lettre, elle est de la fia de
1700
ou du commencement de 1701. 23. Auteur d’unTrait
ate de cette lettre, elle est de la fia de 1700 ou du commencement de
1701.
23. Auteur d’unTraité des devoirs des mères de f
cette lettre, elle est de la fia de 1700 ou du commencement de 1701.
23.
Auteur d’unTraité des devoirs des mères de famill
’unTraité des devoirs des mères de famille, couronné par l’Académie.
24.
« Onuphre… ne dit point ma haire et ma discipline
à établir ; il y a là des droits trop forts et trop inviolables. »
25.
Voyez acte II, scène 2, toute la tirade de Dorine
y a là des droits trop forts et trop inviolables. » 25. Voyez acte
II
, scène 2, toute la tirade de Dorine : … Cette van
s droits trop forts et trop inviolables. » 25. Voyez acte II, scène
2,
toute la tirade de Dorine : … Cette vanité, Monsi
é, et ne serait-il pas mieux dans la bouche de l’éloquent Cléante ?
26.
Après la première représentation d’essai du Tartu
rès la première représentation d’essai du Tartuffeencore inachevé, le
12
mai 1661, « le Roi connut tant de conformité entr
première représentation d’essai du Tartuffeencore inachevé, le 12 mai
1661,
« le Roi connut tant de conformité entre ceux qu’
épouser Henriette. » Vous l’ignorez, bon homme ! En êtes vous sûr ?
27.
Nous ignorons quels gestes se permettaient les ac
chaste et si scrupuleux aurait sans doute peine à trouver innocents.
28.
Parmi ces "gens de biens" qui avaient vu le Tartu
genre était leur supplice commun." (Avertissement sur le Tartuffe.)
29.
II faut mettre au compte de Tartuffe tout ce que
e était leur supplice commun." (Avertissement sur le Tartuffe.) 29.
II
faut mettre au compte de Tartuffe tout ce que dit
’aimez point le monde,… Malheur au inonde à cause de ses scandales.
30.
… Couvrez ce sein que je ne saurais voir 30. La
se de ses scandales. 30. … Couvrez ce sein que je ne saurais voir
30.
Laurent, serrez ma haire avec ma discipline. … Je
Je vais aux prisonniers, Des aumônes que j’ai partager les deniers.
30.
C’est Orgon qui parle de Tartuffe : Il m’enseign
s et fondés sur la parole de Jésus-Christ :Qui non od.it patrem…
30.
Voy. plus haut, le discours de MmePernelle, et to
t de ses mains Un mouchoir qu’il trouva dans une fleur des saints.
30.
Il s’impute à péché la moindre bagatelle ; Un rie
ur le scandaliser ; Jusque-là qu’il se vint, l’autre jour, accuser
30.
…les gens comme nous brûlent d’un feu discret Av
tant notre cœur, De l’amour sans scandale et du plaisir sans peur.
30.
Tous les biens de ce monde ont pour moi peu d’app
si que j’ai dessein, Tour la gloire du ciel et le bien du prochain.
31.
Bret, qui écrivait cela vers la fin du règne de L
la fin du règne de Louis XV (l’approbation, signée de Saurin, est de
1775
), était en même temps auteur de comédies et cense
Observations sur l’édition des Œuvres de Molière publiée en
1682
par La Grange Au moment de publier cette troi
rnal de la Librairie, un exemplaire des œuvres de Molière, édition de
1682,
dont le texte offrait de nombreuses différences a
, qui portait les armes de La Reynie, lieutenant général de police en
1682,
avait échappé aux ciseaux de la censure. Là devai
rtune. Emporté à Constantinople par M. Simonin, il entra seulement en
1833
dans la collection dramatique de M. de Soleine, q
33 dans la collection dramatique de M. de Soleine, qui l’avait acheté
75
fr., et à la vente duquel il dépassa la somme de
ui l’avait acheté 75 fr., et à la vente duquel il dépassa la somme de
800
fr. Aujourd’hui il fait partie de la riche et cur
e Molière, c’est-à-dire au monde littéraire tout entier. L’édition de
1682,
publiée par La Grange, acteur de la troupe de Mol
Toutefois pour établir sans conteste notre jugement sur l’édition de
1682
non cartonnée, nous l’avons collationnée sur les
public. Nous en dirons de suite quelques mots en ce qui concerne les
quatre
pièces spécialement désignées par la critique com
pièces, c’est le Tartuffe. Nous l’avons collationnée sur l’édition de
1669,
donnée par l’auteur lui-même, comme le témoigne s
son titre1 . La similitude du texte s’est trouvée parfaite dans les
deux
éditions. Seulement, l’indication du jeu des acte
acteurs et la division des scènes avaient éprouvé, dans l’édition de
1682,
quelques modifications sans importance, et qui, à
texte de l’Avare a été également respecté. Les éditions de Jean Ribou
1669
et de Claude Barbin 1675, collationnées sur celle
alement respecté. Les éditions de Jean Ribou 1669 et de Claude Barbin
1675,
collationnées sur celle de 1682, n’ont pas fourni
Jean Ribou 1669 et de Claude Barbin 1675, collationnées sur celle de
1682,
n’ont pas fourni un seul changement. Le texte est
te est donc resté pur ; seulement La Grange s’est permis d’introduire
deux
paragraphes dans la scène v de l’acte III, entre
s’est permis d’introduire deux paragraphes dans la scène v de l’acte
III
, entre Harpagon et son cuisinier : l’interpolatio
très vif et très comique entre Argan et Scapin, à la fin de la scène
VI
du 1er acte. Ici le sens est interrompu, les inte
vif et très comique entre Argan et Scapin, à la fin de la scène VI du
1er
acte. Ici le sens est interrompu, les interlocute
este de la pièce le texte reproduit exactement l’édition originale de
1671.
Si cet examen n’est pas favorable à la vigilance
671. Si cet examen n’est pas favorable à la vigilance des éditeurs de
1682,
au moins n’accuse-t-il nulle part leur fidélité.
cependant excellentes, qui se rencontrent çà et là dans l’édition de
1682,
avaient été préparées par Molière lui-même sur le
aire. Il ne fut imprimé qu’après la mort de l’auteur. On en fit alors
deux
éditions sur des copies rédigées à la hâte pendan
endant les représentations de la pièce. L’édition de Daniel Elzevier,
1674,
n’est qu’une rapsodie sans valeur. Celle de Jean
ortifier cette déclaration, ils ont encore soin d’avertir, en tête de
deux
scènes du premier acte, que ces deux scènes et c
ncore soin d’avertir, en tête de deux scènes du premier acte, que ces
deux
scènes et cet acte tout entier n’étaient point d
s faits, les accusations d’infidélité s’évanouissent, et l’édition de
1682
se trouve justifiée. En effet, tout le mal se réd
e reconnaissait pas l’auteur du Misanthrope. C’est donc l’édition de
1682,
non cartonnée et moins les fautes d’impression et
isant toutefois sur les éditions originales, travail qui nous a donné
deux
cent soixante et une corrections, et nous a fourn
toutefois sur les éditions originales, travail qui nous a donné deux
cent
soixante et une corrections, et nous a fourni un
efois sur les éditions originales, travail qui nous a donné deux cent
soixante
et une corrections, et nous a fourni un grand nom
s supprimées. Nous les avons recueillies dans l’édition de Jean Ribou
1667
: c’est une véritable restauration. Boileau regre
premiers modèles, Gautier Garguille, Turlupin et Gros-Guillaume. Ces
deux
farces, publiées en 1819 par Désoer, ne furent ti
r Garguille, Turlupin et Gros-Guillaume. Ces deux farces, publiées en
1819
par Désoer, ne furent tirées qu’à petit nombre, e
toutefois nous espérons encore le publier à la fin de cette édition
L.
AIMÉ-MARTIN. Paris, 3 mars 1845. Préface de la
s encore le publier à la fin de cette édition L. AIMÉ-MARTIN. Paris,
3
mars 1845. Préface de la première édition publ
e le publier à la fin de cette édition L. AIMÉ-MARTIN. Paris, 3 mars
1845.
Préface de la première édition publiée de 1824
TIN. Paris, 3 mars 1845. Préface de la première édition publiée de
1824
à 1826. Quel que soit le nombre des auteurs co
ris, 3 mars 1845. Préface de la première édition publiée de 1824 à
1826.
Quel que soit le nombre des auteurs comiques q
omme Scalésius, savant éditeur de Perse4 , le rare bonheur de joindre
trois
volumes de remarques à quinze feuillets de texte,
r de Perse4 , le rare bonheur de joindre trois volumes de remarques à
quinze
feuillets de texte, si un goût exercé n’a présidé
personnes qui voudront bien se souvenir que dans le Racine publié en
1820
j’ai donné le premier modèle d’un variorum frança
rondeaux par Benserade, tandis que Benserade ne publia son livre que
dix-sept
ans après la première représentation des Précieus
ons de la jeune Nérine ? Que dit-elle de moi, cette gente assassine
7
? aussitôt un commentateur se hâte de vous appre
ble et le corps gent. Et l’on ne saurait, sans changer le sens de ces
deux
phrases, remplacer le mot gent par les mots genti
r, de donner un sens à certains vers. Dans la fameuse scène de l’acte
II
de l’Etourdi, Anselme s’écrie en voyant Pandolfe
e l’imparfait, est contraire à l’usage, et nuit à la clarté du sens .
II
se trompe : ce n’est point le prétérit simple, c’
t le repos de son âme ! Dans Boniface et le Pédant, pièce imprimée en
1633,
Boniface, regrettant de s’être marié, s’écrie :
ssai-je été bien endormi ! quand je m’avisai de m’aller encornailler
9.
Dans Gilette, comédie facétieuse, imprimée en 162
’aller encornailler 9. Dans Gilette, comédie facétieuse, imprimée en
1620,
un gentilhomme, surpris par sa femme au moment où
travail. Cette promesse, je l’espère, me fera trouver grâce pour les
deux
ou trois exemples qui me restent à citer. Voici l
. Cette promesse, je l’espère, me fera trouver grâce pour les deux ou
trois
exemples qui me restent à citer. Voici le premier
qui me restent à citer. Voici le premier : Dans la scène v de l’acte
IV
de l’Etourdi, Mascarille reproche à son maître, q
eproche à son maître, qui vient de dîner chez Trufaldin, d’avoir fait
mille
imprudences qui pouvaient découvrir son amour pou
se, et qu’il était parfaitement placé dans le discours de Mascarille
10.
Je prendrai mon second exemple dans le Tartuffe,
Mascarille 10. Je prendrai mon second exemple dans le Tartuffe, acte
II
, scène IV. Valère se querelle avec sa maîtresse ;
10. Je prendrai mon second exemple dans le Tartuffe, acte II, scène
IV
. Valère se querelle avec sa maîtresse ; il est pr
fait de vous ! Si, je le veux ! Cessez ce badinage, et venez çà tous
deux
. Un commentateur, après avoir assez longuement d
un regard curieux sur une tablette qui doit être chargée de quelques
centaines
de volumes tout pétillants d’une gaieté un peu gr
ls les amateurs donnent le nom de facéties ; se saisir en passant des
Quinze
joies du mariage, livre qui rappelle quelquefois
n ne pas oublier le Francion, ouvrage vraiment remarquable, qui parut
trente
ans avant le Roman comique, et qui a le double mé
t chacun a eu le plaisir de rire de son compagnon13. » Tels sont les
deux
morceaux qui nous ont inspiré l’idée de replacer
autes et à suppléer à ses oublis. C’est ce que j’ai fait dans près de
cent
notes tirées de sources quelquefois peu connues,
nt sur la vie et les ouvrages de Molière dans le siècle où il a vécu
22.
Un pareil ouvrage, pour être complet, devait êtr
pillés et jamais cités, mais qui, après s’être vus dépouiller pendant
soixante
ans par tous les compilateurs d’anecdotes, de dic
atesse des louanges ne sert qu’à l’honneur de celui qui les donne. »
L.
AIMÉ-MARTIN. Le 15 janvier 1824. Vie de Molièr
ne sert qu’à l’honneur de celui qui les donne. » L. AIMÉ-MARTIN. Le
15
janvier 1824. Vie de Molière par Grimarest.
’à l’honneur de celui qui les donne. » L. AIMÉ-MARTIN. Le 15 janvier
1824.
Vie de Molière par Grimarest. Il y a lieu
plus élevées : de sorte qu’il resta dans la boutique jusqu’à l’âge de
quatorze
ans ; et ils se contentèrent de lui faire apprend
lin était né avec de si heureuses dispositions pour les études, qu’en
cinq
années de temps il fit non-seulement ses humanité
encore sa philosophie. Ce fut au collège qu’il fit connaissance avec
deux
hommes illustres de notre temps, M. Chapelle28 et
u incapable de les gouverner. Il se contenta de lui laisser seulement
huit
mille livres de rente, entre les mains de personn
apable de les gouverner. Il se contenta de lui laisser seulement huit
mille
livres de rente, entre les mains de personnes qui
jouer la comédie40. Cette troupe était composée de la Béjart, de ses
deux
frères41 ; de Duparc, dit Gros-René ; de sa femme
ec sa troupe, qui eut bien de l’applaudissement en passant à Lyon, en
1653,
où il donna au public l’Étourdi, la première de s
Molière s’acquit beaucoup de réputation dans cette province, par les
deux
premières pièces de sa façon qu’il fit paraître,
die. Tout cela lui aurait manqué chez M. le prince de Conti49. Après
quatre
ou cinq années de succès dans la province, la tro
cela lui aurait manqué chez M. le prince de Conti49. Après quatre ou
cinq
années de succès dans la province, la troupe réso
ésenter la pièce de Nicomède devant Leurs Majestés, au mois d’octobre
165851.
Leur début fut heureux, et les actrices surtout f
r-le-champ de petites comédies à la manière des Italiens. Il en avait
deux
entre autres que tout le monde en Languedoc, jusq
sérieuses, ne se lassaient point de voir représenter ; c’étaient les
trois
Docteurs rivaux, et le Maître d’école, qui étaien
soin ; et Sa Majesté voulut bien qu’il lui donnât la première de ces
deux
petites pièces, qui eut un succès favorable53. L
jouer alternativement avec les Italiens. On sait qu’ils passèrent en
1660
au Palais-Royal, et qu’ils prirent le titre de Co
vince, et ils commencèrent à représenter, dans cette grande ville, le
3
de novembre 1658. L’Étourdi, la première de ses p
commencèrent à représenter, dans cette grande ville, le 3 de novembre
1658.
L’Étourdi, la première de ses pièces, qu’il fit p
applaudissement ; et Molière enleva tout à fait l’estime du public en
1659,
par les Précieuses ridicules, ouvrage qui fit alo
y avait été le premier jour56. Les Précieuses furent jouées pendant
quatre
mois de suite. M. Ménage, qui était à la première
a toujours réussi dans tous les caractères qu’il a voulu peindre. Le
28
mars 1660, Molière donna pour la première fois le
urs réussi dans tous les caractères qu’il a voulu peindre. Le 28 mars
1660,
Molière donna pour la première fois le Cocu imagi
urna plus au Cocu imaginaire. Molière ne fut pas heureux lorsque, en
1661,
le 4 février, il fit paraître à Paris Don Garcie
au Cocu imaginaire. Molière ne fut pas heureux lorsque, en 1661, le
4
février, il fit paraître à Paris Don Garcie de Na
; il s’y accommoda entièrement dans l’Ecole des Maris, qu’il donna le
24
juin 1661. Cette pièce, qui est une de ses meille
accommoda entièrement dans l’Ecole des Maris, qu’il donna le 24 juin
1661.
Cette pièce, qui est une de ses meilleures, confi
emps de l’auteur. Les Fâcheux, qui parurent à la cour au mois d’août
1661,
et à Paris le 4 du mois de novembre suivant, ache
es Fâcheux, qui parurent à la cour au mois d’août 1661, et à Paris le
4
du mois de novembre suivant, achevèrent de donner
u’il dise, dans sa préface des Fâcheux, qu’il ait fait cette pièce en
quinze
jours, j’ai de la peine à le croire ; c’était l’h
coup de plaisir à la voir représenter57. L’Ecole des Femmes parut en
1662,
avec peu de succès ; les gens de spectacle furent
ramassa, et en fit la Critique de l’Ecole des Femmes, qu’il donna en
1663.
Cette pièce fit plaisir au public : elle était du
tu de Versailles, qui fut joué pour la première fois devant le roi le
14
d’octobre 1663, et à Paris le 4 de novembre de la
les, qui fut joué pour la première fois devant le roi le 14 d’octobre
1663,
et à Paris le 4 de novembre de la même année, n’e
ur la première fois devant le roi le 14 d’octobre 1663, et à Paris le
4
de novembre de la même année, n’est qu’une conver
62 . La différence de jeu avait fait naître de la jalousie entre les
deux
troupes. On allait à celle de l’hôtel de Bourgogn
nière qu’ayant su qu’ils devaient représenter une pièce nouvelle dans
deux
mois, il se mit en tête d’en avoir une prête pour
rder ses ouvrages au public, et il lui dit de revenir le trouver dans
six
mois. Pendant ce temps-là Molière fit le dessein
x mois. Pendant ce temps-là Molière fit le dessein des Frères ennemis
63
; mais le jeune homme n’avait point encore paru,
’il avait pour divertir sa majesté, daigna l’honorer d’une pension de
mille
livres. On voit dans ses ouvrages le remerciement
servait de fort près, il ne put consommer son mariage pendant plus de
neuf
mois : c’eût été risquer un éclat qu’il voulait é
de fête que le roi donna aux reines et à toute sa cour au mois de mai
1664,
fit à Molière tout l’honneur qu’il en pouvait att
t chez le courtisan. Est-ce le même auteur, disait-on, qui a fait ces
deux
pièces ? Cet homme aime à parler au peuple, il n’
à lui donner souvent des nouveautés, hasarda son Festin de Pierre le
15
février 1665. On en jugea, dans ce temps-là, comm
er souvent des nouveautés, hasarda son Festin de Pierre le 15 février
1665.
On en jugea, dans ce temps-là, comme on en juge e
ongé à Molière. C’en fut assez pour former de la dissension entre ces
trois
femmes. La du Parc, pour se mettre bien avec sa n
voir le spectacle ; elle n’y fut pas plus tôt, que la Molière envoya
deux
gardes pour la faire sortir de l’amphithéâtre, et
e touchaient, irrité contre le médecin, pour se venger de lui, fit en
cinq
jours de temps la comédie de l’Amour médecin, don
die de l’Amour médecin, dont il fit un divertissement pour le roi, le
15
septembre 1665, et qu’il représenta à Paris le 22
r médecin, dont il fit un divertissement pour le roi, le 15 septembre
1665,
et qu’il représenta à Paris le 22 du même mois. C
ent pour le roi, le 15 septembre 1665, et qu’il représenta à Paris le
22
du même mois. Cette pièce ne relevait pas, à la v
n’ayant, à ce que l’on dit, jamais été saigné. Et l’on rapporte, dans
deux
livres de remarques, que M. de Mauvilain et lui,
ement occupé du désir de gagner de l’argent, fit faire une épinette à
trois
claviers, longue à peu près de trois pieds, et la
argent, fit faire une épinette à trois claviers, longue à peu près de
trois
pieds, et large de deux et demi, avec un corps do
nette à trois claviers, longue à peu près de trois pieds, et large de
deux
et demi, avec un corps dont la capacité était le
e double plus grande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait
quatre
enfants, tous jolis, deux garçons et deux filles
le des épinettes ordinaires. Raisin avait quatre enfants, tous jolis,
deux
garçons et deux filles ; il leur avait appris à j
ordinaires. Raisin avait quatre enfants, tous jolis, deux garçons et
deux
filles ; il leur avait appris à jouer de l’épinet
ièce, que le troisième clavier répétait seul d’un bout à l’autre, les
deux
enfants ayant les bras levés ; ensuite le père le
résomptueux ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de
vingt
mille livres à Raisin. Le bruit de cette épinette
tueux ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt
mille
livres à Raisin. Le bruit de cette épinette alla
uvrît le corps de l’épinette, d’où l’on vit sortir un petit enfant de
cinq
ans, beau comme un ange ; c’était Raisin le cadet
uvre enfant sortît de sa prison, où il était si mal à son aise depuis
cinq
ou six heures, que l’épinette en avait contracté
ant sortît de sa prison, où il était si mal à son aise depuis cinq ou
six
heures, que l’épinette en avait contracté une mau
ière. Il commençait son spectacle par sa machine, ensuite de quoi les
trois
enfants dansaient une sarabande ; ce qui était su
ts dansaient une sarabande ; ce qui était suivi d’une comédie que ces
trois
petites personnes, et quelques autres dont Raisin
avait formé une troupe, représentaient tant bien que mal. Ils avaient
deux
petites pièces qu’ils faisaient rouler, Tricassin
le talent qu’il avait apporté en naissant. Ils l’engagèrent donc pour
cinq
ans dans la troupe de la Raisin (car son mari éta
n avait eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un enfant de
dix
ou onze ans, sans avoir été conduit dans les prin
eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un enfant de dix ou
onze
ans, sans avoir été conduit dans les principes de
ôtel de Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eût gagné
vingt
mille écus de bien. Elle crut que la campagne ne
e Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eût gagné vingt
mille
écus de bien. Elle crut que la campagne ne lui se
bienfaisante de Molière, alla le prier de lui prêter son théâtre pour
trois
jours seulement, afin que le petit gain qu’elle e
seulement, afin que le petit gain qu’elle espérait de faire dans ses
trois
représentations lui servît à remettre sa troupe e
ut sur le théâtre, le lieu était si rempli, que la Raisin fit plus de
mille
écus. Molière, qui était incommodé, n’avait pu vo
cus. Molière, qui était incommodé, n’avait pu voir le petit Baron les
deux
premiers jours ; mais tout le monde lui en dit ta
oulait faire. Le lendemain matin, le tailleur, exact, apporta sur les
neuf
à dix heures, au petit Baron, un équipage tout co
faire. Le lendemain matin, le tailleur, exact, apporta sur les neuf à
dix
heures, au petit Baron, un équipage tout complet.
contenta pas de l’avoir si bien fait accommoder ; il lui donna encore
six
louis d’or, avec ordre de les dépenser à ses plai
es dépenser à ses plaisirs. Tout cela était un rêve pour un enfant de
douze
ans, qui était depuis longtemps entre les mains d
vous ôter de la troupe où vous êtes. » Molière, qui s’était levé dès
quatre
heures du malin, avait été à Saint-Germain suppli
e entra toute furieuse le lendemain matin dans la chambre de Molière,
deux
pistolets à la main, et lui dit que s’il ne lui r
pria Molière de lui accorder du moins que le petit Baron jouât encore
trois
jours dans sa troupe. « Non-seulement trois, répo
petit Baron jouât encore trois jours dans sa troupe. « Non-seulement
trois
, répondit Molière, mais huit, à condition pourtan
s jours dans sa troupe. « Non-seulement trois, répondit Molière, mais
huit
, à condition pourtant qu’il n’ira point chez vous
r avec eux. Il fallait bien que la Raisin en passât par là ; mais ces
huit
jours lui donnèrent beaucoup d’argent, avec leque
nts fréquents que la troupe de Molière lui donnait, qu’au mois d’août
1665
Sa Majesté jugea à propos de la fixer tout à fait
a fixer tout à fait à son service, en lui donnant une pension de sept
mille
livres74. Elle prit alors le titre de troupe du r
e est-il fou, et nous prend-il pour des benêts, de nous faire essuyer
cinq
actes de prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravag
nt quelques années après : il donna son Avare pour la seconde fois le
9
septembre 1668. On y courut en foule, et il fut j
années après : il donna son Avare pour la seconde fois le 9 septembre
1668.
On y courut en foule, et il fut joué presque tout
que le public goûte rarement les bonnes choses quand il est dépaysé !
Cinq
actes de prose l’avait révolté la première fois ;
et il s’imaginait que sa femme était prête à le haïr. L’esprit de ces
deux
femmes était tellement opposé à celui de Molière,
t souffrir qu’il eût de la bonté pour cet enfant, qui, de son côté, à
treize
ans, n’avait pas toute la prudence nécessaire pou
que je dois lui donner. » Baron, ne pouvant s’en défendre, statua sur
quatre
pistoles, qu’il croyait suffisantes pour donner à
orge la facilité de joindre une troupe. « Hé bien, je vais lui donner
quatre
pistoles pour moi, dit Molière à Baron, puisque v
, dit Molière à Baron, puisque vous le jugez à propos ; mais en voilà
vingt
autres que je lui donnerai pour vous : je veux qu
cet habit, que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté
deux
mille cinq cents livres, et il était presque tout
habit, que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux
mille
cinq cents livres, et il était presque tout neuf.
que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille
cinq
cents livres, et il était presque tout neuf. Il a
Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille cinq
cents
livres, et il était presque tout neuf. Il assaiso
ui avait coûté deux mille cinq cents livres, et il était presque tout
neuf
. Il assaisonna ce présent d’un bon accueil qu’il
omédien, après avoir gagné une somme assez considérable pour se faire
dix
ou douze mille livres de rente qu’il avait placée
, après avoir gagné une somme assez considérable pour se faire dix ou
douze
mille livres de rente qu’il avait placées à Flore
s avoir gagné une somme assez considérable pour se faire dix ou douze
mille
livres de rente qu’il avait placées à Florence, l
lle. On alla avec empressement à la comédie italienne pendant plus de
six
mois pour revoir Scaramouche. La troupe de Molièr
s furieux, outrés de la résistance qu’il avait faite, le percèrent de
cent
coups d’épée ; et chacun d’eux, en entrant, lui d
Eh ! messieurs, leur dit-il, épargnez du moins un pauvre vieillard de
soixante-quinze
ans, qui n’a plus que quelques jours à vivre. » L
ue je n’aie importuné le roi pour avoir l’ordre qui nous a mis tous à
deux
doigts de notre perte ; il est question présentem
e aux auteurs, et aux personnes qui, n’ayant pas le moyen de dépenser
quinze
sous, ne voyaient le spectacle que par charité, s
e à la comédie sans payer. Quelque temps après le retour de Baron (en
1670
), on joua une pièce intitulée Don Quixote (je n’a
servante qui faisait alors tout son domestique, quoiqu’il eût près de
trente
mille livres de rente. Cette femme était dans la
e qui faisait alors tout son domestique, quoiqu’il eût près de trente
mille
livres de rente. Cette femme était dans la coulis
était un de ces génies supérieurs et réjouissants, que l’on annonçait
six
mois avant que de le pouvoir donner pendant un re
’était point assez à un véritable ami : de sorte que Molière s’en fit
deux
plus solides dans la personne de MM. Rohault et M
mmageaient de tous les chagrins qu’il avait d’ailleurs. C’était à ces
deux
messieurs qu’il se livrait sans réserve.« Ne me p
ombrage malgré moi. J’y trouve à redire, je m’en plains. Cette femme,
cent
fois plus raisonnable que je ne le suis, veut jou
soutenait sa table avec honneur. Il fit un jour partie avec MM.de J…
88,
de N…, et de L…., pour aller se réjouir à Auteuil
e avec honneur. Il fit un jour partie avec MM.de J… 88, de N…, et de
L
…., pour aller se réjouir à Auteuil avec leur ami.
les repas entre gens de cette espèce, on tomba sur la morale vers les
trois
heures du matin. « Que notre vie est peu de chose
le ; qu’elle est remplie de traverses ! Nous sommes à l’affût pendant
trente
ou quarante années pour jouir d’un moment de plai
le est remplie de traverses ! Nous sommes à l’affût pendant trente ou
quarante
années pour jouir d’un moment de plaisir, que nou
e le plus d’honneur, et qui réponde à notre conduite. Demain, sur les
huit
à neuf heures du matin, bien à jeun et devant tou
us d’honneur, et qui réponde à notre conduite. Demain, sur les huit à
neuf
heures du matin, bien à jeun et devant tout le mo
dit N., et il n’y a pas le petit mot à dire. — Morbleu, j’enrage, dit
L.
; Molière a toujours cent fois plus d’esprit que
le petit mot à dire. — Morbleu, j’enrage, dit L. ; Molière a toujours
cent
fois plus d’esprit que nous. Voilà qui est fait,
d’Auteuil, avec un valet nommé Godemer, qui le servait depuis plus de
trente
ans. Ce vieux domestique avait l’honneur d’être t
que je suis en possession du devant de votre carrosse depuis plus de
trente
ans ; pourquoi voulez-vous me l’ôter aujourd’hui
es alors ; mais à présent je ne puis plus marcher. En un mot comme en
cent
, ajouta ce valet, vous m’avez habitué au carrosse
us en rapportez à moi, dit Molière, je vais tâcher de mettre d’accord
deux
si honnêtes gens. Vous avez tort, dit-il à Godeme
donner des coups de bâton, donne-les, et t’en va. » On sait que les
trois
premiers actes de la comédie du Tartuffe de Moliè
Molière furent représentés à Versailles dès le mois de mai de l’année
1664,
et qu’au mois de septembre de la même année, ces
mai de l’année 1664, et qu’au mois de septembre de la même année, ces
trois
actes furent joués pour la seconde fois à Villers
ière et la seconde fois au Raincy, au mois de novembre suivant, et en
1665
; mais Paris ne l’avait point encore vue en 1667.
embre suivant, et en 1665 ; mais Paris ne l’avait point encore vue en
1667.
Molière sentait la difficulté de la faire passer
us la table. Quand il crut avoir suffisamment préparé les esprits, le
5
d’août 1667 il fait afficher le Tartuffe. Mais il
le. Quand il crut avoir suffisamment préparé les esprits, le 5 d’août
1667
il fait afficher le Tartuffe. Mais il n’eut pas é
es raisons, puisque Sa Majesté jugea à propos de défendre le Tartuffe
91
. Cet ordre fut un coup de foudre pour les comédi
s hier le Tartuffe de Molière. Je lui en avais autrefois entendu lire
trois
actes chez M. de Montmort92, où se trouvèrent aus
pelain, M. l’abbé de Marolles, et quelques autres personnes. Je dis à
M
…, lorsqu’il empêcha qu’on ne le jouât, que c’étai
mite, qui passa dans le public, sans que personne s’en plaignît.Louis
XIV
, ayant vu cette pièce, dit, en parlant au prince
ion, que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admirer, et que pour
vingt
personnes qui sont susceptibles de sentir des tra
sont susceptibles de sentir des traits délicats et élevés, il y en a
cent
qui les rebutent faute de les connaître. Il ne fu
a première, ce qui l’obligea de se dépêcher de fabriquer son Fagotier
94
; en quoi il n’eut pas beaucoup de peine, puisque
voit par cette remarque que le Tartuffe fut joué avant le Misanthrope
98
et avant le Médecin malgré, et qu’ainsi la date d
ecin malgré, et qu’ainsi la date de la première représentation de ces
deux
dernières pièces, que l’on a mise dans les Œuvres
ue qu’elles ont été jouées dès les mois de mars et de juin de l’année
1666.
Molière avait lu son Misanthrope à toute la cour,
s de décembre de la même année, il donna au roi le divertissement des
deux
premiers actes d’une pastorale qu’il avait faite,
, avec raison, d’en faire le troisième acte, ni de faire imprimer les
deux
premiers, qui n’ont vu le jour qu’après sa mort.
lien fut trouvé une agréable petite pièce à la cour et à la ville, en
1667
; et l’Amphitryon passa tout d’une voix au mois d
e, en 1667 ; et l’Amphitryon passa tout d’une voix au mois de janvier
1668.
Cependant un savantasse n’en voulut point tenir c
près que Molière eut repris avec succès son Avare, au mois de janvier
1668,
comme je l’ai déjà dit, il projeta de donner son
ès. Le Georges Dandin fut donc bien reçu à la cour au mois de juillet
1668,
et à Paris au mois de novembre suivant. Quand Mol
aient ; mais leur joie ne dura qu’autant de temps qu’il en fallut aux
deux
comédiens pour apporter l’ordre du roi, qui voula
ntait cette pièce, Champmêlé, qui n’était point alors dans la troupe
104,
fut voir Molière dans sa loge, qui était proche d
; je viens d’entendre un acteur déclamer faussement et pitoyablement
quatre
vers de ma pièce ; et je ne saurais voir maltrait
s. « J’en fais juge le bon père, si le système de Descartes n’est pas
cent
fois mieux imaginé que tout ce que M. de Gassendi
sit avec fureur le moment de rétorquer les arguments de Chapelle. Les
deux
philosophes en étaient aux convulsions et presque
sa besace, qu’il y avait mise en entrant ; c’était un frère-lai. Les
deux
philosophes n’avaient point vu son enseigne ; et,
ce système de vivre ; vous êtes isolé de tout, et vous pouvez penser
quinze
jours durant à un bon mot, sans que personne vous
s si vous étiez, comme moi, occupé de plaire au roi, et si vous aviez
quarante
ou cinquante personnes qui n’entendent point rais
iez, comme moi, occupé de plaire au roi, et si vous aviez quarante ou
cinquante
personnes qui n’entendent point raison, à faire v
’une parfaite sincérité ; c’était où il triomphait. Un jeune homme de
vingt-deux
ans, beau et bien fait, le vint trouver un jour,
t sentir les endroits touchants. Il semblait qu’il les eût travaillés
vingt
années, tant il était assuré dans ses tons ; ses
tête que malgré tout ce que Molière vous a dit, vous en aurez plus en
six
mois de théâtre qu’en six années de barreau. » Mo
e Molière vous a dit, vous en aurez plus en six mois de théâtre qu’en
six
années de barreau. » Molière, qui n’avait en vue
is. Un jour qu’il dînait en nombreuse compagnie avec M. le marquis de
M
…, dont le page, pour tout domestique, servait à b
pas le seul de ses amis à qui sa conduite fit de la peine. M. des P…
108
le rencontrant un jour au Palais, lui en parla à
avait dérangé un livre, c’en était assez pour qu’il ne travaillât de
quinze
jours : il y avait peu de domestiques qu’il ne tr
, et ses assiduités n’étaient pas trop fatigantes pour une femme ; en
huit
jours une petite conversation, c’en était assez p
es plutôt le diable, » lui répondit ce pauvre garçon, qui fut plus de
vingt-quatre
heures à comprendre comment ce malheureux bas se
pièce, laquelle fut jouée à Chambord au mois de septembre de l’année
1669,
et à Paris un mois après 113. Le roi s’étant pro
mbord au mois de septembre de l’année 1669, et à Paris un mois après
113.
Le roi s’étant proposé de donner un divertissemen
é de donner un divertissement à sa cour au mois de février de l’année
1670,
Molière eut ordre d’y travailler : il fit les Ama
tilhomme fut joué pour la première fois à Chambord, au mois d’octobre
1670.
Jamais pièce n’a été plus malheureusement reçue q
va tomber ; cet homme-là donne dans la farce italienne. » Il se passa
cinq
jours avant que l’on représentât cette pièce pour
ue l’on représentât cette pièce pour la seconde fois : et pendant ces
cinq
jours, Molière, tout mortifié, se tint caché dans
omme dans les grands événements. Au mois de novembre de la même année
1670,
que l’on représenta le Bourgeois gentilhomme à Pa
ntilhomme dans la personne de Gandouin, chapelier, qui avait consommé
cinquante
mille écus avec une femme que Molière connaissait
dans la personne de Gandouin, chapelier, qui avait consommé cinquante
mille
écus avec une femme que Molière connaissait, et à
Molière. Les Fourberies de Scapin parurent pour la première fois le
24
mai 1671 ; et la Comtesse d’Escarbagnas fut jouée
e. Les Fourberies de Scapin parurent pour la première fois le 24 mai
1671
; et la Comtesse d’Escarbagnas fut jouée à la cou
uée à la cour au mois de février de l’année suivante ; et à Paris, le
8
de juillet de la même année. Tout le monde sait c
n les bons juges et les gens du goût délicat se récrièrent contre ces
deux
pièces ; mais le peuple, pour qui Molière avait e
tissait les autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris avec confiance le
11
de mai 1672115. Molière était vif quand on l’atta
s autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris avec confiance le 11 de mai
1672115.
Molière était vif quand on l’attaquait. Benserade
de Bourgogne, ce qui indigna Molière et Baron contre lui. M. de P….
118
ayant dit à celui-ci, à Fontainebleau, qu’il étai
demanda un divertissement, et qu’il donna Psyché, au mois de janvier
1672,
il ne désabusa point le public que ce qui était d
lui aider122. On sait que cette pièce eut à Paris, au mois de juillet
1672,
tout le succès qu’elle méritait. Il n’y a pourtan
’ailleurs sa santé était très faible, il était obligé de se ménager.
Dix
mois après son raccommodement avec sa femme, il d
nager. Dix mois après son raccommodement avec sa femme, il donna, le
10
février de l’année 1673, le Malade imaginaire, do
son raccommodement avec sa femme, il donna, le 10 février de l’année
1673,
le Malade imaginaire, dont on prétend qu’il était
e remettre. « Comment voulez-vous que je fasse ? leur dit-il ; il y a
cinquante
pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
de coutume, il ne jouerait point ce jour-là, s’ils n’étaient prêts à
quatre
heure précises pour jouer la comédie ; « sans cel
comédiens tinrent les lustres allumés et la toile levée précisément à
quatre
heures. Molière représenta avec beaucoup de diffi
outa-t-il, allez dire à ma femme qu’elle monte. » Il resta assisté de
deux
sœurs religieuses, de celles qui viennent ordinai
a volonté du Seigneur. Enfin il rendit l’esprit entre les bras de ces
deux
bonnes sœurs ; le sang qui sortait par sa bouche
. Il mourut123 le vendredi dix-septième du mois de février de l’année
1673124,
âgé de cinquante-trois ans, regretté de tous les
e vendredi dix-septième du mois de février de l’année 1673124, âgé de
cinquante-trois
ans, regretté de tous les gens de lettres, des co
étrer l’intention de cette populace. On lui conseilla de répandre une
centaine
de pistoles par les fenêtres. Elle n’hésita point
l n’y eut personne de ces gens-là qui ne priât Dieu de tout son cœur
127.
Le convoi se fit tranquillement, à la clarté de p
on cœur 127. Le convoi se fit tranquillement, à la clarté de près de
cent
flambeaux, le mardi 21 de février. Comme il passa
e fit tranquillement, à la clarté de près de cent flambeaux, le mardi
21
de février. Comme il passait dans la rue Montmart
gnorants ou irrités avaient répandues quelques années auparavant dans
deux
pièces intitulées le Portrait du Peintre, dont j’
intre, dont j’ai parlé, et Élomire hypocondre, ou les Médecins vengés
129.
C’était, disait-on, un homme sans mœurs, sans rel
crier l’auteur ; mais il triomphait toujours. Molière connaissait les
trois
sortes de personnes qu’il avait à divertir, le co
et quel fléau du ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces
deux
comiques ! » Tous les savants ont porté à peu prè
nt sur les ouvrages de Molière ; mais il divertissait tour à tour les
trois
sortes de personnes dont je viens de parler ; et
ophiques, et il avait mis en vers ces belles descriptions de Lucrèce
131.
On s’étonnera peut-être que je n’aie point fait M
èrent jusqu’à sa mort, il est étonnant qu’il ait pu, dans le cours de
vingt
années, composer trente et une comédies, dont la
il est étonnant qu’il ait pu, dans le cours de vingt années, composer
trente
et une comédies, dont la moitié sont des chefs-d’
n’ont pu égaler. »(Extrait en partie de la Vie de Molière, écrite en
1724.
) Histoire de la troupe de Molière. Acteu
eleine). BÉJART (Genevève-Hervé), sa sœur. BÉJART (Armande), sœur des
deux
précédentes, femme de Molière. DE BRIE (mademoise
l’aîné faisait partie de l’illustre théâtre, ainsi que son frère, ses
deux
sœurs, du Parc, et Molière. On ne trouve aucun dé
’a pu jouer que dans l’Etourdi et le Dépit amoureux, car il mourut en
1659,
avant la première représentation des Précieuses r
et armoiries, des prélats et barons des Etats de Languedoc, tenus en
1654,
par le sieur J. Béjart, volume in-folio imprimé à
us en 1654, par le sieur J. Béjart, volume in-folio imprimé à Lyon en
1655.
Dans une dédicace au prince de Conti, on trouve l
on représentait devant elle. » BÉJART CADET. Béjart, frère des
trois
actrices de ce nom, prit fort jeune le parti de l
s. Il demeura estropié d’une blessure qu’il reçut au pied en séparant
deux
de ses amis qui se battaient dans la place du Pal
ans tous ceux que Béjart remplissait à Paris. Cet acteur se retira en
1670
avec une pension de mille livres que la troupe lu
remplissait à Paris. Cet acteur se retira en 1670 avec une pension de
mille
livres que la troupe lui fit, et qui lui fut cont
troupe lui fit, et qui lui fut continuée jusqu’à sa mort, arrivée le
29
septembre 1678132. Il fut le premier à qui on acc
it, et qui lui fut continuée jusqu’à sa mort, arrivée le 29 septembre
1678132.
Il fut le premier à qui on accorda la pension de
9 septembre 1678132. Il fut le premier à qui on accorda la pension de
1000
livres. (Frères Parfait. Voyez aussi la lettre de
Rome, est arrêté, et jeté dans un cachot du Petit-Châtelet à l’âge de
soixante-dix
ans. « Là, dit-il, je me couchai sur un peu de pa
. J’y restai étendu comme un homme frappé de la foudre, et y demeurai
quatre
jours sans remuer ni sans prendre aucuns aliments
ort m’était inévitable. » (La Prison de M. d’Assoucy , Paris, Quenel,
1678,
page 70.) On aime à voir les hommes auxquels Moli
inévitable. » (La Prison de M. d’Assoucy , Paris, Quenel, 1678, page
70.
) On aime à voir les hommes auxquels Molière s’éta
Molière. Il suivit ce dernier à Paris, lorsqu’il vint s’y établir en
1658.
Mais, ayant eu le malheur de tuer un cocher sur l
accorda sa grâce, et lui permit de rentrer dans la troupe de Molière
133,
qu’il quitta vers l’année 1664 pour passer dans c
de rentrer dans la troupe de Molière 133, qu’il quitta vers l’année
1664
pour passer dans celle de l’Hôtel de Bourgogne. E
vers l’année 1664 pour passer dans celle de l’Hôtel de Bourgogne. En
1680,
lors de la réunion des troupes, Brécourt fut cons
ervé, et continua de jouer sur le théâtre de Guénégaud encore environ
cinq
années ; il se rompit une veine dans le corps par
ie de Timon, et mourut de cet accident vers la fin du mois de février
1685.
Brécourt a été un très grand comédien dans le tra
ralage, Brécourt aimait avec excès le jeu, les femmes, et le vin. Ces
trois
passions lui firent une réputation assez désavant
sa mort ne purent être acquittées, parce qu’elles montaient à plus de
20,000
livres au-delà de sa succession. Brécourt avait b
leur, et on rapporte un trait qui mérite d’être placé ici. En l’année
1678,
ce comédien, étant à la chasse du roi à Fontaineb
e théâtre : La feinte Mort de Jodelet, comédie en vers, en un acte,
1660.
La Noce de Village, comédie en vers, en un acte,
, en un acte, 1660. La Noce de Village, comédie en vers, en un acte,
1666.
Le Jaloux invisible, comédie en vers, en trois a
en vers, en un acte, 1666. Le Jaloux invisible, comédie en vers, en
trois
actes, août 1666. L’Infante Salicoque ou les Hér
te, 1666. Le Jaloux invisible, comédie en vers, en trois actes, août
1666.
L’Infante Salicoque ou les Héros de Roman, coméd
licoque ou les Héros de Roman, comédie en un acte, non imprimée, août
1667.
L’Ombre de Molière, comédie en prose, en un acte
primée, août 1667. L’Ombre de Molière, comédie en prose, en un acte,
1674.
Timon, comédie en vers, en un acte, 13 août 1684
édie en prose, en un acte, 1674. Timon, comédie en vers, en un acte,
13
août 1684. Brécourt avait épousé la demoiselle É
prose, en un acte, 1674. Timon, comédie en vers, en un acte, 13 août
1684.
Brécourt avait épousé la demoiselle Étienne Des-
e, où elle remplissait, dans le tragique, les rôles de confidente. En
1680,
elle quitta le théâtre avec une pension, dont ell
héâtre avec une pension, dont elle a joui jusqu’à sa mort, arrivée le
2
avril 1713. (Parfait, tome VIII, page 406.) F.
vec une pension, dont elle a joui jusqu’à sa mort, arrivée le 2 avril
1713.
(Parfait, tome VIII, page 406.) F. BOIRON, dit
elle a joui jusqu’à sa mort, arrivée le 2 avril 1713. (Parfait, tome
VIII
, page 406.) F. BOIRON, dit BARON. Molière é
i jusqu’à sa mort, arrivée le 2 avril 1713. (Parfait, tome VIII, page
406.
) F. BOIRON, dit BARON. Molière éleva et for
t cet art si rare de se transformer en la personne qu’on représente. (
V.
) — Il débuta du vivant de Molière, en 1670, par l
personne qu’on représente. (V.) — Il débuta du vivant de Molière, en
1670,
par le rôle d’Antiochus dans la Bérénice de Corne
en 1670, par le rôle d’Antiochus dans la Bérénice de Corneille, et en
1671,
par le rôle de l’Amour dans Psyché. L’année même
entes circonstances, dont on a fait le rapprochement, lui font donner
quatre-vingt-deux
ans. Baron ayant peu joué du vivant de Molière, e
de connaître en détail la vie de ce grand acteur peuvent consulter :
1°
La Lettre à mylord… sur Baron, par Dallainval ; 2
uvent consulter : 1° La Lettre à mylord… sur Baron, par Dallainval ;
2°
Les Amusements littéraires de Cizeron-Rival, page
ar Dallainval ; 2° Les Amusements littéraires de Cizeron-Rival, pages
48
et 49 ; 3° Les Lettres de J.-B. Rousseau, tome II
lainval ; 2° Les Amusements littéraires de Cizeron-Rival, pages 48 et
49
; 3° Les Lettres de J.-B. Rousseau, tome III ; 4°
al ; 2° Les Amusements littéraires de Cizeron-Rival, pages 48 et 49 ;
3°
Les Lettres de J.-B. Rousseau, tome III ; 4° Les
izeron-Rival, pages 48 et 49 ; 3° Les Lettres de J.-B. Rousseau, tome
III
; 4° Les Caractères de La Bruyère, où il est parl
-Rival, pages 48 et 49 ; 3° Les Lettres de J.-B. Rousseau, tome III ;
4°
Les Caractères de La Bruyère, où il est parlé de
res de La Bruyère, où il est parlé de Baron sous le nom de Roscius ;
5°
Le Roman de Gil Blas, où il est peint sous le nom
Blas, où il est peint sous le nom de Carlos Alonso de La Ventoleria ;
6°
Les Mémoires de Collé ; 7° Les Mémoires de mademo
le nom de Carlos Alonso de La Ventoleria ; 6° Les Mémoires de Collé ;
7°
Les Mémoires de mademoiselle Clairon ; 8° Mercure
6° Les Mémoires de Collé ; 7° Les Mémoires de mademoiselle Clairon ;
8°
Mercure de France, décembre 1729 ; 9° Parnasse fr
Les Mémoires de mademoiselle Clairon ; 8° Mercure de France, décembre
1729
; 9° Parnasse français, de Titon du Tillet ; 10°
oires de mademoiselle Clairon ; 8° Mercure de France, décembre 1729 ;
9°
Parnasse français, de Titon du Tillet ; 10° Histo
de France, décembre 1729 ; 9° Parnasse français, de Titon du Tillet ;
10°
Histoire du Théâtre français, par les frères Parf
mme dont ce premier était en possession. Beauval quitta la comédie en
1704,
et mourut le 29 décembre 1709. C’était un fort ho
était en possession. Beauval quitta la comédie en 1704, et mourut le
29
décembre 1709. C’était un fort honnête homme, d’u
ssession. Beauval quitta la comédie en 1704, et mourut le 29 décembre
1709.
C’était un fort honnête homme, d’un petit génie,
e niais, et à quelques rôles de femme ; mais il a toujours rempli ces
deux
emplois au gré du public. (Frères Parfait, t. XIV
oujours rempli ces deux emplois au gré du public. (Frères Parfait, t.
XIV
, p. 534.) Il joua d’original le rôle de Diafoirus
il était grand bretteur, et que Molière ne l’aimait pas. Il mourut en
1676.
(Frères Parfait, tome XII, p. 204.) DU PARC, d
que Molière ne l’aimait pas. Il mourut en 1676. (Frères Parfait, tome
XII
, p. 204.) DU PARC, dit GROS-RENÉ. Du Parc f
s acteurs de la société bourgeoise qui joua sur l’illustre théâtre en
1645.
Le dessein que cette société avait de s’établir à
à Lyon ; ils allèrent ensemble en Languedoc, et revinrent à Paris en
1658.
(Frères Parfait, page 410.) Loret, dans sa Muse h
ble en Languedoc, et revinrent à Paris en 1658. (Frères Parfait, page
410.
) Loret, dans sa Muse historique du 31 mai 1659, p
n 1658. (Frères Parfait, page 410.) Loret, dans sa Muse historique du
31
mai 1659, parle d’une pièce jouée à l’impromptu p
(Frères Parfait, page 410.) Loret, dans sa Muse historique du 31 mai
1659,
parle d’une pièce jouée à l’impromptu par deux ac
historique du 31 mai 1659, parle d’une pièce jouée à l’impromptu par
deux
acteurs français et quatre italiens, à Vincennes,
9, parle d’une pièce jouée à l’impromptu par deux acteurs français et
quatre
italiens, à Vincennes, devant le roi et toute la
i de quelle façon Loret rend compte de ce fait : Muse historique du
31
mai 1659. La cour a passé dans Vincennes Cinq ou
elle façon Loret rend compte de ce fait : Muse historique du 31 mai
1659.
La cour a passé dans Vincennes Cinq ou six jours
use historique du 31 mai 1659. La cour a passé dans Vincennes Cinq ou
six
jours de la semaine ; Château certainement royal,
avoir, des bals, ballets, et danses. D’ailleurs quelques comédiens,
Deux
Français, quatre Italiens, Sur un sujet qu’ils co
, ballets, et danses. D’ailleurs quelques comédiens, Deux Français,
quatre
Italiens, Sur un sujet qu’ils concertèrent, Tous
ux Français, quatre Italiens, Sur un sujet qu’ils concertèrent, Tous
six
ensemble se mêlèrent, Pour faire Mirabilia. Savoi
: Pour Trivelin et Scaramouche, Qui se font souvent escarmouche, Ces
deux
rares facétieux Tout de bon y firent de mieux. Gr
ieurs témoins, Valent mieux séparés que joints. Gros-René mourut le
4
novembre 1664 ; sa mort affligea tellement ses ca
ns, Valent mieux séparés que joints. Gros-René mourut le 4 novembre
1664
; sa mort affligea tellement ses camarades, qu’il
diens italiens. Sa part fut continuée à mademoiselle du Parc jusqu’en
1665.
DU CROISY. Philibert Gassaud, sieur du Croi
de Tralage, m’a été contée par M. Guillet de Saint-George, en octobre
1695.
Du Croisy avait épousé Marie Claveau, de la provi
sson sa fille.) Du mariage de du Croisy avec Marie Claveau naquirent
deux
filles. La première, nommée Angélique, âgée de ci
Claveau naquirent deux filles. La première, nommée Angélique, âgée de
cinq
ans, en 1666, jouait dans la troupe du Dauphin, e
rent deux filles. La première, nommée Angélique, âgée de cinq ans, en
1666,
jouait dans la troupe du Dauphin, et mourut en vi
de cinq ans, en 1666, jouait dans la troupe du Dauphin, et mourut en
vingt-quatre
heures, au mois de février 1670. La seconde, Mari
oupe du Dauphin, et mourut en vingt-quatre heures, au mois de février
1670.
La seconde, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul
a seconde, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul Poisson, et mourut en
1756,
à quatre-vingt-dix-huit ans. Une sœur de du Crois
e, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756, à
quatre-vingt-dix-huit
ans. Une sœur de du Croisy avait épousé Bellerose
médien de l’Hôtel-de-Bourgogne. Après la mort de son mari, arrivée en
1670,
elle se retira à Conflans-Sainte-Honorine. Du Cro
se retira à Conflans-Sainte-Honorine. Du Croisy quitta la comédie le
18
avril 1689, et mourut en 1695, âgé de soixante-ci
a à Conflans-Sainte-Honorine. Du Croisy quitta la comédie le 18 avril
1689,
et mourut en 1695, âgé de soixante-cinq ou soixan
-Honorine. Du Croisy quitta la comédie le 18 avril 1689, et mourut en
1695,
âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans. (Frères
Croisy quitta la comédie le 18 avril 1689, et mourut en 1695, âgé de
soixante-cinq
ou soixante-six ans. (Frères Parfait, tome XIII,
comédie le 18 avril 1689, et mourut en 1695, âgé de soixante-cinq ou
soixante-six
ans. (Frères Parfait, tome XIII, page 294.) L’
1695, âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans. (Frères Parfait, tome
XIII
, page 294.) L’ESPY. L’Espy, frère de Jodele
e soixante-cinq ou soixante-six ans. (Frères Parfait, tome XIII, page
294.
) L’ESPY. L’Espy, frère de Jodelet, entre da
ESPY. L’Espy, frère de Jodelet, entre dans la troupe de Molière en
1659
; il y reste jusqu’en 1663. On ne sait rien de sa
odelet, entre dans la troupe de Molière en 1659 ; il y reste jusqu’en
1663.
On ne sait rien de sa vie ni des rôles qu’ils rem
il s’engagea ensuite dans la troupe de Molière, qui débuta à Paris en
1658.
La Grange se distingua dans cette troupe ; il fut
ange se distingua dans cette troupe ; il fut de celle de Guénégaud en
1673.
Il mourut le samedi 1er mars 1692, à sept heures
te troupe ; il fut de celle de Guénégaud en 1673. Il mourut le samedi
1er
mars 1692, à sept heures et demie du matin. La Gr
; il fut de celle de Guénégaud en 1673. Il mourut le samedi 1er mars
1692,
à sept heures et demie du matin. La Grange était
ange, son camarade, donnèrent une édition de ce poète, Paris, Thiéry,
1682.
La préface qui est au commencement de ce livre es
lage.) La troupe du Palais-Royal avait Molière pour premier orateur.
Six
ans avant sa mort, il fut bien aise de se décharg
t régaler l’assemblée, à l’ouverture de la troupe du roi (le dimanche
9
juillet 1673), était dans la dernière justesse. C
l’assemblée, à l’ouverture de la troupe du roi (le dimanche 9 juillet
1673
), était dans la dernière justesse. Ce qu’il avait
it. » (Théâtre français, par Chapuzeau, p. 282 ; Frères Parfait, tome
XIII
, page 296.) HUBERT. André Hubert, comédien
tre français, par Chapuzeau, p. 282 ; Frères Parfait, tome XIII, page
296.
) HUBERT. André Hubert, comédien de la troup
e la troupe de Molière, ensuite de la troupe appelée de Guénégaud, en
1673,
se retira avec une pension de mille livres le 14
a troupe appelée de Guénégaud, en 1673, se retira avec une pension de
mille
livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19
de Guénégaud, en 1673, se retira avec une pension de mille livres le
14
avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre 170
gaud, en 1673, se retira avec une pension de mille livres le 14 avril
1685,
et mourut le vendredi 19 novembre 1700. M. de Vis
c une pension de mille livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi
19
novembre 1700. M. de Visé, en annonçant les chang
n de mille livres le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre
1700.
M. de Visé, en annonçant les changements arrivés
nçant les changements arrivés dans la troupe des comédiens du roi, en
1687,
parle ainsi du sieur Hubert. « Cet acteur était l
donnés à Beauval. (Note de M. Granval le père. — Frères Parfait, tome
XII
, page 473.) LE NOIR DE LA THORILLIÈRE. Le N
eauval. (Note de M. Granval le père. — Frères Parfait, tome XII, page
473.
) LE NOIR DE LA THORILLIÈRE. Le Noir, sieur
ajesté y consentit. Il entra dans la troupe de Molière au mois de mai
1662.
En 1667, Molière le chargea d’aller avec La Grang
consentit. Il entra dans la troupe de Molière au mois de mai 1662. En
1667,
Molière le chargea d’aller avec La Grange, son ca
e Lille en Flandre, sur la défense faite à Molière et à sa troupe, le
6
août (même année 1667), de jouer le Tartuffe. Apr
sur la défense faite à Molière et à sa troupe, le 6 août (même année
1667
), de jouer le Tartuffe. Après la mort de Molière,
e entra à l’Hôtel de Bourgogne, où il joua vraisemblablement jusqu’en
1679.
Il mourut du chagrin que lui causa le mariage de
s furieuses et les situations les plus tristes. La Thorillière laissa
trois
enfants, savoir : la demoiselle Charlotte Le Noir
la Thorillière, fils de ce dernier, acteur du théâtre français depuis
1722,
où il remplit l’emploi des rôles à manteaux et ce
e financiers, avec l’applaudissement du public. (Frères Parfait, tome
XI
, page 326.) Actrices. Mademoiselle BÉJA
ers, avec l’applaudissement du public. (Frères Parfait, tome XI, page
326.
) Actrices. Mademoiselle BÉJART. Made
Actrices. Mademoiselle BÉJART. Madeleine Béjart, née vers
1620,
s’engagea dans une troupe de comédiens en 1637, e
eine Béjart, née vers 1620, s’engagea dans une troupe de comédiens en
1637,
et parcourut le Languedoc et la Provence avec ses
comédiens en 1637, et parcourut le Languedoc et la Provence avec ses
deux
frères. Ce fut dans cette dernière province qu’el
elle contracta, dit-on, un mariage secret, dont elle eut une fille le
2
juillet 1638. A cette époque, Molière n’avait que
acta, dit-on, un mariage secret, dont elle eut une fille le 2 juillet
1638.
A cette époque, Molière n’avait que seize ans, et
eut une fille le 2 juillet 1638. A cette époque, Molière n’avait que
seize
ans, et ce n’est que sept ans plus tard qu’il ren
Dissertation de M. Beffara. Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses
deux
frères, en 1645, et concourut à former l’illustre
M. Beffara. Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses deux frères, en
1645,
et concourut à former l’illustre théâtre. C’est a
dont elle faisait partie. Cette troupe parcourut la province jusqu’en
1650,
revint à Paris, et joua à l’hôtel de Conti ; part
nt à Paris, et joua à l’hôtel de Conti ; partit ensuite pour Lyon, en
1653,
et s’établit enfin à Paris en 1658. L’emploi prin
ti ; partit ensuite pour Lyon, en 1653, et s’établit enfin à Paris en
1658.
L’emploi principal de cette actrice dans la coméd
omédie était celui des soubrettes. Madeleine Béjart mourut en février
1672,
un an avant Molière. Mademoiselle GENEVIÈVE-HE
gaud ; mais elle n’y brilla pas beaucoup. Elle mourut au mois de juin
1675,
après une maladie de trois années. Elle joua d’or
pas beaucoup. Elle mourut au mois de juin 1675, après une maladie de
trois
années. Elle joua d’original le rôle de Bélise da
ses grâces naturelles et ses talents pour le noble comique, jusqu’au
14
octobre 1694, qu’elle obtint, à Fontainebleau, so
naturelles et ses talents pour le noble comique, jusqu’au 14 octobre
1694,
qu’elle obtint, à Fontainebleau, son congé et une
re 1694, qu’elle obtint, à Fontainebleau, son congé et une pension de
mille
livres. Retirée dans son ménage, elle y vécut ave
s son ménage, elle y vécut avec une conduite exemplaire, et mourut le
3
novembre 1700, rue de Touraine. Elle fut inhumée
e, elle y vécut avec une conduite exemplaire, et mourut le 3 novembre
1700,
rue de Touraine. Elle fut inhumée le 2 décembre à
e, et mourut le 3 novembre 1700, rue de Touraine. Elle fut inhumée le
2
décembre à Saint-Sulpice. Son extrait de mort por
mbre à Saint-Sulpice. Son extrait de mort porte qu’elle était âgée de
cinquante-cinq
ans. Mademoiselle Molière, disent les frères Parf
’Agnès jusqu’à ce qu’elle quittât le théâtre. Elle le jouait encore à
soixante
et cinq ans. » (Note de M. de Tralage.) Voici de
’à ce qu’elle quittât le théâtre. Elle le jouait encore à soixante et
cinq
ans. » (Note de M. de Tralage.) Voici des vers q
eut pitié de son sort, la prit avec elle, et l’éleva jusqu’à l’âge de
dix
ans, qu’elle la céda à Filandre, chef d’une troup
es. Beauval lui parut être cet homme rare. Il lui jura d’observer ces
deux
points, et lui tint exactement parole après son m
n ordre portant défense à tous les curés de son diocèse de marier ces
deux
personnes ; mais la demoiselle Bourguignon employ
où elle débuta avec succès, et vraisemblablement au mois de septembre
1670
; car c’est ainsi qu’en parle Robinet dans sa let
car c’est ainsi qu’en parle Robinet dans sa lettre en vers, datée du
27
du même mois de septembre. Nous rapportons tout l
prendre l’essor, Avec sa cour si florissante. Et pendant des jours
quinze
ou trente. Molière, privilégié, Comme seul des
’essor, Avec sa cour si florissante. Et pendant des jours quinze ou
trente
. Molière, privilégié, Comme seul des talents do
mort de Molière, elle passa avec son mari à l’Hôtel de Bourgogne. En
1680
elle fut comprise, ainsi que Beauval, dans la réu
un et l’autre quittèrent le théâtre à la clôture de Pâques de l’année
1704.
Pendant plus de trente-quatre ans que mademoisell
nt le théâtre à la clôture de Pâques de l’année 1704. Pendant plus de
trente-quatre
ans que mademoiselle Beauval a joué la comédie à
ent toutes heureuses, cette actrice n’a jamais cessé de jouer plus de
dix
ou douze jours. (Il est vrai qu’elle eut vingt-qu
tes heureuses, cette actrice n’a jamais cessé de jouer plus de dix ou
douze
jours. (Il est vrai qu’elle eut vingt-quatre enfa
s cessé de jouer plus de dix ou douze jours. (Il est vrai qu’elle eut
vingt-quatre
enfants.) Au reste, mademoiselle Beauval était d’
ièces qui y furent représentées. Mademoiselle Beauval mourut le lundi
20
du mois de mars 1720, âgée environ de soixante-tr
représentées. Mademoiselle Beauval mourut le lundi 20 du mois de mars
1720,
âgée environ de soixante-treize ans. (Frères Parf
elle Beauval mourut le lundi 20 du mois de mars 1720, âgée environ de
soixante-treize
ans. (Frères Parfait, tome XIV, page 527.) C’est
mars 1720, âgée environ de soixante-treize ans. (Frères Parfait, tome
XIV
, page 527.) C’est mademoiselle Beauval qui créa l
âgée environ de soixante-treize ans. (Frères Parfait, tome XIV, page
527.
) C’est mademoiselle Beauval qui créa le rôle de C
Robinet. Mademoiselle Marotte joua dans la troupe du Marais jusqu’en
1669,
et cette même année elle passa dans la troupe du
eprésenta une des sœurs de Psyché dans la tragi-comédie de ce nom. En
1671
elle joua d’original la comtesse d’Escarbagnas da
dans le tragique, et les ridicules dans le comique. Elle se retira en
1672.
Chapuseau, livre III de son Théâtre français, pag
s ridicules dans le comique. Elle se retira en 1672. Chapuseau, livre
III
de son Théâtre français, page 206, met mademoisel
se retira en 1672. Chapuseau, livre III de son Théâtre français, page
206,
met mademoiselle Marotte Beaupré au rang des actr
demoiselle Marotte Beaupré au rang des actrices du Marais retirées en
1673
; mais il pourrait bien s’être trompé, ainsi que
te était femme de Verneuil, comédien du Marais. (Frères Parfait, tome
II
, page 302.) On raconte que mademoiselle Beaupré a
femme de Verneuil, comédien du Marais. (Frères Parfait, tome II, page
302.
) On raconte que mademoiselle Beaupré ayant eu un
témoin de ce duel, et il en parle dans ses Antiquités de Paris, tome
II
, livre X, page 578. Mademoiselle DU CROISY.
ce duel, et il en parle dans ses Antiquités de Paris, tome II, livre
X
, page 578. Mademoiselle DU CROISY. Femme de
, et il en parle dans ses Antiquités de Paris, tome II, livre X, page
578.
Mademoiselle DU CROISY. Femme de l’acteur d
lle joua la comédie peu de temps et sans succès. Elle se retira avant
1673.
Mademoiselle DU CROISY. Fille de l’acteur,
oiselle DU CROISY. Fille de l’acteur, femme de Poisson. En janvier
1671
elle remplit le rôle d’une des Grâces dans Psyché
fut reçue dans la troupe qu’après la mort de Molière, au mois de mai
1673.
Mademoiselle DU PARC. Mademoiselle du Parc,
nce qu’on voyait ses jambes au moyen d’une jupe qui était ouverte des
deux
côtés, avec des bas de soie attachés au haut d’un
» Mademoiselle du Parc revint avec Molière et sa troupe à Paris, en
1658,
et réussit encore plus sur le théâtre du Petit-Bo
théâtre, mais aussi de ses camarades. Mademoiselle du Parc mourut le
11
décembre 1668. Voici de quelle façon Robinet déta
is aussi de ses camarades. Mademoiselle du Parc mourut le 11 décembre
1668.
Voici de quelle façon Robinet détaille l’enterrem
Robinet détaille l’enterrement de cette actrice : Lettre en vers du
15
décembre 1668. L’Hôtel de Bourgogne est en deuil,
aille l’enterrement de cette actrice : Lettre en vers du 15 décembre
1668.
L’Hôtel de Bourgogne est en deuil, Depuis peu voy
t assez curieux et qui n’a point été remarqué, c’est que Molière, les
deux
Corneille, Racine et La Fontaine, devinrent succe
t successivement amoureux de mademoiselle du Parc : Molière à Lyon en
1653,
les deux Corneille à Rouen en 1658, La Fontaine e
vement amoureux de mademoiselle du Parc : Molière à Lyon en 1653, les
deux
Corneille à Rouen en 1658, La Fontaine et Racine
selle du Parc : Molière à Lyon en 1653, les deux Corneille à Rouen en
1658,
La Fontaine et Racine à Paris en 1664. Il paraît
les deux Corneille à Rouen en 1658, La Fontaine et Racine à Paris en
1664.
Il paraît que Racine fut le seul écouté. Le recue
demoiselle du Parc par le surnom de marquise, en lui faisant adresser
deux
pièces de vers recueillies dans les œuvres de Pie
ais-Royal, ensuite de celle de Guénégaud, retirée avec une pension de
mille
livres le 1er avril 1692, morte le 2 ou le 3 févr
te de celle de Guénégaud, retirée avec une pension de mille livres le
1er
avril 1692, morte le 2 ou le 3 février 1727. Made
e de Guénégaud, retirée avec une pension de mille livres le 1er avril
1692,
morte le 2 ou le 3 février 1727. Mademoiselle La
retirée avec une pension de mille livres le 1er avril 1692, morte le
2
ou le 3 février 1727. Mademoiselle La Grange ne j
avec une pension de mille livres le 1er avril 1692, morte le 2 ou le
3
février 1727. Mademoiselle La Grange ne jouait au
pension de mille livres le 1er avril 1692, morte le 2 ou le 3 février
1727.
Mademoiselle La Grange ne jouait au gré du public
e mademoiselle de Brie : on la nommait Marotte. (Frères Parfait, tome
XIII
, page 299.) FIN DE L’HISTOIRE DE LA TROUPE DE MOL
lle de Brie : on la nommait Marotte. (Frères Parfait, tome XIII, page
299.
) FIN DE L’HISTOIRE DE LA TROUPE DE MOLIÈRE.
ome XIII, page 299.) FIN DE L’HISTOIRE DE LA TROUPE DE MOLIÈRE.
1.
L’Imposteur ou le Tartuffe, comédie par J.-B. P.
primé aux dépens de l’auteur (sic), et se rend à Paris chez J. Ribou,
1669.
2. On vient de représenter à l’Odéon, en l’attri
ux dépens de l’auteur (sic), et se rend à Paris chez J. Ribou, 1669.
2.
On vient de représenter à l’Odéon, en l’attribuan
fort habile ; mais, malheureusement, la pièce n’est pas de Molière.
3.
Voyez sa lettre à Brossette, du 12 septembre 1731
t, la pièce n’est pas de Molière. 3. Voyez sa lettre à Brossette, du
12
septembre 1731. 4. Cette édition est peu connue
’est pas de Molière. 3. Voyez sa lettre à Brossette, du 12 septembre
1731.
4. Cette édition est peu connue ; elle fut publi
s de Molière. 3. Voyez sa lettre à Brossette, du 12 septembre 1731.
4.
Cette édition est peu connue ; elle fut publiée à
1731. 4. Cette édition est peu connue ; elle fut publiée à Naples en
1690,
chez Charles Porsile, en trois volumes qui formen
connue ; elle fut publiée à Naples en 1690, chez Charles Porsile, en
trois
volumes qui forment ensemble plus de deux mille p
, chez Charles Porsile, en trois volumes qui forment ensemble plus de
deux
mille pages. 5. J’aurais cru manquer de justice
z Charles Porsile, en trois volumes qui forment ensemble plus de deux
mille
pages. 5. J’aurais cru manquer de justice enver
le, en trois volumes qui forment ensemble plus de deux mille pages.
5.
J’aurais cru manquer de justice envers M. Auger,
j’avais considéré comme non avenu un commentaire qui lui a déjà coûté
dix
ans de travail. Profitant donc de l’autorisation
ui rentrent dans mon plan général, et je les ai signées de son nom.
6.
Palaprat, préface de ses œuvres, page 30. 7. Ét
les ai signées de son nom. 6. Palaprat, préface de ses œuvres, page
30.
7. Étourdi, acte I, scène VI. 8. Voyez Nicot e
i signées de son nom. 6. Palaprat, préface de ses œuvres, page 30.
7.
Étourdi, acte I, scène VI. 8. Voyez Nicot et Le
om. 6. Palaprat, préface de ses œuvres, page 30. 7. Étourdi, acte
I
, scène VI. 8. Voyez Nicot et Le Duchat. 9. Bon
Palaprat, préface de ses œuvres, page 30. 7. Étourdi, acte I, scène
VI
. 8. Voyez Nicot et Le Duchat. 9. Boniface et l
rat, préface de ses œuvres, page 30. 7. Étourdi, acte I, scène VI.
8.
Voyez Nicot et Le Duchat. 9. Boniface et le Péd
ge 30. 7. Étourdi, acte I, scène VI. 8. Voyez Nicot et Le Duchat.
9.
Boniface et le Pédant, comédie en prose, imitée
, imitée de l’italien, de Bruno Nolano ; à Paris, chez Pierre Ménart,
1633.
– Gilette, comédie facétieuse de du sieur d’Aves
omédie facétieuse de du sieur d’Aves ; Rouen imprimerie de Petit-Val,
1620.
10. Voyez la note de l’acte IV de l’Etourdi, pa
acétieuse de du sieur d’Aves ; Rouen imprimerie de Petit-Val, 1620.
10.
Voyez la note de l’acte IV de l’Etourdi, page 269
; Rouen imprimerie de Petit-Val, 1620. 10. Voyez la note de l’acte
IV
de l’Etourdi, page 269. On trouve un exemple de c
Petit-Val, 1620. 10. Voyez la note de l’acte IV de l’Etourdi, page
269.
On trouve un exemple de cette locution populaire
exemple de cette locution populaire dans la Prison de Dassoucy, pag.
45.
11. Roman de la Rose. 12. Préface de l’éditio
le de cette locution populaire dans la Prison de Dassoucy, pag. 45.
11.
Roman de la Rose. 12. Préface de l’édition de M
ulaire dans la Prison de Dassoucy, pag. 45. 11. Roman de la Rose.
12.
Préface de l’édition de Molière donnée en 1682 pa
11. Roman de la Rose. 12. Préface de l’édition de Molière donnée en
1682
par La Grange et Vinot. 13. Promenade de Saint-
éface de l’édition de Molière donnée en 1682 par La Grange et Vinot.
13.
Promenade de Saint-Cloud, par Guéret, pag. 212
La Grange et Vinot. 13. Promenade de Saint-Cloud, par Guéret, pag.
212
14. Lettre de Boileau à Brossette, tome IV, page
range et Vinot. 13. Promenade de Saint-Cloud, par Guéret, pag. 212
14.
Lettre de Boileau à Brossette, tome IV, page 426
-Cloud, par Guéret, pag. 212 14. Lettre de Boileau à Brossette, tome
IV
, page 426 de l’édition de M. Amar. 15. A la tête
ar Guéret, pag. 212 14. Lettre de Boileau à Brossette, tome IV, page
426
de l’édition de M. Amar. 15. A la tête de l’édit
e de Boileau à Brossette, tome IV, page 426 de l’édition de M. Amar.
15.
A la tête de l’édition des œuvres de Molière, pub
. Amar. 15. A la tête de l’édition des œuvres de Molière, publiée en
1682.
16. Mercure, mois de mai 1740. 17. Voyez les M
15. A la tête de l’édition des œuvres de Molière, publiée en 1682.
16.
Mercure, mois de mai 1740. 17. Voyez les Mémoir
on des œuvres de Molière, publiée en 1682. 16. Mercure, mois de mai
1740.
17. Voyez les Mémoires de Louis Racine, à la têt
œuvres de Molière, publiée en 1682. 16. Mercure, mois de mai 1740.
17.
Voyez les Mémoires de Louis Racine, à la tête des
tête des œuvres de Jean Racine, cinquième édition de Lefèvre, Paris,
1844.
18. Dans son commentaire sur Boileau, et dans le
es œuvres de Jean Racine, cinquième édition de Lefèvre, Paris, 1844.
18.
Dans son commentaire sur Boileau, et dans les pré
les précieux mélanges de Cizeron-Rival ; nous avons tout recueilli.
19.
Œuvres de J.-B. Rousseau, publiées par M. Amar,
19. Œuvres de J.-B. Rousseau, publiées par M. Amar, tom.V, p.291 et
327.
20. Lettres de J.-B. Rousseau, tom. III, pag. 15
Œuvres de J.-B. Rousseau, publiées par M. Amar, tom.V, p.291 et 327.
20.
Lettres de J.-B. Rousseau, tom. III, pag. 155. 2
ar M. Amar, tom.V, p.291 et 327. 20. Lettres de J.-B. Rousseau, tom.
III
, pag. 155. 21. Les preuves de la coopération de
, tom.V, p.291 et 327. 20. Lettres de J.-B. Rousseau, tom. III, pag.
155.
21. Les preuves de la coopération de Baron aux M
V, p.291 et 327. 20. Lettres de J.-B. Rousseau, tom. III, pag. 155.
21.
Les preuves de la coopération de Baron aux Mémoir
Baron aux Mémoires de Grimarest sont nombreuses ; en voici une entre
vingt
: « Quand Molière était dans sa maison d’Auteuil,
de deviner ce qui se passait entre eux. Il a donc fallu que l’un des
trois
en ait rendu compte. Or, tout le monde sait que G
our garantir la véracité, et j’ajoute la bonne foi de l’historien. » (
M
…au sujet d’une brochure intitulée Vie de Molière,
e l’historien. » (M…au sujet d’une brochure intitulée Vie de Molière,
1739.
) 22. Ces notes furent publiées en 1824. Déjà M.
orien. » (M…au sujet d’une brochure intitulée Vie de Molière, 1739.)
22.
Ces notes furent publiées en 1824. Déjà M. Tasche
re intitulée Vie de Molière, 1739.) 22. Ces notes furent publiées en
1824.
Déjà M. Taschereau avait donné une Vie de Molière
é une Vie de Molière à la tête de son édition des œuvres de ce poète (
1823
). J’ignore ce qu’il pensait de son travail ; mais
de Vie de Molière, dont je suis loin de contester le mérite, parut en
1825.
Je rappelle ces dates pour fixer l’époque où M. T
’ai point copié M. Taschereau. (Note de la seconde édition publiée en
1837.
) 23. Mémoires de Segrais, page 173. 24. Les r
t copié M. Taschereau. (Note de la seconde édition publiée en 1837.)
23.
Mémoires de Segrais, page 173. 24. Les recherc
la seconde édition publiée en 1837.) 23. Mémoires de Segrais, page
173.
24. Les recherches précieuses de M. Beffara nou
onde édition publiée en 1837.) 23. Mémoires de Segrais, page 173.
24.
Les recherches précieuses de M. Beffara nous ont
mais dans la rue Saint-Honoré, près de la rue de l’Arbre-Sec, non en
1620,
mais le 15 de janvier 1622, et que sa mère s’appe
rue Saint-Honoré, près de la rue de l’Arbre-Sec, non en 1620, mais le
15
de janvier 1622, et que sa mère s’appelait, non B
ré, près de la rue de l’Arbre-Sec, non en 1620, mais le 15 de janvier
1622,
et que sa mère s’appelait, non Boudet, mais Marie
, auteur d’un ouvrage plein de recherches précieuses, a découvert que
cinq
des parents de Molière avaient été juges et consu
de Molière avaient été juges et consuls de la ville de Paris (depuis
1647
jusqu’en 1685), fonctions considérables qui donna
aient été juges et consuls de la ville de Paris (depuis 1647 jusqu’en
1685
), fonctions considérables qui donnaient quelquefo
quelquefois la noblesse. (Delort, Voyage aux environs de Paris, page
199.
) 25. Nous avons essayé de découvrir le nom des
ois la noblesse. (Delort, Voyage aux environs de Paris, page 199.)
25.
Nous avons essayé de découvrir le nom des comédie
rent frapper les premiers regards de Molière. Parmi eux se trouvaient
trois
farceurs célèbres, Gauthier Garguille, Turlupin,
ésentation de leurs pièces, et qu’il leur ordonnait de s’associer ces
trois
acteurs comiques. Cet ordre fut exécuté, et c’est
s. Cet ordre fut exécuté, et c’est à l’hôtel de Bourgogne, au bout de
deux
ou trois ans, en 1634, que se termina leur histoi
rdre fut exécuté, et c’est à l’hôtel de Bourgogne, au bout de deux ou
trois
ans, en 1634, que se termina leur histoire par la
té, et c’est à l’hôtel de Bourgogne, au bout de deux ou trois ans, en
1634,
que se termina leur histoire par la plus touchant
amilière, il le contrefit trop bien, car il fut décrété ainsi que ses
deux
compagnons. Ceux-ci prirent la fuite ; mais Gros-
Turlupin en ressentirent les emporta aussi dans la même semaine. Ces
trois
acteurs avaient toujours joué sans femmes. Ils n’
devint le maître de Molière, et que Mazarin fit venir d’Italie. Ainsi
deux
cardinaux protégèrent notre théâtre naissant. Mol
x cardinaux protégèrent notre théâtre naissant. Molière avait environ
douze
ans à l’époque de cette catastrophe. Elle dut le
ue dans aucune de ses pièces il n’a introduit de rôle de magistrat.
26.
Pierre le Meslier, dit Bellerose, était un des pl
t d’un habit magnifique pour jouer ce rôle. » (Mercure de France, mai
1740.
) Ses talents supérieurs n’empêchèrent pas de rema
semblait à Bellerose, qui avait l’air trop fade. Cet acteur mourut en
1670.
Frères Parfait, tome V.) 27. C’est-à-dire au col
vait l’air trop fade. Cet acteur mourut en 1670. Frères Parfait, tome
V.
) 27. C’est-à-dire au collège de Clermont, depuis
l’air trop fade. Cet acteur mourut en 1670. Frères Parfait, tome V.)
27.
C’est-à-dire au collège de Clermont, depuis Louis
, depuis Louis-le-Grand, dirigé par les jésuites. Molière avait alors
quatorze
ans (en 1636) ; il resta au collège jusqu’à la fi
-Grand, dirigé par les jésuites. Molière avait alors quatorze ans (en
1636
) ; il resta au collège jusqu’à la fin de 1641. Le
alors quatorze ans (en 1636) ; il resta au collège jusqu’à la fin de
1641.
Le prince de Conti, frère du grand Condé, âgé de
condisciples. (Vie de Molière par La Grange, préface de l’édition de
1682.
) 28. Chapelle, célèbre par sa gaieté, sa vie ins
iples. (Vie de Molière par La Grange, préface de l’édition de 1682.)
28.
Chapelle, célèbre par sa gaieté, sa vie insoucian
sa vie insouciante, et par le Voyage qu’il composa avec Bachaumont.
29.
Les Voyages de Bernier sont encore ce que nous av
ys qu’il parcourut avec l’empereur Aureng-Zeb, auprès duquel il resta
douze
ans. 30. Grimarest oublie le célèbre Hesnault,
ourut avec l’empereur Aureng-Zeb, auprès duquel il resta douze ans.
30.
Grimarest oublie le célèbre Hesnault, qui fut aus
perdue : on ne connaît de celle d’Hesnault que l’invocation à Vénus.
31.
Cyrano de Bergerac, né en 1620. Son caractère éta
e d’Hesnault que l’invocation à Vénus. 31. Cyrano de Bergerac, né en
1620.
Son caractère était bouillant ; sa bravoure le re
ne l’eût enlevé presque aussitôt qu’il se fut consacré aux lettres.
32.
Le Pédant joué de Cyrano a fourni à Molière deux
sacré aux lettres. 32. Le Pédant joué de Cyrano a fourni à Molière
deux
scènes des Fourberies de Scapin. Cyrano composa c
ce étant encore au collège, pour se venger d’un de ses professeurs.
33.
Non pas à cause du grand âge de son père , puisq
pas à cause du grand âge de son père , puisque celui-ci n’avait que
quarante-six
ans ; Molière en avait dix-neuf. (BEFFARA.) 34.
re , puisque celui-ci n’avait que quarante-six ans ; Molière en avait
dix-neuf
. (BEFFARA.) 34. Ce voyage fut marqué par des évé
n’avait que quarante-six ans ; Molière en avait dix-neuf. (BEFFARA.)
34.
Ce voyage fut marqué par des événements mémorable
ne, faisant attacher à la queue de sa barque celle qui renfermait les
deux
victimes qu’il conduisait à l’échafaud. Toujours
iblesse du maître. Ce furent-là ses premières études du cœur humain.
35.
Il y a ici une lacune de plusieurs années sur les
n de la Vie, et surtout d’après la comédie satirique d’Élomire, qu’en
1642,
le père de Molière se décida à envoyer son fils à
droit, et que le jeune Pocquelin ne revint à Paris qu’au mois d’août
1654,
époque à laquelle il fut reçu avocat. Il suivit a
rs de Mondor et de Tabarin, dont les tréteaux s’élevaient sur le pont
Neuf
, et qui partageaient l’admiration avec le fameux
ait dès lors des leçons particulières de ce dernier. (Ménagiana, page
9
; et Vie de Scaramouche, par Mezzetin.) L’abbé Ta
res manuscrits cités par M. Walckenaer (Histoire de La Fontaine, page
73
), dit que Molière avait d’abord étudié la théolog
assertion vague de l’abbé Tallemant ne mérite donc aucune confiance.
36.
Cette troupe, connue sous le nom d’illustre théât
connue sous le nom d’illustre théâtre, était dirigée par les Béjart (
1645
). Elle débuta sur les fossés de la porte de Nesle
ors seulement qu’elle s’établit au jeu de paume de la Croix-Blanche.
37.
Ce silence n’a rien de fort merveilleux : peut-êt
. (Ce passage est extrait d’une Vie de Molière, peu connue, écrite en
1724.
Nous aurons plusieurs fois occasion de citer cet
de la bouche des contemporains plusieurs anecdotes fort piquantes.)
38.
Perrault, qui raconte cette anecdote, parle d’un
raire que Molière composa le Maître d’École, le Docteur amoureux, les
Trois
Docteurs rivaux, et le rôle de Métaphraste, pour
avec quel soin il appropriait ses rôles au caractère de ses acteurs.
39.
A cette époque, c’est-à-dire en 1645, Molière qui
les au caractère de ses acteurs. 39. A cette époque, c’est-à-dire en
1645,
Molière quitta Paris et parcourut la province ave
ière quitta Paris et parcourut la province avec sa troupe. Il y resta
quatre
ou cinq ans pour se perfectionner dans son art. D
a Paris et parcourut la province avec sa troupe. Il y resta quatre ou
cinq
ans pour se perfectionner dans son art. Dans ce l
d’Épernon, si fameux sous les règnes de Henri III et de Henri IV. En
1650
il revint à Paris, et c’est seulement alors que l
cien condisciple, le fit jouer à son hôtel (aujourd’hui la Monnoie).
40.
Nouvelle confusion dans les époques. Ce ne fut qu
a Monnoie). 40. Nouvelle confusion dans les époques. Ce ne fut qu’en
1653
ou 1654, un peu avant la convocation des états du
e). 40. Nouvelle confusion dans les époques. Ce ne fut qu’en 1653 ou
1654,
un peu avant la convocation des états du Languedo
e Conti ordonna à Molière d’aller le rejoindre à Béziers. Ainsi voilà
huit
années de la vie de Molière dont tous les détails
les détails nous sont inconnus. Molière passa à Lyon toute l’année de
1653.
41. On trouvera une histoire de la troupe de Mol
ails nous sont inconnus. Molière passa à Lyon toute l’année de 1653.
41.
On trouvera une histoire de la troupe de Molière
era une histoire de la troupe de Molière à la suite de ces Mémoires.
42.
Ce pâtissier se nommait Ragueneau ; il fut longte
ire un personnage de Suisse, où, quoique son rôle fût tout au plus de
quatre
vers, il s’en acquitta si bien, qu’en moins d’un
tes, quand ils deviennent fous. » (Dassoucy, Aventures d’Italie, page
284.
) 43. Ces acteurs ne faisaient pas partie de la t
and ils deviennent fous. » (Dassoucy, Aventures d’Italie, page 284.)
43.
Ces acteurs ne faisaient pas partie de la troupe
Lyon, où il donna l’Étourdi, y obtint un tel succès, qu’il fil tomber
deux
autres troupes dont les premiers acteurs s’empres
pour Duparc que Molière fit le rôle de Gros-René du Dépit amoureux.
44.
Molière ne se lia avec les Béjart qu’en 1645. La
René du Dépit amoureux. 44. Molière ne se lia avec les Béjart qu’en
1645.
La jeune Armande était peut-être alors auprès de
La jeune Armande était peut-être alors auprès de sa sœur. Elle avait
quatorze
ou quinze ans en 1653, au moment de son départ po
mande était peut-être alors auprès de sa sœur. Elle avait quatorze ou
quinze
ans en 1653, au moment de son départ pour Lyon. M
ut-être alors auprès de sa sœur. Elle avait quatorze ou quinze ans en
1653,
au moment de son départ pour Lyon. Molière l’ayan
art, fille de feu Joseph Béjart et de Marie Hervé, d’autre part, tous
deux
de cette paroisse vis-à-vis le Palais-Royal, fian
Béjart, Louis Béjart, et Béjart (Madeleine, sœur d’Armande Béjart).
45.
Lisez, la sœur. 46. Armand de Bourbon, prince d
et Béjart (Madeleine, sœur d’Armande Béjart). 45. Lisez, la sœur.
46.
Armand de Bourbon, prince de Conti, frère du gran
46. Armand de Bourbon, prince de Conti, frère du grand Condé, né le
11
octobre 1629, épousa, en 1654, Martinozzi, nièce
d de Bourbon, prince de Conti, frère du grand Condé, né le 11 octobre
1629,
épousa, en 1654, Martinozzi, nièce de Mazarin, ce
nce de Conti, frère du grand Condé, né le 11 octobre 1629, épousa, en
1654,
Martinozzi, nièce de Mazarin, ce qui le fit nomme
ène ; depuis il a écrit contre les spectacles. Il mourut à Pézenas le
21
février 1666. Son ouvrage est intitulé : Traité d
s il a écrit contre les spectacles. Il mourut à Pézenas le 21 février
1666.
Son ouvrage est intitulé : Traité de la comédie e
acles selon la tradition de l’Église, par le prince de Conti ; Paris,
1667,
in-8°. Il y attaque les pièces de Molière. On y l
aris, 1667, in-8°. Il y attaque les pièces de Molière. On y lit, page
24
: Il n’y a rien de plus scandaleux que la cinqui
eux que la cinquième scène du deuxième acte de l’École des Femmes.
47.
Ce ne fut qu’en 1654 que Molière se rendit auprès
scène du deuxième acte de l’École des Femmes. 47. Ce ne fut qu’en
1654
que Molière se rendit auprès du prince de Conti.
ourait joyeusement de ville en ville, son luth à la main, et suivi de
deux
jeunes pages qui ont beaucoup trop occupé la muse
es charmes, je ne pus si tôt quitter ces charmants amis : je demeurai
trois
mois à Lyon parmi les jeux, la comédie, et les fe
avec Molière sur le Rhône, qui mène en Avignon, où, étant arrivé avec
quarante
pistoles de reste du débris de mon naufrage, comm
ivertissaient galamment les bienheureux passants qui aiment à jouer à
trois
dés. J’en fus encore averti charitablement par un
e prétends en paradis, que je n’en ai vu jamais aucun qui, au bout de
quinze
jours, en soit sorti mieux vêtu que notre premier
e douce compagnie, Que je repaissais d’harmonie, Au milieu de sept ou
huit
plats, Exempt de soin et d’embarras, Je passais d
oi qu’on die De ces beaux messieurs des états, Qui tous les jours ont
six
ducats, La musique et la comédie ; A cette table
ls représentent tous les jours sur le théâtre. Après donc avoir passé
six
bons mois dans cette cocagne, et avoir reçu de M.
ir, je suivis encore Molière à Narbonne. » (Aventures de Dassoucy, t.
I
, page 309.) On regrette que Dassoucy ne soit pas
uivis encore Molière à Narbonne. » (Aventures de Dassoucy, t. I, page
309.
) On regrette que Dassoucy ne soit pas entré dans
ues qui nous soient parvenus sur cette époque de la vie de Molière.
48.
C’est-à-dire quelque employé ou quelque comédien
Les plus grands seigneurs étaient eux-mêmes domestiques chez le roi.
49.
Grimarest oublie ici un fait qui a pu influer sur
on lit dans les Mémoires de Segrais, « que Sarrasin mourut à l’âge de
quarante-trois
ans, d’une fièvre chaude causée par un mauvais tr
condescendre à épouser la nièce du cardinal Mazarin, et à abandonner
quarante
mille écus de bénéfice pour n’avoir que vingt-cin
ndre à épouser la nièce du cardinal Mazarin, et à abandonner quarante
mille
écus de bénéfice pour n’avoir que vingt-cinq mill
rin, et à abandonner quarante mille écus de bénéfice pour n’avoir que
vingt-cinq
mille écus de rente ; de sorte que l’argent lui m
bandonner quarante mille écus de bénéfice pour n’avoir que vingt-cinq
mille
écus de rente ; de sorte que l’argent lui manquai
temps-là contre le cardinal de Mazarin. » (Mémoires de Segrais, page
51.
) Le prince de Conti avait été généralissime des t
te Sarrasin auprès de ce prince. (Mémoires du cardinal de Retz, livre
II
, page 297, et livre III, page 60.) 50. A son ret
in auprès de ce prince. (Mémoires du cardinal de Retz, livre II, page
297,
et livre III, page 60.) 50. A son retour des éta
e prince. (Mémoires du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre
III
, page 60.) 50. A son retour des états de Langued
(Mémoires du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre III, page
60.
) 50. A son retour des états de Languedoc, au moi
res du cardinal de Retz, livre II, page 297, et livre III, page 60.)
50.
A son retour des états de Languedoc, au mois de d
ge 60.) 50. A son retour des états de Languedoc, au mois de décembre
1657,
il trouva à Avignon Pierre Mignard qui revenait d
uva à Avignon Pierre Mignard qui revenait d’Italie, où il avait passé
vingt-deux
ans. A cette époque Mignard faisait le portrait d
un hommage qui mérita les éloges de Boileau. (Vie de Mignard, in-12,
1630,
p. 55.) 51. Ce début eut lieu le 24 octobre sur
mérita les éloges de Boileau. (Vie de Mignard, in-12, 1630, p. 55.)
51.
Ce début eut lieu le 24 octobre sur un théâtre qu
leau. (Vie de Mignard, in-12, 1630, p. 55.) 51. Ce début eut lieu le
24
octobre sur un théâtre que le roi avait fait dres
a salle des gardes du vieux Louvre. (Vie de Molière, par La Grange.)
52.
Nous rétablissons ici le discours de Molière tel
Molière tel qu’il se trouve dans la Préface de La Grange, édition de
1682.
53. Ce ne fut point les trois Docteurs rivaux,
tel qu’il se trouve dans la Préface de La Grange, édition de 1682.
53.
Ce ne fut point les trois Docteurs rivaux, mais l
s la Préface de La Grange, édition de 1682. 53. Ce ne fut point les
trois
Docteurs rivaux, mais le Docteur amoureux, que Mo
emps qu’on ne jouait plus de petites comédies, disent les éditeurs de
1682,
l’invention en parut nouvelle, et celle qui fut r
établir sa troupe à Paris. » (Préface de La Grange dans l’édition de
1682.
) On sait que Boileau regrettait fort qu’on eût pe
dans les moindres ouvrages de Molière. (Voyez le Boléana.) Outre ces
deux
farces, Molière avait encore composé en province
Maître d’école, le Médecin volant, et la Jalousie du Barbouillé. Ces
deux
derniers canevas servirent depuis à Molière, lors
édecin malgré lui, et George Dandin. Ils ont été retrouvés. Il existe
deux
registres de la troupe de Molière, qui commencent
. Il existe deux registres de la troupe de Molière, qui commencent le
6
avril 1663, et se terminent le 4 janvier 1665. On
ste deux registres de la troupe de Molière, qui commencent le 6 avril
1663,
et se terminent le 4 janvier 1665. On y trouve le
troupe de Molière, qui commencent le 6 avril 1663, et se terminent le
4
janvier 1665. On y trouve le titre de différentes
Molière, qui commencent le 6 avril 1663, et se terminent le 4 janvier
1665.
On y trouve le titre de différentes petites pièce
rentes petites pièces dont il est possible que Molière soit l’auteur.
1°
Le 13 avril 1663, Le Docteur Pédant. 2° Le 15, La
petites pièces dont il est possible que Molière soit l’auteur. 1° Le
13
avril 1663, Le Docteur Pédant. 2° Le 15, La Jalou
pièces dont il est possible que Molière soit l’auteur. 1° Le 13 avril
1663,
Le Docteur Pédant. 2° Le 15, La Jalousie De Gros-
le que Molière soit l’auteur. 1° Le 13 avril 1663, Le Docteur Pédant.
2°
Le 15, La Jalousie De Gros-René. 3° Le 17, Gorgib
Molière soit l’auteur. 1° Le 13 avril 1663, Le Docteur Pédant. 2° Le
15,
La Jalousie De Gros-René. 3° Le 17, Gorgibus Dans
13 avril 1663, Le Docteur Pédant. 2° Le 15, La Jalousie De Gros-René.
3°
Le 17, Gorgibus Dans Le Sac, titre qui semble ind
il 1663, Le Docteur Pédant. 2° Le 15, La Jalousie De Gros-René. 3° Le
17,
Gorgibus Dans Le Sac, titre qui semble indiquer l
ble indiquer le canevas de la seconde scène des Fourberies de Scapin.
4°
Le 20, Le Fagoteux : on sait que c’est le ti
diquer le canevas de la seconde scène des Fourberies de Scapin. 4° Le
20,
Le Fagoteux : on sait que c’est le titre que
e c’est le titre que Molière donnait lui- même au Médecin malgré lui.
5°
Le 20 janvier 1664, Le Grand Benêt De Fils : ce c
t le titre que Molière donnait lui- même au Médecin malgré lui. 5° Le
20
janvier 1664, Le Grand Benêt De Fils : ce canevas
que Molière donnait lui- même au Médecin malgré lui. 5° Le 20 janvier
1664,
Le Grand Benêt De Fils : ce canevas pourrait bien
ourrait bien être le modèle du Thomas Diafoirus du Malade imaginaire.
6°
Le 27 avril. Gros-Rene Petit Enfant. 7° Le 26 mai
t bien être le modèle du Thomas Diafoirus du Malade imaginaire. 6° Le
27
avril. Gros-Rene Petit Enfant. 7° Le 26 mai, La C
afoirus du Malade imaginaire. 6° Le 27 avril. Gros-Rene Petit Enfant.
7°
Le 26 mai, La Casaque. 54. Depuis la mort tragi
s du Malade imaginaire. 6° Le 27 avril. Gros-Rene Petit Enfant. 7° Le
26
mai, La Casaque. 54. Depuis la mort tragique de
. 6° Le 27 avril. Gros-Rene Petit Enfant. 7° Le 26 mai, La Casaque.
54.
Depuis la mort tragique de Gros-Guillaume, Gargui
urlupin, et la perte de Bruscambille, qui mourut dans la même année.
55.
Le théâtre du Petit-Bourbon avait été construit d
l’emplacement qu’occupe aujourd’hui la colonnade du Louvre. (DESP.)
56.
Être obligé de la mettre au double à cause de la
es fût doublé, comme le pense un commentateur, mais qu’elle fut jouée
deux
fois par jour. C’était le seul moyen de répondre
e au désir de la foule. A cette époque, le spectacle commençait entre
trois
et quatre heures : deux représentations étaient d
r de la foule. A cette époque, le spectacle commençait entre trois et
quatre
heures : deux représentations étaient donc possib
cette époque, le spectacle commençait entre trois et quatre heures :
deux
représentations étaient donc possibles. 57. Comm
rois et quatre heures : deux représentations étaient donc possibles.
57.
Comment ose-t-on écrire que Molière n’a aucune pa
s animée sur la chasse, il trouva le sujet de la scène des Fâcheux ?
58.
Brossette, dans ses notes sur la septième épître
u second acte de la comédie. L’auteur d’une Vie de Molière, écrite en
1724,
dit que le duc de La Feuillade, outré de se voir
’a assuré l’avoir vu de ses propres yeux. »(Vie de Molière, écrite en
1724
). 59. Floridor entra dans la troupe du Marais e
l’avoir vu de ses propres yeux. »(Vie de Molière, écrite en 1724).
59.
Floridor entra dans la troupe du Marais en 1640.
re, écrite en 1724). 59. Floridor entra dans la troupe du Marais en
1640.
Il avait beaucoup de noblesse dans l’air et dans
et avait d’abord servi qualité d’enseigne. (Les Frères Parfait, tome
VIII
, page 221.) Une anecdote racontée par Boileau con
’abord servi qualité d’enseigne. (Les Frères Parfait, tome VIII, page
221.
) Une anecdote racontée par Boileau confirme tout
rôle à un autre acteur, et la pièce s’en trouva mieux. (Boléana, page
106.
) 60. Beauchâteau était gentilhomme. Il n’a jama
n autre acteur, et la pièce s’en trouva mieux. (Boléana, page 106.)
60.
Beauchâteau était gentilhomme. Il n’a jamais remp
Perce jusques au fond du cœur. Le fils de Beauchâteau fut célèbre à
huit
ans. On recueillit ses poésies sous le titre de M
lit ses poésies sous le titre de Muse naissante du jeune Beauchâteau,
1657.
Le poète Maynard orna ce recueil d’une préface. A
Beauchâteau, 1657. Le poète Maynard orna ce recueil d’une préface. A
onze
ans, Beauchâteau présenta son ouvrage à l’Académi
réface. A onze ans, Beauchâteau présenta son ouvrage à l’Académie ; à
quatorze
ans, il passa en Angleterre ; il s’embarqua ensui
, et depuis on n’a pas eu de ses nouvelles. (Les Frères Parfait, tome
IX
, page 411.) 61. L’Impromptu de Versailles fut
is on n’a pas eu de ses nouvelles. (Les Frères Parfait, tome IX, page
411.
) 61. L’Impromptu de Versailles fut joué en 16
pas eu de ses nouvelles. (Les Frères Parfait, tome IX, page 411.)
61.
L’Impromptu de Versailles fut joué en 1663. Il n
it, tome IX, page 411.) 61. L’Impromptu de Versailles fut joué en
1663.
Il ne peut donc être ici question de Mondory, mor
t joué en 1663. Il ne peut donc être ici question de Mondory, mort en
1651
: c’est Montfleury qu’il faut lire. Molière criti
t Molière d’avoir épousé sa fille, fut présentée à la fin de décembre
1663,
et le 28 février 1664, c’est-à-dire deux mois apr
avoir épousé sa fille, fut présentée à la fin de décembre 1663, et le
28
février 1664, c’est-à-dire deux mois après cette
é sa fille, fut présentée à la fin de décembre 1663, et le 28 février
1664,
c’est-à-dire deux mois après cette requête, le ro
sentée à la fin de décembre 1663, et le 28 février 1664, c’est-à-dire
deux
mois après cette requête, le roi de France tenait
d’Angleterre, le premier enfant de Molière, et lui donnait le nom de
Louis
. C’est ainsi que Louis XIV répondit toujours aux
Chapuzeau le cite comme un excellent comédien. (Voyez Chapuzeau, liv.
III
, pages 177 et 178 ; les Frères Parfait, tome VII,
e cite comme un excellent comédien. (Voyez Chapuzeau, liv. III, pages
177
et 178 ; les Frères Parfait, tome VII, pages 129
comme un excellent comédien. (Voyez Chapuzeau, liv. III, pages 177 et
178
; les Frères Parfait, tome VII, pages 129 et 130,
oyez Chapuzeau, liv. III, pages 177 et 178 ; les Frères Parfait, tome
VII
, pages 129 et 130, et les Mémoires de Louis Racin
eau, liv. III, pages 177 et 178 ; les Frères Parfait, tome VII, pages
129
et 130, et les Mémoires de Louis Racine, page 38.
v. III, pages 177 et 178 ; les Frères Parfait, tome VII, pages 129 et
130,
et les Mémoires de Louis Racine, page 38.) * Œuvr
it, tome VII, pages 129 et 130, et les Mémoires de Louis Racine, page
38.
) * Œuvres de J. Racine, avec les notes de tous le
38.) * Œuvres de J. Racine, avec les notes de tous les commentateurs,
1844,
t. VI, p. 123. 62. Ceci est un trait lancé cont
vres de J. Racine, avec les notes de tous les commentateurs, 1844, t.
VI
, p. 123. 62. Ceci est un trait lancé contre Bea
ine, avec les notes de tous les commentateurs, 1844, t. VI, p. 123.
62.
Ceci est un trait lancé contre Beaubourg, qui ava
les Mémoires de Baron, alors retiré du théâtre, mais qui y remonta en
1720.
63. On a ouï dire souvent à M. le président Mont
oires de Baron, alors retiré du théâtre, mais qui y remonta en 1720.
63.
On a ouï dire souvent à M. le président Montesqui
t sans doute le plan de cette pièce que Molière donna à Racine. (B.)
64.
Rotrou n’a point fait de Thébaïde ; il est auteur
r cette pièce, il y avait fait entrer, sans presque aucun changement,
deux
récits entiers tirés de l’Antigone de Rotrou, jou
angement, deux récits entiers tirés de l’Antigone de Rotrou, jouée en
1638.
Ces morceaux disparurent dans l’impression de la
. Ces morceaux disparurent dans l’impression de la Thébaïde, jouée en
1664.
Voilà à quoi il faut réduire tout ce que dit ici
en 1664. Voilà à quoi il faut réduire tout ce que dit ici Grimarest.
65.
Avocat, faisant des parodies, des romans, et d’au
ir le panégyriste du grand poète dont il avait été le zoïle. (DESP.)
66.
Nous avons déjà dit qu’Armande Béjart (femme Moli
t. (Voyez la Dissertation sur Pocquelin de Molière, par M. Beffara.)
67.
Les emportements de Madeleine Béjart sont vraisem
en sa qualité de sœur, comme le prouve le contrat porté plus haut.
68.
Cette femme, qui inspira une si forte passion à M
ux belles, on souffre tout des belles. » (Bourgeois gentilhomme, acte
III
, scène IX.) Élève de Molière, elle devint une exc
on souffre tout des belles. » (Bourgeois gentilhomme, acte III, scène
IX
.) Élève de Molière, elle devint une excellente ac
s qu’elle a de rôles différents. » (Entretiens galants, Paris, Ribou,
1681,
t. Il, page 91.) Grandval, le père, disait de mad
es différents. » (Entretiens galants, Paris, Ribou, 1681, t. Il, page
91.
) Grandval, le père, disait de madame Molière qu’e
quante et capable d’inspirer une grande passion. (Cizeron Rival, page
15,
et les Frères Parfait.) 69. La conversation suiv
une grande passion. (Cizeron Rival, page 15, et les Frères Parfait.)
69.
La conversation suivante, avec Chapelle, est extr
tissant toutefois qu’elle n’appartient pas à l’ouvrage de Grimarest.
70.
Cette critique portait le titre d’Observations su
que le sieur de Rochemont était appuyé par des personnes puissantes.
71.
Que cette anecdote soit vraie ou fausse, peu impo
le charlatanisme et l’ignorance doctorale des médecins de son temps.
72.
Ce Raisin devint un comédien excellent. Il joigna
ttaient à leur table. La cour et la ville se le disputaient. (Desp.)
73.
Le père et la mère de Baron étaient tous deux de
le disputaient. (Desp.) 73. Le père et la mère de Baron étaient tous
deux
de fort bons comédiens. Il est surprenant que Gri
t dans un livre dont le fils paraît avoir fourni les matériaux. Voici
deux
anecdotes assez piquantes. « La mère de Baron éta
raita le soir cette blessure comme une bagatelle ; mais quand il vit,
deux
jours après, que la gangrène faisait tout apprête
orta le lendemain. » (Lettres à mylord… sur Baron, par d’Allainval.)
74.
La pension était de 7,000 fr. L’époque où elle fu
ttres à mylord… sur Baron, par d’Allainval.) 74. La pension était de
7,000
fr. L’époque où elle fut donnée est digne de rema
Louis XIV répondit en comblant Molière de ses bienfaits. Déjà depuis
deux
ans Molière recevait une pension de 1,000 fr. que
e ses bienfaits. Déjà depuis deux ans Molière recevait une pension de
1,000
fr. que le roi lui avait accordée après le succès
es, comme pour répondre aux nombreux détracteurs de ce chef-d’œuvre.
75.
Quoique comédien, Molière faisait toujours auprès
vait voulu faire à Molière, en parut fort mécontent. (Molierana, page
38.
) Voici une anecdote du même genre, et que le père
essa de lui faire des invitations. » (Mémoires de madame Campan, tome
III
, page 8.) 76. Elle se nommait Laforest. Boileau
i faire des invitations. » (Mémoires de madame Campan, tome III, page
8.
) 76. Elle se nommait Laforest. Boileau lui a don
re des invitations. » (Mémoires de madame Campan, tome III, page 8.)
76.
Elle se nommait Laforest. Boileau lui a donné une
roits n’y réussissaient point. » (Boileau, Réflexions critiques, page
182,
tome III des Œuvres) « Un jour Molière, pour épro
réussissaient point. » (Boileau, Réflexions critiques, page 182, tome
III
des Œuvres) « Un jour Molière, pour éprouver le g
e soutint que son maître n’avait point fait cet ouvrage. » (Bross.)
77.
Cette anecdote est douteuse. Il paraît, d’après l
e de la Comédie-Française, que l’Avare ne fut pas représenté avant le
9
septembre 1668. Il eut alors neuf représentations
die-Française, que l’Avare ne fut pas représenté avant le 9 septembre
1668.
Il eut alors neuf représentations, et onze deux m
l’Avare ne fut pas représenté avant le 9 septembre 1668. Il eut alors
neuf
représentations, et onze deux mois après. Ces pre
enté avant le 9 septembre 1668. Il eut alors neuf représentations, et
onze
deux mois après. Ces premières représentations, i
avant le 9 septembre 1668. Il eut alors neuf représentations, et onze
deux
mois après. Ces premières représentations, il est
ous n’y ayez pas ri du moins intérieurement. (Voyez le Bolaeana. page
104
) 78. Lisez : sa belle-sœur. 79. Il ne peut êtr
ayez pas ri du moins intérieurement. (Voyez le Bolaeana. page 104)
78.
Lisez : sa belle-sœur. 79. Il ne peut être quest
eurement. (Voyez le Bolaeana. page 104) 78. Lisez : sa belle-sœur.
79.
Il ne peut être question de Psyché, comme le croi
uestion de Psyché, comme le croit un commentateur. Baron était âgé de
treize
ans à l’époque du soufflet, et le ballet de Psych
ans à l’époque du soufflet, et le ballet de Psyché ne fut composé que
cinq
ans plus tard. Ce ne fut qu’après les aventures d
s années, que Baron remplit le rôle de l’Amour. Il était alors âgé de
dix-huit
ans. Il s’agit ici du rôle de Myrtil dans Mélicer
t ans. Il s’agit ici du rôle de Myrtil dans Mélicerte. (Voyez le tome
XV
de l’Histoire du théâtre français, par les frères
tome XV de l’Histoire du théâtre français, par les frères Parfait.)
80.
Voyez l’Histoire de la troupe de Molière. 81. Un
les frères Parfait.) 80. Voyez l’Histoire de la troupe de Molière.
81.
Un autre trait mérite d’être rapporté. Molière re
rès un instant de réflexion : tiens, mon ami, en voilà une autre. »
82.
C’est entre les mois de mars et d’octobre 1670 qu
en voilà une autre. » 82. C’est entre les mois de mars et d’octobre
1670
que le public déserta le théâtre de Molière pour
ramouche. La longue absence de cet acteur, qui resta en Italie depuis
1667
jusqu’au commencement de 1670, explique l’empress
cet acteur, qui resta en Italie depuis 1667 jusqu’au commencement de
1670,
explique l’empressement du public. Le Bourgeois g
gentilhomme et la tragédie de Tite et Bérénice de Corneille, jouée le
28
novembre 1670, et dans laquelle Baron fit sa rent
et la tragédie de Tite et Bérénice de Corneille, jouée le 28 novembre
1670,
et dans laquelle Baron fit sa rentrée, ramenèrent
te la beauté de son action. » (Vie de Scaramouche, par Mezzetin, page
188.
) Voici un autre passage tiré du Ménagiana. « Scar
perdu une représentation de cet original italien. » (Ménagiana, tome
II
, page 404.) Enfin nous citerons encore ces parole
e représentation de cet original italien. » (Ménagiana, tome II, page
404.
) Enfin nous citerons encore ces paroles de Palapr
s les traits de Scaramouche ? » (Préface des Œuvres de Palaprat, page
40.
) Les études de Molière sur le jeu de Scaramouche
émoires et tous ceux qu’il a copiés. » (Voyez Zélinde, comédie, scène
VIII
, page 90, un volume in-12, imprimé en 1663.) 83
tous ceux qu’il a copiés. » (Voyez Zélinde, comédie, scène VIII, page
90,
un volume in-12, imprimé en 1663.) 83. Voici ce
ez Zélinde, comédie, scène VIII, page 90, un volume in-12, imprimé en
1663.
) 83. Voici ce que raconte un auteur contemporai
e, comédie, scène VIII, page 90, un volume in-12, imprimé en 1663.)
83.
Voici ce que raconte un auteur contemporain de l’
aimables et joyeux convives. « Molière, dit-il, ce grand comédien, et
mille
fois encore plus grand auteur, vivait d’une étroi
s étaient bons acteurs et fort honnêtes gens : il y en avait toujours
deux
ou trois des meilleurs à nos soupers. Molière en
t bons acteurs et fort honnêtes gens : il y en avait toujours deux ou
trois
des meilleurs à nos soupers. Molière en était sou
ui donnait ; et il me semble fort, sans oser pourtant l’assurer après
quarante
ans, d’avoir ouï dire à Molière en parlant avec D
diverses. (Voyez la Préface de Palaprat à la tête de ses Œuvres, page
30.
) 84. Voyez l’Histoire de la troupe de Molière, à
es. (Voyez la Préface de Palaprat à la tête de ses Œuvres, page 30.)
84.
Voyez l’Histoire de la troupe de Molière, à la su
84. Voyez l’Histoire de la troupe de Molière, à la suite de la Vie.
85.
Cette pièce ancienne, mais raccommodée par Madele
ainsi qu’on le voit dans une note du registre de La Grange, datée du
30
janvier 1660, portait le titre de Don Quixote, ou
n le voit dans une note du registre de La Grange, datée du 30 janvier
1660,
portait le titre de Don Quixote, ou les Enchantem
on Quixote, ou les Enchantements de Merlin. Guérin de Bouscal a donné
deux
comédies en cinq actes, sous ce titre. Il est pro
s Enchantements de Merlin. Guérin de Bouscal a donné deux comédies en
cinq
actes, sous ce titre. Il est probable que Madelei
titre. Il est probable que Madeleine Béjart avait retouché une de ces
deux
pièces. 86. Auteuil était alors le rendez-vous
robable que Madeleine Béjart avait retouché une de ces deux pièces.
86.
Auteuil était alors le rendez-vous de tous les am
trémousser, ils n’effaceront pas le bonhomme . Nous avons réuni ces
trois
anecdotes pour donner une idée de la société de M
us heureuses inspirations. (Voyez Mémoires sur la vie de Racine, page
68
; Vie de Molière, écrite en 1724 ; Commentaires d
ez Mémoires sur la vie de Racine, page 68 ; Vie de Molière, écrite en
1724
; Commentaires de Brossette sur la quatrième sati
; Commentaires de Brossette sur la quatrième satire de Boileau, tome
V
, page 30, et tome IV, page 44.) 87. Rohault, cé
ntaires de Brossette sur la quatrième satire de Boileau, tome V, page
30,
et tome IV, page 44.) 87. Rohault, célèbre phys
rossette sur la quatrième satire de Boileau, tome V, page 30, et tome
IV
, page 44.) 87. Rohault, célèbre physicien, aute
sur la quatrième satire de Boileau, tome V, page 30, et tome IV, page
44.
) 87. Rohault, célèbre physicien, auteur de plus
quatrième satire de Boileau, tome V, page 30, et tome IV, page 44.)
87.
Rohault, célèbre physicien, auteur de plusieurs o
ervit de modèle au philosophe du Bourgeois gentilhomme ; il mourut en
1675.
Quant à Mignard, l’auteur se trompe sur l’époque
é qui s’établit entre ce grand peintre et Molière. Il y avait plus de
vingt-trois
ans que cette amitié existait. Molière fit la con
amitié existait. Molière fit la connaissance de Mignard à Avignon en
1657.
(Voyez la note page 14.) 88. Les convives que Gr
fit la connaissance de Mignard à Avignon en 1657. (Voyez la note page
14.
) 88. Les convives que Grimarest n’ose nommer éta
connaissance de Mignard à Avignon en 1657. (Voyez la note page 14.)
88.
Les convives que Grimarest n’ose nommer étaient J
r étaient Jonsac, Nantouillet, Lulli, Despréaux, et quelques autres.
89.
Voltaire a voulu jeter quelques doutes sur ce fai
table. »(Voyez Œuvres de Jean Racine, édition de Lefèvre, tome Ier.)
90.
On trouve dans un auteur contemporain une anecdot
sur la musique des anciens, par l’abbé Châteauneuf, un volume in-12,
1725.
) 91. On a lu dans vingt écrits, et entre autres
musique des anciens, par l’abbé Châteauneuf, un volume in-12, 1725.)
91.
On a lu dans vingt écrits, et entre autres dans c
ns, par l’abbé Châteauneuf, un volume in-12, 1725.) 91. On a lu dans
vingt
écrits, et entre autres dans ceux de Voltaire, qu
outera foi aux faits et aux dates. La troupe de Molière ne jouait que
trois
fois par semaine le mercredi, le vendredi, et le
imanche. Le Tartuffe fut représenté pour la première fois le vendredi
5.
La défense arriva le lendemain 6, et c’est le dim
é pour la première fois le vendredi 5. La défense arriva le lendemain
6,
et c’est le dimanche 7 que devait se donner la se
le vendredi 5. La défense arriva le lendemain 6, et c’est le dimanche
7
que devait se donner la seconde représentation. I
in, puisqu’à dater du jour de la défense le théâtre fut fermé pendant
cinquante
jours, interruption qui ne fut point commandée pa
t pour cause le départ subit de La Grange et de La Thorillière. (A.)
92.
Ce Montmort n’était point le fameux parasite, mai
lain et avec les hommes les plus célèbres de son temps ; il mourut en
1679.
93. Nous rétablissons ici cette anecdote telle q
avec les hommes les plus célèbres de son temps ; il mourut en 1679.
93.
Nous rétablissons ici cette anecdote telle qu’ell
ns ici cette anecdote telle qu’elle se trouve dans le Ménagiana, tome
IV
, page 174. Le grand Condé avait pour Molière une
tte anecdote telle qu’elle se trouve dans le Ménagiana, tome IV, page
174.
Le grand Condé avait pour Molière une amitié tout
prince congédiait ceux qui étaient avec lui, et il était souvent des
trois
ou quatre heures avec Molière. On a entendu ce gr
ongédiait ceux qui étaient avec lui, et il était souvent des trois ou
quatre
heures avec Molière. On a entendu ce grand prince
u me présentes l’épitaphe n’est-il en état de faire la tienne ! (tome
II
, page 48.) 94. Ce fait est singulier, piquant ;
entes l’épitaphe n’est-il en état de faire la tienne ! (tome II, page
48.
) 94. Ce fait est singulier, piquant ; il plaît à
l’épitaphe n’est-il en état de faire la tienne ! (tome II, page 48.)
94.
Ce fait est singulier, piquant ; il plaît à notre
e ? le fait est faux, entièrement faux. Je sais que j’attaque ici une
centaine
de recueils d’anecdotes, et autant d’ouvrages de
t-à-dire dans la saison la plus défavorable aux spectacles, et il eut
vingt
et une représentations consécutives dont il fit s
tions, dont le nombre suffisait alors pour constater un plein succès,
quatre
des dernières seulement n’atteignirent pas tout à
it été soutenu par le Médecin malgré lui, cette dernière pièce, jouée
six
jours après qu’on eut cessé de jouer la première,
e, jouée six jours après qu’on eut cessé de jouer la première, le fut
onze
fois de suite avec d’autres ouvrages ; après quoi
e, le fut onze fois de suite avec d’autres ouvrages ; après quoi, les
deux
pièces furent données ensemble, et ne le furent q
ès quoi, les deux pièces furent données ensemble, et ne le furent que
cinq
fois. Ainsi croule de tout côté la petite fable b
succès à Paris avant d’être jouée à la cour. » (Mémoires de Dangeau,
10
mai 1690.) 95. Elle ne fut réimprimée qu’en 1682
à Paris avant d’être jouée à la cour. » (Mémoires de Dangeau, 10 mai
1690.
) 95. Elle ne fut réimprimée qu’en 1682, et on ne
avant d’être jouée à la cour. » (Mémoires de Dangeau, 10 mai 1690.)
95.
Elle ne fut réimprimée qu’en 1682, et on ne la tr
(Mémoires de Dangeau, 10 mai 1690.) 95. Elle ne fut réimprimée qu’en
1682,
et on ne la trouve pas dans la seconde édition du
pte qu’il rendit des Femmes savantes. (Voyez le Mercure galant, année
1672.
) 96. Boileau disait que Molière, après avoir lu
rendit des Femmes savantes. (Voyez le Mercure galant, année 1672.)
96.
Boileau disait que Molière, après avoir lu le Mis
s la derrière main au Tartuffe, dont on ne connaissait encore que les
trois
premiers actes. Ce trait prouve la préférence qu’
trait prouve la préférence qu’il donnait à ce dernier ouvrage. (B.)
97.
On ignore le titre de ce livre. 98. Les trois pr
nait à ce dernier ouvrage. (B.) 97. On ignore le titre de ce livre.
98.
Les trois premiers actes du Tartuffe furent joués
e dernier ouvrage. (B.) 97. On ignore le titre de ce livre. 98. Les
trois
premiers actes du Tartuffe furent joués le 12 mai
e ce livre. 98. Les trois premiers actes du Tartuffe furent joués le
12
mai 1664, à la sixième journée des Plaisirs de l’
vre. 98. Les trois premiers actes du Tartuffe furent joués le 12 mai
1664,
à la sixième journée des Plaisirs de l’Ile enchan
hantée ; mais la représentation de la pièce entière n’eut lieu que le
5
août 1667. Ainsi Grimarest se trompe lorsqu’il di
; mais la représentation de la pièce entière n’eut lieu que le 5 août
1667.
Ainsi Grimarest se trompe lorsqu’il dit que le Ta
thrope et le Médecin malgré lui, qui furent représentés dans l’été de
1666.
(Desp.) 99. On sait que les ennemis de Molière
ecin malgré lui, qui furent représentés dans l’été de 1666. (Desp.)
99.
On sait que les ennemis de Molière voulurent pers
anthrope ! c’est un honnête homme ! » (Vie du duc de Montausier, tome
II
, p. 129.) Dangeau rapporte cette anecdote avec de
ant moins de foi, qu’il n’a consigné ce récit dans ses Mémoires qu’en
1690,
à l’époque de la mort du duc de Montausier, c’est
690, à l’époque de la mort du duc de Montausier, c’est-à-dire plus de
vingt-quatre
ans après la première représentation du Misanthro
ans le personnage d’Alceste (Voyez le commentaire du Misanthrope.)
100.
Molière ne se rendait pas toujours aux conseils q
ois véritablement content. » (Œuvres de Boileau, par Saint-Marc, tome
I
, page 49.) Ce qui doit faire admirer encore plus
tablement content. » (Œuvres de Boileau, par Saint-Marc, tome I, page
49.
) Ce qui doit faire admirer encore plus la modesti
ie de Molière, c’est qu’il tint ce discours dans la même année où les
trois
premiers actes du Tartuffe furent joués à la cour
ù les trois premiers actes du Tartuffe furent joués à la cour. (B.)
101.
Les ennemis de Molière confondaient à dessein le
ui se trouvent répétés plusieurs fois dans le cours de cet ouvrage.
102.
Madame Dacier fit une dissertation pour prouver q
aire une comédie des femmes savantes, elle supprima sa dissertation. (
V.
) – Ceci est une erreur qui a passé, comme beaucou
e beaucoup d’autres, à la faveur du nom de Voltaire. Ce fut seulement
dix
ans après la mort de Molière, en 1683, que madame
om de Voltaire. Ce fut seulement dix ans après la mort de Molière, en
1683,
que madame Dacier publia sa traduction des trois
mort de Molière, en 1683, que madame Dacier publia sa traduction des
trois
comédies de Plaute, avec une dissertation sur Amp
médie latine. Mademoiselle Lefèvre (depuis madame Dacier) n’avait que
dix-sept
ans à l’époque où l’Amphitryon de Molière fut rep
ue où l’Amphitryon de Molière fut représenté pour la première fois.
103.
Voyez l’Histoire de la troupe de Molière à la sui
la troupe de Molière à la suite de ces Mémoires. La Grange publia en
1682
une édition des Œuvres de Molière, et il se permi
autres celui de l’Avare, du Tartuffe, et des Fourberies de Scapin.
104.
Champmêlé entra dans la troupe de Molière, réunie
ampmêlé entra dans la troupe de Molière, réunie à celle du Marais, en
1679,
c’est-à-dire environ six ans après la mort de Mol
e de Molière, réunie à celle du Marais, en 1679, c’est-à-dire environ
six
ans après la mort de Molière. 105. L’admirable t
ais, en 1679, c’est-à-dire environ six ans après la mort de Molière.
105.
L’admirable talent de Molière comme acteur fut cé
ectures de leurs mouvements naturels. » Voyez le Mercure galant, tome
IV
, première année, page 302. Il est aussi parlé du
ts naturels. » Voyez le Mercure galant, tome IV, première année, page
302.
Il est aussi parlé du talent de Molière comme act
ssi parlé du talent de Molière comme acteur dans Cizeron Rival, page.
17,
et dans le Boléana et le Mercure de France, mai 1
eron Rival, page. 17, et dans le Boléana et le Mercure de France, mai
1740.
106. Il y a peu de naturel et peu d’esprit dans
val, page. 17, et dans le Boléana et le Mercure de France, mai 1740.
106.
Il y a peu de naturel et peu d’esprit dans cette
int ainsi qu’après de longues années se passe la première entrevue de
deux
amis de collège. 107. Cette conversation de Moli
ongues années se passe la première entrevue de deux amis de collège.
107.
Cette conversation de Molière et l’histoire du Ta
les Mémoires pour servir à la vie de Chapelle, par Saint-Marc, pages
71
et 74.) 108. M. Despréaux. 109. Louis Racine ra
émoires pour servir à la vie de Chapelle, par Saint-Marc, pages 71 et
74.
) 108. M. Despréaux. 109. Louis Racine raconte a
s pour servir à la vie de Chapelle, par Saint-Marc, pages 71 et 74.)
108.
M. Despréaux. 109. Louis Racine raconte aussi ce
ie de Chapelle, par Saint-Marc, pages 71 et 74.) 108. M. Despréaux.
109.
Louis Racine raconte aussi cette anecdote. (Voyez
i cette anecdote. (Voyez les Mémoires sur la vie de Jean Racine, tome
I
des Œuvres de Racine, édition de Lefèvre, 1844.)
vie de Jean Racine, tome I des Œuvres de Racine, édition de Lefèvre,
1844.
) 110. L’auteur désigne ici mademoiselle de Brie.
Jean Racine, tome I des Œuvres de Racine, édition de Lefèvre, 1844.)
110.
L’auteur désigne ici mademoiselle de Brie. Voyez
oyez l’Histoire de la troupe de Molière, à la suite de ces Mémoires.
111.
Ce La Barre était musicien. La Fontaine l’a placé
chants mélodieux dans son Épître sur l’Opéra, adressée à M. de Niert,
1677.
Voilà tout ce que nous avons pu découvrir sur ce
rir sur ce rival de Molière. Quant à Florimont, il nous est inconnu.
112.
L’auteur de la Lettre critique sur la vie de Moli
nom en changeant d’état, et son nom nouveau ne nous est pas parvenu.
113.
C’est une opinion généralement répandue à Limoges
’il reçut dans cette ville, en composant sa comédie de Pourceaugnac.
114.
Rien ne pourrait justifier Molière d’avoir voulu
, ne voulant pas que le public pût se méprendre sur le dernier de ces
deux
personnages, il eut soin de se procurer un des vi
vieux habits de Cotin, et c’est avec cet habit que le rôle fut joué.
115.
Ce fut peu de temps après la représentation des F
aussitôt de bouche en bouche, mit le comble à la gloire de Molière.
116.
Ce grand seigneur était l’amiral de Brézé. (Voyez
l’amiral de Brézé. (Voyez le Tableau historique, par Taillefer, tome
II
, page 124.) 117. Voici à quelle occasion Molièr
de Brézé. (Voyez le Tableau historique, par Taillefer, tome II, page
124.
) 117. Voici à quelle occasion Molière se vengea
é. (Voyez le Tableau historique, par Taillefer, tome II, page 124.)
117.
Voici à quelle occasion Molière se vengea de Bens
ège exclusif de travailler aux ballets de la cour. La querelle de ces
deux
poètes vint donc de ce que Molière s’était ingéré
Amants magnifiques. Les vers critiqués par Benserade sont dans l’acte
III
, scène v. Ceux que Molière fit, à l’imitation de
dans le sixième. Ils furent ajoutés aux représentations suivantes.
118.
On croit que c’est Boileau de Puimorin. 119. Tou
sentations suivantes. 118. On croit que c’est Boileau de Puimorin.
119.
Tous ces faits manquent d’exactitude, et Louis Ra
e parle avec plus de vraisemblance de la justice que se rendaient ces
deux
grands hommes. « Alexandre, dit-il, fut joué d’ab
de l’hôtel de Bourgogne ; ce qui mortifia Molière, et causa entre eux
deux
un refroidissement qui dura toujours, quoiqu’ils
Retournez-y, et examinez-la mieux. » (Mémoires de Louis Racine, page
30.
Voyez aussi Boléana, page 104, le Furetierana pag
ieux. » (Mémoires de Louis Racine, page 30. Voyez aussi Boléana, page
104,
le Furetierana page 73, et les Lettres en vers de
s Racine, page 30. Voyez aussi Boléana, page 104, le Furetierana page
73,
et les Lettres en vers de Robinet, 20 décembre 16
page 104, le Furetierana page 73, et les Lettres en vers de Robinet,
20
décembre 1665 et 30 janvier 1666.) 120. Grimares
e Furetierana page 73, et les Lettres en vers de Robinet, 20 décembre
1665
et 30 janvier 1666.) 120. Grimarest oublie ici c
erana page 73, et les Lettres en vers de Robinet, 20 décembre 1665 et
30
janvier 1666.) 120. Grimarest oublie ici ce qu’i
73, et les Lettres en vers de Robinet, 20 décembre 1665 et 30 janvier
1666.
) 120. Grimarest oublie ici ce qu’il a dit plus h
es Lettres en vers de Robinet, 20 décembre 1665 et 30 janvier 1666.)
120.
Grimarest oublie ici ce qu’il a dit plus haut des
ins de Molière, et du souci que lui donnait la conduite de sa femme.
121.
Deux mois avant la mort de Molière, M. Despréaux
e Molière, et du souci que lui donnait la conduite de sa femme. 121.
Deux
mois avant la mort de Molière, M. Despréaux alla
! Cela montre bien le peu que sont les hommes. (Mégania et Boléana.)
122.
Molière ne composa que le prologue, le premier ac
eprit tout ce qu’il avait prêté à Molière. (Vie de Molière, écrite en
1724.
) 123. Molière est mort dans la maison qu’il habi
ut ce qu’il avait prêté à Molière. (Vie de Molière, écrite en 1724.)
123.
Molière est mort dans la maison qu’il habitait ru
e et Richelieu ; c’est en face de cette maison, aujourd’hui numérotée
34,
que la ville de Paris vient d’élever un monument
tée 34, que la ville de Paris vient d’élever un monument à Molière.
124.
Molière n’avait que cinquante-un ans un mois et d
ent à Molière. 124. Molière n’avait que cinquante-un ans un mois et
deux
jours lorsque la France le perdit. Un de ses cont
s qu’ils représentaient . (Perrault, Éloge des hommes illustres, page
79.
) * Le Théâtre Français, divisé en trois livres, p
loge des hommes illustres, page 79.) * Le Théâtre Français, divisé en
trois
livres, par Chapusault, p. 196 ; in-18. Lyon, 167
ançais, divisé en trois livres, par Chapusault, p. 196 ; in-18. Lyon,
1673.
125. La fille que Molière avait eue de son mari
divisé en trois livres, par Chapusault, p. 196 ; in-18. Lyon, 1673.
125.
La fille que Molière avait eue de son mariage ave
orts à Argenteuil près de Paris, sans postérité. (Cizeron-Rival, page
14.
) 126. Voici une anecdote peu connue, trouvée ma
Argenteuil près de Paris, sans postérité. (Cizeron-Rival, page 14.)
126.
Voici une anecdote peu connue, trouvée manuscrite
it dépendait du ministère de M. l’archevêque. » (Cizeron-Rival, pages
23
et 24.) Ajoutons ici que le roi fit donner au pré
endait du ministère de M. l’archevêque. » (Cizeron-Rival, pages 23 et
24.
) Ajoutons ici que le roi fit donner au prélat les
monseigneur l’illustrissime et révérendissime archevêque de Paris. Du
17
février 1673. Supplie humblement Élisabeth-Claire
l’illustrissime et révérendissime archevêque de Paris. Du 17 février
1673.
Supplie humblement Élisabeth-Claire-Grasinde Béja
disant que vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février
mille
six cent soixante-treize, sur les neuf heures du
t que vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février mille
six
cent soixante-treize, sur les neuf heures du soir
e vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février mille six
cent
soixante-treize, sur les neuf heures du soir, led
dredi dernier, dix-septième du présent mois de février mille six cent
soixante-treize
, sur les neuf heures du soir, ledit feu sieur de
me du présent mois de février mille six cent soixante-treize, sur les
neuf
heures du soir, ledit feu sieur de Molière s’étan
he sa paroisse, lesquels s’adressèrent à messieurs Lenfant et Lechat,
deux
prêtres habituez en la dite paroisse, qui refusèr
sentiment d’un bon chrétien, ainsi qu’il l’a témoigné en présence de
deux
dames religieuses, demeurant en la même maison, d
Fait à Paris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février
mille
six cent soixante-treize. Signé, ARCHEVÊQUE DE
à Paris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mille
six
cent soixante-treize. Signé, ARCHEVÊQUE DE PARI
ris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mille six
cent
soixante-treize. Signé, ARCHEVÊQUE DE PARIS. »
dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mille six cent
soixante-treize
. Signé, ARCHEVÊQUE DE PARIS. » Extrait des r
aroisse, à condition néanmoins que ce sera sans aucune pompe, et avec
deux
prêtres seulement et hors des heures du jour, et
s selon leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil
six
cent soixante-treize. Ainsi signé, ARCHEVEQUE D
lon leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil six
cent
soixante-treize. Ainsi signé, ARCHEVEQUE DE PAR
eur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil six cent
soixante-treize
. Ainsi signé, ARCHEVEQUE DE PARIS. Et au-dess
la Béjart, cet Aubry aurait été son oncle, et non son beau-frère.
127.
« La veuve de Molière fit porter une grande tomb
n plaça au milieu du cimetière de Saint-Joseph, où on la voit encore (
1732
). Cette pierre est fendue par le milieu ; ce qui
né par une action très belle et très remarquable de cette demoiselle.
Deux
ou trois ans après la mort de Molière, il y eut u
ne action très belle et très remarquable de cette demoiselle. Deux ou
trois
ans après la mort de Molière, il y eut un hiver t
la mort de Molière, il y eut un hiver très froid ; elle fit voiturer
cent
voies de bois dans ledit cimetière, lequel bois f
pauvres du quartier : la grande chaleur du feu ouvrit cette pierre en
deux
. Voilà ce que j’ai appris, il y a environ vingt a
ouvrit cette pierre en deux. Voilà ce que j’ai appris, il y a environ
vingt
ans, d’un ancien chapelain de Saint-Joseph, qui m
à la maison du chapelain. » (Titon du Tillet, Parnasse français, page
320.
) 128. L’enterrement fut fait par deux prêtres q
son du chapelain. » (Titon du Tillet, Parnasse français, page 320.)
128.
L’enterrement fut fait par deux prêtres qui accom
llet, Parnasse français, page 320.) 128. L’enterrement fut fait par
deux
prêtres qui accompagnèrent le corps sans chanter.
a mérité des autels ! » C’est ainsi que M. de Brossette explique ces
deux
vers de Boileau dans sa septième épître : Avant
jamais sous la tombe eût enfermé Molière. (Vie de Molière, écrite en
1724
). 129. Le nom d’Élomire est l’anagramme de celu
us la tombe eût enfermé Molière. (Vie de Molière, écrite en 1724).
129.
Le nom d’Élomire est l’anagramme de celui de Moli
Molière, dont nous avons fait usage dans les notes de cet ouvrage.
130.
Ces vers de Boileau, j’en demande pardon à ce sév
es ceux qui excellent dans une autre ; mais qu’enfin l’exemple de ces
deux
célèbres anciens prouve qu’il y a deux manières d
mais qu’enfin l’exemple de ces deux célèbres anciens prouve qu’il y a
deux
manières de traiter la comédie. On ne saurait don
On ne saurait donner trop de louanges à Molière d’avoir su réunir ces
deux
manières différentes aussi parfaitement et avec t
té sur le génie de Molière. (Voyez les Œuvres de J.-B. Rousseau, tome
V
, page 321, édition de Lefèvre.) 131. Molière ne
e génie de Molière. (Voyez les Œuvres de J.-B. Rousseau, tome V, page
321,
édition de Lefèvre.) 131. Molière ne nous a con
es Œuvres de J.-B. Rousseau, tome V, page 321, édition de Lefèvre.)
131.
Molière ne nous a conservé qu’un seul morceau de
s la scène v du deuxième acte du Misanthrope. Brossette raconte qu’en
1664,
Boileau, étant chez M. du Broussin avec le duc de
comme lui. » Ce fait prouve que Molière travaillait au Misanthrope en
1664.
132. Les Mémoires de d’Assoucy le font aimer et
ui. » Ce fait prouve que Molière travaillait au Misanthrope en 1664.
132.
Les Mémoires de d’Assoucy le font aimer et le fon
ans les poésies de Chapelle, dont d’Assoucy fut l’ami et la victime.
133.
Sans doute en 1662, puisqu’il joua à la première
Chapelle, dont d’Assoucy fut l’ami et la victime. 133. Sans doute en
1662,
puisqu’il joua à la première représentation de l’
, puisqu’il joua à la première représentation de l’École des Femmes.
134.
Lettres sur Baron, par Dallainval. 135. Mélang
ion de l’École des Femmes. 134. Lettres sur Baron, par Dallainval.
135.
Mélanges de Cizeron-Rival, page 47. 136. Voyez
res sur Baron, par Dallainval. 135. Mélanges de Cizeron-Rival, page
47.
136. Voyez Mercure de France, mai 1840, page 847
ur Baron, par Dallainval. 135. Mélanges de Cizeron-Rival, page 47.
136.
Voyez Mercure de France, mai 1840, page 847. 137
élanges de Cizeron-Rival, page 47. 136. Voyez Mercure de France, mai
1840,
page 847. 137. Frères Parfait, tome XII, page 4
Cizeron-Rival, page 47. 136. Voyez Mercure de France, mai 1840, page
847.
137. Frères Parfait, tome XII, page 471. 138.
n-Rival, page 47. 136. Voyez Mercure de France, mai 1840, page 847.
137.
Frères Parfait, tome XII, page 471. 138. Mercu
ez Mercure de France, mai 1840, page 847. 137. Frères Parfait, tome
XII
, page 471. 138. Mercure de France, mai 1740, pa
de France, mai 1840, page 847. 137. Frères Parfait, tome XII, page
471.
138. Mercure de France, mai 1740, page 846. 13
ance, mai 1840, page 847. 137. Frères Parfait, tome XII, page 471.
138.
Mercure de France, mai 1740, page 846. 139. Rac
7. Frères Parfait, tome XII, page 471. 138. Mercure de France, mai
1740,
page 846. 139. Racine. 140. Mignard. 141. Frè
Parfait, tome XII, page 471. 138. Mercure de France, mai 1740, page
846.
139. Racine. 140. Mignard. 141. Frères Parfai
t, tome XII, page 471. 138. Mercure de France, mai 1740, page 846.
139.
Racine. 140. Mignard. 141. Frères Parfait, tom
age 471. 138. Mercure de France, mai 1740, page 846. 139. Racine.
140.
Mignard. 141. Frères Parfait, tome X, page 367.
Mercure de France, mai 1740, page 846. 139. Racine. 140. Mignard.
141.
Frères Parfait, tome X, page 367.
0, page 846. 139. Racine. 140. Mignard. 141. Frères Parfait, tome
X
, page 367.
846. 139. Racine. 140. Mignard. 141. Frères Parfait, tome X, page
367.
ou d’un Auger. Cette espèce de fascination que Molière exerce encore,
deux
siècles après sa mort, sur la littérature françai
a ressentit plus vivement que nul autre de ses contemporains. Il y a
vingt
ans que notre regretté confrère publiait sous ce
Eudore Soulié publiait ses Recherches sur Molière et sur sa famille.
Soixante-quinze
documents authentiques, entièrement inédits, vena
rincipaux collaborateurs de sa vie domestique ou littéraire. C’était,
quarante
ans après les découvertes de Beffara, une révolut
ntes des rêves aventureux, il suffirait de s’arrêter à un point entre
dix
, par exemple celui-ci. Claire-Armande-Grésinde-E
fille légitime de Joseph Béjart et de Marie Hervé, comme l’attestent
vingt
actes authentiques, ou bien la fille clandestine
, à tout le moins bien invraisemblable. Madame Molière étant née vers
1641
ou 1642, sa mère officielle, née en 1590, l’aurai
le moins bien invraisemblable. Madame Molière étant née vers 1641 ou
1642,
sa mère officielle, née en 1590, l’aurait mise au
adame Molière étant née vers 1641 ou 1642, sa mère officielle, née en
1590,
l’aurait mise au monde à cinquante-trois ans. L’o
41 ou 1642, sa mère officielle, née en 1590, l’aurait mise au monde à
cinquante-trois
ans. L’objection semblait spécieuse sinon pérempt
fécondité surannée d’une femme quinquagénaire demeurée stérile depuis
quatorze
ans. Cela se pouvait soutenir autrefois, mais voi
quatorze ans. Cela se pouvait soutenir autrefois, mais voici que, en
1867,
Jal produit l’acte de baptême de l’avant dernier
nt de Marie Hervé : c’est une fille, nommée Bénigne-Madeleine, née le
20
novembre 1639. L’argument disparaît, puisque l’in
Hervé : c’est une fille, nommée Bénigne-Madeleine, née le 20 novembre
1639.
L’argument disparaît, puisque l’intervalle entre
ion de Claire-Armande-Grésinde-Élisabeth, sa sœur puînée, se réduit à
dix-huit
mois ou deux ans tout au plus. D’ailleurs, au poi
ande-Grésinde-Élisabeth, sa sœur puînée, se réduit à dix-huit mois ou
deux
ans tout au plus. D’ailleurs, au point de départ
eur, occupât une place dans le cœur de Madeleine Béjart, son aînée de
quatre
ans par l’âge, mais bien plus encore par sa situa
une épaisse obscurité, qu’il serait bien tentant de dissiper, sur ces
cinq
années de 1638 à 1643, prologue mystérieux de la
curité, qu’il serait bien tentant de dissiper, sur ces cinq années de
1638
à 1643, prologue mystérieux de la longue associat
qu’il serait bien tentant de dissiper, sur ces cinq années de 1638 à
1643,
prologue mystérieux de la longue association de M
de d’une manière si curieuse avec la fondation de l’illustre Théâtre (
30
juin 1643). Les preuves abondent que le comte de
manière si curieuse avec la fondation de l’illustre Théâtre (30 juin
1643
). Les preuves abondent que le comte de Modène véc
ît être Armande, est constatée par une requête au lieutenant civil du
10
mars 1643 ; or, à cette époque, Molière, on n’en
Armande, est constatée par une requête au lieutenant civil du 10 mars
1643
; or, à cette époque, Molière, on n’en saurait do
aurait, à tout le moins, épousé la fille ou la sœur de sa maîtresse,
deux
cas sociaux qui, pour n’être pas sans exemple, ne
rales d’un homme de génie, essayèrent de le déshonorer après sa mort.
II
est cependant des traditions contre lesquelles on
d’Arnolphe dans une comédie assurément contemporaine de son mariage (
20
février 1662), puisqu’elle fut représentée quelqu
dans une comédie assurément contemporaine de son mariage (20 février
1662
), puisqu’elle fut représentée quelques mois après
e (20 février 1662), puisqu’elle fut représentée quelques mois après (
26
décembre) ? On ne se bafoue pas soi-même, on ne s
arre, qu’il avait écrit étant encore garçon, qu’il fit représenter le
4
février 1661, juste une année avant son mariage,
l avait écrit étant encore garçon, qu’il fit représenter le 4 février
1661,
juste une année avant son mariage, et qu’il jouai
er 1661, juste une année avant son mariage, et qu’il jouait encore le
4
novembre 1663, moins de trois ans avant le Misant
ste une année avant son mariage, et qu’il jouait encore le 4 novembre
1663,
moins de trois ans avant le Misanthrope. Enfin, f
vant son mariage, et qu’il jouait encore le 4 novembre 1663, moins de
trois
ans avant le Misanthrope. Enfin, faudra-t-il souf
. Il est temps d’en revenir aux Études d’Édouard Fournier, écrites de
1858
à 1878 ; la biographie et la légende de Molière n
t temps d’en revenir aux Études d’Édouard Fournier, écrites de 1858 à
1878
; la biographie et la légende de Molière n’occupe
tré, il ressent vivement les fautes des interprètes : « Depuis tantôt
deux
siècles », dit-il, « que cette comédie occupe le
bien fleuri du pied-plat tout enflammé non moins de luxure que des «
quatre
grands coups de vin » dont Tartuffe avait coutume
Montespan, lorsqu’il écrivait sa pièce au plus tard dans l’automne de
1667,
c’est-à-dire au moment où mademoiselle de la Vall
ues mois, mettait au jour, au château royal de Saint-Germain-en-Laye (
2
octobre 1667), son troisième enfant, légitimé de
mettait au jour, au château royal de Saint-Germain-en-Laye (2 octobre
1667
), son troisième enfant, légitimé de France sous l
comique. Les Poquelins à Bordeaux, la montre de Molière, le Jubilé de
1873,
le Musée de Molière à la Comédie française, les I
. Auguste VITU. Première partie. Études sur la vie de Molière
I
- Le dossier de Molière1 Il ne s’agit pas mo
me, qui ne doive la plus vive reconnaissance à M. Eudore Soulié, dont
1’active
et lumineuse patience a pu retrouver, un à un, ch
ié, dont 1’active et lumineuse patience a pu retrouver, un à un, chez
quinze
ou vingt notaires, en des cartons perdus, les soi
’active et lumineuse patience a pu retrouver, un à un, chez quinze ou
vingt
notaires, en des cartons perdus, les soixante piè
r, un à un, chez quinze ou vingt notaires, en des cartons perdus, les
soixante
pièces environ, par lesquelles ce que l’on sait d
son intérêt, à ses enseignements. On voit là, de mieux en mieux, par
mille
petites lueurs nouvelles, combien son œuvre procè
eussent raison. Leur réplique victorieuse était écrite depuis tantôt
deux
siècles dans ces quelques lignes du premier biogr
a rue Saint-Honoré, qui fait le coin de celle des Vieilles-Étuves, le
15
janvier 1622. Les prétentions de la maison de la
-Honoré, qui fait le coin de celle des Vieilles-Étuves, le 15 janvier
1622.
Les prétentions de la maison de la rue de la Tonn
tôt, j’espère, si la maison elle-même n’est pas supprimée. A l’âge de
onze
ans, Poquelin perd sa mère, femme charmante, à ce
pas de plus riches : une montre à boîte d’or émaillé avec sa chaîne,
quatorze
anneaux d’or, une ceinture de pièces d’or, qui de
e parure ; mais le plus admirable de cet écrin de tapissière, ce sont
deux
bracelets de perles rondes, tant grosses que menu
ondes, tant grosses que menues, auxquels s’est trouvée la quantité de
mille
cinquante-quatre perles ! Ajoutez à tout cela une
tant grosses que menues, auxquels s’est trouvée la quantité de mille
cinquante-quatre
perles ! Ajoutez à tout cela une argenterie à l’a
emblable à la malle du Géronte des Fourberies de Scapin, on découvrit
deux
mille bonnes livres en pistoles, écus d’or et dou
ble à la malle du Géronte des Fourberies de Scapin, on découvrit deux
mille
bonnes livres en pistoles, écus d’or et douzains,
oquelin n’était pas homme à rester veuf, lors même qu’il n’eût pas eu
quatre
enfants sur les bras. Un nouveau mariage pouvait
it lui apporter une nouvelle dot. Il chercha et trouva vite. Un an et
vingt
jours après la mort de sa première femme, le 30 m
uva vite. Un an et vingt jours après la mort de sa première femme, le
30
mai 1633, il se remariait à la fille d’honorable
e. Un an et vingt jours après la mort de sa première femme, le 30 mai
1633,
il se remariait à la fille d’honorable homme Eust
pas remarié, semble nous en répondre, et. d’ailleurs, nous le voyons,
quatre
mois après, acheter, au prix de 8,500 livres, une
t. d’ailleurs, nous le voyons, quatre mois après, acheter, au prix de
8,500
livres, une maison sous les petits piliers des Ha
e dure loi de la tutelle, ou pour n’y obéir que le moins possible. Le
14
septembre 1634, il cède son fonds de commerce à s
la tutelle, ou pour n’y obéir que le moins possible. Le 14 septembre
1634,
il cède son fonds de commerce à son fils Jean, fr
able, ajoute-t-il, parlant de sa fille Madeleine, mariée alors depuis
trois
ans à André Boudet, le semblable étant observé pa
de ladite défunte leur mère. » De sa seconde femme, morte en couche,
trois
ans après son mariage, il lui était resté une fil
uiva habilement. Il fit de sa fille une religieuse. Lorsqu’il eut, en
1635,
donné 5,000 livres pour qu’elle prit le voile aux
ent. Il fit de sa fille une religieuse. Lorsqu’il eut, en 1635, donné
5,000
livres pour qu’elle prit le voile aux Visitandine
les Bernardines. M. Soulié se demande si ce n’est pas de l’un de ces
deux
couvents, qu’étaient venues les deux sœurs qui as
e si ce n’est pas de l’un de ces deux couvents, qu’étaient venues les
deux
sœurs qui assistèrent à l’agonie de Molière, et l
onde édition de son curieux volume. Je trouve cette anecdote, au tome
II
, page 102, de la Mosaïque historique de Dusaulcho
ion de son curieux volume. Je trouve cette anecdote, au tome II, page
102,
de la Mosaïque historique de Dusaulchoy, publiée
ome II, page 102, de la Mosaïque historique de Dusaulchoy, publiée en
1818
: « Il a, dit-il, existé à…, deux visitandines, q
istorique de Dusaulchoy, publiée en 1818 : « Il a, dit-il, existé à…,
deux
visitandines, qui se nommaient Poquelin, parentes
u’il y eût dans la famille de Molière Son frère Jean avait épousé, en
1656,
une jeune orpheline, Marie Maillard, que l’évêque
savait pas écrire, mais elle était riche ; elle avait apporté en dot
11,500
livres, qui formeraient aujourd’hui une somme de
pporté en dot 11,500 livres, qui formeraient aujourd’hui une somme de
57,000
francs environ. C’était assez pour que le père Po
rait jamais qu’un coureur de comédie, il lui donna la somme demandée,
630
livres, mais il exigea que dès lors il se dessais
it plus, que lorsqu’il lui fallut quelque autre argent. L’acte est du
6
janvier 1643. Nous avions dit, dans notre livre3,
ue lorsqu’il lui fallut quelque autre argent. L’acte est du 6 janvier
1643.
Nous avions dit, dans notre livre3, que Molière a
dû tout abandonner pour ses premiers essais de comédien, à la fin de
1642.
On voit que nous ne nous étions pas trompé. Quels
it alors de servir de Tabarin, subalterne à l’Orviétan ou à Bary, les
deux
grands opérateurs de la place Dauphine. Encore, B
ieux qu’elle les commencements de Poquelin. Dans les premiers mois de
1613,
elle était revenue à Paris, après une longue cour
près de lui des espérances de mariage, dont la naissance d’une fille,
quatre
ans auparavant, avait été le gage. Une autre fill
ar un acte que M. Soulié a retrouvé encore, Marie Hervé y renonça, le
10
mars 1013. Tout cela n’indique certes pas une gra
te que M. Soulié a retrouvé encore, Marie Hervé y renonça, le 10 mars
1013.
Tout cela n’indique certes pas une grande aisance
e aisance. Cependant, à la fin de cette même année, nous trouvons les
deux
sœurs Béjard associées, au risque et péril de ce
is avec le paveur des bâtiments du roi, Léonard Aubry, qui, moyennant
200
livres, s’engagea, par acte du 28 décembre 1643,
roi, Léonard Aubry, qui, moyennant 200 livres, s’engagea, par acte du
28
décembre 1643, à paver de neuf les avenues du tri
Aubry, qui, moyennant 200 livres, s’engagea, par acte du 28 décembre
1643,
à paver de neuf les avenues du tripot, impraticab
nnant 200 livres, s’engagea, par acte du 28 décembre 1643, à paver de
neuf
les avenues du tripot, impraticables sans cette p
ve à la troupe de Cardelin un danseur, Daniel Mallet, et, par acte du
28
juin 1644, on l’enrôle. Toute la troupe signe l’e
troupe de Cardelin un danseur, Daniel Mallet, et, par acte du 28 juin
1644,
on l’enrôle. Toute la troupe signe l’engagement,
ur de l’argent. Tous en sont là, dans la troupe. Clérin commence : le
17
septembre 1644, il se fait prêter 100 livres, par
t. Tous en sont là, dans la troupe. Clérin commence : le 17 septembre
1644,
il se fait prêter 100 livres, par le paveur Chant
la troupe. Clérin commence : le 17 septembre 1644, il se fait prêter
100
livres, par le paveur Chanteloup. Ce n’est qu’une
déloger, mais excellent moment pour tâter un nouveau public. Il faut
deux
choses indispensables : une salle, c’est-à-dire u
l’argent. On trouve l’un et l’autre. Un certain Fr. Pommier prête, le
17
décembre 1644, en deux obligations, 300 livres d’
trouve l’un et l’autre. Un certain Fr. Pommier prête, le 17 décembre
1644,
en deux obligations, 300 livres d’une part et 1,7
’un et l’autre. Un certain Fr. Pommier prête, le 17 décembre 1644, en
deux
obligations, 300 livres d’une part et 1,700 d’une
certain Fr. Pommier prête, le 17 décembre 1644, en deux obligations,
300
livres d’une part et 1,700 d’une autre, avec l’en
e, le 17 décembre 1644, en deux obligations, 300 livres d’une part et
1,700
d’une autre, avec l’engagement collectif de tous
es sociétaires, et sous la caution de Marie Hervé, qui garantit, pour
300
livres, ses deux filles et Molière. La caution n’
et sous la caution de Marie Hervé, qui garantit, pour 300 livres, ses
deux
filles et Molière. La caution n’est pas solide, e
0 livres, ses deux filles et Molière. La caution n’est pas solide, et
300
livres, ce n’est guère ; mais la troupe a promis,
u chanceux, et il faut bien du monde, pour faire une belle recette, à
cinq
sols par personne ! La troupe, en effet, ne compt
déjà dans le tripot des Métayers, et les représentations commencent.
Trois
mois après, tout va mal encore : on doit beaucoup
ouveau emprunter, et c’est Molière, cette fois, qui emprunte seul. Le
31
mars 1645, il est dans la maison de la Barre du T
mprunter, et c’est Molière, cette fois, qui emprunte seul. Le 31 mars
1645,
il est dans la maison de la Barre du Temple, sign
l est dans la maison de la Barre du Temple, signant une obligation de
291
livres à Jeanne Levé, marchande publique, entre l
de publique, entre les mains de laquelle il laisse comme nantissement
deux
magnifiques rubans de broderie d’or fin. Il est g
, pour peu qu’il l’observât, ce qu’il ne manquait jamais de faire. Le
2
août suivant, il ne rit plus, il est au Châtelet,
, où l’a fait emprisonner Antoine Staufler, marchand chandelier, pour
115
livres qu’il lui doit, puis pour 27 autres encore
ufler, marchand chandelier, pour 115 livres qu’il lui doit, puis pour
27
autres encore qui ont comblé la mesure ; Antoine
elâcher, quand survient Pommier, qui a obtenu contre lui sentence, le
10
mai précédent, pour les sommes par lui prêtées, e
ubry accourt alors à l’aide du pauvre homme aux abois. Une caution de
quarante
livres par semaine, pendant deux mois, suffirait
homme aux abois. Une caution de quarante livres par semaine, pendant
deux
mois, suffirait à Pommier : Aubry la donne. Moliè
t une si belle proie. Un linger, le sieur Dubourg, à qui Molière doit
155
livres, l’a recommandé, comme on dit, et le Châte
tte fois. Molière donne caution juratoire, et on le laisse sortir. Le
13
août, il comparaît devant les notaires Morel et L
Aubry de sa caution de complaisance. A partir de ce moment, on reste
six
ans au moins, sans le retrouver, de façon certain
moins, sans le retrouver, de façon certaine, à Paris. Au mois d’avril
1651,
il y reparaît pour donner à son père une quittanc
1651, il y reparaît pour donner à son père une quittance générale de
1,905
livres qui lui ont été données ou qui ont été pay
é données ou qui ont été payées pour lui. Peu de temps auparavant, le
15
janvier 1651, sa sœur s’était mariée ; il n’avait
u qui ont été payées pour lui. Peu de temps auparavant, le 15 janvier
1651,
sa sœur s’était mariée ; il n’avait pu être de la
agitations de sa vie, où commenceront les agitations de son âme. Vers
1650,
en passant par une ville du Languedoc, Nîmes peut
d’une façon victorieuse, on les esquiva clandestinement. Au lieu des
trois
bans publics exigés pour tous les mariages, on ob
que les églises, que repeuplera le carême, sont toutes désertes* vers
dix
heures du soir, et après que Molière était allé j
rès de la reine-mère, et, par elle, il alla jusqu’au roi. A la fin de
1663,
il avait fait tout le mal qu’il pouvait faire : «
e Hervé, qui vit chez ses enfants et aux frais de ses enfants, donner
10,000
livres, c’est-à-dire 50,000 francs d’aujourd’hui,
fants et aux frais de ses enfants, donner 10,000 livres, c’est-à-dire
50,000
francs d’aujourd’hui, à la mariée, qui passe pour
cu, lorsque Geneviève, sa vraie fille, se maria, et elle aurait donné
10,000
livres à Armande ! C’est insensé de le croire. Le
té amoureux de la comédienne Béjard, dont il a épousé la fille. »
II
- La famille et la jeunesse de Molière4 Il n
Fontaine,, qui nous venaient, l’un, d’une grande ville normande, les
deux
autres, de Picardie ou de Champagne, la province
ement le plus parfait. Je n’ai pas besoin de vous apprendre qu’il eut
deux
noms, dont le plus célèbre n’est pas celui de sa
e Quincampoix, on vendait les soieries et l’on faisait la banque. Ces
deux
sortes d’affaires s’associaient alors. L’un d’eux
t le frère avait été son compère : il avait tenu sur les fonds un des
vingt
et un enfants de Robert Poquelin. Qu’on ne s’éton
as du nombre. Dans plus d’une famille, en fourmillait un pareil. Chez
deux
autres de ces mêmes Poquelin, Louis et Jean-Bapti
le, en fourmillait un pareil. Chez deux autres de ces mêmes Poquelin,
Louis
et Jean-Baptiste, nous trouvons d’une part douze
ces mêmes Poquelin, Louis et Jean-Baptiste, nous trouvons d’une part
douze
enfants, et de l’autre seize. En 1717, chez un ce
Jean-Baptiste, nous trouvons d’une part douze enfants, et de l’autre
seize
. En 1717, chez un certain Dupérier, qui était ing
iste, nous trouvons d’une part douze enfants, et de l’autre seize. En
1717,
chez un certain Dupérier, qui était ingénieur, et
e, l’invention des pompes d’incendie, ce fut encore bien mieux. Marié
deux
fois, il eut trente et un enfants : dix-neuf de s
pompes d’incendie, ce fut encore bien mieux. Marié deux fois, il eut
trente
et un enfants : dix-neuf de sa première femme, do
fut encore bien mieux. Marié deux fois, il eut trente et un enfants :
dix-neuf
de sa première femme, douze de la seconde. Quoiqu
ux fois, il eut trente et un enfants : dix-neuf de sa première femme,
douze
de la seconde. Quoique les Poquelin de la branche
dont nous allons parler, et d’où était sorti Molière. Lorsque, il y a
cent
ans, en 1773, on fit, au Théâtre-Français, mais e
ons parler, et d’où était sorti Molière. Lorsque, il y a cent ans, en
1773,
on fit, au Théâtre-Français, mais en diminutif, c
même Jubilé si splendidement renouvelé et agrandi par M. Ballande, en
1873,
au Théâtre-Italien, on ne trouva pas un Poquelin,
pas un Poquelin, un vrai, pour y assister ! Le dernier était mort, le
11
mai précédent, à quatre-vingts ans. Il tenait à l
vrai, pour y assister ! Le dernier était mort, le 11 mai précédent, à
quatre-vingts
ans. Il tenait à la branche riche par je ne sais
compte, reconnu plus volontiers, et même avec une sorte de vanité. En
1769,
sur une invitation de l’Académie française, il ét
ancèrent, et avec succès. L’un d’eux, Louis Poquelin, obtint même, en
1580,
le titre de tapissier et valet de chambre près de
ièrement : il portait d’azur à un chevron d’or, accompagné en chef de
deux
gerbes de même, et en pointe d’un rocher d’argent
chant drôle, on disait un violon. Ceux même de la Chambre du roi, les
vingt-quatre
violons, comme on les appelait, n’étaient pas mie
les appelait, n’étaient pas mieux vus. Or, c’est la fille d’un de ces
vingt-quatre
, Agnès Mazuel, qu’un des Poquelin, le tapissier J
uatre, Agnès Mazuel, qu’un des Poquelin, le tapissier Jean, épousa en
1594.
Si, par ce mariage avec la fille d’un musicien, l
ut aussi tapissier, était né, un an après le mariage, c’est-à-dire en
1503,
et s’était marié à vingt-six ans, le 27 avril 162
né, un an après le mariage, c’est-à-dire en 1503, et s’était marié à
vingt-six
ans, le 27 avril 1621, sans qu’on eût, cette fois
e mariage, c’est-à-dire en 1503, et s’était marié à vingt-six ans, le
27
avril 1621, sans qu’on eût, cette fois, à se plai
, c’est-à-dire en 1503, et s’était marié à vingt-six ans, le 27 avril
1621,
sans qu’on eût, cette fois, à se plaindre d’une m
e plaindre d’une mésalliance. Marie Cressé, qui ne venait que d’avoir
vingt
ans, • quand il l’épousa, était, elle aussi d une
pas les aventures galantes, et par ses titres, Pierre Cressé, mort à
quatre-vingt-quatre
ans, maître de la Faculté de médecine, était de l
rédigé après sa mort, nous a révélé de ses habitudes. Pour chacun des
six
enfants qu’elle eut en onze années de ménage, et
a révélé de ses habitudes. Pour chacun des six enfants qu’elle eut en
onze
années de ménage, et dont Molière était l’aîné, e
n rang au-dessus du sien. C’est ainsi qu’elle donne, pour marraine, à
Louis
, son second fils, la femme « de noble homme Jehan
pour le compère à accepter. Le dernier qui fut parrain avec elle, le
15
septembre 1631, n’était pas moins que maître Anto
ère à accepter. Le dernier qui fut parrain avec elle, le 15 septembre
1631,
n’était pas moins que maître Antoine Forget, comm
; par malheur, elle ne put en jouir longtemps. Quand elle mourut, le
10
mai 1632, Jean Poquelin ne l’avait que depuis un
malheur, elle ne put en jouir longtemps. Quand elle mourut, le 10 mai
1632,
Jean Poquelin ne l’avait que depuis un peu plus d
t-être un peu Tartufe. Le père Poquelin, lors même qu’il n’eût pas eu
quatre
enfants sur les bras, n’aurait pas été homme à re
rter une dot nouvelle, il le chercha et le trouva très vite. Un an et
vingt
jours après la mort de sa première femme, dont, p
fût pas remarié, semble nous en répondre. Nous le voyons d’ailleurs,
quatre
mois après, acheter, au prix de 8,500 livres, la
re. Nous le voyons d’ailleurs, quatre mois après, acheter, au prix de
8,500
livres, la maison des petits piliers des Halles,
it à l’école. Sous la belle-mère, on l’en retira, quoiqu’il n’eût que
onze
ans et qu’il y fût certainement remarqué. Il lui
lut rester, chez son père, simple apprenti tapissier. Jusqu’à plus de
quatorze
ans, les témoignages sur ce point ne manquent pas
ervant la belle place aux fils qu’elle pourrait avoir. Elle n’eut que
deux
filles et mourut en donnant le jour à la seconde.
il lui fit donner la survivance de sa charge de tapissier du roi. Ces
deux
actes ont l’air, direz-vous, de se contrarier. Po
s le titre de tapissier du roi. Il y eut, sur cela, dispute entre les
deux
frères, pendant plus de six ans ; puis enfin, un
i. Il y eut, sur cela, dispute entre les deux frères, pendant plus de
six
ans ; puis enfin, un accord en 1637, de telle faç
e les deux frères, pendant plus de six ans ; puis enfin, un accord en
1637,
de telle façon que Jean Poquelin eut désormais, s
allait plus que l’amour ; son tour arriva. Un jour du mois de janvier
1643,
lorsque Jean-Baptiste Poquelin touchait à ses vin
u mois de janvier 1643, lorsque Jean-Baptiste Poquelin touchait à ses
vingt
et un ans, il demanda à son père six cents livres
ptiste Poquelin touchait à ses vingt et un ans, il demanda à son père
six
cents livres, à compte sur l’héritage de sa mère,
te Poquelin touchait à ses vingt et un ans, il demanda à son père six
cents
livres, à compte sur l’héritage de sa mère, sur s
comédien. C’était une aventurière de théâtre, plus vieille que lui de
quatre
ans au moins, qui. avait déjà compté bien des ami
autres Rotrou ; c’était Madeleine Béjard. A ce même moment de l’année
1643,
elle était revenue à Paris, après une longue cour
e, dont avait été le gage la naissance d’une fille, reconnue par lui,
quatre
ans auparavant. Qu’arriva-t-il de ses démarches d
tripots », pour les appeler de leur nom populaire. Nos comédiens de «
1’lllustre-Théâtre
» cherchèrent fortune de ce côté. Ils firent affa
as davantage, si bien que, de guerre lasse, il leur fallut, moyennant
deux
cents livres, stipulées dans un acte du 28 décemb
vantage, si bien que, de guerre lasse, il leur fallut, moyennant deux
cents
livres, stipulées dans un acte du 28 décembre 164
l leur fallut, moyennant deux cents livres, stipulées dans un acte du
28
décembre 1643, mettre en besogne, aux abords du j
t, moyennant deux cents livres, stipulées dans un acte du 28 décembre
1643,
mettre en besogne, aux abords du jeu de paume, le
en confrères et resta leur ami. Voilà les avenues du tripot pavées à
neuf
et enfin praticables. On peut entrer, mais on n’e
nlève Daniel Manet au théâtre de l’acrobate Cardelin, et, par acte du
24
juin 1644, on l’enrôle. Toute la troupe signe l’e
niel Manet au théâtre de l’acrobate Cardelin, et, par acte du 24 juin
1644,
on l’enrôle. Toute la troupe signe l’engagement,
ont là dans la troupe. Clérin, tout des premiers, a dû s’engager pour
cent
livres envers le paveur Chanteloup ; puis, vers l
même temps, les associés ont souscrit en masse une reconnaissance de
onze
cents livres à Louis Baulot, « maître d’hôtel du
temps, les associés ont souscrit en masse une reconnaissance de onze
cents
livres à Louis Baulot, « maître d’hôtel du roy ».
s que cette somme, pour payer leur loyer d’abord ; puis, pour acheter
deux
tragédies, dont leur répertoire, un peu trop dénu
vraison de sa tragédie de Scévole, qui restera de ses meilleures. Les
cent
livres prêtées à Clérin et les onze cents emprunt
ui restera de ses meilleures. Les cent livres prêtées à Clérin et les
onze
cents empruntées par toute la troupe, ne devaient
stera de ses meilleures. Les cent livres prêtées à Clérin et les onze
cents
empruntées par toute la troupe, ne devaient être
pour déloger, mais excellente pour tâter d’un nouveau public. Il faut
deux
choses indispensables : une salle, c’est-à-dire u
et dont les idées curieuses nous donneront beaucoup à dire, prête, le
17
décembre 1644, en deux obligations : d’une part,
idées curieuses nous donneront beaucoup à dire, prête, le 17 décembre
1644,
en deux obligations : d’une part, trois cents liv
ieuses nous donneront beaucoup à dire, prête, le 17 décembre 1644, en
deux
obligations : d’une part, trois cents livres, et,
à dire, prête, le 17 décembre 1644, en deux obligations : d’une part,
trois
cents livres, et, de l’autre, mille sept cents, a
, prête, le 17 décembre 1644, en deux obligations : d’une part, trois
cents
livres, et, de l’autre, mille sept cents, avec en
en deux obligations : d’une part, trois cents livres, et, de l’autre,
mille
sept cents, avec engagement collectif de tous les
igations : d’une part, trois cents livres, et, de l’autre, mille sept
cents
, avec engagement collectif de tous les sociétaire
les sociétaires, et caution de la mère des Béjard, qui garantit pour
trois
cents livres ses deux filles et Molière. La cauti
ociétaires, et caution de la mère des Béjard, qui garantit pour trois
cents
livres ses deux filles et Molière. La caution n’e
ution de la mère des Béjard, qui garantit pour trois cents livres ses
deux
filles et Molière. La caution n’est pas très soli
vres ses deux filles et Molière. La caution n’est pas très solide, et
trois
cents livres, ce n’est guère : la troupe doit don
es deux filles et Molière. La caution n’est pas très solide, et trois
cents
livres, ce n’est guère : la troupe doit donc prom
chanceux, et il faut bien du monde pour faire une belle recette, à «
cinq
sols » par personne ! La troupe, en effet, ne com
déjà dans le tripot des Métayers ; et les représentations commencent.
Trois
mois après, tout va de mal en pis. On doit beauco
t emprunter encore ; c’est Molière, cette fuis, qui emprunte seul. Le
31
mars 1645, il est dans la maison de la Barre du T
ter encore ; c’est Molière, cette fuis, qui emprunte seul. Le 31 mars
1645,
il est dans la maison de la Barre du Temple, sign
l est dans la maison de la Barre du Temple, signant une obligation de
deux
cent quatre-vingt-onze livres à Jeanne Levé, « ma
dans la maison de la Barre du Temple, signant une obligation de deux
cent
quatre-vingt-onze livres à Jeanne Levé, « marchan
la maison de la Barre du Temple, signant une obligation de deux cent
quatre-vingt-onze
livres à Jeanne Levé, « marchande publique », ent
ublique », entre les mains de laquelle il laisse, comme nantissement,
deux
magnifiques rubans de broderie d’or fin. Il est g
u qu’il s’observât lui-même, ce qu’il ne manquait jamais de faire. Le
2
août suivant, il ne rit plus : il est au Châtelet
ù l’a fait mettre en geôle Antoine Fausser, marchand chandelier, pour
cent
quinze livres qu’il lui doit, puis pour vingt-sep
fait mettre en geôle Antoine Fausser, marchand chandelier, pour cent
quinze
livres qu’il lui doit, puis pour vingt-sept autre
archand chandelier, pour cent quinze livres qu’il lui doit, puis pour
vingt-sept
autres encore, qui ont comblé la mesure ; il s’es
elâcher, quand survient Pommier, qui a obtenu contre lui sentence, le
10
mai précédent, pour les sommes à lui prêtées, et
ubry accourt alors au secours du malheureux aux abois. Une caution de
quarante
livres par semaine, pendant deux mois, suffirait
eureux aux abois. Une caution de quarante livres par semaine, pendant
deux
mois, suffirait à Pommier ; Aubry la donne. Moli
ussi belle proie. Un « linger », le sieur Dubourg, à qui Molière doit
cent
cinquante-cinq livres, l’a, comme on dit, recomma
belle proie. Un « linger », le sieur Dubourg, à qui Molière doit cent
cinquante-cinq
livres, l’a, comme on dit, recommandé, et, faisan
ute. Aussi, quelle transformation, lorsque Paris le retrouve, plus de
douze
ans après ! Il est parti vagabond, il revient gra
douze ans après ! Il est parti vagabond, il revient grand homme !
III
- Les amours de Molière Ce n’est pas l’auteur
nt, les bras s’enlacent ; la danse recommence avec la chanson, et les
deux
amoureux, fiancés par ce retour de tendresse, gag
teurs ne pouvaient rien sans lui, il fallait qu’il suspendit, pendant
deux
mois, ses représentations ! Ainsi, malade lui-mêm
jours lui. Il se faisait déjà vieux ; à cette dernière fois ; c’était
trois
ans avant sa mort, mais il n’avait rien désappris
s intarissable de colère et de dépit. Ainsi, malgré l’âge, malgré ses
quarante-huit
ans, il pouvait se croire encore un jeune amoureu
n du Bourgeois gentilhomme, qui fut, on le sait, donnée à Chambord en
1670,
à l’heure où Molière apportait, comme gage de que
manège de coquetterie. « Si, lisons-nous dans les Entretiens galants
5,
livre de cette époque dont l’auteur paraît bien c
a différence de leur âge ; il s’était représenté, comme un abîme, les
vingt-trois
années qu’il avait de plus qu’Armande ; il avait,
t j’abhorre des nœuds Qui deviendraient sans doute un enfer pour tous
deux
. Un an après, cependant, en 1662, au moment où i
aient sans doute un enfer pour tous deux. Un an après, cependant, en
1662,
au moment où il achevait L’École des femmes, expr
venu sa propre destinée, et que Scarron avait prédit juste, lorsqu’on
1660,
sur le point de mourir, il avait dit, dans son Te
s, en se disant, comme Ovide, est quædam flere voluptas . C’était en
1664.
Lamothe-Levayer venait de perdre son fils, qui av
’un homme qui ne saurait persuader ce qu’il sait si bien faire. » En
1664,
lorsqu’il parlait ainsi de la consolation par les
parler, et leur entretien, répété à l’auteur de la Fameuse comédienne
8
est devenu la page la plus curieuse et la plus au
ntéressante. Quand on se voit et se parle chaque jour, quand l’un des
deux
cœurs demande sans cesse à se rapprocher de l’aut
cœur ; par son cœur, on connaît sa vie. Ce premier fils devait avoir
huit
ans à peu près, quand il mourut ; c’est assez pou
j’en ai pour preuves les larmes qu’il fait répandre au père de Psyché
10,
dans une des trop rares scènes de cet ouvrage, qu
vécut à Molière, ne l’attachèrent pas beaucoup plus à ses devoirs. En
1672,
peu de temps avant la mort du grand homme, la dis
s avis, il se décida : « il s’en mit », comme dit Tallemant. C’est en
1645
que nous l’y trouvons, d’une façon certaine, avec
re des traces, à l’époque de leur installation définitive à Paris, en
165917.
Les jours les plus mauvais pour la fortune ont so
lles qualités de son esprit18. » Une fille, qu’il reconnut, naquit en
1638,
de ses relations avec Madeleine, et, sept ans apr
quit en 1638, de ses relations avec Madeleine, et, sept ans après, en
1645,
c’est-à-dire à l’époque dont nous parlons, tout d
pouvait rester à Paris, où leurs amours avaient eu tant d’éclat : en
1646,
nous la trouvons donc, qui court la province avec
épousé sa fille ! Ces premières pérégrinations provinciales durèrent
quatre
ou cinq ans, pendant lesquels Molière fit jouer à
fille ! Ces premières pérégrinations provinciales durèrent quatre ou
cinq
ans, pendant lesquels Molière fit jouer à Bordeau
e grands succès à Vienne en Dauphiné ; mais, à Nantes, où il était en
1646,
il eut grand peine à tenir bon contre des marionn
héroïnes de la burlesque Odyssée étaient de la troupe de Molière. En
1650,
M. de Modène, après une foule de vicissitudes, do
me n’épouserait jamais la mère d’une fille ainsi mariée. En effet, en
1666,
deux ans après qu’il a ranimé l’espérance de Made
pouserait jamais la mère d’une fille ainsi mariée. En effet, en 1666,
deux
ans après qu’il a ranimé l’espérance de Madeleine
père à Armande, resta toujours si bien dans l’esprit du poète, qu’en
1667,
lorsqu’il fit L’Avare, il en glissa un souvenir a
s, car il y retrouvait des amis. C’est lors de ce séjour, qui dura de
1650
à 1653, qu’il dut, ce nous semble, se lier plus é
il y retrouvait des amis. C’est lors de ce séjour, qui dura de 1650 à
1653,
qu’il dut, ce nous semble, se lier plus étroiteme
ocher son penchant vers la libre pensée, appelée alors du libertinage
23.
Le fameux dîner, à la Croix de Lorraine, où, suiv
landerirette, fort en vogue en ce temps-là, ont été retrouvés, il y a
six
ans25, dans un manuscrit appartenant au roi Louis
, et n’ont pas encore été joints à ses œuvres26. Nous allons en citer
trois
ou quatre. Le poète se plaint d’une cruelle et lu
t pas encore été joints à ses œuvres26. Nous allons en citer trois ou
quatre
. Le poète se plaint d’une cruelle et lui dit : A
qu’il était à Béziers avec sa troupe, augmentée de Dassoucy et de ses
deux
pages de musique. C’est alors aussi, ce qui vaut
au partage, ne se fit-il pas faute de cette consolation. A Paris, en
1650,
nous lui connaissons quatre amours à la fois : la
as faute de cette consolation. A Paris, en 1650, nous lui connaissons
quatre
amours à la fois : la Béjard d’abord, avec laquel
, Tout en sève et larmes, l’en prie, Et, jalouse de la prairie, Dans
cinq
ou six jours se promet De l’attirer à son sommet.
en sève et larmes, l’en prie, Et, jalouse de la prairie, Dans cinq ou
six
jours se promet De l’attirer à son sommet. « Vo
s particularisez le déplaisir que vous donnent les partialités de vos
trois
grandes actrices, pour la distribution de vos rôl
oire, car on ne la trouve pas longtemps dans la troupe de Molière. En
1658,
lorsque cette troupe, après une dernière tournée
ous pouvons, pour cela, nous en rapporter à l’altière jalousie de ses
trois
rivales. Molière resta seul entre elles. C’était
’observations. Ses premières pièces sont remplies du contraste de ces
trois
caractères féminins qu’il fut si bien à même d’ét
fait donner à sa rivale, mademoiselle du Parc, le surnom de Marquise
31.
Celle-ci pouvait plaire à l’humeur un peu guindée
st à cette œuvre, où son cœur se résume, que nous devions revenir.
IV
- Un apologue de Molière Molière avait dit :
té. Plus tard, en effet, on la retrouva dans les Précieuses ridicules
33.
Une autre fois, se trouvant avec plusieurs dames
r blasé et marié, mais toujours en quête d’amours nouvelles ; mari de
trois
femmes en dix ans, ce qui, sans compter même les
, mais toujours en quête d’amours nouvelles ; mari de trois femmes en
dix
ans, ce qui, sans compter même les unions clandes
ituée au coin de la rue Saint-Honoré et de la rue des Vieilles-Étuves
36
, elle avait gardé, sur sa façade vermoulue, un s
temps anciens. C’était un lourd poteau qui se dressait à l’angle des
deux
rues et montait de la base de la maison jusqu’à s
mon père, et qu’on appelait dans le voisinage le Pavillon des singes
37
. Je m’amusais beaucoup des ébats des sapajous es
on sens, décerna la puissance. On n’est roi, que par la prudence.
V
- A propos du Don Juan I. Pourquoi le Festin
On n’est roi, que par la prudence. V - A propos du Don Juan
I
. Pourquoi le Festin de pierre ? « Il me souvi
« Il me souvient, Madame, écrit de Visé dans le Mercure galant de
167739,
que vous m’avez autrefois demandé pourquoi cette
pourquoi de Visé se donna le soin de la rectifier, au commencement de
1677.
C’est en 1620 ou 1621 qu’avait paru la pièce prot
é se donna le soin de la rectifier, au commencement de 1677. C’est en
1620
ou 1621 qu’avait paru la pièce prototype de toute
na le soin de la rectifier, au commencement de 1677. C’est en 1620 ou
1621
qu’avait paru la pièce prototype de toutes les au
dans les possessions qui relevaient de cette puissance. A Naples, dès
1652,
elle passait triomphante, de la scène des comédie
s le bagage des troupes comiques que l’Italie envoyait de tous côtés.
Cinq
ans plus tard, elle est déjà jouée à Paris, sous
. La première venue est la comédie que Dorimond fit jouer, à Lyon, en
1658,
et qu’il donna, trois ans après, à Paris, comme c
t la comédie que Dorimond fit jouer, à Lyon, en 1658, et qu’il donna,
trois
ans après, à Paris, comme chef de la troupe des c
ogne, où il était comédien. Dans la préface de sa comédie, qui est en
cinq
actes et en vers, comme celle de Dorimond, et don
imond, et dont la première représentation eut lieu au commencement de
1653,
de Villiers explique les raisons qui la lui ont f
loux du succès qu’obtenait, sur la scène des Italiens, « la figure de
D.
Pierre et de son cheval », et désireux de voir su
t, voici son aveu. Vous savez qu’il a écrit, dans sa IIIe Satire, ces
deux
vers :• A tous ces beaux discours j’étais comme
la statue est au Festin de Pierre. Le commentateur de l’édition de
1701
mit, à cet endroit : « Dans la comédie du Festin
ne explication du titre et une justification du contresens obligé.
II
. La scène du pauvre De toutes les choses hardi
re été hasardé sur un théâtre ; ce l’était même tellement, que, après
deux
siècles, et la distance amoindrissant l’effet, no
r abord, le plus facile à éclaircir ; il ne me faudra, pour cela, que
trois
lignes, que j’emprunterai au méchant petit pamphl
qui savait fort bien compter, ne crut pas devoir la risquer. C’est en
1682
seulement, que Vinot et La Grange firent imprimer
Juan, dans l’édition qu’ils donnèrent des Œuvres de Molière, chez les
trois
éditeurs associés Denys Thierry, Claude Barbin et
6. Le vers semblait moins inoffensif que la prose, et je le conçois :
1
un était du cadet des Corneille, l’autre de Moliè
de longs passages qu’il fallait faire disparaître. Le libraire avait
deux
partis à prendre : 1° sacrifier toutes les feuill
fallait faire disparaître. Le libraire avait deux partis à prendre :
1°
sacrifier toutes les feuilles du volume, postérie
toutes les feuilles du volume, postérieures aux passages supprimés ;
2°
remplacer les passages, par d’autres insignifiant
en effet, une édition du Festin de Pierre (Amsterdam, Henri Western,
1683,
petit in-12), devant laquelle pâlissait même cett
e entre les mains du fils de Pierre Marcassus. M. Simonnin avait, dès
1813,
reconnu l’inestimable prix de la plaquette d’Amst
avait donné, dans son édition de Molière, publiée la même année, les
deux
scènes depuis si longtemps perdues. M. de Soleinn
dues. M. de Soleinne fit mieux : il avait constaté qu’en outre de ces
deux
scènes, le texte de l’édition de Hollande renferm
e de variantes ; il les fit relever toutes, et les mit sous presse, à
dix
exemplaires : c’est tout ce que peut faire la pro
a pas eu raison, quand il a écrit dans une note du Catalogue Soleinne
51
au sujet de ces petites éditions hollandaises du
vu, ce passage était aussi l’un de ceux qui avaient été marqués, dès
1665,
par la griffe du scribe de la cabale. Dans la scè
ur cela. L’éditeur de Hollande, au contraire, qui avait ses presses à
deux
cents lieues de la Bastille, imprima tout. Son te
la. L’éditeur de Hollande, au contraire, qui avait ses presses à deux
cents
lieues de la Bastille, imprima tout. Son texte se
’y trouve, en style digne de Molière, que ce qu’il avait ,indiqué dès
1665.
Ainsi, sans le libelle, point de garantie d’exact
e texte, point d’explication du libelle. Cela dit, en présence de ces
deux
autorités qui se corroborent l’une l’autre, je cr
du temps, avec l’acception qu’on lui donne ici ; j’en pourrais citer
vingt
exemples. D’où viendrait alors que Molière ne l’a
t authentique, comme tout le reste : elle se trouve dans l’édition de
1683,
et elle se trouvait aussi dans la copie de Pierre
ce passage est de son invention, puisque, existant dans l’édition de
1683,
il avait été imprimé, onze ans avant sa naissance
tion, puisque, existant dans l’édition de 1683, il avait été imprimé,
onze
ans avant sa naissance ? Si l’on ne s’attache plu
écipite dans la forêt, au bruit des épées, pour défendre un homme que
deux
autres attaquent. Est-ce par charité chrétienne q
au à la portière ; il y jette une pièce de monnaie et n’y pense plus.
Cent
pas plus loin, il retourne la tète et voit le men
? » Qu’en dites-vous ? Cette scène et celle du Don Juan, où l’on voit
deux
pauvres si parfaitement honnêtes gens, ne vous se
suite d’en faire des applications admirables dans ses comédies. »
III
. M. Dimanche Comme tous les caractères qui viv
ntres et les sculpteurs pour les figures : c’est-à-dire de rassembler
mille
linéaments épars, mille traits recueillis, l’un i
pour les figures : c’est-à-dire de rassembler mille linéaments épars,
mille
traits recueillis, l’un ici, l’autre là, et de le
pas, etc. — Nous autres mathématiciens, lui répondit-il, croyons que
2
et 2 font 4 et 4 et 4 font 8. » Don Juan n’aurait
etc. — Nous autres mathématiciens, lui répondit-il, croyons que 2 et
2
font 4 et 4 et 4 font 8. » Don Juan n’aurait pas
Nous autres mathématiciens, lui répondit-il, croyons que 2 et 2 font
4
et 4 et 4 font 8. » Don Juan n’aurait pas dit mie
autres mathématiciens, lui répondit-il, croyons que 2 et 2 font 4 et
4
et 4 font 8. » Don Juan n’aurait pas dit mieux ;
es mathématiciens, lui répondit-il, croyons que 2 et 2 font 4 et 4 et
4
font 8. » Don Juan n’aurait pas dit mieux ; aussi
ématiciens, lui répondit-il, croyons que 2 et 2 font 4 et 4 et 4 font
8.
» Don Juan n’aurait pas dit mieux ; aussi, Molièr
n embarras. Molière n’avait qu’à regarder autour de lui, pour trouver
vingt
seigneurs capables de payer leur marchand d’étoff
die des Fâcheux, étant, un matin, au lever de M.de la Feuillade, pour
deux
cents louis d’or qu’il lui devoit, M. de la Feuil
es Fâcheux, étant, un matin, au lever de M.de la Feuillade, pour deux
cents
louis d’or qu’il lui devoit, M. de la Feuillade c
de la Feuillade commanda à un valet de chambre de lui aller chercher
six
papillons morts, qui étaient dans un tiroir de so
— Votre Grandeur se souvient, ajoute Boursault, que, pendant un an ou
deux
, on fut, à la cour et à Paris même, dans un engou
trop beau, pour n’être pas cher. Je crois qu’ils valent tout au moins
mille
écus. — Tu as raison de dire tout au moins, repar
n’ai pas d’argent présentement, prends-les, je te les donne, pour les
deux
coureurs que je te dois. — Oh ! parbleu ! monsieu
Feuillade, voyant que ceux-là ne l’accommodaient pas, en fit apporter
six
autres : — « Hé ! de ceux-ci, mon ami Gaveau, qu’
eaux que les premiers, en fut charmé, et dit que, si on les donnoit à
deux
mille écus, c’était pour rien. — « Eh bien ! repr
que les premiers, en fut charmé, et dit que, si on les donnoit à deux
mille
écus, c’était pour rien. — « Eh bien ! reprit M.
monsieur, lui dit-il, de voir monsieur votre fils et de lui demander
deux
cents louis qu’il me doit pour deux chevaux, dont
ieur, lui dit-il, de voir monsieur votre fils et de lui demander deux
cents
louis qu’il me doit pour deux chevaux, dont j’aur
eur votre fils et de lui demander deux cents louis qu’il me doit pour
deux
chevaux, dont j’aurois eu mille écus d’un autre.
er deux cents louis qu’il me doit pour deux chevaux, dont j’aurois eu
mille
écus d’un autre. — Eh bien ! mon enfant, que t’a-
sellier de son état, et Monteil possédait un compte manuscrit, où ses
deux
noms figuraient en toutes lettres55. Ce n’est pas
s, la personnalité pouvait alors s’émanciper jusqu’à ces extrêmes.
IV
. Pierrot Molière, comme tous ceux qui avaient
ie de notre nation, qui veut de l’esprit partout. » Que fit-il donc ?
II
en mit dans le rôle d’Arlequin, et dès lors ce fu
t inspiré d’eux, ils s’inspirèrent de lui. Au commencement de février
1673,
quinze jours à peine avant la mort du grand homme
iré d’eux, ils s’inspirèrent de lui. Au commencement de février 1673,
quinze
jours à peine avant la mort du grand homme, ils r
n masque enfariné. De ceux-là fut Hamoche, qui faisait merveille vers
1712,
et pour qui je croirais fort que fut composé l’ai
ciens badins français61, tel que ceux de l’époque romane, les pistori
62,
dont le nom s’est perdu dans notre mot pitre, tel
costume du naïf farceur ; aussi partout les appelait-on des pierrots
63.
Le gamin ne s’en tenait pas là ; lorsqu’il voyait
je supplie humblement le lecteur de me les pardonner, en son nom.
VI
- Un chapitre de la vie De Molière. Comment Moliè
Un chapitre de la vie De Molière. Comment Molière fit Tartuffe.
I
. Les esprits d’un ordre tout à fait supérieur
ue, plus malheureux que M. de la Souche, il prit dans la fleur de ses
dix-sept
ans pour en faire sa femme, ce ne fut pas seuleme
seulement l’Agnès du dénouement de cette première comédie, ce fut pis
cent
fois : ce fut Célimène. C’est vous dire (ce qu’il
it ainsi en riant, il n’est rien qui ne soit encore une sévère leçon.
Deux
fois seulement, il se prit au sérieux ; la premiè
n soleil, à ce pilori ? Molière n’hésita pas, et il fit Tartuffe.
II
. La tâche était d’autant plus rude, qu’il ne l
dernier, ainsi que le dit encore l’auteur d’Élomire hypocondre (acte
V
, scène IV), M. Poquelin père n’en voulut pas avoi
ainsi que le dit encore l’auteur d’Élomire hypocondre (acte V, scène
IV
), M. Poquelin père n’en voulut pas avoir le démen
conscience. Quand il mourut, plus qu’octogénaire, au mois de janvier
1715,
il était docteur en théologie de la société et ma
rtainement de cette école d’Encyclopédie anticipée. Le grand poème de
deux
cent mille vers — le chiffre est exact — qu’il en
ement de cette école d’Encyclopédie anticipée. Le grand poème de deux
cent
mille vers — le chiffre est exact — qu’il entrepr
de cette école d’Encyclopédie anticipée. Le grand poème de deux cent
mille
vers — le chiffre est exact — qu’il entreprit, so
es tirelaines du Pont-Neuf, qui l’assassinèrent, une nuit d’hiver, en
1662,
l’empêchèrent de mener à bien, est un témoignage
e exciter Poquelin dans sa velléité de contraste. On vit paraître, en
1644,
un vaste in-4° portant ce titre : Dictionnaire th
éologique, historique, poétique, cosmographique et chronologique, par
D.
Juigné-Boissinière, sieur de Molière, gentilhomme
Poquelin venait enfin de s’adjuger ce baptême66, et les spectateurs à
cinq
sous, recrutés sur cette plage lointaine, avaient
recrutés sur cette plage lointaine, avaient payé le parrainage67. Des
deux
côtés le nom fit fortune ; le Dictionnaire eut do
parrainage67. Des deux côtés le nom fit fortune ; le Dictionnaire eut
douze
éditions consécutives ; quant au comédien, vous s
consécutives ; quant au comédien, vous savez ce qu’il est devenu.
III
. Je vous ai dit qu’à chaque pas je trouve des
très sommaire, et en latin, donnée par Chorier dans sa Vie de Boissat
68.
Jusqu’ici même, le passage qu’il lui consacre, et
solus de les faire monter sur le théâtre à Pézenas, et de leur donner
mille
écus de mon argent, plutôt que de leur manquer de
dans le même voyage, il lui fit connaître l’original de Tartuffe.
IV
. Depuis cinq ou six ans, un prêtre jeune encor
voyage, il lui fit connaître l’original de Tartuffe. IV. Depuis
cinq
ou six ans, un prêtre jeune encore, « à petite mi
il lui fit connaître l’original de Tartuffe. IV. Depuis cinq ou
six
ans, un prêtre jeune encore, « à petite mine douc
t l’abbé Roquette. C’est de Toulouse qu’il venait ; il y était né, en
1626,
et n’avait, par conséquent, que trente-huit ans,
u’il venait ; il y était né, en 1626, et n’avait, par conséquent, que
trente-huit
ans, l’âge de la force, surtout pour les gens d’i
z bas ; mais, comme cette petite naissance pouvait lui nuire dans les
deux
cours où il s’était si adroitement faufilé, il en
t de Languedoc. L’abbé Roquette se chargea de cette nouvelle affaire.
II
ne s’agissait, pour réduire le prince et l’amener
lieu d’une compagnie d’acteurs, il se trouvait qu’on en avait engagé
deux
. Maintenant tout va changer. L’abbé commence la r
e n’en voulut plus souffrir dans son gouvernement. Au mois de juillet
1662,
une Troupe, qui pouvait se croire là sur une terr
ordre de déguerpir au plus tôt. Racine, qui était à Uzez, écrivit, le
5
juillet, à l’un de ses amis : « Une troupe de com
la Comédie et des spectacles, selon la tradition de l’Église, Paris,
1667,
in-8. Il n’avait pas renoncé à la comédie pour re
l’abbé Roquette, d’après ses instructions, devait les écarter toutes
deux
. Nous ne sommes donc pas surpris de le voir, dès
écarter toutes deux. Nous ne sommes donc pas surpris de le voir, dès
1661,
non plus ce qu’il avait été, assez ardent aux aff
eut avec Tartuffe, jésuite pour ceux-ci, janséniste pour ceux-là.
V.
C’est par l’abbé de Cosnac, je l’ai déjà dit,
ge, puis à Pézenas, avait commencé de connaître l’abbé Roquette. Tous
deux
étaient en jalousie l’un de l’autre ; Cosnac va m
en jalousie l’un de l’autre ; Cosnac va même jusqu’à l’avouer : tous
deux
, en pleine charité d’âme, cherchaient à se nuire
oquette, pour l’aider dans la composition de sa comédie du Faux dévot
83.
» Molière ne put tout prendre. La partie politi
lus magnifiques prélats. A peine à l’évêché d’Autun, où il parvint en
1666,
il fit, comme ostentation et dépense, ce qu’aurai
t pas pour lui que fut poussée la fameuse exclamation Le pauvre homme
85
! Mais, quand Molière l’eut reprise pour Tartuffe
r lui ; aussi, voyait-il une allusion partout où se rencontraient les
deux
traîtres mots. Il rompit, assure-t-on, avec le fi
adame du Guet lui avait répondu : « C’est de la sauce au pauvre homme
87.
» Si l’abbé Roquette n’eût été porté à la galant
ou bien il devine, et il ne s’étonne plus. Il comprend pourquoi « ces
dix
mille âmes, dont il répond à Dieu comme de la sie
ien il devine, et il ne s’étonne plus. Il comprend pourquoi « ces dix
mille
âmes, dont il répond à Dieu comme de la sienne pr
a porte de la chapelle, et c’est ce qui semble être arrivé. Lorsqu’en
1664
madame de Longueville se trouva privée de son dir
e galant, les modèles ne lui eussent pas manqué ; il en était plus de
vingt
, qu’on n’aurait eu qu’à lui montrer du doigt. Nin
oit assez bien (Ninon) ; c’était un drôle, qui, de rien, s’était fait
cinq
à six mille livres de rentes. C’était l’original
ez bien (Ninon) ; c’était un drôle, qui, de rien, s’était fait cinq à
six
mille livres de rentes. C’était l’original de Tar
ien (Ninon) ; c’était un drôle, qui, de rien, s’était fait cinq à six
mille
livres de rentes. C’était l’original de Tartuffe,
t que le bienheureux François de Sales n’avait pu s’en exempter89.
VI
. Dans ce que La Bruyère a dit tout à l’heure,
le maladie, selon l’expression de la Bruyère : « Elle lui dure depuis
trente
ans ; il ne guérit point : il veut, il a voulu et
des âmes moins qualifiées ne lui déplaisait pas, non plus ; de là ces
dix
milliers de consciences, que l’auteur des Caractè
âmes moins qualifiées ne lui déplaisait pas, non plus ; de là ces dix
milliers
de consciences, que l’auteur des Caractères nous
lui n’a pris à cœur ce précepte de la Société de Jésus, formulé, dès
1613,
par l’évêque d’Utrecht, Sasbold : « Faciunt relig
ligionem politicam… reddent nobis Écclesiam magis politicam quampiam…
90
» Aussi, est-il partout et toujours agissant et r
aires rendus en famille pour rabattre la coquetterie et faire fleurir
1’économie
dans le ménage ! Mais ce n’était là que le menu d
n faux dévot, mais, comme nous le ferons voir, un faux directeur.
VII
. Molière et les charlatans de dévotion étaient
avant l’attaque, sentent déjà qu’ils sont ennemis. L’antagonisme des
deux
métiers — car, Molière l’a dit, pour les hypocrit
ousier. Une phrase de saint Augustin, « Virgo per aurem imprægnebatur
96
», et plusieurs versets d’hymnes inspirées par ce
mis de le suivre en Lorraine, et, l’année qui suivit, c’est-à-dire en
1664,
il lui fit l’insigne honneur d’être le parrain de
èces, dont Le Vayer eut ainsi l’avant-goût, puisqu’il ne mourut qu’en
1664101,
lorsque les trois premiers actes du chef-d’œuvre
ut ainsi l’avant-goût, puisqu’il ne mourut qu’en 1664101, lorsque les
trois
premiers actes du chef-d’œuvre étaient achevés et
re étaient achevés et avaient même été déjà représentés à la cour.
VIII
. Fort des encouragements qui lui venaient de t
t donc pas reculé devant l’œuvre hardie et périlleuse. Les dévots, en
1663,
l’avaient attaqué à propos de L’École des Femmes.
emmes. C’était son tour ; et il ne se faisait pas attendre, puisqu’en
1664
il ripostait, lui aussi, par une attaque, mais d’
nu qu’elle serait faite sans préméditation apparente, et qu’enfin les
trois
premiers actes, les seuls terminés, seraient joué
il avait dû composer sa comédie-ballet de la Princesse d’Élide et des
milliers
de petits vers galants, devises de paladins, etc.
s’y attendît, voici qu’on annonce un nouveau spectacle : ce sont les
trois
premiers actes de la comédie de l’Hypocrite, dive
der au roi sa protection pour l’œuvre qui avait déjà son agrément. Le
23
mai, Loret écrit encore : Il a fait coup sur cou
er à d’autres, moins capables d’en faire un juste discernement. »
IX
. Ce qui animait surtout la cabale dévote cont
ieux au monde ou Louis XIV le plus glorieux de tous les rois du monde
102.
« Un homme, y est-il dit103, ou plutôt un démon,
publique, en la faisant monter sur le théâtre, à la dérision de toute
1
Église, et au mépris du caractère le plus sacré e
nt substituer à la loi, dont le secours ne pouvait plus être invoqué,
1
autorité du roi lui-même, devenu ainsi tout à cou
peu de mois après que Tartuffe a été frappé d’interdit, le jour même,
26
août 1664, où M. Bail et M. Descontes firent sort
ois après que Tartuffe a été frappé d’interdit, le jour même, 26 août
1664,
où M. Bail et M. Descontes firent sortir douze re
le jour même, 26 août 1664, où M. Bail et M. Descontes firent sortir
douze
religieuses de Port-Royal109. Vous voyez que la c
ue Molière ne l’avait faite, que lors de l’impression de sa pièce, en
1669
; mais ceci tendrait, ce me semble, éprouver qu’i
ut,en effet, donnée au Raincy devant Son Altesse Royale, en septembre
1664,
deux mois après que Molière l’eut représentée, à
effet, donnée au Raincy devant Son Altesse Royale, en septembre 1664,
deux
mois après que Molière l’eut représentée, à Ville
afin de renouer entre Versailles et Rome les relations rompues depuis
1662
par 1’insulte faite à M. de Créqui, notre ambassa
enouer entre Versailles et Rome les relations rompues depuis 1662 par
1’insulte
faite à M. de Créqui, notre ambassadeur. Le préla
valait bien une bulle, servit de justification à Louis XIV, lorsque,
trois
ans après, il permit enfin de représenter le Tart
ves transformations de la pièce, qu’il nous reste a vous raconter.
X.
Le caractère de Molière était de ceux que la l
e Villemarqué n’a eu garde d’oublier en son Recueil de Chants bretons
111.
C’est tout à fait 1 histoire de don Juan et de l’
rde d’oublier en son Recueil de Chants bretons 111. C’est tout à fait
1
histoire de don Juan et de l’apparition du Comman
il a parlé : déguisé en fantôme, portant la tète du mort où brillent
deux
chandelles à la place des yeux, il jette l’épouva
ur, Le mort s’éloigna tout court, En disant : « Adieu, compère ; Dans
huit
jours, moi, je t’attends A souper pareillement. »
disait, écrit M. Bazin, « que le Tartuffe continuait les Provinciales
112.
» C’était un héritage de courage et d’esprit, bea
i vont ses traits, il les emprunte à leur plus célèbre adversaire.
XI
. De leur côté, la haine n’était pas restée ois
e nouveau prétexte d’intolérance pour les faux dévots, au mois d’août
1665,
c’est-à-dire lorsque le succès de la pièce durait
troupe, cessant d’appartenir à Monsieur, devenait troupe du roi, avec
7,000
livres de pension. N’était-ce pas prouver à tous,
qu’à la cour ses médisances à ce sujet. « Montfleury, écrit Racine en
1663,
a fait une enquête contre Molière et l’a donnée a
e contre les dévots, fut, avec les premiers mois de l’année suivante,
1666,
l’époque la plus douloureuse de sa vie, le temps
créance à ce soupçon. Il fait dire par Epistenez à Élomire (Molière)
120
: Je vois bien que tu viens de ce riche pays, Où
l de Bourgogne, si bien qu’un matin on la vit affichée à la porte des
deux
théâtres. La Grange avait mis sur son Registre :
des deux théâtres. La Grange avait mis sur son Registre : « Vendredi
4
décembre 1665. Première représentation du Grand A
héâtres. La Grange avait mis sur son Registre : « Vendredi 4 décembre
1665.
Première représentation du Grand Alexandre et de
n du Grand Alexandre et de Porus, pièce nouvelle de M. Racine » ; et,
quatorze
jours après, voici la note indignée qu’il écrivit
crivit, en apprenant ce qu’avait fait le poète transfuge : « Vendredi
18
décembre. Ce jour, la troupe fut surprise que la
tte preuve de l’ingratitude de Racine, qui avait comblé la mesure, le
27
décembre, il ferma son théâtre. Ce qu’on savait d
e, mais même de monter sur la scène. Anne d’Autriche ne mourut que le
20
janvier 1666. Il y avait donc déjà près d’un mois
e de monter sur la scène. Anne d’Autriche ne mourut que le 20 janvier
1666.
Il y avait donc déjà près d’un mois que durait la
ait la vacance du théâtre de Molière, et, puisqu’il ne rouvrit que le
21
février, elle se prolongea plus d’un mois encore1
qu’il écrivit la plus grande partie de son Misanthrope, commencé dès
1664128,
et qu’il lui fallait à toute force achever, sous
parmi les gens, et quelque baissement de tète, un soupir mortifié et
deux
roulements d’yeux rajustent, dans le monde, tout
disputer, Sur le plus honnête homme on le voit l’emporter. C’est le
4
juin 1666 que ces vers furent dits pour la premiè
er, Sur le plus honnête homme on le voit l’emporter. C’est le 4 juin
1666
que ces vers furent dits pour la première fois su
s pour la première fois sur le théâtre, et, juste un mois auparavant,
1
abbé Roquette avait été nommé évêque d’Autun130.
ois auparavant, 1 abbé Roquette avait été nommé évêque d’Autun130.
XII
. Ce qu’Alceste nous dit de l’acharnement de so
us faire supposer ce qu’étaient les fureurs de l’abbé Roquette contre
1
auteur du Tartuffe. Depuis la représentation de l
de ne le désigner que par le nom du type créé à son image, partout on
1
appelait Tartuffe131. Dans les chansons, par exem
lceste, pour le faire arrêter. Ne serait-ce pas un souvenir de ce que
1
abbé Roquette aurait es&a\é lui-même contre M
d’intriguer à Paris et à Versailles. Il ne partit pour son évêché que
quatorze
mois après avoir été nommé évêque135, c’est-à-dir
s avoir été nommé évêque135, c’est-à-dire, par conséquent, en juillet
1007,
Or, c’est un mois après que le Tartuffe eut permi
que jusqu’au bout l’influence du prêtre avait pesé sur la comédie.
XIII
. Louis XIV, nous l’avons dit, avait donné à l
eterre, toujours bonne et conciliante, manda Molière et sa Troupe, le
26
novembre 1666, et leur fit jouer le Misanthrope,
ours bonne et conciliante, manda Molière et sa Troupe, le 26 novembre
1666,
et leur fit jouer le Misanthrope, encore dans sa
en sortit plus. Le roi préparait de grandes fêtes pour le carnaval de
1667,
et il avait besoin de lui. Quoique toujours malad
insi, Mélicerte, qui faisait partie du Ballet des Muses, fut donné le
2
décembre 1666, sans être achevé ; c’était une fau
erte, qui faisait partie du Ballet des Muses, fut donné le 2 décembre
1666,
sans être achevé ; c’était une faute qu’on ne lui
inir, qu’il se mit au lit et n’en sortit presque plus pendant près de
cinq
mois. Vers le milieu d’avril, le bruit courut mêm
tait faux. Molière le démentit bien mieux encore, en reparaissant, le
10
juin, sur son théâtre. Le régime auquel il s’étai
énité : le roi venait de permettre la représentation du Tartuffe.
XIV
. Si les délais sont nécessaires à la prudence,
premier jour pourrait rendre nécessaire. Il ne s’était pas trompé. Le
5
août, quand l’Imposteur parut sur l’affiche, il n
le départ du roi avait pu y laisser, s’en était allée aux champs. Le
20
mai, madame de Sévigné disait déjà : « Paris est
e de Sévigné disait déjà : « Paris est un désert. » C’était bien pis,
trois
mois après, au fort des chaleurs ; aussi, ne sera
s, à l’heure dite, il paraît, Comme toujours, il fut très nombreux le
5
août 1667, trop nombreux même et trop intelligent
heure dite, il paraît, Comme toujours, il fut très nombreux le 5 août
1667,
trop nombreux même et trop intelligent : tous les
it partir en poste, pour le camp devant Lille, où se trouvait le roi,
deux
de ses meilleurs comédiens, La Grange et La Thori
nsable à Paris, puisque le théâtre resta fermé jusqu’au retour de ses
deux
envoyés142, je ne trouve pas d’autre moyen de m’e
e Molière, qui fut bien accueilli ; mais, après une absence d’environ
quinze
jours, les seules paroles qu’ils rapportèrent, de
andin, L’Avare. Il avait raison de ne plus espérer pour Tartuffe. Ces
trois
comédies nouvelles étaient jouées, que rien de fa
t un terme, et Molière fut des premiers à s’en ressentir. En novembre
1608,
pendant que le Bref de réconciliation se signait
Chantilly, comme dit Robinet ; puis, tout étant bien réglé entre les
deux
camps, dix-sept jours après le 16 janvier 1669, d
comme dit Robinet ; puis, tout étant bien réglé entre les deux camps,
dix-sept
jours après le 16 janvier 1669, date de la public
, tout étant bien réglé entre les deux camps, dix-sept jours après le
16
janvier 1669, date de la publication du Bref, il
t bien réglé entre les deux camps, dix-sept jours après le 16 janvier
1669,
date de la publication du Bref, il put définitive
, il put définitivement reparaître en public. C’est, dit M. Bazin, le
5
février 1669, qu’il reprit sa liberté, « comme ta
éfinitivement reparaître en public. C’est, dit M. Bazin, le 5 février
1669,
qu’il reprit sa liberté, « comme tacitement compr
ait qu’elle produisait plus d’argent au théâtre, et il regrettait les
deux
cents pistoles qu’il avait données pour l’avoir i
u’elle produisait plus d’argent au théâtre, et il regrettait les deux
cents
pistoles qu’il avait données pour l’avoir imprimé
tuffe et l’applaudir sans scrupule de conscience, se le fit jouer, le
7
août, à Saint-Germain avec L’Avare. Nous avons vu
e 7 août, à Saint-Germain avec L’Avare. Nous avons vu la quittance de
cent
quarante-quatre livres que Molière reçut à cette
oût, à Saint-Germain avec L’Avare. Nous avons vu la quittance de cent
quarante-quatre
livres que Molière reçut à cette occasion. La piè
ce qui prouve que celui de L’Imposteur n’était que pour la forme. Le
20
du même mois, il alla jouer chez Mademoiselle, au
n de l’Église, pour assister à son convoi ? Je le pense. En effet, le
10
septembre suivant, le curé de Saint-Roch l’admit
cardinal de Luynes. C’est un présent fait à la Comédie Française, en
1844,
par M. Lorne, de Sens ; il porte cette inscriptio
a partie supérieure du panneau : FARCEURS FRANÇAIS ET ITALIENS DEPUIS
SOIXANTE
ANS. PEINT EN 1670. Tous les maîtres de la Farce
panneau : FARCEURS FRANÇAIS ET ITALIENS DEPUIS SOIXANTE ANS. PEINT EN
1670.
Tous les maîtres de la Farce au dix-septième sièc
i, sur ce plain pied de l’égalité bouffonne, on n’a fait grâce que de
deux
choses : le nom de guerre et le costume. Il n’est
e sobriquet de Mascarille, ni par celui de Sganarelle, qui furent ses
deux
noms de farce, comme on sait ; il ne porte ni la
omme une farce, il atteignit la fin de sa vie et de son œuvre, toutes
deux
si bien remplies et trop courtes. Il avait commen
a comédie, les alterna, et, rendant ce bon accord profitable à toutes
deux
, il sut par là donner, à l’une, une tournure litt
finie et que vous eussiez avalé toute l’amère pilule. Sorel, au livre
II
du Francion, a conté une affaire de ce genre. Il
nt une réconciliation, et le jour convenu, on emmène à la Comédie les
deux
pauvres diables, pour qu’ils s’y voient bafoués.
ar devant leur logis, bien assistez de laquais, et les forcèrent tous
deux
de s’y mettre aussy, et puis ils me vinrent prend
les la forme inflexible du vers avait été adoptée. Aussi, fut-elle en
cinq
actes et d’une grande portée morale, une comédie
; c’est pour cela, par exemple, que le Turcaret de Lesage, malgré ses
cinq
actes, fut dans l’origine dédaigneusement qualifi
ses nerfs de puriste s’ôtaient révoltés. Je m’étonne que la lettre du
28
janvier 1772, où il donne ce curieux conseil à so
e puriste s’ôtaient révoltés. Je m’étonne que la lettre du 28 janvier
1772,
où il donne ce curieux conseil à son « cher champ
arce joyeuse… du Mary, la Femme, le Serviteur et le Serrurier, est de
1596.
En 1610, on réimprima aussi, à Paris, la farce jo
use… du Mary, la Femme, le Serviteur et le Serrurier, est de 1596. En
1610,
on réimprima aussi, à Paris, la farce joyeuse et
farce joyeuse et récréative du Galand qui a faict le coup. A Lyon, en
1606,
on avait publié le Valet ci tout faire, une vraie
e Valet ci tout faire, une vraie farce du bon temps ; et, à Rouen, en
1599,
cette farce des Quiolars, qui sent si bien son mo
Rousset est aussi, ou peu s’en faut, de ce règne, puisqu’il parut en
1612.
Il est évident que les sept farces qui s’y trouve
l, et dont voici en peu de mots l’analyse. Il n’y a dans la pièce que
trois
scènes et trois personnages principaux : un paysa
en peu de mots l’analyse. Il n’y a dans la pièce que trois scènes et
trois
personnages principaux : un paysan, sa femme et u
nages principaux : un paysan, sa femme et un collecteur d’impôts, que
deux
sergents accompagnent. Le pauvre ménage est en tr
e grabat qui servait de lit. Le collecteur arrive et cherche avec ses
deux
sergents s’il ne reste plus rien à prendre. — Il
sont enfin les plus forts, le coffre est ouvert ; et qu’en sort-il ?
Trois
diables qui emportent le collecteur et ses sergen
se plaignait un peu, dans le peuple, de la taxe mise sur les vins en
1601,
et maintenue jusqu’alors, bien qu’il eût été dit
Estoile, de la représentation et de ce qui s’ensuivit : Le vendredi,
26
de ce mois, fut jouée à l’Hôtel de Bourgogne, à P
core » davantage et du meilleur. J’avois accoutumé de n’en boire qu’à
trois
sols ; mais, par Dieu ! j’en boirai dorénavant à
’en boire qu’à trois sols ; mais, par Dieu ! j’en boirai dorénavant à
six
pour le moins. Monsieur le roy n’en croquera pas
ntrainte de se lever, on ouvre ce coffret, duquel sortent à l’instant
trois
diables, qui emportent et troussent en malle M. l
urs étaient depuis longtemps en querelle, au sujet d’une redevance de
trois
livres tournois, que ces privilégiés fainéants pr
légalité du monopole comique avoir son cours. Cependant, les bouffons
1
ayant amusé, il voulut leur en tenir compte. Il l
r en mariage la fille de Tabarin. Il devait, en effet, avoir au moins
cinquante
ans, lors de cette union, qui n’eut lieu probable
l’installation définitive de notre farceur à Paris, c’est-à-dire vers
1620
; la fille, au contraire, était encore jeune. Cel
près égal. D’un autre côté, la dot était très sortable : Tabarin, qui
quatre
ans après, devait se trouver assez riche pour s e
eaux jours, dans la petite maison à colombier, qu’il avait achetée, à
deux
pas de la Porte Montmartre. Cette façon de vivre
arguille partit justement le premier ; il mourut, au mois de décembre
1633.
Gros-Guillaume le suivit de près. S’il lui fut pe
ce fut tout. Turlupin survivait, mais que pouvait-il faire, sans ses
deux
amis ? Il se traîna jusqu’en 1673, et si tristeme
mais que pouvait-il faire, sans ses deux amis ? Il se traîna jusqu’en
1673,
et si tristement, si obscurément, qu’on dut croir
ur lui substituer une vérité sans prestige, on racontait même que les
trois
amis étaient morts, dans la même semaine. Deux de
acontait même que les trois amis étaient morts, dans la même semaine.
Deux
de ces bons amis n’avaient pas été frappés par le
rte de trinité confraternelle ; mais la farce, dont l’association des
trois
bouffons était l’âme, ne pouvait pas leur survivr
e pauvre diable d’auteur écrivit pour lui, concilier de son mieux les
deux
métiers, et prouver que l’un ne le faisait pas dé
Gorju. Une seule chose y est visible, c’est qu’il hésitait entre ses
deux
métiers. Le public ne voulut pas le laisser dans
pait alors autour de Mazarin vieillissant. Ainsi, dans la seule année
1658,
il joua, devant Louis XIV, le Docteur amoureux, G
V, le Docteur amoureux, Gros-René écolier et le Médecin volant, et en
1660,
Gorgibus dans le sac, la Jalousie de Gros-René, o
e la mémoire de la foule, il craignait de lui entendre siffler ce que
vingt
ans auparavant elle avait applaudi de si bon cœur
bon cœur. L’épreuve réussit. Les Précieuses, qu’il fit représenter le
18
novembre 1658, après Cinna, furent très bien accu
épreuve réussit. Les Précieuses, qu’il fit représenter le 18 novembre
1658,
après Cinna, furent très bien accueillies, et dep
e. La farce n’existait plus, elle s’était perdue dans la comédie.
I
- Le Médecin Volant (vers 1650) Molière, en s
, elle s’était perdue dans la comédie. I - Le Médecin Volant (vers
1650
) Molière, en ses premiers temps, aussi bien q
ié au moins du talent de l’acteur. Pendant tout le carnaval, celui de
1647,
cette farce, ainsi jouée, fut la gaieté de Paris.
… Molière n’était plus à Paris, quand Sarrasin écrivait cela. Depuis
deux
ans déjà, il courait la province ; mais, comme le
devait faire partie de son répertoire de campagne. En effet, lorsque,
douze
ans plus tard, il revint de province, c’est le Mé
e Fagoteux marchait de pair. Quelques annes après, il les réunit. Des
deux
farces transformées, émondées, corrigées, il fit
malgré lui} lequel, une fois en pied, ne laissa plus reparaître les
deux
parades, qui étaient son embryon. On ne revit plu
omment, et par quelles mains ? Je ne sais ; mais il se trouva que, en
1731,
J.-B. Rousseau possédait une copie du Médecin vol
ion cette épave des manuscrits de notre grand comique. En cette année
1731,
on préparait une édition des œuvres de Molière, e
celui-ci s’exécuta, en s’étonnant qu’on y mit tant d’insistance. Les
deux
farces, à son avis, ne lui semblaient pas tant va
tant pressé. « Ce sont, écrivait-il à Chauvelin en lui adressant les
deux
farces, ce sont des canevas, qu’il (Molière) donn
lière, ni du public. » Chauvelin fut sans doute de cet avis, car les
deux
farces ne parurent pas dans l’édition dont il s’é
t il s’était donné le soin. Elles ne furent même pas publiées à part.
Vingt
ans après, elles étaient, même pour ceux qui s’oc
teur, et du débiteur, le créancier. Qu’étaient cependant devenues les
deux
farces ? On put les croire perdues. Pendant un si
oire perdues. Pendant un siècle, elles le sont, en effet. Enfin, vers
1830,
un de ces amateurs pour qui rien ne s’égare, M. V
y eut guère que de la curiosité. N’importe : l’éveil était donné. Les
deux
pièces appartenaient à Molière, sans que personne
s OEuvres de Molière, et depuis lors elles ont figuré dans toutes.
II
- L’Étourdi (1653) I.144 Le sujet que j
ière, et depuis lors elles ont figuré dans toutes. II - L’Étourdi (
1653
) I.144 Le sujet que je vais avoir à dév
puis lors elles ont figuré dans toutes. II - L’Étourdi (1653)
I
.144 Le sujet que je vais avoir à développer
grand homme, à une œuvre jeune, sinon de jeunesse, car Molière avait
trente
et un an passés, quand il la fit jouer ; à une co
remière pièce qu’il donna alors, n’est guère espagnole que de nom, et
1
École des Maris, dont il prit l’idée à la Discret
tre, tout en l’imitant ; pour l’Italien, qu’il mita contribution dans
1’Etourdi
, il ne fit que la moitié de la besogne. Il lui em
aque acteur et suivant le caprice de leurs lazzi et de leurs cascate,
deux
mots qui, par parenthèse, nous sont restés ; du d
e scénario dont il faisait enfin des scènes écrites, n’était pas bien
neuf
, comme vous allez voir. Il datait du temps des Ro
n dit, voler d’autant mieux qu’il démarquait le linge. Point du tout.
II
prenait une pièce à l’Italie, il lui laissa la ma
Combien, lui demanda-t-elle un jour, y a-t-il de péchés capitaux ? —
Cinq
, madame la comtesse. — Comment, petite sotte ! no
e sotte ! nous n’en avons que sept, et tu veux encore nous en retirer
deux
! Tu n’auras pas ta pomme. » Je ne vous réponds p
elle vient de Rome, où l’esclave, dès qu’il était affranchi, devenait
1
égal, et bientôt, comme il avait acquis plus d’ex
fabriqués. On le mit à une très forte amende pour cette fabrication.
II
paya l’amende avec ses écus, c’est-à-dire en faus
le bal incognito, se rendit à celui du président, avec un cortège de
trois
carrossées de dames et de seigneurs de la Cour. T
tège défila dans la cour, et l’on vit entrer dans le bal une bande de
douze
masques magnifiquement parés, avec une infinité d
Il le fut, et vous savez avec quelle gloire pour lui et pour nous.
II
. Tout ce qui est de Molière est bon à voir et
I. Tout ce qui est de Molière est bon à voir et meilleur à revoir.
II
n’en est pas de ses œuvres comme de la corbeille
res, et des médiocres aux gâtées. Là, tout est bon, tout est sain. En
vingt
ans de théâtre, de 1653 à 1673, de L’Etourdi, qui
gâtées. Là, tout est bon, tout est sain. En vingt ans de théâtre, de
1653
à 1673, de L’Etourdi, qui est une comédie si éton
. Là, tout est bon, tout est sain. En vingt ans de théâtre, de 1653 à
1673,
de L’Etourdi, qui est une comédie si étonnante, s
ours, la gamme entière du grand comique. Je voudrais qu’on réunit ces
deux
pièces dans un seul spectacle, pour que le public
i mène l’intrigue ; dans le Dépit amoureux, — je parle de la pièce en
cinq
actes, — c’est Mascarille, valet de Valère, qui n
. Il en avait appris le rythme par Dugazon, à qui il l’avait vu jouer
cent
fois, et qui lui-même en tenait la tradition de P
cho, une dernière vibration de l’esprit même de Molière comédien.
III
- Les Fâcheux (1661) Chez Fouquet, au château
ibration de l’esprit même de Molière comédien. III - Les Fâcheux (
1661
) Chez Fouquet, au château de Vaux, où les Fâc
x, comme vous savez, furent joués pour la première fois, à la fête du
17
août 1661 donnée pour le roi, ce fut, dit-on, mer
vous savez, furent joués pour la première fois, à la fête du 17 août
1661
donnée pour le roi, ce fut, dit-on, merveilleux d
erve. Molière comédien y lutta d’ardeur et d’élan avec Molière pacte.
IL
n’était plus de la première jeunesse, car il touc
pacte. IL n’était plus de la première jeunesse, car il touchait à ses
quarante
ans ; mais il était amoureux, et la jeunesse lui
emme ; elle était de la fête, elle était de la comédie, et c’est pour
deux
qu’il joua, soyez-en sûr, bien plus que pour le s
ir à Vaux et le public qui le redemandait à Paris. C’était en juillet
1661,
un mois avant la représentation des Fâcheux. Fouq
qu’il méditait, l’avait fait venir à son château, et l’y avait retenu
cinq
jours, sans s’inquiéter si son théâtre à Paris ne
s ordinaires. Voici le moment d’écouter parler La Grange : « Le lundi
11
juillet, la Troupe est partie pour aller à Vau {s
quet… La troupe revint à Paris, la nuit, arriva à Essone, le vendredi
15,
à la pointe du jour, et arriva à midi au Palais-R
u’on avait affichés. » Notez bien qu’alors le spectacle commençait à
trois
heures au plus tard, et que, par conséquent, Moli
oulait au surintendant, pour tant d’exigence et pour tant de travail.
Deux
vers seulement cachaient une malice, une amertume
âcheux ; sa tâche ne fut pas un rôle, mais un rassemblement de rôles.
II
joua Lisandre le danseur, le duelliste Alcandre,
re de gants de cerf, une paire de bas à botter en toile jaune. Prisés
50
livres. » IV - L’École des femmes (1662)
rf, une paire de bas à botter en toile jaune. Prisés 50 livres. »
IV
- L’École des femmes (1662) I. L’École d
tter en toile jaune. Prisés 50 livres. » IV - L’École des femmes (
1662
) I. L’École des Femmes est la première c
le jaune. Prisés 50 livres. » IV - L’École des femmes (1662)
I
. L’École des Femmes est la première comédie v
damentales et dominantes. L’épreuve était hardie, en ce temps où les
deux
genres connus, la tragédie et la farce, n’étaient
itique aussi bien que pour l’esprit, une façon de compromis entre les
deux
genres, qui se corrigeraient de leurs excès en le
s’abaissait jusqu’à la comédie, il fallait qu’elle n’eût pas-moins de
cinq
actes, et fût du genre le plus noble possible. Or
es, on les faisait courir encore avec l’allure trotte-menu du vers de
huit
pieds, qui, depuis Pathelin jusqu’aux Boutades du
rdi et le Dépit furent écrits en grands vers ; mais, ces pièces ayant
cinq
actes, on ne trouva rien de surprenant à cela. Il
s’il s’était avisé de ne pas faire rire. Mais, comme il fît voir que
douze
pieds, au lieu de huit, ne faisaient en rien cloc
e pas faire rire. Mais, comme il fît voir que douze pieds, au lieu de
huit
, ne faisaient en rien clocher, n’alourdissaient d
exandrin, et dès lors il put remployer, sans danger de critique, dans
1
École des Maris, en trois actes. Cette coupe étai
il put remployer, sans danger de critique, dans 1 École des Maris, en
trois
actes. Cette coupe était une hardiesse aussi, car
amenèrent la grande bataille. Ce que nous disions tout à l’heure des
mille
facettes du rôle d’Arnolphe, si complexe, si mult
Est-ce pour faire rire Que tu veux
mille
gens témoins de ta satyre ? Sçais-tu bien qu’on d
Molière dans Arnolphe : elles auront fait plus qu’elles ne valent.
II
. Molière ne détestait pas la critique. Sa défé
, comme l’a dit la bonne vieille comédienne, qui esquissa sa vie vers
1740,
il semblait avoir alors je ne sais quel air d’alt
poèmes, où Molière n’était pas attaqué, mais où le bon sens recevait
mille
outrages, pensa, comme ses pareils en sottise, qu
vait reçu ses coups de pied, un certain Le Boulanger de Chalussay fît
cinq
misérables actes, en vers misérables, où tout ce
infamies contre le pauvre grand homme se trouvait entassé. C’était en
1670.
dans le plein du succès de Tartuffe et de la guer
entement est le thème des platitudes envenimées, qui débordent de ces
cinq
actes. Ils versent leur fiel brutal sur chaque pl
ans la curieuse postface de l’édition qu’il fît faire clandestinement
deux
ans après, supprima la pièce, au lieu d’en faire
le Code dramatique le plus admirable qu’il soit possible de rêver. En
deux
circonstances seulement, Molière s’expliqua, comm
et qu’il faut définitivement lui restituer, comme le voulait déjà, en
1774,
le rédacteur du Catalogue de la Bibliothèque de P
in, mais encore pour l’y mettre lui-même ; et je fus tout étonné que,
deux
jours après, il me montra toute l’affaire exécuté
cès. » En effet, la pièce revint et plut. Une autre fois, en décembre
1668,
c’est son poème du Val-de-Grâce à la gloire de so
s ruelles de ce temps-là. Au lieu d’une, Molière en aurait pu prendre
cent
, de la même prétention évaporée et languissamment
sur lequel Élise se récrie aussitôt, car il était alors tout flambant
neuf
, passait pour être de l’invention de Mme de Mauln
elle-même : « La conversation, dans un beau lieu, et à mon aise, avec
cinq
ou six personnes bien spirituelles, bonnes, et qu
e : « La conversation, dans un beau lieu, et à mon aise, avec cinq ou
six
personnes bien spirituelles, bonnes, et qui sont
s. Pour ce qui est du marquis Turlupin, ce sera qui vous voudrez.
V
- Critique de l’École des femmes (1663) L’Éc
in, ce sera qui vous voudrez. V - Critique de l’École des femmes (
1663
) L’École des Femmes est une des étoiles de l
de celui qui la lui avait faite. Molière, ainsi, se trouva pris entre
deux
complots : au dedans, la conspiration des galante
ans retard et tirer prompte vengeance de l’autre chagrin : il parla.’
Six
mois après la première représentation de l’École
s venaient de lui ! Molière en douta ; sous ce seul nom, il en devina
vingt
autres qui ne voulaient pas paraître, notamment c
paya doublement. Dans L’Impromptu de Versailles, le poète acteur est
deux
fois souffleté. Le coup, qui s’adresse à tous ceu
, et la poussa, dès lors, avec toutes les ressources de la haine, par
deux
voies différentes, l’une au plein jour, l’autre s
ester. Dans une lettre à son ami Levasseur, datée du mois de décembre
1663,
c’est-à-dire écrite au moment même où le succès d
où l’on jugeait le mieux des coups que se portaient les champions des
deux
autres, l’Hôtel de Bourgogne et le Palais-Royal.
mirable ! Et je me trouve là tellement bien tiré, Qu’avant qu’il soit
huit
jours, certes, j’y répondray. » LE BARON. Mais l’
ment un grand intérêt de comédie, mais un réel intérêt d’histoire.
VI
- Le Misanthrope (1666) Il est inouï qu’après
de comédie, mais un réel intérêt d’histoire. VI - Le Misanthrope (
1666
) Il est inouï qu’après tout ce qu’on a découv
lus intelligents, les plus soigneux, n’ont rien lu sur Molière depuis
quinze
ans, c’est-à-dire depuis qu’on a commencé à l’étu
ns ses Réflexions critiques sur la Poésie et la Peinture, publiées en
1719
: " Plusieurs personnes dignes de foi m’ont assur
ope (Molière écrit toujours Misantrope), c’est l’édition originale de
1666,
année de la représentation, qu’il faut suivre, et
6, année de la représentation, qu’il faut suivre, et non pas celle de
1682,
arrangée déjà, et dénaturée surtout pour la ponct
on. Elle est introuvable, va-t-on nous crier ; il faut mettre jusqu’à
deux
mille francs, pour cette « plaquette ! » Soit, je
lle est introuvable, va-t-on nous crier ; il faut mettre jusqu’à deux
mille
francs, pour cette « plaquette ! » Soit, je lésai
laquette ! » Soit, je lésais mieux que personne ; mais, qu’est-ce que
deux
mille francs pour la Comédie Française ? La « pla
tte ! » Soit, je lésais mieux que personne ; mais, qu’est-ce que deux
mille
francs pour la Comédie Française ? La « plaquette
cet amalgame d’ignorance et de contresens, je finis par me perdre.
VII
- Le Tartuffe (1667) I. Le Tartuffe, don
rance et de contresens, je finis par me perdre. VII - Le Tartuffe (
1667
) I. Le Tartuffe, dont les trois premiers
contresens, je finis par me perdre. VII - Le Tartuffe (1667)
I
. Le Tartuffe, dont les trois premiers actes o
perdre. VII - Le Tartuffe (1667) I. Le Tartuffe, dont les
trois
premiers actes ont été joués à Versailles, devant
emiers actes ont été joués à Versailles, devant le roi et la Cour, le
12
mai 1664, aux fêtes des Plaisirs de Vile enchanté
actes ont été joués à Versailles, devant le roi et la Cour, le 12 mai
1664,
aux fêtes des Plaisirs de Vile enchantée, ne fut
hantée, ne fut représenté en public qu’une seule fois, au mois d’août
1667,
puis aussitôt défendu. Mais, après un an et demi
emi d’attente, la pièce reparut enfin, au théâtre du Palais-Royal, le
5
février 1669, avec l’approbation définitive de Lo
nte, la pièce reparut enfin, au théâtre du Palais-Royal, le 5 février
1669,
avec l’approbation définitive de Louis XIV, et le
qui en ait parlé dans sa Gazette en vers, n’était pas encore revenu,
quatre
jours après. A propos, dit-il en son mauvais styl
ière Le beau Tartuffe de Molière Alloit paroître… Il fallut près de
trois
mois, pour que le public se remît de cette émotio
r que le public se remît de cette émotion, en épuisant peu à peu, par
cinquante
représentations consécutives, données de deux jou
ant peu à peu, par cinquante représentations consécutives, données de
deux
jours l’un, le succès de l’œuvre, qui depuis cinq
cutives, données de deux jours l’un, le succès de l’œuvre, qui depuis
cinq
ans l’attirait sans qu’il pût l’atteindre, et le
-là est un des plus considérables dans l’histoire de l’esprit humain,
mille
et une causes avaient fait repousser le chef-d’œu
umain, mille et une causes avaient fait repousser le chef-d’œuvre, et
mille
et une causes le ramenèrent. Le roi, jeune et amo
par le passé, se relever avec l’appui d’Anne d’Autriche, morte depuis
trois
ans. Ce qui les abattait, faisait, au contraire,
spiré contre. C’est ce qui décida de l’événement, dont Molière, après
cinq
ans de lutte et d’attente, dut être surpris tout
ue, comme le temps qui le vit naître est une époque sans pareille.
II
. Les représentations de Tartuffe, sur toute la
t-on écrire Tartuffe ? N’y faut-il qu’un f, ou bien en faut-il mettre
deux
, comme nous venons de le faire ? Cette question,
scrit même de Molière, et revues par lui, qu’il faut non pas un, mais
deux
f. Maintenant que j’ai fait la recherche, je m’é
eût dit Rabelais. Molière, s’il avait pu, n’aurait pas seulement mis
deux
Z’, mais trois, mais quatre même, comme, à la pre
ais. Molière, s’il avait pu, n’aurait pas seulement mis deux Z’, mais
trois
, mais quatre même, comme, à la première syllabe,
, s’il avait pu, n’aurait pas seulement mis deux Z’, mais trois, mais
quatre
même, comme, à la première syllabe, il eût mis, n
atre même, comme, à la première syllabe, il eût mis, non pas un, mais
quatre
r, pour la mieux faire retentir au diapason de l’
il ne faudrait d’aucune façon afficher Tartuffe, ni avec un, ni avec
deux
f. Que faudrait-il donc, alors ? Il faudrait ce q
re, et le public y courant, comme à une pièce inédite ? Depuis tantôt
deux
siècles que cette comédie occupe le théâtre, elle
e chose que ce que Molière avait indiqué. Je n’en ferai voir qu’un ou
deux
exemples, et d’après un seul rôle, celui de Dorin
ntonnade, aura forcé la consigne de la mise en scène, et sera entrée,
douze
vers trop tôt. Elle aura sauvé sa présence inatte
x venus devraient, au moins, faire ce que les anciens dédaignent.
VIII
- Amphitryon (1663) I. Amphitryon est, p
au moins, faire ce que les anciens dédaignent. VIII - Amphitryon (
1663
) I. Amphitryon est, parmi les comédies d
aire ce que les anciens dédaignent. VIII - Amphitryon (1663)
I
. Amphitryon est, parmi les comédies de Molièr
ter Amphitryon sur son théâtre, put-il suffire à l’élaboration de ces
trois
actes exquis, où tout accuse le soin, les lenteur
lle. Or, à quelle époque cela nous reporte-t-il ? Au milieu d’octobre
1667,
au plus tôt. Et maintenant, quand Amphitryon fut-
ommencement du mois de janvier suivant. Molière n’aurait donc mis que
deux
mois et demi, tout au plus, non seulement à compo
outefois en être bien sur, qu’il écrivit et fit jouer les Fâcheux, en
quinze
jours. Mais ce qui était possible pour cette comé
reporter un peu à l’époque où Molière fit si vite la première de ces
deux
pièces, les Fâcheux, et à celle où, pour être dan
aurait dû écrire, non moins rapidement, la seconde, L’Amphitryon. En
1661,
quand les Fâcheux furent joués, il était jeune et
es chagrins mortels que lui causait Armande Béjard, fiancée adorée en
1661,
épouse infidèle en 1667, et les poignants ennuis
ui causait Armande Béjard, fiancée adorée en 1661, épouse infidèle en
1667,
et les poignants ennuis que la persécution de son
faire rire les autres du fond de ses propres douleurs, il pouvait, en
deux
mois, comme au temps de l’amour heureux et inspir
, ne faisait-il plus rien. Depuis le Médecin malgré lui, joué en août
1666,
deux mois après le Misanthrope, il n’avait pu don
aisait-il plus rien. Depuis le Médecin malgré lui, joué en août 1666,
deux
mois après le Misanthrope, il n’avait pu donner q
re lui fallait-il le temps de rallumer la flamme ; et ce n’est pas en
deux
mois seulement, que cette flamme de génie, tout à
ant mieux, parla vivante imitation qu’en avait donnée Rotrou dans ses
deux
Sosies. Il devait, comme c’est l’ordinaire pour l
ravail avec l’élaboration de plusieurs autres comédies. Peut-être, en
1667,
était-elle de toutes la plus avancée, et ne falla
lète. L’à-propos du nouvel amour du roi sera venu l’y engager, et les
deux
mois qui s’écoulèrent, entre la révélation de ce
onsentît à venir égayer de ses comédies le carnaval de Versailles, en
1668.
Déjà, l’année précédente, il s’était fait prier.
il faut que nuit et jour je n’aie aucun repos ! » Au mois de février
1668,
quand l’envie reprit au roi d’avoir sur son théât
idure, Dès qu’ils parlent, il faut voler.
Vingt
ans d’assidus services N’en obtienn
ur, Et sa bonté sans doute est pour nous sans seconde :
II
nous promet l’infaillible bonheur D
II nous promet l’infaillible bonheur D’une fortune, en
mille
biens féconde, Et, chez nous, il doit naître un
comme le mari de la comédie : « Tu l’as voulu, Georges Dandin ! »
II
. Le sujet d’Amphitryon, quand Molière le mit e
r amusement de lecture s’était bientôt doublé d’un autre. A la fin de
1636,
lorsqu’il allait avoir quinze ans, les comédiens
t bientôt doublé d’un autre. A la fin de 1636, lorsqu’il allait avoir
quinze
ans, les comédiens de l’Hôtel de Bourgogne, chez
hitryon latin. Un de leurs plus fameux auteurs, Rotrou, en avait fait
cinq
actes de comédie française, qu’il avait appelés l
avec les Sosies, soutenait, sans trop d’inégalité, la terrible lutte.
C
étaient, pour les délicats, deux œuvres à marcher
ns trop d’inégalité, la terrible lutte. C étaient, pour les délicats,
deux
œuvres à marcher de pair. Chapelain, notamment, n
pelain, notamment, ne les séparait pas dans son admiration : « Depuis
quinze
jours, écrivait-il, le 22 janvier 1637, à son ami
rait pas dans son admiration : « Depuis quinze jours, écrivait-il, le
22
janvier 1637, à son ami, le Manceau Belin, le pub
ns son admiration : « Depuis quinze jours, écrivait-il, le 22 janvier
1637,
à son ami, le Manceau Belin, le public a été dive
7, à son ami, le Manceau Belin, le public a été diverti du Cid et des
deux
Sosies, à un point de satisfaction qui ne se peut
se peut exprimer. Je vous ai fort désiré, à la représentation de ces
deux
pièces. » A la suite de l’une et de l’autre, on
ressés. C’est un quatrain en alexandrins, qui se trouve, signé de ses
deux
noms, à la suite de L’Ode à Richelieu, qui précèd
forme, il avait usé du bien de Rotrou, comme s’il était le sien. Les
cinq
actes de la Sœur, par exemple, sont ainsi passés,
e dans le tragique et dans le comique ? Fallait-il revenir au vers de
huit
pieds, qui était le rythme des anciennes farces ?
devenir en se renouvelant pour une comédie, avait, dans son Agésilas,
deux
ans auparavant, fait usage du vers libre. Il le l
ui l’emploie et l’acteur qui le dit ont l’oreille de leur métier.
IX
- L’Avare (1663) I. L’Avare est une des
t l’acteur qui le dit ont l’oreille de leur métier. IX - L’Avare (
1663
) I. L’Avare est une des pièces les plus
qui le dit ont l’oreille de leur métier. IX - L’Avare (1663)
I
. L’Avare est une des pièces les plus populai
velle, qui était déjà une des plus impérieuses nécessités du théâtre.
II
avait fait jouer son Amphitryon, où la forme du v
t assez vif, mais insuffisant. Cette comédie, d’ailleurs, n’avait que
trois
actes, et il en fallait cinq pour faire belle fig
Cette comédie, d’ailleurs, n’avait que trois actes, et il en fallait
cinq
pour faire belle figure dans un spectacle, et sur
e. Force lui fut donc de se décider à la grande épreuve, et de lancer
cinq
actes, puisqu’il n’en fallait pas moins pour une
mais, par l’éloge, on sentait qu’il était presque seul à le faire. Le
22
septembre 1668, par exemple, quinze jours après l
loge, on sentait qu’il était presque seul à le faire. Le 22 septembre
1668,
par exemple, quinze jours après la première repré
’il était presque seul à le faire. Le 22 septembre 1668, par exemple,
quinze
jours après la première représentation, Monsieur,
homme. Sans cela, plus de Don Juan. Ce n’est que de notre temps, vers
1840,
que le vrai nom fut rendu à la pièce. Jusque-là,
l’avaient ainsi voulu, et aussi les critiques, pour qui, pendant les
deux
derniers siècles, toute comédie en prose ne fut p
e comédie en prose ne fut pas une œuvre réellement sérieuse. Eût-elle
cinq
actes, elle n’était considérée que comme petite p
s paroles à son rôle, et mon bonhomme de père se corrigea un peu. ».
Vingt
fois, des gens qui avaient quelques détails de la
age, sa vie l’avait jeté : il travaillait, en écoutant, en regardant,
vingt
comédies ensemble. Toutes celles qu’il nous a lai
rois, le secret de Molière, le secret à jamais perdu de son génie.
II
. Molière était né dans une vieille maison, don
amais, il ne put arriver à se faire donner toute sa « légitime. » Sur
cinq
mille livres, il s’en manqua près de deux mille.
, il ne put arriver à se faire donner toute sa « légitime. » Sur cinq
mille
livres, il s’en manqua près de deux mille. Ce n’e
toute sa « légitime. » Sur cinq mille livres, il s’en manqua près de
deux
mille. Ce n’est pas tout : quand Molière fut reve
e sa « légitime. » Sur cinq mille livres, il s’en manqua près de deux
mille
. Ce n’est pas tout : quand Molière fut revenu de
s discrètement, sans paraître. Il lui fit offrir la somme nécessaire,
huit
mille livres, par Rohault, un de ses meilleurs am
crètement, sans paraître. Il lui fit offrir la somme nécessaire, huit
mille
livres, par Rohault, un de ses meilleurs amis, et
ut pas. La pièce était faite, d’ailleurs ; elle fut jouée, tout juste
huit
jours après. Si, par endroits, elle est, comme vo
ui fait, malgré lui, les frais de cette dépense, il faut savoir qu’en
1668,
les oranges de la Chine étaient de la plus coûteu
inet à côté de sa chambre, il nous fit entendre qu’il y avait là pour
cinq
cent mille livres de barres d’argent…, qui ne lui
à côté de sa chambre, il nous fit entendre qu’il y avait là pour cinq
cent
mille livres de barres d’argent…, qui ne lui rend
é de sa chambre, il nous fit entendre qu’il y avait là pour cinq cent
mille
livres de barres d’argent…, qui ne lui rendaient
es d’argent…, qui ne lui rendaient pas un sol de revenu ; qu’il avait
cent
mille écus, à la banque de Venise, qui ne lui don
argent…, qui ne lui rendaient pas un sol de revenu ; qu’il avait cent
mille
écus, à la banque de Venise, qui ne lui donnaient
vait cent mille écus, à la banque de Venise, qui ne lui donnaient pas
3
p. 100 ; qu’il avait à Gènes, d’où il était, quat
i ne lui donnaient pas 3 p. 100 ; qu’il avait à Gènes, d’où il était,
quatre
cent mille livres, dont il ne tirait guère plus d
i donnaient pas 3 p. 100 ; qu’il avait à Gènes, d’où il était, quatre
cent
mille livres, dont il ne tirait guère plus d’inté
naient pas 3 p. 100 ; qu’il avait à Gènes, d’où il était, quatre cent
mille
livres, dont il ne tirait guère plus d’intérêts ;
re qu’il avait été mieux que personne à même d’étudier sur le vif les
deux
plus beaux types d’avare, qu’il y eût en son temp
dieuse lésinerie, est pleine de cette légende Harpagonienne, dont ses
deux
amis, Racine et Molière, firent aussi, d’après lu
sseur, qui avait un procès contre un autre rôtisseur ; « Apporte-nous
deux
couples » de poulets, cela rendra ton affaire bon
fortune, et en faisaient une amorce à voleur. Un matin du mois d’août
1665,
ils furent trouvés assassinés. Deux voisins, deux
voleur. Un matin du mois d’août 1665, ils furent trouvés assassinés.
Deux
voisins, deux bandits du Pont-Neuf, les frères To
tin du mois d’août 1665, ils furent trouvés assassinés. Deux voisins,
deux
bandits du Pont-Neuf, les frères Touchet, avaient
st bien d’un lieutenant-criminel. Harpagon, que Molière mit au monde,
trois
ans après, lorsque l’actualité de cette avarice l
toutes les littératures du monde, un véritable droit de conquête.
X
- Georges Dandin (1668) Quelques-unes des pièc
res du monde, un véritable droit de conquête. X - Georges Dandin (
1668
) Quelques-unes des pièces de Molière doivent ê
ute la pièce à nous faire entendre des variations sur son meâ culpâ.
II
a voulu se mettre de la Noblesse, par un mariage
se moquât, sans indiquer qu’il fallût un seul instant le plaindre.
XI
- Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Je risquera
fallût un seul instant le plaindre. XI - Le Bourgeois Gentilhomme (
1670
) Je risquerai, s’il vous plaît, quelques mots
que possible, de peur, d’en voir évaporer presque tout le parfum. En
1669,
le grand Turc, comme on appelait alors le sultan,
même au besoin. La harangue que lui débita l’ambassadeur marocain de
1699,
commençait, par exemple, ainsi : « Très haut, trè
e Imperiale. » Le grand roi ne réclama pas ; il laissa le Marocain de
1699
l’appeler empereur, comme il l’avait permis au Tu
rocain de 1699 l’appeler empereur, comme il l’avait permis au Turc de
1669.
L’ambassade de celui-ci, qui, je l’ai dit, était
Il n’avait qu’un signe à faire à l’homme qui menait sa barque, et en
deux
ou trois coups de rame il était sur l’autre rive,
ait qu’un signe à faire à l’homme qui menait sa barque, et en deux ou
trois
coups de rame il était sur l’autre rive, examinan
e qui lui manquait pour naître. Une lettre de Mlle Du Pré à Bussy, du
27
décembre 1669, qui, je crois, n’a jamais été cité
nquait pour naître. Une lettre de Mlle Du Pré à Bussy, du 27 décembre
1669,
qui, je crois, n’a jamais été citée à ce propos,
attendait de Molière étaient de celles-là. C’est au mois de décembre
1669,
que s’était passée l’aventure, et que Molière ava
et, en sortant, n’avait rien dit à Molière, qui s’en désespéra et fut
huit
jours à ne plus reparaître. Au bout de ce temps,
donnez-vous la peine de lire le Discours physique de la parole, qui,
deux
ans avant cette bouffonne leçon de lecture faite
outefois, que les dents se touchent, on formera une troisième voix en
I
… Je n’en citerai pas plus long. Gela suffit pour
ripeaux, de sortir de scène, ce qui fait tout un entracte de plus.
XII
- La Comtesse d’Escarbagnas (1671) La Comédie
ui fait tout un entracte de plus. XII - La Comtesse d’Escarbagnas (
1671
) La Comédie Française, dans son ardeur de coq
. Autre chose encore que les suffrages du grand roi nous obligerait à
1
indulgence, si Molière en avait besoin ; c’est l’
ieurs fois, mais on sait qu’il eut plus d’une passion malheureuse.
XIII
- Psyché (1671) La première pièce qui ait été
s on sait qu’il eut plus d’une passion malheureuse. XIII - Psyché (
1671
) La première pièce qui ait été faite par plus
, ne fût-ce que par un conseil, à l’œuvre dont nous allons parler. «
Quatre
amis, écrit donc La Fontaine, au prélude de sa Ps
ler. « Quatre amis, écrit donc La Fontaine, au prélude de sa Psyché,
quatre
amis, dont la connaissance avait commencée par le
ns être incommode » ; Gélaste (Boileau) « était fort gai. » Quant aux
deux
autres, Racine, qui prend dans ce roman le nom d’
rs écrits et en formaient le principal caractère. Ils penchaient tous
deux
vers le lyrique, avec cette différence qu’Acante
littéraire, dont il a été dit un mot tout à l’heure, communiqua à ses
trois
amis « le dessein » d’un ouvrage « auquel il avai
ns tarder, il s’était mis à l’œuvre. Le roman de La Fontaine parut en
1670,
et Molière alors avait déjà, depuis un an, conçu
Corneille a employé une quinzaine, au reste. » L’avez-vous entendu ?
Quinze
jours, pour faire trois, que dis-je ? presque qua
quinzaine, au reste. » L’avez-vous entendu ? Quinze jours, pour faire
trois
, que dis-je ? presque quatre de ces actes si plei
z-vous entendu ? Quinze jours, pour faire trois, que dis-je ? presque
quatre
de ces actes si pleins, si abondants et si forts
? presque quatre de ces actes si pleins, si abondants et si forts !..
Quinze
jours seulement à ce vieillard de soixante-cinq a
si abondants et si forts !.. Quinze jours seulement à ce vieillard de
soixante-cinq
ans, pour écrire la charmante scène du second act
e morceau de tendresse parlée, qui soit dans toutes les littératures.
Quinze
jours, à ce barbon, pour retrouver toutes les vig
seule négligence, si c’en est une, que nous ayons remarquée dans ces
quatre
actes en vers, faits en quinze jours. Qu’étaient-
une, que nous ayons remarquée dans ces quatre actes en vers, faits en
quinze
jours. Qu’étaient-ce donc que ces géants, et que
c que ces géants, et que sommes-nous auprès, nous, qu’un acte fait en
deux
ou trois mois essouffle, et qui nous vantons de n
s géants, et que sommes-nous auprès, nous, qu’un acte fait en deux ou
trois
mois essouffle, et qui nous vantons de n’être pas
’une de ces pièces à gros ressorts, griffonnées sur un tremplin entre
deux
praticables, machinées et non écrites, qui se reg
mation. Psyché fut un très grand succès. On la joua, dans l’origine,
quatre-vingt-quatre
fois presque de suite. En janvier 1673, deux ans
dans l’origine, quatre-vingt-quatre fois presque de suite. En janvier
1673,
deux ans après la première représentation, on la
’origine, quatre-vingt-quatre fois presque de suite. En janvier 1673,
deux
ans après la première représentation, on la donna
on la donnait encore. Molière y parut, moins d’un mois avant sa mort.
IL
y jouait le plus modeste rôle, celui de Zéphyre,
c le personnage du Malade imaginaire, le dernier rôle où on l’ait vu.
Onze
ans après, en 1684, la pièce fut remise, comme on
Malade imaginaire, le dernier rôle où on l’ait vu. Onze ans après, en
1684,
la pièce fut remise, comme on disait alors, et so
is d’octobre suivant, il était mort. Troisième Partie. Varia
I
- Les Poquelin à Bordeaux M. Ernest Gaullieur
ou gros marchands, convient, après bien des recherches, dans le tome
V
de ses manuscrits légués à la Bibliothèque de la
mille, oublia d’y faire figurer l’auteur du Bourgeois gentilhomme. En
1773,
quand l’Académie Française, voulant célébrer le c
e nous venons de dire. Aujourd’hui, septième jour du mois d’août mil
six
cens soixante-trois, après midi, par devant moi,
nons de dire. Aujourd’hui, septième jour du mois d’août mil six cens
soixante-trois
, après midi, par devant moi, notaire royal à Bord
de mars dernier, un petit paquet de dentelle de soie noire, contenant
soixante-trois
aulnes, à un courrier ordinaire d’Espagne, pour i
te audit Bureau de la comptablie, laquelle revient à la somme de sept
cent
cinquante six livres, qui est, pour la moitié, tr
dit Bureau de la comptablie, laquelle revient à la somme de sept cent
cinquante
six livres, qui est, pour la moitié, trois cent s
de la comptablie, laquelle revient à la somme de sept cent cinquante
six
livres, qui est, pour la moitié, trois cent soixa
la somme de sept cent cinquante six livres, qui est, pour la moitié,
trois
cent soixante-dix-huit livres, pour tous droits,
mme de sept cent cinquante six livres, qui est, pour la moitié, trois
cent
soixante-dix-huit livres, pour tous droits, frais
e sept cent cinquante six livres, qui est, pour la moitié, trois cent
soixante-dix-huit
livres, pour tous droits, frais, amandes et préte
t nom, lui a payé réellement, et de fait et comptant, ladite somme de
trois
cent soixante-dix-huit livres tournoises, en loui
lui a payé réellement, et de fait et comptant, ladite somme de trois
cent
soixante-dix-huit livres tournoises, en louis d’a
a payé réellement, et de fait et comptant, ladite somme de trois cent
soixante-dix-huit
livres tournoises, en louis d’argent, de trois li
trois cent soixante-dix-huit livres tournoises, en louis d’argent, de
trois
livres pièce, et autre bonne monnaie, faisant lad
tc. (Archives départementales de la Gironde, minutes de F. Couthures,
118,
6, fol. 900.) II - La Montre de Molière L
Archives départementales de la Gironde, minutes de F. Couthures, 118,
6,
fol. 900.) II - La Montre de Molière La m
départementales de la Gironde, minutes de F. Couthures, 118, 6, fol.
900.
) II - La Montre de Molière La montre de M
ntales de la Gironde, minutes de F. Couthures, 118, 6, fol. 900.)
II
- La Montre de Molière La montre de Molière n
uel prix ? Je l’ignore ; mais ce doit être à bon compte. Il n’y a pas
deux
prix pour de pareils trésors : c’est tout,’quand
tait à lui. Il n’avait pas, nous dit-on, donné, pour l’avoir, plus de
deux
cents francs ! Le voilà bien fier, bien heureux,
à lui. Il n’avait pas, nous dit-on, donné, pour l’avoir, plus de deux
cents
francs ! Le voilà bien fier, bien heureux, mais a
, qui, de son prénom, s’appelait Daniel et qui signa, dans l’acte, le
22
février, comme oncle maternel du père Poquelin. C
quelques autres, comme ce bon vieux Crépy, lui restèrent attachés.
III
- La Valise de Molière Il est un homme dont o
n profit. Il s’agissait de fêter la naissance du grand homme, pour la
246e
fois. Les fleurs manquaient un peu, après de si n
. J’inventai une valise — sœur cadette de celle que Molière perdit, à
deux
pas de Pézenas, entre Gignac, Lavagnac et Montagn
eurs, pour les réciter devant le prince. La Thorillière et Du Croisy,
deux
comédiens de Molière, cherchant comme lui la vali
qui précédera la pièce, — si pièce il y a, — l’historique complet des
douze
fragments. Les uns viennent d’une découverte fait
des douze fragments. Les uns viennent d’une découverte faite, il y a
neuf
ans, à Avignon, par M. le marquis Henri de la Gar
ière. C’est un malheur que je réparerai ici pour le plus précieux des
trois
fragments publiés par M. d’Ortigues, celui que j’
i, où semble brûler la passion d’Alceste : Mon esprit fut troublé de
mille
objets fascheux, Je fis mille desseins, mille vœu
d’Alceste : Mon esprit fut troublé de mille objets fascheux, Je fis
mille
desseins, mille vœux, mille plaintes,
n esprit fut troublé de mille objets fascheux, Je fis mille desseins,
mille
vœux, mille plaintes, J’eus mille so
troublé de mille objets fascheux, Je fis mille desseins, mille vœux,
mille
plaintes, J’eus mille soupçons, mill
Je fis mille desseins, mille vœux, mille plaintes, J’eus
mille
soupçons, mille craintes, Et perdis tout espoir d
seins, mille vœux, mille plaintes, J’eus mille soupçons,
mille
craintes, Et perdis tout espoir d’être jamais heu
J’allay m’imaginer, pour comble de mes maux, Que l’ingrate resvoit à
deux
de mes rivaux. Ce fut pour lors, que
hayt davantage ; Et ne connoissant plus ni respect ni devoir, Je fis
mille
sermens de ne la jamais voir ! Mais que ce mouvem
qu’il est mal aisé De haïr longtemps ce qu’on aime !
IV
- >Une scène inconnue du Festin de Pierre.
s des comédies ou des ; farces perdues de Molière : c’est la pièce en
trois
actes de Champmeslé, jouée et imprimée en 1682, l
e : c’est la pièce en trois actes de Champmeslé, jouée et imprimée en
1682,
les Fragments de Molière. Elle commence par une s
Molière lui-même, devant le roi, à Saint-Germain-en-Laye, en décembre
1666148,
et qui ne nous est pas parvenue tout entière. Ens
’était pas encore imprimée. Elle ne le fut qu’à la fin de cette année
1682,
par suite peut-être des indiscrétions de la coméd
ntaine, son collaborateur ordinaire, l’y eût singulièrement aidé.
V
- L’Alceste et le Philinte du Misanthrope trouvés
culminante de ce rôle, à l’heure où Molière nous le montre en proie à
mille
ennuis, dont un seul suffirait pour le mettre hor
s avec ses idées et le ton même de ses pensées. Donnons une preuve ou
deux
. Que veut l’indulgent Philinte, à Rencontre d’Alc
nce d’histoire. L’habit gris, sous Louis XIV, c’était tout un monde à
cent
lieues de celui de la Cour, aux antipodes de celu
t en lui d’indépendance et de mépris pour les « communs usages. »
VI
- Origine de quelques vers du Tartuffe 149 N
les « communs usages. » VI - Origine de quelques vers du Tartuffe
149
Notre découverte d’une petite scène oubliée
Chorier a si audacieusement « bravé l’honnêteté » sous le manteau de
deux
noms respectables, ceux d’Aloyse Sigée, fille sav
ione sua, de rebus omnibus confidunt, hominum generi confidentissimo
151
.… Id inter nos longe utilissimum et celeberrimum
fatum : gaud ere quo quisque maxime potuerit, sed clandestino gaudio
152
, etc. » Nous abrégeons cette tirade153, qui est
ommune, la première édition de l’Aloysia fut publiée à Grenoble, vers
1660
(sept ans avant la première représentation du Tar
rcourait les provinces avec sa Troupe, et Chorier lui-même a consigné
deux
fois ce souvenir, d’abord dans sa vie de Boëssat1
e. Rapprochez ce trait de ce qu’on lit dans L’Apologie pour Hérodote
158
et vous saurez d’où il vient : « A propos de bête
présage de sévérité. » O Molière, que dirais-tu du commentaire ?
VII
- Débat littéraire sur deux vers du Tartuffe
Molière, que dirais-tu du commentaire ? VII - Débat littéraire sur
deux
vers du Tartuffe Il y a tant à voir, tant à
ndre dans les rôles des Comédies de Molière, joués chaque jour depuis
deux
siècles, que tout le monde sait par cœur et que p
choses du théâtre, un débat de ce genre s’éleva tout à coup sur un ou
deux
vers du rôle d’Orgon. Ces deux vers, qui sont des
ce genre s’éleva tout à coup sur un ou deux vers du rôle d’Orgon. Ces
deux
vers, qui sont des plus connus, et à propos desqu
s’aviserait pas de croire qu’une discussion puisse être possible, ces
deux
vers, les voici : C’est un homme… qui… ah !… un
à, fut d’un avis contraire, et bien qu’il eût à combattre un usage de
deux
siècles, il soutint fort et ferme que les dernier
Molière, ou que, tout au moins, elle est de Chapelle, dont l’initiale
C
se glissa même comme signature au bas de la premi
onnes qualités ; et tout cela se réduit pourtant à dire encore une ou
deux
fois : mais un homm e ! un homme, et à conclure :
n qui lui réponde, se trouvera-t-il satisfait ? Je n’en doute pas.
VIII
- Conseils aux comédiens qui jouent le rôle de Ta
des théâtres. La Comédie Française ! qui déjà nous en avait donné par
centaines
, se tenait seule sur la réserve, quoiqu’elle eût
il vint, n’avait pas de souliers, Et dont l’habit entier valait bien
six
deniers. Entré chez Orgon, il se décrasse et s’e
rôles qui tiennent à celui de l’hypocrite. Bressant n’a mis entre les
deux
personnages que l’épaisseur d’un masque de carton
le voyant. Quand on s’est trompé, les bonnes leçons portent mieux.
IX
- Le Bourgeois gentilhomme et ce que nous apprend
avait-il duré pour Molière et sa troupe, et quels profits chacun des
douze
comédiens ou comédiennes qui avaient droit à « pa
rt entière » en avait-il retiré ? Voilà ce qu’on ignorait et ce qu’en
cinq
ou six lignes au plus nous apprend le très méthod
re » en avait-il retiré ? Voilà ce qu’on ignorait et ce qu’en cinq ou
six
lignes au plus nous apprend le très méthodique et
ous apprend le très méthodique et mathématique Lagrange : « Vendredi
3
octobre (1670), écrit-il, la Troupe est partie po
le très méthodique et mathématique Lagrange : « Vendredi 3 octobre (
1670
), écrit-il, la Troupe est partie pour Chambord, p
ois gentilhomme, pièce nouvelle de M. de Molière. Le retour a esté le
28°
dudit mois. Reçu de part, pour nourriture et grat
é le 28° dudit mois. Reçu de part, pour nourriture et gratification :
600
livres 10 sols. » Molière, quoique sa pièce eût
dit mois. Reçu de part, pour nourriture et gratification : 600 livres
10
sols. » Molière, quoique sa pièce eût fait ainsi
jouer à Paris. La saison n’était pas assez bonne encore. Il attendit
trois
semaines ; ce n’est que le 30 novembre, un dimanc
pas assez bonne encore. Il attendit trois semaines ; ce n’est que le
30
novembre, un dimanche, qu’il la donna pour la pre
ce : elle monta — c’est encore Lagrange qui nous donne ce chiffre — à
1,397
livres, fort jolie somme, je le répète, bien qu’e
’auparavant, avait produite la cinquième représentation de Tartuffe :
2,310
livres. La seconde du Bourgeois fut en baisse : e
,310 livres. La seconde du Bourgeois fut en baisse : elle descendit à
1,260
livres. Molière eut peur que les autres ne suivis
sa réserve : une tragédie nouvelle de Corneille, Tite et Bérénice.
Cinq
jours après le Bourgeois, dans la semaine même, l
s, dans la semaine même, le vendredi, il la fit jouer. Depuis plus de
trois
ans, Corneille vieilli, découragé, n’avait rien f
embourbé dans la plus infime, la plus invraisemblable des recettes :
64
livres ! l’avait brisé, anéanti. Il ne voulait pl
rement un chef-d’œuvre, elle voulait que l’émulation s’en mêlât : les
deux
plus beaux génies tragiques de son règne, M. Corn
, il n’avait pas marchandé : il avait payé à Corneille la même somme,
2,000
livres, versée le jour même de la première représ
range écrit, en effet, à la marge de son Registre, sous cette date du
28
novembre 1670 : « Bérénice, pièce nouvelle de M.
en effet, à la marge de son Registre, sous cette date du 28 novembre
1670
: « Bérénice, pièce nouvelle de M. Corneille l’aî
« Bérénice, pièce nouvelle de M. Corneille l’aîné, dont on lui a payé
2,000
livres. » Pour la tragédie d’Attila, il avait ajo
Le succès en fut brillant. La première recette n’alla pas à moins de
1,913
livres, et pendant les autres représentations, qu
, pour quiconque s’occupe de notre théâtre en son plus beau temps.
X
- Un mot d’histoire sur le Malade imaginaire
s. X - Un mot d’histoire sur le Malade imaginaire Le dimanche
15
janvier 1860, on fêtait Molière plus dignement qu
n mot d’histoire sur le Malade imaginaire Le dimanche 15 janvier
1860,
on fêtait Molière plus dignement que jamais, à l’
er 1860, on fêtait Molière plus dignement que jamais, à l’occasion du
258e
anniversaire de sa naissance. Le nouvel administr
érieuses, servent, pour ainsi dire, de point de démarcation entre les
deux
parties si distinctes de son répertoire : d’un cô
ais, ensemble, ils pouvaient espérer bien plus encore. C’est ce qu’en
1672,
il fut convenu qu’ils tenteraient pour accaparer
ur accaparer à leur profit le privilège de l’Opéra, donné par le roi,
trois
ans auparavant, à l’abbé Perrin, qui, de compagni
it eu, depuis peu de temps, le charmant spectacle de Psyché , où tous
deux
nous avions eu notre part de plaisir et de gloir
i de ce traité, quand Lully, plus éveillé que moi, partit de la main,
deux
jours avant celui dont nous étions convenus. Il a
lait réduire Molière à tout supprimer ou du moins à tout restreindre.
Six
violons, au lieu de vingt, que la Comédie employa
out supprimer ou du moins à tout restreindre. Six violons, au lieu de
vingt
, que la Comédie employait depuis 1634, et deux ch
indre. Six violons, au lieu de vingt, que la Comédie employait depuis
1634,
et deux chanteurs au plus, voilà tout ce que voul
x violons, au lieu de vingt, que la Comédie employait depuis 1634, et
deux
chanteurs au plus, voilà tout ce que voulait lui
Lully avait tout pris : le théâtre, les chanteurs et les violons.
XI
- Les interprètes de Molière au Théâtre-Français.
s violons. XI - Les interprètes de Molière au Théâtre-Français.
7
février 1859. Il y a quelques année ? encore, la
XI - Les interprètes de Molière au Théâtre-Français. 7 février
1859.
Il y a quelques année ? encore, la Comédie Franç
re un peu trop comme une vieille connaissance. Elle le recevait entre
deux
paravents, ne mettait au service de ses pièces qu
ces jours-ci, lors de la reprise de L’École des Maris. J’ai vu jouer
cent
fois cette comédie avec toutes sortes de sans-gên
r les nombreuses dissemblances qui existent entre le caractère de ces
deux
hommes. Il y tient ; c’est pour lui un premier tr
res se dérouleront, comme des conséquences naturelles. Sans cela, ses
deux
personnages ne sembleront plus posés ; faute de l
iste. Il est vrai dans sa bonhomie, comme l’autre dans sa brusquerie.
C
est surtout à cause de lui et du costume qu’il po
il, sur ces matières, De vos jeunes muguets m’inspirer les manières ?
M
obliger à porter de ces petits chapeaux Qui laiss
s grands canons où, comme en des entraves. On met tous les matins ses
deux
jambes esclaves, Et par qui nous voyons ces messi
ignorance ou malice. Je penche volontiers pour la malice, et vous ?
17
décembre 1861 . La Comédie Française, qui ne n
malice. Je penche volontiers pour la malice, et vous ? 17 décembre
1861
. La Comédie Française, qui ne nous gâte point
lus, s’est dédommagée de cette disette, en nous servant coup sur coup
deux
des plus excellents morceaux de son admirable rép
ajourner faute d’espace et de temps, on a donné les Femmes savantes.
Deux
débuts importants y ajoutaient leur curiosité et
remière fois, le rôle de Philaminte, et Mlle Judith, celui d’Armande,
deux
terribles rôles ! Il y faut, avant tout, un grand
le ton pédant qui convient ici, ou plutôt le ton de pédante, qui est
cent
fois, mille fois pire. Oh ! l’arme terrible, qui
ant qui convient ici, ou plutôt le ton de pédante, qui est cent fois,
mille
fois pire. Oh ! l’arme terrible, qui d’un côté tr
une prude de philosophie, l’autre une prude de dévotion, ce qui fait
deux
fières hypocrites, mais, en somme, un type presqu
t peu à peu. Ses progrès nous ont surpris dans le rôle d’Henriette.
23
janvier 1865. Nous avons eu, depuis quelque t
. Ses progrès nous ont surpris dans le rôle d’Henriette. 23 janvier
1865.
Nous avons eu, depuis quelque temps, bien des
des théâtres. La Comédie Française, qui déjà nous en avait donné par
centaines
, se tenait seule sur la réserve, quoiqu’elle eût
il vint, n’avait pas de souliers, Et dont l’habit entier valait bien
six
deniers. Entré chez Orgon, il se décrasse et s’e
es rôles qui tiennent à celui d’hypocrite. Bressant n’a mis entre les
deux
personnages que l’épaisseur d’un masque de carton
sion du chef-d’œuvre tout entier, alors qu’elle n’en jouait qu’une ou
deux
scènes ? Où donc est-elle la vraie servante de Mo
elle parle, on croit entendre une coquette de Marivaux. C’est trop de
deux
répertoires à la fois. Malgré ses défauts, elle e
Il y résistait, et il avait raison. Maintenant je suis de son avis.
16
novembre 1869. Il y a toujours quelque chos
it, et il avait raison. Maintenant je suis de son avis. 16 novembre
1869.
Il y a toujours quelque chose à trouver pou
a sottise, ou plutôt sous sa manie de la noblesse et des grands airs,
31.
Jourdain garde un certain bon sens : il n’est pas
e répertoire, c’est un trait inaperçu ; pour celui du temps, à qui il
11e
pouvait échapper, c’était une révélation sur la m
e ingénue pour faire crouler tout cet échafaudage de fausse raison.
19
août 1869. Lorsque je vis annoncer le Misanth
e pour faire crouler tout cet échafaudage de fausse raison. 19 août
1869.
Lorsque je vis annoncer le Misanthrope sur l’
thrope sur l’affiche du Théâtre-Français, pour le spectacle gratis du
15
août, je craignis un peu, j’en conviens. Le peupl
anguit agréablement dans le rôle d’Éliante. Mirecour, qui joue depuis
trente
ans le rôle d’Oronte, ne l’a jamais joué mieux, e
ssi Lien que Louis XIV, l’autre grand roi, si différent du nouveau.
9
août 1869. Il est toujours bon de parler de M
n que Louis XIV, l’autre grand roi, si différent du nouveau. 9 août
1869.
Il est toujours bon de parler de Molière et d
du Misanthrope, mais encore faut-il que l’à-propos s y trouve et que
1’’occasion
soit bien prise. Or, aucune ne pouvait être meill
re mieux ressorti peut-être par le contraste. C’était bien le choc de
deux
extrêmes, l’un et l’autre absolument sincères, si
te culminante du rôle, à l’heure où Molière nous le montre en proie à
mille
ennuis dont un seul suffirait pour le mettre hors
s avec ses idées et le ton même de ses pensées. Donnons une preuve ou
deux
. Que veut l’indulgent Philinte, à l’encontre d’Al
ce d’histoire. L’habit gris, sous Louis XIV, c’était tout un monde, à
cent
lieues de celui de la cour, aux antipodes fie cel
y avait en lui d’indépendance et de mépris « des communs usages. ».
4
octobre 1869 Nous avons enfin vu Lafontaine
lui d’indépendance et de mépris « des communs usages. ». 4 octobre
1869
Nous avons enfin vu Lafontaine dans le rôle
la meilleure leçon qu’il puisse suivre. Qu’il s’en aille, un jour ou
deux
, à Nemours, où Geffroy s’est retiré et s’ennuie p
où le comédien m’amuse à peindre ce qu’il n’a plus voulu jouer, entre
deux
parties de chasse ou deux parties de dominos, il
eindre ce qu’il n’a plus voulu jouer, entre deux parties de chasse ou
deux
parties de dominos, il en apprendra mille fois pl
re deux parties de chasse ou deux parties de dominos, il en apprendra
mille
fois plus que je ne pourrais lui en dire : il ver
st si naturelle ; Maubant s’est fait un beau et juste succès dans les
deux
ou trois scènes de Cléante, que personne n’a jama
turelle ; Maubant s’est fait un beau et juste succès dans les deux ou
trois
scènes de Cléante, que personne n’a jamais dites
u qu’avec son unique scène, il eût le plus beau succès de la pièce.
5
mai 1873. Nous vous avons trop souvent parl
vec son unique scène, il eût le plus beau succès de la pièce. 5 mai
1873.
Nous vous avons trop souvent parlé de l’Éco
homme mûr, affolé, comme Arnolphe, autour des jupes d’une fillette de
dix-sept
ans, qu’à ce même moment il prit pour femme et po
itoyable, dût-elle être — ce qui ne fut que trop — contre lui-même.
31
janvier 1877. La ferveur pour Molière ne s’at
ût-elle être — ce qui ne fut que trop — contre lui-même. 31 janvier
1877.
La ferveur pour Molière ne s’attiédit pas. Ja
troisième Théâtres Français se sont mis en frais d’à-propos, et tous
trois
y ont été heureux. Au troisième Théâtre-Français,
’était encore que Poquelin — M. d’Hervilly l’appelle Molière, près de
deux
ans trop tôt — en fournit l’aventure, qui n’est p
eorges Pinel, « maître écrivain à Paris », qui, une première fois, en
1641,
avait emprunté au tapissier, quelque peu fripier
nté au tapissier, quelque peu fripier et préteur à la petite semaine,
cent
soixante-douze livres, et deux ans plus tard, cen
u tapissier, quelque peu fripier et préteur à la petite semaine, cent
soixante-douze
livres, et deux ans plus tard, cent soixante autr
ripier et préteur à la petite semaine, cent soixante-douze livres, et
deux
ans plus tard, cent soixante autres. Ce pauvre ho
la petite semaine, cent soixante-douze livres, et deux ans plus tard,
cent
soixante autres. Ce pauvre homme, dont la plume à
tite semaine, cent soixante-douze livres, et deux ans plus tard, cent
soixante
autres. Ce pauvre homme, dont la plume à calligra
phier était le métier, n’en vivait, un le voit, que fort malaisément.
Cinq
mois après le dernier de ces emprunts, qui témoig
ouve si peu. C’est un bouquet de fête, pour lequel manque le fêté.
XII
- Le Musée de Molière au Théâtre-Français Il
« Singulière destinée des choses ! s’écrie alors M. René Delorme : à
trois
siècles de distance, cette cloche sonna sur la sc
ur être vrai. Dans cette tradition de machinistes, tout est faux : le
4
novembre 1789, lorsque Charles IX fut représenté,
i. Dans cette tradition de machinistes, tout est faux : le 4 novembre
1789,
lorsque Charles IX fut représenté, Saint-Germain-
la salle de l’Odéon ; enfin — c’est ce que nous allons démontrer par
deux
faits catégoriques — la cloche ne provenait pas d
date inscrite sur ses parois de bronze, qu’elle n’avait pu tinter, le
24
août 1572. Édouard Thierry, lorsqu’il était direc
crite sur ses parois de bronze, qu’elle n’avait pu tinter, le 24 août
1572.
Édouard Thierry, lorsqu’il était directeur du Thé
laireur, il put lire, sur la bordure de cette cloche, le millésime de
1740.
De cette date à 1572, il y a loin, convenez-en. É
sur la bordure de cette cloche, le millésime de 1740. De cette date à
1572,
il y a loin, convenez-en. Édouard Thierry, de qui
ûr que la cloche, dite de la Saint-Barthélemy, n’avait pas quitté, en
1789,
la tour de Saint-Germain-l’Auxerrois, et qu’aujou
rez la Gazette nationale ou Moniteur universel, à la date du dimanche
26
août 1792, vous y lirez ce qui suit : « Sur les c
azette nationale ou Moniteur universel, à la date du dimanche 26 août
1792,
vous y lirez ce qui suit : « Sur les conclusions
plus vulgaire, si elle était à la gloire d’un roi. Parlant, à la page
314
de son volume, de l’anecdote du déjeuner : « Le p
r : « Le premier écrivain, dit-il, qui fait lancée est Mme Campan, en
1823.
Elle dit la tenir de son beau-père, qui la tenait
cin). » Comme preuve de ce qu’il dit, Eugène Despois renvoie au tome
IV
,p. 4, des Mémoires de Mme Campan. Or, tout cela e
détail le plus minime jusqu’au plus important. Les Mémoires n’ont pas
quatre
, mais trois volumes seulement, et le fait se trou
s minime jusqu’au plus important. Les Mémoires n’ont pas quatre, mais
trois
volumes seulement, et le fait se trouve non pas à
mais trois volumes seulement, et le fait se trouve non pas à la page
4,
mais à la 8e du tome III. Vétille ! dira-t-on. So
olumes seulement, et le fait se trouve non pas à la page 4, mais à la
8e
du tome III. Vétille ! dira-t-on. Soit ; mais voi
ement, et le fait se trouve non pas à la page 4, mais à la 8e du tome
III
. Vétille ! dira-t-on. Soit ; mais voici qui est p
abarin jusqu’à Molière. Quand arriva-t-il à la Comédie Française ? En
1839,
dit-il d’abord ; puis, une lettre de l’excellent
d ; puis, une lettre de l’excellent Regnier survenant, il penche pour
1838,
et, enfin, croyant trop sur parole une autre lett
ur 1838, et, enfin, croyant trop sur parole une autre lettre datée de
1845,
il s’arrête à cette dernière date. Celle de 1839
tre lettre datée de 1845, il s’arrête à cette dernière date. Celle de
1839
est pourtant la bonne. Elle se trouve fixée par l
ici, en effet, ce que nous lisons dans la Revue de Bruxelles, de mars
1839,
p. 205. « Un tableau curieux, qui faisait autref
bleau curieux, qui faisait autrefois partie de la belle collection de
M
gr le cardinal de Lugner, vient d’être donné au f
achel un retour à la fortune et à la gloire. Quand elle partit, après
dix-sept
ans de succès dans les deux répertoires (celui de
à la gloire. Quand elle partit, après dix-sept ans de succès dans les
deux
répertoires (celui de Racine et de Corneille, cel
rtune, va vous le dire. On y lisait au total de ses représentations :
4,394,234
francs 10 centimes. Je dépose en vos mains mes t
dire. On y lisait au total de ses représentations : 4,394,234 francs
10
centimes. Je dépose en vos mains mes titres de n
re. On y lisait au total de ses représentations : 4,394,234 francs 10
centimes
. Je dépose en vos mains mes titres de noblesse,
e même langage : Soit ! Je conserverai vos parchemins, Altesse !
XIII
- Le Jubilé de Molière à la salle Ventadour. M
ltesse ! XIII - Le Jubilé de Molière à la salle Ventadour. Mai
1873
I. Ce qui distingue les grands hommes, des
! XIII - Le Jubilé de Molière à la salle Ventadour. Mai 1873
I
. Ce qui distingue les grands hommes, des autr
s anciens. Rome, qui se croyait la ville éternelle, faisait, tous les
cent
ans, une halte dans son éternité. Chaque siècle d
orait de plus divin trouva son hommage et sa prière. Cette année (mai
1873
), l’occasion d’une de ces cérémonies s’est présen
ne commence qu’à sa mort, se rappela, quand arriva le mois de février
1773,
qu’un siècle auparavant, une des immortalités qui
es à le bien exécuter. La Comédie ne s’en tint pas là. Il lui fallait
deux
soirées au moins pour célébrer dignement son gran
moins pour célébrer dignement son grand boni me, et, par conséquent,
deux
pièces. Avant celle d’Arthaud, qui viendrait le s
oulut être de l’une ou de l’autre pièce. Quelques-uns furent même des
deux
. Dans celle du premier soir, qui était toute en v
e « ballet héroïque », avec tout le personnel de la Comédie. C’est le
17
février 1773, jour même de l’anniversaire, que ce
héroïque », avec tout le personnel de la Comédie. C’est le 17 février
1773,
jour même de l’anniversaire, que cela se passa. L
entière déploya de piété et de reconnaissance envers Molière, il y a
cent
ans : Ce jour, le sieur Lekain, l’un de nos’ cam
eprésentation de L’Assemblée, qui doit être jouée, mercredi prochain,
17
courant, pour célébrer la Centenaire de Molière,
cette fête de Molière, sans que la Cour y donnât son applaudissement.
Deux
semaines après, le 3 mars, la Centenaire de Moliè
ans que la Cour y donnât son applaudissement. Deux semaines après, le
3
mars, la Centenaire de Molière fut jouée, devant
e sa naissance : « C’est ainsi, dit-il, c’est ainsi qu’à Londres, en
1716,
pour célébrer la centenaire de Shakespeare, on fi
e la gaieté pour son œuvre. Ils eurent, ces braves comédiens d’il y a
cent
ans, le sentiment parfait de ce qu’exigeait cette
faisait de si belles fêtes ! La pièce de la Mort de Molière, drame en
4
actes et en vers, par M. Plichon, si elle est un
il veut ! Colosse, il arrive à faire croire qu’il est poitrinaire.
II
. Comme nous l’avions espéré, les derniers jour
l’esprit net et clairvoyant de l’habile démonstrateur. Cela nous fait
six
conférences. Or, comme la semaine fut complète, i
tte conférence, entretien ou lecture, dans la Revue des cours publics
159.
Les pièces de Molière, auxquelles ce petit appare
vec la « patine » de son meilleur métal, qui nous est venu dégoiser à
neuf
les plus alertes rôles de l’emploi : Toinette, Ma
me « déshabillé » ou habit de campagne. Qu’on relise Saint-Simon : en
cent
endroits on y trouvera que, pour le gentilhomme o
eliques si précieuses et trop rares. Quelques signatures de Molière ;
trois
lignes au plus de sa main, écrites derrière un ta
intre Sébastien Bourdon, son ami, qui le lui a donné, à la St-Jean de
1670,
jour de sa fête ; une liste raturée des acteurs q
re-fort et fauteuil, chaise et tire-lire, où le barbier glissait, par
deux
trous pratiqués dans le siège, disposé en buffet,
ces ressemblances si diverses, quelle peut être la vraie ? Il en est
deux
, selon moi, qui s’imposent : pour Molière vieilli
tre qu’un fragment déchiré de la toile de Mignard, dont Nolin fit, en
1685,
une si excellente gravure ; pour Molière jeune, l
ravée voisine, et qu’une belle gravure de Beauvarlet a popularisé dès
1777,
ne fait que le reproduire, mais malheureusement a
ns un miroir les grimaces de Scaramouche. Or, sa figure est là, moins
1’apparat
du costume et de la perruque, ce qu’elle est sur
te du buste de Molière par Houdon, appartenant à Mme Paul Lacroix, et
cinq
ou six portraits intéressants de Molière et des C
ste de Molière par Houdon, appartenant à Mme Paul Lacroix, et cinq ou
six
portraits intéressants de Molière et des Comédien
ère fois, de sa belle collection de portraits historiques. FIN.
1.
Recherches sur Molière et sur sa famille, par Eu
e, par Eud. Soulié, conservateur adjoint des musées impériaux. Paris,
1863,
in-8° de 387 pages. 2. Le Roman de Molière, sui
lié, conservateur adjoint des musées impériaux. Paris, 1863, in-8° de
387
pages. 2. Le Roman de Molière, suivi de fragmen
ateur adjoint des musées impériaux. Paris, 1863, in-8° de 387 pages.
2.
Le Roman de Molière, suivi de fragments sur sa v
nts sur sa vie privée, d’après des documents inédits nouveaux. Paris,
183,
in-8°. 3. Le Roman de Molière. 4. Ce chapitre
e privée, d’après des documents inédits nouveaux. Paris, 183, in-8°.
3.
Le Roman de Molière. 4. Ce chapitre, où l’on r
ents inédits nouveaux. Paris, 183, in-8°. 3. Le Roman de Molière.
4.
Ce chapitre, où l’on retrouve, sous une forme dif
st l’extrait d’une conférence qu’Édouard Fournier avait faite, en mai
1873,
au Théâtre-Italien, à l’occasion du second Jubilé
ien, à l’occasion du second Jubilé de Molière. (Note de L’Editeur.)
5.
Tome 11, p. 89. 6. Acte I, sc. 1. 7. C’est l’ex
’occasion du second Jubilé de Molière. (Note de L’Editeur.) 5. Tome
11,
p. 89. 6. Acte I, sc. 1. 7. C’est l’expression
second Jubilé de Molière. (Note de L’Editeur.) 5. Tome 11, p. 89.
6.
Acte I, sc. 1. 7. C’est l’expression employée da
Jubilé de Molière. (Note de L’Editeur.) 5. Tome 11, p. 89. 6. Acte
I
, sc. 1. 7. C’est l’expression employée dans la F
de Molière. (Note de L’Editeur.) 5. Tome 11, p. 89. 6. Acte I, sc.
1.
7. C’est l’expression employée dans la Fameuse C
olière. (Note de L’Editeur.) 5. Tome 11, p. 89. 6. Acte I, sc. 1.
7.
C’est l’expression employée dans la Fameuse Coméd
e Comédienne, pour désigner l’une des mines favorites de la Molière.
8.
Page 20. 9. Corresp. entre Boileau et Brossette
enne, pour désigner l’une des mines favorites de la Molière. 8. Page
20.
9. Corresp. entre Boileau et Brossette, édit. L
pour désigner l’une des mines favorites de la Molière. 8. Page 20.
9.
Corresp. entre Boileau et Brossette, édit. Laver
20. 9. Corresp. entre Boileau et Brossette, édit. Laverdet, p.515.
10.
Acte II, sc. 1. 11. Mémoires sur Molière, dans
Corresp. entre Boileau et Brossette, édit. Laverdet, p.515. 10. Acte
II
, sc. 1. 11. Mémoires sur Molière, dans le tome
entre Boileau et Brossette, édit. Laverdet, p.515. 10. Acte II, sc.
1.
11. Mémoires sur Molière, dans le tome II, p. l
re Boileau et Brossette, édit. Laverdet, p.515. 10. Acte II, sc. 1.
11.
Mémoires sur Molière, dans le tome II, p. l85-18
p.515. 10. Acte II, sc. 1. 11. Mémoires sur Molière, dans le tome
II
, p. l85-186, de la Collection des mémoires sur l’
II, p. l85-186, de la Collection des mémoires sur l’art dramatique.
12.
Mémoires sur Molière, dans le tome II, p. 185-18
moires sur l’art dramatique. 12. Mémoires sur Molière, dans le tome
II
, p. 185-186, de la Collection des mémoires sur l’
II, p. 185-186, de la Collection des mémoires sur l’art dramatique.
13.
Ibid. 14. Ibid. 15. Voy.. à ce sujet, deux
86, de la Collection des mémoires sur l’art dramatique. 13. Ibid.
14.
Ibid. 15. Voy.. à ce sujet, deux strophes curi
lection des mémoires sur l’art dramatique. 13. Ibid. 14. Ibid.
15.
Voy.. à ce sujet, deux strophes curieuses dans l’
ur l’art dramatique. 13. Ibid. 14. Ibid. 15. Voy.. à ce sujet,
deux
strophes curieuses dans l’Eslite des bons vers, e
ce sujet, deux strophes curieuses dans l’Eslite des bons vers, etc.,
1633.
in-12. 2e partie, p. 15. 16. Voy. Emm. Raymond.
ux strophes curieuses dans l’Eslite des bons vers, etc., 1633. in-12.
2e
partie, p. 15. 16. Voy. Emm. Raymond. Molière da
es dans l’Eslite des bons vers, etc., 1633. in-12. 2e partie, p. 15.
16.
Voy. Emm. Raymond. Molière dans le Midi, passim.
partie, p. 15. 16. Voy. Emm. Raymond. Molière dans le Midi, passim.
17.
Beffara, Dissertation sur Molière, p. 21. 18. M
dans le Midi, passim. 17. Beffara, Dissertation sur Molière, p. 21.
18.
Mém. de l’abbé Arnauld, coll. Petitot, 2e série,
tion sur Molière, p. 21. 18. Mém. de l’abbé Arnauld, coll. Petitot,
2e
série, t. XXXIV, p. 259. 19. Fortia d’Urban, Dis
ère, p. 21. 18. Mém. de l’abbé Arnauld, coll. Petitot, 2e série, t.
XXXIV
, p. 259. 19. Fortia d’Urban, Dissertation sur la
Mém. de l’abbé Arnauld, coll. Petitot, 2e série, t. XXXIV, p. 259.
19.
Fortia d’Urban, Dissertation sur la femme de Moli
V, p. 259. 19. Fortia d’Urban, Dissertation sur la femme de Molière,
1824,
in-8, p. 167. 20. Cité dans le Catalogue de la b
a d’Urban, Dissertation sur la femme de Molière, 1824, in-8, p. 167.
20.
Cité dans le Catalogue de la bibliothèque de M. d
gue de la bibliothèque de M. de Soleinne, rédigé par Paul Lacroix, t.
I
, p. 271. 21. Mémoires manuscrits, dans la colle
bliothèque de M. de Soleinne, rédigé par Paul Lacroix, t. I, p. 271.
21.
Mémoires manuscrits, dans la collection de.M. de
e Tralage, à la bibliothèque de l’abbaye de Saint-Victor, in-4. Q. Q.
688,
art. 77. Cette tragédie n’était autre que la Théb
à la bibliothèque de l’abbaye de Saint-Victor, in-4. Q. Q. 688, art.
77.
Cette tragédie n’était autre que la Thébaïde. 2
. Q. Q. 688, art. 77. Cette tragédie n’était autre que la Thébaïde.
22.
Lettres de madame Du Noyer, t. III, p. 259. 23.
n’était autre que la Thébaïde. 22. Lettres de madame Du Noyer, t.
III
, p. 259. 23. Voy. Cousin, Madame de Sablé, prem.
que la Thébaïde. 22. Lettres de madame Du Noyer, t. III, p. 259.
23.
Voy. Cousin, Madame de Sablé, prem. édit.. p. 117
III, p. 259. 23. Voy. Cousin, Madame de Sablé, prem. édit.. p. 117.
24.
Voy. la Clef des Chansonniers, 1722, in-12, t. I,
me de Sablé, prem. édit.. p. 117. 24. Voy. la Clef des Chansonniers,
1722,
in-12, t. I, p.74. 25. Ceci a été écrit vers 185
m. édit.. p. 117. 24. Voy. la Clef des Chansonniers, 1722, in-12, t.
I
, p.74. 25. Ceci a été écrit vers 1858. (Note de
p. 117. 24. Voy. la Clef des Chansonniers, 1722, in-12, t. I, p.74.
25.
Ceci a été écrit vers 1858. (Note de l’éditeur.)
des Chansonniers, 1722, in-12, t. I, p.74. 25. Ceci a été écrit vers
1858.
(Note de l’éditeur.) 26. Ils n’ont été publiés
, t. I, p.74. 25. Ceci a été écrit vers 1858. (Note de l’éditeur.)
26.
Ils n’ont été publiés que dans le Bulletin du bib
ur.) 26. Ils n’ont été publiés que dans le Bulletin du bibliophile,
1853-1854,
p. 360-368. 27. Aventures burlesques, de Dassou
publiés que dans le Bulletin du bibliophile, 1853-1854, p. 360-368.
27.
Aventures burlesques, de Dassoucy, édit. Colomhe
27. Aventures burlesques, de Dassoucy, édit. Colomhey. p. 240-241.
28.
Catal. de la biblioth. Soleinne. t. I, p. 251.
édit. Colomhey. p. 240-241. 28. Catal. de la biblioth. Soleinne. t.
I
, p. 251. 29. Œuvres de La Chapelle, édit. de la
ey. p. 240-241. 28. Catal. de la biblioth. Soleinne. t. I, p. 251.
29.
Œuvres de La Chapelle, édit. de la Bibl. elzévir
29. Œuvres de La Chapelle, édit. de la Bibl. elzévir., p. 202-203.
30.
Dans l’Impromptu de Versailles, il dit qu’elle es
de Versailles, il dit qu’elle est naturelle, mais c’est pure ironie.
31.
Ce fut seulement en 1863 que M. Brouchond publial
’elle est naturelle, mais c’est pure ironie. 31. Ce fut seulement en
1863
que M. Brouchond publiales Origines du théâtre de
u Parc s’appelait réellement marquise de Gorla. (Note de l’éditeur)
32.
Voy. Tallemant des Réaux, Historiettes, t.. V, p.
(Note de l’éditeur) 32. Voy. Tallemant des Réaux, Historiettes, t..
V
, p. 203. 33. Mascarille. — Te souvient-il, vic
diteur) 32. Voy. Tallemant des Réaux, Historiettes, t.. V, p. 203.
33.
Mascarille. — Te souvient-il, vicomte, rie cett
e ? C’était bien une lune tout entière.(Les Précieuses ridicules, sc.
II
.) 34. Historiettes, t. IX, p. 178. 35. Dans
ait bien une lune tout entière.(Les Précieuses ridicules, sc. II.)
34.
Historiettes, t. IX, p. 178. 35. Dans une spiri
entière.(Les Précieuses ridicules, sc. II.) 34. Historiettes, t.
IX
, p. 178. 35. Dans une spirituelle notice, inséré
Précieuses ridicules, sc. II.) 34. Historiettes, t. IX, p. 178.
35.
Dans une spirituelle notice, insérée dans le Bull
mier hasardé cette hypothèse, qu’on nous permettra de continuer ici.
36.
Les savantes recherches de M. Beffara, et les dis
. 36. Les savantes recherches de M. Beffara, et les dissertations de
M
J. Taschereau dans sa Vie de Molière, ont suffisa
e, ont suffisamment prouvé que c’est dans cette maison, portant le n°
96
de la rue Saint-Honoré, et non sous les piliers d
nt-Honoré, et non sous les piliers des Halles, que naquit Molière, le
15
janvier 1622. 37. Voici, à propos de cette ensei
et non sous les piliers des Halles, que naquit Molière, le 15 janvier
1622.
37. Voici, à propos de cette enseigne, du nom qu
sous les piliers des Halles, que naquit Molière, le 15 janvier 1622.
37.
Voici, à propos de cette enseigne, du nom qu’on l
paux locataires de plusieurs maisons de la rue Saint-Honoré : « Année
1637,
maison où pend pour en-soigne le Pavillon des sin
ur, faisant le coin de la rue des Estuvées (Vieilles-Étuves), taxée à
huit
livres. » (Taschereau, Vie de Molière, p. 206.)
tuves), taxée à huit livres. » (Taschereau, Vie de Molière, p. 206.)
38.
Quand on démolit cette maison, qui, selon Alexand
lit cette maison, qui, selon Alexandre Lenoir, devait remonter à l’an
1200,
le poteau des singes fut porté au Musée des Petit
ustins, et M. Lenoir le trouva assez curieux pour le dessiner au tome
111,
p. 26, n° 557, de sa Description des monuments fr
enoir le trouva assez curieux pour le dessiner au tome 111, p. 26, n°
557,
de sa Description des monuments français : mais,
partient à M. le comte Molé et se trouve au château de Champlâtreux.
39.
Tome I, p. 32. 40. Le Moqueur de Séville et le
à M. le comte Molé et se trouve au château de Champlâtreux. 39. Tome
I
, p. 32. 40. Le Moqueur de Séville et le Convié
te Molé et se trouve au château de Champlâtreux. 39. Tome I, p. 32.
40.
Le Moqueur de Séville et le Convié de pierre. M.
ici (voir son excellent article sur Don Juan, Revue des Deux-Mondes,
1er
février 1847). 41. Page 564. 42. Correspondanc
on excellent article sur Don Juan, Revue des Deux-Mondes, 1er février
1847
). 41. Page 564. 42. Correspondance entre Boil
lent article sur Don Juan, Revue des Deux-Mondes, 1er février 1847).
41.
Page 564. 42. Correspondance entre Boileau et
cle sur Don Juan, Revue des Deux-Mondes, 1er février 1847). 41. Page
564.
42. Correspondance entre Boileau et Brossette,
r Don Juan, Revue des Deux-Mondes, 1er février 1847). 41. Page 564.
42.
Correspondance entre Boileau et Brossette, etc.
564. 42. Correspondance entre Boileau et Brossette, etc., p. 478.
43.
Voir, pour preuve, un passage de la Gazette de Ro
p. 478. 43. Voir, pour preuve, un passage de la Gazette de Robinet,
30
novembre 1669. 44. Observations sur une comédie
. Voir, pour preuve, un passage de la Gazette de Robinet, 30 novembre
1669.
44. Observations sur une comédie de Molière, in
pour preuve, un passage de la Gazette de Robinet, 30 novembre 1669.
44.
Observations sur une comédie de Molière, intitul
ère, intitulée Le Festin de Pierre, par le sieur de Rochemont. Paris,
1665,
in-12, p. 16. 45. Observations sur une comédie
tin de Pierre, par le sieur de Rochemont. Paris, 1665, in-12, p. 16.
45.
Observations sur une comédie de Molière, intitul
une comédie de Molière, intitulée le Festin de Pierre, etc., p. 27.
46.
M. Beuchot, dans son excellent article du Journal
6. M. Beuchot, dans son excellent article du Journal de la librairie,
1817,
p. 363, dont nous allons reparler, a déjà constat
allons reparler, a déjà constaté cette inconséquence de la police de
1682.
47. Idem, ibid. 48. Voir le Catalogue de la B
reparler, a déjà constaté cette inconséquence de la police de 1682.
47.
Idem, ibid. 48. Voir le Catalogue de la Biblio
onstaté cette inconséquence de la police de 1682. 47. Idem, ibid.
48.
Voir le Catalogue de la Bibliothèque dramatique d
Idem, ibid. 48. Voir le Catalogue de la Bibliothèque dramatique de
M
de Soleinne, t. I, p. 302, n° 1305. 49. Voir le
Voir le Catalogue de la Bibliothèque dramatique de M de Soleinne, t.
I
, p. 302, n° 1305. 49. Voir le Catalogue de la Bi
ogue de la Bibliothèque dramatique de M de Soleinne, t. I, p. 302, n°
1305.
49. Voir le Catalogue de la Bibliothèque dramati
la Bibliothèque dramatique de M de Soleinne, t. I, p. 302, n° 1305.
49.
Voir le Catalogue de la Bibliothèque dramatique d
. Voir le Catalogue de la Bibliothèque dramatique de M. de Soleinne.
50.
M. de Loménie en possédait un autre, que virent M
de Loménie en possédait un autre, que virent M. Beuchot et A Martin.
51.
Tome 1, p. 303, n° 1306. 52. Page 28. 53. A la
e en possédait un autre, que virent M. Beuchot et A Martin. 51. Tome
1,
p. 303, n° 1306. 52. Page 28. 53. A la suite de
un autre, que virent M. Beuchot et A Martin. 51. Tome 1, p. 303, n°
1306.
52. Page 28. 53. A la suite de la Correspondanc
re, que virent M. Beuchot et A Martin. 51. Tome 1, p. 303, n° 1306.
52.
Page 28. 53. A la suite de la Correspondance de
irent M. Beuchot et A Martin. 51. Tome 1, p. 303, n° 1306. 52. Page
28.
53. A la suite de la Correspondance de Boileau e
M. Beuchot et A Martin. 51. Tome 1, p. 303, n° 1306. 52. Page 28.
53.
A la suite de la Correspondance de Boileau et de
A la suite de la Correspondance de Boileau et de Brossette, p. 517.
54.
Lettres nouvelles de M. Boursault, 1703, in-12,
eau et de Brossette, p. 517. 54. Lettres nouvelles de M. Boursault,
1703,
in-12, t. II, p. 229-231. 55. Traité de matéria
tte, p. 517. 54. Lettres nouvelles de M. Boursault, 1703, in-12, t.
II
, p. 229-231. 55. Traité de matériaux manuscrits
Lettres nouvelles de M. Boursault, 1703, in-12, t. II, p. 229-231.
55.
Traité de matériaux manuscrits, t. II, p. 128.
3, in-12, t. II, p. 229-231. 55. Traité de matériaux manuscrits, t.
II
, p. 128. 56. Voir le récit de cette curieuse aff
II, p. 229-231. 55. Traité de matériaux manuscrits, t. II, p. 128.
56.
Voir le récit de cette curieuse affaire, dans le
56. Voir le récit de cette curieuse affaire, dans le Maucroix de M.
L.
Paris, t. II, p. 88-92. 57. Les trois Théâtres
récit de cette curieuse affaire, dans le Maucroix de M. L. Paris, t.
II
, p. 88-92. 57. Les trois Théâtres du Paris, 177
curieuse affaire, dans le Maucroix de M. L. Paris, t. II, p. 88-92.
57.
Les trois Théâtres du Paris, 1777, in-8, p. 191.
affaire, dans le Maucroix de M. L. Paris, t. II, p. 88-92. 57. Les
trois
Théâtres du Paris, 1777, in-8, p. 191. 58. Gaze
x de M. L. Paris, t. II, p. 88-92. 57. Les trois Théâtres du Paris,
1777,
in-8, p. 191. 58. Gazette du 1er février 1673.
II, p. 88-92. 57. Les trois Théâtres du Paris, 1777, in-8, p. 191.
58.
Gazette du 1er février 1673. 59. Histoire de l
7. Les trois Théâtres du Paris, 1777, in-8, p. 191. 58. Gazette du
1er
février 1673. 59. Histoire de l’ancien Théâtre-
s Théâtres du Paris, 1777, in-8, p. 191. 58. Gazette du 1er février
1673.
59. Histoire de l’ancien Théâtre-Italien, 1753,
res du Paris, 1777, in-8, p. 191. 58. Gazette du 1er février 1673.
59.
Histoire de l’ancien Théâtre-Italien, 1753, in-1
ette du 1er février 1673. 59. Histoire de l’ancien Théâtre-Italien,
1753,
in-12, p. 107. 60. Le Gilles que nous a représen
73. 59. Histoire de l’ancien Théâtre-Italien, 1753, in-12, p. 107.
60.
Le Gilles que nous a représenté Debureau se rappr
rochait bien plus que ce Pierrot primitif, du Pulcinello napolitain.
61.
Montaigne, Essais, liv. III, ch. X, parle déjà de
rrot primitif, du Pulcinello napolitain. 61. Montaigne, Essais, liv.
III
, ch. X, parle déjà de badins enfarinés. 62. Roqu
itif, du Pulcinello napolitain. 61. Montaigne, Essais, liv. III, ch.
X
, parle déjà de badins enfarinés. 62. Roquefort,
Montaigne, Essais, liv. III, ch. X, parle déjà de badins enfarinés.
62.
Roquefort, Glossaire de la langue romane, t. II,
e badins enfarinés. 62. Roquefort, Glossaire de la langue romane, t.
II
, p. 358. 63. Voir,à ce sujet, un couplet sur M.
rinés. 62. Roquefort, Glossaire de la langue romane, t. II, p. 358.
63.
Voir,à ce sujet, un couplet sur M. de Grammont, c
nt des gardes, dans le Journal de Barbier, première édition, in-8, t.
II
, p. 40. 64. Voyez la Vie de Pascal, par Gilberte
s, dans le Journal de Barbier, première édition, in-8, t. II, p. 40.
64.
Voyez la Vie de Pascal, par Gilberte, sa sœur, da
la première édition du livre de M. Cousin, Jacqueline Pascal, p. 59.
65.
M. Bazin et M. Walcknaër sont d’accord au sujet d
de la date de ce premier engagement. C’est dans les premiers mois de
1645
qu’il dut avoir lieu. 66. Il est certain que, de
gagement. C’est dans les premiers mois de 1645 qu’il dut avoir lieu.
66.
Il est certain que, des les premiers temps de sa
n prit le nom de Molière. On le voit par des vers qui doivent être de
1646,
et qu’on trouve dans L’Élite des bons vers choisi
ouve dans L’Élite des bons vers choisis, etc. Paris, Cardin Besongne,
1653,
IIe part., p. 12. 67. Le séjour de Molière sur l
s vers choisis, etc. Paris, Cardin Besongne, 1653, IIe part., p. 12.
67.
Le séjour de Molière sur l’infime théâtre du port
est constaté par Le Boulanger de Chalussay dans Élomire hypocondre.
68.
De Petri Boessatii… Vita. Grenoble, 1690, in-12,
y dans Élomire hypocondre. 68. De Petri Boessatii… Vita. Grenoble,
1690,
in-12, p. 133, 234. 69. Nous devons de la connaî
ndre. 68. De Petri Boessatii… Vita. Grenoble, 1690, in-12, p. 133,
234.
69. Nous devons de la connaître, à notre ami Ch.
68. De Petri Boessatii… Vita. Grenoble, 1690, in-12, p. 133, 234.
69.
Nous devons de la connaître, à notre ami Ch. Live
. 133, 234. 69. Nous devons de la connaître, à notre ami Ch. Livet.
70.
Mémoires, t. I, p. 127, 128. 71. Variétés hist
ous devons de la connaître, à notre ami Ch. Livet. 70. Mémoires, t.
I
, p. 127, 128. 71. Variétés historiques et litté
de la connaître, à notre ami Ch. Livet. 70. Mémoires, t. I, p. 127,
128.
71. Variétés historiques et littéraires, t. VII
connaître, à notre ami Ch. Livet. 70. Mémoires, t. I, p. 127, 128.
71.
Variétés historiques et littéraires, t. VII. 72
res, t. I, p. 127, 128. 71. Variétés historiques et littéraires, t.
VII
. 72. Mémoires, collect. Petitot, 2e série, t. L
. I, p. 127, 128. 71. Variétés historiques et littéraires, t. VII.
72.
Mémoires, collect. Petitot, 2e série, t. LIII, p
historiques et littéraires, t. VII. 72. Mémoires, collect. Petitot,
2e
série, t. LIII, p, 111. 73. Edit. in-S°, t. V, p
t littéraires, t. VII. 72. Mémoires, collect. Petitot, 2e série, t.
LIII
, p, 111. 73. Edit. in-S°, t. V, p. 267. 74. Len
ires, t. VII. 72. Mémoires, collect. Petitot, 2e série, t. LIII, p,
111.
73. Edit. in-S°, t. V, p. 267. 74. Lenet, ibid.
t. VII. 72. Mémoires, collect. Petitot, 2e série, t. LIII, p, 111.
73.
Edit. in-S°, t. V, p. 267. 74. Lenet, ibid. 75
es, collect. Petitot, 2e série, t. LIII, p, 111. 73. Edit. in-S°, t.
V
, p. 267. 74. Lenet, ibid. 75. Mémoires de Cos
Petitot, 2e série, t. LIII, p, 111. 73. Edit. in-S°, t. V, p. 267.
74.
Lenet, ibid. 75. Mémoires de Cosnac, t. I, p.
t. LIII, p, 111. 73. Edit. in-S°, t. V, p. 267. 74. Lenet, ibid.
75.
Mémoires de Cosnac, t. I, p. 142, 143. 76. Lémo
in-S°, t. V, p. 267. 74. Lenet, ibid. 75. Mémoires de Cosnac, t.
I
, p. 142, 143. 76. Lémontey, Monarchie de Louis X
V, p. 267. 74. Lenet, ibid. 75. Mémoires de Cosnac, t. I, p. 142,
143.
76. Lémontey, Monarchie de Louis XIV, Nouveaux m
267. 74. Lenet, ibid. 75. Mémoires de Cosnac, t. I, p. 142, 143.
76.
Lémontey, Monarchie de Louis XIV, Nouveaux mémoir
ontey, Monarchie de Louis XIV, Nouveaux mémoires de Dangeau, p. 182.
77.
Le président Bouhier tenait le récit de cette aff
mme toujours, il l’a altérée. Mémoires du comte de Rochefort, p. 144,
145.
78. Mémoires de Bussy-Rabutin, t. II, p. 245.
ujours, il l’a altérée. Mémoires du comte de Rochefort, p. 144, 145.
78.
Mémoires de Bussy-Rabutin, t. II, p. 245. 79. V
comte de Rochefort, p. 144, 145. 78. Mémoires de Bussy-Rabutin, t.
II
, p. 245. 79. Voyez les Mémoires de Choisy, colle
hefort, p. 144, 145. 78. Mémoires de Bussy-Rabutin, t. II, p. 245.
79.
Voyez les Mémoires de Choisy, collection Petitot,
t. II, p. 245. 79. Voyez les Mémoires de Choisy, collection Petitot,
2e
série, t. LXIII, p. 71, et L’Histoire de Daniel d
. 79. Voyez les Mémoires de Choisy, collection Petitot, 2e série, t.
LXIII
, p. 71, et L’Histoire de Daniel de Cosnac, par M.
l de Cosnac, par M. le marquis de T…, Recueil A-Z, volume A, p. 183.
80.
M. de la Rochefoucauld-Liancourt a donne cette le
tre en entier dans son livre Etudes littéraires et morales de Racine,
2e
partie, p. 146. 81. Mémoires de Cosnac, t.1, p.
on livre Etudes littéraires et morales de Racine, 2e partie, p. 146.
81.
Mémoires de Cosnac, t.1, p. 146. 82. Cette part
de Racine, 2e partie, p. 146. 81. Mémoires de Cosnac, t.1, p. 146.
82.
Cette particularité qu’on n’avait jamais remarqué
diquée dans la Description du Parnasse français, par Titon du Tillet,
1727,
in-S°, p. 236-« Il (Molière)- parlait peu, mais t
r des cartes à jouer, qu’il mettait dans sa poche pour cet effet. »
83.
Mémoires de Choisy, collection Petitot, 2e série
oche pour cet effet. » 83. Mémoires de Choisy, collection Petitot,
2e
série, t. LXIII p. 71. 84. Lettres, t. VII, 436
effet. » 83. Mémoires de Choisy, collection Petitot, 2e série, t.
LXIII
p. 71. 84. Lettres, t. VII, 436. 85. V. notre
. Mémoires de Choisy, collection Petitot, 2e série, t. LXIII p. 71.
84.
Lettres, t. VII, 436. 85. V. notre petit livre
oisy, collection Petitot, 2e série, t. LXIII p. 71. 84. Lettres, t.
VII
, 436. 85. V. notre petit livre L’Esprit dans l’
collection Petitot, 2e série, t. LXIII p. 71. 84. Lettres, t. VII,
436.
85. V. notre petit livre L’Esprit dans l’Histoi
ction Petitot, 2e série, t. LXIII p. 71. 84. Lettres, t. VII, 436.
85.
V. notre petit livre L’Esprit dans l’Histoire.
Petitot, 2e série, t. LXIII p. 71. 84. Lettres, t. VII, 436. 85.
V.
notre petit livre L’Esprit dans l’Histoire. 86.
, t. VII, 436. 85. V. notre petit livre L’Esprit dans l’Histoire.
86.
Lettre du 9 septembre 1677. 87. Mémoires de Ma
85. V. notre petit livre L’Esprit dans l’Histoire. 86. Lettre du
9
septembre 1677. 87. Mémoires de Maurepas, t. II
re petit livre L’Esprit dans l’Histoire. 86. Lettre du 9 septembre
1677.
87. Mémoires de Maurepas, t. II, p. 123, et Mél
t livre L’Esprit dans l’Histoire. 86. Lettre du 9 septembre 1677.
87.
Mémoires de Maurepas, t. II, p. 123, et Mélanges
re. 86. Lettre du 9 septembre 1677. 87. Mémoires de Maurepas, t.
II
, p. 123, et Mélanges de Bois-Jourdain, t. II, p.
Mémoires de Maurepas, t. II, p. 123, et Mélanges de Bois-Jourdain, t.
II
, p. 435. 88. Cousin, Madame de Sablé, p. 439-440
aurepas, t. II, p. 123, et Mélanges de Bois-Jourdain, t. II, p. 435.
88.
Cousin, Madame de Sablé, p. 439-440. 89. Tallema
s-Jourdain, t. II, p. 435. 88. Cousin, Madame de Sablé, p. 439-440.
89.
Tallemant, édit. Paulin Paris, t. III, p. 237. 9
, Madame de Sablé, p. 439-440. 89. Tallemant, édit. Paulin Paris, t.
III
, p. 237. 90. Histoire de l’Église métropolitain
blé, p. 439-440. 89. Tallemant, édit. Paulin Paris, t. III, p. 237.
90.
Histoire de l’Église métropolitaine d’Utrecht, p
p. 237. 90. Histoire de l’Église métropolitaine d’Utrecht, p. 94.
91.
Histoire de l’Église d’Autun, 1774, in-8, p. 246
métropolitaine d’Utrecht, p. 94. 91. Histoire de l’Église d’Autun,
1774,
in-8, p. 246. 92. Notes sur le Journal de Daugea
echt, p. 94. 91. Histoire de l’Église d’Autun, 1774, in-8, p. 246.
92.
Notes sur le Journal de Daugeau, 4 mars 1707. 93
se d’Autun, 1774, in-8, p. 246. 92. Notes sur le Journal de Daugeau,
4
mars 1707. 93. Lettre du 19 janvier 1674. 94.
tun, 1774, in-8, p. 246. 92. Notes sur le Journal de Daugeau, 4 mars
1707.
93. Lettre du 19 janvier 1674. 94. On connaît,
74, in-8, p. 246. 92. Notes sur le Journal de Daugeau, 4 mars 1707.
93.
Lettre du 19 janvier 1674. 94. On connaît, à ce
6. 92. Notes sur le Journal de Daugeau, 4 mars 1707. 93. Lettre du
19
janvier 1674. 94. On connaît, à ce sujet, la fam
es sur le Journal de Daugeau, 4 mars 1707. 93. Lettre du 19 janvier
1674.
94. On connaît, à ce sujet, la fameuse épigramme
le Journal de Daugeau, 4 mars 1707. 93. Lettre du 19 janvier 1674.
94.
On connaît, à ce sujet, la fameuse épigramme faus
prunts d’éloquence étaient un fait avéré ; voyez Tallemant, in-12, t.
X
, p. 240. On savait que son oraison funèbre de M.
isait dire : « C’est un des travaux d’Hercule. » Idem, édit. in-8, t.
VI
, p. 259 ; mais on ne dit pas de qui était l’orais
aison funèbre de madame de Longueville, qu’il prêcha aux Carmélites.
95.
Voyez encore la satire sur la Fausse direction, p
Voyez encore la satire sur la Fausse direction, par le P. Sanlecque.
96.
Senn. de Temp., xxii. 97. Voyez La Monnoye, Glo
a Fausse direction, par le P. Sanlecque. 96. Senn. de Temp., xxii.
97.
Voyez La Monnoye, Glossaire à la suite des Noëls
Glossaire à la suite des Noëls bourguignons, édit. Fertiault, p. 142,
143,
et Edel. Duméril, Poésies populaires latines anté
ésies populaires latines antérieures au douzième siècle, p. 143, note
3.
98. Traité de la Comédie et des spectacles, etc
s populaires latines antérieures au douzième siècle, p. 143, note 3.
98.
Traité de la Comédie et des spectacles, etc. 99
, p. 143, note 3. 98. Traité de la Comédie et des spectacles, etc.
99.
C’est elle qui lui garantit, la première, le méri
soir. La suite donna raison à Mlle Bussy. N oyez Tallemant, in-12, t.
III
, p. 33, note. Molière lui lut aussi son poème du
ère lui lut aussi son poème du Val-de-Grâce, Voy. Gazette de Robinet,
22
décembre 1668. 100. Tallemant, idem, p. 38. 101
aussi son poème du Val-de-Grâce, Voy. Gazette de Robinet, 22 décembre
1668.
100. Tallemant, idem, p. 38. 101. Auger a publi
on poème du Val-de-Grâce, Voy. Gazette de Robinet, 22 décembre 1668.
100.
Tallemant, idem, p. 38. 101. Auger a publié, d’a
Gazette de Robinet, 22 décembre 1668. 100. Tallemant, idem, p. 38.
101.
Auger a publié, d’après les manuscrits de Conrart
de Conrart, le sonnet et la lettre que cette mort inspira à Molière.
102.
M. Taschereau en a publié, d’après le seul exempl
e connu, la partie la plus intéressante, dans l’Athenaeum français de
1856,
p. 46. 103. Page 47. 104. La Promenade de Saint
rtie la plus intéressante, dans l’Athenaeum français de 1856, p. 46.
103.
Page 47. 104. La Promenade de Saint-Cloud, par G
us intéressante, dans l’Athenaeum français de 1856, p. 46. 103. Page
47.
104. La Promenade de Saint-Cloud, par G. Guéret,
téressante, dans l’Athenaeum français de 1856, p. 46. 103. Page 47.
104.
La Promenade de Saint-Cloud, par G. Guéret, dans
omenade de Saint-Cloud, par G. Guéret, dans les Mémoires de Bruys, t.
II
, p. 211. 105. Voyez l’abbé de Châteauneuf, Dialo
int-Cloud, par G. Guéret, dans les Mémoires de Bruys, t. II, p. 211.
105.
Voyez l’abbé de Châteauneuf, Dialogue sur la musi
, p. 211. 105. Voyez l’abbé de Châteauneuf, Dialogue sur la musique,
1725,
in-12, p. 104. C’est avec cette même idée, que Vo
t avec cette même idée, que Voltaire fît sa comédie du Dépositaire.
106.
Voyez ses Mémoires (collect. Petitot), p. 296, 44
du Dépositaire. 106. Voyez ses Mémoires (collect. Petitot), p. 296,
444.
107. Nous ne trouvons cette épigramme, que dans
ositaire. 106. Voyez ses Mémoires (collect. Petitot), p. 296, 444.
107.
Nous ne trouvons cette épigramme, que dans un pet
etit recueil du dernier siècle, les Flèches d’Apollon, t. Il, p. 73.
108.
Seconde lettre de M. Racine, en réponse à celles
celles de MM. Dubois et Barbier d’Aucour. Œuvres, édit. Stéréot., t.
IV
, p. 66. — Bazin. Les dernières années de Molière
66. — Bazin. Les dernières années de Molière (Revue des Deux-Mondes,
15
janvier 1848, p. 200, 201). 109. Racine, Histoir
n. Les dernières années de Molière (Revue des Deux-Mondes, 15 janvier
1848,
p. 200, 201). 109. Racine, Histoire de Port-Roya
es années de Molière (Revue des Deux-Mondes, 15 janvier 1848, p. 200,
201
). 109. Racine, Histoire de Port-Royal. édit. sté
es de Molière (Revue des Deux-Mondes, 15 janvier 1848, p. 200, 201).
109.
Racine, Histoire de Port-Royal. édit. stéréot., t
. 200, 201). 109. Racine, Histoire de Port-Royal. édit. stéréot., t.
IV
, p. 214-215. 110. Résidu de Saint-Germain, paqu
. Racine, Histoire de Port-Royal. édit. stéréot., t. IV, p. 214-215.
110.
Résidu de Saint-Germain, paquet 4, n° 6. Les var
. stéréot., t. IV, p. 214-215. 110. Résidu de Saint-Germain, paquet
4,
n° 6. Les variantes qui s’y trouvent seraient bon
éot., t. IV, p. 214-215. 110. Résidu de Saint-Germain, paquet 4, n°
6.
Les variantes qui s’y trouvent seraient bonnes à
t 4, n° 6. Les variantes qui s’y trouvent seraient bonnes à relever.
111.
Première édition, t. I, p. 251, 112. Les derniè
ui s’y trouvent seraient bonnes à relever. 111. Première édition, t.
I
, p. 251, 112. Les dernières années de Molière (
ent seraient bonnes à relever. 111. Première édition, t. I, p. 251,
112.
Les dernières années de Molière (Revue des Deux-
251, 112. Les dernières années de Molière (Revue des Deux-Mondes),
15
janvier 1848, p. 200. 113. Acte V, scène III. 1
Les dernières années de Molière (Revue des Deux-Mondes), 15 janvier
1848,
p. 200. 113. Acte V, scène III. 114. Les Provi
années de Molière (Revue des Deux-Mondes), 15 janvier 1848, p. 200.
113.
Acte V, scène III. 114. Les Provinciales, Paris
Molière (Revue des Deux-Mondes), 15 janvier 1848, p. 200. 113. Acte
V
, scène III. 114. Les Provinciales, Paris, 1827,
(Revue des Deux-Mondes), 15 janvier 1848, p. 200. 113. Acte V, scène
III
. 114. Les Provinciales, Paris, 1827, in-32, p.
des Deux-Mondes), 15 janvier 1848, p. 200. 113. Acte V, scène III.
114.
Les Provinciales, Paris, 1827, in-32, p. 92. 11
848, p. 200. 113. Acte V, scène III. 114. Les Provinciales, Paris,
1827,
in-32, p. 92. 115. La Harpe et Bret avaient rema
te V, scène III. 114. Les Provinciales, Paris, 1827, in-32, p. 92.
115.
La Harpe et Bret avaient remarqué les restriction
nt Pascal avait fait justice » ; mais ils n’avaient pas rapproché les
deux
passages presque identiques. 116. Art. Molière,
is ils n’avaient pas rapproché les deux passages presque identiques.
116.
Art. Molière, dans 1e Plutarque français (dix-sep
proché les deux passages presque identiques. 116. Art. Molière, dans
1e
Plutarque français (dix-septième siècle), p. 130.
. Molière, dans 1e Plutarque français (dix-septième siècle), p. 130.
117.
Voyez ce placet dans les Œuvres de Molière, édit.
0. 117. Voyez ce placet dans les Œuvres de Molière, édit. A. Martin,
1845,
gr. in-8, t. IV. p. 103. 118. Observations sur
lacet dans les Œuvres de Molière, édit. A. Martin, 1845, gr. in-8, t.
IV
. p. 103. 118. Observations sur une comédie de M
s Œuvres de Molière, édit. A. Martin, 1845, gr. in-8, t. IV. p. 103.
118.
Observations sur une comédie de Molière intitulé
ions sur une comédie de Molière intitulée le Festin de Pierre, Paris,
1605.
— Taschereau, Vie de Molière, 8e édit., p. 118, 2
tulée le Festin de Pierre, Paris, 1605. — Taschereau, Vie de Molière,
8e
édit., p. 118, 251. — P. Roullès, que nous ne ver
Pierre, Paris, 1605. — Taschereau, Vie de Molière, 8e édit., p. 118,
251.
— P. Roullès, que nous ne verrons plus reparaître
18, 251. — P. Roullès, que nous ne verrons plus reparaître, mourut le
9
juillet 1666, et, par conséquent, avec l’espoir q
P. Roullès, que nous ne verrons plus reparaître, mourut le 9 juillet
1666,
et, par conséquent, avec l’espoir que le Tartuffe
r toujours écrasé sous ses foudres. On a de lui un Traité du baptême,
1664,
in-12. Il existait, à Saint-Barthélemy,un tableau
; « Vide-runt lapidem revolutum. — Ils virent une pierre roulée. »
119.
Œuvres de Racine, 1S44, in-8, t. VI, p. 125. Nous
revolutum. — Ils virent une pierre roulée. » 119. Œuvres de Racine,
1S44,
in-8, t. VI, p. 125. Nous donnons cette citation,
s virent une pierre roulée. » 119. Œuvres de Racine, 1S44, in-8, t.
VI
, p. 125. Nous donnons cette citation, d’après la
« Montfleury......accuse Molière d’avoir épousé sa propre fille. »
120.
Acte II, scène VI. 121. Acte II, scène VI. 122.
ury......accuse Molière d’avoir épousé sa propre fille. » 120. Acte
II
, scène VI. 121. Acte II, scène VI. 122. Acte II
ccuse Molière d’avoir épousé sa propre fille. » 120. Acte II, scène
VI
. 121. Acte II, scène VI. 122. Acte III, scène I
Molière d’avoir épousé sa propre fille. » 120. Acte II, scène VI.
121.
Acte II, scène VI. 122. Acte III, scène I. 123.
’avoir épousé sa propre fille. » 120. Acte II, scène VI. 121. Acte
II
, scène VI. 122. Acte III, scène I. 123. C’est l
usé sa propre fille. » 120. Acte II, scène VI. 121. Acte II, scène
VI
. 122. Acte III, scène I. 123. C’est la Thébaïde
a propre fille. » 120. Acte II, scène VI. 121. Acte II, scène VI.
122.
Acte III, scène I. 123. C’est la Thébaïde. On a
ille. » 120. Acte II, scène VI. 121. Acte II, scène VI. 122. Acte
III
, scène I. 123. C’est la Thébaïde. On a dit que M
20. Acte II, scène VI. 121. Acte II, scène VI. 122. Acte III, scène
I
. 123. C’est la Thébaïde. On a dit que Molière lu
Acte II, scène VI. 121. Acte II, scène VI. 122. Acte III, scène I.
123.
C’est la Thébaïde. On a dit que Molière lui en av
nt à Paris, n’avait plus qu’à terminer sa pièce. Voir les Mémoires de
L.
Racine, 1747, in-12, p. 40. 124. Voir une de ses
n’avait plus qu’à terminer sa pièce. Voir les Mémoires de L. Racine,
1747,
in-12, p. 40. 124. Voir une de ses lettres de dé
rminer sa pièce. Voir les Mémoires de L. Racine, 1747, in-12, p. 40.
124.
Voir une de ses lettres de décembre 1663. 125. L
Racine, 1747, in-12, p. 40. 124. Voir une de ses lettres de décembre
1663.
125. Le Manuscrit de Lagrange, art. de M. Édouar
1747, in-12, p. 40. 124. Voir une de ses lettres de décembre 1663.
125.
Le Manuscrit de Lagrange, art. de M. Édouard Char
de Lagrange, art. de M. Édouard Charton, dans le Cabinet de Lecture,
8e
année, n° 237. 126. La Grange, cité par Taschere
art. de M. Édouard Charton, dans le Cabinet de Lecture, 8e année, n°
237.
126. La Grange, cité par Taschereau, 3e édit., p
de M. Édouard Charton, dans le Cabinet de Lecture, 8e année, n° 237.
126.
La Grange, cité par Taschereau, 3e édit., p. 181.
t de Lecture, 8e année, n° 237. 126. La Grange, cité par Taschereau,
3e
édit., p. 181. 127. Voir la Gazette de Robinet,
née, n° 237. 126. La Grange, cité par Taschereau, 3e édit., p. 181.
127.
Voir la Gazette de Robinet, 21 février 1666. 128
é par Taschereau, 3e édit., p. 181. 127. Voir la Gazette de Robinet,
21
février 1666. 128. Taschereau, p. 66. 129. Voir
ereau, 3e édit., p. 181. 127. Voir la Gazette de Robinet, 21 février
1666.
128. Taschereau, p. 66. 129. Voir, notamment da
3e édit., p. 181. 127. Voir la Gazette de Robinet, 21 février 1666.
128.
Taschereau, p. 66. 129. Voir, notamment dans le
oir la Gazette de Robinet, 21 février 1666. 128. Taschereau, p. 66.
129.
Voir, notamment dans le Recueil de Maurepas, t. X
chereau, p. 66. 129. Voir, notamment dans le Recueil de Maurepas, t.
XXIV
, p. 203, des couplets, dont je n’oserais pas cite
t. XXIV, p. 203, des couplets, dont je n’oserais pas citer un seul.
130.
Voir la Gazette de France, à la date du 8 mai 166
rais pas citer un seul. 130. Voir la Gazette de France, à la date du
8
mai 1666. 131. « C’est sur lui que Molière fit
as citer un seul. 130. Voir la Gazette de France, à la date du 8 mai
1666.
131. « C’est sur lui que Molière fit sonTartuff
r un seul. 130. Voir la Gazette de France, à la date du 8 mai 1666.
131.
« C’est sur lui que Molière fit sonTartuffe, dit
vement Saint-Simon, et personne ne s’y méprit. » Première édition, t.
V
, p. 267. 132. Voyez la chanson déjà citée plus h
-Simon, et personne ne s’y méprit. » Première édition, t. V, p. 267.
132.
Voyez la chanson déjà citée plus haut à la note.
t. V, p. 267. 132. Voyez la chanson déjà citée plus haut à la note.
133.
Madame de Sévigné en parle, édition Monmerqué, t.
ut à la note. 133. Madame de Sévigné en parle, édition Monmerqué, t.
VII
, p. 438. 134. Recueil de Maurepas, t. III. p. 2
133. Madame de Sévigné en parle, édition Monmerqué, t. VII, p. 438.
134.
Recueil de Maurepas, t. III. p. 285. 135. Voir
le, édition Monmerqué, t. VII, p. 438. 134. Recueil de Maurepas, t.
III
. p. 285. 135. Voir sa notice dans la Biographie
nmerqué, t. VII, p. 438. 134. Recueil de Maurepas, t. III. p. 285.
135.
Voir sa notice dans la Biographie Univers., t. LX
t. III. p. 285. 135. Voir sa notice dans la Biographie Univers., t.
LXXIX
, p. 420. 136. Bazin, Les dernières années de Mol
135. Voir sa notice dans la Biographie Univers., t. LXXIX, p. 420.
136.
Bazin, Les dernières années de Molière (Revue des
XXIX, p. 420. 136. Bazin, Les dernières années de Molière (Revue des
Deux
Mondes, 15 janvier 1848, p. 205). 137. Il dit qu
136. Bazin, Les dernières années de Molière (Revue des Deux Mondes,
15
janvier 1848, p. 205). 137. Il dit que Madame fi
n, Les dernières années de Molière (Revue des Deux Mondes, 15 janvier
1848,
p. 205). 137. Il dit que Madame fit cette observ
années de Molière (Revue des Deux Mondes, 15 janvier 1848, p. 205).
137.
Il dit que Madame fit cette observation à Molière
née pour elle et dont Grimarest ne semble pas avoir eu connaissance.
138.
On a bien disserté sur l’étymologie du mot Tartuf
e pouvait la mettre que sous l’invocation de son ennemi, le Diable.
139.
Voir, pour ce fait qu’on n’a pas remarqué jusqu’i
remarqué jusqu’ici, les Mémoires du président Hénault. Paris, Dentu,
1855,
in-8, p. 4, 5. 140. On s’obstina surtout à voir
i, les Mémoires du président Hénault. Paris, Dentu, 1855, in-8, p. 4,
5.
140. On s’obstina surtout à voir un prêtre dans
es Mémoires du président Hénault. Paris, Dentu, 1855, in-8, p. 4, 5.
140.
On s’obstina surtout à voir un prêtre dans Tartuf
ce de sa Prosarite, pièce du même genre, imprimée, mais non jouée, eu
1676
; on y voit en scène un docteur de Sorbonne essay
essayant de séduire une jeune personne dont il dirige la conscience.
141.
Voici la phrase de Molière, acte VI, scène II : «
dont il dirige la conscience. 141. Voici la phrase de Molière, acte
VI
, scène II : « Les zélés indiscrets 1es accableron
irige la conscience. 141. Voici la phrase de Molière, acte VI, scène
II
: « Les zélés indiscrets 1es accableront d’injure
oici la phrase de Molière, acte VI, scène II : « Les zélés indiscrets
1es
accableront d’injures et les damneront hautement,
ent, de leur autorité privée. » On a dit que c’était une imitation du
22e
vers de la IVe satire de Boileau ; mais comme cet
s qui suivirent le premier interdit lancé contre Tartuffe, chacun des
trois
causeurs avait son droit de propriété sur l’idée.
, chacun des trois causeurs avait son droit de propriété sur l’idée.
142.
Voir le Manuscrit de La Grange. 143. Il suffit
roit de propriété sur l’idée. 142. Voir le Manuscrit de La Grange.
143.
Il suffit de la lire, pour être convaincu de ce q
note, très explicite à ce sujet, dans le Catalogue de Pont de Vesle (
1774,
in-8. p. 58) : « Cette lettre est de Molière, qui
sa comédie, lorsqu’il y avait des obstacles à sa représentation. »
144.
La première partie de cette étude, sur la comédie
e qui en justifie le ton oratoire et familier. (Note de l’Éditeur).
145.
Voyez ci-dessus, à la page 107, cette plaisante h
e et familier. (Note de l’Éditeur). 145. Voyez ci-dessus, à la page
107,
cette plaisante histoire, qui prouve que Gaveau p
de la Feuillade ne fut pas celui de Don Juan. (Note de l’Éditeur.)
146.
Robert Poquelin, fils d’un marchand du même nom,
146. Robert Poquelin, fils d’un marchand du même nom, qui avait eu
vingt
enfants, de son mariage avec Simone Gandouin, éta
ait eu vingt enfants, de son mariage avec Simone Gandouin, était, dès
1631,
à Paris’, un des gros bonnets de la rue Saint-Den
Denis, à l’enseigne des Deux-Cygnes, près de la rue Aubry-le-Boucher.
Dix
ans après, en 1641, nous le retrouvons parmi les
e des Deux-Cygnes, près de la rue Aubry-le-Boucher. Dix ans après, en
1641,
nous le retrouvons parmi les juges-consuls ; plus
, en 1641, nous le retrouvons parmi les juges-consuls ; plus tard, en
1664,
il est secrétaire des syndics marchands. La même
ns ses lettres. Chaque fois qu’il y est question, comme dans celle du
13
mars 1663 publiée par M. Clément (Cor. de Colbert
ettres. Chaque fois qu’il y est question, comme dans celle du 13 mars
1663
publiée par M. Clément (Cor. de Colbert, n, p. cc
ait le chef qu’il s’agit certainement. Le vieux Robert vécut jusqu’en
1668,
et fit assez de bruit, à cause du rang qu’il avai
ur que Guy-Patin en parlât : « Il est ici mort, ce matin, écrit-il le
4
août 1668, un vieux marchand, de grande réputatio
Guy-Patin en parlât : « Il est ici mort, ce matin, écrit-il le 4 août
1668,
un vieux marchand, de grande réputation, âgé de p
4 août 1668, un vieux marchand, de grande réputation, âgé de près de
80
ans. nommé Robert Poquelin. » 147. Jean-Baptis
grande réputation, âgé de près de 80 ans. nommé Robert Poquelin. »
147.
Jean-Baptiste Poquelin était frère de Robert, co
ement avec Anne Faverolles, fille d’un secrétaire du roi, dont il eut
seize
enfants. Il faisait la banque, et à ce titre, il
eut seize enfants. Il faisait la banque, et à ce titre, il était, en
1666,
chargé de pouvoir de notre ambassadeur en Espagne
é de pouvoir de notre ambassadeur en Espagne, l’archevêque d’Embrun.
148.
Voir la Muse historique de Loret, 7 janv. 1667.
pagne, l’archevêque d’Embrun. 148. Voir la Muse historique de Loret,
7
janv. 1667. 149. Pour l’orthographe que j’emploi
’archevêque d’Embrun. 148. Voir la Muse historique de Loret, 7 janv.
1667.
149. Pour l’orthographe que j’emploie ici, et qu
êque d’Embrun. 148. Voir la Muse historique de Loret, 7 janv. 1667.
149.
Pour l’orthographe que j’emploie ici, et qui est
De L’orthographe du mot Tartuffe, par le docteur Desbarraux-Bernard.
150.
Voyez ci-dessus, p. 367, Une scène inconnue du Fe
0. Voyez ci-dessus, p. 367, Une scène inconnue du Festin de Pierre.
151.
Ah ! pour être dévot je n’en suis pas moins homm
s instruire, Vous n’avez seulement qu’à vous laisser conduire, etc.
152.
Mais les gens comme nous brûlent d’un feu discre
sans peur. ………Le mal de l’action Avec la pureté de notre intention.
153.
Elle se trouve dans le Colloquium VIl, Fescennini
ntention. 153. Elle se trouve dans le Colloquium VIl, Fescennini.
154.
Colloq. V. Libidincs. 155. De Petri Boëssatii
53. Elle se trouve dans le Colloquium VIl, Fescennini. 154. Colloq.
V.
Libidincs. 155. De Petri Boëssatii vita. Grana
ve dans le Colloquium VIl, Fescennini. 154. Colloq. V. Libidincs.
155.
De Petri Boëssatii vita. Granationopoli, 1860, i
olloq. V. Libidincs. 155. De Petri Boëssatii vita. Granationopoli,
1860,
in-12, p. 71 156. Chorerii adversariorum de vit
155. De Petri Boëssatii vita. Granationopoli, 1860, in-12, p. 71
156.
Chorerii adversariorum de vita sua libri III, p.
i, 1860, in-12, p. 71 156. Chorerii adversariorum de vita sua libri
III
, p. 135 dans les Mémoires de la Société de statis
135 dans les Mémoires de la Société de statistique de Grenoble, année
1847,
tiré à part. 157. Rathey, alors conservateur de
s de la Société de statistique de Grenoble, année 1847, tiré à part.
157.
Rathey, alors conservateur de la Bibliothèque imp
lors conservateur de la Bibliothèque impériale. (Note de l’éditeur.)
158.
La Haye, 1735, in-12, II, p. 104. 159. Voyez un
eur de la Bibliothèque impériale. (Note de l’éditeur.) 158. La Haye,
1735,
in-12, II, p. 104. 159. Voyez une grande partie
liothèque impériale. (Note de l’éditeur.) 158. La Haye, 1735, in-12,
II
, p. 104. 159. Voyez une grande partie de cette
riale. (Note de l’éditeur.) 158. La Haye, 1735, in-12, II, p. 104.
159.
Voyez une grande partie de cette conférence, la F
s Éludes sur La Vie de Molière, p. 20 et suiv. (Note de l’Éditeur.)
160.
Voyez, dans les Études sur tes Œuvres de Molière,
yez, dans les Études sur tes Œuvres de Molière, Le.Misanthrope, chap.
VI
. p. 285. (Note de l’Éditeur)
CHAPITRE
II
. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suici
s remarquable vicieux que Molière ait mis sur le théâtre est don Juan
35.
Quoique imité de l’espagnol, le Festin de Pierre
urs ne voulurent pas plus de don Juan que les faux dévots de Tartuffe
37.
Que sa conduite soulève l’indignation, et que les
hose de noble et de vrai, à la grossière passion qui lui fait séduire
deux
pauvres paysannes a la fois46, au moment même où
r qu’en employant le honteux moyen par lequel il éconduit M. Dimanche
48.
Son père, poussé à bout par un déshonneur qui rej
non pas pour elle, mais pour son habit négligé et son air languissant
55
; jusqu’à ce qu’enfin il soit foudroyé sur cette
r, imiter l’escroquerie du maître66, engager le Pauvre à jurer un peu
67
; et enfin, après le châtiment de don Juan, n’avo
as Corneille est loin de son modèle quand il l’envoie se faire ermite
69
! Surtout, quelle hardiesse et quelle vérité dans
lant aux superstitions, et mettre en avant son bel article de foi que
deux
et deux sont quatre 70 ; mais voilà un argument q
superstitions, et mettre en avant son bel article de foi que deux et
deux
sont quatre 70 ; mais voilà un argument qui renve
ions, et mettre en avant son bel article de foi que deux et deux sont
quatre
70 ; mais voilà un argument qui renverse tout cel
t mettre en avant son bel article de foi que deux et deux sont quatre
70
; mais voilà un argument qui renverse tout cela :
responsables. C’est au même titre qu’on doit ici louer le Tartuffe
73
: nulle part un moraliste n’a mieux montré cette
de désintéressement, de charité, de Dieu même empreint sur son visage
79,
est sans cesse démasqué, méprisé, condamné, et en
’imposture : comme il le dit lui-même dans sa Préface, il a « employé
deux
actes entiers à préparer la venue de son scélérat
son lubrique amour86 ? Il règne, avec ses ministres Laurent et Loyal
87,
sur le peuple naïf des Orgon et des Pernelle ; il
ore au point de vue de l’influence du vice qu’on doit étudier l’Avare
92,
moins pour la banale vérité qu’il ne faut pas tro
ec ses valets93 ? Et au milieu du rire que soulève la scène des mains
94,
celle de la tache d’huile et du haut de chausses
st, peu de voir cet homme dégradé par la famélique et honteuse lésine
95,
bafoué et haï par ses gens, sans ami, soupçonneux
ue la perte108. Donc l’honnête homme de Molière déteste d’abord ces
deux
sources fécondes de vice et de malheur : la luxur
t au crime ; et la pente est facile, de l’usurier qui prête au denier
trois
109, à l’imposteur qui capte le bien des familles
rime ; et la pente est facile, de l’usurier qui prête au denier trois
109,
à l’imposteur qui capte le bien des familles110 ;
facile que celle qui entraîne don Juan de la débauche à la mort. Ces
trois
caractères du débauché, de l’imposteur et de l’av
trois caractères du débauché, de l’imposteur et de l’avare, qui à eux
trois
offrent la réunion de presque tous les vices, pro
é de nos jours, qu’on peut appeler le genre crime et le genre suicide
112.
Il ne pouvait exposer sur la scène les motifs phi
ent les épreuves. C’est l’esprit qui règne dans la scène de l’Etourdi
113
où Lélie se veut tuer, tient le fer prêt, sans qu
e est achevée dans l’adieu larmoyant de Covielle : Nous allons mourir
117.
Le suicide, qui tient tant de place dans nos roma
parlait que pour rire. Mais cette sorte de suicide ou d’homicide à
deux
qu’on appelle duel régnait de son temps dans la s
te preuve de l’honneur. Molière a parlé du duel, ou l’a mis en action
onze
fois dans son théâtre118 : il a couvert de ridicu
e ridicule la prétendue bravoure des batteurs de fer comme La Rapière
119,
le Maître d’armes de M. Jourdain, ou le Spadassin
bolir l’usage quotidien et vraiment barbare du duel à cette époque.
35.
1665. 36. Quoi qu’en dise A. de Musset (Namouna,
r l’usage quotidien et vraiment barbare du duel à cette époque. 35.
1665.
36. Quoi qu’en dise A. de Musset (Namouna, chant
ge quotidien et vraiment barbare du duel à cette époque. 35. 1665.
36.
Quoi qu’en dise A. de Musset (Namouna, chant II,
époque. 35. 1665. 36. Quoi qu’en dise A. de Musset (Namouna, chant
II
, st. 23), le don Juan épique est la création de M
35. 1665. 36. Quoi qu’en dise A. de Musset (Namouna, chant II, st.
23
), le don Juan épique est la création de Molière :
’énergie, comme le Satan de Milton. » F. Génin, Vie de Molière, chap.
III
. Voir tout ce chapitre sur l’originalité du Festi
l’originalité du Festin de Pierre. — Il y a eu au dix-septième siècle
cinq
ou six Festin de Pierre représentés à Paris (Voir
alité du Festin de Pierre. — Il y a eu au dix-septième siècle cinq ou
six
Festin de Pierre représentés à Paris (Voir la not
stin de Pierre représentés à Paris (Voir la note de Brossette au vers
130
de la Satire III de Boileau, et Laharpe, Cours de
présentés à Paris (Voir la note de Brossette au vers 130 de la Satire
III
de Boileau, et Laharpe, Cours de Littérature, par
de la Satire III de Boileau, et Laharpe, Cours de Littérature, partie
II
, liv. I, chap. VI, sect. 2). Bien qu’aucun des au
ire III de Boileau, et Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv.
I
, chap. VI, sect. 2). Bien qu’aucun des autres n’a
e Boileau, et Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv. I, chap.
VI
, sect. 2). Bien qu’aucun des autres n’ait survécu
et Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect.
2
). Bien qu’aucun des autres n’ait survécu, on ne d
ir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
I
, note 36). Voici ce que pensait Saint-Evremond de
schereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, note
36
). Voici ce que pensait Saint-Evremond de celui de
ur les tragédies, dans Les Véritables œuvres de M. de Saint-Evremond,
2e
édit., Londres, 1706, tome III, p. 143). 37. D’a
ans Les Véritables œuvres de M. de Saint-Evremond, 2e édit., Londres,
1706,
tome III, p. 143). 37. D’ailleurs don Juan se fa
itables œuvres de M. de Saint-Evremond, 2e édit., Londres, 1706, tome
III
, p. 143). 37. D’ailleurs don Juan se fait Tartuf
de M. de Saint-Evremond, 2e édit., Londres, 1706, tome III, p. 143).
37.
D’ailleurs don Juan se fait Tartuffe à la fin, et
incrédule en médecine : c’était s’attirer trop d’ennemis à la fois.
38.
Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 39. Id,
t s’attirer trop d’ennemis à la fois. 38. Le Festin de Pierre, act.
IV
, sc. IX. 39. Id, act. V, sc. I, II, III. 40.
rer trop d’ennemis à la fois. 38. Le Festin de Pierre, act. IV, sc.
IX
. 39. Id, act. V, sc. I, II, III. 40. Id., act
rop d’ennemis à la fois. 38. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX.
39.
Id, act. V, sc. I, II, III. 40. Id., act. V, s
à la fois. 38. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 39. Id, act.
V
, sc. I, II, III. 40. Id., act. V, sc. VI. 41.
is. 38. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 39. Id, act. V, sc.
I
, II, III. 40. Id., act. V, sc. VI. 41. Ce n’ét
38. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 39. Id, act. V, sc. I,
II
, III. 40. Id., act. V, sc. VI. 41. Ce n’était
. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 39. Id, act. V, sc. I, II,
III
. 40. Id., act. V, sc. VI. 41. Ce n’était point
Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 39. Id, act. V, sc. I, II, III.
40.
Id., act. V, sc. VI. 41. Ce n’était point l’opi
e, act. IV, sc. IX. 39. Id, act. V, sc. I, II, III. 40. Id., act.
V
, sc. VI. 41. Ce n’était point l’opinion du sieur
IV, sc. IX. 39. Id, act. V, sc. I, II, III. 40. Id., act. V, sc.
VI
. 41. Ce n’était point l’opinion du sieur de Roch
sc. IX. 39. Id, act. V, sc. I, II, III. 40. Id., act. V, sc. VI.
41.
Ce n’était point l’opinion du sieur de Rochemont
ions sur une comédie de Molière intitulée le Festin de Pierre, Paris,
1665
), ni celle du prince de Conti (Traité de la Coméd
e la Comédie et des Spectacles selon la tradition de l’Église, Paris,
1667
), ni celle de A. Bazin (Notes historiques sur la
1667), ni celle de A. Bazin (Notes historiques sur la vie de Molière,
2e
partie). Mais les premiers étaient trop contempor
eureusement répondu au dernier (Cours de Littérature dramatique, tome
I
, XIX). 42. Le Festin de Pierre, act. III, sc. I
eusement répondu au dernier (Cours de Littérature dramatique, tome I,
XIX
). 42. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II, IV
t répondu au dernier (Cours de Littérature dramatique, tome I, XIX).
42.
Le Festin de Pierre, act. III, sc. II, IV, V. 4
Littérature dramatique, tome I, XIX). 42. Le Festin de Pierre, act.
III
, sc. II, IV, V. 43. Boileau, Satire X, v. 165.
re dramatique, tome I, XIX). 42. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
II
, IV, V. 43. Boileau, Satire X, v. 165. 44. Le
ramatique, tome I, XIX). 42. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II,
IV
, V. 43. Boileau, Satire X, v. 165. 44. Le Fest
tique, tome I, XIX). 42. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II, IV,
V.
43. Boileau, Satire X, v. 165. 44. Le Festin d
e, tome I, XIX). 42. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II, IV, V.
43.
Boileau, Satire X, v. 165. 44. Le Festin de Pie
. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II, IV, V. 43. Boileau, Satire
X
, v. 165. 44. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I
Festin de Pierre, act. III, sc. II, IV, V. 43. Boileau, Satire X, v.
165.
44. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 45. I
de Pierre, act. III, sc. II, IV, V. 43. Boileau, Satire X, v. 165.
44.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 45. Id., a
V, V. 43. Boileau, Satire X, v. 165. 44. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. I. 45. Id., act. I, sc. II, III. 46. Id.
43. Boileau, Satire X, v. 165. 44. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
I
. 45. Id., act. I, sc. II, III. 46. Id., act.
Boileau, Satire X, v. 165. 44. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I.
45.
Id., act. I, sc. II, III. 46. Id., act. II, sc
X, v. 165. 44. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 45. Id., act.
I
, sc. II, III. 46. Id., act. II, sc. II, III, IV
165. 44. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 45. Id., act. I, sc.
II
, III. 46. Id., act. II, sc. II, III, IV, V, VI.
44. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 45. Id., act. I, sc. II,
III
. 46. Id., act. II, sc. II, III, IV, V, VI. 47.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 45. Id., act. I, sc. II, III.
46.
Id., act. II, sc. II, III, IV, V, VI. 47. Le F
ierre, act. I, sc. I. 45. Id., act. I, sc. II, III. 46. Id., act.
II
, sc. II, III, IV, V, VI. 47. Le Festin de Pierr
ct. I, sc. I. 45. Id., act. I, sc. II, III. 46. Id., act. II, sc.
II
, III, IV, V, VI. 47. Le Festin de Pierre, act.
I, sc. I. 45. Id., act. I, sc. II, III. 46. Id., act. II, sc. II,
III
, IV, V, VI. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc
. I. 45. Id., act. I, sc. II, III. 46. Id., act. II, sc. II, III,
IV
, V, VI. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II
45. Id., act. I, sc. II, III. 46. Id., act. II, sc. II, III, IV,
V
, VI. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II, I
5. Id., act. I, sc. II, III. 46. Id., act. II, sc. II, III, IV, V,
VI
. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II, IV ;
d., act. I, sc. II, III. 46. Id., act. II, sc. II, III, IV, V, VI.
47.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. II, IV ; act. I
Id., act. II, sc. II, III, IV, V, VI. 47. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. II, IV ; act. II, sc. I, II. 48. Id., act.
t. II, sc. II, III, IV, V, VI. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
II
, IV ; act. II, sc. I, II. 48. Id., act. IV, sc.
I, sc. II, III, IV, V, VI. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II,
IV
; act. II, sc. I, II. 48. Id., act. IV, sc. II,
III, IV, V, VI. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II, IV ; act.
II
, sc. I, II. 48. Id., act. IV, sc. II, III. 49.
, V, VI. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II, IV ; act. II, sc.
I
, II. 48. Id., act. IV, sc. II, III. 49. Id.,
, VI. 47. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II, IV ; act. II, sc. I,
II
. 48. Id., act. IV, sc. II, III. 49. Id., act.
47. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II, IV ; act. II, sc. I, II.
48.
Id., act. IV, sc. II, III. 49. Id., act. IV, s
n de Pierre, act. I, sc. II, IV ; act. II, sc. I, II. 48. Id., act.
IV
, sc. II, III. 49. Id., act. IV, sc. VI, VII. 5
rre, act. I, sc. II, IV ; act. II, sc. I, II. 48. Id., act. IV, sc.
II
, III. 49. Id., act. IV, sc. VI, VII. 50. Id.,
act. I, sc. II, IV ; act. II, sc. I, II. 48. Id., act. IV, sc. II,
III
. 49. Id., act. IV, sc. VI, VII. 50. Id., act.
I, sc. II, IV ; act. II, sc. I, II. 48. Id., act. IV, sc. II, III.
49.
Id., act. IV, sc. VI, VII. 50. Id., act. I, sc
act. II, sc. I, II. 48. Id., act. IV, sc. II, III. 49. Id., act.
IV
, sc. VI, VII. 50. Id., act. I, sc. II, III ; ac
, sc. I, II. 48. Id., act. IV, sc. II, III. 49. Id., act. IV, sc.
VI
, VII. 50. Id., act. I, sc. II, III ; act. III,
. I, II. 48. Id., act. IV, sc. II, III. 49. Id., act. IV, sc. VI,
VII
. 50. Id., act. I, sc. II, III ; act. III, sc. I
I. 48. Id., act. IV, sc. II, III. 49. Id., act. IV, sc. VI, VII.
50.
Id., act. I, sc. II, III ; act. III, sc. I ; act
ct. IV, sc. II, III. 49. Id., act. IV, sc. VI, VII. 50. Id., act.
I
, sc. II, III ; act. III, sc. I ; act. IV, sc. I.
sc. II, III. 49. Id., act. IV, sc. VI, VII. 50. Id., act. I, sc.
II
, III ; act. III, sc. I ; act. IV, sc. I. 51. Id
II, III. 49. Id., act. IV, sc. VI, VII. 50. Id., act. I, sc. II,
III
; act. III, sc. I ; act. IV, sc. I. 51. Id., ac
49. Id., act. IV, sc. VI, VII. 50. Id., act. I, sc. II, III ; act.
III
, sc. I ; act. IV, sc. I. 51. Id., act. III, sc.
act. IV, sc. VI, VII. 50. Id., act. I, sc. II, III ; act. III, sc.
I
; act. IV, sc. I. 51. Id., act. III, sc. IV, V.
sc. VI, VII. 50. Id., act. I, sc. II, III ; act. III, sc. I ; act.
IV
, sc. I. 51. Id., act. III, sc. IV, V. 52. Id.
VII. 50. Id., act. I, sc. II, III ; act. III, sc. I ; act. IV, sc.
I
. 51. Id., act. III, sc. IV, V. 52. Id., act.
. 50. Id., act. I, sc. II, III ; act. III, sc. I ; act. IV, sc. I.
51.
Id., act. III, sc. IV, V. 52. Id., act. III, s
t. I, sc. II, III ; act. III, sc. I ; act. IV, sc. I. 51. Id., act.
III
, sc. IV, V. 52. Id., act. III, sc. II. 53. Id
II, III ; act. III, sc. I ; act. IV, sc. I. 51. Id., act. III, sc.
IV
, V. 52. Id., act. III, sc. II. 53. Id., act.
III ; act. III, sc. I ; act. IV, sc. I. 51. Id., act. III, sc. IV,
V.
52. Id., act. III, sc. II. 53. Id., act. V, s
; act. III, sc. I ; act. IV, sc. I. 51. Id., act. III, sc. IV, V.
52.
Id., act. III, sc. II. 53. Id., act. V, sc. I,
. I ; act. IV, sc. I. 51. Id., act. III, sc. IV, V. 52. Id., act.
III
, sc. II. 53. Id., act. V, sc. I, II. 54. Id.,
. IV, sc. I. 51. Id., act. III, sc. IV, V. 52. Id., act. III, sc.
II
. 53. Id., act. V, sc. I, II. 54. Id., act. V,
sc. I. 51. Id., act. III, sc. IV, V. 52. Id., act. III, sc. II.
53.
Id., act. V, sc. I, II. 54. Id., act. V, sc. I
d., act. III, sc. IV, V. 52. Id., act. III, sc. II. 53. Id., act.
V
, sc. I, II. 54. Id., act. V, sc. III. 55. Id.
. III, sc. IV, V. 52. Id., act. III, sc. II. 53. Id., act. V, sc.
I
, II. 54. Id., act. V, sc. III. 55. Id., act.
II, sc. IV, V. 52. Id., act. III, sc. II. 53. Id., act. V, sc. I,
II
. 54. Id., act. V, sc. III. 55. Id., act. IV,
c. IV, V. 52. Id., act. III, sc. II. 53. Id., act. V, sc. I, II.
54.
Id., act. V, sc. III. 55. Id., act. IV, sc. IX
Id., act. III, sc. II. 53. Id., act. V, sc. I, II. 54. Id., act.
V
, sc. III. 55. Id., act. IV, sc. IX, X. 56. Le
ct. III, sc. II. 53. Id., act. V, sc. I, II. 54. Id., act. V, sc.
III
. 55. Id., act. IV, sc. IX, X. 56. Le Festin d
I, sc. II. 53. Id., act. V, sc. I, II. 54. Id., act. V, sc. III.
55.
Id., act. IV, sc. IX, X. 56. Le Festin de Pier
Id., act. V, sc. I, II. 54. Id., act. V, sc. III. 55. Id., act.
IV
, sc. IX, X. 56. Le Festin de Pierre, act. V, sc
ct. V, sc. I, II. 54. Id., act. V, sc. III. 55. Id., act. IV, sc.
IX
, X. 56. Le Festin de Pierre, act. V, sc. V. 57
V, sc. I, II. 54. Id., act. V, sc. III. 55. Id., act. IV, sc. IX,
X.
56. Le Festin de Pierre, act. V, sc. V. 57. I
c. I, II. 54. Id., act. V, sc. III. 55. Id., act. IV, sc. IX, X.
56.
Le Festin de Pierre, act. V, sc. V. 57. Id., a
. III. 55. Id., act. IV, sc. IX, X. 56. Le Festin de Pierre, act.
V
, sc. V. 57. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc.
55. Id., act. IV, sc. IX, X. 56. Le Festin de Pierre, act. V, sc.
V.
57. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act
Id., act. IV, sc. IX, X. 56. Le Festin de Pierre, act. V, sc. V.
57.
Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III
sc. IX, X. 56. Le Festin de Pierre, act. V, sc. V. 57. Id., act.
I
, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act
, X. 56. Le Festin de Pierre, act. V, sc. V. 57. Id., act. I, sc.
II
; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc.
Le Festin de Pierre, act. V, sc. V. 57. Id., act. I, sc. II ; act.
II
, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II. 58.
in de Pierre, act. V, sc. V. 57. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc.
II
; act. III, sc. I ; act. V, sc. II. 58. Id., ac
re, act. V, sc. V. 57. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act.
III
, sc. I ; act. V, sc. II. 58. Id., act. IV, sc.
V, sc. V. 57. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc.
I
; act. V, sc. II. 58. Id., act. IV, sc. VI. 59
57. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act.
V
, sc. II. 58. Id., act. IV, sc. VI. 59. Id., a
Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc.
II
. 58. Id., act. IV, sc. VI. 59. Id., act. I, s
act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II.
58.
Id., act. IV, sc. VI. 59. Id., act. I, sc. III
; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II. 58. Id., act.
IV
, sc. VI. 59. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc
I, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II. 58. Id., act. IV, sc.
VI
. 59. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. IX. 6
. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II. 58. Id., act. IV, sc. VI.
59.
Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. IX. 60. Id
, sc. I ; act. V, sc. II. 58. Id., act. IV, sc. VI. 59. Id., act.
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, sc. III ; act. IV, sc. IX. 60. Id., act. II, s
; act. V, sc. II. 58. Id., act. IV, sc. VI. 59. Id., act. I, sc.
III
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sc. II. 58. Id., act. IV, sc. VI. 59. Id., act. I, sc. III ; act.
IV
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58. Id., act. IV, sc. VI. 59. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc.
IX
. 60. Id., act. II, sc. II ; act. III, sc. VI ;
Id., act. IV, sc. VI. 59. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. IX.
60.
Id., act. II, sc. II ; act. III, sc. VI ; act. I
sc. VI. 59. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. IX. 60. Id., act.
II
, sc. II ; act. III, sc. VI ; act. IV, sc. XII ; a
59. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. IX. 60. Id., act. II, sc.
II
; act. III, sc. VI ; act. IV, sc. XII ; act. V, s
act. I, sc. III ; act. IV, sc. IX. 60. Id., act. II, sc. II ; act.
III
, sc. VI ; act. IV, sc. XII ; act. V, sc. V. 61.
sc. III ; act. IV, sc. IX. 60. Id., act. II, sc. II ; act. III, sc.
VI
; act. IV, sc. XII ; act. V, sc. V. 61. Id., ac
act. IV, sc. IX. 60. Id., act. II, sc. II ; act. III, sc. VI ; act.
IV
, sc. XII ; act. V, sc. V. 61. Id., act. I, sc.
sc. IX. 60. Id., act. II, sc. II ; act. III, sc. VI ; act. IV, sc.
XII
; act. V, sc. V. 61. Id., act. I, sc. II ; act.
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V
, sc. V. 61. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc.
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V.
61. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act
t. II, sc. II ; act. III, sc. VI ; act. IV, sc. XII ; act. V, sc. V.
61.
Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III
act. III, sc. VI ; act. IV, sc. XII ; act. V, sc. V. 61. Id., act.
I
, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act
II, sc. VI ; act. IV, sc. XII ; act. V, sc. V. 61. Id., act. I, sc.
II
; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc.
; act. IV, sc. XII ; act. V, sc. V. 61. Id., act. I, sc. II ; act.
II
, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II 62.
IV, sc. XII ; act. V, sc. V. 61. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc.
II
; act. III, sc. I ; act. V, sc. II 62. Id., act
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III
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V, sc. V. 61. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc.
I
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61. Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act.
V
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Id., act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc.
II
62. Id., act. I, sc. III ; act. II, sc.VII. 63
act. I, sc. II ; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II
62.
Id., act. I, sc. III ; act. II, sc.VII. 63. Id
; act. II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II 62. Id., act.
I
, sc. III ; act. II, sc.VII. 63. Id., act. I, sc
II, sc. II ; act. III, sc. I ; act. V, sc. II 62. Id., act. I, sc.
III
; act. II, sc.VII. 63. Id., act. I, sc. III ; a
; act. III, sc. I ; act. V, sc. II 62. Id., act. I, sc. III ; act.
II
, sc.VII. 63. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc
sc. I ; act. V, sc. II 62. Id., act. I, sc. III ; act. II, sc.VII.
63.
Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. VII. 64. I
sc. II 62. Id., act. I, sc. III ; act. II, sc.VII. 63. Id., act.
I
, sc. III ; act. IV, sc. VII. 64. Id., act. II,
62. Id., act. I, sc. III ; act. II, sc.VII. 63. Id., act. I, sc.
III
; act. IV, sc. VII. 64. Id., act. II, sc. VII ;
act. I, sc. III ; act. II, sc.VII. 63. Id., act. I, sc. III ; act.
IV
, sc. VII. 64. Id., act. II, sc. VII ; act. IV,
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VII
. 64. Id., act. II, sc. VII ; act. IV, sc. IX.
II ; act. II, sc.VII. 63. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. VII.
64.
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c.VII. 63. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. VII. 64. Id., act.
II
, sc. VII ; act. IV, sc. IX. 65. Le Festin de Pi
63. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. VII. 64. Id., act. II, sc.
VII
; act. IV, sc. IX. 65. Le Festin de Pierre, act
ct. I, sc. III ; act. IV, sc. VII. 64. Id., act. II, sc. VII ; act.
IV
, sc. IX. 65. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I
c. III ; act. IV, sc. VII. 64. Id., act. II, sc. VII ; act. IV, sc.
IX
. 65. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 66.
I ; act. IV, sc. VII. 64. Id., act. II, sc. VII ; act. IV, sc. IX.
65.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 66. Id., a
, act. II, sc. VII ; act. IV, sc. IX. 65. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. I. 66. Id., act. IV, sc. IV. 67. Id., ac
II, sc. VII ; act. IV, sc. IX. 65. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
I
. 66. Id., act. IV, sc. IV. 67. Id., act. III,
sc. VII ; act. IV, sc. IX. 65. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I.
66.
Id., act. IV, sc. IV. 67. Id., act. III, sc. I
IV, sc. IX. 65. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 66. Id., act.
IV
, sc. IV. 67. Id., act. III, sc. II.. 68. Id.,
IX. 65. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 66. Id., act. IV, sc.
IV
. 67. Id., act. III, sc. II.. 68. Id., act. V,
65. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 66. Id., act. IV, sc. IV.
67.
Id., act. III, sc. II.. 68. Id., act. V, sc. V
de Pierre, act. I, sc. I. 66. Id., act. IV, sc. IV. 67. Id., act.
III
, sc. II.. 68. Id., act. V, sc. VIII. 69.
, act. I, sc. I. 66. Id., act. IV, sc. IV. 67. Id., act. III, sc.
II
.. 68. Id., act. V, sc. VIII. 69. Il est e
I, sc. I. 66. Id., act. IV, sc. IV. 67. Id., act. III, sc. II..
68.
Id., act. V, sc. VIII. 69. Il est englouti
Id., act. IV, sc. IV. 67. Id., act. III, sc. II.. 68. Id., act.
V
, sc. VIII. 69. Il est englouti : je cours m
act. IV, sc. IV. 67. Id., act. III, sc. II.. 68. Id., act. V, sc.
VIII
. 69. Il est englouti : je cours me rendre h
, sc. IV. 67. Id., act. III, sc. II.. 68. Id., act. V, sc. VIII.
69.
Il est englouti : je cours me rendre hermite
t et n’en profite pas ! (Th. Corneille, Le Festin de Pierre, act.
V
, sc. IV.) 70. Le Festin de Pierre, act. III, s
en profite pas ! (Th. Corneille, Le Festin de Pierre, act. V, sc.
IV
.) 70. Le Festin de Pierre, act. III, sc. I. 7
ite pas ! (Th. Corneille, Le Festin de Pierre, act. V, sc. IV.)
70.
Le Festin de Pierre, act. III, sc. I. 71. Le F
e Festin de Pierre, act. V, sc. IV.) 70. Le Festin de Pierre, act.
III
, sc. I. 71. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
de Pierre, act. V, sc. IV.) 70. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
I
. 71. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II. 72
ierre, act. V, sc. IV.) 70. Le Festin de Pierre, act. III, sc. I.
71.
Le Festin de Pierre, act. III, sc. II. 72. Voir
Le Festin de Pierre, act. III, sc. I. 71. Le Festin de Pierre, act.
III
, sc. II. 72. Voir plus loin, chap. XI. 73. 1664
de Pierre, act. III, sc. I. 71. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
II
. 72. Voir plus loin, chap. XI. 73. 1664-1667.
ierre, act. III, sc. I. 71. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II.
72.
Voir plus loin, chap. XI. 73. 1664-1667. 74. L
1. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II. 72. Voir plus loin, chap.
XI
. 73. 1664-1667. 74. Le Tartuffe, act. III, sc.
e Festin de Pierre, act. III, sc. II. 72. Voir plus loin, chap. XI.
73.
1664-1667. 74. Le Tartuffe, act. III, sc. III ;
stin de Pierre, act. III, sc. II. 72. Voir plus loin, chap. XI. 73.
1664-1667.
74. Le Tartuffe, act. III, sc. III ; act. IV, s
re, act. III, sc. II. 72. Voir plus loin, chap. XI. 73. 1664-1667.
74.
Le Tartuffe, act. III, sc. III ; act. IV, sc. IV
72. Voir plus loin, chap. XI. 73. 1664-1667. 74. Le Tartuffe, act.
III
, sc. III ; act. IV, sc. IV. 75. « Pour le faux
plus loin, chap. XI. 73. 1664-1667. 74. Le Tartuffe, act. III, sc.
III
; act. IV, sc. IV. 75. « Pour le faux dévot, Mo
chap. XI. 73. 1664-1667. 74. Le Tartuffe, act. III, sc. III ; act.
IV
, sc. IV. 75. « Pour le faux dévot, Molière en a
. 73. 1664-1667. 74. Le Tartuffe, act. III, sc. III ; act. IV, sc.
IV
. 75. « Pour le faux dévot, Molière en a peur, i
. 1664-1667. 74. Le Tartuffe, act. III, sc. III ; act. IV, sc. IV.
75.
« Pour le faux dévot, Molière en a peur, il en a
« Pour le faux dévot, Molière en a peur, il en a horreur du moins. »
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. Il1, chap. ix, g
4,
Tartuffe. 76. « Totius autem injustitiæ nulla
ire de la Littérature française, liv. Il1, chap. ix, g 4, Tartuffe.
76.
« Totius autem injustitiæ nulla capitalior est q
t, id agunt ut viri boni esse videantur. » Cicéron, de Officiis, lib.
I
, cap. XIII. 77. Voir Laharpe, Cours de Littératu
unt ut viri boni esse videantur. » Cicéron, de Officiis, lib. I, cap.
XIII
. 77. Voir Laharpe, Cours de Littérature, part. I
viri boni esse videantur. » Cicéron, de Officiis, lib. I, cap. XIII.
77.
Voir Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv
is, lib. I, cap. XIII. 77. Voir Laharpe, Cours de Littérature, part.
II
, liv. I, chap. VI, sect. 5, et F. Genin, Vie de M
I, cap. XIII. 77. Voir Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv.
I
, chap. VI, sect. 5, et F. Genin, Vie de Molière,
III. 77. Voir Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv. I, chap.
VI
, sect. 5, et F. Genin, Vie de Molière, chap. V.
Voir Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv. I, chap. VI, sect.
5,
et F. Genin, Vie de Molière, chap. V. 78. Po
rt. II, liv. I, chap. VI, sect. 5, et F. Genin, Vie de Molière, chap.
V.
78. Pour l’histoire du Tartuffe, voir : L
I, liv. I, chap. VI, sect. 5, et F. Genin, Vie de Molière, chap. V.
78.
Pour l’histoire du Tartuffe, voir : La Préf
lacets de Molière ; Lettre sur la Comédie de l’Imposteur, publiée en
1667,
et certainement inspirée, sinon écrite par Molièr
inspirée, sinon écrite par Molière ; Arrêt du Parlement de Paris du
6
août 1667 ; Ordonnance de Mgr Harlay de Champval
ée, sinon écrite par Molière ; Arrêt du Parlement de Paris du 6 août
1667
; Ordonnance de Mgr Harlay de Champvallon, arche
7 ; Ordonnance de Mgr Harlay de Champvallon, archevêque de Paris, du
11
août 1667 ; Le Roi glorieux au monde, par le cur
onnance de Mgr Harlay de Champvallon, archevêque de Paris, du 11 août
1667
; Le Roi glorieux au monde, par le curé de Saint
Le Roi glorieux au monde, par le curé de Saint-Barlhélemy (Roullès),
1665
; Observations sur une comédie de Molière intitu
de Molière intitulée Le Festin de Pierre, par le sieur de Rochemont,
1665
; Réponse aux observations, etc., 1665 ; Lettre s
re, par le sieur de Rochemont, 1665 ; Réponse aux observations, etc.,
1665
; Lettre sur les observations, etc., 1665 ; La C
nse aux observations, etc., 1665 ; Lettre sur les observations, etc.,
1665
; La Critique du Tartuffe, comédie en vers en un
s, etc., 1665 ; La Critique du Tartuffe, comédie en vers en un acte,
1670
;’ Bourdaloue, Sermon pour le septième dimanch
e, première partie ; Laharpe, Cours de Littérature, part. Il, liv.
I
, chap. VI, sect. 5 ; Napoléon, Mémorial de Sai
re partie ; Laharpe, Cours de Littérature, part. Il, liv. I, chap.
VI
, sect. 5 ; Napoléon, Mémorial de Sainte-Hélène
; Laharpe, Cours de Littérature, part. Il, liv. I, chap. VI, sect.
5
; Napoléon, Mémorial de Sainte-Hélène : « Cett
J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
II
et III ; A. Bazin, Notes historiques sur la vi
Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II et
III
; A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Mo
ur la vie de Molière, IIe partie ; F. Génin, Vie de Molière, chap.
V
; D. Nisard, Histoire de la Littérature frança
ie de Molière, IIe partie ; F. Génin, Vie de Molière, chap. V ;
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
e, chap. V ; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
III
, chap. IX, § 4 ; Sainte- Beuve, Port-Royal, to
; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap.
IX
, § 4 ; Sainte- Beuve, Port-Royal, tome III, ch
. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX, §
4
; Sainte- Beuve, Port-Royal, tome III, chap. X
ançaise, liv. III, chap. IX, § 4 ; Sainte- Beuve, Port-Royal, tome
III
, chap. XV, XVI, etc. 79. Boileau, Satire X, v.
v. III, chap. IX, § 4 ; Sainte- Beuve, Port-Royal, tome III, chap.
XV
, XVI, etc. 79. Boileau, Satire X, v. 525. 80.
II, chap. IX, § 4 ; Sainte- Beuve, Port-Royal, tome III, chap. XV,
XVI
, etc. 79. Boileau, Satire X, v. 525. 80. « So
, § 4 ; Sainte- Beuve, Port-Royal, tome III, chap. XV, XVI, etc.
79.
Boileau, Satire X, v. 525. 80. « Sous prétexte
euve, Port-Royal, tome III, chap. XV, XVI, etc. 79. Boileau, Satire
X
, v. 525. 80. « Sous prétexte de condamner l’hyp
Port-Royal, tome III, chap. XV, XVI, etc. 79. Boileau, Satire X, v.
525.
80. « Sous prétexte de condamner l’hypocrisie o
oyal, tome III, chap. XV, XVI, etc. 79. Boileau, Satire X, v. 525.
80.
« Sous prétexte de condamner l’hypocrisie ou la
us suspects, etc. » (Bourdaloue, Sermon cité plus haut. Voir toute la
1e
partie). Il faut remarquer que l’archevêque de Pa
ns dans la relation intitulée les Plaisirs de l’Ile enchantée, Paris,
1665
: « Le roi connut tant de conformité entre ceux q
ir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
II
, note 25. 81. Le Tartuffe, act. I, sc. I, VI ;
chereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II, note
25.
81. Le Tartuffe, act. I, sc. I, VI ; act. III,
au, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II, note 25.
81.
Le Tartuffe, act. I, sc. I, VI ; act. III, sc. V
et des ouvrages de Molière, liv. II, note 25. 81. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I, VI ; act. III, sc. VI. 82. Id., act. I,
ouvrages de Molière, liv. II, note 25. 81. Le Tartuffe, act. I, sc.
I
, VI ; act. III, sc. VI. 82. Id., act. I, sc. I
rages de Molière, liv. II, note 25. 81. Le Tartuffe, act. I, sc. I,
VI
; act. III, sc. VI. 82. Id., act. I, sc. I ; ac
olière, liv. II, note 25. 81. Le Tartuffe, act. I, sc. I, VI ; act.
III
, sc. VI. 82. Id., act. I, sc. I ; act. V, sc. I
iv. II, note 25. 81. Le Tartuffe, act. I, sc. I, VI ; act. III, sc.
VI
. 82. Id., act. I, sc. I ; act. V, sc. III. 83.
I, note 25. 81. Le Tartuffe, act. I, sc. I, VI ; act. III, sc. VI.
82.
Id., act. I, sc. I ; act. V, sc. III. 83. Id,
. Le Tartuffe, act. I, sc. I, VI ; act. III, sc. VI. 82. Id., act.
I
, sc. I ; act. V, sc. III. 83. Id, act. I, sc. V
artuffe, act. I, sc. I, VI ; act. III, sc. VI. 82. Id., act. I, sc.
I
; act. V, sc. III. 83. Id, act. I, sc. V, VI ;
act. I, sc. I, VI ; act. III, sc. VI. 82. Id., act. I, sc. I ; act.
V
, sc. III. 83. Id, act. I, sc. V, VI ; act. III,
sc. I, VI ; act. III, sc. VI. 82. Id., act. I, sc. I ; act. V, sc.
III
. 83. Id, act. I, sc. V, VI ; act. III, sc. VI,
, VI ; act. III, sc. VI. 82. Id., act. I, sc. I ; act. V, sc. III.
83.
Id, act. I, sc. V, VI ; act. III, sc. VI, VII ;
I, sc. VI. 82. Id., act. I, sc. I ; act. V, sc. III. 83. Id, act.
I
, sc. V, VI ; act. III, sc. VI, VII ; act. IV, sc.
VI. 82. Id., act. I, sc. I ; act. V, sc. III. 83. Id, act. I, sc.
V
, VI ; act. III, sc. VI, VII ; act. IV, sc. III.
82. Id., act. I, sc. I ; act. V, sc. III. 83. Id, act. I, sc. V,
VI
; act. III, sc. VI, VII ; act. IV, sc. III. 84.
, act. I, sc. I ; act. V, sc. III. 83. Id, act. I, sc. V, VI ; act.
III
, sc. VI, VII ; act. IV, sc. III. 84. Id., act.
sc. I ; act. V, sc. III. 83. Id, act. I, sc. V, VI ; act. III, sc.
VI
, VII ; act. IV, sc. III. 84. Id., act. III, sc.
I ; act. V, sc. III. 83. Id, act. I, sc. V, VI ; act. III, sc. VI,
VII
; act. IV, sc. III. 84. Id., act. III, sc. VII
, sc. III. 83. Id, act. I, sc. V, VI ; act. III, sc. VI, VII ; act.
IV
, sc. III. 84. Id., act. III, sc. VII ; act. IV,
I. 83. Id, act. I, sc. V, VI ; act. III, sc. VI, VII ; act. IV, sc.
III
. 84. Id., act. III, sc. VII ; act. IV, sc. I.
. Id, act. I, sc. V, VI ; act. III, sc. VI, VII ; act. IV, sc. III.
84.
Id., act. III, sc. VII ; act. IV, sc. I. 85. I
sc. V, VI ; act. III, sc. VI, VII ; act. IV, sc. III. 84. Id., act.
III
, sc. VII ; act. IV, sc. I. 85. Id., act. II, sc
; act. III, sc. VI, VII ; act. IV, sc. III. 84. Id., act. III, sc.
VII
; act. IV, sc. I. 85. Id., act. II, sc. I, II,
, sc. VI, VII ; act. IV, sc. III. 84. Id., act. III, sc. VII ; act.
IV
, sc. I. 85. Id., act. II, sc. I, II, III ; act.
, VII ; act. IV, sc. III. 84. Id., act. III, sc. VII ; act. IV, sc.
I
. 85. Id., act. II, sc. I, II, III ; act. IV, sc
I ; act. IV, sc. III. 84. Id., act. III, sc. VII ; act. IV, sc. I.
85.
Id., act. II, sc. I, II, III ; act. IV, sc. III.
. III. 84. Id., act. III, sc. VII ; act. IV, sc. I. 85. Id., act.
II
, sc. I, II, III ; act. IV, sc. III. 86. Id., ac
84. Id., act. III, sc. VII ; act. IV, sc. I. 85. Id., act. II, sc.
I
, II, III ; act. IV, sc. III. 86. Id., act. III,
Id., act. III, sc. VII ; act. IV, sc. I. 85. Id., act. II, sc. I,
II
, III ; act. IV, sc. III. 86. Id., act. III, sc.
., act. III, sc. VII ; act. IV, sc. I. 85. Id., act. II, sc. I, II,
III
; act. IV, sc. III. 86. Id., act. III, sc. III.
, sc. VII ; act. IV, sc. I. 85. Id., act. II, sc. I, II, III ; act.
IV
, sc. III. 86. Id., act. III, sc. III. 87. Id.
I ; act. IV, sc. I. 85. Id., act. II, sc. I, II, III ; act. IV, sc.
III
. 86. Id., act. III, sc. III. 87. Id., act. I,
t. IV, sc. I. 85. Id., act. II, sc. I, II, III ; act. IV, sc. III.
86.
Id., act. III, sc. III. 87. Id., act. I, sc. I
85. Id., act. II, sc. I, II, III ; act. IV, sc. III. 86. Id., act.
III
, sc. III. 87. Id., act. I, sc. I, II ; act. III
act. II, sc. I, II, III ; act. IV, sc. III. 86. Id., act. III, sc.
III
. 87. Id., act. I, sc. I, II ; act. III, sc. II
II, sc. I, II, III ; act. IV, sc. III. 86. Id., act. III, sc. III.
87.
Id., act. I, sc. I, II ; act. III, sc. II ; act.
III ; act. IV, sc. III. 86. Id., act. III, sc. III. 87. Id., act.
I
, sc. I, II ; act. III, sc. II ; act. V, sc. IV.
ct. IV, sc. III. 86. Id., act. III, sc. III. 87. Id., act. I, sc.
I
, II ; act. III, sc. II ; act. V, sc. IV. 88. Le
IV, sc. III. 86. Id., act. III, sc. III. 87. Id., act. I, sc. I,
II
; act. III, sc. II ; act. V, sc. IV. 88. Le Tar
II. 86. Id., act. III, sc. III. 87. Id., act. I, sc. I, II ; act.
III
, sc. II ; act. V, sc. IV. 88. Le Tartuffe, act.
Id., act. III, sc. III. 87. Id., act. I, sc. I, II ; act. III, sc.
II
; act. V, sc. IV. 88. Le Tartuffe, act. V, sc.
III, sc. III. 87. Id., act. I, sc. I, II ; act. III, sc. II ; act.
V
, sc. IV. 88. Le Tartuffe, act. V, sc. IV, VII.
c. III. 87. Id., act. I, sc. I, II ; act. III, sc. II ; act. V, sc.
IV
. 88. Le Tartuffe, act. V, sc. IV, VII. 89. Id
I. 87. Id., act. I, sc. I, II ; act. III, sc. II ; act. V, sc. IV.
88.
Le Tartuffe, act. V, sc. IV, VII. 89. Id., act
c. I, II ; act. III, sc. II ; act. V, sc. IV. 88. Le Tartuffe, act.
V
, sc. IV, VII. 89. Id., act. III, sc. IV, V, Elm
I ; act. III, sc. II ; act. V, sc. IV. 88. Le Tartuffe, act. V, sc.
IV
, VII. 89. Id., act. III, sc. IV, V, Elmlre ; ac
act. III, sc. II ; act. V, sc. IV. 88. Le Tartuffe, act. V, sc. IV,
VII
. 89. Id., act. III, sc. IV, V, Elmlre ; act. V,
II, sc. II ; act. V, sc. IV. 88. Le Tartuffe, act. V, sc. IV, VII.
89.
Id., act. III, sc. IV, V, Elmlre ; act. V, sc. I
t. V, sc. IV. 88. Le Tartuffe, act. V, sc. IV, VII. 89. Id., act.
III
, sc. IV, V, Elmlre ; act. V, sc. I, III, Cléante.
IV. 88. Le Tartuffe, act. V, sc. IV, VII. 89. Id., act. III, sc.
IV
, V, Elmlre ; act. V, sc. I, III, Cléante. 90.
88. Le Tartuffe, act. V, sc. IV, VII. 89. Id., act. III, sc. IV,
V
, Elmlre ; act. V, sc. I, III, Cléante. 90. Id.
e, act. V, sc. IV, VII. 89. Id., act. III, sc. IV, V, Elmlre ; act.
V
, sc. I, III, Cléante. 90. Id., act. V, sc. VII
V, sc. IV, VII. 89. Id., act. III, sc. IV, V, Elmlre ; act. V, sc.
I
, III, Cléante. 90. Id., act. V, sc. VII. 91.
sc. IV, VII. 89. Id., act. III, sc. IV, V, Elmlre ; act. V, sc. I,
III
, Cléante. 90. Id., act. V, sc. VII. 91. Fénel
9. Id., act. III, sc. IV, V, Elmlre ; act. V, sc. I, III, Cléante.
90.
Id., act. V, sc. VII. 91. Fénelon approuvait Mo
II, sc. IV, V, Elmlre ; act. V, sc. I, III, Cléante. 90. Id., act.
V
, sc. VII. 91. Fénelon approuvait Molière, et dan
IV, V, Elmlre ; act. V, sc. I, III, Cléante. 90. Id., act. V, sc.
VII
. 91. Fénelon approuvait Molière, et dans le Tart
, Elmlre ; act. V, sc. I, III, Cléante. 90. Id., act. V, sc. VII.
91.
Fénelon approuvait Molière, et dans le Tartare, i
dieux, étoient punis comme les plus scélérats de tous les hommes… Les
trois
juges des enfers l’avoient ainsi voulu, et voici
ue les hommes n’osent plus se fier à la véritable. » (Télémaque, liv.
XVIII
.) — Voir encore sur le Tartuffe, plus loin, chap.
lémaque, liv. XVIII.) — Voir encore sur le Tartuffe, plus loin, chap.
VI
et chap. XI. 92. 1668. 93. L’Avare, act. I, sc
. XVIII.) — Voir encore sur le Tartuffe, plus loin, chap. VI et chap.
XI
. 92. 1668. 93. L’Avare, act. I, sc. III ; act.
II.) — Voir encore sur le Tartuffe, plus loin, chap. VI et chap. XI.
92.
1668. 93. L’Avare, act. I, sc. III ; act. III,
— Voir encore sur le Tartuffe, plus loin, chap. VI et chap. XI. 92.
1668.
93. L’Avare, act. I, sc. III ; act. III, sc. V.
encore sur le Tartuffe, plus loin, chap. VI et chap. XI. 92. 1668.
93.
L’Avare, act. I, sc. III ; act. III, sc. V. 94.
uffe, plus loin, chap. VI et chap. XI. 92. 1668. 93. L’Avare, act.
I
, sc. III ; act. III, sc. V. 94. Id., act. I, sc
lus loin, chap. VI et chap. XI. 92. 1668. 93. L’Avare, act. I, sc.
III
; act. III, sc. V. 94. Id., act. I, sc. III : à
hap. VI et chap. XI. 92. 1668. 93. L’Avare, act. I, sc. III ; act.
III
, sc. V. 94. Id., act. I, sc. III : à l’occasion
t chap. XI. 92. 1668. 93. L’Avare, act. I, sc. III ; act. III, sc.
V.
94. Id., act. I, sc. III : à l’occasion de cett
ap. XI. 92. 1668. 93. L’Avare, act. I, sc. III ; act. III, sc. V.
94.
Id., act. I, sc. III : à l’occasion de cette scè
68. 93. L’Avare, act. I, sc. III ; act. III, sc. V. 94. Id., act.
I
, sc. III : à l’occasion de cette scène, on doit r
. L’Avare, act. I, sc. III ; act. III, sc. V. 94. Id., act. I, sc.
III
: à l’occasion de cette scène, on doit remarquer
er avec quelle légèreté parle Fénelon (Lettre à l’Académie française,
VII
). 95. Boileau, Satire X, v. 250. 96. L’Avare,
quelle légèreté parle Fénelon (Lettre à l’Académie française, VII).
95.
Boileau, Satire X, v. 250. 96. L’Avare, act. I,
le Fénelon (Lettre à l’Académie française, VII). 95. Boileau, Satire
X
, v. 250. 96. L’Avare, act. I, sc. I, VI, VII.
elon (Lettre à l’Académie française, VII). 95. Boileau, Satire X, v.
250.
96. L’Avare, act. I, sc. I, VI, VII. 97. Id.,
Lettre à l’Académie française, VII). 95. Boileau, Satire X, v. 250.
96.
L’Avare, act. I, sc. I, VI, VII. 97. Id., act.
française, VII). 95. Boileau, Satire X, v. 250. 96. L’Avare, act.
I
, sc. I, VI, VII. 97. Id., act. I, sc. VI ; act.
ise, VII). 95. Boileau, Satire X, v. 250. 96. L’Avare, act. I, sc.
I
, VI, VII. 97. Id., act. I, sc. VI ; act. IV, sc
, VII). 95. Boileau, Satire X, v. 250. 96. L’Avare, act. I, sc. I,
VI
, VII. 97. Id., act. I, sc. VI ; act. IV, sc. II
I). 95. Boileau, Satire X, v. 250. 96. L’Avare, act. I, sc. I, VI,
VII
. 97. Id., act. I, sc. VI ; act. IV, sc. III. 9
5. Boileau, Satire X, v. 250. 96. L’Avare, act. I, sc. I, VI, VII.
97.
Id., act. I, sc. VI ; act. IV, sc. III. 98. L’
ire X, v. 250. 96. L’Avare, act. I, sc. I, VI, VII. 97. Id., act.
I
, sc. VI ; act. IV, sc. III. 98. L’Avare, act. I
v. 250. 96. L’Avare, act. I, sc. I, VI, VII. 97. Id., act. I, sc.
VI
; act. IV, sc. III. 98. L’Avare, act. II, sc. I
6. L’Avare, act. I, sc. I, VI, VII. 97. Id., act. I, sc. VI ; act.
IV
, sc. III. 98. L’Avare, act. II, sc. I, II, III.
are, act. I, sc. I, VI, VII. 97. Id., act. I, sc. VI ; act. IV, sc.
III
. 98. L’Avare, act. II, sc. I, II, III. 99. Id
ct. I, sc. I, VI, VII. 97. Id., act. I, sc. VI ; act. IV, sc. III.
98.
L’Avare, act. II, sc. I, II, III. 99. Id., act
II. 97. Id., act. I, sc. VI ; act. IV, sc. III. 98. L’Avare, act.
II
, sc. I, II, III. 99. Id., act.I, sc. V. 100.
Id., act. I, sc. VI ; act. IV, sc. III. 98. L’Avare, act. II, sc.
I
, II, III. 99. Id., act.I, sc. V. 100. Id., ac
d., act. I, sc. VI ; act. IV, sc. III. 98. L’Avare, act. II, sc. I,
II
, III. 99. Id., act.I, sc. V. 100. Id., act. I
act. I, sc. VI ; act. IV, sc. III. 98. L’Avare, act. II, sc. I, II,
III
. 99. Id., act.I, sc. V. 100. Id., act. I, sc.
, sc. VI ; act. IV, sc. III. 98. L’Avare, act. II, sc. I, II, III.
99.
Id., act.I, sc. V. 100. Id., act. I, sc. V ; a
c. III. 98. L’Avare, act. II, sc. I, II, III. 99. Id., act.I, sc.
V.
100. Id., act. I, sc. V ; act. IV, sc. III. 10
II. 98. L’Avare, act. II, sc. I, II, III. 99. Id., act.I, sc. V.
100.
Id., act. I, sc. V ; act. IV, sc. III. 101. Id
e, act. II, sc. I, II, III. 99. Id., act.I, sc. V. 100. Id., act.
I
, sc. V ; act. IV, sc. III. 101. Id., act. II, s
II, sc. I, II, III. 99. Id., act.I, sc. V. 100. Id., act. I, sc.
V
; act. IV, sc. III. 101. Id., act. II, sc. II ;
I, II, III. 99. Id., act.I, sc. V. 100. Id., act. I, sc. V ; act.
IV
, sc. III. 101. Id., act. II, sc. II ; act. IV,
II. 99. Id., act.I, sc. V. 100. Id., act. I, sc. V ; act. IV, sc.
III
. 101. Id., act. II, sc. II ; act. IV, sc. III,
9. Id., act.I, sc. V. 100. Id., act. I, sc. V ; act. IV, sc. III.
101.
Id., act. II, sc. II ; act. IV, sc. III, V. 102
sc. V. 100. Id., act. I, sc. V ; act. IV, sc. III. 101. Id., act.
II
, sc. II ; act. IV, sc. III, V. 102. Id., act. I
100. Id., act. I, sc. V ; act. IV, sc. III. 101. Id., act. II, sc.
II
; act. IV, sc. III, V. 102. Id., act. IV, sc. V
act. I, sc. V ; act. IV, sc. III. 101. Id., act. II, sc. II ; act.
IV
, sc. III, V. 102. Id., act. IV, sc. VI. 103. P
sc. V ; act. IV, sc. III. 101. Id., act. II, sc. II ; act. IV, sc.
III
, V. 102. Id., act. IV, sc. VI. 103. Plaute, Au
V ; act. IV, sc. III. 101. Id., act. II, sc. II ; act. IV, sc. III,
V.
102. Id., act. IV, sc. VI. 103. Plaute, Aulula
act. IV, sc. III. 101. Id., act. II, sc. II ; act. IV, sc. III, V.
102.
Id., act. IV, sc. VI. 103. Plaute, Aulularia, v
. 101. Id., act. II, sc. II ; act. IV, sc. III, V. 102. Id., act.
IV
, sc. VI. 103. Plaute, Aulularia, v. 637 ad fin.
Id., act. II, sc. II ; act. IV, sc. III, V. 102. Id., act. IV, sc.
VI
. 103. Plaute, Aulularia, v. 637 ad fin. 104. L
act. II, sc. II ; act. IV, sc. III, V. 102. Id., act. IV, sc. VI.
103.
Plaute, Aulularia, v. 637 ad fin. 104. L’Avare,
sc. III, V. 102. Id., act. IV, sc. VI. 103. Plaute, Aulularia, v.
637
ad fin. 104. L’Avare, act. II, sc. VI. 105. I
102. Id., act. IV, sc. VI. 103. Plaute, Aulularia, v. 637 ad fin.
104.
L’Avare, act. II, sc. VI. 105. Id., act. III,
sc. VI. 103. Plaute, Aulularia, v. 637 ad fin. 104. L’Avare, act.
II
, sc. VI. 105. Id., act. III, sc. XII. 106. Id
103. Plaute, Aulularia, v. 637 ad fin. 104. L’Avare, act. II, sc.
VI
. 105. Id., act. III, sc. XII. 106. Id., act.
. Plaute, Aulularia, v. 637 ad fin. 104. L’Avare, act. II, sc. VI.
105.
Id., act. III, sc. XII. 106. Id., act. III, sc
ria, v. 637 ad fin. 104. L’Avare, act. II, sc. VI. 105. Id., act.
III
, sc. XII. 106. Id., act. III, sc. I, II, III, V
37 ad fin. 104. L’Avare, act. II, sc. VI. 105. Id., act. III, sc.
XII
. 106. Id., act. III, sc. I, II, III, V. 107. P
fin. 104. L’Avare, act. II, sc. VI. 105. Id., act. III, sc. XII.
106.
Id., act. III, sc. I, II, III, V. 107. Plaute,
are, act. II, sc. VI. 105. Id., act. III, sc. XII. 106. Id., act.
III
, sc. I, II, III, V. 107. Plaute, Aulularia, init
II, sc. VI. 105. Id., act. III, sc. XII. 106. Id., act. III, sc.
I
, II, III, V. 107. Plaute, Aulularia, init.. 108
, sc. VI. 105. Id., act. III, sc. XII. 106. Id., act. III, sc. I,
II
, III, V. 107. Plaute, Aulularia, init.. 108. Vo
. VI. 105. Id., act. III, sc. XII. 106. Id., act. III, sc. I, II,
III
, V. 107. Plaute, Aulularia, init.. 108. Voir en
105. Id., act. III, sc. XII. 106. Id., act. III, sc. I, II, III,
V.
107. Plaute, Aulularia, init.. 108. Voir encore
5. Id., act. III, sc. XII. 106. Id., act. III, sc. I, II, III, V.
107.
Plaute, Aulularia, init.. 108. Voir encore sur l
. Id., act. III, sc. I, II, III, V. 107. Plaute, Aulularia, init..
108.
Voir encore sur l’Avare, plus loin, chap. X. 109
te, Aulularia, init.. 108. Voir encore sur l’Avare, plus loin, chap.
X.
109. L’Avare, act. II, sc. I. 110. Le Tartuff
Aulularia, init.. 108. Voir encore sur l’Avare, plus loin, chap. X.
109.
L’Avare, act. II, sc. I. 110. Le Tartuffe, act
08. Voir encore sur l’Avare, plus loin, chap. X. 109. L’Avare, act.
II
, sc. I. 110. Le Tartuffe, act. III, sc. VII. 1
encore sur l’Avare, plus loin, chap. X. 109. L’Avare, act. II, sc.
I
. 110. Le Tartuffe, act. III, sc. VII. 111. Il
ore sur l’Avare, plus loin, chap. X. 109. L’Avare, act. II, sc. I.
110.
Le Tartuffe, act. III, sc. VII. 111. Il faut me
in, chap. X. 109. L’Avare, act. II, sc. I. 110. Le Tartuffe, act.
III
, sc. VII. 111. Il faut mettre quelque restrictio
X. 109. L’Avare, act. II, sc. I. 110. Le Tartuffe, act. III, sc.
VII
. 111. Il faut mettre quelque restriction à cet é
09. L’Avare, act. II, sc. I. 110. Le Tartuffe, act. III, sc. VII.
111.
Il faut mettre quelque restriction à cet éloge ;
l faut mettre quelque restriction à cet éloge ; voir plus loin, chap.
IV
. 112. Voir Saint-Marc Girardin, Cours de Littéra
t mettre quelque restriction à cet éloge ; voir plus loin, chap. IV.
112.
Voir Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dr
112. Voir Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome
I
, v, VI, VII. 113. 1653. — Celte pièce, relativem
Voir Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome I, v,
VI
, VII. 113. 1653. — Celte pièce, relativement sai
Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome I, v, VI,
VII
. 113. 1653. — Celte pièce, relativement saine au
-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome I, v, VI, VII.
113.
1653. — Celte pièce, relativement saine au point
Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome I, v, VI, VII. 113.
1653.
— Celte pièce, relativement saine au point de vue
ires dans tous les romans, et multipliés dans Mélite de P. Corneille (
1629
). Si l’on trouve chez Molière quelque idée de sui
et souvent ironique. Voir, entre autres, Myrtil dans Mèlicerte, act.
II
, sc. IV ; Philène et Lycas dans la Pastorale comi
ent ironique. Voir, entre autres, Myrtil dans Mèlicerte, act. II, sc.
IV
; Philène et Lycas dans la Pastorale comique, sc.
te, act. II, sc. IV ; Philène et Lycas dans la Pastorale comique, sc.
XIII
; la plainte de Chloris sur la mort des bergers T
des bergers Tircis et Philène qui se sont noyés de désespoir, et que
six
bateliers ont repêchés, dans la Fête de Versaille
ers ont repêchés, dans la Fête de Versailles (Relation de Félibien).
114.
L’Etourdi, act. II, sc. VII. 115. Le Tartuffe,
la Fête de Versailles (Relation de Félibien). 114. L’Etourdi, act.
II
, sc. VII. 115. Le Tartuffe, act. II, sc. III.
de Versailles (Relation de Félibien). 114. L’Etourdi, act. II, sc.
VII
. 115. Le Tartuffe, act. II, sc. III. 116. L’A
rsailles (Relation de Félibien). 114. L’Etourdi, act. II, sc. VII.
115.
Le Tartuffe, act. II, sc. III. 116. L’Amour mé
libien). 114. L’Etourdi, act. II, sc. VII. 115. Le Tartuffe, act.
II
, sc. III. 116. L’Amour médecin, act. I, sc. VI
114. L’Etourdi, act. II, sc. VII. 115. Le Tartuffe, act. II, sc.
III
. 116. L’Amour médecin, act. I, sc. VI 117. Le
L’Etourdi, act. II, sc. VII. 115. Le Tartuffe, act. II, sc. III.
116.
L’Amour médecin, act. I, sc. VI 117. Le Bourge
I. 115. Le Tartuffe, act. II, sc. III. 116. L’Amour médecin, act.
I
, sc. VI 117. Le Bourgeois gentilhomme, act. III
. Le Tartuffe, act. II, sc. III. 116. L’Amour médecin, act. I, sc.
VI
117. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. X.
e Tartuffe, act. II, sc. III. 116. L’Amour médecin, act. I, sc. VI
117.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. X. 118.
L’Amour médecin, act. I, sc. VI 117. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. X. 118. Le Dépit amoureux, act. V, sc. III
édecin, act. I, sc. VI 117. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc.
X.
118. Le Dépit amoureux, act. V, sc. III ; le Co
in, act. I, sc. VI 117. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. X.
118.
Le Dépit amoureux, act. V, sc. III ; le Cocu ima
ourgeois gentilhomme, act. III, sc. X. 118. Le Dépit amoureux, act.
V
, sc. III ; le Cocu imaginaire, sc. XVII ; les Fâc
s gentilhomme, act. III, sc. X. 118. Le Dépit amoureux, act. V, sc.
III
; le Cocu imaginaire, sc. XVII ; les Fâcheux, act
. 118. Le Dépit amoureux, act. V, sc. III ; le Cocu imaginaire, sc.
XVII
; les Fâcheux, act. I, sc. X ; act. III, sc. IV ;
x, act. V, sc. III ; le Cocu imaginaire, sc. XVII ; les Fâcheux, act.
I
, sc. X ; act. III, sc. IV ; le Mariage forcé, sc.
V, sc. III ; le Cocu imaginaire, sc. XVII ; les Fâcheux, act. I, sc.
X
; act. III, sc. IV ; le Mariage forcé, sc. XVI ;
II ; le Cocu imaginaire, sc. XVII ; les Fâcheux, act. I, sc. X ; act.
III
, sc. IV ; le Mariage forcé, sc. XVI ; le Festin d
ocu imaginaire, sc. XVII ; les Fâcheux, act. I, sc. X ; act. III, sc.
IV
; le Mariage forcé, sc. XVI ; le Festin de Pierre
les Fâcheux, act. I, sc. X ; act. III, sc. IV ; le Mariage forcé, sc.
XVI
; le Festin de Pierre, act. III, sc. IV, V, act.
. III, sc. IV ; le Mariage forcé, sc. XVI ; le Festin de Pierre, act.
III
, sc. IV, V, act. V, sc. IIII ; le Misanthrope, ac
. IV ; le Mariage forcé, sc. XVI ; le Festin de Pierre, act. III, sc.
IV
, V, act. V, sc. IIII ; le Misanthrope, act. II, s
; le Mariage forcé, sc. XVI ; le Festin de Pierre, act. III, sc. IV,
V
, act. V, sc. IIII ; le Misanthrope, act. II, sc.
riage forcé, sc. XVI ; le Festin de Pierre, act. III, sc. IV, V, act.
V
, sc. IIII ; le Misanthrope, act. II, sc. VII ;act
orcé, sc. XVI ; le Festin de Pierre, act. III, sc. IV, V, act. V, sc.
IIII
; le Misanthrope, act. II, sc. VII ;act. IV, sc.
Pierre, act. III, sc. IV, V, act. V, sc. IIII ; le Misanthrope, act.
II
, sc. VII ;act. IV, sc. I ; l’Amour peintre, sc. X
act. III, sc. IV, V, act. V, sc. IIII ; le Misanthrope, act. II, sc.
VII
;act. IV, sc. I ; l’Amour peintre, sc. XIII ; le
sc. IV, V, act. V, sc. IIII ; le Misanthrope, act. II, sc. VII ;act.
IV
, sc. I ; l’Amour peintre, sc. XIII ; le Mari conf
V, act. V, sc. IIII ; le Misanthrope, act. II, sc. VII ;act. IV, sc.
I
; l’Amour peintre, sc. XIII ; le Mari confondu, a
Misanthrope, act. II, sc. VII ;act. IV, sc. I ; l’Amour peintre, sc.
XIII
; le Mari confondu, act. I, sc. VIII ; le Bourgeo
;act. IV, sc. I ; l’Amour peintre, sc. XIII ; le Mari confondu, act.
I
, sc. VIII ; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc
IV, sc. I ; l’Amour peintre, sc. XIII ; le Mari confondu, act. I, sc.
VIII
; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. III ; ac
; le Mari confondu, act. I, sc. VIII ; le Bourgeois gentilhomme, act.
II
, sc. III ; act. III, sc. III ; les Fourberies de
i confondu, act. I, sc. VIII ; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.
III
; act. III, sc. III ; les Fourberies de Scapin, a
act. I, sc. VIII ; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. III ; act.
III
, sc. III ; les Fourberies de Scapin, act. III, sc
sc. VIII ; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. III ; act. III, sc.
III
; les Fourberies de Scapin, act. III, sc. II. 11
act. II, sc. III ; act. III, sc. III ; les Fourberies de Scapin, act.
III
, sc. II. 119. « On ne saurait signaler (dans le
sc. III ; act. III, sc. III ; les Fourberies de Scapin, act. III, sc.
II
. 119. « On ne saurait signaler (dans le Dépit a
II ; act. III, sc. III ; les Fourberies de Scapin, act. III, sc. II.
119.
« On ne saurait signaler (dans le Dépit amoureux
s qu’ait rendus le prince de Conti aux états de Montpellier, moins de
deux
ans avant l’époque de la représentation du Dépit
ontre les duels. » A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière,
1e
partie. 120. Le Misanthrope, act. II, sc. VII ;
els. » A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, 1e partie.
120.
Le Misanthrope, act. II, sc. VII ; act. IV, sc.
oriques sur la vie de Molière, 1e partie. 120. Le Misanthrope, act.
II
, sc. VII ; act. IV, sc. I. — On ne peut s’empêche
sur la vie de Molière, 1e partie. 120. Le Misanthrope, act. II, sc.
VII
; act. IV, sc. I. — On ne peut s’empêcher de regr
de Molière, 1e partie. 120. Le Misanthrope, act. II, sc. VII ; act.
IV
, sc. I. — On ne peut s’empêcher de regretter, dan
re, 1e partie. 120. Le Misanthrope, act. II, sc. VII ; act. IV, sc.
I
. — On ne peut s’empêcher de regretter, dans notre
tre société, l’absence de cette excellente institution de Louis XIV.
121.
… Notre roi n’est pas un monarque en peintur
. Les Fâcheux, act.
I
, sc. X. 122. J’ai servi quatorze ans, etc.
Les Fâcheux, act. I, sc.
X.
122. J’ai servi quatorze ans, etc.
Les Fâcheux, act. I, sc. X.
122.
J’ai servi quatorze ans, etc.
Les Fâcheux, act. I, sc. X. 122. J’ai servi
quatorze
ans, etc.
. Les Fâcheux, act.
I
, sc. X. — La portée morale de cette scène est
Les Fâcheux, act. I, sc.
X.
— La portée morale de cette scène est bien app
ar J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
I
, à la fin. 123. Voir Loret, Lettre du 6 février
u, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, à la fin.
123.
Voir Loret, Lettre du 6 février 1655. — À toutes
s ouvrages de Molière, liv. I, à la fin. 123. Voir Loret, Lettre du
6
février 1655. — À toutes ces excellentes scènes,
de Molière, liv. I, à la fin. 123. Voir Loret, Lettre du 6 février
1655.
— À toutes ces excellentes scènes, il faut joindr
PRÉFACE Dans la Notice qui précède le tome
XI
de cette collection, M. Paul Lacroix, tout en rec
vent une note plus étendue que le texte même. La première, Lettre de
M
** sur la vie et les ouvrages de Molière, occupe 2
première, Lettre de M** sur la vie et les ouvrages de Molière, occupe
21
pages du Mercure de France d’août 1735. A cette d
les ouvrages de Molière, occupe 21 pages du Mercure de France d’août
1735.
A cette date, tout était nouveau en fait d’histoi
s et les comédiens, la Bibliothèque des Théâtres, de Maupoint, est de
1733
; le premier volume de l’Histoire du Théâtre Fran
aillet, de Rapin, de Bouhours, de Despréaux, de Bayle, de Rostaut, de
M
me Dacier, de Grimarest, de La Bruyère, de Murato
er, de Grimarest, de La Bruyère, de Muratori et de Saint-Évremond, et
deux
fragments du Journal littéraire de La Haye et de
nal littéraire de La Haye et des Mémoires de Trévoux. On voit que ce
M
**pourrait s’appeler « M. Tout-le-Monde ». Cette
roduite en partie dans le Choix des Mercures et autres journaux (tome
XXV
, p. 65-83). C’est bien de l’honneur qu’on lui a f
’on lui a fait là. La seconde lettre, publiée par le Mercure de mai
1738
(p. 826 à 836), sous le titre de Mémoires pour se
là. La seconde lettre, publiée par le Mercure de mai 1738 (p. 826 à
836
), sous le titre de Mémoires pour servir à l’histo
u jurisconsulte Antoine-Gaspard Boucher d’Argis, avocat au Parlement (
1708-1780
). La seconde partie du tome Ier de ces Variétés
les plus distingués ». Nous en avons scrupuleusement collationné les
90
pages consacrées à « Molière, aux particularités
sumer en ce dilemme : ou Boucher d’Argis est l’auteur des Mémoires de
1738,
— ce qui me paraît très probable, puisqu’il colla
isin, etc.2). Le Roi voulut rendre Molière le chef de sa troupe avec
six
mille livres de pension. Il représenta à Sa Majes
, etc.2). Le Roi voulut rendre Molière le chef de sa troupe avec six
mille
livres de pension. Il représenta à Sa Majesté que
r chef. Le Roi admira ce sentiment généreux, et accorda la pension de
6,ooo
livres à la troupe entière, dont elle a toujours
a toujours joui, et qui fut augmentée à la jonction des troupes vers
1680,
à 12,000 livres3. Il avoit un amour de passion p
urs joui, et qui fut augmentée à la jonction des troupes vers 1680, à
12,000
livres3. Il avoit un amour de passion pour son m
ues jusqu’à la fin de sa vie. A sa mort, le théâtre fut fermé pendant
quinze
jours4, et ce ne fut qu’après ce tems-là que la
ient comme leur père commun et leur bienfaiteur. […] Il fut inhumé le
20
Février 5 dans le cimetière de Saint-Joseph, sa
eur père commun et leur bienfaiteur. […] Il fut inhumé le 20 Février
5
dans le cimetière de Saint-Joseph, sa paroisse6,
de la quatrième de nos Lettres, insérées au Mercure de mai et de juin
1740
? C’est en effet à Mlle Poisson que ces deux let
rcure de mai et de juin 1740 ? C’est en effet à Mlle Poisson que ces
deux
lettres ont été jusqu’ici attribuées, non-seuleme
Despois, qui, dans le Molière de la collection des Grands Ecrivains
8,
affirme « quil ne saurait y avoir de doute » à ce
le portrait de Molière par Mlle Poisson, l’empruntaient au Mercure de
1740,
qui l’avait pris lui-même dans les Mémoires de La
ure de 1740, qui l’avait pris lui-même dans les Mémoires de La Serre (
1734
). Or, La Serre, qui cite Mlle Poisson pour le po
es Mémoires, qui ont été presque entièrement pillés par le Mercure de
1740.
Il rien a soufflé mot, et rien ri autorisait M. D
e Poisson de son Dictionnaire), a fait mourir Mlle Poisson à l’âge de
quatre-vingt-dix
ans. L’acte d’inhumation, du 13 décembre 1756, qu
Mlle Poisson à l’âge de quatre-vingt-dix ans. L’acte d’inhumation, du
13
décembre 1756, que j’ai relevé moi-même sur les r
à l’âge de quatre-vingt-dix ans. L’acte d’inhumation, du 13 décembre
1756,
que j’ai relevé moi-même sur les registres de Sai
que j’ai relevé moi-même sur les registres de Saint-Germain-en-Laye
9
, dit qu’elle en avait quatre-vingt-dix-neuf. Jus
sur les registres de Saint-Germain-en-Laye 9 , dit qu’elle en avait
quatre-vingt-dix-neuf
. Jusqu’à ce qu’on ait découvert l’acte de baptême
ue Gassot du Croisy, nous ferons donc remonter sa naissance à l’année
1657.
A cette date, son père terminait, comme chef d’un
de campagne, cet apprentissage des provinces qui devait le conduire,
deux
ans plus tard, chez Molière, au théâtre du Petit-
de Bourgogne, — d’après une récente indication donnée par M. Chardon
10
, — que la petite Angélique dut venir au monde. E
on 10 , — que la petite Angélique dut venir au monde. Elle avait donc
treize
ans quand elle « créa » une Grâce dans Psyché, qu
Elle avait donc treize ans quand elle « créa » une Grâce dans Psyché,
quinze
à la mort de Molière, qui faisait venir, — comme
camarades à la lecture de ses pièces. Ses souvenirs pouvaient, même à
soixante-dix-sept
ans, la servir encore pour donner un portrait phy
t « à sa plume » que les attribue M. Despois, non-seulement celles de
1740,
mais encore, — et par induction, — celle de 1738.
seulement celles de 1740, mais encore, — et par induction, — celle de
1738.
La fille de Du Croisy était, il est vrai, retiré
La fille de Du Croisy était, il est vrai, retirée du théâtre depuis
1694
; mais son mari, Paul Poisson, appartenait encore
son mari, Paul Poisson, appartenait encore à la Comédie-Française en
1718,
au moment où Jean-Louis-lgnace de La Serre y fais
crivain » dans une revue des principaux Biographes de Molière, avait
soixante-douze
ans quand il donna ses Mémoires pour servir à l’h
rand homme écrite par Voltaire lui-même. La Serre de Langlade mourut
trois
mois avant Mlle Poisson, à l’âge de quatre-vingt-
La Serre de Langlade mourut trois mois avant Mlle Poisson, à l’âge de
quatre-vingt-quatorze
ans. Il était censeur royal. Si je me suis arrêt
es Mémoires de La Serre, publiés en tête de la belle édition in-4° de
1734,
écrivent en 1747 (tome X, page 86) : « La femm
Serre, publiés en tête de la belle édition in-4° de 1734, écrivent en
1747
(tome X, page 86) : « La femme d’un des meille
iés en tête de la belle édition in-4° de 1734, écrivent en 1747 (tome
X
, page 86) : « La femme d’un des meilleurs comé
ête de la belle édition in-4° de 1734, écrivent en 1747 (tome X, page
86
) : « La femme d’un des meilleurs comédiens que
ous ayons eus (Mlle Poisson, fille de Du Croisy), nous a donné (avant
1734
) ce portrait de Molière : « Il n’était ni trop g
njectures de leurs mouvemens naturels. » De là à lui attribuer les
deux
lettres de 1740, dont l’une reproduit ce passage,
rs mouvemens naturels. » De là à lui attribuer les deux lettres de
1740,
dont l’une reproduit ce passage, il y a loin — c
— comme on voit. D’ailleurs, les frères Parfaict citent souvent ces
deux
lettres, sans les attribuer à Mlle Poisson, qui a
ces deux lettres, sans les attribuer à Mlle Poisson, qui avait alors
quatre-vingt-trois
ans, et vivait retirée à Saint-Germain-en-Laye, n
d’ordre et d’esprit critique. G. M.-Monval, moliériste. LETTRE DE
M
** SUR LA VIE ET LES OUVRAGES DE MOLIERE (AOUT 173
ériste. LETTRE DE M** SUR LA VIE ET LES OUVRAGES DE MOLIERE (AOUT
1735
) Il est vrai, Monsieur, qu’on a déjà beaucoup
trop dire sur cet incomparable génie. « Personne, selon M. Baillet
12
, n’a voit reçu tant de talens de la nature que l
récautions à prendre pour la lecture de ses ouvrages. Pour surpasser
13
les autres poëtes comiques, comme il a fait, il a
és à la connoissance du peuple. Les anciens poètes, dit le P. Rapin
14
, n’ont que des valets pour les plaisans de leur
et c’est, sans doute, tout ce qu’a voulu louer en lui le P. Bouhours
16
par le jugement avantageux qu’il semble en avoir
Le campagnard qui tout admire, N’ont pas lu tes écrits en vain : Tous
deux
s’y sont instruits en ne pensant qu’à rire. Enfin
résent. C’est ce qu’il marque à son ami Racine lorsqu’il lui dit, Ep.
VII
: Avant qu’un peu de terre, obtenu par prière, P
re, obtenu par prière, Pour Jamais sous la tombe eût enfermé Moliere,
Mille
de ses beaux traits, aujourd’hui si vantés, Furen
gens. » « Voilà, dit M. Bayle, dans la République des lettres, avril
168417,
les désordres dont les comédies de Moliere ont un
l’arrête ou l’embarasse, A peine a-t-il parlé qu’elle-même s’y place
22
. « Le même auteur, voyant Moliere au tombeau d
mais un peu trop populaire, trop bas, trop plaisant et trop bouffon
23.
» Au reste, quelque capable que fût Moliere, M-
ueuse en quelque chose, et que ses dénoüemens ne sont point heureux
24
». « Il faut avouer, continüe M. Baillet, qu’il
e lui fournissoient abondamment la Cour et la Ville. M. de Grimarest
27
remarque qu’il travailloit avec beaucoup moins de
vince, comme sa comédie des Fâcheux qui parut commencée et achevée en
quinze
jours 28. Comme il étoit né avec de la droiture
a comédie des Fâcheux qui parut commencée et achevée en quinze jours
28.
Comme il étoit né avec de la droiture, il souffr
arlant de ses pièces. Claude-Emmanuel Loüillier29, surnommé Chapelle
30,
fils naturel d’un maître des Comptes31, étoit l’i
s compagnies et des agréables débauchez de son temps : on l’annonçoit
six
mois avant que de l’avoir dans une partie ; mais
lier pour faire des vers d’un tour aisé et naturel, témoin son Voyage
32
avec Bachaumont, et ceux-ci qu’il fit sur le cham
s. C’est peut-être ce qui a fait dire à Boileau dans son Art poétique
34
: Etudiez la Cour et connoisse\ la Ville, L’une
é Plaute et Terence par l’invention de quelques-unes de ses comédies
36,
par les saillies de son imagination et la finesse
ût ou qu’un sot entêtement. L’auteur du Journal littéraire de La Haye
38
regarde Moliere comme le meilleur poète comique q
que Moliere fit à Louis XIV après qu’il l’eut honoré d’une pension de
mille
livres39, est un ouvrage des. plus spirituels, et
er à la philosophie et aux philosophes ses amis, dit M. de Grimarest
45
: car il le présente toujours, aux yeux du lecteu
epte aucune de ses pièces, et ne fait même aucune grâce au Misantrope
50.
Tout le monde sçait à quel point Moliere étoit a
es remèdes ; je ne les fais point, et je guéris. » Revenu à Paris en
1658,
il joua à la Cour ses premières pièces, qui furen
inimitable A ceux qu’il avoit imitez, S’ils se voyoient ressuscitez
52
. Les pièces qui furent trouvées les plus excel
luxion de poitrine, il entreprit d’y jouer pour la quatrième fois, le
17
de février 1673, et ne put achever qu’avec de trè
rine, il entreprit d’y jouer pour la quatrième fois, le 17 de février
1673,
et ne put achever qu’avec de très grands efforts.
terré en terre sainte, et il fallut un ordre du Roy. Il fut inhumé le
2053
février dans le cimetiere de Saint-Joseph, rüe Mo
édie, Tout à la fois nous avons vu L’original et la copie. AUTRE
55
. Cy gît sans nulle pompe vaine. Le singe de l
t ravie, Trouva si belle la copie Qu’elle en fit un original. AUTRE
56
. Passant, ici repose un qu’on dit. être mort,
ur un malade imaginaire, S’il fait le mort, il le fait bien. AUTRE
57
. Sous ce tombeau gisent Plante et Térence, Et c
u gisent Plante et Térence, Et cependant le seul Moliere y gît. Leurs
trois
talens ne formoient qu’un esprit, Dont le bel art
re et spécialement à la vie des plus célèbres comédiens françois (mai
1738
) En donnant ici une idée de nos meilleurs act
une chose beaucoup plus commune qu’un excellent poète58. Blandimare
59
et Gandolin sont deux personnages comiques de l’a
plus commune qu’un excellent poète58. Blandimare 59 et Gandolin sont
deux
personnages comiques de l’ancien théâtre. Ce dern
grands efforts enjouant le rôle d’Hérode, dans la tragédie de Mariane
65,
que cela lui causa la mort ; ce qu’il faut entend
agea à jouer le principal rôle dans la comédie de l’Aveugle de Smirne
67,
mais il n’en put jouer que deux actes. Il s’en re
dans la comédie de l’Aveugle de Smirne 67, mais il n’en put jouer que
deux
actes. Il s’en retourna dans sa retraite avec une
es. Il s’en retourna dans sa retraite avec une pension du cardinal de
2000
liv. Les seigneurs de ce temps-là se signalèrent
lui donnèrent presque tous des pensions, ce qui fit à Mondory environ
huit
ou dix mille liv. de rente, dont il joüit jusqu’à
èrent presque tous des pensions, ce qui fit à Mondory environ huit ou
dix
mille liv. de rente, dont il joüit jusqu’à sa mor
t presque tous des pensions, ce qui fit à Mondory environ huit ou dix
mille
liv. de rente, dont il joüit jusqu’à sa mort, arr
oit sur le théâtre des Italiens, à l’Hôtel de Bourgogne69. Montfleury
70,
comédien de la troupe royale, mourut en 1667. La
e Bourgogne69. Montfleury 70, comédien de la troupe royale, mourut en
1667.
La tragédie de la Mort d’Asdrubal est de son fils
oit à être goûtée. M. de Saint-Evremond, écrivant à M. de Lionne74 en
1668
ou 1669, lui dit en parlant d’Andromaque : « Vous
re goûtée. M. de Saint-Evremond, écrivant à M. de Lionne74 en 1668 ou
1669,
lui dit en parlant d’Andromaque : « Vous avez rai
ands comédiens qui remplissent par l’action ce qui lui manque… Attila
75,
au contraire, a dû gagner quelque chose par la mo
6 qu’il étoit soutenu par un cercle de fer. Il faisoit des tirades de
vingt
vers de suite et poussoit le dernier avec tant de
lamation qui fût alors connu. Moliere, dans l’Impromptu de Versailles
77,
osa en faire sentir le ridicule, et y critiquer,
s la même pièce. Il joüoit les rois et les rôles emportés ; il laissa
trois
enfans : un fils connu par ses pièces de théâtre7
l laissa trois enfans : un fils connu par ses pièces de théâtre79, et
deux
filles, dont l’une, appellée Mlle d’Ennebault80 é
fille de la demoiselle d’Ennebault83. Le Comédien poète, comédie en
cinq
actes de Montfleury84. On donna la premiere repré
e représentation de cette pièce sur le théâtre de la rue Mazarine, le
10
novembre 1673 ; on la joüa huit fois au double, e
tion de cette pièce sur le théâtre de la rue Mazarine, le 10 novembre
1673
; on la joüa huit fois au double, et dix fois à l
e sur le théâtre de la rue Mazarine, le 10 novembre 1673 ; on la joüa
huit
fois au double, et dix fois à l’ordinaire85. Mont
ue Mazarine, le 10 novembre 1673 ; on la joüa huit fois au double, et
dix
fois à l’ordinaire85. Montfleury, qui passe pour
iens de ce temps-là : « donné à Mrs de Montfleury et Corneille chacun
660
liv. de l’argent qu’on a retiré au Comédien poëte
’argent qu’on a retiré au Comédien poëte, pour lad. pièce : cela fait
1320
liv. ». Le 29 décembre 167386. M1le de Montfleury
retiré au Comédien poëte, pour lad. pièce : cela fait 1320 liv. ». Le
29
décembre 167386. M1le de Montfleury87: elle étoit
médien poëte, pour lad. pièce : cela fait 1320 liv. ». Le 29 décembre
167386.
M1le de Montfleury87: elle étoit retirée et touch
eury87: elle étoit retirée et touchoit pension de la troupe royale en
1674.
Lors du règlement fait en 1681 à l’occasion des d
uchoit pension de la troupe royale en 1674. Lors du règlement fait en
1681
à l’occasion des deux troupes, elle eut mille liv
roupe royale en 1674. Lors du règlement fait en 1681 à l’occasion des
deux
troupes, elle eut mille livres de pension, et mou
ors du règlement fait en 1681 à l’occasion des deux troupes, elle eut
mille
livres de pension, et mourût le 1er mars 1683. L
sion des deux troupes, elle eut mille livres de pension, et mourût le
1er
mars 1683. Le Noir de la Torillière 88, père des
deux troupes, elle eut mille livres de pension, et mourût le 1er mars
1683.
Le Noir de la Torillière 88, père des demoiselle
res de pension, et mourût le 1er mars 1683. Le Noir de la Torillière
88,
père des demoiselles Baron89 et Dancourt90, du si
re des demoiselles Baron89 et Dancourt90, du sieur de La Torilliere91
4
dernier mort, et grand-père de celui d’aujourd’hu
Il étoit acteur tragique et des meilleurs, et de la Troupe Royale en
1674.
C’étoit un très-gracieux comédien, quoique d’une
a dans les rôles de rois94. L’auteur de la Recherche sur les théâtres
95
dit qu’il étoit gentilhomme96 et officier dans le
rsista dans le dessein de se faire comédien, et le Roy y consentir En
166799,
Moliere le chargea d’aller avec La Grange, son ca
Sa Majesté sur la défense qui fut faite à Moliere et à sa troupe, le
6
août, de jouer le Tartuffe jusqu’à nouvel ordre.
ien de la Reine, et auteur de ces pièces : Les Brouillards nocturnes
102,
1669 ; Le Comte de Roquefeuille 103 , ou le Doct
e la Reine, et auteur de ces pièces : Les Brouillards nocturnes 102,
1669
; Le Comte de Roquefeuille 103 , ou le Docteur e
es : Les Brouillards nocturnes 102, 1669 ; Le Comte de Roquefeuille
103
, ou le Docteur extravagant, id. ; L’Amour senti
Docteur extravagant, id. ; L’Amour sentinelle, ou les Cadenas forcés
104,
1672 ; Dorimond105, comédien de Mademoiselle106,
ur extravagant, id. ; L’Amour sentinelle, ou les Cadenas forcés 104,
1672
; Dorimond105, comédien de Mademoiselle106, et au
dien de Mademoiselle106, et auteur de : La Rosélie, ou Dom Guillot,
1641107
; L’Amant de la Seine 108, 1661 ; L’Inconstan
r de : La Rosélie, ou Dom Guillot, 1641107 ; L’Amant de la Seine
108,
1661 ; L’Inconstance punie, id. ; L’Amant de sa
: La Rosélie, ou Dom Guillot, 1641107 ; L’Amant de la Seine 108,
1661
; L’Inconstance punie, id. ; L’Amant de sa femm
constance punie, id. ; L’Amant de sa femme, id. ; L’École des cœurs
109
ou la Précaution inutile, id. ; Les Amours de T
inutile, id. ; Les Amours de Trapolin, ou la Comédie de la Comédie,
1662110
; La Femme industrieuse, 1692111. Françoise-Jaco
polin, ou la Comédie de la Comédie, 1662110 ; La Femme industrieuse,
1692111.
Françoise-Jacob d’Ennebault, sœur de Mlle Dupin,
s. C’étoit une des plus anciennes actrices de l’Hôtel de Bourgogne en
1674.
Elle vint dans la troupe de Guenegaud en 1681112,
’Hôtel de Bourgogne en 1674. Elle vint dans la troupe de Guenegaud en
1681112,
avec une part. Son fort étoit ses rôles de traves
troupe de l’Hôtel de Bourgogne, dont il s’étoit retiré avant l’année
1674.
Ses pièces de théâtre sont : Le Festin de Pierre
74. Ses pièces de théâtre sont : Le Festin de Pierre, tragi-comédie,
1660
; L’Apotiquaire dévalisé, id. ; Les Ramoneurs,
tragi-comédie, 1660 ; L’Apotiquaire dévalisé, id. ; Les Ramoneurs,
1662
; Les Trois Visages ; La Magie sans magie 115. D
die, 1660 ; L’Apotiquaire dévalisé, id. ; Les Ramoneurs, 1662 ; Les
Trois
Visages ; La Magie sans magie 115. De Salbray, c
id. ; Les Ramoneurs, 1662 ; Les Trois Visages ; La Magie sans magie
115.
De Salbray, comédien de l’Hôtel de Bourgogne en 1
Magie sans magie 115. De Salbray, comédien de l’Hôtel de Bourgogne en
1674116,
et poète dramatique. Les pièces qu’on connoît de
674116, et poète dramatique. Les pièces qu’on connoît de lui sont :
L
’ Enfer divertissant ; La Belle Égyptienne 11
noît de lui sont : L ’ Enfer divertissant ; La Belle Égyptienne
117
; Andromaque, pièce en machines 118; La Troades
issant ; La Belle Égyptienne 117 ; Andromaque, pièce en machines
118
; La Troades 119 . Juvenon de La Fleur120, père
elle Égyptienne 117 ; Andromaque, pièce en machines 118; La Troades
119
. Juvenon de La Fleur120, père de La Thuillerie.
de rois ; il étoit des plus anciens comédiens de la Troupe Royale en
1674.
Il excelloit encore pour les caractères de Gascon
ridor n’a voit point à ce degré de perfection. Il joua d’original, en
1672121,
le rôle du vizir Acomat dans la tragédie de Bajaz
succéda à Montfleury pour les rois122. Jean Juvenon de La Thuillerie
123,
comédien et poète, fils de La Fleur, mort à trent
on de La Thuillerie 123, comédien et poète, fils de La Fleur, mort à
trente-quatre
ans124 ou environ, d’un coup qu’il se donna à la
il jouoit les rôles de jeunes rois. Il étoit dans la Troupe Royale en
1674125
et seroit arrivé à un haut degré de perfection, s
inal tous les rôles de rois des pièces de Capistron126, hors Tyridate
127
: il avoit sa part entiere lors de la jonction de
ate 127 : il avoit sa part entiere lors de la jonction des troupes en
1680
; il joua aussi d’original Antonin, dans la tragé
en 1680 ; il joua aussi d’original Antonin, dans la tragédie de Geta
128.
La Thuillerie n’étoit que le prête-nom des pièces
le prête-nom des pièces recueillies dans le volume qui porte son nom
129
; elles sont pour la plupart de l’abbé Abeille. Le
gît, qui se nommoit Jean ; Il croyait avoir fait Hercule et Soliman
130
. Lettre sur la vie et les ouvrages de Moliè
vie et les ouvrages de Molière et sur les comédiens de son temps (mai
1740
) Puisque vous n’êtes point rebuté, Monsieur,
te des Mercures de France, je vous renvoie à celui du mois de février
1722,
page 121, pour la Princesse d’Elide, ou les Plais
ures de France, je vous renvoie à celui du mois de février 1722, page
121,
pour la Princesse d’Elide, ou les Plaisirs de l’I
le enchantée, comédie-ballet, représentée à Versailles au mois de may
1664131.
« Cette pièce réussit, et la Cour ne traita point
te piece fut donnée à Paris au mois de novembre suivant, et fut jouée
24
fois133 de suite ; la recette monta à 15,2oo livr
vembre suivant, et fut jouée 24 fois133 de suite ; la recette monta à
15,2oo
livres. La musique du divertissement est de Lambe
est de Lambert134, pour laquelle les comédiens lui firent présent de
trente
pistoles. On sçait que cette piece est imitée de
agnole qui a pour titre, El Desden con el desden, d’Augustin Moret.
135
« Le Roy Louis XIV donna-le sujet des Amans magn
oy Louis XIV donna-le sujet des Amans magnifiques, comedie-ballet en
cinq
actes, en prose, etc. Deux princes rivaux s’y dis
des Amans magnifiques, comedie-ballet en cinq actes, en prose, etc.
Deux
princes rivaux s’y disputent par des fêtes galant
isant de Cour, est plus fin que n’est Moron dans la Princesse d’Elide
136.
Un astrologue, dont l’artifice démasqué sert à dé
fait le valet, et ce valet se piquant de réussir, ils composent tous
deux
une intrigue, dont on peut dire que le caractère
nne en prose, composée par Nicolo Barbieri, dit Beltrame, imprimée en
1629.
Le Dépit amoureux, comédie de Moliere en vers e
primée en 1629. Le Dépit amoureux, comédie de Moliere en vers et en
cinq
actes, fut joué à Paris immédiatement après l’Eto
vers et en cinq actes, fut joué à Paris immédiatement après l’Etourdi
138.
Ce sont particulièrement les deux dernieres scène
Paris immédiatement après l’Etourdi 138. Ce sont particulièrement les
deux
dernieres scènes du quatrième acte qui donnent le
ent d’Eraste et de Lucile. Moliere imita le sujet de cette comedie de
deux
pièces italiennes, l’une intitulée l’lnteresse, d
l’une intitulée l’lnteresse, de Nicolo Secchi, en prose, imprimée en
1581,
et l’autre, d’un ancien canevas ou farce, jouée à
abord pour la province139; elle fut si aplaudie à Paris qu’on la joua
quatre
mois de suite140, et l’on prétend que c’est à l’o
oupe de Moliere haussa le prix des places, qui alors n’étoient que de
dix
sols au parterre141. Le Cocu imaginaire. Cette p
e fut jouée pour la premiere fois sur le theatre du Petit Bourbon, le
28
may 1660, et l’on en donna quarante représentatio
ouée pour la premiere fois sur le theatre du Petit Bourbon, le 28 may
1660,
et l’on en donna quarante représentations de suit
ois sur le theatre du Petit Bourbon, le 28 may 1660, et l’on en donna
quarante
représentations de suite, quoiqu’en été142. Elle
Garde de Navarre, ou le Prince jaloux, comédie héroïque en vers et en
cinq
actes, fut représenté dans sa nouveauté le 4 févr
éroïque en vers et en cinq actes, fut représenté dans sa nouveauté le
4
février 1661, sur le théâtre du Palais-Royal. Mol
vers et en cinq actes, fut représenté dans sa nouveauté le 4 février
1661,
sur le théâtre du Palais-Royal. Moliere y joua le
on original, et qu’il l’a surpassé. Cette imitation consiste dans les
deux
frères que Terence met sur la scène ; celui qu’il
e Ariste, et son Demea est Sganarelle. Ce que Moliere fait dire à ces
deux
frères convient infiniment mieux, et leur dialogu
oupçonner notre auteur d’avoir ni traduit, ni même imité Terence. Les
deux
frères ici ne sont point mariés ; ils sont les tu
e. Les deux frères ici ne sont point mariés ; ils sont les tuteurs de
deux
filles qu’un de leurs amis leur a laissées, pour
iere, et l’on regarde cet ouvrage comme le chef d’œuvre des pièces en
trois
actes. Les Fâcheux. Le roi Louis XIV donna à Mol
urgogne d’aujourd’hui, sous le titre d’Arlequin dévaliseur de maisons
148.
« Moliere n’étoit ni trop gras ni trop maigre ;
ns149, pour tirer des conjectures de leurs mouvemens naturels150. »
151La
fécondité de Moliere est encore plus sensible dan
. C’est ainsi que Plaute et Térence avoient imité les Grecs. Mais les
deux
poètes latins, plus uniformes dans le choix des c
uérin154, excellent comedien de la Troupe du Roy, d’où elle sortit en
1694.
Après la mort de son mari, elle entra dans la tro
entra dans la troupe de la rue Mazarine lors de son établissement en
1673.
Elle avoit la taille mediocre, mais un air engage
presque toujours oposée à la mode du temps. Lors du Règlement fait en
1681,
elle avoit une part entière à l’Hôtel de Guenegau
ordinairement avec la Grange dans le second acte du Malade imaginaire
156.
Genevieve Bejar157, sa sœur cadette158, épouse de
cadette158, épouse de M. Aubri159, actrice à l’Hôtel de Guenegaud en
1684160.
II y avoit une troisième sœur morte avant 1673161
58, épouse de M. Aubri159, actrice à l’Hôtel de Guenegaud en 1684160.
II
y avoit une troisième sœur morte avant 1673161. N
el de Guenegaud en 1684160. II y avoit une troisième sœur morte avant
1673161.
N. Béjar, oncle162 des Dlles Bejar, jouoit le rôl
fait un grand tort ; nous avions ci-devant des pièces de théâtre pour
trois
écus, que l’on nous faisoit en une nuit, on y éto
es faisoient valoir par la représentation. » N. Valiote, morte avant
1673164,
mere de la Dlle Chanvalon, bonne actrice comique
Chanvalon, bonne actrice comique du Théâtre-François, retirée depuis
18
ans165. N. Duclos166, excellente dans le grand tr
165. N. Duclos166, excellente dans le grand tragique, morte vers l’an
1673,
mère ou grand’-mère de l’actrice inimitable du Th
qui porte le même nom. N. Petit de Beauchamp167, dite la Belle Brune
168,
grand’mère maternelle du Sr du Boccage, acteur de
en et poète, auteur de la Feinte Mort de Pancrace, comédie en vers de
quatre
pieds, en un acte, représentée par les comédiens
, en un acte, représentée par les comédiens de Monsieur le Prince, en
1663.
N. Du Parc, ou Gros René 172, mort avant 1673. Sa
es comédiens de Monsieur le Prince, en 1663. N. Du Parc, ou Gros René
172,
mort avant 1673. Sa femme étoit aussi comédienne
Monsieur le Prince, en 1663. N. Du Parc, ou Gros René 172, mort avant
1673.
Sa femme étoit aussi comédienne ; elle étoit bell
es jambes et partie de ses cuisses par le moyen de sa jupe fendue des
deux
cotés, avec des bas de soye, attachés au haut d’u
. On a de lui : L’Amour sentinelle, ou le Cadenat forcé, comédie, en
1672
; Le Comte de Roquefeuille, ou le Docteur extra
Comte de Roquefeuille, ou le Docteur extravagant, comédie en un acte,
1672174
; Les Brouilleries nocturnes, comédie, 1669 ; L
, comédie en un acte, 1672174 ; Les Brouilleries nocturnes, comédie,
1669
; Le Campagnard dupé, comédie, 1671. Beauchateau
Brouilleries nocturnes, comédie, 1669 ; Le Campagnard dupé, comédie,
1671.
Beauchateau175, morte à Versailles le 6 janvier 1
Campagnard dupé, comédie, 1671. Beauchateau175, morte à Versailles le
6
janvier 1683. C’étoit la plus ancienne comédienne
dupé, comédie, 1671. Beauchateau175, morte à Versailles le 6 janvier
1683.
C’étoit la plus ancienne comédienne de l’Hôtel de
1683. C’étoit la plus ancienne comédienne de l’Hôtel de Bourgogne en
1674.
Elle avoit quitté la comédie lors de la jonction
e lors de la jonction des troupes ; il lui fut accordé une pension de
1,000
livres par le Règlement de 1681. D’Orgemont176, m
; il lui fut accordé une pension de 1,000 livres par le Règlement de
1681.
D’Orgemont176, mort avant 1673, étoit de la troup
n de 1,000 livres par le Règlement de 1681. D’Orgemont176, mort avant
1673,
étoit de la troupe du Marais, fort bien fait de s
les complimens. Judith de Nevers, dite Guyot, actrice de Guenegaud en
1679178.
Après avoir quitté la Comédie179, elle fut longte
troupe de Guenegaud185 Pierre Messier186, dit Bellerose, comédien en
1629
et mort avant 1670. Acteur tragique ; on croit qu
185 Pierre Messier186, dit Bellerose, comédien en 1629 et mort avant
1670.
Acteur tragique ; on croit que c’est lui qui a jo
mari dans la troupe de la rue Mazarine, lors de son établissement en
1673
189. Elle avoit auparavant été admirée sur le thé
dans la troupe de la rue Mazarine, lors de son établissement en 1673
189.
Elle avoit auparavant été admirée sur le théâtre
e des cocus, ou la Précaution inutile, comédie en vers et en un acte,
1661
; L’Inconstance punie, en un acte en vers, 1661
vers et en un acte, 1661 ; L’Inconstance punie, en un acte en vers,
1661
; La Femme industrieuse, en vers, en un acte, 1
un acte en vers, 1661 ; La Femme industrieuse, en vers, en un acte,
1661
; La Comedie de la Comedie, ou 192 les Amours de
dustrieuse, en vers, en un acte, 1661 ; La Comedie de la Comedie, ou
192
les Amours de Trapolin, en un acte en vers, 1662
die de la Comedie, ou 192 les Amours de Trapolin, en un acte en vers,
1662
; La Roselie, ou le Dom Guillot, en cinq actes e
apolin, en un acte en vers, 1662 ; La Roselie, ou le Dom Guillot, en
cinq
actes en vers, 1661 ; L’Avare dupé, ou l’Homme d
n vers, 1662 ; La Roselie, ou le Dom Guillot, en cinq actes en vers,
1661
; L’Avare dupé, ou l’Homme de paille 193, en tro
ot, en cinq actes en vers, 1661 ; L’Avare dupé, ou l’Homme de paille
193,
en trois actes en vers, 1663 ; Le Festin de Pier
inq actes en vers, 1661 ; L’Avare dupé, ou l’Homme de paille 193, en
trois
actes en vers, 1663 ; Le Festin de Pierre, ou l’
61 ; L’Avare dupé, ou l’Homme de paille 193, en trois actes en vers,
1663
; Le Festin de Pierre, ou l’Athée fou-droyé, tra
rs, 1663 ; Le Festin de Pierre, ou l’Athée fou-droyé, tragi-comédie,
1665
; Le Médecin dérobé, comédie194. Marie du Mont O
ntra dans la troupe de la rue Mazarine, lors de son établissement, en
1673
; médiocre actrice, mais fort considérée de la tr
tté la Comédie lors de la jonction des troupes, et il lui fut accordé
1,000
livres de pension annuelle lors du Règlement fait
ut accordé 1,000 livres de pension annuelle lors du Règlement fait le
12
avril 1679 196. A. J. De Montfleury197, poète co
é 1,000 livres de pension annuelle lors du Règlement fait le 12 avril
1679
196. A. J. De Montfleury197, poète comique, fils
0 livres de pension annuelle lors du Règlement fait le 12 avril 1679
196.
A. J. De Montfleury197, poète comique, fils du co
, parmi ses pièces de théâtre, la Dame médecin, jouée à Guenegaud, en
1678198
; l’Impromptu 199 ; Les trois petites pièces d
héâtre, la Dame médecin, jouée à Guenegaud, en 1678198 ; l’Impromptu
199
; Les trois petites pièces de la Didon lardée.
ame médecin, jouée à Guenegaud, en 1678198 ; l’Impromptu 199 ; Les
trois
petites pièces de la Didon lardée. (Voyez le Merc
trois petites pièces de la Didon lardée. (Voyez le Mercure de janvier
1725
et celui d’octobre 1726.) Deuxième lettre sur
la Didon lardée. (Voyez le Mercure de janvier 1725 et celui d’octobre
1726.
) Deuxième lettre sur la vie et les ouvrages de
ie et les ouvrages de moliere et sur les comédiens de son temps (juin
1740
) Voici, Monsieur, la suite des Mémoires qu’on
émoires qu’on a pû ramasser sur l’état de nos théâtres depuis environ
soixante-dix
ans. L’École des femmes, comédie en vers et en c
environ soixante-dix ans. L’École des femmes, comédie en vers et en
cinq
actes. Beaucoup de personnes croyent que Moliere
Scarron traduite en notre langue, et intitulée la Précaution inutile
200.
Elle roule sur l’experience d’un homme galant, qu
de la Grange. Elle fut donnée dans sa nouveauté, au mois de décembre
1662202.
La Critique de L’Ecole des femmes, petite comedi
ois à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le vendredi premier juin
1663
par la troupe de Monsieur. Elle eût un très-grand
663 par la troupe de Monsieur. Elle eût un très-grand succès jusqu’au
13203
août qu’on l’interrompit. On la joua toûjours apr
joua toûjours après la comédie de l’École des femmes, et elle raporta
29,963
livres en 32204 représentations. On assure que le
ès la comédie de l’École des femmes, et elle raporta 29,963 livres en
32204
représentations. On assure que le poète Boursaut
medie en prose fut d’abord représentée à Versailles au mois d’octobre
1663,
et, le 4 novembre suivant, à Paris, sur le théâtr
e fut d’abord représentée à Versailles au mois d’octobre 1663, et, le
4
novembre suivant, à Paris, sur le théâtre du Pala
novembre suivant, à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal. On la joua
dix
neuf fois de suite, et elle raporta 12,136 liv. a
mbre suivant, à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal. On la joua dix
neuf
fois de suite, et elle raporta 12,136 liv. aux co
e du Palais-Royal. On la joua dix neuf fois de suite, et elle raporta
12,136
liv. aux comédiens. 205« Le Mariage forcé, comé
dix neuf fois de suite, et elle raporta 12,136 liv. aux comédiens.
205
« Le Mariage forcé, comédie ballet en un acte, en
dansé une entrée dans la représentation qui en fut faite au Louvre le
29
janvier 1664. Elle parut sous le même titre, le 1
ntrée dans la représentation qui en fut faite au Louvre le 29 janvier
1664.
Elle parut sous le même titre, le 13 mai, Septièm
faite au Louvre le 29 janvier 1664. Elle parut sous le même titre, le
13
mai, Septième jour de la fête donnée aux Reines20
n chantant, qui détournoit Sganarelle de son mariage. » La scène des
deux
philosophes210 nous aprend que les sujets les plu
uteur traita le sujet de Don Juan, ou le Festin de Pierre, comedie en
cinq
actes en prose, représentée en février 1665214, s
tin de Pierre, comedie en cinq actes en prose, représentée en février
1665214,
sur le theatre du Palais-Royal. Les Italiens, qui
du temps de Moliere. Josias de Soulas, Sr de Floridor, mort vers l’an
1671215.
Cet acteur avoit tous les talens imaginables pour
egré, le fit succeder à Bellerose216 dans l’emploi de harangueur. Ces
deux
illustres comediens s’attiroient l’estime et l’am
entra dans la suite à l’Hôtel de Bourgogne, où il parût avec éclat en
1643.
La Roque218, son camarade, remplit sa place au Ma
emplit sa place au Marais dans l’emploi d’orateur de cette troupe. En
1666,
Floridor, qu’on ne vouloit pas reconnoitre pour g
traitans, faisant valoir une déclaration du Roy Louis XIII rendue en
1641,
très favorable pour la comédie et les comédiens.
ier. M. de S. Evremond parloit de Floridor et de Montfleury comme des
deux
meilleurs comédiens du monde. Floridor joüoit le
aron lui succéda. Il fut rendu un arrêt du Conseil d’Etat du Roy, en
1668219,
en faveur du Sr Floridor, comédien du Roy, contre
i fit prendre le parti de la comédie, dans laquelle il a servi depuis
vingt-cinq
ans, comme il fait encore à présent, au divertiss
de ladite qualité d’écuyer contre ledit supliant, à peine de nullité,
cinq
cent livres d’amende, dépens, dommages et intérêt
dite qualité d’écuyer contre ledit supliant, à peine de nullité, cinq
cent
livres d’amende, dépens, dommages et intérêts. Fa
ages et intérêts. Fait au Conseil d’État du Roy, etc. N. Des Œillets
220,
morte vers l’an 1673. C’étoit une très excellente
t au Conseil d’État du Roy, etc. N. Des Œillets 220, morte vers l’an
1673.
C’étoit une très excellente et même gracieuse com
emplir ce rôle parfaitement, il faudroit que la des Œillets joüât les
deux
premiers actes, et la Champmêlé les deux autres,
que la des Œillets joüât les deux premiers actes, et la Champmêlé les
deux
autres, voulant faire entendre par là que celle-c
étoit le plus ancien comedien de la troupe de l’Hôtel de Bourgogne en
1674.
Il étoit d’une taille avantageuse, mais fort maig
maigre et décharné ; il est mort à Paris, dans un âge tres-avancé, en
1707225,
après avoir été dix ans aveugle. C’étoit un homme
st mort à Paris, dans un âge tres-avancé, en 1707225, après avoir été
dix
ans aveugle. C’étoit un homme d’honneur et estima
quand il fut à l’Hôtel de Bourgogne, il ne jouoit que les seconds. En
1681227,
il se joignit avec le reste de la Troupe Royale a
tels que le baron de la Crasse, M. de Sottenville dans George Dandin
228,
Chicaneau dans les Plaideurs, etc. Outre les pièc
ent. Pièces d’Hauteroche : L’Amant qui ne flate point, en vers et en
cinq
actes, représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1668 ;
point, en vers et en cinq actes, représentée à l’Hôtel de Bourgogne,
1668
; Le Souper mal aprêté, d’un acte, en vers, 166
ôtel de Bourgogne, 1668 ; Le Souper mal aprêté, d’un acte, en vers,
1669
; Les Aparences trompeuses, ou les Maris fideles
acte, en vers, 1669 ; Les Aparences trompeuses, ou les Maris fideles
230,
de trois actes, en vers, 1672. Elle n’a pas été j
vers, 1669 ; Les Aparences trompeuses, ou les Maris fideles 230, de
trois
actes, en vers, 1672. Elle n’a pas été jouée ; L
rences trompeuses, ou les Maris fideles 230, de trois actes, en vers,
1672.
Elle n’a pas été jouée ; Les Nobles de province,
, en vers, 1672. Elle n’a pas été jouée ; Les Nobles de province, de
cinq
actes, en vers, 1678 ; Crispin musicien, de cinq
n’a pas été jouée ; Les Nobles de province, de cinq actes, en vers,
1678
; Crispin musicien, de cinq actes, en vers, 1674
les de province, de cinq actes, en vers, 1678 ; Crispin musicien, de
cinq
actes, en vers, 1674231. Cette pièce fut jouée d’
inq actes, en vers, 1678 ; Crispin musicien, de cinq actes, en vers,
1674231.
Cette pièce fut jouée d’abord232 par les sieurs B
pin, Raisin, Beauval et d’Ennebaud. Le Deüil, en un acte et en vers,
1672233
; Le Cocher suposé, d’un acte, en prose, 1685234
un acte et en vers, 1672233 ; Le Cocher suposé, d’un acte, en prose,
1685234
; La Dame invisible, ou l’Esprit folet, de cinq
acte, en prose, 1685234 ; La Dame invisible, ou l’Esprit folet, de
cinq
actes, en vers, 1684235, comedie purement d’intri
234 ; La Dame invisible, ou l’Esprit folet, de cinq actes, en vers,
1684235,
comedie purement d’intrigue. L’original espagnol
s pièces de Don Pedro Calderon, qui l’a intitulée la Dama duenda ; en
1664,
Douville traita ce même sujet, sous le titre de l
1664, Douville traita ce même sujet, sous le titre de l’Esprit folet
236,
et cet ouvrage, quoique presque sans vraisemblanc
nous la voyons237 ; Le Feint Polonois, ou la Veuve impertinente, de
trois
actes, en prose, 1686238 ; Les Bourgeoises de qu
e Feint Polonois, ou la Veuve impertinente, de trois actes, en prose,
1686238
; Les Bourgeoises de qualités 239, de cinq actes
nte, de trois actes, en prose, 1686238 ; Les Bourgeoises de qualités
239,
de cinq actes, en vers, 1691240; Crispin médeci
trois actes, en prose, 1686238 ; Les Bourgeoises de qualités 239, de
cinq
actes, en vers, 1691240; Crispin médecin, de tr
, 1686238 ; Les Bourgeoises de qualités 239, de cinq actes, en vers,
1691240
; Crispin médecin, de trois actes, en prose, 168
qualités 239, de cinq actes, en vers, 1691240; Crispin médecin, de
trois
actes, en prose, 1680241; Les Nouvellistes, en t
actes, en vers, 1691240; Crispin médecin, de trois actes, en prose,
1680241
; Les Nouvellistes, en trois actes, 1678, à l’Hôt
pin médecin, de trois actes, en prose, 1680241; Les Nouvellistes, en
trois
actes, 1678, à l’Hôtel de Bourgogne ; La Bassett
de trois actes, en prose, 1680241; Les Nouvellistes, en trois actes,
1678,
à l’Hôtel de Bourgogne ; La Bassette, comédie242
gogne ; La Bassette, comédie242, jouée à l’Hôtel de Bourgogne en mai
1680243,
différente de celle de Guenegaud, jouée en même t
Il étoit retiré de la Troupe Royale, et il en touchoit une pension en
1674.
C’étoit un petit homme qui jouoit les seconds rô
nesse dans son jeu. Ses pièces de théâtre sont : Le Festin de Pierre
248,
en vers. Cette pièce parut avant celle de Moliere
Pierre 248, en vers. Cette pièce parut avant celle de Moliere ; Les
Trois
Visages 249 ; Les Ramoneurs 250 ; L’Apoticaire
n vers. Cette pièce parut avant celle de Moliere ; Les Trois Visages
249
; Les Ramoneurs 250 ; L’Apoticaire dévalisé 25
rut avant celle de Moliere ; Les Trois Visages 249 ; Les Ramoneurs
250
; L’Apoticaire dévalisé 251. Guyot, dit Lecomte2
Les Trois Visages 249 ; Les Ramoneurs 250 ; L’Apoticaire dévalisé
251.
Guyot, dit Lecomte252, comédien du temps de Molie
comédien du temps de Moliere, sorti de la troupe avec la pension, en
1704,
et mort en 1707253. Il étoit propre à jouer les g
s de Moliere, sorti de la troupe avec la pension, en 1704, et mort en
1707253.
Il étoit propre à jouer les grands confidens. C’e
autre petite comédie du même auteur. Romainville, mort à Dresde vers
1704254,
comédien du roy de Pologne, électeur de Saxe. C’é
reçu sans être obligé de débuter. Il n’a jamais joué à Paris255.
1.
Ce sont les seules qui ne fassent pas double empl
roix aurait donc été contraint d’annoter le texte par le texte même.
2.
On voit qu’il s’agit ici de la distribution de la
il s’agit ici de la distribution de la pièce jusqu’au XVIIIe siècle.
3.
Cette pension, qui était de 7,000 livres, fut por
n de la pièce jusqu’au XVIIIe siècle. 3. Cette pension, qui était de
7,000
livres, fut portée à 12,000 en 1682 seulement. 4
Ie siècle. 3. Cette pension, qui était de 7,000 livres, fut portée à
12,000
en 1682 seulement. 4. Six jours seulement. On fi
3. Cette pension, qui était de 7,000 livres, fut portée à 12,000 en
1682
seulement. 4. Six jours seulement. On fit deux r
n, qui était de 7,000 livres, fut portée à 12,000 en 1682 seulement.
4.
Six jours seulement. On fit deux relâches, le dim
qui était de 7,000 livres, fut portée à 12,000 en 1682 seulement. 4.
Six
jours seulement. On fit deux relâches, le dimanch
ut portée à 12,000 en 1682 seulement. 4. Six jours seulement. On fit
deux
relâches, le dimanche 19 et le mardi 21 février,
seulement. 4. Six jours seulement. On fit deux relâches, le dimanche
19
et le mardi 21 février, et l’on recommença le ven
Six jours seulement. On fit deux relâches, le dimanche 19 et le mardi
21
février, et l’on recommença le vendredi 24 par le
le dimanche 19 et le mardi 21 février, et l’on recommença le vendredi
24
par le Misanthrope. 5. Le mardi 21 (voir l’acte
di 21 février, et l’on recommença le vendredi 24 par le Misanthrope.
5.
Le mardi 21 (voir l’acte d’inhumation et la lettr
r, et l’on recommença le vendredi 24 par le Misanthrope. 5. Le mardi
21
(voir l’acte d’inhumation et la lettre à l’abbé B
mardi 21 (voir l’acte d’inhumation et la lettre à l’abbé Boyvin, tome
XIV
de cette collection). 6. Aide de la paroisse Sai
umation et la lettre à l’abbé Boyvin, tome XIV de cette collection).
6.
Aide de la paroisse Saint-Eustache, à laquelle ap
, à laquelle appartenait la maison mortuaire de la rue de Richelieu.
7.
Point d’enfants mâles, ses deux fils étant morts
ison mortuaire de la rue de Richelieu. 7. Point d’enfants mâles, ses
deux
fils étant morts avant Molière; mais sa fille, Es
écut, se maria avec M. Rachel de Montalant, et mourut à Argenteuil en
1723,
un demi-siècle après son père. 8. Tome III, p. 3
lant, et mourut à Argenteuil en 1723, un demi-siècle après son père.
8.
Tome III, p. 378. 9. Molièriste, t. VII, p. 318
mourut à Argenteuil en 1723, un demi-siècle après son père. 8. Tome
III
, p. 378. 9. Molièriste, t. VII, p. 318. 10. M
nteuil en 1723, un demi-siècle après son père. 8. Tome III, p. 378.
9.
Molièriste, t. VII, p. 318. 10. M. de Modène,
demi-siècle après son père. 8. Tome III, p. 378. 9. Molièriste, t.
VII
, p. 318. 10. M. de Modène, ses deux femmes, et
rès son père. 8. Tome III, p. 378. 9. Molièriste, t. VII, p. 318.
10.
M. de Modène, ses deux femmes, et Madeleine Béja
III, p. 378. 9. Molièriste, t. VII, p. 318. 10. M. de Modène, ses
deux
femmes, et Madeleine Béjart, in-8°, 1886. 11. .
318. 10. M. de Modène, ses deux femmes, et Madeleine Béjart, in-8°,
1886.
11. . Cette tragédie, représentée pour la premiè
0. M. de Modène, ses deux femmes, et Madeleine Béjart, in-8°, 1886.
11.
. Cette tragédie, représentée pour la première fo
8°, 1886. 11. . Cette tragédie, représentée pour la première fois le
3
mai 1718, fut attribuée à l’abbé Pellegrin, quoiq
86. 11. . Cette tragédie, représentée pour la première fois le 3 mai
1718,
fut attribuée à l’abbé Pellegrin, quoiqu’elle ait
8, fut attribuée à l’abbé Pellegrin, quoiqu’elle ait été imprimée, en
1734,
avec les initiales D. L. S. 12. Adrien Baillet,
Pellegrin, quoiqu’elle ait été imprimée, en 1734, avec les initiales
D.
L. S. 12. Adrien Baillet, Jugemens des Sçavans s
llegrin, quoiqu’elle ait été imprimée, en 1734, avec les initiales D.
L.
S. 12. Adrien Baillet, Jugemens des Sçavans sur
, quoiqu’elle ait été imprimée, en 1734, avec les initiales D. L. S.
12.
Adrien Baillet, Jugemens des Sçavans sur les prin
t, Jugemens des Sçavans sur les principaux ouvrages des auteurs, tome
IV
, contenant les poètes. Paris, A. Dezallier, 1686,
ages des auteurs, tome IV, contenant les poètes. Paris, A. Dezallier,
1686,
in-12. 13. Devancer (variante). 14. René Rapin,
rs, tome IV, contenant les poètes. Paris, A. Dezallier, 1686, in-12.
13.
Devancer (variante). 14. René Rapin, Réflexions
poètes. Paris, A. Dezallier, 1686, in-12. 13. Devancer (variante).
14.
René Rapin, Réflexions sur la poétique d’Aristote
et sur les ouvrages des poètes anciens et modernes. Paris, F. Muguet,
1674,
in-12. 15. Deuxième partie : Réflexion XXVI, pag
rages des poètes anciens et modernes. Paris, F. Muguet, 1674, in-12.
15.
Deuxième partie : Réflexion XXVI, pages 218219.
rnes. Paris, F. Muguet, 1674, in-12. 15. Deuxième partie : Réflexion
XXVI
, pages 218219. 16. Dans les Observations de Mén
F. Muguet, 1674, in-12. 15. Deuxième partie : Réflexion XXVI, pages
218219.
16. Dans les Observations de Ménage sur la langu
, 1674, in-12. 15. Deuxième partie : Réflexion XXVI, pages 218219.
16.
Dans les Observations de Ménage sur la langue fra
. 16. Dans les Observations de Ménage sur la langue françoise, chap.
IV
. 17. Nouvelles de la République des lettres, p
. Dans les Observations de Ménage sur la langue françoise, chap. IV.
17.
Nouvelles de la République des lettres, p. 203-
chap. IV. 17. Nouvelles de la République des lettres, p. 203-204.
18.
Sentences sur quelques livres d’auteurs qu’il a
. 18. Sentences sur quelques livres d’auteurs qu’il a lus, p. 69.
19.
Anne Le Fèvre, Dissertation sur les comédies d’Ar
9. 19. Anne Le Fèvre, Dissertation sur les comédies d’Aristophane.
20.
Qui « par une prudence toute particulière », a ét
. 20. Qui « par une prudence toute particulière », a été omis ici.
21.
« Avec une franchise des premiers siècles » (omis
é omis ici. 21. « Avec une franchise des premiers siècles » (omis).
22.
Boileau, Satire II. 23. Voir Art poétique, ch.
vec une franchise des premiers siècles » (omis). 22. Boileau, Satire
II
. 23. Voir Art poétique, ch. III. 24. Réflexio
e franchise des premiers siècles » (omis). 22. Boileau, Satire II.
23.
Voir Art poétique, ch. III. 24. Réflexion XXVI,
ècles » (omis). 22. Boileau, Satire II. 23. Voir Art poétique, ch.
III
. 24. Réflexion XXVI, p. 219. 25. Observations
» (omis). 22. Boileau, Satire II. 23. Voir Art poétique, ch. III.
24.
Réflexion XXVI, p. 219. 25. Observations sur u
Boileau, Satire II. 23. Voir Art poétique, ch. III. 24. Réflexion
XXVI
, p. 219. 25. Observations sur une comédie de Mo
II. 23. Voir Art poétique, ch. III. 24. Réflexion XXVI, p. 219.
25.
Observations sur une comédie de Moliere intitulé
ions sur une comédie de Moliere intitulée le Festin de Pierre, p. 5.
26.
La Vie de M. de Moliere : Paris, 1705, in-12, p
ée le Festin de Pierre, p. 5. 26. La Vie de M. de Moliere : Paris,
1705,
in-12, p. 46. 27. Pages 47, 48. 28. « Conçue,
e, p. 5. 26. La Vie de M. de Moliere : Paris, 1705, in-12, p. 46.
27.
Pages 47, 48. 28. « Conçue, faite, apprise et
26. La Vie de M. de Moliere : Paris, 1705, in-12, p. 46. 27. Pages
47,
48. 28. « Conçue, faite, apprise et représenté
La Vie de M. de Moliere : Paris, 1705, in-12, p. 46. 27. Pages 47,
48.
28. « Conçue, faite, apprise et représentée en
Vie de M. de Moliere : Paris, 1705, in-12, p. 46. 27. Pages 47, 48.
28.
« Conçue, faite, apprise et représentée en 15 j
27. Pages 47, 48. 28. « Conçue, faite, apprise et représentée en
15
jours », dit Molière lui-même dans l’Avant-propos
lière lui-même dans l’Avant-propos ou Avertissement de cette pièce.
29.
Lhuillier. 30. Parce qu’il était né au petit vil
ans l’Avant-propos ou Avertissement de cette pièce. 29. Lhuillier.
30.
Parce qu’il était né au petit village de la Chape
huillier. 30. Parce qu’il était né au petit village de la Chapelle.
31.
François Lhuillier. 32. En Provence et en Langue
l était né au petit village de la Chapelle. 31. François Lhuillier.
32.
En Provence et en Languedoc. 33. Est-il besoin d
Chapelle. 31. François Lhuillier. 32. En Provence et en Languedoc.
33.
Est-il besoin d’ajouter que cette légende a fait
c. 33. Est-il besoin d’ajouter que cette légende a fait son temps ?
34.
Chant III. 35. Notamment au sujet du Cocu imagin
t-il besoin d’ajouter que cette légende a fait son temps ? 34. Chant
III
. 35. Notamment au sujet du Cocu imaginaire. 36.
esoin d’ajouter que cette légende a fait son temps ? 34. Chant III.
35.
Notamment au sujet du Cocu imaginaire. 36. Mém
temps ? 34. Chant III. 35. Notamment au sujet du Cocu imaginaire.
36.
Mémoires de Trévoux, avril 1717, p. 531. 37. D
amment au sujet du Cocu imaginaire. 36. Mémoires de Trévoux, avril
1717,
p. 531. 37. De La Bruyère, les Caractères ou les
du Cocu imaginaire. 36. Mémoires de Trévoux, avril 1717, p. 531.
37.
De La Bruyère, les Caractères ou les Mœurs de ce
et quel fléau du ridicule ! mais quel homme on auroit pu faire de ces
deux
comiques ! » 38. Tome IX, p. 190. — Ce recueil (
dicule ! mais quel homme on auroit pu faire de ces deux comiques ! »
38.
Tome IX, p. 190. — Ce recueil (1713-1737) se comp
mais quel homme on auroit pu faire de ces deux comiques ! » 38. Tome
IX
, p. 190. — Ce recueil (1713-1737) se compose de 2
pu faire de ces deux comiques ! » 38. Tome IX, p. 190. — Ce recueil (
1713-1737
) se compose de 24 vol. in-8°, La Haye, Johnson et
ques ! » 38. Tome IX, p. 190. — Ce recueil (1713-1737) se compose de
24
vol. in-8°, La Haye, Johnson et Van Düren. Jusqu’
se compose de 24 vol. in-8°, La Haye, Johnson et Van Düren. Jusqu’en
172
a, il fut composé principalement par S’Gravesande
de, P. Marchand, Van Effen, Sallengre, Alexandre et Saint-Hyacinthe.
39.
En 1663. 40. Un an plus tôt, le 20 février 1662.
Marchand, Van Effen, Sallengre, Alexandre et Saint-Hyacinthe. 39. En
1663.
40. Un an plus tôt, le 20 février 1662. 41. Pag
d, Van Effen, Sallengre, Alexandre et Saint-Hyacinthe. 39. En 1663.
40.
Un an plus tôt, le 20 février 1662. 41. Pages 62
, Alexandre et Saint-Hyacinthe. 39. En 1663. 40. Un an plus tôt, le
20
février 1662. 41. Pages 62, 63. 42. Jacques Roh
et Saint-Hyacinthe. 39. En 1663. 40. Un an plus tôt, le 20 février
1662.
41. Pages 62, 63. 42. Jacques Rohault (1620-167
nt-Hyacinthe. 39. En 1663. 40. Un an plus tôt, le 20 février 1662.
41.
Pages 62, 63. 42. Jacques Rohault (1620-1672).
he. 39. En 1663. 40. Un an plus tôt, le 20 février 1662. 41. Pages
62,
63. 42. Jacques Rohault (1620-1672). 43. Pierre
39. En 1663. 40. Un an plus tôt, le 20 février 1662. 41. Pages 62,
63.
42. Jacques Rohault (1620-1672). 43. Pierre Mig
En 1663. 40. Un an plus tôt, le 20 février 1662. 41. Pages 62, 63.
42.
Jacques Rohault (1620-1672). 43. Pierre Mignard
lus tôt, le 20 février 1662. 41. Pages 62, 63. 42. Jacques Rohault (
1620-1672
). 43. Pierre Mignard (1610-1695). 44. C’est l’a
0 février 1662. 41. Pages 62, 63. 42. Jacques Rohault (1620-1672).
43.
Pierre Mignard (1610-1695). 44. C’est l’anecdote
Pages 62, 63. 42. Jacques Rohault (1620-1672). 43. Pierre Mignard (
1610-1695
). 44. C’est l’anecdote du Souper d’Auteuil, souv
. 42. Jacques Rohault (1620-1672). 43. Pierre Mignard (1610-1695).
44.
C’est l’anecdote du Souper d’Auteuil, souvent mis
r d’Auteuil, souvent mise au théâtre, et, qui se rapporte à l’une des
trois
dernières années de la vie de Molière. 45. Page
se rapporte à l’une des trois dernières années de la vie de Molière.
45.
Page 215. 46. Voir, au sujet de cette traduction
te à l’une des trois dernières années de la vie de Molière. 45. Page
215.
46. Voir, au sujet de cette traduction, ce qu’en
’une des trois dernières années de la vie de Molière. 45. Page 215.
46.
Voir, au sujet de cette traduction, ce qu’en dit
n, ce qu’en dit l’abbé de Marolles, dans la préface de son Lucrèce de
1677
(Paris, Langlois, in-4°). 47. Une note du recuei
es, dans la préface de son Lucrèce de 1677 (Paris, Langlois, in-4°).
47.
Une note du recueil de Trallage prétend au contr
veuve de Molière) comme « trop fort contre l’immortalité de l’âme ».
48.
Pages 311 et suiv. 49. Della perfetta Poësia it
olière) comme « trop fort contre l’immortalité de l’âme ». 48. Pages
311
et suiv. 49. Della perfetta Poësia italiana, et
« trop fort contre l’immortalité de l’âme ». 48. Pages 311 et suiv.
49.
Della perfetta Poësia italiana, etc., 1706. Mode
. 48. Pages 311 et suiv. 49. Della perfetta Poësia italiana, etc.,
1706.
Modena, 2 vol. in-4°. 50. L. Riccoboni est plus
11 et suiv. 49. Della perfetta Poësia italiana, etc., 1706. Modena,
2
vol. in-4°. 50. L. Riccoboni est plus généreux d
. Della perfetta Poësia italiana, etc., 1706. Modena, 2 vol. in-4°.
50.
L. Riccoboni est plus généreux dans sa Réformatio
ella perfetta Poësia italiana, etc., 1706. Modena, 2 vol. in-4°. 50.
L.
Riccoboni est plus généreux dans sa Réformation d
. 50. L. Riccoboni est plus généreux dans sa Réformation du théâtre,
1743.
Il conserverait le Misantrope, les Femmes savante
it seulement l’Ecole des maris, l’Ecole des femmes et George Dandin.
51.
Molière a pris les Anciens pour modèle, inimitabl
(Jugement sur quelques auteurs françois, à Mmela duchesse Mazarin).
52.
Corneille, Racine, Moliere, Aux gens d’une pur
ispute touchant les Anciens et les Modernes, stances irrégulières.)
53.
Le 21. 54. Publiée pour la première fois en 1677
touchant les Anciens et les Modernes, stances irrégulières.) 53. Le
21.
54. Publiée pour la première fois en 1677, Colog
ant les Anciens et les Modernes, stances irrégulières.) 53. Le 21.
54.
Publiée pour la première fois en 1677, Cologne.
ces irrégulières.) 53. Le 21. 54. Publiée pour la première fois en
1677,
Cologne. 55. Mercure galant, 1673. 56. Lettre d
.) 53. Le 21. 54. Publiée pour la première fois en 1677, Cologne.
55.
Mercure galant, 1673. 56. Lettre du comte de Lim
Publiée pour la première fois en 1677, Cologne. 55. Mercure galant,
1673.
56. Lettre du comte de Limoges à Bussy-Rabutin,
e pour la première fois en 1677, Cologne. 55. Mercure galant, 1673.
56.
Lettre du comte de Limoges à Bussy-Rabutin, 1673.
ercure galant, 1673. 56. Lettre du comte de Limoges à Bussy-Rabutin,
1673.
57. Par La Fontaine, 1673 (Oraison funèbre de Mo
galant, 1673. 56. Lettre du comte de Limoges à Bussy-Rabutin, 1673.
57.
Par La Fontaine, 1673 (Oraison funèbre de Moliere
ttre du comte de Limoges à Bussy-Rabutin, 1673. 57. Par La Fontaine,
1673
(Oraison funèbre de Moliere, Mercure galant). 58
Par La Fontaine, 1673 (Oraison funèbre de Moliere, Mercure galant).
58.
Tout ce qui suit jusqu’à la fin de ces Mémoires a
eurs pièces curieuses et intéressantes : Paris, Nyon fils et Guillyn,
1752,
t. I, deuxième partie, p. 527-536. 59. On croit
es curieuses et intéressantes : Paris, Nyon fils et Guillyn, 1752, t.
I
, deuxième partie, p. 527-536. 59. On croit que c
aris, Nyon fils et Guillyn, 1752, t. I, deuxième partie, p. 527-536.
59.
On croit que c’était le personnage de Mondory dan
6. 59. On croit que c’était le personnage de Mondory dans la farce.
60.
Théâtre du Marais, en 1634. 61. Par J. Falck, ve
it le personnage de Mondory dans la farce. 60. Théâtre du Marais, en
1634.
61. Par J. Falck, vers 1634 (cabinet des Estampe
ersonnage de Mondory dans la farce. 60. Théâtre du Marais, en 1634.
61.
Par J. Falck, vers 1634 (cabinet des Estampes, à
ns la farce. 60. Théâtre du Marais, en 1634. 61. Par J. Falck, vers
1634
(cabinet des Estampes, à la Bibliothèque national
alck, vers 1634 (cabinet des Estampes, à la Bibliothèque nationale).
62.
Guillaume Des Gilberts, dit Mondory, du nom de so
ts, dit Mondory, du nom de son parrain, était Auvergnat; il naquit le
13
mars 1594 à Thiers (A. Guillemot, Intermédiaire,
Mondory, du nom de son parrain, était Auvergnat; il naquit le 13 mars
1594
à Thiers (A. Guillemot, Intermédiaire, t. IX et X
; il naquit le 13 mars 1594 à Thiers (A. Guillemot, Intermédiaire, t.
IX
et XVII). 63. Adrien Desbarres 64. Le même fai
aquit le 13 mars 1594 à Thiers (A. Guillemot, Intermédiaire, t. IX et
XVII
). 63. Adrien Desbarres 64. Le même fait est ra
13 mars 1594 à Thiers (A. Guillemot, Intermédiaire, t. IX et XVII).
63.
Adrien Desbarres 64. Le même fait est rapporté p
(A. Guillemot, Intermédiaire, t. IX et XVII). 63. Adrien Desbarres
64.
Le même fait est rapporté par Tallemant des Réaux
rapporté par Tallemant des Réaux, dans son Historiette de Mondory, t.
VII
, p. 174. 65. De Tristan l’Hermite, représentée e
allemant des Réaux, dans son Historiette de Mondory, t. VII, p. 174.
65.
De Tristan l’Hermite, représentée en 1636. 66. A
de Mondory, t. VII, p. 174. 65. De Tristan l’Hermite, représentée en
1636.
66. A l’automne de 1637. 67. Tragi-comédie des
ory, t. VII, p. 174. 65. De Tristan l’Hermite, représentée en 1636.
66.
A l’automne de 1637. 67. Tragi-comédie des cinq
. 65. De Tristan l’Hermite, représentée en 1636. 66. A l’automne de
1637.
67. Tragi-comédie des cinq auteurs (Colletet, Co
De Tristan l’Hermite, représentée en 1636. 66. A l’automne de 1637.
67.
Tragi-comédie des cinq auteurs (Colletet, Corneil
représentée en 1636. 66. A l’automne de 1637. 67. Tragi-comédie des
cinq
auteurs (Colletet, Corneille, Boisrobert, Lestoil
Colletet, Corneille, Boisrobert, Lestoille et Rotrou), représentée en
1638.
68. En décembre 1651, à cinquante-sept ans. 69.
t, Corneille, Boisrobert, Lestoille et Rotrou), représentée en 1638.
68.
En décembre 1651, à cinquante-sept ans. 69. Scar
isrobert, Lestoille et Rotrou), représentée en 1638. 68. En décembre
1651,
à cinquante-sept ans. 69. Scaramouche (Tiberio F
, Lestoille et Rotrou), représentée en 1638. 68. En décembre 1651, à
cinquante-sept
ans. 69. Scaramouche (Tiberio Fiorelli) mourut à
), représentée en 1638. 68. En décembre 1651, à cinquante-sept ans.
69.
Scaramouche (Tiberio Fiorelli) mourut à Paris le
uante-sept ans. 69. Scaramouche (Tiberio Fiorelli) mourut à Paris le
7
décembre 1694. — Cette parole est attribuée à Mon
ans. 69. Scaramouche (Tiberio Fiorelli) mourut à Paris le 7 décembre
1694.
— Cette parole est attribuée à Monsieur L. D. D.
attribuée à Monsieur L. D. D. B. M., par les Diversité curieuses, t.
I
, p. 107 (1698). 70. Zacharie Jacob, né vers 1611
à Monsieur L. D. D. B. M., par les Diversité curieuses, t. I, p. 107 (
1698
). 70. Zacharie Jacob, né vers 1611. 71. C’est u
ur L. D. D. B. M., par les Diversité curieuses, t. I, p. 107 (1698).
70.
Zacharie Jacob, né vers 1611. 71. C’est une erre
iversité curieuses, t. I, p. 107 (1698). 70. Zacharie Jacob, né vers
1611.
71. C’est une erreur : Chappuzeau la cite formel
é curieuses, t. I, p. 107 (1698). 70. Zacharie Jacob, né vers 1611.
71.
C’est une erreur : Chappuzeau la cite formellemen
erreur : Chappuzeau la cite formellement comme l’œuvre du tragédien.
72.
Il appartenait dès 1636 à l’Hôtel de Bourgogne.
cite formellement comme l’œuvre du tragédien. 72. Il appartenait dès
1636
à l’Hôtel de Bourgogne. 73. Tragédie représentée
e du tragédien. 72. Il appartenait dès 1636 à l’Hôtel de Bourgogne.
73.
Tragédie représentée pour la première fois à l’Hô
Tragédie représentée pour la première fois à l’Hôtel de Bourgogne, le
10
novembre 1667. Montfleury mourut un mois plus tar
résentée pour la première fois à l’Hôtel de Bourgogne, le 10 novembre
1667.
Montfleury mourut un mois plus tard, le 11 décemb
urgogne, le 10 novembre 1667. Montfleury mourut un mois plus tard, le
11
décembre. 74. A M. le comte de Lionne, neveu du
novembre 1667. Montfleury mourut un mois plus tard, le 11 décembre.
74.
A M. le comte de Lionne, neveu du marquis de Lion
décembre. 74. A M. le comte de Lionne, neveu du marquis de Lionne.
75.
Attila, roy des Huns, l’une des dernières tragéd
ère fois par la troupe de Molière, sur le théâtre du Palais-Royal, le
4
mars 1667, dix mois avant la mort de Montfleury.
s par la troupe de Molière, sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 mars
1667,
dix mois avant la mort de Montfleury. 76. Cyrano
la troupe de Molière, sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 mars 1667,
dix
mois avant la mort de Montfleury. 76. Cyrano Ber
Palais-Royal, le 4 mars 1667, dix mois avant la mort de Montfleury.
76.
Cyrano Bergerac disait de lui qu’un seul homme ne
ac disait de lui qu’un seul homme ne le saurait battre tout entier en
vingt-quatre
heures. 77. En 1663. 78. Scène I de l’acte II.
seul homme ne le saurait battre tout entier en vingt-quatre heures.
77.
En 1663. 78. Scène I de l’acte II. 79. Antoine-
omme ne le saurait battre tout entier en vingt-quatre heures. 77. En
1663.
78. Scène I de l’acte II. 79. Antoine-Jacob, né
le saurait battre tout entier en vingt-quatre heures. 77. En 1663.
78.
Scène I de l’acte II. 79. Antoine-Jacob, néle22
t battre tout entier en vingt-quatre heures. 77. En 1663. 78. Scène
I
de l’acte II. 79. Antoine-Jacob, néle22 septembr
t entier en vingt-quatre heures. 77. En 1663. 78. Scène I de l’acte
II
. 79. Antoine-Jacob, néle22 septembre 1639, mort
ier en vingt-quatre heures. 77. En 1663. 78. Scène I de l’acte II.
79.
Antoine-Jacob, néle22 septembre 1639, mort en 168
1663. 78. Scène I de l’acte II. 79. Antoine-Jacob, néle22 septembre
1639,
mort en 1685. 80. Françoise, née le 3 novembre 1
ne I de l’acte II. 79. Antoine-Jacob, néle22 septembre 1639, mort en
1685.
80. Françoise, née le 3 novembre 1642, mariée le
l’acte II. 79. Antoine-Jacob, néle22 septembre 1639, mort en 1685.
80.
Françoise, née le 3 novembre 1642, mariée le 28 f
ne-Jacob, néle22 septembre 1639, mort en 1685. 80. Françoise, née le
3
novembre 1642, mariée le 28 février 1661 à Mathie
éle22 septembre 1639, mort en 1685. 80. Françoise, née le 3 novembre
1642,
mariée le 28 février 1661 à Mathieu Dennebault, c
1639, mort en 1685. 80. Françoise, née le 3 novembre 1642, mariée le
28
février 1661 à Mathieu Dennebault, commis de la f
en 1685. 80. Françoise, née le 3 novembre 1642, mariée le 28 février
1661
à Mathieu Dennebault, commis de la ferme générale
r 1661 à Mathieu Dennebault, commis de la ferme générale en Guienne.
81.
Mlle Dupin (Louise Jacob), née le 3o mars 1649, m
la ferme générale en Guienne. 81. Mlle Dupin (Louise Jacob), née le
3o
mars 1649, mariée le 8 avril 1665 à Joseph Du Lan
e générale en Guienne. 81. Mlle Dupin (Louise Jacob), née le 3o mars
1649,
mariée le 8 avril 1665 à Joseph Du Landas, dit Du
ienne. 81. Mlle Dupin (Louise Jacob), née le 3o mars 1649, mariée le
8
avril 1665 à Joseph Du Landas, dit Dupin. 82. Ma
81. Mlle Dupin (Louise Jacob), née le 3o mars 1649, mariée le 8 avril
1665
à Joseph Du Landas, dit Dupin. 82. Marie-Anne Bo
3o mars 1649, mariée le 8 avril 1665 à Joseph Du Landas, dit Dupin.
82.
Marie-Anne Botot, née le 26 décembre 1714, appart
ril 1665 à Joseph Du Landas, dit Dupin. 82. Marie-Anne Botot, née le
26
décembre 1714, appartint à la Comédie-Française d
oseph Du Landas, dit Dupin. 82. Marie-Anne Botot, née le 26 décembre
1714,
appartint à la Comédie-Française de 1730 à 1763.
e Botot, née le 26 décembre 1714, appartint à la Comédie-Française de
1730
à 1763. 83. Sa mère, Anne-Catherine Desmares, sœ
, née le 26 décembre 1714, appartint à la Comédie-Française de 1730 à
1763.
83. Sa mère, Anne-Catherine Desmares, sœur cadet
e 26 décembre 1714, appartint à la Comédie-Française de 1730 à 1763.
83.
Sa mère, Anne-Catherine Desmares, sœur cadette de
e-Françoise Dennebault, et par conséquent petit-fille de Montfleury.
84.
Le fils, Antoine Jacob. 85. Jusqu’à Noël. — On l
r conséquent petit-fille de Montfleury. 84. Le fils, Antoine Jacob.
85.
Jusqu’à Noël. — On la rejoua trois fois, le 27 fé
leury. 84. Le fils, Antoine Jacob. 85. Jusqu’à Noël. — On la rejoua
trois
fois, le 27 février, les 2 et 4 mars 1674. 86.
fils, Antoine Jacob. 85. Jusqu’à Noël. — On la rejoua trois fois, le
27
février, les 2 et 4 mars 1674. 86. Premier Regi
cob. 85. Jusqu’à Noël. — On la rejoua trois fois, le 27 février, les
2
et 4 mars 1674. 86. Premier Registre de la trou
85. Jusqu’à Noël. — On la rejoua trois fois, le 27 février, les 2 et
4
mars 1674. 86. Premier Registre de la troupe du
squ’à Noël. — On la rejoua trois fois, le 27 février, les 2 et 4 mars
1674.
86. Premier Registre de la troupe du Roy aprez
ël. — On la rejoua trois fois, le 27 février, les 2 et 4 mars 1674.
86.
Premier Registre de la troupe du Roy aprez son es
r Registre de la troupe du Roy aprez son establissement rue Mazarini,
1673,
f° 76. Le Mazurier, archiviste de la Comédie sous
e de la troupe du Roy aprez son establissement rue Mazarini, 1673, f°
76.
Le Mazurier, archiviste de la Comédie sous la Res
« Vente par Montfleury et Corneille (Th.) du Comédien poète moyennant
1,32o
livres. — Il ne leur revenait pour leurs deux par
médien poète moyennant 1,32o livres. — Il ne leur revenait pour leurs
deux
parts que 573 livres, si elles eussent été calcu
yennant 1,32o livres. — Il ne leur revenait pour leurs deux parts que
573
livres, si elles eussent été calculées comme cel
ubert une somme dans laquelle les comédiens ne partageaient pas. »
87.
Elle s’appelait Jeanne de La Chappe, et avait été
res noces à P. Rousseau, sieur Du Clos. Elle épousa Zacharie Jacob en
1638,
à Rueil. Nous avons vainement cherché l’acte de m
nt cherché l’acte de mariage, l’état civil de Rueil ne remontant qu’à
1640.
88. François, né vers 1626. 89. Charlotte Le N
hé l’acte de mariage, l’état civil de Rueil ne remontant qu’à 1640.
88.
François, né vers 1626. 89. Charlotte Le Noir, n
l’état civil de Rueil ne remontant qu’à 1640. 88. François, né vers
1626.
89. Charlotte Le Noir, née le 16 avril 1661. 9
civil de Rueil ne remontant qu’à 1640. 88. François, né vers 1626.
89.
Charlotte Le Noir, née le 16 avril 1661. 90. Th
’à 1640. 88. François, né vers 1626. 89. Charlotte Le Noir, née le
16
avril 1661. 90. Thérèse-Marie-Jeanne Le Noir, n
88. François, né vers 1626. 89. Charlotte Le Noir, née le 16 avril
1661.
90. Thérèse-Marie-Jeanne Le Noir, née le 15 jui
ançois, né vers 1626. 89. Charlotte Le Noir, née le 16 avril 1661.
90.
Thérèse-Marie-Jeanne Le Noir, née le 15 juillet 1
oir, née le 16 avril 1661. 90. Thérèse-Marie-Jeanne Le Noir, née le
15
juillet 1663. 91. Pierre Le Noir, né le 3 septem
16 avril 1661. 90. Thérèse-Marie-Jeanne Le Noir, née le 15 juillet
1663.
91. Pierre Le Noir, né le 3 septembre 1659, mort
il 1661. 90. Thérèse-Marie-Jeanne Le Noir, née le 15 juillet 1663.
91.
Pierre Le Noir, né le 3 septembre 1659, mort le 1
ie-Jeanne Le Noir, née le 15 juillet 1663. 91. Pierre Le Noir, né le
3
septembre 1659, mort le 18 septembre 1731. 92. A
Noir, née le 15 juillet 1663. 91. Pierre Le Noir, né le 3 septembre
1659,
mort le 18 septembre 1731. 92. Anne-Maurice Le N
15 juillet 1663. 91. Pierre Le Noir, né le 3 septembre 1659, mort le
18
septembre 1731. 92. Anne-Maurice Le Noir, né ver
63. 91. Pierre Le Noir, né le 3 septembre 1659, mort le 18 septembre
1731.
92. Anne-Maurice Le Noir, né vers 1697, au Théât
. Pierre Le Noir, né le 3 septembre 1659, mort le 18 septembre 1731.
92.
Anne-Maurice Le Noir, né vers 1697, au Théâtre- F
e 1659, mort le 18 septembre 1731. 92. Anne-Maurice Le Noir, né vers
1697,
au Théâtre- Français depuis juin 1722. 93. Franç
Anne-Maurice Le Noir, né vers 1697, au Théâtre- Français depuis juin
1722.
93. François Juvenon ; voir plus loin, p. 42. 9
aurice Le Noir, né vers 1697, au Théâtre- Français depuis juin 1722.
93.
François Juvenon ; voir plus loin, p. 42. 94. En
ais depuis juin 1722. 93. François Juvenon ; voir plus loin, p. 42.
94.
En 1673, lorsqu’il quitta la troupe de la Molière
uis juin 1722. 93. François Juvenon ; voir plus loin, p. 42. 94. En
1673,
lorsqu’il quitta la troupe de la Molière pour pas
l quitta la troupe de la Molière pour passer à l’Hôtel de Bourgogne.
95.
Godard de Beauchamps, en 1735. 96. Il portait «
ère pour passer à l’Hôtel de Bourgogne. 95. Godard de Beauchamps, en
1735.
96. Il portait « d’azur à une hure de sanglier d
r passer à l’Hôtel de Bourgogne. 95. Godard de Beauchamps, en 1735.
96.
Il portait « d’azur à une hure de sanglier de sab
6. Il portait « d’azur à une hure de sanglier de sable accompagnée de
trois
glands de sinople ». 97. Il était, lors de son m
hure de sanglier de sable accompagnée de trois glands de sinople ».
97.
Il était, lors de son mariage (14 avril 1658), ca
née de trois glands de sinople ». 97. Il était, lors de son mariage (
14
avril 1658), capitaine d’une compagnie de gens de
ois glands de sinople ». 97. Il était, lors de son mariage (14 avril
1658
), capitaine d’une compagnie de gens de pied dans
ie de gens de pied dans le régiment de Lorraine et maréchal de camp.
98.
Il fit d’abord partie de la troupe du Marais et p
e de la troupe du Marais et passa de celle-ci au Palais-Royal en juin
1662.
99. Au mois d’août. 100. Lui, Baron et le coupl
troupe du Marais et passa de celle-ci au Palais-Royal en juin 1662.
99.
Au mois d’août. 100. Lui, Baron et le couple Bea
passa de celle-ci au Palais-Royal en juin 1662. 99. Au mois d’août.
100.
Lui, Baron et le couple Beauval. 101. Le biblio
n 1662. 99. Au mois d’août. 100. Lui, Baron et le couple Beauval.
101.
Le bibliophile Jacob, dans une note du Catalogue
101. Le bibliophile Jacob, dans une note du Catalogue de Soleinne (t.
II
, p. 22), disait en 1844 : « Nous sommes presque c
cob, dans une note du Catalogue de Soleinne (t. II, p. 22), disait en
1844
: « Nous sommes presque convaincus que cet auteur
ommes presque convaincus que cet auteur est le même (et les initiales
D.
C. confirment notre opinion) que A. P. P. de Chât
es presque convaincus que cet auteur est le même (et les initiales D.
C.
confirment notre opinion) que A. P. P. de Château
re opinion) que A. P. P. de Châteauneuf. » M. Paul Lacroix traduisait
D.
C. par D(e) C(hâteauneuf) : ces initiales veulent
opinion) que A. P. P. de Châteauneuf. » M. Paul Lacroix traduisait D.
C.
par D(e) C(hâteauneuf) : ces initiales veulent di
) que A. P. P. de Châteauneuf. » M. Paul Lacroix traduisait D. C. par
D
(e) C(hâteauneuf) : ces initiales veulent dire D(e
A. P. P. de Châteauneuf. » M. Paul Lacroix traduisait D. C. par D(e)
C
(hâteauneuf) : ces initiales veulent dire D(enis)
traduisait D. C. par D(e) C(hâteauneuf) : ces initiales veulent dire
D
(enis) C(lerselier), comme nous l’avons découvert
ait D. C. par D(e) C(hâteauneuf) : ces initiales veulent dire D(enis)
C
(lerselier), comme nous l’avons découvert récemmen
à Nanteuil ! (Dictionnaire universel du Théâtre en France, p. 124.)
102.
Les Brouilleries nocturnes, comédie en cinq acte
re en France, p. 124.) 102. Les Brouilleries nocturnes, comédie en
cinq
actes en vers, non imprimée. 103. Comédie en un
Brouilleries nocturnes, comédie en cinq actes en vers, non imprimée.
103.
Comédie en un acte en vers, imprimée à La Haye en
non imprimée. 103. Comédie en un acte en vers, imprimée à La Haye en
1669,
in-12. 104. Comédie en trois actes, en vers, imp
103. Comédie en un acte en vers, imprimée à La Haye en 1669, in-12.
104.
Comédie en trois actes, en vers, imprimée à La Ha
un acte en vers, imprimée à La Haye en 1669, in-12. 104. Comédie en
trois
actes, en vers, imprimée à La Haye’ en 1669, in-1
in-12. 104. Comédie en trois actes, en vers, imprimée à La Haye’ en
1669,
in-12. 105. Nicolas Drouin. 106. Maupoint dit q
Comédie en trois actes, en vers, imprimée à La Haye’ en 1669, in-12.
105.
Nicolas Drouin. 106. Maupoint dit que cet acteur
, en vers, imprimée à La Haye’ en 1669, in-12. 105. Nicolas Drouin.
106.
Maupoint dit que cet acteur fut comédien de la tr
06. Maupoint dit que cet acteur fut comédien de la troupe du Marais.
107.
Comédie en cinq actes, en vers, représentée en 16
que cet acteur fut comédien de la troupe du Marais. 107. Comédie en
cinq
actes, en vers, représentée en 1661. 108. On ne
roupe du Marais. 107. Comédie en cinq actes, en vers, représentée en
1661.
108. On ne connaît pas de pièce de ce nom : ce d
u Marais. 107. Comédie en cinq actes, en vers, représentée en 1661.
108.
On ne connaît pas de pièce de ce nom : ce doit êt
tée et imprimée cette année même, et dont il est question plus loin.
109.
L’Escole des Cocus. 110. Représentée en 1661 ; l
e même, et dont il est question plus loin. 109. L’Escole des Cocus.
110.
Représentée en 1661 ; le deuxième titre est celui
st question plus loin. 109. L’Escole des Cocus. 110. Représentée en
1661
; le deuxième titre est celui du prologue. 111.
110. Représentée en 1661 ; le deuxième titre est celui du prologue.
111.
Il y a erreur de date : la pièce fut imprimée en
du prologue. 111. Il y a erreur de date : la pièce fut imprimée en
1661.
L’auteur oublie dans cette liste la plus importan
plus importante de toutes, le Festin de Pierre, représenté à Lyon en
1658.
112. En 1680. 113. Comme la Fille capitaine, l
portante de toutes, le Festin de Pierre, représenté à Lyon en 1658.
112.
En 1680. 113. Comme la Fille capitaine, la Femme
de toutes, le Festin de Pierre, représenté à Lyon en 1658. 112. En
1680.
113. Comme la Fille capitaine, la Femme Juge et
tes, le Festin de Pierre, représenté à Lyon en 1658. 112. En 1680.
113.
Comme la Fille capitaine, la Femme Juge et partie
12. En 1680. 113. Comme la Fille capitaine, la Femme Juge et partie,
deux
comédies de son frère. 114. Claude Deschamps. 1
ille capitaine, la Femme Juge et partie, deux comédies de son frère.
114.
Claude Deschamps. 115. Cette pièce est de Lamber
Juge et partie, deux comédies de son frère. 114. Claude Deschamps.
115.
Cette pièce est de Lambert. 116. C’est le seul e
son frère. 114. Claude Deschamps. 115. Cette pièce est de Lambert.
116.
C’est le seul endroit où Sallebray soit nommé com
rait erronée, car, toutes les pièces de Sallebray étant antérieures à
165o
, il est plus que probable qu’il avait, à cette da
est plus que probable qu’il avait, à cette date, quitté le théâtre.
117.
Tragi-comédie, 5 actes en vers, 1642. 118. 5 act
le qu’il avait, à cette date, quitté le théâtre. 117. Tragi-comédie,
5
actes en vers, 1642. 118. 5 actes en vers, 1649.
cette date, quitté le théâtre. 117. Tragi-comédie, 5 actes en vers,
1642.
118. 5 actes en vers, 1649. 119. Cette tragédie
date, quitté le théâtre. 117. Tragi-comédie, 5 actes en vers, 1642.
118.
5 actes en vers, 1649. 119. Cette tragédie est l
quitté le théâtre. 117. Tragi-comédie, 5 actes en vers, 1642. 118.
5
actes en vers, 1649. 119. Cette tragédie est la
e. 117. Tragi-comédie, 5 actes en vers, 1642. 118. 5 actes en vers,
1649.
119. Cette tragédie est la même que la précédent
. Tragi-comédie, 5 actes en vers, 1642. 118. 5 actes en vers, 1649.
119.
Cette tragédie est la même que la précédente. 12
s en vers, 1649. 119. Cette tragédie est la même que la précédente.
120.
François Juvenon avait été cuisinier avant d’être
e. 120. François Juvenon avait été cuisinier avant d’être comédien.
121.
Le 5 janvier. 122. En 1667. 123. Jean-François
François Juvenon avait été cuisinier avant d’être comédien. 121. Le
5
janvier. 122. En 1667. 123. Jean-François de la
venon avait été cuisinier avant d’être comédien. 121. Le 5 janvier.
122.
En 1667. 123. Jean-François de la Tuillerie, né
ait été cuisinier avant d’être comédien. 121. Le 5 janvier. 122. En
1667.
123. Jean-François de la Tuillerie, né le 18 mai
cuisinier avant d’être comédien. 121. Le 5 janvier. 122. En 1667.
123.
Jean-François de la Tuillerie, né le 18 mai 165o.
5 janvier. 122. En 1667. 123. Jean-François de la Tuillerie, né le
18
mai 165o. 124. Le 13 février 1688, à trente-sept
ier. 122. En 1667. 123. Jean-François de la Tuillerie, né le 18 mai
165o
. 124. Le 13 février 1688, à trente-sept ans. 12
22. En 1667. 123. Jean-François de la Tuillerie, né le 18 mai 165o.
124.
Le 13 février 1688, à trente-sept ans. 125. Dès
667. 123. Jean-François de la Tuillerie, né le 18 mai 165o. 124. Le
13
février 1688, à trente-sept ans. 125. Dès octobr
Jean-François de la Tuillerie, né le 18 mai 165o. 124. Le 13 février
1688,
à trente-sept ans. 125. Dès octobre 1672. 126.
nçois de la Tuillerie, né le 18 mai 165o. 124. Le 13 février 1688, à
trente-sept
ans. 125. Dès octobre 1672. 126. Virginie (168
rie, né le 18 mai 165o. 124. Le 13 février 1688, à trente-sept ans.
125.
Dès octobre 1672. 126. Virginie (1683), Arminiu
165o. 124. Le 13 février 1688, à trente-sept ans. 125. Dès octobre
1672.
126. Virginie (1683), Arminius (1684), Andronic
124. Le 13 février 1688, à trente-sept ans. 125. Dès octobre 1672.
126.
Virginie (1683), Arminius (1684), Andronic (1685
ier 1688, à trente-sept ans. 125. Dès octobre 1672. 126. Virginie (
1683
), Arminius (1684), Andronic (1685), Alcibiade (d°
e-sept ans. 125. Dès octobre 1672. 126. Virginie (1683), Arminius (
1684
), Andronic (1685), Alcibiade (d°), Phraate (1686)
Dès octobre 1672. 126. Virginie (1683), Arminius (1684), Andronic (
1685
), Alcibiade (d°), Phraate (1686). 127. Par l’exc
ie (1683), Arminius (1684), Andronic (1685), Alcibiade (d°), Phraate (
1686
). 127. Par l’excellente raison qu’il était mort
), Arminius (1684), Andronic (1685), Alcibiade (d°), Phraate (1686).
127.
Par l’excellente raison qu’il était mort depuis t
Phraate (1686). 127. Par l’excellente raison qu’il était mort depuis
trois
ans, lors de la première de cette tragédie (12 fé
l était mort depuis trois ans, lors de la première de cette tragédie (
12
février 1691). 128. Ou l’lllustre Vestale, 5 act
t depuis trois ans, lors de la première de cette tragédie (12 février
1691
). 128. Ou l’lllustre Vestale, 5 actes en vers, d
trois ans, lors de la première de cette tragédie (12 février 1691).
128.
Ou l’lllustre Vestale, 5 actes en vers, de Péchan
ère de cette tragédie (12 février 1691). 128. Ou l’lllustre Vestale,
5
actes en vers, de Péchantré, 29 janvier 1687. 1
er 1691). 128. Ou l’lllustre Vestale, 5 actes en vers, de Péchantré,
29
janvier 1687. 129. Théâtre de M. de La Thuiller
128. Ou l’lllustre Vestale, 5 actes en vers, de Péchantré, 29 janvier
1687.
129. Théâtre de M. de La Thuillerie, comédien d
l’lllustre Vestale, 5 actes en vers, de Péchantré, 29 janvier 1687.
129.
Théâtre de M. de La Thuillerie, comédien de la Tr
illerie, comédien de la Troupe royale contenant : Crispin précepteur,
1679
; Soliman, 1680 ; Hercule, 1681, et Crispin bel e
n de la Troupe royale contenant : Crispin précepteur, 1679 ; Soliman,
1680
; Hercule, 1681, et Crispin bel esprit, 1681. Une
oyale contenant : Crispin précepteur, 1679 ; Soliman, 1680 ; Hercule,
1681,
et Crispin bel esprit, 1681. Une comédie en 1 act
cepteur, 1679 ; Soliman, 1680 ; Hercule, 1681, et Crispin bel esprit,
1681.
Une comédie en 1 acte en prose, Merlin peintre, r
an, 1680 ; Hercule, 1681, et Crispin bel esprit, 1681. Une comédie en
1
acte en prose, Merlin peintre, représentée le 20
1681. Une comédie en 1 acte en prose, Merlin peintre, représentée le
20
juillet 1687, lui est attribuée : elle n’a pas ét
comédie en 1 acte en prose, Merlin peintre, représentée le 20 juillet
1687,
lui est attribuée : elle n’a pas été imprimée, no
tribuée : elle n’a pas été imprimée, non plus que Nitocris, tragédie (
10
mars 1683), et Aristobule (3o novembre 1685). 1
: elle n’a pas été imprimée, non plus que Nitocris, tragédie (10 mars
1683
), et Aristobule (3o novembre 1685). 130. Hercul
rimée, non plus que Nitocris, tragédie (10 mars 1683), et Aristobule (
3o
novembre 1685). 130. Hercule, tragédie en 5 act
lus que Nitocris, tragédie (10 mars 1683), et Aristobule (3o novembre
1685
). 130. Hercule, tragédie en 5 actes en vers, re
itocris, tragédie (10 mars 1683), et Aristobule (3o novembre 1685).
130.
Hercule, tragédie en 5 actes en vers, représentée
1683), et Aristobule (3o novembre 1685). 130. Hercule, tragédie en
5
actes en vers, représentée le 7 novembre 1681. —
re 1685). 130. Hercule, tragédie en 5 actes en vers, représentée le
7
novembre 1681. — Soliman XIII, tragédie en 5 acte
130. Hercule, tragédie en 5 actes en vers, représentée le 7 novembre
1681.
— Soliman XIII, tragédie en 5 actes en vers, repr
en vers, représentée le 7 novembre 1681. — Soliman XIII, tragédie en
5
actes en vers, représentée le 11 octobre 1680 : c
bre 1681. — Soliman XIII, tragédie en 5 actes en vers, représentée le
11
octobre 1680 : c’est la première nouveauté donné
Soliman XIII, tragédie en 5 actes en vers, représentée le 11 octobre
1680
: c’est la première nouveauté donnée à la rue Ma
ue Mazarini depuis la jonction des troupes. (Voir les préfaces de ces
deux
pièces.) 131. Le mardi 6. 132. Sur le théâtre d
uis la jonction des troupes. (Voir les préfaces de ces deux pièces.)
131.
Le mardi 6. 132. Sur le théâtre du Palais-Royal,
n des troupes. (Voir les préfaces de ces deux pièces.) 131. Le mardi
6.
132. Sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 novemb
s troupes. (Voir les préfaces de ces deux pièces.) 131. Le mardi 6.
132.
Sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 novembre 166
x pièces.) 131. Le mardi 6. 132. Sur le théâtre du Palais-Royal, le
9
novembre 1664. 133. 25 fois, du dimanche 9 novem
131. Le mardi 6. 132. Sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 novembre
1664.
133. 25 fois, du dimanche 9 novembre 1664 au dim
e mardi 6. 132. Sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 novembre 1664.
133.
25 fois, du dimanche 9 novembre 1664 au dimanche
di 6. 132. Sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 novembre 1664. 133.
25
fois, du dimanche 9 novembre 1664 au dimanche 4 j
éâtre du Palais-Royal, le 9 novembre 1664. 133. 25 fois, du dimanche
9
novembre 1664 au dimanche 4 janvier 1665. 134.
lais-Royal, le 9 novembre 1664. 133. 25 fois, du dimanche 9 novembre
1664
au dimanche 4 janvier 1665. 134. Michel Lambert
novembre 1664. 133. 25 fois, du dimanche 9 novembre 1664 au dimanche
4
janvier 1665. 134. Michel Lambert, maître de la
664. 133. 25 fois, du dimanche 9 novembre 1664 au dimanche 4 janvier
1665.
134. Michel Lambert, maître de la musique de la
3. 25 fois, du dimanche 9 novembre 1664 au dimanche 4 janvier 1665.
134.
Michel Lambert, maître de la musique de la chambr
65. 134. Michel Lambert, maître de la musique de la chambre du Roi (
1610-1696
), fut le beau-père de Lulli. C’est celui dont par
epas ridicule ; Nous n’avons, m’a-t-il dit, ni Lambert ni Molière.
135.
Textuellement reproduit de l’édition de 1734 : Mé
i Lambert ni Molière. 135. Textuellement reproduit de l’édition de
1734
: Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière.
l’édition de 1734 : Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière.
136.
Ces deux rôles furent joués d’original par Molièr
n de 1734 : Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. 136. Ces
deux
rôles furent joués d’original par Molière lui-mêm
. 136. Ces deux rôles furent joués d’original par Molière lui-même.
137.
Elle parut pour la première fois dans les Œuvres
137. Elle parut pour la première fois dans les Œuvres posthumes, t.
VIII
de l’édition de 1682, et ne fut représentée à la
r la première fois dans les Œuvres posthumes, t. VIII de l’édition de
1682,
et ne fut représentée à la Comédie-Française que
tée à la Comédie-Française que longtemps après la mort de Molière, le
15
octobre 1688. 138. En novembre 1658. 139. Ce po
médie-Française que longtemps après la mort de Molière, le 15 octobre
1688.
138. En novembre 1658. 139. Ce point est généra
rançaise que longtemps après la mort de Molière, le 15 octobre 1688.
138.
En novembre 1658. 139. Ce point est généralement
temps après la mort de Molière, le 15 octobre 1688. 138. En novembre
1658.
139. Ce point est généralement contesté. 140. D
près la mort de Molière, le 15 octobre 1688. 138. En novembre 1658.
139.
Ce point est généralement contesté. 140. Du mard
8. 138. En novembre 1658. 139. Ce point est généralement contesté.
140.
Du mardi 18 novembre 1659 au 12 mars 1660, avec p
vembre 1658. 139. Ce point est généralement contesté. 140. Du mardi
18
novembre 1659 au 12 mars 1660, avec plusieurs int
139. Ce point est généralement contesté. 140. Du mardi 18 novembre
1659
au 12 mars 1660, avec plusieurs interruptions. 1
e point est généralement contesté. 140. Du mardi 18 novembre 1659 au
12
mars 1660, avec plusieurs interruptions. 141. 15
est généralement contesté. 140. Du mardi 18 novembre 1659 au 12 mars
1660,
avec plusieurs interruptions. 141. 15 sols (Regi
ardi 18 novembre 1659 au 12 mars 1660, avec plusieurs interruptions.
141.
15 sols (Registre de La Grange, p. 13). 142. 34
18 novembre 1659 au 12 mars 1660, avec plusieurs interruptions. 141.
15
sols (Registre de La Grange, p. 13). 142. 34 rep
usieurs interruptions. 141. 15 sols (Registre de La Grange, p. 13).
142.
34 représentations au Petit-Bourbon, 2 à Vincenne
rs interruptions. 141. 15 sols (Registre de La Grange, p. 13). 142.
34
représentations au Petit-Bourbon, 2 à Vincennes p
stre de La Grange, p. 13). 142. 34 représentations au Petit-Bourbon,
2
à Vincennes pour le Roy et 1 au Louvre pour Monsi
42. 34 représentations au Petit-Bourbon, 2 à Vincennes pour le Roy et
1
au Louvre pour Monsieur, du 28 mai au 19 septembr
t-Bourbon, 2 à Vincennes pour le Roy et 1 au Louvre pour Monsieur, du
28
mai au 19 septembre, avec plusieurs interruptions
2 à Vincennes pour le Roy et 1 au Louvre pour Monsieur, du 28 mai au
19
septembre, avec plusieurs interruptions. 143. El
r Monsieur, du 28 mai au 19 septembre, avec plusieurs interruptions.
143.
Elle eut cependant sept représentations. 144. Da
sieurs interruptions. 143. Elle eut cependant sept représentations.
144.
Dans le tome VII de l’édition de 1682. 145. On n
ns. 143. Elle eut cependant sept représentations. 144. Dans le tome
VII
de l’édition de 1682. 145. On ne connaît pas le
ependant sept représentations. 144. Dans le tome VII de l’édition de
1682.
145. On ne connaît pas le titre de la pièce orig
t sept représentations. 144. Dans le tome VII de l’édition de 1682.
145.
On ne connaît pas le titre de la pièce originale,
agnole de la Reine venue à la suite du mariage du Roi et qui séjourna
douze
ans à la Cour. 146. Troisième journée. 147. Il
ue à la suite du mariage du Roi et qui séjourna douze ans à la Cour.
146.
Troisième journée. 147. Il fut, quelques années
du Roi et qui séjourna douze ans à la Cour. 146. Troisième journée.
147.
Il fut, quelques années plus tard, nommé grand ve
ournée. 147. Il fut, quelques années plus tard, nommé grand veneur.
148.
Voir la suite de cette revue des œuvres de Molièr
de cette revue des œuvres de Molière dans la deuxième lettre, p. 71.
149.
Ce portrait serait dû à Poisson, fille de Du Croi
it dû à Poisson, fille de Du Croisy, d’après l’auteur des Mémoires de
1734.
150. Depuis son arrivée à Paris en 1658 jusqu’à
Poisson, fille de Du Croisy, d’après l’auteur des Mémoires de 1734.
150.
Depuis son arrivée à Paris en 1658 jusqu’à sa mor
s l’auteur des Mémoires de 1734. 150. Depuis son arrivée à Paris en
1658
jusqu’à sa mort, Molière put avoir occasion de fa
e Brie (Jean-Baptiste) ; La petite De Brie (Catherine-Nicole), née en
1659
; Le petit Du Parc (Jean-Baptiste) ; Le petit Du
e petit Du Parc (Jean-Baptiste) ; Le petit Du Croisy (François) ; Les
deux
petites Du Croisy (Angélique et Marie-Angélique)
y (Angélique et Marie-Angélique) La petite Châteauneuf aînée ; Les
quatre
enfants La Thorillière, dont sa filleule Thérèse
; La petite Beauval (Louise), la Louison de son Malade imaginaire.
151.
Mémoires sur la vie, etc. 1734. 152. Peut-on fa
Louison de son Malade imaginaire. 151. Mémoires sur la vie, etc.
1734.
152. Peut-on faire un plus bel éloge, et n’est-c
n de son Malade imaginaire. 151. Mémoires sur la vie, etc. 1734.
152.
Peut-on faire un plus bel éloge, et n’est-ce pas
se à ceux qui demandent naïvement « si Molière était bon comédien ».
153.
La Grange lui succéda dans cet emploi le 14 novem
était bon comédien ». 153. La Grange lui succéda dans cet emploi le
14
novembre 1664. 154. Isaac-François Guérin d’Étri
omédien ». 153. La Grange lui succéda dans cet emploi le 14 novembre
1664.
154. Isaac-François Guérin d’Étriché, le 31 mai
». 153. La Grange lui succéda dans cet emploi le 14 novembre 1664.
154.
Isaac-François Guérin d’Étriché, le 31 mai 1677
emploi le 14 novembre 1664. 154. Isaac-François Guérin d’Étriché, le
31
mai 1677 155. Célimène, Elmire, Henriette, Psych
le 14 novembre 1664. 154. Isaac-François Guérin d’Étriché, le 31 mai
1677
155. Célimène, Elmire, Henriette, Psyché, etc.
novembre 1664. 154. Isaac-François Guérin d’Étriché, le 31 mai 1677
155.
Célimène, Elmire, Henriette, Psyché, etc. 156. V
iché, le 31 mai 1677 155. Célimène, Elmire, Henriette, Psyché, etc.
156.
Voir Entretiens galants (VIe, la Musique), t. II,
tte, Psyché, etc. 156. Voir Entretiens galants (VIe, la Musique), t.
II
, p. 45-48, 1681. 157. Au théâtre Mlle Hervé, du
tc. 156. Voir Entretiens galants (VIe, la Musique), t. II, p. 45-48,
1681.
157. Au théâtre Mlle Hervé, du nom de sa mère.
6. Voir Entretiens galants (VIe, la Musique), t. II, p. 45-48, 1681.
157.
Au théâtre Mlle Hervé, du nom de sa mère. 158. T
II, p. 45-48, 1681. 157. Au théâtre Mlle Hervé, du nom de sa mère.
158.
Très aînée, de dix-neuf ans environ. 159. Jean-B
157. Au théâtre Mlle Hervé, du nom de sa mère. 158. Très aînée, de
dix-neuf
ans environ. 159. Jean-Baptiste Aubry des Carriè
Hervé, du nom de sa mère. 158. Très aînée, de dix-neuf ans environ.
159.
Jean-Baptiste Aubry des Carrières. 160. Erreur d
e, de dix-neuf ans environ. 159. Jean-Baptiste Aubry des Carrières.
160.
Erreur de date ; Geneviève Béjart mourut le 3 jui
ubry des Carrières. 160. Erreur de date ; Geneviève Béjart mourut le
3
juillet 1675. 161. Madeleine, morte le 17 févrie
arrières. 160. Erreur de date ; Geneviève Béjart mourut le 3 juillet
1675.
161. Madeleine, morte le 17 février 1672, un an
s. 160. Erreur de date ; Geneviève Béjart mourut le 3 juillet 1675.
161.
Madeleine, morte le 17 février 1672, un an jour p
Geneviève Béjart mourut le 3 juillet 1675. 161. Madeleine, morte le
17
février 1672, un an jour pour jour avant Molière.
Béjart mourut le 3 juillet 1675. 161. Madeleine, morte le 17 février
1672,
un an jour pour jour avant Molière. Elle méritait
ant Molière. Elle méritait plus que la précédente d’être nommée ici.
162.
Frère, et non pas oncle, Louis Béjart, le cadet,
et non pas oncle, Louis Béjart, le cadet, dit l’Éguisé, se retira le
16
avril 1670 et mourut en 1678, le 29 septembre (Re
as oncle, Louis Béjart, le cadet, dit l’Éguisé, se retira le 16 avril
1670
et mourut en 1678, le 29 septembre (Registres de
jart, le cadet, dit l’Éguisé, se retira le 16 avril 1670 et mourut en
1678,
le 29 septembre (Registres de La Grange et d’Hube
cadet, dit l’Éguisé, se retira le 16 avril 1670 et mourut en 1678, le
29
septembre (Registres de La Grange et d’Hubert) ou
t en 1678, le 29 septembre (Registres de La Grange et d’Hubert) ou le
13
octobre (Jal). 163. La femme d’Achille Varlet d
tembre (Registres de La Grange et d’Hubert) ou le 13 octobre (Jal).
163.
La femme d’Achille Varlet de Verneuil s’appelait
mme de Nicolas Lion, sieur de Beaupré, comédien du duc d’Angoulême en
1630
et directeur de troupe en 1647, florissait de 163
eaupré, comédien du duc d’Angoulême en 1630 et directeur de troupe en
1647,
florissait de 1633 à 1636 ; elle joua ensuite en
duc d’Angoulême en 1630 et directeur de troupe en 1647, florissait de
1633
à 1636 ; elle joua ensuite en province. On croit
ngoulême en 1630 et directeur de troupe en 1647, florissait de 1633 à
1636
; elle joua ensuite en province. On croit qu’elle
elle joua ensuite en province. On croit qu’elle mourut en Hollande.
164.
Elisabeth Dispanet, mariée à Jean Valliot le 22 s
urut en Hollande. 164. Elisabeth Dispanet, mariée à Jean Valliot le
22
septembre 1620, mourut en 1672. 165. Mlle de Cha
nde. 164. Elisabeth Dispanet, mariée à Jean Valliot le 22 septembre
1620,
mourut en 1672. 165. Mlle de Chanvallon (Judith
abeth Dispanet, mariée à Jean Valliot le 22 septembre 1620, mourut en
1672.
165. Mlle de Chanvallon (Judith Chabot de La Rin
ispanet, mariée à Jean Valliot le 22 septembre 1620, mourut en 1672.
165.
Mlle de Chanvallon (Judith Chabot de La Rinville)
72. 165. Mlle de Chanvallon (Judith Chabot de La Rinville), née vers
1667,
épousa J.-B. de Lhoste, sieur de Chanvallon, et s
rs 1667, épousa J.-B. de Lhoste, sieur de Chanvallon, et se retira le
26
mars 1722. 166. Cette demoiselle Duclos, grandJm
épousa J.-B. de Lhoste, sieur de Chanvallon, et se retira le 26 mars
1722.
166. Cette demoiselle Duclos, grandJmère de Mari
J.-B. de Lhoste, sieur de Chanvallon, et se retira le 26 mars 1722.
166.
Cette demoiselle Duclos, grandJmère de Marie-Anne
Anne de Châteauneuf, dite Duclos, appartenait à la troupe du Marais.
167.
Françoise Petit, femme de Nicolas Biet de Beau- c
ge, père d’Antoine Du Boccage qui appartint à la Comédie-Française de
1702
à 1723 et mourut à Strasbourg le 21 janvier 1757.
e d’Antoine Du Boccage qui appartint à la Comédie-Française de 1702 à
1723
et mourut à Strasbourg le 21 janvier 1757. 168.
rtint à la Comédie-Française de 1702 à 1723 et mourut à Strasbourg le
21
janvier 1757. 168. Un Paul Biet, surnommé Beaubr
Comédie-Française de 1702 à 1723 et mourut à Strasbourg le 21 janvier
1757.
168. Un Paul Biet, surnommé Beaubrun, que j’ai t
-Française de 1702 à 1723 et mourut à Strasbourg le 21 janvier 1757.
168.
Un Paul Biet, surnommé Beaubrun, que j’ai trouvé
et, surnommé Beaubrun, que j’ai trouvé dans une troupe de campagne en
1688,
devait être son fils. 169. Il y a ici une erreur
ai trouvé dans une troupe de campagne en 1688, devait être son fils.
169.
Il y a ici une erreur : la Rodogune de Corneille
n fils. 169. Il y a ici une erreur : la Rodogune de Corneille est de
trois
ou quatre ans postérieure à la mort de Richelieu.
169. Il y a ici une erreur : la Rodogune de Corneille est de trois ou
quatre
ans postérieure à la mort de Richelieu. 170. Bar
eille est de trois ou quatre ans postérieure à la mort de Richelieu.
170.
Barthélémy Gourlin, sieur de Rosélis, débuta à la
arthélémy Gourlin, sieur de Rosélis, débuta à la Comédie-Française le
3o
mars 1688, se retira le 25 novembre 1701 et mouru
y Gourlin, sieur de Rosélis, débuta à la Comédie-Française le 3o mars
1688,
se retira le 25 novembre 1701 et mourut à Fontain
Rosélis, débuta à la Comédie-Française le 3o mars 1688, se retira le
25
novembre 1701 et mourut à Fontainebleau le 10 déc
buta à la Comédie-Française le 3o mars 1688, se retira le 25 novembre
1701
et mourut à Fontainebleau le 10 décembre 1718. Pa
mars 1688, se retira le 25 novembre 1701 et mourut à Fontainebleau le
10
décembre 1718. Palaprat faisait grand cas de ce c
e retira le 25 novembre 1701 et mourut à Fontainebleau le 10 décembre
1718.
Palaprat faisait grand cas de ce comédien. 171.
leau le 10 décembre 1718. Palaprat faisait grand cas de ce comédien.
171.
Augustin-Pierre Patissier de Châteauneuf, gagiste
n-Pierre Patissier de Châteauneuf, gagiste de la troupe de Molière en
1653,
puis en 1670, doit être le père de Mlle Duclos. I
sier de Châteauneuf, gagiste de la troupe de Molière en 1653, puis en
1670,
doit être le père de Mlle Duclos. Il est mort trè
en 1670, doit être le père de Mlle Duclos. Il est mort très âgé, vers
1720.
M. Paul Lacroix l’a confondu avec D. C. de Nanteu
s. Il est mort très âgé, vers 1720. M. Paul Lacroix l’a confondu avec
D.
C. de Nanteuil. 172. René Berthelot mourut le 4
Il est mort très âgé, vers 1720. M. Paul Lacroix l’a confondu avec D.
C.
de Nanteuil. 172. René Berthelot mourut le 4 nov
âgé, vers 1720. M. Paul Lacroix l’a confondu avec D. C. de Nanteuil.
172.
René Berthelot mourut le 4 novembre 1664. Il avai
x l’a confondu avec D. C. de Nanteuil. 172. René Berthelot mourut le
4
novembre 1664. Il avait épousé à Lyon, en 1653, M
ndu avec D. C. de Nanteuil. 172. René Berthelot mourut le 4 novembre
1664.
Il avait épousé à Lyon, en 1653, Marquise-Thérèse
René Berthelot mourut le 4 novembre 1664. Il avait épousé à Lyon, en
1653,
Marquise-Thérèse de Gorle. 173. Denis Clerselier
re 1664. Il avait épousé à Lyon, en 1653, Marquise-Thérèse de Gorle.
173.
Denis Clerselier de Nanteuil, inconnu jusqu’à ce
Denis Clerselier de Nanteuil, inconnu jusqu’à ce jour, était l’un des
quatorze
enfants de Claude Clerselier, traducteur, éditeur
’ai trouvé aussi à Rouen, à Metz et à Strasbourg. Il vivait encore en
1700.
174. 1669, en vers de huit pieds. 175. Anne du
uvé aussi à Rouen, à Metz et à Strasbourg. Il vivait encore en 1700.
174.
1669, en vers de huit pieds. 175. Anne du Pougea
ussi à Rouen, à Metz et à Strasbourg. Il vivait encore en 1700. 174.
1669,
en vers de huit pieds. 175. Anne du Pougeait, fe
etz et à Strasbourg. Il vivait encore en 1700. 174. 1669, en vers de
huit
pieds. 175. Anne du Pougeait, femme de François
sbourg. Il vivait encore en 1700. 174. 1669, en vers de huit pieds.
175.
Anne du Pougeait, femme de François Chastellet, s
Chastellet, sieur de Beauchasteau, mourut subitement à Versailles, le
4
février 1683. (Moliériste, VIII, 141.) 176. Adri
, sieur de Beauchasteau, mourut subitement à Versailles, le 4 février
1683.
(Moliériste, VIII, 141.) 176. Adrien Desbarres,
teau, mourut subitement à Versailles, le 4 février 1683. (Moliériste,
VIII
, 141.) 176. Adrien Desbarres, dit d’Orgemont, s’
mourut subitement à Versailles, le 4 février 1683. (Moliériste, VIII,
141.
) 176. Adrien Desbarres, dit d’Orgemont, s’intitu
subitement à Versailles, le 4 février 1683. (Moliériste, VIII, 141.)
176.
Adrien Desbarres, dit d’Orgemont, s’intitulait en
, VIII, 141.) 176. Adrien Desbarres, dit d’Orgemont, s’intitulait en
1664
comédien de M. de Vendôme. 177. En 1637. 178. M
res, dit d’Orgemont, s’intitulait en 1664 comédien de M. de Vendôme.
177.
En 1637. 178. Mlle Guiot passa au théâtre de Gué
d’Orgemont, s’intitulait en 1664 comédien de M. de Vendôme. 177. En
1637.
178. Mlle Guiot passa au théâtre de Guénégaud dè
mont, s’intitulait en 1664 comédien de M. de Vendôme. 177. En 1637.
178.
Mlle Guiot passa au théâtre de Guénégaud dès 1673
me. 177. En 1637. 178. Mlle Guiot passa au théâtre de Guénégaud dès
1673.
179. Le 14 avril 1685. 180. Six ans au contrôle
7. En 1637. 178. Mlle Guiot passa au théâtre de Guénégaud dès 1673.
179.
Le 14 avril 1685. 180. Six ans au contrôle de la
37. 178. Mlle Guiot passa au théâtre de Guénégaud dès 1673. 179. Le
14
avril 1685. 180. Six ans au contrôle de la recet
Mlle Guiot passa au théâtre de Guénégaud dès 1673. 179. Le 14 avril
1685.
180. Six ans au contrôle de la recette, à 3 livr
uiot passa au théâtre de Guénégaud dès 1673. 179. Le 14 avril 1685.
180.
Six ans au contrôle de la recette, à 3 livres par
passa au théâtre de Guénégaud dès 1673. 179. Le 14 avril 1685. 180.
Six
ans au contrôle de la recette, à 3 livres par jou
3. 179. Le 14 avril 1685. 180. Six ans au contrôle de la recette, à
3
livres par jour. 181. Le 3o juillet 1691, des su
1685. 180. Six ans au contrôle de la recette, à 3 livres par jour.
181.
Le 3o juillet 1691, des suites d’une chute de che
180. Six ans au contrôle de la recette, à 3 livres par jour. 181. Le
3o
juillet 1691, des suites d’une chute de cheval.
s au contrôle de la recette, à 3 livres par jour. 181. Le 3o juillet
1691,
des suites d’une chute de cheval. 182. Il y eut
ar jour. 181. Le 3o juillet 1691, des suites d’une chute de cheval.
182.
Il y eut à ce sujet un long et curieux procès, qu
t curieux procès, que nous raconterons ailleurs, avec les héritiers.
183.
Edme Villequin était né le 24 octobre 1607, à Fer
terons ailleurs, avec les héritiers. 183. Edme Villequin était né le
24
octobre 1607, à Ferrière-en-Brie. 184. A la mort
eurs, avec les héritiers. 183. Edme Villequin était né le 24 octobre
1607,
à Ferrière-en-Brie. 184. A la mort de ce dernier
183. Edme Villequin était né le 24 octobre 1607, à Ferrière-en-Brie.
184.
A la mort de ce dernier, en 1664. 185. Il mourut
4 octobre 1607, à Ferrière-en-Brie. 184. A la mort de ce dernier, en
1664.
185. Il mourut le 9 mars 1676. 186. Pierre Le M
re 1607, à Ferrière-en-Brie. 184. A la mort de ce dernier, en 1664.
185.
Il mourut le 9 mars 1676. 186. Pierre Le Messier
e-en-Brie. 184. A la mort de ce dernier, en 1664. 185. Il mourut le
9
mars 1676. 186. Pierre Le Messier mourut en janv
ie. 184. A la mort de ce dernier, en 1664. 185. Il mourut le 9 mars
1676.
186. Pierre Le Messier mourut en janvier 1670.
4. A la mort de ce dernier, en 1664. 185. Il mourut le 9 mars 1676.
186.
Pierre Le Messier mourut en janvier 1670. 187. E
. Il mourut le 9 mars 1676. 186. Pierre Le Messier mourut en janvier
1670.
187. En 1643. 188. Sieur du Bignon, était avec
urut le 9 mars 1676. 186. Pierre Le Messier mourut en janvier 1670.
187.
En 1643. 188. Sieur du Bignon, était avec sa fem
9 mars 1676. 186. Pierre Le Messier mourut en janvier 1670. 187. En
1643.
188. Sieur du Bignon, était avec sa femme à Roue
1676. 186. Pierre Le Messier mourut en janvier 1670. 187. En 1643.
188.
Sieur du Bignon, était avec sa femme à Rouen en 1
187. En 1643. 188. Sieur du Bignon, était avec sa femme à Rouen en
1665
et en 1670. 189. Devenue veuve (25 juillet 1696)
643. 188. Sieur du Bignon, était avec sa femme à Rouen en 1665 et en
1670.
189. Devenue veuve (25 juillet 1696), elle se re
88. Sieur du Bignon, était avec sa femme à Rouen en 1665 et en 1670.
189.
Devenue veuve (25 juillet 1696), elle se retira a
était avec sa femme à Rouen en 1665 et en 1670. 189. Devenue veuve (
25
juillet 1696), elle se retira au couvent d’Angoul
sa femme à Rouen en 1665 et en 1670. 189. Devenue veuve (25 juillet
1696
), elle se retira au couvent d’Angoulême, puis à S
puis au couvent de Rozoy-en-Brie, et revint à Paris où elle mourut en
1709.
190. Où l’on entretenait, « depuis plusieurs ann
couvent de Rozoy-en-Brie, et revint à Paris où elle mourut en 1709.
190.
Où l’on entretenait, « depuis plusieurs années, u
nt admirablement leurs rôles ». (Chappuzeau, l’Allemagne protestante,
1672.
) 191. Nicolas Drouin, dit Dorimond, épousa Marie
ablement leurs rôles ». (Chappuzeau, l’Allemagne protestante, 1672.)
191.
Nicolas Drouin, dit Dorimond, épousa Marie Du Mon
Drouin, dit Dorimond, épousa Marie Du Mont, qui, devenue veuve avant
1670,
fut plus connue sous le nom de son second mari, A
vant 1670, fut plus connue sous le nom de son second mari, Auzillon.
192.
Et. 193. Cette pièce est de Chappuzeau. 194. Tr
fut plus connue sous le nom de son second mari, Auzillon. 192. Et.
193.
Cette pièce est de Chappuzeau. 194. Trois actes
econd mari, Auzillon. 192. Et. 193. Cette pièce est de Chappuzeau.
194.
Trois actes en vers, Rouen, 1692. 195. Pierre Au
mari, Auzillon. 192. Et. 193. Cette pièce est de Chappuzeau. 194.
Trois
actes en vers, Rouen, 1692. 195. Pierre Auzillon
193. Cette pièce est de Chappuzeau. 194. Trois actes en vers, Rouen,
1692.
195. Pierre Auzillon, de Montpellier, guidon de
tte pièce est de Chappuzeau. 194. Trois actes en vers, Rouen, 1692.
195.
Pierre Auzillon, de Montpellier, guidon de la com
de Montpellier, guidon de la compagnie du prévôt de l’Ile-de-France.
196.
On lui donna sa retraite à Pâques 1679 : on ne vo
du prévôt de l’Ile-de-France. 196. On lui donna sa retraite à Pâques
1679
: on ne voulut lui accorder que 750 livres de pen
n lui donna sa retraite à Pâques 1679 : on ne voulut lui accorder que
750
livres de pension. Mais elle fit un procès à la C
Mais elle fit un procès à la Comédie et le gagna. Il fallut lui payer
1,000
livres jusqu’à sa mort arrivée le 6 juin 1693. (M
le gagna. Il fallut lui payer 1,000 livres jusqu’à sa mort arrivée le
6
juin 1693. (Moliériste, VIII, 54.) 197. Antoine
a. Il fallut lui payer 1,000 livres jusqu’à sa mort arrivée le 6 juin
1693.
(Moliériste, VIII, 54.) 197. Antoine Jacob, fils
yer 1,000 livres jusqu’à sa mort arrivée le 6 juin 1693. (Moliériste,
VIII
, 54.) 197. Antoine Jacob, fils de Zacharie Jacob
000 livres jusqu’à sa mort arrivée le 6 juin 1693. (Moliériste, VIII,
54.
) 197. Antoine Jacob, fils de Zacharie Jacob et d
vres jusqu’à sa mort arrivée le 6 juin 1693. (Moliériste, VIII, 54.)
197.
Antoine Jacob, fils de Zacharie Jacob et de Jeann
eanne de La Chappe, ne fut pas comédien, mais avocat au Parlement. »
198.
Le vendredi 14 janvier. 199. L’Impromptu de l’Hô
e, ne fut pas comédien, mais avocat au Parlement. » 198. Le vendredi
14
janvier. 199. L’Impromptu de l’Hôtel de Condé, 1
comédien, mais avocat au Parlement. » 198. Le vendredi 14 janvier.
199.
L’Impromptu de l’Hôtel de Condé, 1664, réponse à
198. Le vendredi 14 janvier. 199. L’Impromptu de l’Hôtel de Condé,
1664,
réponse à l’Impromptu de Versailles. 200. Nouvel
mptu de l’Hôtel de Condé, 1664, réponse à l’Impromptu de Versailles.
200.
Nouvelles tragi-comiques de Scarron, t. I. 201.
mpromptu de Versailles. 200. Nouvelles tragi-comiques de Scarron, t.
I
. 201. C’est-à-dire sept ans après la mort de Mo
ptu de Versailles. 200. Nouvelles tragi-comiques de Scarron, t. I.
201.
C’est-à-dire sept ans après la mort de Molière ;
e sept ans après la mort de Molière ; cette distribution est celle de
1680
: MM. Rosimond. Arnolphe. La Grange. Horace. Ve
. Du Croisy. Oronte. Mlles Raisin. Agnès. La Grange. Georgette.
202.
Le mardi 26. 203. Le 13, étant un lundi, n’était
Oronte. Mlles Raisin. Agnès. La Grange. Georgette. 202. Le mardi
26.
203. Le 13, étant un lundi, n’était pas jour de
e. Mlles Raisin. Agnès. La Grange. Georgette. 202. Le mardi 26.
203.
Le 13, étant un lundi, n’était pas jour de représ
s Raisin. Agnès. La Grange. Georgette. 202. Le mardi 26. 203. Le
13,
étant un lundi, n’était pas jour de représentatio
203. Le 13, étant un lundi, n’était pas jour de représentation. C’est
12
qu’il faut lire. 204. Lisez 33. 205. Mémoires d
lundi, n’était pas jour de représentation. C’est 12 qu’il faut lire.
204.
Lisez 33. 205. Mémoires de La Serre, 1734 206.
ait pas jour de représentation. C’est 12 qu’il faut lire. 204. Lisez
33.
205. Mémoires de La Serre, 1734 206. Ballet du
as jour de représentation. C’est 12 qu’il faut lire. 204. Lisez 33.
205.
Mémoires de La Serre, 1734 206. Ballet du Roy.
C’est 12 qu’il faut lire. 204. Lisez 33. 205. Mémoires de La Serre,
1734
206. Ballet du Roy. 207. A Versailles. 208. Le
12 qu’il faut lire. 204. Lisez 33. 205. Mémoires de La Serre, 1734
206.
Ballet du Roy. 207. A Versailles. 208. Le vendr
204. Lisez 33. 205. Mémoires de La Serre, 1734 206. Ballet du Roy.
207.
A Versailles. 208. Le vendredi 15 février 1664.
Mémoires de La Serre, 1734 206. Ballet du Roy. 207. A Versailles.
208.
Le vendredi 15 février 1664. 209. Avec le ballet
erre, 1734 206. Ballet du Roy. 207. A Versailles. 208. Le vendredi
15
février 1664. 209. Avec le ballet et les ornemen
206. Ballet du Roy. 207. A Versailles. 208. Le vendredi 15 février
1664.
209. Avec le ballet et les ornements (Reg. de La
allet du Roy. 207. A Versailles. 208. Le vendredi 15 février 1664.
209.
Avec le ballet et les ornements (Reg. de La Grang
4. 209. Avec le ballet et les ornements (Reg. de La Grange, p. 62).
210.
Il n’y a pas, comme on sait, de « scène des deux
La Grange, p. 62). 210. Il n’y a pas, comme on sait, de « scène des
deux
philosophes », mais une scène entre Sganarelle et
re Sganarelle et Pancrace, une autre entre Sganarelle et Marphurius.
211.
Pancrace, Marphurius, Geronimo, Sganarelle; premi
imo, Sganarelle; première bohémienne, Dorimène, deuxième bohémienne.
212.
Celle de 1734 (in-4°) ou de 1739 (in-12). 213. P
e; première bohémienne, Dorimène, deuxième bohémienne. 212. Celle de
1734
(in-4°) ou de 1739 (in-12). 213. Presque tous.
nne, Dorimène, deuxième bohémienne. 212. Celle de 1734 (in-4°) ou de
1739
(in-12). 213. Presque tous. 214. Le dimanche 15
deuxième bohémienne. 212. Celle de 1734 (in-4°) ou de 1739 (in-12).
213.
Presque tous. 214. Le dimanche 15. 215. Le 13 a
212. Celle de 1734 (in-4°) ou de 1739 (in-12). 213. Presque tous.
214.
Le dimanche 15. 215. Le 13 août 1671, selon Jal.
734 (in-4°) ou de 1739 (in-12). 213. Presque tous. 214. Le dimanche
15.
215. Le 13 août 1671, selon Jal. 216. En 1643.
in-4°) ou de 1739 (in-12). 213. Presque tous. 214. Le dimanche 15.
215.
Le 13 août 1671, selon Jal. 216. En 1643. 217.
u de 1739 (in-12). 213. Presque tous. 214. Le dimanche 15. 215. Le
13
août 1671, selon Jal. 216. En 1643. 217. En 167
9 (in-12). 213. Presque tous. 214. Le dimanche 15. 215. Le 13 août
1671,
selon Jal. 216. En 1643. 217. En 1671. 218. Re
resque tous. 214. Le dimanche 15. 215. Le 13 août 1671, selon Jal.
216.
En 1643. 217. En 1671. 218. Regnault Petit-Jean
ous. 214. Le dimanche 15. 215. Le 13 août 1671, selon Jal. 216. En
1643.
217. En 1671. 218. Regnault Petit-Jean, beau-pè
14. Le dimanche 15. 215. Le 13 août 1671, selon Jal. 216. En 1643.
217.
En 1671. 218. Regnault Petit-Jean, beau-père de
imanche 15. 215. Le 13 août 1671, selon Jal. 216. En 1643. 217. En
1671.
218. Regnault Petit-Jean, beau-père de La Thoril
15. 215. Le 13 août 1671, selon Jal. 216. En 1643. 217. En 1671.
218.
Regnault Petit-Jean, beau-père de La Thorillière.
17. En 1671. 218. Regnault Petit-Jean, beau-père de La Thorillière.
219.
Le 10 septembre. 220. Alix Faviot, femme de Nico
671. 218. Regnault Petit-Jean, beau-père de La Thorillière. 219. Le
10
septembre. 220. Alix Faviot, femme de Nicolas de
ault Petit-Jean, beau-père de La Thorillière. 219. Le 10 septembre.
220.
Alix Faviot, femme de Nicolas de Vis ou Vintz, si
Faviot, femme de Nicolas de Vis ou Vintz, sieur des Œillets, née vers
1621,
morte le 25 octobre 1670. 221. C’est-à-dire alte
e Nicolas de Vis ou Vintz, sieur des Œillets, née vers 1621, morte le
25
octobre 1670. 221. C’est-à-dire alternativement
e Vis ou Vintz, sieur des Œillets, née vers 1621, morte le 25 octobre
1670.
221. C’est-à-dire alternativement jusqu’à la mor
u Vintz, sieur des Œillets, née vers 1621, morte le 25 octobre 1670.
221.
C’est-à-dire alternativement jusqu’à la mort de l
t jusqu’à la mort de la créatrice, soit pendant une année seulement.
222.
Il y avait seize mois que des Œillets était morte
t de la créatrice, soit pendant une année seulement. 222. Il y avait
seize
mois que des Œillets était morte, actrice de l’Hô
urgogne, quand l’ Ariane fut représentée sur le théâtre du Marais, le
4
mars 1672, pour la première fois. 223. 3 décembr
, quand l’ Ariane fut représentée sur le théâtre du Marais, le 4 mars
1672,
pour la première fois. 223. 3 décembre 1669. 22
tée sur le théâtre du Marais, le 4 mars 1672, pour la première fois.
223.
3 décembre 1669. 224. Né vers 1616, il fut d’abo
ur le théâtre du Marais, le 4 mars 1672, pour la première fois. 223.
3
décembre 1669. 224. Né vers 1616, il fut d’abord
re du Marais, le 4 mars 1672, pour la première fois. 223. 3 décembre
1669.
224. Né vers 1616, il fut d’abord comédien de ca
arais, le 4 mars 1672, pour la première fois. 223. 3 décembre 1669.
224.
Né vers 1616, il fut d’abord comédien de campagne
ars 1672, pour la première fois. 223. 3 décembre 1669. 224. Né vers
1616,
il fut d’abord comédien de campagne à Valence (Es
pagne à Valence (Espagne), puis directeur d’une troupe en Allemagne.
225.
Le 14 juillet; il était retiré depuis 1684. 226.
Valence (Espagne), puis directeur d’une troupe en Allemagne. 225. Le
14
juillet; il était retiré depuis 1684. 226. A par
’une troupe en Allemagne. 225. Le 14 juillet; il était retiré depuis
1684.
226. A partir de 1655, croit-on. 227. C’est-à-d
oupe en Allemagne. 225. Le 14 juillet; il était retiré depuis 1684.
226.
A partir de 1655, croit-on. 227. C’est-à-dire 16
. 225. Le 14 juillet; il était retiré depuis 1684. 226. A partir de
1655,
croit-on. 227. C’est-à-dire 1680. 228. Créé par
llet; il était retiré depuis 1684. 226. A partir de 1655, croit-on.
227.
C’est-à-dire 1680. 228. Créé par La Thorillière
iré depuis 1684. 226. A partir de 1655, croit-on. 227. C’est-à-dire
1680.
228. Créé par La Thorillière en 1668. 229. En 1
uis 1684. 226. A partir de 1655, croit-on. 227. C’est-à-dire 1680.
228.
Créé par La Thorillière en 1668. 229. En 1671 2
, croit-on. 227. C’est-à-dire 1680. 228. Créé par La Thorillière en
1668.
229. En 1671 230. Lisez : infidèles. 231. Repr
-on. 227. C’est-à-dire 1680. 228. Créé par La Thorillière en 1668.
229.
En 1671 230. Lisez : infidèles. 231. Représenté
7. C’est-à-dire 1680. 228. Créé par La Thorillière en 1668. 229. En
1671
230. Lisez : infidèles. 231. Représentée en jui
st-à-dire 1680. 228. Créé par La Thorillière en 1668. 229. En 1671
230.
Lisez : infidèles. 231. Représentée en juillet à
é par La Thorillière en 1668. 229. En 1671 230. Lisez : infidèles.
231.
Représentée en juillet à l’Hôtel de Bourgogne, im
les. 231. Représentée en juillet à l’Hôtel de Bourgogne, imprimée en
1680.
232. C’est-à-dire au commencement de 1680, puisq
31. Représentée en juillet à l’Hôtel de Bourgogne, imprimée en 1680.
232.
C’est-à-dire au commencement de 1680, puisque Rai
de Bourgogne, imprimée en 1680. 232. C’est-à-dire au commencement de
1680,
puisque Raisin et sa femme n’entrèrent à l’Hôtel
que Raisin et sa femme n’entrèrent à l’Hôtel de Bourgogne qu’en avril
1679
et que La Thorillière mourut le 27 juillet de l’a
l’Hôtel de Bourgogne qu’en avril 1679 et que La Thorillière mourut le
27
juillet de l’année suivante. Cette distribution n
r entrer au théâtre de Guénégaud, et non pas à l’Hôtel de Bourgogne.
233.
Représentée en septembre, imprimée en 1673. 234.
s à l’Hôtel de Bourgogne. 233. Représentée en septembre, imprimée en
1673.
234. Cette date est celle de la première édition
ôtel de Bourgogne. 233. Représentée en septembre, imprimée en 1673.
234.
Cette date est celle de la première édition : le
emière édition : le Cocher suposé, ou le Cocher de Madrid, comédie en
1
acte, avec divertissement, fut représenté pour la
1 acte, avec divertissement, fut représenté pour la première fois le
9
juin 1684 : 13 représentations. 235. Première re
, avec divertissement, fut représenté pour la première fois le 9 juin
1684
: 13 représentations. 235. Première représentati
divertissement, fut représenté pour la première fois le 9 juin 1684 :
13
représentations. 235. Première représentation le
eprésenté pour la première fois le 9 juin 1684 : 13 représentations.
235.
Première représentation le 22 février. 236. 1641
le 9 juin 1684 : 13 représentations. 235. Première représentation le
22
février. 236. 1641. 237. Avec la collaboration
4 : 13 représentations. 235. Première représentation le 22 février.
236.
1641. 237. Avec la collaboration de Thomas Corne
3 représentations. 235. Première représentation le 22 février. 236.
1641.
237. Avec la collaboration de Thomas Corneille.
sentations. 235. Première représentation le 22 février. 236. 1641.
237.
Avec la collaboration de Thomas Corneille. 238.
évrier. 236. 1641. 237. Avec la collaboration de Thomas Corneille.
238.
Première et unique représentation le 5 juillet.
ation de Thomas Corneille. 238. Première et unique représentation le
5
juillet. 239. C’est le sous-titre d’une comédie
mas Corneille. 238. Première et unique représentation le 5 juillet.
239.
C’est le sous-titre d’une comédie de Dancourt, la
9. C’est le sous-titre d’une comédie de Dancourt, la Fête de village,
3
actes, représentée dix ans plus tard (13 juillet
e d’une comédie de Dancourt, la Fête de village, 3 actes, représentée
dix
ans plus tard (13 juillet 1700). 240. Première r
Dancourt, la Fête de village, 3 actes, représentée dix ans plus tard (
13
juillet 1700). 240. Première représentation le 2
a Fête de village, 3 actes, représentée dix ans plus tard (13 juillet
1700
). 240. Première représentation le 26 juillet 169
e village, 3 actes, représentée dix ans plus tard (13 juillet 1700).
240.
Première représentation le 26 juillet 1690. 241.
dix ans plus tard (13 juillet 1700). 240. Première représentation le
26
juillet 1690. 241. Antérieur à cette date, puisq
s tard (13 juillet 1700). 240. Première représentation le 26 juillet
1690.
241. Antérieur à cette date, puisque Chappuzeau
(13 juillet 1700). 240. Première représentation le 26 juillet 1690.
241.
Antérieur à cette date, puisque Chappuzeau le cit
let 1690. 241. Antérieur à cette date, puisque Chappuzeau le cite en
1674,
et qu’il existe une édition de 1670. (Voir le Cat
e, puisque Chappuzeau le cite en 1674, et qu’il existe une édition de
1670.
(Voir le Catalogue Soleinne.) 242. Un acte en ve
, et qu’il existe une édition de 1670. (Voir le Catalogue Soleinne.)
242.
Un acte en vers (non imprimée). 243. D’autres di
(Voir le Catalogue Soleinne.) 242. Un acte en vers (non imprimée).
243.
D’autres disent le 4 juin. 244. Le 31 mai 1680,
inne.) 242. Un acte en vers (non imprimée). 243. D’autres disent le
4
juin. 244. Le 31 mai 1680, 5 actes en vers (non
42. Un acte en vers (non imprimée). 243. D’autres disent le 4 juin.
244.
Le 31 mai 1680, 5 actes en vers (non imprimée).
cte en vers (non imprimée). 243. D’autres disent le 4 juin. 244. Le
31
mai 1680, 5 actes en vers (non imprimée). 245. A
vers (non imprimée). 243. D’autres disent le 4 juin. 244. Le 31 mai
1680,
5 actes en vers (non imprimée). 245. Attribuée a
non imprimée). 243. D’autres disent le 4 juin. 244. Le 31 mai 1680,
5
actes en vers (non imprimée). 245. Attribuée au
ent le 4 juin. 244. Le 31 mai 1680, 5 actes en vers (non imprimée).
245.
Attribuée au comédien Champmeslé par le Registre
245. Attribuée au comédien Champmeslé par le Registre de La Grange.
246.
Jean de La Chapelle, de l’Académie française. 24
re de La Grange. 246. Jean de La Chapelle, de l’Académie française.
247.
Claude Deschamps, sieur de Villiers, dit Philippi
it Normand. Il mourut aux Châteliers-Notre-Dame, près de Chartres, le
23
mai 1681. 248. Ou le Fils criminel, tragi-comédi
and. Il mourut aux Châteliers-Notre-Dame, près de Chartres, le 23 mai
1681.
248. Ou le Fils criminel, tragi-comédie en 5 act
mourut aux Châteliers-Notre-Dame, près de Chartres, le 23 mai 1681.
248.
Ou le Fils criminel, tragi-comédie en 5 actes tra
Chartres, le 23 mai 1681. 248. Ou le Fils criminel, tragi-comédie en
5
actes traduite de l’italien en français; Paris,
e en 5 actes traduite de l’italien en français; Paris, Ch. de Sercy,
1660,
in-12. 249. On croit que cette comédie en 1 acte
raduite de l’italien en français; Paris, Ch. de Sercy, 1660, in-12.
249.
On croit que cette comédie en 1 acte, en vers, au
Paris, Ch. de Sercy, 1660, in-12. 249. On croit que cette comédie en
1
acte, en vers, aurait été jouée en 1664 ; elle ne
9. On croit que cette comédie en 1 acte, en vers, aurait été jouée en
1664
; elle ne paraît pas avoir été imprimée. 250. Co
s, aurait été jouée en 1664 ; elle ne paraît pas avoir été imprimée.
250.
Comédie en 1 acte, en vers, représentée à l’Hôtel
uée en 1664 ; elle ne paraît pas avoir été imprimée. 250. Comédie en
1
acte, en vers, représentée à l’Hôtel de Bourgogne
250. Comédie en 1 acte, en vers, représentée à l’Hôtel de Bourgogne,
1662.
251. Comédie burlesque, 1 acte en vers, représen
omédie en 1 acte, en vers, représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1662.
251.
Comédie burlesque, 1 acte en vers, représentée à
s, représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1662. 251. Comédie burlesque,
1
acte en vers, représentée à l’Hôtel de Bourgogne,
omédie burlesque, 1 acte en vers, représentée à l’Hôtel de Bourgogne,
1660.
252. Jean Guyot, né vers 1649, n’était pas coméd
burlesque, 1 acte en vers, représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1660.
252.
Jean Guyot, né vers 1649, n’était pas comédien du
, représentée à l’Hôtel de Bourgogne, 1660. 252. Jean Guyot, né vers
1649,
n’était pas comédien du temps de Molière. Il fut
Il fut d’abord avocat au Parlement, et ne débuta à Paris qu’en avril
1680.
253. Le 7 février. 254. Nous n’avons pu précise
d’abord avocat au Parlement, et ne débuta à Paris qu’en avril 1680.
253.
Le 7 février. 254. Nous n’avons pu préciser cett
avocat au Parlement, et ne débuta à Paris qu’en avril 1680. 253. Le
7
février. 254. Nous n’avons pu préciser cette dat
arlement, et ne débuta à Paris qu’en avril 1680. 253. Le 7 février.
254.
Nous n’avons pu préciser cette date, les archives
ate, les archives de Dresde ayant été détruites par un bombardement.
255.
Charles de la Haye, dit Romainville, comédien de
. 255. Charles de la Haye, dit Romainville, comédien de campagne dès
1665
; je le trouve à cette date à Orléans, avec les C
Champmeslé. Sa femme, Élisabeth De Surlis, vivait encore à Dresde en
1724
CHAPITRE
III
. L’Honnête Homme. La débauche, l’avarice, l’im
nde que la vie du sage soit un effort pour se rendre semblable à Dieu
124,
ou plutôt qu’il obéisse au commandement du Christ
ent du Christ : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait
125.
» Ce n’est pas seulement en gros et dans les cir
haut degré, et l’a exprimée avec un suprême génie dans le Misanthrope
126.
Que ce drame sans action et sans dénouement soit,
etterie de Célimène, l’hypocrisie d’Arsinoé, la paresse vaniteuse des
deux
marquis, l’insouciance équivoque de Philinte, la
e, quand il en vient à vouloir perdre sa cause pour la beauté du fait
137.
Il a raison de refuser l’amitié banale d’Oronte ;
is loups, Traîtres, vous ne m’aurez de ma vie avec vous. ... Ce sont
vingt
mille francs qu’il m’en pourra coûter : Mais, pou
ps, Traîtres, vous ne m’aurez de ma vie avec vous. ... Ce sont vingt
mille
francs qu’il m’en pourra coûter : Mais, pour ving
... Ce sont vingt mille francs qu’il m’en pourra coûter : Mais, pour
vingt
mille francs, j’aurai droit de pester Contre l’i
e sont vingt mille francs qu’il m’en pourra coûter : Mais, pour vingt
mille
francs, j’aurai droit de pester Contre l’iniquit
é de la nature humaine, Et de nourrir pour elle une. immortelle haine
145.
[fin citation] Vous avez bien fait, Molière, de f
tresse infidèle, se sauve en un désert et fuit l’approche des humains
146,
oubliant que le devoir de l’homme de bien est de
emin dans le monde156 ! Comme il touche, dans la personne de Philinte
157,
cette indulgence équivoque bien différente du dév
, cette indulgence équivoque bien différente du dévouement de Cléante
158,
inspirée moins par bienveillance réelle que par p
s, sans travail ni but160 ! Toute la galerie de portraits des Fâcheux
161
est une revue de cette société raffinée et inoccu
lle ne fait pas clairement le mal. Nul n’échappe au fléau du ridicule
162
dont s’est armé Molière, ni le duelliste163, ni l
pas à les combattre175 : la liste en est longue, et comprend plus des
trois
quarts des personnages de Molière. Molière semble
de Ses pères, de se faire appeler M. de la Souche au lieu d’Arnolphe
178,
ou de vouloir, au risque de ruiner sa maison, dev
morale en séparant, dans les ouvrages de l’esprit, le bon or du faux
186,
et en frappant sans pitié les Scudéri, les Colin,
e à la santé morale des nations que leur littérature soit raisonnable
189.
C’est ainsi qu’un bon écrivain est un homme utile
des victoires et même de l’industrie, la gloire de l’esprit français
191.
Molière n’était-il pas encore l’utile auxiliair
tesque en la personne du docte Métaphraste et du révérencieux Bobinet
192
? Ne réclamait-il pas, avec toute la force du fou
tie, dans les scènes de la Jalousie du Barbouillé et du Mariage forcé
196,
qu’on doit conserver dans les archives de l’histo
sa vie, puisqu’elle commença avec sa première farce du Médecin volant
199,
et ne se termina que par la cérémonie du Malade i
ux une querelle de préséance202 ; contre ceux qui, après avoir saigné
quinze
fois 203 l’infortuné sujet de leur expérience ou
lle de préséance202 ; contre ceux qui, après avoir saigné quinze fois
203
l’infortuné sujet de leur expérience ou plutôt de
se composer cette perfection de la société polie, l’honnête homme.
124.
République, liv. VII. 125. Matth., chap. V, v.
ction de la société polie, l’honnête homme. 124. République, liv.
VII
. 125. Matth., chap. V, v. 48. 126. 1666. 127.
de la société polie, l’honnête homme. 124. République, liv. VII.
125.
Matth., chap. V, v. 48. 126. 1666. 127. Voir D.
, l’honnête homme. 124. République, liv. VII. 125. Matth., chap.
V
, v. 48. 126. 1666. 127. Voir D. Nisard, Histoir
nnête homme. 124. République, liv. VII. 125. Matth., chap. V, v.
48.
126. 1666. 127. Voir D. Nisard, Histoire de la
homme. 124. République, liv. VII. 125. Matth., chap. V, v. 48.
126.
1666. 127. Voir D. Nisard, Histoire de la littér
e. 124. République, liv. VII. 125. Matth., chap. V, v. 48. 126.
1666.
127. Voir D. Nisard, Histoire de la littérature
24. République, liv. VII. 125. Matth., chap. V, v. 48. 126. 1666.
127.
Voir D. Nisard, Histoire de la littérature frança
lique, liv. VII. 125. Matth., chap. V, v. 48. 126. 1666. 127. Voir
D.
Nisard, Histoire de la littérature française, liv
666. 127. Voir D. Nisard, Histoire de la littérature française, liv.
III
, chap. IX, § 4, le Misanthrope. 128. Fénelon, L
Voir D. Nisard, Histoire de la littérature française, liv. III, chap.
IX
, § 4, le Misanthrope. 128. Fénelon, Lettre à l’
. Nisard, Histoire de la littérature française, liv. III, chap. IX, §
4,
le Misanthrope. 128. Fénelon, Lettre à l’Académ
la littérature française, liv. III, chap. IX, § 4, le Misanthrope.
128.
Fénelon, Lettre à l’Académie française, VII. Voir
, § 4, le Misanthrope. 128. Fénelon, Lettre à l’Académie française,
VII
. Voir plus haut, chap. I, page 18, note 1. — J.-J
8. Fénelon, Lettre à l’Académie française, VII. Voir plus haut, chap.
I
, page 18, note 1. — J.-J. Rousseau : « Vous ne sa
on, Lettre à l’Académie française, VII. Voir plus haut, chap. I, page
18,
note 1. — J.-J. Rousseau : « Vous ne sauriez me n
e à l’Académie française, VII. Voir plus haut, chap. I, page 18, note
1.
— J.-J. Rousseau : « Vous ne sauriez me nier deux
hap. I, page 18, note 1. — J.-J. Rousseau : « Vous ne sauriez me nier
deux
choses, l’une qu’Alceste est dans cette pièce un
mbert surles spectacles. — Voir Laharpe, Cours de littérature, partie
II
, liv. I, chap. VI, sect. 3. 129. Le Tartuff
les spectacles. — Voir Laharpe, Cours de littérature, partie II, liv.
I
, chap. VI, sect. 3. 129. Le Tartuffe, act.
acles. — Voir Laharpe, Cours de littérature, partie II, liv. I, chap.
VI
, sect. 3. 129. Le Tartuffe, act. I, sc. VI
oir Laharpe, Cours de littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect.
3.
129. Le Tartuffe, act. I, sc. VI : Jama
harpe, Cours de littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect. 3.
129.
Le Tartuffe, act. I, sc. VI : Jamais contr
e, partie II, liv. I, chap. VI, sect. 3. 129. Le Tartuffe, act.
I
, sc. VI : Jamais contre on pécheur ils n’ont
ie II, liv. I, chap. VI, sect. 3. 129. Le Tartuffe, act. I, sc.
VI
: Jamais contre on pécheur ils n’ont d’acharn
nt d’acharnement ; Ils attachent leur haine an péché seulement.
130.
Le Misanthrope, act. II, sc. V, VII. 131. Id.,
ttachent leur haine an péché seulement. 130. Le Misanthrope, act.
II
, sc. V, VII. 131. Id., act. IV, sc. III ; act.
leur haine an péché seulement. 130. Le Misanthrope, act. II, sc.
V
, VII. 131. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc.
ur haine an péché seulement. 130. Le Misanthrope, act. II, sc. V,
VII
. 131. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II, I
ne an péché seulement. 130. Le Misanthrope, act. II, sc. V, VII.
131.
Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II, IV, V, V
ement. 130. Le Misanthrope, act. II, sc. V, VII. 131. Id., act.
IV
, sc. III ; act. V, sc. II, IV, V, VII. 132. Id.
130. Le Misanthrope, act. II, sc. V, VII. 131. Id., act. IV, sc.
III
; act. V, sc. II, IV, V, VII. 132. Id., act. IV
Misanthrope, act. II, sc. V, VII. 131. Id., act. IV, sc. III ; act.
V
, sc. II, IV, V, VII. 132. Id., act. IV, sc. I.
rope, act. II, sc. V, VII. 131. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc.
II
, IV, V, VII. 132. Id., act. IV, sc. I. 133. I
, act. II, sc. V, VII. 131. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II,
IV
, V, VII. 132. Id., act. IV, sc. I. 133. Id.,
t. II, sc. V, VII. 131. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II, IV,
V
, VII. 132. Id., act. IV, sc. I. 133. Id., act
II, sc. V, VII. 131. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II, IV, V,
VII
. 132. Id., act. IV, sc. I. 133. Id., act. I,
. V, VII. 131. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II, IV, V, VII.
132.
Id., act. IV, sc. I. 133. Id., act. I, sc. I.
Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II, IV, V, VII. 132. Id., act.
IV
, sc. I. 133. Id., act. I, sc. I. 134. Voir J.
t. IV, sc. III ; act. V, sc. II, IV, V, VII. 132. Id., act. IV, sc.
I
. 133. Id., act. I, sc. I. 134. Voir J. Tachere
V, sc. III ; act. V, sc. II, IV, V, VII. 132. Id., act. IV, sc. I.
133.
Id., act. I, sc. I. 134. Voir J. Tachereau, His
. V, sc. II, IV, V, VII. 132. Id., act. IV, sc. I. 133. Id., act.
I
, sc. I. 134. Voir J. Tachereau, Histoire de la v
. II, IV, V, VII. 132. Id., act. IV, sc. I. 133. Id., act. I, sc.
I
. 134. Voir J. Tachereau, Histoire de la vie et d
, IV, V, VII. 132. Id., act. IV, sc. I. 133. Id., act. I, sc. I.
134.
Voir J. Tachereau, Histoire de la vie et des ouvr
oir J. Tachereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
II
; A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Moliè
Molière, liv. II ; A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière,
2e
partie ; F. Génin, Vie de Molière, chap. IV. 135
es sur la vie de Molière, 2e partie ; F. Génin, Vie de Molière, chap.
IV
. 135. Le Misanthrope, act. I, sc. I 136. Id.,
r la vie de Molière, 2e partie ; F. Génin, Vie de Molière, chap. IV.
135.
Le Misanthrope, act. I, sc. I 136. Id., act. I
tie ; F. Génin, Vie de Molière, chap. IV. 135. Le Misanthrope, act.
I
, sc. I 136. Id., act. I, sc. I. 137. Id., act
. Génin, Vie de Molière, chap. IV. 135. Le Misanthrope, act. I, sc.
I
136. Id., act. I, sc. I. 137. Id., act. I, sc
énin, Vie de Molière, chap. IV. 135. Le Misanthrope, act. I, sc. I
136.
Id., act. I, sc. I. 137. Id., act. I, sc. I.
ière, chap. IV. 135. Le Misanthrope, act. I, sc. I 136. Id., act.
I
, sc. I. 137. Id., act. I, sc. I. 138. Id., ac
hap. IV. 135. Le Misanthrope, act. I, sc. I 136. Id., act. I, sc.
I
. 137. Id., act. I, sc. I. 138. Id., act. I, s
IV. 135. Le Misanthrope, act. I, sc. I 136. Id., act. I, sc. I.
137.
Id., act. I, sc. I. 138. Id., act. I, sc. II,
isanthrope, act. I, sc. I 136. Id., act. I, sc. I. 137. Id., act.
I
, sc. I. 138. Id., act. I, sc. II, VII. 139. L
ope, act. I, sc. I 136. Id., act. I, sc. I. 137. Id., act. I, sc.
I
. 138. Id., act. I, sc. II, VII. 139. Le Misan
act. I, sc. I 136. Id., act. I, sc. I. 137. Id., act. I, sc. I.
138.
Id., act. I, sc. II, VII. 139. Le Misanthrope,
136. Id., act. I, sc. I. 137. Id., act. I, sc. I. 138. Id., act.
I
, sc. II, VII. 139. Le Misanthrope, act. I, sc.
d., act. I, sc. I. 137. Id., act. I, sc. I. 138. Id., act. I, sc.
II
, VII. 139. Le Misanthrope, act. I, sc. I ; act.
act. I, sc. I. 137. Id., act. I, sc. I. 138. Id., act. I, sc. II,
VII
. 139. Le Misanthrope, act. I, sc. I ; act. II,
, sc. I. 137. Id., act. I, sc. I. 138. Id., act. I, sc. II, VII.
139.
Le Misanthrope, act. I, sc. I ; act. II, sc. I.
, sc. I. 138. Id., act. I, sc. II, VII. 139. Le Misanthrope, act.
I
, sc. I ; act. II, sc. I. 140. Id., act. IV, sc.
. 138. Id., act. I, sc. II, VII. 139. Le Misanthrope, act. I, sc.
I
; act. II, sc. I. 140. Id., act. IV, sc. II, II
Id., act. I, sc. II, VII. 139. Le Misanthrope, act. I, sc. I ; act.
II
, sc. I. 140. Id., act. IV, sc. II, III. 141.
. I, sc. II, VII. 139. Le Misanthrope, act. I, sc. I ; act. II, sc.
I
. 140. Id., act. IV, sc. II, III. 141. Id., ac
sc. II, VII. 139. Le Misanthrope, act. I, sc. I ; act. II, sc. I.
140.
Id., act. IV, sc. II, III. 141. Id., act. V, s
39. Le Misanthrope, act. I, sc. I ; act. II, sc. I. 140. Id., act.
IV
, sc. II, III. 141. Id., act. V, sc. VII. 142.
Misanthrope, act. I, sc. I ; act. II, sc. I. 140. Id., act. IV, sc.
II
, III. 141. Id., act. V, sc. VII. 142. Id., ac
nthrope, act. I, sc. I ; act. II, sc. I. 140. Id., act. IV, sc. II,
III
. 141. Id., act. V, sc. VII. 142. Id., act. IV
e, act. I, sc. I ; act. II, sc. I. 140. Id., act. IV, sc. II, III.
141.
Id., act. V, sc. VII. 142. Id., act. IV, sc. I
; act. II, sc. I. 140. Id., act. IV, sc. II, III. 141. Id., act.
V
, sc. VII. 142. Id., act. IV, sc. III.• 143. I
II, sc. I. 140. Id., act. IV, sc. II, III. 141. Id., act. V, sc.
VII
. 142. Id., act. IV, sc. III.• 143. Id., act.
c. I. 140. Id., act. IV, sc. II, III. 141. Id., act. V, sc. VII.
142.
Id., act. IV, sc. III.• 143. Id., act. IV, sc.
, act. IV, sc. II, III. 141. Id., act. V, sc. VII. 142. Id., act.
IV
, sc. III.• 143. Id., act. IV, sc. I. 144. Le
V, sc. II, III. 141. Id., act. V, sc. VII. 142. Id., act. IV, sc.
III
.• 143. Id., act. IV, sc. I. 144. Le Misanthro
II, III. 141. Id., act. V, sc. VII. 142. Id., act. IV, sc. III.•
143.
Id., act. IV, sc. I. 144. Le Misanthrope, act.
Id., act. V, sc. VII. 142. Id., act. IV, sc. III.• 143. Id., act.
IV
, sc. I. 144. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 14
. V, sc. VII. 142. Id., act. IV, sc. III.• 143. Id., act. IV, sc.
I
. 144. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 145. Id.
sc. VII. 142. Id., act. IV, sc. III.• 143. Id., act. IV, sc. I.
144.
Le Misanthrope, act. I, sc. I. 145. Id., act.
IV, sc. III.• 143. Id., act. IV, sc. I. 144. Le Misanthrope, act.
I
, sc. I. 145. Id., act. V, sc. I. 146. Id, act
III.• 143. Id., act. IV, sc. I. 144. Le Misanthrope, act. I, sc.
I
. 145. Id., act. V, sc. I. 146. Id, act. I, sc
.• 143. Id., act. IV, sc. I. 144. Le Misanthrope, act. I, sc. I.
145.
Id., act. V, sc. I. 146. Id, act. I, sc. I. 1
ct. IV, sc. I. 144. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 145. Id., act.
V
, sc. I. 146. Id, act. I, sc. I. 147. Le Misan
sc. I. 144. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 145. Id., act. V, sc.
I
. 146. Id, act. I, sc. I. 147. Le Misanthrope,
I. 144. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 145. Id., act. V, sc. I.
146.
Id, act. I, sc. I. 147. Le Misanthrope, act. I
isanthrope, act. I, sc. I. 145. Id., act. V, sc. I. 146. Id, act.
I
, sc. I. 147. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 14
ope, act. I, sc. I. 145. Id., act. V, sc. I. 146. Id, act. I, sc.
I
. 147. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 148. Sénè
act. I, sc. I. 145. Id., act. V, sc. I. 146. Id, act. I, sc. I.
147.
Le Misanthrope, act. I, sc. I. 148. Sénèque, Ep
act. V, sc. I. 146. Id, act. I, sc. I. 147. Le Misanthrope, act.
I
, sc. I. 148. Sénèque, Epist., LIX, 14 : « Jam sa
, sc. I. 146. Id, act. I, sc. I. 147. Le Misanthrope, act. I, sc.
I
. 148. Sénèque, Epist., LIX, 14 : « Jam sapiens i
. I. 146. Id, act. I, sc. I. 147. Le Misanthrope, act. I, sc. I.
148.
Sénèque, Epist., LIX, 14 : « Jam sapiens ille est
, sc. I. 147. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 148. Sénèque, Epist.,
LIX
, 14 : « Jam sapiens ille est, qui plenus gaudio,
I. 147. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 148. Sénèque, Epist., LIX,
14
: « Jam sapiens ille est, qui plenus gaudio, hila
audio, hilaris et placidus, inconcussus, cum diis ex pari vivit. »
149.
Lucrèce, De rerum natura, lib. II, v. 7 :
, cum diis ex pari vivit. » 149. Lucrèce, De rerum natura, lib.
II
, v. 7 : Edita doctrina sapientum templa seren
iis ex pari vivit. » 149. Lucrèce, De rerum natura, lib. II, v.
7
: Edita doctrina sapientum templa serena,
rina sapientum templa serena, Despicere unde queas alios, etc.
150.
Matth., chap. XXVI, v. 75. — « Mais le coup de
serena, Despicere unde queas alios, etc. 150. Matth., chap.
XXVI
, v. 75. — « Mais le coup de maître est d’avoir fa
Despicere unde queas alios, etc. 150. Matth., chap. XXVI, v.
75.
— « Mais le coup de maître est d’avoir fait-Alces
Ce vers renferme toute la pièce. » F. Génin, Vie de Molière, chap.
IV
. 151. Le Misanthrope, act. IV, sc. 1. 152. I
vers renferme toute la pièce. » F. Génin, Vie de Molière, chap. IV.
151.
Le Misanthrope, act. IV, sc. 1. 152. Id., act.
e. » F. Génin, Vie de Molière, chap. IV. 151. Le Misanthrope, act.
IV
, sc. 1. 152. Id., act. V, sc. VIII 153. La Roc
Génin, Vie de Molière, chap. IV. 151. Le Misanthrope, act. IV, sc.
1.
152. Id., act. V, sc. VIII 153. La Rochefoucau
n, Vie de Molière, chap. IV. 151. Le Misanthrope, act. IV, sc. 1.
152.
Id., act. V, sc. VIII 153. La Rochefoucauld, Ma
e, chap. IV. 151. Le Misanthrope, act. IV, sc. 1. 152. Id., act.
V
, sc. VIII 153. La Rochefoucauld, Maximes. 154.
. IV. 151. Le Misanthrope, act. IV, sc. 1. 152. Id., act. V, sc.
VIII
153. La Rochefoucauld, Maximes. 154. Auger, Di
151. Le Misanthrope, act. IV, sc. 1. 152. Id., act. V, sc. VIII
153.
La Rochefoucauld, Maximes. 154. Auger, Discours
c. 1. 152. Id., act. V, sc. VIII 153. La Rochefoucauld, Maximes.
154.
Auger, Discours préliminaire aux Œuvres de Molièr
, Maximes. 154. Auger, Discours préliminaire aux Œuvres de Molière,
1819.
155. Le Misanthrope, act. II, sc. V. 156. Les
es. 154. Auger, Discours préliminaire aux Œuvres de Molière, 1819.
155.
Le Misanthrope, act. II, sc. V. 156. Les Préci
préliminaire aux Œuvres de Molière, 1819. 155. Le Misanthrope, act.
II
, sc. V. 156. Les Précieuses ridicules, les Fâch
aire aux Œuvres de Molière, 1819. 155. Le Misanthrope, act. II, sc.
V.
156. Les Précieuses ridicules, les Fâcheux, la
aux Œuvres de Molière, 1819. 155. Le Misanthrope, act. II, sc. V.
156.
Les Précieuses ridicules, les Fâcheux, la Critiq
’Impromptu de Versailles, le Misanthrope, le Bourgeois gentilhomme.
157.
Le Misanthrope, act. I, sc. I. 158. Le Tartuff
e Misanthrope, le Bourgeois gentilhomme. 157. Le Misanthrope, act.
I
, sc. I. 158. Le Tartuffe. Voir plus loin, chap.
thrope, le Bourgeois gentilhomme. 157. Le Misanthrope, act. I, sc.
I
. 158. Le Tartuffe. Voir plus loin, chap. XI. 1
pe, le Bourgeois gentilhomme. 157. Le Misanthrope, act. I, sc. I.
158.
Le Tartuffe. Voir plus loin, chap. XI. 159. Le
Misanthrope, act. I, sc. I. 158. Le Tartuffe. Voir plus loin, chap.
XI
. 159. Le principal mérite du Philinte de Molière
thrope, act. I, sc. I. 158. Le Tartuffe. Voir plus loin, chap. XI.
159.
Le principal mérite du Philinte de Molière par Fa
râce à toute la charité ; Philinte tombe dans l’égoïsme indigne. Voir
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
e indigne. Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
IV
, chap. VI, § 6, Fabre d’Eglantine, le Philinte de
Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. IV, chap.
VI
, § 6, Fabre d’Eglantine, le Philinte de Molière.
D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. IV, chap. VI, §
6,
Fabre d’Eglantine, le Philinte de Molière. 160.
liv. IV, chap. VI, § 6, Fabre d’Eglantine, le Philinte de Molière.
160.
Voir plus loin, chap. X. 161. 1661. — Voir A. Ba
bre d’Eglantine, le Philinte de Molière. 160. Voir plus loin, chap.
X.
161. 1661. — Voir A. Bazin, Notes historiques su
d’Eglantine, le Philinte de Molière. 160. Voir plus loin, chap. X.
161.
1661. — Voir A. Bazin, Notes historiques sur la v
antine, le Philinte de Molière. 160. Voir plus loin, chap. X. 161.
1661.
— Voir A. Bazin, Notes historiques sur la vie de
161. 1661. — Voir A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière,
2e
part. 162. La Bruyère, Les Caractères, Dès ouvra
. — Voir A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, 2e part.
162.
La Bruyère, Les Caractères, Dès ouvrages de l’esp
e part. 162. La Bruyère, Les Caractères, Dès ouvrages de l’esprit.
163.
Voir plus haut, chap. II, p. 39. 164. Les Préci
es Caractères, Dès ouvrages de l’esprit. 163. Voir plus haut, chap.
II
, p. 39. 164. Les Précieuses ridicules, sc. X.
s, Dès ouvrages de l’esprit. 163. Voir plus haut, chap. II, p. 39.
164.
Les Précieuses ridicules, sc. X. 165. Les Fâch
Voir plus haut, chap. II, p. 39. 164. Les Précieuses ridicules, sc.
X.
165. Les Fâcheux, act. I, sc. V. 166. Id., ac
plus haut, chap. II, p. 39. 164. Les Précieuses ridicules, sc. X.
165.
Les Fâcheux, act. I, sc. V. 166. Id., act. II,
39. 164. Les Précieuses ridicules, sc. X. 165. Les Fâcheux, act.
I
, sc. V. 166. Id., act. II, sc. II. — Voir Boile
64. Les Précieuses ridicules, sc. X. 165. Les Fâcheux, act. I, sc.
V.
166. Id., act. II, sc. II. — Voir Boileau, Sati
Les Précieuses ridicules, sc. X. 165. Les Fâcheux, act. I, sc. V.
166.
Id., act. II, sc. II. — Voir Boileau, Satire X,
ridicules, sc. X. 165. Les Fâcheux, act. I, sc. V. 166. Id., act.
II
, sc. II. — Voir Boileau, Satire X, 216. 167. Id
s, sc. X. 165. Les Fâcheux, act. I, sc. V. 166. Id., act. II, sc.
II
. — Voir Boileau, Satire X, 216. 167. Id., act.
x, act. I, sc. V. 166. Id., act. II, sc. II. — Voir Boileau, Satire
X
, 216. 167. Id., act. II, sc. VII. 168. L’Etou
act. I, sc. V. 166. Id., act. II, sc. II. — Voir Boileau, Satire X,
216.
167. Id., act. II, sc. VII. 168. L’Etourdi (1
, sc. V. 166. Id., act. II, sc. II. — Voir Boileau, Satire X, 216.
167.
Id., act. II, sc. VII. 168. L’Etourdi (1653),
Id., act. II, sc. II. — Voir Boileau, Satire X, 216. 167. Id., act.
II
, sc. VII. 168. L’Etourdi (1653), act. I, sc. VI
. II, sc. II. — Voir Boileau, Satire X, 216. 167. Id., act. II, sc.
VII
. 168. L’Etourdi (1653), act. I, sc. VI, IX ; ac
sc. II. — Voir Boileau, Satire X, 216. 167. Id., act. II, sc. VII.
168.
L’Etourdi (1653), act. I, sc. VI, IX ; act. II,
ileau, Satire X, 216. 167. Id., act. II, sc. VII. 168. L’Etourdi (
1653
), act. I, sc. VI, IX ; act. II, sc. VI. — Le Dépi
e X, 216. 167. Id., act. II, sc. VII. 168. L’Etourdi (1653), act.
I
, sc. VI, IX ; act. II, sc. VI. — Le Dépit amoureu
6. 167. Id., act. II, sc. VII. 168. L’Etourdi (1653), act. I, sc.
VI
, IX ; act. II, sc. VI. — Le Dépit amoureux (1654)
167. Id., act. II, sc. VII. 168. L’Etourdi (1653), act. I, sc. VI,
IX
; act. II, sc. VI. — Le Dépit amoureux (1654), ac
act. II, sc. VII. 168. L’Etourdi (1653), act. I, sc. VI, IX ; act.
II
, sc. VI. — Le Dépit amoureux (1654), act. II, sc.
, sc. VII. 168. L’Etourdi (1653), act. I, sc. VI, IX ; act. II, sc.
VI
. — Le Dépit amoureux (1654), act. II, sc. VI ; ac
di (1653), act. I, sc. VI, IX ; act. II, sc. VI. — Le Dépit amoureux (
1654
), act. II, sc. VI ; act. III, sc. III, IV, V. 16
ct. I, sc. VI, IX ; act. II, sc. VI. — Le Dépit amoureux (1654), act.
II
, sc. VI ; act. III, sc. III, IV, V. 169. Le Mar
c. VI, IX ; act. II, sc. VI. — Le Dépit amoureux (1654), act. II, sc.
VI
; act. III, sc. III, IV, V. 169. Le Mariage for
; act. II, sc. VI. — Le Dépit amoureux (1654), act. II, sc. VI ; act.
III
, sc. III, IV, V. 169. Le Mariage forcé (1664),
, sc. VI. — Le Dépit amoureux (1654), act. II, sc. VI ; act. III, sc.
III
, IV, V. 169. Le Mariage forcé (1664), sc. XIV,
VI. — Le Dépit amoureux (1654), act. II, sc. VI ; act. III, sc. III,
IV
, V. 169. Le Mariage forcé (1664), sc. XIV, XVII
— Le Dépit amoureux (1654), act. II, sc. VI ; act. III, sc. III, IV,
V.
169. Le Mariage forcé (1664), sc. XIV, XVII. —
e Dépit amoureux (1654), act. II, sc. VI ; act. III, sc. III, IV, V.
169.
Le Mariage forcé (1664), sc. XIV, XVII. — Le Mar
act. II, sc. VI ; act. III, sc. III, IV, V. 169. Le Mariage forcé (
1664
), sc. XIV, XVII. — Le Mari confondu (1668), act.
c. VI ; act. III, sc. III, IV, V. 169. Le Mariage forcé (1664), sc.
XIV
, XVII. — Le Mari confondu (1668), act. I, sc. VII
; act. III, sc. III, IV, V. 169. Le Mariage forcé (1664), sc. XIV,
XVII
. — Le Mari confondu (1668), act. I, sc. VIII ; ac
V. 169. Le Mariage forcé (1664), sc. XIV, XVII. — Le Mari confondu (
1668
), act. I, sc. VIII ; act. II, sc. III ; act. III,
Mariage forcé (1664), sc. XIV, XVII. — Le Mari confondu (1668), act.
I
, sc. VIII ; act. II, sc. III ; act. III, sc. XIV.
e forcé (1664), sc. XIV, XVII. — Le Mari confondu (1668), act. I, sc.
VIII
; act. II, sc. III ; act. III, sc. XIV. 170. Voi
4), sc. XIV, XVII. — Le Mari confondu (1668), act. I, sc. VIII ; act.
II
, sc. III ; act. III, sc. XIV. 170. Voir plus hau
XIV, XVII. — Le Mari confondu (1668), act. I, sc. VIII ; act. II, sc.
III
; act. III, sc. XIV. 170. Voir plus haut, chap.
— Le Mari confondu (1668), act. I, sc. VIII ; act. II, sc. III ; act.
III
, sc. XIV. 170. Voir plus haut, chap. II, p. 34.
confondu (1668), act. I, sc. VIII ; act. II, sc. III ; act. III, sc.
XIV
. 170. Voir plus haut, chap. II, p. 34. 171. L’
ndu (1668), act. I, sc. VIII ; act. II, sc. III ; act. III, sc. XIV.
170.
Voir plus haut, chap. II, p. 34. 171. L’École d
I ; act. II, sc. III ; act. III, sc. XIV. 170. Voir plus haut, chap.
II
, p. 34. 171. L’École des Femmes (1662), act. I,
sc. III ; act. III, sc. XIV. 170. Voir plus haut, chap. II, p. 34.
171.
L’École des Femmes (1662), act. I, sc. I. — On d
IV. 170. Voir plus haut, chap. II, p. 34. 171. L’École des Femmes (
1662
), act. I, sc. I. — On doit dire, et M. D. Nisard
ir plus haut, chap. II, p. 34. 171. L’École des Femmes (1662), act.
I
, sc. I. — On doit dire, et M. D. Nisard l’a fort
haut, chap. II, p. 34. 171. L’École des Femmes (1662), act. I, sc.
I
. — On doit dire, et M. D. Nisard l’a fort bien di
’a fort bien dit, la même chose de Sganarelle dans l’École des Maris (
1661
) : « Sganarelle n’est qu’un fort vilain homme ; u
: c’est l’égoïste, etc. » Histoire de la Littérature française, liv.
III
, ch. IX, § 2, l’École des Maris. 172. Voir plus
l’égoïste, etc. » Histoire de la Littérature française, liv. III, ch.
IX
, § 2, l’École des Maris. 172. Voir plus haut, c
ste, etc. » Histoire de la Littérature française, liv. III, ch. IX, §
2,
l’École des Maris. 172. Voir plus haut, chap. I
la Littérature française, liv. III, ch. IX, § 2, l’École des Maris.
172.
Voir plus haut, chap. II, p. 22 et 29. 173. Les
iv. III, ch. IX, § 2, l’École des Maris. 172. Voir plus haut, chap.
II
, p. 22 et 29. 173. Les Femmes savantes (1672),
IX, § 2, l’École des Maris. 172. Voir plus haut, chap. II, p. 22 et
29.
173. Les Femmes savantes (1672), act. II, sc. V
2, l’École des Maris. 172. Voir plus haut, chap. II, p. 22 et 29.
173.
Les Femmes savantes (1672), act. II, sc. VII. 1
2. Voir plus haut, chap. II, p. 22 et 29. 173. Les Femmes savantes (
1672
), act. II, sc. VII. 174. Le Malade imaginaire (
haut, chap. II, p. 22 et 29. 173. Les Femmes savantes (1672), act.
II
, sc. VII. 174. Le Malade imaginaire (1673), act
hap. II, p. 22 et 29. 173. Les Femmes savantes (1672), act. II, sc.
VII
. 174. Le Malade imaginaire (1673), act. I, sc.
I, p. 22 et 29. 173. Les Femmes savantes (1672), act. II, sc. VII.
174.
Le Malade imaginaire (1673), act. I, sc. V, VIII
emmes savantes (1672), act. II, sc. VII. 174. Le Malade imaginaire (
1673
), act. I, sc. V, VIII, IX ; act. III, sc. III. 1
es (1672), act. II, sc. VII. 174. Le Malade imaginaire (1673), act.
I
, sc. V, VIII, IX ; act. III, sc. III. 175. Voir
2), act. II, sc. VII. 174. Le Malade imaginaire (1673), act. I, sc.
V
, VIII, IX ; act. III, sc. III. 175. Voir plus ha
act. II, sc. VII. 174. Le Malade imaginaire (1673), act. I, sc. V,
VIII
, IX ; act. III, sc. III. 175. Voir plus haut, p.
II, sc. VII. 174. Le Malade imaginaire (1673), act. I, sc. V, VIII,
IX
; act. III, sc. III. 175. Voir plus haut, p. 52,
I. 174. Le Malade imaginaire (1673), act. I, sc. V, VIII, IX ; act.
III
, sc. III. 175. Voir plus haut, p. 52, note 6. 1
Le Malade imaginaire (1673), act. I, sc. V, VIII, IX ; act. III, sc.
III
. 175. Voir plus haut, p. 52, note 6. 176. Les F
lade imaginaire (1673), act. I, sc. V, VIII, IX ; act. III, sc. III.
175.
Voir plus haut, p. 52, note 6. 176. Les Fâcheux,
c. V, VIII, IX ; act. III, sc. III. 175. Voir plus haut, p. 52, note
6.
176. Les Fâcheux, act. I, sc. I ; la Critique de
, VIII, IX ; act. III, sc. III. 175. Voir plus haut, p. 52, note 6.
176.
Les Fâcheux, act. I, sc. I ; la Critique de l’Éco
sc. III. 175. Voir plus haut, p. 52, note 6. 176. Les Fâcheux, act.
I
, sc. I ; la Critique de l’École des Femmes, sc. V
. 175. Voir plus haut, p. 52, note 6. 176. Les Fâcheux, act. I, sc.
I
; la Critique de l’École des Femmes, sc. VI, VII
. Les Fâcheux, act. I, sc. I ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
VI
, VII le Misanthrope, act. III, sc. I. 177. Les F
s Fâcheux, act. I, sc. I ; la Critique de l’École des Femmes, sc. VI,
VII
le Misanthrope, act. III, sc. I. 177. Les Fâcheu
; la Critique de l’École des Femmes, sc. VI, VII le Misanthrope, act.
III
, sc. I. 177. Les Fâcheux, acte IV, sc. V ; l’Imp
ique de l’École des Femmes, sc. VI, VII le Misanthrope, act. III, sc.
I
. 177. Les Fâcheux, acte IV, sc. V ; l’Impromptu
de l’École des Femmes, sc. VI, VII le Misanthrope, act. III, sc. I.
177.
Les Fâcheux, acte IV, sc. V ; l’Impromptu de Vers
sc. VI, VII le Misanthrope, act. III, sc. I. 177. Les Fâcheux, acte
IV
, sc. V ; l’Impromptu de Versailles, sc. II, IV, V
VII le Misanthrope, act. III, sc. I. 177. Les Fâcheux, acte IV, sc.
V
; l’Impromptu de Versailles, sc. II, IV, VI, VII,
I. 177. Les Fâcheux, acte IV, sc. V ; l’Impromptu de Versailles, sc.
II
, IV, VI, VII, VIII, IX. 178. L’École des Maris,
177. Les Fâcheux, acte IV, sc. V ; l’Impromptu de Versailles, sc. II,
IV
, VI, VII, VIII, IX. 178. L’École des Maris, act
Les Fâcheux, acte IV, sc. V ; l’Impromptu de Versailles, sc. II, IV,
VI
, VII, VIII, IX. 178. L’École des Maris, act. I,
Fâcheux, acte IV, sc. V ; l’Impromptu de Versailles, sc. II, IV, VI,
VII
, VIII, IX. 178. L’École des Maris, act. I, sc.
eux, acte IV, sc. V ; l’Impromptu de Versailles, sc. II, IV, VI, VII,
VIII
, IX. 178. L’École des Maris, act. I, sc. I. 1
cte IV, sc. V ; l’Impromptu de Versailles, sc. II, IV, VI, VII, VIII,
IX
. 178. L’École des Maris, act. I, sc. I. 179.
V, sc. V ; l’Impromptu de Versailles, sc. II, IV, VI, VII, VIII, IX.
178.
L’École des Maris, act. I, sc. I. 179. Le Bou
ailles, sc. II, IV, VI, VII, VIII, IX. 178. L’École des Maris, act.
I
, sc. I. 179. Le Bourgeois gentilhomme, act. I,
sc. II, IV, VI, VII, VIII, IX. 178. L’École des Maris, act. I, sc.
I
. 179. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. I
II, IV, VI, VII, VIII, IX. 178. L’École des Maris, act. I, sc. I.
179.
Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. I ; act. I
cole des Maris, act. I, sc. I. 179. Le Bourgeois gentilhomme, act.
I
, sc. I ; act. II, sc. IX ; act. III, sc. III, IV,
s Maris, act. I, sc. I. 179. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc.
I
; act. II, sc. IX ; act. III, sc. III, IV, VI, XI
act. I, sc. I. 179. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. I ; act.
II
, sc. IX ; act. III, sc. III, IV, VI, XII. 180.
sc. I. 179. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. I ; act. II, sc.
IX
; act. III, sc. III, IV, VI, XII. 180. George D
79. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. I ; act. II, sc. IX ; act.
III
, sc. III, IV, VI, XII. 180. George Dandin est l
ourgeois gentilhomme, act. I, sc. I ; act. II, sc. IX ; act. III, sc.
III
, IV, VI, XII. 180. George Dandin est l’exemple
ois gentilhomme, act. I, sc. I ; act. II, sc. IX ; act. III, sc. III,
IV
, VI, XII. 180. George Dandin est l’exemple terr
gentilhomme, act. I, sc. I ; act. II, sc. IX ; act. III, sc. III, IV,
VI
, XII. 180. George Dandin est l’exemple terrible
ilhomme, act. I, sc. I ; act. II, sc. IX ; act. III, sc. III, IV, VI,
XII
. 180. George Dandin est l’exemple terrible d’un
e, act. I, sc. I ; act. II, sc. IX ; act. III, sc. III, IV, VI, XII.
180.
George Dandin est l’exemple terrible d’un de ces
eorge Dandin est l’exemple terrible d’un de ces mariages de vanité.²
181.
Les Femmes savantes, act. II, sc. VII ; act. III
ble d’un de ces mariages de vanité.² 181. Les Femmes savantes, act.
II
, sc. VII ; act. III, sc. I, II, V ; act. IV, sc.
de ces mariages de vanité.² 181. Les Femmes savantes, act. II, sc.
VII
; act. III, sc. I, II, V ; act. IV, sc. III. 182
iages de vanité.² 181. Les Femmes savantes, act. II, sc. VII ; act.
III
, sc. I, II, V ; act. IV, sc. III. 182. Les Préc
vanité.² 181. Les Femmes savantes, act. II, sc. VII ; act. III, sc.
I
, II, V ; act. IV, sc. III. 182. Les Précieuses
ité.² 181. Les Femmes savantes, act. II, sc. VII ; act. III, sc. I,
II
, V ; act. IV, sc. III. 182. Les Précieuses ridi
² 181. Les Femmes savantes, act. II, sc. VII ; act. III, sc. I, II,
V
; act. IV, sc. III. 182. Les Précieuses ridicul
Les Femmes savantes, act. II, sc. VII ; act. III, sc. I, II, V ; act.
IV
, sc. III. 182. Les Précieuses ridicules, sc. X,
es savantes, act. II, sc. VII ; act. III, sc. I, II, V ; act. IV, sc.
III
. 182. Les Précieuses ridicules, sc. X, Mascaril
antes, act. II, sc. VII ; act. III, sc. I, II, V ; act. IV, sc. III.
182.
Les Précieuses ridicules, sc. X, Mascarille; les
sc. I, II, V ; act. IV, sc. III. 182. Les Précieuses ridicules, sc.
X
, Mascarille; les Fâcheux, act. I, sc. V, Lysandre
182. Les Précieuses ridicules, sc. X, Mascarille; les Fâcheux, act.
I
, sc. V, Lysandre; act. III, sc. II, Caritidès ; l
Les Précieuses ridicules, sc. X, Mascarille; les Fâcheux, act. I, sc.
V
, Lysandre; act. III, sc. II, Caritidès ; la Criti
icules, sc. X, Mascarille; les Fâcheux, act. I, sc. V, Lysandre; act.
III
, sc. II, Caritidès ; la Critique de l’École des F
c. X, Mascarille; les Fâcheux, act. I, sc. V, Lysandre; act. III, sc.
II
, Caritidès ; la Critique de l’École des Femmes, s
act. III, sc. II, Caritidès ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
VII
, Lysidas; l’Impromptu de Versailles , sc. I, III,
l’École des Femmes, sc. VII, Lysidas; l’Impromptu de Versailles , sc.
I
, III, du Croisy; le Misanthrope, act. I, sc. II,
cole des Femmes, sc. VII, Lysidas; l’Impromptu de Versailles , sc. I,
III
, du Croisy; le Misanthrope, act. I, sc. II, Oront
Impromptu de Versailles , sc. I, III, du Croisy; le Misanthrope, act.
I
, sc. II, Oronte; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. X
tu de Versailles , sc. I, III, du Croisy; le Misanthrope, act. I, sc.
II
, Oronte; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. Xi, XVI,
santhrope, act. I, sc. II, Oronte; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. Xi,
XVI
, M. Tibaudier ; les Femmes savantes, act. III, sc
d’Escarbagnas, sc. Xi, XVI, M. Tibaudier ; les Femmes savantes, act.
III
, sc. I, II, III, IV, V ; act. IV , sc. III, IV, T
agnas, sc. Xi, XVI, M. Tibaudier ; les Femmes savantes, act. III, sc.
I
, II, III, IV, V ; act. IV , sc. III, IV, Trissoti
as, sc. Xi, XVI, M. Tibaudier ; les Femmes savantes, act. III, sc. I,
II
, III, IV, V ; act. IV , sc. III, IV, Trissotin et
sc. Xi, XVI, M. Tibaudier ; les Femmes savantes, act. III, sc. I, II,
III
, IV, V ; act. IV , sc. III, IV, Trissotin et Vadi
i, XVI, M. Tibaudier ; les Femmes savantes, act. III, sc. I, II, III,
IV
, V ; act. IV , sc. III, IV, Trissotin et Vadius,
VI, M. Tibaudier ; les Femmes savantes, act. III, sc. I, II, III, IV,
V
; act. IV , sc. III, IV, Trissotin et Vadius, etc
baudier ; les Femmes savantes, act. III, sc. I, II, III, IV, V ; act.
IV
, sc. III, IV, Trissotin et Vadius, etc. 183. B
les Femmes savantes, act. III, sc. I, II, III, IV, V ; act. IV , sc.
III
, IV, Trissotin et Vadius, etc. 183. Boileau, Ar
Femmes savantes, act. III, sc. I, II, III, IV, V ; act. IV , sc. III,
IV
, Trissotin et Vadius, etc. 183. Boileau, Art po
, II, III, IV, V ; act. IV , sc. III, IV, Trissotin et Vadius, etc.
183.
Boileau, Art poétique, ch. I, v. 10. 184. Id.,
III, IV, Trissotin et Vadius, etc. 183. Boileau, Art poétique, ch.
I
, v. 10. 184. Id., ch. IV, v. 26. 185. Id., ch
IV, Trissotin et Vadius, etc. 183. Boileau, Art poétique, ch. I, v.
10.
184. Id., ch. IV, v. 26. 185. Id., ch. IV, v.
rissotin et Vadius, etc. 183. Boileau, Art poétique, ch. I, v. 10.
184.
Id., ch. IV, v. 26. 185. Id., ch. IV, v. 121.
ius, etc. 183. Boileau, Art poétique, ch. I, v. 10. 184. Id., ch.
IV
, v. 26. 185. Id., ch. IV, v. 121. — Remarquez q
c. 183. Boileau, Art poétique, ch. I, v. 10. 184. Id., ch. IV, v.
26.
185. Id., ch. IV, v. 121. — Remarquez que le Mi
183. Boileau, Art poétique, ch. I, v. 10. 184. Id., ch. IV, v. 26.
185.
Id., ch. IV, v. 121. — Remarquez que le Misanthr
rt poétique, ch. I, v. 10. 184. Id., ch. IV, v. 26. 185. Id., ch.
IV
, v. 121. — Remarquez que le Misanthrope est de 16
ique, ch. I, v. 10. 184. Id., ch. IV, v. 26. 185. Id., ch. IV, v.
121.
— Remarquez que le Misanthrope est de 1666, les F
26. 185. Id., ch. IV, v. 121. — Remarquez que le Misanthrope est de
1666,
les Femmes savantes sont de 1672, et l’Art poétiq
Remarquez que le Misanthrope est de 1666, les Femmes savantes sont de
1672,
et l’Art poétique ne fut achevé qu’en 1674. 186.
s Femmes savantes sont de 1672, et l’Art poétique ne fut achevé qu’en
1674.
186. Id., ch. IV, v. 233 187. Le jugement de B
s savantes sont de 1672, et l’Art poétique ne fut achevé qu’en 1674.
186.
Id., ch. IV, v. 233 187. Le jugement de Boileau
de 1672, et l’Art poétique ne fut achevé qu’en 1674. 186. Id., ch.
IV
, v. 233 187. Le jugement de Boileau sur Quinault
2, et l’Art poétique ne fut achevé qu’en 1674. 186. Id., ch. IV, v.
233
187. Le jugement de Boileau sur Quinault (Sat. I
l’Art poétique ne fut achevé qu’en 1674. 186. Id., ch. IV, v. 233
187.
Le jugement de Boileau sur Quinault (Sat. II, III
Id., ch. IV, v. 233 187. Le jugement de Boileau sur Quinault (Sat.
II
, III, X) doit être maintenu dans toute sa sévérit
., ch. IV, v. 233 187. Le jugement de Boileau sur Quinault (Sat. II,
III
, X) doit être maintenu dans toute sa sévérité, ma
. IV, v. 233 187. Le jugement de Boileau sur Quinault (Sat. II, III,
X
) doit être maintenu dans toute sa sévérité, malgr
éhabilitation tenté par Voltaire. Lire les Œuvres de Quinault (Paris,
1739,
1778, 1842) : Boileau a raison au nom du goût et
itation tenté par Voltaire. Lire les Œuvres de Quinault (Paris, 1739,
1778,
1842) : Boileau a raison au nom du goût et au nom
n tenté par Voltaire. Lire les Œuvres de Quinault (Paris, 1739, 1778,
1842
) : Boileau a raison au nom du goût et au nom de l
, puisqu’il con¬sentit à prendre Quinault pour collaborateur (Psyché,
1671
) ; mais ce fut par nécessité et par ordre, dans d
importance (Voir Le Libraire au Lecteur, au commencement de Psyché).
188.
Boileau, Satire IX, v. 152. 189. Platon, Républi
ibraire au Lecteur, au commencement de Psyché). 188. Boileau, Satire
IX
, v. 152. 189. Platon, République, liv. III. 190
au Lecteur, au commencement de Psyché). 188. Boileau, Satire IX, v.
152.
189. Platon, République, liv. III. 190. Toutes
cteur, au commencement de Psyché). 188. Boileau, Satire IX, v. 152.
189.
Platon, République, liv. III. 190. Toutes les sc
hé). 188. Boileau, Satire IX, v. 152. 189. Platon, République, liv.
III
. 190. Toutes les scènes où Molière fait dire des
188. Boileau, Satire IX, v. 152. 189. Platon, République, liv. III.
190.
Toutes les scènes où Molière fait dire des sonnet
doit mettre au-dessus de toutes les autres celle du Misanthrope (act.
I
, sc. II) : le sonnet d’Oronte séduit le lecteur s
ttre au-dessus de toutes les autres celle du Misanthrope (act. I, sc.
II
) : le sonnet d’Oronte séduit le lecteur surpris p
on de ces colifichets dont le bon sens murmure. Voir plus loin, chap.
VII
. 191. D. Nisard, Histoire de la Littérature fran
ces colifichets dont le bon sens murmure. Voir plus loin, chap. VII.
191.
D. Nisard, Histoire de la Littérature française,
olifichets dont le bon sens murmure. Voir plus loin, chap. VII. 191.
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
hap. VII. 191. D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
I
, chap ? I, § 2, 3, 4, 5. 192. Le Dépit amoureux
191. D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap ?
I
, § 2, 3, 4, 5. 192. Le Dépit amoureux, act. II,
D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap ? I, §
2,
3, 4, 5. 192. Le Dépit amoureux, act. II, sc. V
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap ? I, § 2,
3,
4, 5. 192. Le Dépit amoureux, act. II, sc. VII
sard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap ? I, § 2, 3,
4,
5. 192. Le Dépit amoureux, act. II, sc. VII ; l
d, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap ? I, § 2, 3, 4,
5.
192. Le Dépit amoureux, act. II, sc. VII ; la C
istoire de la Littérature française, liv. I, chap ? I, § 2, 3, 4, 5.
192.
Le Dépit amoureux, act. II, sc. VII ; la Comtess
çaise, liv. I, chap ? I, § 2, 3, 4, 5. 192. Le Dépit amoureux, act.
II
, sc. VII ; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. XVII, X
iv. I, chap ? I, § 2, 3, 4, 5. 192. Le Dépit amoureux, act. II, sc.
VII
; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. XVII, XIX. 193.
Le Dépit amoureux, act. II, sc. VII ; la Comtesse d’Escarbagnas, sc.
XVII
, XIX. 193. Voir Pantagruel, particulièrement liv
pit amoureux, act. II, sc. VII ; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. XVII,
XIX
. 193. Voir Pantagruel, particulièrement liv. III
oureux, act. II, sc. VII ; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. XVII, XIX.
193.
Voir Pantagruel, particulièrement liv. III, chap.
arbagnas, sc. XVII, XIX. 193. Voir Pantagruel, particulièrement liv.
III
, chap. XXXV, XXXVI. 194. Le dépit amoureux, act
c. XVII, XIX. 193. Voir Pantagruel, particulièrement liv. III, chap.
XXXV
, XXXVI. 194. Le dépit amoureux, act. II, sc. IX
I, XIX. 193. Voir Pantagruel, particulièrement liv. III, chap. XXXV,
XXXVI
. 194. Le dépit amoureux, act. II, sc. IX. 195.
193. Voir Pantagruel, particulièrement liv. III, chap. XXXV, XXXVI.
194.
Le dépit amoureux, act. II, sc. IX. 195. Son ma
lièrement liv. III, chap. XXXV, XXXVI. 194. Le dépit amoureux, act.
II
, sc. IX. 195. Son maître Gassendi lui avait ense
t liv. III, chap. XXXV, XXXVI. 194. Le dépit amoureux, act. II, sc.
IX
. 195. Son maître Gassendi lui avait enseigné la
. III, chap. XXXV, XXXVI. 194. Le dépit amoureux, act. II, sc. IX.
195.
Son maître Gassendi lui avait enseigné la valeur
surtout Discours sur la Méthode, IVe partie ; Les Météores, Discours
I
et VII, etc.) : Syntagma philosophiœ Epicuri, can
out Discours sur la Méthode, IVe partie ; Les Météores, Discours I et
VII
, etc.) : Syntagma philosophiœ Epicuri, canonica p
iscours I et VII, etc.) : Syntagma philosophiœ Epicuri, canonica pars
I
, cap. II, édit. de Florence, t. III, init. : « Se
I et VII, etc.) : Syntagma philosophiœ Epicuri, canonica pars I, cap.
II
, édit. de Florence, t. III, init. : « Sensus evid
philosophiœ Epicuri, canonica pars I, cap. II, édit. de Florence, t.
III
, init. : « Sensus evidentiam voco illamsentionis
edio affecto et quæ alia sunt ejusce modi, contradici non potest(can.
III
, p. 7, col. 1, édit. de Florence). Sensus est cri
quæ alia sunt ejusce modi, contradici non potest(can. III, p. 7, col.
1,
édit. de Florence). Sensus est criteriorum prirau
itatis, nam si falli omnem sensum dixeris, deerit tibi criterium(can.
I
, p. 5, col. 2). Sublata sensuum certitudine, toll
falli omnem sensum dixeris, deerit tibi criterium(can. I, p. 5, col.
2
). Sublata sensuum certitudine, tollitur omnis et
tur omnis et vite gerendæ et rerum gerendarum ratio , etc.(ibid.). »
196.
La Jalousie du Barbouillé (1658), sc. II, VI le
m gerendarum ratio , etc.(ibid.). » 196. La Jalousie du Barbouillé (
1658
), sc. II, VI le Docteur ; le Mariage forcé (1664)
m ratio , etc.(ibid.). » 196. La Jalousie du Barbouillé (1658), sc.
II
, VI le Docteur ; le Mariage forcé (1664), sc. VII
tio , etc.(ibid.). » 196. La Jalousie du Barbouillé (1658), sc. II,
VI
le Docteur ; le Mariage forcé (1664), sc. VII, Pa
ousie du Barbouillé (1658), sc. II, VI le Docteur ; le Mariage forcé (
1664
), sc. VII, Pancrace ; sc. VIII, Marphurius. — Mai
rbouillé (1658), sc. II, VI le Docteur ; le Mariage forcé (1664), sc.
VII
, Pancrace ; sc. VIII, Marphurius. — Mais sur ce p
II, VI le Docteur ; le Mariage forcé (1664), sc. VII, Pancrace ; sc.
VIII
, Marphurius. — Mais sur ce point, quelle que soit
t (J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
II
). Molière ne se proposait pas « le but d’empêche
re, comme il avait ri à la lecture de Rabelais. Voir plus haut, chap.
I
. 197. Le Mariage forcé, sc. VII, VIII. 198. L
comme il avait ri à la lecture de Rabelais. Voir plus haut, chap. I.
197.
Le Mariage forcé, sc. VII, VIII. 198. Le Bourg
re de Rabelais. Voir plus haut, chap. I. 197. Le Mariage forcé, sc.
VII
, VIII. 198. Le Bourgeois gentilhomme, act. II,
Rabelais. Voir plus haut, chap. I. 197. Le Mariage forcé, sc. VII,
VIII
. 198. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV
is. Voir plus haut, chap. I. 197. Le Mariage forcé, sc. VII, VIII.
198.
Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV, VI.
e Mariage forcé, sc. VII, VIII. 198. Le Bourgeois gentilhomme, act.
II
, sc. IV, VI. 199. 1650 ? 200. 1673. — Les pièce
e forcé, sc. VII, VIII. 198. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.
IV
, VI. 199. 1650 ? 200. 1673. — Les pièces à méde
rcé, sc. VII, VIII. 198. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV,
VI
. 199. 1650 ? 200. 1673. — Les pièces à médecins
sc. VII, VIII. 198. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV, VI.
199.
1650 ? 200. 1673. — Les pièces à médecins de Mol
II, VIII. 198. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV, VI. 199.
1650
? 200. 1673. — Les pièces à médecins de Molière
. 198. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV, VI. 199. 1650 ?
200.
1673. — Les pièces à médecins de Molière sont : l
8. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV, VI. 199. 1650 ? 200.
1673.
— Les pièces à médecins de Molière sont : le Méde
0. 1673. — Les pièces à médecins de Molière sont : le Médecin volant,
1650
? ; le Festin de Pierre, 1665 ; l’Amour médecin,
ns de Molière sont : le Médecin volant, 1650 ? ; le Festin de Pierre,
1665
; l’Amour médecin, 1665 ; le Médecin malgré lui,
Médecin volant, 1650 ? ; le Festin de Pierre, 1665 ; l’Amour médecin,
1665
; le Médecin malgré lui, 1666 ; Monsieur de Pourc
stin de Pierre, 1665 ; l’Amour médecin, 1665 ; le Médecin malgré lui,
1666
; Monsieur de Pourceaugnac, 1669 ; le Malade imag
decin, 1665 ; le Médecin malgré lui, 1666 ; Monsieur de Pourceaugnac,
1669
; le Malade imaginaire, 1673. 201. L’Amour méde
ré lui, 1666 ; Monsieur de Pourceaugnac, 1669 ; le Malade imaginaire,
1673.
201. L’Amour médecin, act. II, sc. III. 202.
1666 ; Monsieur de Pourceaugnac, 1669 ; le Malade imaginaire, 1673.
201.
L’Amour médecin, act. II, sc. III. 202. Id., a
gnac, 1669 ; le Malade imaginaire, 1673. 201. L’Amour médecin, act.
II
, sc. III. 202. Id., act. II, sc. III, IV. 203.
69 ; le Malade imaginaire, 1673. 201. L’Amour médecin, act. II, sc.
III
. 202. Id., act. II, sc. III, IV. 203. Ceci n’e
e Malade imaginaire, 1673. 201. L’Amour médecin, act. II, sc. III.
202.
Id., act. II, sc. III, IV. 203. Ceci n’est poin
ire, 1673. 201. L’Amour médecin, act. II, sc. III. 202. Id., act.
II
, sc. III, IV. 203. Ceci n’est point une inventio
3. 201. L’Amour médecin, act. II, sc. III. 202. Id., act. II, sc.
III
, IV. 203. Ceci n’est point une invention de Moli
01. L’Amour médecin, act. II, sc. III. 202. Id., act. II, sc. III,
IV
. 203. Ceci n’est point une invention de Molière
L’Amour médecin, act. II, sc. III. 202. Id., act. II, sc. III, IV.
203.
Ceci n’est point une invention de Molière : c’est
: c’est l’exact et affreux récit de la mort de son maître Gassendi en
1656
: « Sentant ses forces anéanties par neuf saignée
t de son maître Gassendi en 1656 : « Sentant ses forces anéanties par
neuf
saignées successives, et se trouvant entouré de s
ce ne fut pas la dernière saignée (la dixième), et il en subit encore
quatre
autres. Potier, d’accord avec lui, essaya d’en es
ore. » (Vie de Gassendi par Sorbier, en tête de ses Œuvres, Florence,
1728.
) Boileau ne faisait donc pas une figure de rhétor
torique quand il disait : L’un meurt vide de sang… (Art poétique, ch.
IV
, v. 6). 204. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. VI
quand il disait : L’un meurt vide de sang… (Art poétique, ch. IV, v.
6
). 204. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. VIII. 2
d il disait : L’un meurt vide de sang… (Art poétique, ch. IV, v. 6).
204.
M. de Pourceaugnac, act. I, sc. VIII. 205. Voir
e sang… (Art poétique, ch. IV, v. 6). 204. M. de Pourceaugnac, act.
I
, sc. VIII. 205. Voir les Lettres de Guy Patin, é
(Art poétique, ch. IV, v. 6). 204. M. de Pourceaugnac, act. I, sc.
VIII
. 205. Voir les Lettres de Guy Patin, éd. Réveill
oétique, ch. IV, v. 6). 204. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. VIII.
205.
Voir les Lettres de Guy Patin, éd. Réveillé-Paris
III. 205. Voir les Lettres de Guy Patin, éd. Réveillé-Parise, Paris,
1846.
206. « La jurisprudence, la médecine et les aut
05. Voir les Lettres de Guy Patin, éd. Réveillé-Parise, Paris, 1846.
206.
« La jurisprudence, la médecine et les autres sc
s à me convier à les apprendre. » Descartes, Discours sur la Méthode,
1re
partie. 207. Il faut attribuer au bon sens et au
r à les apprendre. » Descartes, Discours sur la Méthode, 1re partie.
207.
Il faut attribuer au bon sens et au cœur de Moliè
la médecine, » ce qui était juste alors. (Le Malade imaginaire, act.
III
, sc. III). — Voir sur cette question, qui vaut un
ine, » ce qui était juste alors. (Le Malade imaginaire, act. III, sc.
III
). — Voir sur cette question, qui vaut un livre à
un livre à elle seule, M. Raynaud, les Médecins au temps de Molière,
1862,
208. L’Étourdi, act. III, sc. IV ; le Dépit amo
re à elle seule, M. Raynaud, les Médecins au temps de Molière, 1862,
208.
L’Étourdi, act. III, sc. IV ; le Dépit amoureux,
ynaud, les Médecins au temps de Molière, 1862, 208. L’Étourdi, act.
III
, sc. IV ; le Dépit amoureux, act. III, sc. VII ;
s Médecins au temps de Molière, 1862, 208. L’Étourdi, act. III, sc.
IV
; le Dépit amoureux, act. III, sc. VII ; le Cocu
e, 1862, 208. L’Étourdi, act. III, sc. IV ; le Dépit amoureux, act.
III
, sc. VII ; le Cocu imaginaire, sc. XXI ; le Princ
208. L’Étourdi, act. III, sc. IV ; le Dépit amoureux, act. III, sc.
VII
; le Cocu imaginaire, sc. XXI ; le Prince jaloux,
. IV ; le Dépit amoureux, act. III, sc. VII ; le Cocu imaginaire, sc.
XXI
; le Prince jaloux, act. II, sc. V ; act. IV, sc.
. III, sc. VII ; le Cocu imaginaire, sc. XXI ; le Prince jaloux, act.
II
, sc. V ; act. IV, sc. VII, VIII ; le Festin de Pi
c. VII ; le Cocu imaginaire, sc. XXI ; le Prince jaloux, act. II, sc.
V
; act. IV, sc. VII, VIII ; le Festin de Pierre, a
le Cocu imaginaire, sc. XXI ; le Prince jaloux, act. II, sc. V ; act.
IV
, sc. VII, VIII ; le Festin de Pierre, act. III, s
imaginaire, sc. XXI ; le Prince jaloux, act. II, sc. V ; act. IV, sc.
VII
, VIII ; le Festin de Pierre, act. III, sc. V ; le
naire, sc. XXI ; le Prince jaloux, act. II, sc. V ; act. IV, sc. VII,
VIII
; le Festin de Pierre, act. III, sc. V ; le Tartu
, act. II, sc. V ; act. IV, sc. VII, VIII ; le Festin de Pierre, act.
III
, sc. V ; le Tartuffe, act. III, sc. IV, v ; act.
, sc. V ; act. IV, sc. VII, VIII ; le Festin de Pierre, act. III, sc.
V
; le Tartuffe, act. III, sc. IV, v ; act. V, sc.
VII, VIII ; le Festin de Pierre, act. III, sc. V ; le Tartuffe, act.
III
, sc. IV, v ; act. V, sc. II ; le Bourgeois gentil
I ; le Festin de Pierre, act. III, sc. V ; le Tartuffe, act. III, sc.
IV
, v ; act. V, sc. II ; le Bourgeois gentilhomme, a
de Pierre, act. III, sc. V ; le Tartuffe, act. III, sc. IV, v ; act.
V
, sc. II ; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.
rre, act. III, sc. V ; le Tartuffe, act. III, sc. IV, v ; act. V, sc.
II
; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV, VI ;
act. III, sc. IV, v ; act. V, sc. II ; le Bourgeois gentilhomme, act.
II
, sc. IV, VI ; les Fourberies de Scapin, act. II,
, sc. IV, v ; act. V, sc. II ; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.
IV
, VI ; les Fourberies de Scapin, act. II, sc. V, e
. IV, v ; act. V, sc. II ; le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. IV,
VI
; les Fourberies de Scapin, act. II, sc. V, etc.
ois gentilhomme, act. II, sc. IV, VI ; les Fourberies de Scapin, act.
II
, sc. V, etc. 209. Le Misanthrope, act. IV, sc.
ilhomme, act. II, sc. IV, VI ; les Fourberies de Scapin, act. II, sc.
V
, etc. 209. Le Misanthrope, act. IV, sc. II ; ac
act. II, sc. IV, VI ; les Fourberies de Scapin, act. II, sc. V, etc.
209.
Le Misanthrope, act. IV, sc. II ; act. V, sc. I,
ourberies de Scapin, act. II, sc. V, etc. 209. Le Misanthrope, act.
IV
, sc. II ; act. V, sc. I, VIII ; le Tartuffe, act.
s de Scapin, act. II, sc. V, etc. 209. Le Misanthrope, act. IV, sc.
II
; act. V, sc. I, VIII ; le Tartuffe, act. V, sc.
n, act. II, sc. V, etc. 209. Le Misanthrope, act. IV, sc. II ; act.
V
, sc. I, VIII ; le Tartuffe, act. V, sc. I, IV, VI
II, sc. V, etc. 209. Le Misanthrope, act. IV, sc. II ; act. V, sc.
I
, VIII ; le Tartuffe, act. V, sc. I, IV, VI, VII ;
, sc. V, etc. 209. Le Misanthrope, act. IV, sc. II ; act. V, sc. I,
VIII
; le Tartuffe, act. V, sc. I, IV, VI, VII ; l’Ava
isanthrope, act. IV, sc. II ; act. V, sc. I, VIII ; le Tartuffe, act.
V
, sc. I, IV, VI, VII ; l’Avare, act. V, sc. III ;
ope, act. IV, sc. II ; act. V, sc. I, VIII ; le Tartuffe, act. V, sc.
I
, IV, VI, VII ; l’Avare, act. V, sc. III ; les Fem
, act. IV, sc. II ; act. V, sc. I, VIII ; le Tartuffe, act. V, sc. I,
IV
, VI, VII ; l’Avare, act. V, sc. III ; les Femmes
t. IV, sc. II ; act. V, sc. I, VIII ; le Tartuffe, act. V, sc. I, IV,
VI
, VII ; l’Avare, act. V, sc. III ; les Femmes sava
V, sc. II ; act. V, sc. I, VIII ; le Tartuffe, act. V, sc. I, IV, VI,
VII
; l’Avare, act. V, sc. III ; les Femmes savantes,
sc. I, VIII ; le Tartuffe, act. V, sc. I, IV, VI, VII ; l’Avare, act.
V
, sc. III ; les Femmes savantes, act. V, sc. IV, e
VIII ; le Tartuffe, act. V, sc. I, IV, VI, VII ; l’Avare, act. V, sc.
III
; les Femmes savantes, act. V, sc. IV, etc. 210.
I, IV, VI, VII ; l’Avare, act. V, sc. III ; les Femmes savantes, act.
V
, sc. IV, etc. 210. Pascal, Pensées. 211. Le M
VI, VII ; l’Avare, act. V, sc. III ; les Femmes savantes, act. V, sc.
IV
, etc. 210. Pascal, Pensées. 211. Le Misanthro
l’Avare, act. V, sc. III ; les Femmes savantes, act. V, sc. IV, etc.
210.
Pascal, Pensées. 211. Le Misanthrope, Philinte
; les Femmes savantes, act. V, sc. IV, etc. 210. Pascal, Pensées.
211.
Le Misanthrope, Philinte. 212. Le Festin de P
. IV, etc. 210. Pascal, Pensées. 211. Le Misanthrope, Philinte.
212.
Le Festin de Pierre, don Juan ; le Misanthrope,
e. 212. Le Festin de Pierre, don Juan ; le Misanthrope, Alceste.
213.
L’École des Maris, Ariste ; l’École des Femmes,
213. L’École des Maris, Ariste ; l’École des Femmes, Chrysalde.
214.
Le Tartuffe, Cléante ; les Femmes savantes, Aris
ante ; les Femmes savantes, Ariste ; le Malade imaginaire, Béralde.
215.
Les Femmes savantes, Clitandre. 216. L’École
Malade imaginaire, Béralde. 215. Les Femmes savantes, Clitandre.
216.
L’École des maris, Ariste et Sganarelle ; l’Écol
in, Vadius, Clitandre ; les marquis, les pédants, les médecins, etc.
217.
Les marquis ; tous les Aristes, Clitandre des Fem
Les marquis ; tous les Aristes, Clitandre des Femmes savantes, etc.
218.
L’École des maris, act. I, sc. I : Toujour
Clitandre des Femmes savantes, etc. 218. L’École des maris, act.
I
, sc. I : Toujours au plus grand nombre ou doi
re des Femmes savantes, etc. 218. L’École des maris, act. I, sc.
I
: Toujours au plus grand nombre ou doit s’acc
t sans empressement Suivre ce que l’usage y fait de changement.
219.
Tous les marquis, le Bourgeois gentilhomme, etc.
CHAPITRE
VI
. Les Femmes. Mais si la femme doit jouir d’une
Molière réclame. Fille, qu’elle soit modeste et douce comme Henriette
338
et Angélique 339. Qu’elle soit parée de réserve e
Fille, qu’elle soit modeste et douce comme Henriette 338 et Angélique
339.
Qu’elle soit parée de réserve et de pudeur, non p
ation et hypocrisie, mais de la simple et franche honnêteté à Eliante
340,
d’Elmire 341, d’Uranie 342 : « L’honnêteté d’une
risie, mais de la simple et franche honnêteté à Eliante 340, d’Elmire
341,
d’Uranie 342 : « L’honnêteté d’une femme n’est pa
la simple et franche honnêteté à Eliante 340, d’Elmire 341, d’Uranie
342
: « L’honnêteté d’une femme n’est pas dans les gr
leur injustice même345. Quelle soit confiante en sa mère comme Lucile
346,
en son père comme Henriette 347 ; et qu’elle préf
it confiante en sa mère comme Lucile 346, en son père comme Henriette
347
; et qu’elle préfère, malgré leurs manies ou leur
la grâce et la chasteté antique de son amour, la mythologique Alcmène
356.
Peut-être Elmire est-elle moins remarquée que d’a
ère. manquera, elle la remplacera auprès, des filles., comme Lisette
373,
Donne 374, ou Toinette 375. Elle ne sera point un
ra, elle la remplacera auprès, des filles., comme Lisette 373, Donne
374,
ou Toinette 375. Elle ne sera point une femme d’i
lacera auprès, des filles., comme Lisette 373, Donne 374, ou Toinette
375.
Elle ne sera point une femme d’intrigue ou une co
sauvegarde et l’honneur de la famille, comme la sage et rieuse Nicole
377
et la médecine Toinette 378. Et quand la maison,
a famille, comme la sage et rieuse Nicole 377 et la médecine Toinette
378.
Et quand la maison, par l’erreur ou la faiblesse
du dévouement et du bon sens, sauvera la famille, comme fait Martine
379.
Mais, fille ou mère, épouse ou servante, qu’elle
en comparaison d’un misérable honneur dont personne ne se soucie382. »
II
déteste également « ces personnes qui prêtent dou
emme, il ait toujours devant l’esprit le mot divin : « Major charitas
385.
» Surtout, qu’elle soit franche. Qu’elle imite
imite Eliante, sœur idéale d’Henriette, et qu’elle sache, comme elles
deux
, allier toute la sincérité avec toute la grâce et
86. L’homme n’a guère qu’une manière d’être hypocrite : la femme en a
deux
, la pruderie et la coquetterie. En mettant aux pr
pruderie et la coquetterie. En mettant aux prises Célimène et Arsinoé
387,
Molière a montré qu’il détestait également ces de
limène et Arsinoé 387, Molière a montré qu’il détestait également ces
deux
vices, et qu’il avait autant de mépris pour celle
spirer de l’amour sans avoir rien que de la vanité. Il semble que ces
deux
vers d’un poète moderne aient été inspirés par le
duit sur la scène quelques femmes d’intrigue, comme Nérine ou Frosine
398
; sans doute, le moraliste doit être aussi sévère
être aussi sévère pour elles que pour les Mascarilles et les Scapins
399
: mais elles sont plus que compensées par ces bon
t irréalisables comme les esclaves de l’Etourdi et de l’Amour peintre
401,
ou l’étrange garçon du Dépit amoureux 402. Ces gr
urdi et de l’Amour peintre 401, ou l’étrange garçon du Dépit amoureux
402.
Ces gracieuses conceptions, purement artistiques,
l’imagination, comme les gentilles princesses de la Princesse d’Elide
403
et des Amants magnifiques 404, les bergères de Mé
lles princesses de la Princesse d’Elide 403 et des Amants magnifiques
404,
les bergères de Mélicerte 405, les fées et les ny
d’Elide 403 et des Amants magnifiques 404, les bergères de Mélicerte
405,
les fées et les nymphes de File enchantée 406, ou
bergères de Mélicerte 405, les fées et les nymphes de File enchantée
406,
ou les déesses qui entourent la fantastique et ra
406, ou les déesses qui entourent la fantastique et ravissante Psyché
407.
On pourra reparler d’elles à propos de l’amour, q
eu trop forte en gueule et capable de la gaillardise de toute la peau
412.
Enfin, il est impossible d’approuver, même en le
pés de satire, des personnes comme la jeune Dorimène du Mariage forcé
413,
la Femme de Sganarelle dans le Cocu imaginaire 41
du Mariage forcé 413, la Femme de Sganarelle dans le Cocu imaginaire
414,
la Martine et la Jacqueline du Médecin malgré lui
ocu imaginaire 414, la Martine et la Jacqueline du Médecin malgré lui
415,
la Cléanthis d’Amphitryon 416, l’Angélique du Mar
et la Jacqueline du Médecin malgré lui 415, la Cléanthis d’Amphitryon
416,
l’Angélique du Mari confondu 417, qui avait paru
lui 415, la Cléanthis d’Amphitryon 416, l’Angélique du Mari confondu
417,
qui avait paru déjà dans la Jalousie du Barbouill
Mari confondu 417, qui avait paru déjà dans la Jalousie du Barbouillé
418.
Toutes ces luronnes sont trop joyeuses et trop co
u’on l’écoutât davantage aujourd’hui, dans les lettres, et partout.
338.
Les Femmes savantes, act. III. 339. Le Malade
’hui, dans les lettres, et partout. 338. Les Femmes savantes, act.
III
. 339. Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII.
dans les lettres, et partout. 338. Les Femmes savantes, act. III.
339.
Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII. 340. L
38. Les Femmes savantes, act. III. 339. Le Malade imaginaire, act.
II
, sc. VII. 340. Le Misanthrope. 341. Le Tartu
Femmes savantes, act. III. 339. Le Malade imaginaire, act. II, sc.
VII
. 340. Le Misanthrope. 341. Le Tartuffe. 34
s savantes, act. III. 339. Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII.
340.
Le Misanthrope. 341. Le Tartuffe. 342. La
39. Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII. 340. Le Misanthrope.
341.
Le Tartuffe. 342. La Critique de l’École des
aire, act. II, sc. VII. 340. Le Misanthrope. 341. Le Tartuffe.
342.
La Critique de l’École des Femmes. 343. La Cr
pe. 341. Le Tartuffe. 342. La Critique de l’École des Femmes.
343.
La Critique de l’École des Femmes, sc. III. 344
de l’École des Femmes. 343. La Critique de l’École des Femmes, sc.
III
. 344. Voir surtout le Misanthrope et les Femmes
cole des Femmes. 343. La Critique de l’École des Femmes, sc. III.
344.
Voir surtout le Misanthrope et les Femmes savante
sc. III. 344. Voir surtout le Misanthrope et les Femmes savantes.
345.
Le Tartuffe, act. II, sc. I, III, Mariane ; l’Av
tout le Misanthrope et les Femmes savantes. 345. Le Tartuffe, act.
II
, sc. I, III, Mariane ; l’Avare, Elise ; M. de Pou
Misanthrope et les Femmes savantes. 345. Le Tartuffe, act. II, sc.
I
, III, Mariane ; l’Avare, Elise ; M. de Pourceaugn
anthrope et les Femmes savantes. 345. Le Tartuffe, act. II, sc. I,
III
, Mariane ; l’Avare, Elise ; M. de Pourceaugnac, a
. II, sc. I, III, Mariane ; l’Avare, Elise ; M. de Pourceaugnac, act.
I
, sc. IV, Julie ; les Femmes savantes, Henriette ;
c. I, III, Mariane ; l’Avare, Elise ; M. de Pourceaugnac, act. I, sc.
IV
, Julie ; les Femmes savantes, Henriette ; le Mala
, Julie ; les Femmes savantes, Henriette ; le Malade imaginaire, act.
III
, sc. XX et suiv., Angélique. 346. Le Bourgeois
les Femmes savantes, Henriette ; le Malade imaginaire, act. III, sc.
XX
et suiv., Angélique. 346. Le Bourgeois gentilh
iette ; le Malade imaginaire, act. III, sc. XX et suiv., Angélique.
346.
Le Bourgeois gentilhomme. 347. Les Femmes sav
III, sc. XX et suiv., Angélique. 346. Le Bourgeois gentilhomme.
347.
Les Femmes savantes. 348. Voir surtout M. de
que. 346. Le Bourgeois gentilhomme. 347. Les Femmes savantes.
348.
Voir surtout M. de Pourceaugnac. 349. L’Avare
347. Les Femmes savantes. 348. Voir surtout M. de Pourceaugnac.
349.
L’Avare, act. V, sc. V. 350. Les Femmes savant
antes. 348. Voir surtout M. de Pourceaugnac. 349. L’Avare, act.
V
, sc. V. 350. Les Femmes savantes, Henriette ; l
348. Voir surtout M. de Pourceaugnac. 349. L’Avare, act. V, sc.
V.
350. Les Femmes savantes, Henriette ; le Malade
8. Voir surtout M. de Pourceaugnac. 349. L’Avare, act. V, sc. V.
350.
Les Femmes savantes, Henriette ; le Malade imagi
Les Femmes savantes, Henriette ; le Malade imaginaire, Angélique.
351.
Le Tartuffe, l’Avare, le Bourgeois gentilhomme, l
il me semble que vous vous jouez un peu beaucoup de mon père » (act.
III
, sc. XXIII). 352. Voir plus loin chap. VII et VI
mble que vous vous jouez un peu beaucoup de mon père » (act. III, sc.
XXIII
). 352. Voir plus loin chap. VII et VIII. 353.
vous vous jouez un peu beaucoup de mon père » (act. III, sc. XXIII).
352.
Voir plus loin chap. VII et VIII. 353. Le Maria
ucoup de mon père » (act. III, sc. XXIII). 352. Voir plus loin chap.
VII
et VIII. 353. Le Mariage forcé, Dorimène. 354
e mon père » (act. III, sc. XXIII). 352. Voir plus loin chap. VII et
VIII
. 353. Le Mariage forcé, Dorimène. 354. Les F
ère » (act. III, sc. XXIII). 352. Voir plus loin chap. VII et VIII.
353.
Le Mariage forcé, Dorimène. 354. Les Femmes s
oir plus loin chap. VII et VIII. 353. Le Mariage forcé, Dorimène.
354.
Les Femmes savantes, Philaminte. 355. Le Misan
e Mariage forcé, Dorimène. 354. Les Femmes savantes, Philaminte.
355.
Le Misanthrope, Célimène. Voir plus loin, p. 112.
Philaminte. 355. Le Misanthrope, Célimène. Voir plus loin, p. 112.
356.
Amphytrion, act. I, sc. III ; act. II, sc. II, V
isanthrope, Célimène. Voir plus loin, p. 112. 356. Amphytrion, act.
I
, sc. III ; act. II, sc. II, VI. D’ailleurs Alcmèn
ope, Célimène. Voir plus loin, p. 112. 356. Amphytrion, act. I, sc.
III
; act. II, sc. II, VI. D’ailleurs Alcmène est bie
ne. Voir plus loin, p. 112. 356. Amphytrion, act. I, sc. III ; act.
II
, sc. II, VI. D’ailleurs Alcmène est bien une épou
plus loin, p. 112. 356. Amphytrion, act. I, sc. III ; act. II, sc.
II
, VI. D’ailleurs Alcmène est bien une épouse passi
s loin, p. 112. 356. Amphytrion, act. I, sc. III ; act. II, sc. II,
VI
. D’ailleurs Alcmène est bien une épouse passionné
cmène est bien une épouse passionnée, mais non une mère de famille.
357.
« Molière avait confié le rôle A’Elmire à sa
» J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
III
. 358. Le Tartuffe, act. III, sc. III. 359. Id
Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III.
358.
Le Tartuffe, act. III, sc. III. 359. Id., act.
la vie et des ouvrages de Molière, liv. III. 358. Le Tartuffe, act.
III
, sc. III. 359. Id., act. III, sc. VI, VIII. 36
des ouvrages de Molière, liv. III. 358. Le Tartuffe, act. III, sc.
III
. 359. Id., act. III, sc. VI, VIII. 360. Id. a
uvrages de Molière, liv. III. 358. Le Tartuffe, act. III, sc. III.
359.
Id., act. III, sc. VI, VIII. 360. Id. act. I,
re, liv. III. 358. Le Tartuffe, act. III, sc. III. 359. Id., act.
III
, sc. VI, VIII. 360. Id. act. I, sc. I. 361. L
III. 358. Le Tartuffe, act. III, sc. III. 359. Id., act. III, sc.
VI
, VIII. 360. Id. act. I, sc. I. 361. Le Tartuf
358. Le Tartuffe, act. III, sc. III. 359. Id., act. III, sc. VI,
VIII
. 360. Id. act. I, sc. I. 361. Le Tartuffe, ac
Le Tartuffe, act. III, sc. III. 359. Id., act. III, sc. VI, VIII.
360.
Id. act. I, sc. I. 361. Le Tartuffe, act. I, s
ct. III, sc. III. 359. Id., act. III, sc. VI, VIII. 360. Id. act.
I
, sc. I. 361. Le Tartuffe, act. I, sc. I. 362.
, sc. III. 359. Id., act. III, sc. VI, VIII. 360. Id. act. I, sc.
I
. 361. Le Tartuffe, act. I, sc. I. 362. Id., a
. III. 359. Id., act. III, sc. VI, VIII. 360. Id. act. I, sc. I.
361.
Le Tartuffe, act. I, sc. I. 362. Id., act. III
III, sc. VI, VIII. 360. Id. act. I, sc. I. 361. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I. 362. Id., act. III, sc. III. 363. Id.
. VI, VIII. 360. Id. act. I, sc. I. 361. Le Tartuffe, act. I, sc.
I
. 362. Id., act. III, sc. III. 363. Id., act..
, VIII. 360. Id. act. I, sc. I. 361. Le Tartuffe, act. I, sc. I.
362.
Id., act. III, sc. III. 363. Id., act.. III, s
d. act. I, sc. I. 361. Le Tartuffe, act. I, sc. I. 362. Id., act.
III
, sc. III. 363. Id., act.. III, sc. IV. 364. I
, sc. I. 361. Le Tartuffe, act. I, sc. I. 362. Id., act. III, sc.
III
. 363. Id., act.. III, sc. IV. 364. Id., act.
I. 361. Le Tartuffe, act. I, sc. I. 362. Id., act. III, sc. III.
363.
Id., act.. III, sc. IV. 364. Id., act. III, sc
uffe, act. I, sc. I. 362. Id., act. III, sc. III. 363. Id., act..
III
, sc. IV. 364. Id., act. III, sc. V. 365. Le T
. I, sc. I. 362. Id., act. III, sc. III. 363. Id., act.. III, sc.
IV
. 364. Id., act. III, sc. V. 365. Le Tartuffe,
sc. I. 362. Id., act. III, sc. III. 363. Id., act.. III, sc. IV.
364.
Id., act. III, sc. V. 365. Le Tartuffe, act. I
., act. III, sc. III. 363. Id., act.. III, sc. IV. 364. Id., act.
III
, sc. V. 365. Le Tartuffe, act. III, sc. IV. 36
II, sc. III. 363. Id., act.. III, sc. IV. 364. Id., act. III, sc.
V.
365. Le Tartuffe, act. III, sc. IV. 366. Le T
sc. III. 363. Id., act.. III, sc. IV. 364. Id., act. III, sc. V.
365.
Le Tartuffe, act. III, sc. IV. 366. Le Tartuff
.. III, sc. IV. 364. Id., act. III, sc. V. 365. Le Tartuffe, act.
III
, sc. IV. 366. Le Tartuffe, act. IV, sc. III-VII
c. IV. 364. Id., act. III, sc. V. 365. Le Tartuffe, act. III, sc.
IV
. 366. Le Tartuffe, act. IV, sc. III-VII. 367.
. 364. Id., act. III, sc. V. 365. Le Tartuffe, act. III, sc. IV.
366.
Le Tartuffe, act. IV, sc. III-VII. 367. Id., a
sc. V. 365. Le Tartuffe, act. III, sc. IV. 366. Le Tartuffe, act.
IV
, sc. III-VII. 367. Id., act. V, sc. m, v, vu. E
artuffe, act. III, sc. IV. 366. Le Tartuffe, act. IV, sc. III-VII.
367.
Id., act. V, sc. m, v, vu. Elmire ne dit pas deu
I, sc. IV. 366. Le Tartuffe, act. IV, sc. III-VII. 367. Id., act.
V
, sc. m, v, vu. Elmire ne dit pas deux mots pendan
IV, sc. III-VII. 367. Id., act. V, sc. m, v, vu. Elmire ne dit pas
deux
mots pendant toutes les invectives de Mme Pernell
endant toutes les invectives de Mme Pernelle et les larmes d’Orgon.
368.
Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act. V, sc. II. 36
ives de Mme Pernelle et les larmes d’Orgon. 368. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I ; act. V, sc. II. 369. Le Malade imagina
Mme Pernelle et les larmes d’Orgon. 368. Le Tartuffe, act. I, sc.
I
; act. V, sc. II. 369. Le Malade imaginaire, ac
elle et les larmes d’Orgon. 368. Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act.
V
, sc. II. 369. Le Malade imaginaire, act. I, sc.
les larmes d’Orgon. 368. Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act. V, sc.
II
. 369. Le Malade imaginaire, act. I, sc. VII-IX
larmes d’Orgon. 368. Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act. V, sc. II.
369.
Le Malade imaginaire, act. I, sc. VII-IX ; act.
fe, act. I, sc. I ; act. V, sc. II. 369. Le Malade imaginaire, act.
I
, sc. VII-IX ; act. II, sc. VII ; act. III, sc. XV
ct. V, sc. II. 369. Le Malade imaginaire, act. I, sc. VII-IX ; act.
II
, sc. VII ; act. III, sc. XVIII. 370. Les Femmes
c. II. 369. Le Malade imaginaire, act. I, sc. VII-IX ; act. II, sc.
VII
; act. III, sc. XVIII. 370. Les Femmes savantes
. Le Malade imaginaire, act. I, sc. VII-IX ; act. II, sc. VII ; act.
III
, sc. XVIII. 370. Les Femmes savantes, voir plus
ade imaginaire, act. I, sc. VII-IX ; act. II, sc. VII ; act. III, sc.
XVIII
. 370. Les Femmes savantes, voir plus haut, chap
inaire, act. I, sc. VII-IX ; act. II, sc. VII ; act. III, sc. XVIII.
370.
Les Femmes savantes, voir plus haut, chap. V. 3
ct. III, sc. XVIII. 370. Les Femmes savantes, voir plus haut, chap.
V.
371. Le Mari confondu, act. I, sc. IV VI VII ;
III, sc. XVIII. 370. Les Femmes savantes, voir plus haut, chap. V.
371.
Le Mari confondu, act. I, sc. IV VI VII ; act. I
mmes savantes, voir plus haut, chap. V. 371. Le Mari confondu, act.
I
, sc. IV VI VII ; act. II, sc. IX, XI, XII ; act.
vantes, voir plus haut, chap. V. 371. Le Mari confondu, act. I, sc.
IV
VI VII ; act. II, sc. IX, XI, XII ; act. III, sc.
tes, voir plus haut, chap. V. 371. Le Mari confondu, act. I, sc. IV
VI
VII ; act. II, sc. IX, XI, XII ; act. III, sc. XI
, voir plus haut, chap. V. 371. Le Mari confondu, act. I, sc. IV VI
VII
; act. II, sc. IX, XI, XII ; act. III, sc. XIV.
haut, chap. V. 371. Le Mari confondu, act. I, sc. IV VI VII ; act.
II
, sc. IX, XI, XII ; act. III, sc. XIV. 372. Le B
hap. V. 371. Le Mari confondu, act. I, sc. IV VI VII ; act. II, sc.
IX
, XI, XII ; act. III, sc. XIV. 372. Le Bourgeois
V. 371. Le Mari confondu, act. I, sc. IV VI VII ; act. II, sc. IX,
XI
, XII ; act. III, sc. XIV. 372. Le Bourgeois gen
371. Le Mari confondu, act. I, sc. IV VI VII ; act. II, sc. IX, XI,
XII
; act. III, sc. XIV. 372. Le Bourgeois gentilho
ari confondu, act. I, sc. IV VI VII ; act. II, sc. IX, XI, XII ; act.
III
, sc. XIV. 372. Le Bourgeois gentilhomme, act. I
ndu, act. I, sc. IV VI VII ; act. II, sc. IX, XI, XII ; act. III, sc.
XIV
. 372. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. I
ct. I, sc. IV VI VII ; act. II, sc. IX, XI, XII ; act. III, sc. XIV.
372.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. III-VII,
X, XI, XII ; act. III, sc. XIV. 372. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. III-VII, XII, XIII ; act. IV, sc. II, III ;
III, sc. XIV. 372. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. III-VII,
XII
, XIII ; act. IV, sc. II, III ; act. V, sc. I, VII
sc. XIV. 372. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. III-VII, XII,
XIII
; act. IV, sc. II, III ; act. V, sc. I, VII. — Vo
2. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. III-VII, XII, XIII ; act.
IV
, sc. II, III ; act. V, sc. I, VII. — Voir d’aille
ourgeois gentilhomme, act. III, sc. III-VII, XII, XIII ; act. IV, sc.
II
, III ; act. V, sc. I, VII. — Voir d’ailleurs sur
eois gentilhomme, act. III, sc. III-VII, XII, XIII ; act. IV, sc. II,
III
; act. V, sc. I, VII. — Voir d’ailleurs sur la fe
homme, act. III, sc. III-VII, XII, XIII ; act. IV, sc. II, III ; act.
V
, sc. I, VII. — Voir d’ailleurs sur la femme marié
act. III, sc. III-VII, XII, XIII ; act. IV, sc. II, III ; act. V, sc.
I
, VII. — Voir d’ailleurs sur la femme mariée et la
. III, sc. III-VII, XII, XIII ; act. IV, sc. II, III ; act. V, sc. I,
VII
. — Voir d’ailleurs sur la femme mariée et la mère
’ailleurs sur la femme mariée et la mère de famille, plus loin, chap.
VIII
. 373. L’Amour médecin, act. I, sc. III, IV, VI
rs sur la femme mariée et la mère de famille, plus loin, chap. VIII.
373.
L’Amour médecin, act. I, sc. III, IV, VI ; act.
mère de famille, plus loin, chap. VIII. 373. L’Amour médecin, act.
I
, sc. III, IV, VI ; act. II, sc. I, II ; act. III,
e famille, plus loin, chap. VIII. 373. L’Amour médecin, act. I, sc.
III
, IV, VI ; act. II, sc. I, II ; act. III, sc. II-V
ille, plus loin, chap. VIII. 373. L’Amour médecin, act. I, sc. III,
IV
, VI ; act. II, sc. I, II ; act. III, sc. II-VII.
, plus loin, chap. VIII. 373. L’Amour médecin, act. I, sc. III, IV,
VI
; act. II, sc. I, II ; act. III, sc. II-VII. 374
n, chap. VIII. 373. L’Amour médecin, act. I, sc. III, IV, VI ; act.
II
, sc. I, II ; act. III, sc. II-VII. 374. Le Tart
VIII. 373. L’Amour médecin, act. I, sc. III, IV, VI ; act. II, sc.
I
, II ; act. III, sc. II-VII. 374. Le Tartuffe, a
II. 373. L’Amour médecin, act. I, sc. III, IV, VI ; act. II, sc. I,
II
; act. III, sc. II-VII. 374. Le Tartuffe, act.
L’Amour médecin, act. I, sc. III, IV, VI ; act. II, sc. I, II ; act.
III
, sc. II-VII. 374. Le Tartuffe, act. I, sc. I-V
act. I, sc. III, IV, VI ; act. II, sc. I, II ; act. III, sc. II-VII.
374.
Le Tartuffe, act. I, sc. I-V ; act. II, sc. II-I
; act. II, sc. I, II ; act. III, sc. II-VII. 374. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I-V ; act. II, sc. II-IV ; act. III, sc. I.
II ; act. III, sc. II-VII. 374. Le Tartuffe, act. I, sc. I-V ; act.
II
, sc. II-IV ; act. III, sc. I. 375. Le Malade im
-VII. 374. Le Tartuffe, act. I, sc. I-V ; act. II, sc. II-IV ; act.
III
, sc. I. 375. Le Malade imaginaire, act. I, sc.
4. Le Tartuffe, act. I, sc. I-V ; act. II, sc. II-IV ; act. III, sc.
I
. 375. Le Malade imaginaire, act. I, sc. IV, V,
Le Tartuffe, act. I, sc. I-V ; act. II, sc. II-IV ; act. III, sc. I.
375.
Le Malade imaginaire, act. I, sc. IV, V, X ; act
t. II, sc. II-IV ; act. III, sc. I. 375. Le Malade imaginaire, act.
I
, sc. IV, V, X ; act. II, sc. I-IX ; act. III, sc.
sc. II-IV ; act. III, sc. I. 375. Le Malade imaginaire, act. I, sc.
IV
, V, X ; act. II, sc. I-IX ; act. III, sc. I, II,
II-IV ; act. III, sc. I. 375. Le Malade imaginaire, act. I, sc. IV,
V
, X ; act. II, sc. I-IX ; act. III, sc. I, II, X-X
IV ; act. III, sc. I. 375. Le Malade imaginaire, act. I, sc. IV, V,
X
; act. II, sc. I-IX ; act. III, sc. I, II, X-XXII
III, sc. I. 375. Le Malade imaginaire, act. I, sc. IV, V, X ; act.
II
, sc. I-IX ; act. III, sc. I, II, X-XXIII. 376.
Le Malade imaginaire, act. I, sc. IV, V, X ; act. II, sc. I-IX ; act.
III
, sc. I, II, X-XXIII. 376. Le Dépit amoureux, Fr
imaginaire, act. I, sc. IV, V, X ; act. II, sc. I-IX ; act. III, sc.
I
, II, X-XXIII. 376. Le Dépit amoureux, Frosine ;
aginaire, act. I, sc. IV, V, X ; act. II, sc. I-IX ; act. III, sc. I,
II
, X-XXIII. 376. Le Dépit amoureux, Frosine ; le
I, sc. IV, V, X ; act. II, sc. I-IX ; act. III, sc. I, II, X-XXIII.
376.
Le Dépit amoureux, Frosine ; le Mari confondu, C
confondu, Claudine ; l’Avare, Frosine ; M. de Pourceaugnac, Nérine.
377.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. II-VIII,
; M. de Pourceaugnac, Nérine. 377. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. II-VIII, X-XIII. 378. Le Malade imaginaire
ne. 377. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. II-VIII, X-XIII.
378.
Le Malade imaginaire, voir note 4. 379. Les Fe
act. III, sc. II-VIII, X-XIII. 378. Le Malade imaginaire, voir note
4.
379. Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 380
III, sc. II-VIII, X-XIII. 378. Le Malade imaginaire, voir note 4.
379.
Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 380. Eli
Le Malade imaginaire, voir note 4. 379. Les Femmes savantes, act.
V
, sc. III. 380. Eliante dans le Misanthrope, Elm
lade imaginaire, voir note 4. 379. Les Femmes savantes, act. V, sc.
III
. 380. Eliante dans le Misanthrope, Elmire dans
maginaire, voir note 4. 379. Les Femmes savantes, act. V, sc. III.
380.
Eliante dans le Misanthrope, Elmire dans le Tart
e, Elmire dans le Tartuffe, Henriette dans les Femmes savantes, etc.
381.
Le Misanthrope, act. II, sc. V; act. III, sc. V,
Henriette dans les Femmes savantes, etc. 381. Le Misanthrope, act.
II
, sc. V; act. III, sc. V, VI. — Le Tartuffe, act.
te dans les Femmes savantes, etc. 381. Le Misanthrope, act. II, sc.
V
; act. III, sc. V, VI. — Le Tartuffe, act. I, sc.
les Femmes savantes, etc. 381. Le Misanthrope, act. II, sc. V; act.
III
, sc. V, VI. — Le Tartuffe, act. I, sc. I. 382.
s savantes, etc. 381. Le Misanthrope, act. II, sc. V; act. III, sc.
V
, VI. — Le Tartuffe, act. I, sc. I. 382. L’Im
avantes, etc. 381. Le Misanthrope, act. II, sc. V; act. III, sc. V,
VI
. — Le Tartuffe, act. I, sc. I. 382. L’Improm
Misanthrope, act. II, sc. V; act. III, sc. V, VI. — Le Tartuffe, act.
I
, sc. I. 382. L’Impromptu de Versailles, sc.
rope, act. II, sc. V; act. III, sc. V, VI. — Le Tartuffe, act. I, sc.
I
. 382. L’Impromptu de Versailles, sc. I. — Bo
act. II, sc. V; act. III, sc. V, VI. — Le Tartuffe, act. I, sc. I.
382.
L’Impromptu de Versailles, sc. I. — Boileau :
Le Tartuffe, act. I, sc. I. 382. L’Impromptu de Versailles, sc.
I
. — Boileau : .......Cette bilieuse, Qui, f
Satire
X
, v. 626. 383. L’Impromptu de Versailles, sc. I
Satire X, v.
626.
383. L’Impromptu de Versailles, sc. I, la Pest
Satire X, v. 626.
383.
L’Impromptu de Versailles, sc. I, la Peste douce
Satire X, v. 626. 383. L’Impromptu de Versailles, sc.
I
, la Peste doucereuse. 384. Le Tartuffe, act. IV
626. 383. L’Impromptu de Versailles, sc. I, la Peste doucereuse.
384.
Le Tartuffe, act. IV, sc. III. 385. Paul., I C
u de Versailles, sc. I, la Peste doucereuse. 384. Le Tartuffe, act.
IV
, sc. III. 385. Paul., I Cor., v. 13. 386. Voir
sailles, sc. I, la Peste doucereuse. 384. Le Tartuffe, act. IV, sc.
III
. 385. Paul., I Cor., v. 13. 386. Voir plus loi
s, sc. I, la Peste doucereuse. 384. Le Tartuffe, act. IV, sc. III.
385.
Paul., I Cor., v. 13. 386. Voir plus loin, chap
Peste doucereuse. 384. Le Tartuffe, act. IV, sc. III. 385. Paul.,
I
Cor., v. 13. 386. Voir plus loin, chap. VII. 38
reuse. 384. Le Tartuffe, act. IV, sc. III. 385. Paul., I Cor., v.
13.
386. Voir plus loin, chap. VII. 387. Le Misant
. 384. Le Tartuffe, act. IV, sc. III. 385. Paul., I Cor., v. 13.
386.
Voir plus loin, chap. VII. 387. Le Misanthrope,
IV, sc. III. 385. Paul., I Cor., v. 13. 386. Voir plus loin, chap.
VII
. 387. Le Misanthrope, act. III, sc. V. 388. V
. III. 385. Paul., I Cor., v. 13. 386. Voir plus loin, chap. VII.
387.
Le Misanthrope, act. III, sc. V. 388. Voiries
, v. 13. 386. Voir plus loin, chap. VII. 387. Le Misanthrope, act.
III
, sc. V. 388. Voiries diverses vies de Molière,
386. Voir plus loin, chap. VII. 387. Le Misanthrope, act. III, sc.
V.
388. Voiries diverses vies de Molière, et parti
Voir plus loin, chap. VII. 387. Le Misanthrope, act. III, sc. V.
388.
Voiries diverses vies de Molière, et particulière
nt J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
II
; A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Moliè
e, liv. II ; A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, part.
II
. Voir aussi plus loin, chap. VII, p. 122. 389. A
toriques sur la vie de Molière, part. II. Voir aussi plus loin, chap.
VII
, p. 122. 389. A. de Musset, Don Paez, I. 390.
a vie de Molière, part. II. Voir aussi plus loin, chap. VII, p. 122.
389.
A. de Musset, Don Paez, I. 390. Le Misanthrope,
oir aussi plus loin, chap. VII, p. 122. 389. A. de Musset, Don Paez,
I
. 390. Le Misanthrope, act. II, sc. V. 391. Id
aussi plus loin, chap. VII, p. 122. 389. A. de Musset, Don Paez, I.
390.
Le Misanthrope, act. II, sc. V. 391. Id., act.
p. 122. 389. A. de Musset, Don Paez, I. 390. Le Misanthrope, act.
II
, sc. V. 391. Id., act. III, sc. I. 392. Id.,
389. A. de Musset, Don Paez, I. 390. Le Misanthrope, act. II, sc.
V.
391. Id., act. III, sc. I. 392. Id., act. IV,
9. A. de Musset, Don Paez, I. 390. Le Misanthrope, act. II, sc. V.
391.
Id., act. III, sc. I. 392. Id., act. IV, sc. I
Don Paez, I. 390. Le Misanthrope, act. II, sc. V. 391. Id., act.
III
, sc. I. 392. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc
, I. 390. Le Misanthrope, act. II, sc. V. 391. Id., act. III, sc.
I
. 392. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II.
390. Le Misanthrope, act. II, sc. V. 391. Id., act. III, sc. I.
392.
Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II. 393. I
thrope, act. II, sc. V. 391. Id., act. III, sc. I. 392. Id., act.
IV
, sc. III ; act. V, sc. II. 393. Id., act. V, sc
act. II, sc. V. 391. Id., act. III, sc. I. 392. Id., act. IV, sc.
III
; act. V, sc. II. 393. Id., act. V, sc. IV, V.
. V. 391. Id., act. III, sc. I. 392. Id., act. IV, sc. III ; act.
V
, sc. II. 393. Id., act. V, sc. IV, V. 394. Le
91. Id., act. III, sc. I. 392. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc.
II
. 393. Id., act. V, sc. IV, V. 394. Le Misanthr
Id., act. III, sc. I. 392. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II.
393.
Id., act. V, sc. IV, V. 394. Le Misanthrope, ac
c. I. 392. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II. 393. Id., act.
V
, sc. IV, V. 394. Le Misanthrope, act. V, sc. VII
392. Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II. 393. Id., act. V, sc.
IV
, V. 394. Le Misanthrope, act. V, sc. VII. 395.
Id., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II. 393. Id., act. V, sc. IV,
V.
394. Le Misanthrope, act. V, sc. VII. 395. Id.
., act. IV, sc. III ; act. V, sc. II. 393. Id., act. V, sc. IV, V.
394.
Le Misanthrope, act. V, sc. VII. 395. Id., act.
V, sc. II. 393. Id., act. V, sc. IV, V. 394. Le Misanthrope, act.
V
, sc. VII. 395. Id., act. III, sc. V. 396.
II. 393. Id., act. V, sc. IV, V. 394. Le Misanthrope, act. V, sc.
VII
. 395. Id., act. III, sc. V. 396. L’impromp
393. Id., act. V, sc. IV, V. 394. Le Misanthrope, act. V, sc. VII.
395.
Id., act. III, sc. V. 396. L’impromptu de V
V, sc. IV, V. 394. Le Misanthrope, act. V, sc. VII. 395. Id., act.
III
, sc. V. 396. L’impromptu de Versailles, sc.
, V. 394. Le Misanthrope, act. V, sc. VII. 395. Id., act. III, sc.
V.
396. L’impromptu de Versailles, sc. I – Comp
394. Le Misanthrope, act. V, sc. VII. 395. Id., act. III, sc. V.
396.
L’impromptu de Versailles, sc. I – Comparez le
395. Id., act. III, sc. V. 396. L’impromptu de Versailles, sc.
I
– Comparez le Tartuffe, act. IV, sc. V : Le s
396. L’impromptu de Versailles, sc. I – Comparez le Tartuffe, act.
IV
, sc. V : Le scandale du monde est ce qui fait
L’impromptu de Versailles, sc. I – Comparez le Tartuffe, act. IV, sc.
V
: Le scandale du monde est ce qui fait l’offe
i fait l’offense, Et ce n’est pas pécher que pécher en silence.
397.
Boileau, Satire X, V. 525. - Voir encore, sur Cél
Et ce n’est pas pécher que pécher en silence. 397. Boileau, Satire
X
, V. 525. - Voir encore, sur Célimène et Arsinoé,
ce n’est pas pécher que pécher en silence. 397. Boileau, Satire X,
V.
525. - Voir encore, sur Célimène et Arsinoé, D. N
n’est pas pécher que pécher en silence. 397. Boileau, Satire X, V.
525.
- Voir encore, sur Célimène et Arsinoé, D. Nisard
7. Boileau, Satire X, V. 525. - Voir encore, sur Célimène et Arsinoé,
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
ène et Arsinoé, D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
III
, chap. IX, § 4, le Misanthrope ; et sur la coquet
noé, D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap.
IX
, § 4, le Misanthrope ; et sur la coquetterie, plu
. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX, §
4,
le Misanthrope ; et sur la coquetterie, plus loin
ap. IX, § 4, le Misanthrope ; et sur la coquetterie, plus loin, chap.
VII
, p. 134. 398. Le Dépit amoureux, Frosine ; l’É
Misanthrope ; et sur la coquetterie, plus loin, chap. VII, p. 134.
398.
Le Dépit amoureux, Frosine ; l’École des Femmes,
p. 134. 398. Le Dépit amoureux, Frosine ; l’École des Femmes, act.
II
, sc. VI, la Vieille ; l’Avare, act. II, sc. V, VI
398. Le Dépit amoureux, Frosine ; l’École des Femmes, act. II, sc.
VI
, la Vieille ; l’Avare, act. II, sc. V, VI ; act.
ine ; l’École des Femmes, act. II, sc. VI, la Vieille ; l’Avare, act.
II
, sc. V, VI ; act. III, sc. VIII-X ; act. IV, sc.
École des Femmes, act. II, sc. VI, la Vieille ; l’Avare, act. II, sc.
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III
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IV
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I
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I
, sc. III, IV, Nérine. 399. Voir plus haut, chap
c. VIII-X ; act. IV, sc. I, Frosine ; M. de Pourceaugnac, act. I, sc.
III
, IV, Nérine. 399. Voir plus haut, chap. IV, p.
II-X ; act. IV, sc. I, Frosine ; M. de Pourceaugnac, act. I, sc. III,
IV
, Nérine. 399. Voir plus haut, chap. IV, p. 69.
, sc. I, Frosine ; M. de Pourceaugnac, act. I, sc. III, IV, Nérine.
399.
Voir plus haut, chap. IV, p. 69. 400. Voir plus
urceaugnac, act. I, sc. III, IV, Nérine. 399. Voir plus haut, chap.
IV
, p. 69. 400. Voir plus haut, p. 110. 401. Céli
act. I, sc. III, IV, Nérine. 399. Voir plus haut, chap. IV, p. 69.
400.
Voir plus haut, p. 110. 401. Célie et Hippolyte
399. Voir plus haut, chap. IV, p. 69. 400. Voir plus haut, p. 110.
401.
Célie et Hippolyte ; Isidore et Zaïde. 402. A
ir plus haut, p. 110. 401. Célie et Hippolyte ; Isidore et Zaïde.
402.
Ascagne-Dorothée, act. V, sc. IX. 403. Aglanth
Célie et Hippolyte ; Isidore et Zaïde. 402. Ascagne-Dorothée, act.
V
, sc. IX. 403. Aglanthe, Cynthie, Philis. 404.
t Hippolyte ; Isidore et Zaïde. 402. Ascagne-Dorothée, act. V, sc.
IX
. 403. Aglanthe, Cynthie, Philis. 404. Aristi
polyte ; Isidore et Zaïde. 402. Ascagne-Dorothée, act. V, sc. IX.
403.
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Ascagne-Dorothée, act. V, sc. IX. 403. Aglanthe, Cynthie, Philis.
404.
Aristione, Eriphile, Cléonice. 405. Mélicerte
Aglanthe, Cynthie, Philis. 404. Aristione, Eriphile, Cléonice.
405.
Mélicerte, Daphné, Eroxène, Corinne. 406. Alc
e, Eriphile, Cléonice. 405. Mélicerte, Daphné, Eroxène, Corinne.
406.
Alcine, Célie, Dircé. 407. Flore, Vénus, etc.
Mélicerte, Daphné, Eroxène, Corinne. 406. Alcine, Célie, Dircé.
407.
Flore, Vénus, etc. — La pièce de Psyché contient
ient à la rigueur, dans les personnages d’Aglaure et de Cidippe (act.
I
, sc. I, V, act. IV, sc. I, II), une petite leçon
la rigueur, dans les personnages d’Aglaure et de Cidippe (act. I, sc.
I
, V, act. IV, sc. I, II), une petite leçon morale
rigueur, dans les personnages d’Aglaure et de Cidippe (act. I, sc. I,
V
, act. IV, sc. I, II), une petite leçon morale sur
dans les personnages d’Aglaure et de Cidippe (act. I, sc. I, V, act.
IV
, sc. I, II), une petite leçon morale sur la jalou
s personnages d’Aglaure et de Cidippe (act. I, sc. I, V, act. IV, sc.
I
, II), une petite leçon morale sur la jalousie ent
ersonnages d’Aglaure et de Cidippe (act. I, sc. I, V, act. IV, sc. I,
II
), une petite leçon morale sur la jalousie entre s
irardin fait ressortir dans son Cours de Littérature dramatique, tome
II
, XXX. 408. Voir plus loin, chap. VII, et surtout
din fait ressortir dans son Cours de Littérature dramatique, tome II,
XXX
. 408. Voir plus loin, chap. VII, et surtout chap
it ressortir dans son Cours de Littérature dramatique, tome II, XXX.
408.
Voir plus loin, chap. VII, et surtout chap. IX.
de Littérature dramatique, tome II, XXX. 408. Voir plus loin, chap.
VII
, et surtout chap. IX. 409. Voir plus haut, chap.
ique, tome II, XXX. 408. Voir plus loin, chap. VII, et surtout chap.
IX
. 409. Voir plus haut, chap. IV, p. 78. 410. Pag
tome II, XXX. 408. Voir plus loin, chap. VII, et surtout chap. IX.
409.
Voir plus haut, chap. IV, p. 78. 410. Page 116,
lus loin, chap. VII, et surtout chap. IX. 409. Voir plus haut, chap.
IV
, p. 78. 410. Page 116, note 1. 411. M. de Pour
ap. VII, et surtout chap. IX. 409. Voir plus haut, chap. IV, p. 78.
410.
Page 116, note 1. 411. M. de Pourceaugnac, act.
t surtout chap. IX. 409. Voir plus haut, chap. IV, p. 78. 410. Page
116,
note 1. 411. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. II
chap. IX. 409. Voir plus haut, chap. IV, p. 78. 410. Page 116, note
1.
411. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. III ; act.
. IX. 409. Voir plus haut, chap. IV, p. 78. 410. Page 116, note 1.
411.
M. de Pourceaugnac, act. I, sc. III ; act. II, s
p. IV, p. 78. 410. Page 116, note 1. 411. M. de Pourceaugnac, act.
I
, sc. III ; act. II, sc. VI. 412. Le Tartuffe, a
p. 78. 410. Page 116, note 1. 411. M. de Pourceaugnac, act. I, sc.
III
; act. II, sc. VI. 412. Le Tartuffe, act. I, sc
. Page 116, note 1. 411. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. III ; act.
II
, sc. VI. 412. Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act.
16, note 1. 411. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. III ; act. II, sc.
VI
. 412. Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act. II, sc.
ote 1. 411. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. III ; act. II, sc. VI.
412.
Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act. II, sc. II. —
ceaugnac, act. I, sc. III ; act. II, sc. VI. 412. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I ; act. II, sc. II. — Sainte-Beuve a fait a
c, act. I, sc. III ; act. II, sc. VI. 412. Le Tartuffe, act. I, sc.
I
; act. II, sc. II. — Sainte-Beuve a fait au point
, sc. III ; act. II, sc. VI. 412. Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act.
II
, sc. II. — Sainte-Beuve a fait au point de vue li
I ; act. II, sc. VI. 412. Le Tartuffe, act. I, sc. I ; act. II, sc.
II
. — Sainte-Beuve a fait au point de vue littéraire
son humeur comique, tantôt rieuse, tantôt profonde (Port-Royal, liv.
III
, chap. XVI). 413. Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII.
comique, tantôt rieuse, tantôt profonde (Port-Royal, liv. III, chap.
XVI
). 413. Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I
e, tantôt rieuse, tantôt profonde (Port-Royal, liv. III, chap. XVI).
413.
Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I,
rieuse, tantôt profonde (Port-Royal, liv. III, chap. XVI). 413. Sc.
XII
. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV, V,
e, tantôt profonde (Port-Royal, liv. III, chap. XVI). 413. Sc. XII.
414.
Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV, V, act. II
profonde (Port-Royal, liv. III, chap. XVI). 413. Sc. XII. 414. Sc.
VI
, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV, V, act. III, sc.
fonde (Port-Royal, liv. III, chap. XVI). 413. Sc. XII. 414. Sc. VI,
XXII
. 415. Act. I, sc. I, IV, V, act. III, sc. III, I
Port-Royal, liv. III, chap. XVI). 413. Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII.
415.
Act. I, sc. I, IV, V, act. III, sc. III, IX. 416
, liv. III, chap. XVI). 413. Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act.
I
, sc. I, IV, V, act. III, sc. III, IX. 416. Act.
III, chap. XVI). 413. Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc.
I
, IV, V, act. III, sc. III, IX. 416. Act. I, sc.
, chap. XVI). 413. Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I,
IV
, V, act. III, sc. III, IX. 416. Act. I, sc. IV ;
ap. XVI). 413. Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV,
V
, act. III, sc. III, IX. 416. Act. I, sc. IV ; ac
. 413. Sc. XII. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV, V, act.
III
, sc. III, IX. 416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc.
c. XII. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV, V, act. III, sc.
III
, IX. 416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, VII
I. 414. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV, V, act. III, sc. III,
IX
. 416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, VII. 4
14. Sc. VI, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV, V, act. III, sc. III, IX.
416.
Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, VII. 417. Act
, XXII. 415. Act. I, sc. I, IV, V, act. III, sc. III, IX. 416. Act.
I
, sc. IV ; act. II, sc. III, VII. 417. Act. II, s
415. Act. I, sc. I, IV, V, act. III, sc. III, IX. 416. Act. I, sc.
IV
; act. II, sc. III, VII. 417. Act. II, sc. III,
. I, sc. I, IV, V, act. III, sc. III, IX. 416. Act. I, sc. IV ; act.
II
, sc. III, VII. 417. Act. II, sc. III, IV, X, XI
I, IV, V, act. III, sc. III, IX. 416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc.
III
, VII. 417. Act. II, sc. III, IV, X, XI ; act. II
V, V, act. III, sc. III, IX. 416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III,
VII
. 417. Act. II, sc. III, IV, X, XI ; act. III, sc
act. III, sc. III, IX. 416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, VII.
417.
Act. II, sc. III, IV, X, XI ; act. III, sc. II-XI
sc. III, IX. 416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, VII. 417. Act.
II
, sc. III, IV, X, XI ; act. III, sc. II-XII. Claud
IX. 416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, VII. 417. Act. II, sc.
III
, IV, X, XI ; act. III, sc. II-XII. Claudine confi
416. Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, VII. 417. Act. II, sc. III,
IV
, X, XI ; act. III, sc. II-XII. Claudine confident
. Act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, VII. 417. Act. II, sc. III, IV,
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XI
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IV ; act. II, sc. III, VII. 417. Act. II, sc. III, IV, X, XI ; act.
III
, sc. II-XII. Claudine confidente d’Angélique est
. II-XII. Claudine confidente d’Angélique est également condamnable.
418.
Sc. III, IV, XI, XII. 419. Voir plus loin, chap.
Claudine confidente d’Angélique est également condamnable. 418. Sc.
III
, IV, XI, XII. 419. Voir plus loin, chap. IX. 42
dine confidente d’Angélique est également condamnable. 418. Sc. III,
IV
, XI, XII. 419. Voir plus loin, chap. IX. 420.
confidente d’Angélique est également condamnable. 418. Sc. III, IV,
XI
, XII. 419. Voir plus loin, chap. IX. 420. Epît
fidente d’Angélique est également condamnable. 418. Sc. III, IV, XI,
XII
. 419. Voir plus loin, chap. IX. 420. Epître VI
e d’Angélique est également condamnable. 418. Sc. III, IV, XI, XII.
419.
Voir plus loin, chap. IX. 420. Epître VII, v. 7
condamnable. 418. Sc. III, IV, XI, XII. 419. Voir plus loin, chap.
IX
. 420. Epître VII, v. 79.
amnable. 418. Sc. III, IV, XI, XII. 419. Voir plus loin, chap. IX.
420.
Epître VII, v. 79.
. Sc. III, IV, XI, XII. 419. Voir plus loin, chap. IX. 420. Epître
VII
, v. 79.
I, IV, XI, XII. 419. Voir plus loin, chap. IX. 420. Epître VII, v.
79.
CHAPITRE
VIII
. Le Mariage. Est-ce par nécessité de comédie,
les âmes seules, et que l’homme ait ainsi la puissance de séparer en
deux
le corps et l’esprit, qui font une seule et même
Puis, après cette boutade arrachée à son bon sens par les visions de
deux
folles achevées, il ajoute, avec la dignité de l’
étentions de ne connaître point les chaînes des sens ni de la matière
500.
Bien plus encore, en face d’un homme, d’un amant,
brutaux, du commerce des sens, des nœuds de chair et des sales désirs
501.
Tout cela est très-comique et très-sérieux : la
vérité banale, et pourtant sans cesse attaquée par des utopistes des
deux
sexes, que le mariage est la base, et la moralité
u’il attaque une chose sacrée, l’union sur laquelle repose la famille
514
? Cet enseignement, qui devient sérieux presque j
à une condition indispensable : c’est qu’il soit le nœud bien assorti
518
qui lie deux personnes portées par la nature à s’
ion indispensable : c’est qu’il soit le nœud bien assorti 518 qui lie
deux
personnes portées par la nature à s’aimer, et déc
grands élans d’amour, ils songent sérieusement aux enfants, au ménage
520,
à la fortune même521, en tant qu’indispensable po
ble pour rendre le bonheur et la vie possibles ! Pour tout résumer en
trois
mots, le lien honnête et doux de Molière, c’est l
Si la nature y manque, c’est l’École des Maris ou l’École des Femmes
522
; — si la raison, c’est « le beau mariage de la j
fille du seigneur Alcantor, avec le seigneur Sganarelle, qui n’a que
cinquante-trois
ans… 0 le beau mariage, qui doit être heureux, ca
cantor, avec le seigneur Sganarelle, qui n’a que cinquante-trois ans…
0
le beau mariage, qui doit être heureux, car il do
ari doit craindre524 ? Cette triple leçon est reprise sans cesse, de
cent
manières diverses, et il n’y a, pour ainsi dire,
par intérêt d’argent, les maris sont des Trissotins et des Diafoirus
527,
les femmes des Dorimènes et des Angéliques 528. S
tins et des Diafoirus 527, les femmes des Dorimènes et des Angéliques
528.
Si c’est par amour du bien-être et du pot-au-feu,
est traité comme Chrysale par Philaminte, ou comme Argant par Béline
529.
Si c’est par égoïsme et-lubricité de vieillard, o
-lubricité de vieillard, on a le sort des Amolphes et des Sganarelles
530.
C’est, on le répète, une leçon variée à l’infin
e de prouver qu’on doit porter en galant homme de certaines disgrâces
532.
Mais ce malheur sans doute se pourrait éviter si
si, comme dit Mlle Molière, le mariage ne changeait pas tant les gens
536
; s’ils négligeaient moins leurs enfants, ces sec
ne étendue étonnante, exprimée par un talent sans égal. Non-seulement
cent
personnages mis sous les yeux du spectateur offre
romancier on en peut tirer autant ? Les Préceptes du Mariage.
I
. « Le mariage est une chose sainte et sacrée539
n mystère sacré, et les libertins ne font jamais une bonne fin541. »
II
. « Les suites du mariage sont des enfants et un
» II. « Les suites du mariage sont des enfants et un ménage542. »
III
. « ...Cette union, de tendresse suivie, Doit
tendresse suivie, Doit faire les douceurs d’une innocente vie543. »
IV
. « Le mariage est pour toute la vie, et de là dé
mariage est pour toute la vie, et de là dépend tout le bonheur544. »
V.
« Un engagement qui doit durer jusqu’à la mort n
a mort ne se doit jamais faire qu’avec de grandes précautions545. »
VI
. « Un mariage ne sauroit être heureux, où l’incl
foiblesse extrême De vouloir posséder un cœur malgré lui-même547. »
VII
. « Une grande inégalité d’âge, d’humeur et de se
sentiments rend un mariage sujet à des accidents très-fâcheux548. »
VIII
. C’est « une sottise, la plus grande du monde, de
rand que soi sont sujettes toujours à de fâcheux inconvénients550. »
IX
. « On doit chercher plus que toute autre chose h
i sans cesse y maintient l’honneur, la tranquillité et la joie551. »
X.
« Donnez donc le temps de se connoître et de voi
cette inclination si nécessaire à composer une union parfaite552. »
XI
. « … Que la vertu seule anime ce dessein553 : »
que la seule beauté, Le remords est bien près de la solennité554. »
XII
. « On ne doit point y sacrifier à l’intérêt555,
dérable, lorsqu’il est question d’épouser une honnête personne556. »
XIII
. Mais on doit songer que « rien n’use tant l’arde
oins des choses de la vie ; Et l’on en vient souvent à s’accuser tous
deux
De tous les noirs chagrins qui suivent de tels fe
er tous deux De tous les noirs chagrins qui suivent de tels feux557.
XIV
Les époux doivent « trouver tout » l’un en l’autr
en l’autre : « Que leur doit importer tout le reste du monde558 ? »
XV
. Ils doivent « s’aimer véritablement, et faire l’
ment, et faire l’un de l’autre tout l’attachement de leur vie559. »
XVI
. « … La jalousie est un monstre odieux : » les
ange frénésie560 » « Et mutuellement se croire gens de bien561. ».
XVII
. Le mari est « le chef, le seigneur et le maître,
de bien561. ». XVII. Le mari est « le chef, le seigneur et le maître,
562
; » « Ce n’est point à la femme à prescrire… ;
assez de foiblesse Pour laisser à sa femme un pouvoir absolu564 ? »
XVIII
. Il doit « s’abandonner à la foi de sa femme565,
garder lui-même566, Et renfermer sa femme est un mauvais parti567. »
XIX
. « La possession d’un cœur est fort mal assurée
le cœur qu’il faut arrêter par la douceur et la complaisance570. »
XX
. Le mari doit à sa femme « Une grande tendresse
vec grande douceur, Et du nom de vertu ne lui point faire peur571. »
XXI
. « Mais le dessein de vivre en honnête personne
in d’être fidèle À de certains maris faits d’un certain modèle572. »
XXII
. « À d’austères devoirs le rang de femme engage5
e572. » XXII. « À d’austères devoirs le rang de femme engage573. »
XXIII
. « C’est l’honneur qui la doit tenir dans le dev
» XXIII. « C’est l’honneur qui la doit tenir dans le devoir574. »
XXIV
. Elle doit au mari « de la docilité, Et de l’ob
e est faite « Pour céder le dessus en toute chose à l’homme576. »,
XXV
. « Elle ne doit point aimer la promenade, la bon
la bonne chère, ni fréquenter je ne sais quelle sorte de gens577. »
XXVI
. « Elle ne se doit parer Qu’autant que peut dési
e doit parer Qu’autant que peut désirer Le mari qui la possède578. »
XXVII
. « Il faut être retirée à la maison, donner ordr
la dépense avec.économie Doit être son étude et sa philosophie580. »
XXVIII
. Mais surtout elle doit « Songer qu’en la faisan
e blesse de peu ; Que sur un tel sujet il ne faut point de jeu581. »
XXIX
. Elle doit « fuir d’être coquette : », « Loin l
femmes ont des manières qui savent chasser d’abord les galants583. »
XXX
. « J’aime qu’avec douceur elles se montrent sage
ent sages..., Et veux une vertu qui ne soit point diablesse584. »
496.
On est encore ici en contradiction avec Bossuet,
ntradiction avec Bossuet, Maximes et réflexions sur la comédie, chap.
V
, Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sens
ui purifie l’amour sensuel en le faisant aboutir au mariage, et chap.
VI
, Ce que c’est que les mariages du théâtre : « On
t qu’on veut être, sans songer à ce qu’on pourra devenir après (chap.
V
)… Que les mariages des théâtres sont sensuels, et
nité de l’autre, et asservit l’un et l’autre au règne des sens (chap.
VI
). » Après la lecture du précédent chapitre et de
erner Molière, excepté pour les points indiqués plus loin au chapitre
IX
. D’ailleurs, sur la question de Bossuet, voir plu
tre IX. D’ailleurs, sur la question de Bossuet, voir plus loin, chap.
XII
. 497. Les Précieuses ridicules, sc. V. 498. L
. D’ailleurs, sur la question de Bossuet, voir plus loin, chap. XII.
497.
Les Précieuses ridicules, sc. V. 498. Les Femm
suet, voir plus loin, chap. XII. 497. Les Précieuses ridicules, sc.
V.
498. Les Femmes savantes, act. I, sc. IV. 499.
, voir plus loin, chap. XII. 497. Les Précieuses ridicules, sc. V.
498.
Les Femmes savantes, act. I, sc. IV. 499. Id.,
7. Les Précieuses ridicules, sc. V. 498. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. IV. 499. Id., act. IV, sc. II. 500. Les
Précieuses ridicules, sc. V. 498. Les Femmes savantes, act. I, sc.
IV
. 499. Id., act. IV, sc. II. 500. Les Femmes s
ieuses ridicules, sc. V. 498. Les Femmes savantes, act. I, sc. IV.
499.
Id., act. IV, sc. II. 500. Les Femmes savantes
, sc. V. 498. Les Femmes savantes, act. I, sc. IV. 499. Id., act.
IV
, sc. II. 500. Les Femmes savantes, act. I, sc.
498. Les Femmes savantes, act. I, sc. IV. 499. Id., act. IV, sc.
II
. 500. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 501.
. Les Femmes savantes, act. I, sc. IV. 499. Id., act. IV, sc. II.
500.
Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 501. Id.,
sc. IV. 499. Id., act. IV, sc. II. 500. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. I. 501. Id., act. IV, sc II. — Voir plus h
499. Id., act. IV, sc. II. 500. Les Femmes savantes, act. I, sc.
I
. 501. Id., act. IV, sc II. — Voir plus haut, ch
9. Id., act. IV, sc. II. 500. Les Femmes savantes, act. I, sc. I.
501.
Id., act. IV, sc II. — Voir plus haut, chap. V,
, sc. II. 500. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 501. Id., act.
IV
, sc II. — Voir plus haut, chap. V, p. 92. 502.
I. 500. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 501. Id., act. IV, sc
II
. — Voir plus haut, chap. V, p. 92. 502. Le Fest
s, act. I, sc. I. 501. Id., act. IV, sc II. — Voir plus haut, chap.
V
, p. 92. 502. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I
sc. I. 501. Id., act. IV, sc II. — Voir plus haut, chap. V, p. 92.
502.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. IV. 503. L’élu
I. — Voir plus haut, chap. V, p. 92. 502. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. IV. 503. L’élude de Molière est infinie : j
ir plus haut, chap. V, p. 92. 502. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
IV
. 503. L’élude de Molière est infinie : je demand
us haut, chap. V, p. 92. 502. Le Festin de Pierre, act. I, sc. IV.
503.
L’élude de Molière est infinie : je demande qu’on
. L’élude de Molière est infinie : je demande qu’on réfléchisse à ces
deux
gradations, et à ce quelles contiennent d’idées,
ontiennent d’idées, de bon sens, d’indulgence, d’esprit et d’ironie.
504.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 505. M. de
d’indulgence, d’esprit et d’ironie. 504. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. I. 505. M. de Pourceaugnac, act. II, sc. X
lgence, d’esprit et d’ironie. 504. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
I
. 505. M. de Pourceaugnac, act. II, sc. XI. 506
ce, d’esprit et d’ironie. 504. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I.
505.
M. de Pourceaugnac, act. II, sc. XI. 506. Les
Le Festin de Pierre, act. I, sc. I. 505. M. de Pourceaugnac, act.
II
, sc. XI. 506. Les Femmes savantes, act. I, sc.
tin de Pierre, act. I, sc. I. 505. M. de Pourceaugnac, act. II, sc.
XI
. 506. Les Femmes savantes, act. I, sc. I — Voir
e Pierre, act. I, sc. I. 505. M. de Pourceaugnac, act. II, sc. XI.
506.
Les Femmes savantes, act. I, sc. I — Voir plus h
M. de Pourceaugnac, act. II, sc. XI. 506. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. I — Voir plus haut, chap. V, p. 91. 507. L
ourceaugnac, act. II, sc. XI. 506. Les Femmes savantes, act. I, sc.
I
— Voir plus haut, chap. V, p. 91. 507. Le Festi
XI. 506. Les Femmes savantes, act. I, sc. I — Voir plus haut, chap.
V
, p. 91. 507. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I
Les Femmes savantes, act. I, sc. I — Voir plus haut, chap. V, p. 91.
507.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. II 508. Le Ta
I — Voir plus haut, chap. V, p. 91. 507. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. II 508. Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 509
ir plus haut, chap. V, p. 91. 507. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
II
508. Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 509. Les F
lus haut, chap. V, p. 91. 507. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II
508.
Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 509. Les Femmes
. 507. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II 508. Le Tartuffe, act.
IV
, sc. V. 509. Les Femmes savantes, act. I, sc.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. II 508. Le Tartuffe, act. IV, sc.
V.
509. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 510.
estin de Pierre, act. I, sc. II 508. Le Tartuffe, act. IV, sc. V.
509.
Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 510. Id.,
508. Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 509. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. I. 510. Id., act. I, sc. I. 511. Id., ac
Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 509. Les Femmes savantes, act. I, sc.
I
. 510. Id., act. I, sc. I. 511. Id., act. IV,
artuffe, act. IV, sc. V. 509. Les Femmes savantes, act. I, sc. I.
510.
Id., act. I, sc. I. 511. Id., act. IV, sc. II.
, sc. V. 509. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 510. Id., act.
I
, sc. I. 511. Id., act. IV, sc. II. 512. Voir p
. 509. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 510. Id., act. I, sc.
I
. 511. Id., act. IV, sc. II. 512. Voir plus hau
509. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 510. Id., act. I, sc. I.
511.
Id., act. IV, sc. II. 512. Voir plus haut, chap
savantes, act. I, sc. I. 510. Id., act. I, sc. I. 511. Id., act.
IV
, sc. II. 512. Voir plus haut, chap. VII, p. 133.
s, act. I, sc. I. 510. Id., act. I, sc. I. 511. Id., act. IV, sc.
II
. 512. Voir plus haut, chap. VII, p. 133. 513.
t. I, sc. I. 510. Id., act. I, sc. I. 511. Id., act. IV, sc. II.
512.
Voir plus haut, chap. VII, p. 133. 513. Célie d
t. I, sc. I. 511. Id., act. IV, sc. II. 512. Voir plus haut, chap.
VII
, p. 133. 513. Célie dans L’Etourdi ; Isabelle e
511. Id., act. IV, sc. II. 512. Voir plus haut, chap. VII, p. 133.
513.
Célie dans L’Etourdi ; Isabelle et Agnès dans le
VII, p. 133. 513. Célie dans L’Etourdi ; Isabelle et Agnès dans les
deux
Écoles. 514. Voir sur Tartuffe, plus haut, chap
13. Célie dans L’Etourdi ; Isabelle et Agnès dans les deux Écoles.
514.
Voir sur Tartuffe, plus haut, chap. II, p. 29 ; e
gnès dans les deux Écoles. 514. Voir sur Tartuffe, plus haut, chap.
II
, p. 29 ; et sur Elmire, chap. VI, p. 105. 515.
Voir sur Tartuffe, plus haut, chap. II, p. 29 ; et sur Elmire, chap.
VI
, p. 105. 515. Le Bourgeois gentilhomme, act. I
uffe, plus haut, chap. II, p. 29 ; et sur Elmire, chap. VI, p. 105.
515.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. III-VII,
sur Elmire, chap. VI, p. 105. 515. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. III-VII, XII. 516. Le Bourgeois gentilhomm
VI, p. 105. 515. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. III-VII,
XII
. 516. Le Bourgeois gentilhomme, act. IV, sc. II
. 105. 515. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. III-VII, XII.
516.
Le Bourgeois gentilhomme, act. IV, sc. II. 517.
me, act. III, sc. III-VII, XII. 516. Le Bourgeois gentilhomme, act.
IV
, sc. II. 517. L’Etourdi, act. IV, sc, IV. 518.
III, sc. III-VII, XII. 516. Le Bourgeois gentilhomme, act. IV, sc.
II
. 517. L’Etourdi, act. IV, sc, IV. 518. Les Fe
sc. III-VII, XII. 516. Le Bourgeois gentilhomme, act. IV, sc. II.
517.
L’Etourdi, act. IV, sc, IV. 518. Les Femmes sa
6. Le Bourgeois gentilhomme, act. IV, sc. II. 517. L’Etourdi, act.
IV
, sc, IV. 518. Les Femmes savantes, act. I, sc.
ourgeois gentilhomme, act. IV, sc. II. 517. L’Etourdi, act. IV, sc,
IV
. 518. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 519.
ois gentilhomme, act. IV, sc. II. 517. L’Etourdi, act. IV, sc, IV.
518.
Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 519. Voir p
. 517. L’Etourdi, act. IV, sc, IV. 518. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. I. 519. Voir plus haut, chap. VII, p. 128.
L’Etourdi, act. IV, sc, IV. 518. Les Femmes savantes, act. I, sc.
I
. 519. Voir plus haut, chap. VII, p. 128. 520.
Etourdi, act. IV, sc, IV. 518. Les Femmes savantes, act. I, sc. I.
519.
Voir plus haut, chap. VII, p. 128. 520. Les Fem
518. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 519. Voir plus haut, chap.
VII
, p. 128. 520. Les Femmes savantes, act. I, sc.
es savantes, act. I, sc. I. 519. Voir plus haut, chap. VII, p. 128.
520.
Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 521. Id
. Voir plus haut, chap. VII, p. 128. 520. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. I. 521. Id., act. V, sc. V. Quand Henri
plus haut, chap. VII, p. 128. 520. Les Femmes savantes, act. I, sc.
I
. 521. Id., act. V, sc. V. Quand Henriette se
haut, chap. VII, p. 128. 520. Les Femmes savantes, act. I, sc. I.
521.
Id., act. V, sc. V. Quand Henriette se croit r
. 128. 520. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 521. Id., act.
V
, sc. V. Quand Henriette se croit ruinée, et que C
520. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 521. Id., act. V, sc.
V.
Quand Henriette se croit ruinée, et que Clitandre
s des choses de la vie ; Et l’on en vient souvent à s’accuser tous
deux
De tous les noirs chagrins qui suivent de tels
de la même personne qui dit si franchement son fait à Trissotin (act.
V
, sc. I), et qui aime si sincèrement, qu’elle se j
ême personne qui dit si franchement son fait à Trissotin (act. V, sc.
I
), et qui aime si sincèrement, qu’elle se jettera
e se jettera dans un couvent s’il lui faut renoncer à Clitandre (act.
IV
, sc. VIII). 522. Sur les deux Écoles, voir plus
tera dans un couvent s’il lui faut renoncer à Clitandre (act. IV, sc.
VIII
). 522. Sur les deux Écoles, voir plus haut, cha
un couvent s’il lui faut renoncer à Clitandre (act. IV, sc. VIII).
522.
Sur les deux Écoles, voir plus haut, chap. V, p.
’il lui faut renoncer à Clitandre (act. IV, sc. VIII). 522. Sur les
deux
Écoles, voir plus haut, chap. V, p. 96. 523. Le
act. IV, sc. VIII). 522. Sur les deux Écoles, voir plus haut, chap.
V
, p. 96. 523. Le Mariage forcé, sc. II, III. 52
. VIII). 522. Sur les deux Écoles, voir plus haut, chap. V, p. 96.
523.
Le Mariage forcé, sc. II, III. 524. Les Femmes
Écoles, voir plus haut, chap. V, p. 96. 523. Le Mariage forcé, sc.
II
, III. 524. Les Femmes savantes, act. V, sc. I.
les, voir plus haut, chap. V, p. 96. 523. Le Mariage forcé, sc. II,
III
. 524. Les Femmes savantes, act. V, sc. I. 525.
oir plus haut, chap. V, p. 96. 523. Le Mariage forcé, sc. II, III.
524.
Les Femmes savantes, act. V, sc. I. 525. Le Fe
523. Le Mariage forcé, sc. II, III. 524. Les Femmes savantes, act.
V
, sc. I. 525. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I
e Mariage forcé, sc. II, III. 524. Les Femmes savantes, act. V, sc.
I
. 525. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II. 526
riage forcé, sc. II, III. 524. Les Femmes savantes, act. V, sc. I.
525.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. II. 526. Le M
Les Femmes savantes, act. V, sc. I. 525. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. II. 526. Le Mari confondu, act. I, sc. I.
mmes savantes, act. V, sc. I. 525. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
II
. 526. Le Mari confondu, act. I, sc. I. 527. L
savantes, act. V, sc. I. 525. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II.
526.
Le Mari confondu, act. I, sc. I. 527. Les Femm
. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II. 526. Le Mari confondu, act.
I
, sc. I. 527. Les Femmes savantes, le Malade ima
estin de Pierre, act. I, sc. II. 526. Le Mari confondu, act. I, sc.
I
. 527. Les Femmes savantes, le Malade imaginaire
n de Pierre, act. I, sc. II. 526. Le Mari confondu, act. I, sc. I.
527.
Les Femmes savantes, le Malade imaginaire. 528
u, act. I, sc. I. 527. Les Femmes savantes, le Malade imaginaire.
528.
Le Mariage forcé, le Mari confondu. 529. Les
, le Malade imaginaire. 528. Le Mariage forcé, le Mari confondu.
529.
Les Femmes savantes, Le Malade imaginaire. 530
e Mari confondu. 529. Les Femmes savantes, Le Malade imaginaire.
530.
Le cocu imaginaire, les deux Écoles, le Mariage
emmes savantes, Le Malade imaginaire. 530. Le cocu imaginaire, les
deux
Écoles, le Mariage forcé. 531. Voir plus haut, c
aire. 530. Le cocu imaginaire, les deux Écoles, le Mariage forcé.
531.
Voir plus haut, chap. VII, p. 122, note 2. 532.
naire, les deux Écoles, le Mariage forcé. 531. Voir plus haut, chap.
VII
, p. 122, note 2. 532. Le Cocu imaginaire, sc. X
oles, le Mariage forcé. 531. Voir plus haut, chap. VII, p. 122, note
2.
532. Le Cocu imaginaire, sc. XVII ; l’École des
, le Mariage forcé. 531. Voir plus haut, chap. VII, p. 122, note 2.
532.
Le Cocu imaginaire, sc. XVII ; l’École des Femme
plus haut, chap. VII, p. 122, note 2. 532. Le Cocu imaginaire, sc.
XVII
; l’École des Femmes, act. I, sc. I act. IV, sc.
ote 2. 532. Le Cocu imaginaire, sc. XVII ; l’École des Femmes, act.
I
, sc. I act. IV, sc. VIII, 533. Le Misanthrop
532. Le Cocu imaginaire, sc. XVII ; l’École des Femmes, act. I, sc.
I
act. IV, sc. VIII, 533. Le Misanthrope, act.
Le Cocu imaginaire, sc. XVII ; l’École des Femmes, act. I, sc. I act.
IV
, sc. VIII, 533. Le Misanthrope, act. V, sc.
imaginaire, sc. XVII ; l’École des Femmes, act. I, sc. I act. IV, sc.
VIII
, 533. Le Misanthrope, act. V, sc. VII :
re, sc. XVII ; l’École des Femmes, act. I, sc. I act. IV, sc. VIII,
533.
Le Misanthrope, act. V, sc. VII : Puisque
mmes, act. I, sc. I act. IV, sc. VIII, 533. Le Misanthrope, act.
V
, sc. VII : Puisque vous n’êtes pas, ’en des l
ct. I, sc. I act. IV, sc. VIII, 533. Le Misanthrope, act. V, sc.
VII
: Puisque vous n’êtes pas, ’en des liens si d
iens si doux, Pour trouver tout en moi, comme moi tout en vous.
534.
Le Dépit amoureux, le Cocu imaginaire, le Prince
534. Le Dépit amoureux, le Cocu imaginaire, le Prince jaloux. — Voir
D.
Nisard, Histoire de la littérature française, liv
jaloux. — Voir D. Nisard, Histoire de la littérature française, liv.
III
, chap. IX, § 2. 535. L’École des Maris, act. I,
Voir D. Nisard, Histoire de la littérature française, liv. III, chap.
IX
, § 2. 535. L’École des Maris, act. I, sc. II.
. Nisard, Histoire de la littérature française, liv. III, chap. IX, §
2.
535. L’École des Maris, act. I, sc. II. 536.
sard, Histoire de la littérature française, liv. III, chap. IX, § 2.
535.
L’École des Maris, act. I, sc. II. 536. L’lmpr
re française, liv. III, chap. IX, § 2. 535. L’École des Maris, act.
I
, sc. II. 536. L’lmpromptu de Versailles, sc. I
çaise, liv. III, chap. IX, § 2. 535. L’École des Maris, act. I, sc.
II
. 536. L’lmpromptu de Versailles, sc. I : « Le m
, liv. III, chap. IX, § 2. 535. L’École des Maris, act. I, sc. II.
536.
L’lmpromptu de Versailles, sc. I : « Le mariage
cole des Maris, act. I, sc. II. 536. L’lmpromptu de Versailles, sc.
I
: « Le mariage change bien les gens. » 537. Le
mpromptu de Versailles, sc. I : « Le mariage change bien les gens. »
537.
Le Tartuffe, le Bourgeois gentilhomme, les Femme
e Bourgeois gentilhomme, les Femmes savantes, le Malade imaginaire.
538.
Elmire dans le Tartuffe ; Mme Jourdain dans le B
lmire dans le Tartuffe ; Mme Jourdain dans le Bourgeois gentilhomme.
539.
Les Précieuses ridicules, sc. V. 540. Le Mari
n dans le Bourgeois gentilhomme. 539. Les Précieuses ridicules, sc.
V.
540. Le Mari confondu, act. II ; sc. III. 541.
ns le Bourgeois gentilhomme. 539. Les Précieuses ridicules, sc. V.
540.
Le Mari confondu, act. II ; sc. III. 541. Le F
539. Les Précieuses ridicules, sc. V. 540. Le Mari confondu, act.
II
; sc. III. 541. Le Festin de Pierre, act. I, sc
s Précieuses ridicules, sc. V. 540. Le Mari confondu, act. II ; sc.
III
. 541. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II. 542
ieuses ridicules, sc. V. 540. Le Mari confondu, act. II ; sc. III.
541.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. II. 542. Les
Le Mari confondu, act. II ; sc. III. 541. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. II. 542. Les Femmes savantes, act. I, sc.
confondu, act. II ; sc. III. 541. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
II
. 542. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 543.
ondu, act. II ; sc. III. 541. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II.
542.
Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 543. Id.,
Le Festin de Pierre, act. I, sc. II. 542. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. I. 543. Id., act. I, sc. I. 544. Le Mal
in de Pierre, act. I, sc. II. 542. Les Femmes savantes, act. I, sc.
I
. 543. Id., act. I, sc. I. 544. Le Malade ima
e Pierre, act. I, sc. II. 542. Les Femmes savantes, act. I, sc. I.
543.
Id., act. I, sc. I. 544. Le Malade imaginaire
, sc. II. 542. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 543. Id., act.
I
, sc. I. 544. Le Malade imaginaire, act. III, s
I. 542. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 543. Id., act. I, sc.
I
. 544. Le Malade imaginaire, act. III, sc. IV.
42. Les Femmes savantes, act. I, sc. I. 543. Id., act. I, sc. I.
544.
Le Malade imaginaire, act. III, sc. IV. Comparez
sc. I. 543. Id., act. I, sc. I. 544. Le Malade imaginaire, act.
III
, sc. IV. Comparez, l’Avare, act. I, sc. VII : «
543. Id., act. I, sc. I. 544. Le Malade imaginaire, act. III, sc.
IV
. Comparez, l’Avare, act. I, sc. VII : « Le maria
544. Le Malade imaginaire, act. III, sc. IV. Comparez, l’Avare, act.
I
, sc. VII : « Le mariage est une grande affaire ;
e Malade imaginaire, act. III, sc. IV. Comparez, l’Avare, act. I, sc.
VII
: « Le mariage est une grande affaire ; il y va
ande affaire ; il y va d’être heureux ou malheureux toute sa vie. »
545.
L’Avare, act. I, sc. VII. 546. L’Avare, act. I
va d’être heureux ou malheureux toute sa vie. » 545. L’Avare, act.
I
, sc. VII. 546. L’Avare, act. IV, sc. III. 547.
re heureux ou malheureux toute sa vie. » 545. L’Avare, act. I, sc.
VII
. 546. L’Avare, act. IV, sc. III. 547. L’École
reux ou malheureux toute sa vie. » 545. L’Avare, act. I, sc. VII.
546.
L’Avare, act. IV, sc. III. 547. L’École des Ma
oute sa vie. » 545. L’Avare, act. I, sc. VII. 546. L’Avare, act.
IV
, sc. III. 547. L’École des Maris, act.III, sc.
vie. » 545. L’Avare, act. I, sc. VII. 546. L’Avare, act. IV, sc.
III
. 547. L’École des Maris, act.III, sc. VI. 548.
545. L’Avare, act. I, sc. VII. 546. L’Avare, act. IV, sc. III.
547.
L’École des Maris, act.III, sc. VI. 548. L’Ava
6. L’Avare, act. IV, sc. III. 547. L’École des Maris, act.III, sc.
VI
. 548. L’Avare, act. I, sc. VII. 549. Le Mari
’Avare, act. IV, sc. III. 547. L’École des Maris, act.III, sc. VI.
548.
L’Avare, act. I, sc. VII. 549. Le Mari confond
III. 547. L’École des Maris, act.III, sc. VI. 548. L’Avare, act.
I
, sc. VII. 549. Le Mari confondu, act. I, sc. I.
547. L’École des Maris, act.III, sc. VI. 548. L’Avare, act. I, sc.
VII
. 549. Le Mari confondu, act. I, sc. I. 550. L
L’École des Maris, act.III, sc. VI. 548. L’Avare, act. I, sc. VII.
549.
Le Mari confondu, act. I, sc. I. 550. Le Bourg
c. VI. 548. L’Avare, act. I, sc. VII. 549. Le Mari confondu, act.
I
, sc. I. 550. Le Bourgeois gentilhomme, act. III
548. L’Avare, act. I, sc. VII. 549. Le Mari confondu, act. I, sc.
I
. 550. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. X
. L’Avare, act. I, sc. VII. 549. Le Mari confondu, act. I, sc. I.
550.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. XII. 55
e Mari confondu, act. I, sc. I. 550. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. XII. 551. L’Avare, act. I, sc. VII. 552.
nfondu, act. I, sc. I. 550. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc.
XII
. 551. L’Avare, act. I, sc. VII. 552. Le Malad
, act. I, sc. I. 550. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. XII.
551.
L’Avare, act. I, sc. VII. 552. Le Malade imagi
0. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. XII. 551. L’Avare, act.
I
, sc. VII. 552. Le Malade imaginaire, act. II, s
Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. XII. 551. L’Avare, act. I, sc.
VII
. 552. Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII.
ois gentilhomme, act. III, sc. XII. 551. L’Avare, act. I, sc. VII.
552.
Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII. 553. L
I. 551. L’Avare, act. I, sc. VII. 552. Le Malade imaginaire, act.
II
, sc. VII. 553. L’Etourdi, act. I, sc. IV. 554.
L’Avare, act. I, sc. VII. 552. Le Malade imaginaire, act. II, sc.
VII
. 553. L’Etourdi, act. I, sc. IV. 554. Id., ac
are, act. I, sc. VII. 552. Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII.
553.
L’Etourdi, act. I, sc. IV. 554. Id., act. IV,
552. Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII. 553. L’Etourdi, act.
I
, sc. IV. 554. Id., act. IV, sc. IV. 555. L’Av
Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII. 553. L’Etourdi, act. I, sc.
IV
. 554. Id., act. IV, sc. IV. 555. L’Avare, act
lade imaginaire, act. II, sc. VII. 553. L’Etourdi, act. I, sc. IV.
554.
Id., act. IV, sc. IV. 555. L’Avare, act. I, sc
act. II, sc. VII. 553. L’Etourdi, act. I, sc. IV. 554. Id., act.
IV
, sc. IV. 555. L’Avare, act. I, sc. VII. 556.
, sc. VII. 553. L’Etourdi, act. I, sc. IV. 554. Id., act. IV, sc.
IV
. 555. L’Avare, act. I, sc. VII. 556. Id., act
VII. 553. L’Etourdi, act. I, sc. IV. 554. Id., act. IV, sc. IV.
555.
L’Avare, act. I, sc. VII. 556. Id., act. I, sc
di, act. I, sc. IV. 554. Id., act. IV, sc. IV. 555. L’Avare, act.
I
, sc. VII. 556. Id., act. I, sc. V. 557. Les F
. I, sc. IV. 554. Id., act. IV, sc. IV. 555. L’Avare, act. I, sc.
VII
. 556. Id., act. I, sc. V. 557. Les Femmes sav
c. IV. 554. Id., act. IV, sc. IV. 555. L’Avare, act. I, sc. VII.
556.
Id., act. I, sc. V. 557. Les Femmes savantes,
., act. IV, sc. IV. 555. L’Avare, act. I, sc. VII. 556. Id., act.
I
, sc. V. 557. Les Femmes savantes, act. V, sc. V
IV, sc. IV. 555. L’Avare, act. I, sc. VII. 556. Id., act. I, sc.
V.
557. Les Femmes savantes, act. V, sc. V. 558.
sc. IV. 555. L’Avare, act. I, sc. VII. 556. Id., act. I, sc. V.
557.
Les Femmes savantes, act. V, sc. V. 558. Le Mi
sc. VII. 556. Id., act. I, sc. V. 557. Les Femmes savantes, act.
V
, sc. V. 558. Le Misanthrope, act. V, sc. V. 5
I. 556. Id., act. I, sc. V. 557. Les Femmes savantes, act. V, sc.
V.
558. Le Misanthrope, act. V, sc. V. 559. Le
556. Id., act. I, sc. V. 557. Les Femmes savantes, act. V, sc. V.
558.
Le Misanthrope, act. V, sc. V. 559. Le Malade
557. Les Femmes savantes, act. V, sc. V. 558. Le Misanthrope, act.
V
, sc. V. 559. Le Malade imaginaire, act. II, sc
es Femmes savantes, act. V, sc. V. 558. Le Misanthrope, act. V, sc.
V.
559. Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII.
mmes savantes, act. V, sc. V. 558. Le Misanthrope, act. V, sc. V.
559.
Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII. 560. L
8. Le Misanthrope, act. V, sc. V. 559. Le Malade imaginaire, act.
II
, sc. VII. 560. Le Prince jaloux, act. I, sc. I.
isanthrope, act. V, sc. V. 559. Le Malade imaginaire, act. II, sc.
VII
. 560. Le Prince jaloux, act. I, sc. I. 561. L
rope, act. V, sc. V. 559. Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII.
560.
Le Prince jaloux, act. I, sc. I. 561. Le Cocu
Le Malade imaginaire, act. II, sc. VII. 560. Le Prince jaloux, act.
I
, sc. I. 561. Le Cocu imaginaire, sc. XXII. 562
de imaginaire, act. II, sc. VII. 560. Le Prince jaloux, act. I, sc.
I
. 561. Le Cocu imaginaire, sc. XXII. 562. L’Éc
maginaire, act. II, sc. VII. 560. Le Prince jaloux, act. I, sc. I.
561.
Le Cocu imaginaire, sc. XXII. 562. L’École des
560. Le Prince jaloux, act. I, sc. I. 561. Le Cocu imaginaire, sc.
XXII
. 562. L’École des Femmes, act. III, sc. II. 56
e Prince jaloux, act. I, sc. I. 561. Le Cocu imaginaire, sc. XXII.
562.
L’École des Femmes, act. III, sc. II. 563. Les
561. Le Cocu imaginaire, sc. XXII. 562. L’École des Femmes, act.
III
, sc. II. 563. Les Femmes savantes, act. V, sc.
e Cocu imaginaire, sc. XXII. 562. L’École des Femmes, act. III, sc.
II
. 563. Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 56
u imaginaire, sc. XXII. 562. L’École des Femmes, act. III, sc. II.
563.
Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 564. Id.
’École des Femmes, act. III, sc. II. 563. Les Femmes savantes, act.
V
, sc. III. 564. Id., act. II, sc. IX. 565. L’É
des Femmes, act. III, sc. II. 563. Les Femmes savantes, act. V, sc.
III
. 564. Id., act. II, sc. IX. 565. L’École des
mmes, act. III, sc. II. 563. Les Femmes savantes, act. V, sc. III.
564.
Id., act. II, sc. IX. 565. L’École des Maris,
sc. II. 563. Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 564. Id., act.
II
, sc. IX. 565. L’École des Maris, act. I, sc. II
563. Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 564. Id., act. II, sc.
IX
. 565. L’École des Maris, act. I, sc. III. 566.
Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 564. Id., act. II, sc. IX.
565.
L’École des Maris, act. I, sc. III. 566. Id.,
sc. III. 564. Id., act. II, sc. IX. 565. L’École des Maris, act.
I
, sc. III. 566. Id., act. I, sc. II. 567. Id.,
I. 564. Id., act. II, sc. IX. 565. L’École des Maris, act. I, sc.
III
. 566. Id., act. I, sc. II. 567. Id., act. I,
4. Id., act. II, sc. IX. 565. L’École des Maris, act. I, sc. III.
566.
Id., act. I, sc. II. 567. Id., act. I, sc. III
, sc. IX. 565. L’École des Maris, act. I, sc. III. 566. Id., act.
I
, sc. II. 567. Id., act. I, sc. III. 568. L’Am
X. 565. L’École des Maris, act. I, sc. III. 566. Id., act. I, sc.
II
. 567. Id., act. I, sc. III. 568. L’Amour pein
65. L’École des Maris, act. I, sc. III. 566. Id., act. I, sc. II.
567.
Id., act. I, sc. III. 568. L’Amour peintre, sc
Maris, act. I, sc. III. 566. Id., act. I, sc. II. 567. Id., act.
I
, sc. III. 568. L’Amour peintre, sc. VII. 569.
act. I, sc. III. 566. Id., act. I, sc. II. 567. Id., act. I, sc.
III
. 568. L’Amour peintre, sc. VII. 569. L’École
I, sc. III. 566. Id., act. I, sc. II. 567. Id., act. I, sc. III.
568.
L’Amour peintre, sc. VII. 569. L’École des Mar
. I, sc. II. 567. Id., act. I, sc. III. 568. L’Amour peintre, sc.
VII
. 569. L’École des Maris, act. I, sc. II. 570.
c. II. 567. Id., act. I, sc. III. 568. L’Amour peintre, sc. VII.
569.
L’École des Maris, act. I, sc. II. 570. L’Amou
III. 568. L’Amour peintre, sc. VII. 569. L’École des Maris, act.
I
, sc. II. 570. L’Amour peintre, sc. XX. 571. L
568. L’Amour peintre, sc. VII. 569. L’École des Maris, act. I, sc.
II
. 570. L’Amour peintre, sc. XX. 571. L’École d
L’Amour peintre, sc. VII. 569. L’École des Maris, act. I, sc. II.
570.
L’Amour peintre, sc. XX. 571. L’École des Mari
569. L’École des Maris, act. I, sc. II. 570. L’Amour peintre, sc.
XX
. 571. L’École des Maris, act. I, sc. II. 572.
L’École des Maris, act. I, sc. II. 570. L’Amour peintre, sc. XX.
571.
L’École des Maris, act. I, sc. II. 572. Le Tar
c. II. 570. L’Amour peintre, sc. XX. 571. L’École des Maris, act.
I
, sc. II. 572. Le Tartuffe, act. II, sc. II. 57
570. L’Amour peintre, sc. XX. 571. L’École des Maris, act. I, sc.
II
. 572. Le Tartuffe, act. II, sc. II. 573. L’Éc
L’Amour peintre, sc. XX. 571. L’École des Maris, act. I, sc. II.
572.
Le Tartuffe, act. II, sc. II. 573. L’École des
X. 571. L’École des Maris, act. I, sc. II. 572. Le Tartuffe, act.
II
, sc. II. 573. L’École des Femmes, act. III, sc.
L’École des Maris, act. I, sc. II. 572. Le Tartuffe, act. II, sc.
II
. 573. L’École des Femmes, act. III, sc. II. 57
cole des Maris, act. I, sc. II. 572. Le Tartuffe, act. II, sc. II.
573.
L’École des Femmes, act. III, sc. II. 574. L’É
572. Le Tartuffe, act. II, sc. II. 573. L’École des Femmes, act.
III
, sc. II. 574. L’École des Maris, act. I, sc. II
e Tartuffe, act. II, sc. II. 573. L’École des Femmes, act. III, sc.
II
. 574. L’École des Maris, act. I, sc. II. 575.
tuffe, act. II, sc. II. 573. L’École des Femmes, act. III, sc. II.
574.
L’École des Maris, act. I, sc. II. 575. L’Écol
L’École des Femmes, act. III, sc. II. 574. L’École des Maris, act.
I
, sc. II. 575. L’École des Femmes, act. III, sc.
e des Femmes, act. III, sc. II. 574. L’École des Maris, act. I, sc.
II
. 575. L’École des Femmes, act. III, sc. II 576
Femmes, act. III, sc. II. 574. L’École des Maris, act. I, sc. II.
575.
L’École des Femmes, act. III, sc. II 576. Les
. L’École des Maris, act. I, sc. II. 575. L’École des Femmes, act.
III
, sc. II 576. Les Femmes savantes, act. V, sc. I
e des Maris, act. I, sc. II. 575. L’École des Femmes, act. III, sc.
II
576. Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 577
s Maris, act. I, sc. II. 575. L’École des Femmes, act. III, sc. II
576.
Les Femmes savantes, act. V, sc. III. 577. La
L’École des Femmes, act. III, sc. II 576. Les Femmes savantes, act.
V
, sc. III. 577. La Jalousie du Barbouillé, sc. I
des Femmes, act. III, sc. II 576. Les Femmes savantes, act. V, sc.
III
. 577. La Jalousie du Barbouillé, sc. I. 578.
emmes, act. III, sc. II 576. Les Femmes savantes, act. V, sc. III.
577.
La Jalousie du Barbouillé, sc. I. 578. L’École
mmes savantes, act. V, sc. III. 577. La Jalousie du Barbouillé, sc.
I
. 578. L’École des Femmes, act. III, sc. II. 57
savantes, act. V, sc. III. 577. La Jalousie du Barbouillé, sc. I.
578.
L’École des Femmes, act. III, sc. II. 579. La
7. La Jalousie du Barbouillé, sc. I. 578. L’École des Femmes, act.
III
, sc. II. 579. La Jalousie du Barbouillé, sc. XI
lousie du Barbouillé, sc. I. 578. L’École des Femmes, act. III, sc.
II
. 579. La Jalousie du Barbouillé, sc. XI. 580.
e du Barbouillé, sc. I. 578. L’École des Femmes, act. III, sc. II.
579.
La Jalousie du Barbouillé, sc. XI. 580. Les Fe
e des Femmes, act. III, sc. II. 579. La Jalousie du Barbouillé, sc.
XI
. 580. Les Femmes savantes, act. II, sc. VII. 5
Femmes, act. III, sc. II. 579. La Jalousie du Barbouillé, sc. XI.
580.
Les Femmes savantes, act. II, sc. VII. 581. L’
La Jalousie du Barbouillé, sc. XI. 580. Les Femmes savantes, act.
II
, sc. VII. 581. L’École des Femmes, act. III, sc
ousie du Barbouillé, sc. XI. 580. Les Femmes savantes, act. II, sc.
VII
. 581. L’École des Femmes, act. III, sc. II. 58
du Barbouillé, sc. XI. 580. Les Femmes savantes, act. II, sc. VII.
581.
L’École des Femmes, act. III, sc. II. 582. Id.
es Femmes savantes, act. II, sc. VII. 581. L’École des Femmes, act.
III
, sc. II. 582. Id., act. III, sc. II. 583. Le,
savantes, act. II, sc. VII. 581. L’École des Femmes, act. III, sc.
II
. 582. Id., act. III, sc. II. 583. Le, Mari co
ntes, act. II, sc. VII. 581. L’École des Femmes, act. III, sc. II.
582.
Id., act. III, sc. II. 583. Le, Mari confondu,
c. VII. 581. L’École des Femmes, act. III, sc. II. 582. Id., act.
III
, sc. II. 583. Le, Mari confondu, act. IV, sc. I
581. L’École des Femmes, act. III, sc. II. 582. Id., act. III, sc.
II
. 583. Le, Mari confondu, act. IV, sc. III. 584
L’École des Femmes, act. III, sc. II. 582. Id., act. III, sc. II.
583.
Le, Mari confondu, act. IV, sc. III. 584. Le T
sc. II. 582. Id., act. III, sc. II. 583. Le, Mari confondu, act.
IV
, sc. III. 584. Le Tartuffe, act. IV, sc. III.
582. Id., act. III, sc. II. 583. Le, Mari confondu, act. IV, sc.
III
. 584. Le Tartuffe, act. IV, sc. III.
Id., act. III, sc. II. 583. Le, Mari confondu, act. IV, sc. III.
584.
Le Tartuffe, act. IV, sc. III.
583. Le, Mari confondu, act. IV, sc. III. 584. Le Tartuffe, act.
IV
, sc. III.
Le, Mari confondu, act. IV, sc. III. 584. Le Tartuffe, act. IV, sc.
III
.
CHAPITRE
VII
. De l’Amour. L’amour, entre l’homme et la femm
harmes de l’esprit et aux caresses du cœur ; enfin ce je ne sais quoi
421,
matière infinie des poètes, mystère inexplicable
et du devoir, parce que c’est une nature essentiellement raisonnable
424.
Oui, l’imprescriptible raison règne dans l’amour
sont nés plus soudainement425, comme les belles passions de don Juan
426
ou les vieux désirs d’Harpagon 427. Il naît d’une
me les belles passions de don Juan 426 ou les vieux désirs d’Harpagon
427.
Il naît d’une conformité des âmes, qui sentent, p
en somme pour avoir été sauvée des eaux par lui qu’Elise aime Valère
429
; l’ardente passion qui fait tout braver à Octave
s été causée par les cheveux épars et la simple futaine de Zerbinette
430.
Mais, en de telles aventures, les âmes se montren
avers les intrigues de ses comédies., Molière a peint l’amour naturel
432,
instinct des cœurs honnêtes : c’est un service qu
aquelle ils trouveront ce qui manque à leur solitude : la joie d’être
deux
à vivre, à souffrir434. Regardez Henriette et Cli
e d’être deux à vivre, à souffrir434. Regardez Henriette et Clitandre
435
: n’est-ce pas la nature même qui porte l’une à l
andre 435 : n’est-ce pas la nature même qui porte l’une à l’autre ces
deux
personnes accomplies ? Ce sentiment, à l’âge où i
elles entraînent les dieux mêmes et les nymphes comme Amour et Psyché
439,
ou les valets et les servantes comme Covielle et
t Psyché 439, ou les valets et les servantes comme Covielle et Nicole
440.
C’est l’Eternel amour qu’il sait peindre et varie
eau comme la parure des champs441, un et divers comme les visages des
mille
nymphes toutes sœurs qui peuplaient l’océan d’Ovi
emmes, produisent le délicieux épanouissement de la jeune âme d’Agnès
443.
Même dans une pièce de commande écrite en quinze
e la jeune âme d’Agnès 443. Même dans une pièce de commande écrite en
quinze
jours, comme les Fâcheux, l’amour d’Orphise et d’
ite en quinze jours, comme les Fâcheux, l’amour d’Orphise et d’Eraste
444
est supérieur à tous les amours de roman dont Scu
s445. Qui peut repenser sans charme à tous ces amoureux du Dépit, des
deux
Écoles, de la Princesse d’Elide, de l’Amour médec
la Comtesse d’Escarbagnas, des Femmes savantes, du Malade imaginaire
446
? Dieux, princes, bergers, bourgeois, gentilshomm
’énergie de chercher par eux-mêmes, Lélie s’abandonne à un Mascarille
448,
Ascagne à une Frosine 449. L’indiscret et vantard
x-mêmes, Lélie s’abandonne à un Mascarille 448, Ascagne à une Frosine
449.
L’indiscret et vantard Horace va raconter d’abord
d’abord sa passion à Arnolphe, au risque de perdre à jamais son Agnès
450.
Dans F Etourdi, le Dépit amoureux, l’Amour médeci
on Agnès 450. Dans F Etourdi, le Dépit amoureux, l’Amour médecin, les
deux
Écoles, le Médecin malgré lui, l’Avare, les Fourb
chose que les lettres de Célimène et les avances mielleuses d’Arsinoé
470
; mais pourtant, quand il montre la jeune coquett
isse deviner la vie qu’elle mènera dans v le monde : Peut-être avant
deux
ans,...... Eprise d’un cadet, ivre d’un mousqueta
aignant la pudeur enfantine, Suivre à front découvert Z… et Messaline
472.
Et, sous toutes les convenances de la comédie, i
evoir où ira la prude quarantenaire, avec son amour pour les réalités
473
: Rien n’égale en fureur, en monstrueux caprices
Et Philinte lui répond, car la coquetterie de Clitandre et d’Acaste
476
n’est pas moins blâmée par Molière que celle de C
pris soin de lui dire ; Mais si, par un hymen qui les joindrait tous
deux
, Vous étiez hors d’état de recevoir ses vœux, Tou
ue le Clitandre des Femmes savantes pourrait se laisser aimer par les
deux
sœurs, et flatter même la passion éthérée de la f
e trouve un obstacle à pouvoir vous aimer : Un cœur, vous le savez, à
deux
ne sauroit être, Et je sens que du mien Clitandre
ique, le Benserade des ruelles à côté du Corneille du Cid et d’Horace
484.
Molière ne se contenta pas de critiquer avec une
os vœux les plus doux ; Et, si tous mes efforts ne me donnent à vous,
II
est une retraite où notre âme se donne, Qui m’emp
ais, délicats et purs. Quelle leçon ressort des débauches de don Juan
491
! et qui peut retenir ses larmes au désespoir et
! et qui peut retenir ses larmes au désespoir et au repentir d’Elvire
492
? Quel dégoût inspire le Tartuffe avide et luxur
nt la fille493 ! Quel mépris excite la cupidité honteuse de Dorimène
494,
et la grossière débauche de la femme de George Da
e Dorimène 494, et la grossière débauche de la femme de George Dandin
495
! Quand on repense à la fausseté et à l’indécen
enté l’amour d’une manière plus vraie, plus touchante, plus morale.
421.
Voir Psyché, act. III, sc. III, la déclaration de
ère plus vraie, plus touchante, plus morale. 421. Voir Psyché, act.
III
, sc. III, la déclaration de Psyché à l’Amour, par
vraie, plus touchante, plus morale. 421. Voir Psyché, act. III, sc.
III
, la déclaration de Psyché à l’Amour, par le grand
eille ; les Entretiens d’Ariste et d’Eugène par le P. Bouhours, Entr.
V
, Le je ne sçay quoy ; et non pas le sec paragraph
graphe de l’Essai sur le Goût, de Montesquieu : Du je ne sais quoi.
422.
Phèdre. 423. Voir, sur le mariage de Molière,
i sur le Goût, de Montesquieu : Du je ne sais quoi. 422. Phèdre.
423.
Voir, sur le mariage de Molière, J. Taschereau, H
e, J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
II
et passim. Il parait constant que Molière a mis l
ère a mis le portrait de sa femme dans le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. IX : « Elle a les yeux petits, mais elle les
le portrait de sa femme dans le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc.
IX
: « Elle a les yeux petits, mais elle les a plein
l’École des Maris. Dans le Misanthrope, les grandes scènes des actes
111
et V peuvent contenir quelque chose de personnel
e des Maris. Dans le Misanthrope, les grandes scènes des actes 111 et
V
peuvent contenir quelque chose de personnel à Mol
e sa femme, qu’il ne voyait plus qu’au théâtre, jouait Célimène. Voir
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
Célimène. Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
III
, chap. IX, § 5, Des sources de Molière. — Mais c’
Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap.
IX
, § 5, Des sources de Molière. — Mais c’est erreur
. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX, §
5,
Des sources de Molière. — Mais c’est erreur que d
considérations, car la fameuse scène de jalousie du Misanthrope (act.
II
, sc. III), avait été écrite et jouée, presque ide
ations, car la fameuse scène de jalousie du Misanthrope (act. II, sc.
III
), avait été écrite et jouée, presque identique, d
t été écrite et jouée, presque identique, dans le Prince Jaloux (act.
II
, sc. V et suiv.), en 1661, un an avant le mariage
rite et jouée, presque identique, dans le Prince Jaloux (act. II, sc.
V
et suiv.), en 1661, un an avant le mariage de Mol
resque identique, dans le Prince Jaloux (act. II, sc. V et suiv.), en
1661,
un an avant le mariage de Molière. Il y a là le t
nne, bien plus que l’explosion d’un cœur qui se met lui-même en jeu.
424.
Cicéron, De Officiis, lib. I, cap. IV : « Eademqu
’un cœur qui se met lui-même en jeu. 424. Cicéron, De Officiis, lib.
I
, cap. IV : « Eademque natura vi rationis, etc. »
qui se met lui-même en jeu. 424. Cicéron, De Officiis, lib. I, cap.
IV
: « Eademque natura vi rationis, etc. » — Voir to
ne : Unde hauriantur et quomodo sanciantur M. T. Ciceronis Officia.
425.
La Bruyère dit que « l’amour qui naît subitement
is qu’il dépeint plutôt les accidents que l’essence même de l’amour.
426.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. II ; act. II, s
dents que l’essence même de l’amour. 426. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. II ; act. II, sc. II, V ; act. IV, sc. IX, X
ue l’essence même de l’amour. 426. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
II
; act. II, sc. II, V ; act. IV, sc. IX, X. 427.
ce même de l’amour. 426. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II ; act.
II
, sc. II, V ; act. IV, sc. IX, X. 427. L’Avare,
de l’amour. 426. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II ; act. II, sc.
II
, V ; act. IV, sc. IX, X. 427. L’Avare, act. II,
’amour. 426. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II ; act. II, sc. II,
V
; act. IV, sc. IX, X. 427. L’Avare, act. II, sc
426. Le Festin de Pierre, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, V ; act.
IV
, sc. IX, X. 427. L’Avare, act. II, sc. VI ; act
Festin de Pierre, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, V ; act. IV, sc.
IX
, X. 427. L’Avare, act. II, sc. VI ; act. III, s
tin de Pierre, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, V ; act. IV, sc. IX,
X.
427. L’Avare, act. II, sc. VI ; act. III, sc. I
de Pierre, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, V ; act. IV, sc. IX, X.
427.
L’Avare, act. II, sc. VI ; act. III, sc. IX-XII.
c. II ; act. II, sc. II, V ; act. IV, sc. IX, X. 427. L’Avare, act.
II
, sc. VI ; act. III, sc. IX-XII. 428. Ah ! q
act. II, sc. II, V ; act. IV, sc. IX, X. 427. L’Avare, act. II, sc.
VI
; act. III, sc. IX-XII. 428. Ah ! qu’il est
c. II, V ; act. IV, sc. IX, X. 427. L’Avare, act. II, sc. VI ; act.
III
, sc. IX-XII. 428. Ah ! qu’il est bien peu v
, sc. IX, X. 427. L’Avare, act. II, sc. VI ; act. III, sc. IX-XII.
428.
Ah ! qu’il est bien peu vrai que ce qu’on do
le ciel en naissant a destiné nos âmes ! La Princesse d’Elide, act.
I
, sc. I. - Clitandre a commencé par offrir ses vœu
en naissant a destiné nos âmes ! La Princesse d’Elide, act. I, sc.
I
. - Clitandre a commencé par offrir ses vœux à Arm
x à Armande avant de trouver son Henriette (les Femmes savantes, act.
I
, sc. II). Alceste s’use à vouloir aimer Célimène
ande avant de trouver son Henriette (les Femmes savantes, act. I, sc.
II
). Alceste s’use à vouloir aimer Célimène (le Misa
sc. II). Alceste s’use à vouloir aimer Célimène (le Misanthrope, act.
I
, sc. I ; act. IV, sc. III), etc. 429. L’Avare
. Alceste s’use à vouloir aimer Célimène (le Misanthrope, act. I, sc.
I
; act. IV, sc. III), etc. 429. L’Avare, act.
s’use à vouloir aimer Célimène (le Misanthrope, act. I, sc. I ; act.
IV
, sc. III), etc. 429. L’Avare, act. I, sc. I.
vouloir aimer Célimène (le Misanthrope, act. I, sc. I ; act. IV, sc.
III
), etc. 429. L’Avare, act. I, sc. I. 430. Le
Célimène (le Misanthrope, act. I, sc. I ; act. IV, sc. III), etc.
429.
L’Avare, act. I, sc. I. 430. Les Fourberies de
hrope, act. I, sc. I ; act. IV, sc. III), etc. 429. L’Avare, act.
I
, sc. I. 430. Les Fourberies de Scapin, act. I,
act. I, sc. I ; act. IV, sc. III), etc. 429. L’Avare, act. I, sc.
I
. 430. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. III
I, sc. I ; act. IV, sc. III), etc. 429. L’Avare, act. I, sc. I.
430.
Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. III. 431.
429. L’Avare, act. I, sc. I. 430. Les Fourberies de Scapin, act.
I
, sc. III. 431. Le Malade imaginaire, act. I, sc
L’Avare, act. I, sc. I. 430. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc.
III
. 431. Le Malade imaginaire, act. I, sc. V. 432
re, act. I, sc. I. 430. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. III.
431.
Le Malade imaginaire, act. I, sc. V. 432. Voir
rberies de Scapin, act. I, sc. III. 431. Le Malade imaginaire, act.
I
, sc. V. 432. Voir plus haut, p. 124. 433. Les a
de Scapin, act. I, sc. III. 431. Le Malade imaginaire, act. I, sc.
V.
432. Voir plus haut, p. 124. 433. Les amours de
Scapin, act. I, sc. III. 431. Le Malade imaginaire, act. I, sc. V.
432.
Voir plus haut, p. 124. 433. Les amours de la fe
Le Malade imaginaire, act. I, sc. V. 432. Voir plus haut, p. 124.
433.
Les amours de la femme incomprise, de la femme de
haut, p. 124. 433. Les amours de la femme incomprise, de la femme de
quarante
ans n’ont été peints par Molière que pour exciter
2 ; les restrictions à faire à cet éloge se trouvent plus loin, chap.
IX
. 434. Et de deux cœurs brisés l’âpre confor
es restrictions à faire à cet éloge se trouvent plus loin, chap. IX.
434.
Et de deux cœurs brisés l’âpre conformité
à faire à cet éloge se trouvent plus loin, chap. IX. 434. Et de
deux
cœurs brisés l’âpre conformité Faisait de deux
X. 434. Et de deux cœurs brisés l’âpre conformité Faisait de
deux
malheurs une félicité. De Lamartine, Jocelyn.
Faisait de deux malheurs une félicité. De Lamartine, Jocelyn.
435.
Les Femmes savantes. 436. Oui, cette pass
e félicité. De Lamartine, Jocelyn. 435. Les Femmes savantes.
436.
Oui, cette passion, de toutes la plus belle,
Oui, cette passion, de toutes la plus belle, Traîne dans un esprit
cent
vertus après elle ; Aux nobles actions elle po
bles actions elle pousse les cœurs, etc. La Princesse d’Elide, act.
I
, sc. I. 437. Les Femmes savantes, act. III, sc
tions elle pousse les cœurs, etc. La Princesse d’Elide, act. I, sc.
I
. 437. Les Femmes savantes, act. III, sc. IX.
elle pousse les cœurs, etc. La Princesse d’Elide, act. I, sc. I.
437.
Les Femmes savantes, act. III, sc. IX. 438. J.
a Princesse d’Elide, act. I, sc. I. 437. Les Femmes savantes, act.
III
, sc. IX. 438. J. Racine, Phèdre, act. IV, sc. VI
se d’Elide, act. I, sc. I. 437. Les Femmes savantes, act. III, sc.
IX
. 438. J. Racine, Phèdre, act. IV, sc. VI. 439.
Elide, act. I, sc. I. 437. Les Femmes savantes, act. III, sc. IX.
438.
J. Racine, Phèdre, act. IV, sc. VI. 439. Voir, s
Les Femmes savantes, act. III, sc. IX. 438. J. Racine, Phèdre, act.
IV
, sc. VI. 439. Voir, sur l’Amour ingénu de Psyché
mes savantes, act. III, sc. IX. 438. J. Racine, Phèdre, act. IV, sc.
VI
. 439. Voir, sur l’Amour ingénu de Psyché, Saint-
avantes, act. III, sc. IX. 438. J. Racine, Phèdre, act. IV, sc. VI.
439.
Voir, sur l’Amour ingénu de Psyché, Saint-Marc Gi
u de Psyché, Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, t.
IV
, LI. M. Saint-Marc Girardin ne rend pas justice à
Psyché, Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, t. IV,
LI
. M. Saint-Marc Girardin ne rend pas justice à Mol
re plus grande que celle-là : Molière faisant travailler Corneille !
440.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. VIII-X.
faisant travailler Corneille ! 440. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. VIII-X. 441. « La nature veut toujours êtr
r Corneille ! 440. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. VIII-X.
441.
« La nature veut toujours être nouvelle, c’est v
me... À côté d’une fleur fanée naît une fleur toute semblable, et des
milliers
de familles se reconnaissent sous la rosée aux pr
tes ces parures se ressemblent. » A. de Musset, André del Sarto, act.
I
, sc. V. 442. Fades no
parures se ressemblent. » A. de Musset, André del Sarto, act. I, sc.
V.
442. Fades non omnibn
res se ressemblent. » A. de Musset, André del Sarto, act. I, sc. V.
442.
Fades non omnibns nna,
diversa tamen, qualem decet esse sorornm. Ovide, Metamorph., lib.
II
, v. 13. 443. Dans l’auteur original (Maria
tamen, qualem decet esse sorornm. Ovide, Metamorph., lib. II, v.
13.
443. Dans l’auteur original (Maria de Zayas
qualem decet esse sorornm. Ovide, Metamorph., lib. II, v. 13.
443.
Dans l’auteur original (Maria de Zayas, Nouvel
ce qu’il a touché se convertit en or. Boileau, Art poétique, ch.
III
, v. 298. 444. Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV, V
l a touché se convertit en or. Boileau, Art poétique, ch. III, v.
298.
444. Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV, VII, VIII
ché se convertit en or. Boileau, Art poétique, ch. III, v. 298.
444.
Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV, VII, VIII ; act.
Boileau, Art poétique, ch. III, v. 298. 444. Les Fâcheux, act.
I
, sc. I-IV, VII, VIII ; act. II, sc. V, VI ; act.
Art poétique, ch. III, v. 298. 444. Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV,
VII
, VIII ; act. II, sc. V, VI ; act. III, sc. I ; V,
oétique, ch. III, v. 298. 444. Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV, VII,
VIII
; act. II, sc. V, VI ; act. III, sc. I ; V, VI.
III, v. 298. 444. Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV, VII, VIII ; act.
II
, sc. V, VI ; act. III, sc. I ; V, VI. 445.
298. 444. Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV, VII, VIII ; act. II, sc.
V
, VI ; act. III, sc. I ; V, VI. 445. Bienheu
8. 444. Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV, VII, VIII ; act. II, sc. V,
VI
; act. III, sc. I ; V, VI. 445. Bienheureux
Les Fâcheux, act. I, sc. I-IV, VII, VIII ; act. II, sc. V, VI ; act.
III
, sc. I ; V, VI. 445. Bienheureux Scudéri, d
eux, act. I, sc. I-IV, VII, VIII ; act. II, sc. V, VI ; act. III, sc.
I
; V, VI. 445. Bienheureux Scudéri, dont la
act. I, sc. I-IV, VII, VIII ; act. II, sc. V, VI ; act. III, sc. I ;
V
, VI. 445. Bienheureux Scudéri, dont la fert
t. I, sc. I-IV, VII, VIII ; act. II, sc. V, VI ; act. III, sc. I ; V,
VI
. 445. Bienheureux Scudéri, dont la fertile
sc. I-IV, VII, VIII ; act. II, sc. V, VI ; act. III, sc. I ; V, VI.
445.
Bienheureux Scudéri, dont la fertile plume
! Boileau, Satire
II
, à Molière, v. 77. 446. Voir, pour les restrict
Boileau, Satire II, à Molière, v.
77.
446. Voir, pour les restrictions à faire, plus
Boileau, Satire II, à Molière, v. 77.
446.
Voir, pour les restrictions à faire, plus loin, c
, v. 77. 446. Voir, pour les restrictions à faire, plus loin, chap.
IX
. 447. République, liv. IV ; Phèdre. 448. L’E
77. 446. Voir, pour les restrictions à faire, plus loin, chap. IX.
447.
République, liv. IV ; Phèdre. 448. L’Etourdi.
es restrictions à faire, plus loin, chap. IX. 447. République, liv.
IV
; Phèdre. 448. L’Etourdi. 449. Le Dépit amo
à faire, plus loin, chap. IX. 447. République, liv. IV ; Phèdre.
448.
L’Etourdi. 449. Le Dépit amoureux. 450. L’
, chap. IX. 447. République, liv. IV ; Phèdre. 448. L’Etourdi.
449.
Le Dépit amoureux. 450. L’École des Femmes.
ue, liv. IV ; Phèdre. 448. L’Etourdi. 449. Le Dépit amoureux.
450.
L’École des Femmes. 451. M. de Pourceaugnac.
L’Etourdi. 449. Le Dépit amoureux. 450. L’École des Femmes.
451.
M. de Pourceaugnac. 452. Lélie dans l’Etourdi
t amoureux. 450. L’École des Femmes. 451. M. de Pourceaugnac.
452.
Lélie dans l’Etourdi ; Cléante dans l’Avare. 4
Pourceaugnac. 452. Lélie dans l’Etourdi ; Cléante dans l’Avare.
453.
Les amoureux du Dépit amoureux, du Prince jaloux,
ce jaloux, du Tartuffe, du Bourgeois gentilhomme, des Fâcheux, etc.
454.
Voir particulièrement le Dépit amoureux, act. IV,
es Fâcheux, etc. 454. Voir particulièrement le Dépit amoureux, act.
IV
, sc. III ; le Tartuffe, act. II, sc. IV ; le Misa
ux, etc. 454. Voir particulièrement le Dépit amoureux, act. IV, sc.
III
; le Tartuffe, act. II, sc. IV ; le Misanthrope,
ticulièrement le Dépit amoureux, act. IV, sc. III ; le Tartuffe, act.
II
, sc. IV ; le Misanthrope, act. IV, sc. III -, le
ement le Dépit amoureux, act. IV, sc. III ; le Tartuffe, act. II, sc.
IV
; le Misanthrope, act. IV, sc. III -, le Bourgeoi
ct. IV, sc. III ; le Tartuffe, act. II, sc. IV ; le Misanthrope, act.
IV
, sc. III -, le Bourgeois gentilhomme, act. III, s
sc. III ; le Tartuffe, act. II, sc. IV ; le Misanthrope, act. IV, sc.
III
-, le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. X. 45
; le Misanthrope, act. IV, sc. III -, le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. X. 455. Cléante et Valère dans l’Avare ; H
anthrope, act. IV, sc. III -, le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc.
X.
455. Cléante et Valère dans l’Avare ; Henriette
rope, act. IV, sc. III -, le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. X.
455.
Cléante et Valère dans l’Avare ; Henriette dans
ette dans les Femmes savantes ; Angélique dans le Malade imaginaire.
456.
Voir surtout l’Avare, M. de Pourceaugnac, les Fem
456. Voir surtout l’Avare, M. de Pourceaugnac, les Femmes savantes.
457.
L’Amour médecin, l’Amour peintre, le Médecin mal
, le Médecin malgré lui, l’École des Femmes, l’École des Maris, etc.
458.
Les deux Écoles, Psyché. 459. Les deux Écoles,
cin malgré lui, l’École des Femmes, l’École des Maris, etc. 458. Les
deux
Écoles, Psyché. 459. Les deux Écoles, le Misan
des Femmes, l’École des Maris, etc. 458. Les deux Écoles, Psyché.
459.
Les deux Écoles, le Misanthrope. 460. Les Fem
s, l’École des Maris, etc. 458. Les deux Écoles, Psyché. 459. Les
deux
Écoles, le Misanthrope. 460. Les Femmes savant
. Les deux Écoles, Psyché. 459. Les deux Écoles, le Misanthrope.
460.
Les Femmes savantes. 461. Il est inutile de mu
459. Les deux Écoles, le Misanthrope. 460. Les Femmes savantes.
461.
Il est inutile de multiplier les notes : il faudr
r chacun de ces articles citer presque tous les amoureux de Molière.
462.
Voir plus loin, p. 137. 463. C’est le caractère
presque tous les amoureux de Molière. 462. Voir plus loin, p. 137.
463.
C’est le caractère de ce théâtre, où on ne voit n
lle tombée, ni courtisane. Voir cependant les réserves à faire, chap.
IX
. 464. On est ici en contradiction avec Bossuet,
ombée, ni courtisane. Voir cependant les réserves à faire, chap. IX.
464.
On est ici en contradiction avec Bossuet, Maximes
ntradiction avec Bossuet, Maximes et réflexions sur la comédie, chap.
V.
Voir plus loin, p. 145, note 1, et chap. XII. 46
s et réflexions sur la comédie, chap. V. Voir plus loin, p. 145, note
1,
et chap. XII. 465. Le Misanthrope, act. IV et V
ons sur la comédie, chap. V. Voir plus loin, p. 145, note 1, et chap.
XII
. 465. Le Misanthrope, act. IV et V. — Voir plus
r la comédie, chap. V. Voir plus loin, p. 145, note 1, et chap. XII.
465.
Le Misanthrope, act. IV et V. — Voir plus haut,
plus loin, p. 145, note 1, et chap. XII. 465. Le Misanthrope, act.
IV
et V. — Voir plus haut, chap. VI, page 112. 466
loin, p. 145, note 1, et chap. XII. 465. Le Misanthrope, act. IV et
V.
— Voir plus haut, chap. VI, page 112. 466. L
ap. XII. 465. Le Misanthrope, act. IV et V. — Voir plus haut, chap.
VI
, page 112. 466. Le Misanthrope, act. III, sc
465. Le Misanthrope, act. IV et V. — Voir plus haut, chap. VI, page
112.
466. Le Misanthrope, act. III, sc. IV-VII. —
Le Misanthrope, act. IV et V. — Voir plus haut, chap. VI, page 112.
466.
Le Misanthrope, act. III, sc. IV-VII. — Il y a
— Voir plus haut, chap. VI, page 112. 466. Le Misanthrope, act.
III
, sc. IV-VII. — Il y avait alors de la coquetterie
u’il dit ; Mais la chair n’entend pas la langue de l’esprit. Ah
I
que ne pouvez-vous vous élever, madame, Au som
res mêlées de M. Fléchier, évêque de Nismes, Paris, Jacques Estienne,
1712.
Lire ces quatre dialogues, très-curieux, très-sen
. Fléchier, évêque de Nismes, Paris, Jacques Estienne, 1712. Lire ces
quatre
dialogues, très-curieux, très-sensés, et très-bie
s quatre dialogues, très-curieux, très-sensés, et très-bien écrits.
467.
Les Femmes savantes, act. I, sc. I, II, IV. 468
, très-sensés, et très-bien écrits. 467. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. I, II, IV. 468. La Comtesse d’Escarbagnas
sensés, et très-bien écrits. 467. Les Femmes savantes, act. I, sc.
I
, II, IV. 468. La Comtesse d’Escarbagnas sc. II,
sés, et très-bien écrits. 467. Les Femmes savantes, act. I, sc. I,
II
, IV. 468. La Comtesse d’Escarbagnas sc. II, XV-
et très-bien écrits. 467. Les Femmes savantes, act. I, sc. I, II,
IV
. 468. La Comtesse d’Escarbagnas sc. II, XV-XXII
rès-bien écrits. 467. Les Femmes savantes, act. I, sc. I, II, IV.
468.
La Comtesse d’Escarbagnas sc. II, XV-XXII. 469.
savantes, act. I, sc. I, II, IV. 468. La Comtesse d’Escarbagnas sc.
II
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I, sc. I, II, IV. 468. La Comtesse d’Escarbagnas sc. II, XV-XXII.
469.
Boileau, Satire X, v. 158. 470. Le Misanthrope,
68. La Comtesse d’Escarbagnas sc. II, XV-XXII. 469. Boileau, Satire
X
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Le Misanthrope, act. III, sc. VII ; act.V, sc. I
XV-XXII. 469. Boileau, Satire X, v. 158. 470. Le Misanthrope, act.
III
, sc. VII ; act.V, sc. IV. 471. Id., act. V,
469. Boileau, Satire X, v. 158. 470. Le Misanthrope, act. III, sc.
VII
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IV
. 471. Id., act. V, sc. VII : Moi, renonc
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V
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VII
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avant que de vieillir, Et dans votre désert aller m’ensevelir !
472.
Boileau, Satire X, v. 169. 473. Le Misanthrope,
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III
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474. Boileau, Satire X, v. 533. — On alliait
Boileau, Satire X, v. 169. 473. Le Misanthrope, act. III, sc. V.
474.
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533.
— On alliait très-bien la débauche avec le quiéti
Fléchier, Dialogue second sur le Quiétisme.
475.
Le Misanthrope, act. IV, sc. I. 476. Id., act.
hier, Dialogue second sur le Quiétisme. 475. Le Misanthrope, act.
IV
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476.
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475. Le Misanthrope, act. IV, sc. I. 476. Id., act. III, sc. I.
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VIII
. La franchise est peut-être ici poussée un peu lo
mais cette légère exagération donne néanmoins une profitable leçon.
479.
Les Femmes savantes, act. I, sc. II, IV. 480.
nne néanmoins une profitable leçon. 479. Les Femmes savantes, act.
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II
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ns une profitable leçon. 479. Les Femmes savantes, act. I, sc. II,
IV
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480.
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79. Les Femmes savantes, act. I, sc. II, IV. 480. Id., act. V, sc.
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Les Femmes savantes, act. I, sc. II, IV. 480. Id., act. V, sc. I.
481.
Le Misanthrope, act. II, sc. I. 482. Le Misant
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. Le Misanthrope, act. II, sc. I. 482. Le Misanthrope, act. I, sc.
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483.
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Le Misanthrope, act. I, sc. II. 483. Andromaque, act. I, sc. IV.
484.
Art poétique, ch. IV, v. 195-200. - Voir plus ha
, sc. II. 483. Andromaque, act. I, sc. IV. 484. Art poétique, ch.
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, v. 195-200. - Voir plus haut, chap. III, p. 57.
I. 483. Andromaque, act. I, sc. IV. 484. Art poétique, ch. IV, v.
195-200.
- Voir plus haut, chap. III, p. 57. 485. Les Pr
IV. 484. Art poétique, ch. IV, v. 195-200. - Voir plus haut, chap.
III
, p. 57. 485. Les Précieuses ridicules, sc. V, X
rt poétique, ch. IV, v. 195-200. - Voir plus haut, chap. III, p. 57.
485.
Les Précieuses ridicules, sc. V, X ; XII ; Les F
oir plus haut, chap. III, p. 57. 485. Les Précieuses ridicules, sc.
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plus haut, chap. III, p. 57. 485. Les Précieuses ridicules, sc. V,
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s haut, chap. III, p. 57. 485. Les Précieuses ridicules, sc. V, X ;
XII
; Les Fâcheux, act. II, sc. IV ; le Misanthrope,
. 485. Les Précieuses ridicules, sc. V, X ; XII ; Les Fâcheux, act.
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les Femmes savantes, act. III, sc. II, la Comtesse d’Escabargnas, sc.
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Femmes savantes, act. III, sc. II, la Comtesse d’Escabargnas, sc. I,
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, XVI ; le Malade imaginaire, act. II, sc. VI. 48
mes savantes, act. III, sc. II, la Comtesse d’Escabargnas, sc. I, XV,
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486.
Le Dépit amoureux, act. I, sc. II ; act. IV, sc.
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III, sc. VIII-X, XVIII ; act. V, sc. II ; Psyché, act. III, sc. III,
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VIII-X, XVIII ; act. V, sc. II ; Psyché, act. III, sc. III, IV ; act.
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XVIII ; act. V, sc. II ; Psyché, act. III, sc. III, IV ; act. IV, sc.
III
; act. V, sc. IV ; les Fourberies de Scapin, act.
. V, sc. II ; Psyché, act. III, sc. III, IV ; act. IV, sc. III ; act.
V
, sc. IV ; les Fourberies de Scapin, act. I, sc. I
. II ; Psyché, act. III, sc. III, IV ; act. IV, sc. III ; act. V, sc.
IV
; les Fourberies de Scapin, act. I, sc. III ; la
; act. IV, sc. III ; act. V, sc. IV ; les Fourberies de Scapin, act.
I
, sc. III ; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. I : Les
IV, sc. III ; act. V, sc. IV ; les Fourberies de Scapin, act. I, sc.
III
; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. I : Les Femmes s
ourberies de Scapin, act. I, sc. III ; la Comtesse d’Escarbagnas, sc.
I
: Les Femmes savantes, act. I, sc. II, III ; act.
c. III ; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. I : Les Femmes savantes, act.
I
, sc. II, III ; act. IV, sc. VII, VIII ; le Malade
; la Comtesse d’Escarbagnas, sc. I : Les Femmes savantes, act. I, sc.
II
, III ; act. IV, sc. VII, VIII ; le Malade imagina
Comtesse d’Escarbagnas, sc. I : Les Femmes savantes, act. I, sc. II,
III
; act. IV, sc. VII, VIII ; le Malade imaginaire,
’Escarbagnas, sc. I : Les Femmes savantes, act. I, sc. II, III ; act.
IV
, sc. VII, VIII ; le Malade imaginaire, act. II, s
gnas, sc. I : Les Femmes savantes, act. I, sc. II, III ; act. IV, sc.
VII
, VIII ; le Malade imaginaire, act. II, sc. IV-VI,
sc. I : Les Femmes savantes, act. I, sc. II, III ; act. IV, sc. VII,
VIII
; le Malade imaginaire, act. II, sc. IV-VI, XI ;
I, sc. II, III ; act. IV, sc. VII, VIII ; le Malade imaginaire, act.
II
, sc. IV-VI, XI ; act. III, sc. XXI, XXII. 487.
; act. IV, sc. VII, VIII ; le Malade imaginaire, act. II, sc. IV-VI,
XI
; act. III, sc. XXI, XXII. 487. Les Femmes sava
, sc. VII, VIII ; le Malade imaginaire, act. II, sc. IV-VI, XI ; act.
III
, sc. XXI, XXII. 487. Les Femmes savantes, act.
, VIII ; le Malade imaginaire, act. II, sc. IV-VI, XI ; act. III, sc.
XXI
, XXII. 487. Les Femmes savantes, act. IV, sc. V
I ; le Malade imaginaire, act. II, sc. IV-VI, XI ; act. III, sc. XXI,
XXII
. 487. Les Femmes savantes, act. IV, sc. VIII.
Malade imaginaire, act. II, sc. IV-VI, XI ; act. III, sc. XXI, XXII.
487.
Les Femmes savantes, act. IV, sc. VIII. 488. Le
IV-VI, XI ; act. III, sc. XXI, XXII. 487. Les Femmes savantes, act.
IV
, sc. VIII. 488. Les deux Écoles, le Mariage forc
I ; act. III, sc. XXI, XXII. 487. Les Femmes savantes, act. IV, sc.
VIII
. 488. Les deux Écoles, le Mariage forcé, le Misa
. III, sc. XXI, XXII. 487. Les Femmes savantes, act. IV, sc. VIII.
488.
Les deux Écoles, le Mariage forcé, le Misanthrope
. XXI, XXII. 487. Les Femmes savantes, act. IV, sc. VIII. 488. Les
deux
Écoles, le Mariage forcé, le Misanthrope, l’Avare
hrope, l’Avare, le Bourgeois gentilhomme, la Comtesse d’Escarbagnas.
489.
La Fontaine, liv. IV, fab. V l’Ane et le petit Ch
geois gentilhomme, la Comtesse d’Escarbagnas. 489. La Fontaine, liv.
IV
, fab. V l’Ane et le petit Chien. — Les Femmes sav
tilhomme, la Comtesse d’Escarbagnas. 489. La Fontaine, liv. IV, fab.
V
l’Ane et le petit Chien. — Les Femmes savantes, a
liv. IV, fab. V l’Ane et le petit Chien. — Les Femmes savantes, act.
III
, sc. VI ; act. V, sc. I ; le Malade imaginaire, a
fab. V l’Ane et le petit Chien. — Les Femmes savantes, act. III, sc.
VI
; act. V, sc. I ; le Malade imaginaire, act. II,
Ane et le petit Chien. — Les Femmes savantes, act. III, sc. VI ; act.
V
, sc. I ; le Malade imaginaire, act. II, sc. VI, V
le petit Chien. — Les Femmes savantes, act. III, sc. VI ; act. V, sc.
I
; le Malade imaginaire, act. II, sc. VI, VII. 49
vantes, act. III, sc. VI ; act. V, sc. I ; le Malade imaginaire, act.
II
, sc. VI, VII. 490. La Princesse d’Elidei, act.
act. III, sc. VI ; act. V, sc. I ; le Malade imaginaire, act. II, sc.
VI
, VII. 490. La Princesse d’Elidei, act. I, sc. I
III, sc. VI ; act. V, sc. I ; le Malade imaginaire, act. II, sc. VI,
VII
. 490. La Princesse d’Elidei, act. I, sc. I. 49
sc. VI ; act. V, sc. I ; le Malade imaginaire, act. II, sc. VI, VII.
490.
La Princesse d’Elidei, act. I, sc. I. 491. Voir
imaginaire, act. II, sc. VI, VII. 490. La Princesse d’Elidei, act.
I
, sc. I. 491. Voir plus haut, chap. II, p. 25. 4
aire, act. II, sc. VI, VII. 490. La Princesse d’Elidei, act. I, sc.
I
. 491. Voir plus haut, chap. II, p. 25. 492. Le
, act. II, sc. VI, VII. 490. La Princesse d’Elidei, act. I, sc. I.
491.
Voir plus haut, chap. II, p. 25. 492. Le Festin
0. La Princesse d’Elidei, act. I, sc. I. 491. Voir plus haut, chap.
II
, p. 25. 492. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I
esse d’Elidei, act. I, sc. I. 491. Voir plus haut, chap. II, p. 25.
492.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. III ; act. IV,
91. Voir plus haut, chap. II, p. 25. 492. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. III ; act. IV, sc. IX. 493. Le Tartuff
r plus haut, chap. II, p. 25. 492. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
III
; act. IV, sc. IX. 493. Le Tartuffe, act. I
, chap. II, p. 25. 492. Le Festin de Pierre, act. I, sc. III ; act.
IV
, sc. IX. 493. Le Tartuffe, act. IV, sc. VII
II, p. 25. 492. Le Festin de Pierre, act. I, sc. III ; act. IV, sc.
IX
. 493. Le Tartuffe, act. IV, sc. VIII :
25. 492. Le Festin de Pierre, act. I, sc. III ; act. IV, sc. IX.
493.
Le Tartuffe, act. IV, sc. VIII : Vous épou
erre, act. I, sc. III ; act. IV, sc. IX. 493. Le Tartuffe, act.
IV
, sc. VIII : Vous épousiez ma fille et convoit
t. I, sc. III ; act. IV, sc. IX. 493. Le Tartuffe, act. IV, sc.
VIII
: Vous épousiez ma fille et convoitiez ma fem
s épousiez ma fille et convoitiez ma femme. Voir plus haut, chap.
II
, p. 29. 494. Le Mariage forcé, sc. IV, XII. 4
fille et convoitiez ma femme. Voir plus haut, chap. II, p. 29.
494.
Le Mariage forcé, sc. IV, XII. 495. La Jalousi
e. Voir plus haut, chap. II, p. 29. 494. Le Mariage forcé, sc.
IV
, XII. 495. La Jalousie du Barbouillé, sc. XI ;
Voir plus haut, chap. II, p. 29. 494. Le Mariage forcé, sc. IV,
XII
. 495. La Jalousie du Barbouillé, sc. XI ; le Ma
r plus haut, chap. II, p. 29. 494. Le Mariage forcé, sc. IV, XII.
495.
La Jalousie du Barbouillé, sc. XI ; le Mari conf
Le Mariage forcé, sc. IV, XII. 495. La Jalousie du Barbouillé, sc.
XI
; le Mari confondu, sc. V, VIII, XI, XII. — Voir,
XII. 495. La Jalousie du Barbouillé, sc. XI ; le Mari confondu, sc.
V
, VIII, XI, XII. — Voir, pour les restrictions à f
. 495. La Jalousie du Barbouillé, sc. XI ; le Mari confondu, sc. V,
VIII
, XI, XII. — Voir, pour les restrictions à faire,
. La Jalousie du Barbouillé, sc. XI ; le Mari confondu, sc. V, VIII,
XI
, XII. — Voir, pour les restrictions à faire, plus
a Jalousie du Barbouillé, sc. XI ; le Mari confondu, sc. V, VIII, XI,
XII
. — Voir, pour les restrictions à faire, plus loin
III, XI, XII. — Voir, pour les restrictions à faire, plus loin, chap.
IX
.
CHAPITRE
IV
. Jugement sur les Hommes de Molière. Mais, à c
ns votre muse fertile Partout joigne au plaisant le solide et l’utile
220.
Eh ! non : Molière est un comédien ; Molière veu
lière est un. sceptique indulgent226. Il condamne absolument Tartuffe
227,
et le met aux prises avec un bourgeois sot et cré
e où Scapin s’enveloppe, Je ne reconnois plus l’auteur du Misanthrope
229.
Si vraiment, on reconnaît l’auteur comique230 :
ne traite pas le bouffon avec moins de génie que l’agréable et le fin
231.
Au point de vue de l’art, on ne doit pas plus blâ
ndamnera, au point de vue moral, toute la longue comédie de l’Etourdi
232,
où, d’un bout à l’autre, l’auteur étale la condui
qui fait excuser d’autant plus volontiers les joyeuses manœuvres des
deux
jeunes escrocs. La comédie s’ouvre sur cette bell
qu’il est très-certain Qu’on ne peut me taxer que d’être trop humain
236.
Il n’est pas besoin de donner des explications s
onvient ; mais n’est-il pas funeste pour la morale de forcer, pendant
deux
heures, l’honnête spectateur à trouver plein de g
arce insensée par laquelle ils enlèvent sa fille au bonhomme Gorgibus
241.
Le Mascarille du Dépit amoureux 242 ne vaut guère
nt sa fille au bonhomme Gorgibus 241. Le Mascarille du Dépit amoureux
242
ne vaut guère mieux que son aîné de l’Etourdi, et
Médecin malgré lui est si divertissant, avec sa bouteille aux juleps
244
et sa jovialité rabelaisienne, qu’on le voit, san
t qu’on serait désolé de le voir pendre, comme le voudrait bien Lucas
249.
Hali, dans l’Amour peintre 250, est encore un vra
pendre, comme le voudrait bien Lucas 249. Hali, dans l’Amour peintre
250,
est encore un vrai Mascarille ; et Mercure, dans
ntre 250, est encore un vrai Mascarille ; et Mercure, dans Amphitryon
251,
est le Mascarille divinisé, qui ne procure plus d
écessité de nourrir sa troupe et de faire rire à tout prix : c’est en
1669,
quand il a donné le Misanthrope, le Tartuffe, l’A
arce de M. de Pourceaugnac, chef-d’œuvre comique où, par malheur, les
deux
personnages intéressants, spirituels, actifs, les
r malheur, les deux personnages intéressants, spirituels, actifs, les
deux
chevilles ouvrières de la pièce, sont la Nérine e
éros de notre siècle pour les exploits dont il s’agit : un homme qui,
vingt
fois en sa vie, pour sauver ses amis, a généreuse
ous acquîtes, lorsque avec tant d’honnêteté vous pipâtes au jeu, pour
douze
mille écus, ce-jeune seigneur étranger que l’on m
quîtes, lorsque avec tant d’honnêteté vous pipâtes au jeu, pour douze
mille
écus, ce-jeune seigneur étranger que l’on mena ch
généreusement on vous vit prêter votre témoignage à faire pendre ces
deux
personnes qui ne l’avoient pas mérité254. Dites
tingué comme Eraste n’a pas honte de se faire le second d’un Sbrigani
256
? Dans toute la suite de la pièce, le ridicule ex
s qu’à nous réjouir : La grande affaire est le plaisir257 ! C’est en
1671,
dans toute la force de son génie, quand il ne man
la plus ferme de résister au fou rire causé par le mulet et la galère
261,
et de n’être pas, malgré tous les principes, ench
iction. Je ne parle ni de vous, ni de moi, mais du peuple qui, depuis
deux
cents ans, vient tous les soirs remplir ce théâtr
n. Je ne parle ni de vous, ni de moi, mais du peuple qui, depuis deux
cents
ans, vient tous les soirs remplir ce théâtre. Et
argent de l’honneur de celle qu’on veut s’attacher par un lien sacré
267
? Qu’on ne dise point que cela importe peu à la m
pour insister sur le précepte inattaquable d’Horace : Et sibi constet
269.
Que conclure ? Et que dire en sortant d’un spec
l’homme accompli, Homme d’honneur, d’esprit, de cœur et de conduite
278,
à qui ne manque ni la rigide honnêteté d’Alceste
, en vieillissant, le bon, raisonnable et aimable Cléante du Tartuffe
280.
Et si la Grèce est éternellement célèbre pour no
uire ce modèle moral de l’homme intelligent, chrétien et français ?
220.
Art poétique, ch. IV, v. 87. 221. Voir plus hau
l’homme intelligent, chrétien et français ? 220. Art poétique, ch.
IV
, v. 87. 221. Voir plus haut, chap. I, p. 3 et 13
intelligent, chrétien et français ? 220. Art poétique, ch. IV, v.
87.
221. Voir plus haut, chap. I, p. 3 et 13. 222.
lligent, chrétien et français ? 220. Art poétique, ch. IV, v. 87.
221.
Voir plus haut, chap. I, p. 3 et 13. 222. Id.,
is ? 220. Art poétique, ch. IV, v. 87. 221. Voir plus haut, chap.
I
, p. 3 et 13. 222. Id., chap. I, p. 9 et 18. 22
Art poétique, ch. IV, v. 87. 221. Voir plus haut, chap. I, p. 3 et
13.
222. Id., chap. I, p. 9 et 18. 223. Id., chap
poétique, ch. IV, v. 87. 221. Voir plus haut, chap. I, p. 3 et 13.
222.
Id., chap. I, p. 9 et 18. 223. Id., chap. II,
, v. 87. 221. Voir plus haut, chap. I, p. 3 et 13. 222. Id., chap.
I
, p. 9 et 18. 223. Id., chap. II, p. 22, et plus
21. Voir plus haut, chap. I, p. 3 et 13. 222. Id., chap. I, p. 9 et
18.
223. Id., chap. II, p. 22, et plus loin, chap.
oir plus haut, chap. I, p. 3 et 13. 222. Id., chap. I, p. 9 et 18.
223.
Id., chap. II, p. 22, et plus loin, chap. XI. 2
ap. I, p. 3 et 13. 222. Id., chap. I, p. 9 et 18. 223. Id., chap.
II
, p. 22, et plus loin, chap. XI. 224. Id., chap.
chap. I, p. 9 et 18. 223. Id., chap. II, p. 22, et plus loin, chap.
XI
. 224. Id., chap. III, p. 44. 225. Voir particu
I, p. 9 et 18. 223. Id., chap. II, p. 22, et plus loin, chap. XI.
224.
Id., chap. III, p. 44. 225. Voir particulièreme
223. Id., chap. II, p. 22, et plus loin, chap. XI. 224. Id., chap.
III
, p. 44. 225. Voir particulièrement l’École des M
ap. II, p. 22, et plus loin, chap. XI. 224. Id., chap. III, p. 44.
225.
Voir particulièrement l’École des Maris, act. I,
chap. III, p. 44. 225. Voir particulièrement l’École des Maris, act.
I
, sc. II ; act. III, sc. VI, VIII, IX, Arisle ; l’
II, p. 44. 225. Voir particulièrement l’École des Maris, act. I, sc.
II
; act. III, sc. VI, VIII, IX, Arisle ; l’École de
225. Voir particulièrement l’École des Maris, act. I, sc. II ; act.
III
, sc. VI, VIII, IX, Arisle ; l’École des Femmes, a
ir particulièrement l’École des Maris, act. I, sc. II ; act. III, sc.
VI
, VIII, IX, Arisle ; l’École des Femmes, acte I, s
articulièrement l’École des Maris, act. I, sc. II ; act. III, sc. VI,
VIII
, IX, Arisle ; l’École des Femmes, acte I, sc. I,
lièrement l’École des Maris, act. I, sc. II ; act. III, sc. VI, VIII,
IX
, Arisle ; l’École des Femmes, acte I, sc. I, Chry
c. II ; act. III, sc. VI, VIII, IX, Arisle ; l’École des Femmes, acte
I
, sc. I, Chrysalde. 226. Voir plus haut, chap. I
act. III, sc. VI, VIII, IX, Arisle ; l’École des Femmes, acte I, sc.
I
, Chrysalde. 226. Voir plus haut, chap. III, p.
I, VIII, IX, Arisle ; l’École des Femmes, acte I, sc. I, Chrysalde.
226.
Voir plus haut, chap. III, p. 52. 227. Id., cha
le des Femmes, acte I, sc. I, Chrysalde. 226. Voir plus haut, chap.
III
, p. 52. 227. Id., chap. II, p. 29. 228. Voir p
, acte I, sc. I, Chrysalde. 226. Voir plus haut, chap. III, p. 52.
227.
Id., chap. II, p. 29. 228. Voir plus loin, chap
Chrysalde. 226. Voir plus haut, chap. III, p. 52. 227. Id., chap.
II
, p. 29. 228. Voir plus loin, chap. VI. 229. Ar
226. Voir plus haut, chap. III, p. 52. 227. Id., chap. II, p. 29.
228.
Voir plus loin, chap. VI. 229. Art poétique, ch
III, p. 52. 227. Id., chap. II, p. 29. 228. Voir plus loin, chap.
VI
. 229. Art poétique, ch. III, v. 399. Voir plus
p. 52. 227. Id., chap. II, p. 29. 228. Voir plus loin, chap. VI.
229.
Art poétique, ch. III, v. 399. Voir plus haut, c
. II, p. 29. 228. Voir plus loin, chap. VI. 229. Art poétique, ch.
III
, v. 399. Voir plus haut, chap. I, p. 10, note 2.
29. 228. Voir plus loin, chap. VI. 229. Art poétique, ch. III, v.
399.
Voir plus haut, chap. I, p. 10, note 2. — Mais ce
chap. VI. 229. Art poétique, ch. III, v. 399. Voir plus haut, chap.
I
, p. 10, note 2. — Mais ce n’est pas un motif pour
Art poétique, ch. III, v. 399. Voir plus haut, chap. I, p. 10, note
2.
— Mais ce n’est pas un motif pour s’associer à l’
it pas la possibilité de son alliance avec Térence (Art poétique, ch.
III
, v. 398). 230. « On reconnaît encor l’auteu
a possibilité de son alliance avec Térence (Art poétique, ch. III, v.
398
). 230. « On reconnaît encor l’auteur du Mis
bilité de son alliance avec Térence (Art poétique, ch. III, v. 398).
230.
« On reconnaît encor l’auteur du Misanthrope
lexions sur le Misanthrope, dans les Actes de l’Académie de Bordeaux,
3e
fascicule, 1866. 231. Boileau, Art poétique, ch
Misanthrope, dans les Actes de l’Académie de Bordeaux, 3e fascicule,
1866.
231. Boileau, Art poétique, ch. III, v. 397. 2
rope, dans les Actes de l’Académie de Bordeaux, 3e fascicule, 1866.
231.
Boileau, Art poétique, ch. III, v. 397. 232. 165
ie de Bordeaux, 3e fascicule, 1866. 231. Boileau, Art poétique, ch.
III
, v. 397. 232. 1653. 233. Lélie et Mascarille.
rdeaux, 3e fascicule, 1866. 231. Boileau, Art poétique, ch. III, v.
397.
232. 1653. 233. Lélie et Mascarille. 234. L
, 3e fascicule, 1866. 231. Boileau, Art poétique, ch. III, v. 397.
232.
1653. 233. Lélie et Mascarille. 234. L’Etour
fascicule, 1866. 231. Boileau, Art poétique, ch. III, v. 397. 232.
1653.
233. Lélie et Mascarille. 234. L’Etourdi, ac
le, 1866. 231. Boileau, Art poétique, ch. III, v. 397. 232. 1653.
233.
Lélie et Mascarille. 234. L’Etourdi, acte I,
poétique, ch. III, v. 397. 232. 1653. 233. Lélie et Mascarille.
234.
L’Etourdi, acte I, sc. VI, IX ; acte II, sc. III
397. 232. 1653. 233. Lélie et Mascarille. 234. L’Etourdi, acte
I
, sc. VI, IX ; acte II, sc. III, IV, etc. 235. Vo
232. 1653. 233. Lélie et Mascarille. 234. L’Etourdi, acte I, sc.
VI
, IX ; acte II, sc. III, IV, etc. 235. Voir plus
1653. 233. Lélie et Mascarille. 234. L’Etourdi, acte I, sc. VI,
IX
; acte II, sc. III, IV, etc. 235. Voir plus loin
3. Lélie et Mascarille. 234. L’Etourdi, acte I, sc. VI, IX ; acte
II
, sc. III, IV, etc. 235. Voir plus loin, chap. X.
e et Mascarille. 234. L’Etourdi, acte I, sc. VI, IX ; acte II, sc.
III
, IV, etc. 235. Voir plus loin, chap. X. 236. L
Mascarille. 234. L’Etourdi, acte I, sc. VI, IX ; acte II, sc. III,
IV
, etc. 235. Voir plus loin, chap. X. 236. L’Eto
. 234. L’Etourdi, acte I, sc. VI, IX ; acte II, sc. III, IV, etc.
235.
Voir plus loin, chap. X. 236. L’Etourdi, acte I
, sc. VI, IX ; acte II, sc. III, IV, etc. 235. Voir plus loin, chap.
X.
236. L’Etourdi, acte I, sc. II. 237. Id., act
. VI, IX ; acte II, sc. III, IV, etc. 235. Voir plus loin, chap. X.
236.
L’Etourdi, acte I, sc. II. 237. Id., acte I, s
. III, IV, etc. 235. Voir plus loin, chap. X. 236. L’Etourdi, acte
I
, sc. II. 237. Id., acte I, sc. VI. 238. Voir p
IV, etc. 235. Voir plus loin, chap. X. 236. L’Etourdi, acte I, sc.
II
. 237. Id., acte I, sc. VI. 238. Voir plus haut
tc. 235. Voir plus loin, chap. X. 236. L’Etourdi, acte I, sc. II.
237.
Id., acte I, sc. VI. 238. Voir plus haut, chap.
lus loin, chap. X. 236. L’Etourdi, acte I, sc. II. 237. Id., acte
I
, sc. VI. 238. Voir plus haut, chap. II et III.
n, chap. X. 236. L’Etourdi, acte I, sc. II. 237. Id., acte I, sc.
VI
. 238. Voir plus haut, chap. II et III. 239. L’
ap. X. 236. L’Etourdi, acte I, sc. II. 237. Id., acte I, sc. VI.
238.
Voir plus haut, chap. II et III. 239. L’Etourdi
te I, sc. II. 237. Id., acte I, sc. VI. 238. Voir plus haut, chap.
II
et III. 239. L’Etourdi, act. II, sc. IV. 240.
sc. II. 237. Id., acte I, sc. VI. 238. Voir plus haut, chap. II et
III
. 239. L’Etourdi, act. II, sc. IV. 240. Id., a
. 237. Id., acte I, sc. VI. 238. Voir plus haut, chap. II et III.
239.
L’Etourdi, act. II, sc. IV. 240. Id., act. II,
sc. VI. 238. Voir plus haut, chap. II et III. 239. L’Etourdi, act.
II
, sc. IV. 240. Id., act. II, sc. XI. 241. Le M
238. Voir plus haut, chap. II et III. 239. L’Etourdi, act. II, sc.
IV
. 240. Id., act. II, sc. XI. 241. Le Médecin v
Voir plus haut, chap. II et III. 239. L’Etourdi, act. II, sc. IV.
240.
Id., act. II, sc. XI. 241. Le Médecin volant,
chap. II et III. 239. L’Etourdi, act. II, sc. IV. 240. Id., act.
II
, sc. XI. 241. Le Médecin volant, sc. X. 242. 1
I et III. 239. L’Etourdi, act. II, sc. IV. 240. Id., act. II, sc.
XI
. 241. Le Médecin volant, sc. X. 242. 1654. 24
III. 239. L’Etourdi, act. II, sc. IV. 240. Id., act. II, sc. XI.
241.
Le Médecin volant, sc. X. 242. 1654. 243. Le
I, sc. IV. 240. Id., act. II, sc. XI. 241. Le Médecin volant, sc.
X.
242. 1654. 243. Le Cocu imaginaire (1660), sc.
c. IV. 240. Id., act. II, sc. XI. 241. Le Médecin volant, sc. X.
242.
1654. 243. Le Cocu imaginaire (1660), sc. IV et
. 240. Id., act. II, sc. XI. 241. Le Médecin volant, sc. X. 242.
1654.
243. Le Cocu imaginaire (1660), sc. IV et passi
Id., act. II, sc. XI. 241. Le Médecin volant, sc. X. 242. 1654.
243.
Le Cocu imaginaire (1660), sc. IV et passim. — «
41. Le Médecin volant, sc. X. 242. 1654. 243. Le Cocu imaginaire (
1660
), sc. IV et passim. — « Le personnage de Sganarel
ecin volant, sc. X. 242. 1654. 243. Le Cocu imaginaire (1660), sc.
IV
et passim. — « Le personnage de Sganarelle est tr
» J. Taschereau, (Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
I
. Voir aussi D. Nisard (Histoire de la Littérature
u, (Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voir aussi
D.
Nisard (Histoire de la Littérature française, liv
. I. Voir aussi D. Nisard (Histoire de la Littérature française, liv.
III
chap. IX, § 2), qui met trop de bonne volonté à t
aussi D. Nisard (Histoire de la Littérature française, liv. III chap.
IX
, § 2), qui met trop de bonne volonté à trouver un
D. Nisard (Histoire de la Littérature française, liv. III chap. IX, §
2
), qui met trop de bonne volonté à trouver une mor
re rire, et il était difficile à la vérité de le mieux atteindre. »
244.
Le Médecin malgré lui (1666), acte 1, sc. VI. 2
e à la vérité de le mieux atteindre. » 244. Le Médecin malgré lui (
1666
), acte 1, sc. VI. 245. Id., act. I, sc. I. 246
é de le mieux atteindre. » 244. Le Médecin malgré lui (1666), acte
1,
sc. VI. 245. Id., act. I, sc. I. 246. Id., ac
mieux atteindre. » 244. Le Médecin malgré lui (1666), acte 1, sc.
VI
. 245. Id., act. I, sc. I. 246. Id., act. II,
x atteindre. » 244. Le Médecin malgré lui (1666), acte 1, sc. VI.
245.
Id., act. I, sc. I. 246. Id., act. II, sc. VII
244. Le Médecin malgré lui (1666), acte 1, sc. VI. 245. Id., act.
I
, sc. I. 246. Id., act. II, sc. VIII, IX ; act.
Le Médecin malgré lui (1666), acte 1, sc. VI. 245. Id., act. I, sc.
I
. 246. Id., act. II, sc. VIII, IX ; act. III, sc
édecin malgré lui (1666), acte 1, sc. VI. 245. Id., act. I, sc. I.
246.
Id., act. II, sc. VIII, IX ; act. III, sc. II.
i (1666), acte 1, sc. VI. 245. Id., act. I, sc. I. 246. Id., act.
II
, sc. VIII, IX ; act. III, sc. II. 247. Id., act
, acte 1, sc. VI. 245. Id., act. I, sc. I. 246. Id., act. II, sc.
VIII
, IX ; act. III, sc. II. 247. Id., act. Il1, sc.
1, sc. VI. 245. Id., act. I, sc. I. 246. Id., act. II, sc. VIII,
IX
; act. III, sc. II. 247. Id., act. Il1, sc. VI,
. 245. Id., act. I, sc. I. 246. Id., act. II, sc. VIII, IX ; act.
III
, sc. II. 247. Id., act. Il1, sc. VI, VII, VIII.
Id., act. I, sc. I. 246. Id., act. II, sc. VIII, IX ; act. III, sc.
II
. 247. Id., act. Il1, sc. VI, VII, VIII. 248.
act. I, sc. I. 246. Id., act. II, sc. VIII, IX ; act. III, sc. II.
247.
Id., act. Il1, sc. VI, VII, VIII. 248. Id., ac
, act. II, sc. VIII, IX ; act. III, sc. II. 247. Id., act. Il1, sc.
VI
, VII, VIII. 248. Id., act. II, sc. IV, V ; act.
t. II, sc. VIII, IX ; act. III, sc. II. 247. Id., act. Il1, sc. VI,
VII
, VIII. 248. Id., act. II, sc. IV, V ; act. III,
, sc. VIII, IX ; act. III, sc. II. 247. Id., act. Il1, sc. VI, VII,
VIII
. 248. Id., act. II, sc. IV, V ; act. III, sc. I
III, IX ; act. III, sc. II. 247. Id., act. Il1, sc. VI, VII, VIII.
248.
Id., act. II, sc. IV, V ; act. III, sc. III. 24
II, sc. II. 247. Id., act. Il1, sc. VI, VII, VIII. 248. Id., act.
II
, sc. IV, V ; act. III, sc. III. 249. Id., act.
II. 247. Id., act. Il1, sc. VI, VII, VIII. 248. Id., act. II, sc.
IV
, V ; act. III, sc. III. 249. Id., act. III, sc.
247. Id., act. Il1, sc. VI, VII, VIII. 248. Id., act. II, sc. IV,
V
; act. III, sc. III. 249. Id., act. III, sc. VI
., act. Il1, sc. VI, VII, VIII. 248. Id., act. II, sc. IV, V ; act.
III
, sc. III. 249. Id., act. III, sc. VIII, IX. 25
l1, sc. VI, VII, VIII. 248. Id., act. II, sc. IV, V ; act. III, sc.
III
. 249. Id., act. III, sc. VIII, IX. 250. 1667.
. VI, VII, VIII. 248. Id., act. II, sc. IV, V ; act. III, sc. III.
249.
Id., act. III, sc. VIII, IX. 250. 1667. 251. 1
248. Id., act. II, sc. IV, V ; act. III, sc. III. 249. Id., act.
III
, sc. VIII, IX. 250. 1667. 251. 1669. 252. Cél
d., act. II, sc. IV, V ; act. III, sc. III. 249. Id., act. III, sc.
VIII
, IX. 250. 1667. 251. 1669. 252. Célie de l’Et
t. II, sc. IV, V ; act. III, sc. III. 249. Id., act. III, sc. VIII,
IX
. 250. 1667. 251. 1669. 252. Célie de l’Etourd
, sc. IV, V ; act. III, sc. III. 249. Id., act. III, sc. VIII, IX.
250.
1667. 251. 1669. 252. Célie de l’Etourdi ; Isi
IV, V ; act. III, sc. III. 249. Id., act. III, sc. VIII, IX. 250.
1667.
251. 1669. 252. Célie de l’Etourdi ; Isidore d
; act. III, sc. III. 249. Id., act. III, sc. VIII, IX. 250. 1667.
251.
1669. 252. Célie de l’Etourdi ; Isidore de l’Am
. III, sc. III. 249. Id., act. III, sc. VIII, IX. 250. 1667. 251.
1669.
252. Célie de l’Etourdi ; Isidore de l’Amour pe
sc. III. 249. Id., act. III, sc. VIII, IX. 250. 1667. 251. 1669.
252.
Célie de l’Etourdi ; Isidore de l’Amour peintre
; Isidore de l’Amour peintre ; Zerbinette des Fourberies de Scapin.
253.
Amphytrion, act. I, sc. II ; act. III, sc. II. V
intre ; Zerbinette des Fourberies de Scapin. 253. Amphytrion, act.
I
, sc. II ; act. III, sc. II. Voir plus loin, chap.
Zerbinette des Fourberies de Scapin. 253. Amphytrion, act. I, sc.
II
; act. III, sc. II. Voir plus loin, chap. IX. 25
e des Fourberies de Scapin. 253. Amphytrion, act. I, sc. II ; act.
III
, sc. II. Voir plus loin, chap. IX. 254. M. de P
rberies de Scapin. 253. Amphytrion, act. I, sc. II ; act. III, sc.
II
. Voir plus loin, chap. IX. 254. M. de Pourceaug
Amphytrion, act. I, sc. II ; act. III, sc. II. Voir plus loin, chap.
IX
. 254. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. IV. 255.
ytrion, act. I, sc. II ; act. III, sc. II. Voir plus loin, chap. IX.
254.
M. de Pourceaugnac, act. I, sc. IV. 255. Id.,
II, sc. II. Voir plus loin, chap. IX. 254. M. de Pourceaugnac, act.
I
, sc. IV. 255. Id., act. I, sc. IV. 256. Id.,
II. Voir plus loin, chap. IX. 254. M. de Pourceaugnac, act. I, sc.
IV
. 255. Id., act. I, sc. IV. 256. Id., act. I,
Voir plus loin, chap. IX. 254. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. IV.
255.
Id., act. I, sc. IV. 256. Id., act. I, sc. VI
chap. IX. 254. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. IV. 255. Id., act.
I
, sc. IV. 256. Id., act. I, sc. VI ; act. III, s
X. 254. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. IV. 255. Id., act. I, sc.
IV
. 256. Id., act. I, sc. VI ; act. III, sc. I. 2
54. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. IV. 255. Id., act. I, sc. IV.
256.
Id., act. I, sc. VI ; act. III, sc. I. 257. M.
eaugnac, act. I, sc. IV. 255. Id., act. I, sc. IV. 256. Id., act.
I
, sc. VI ; act. III, sc. I. 257. M. de Pourceaug
, act. I, sc. IV. 255. Id., act. I, sc. IV. 256. Id., act. I, sc.
VI
; act. III, sc. I. 257. M. de Pourceaugnac, act
sc. IV. 255. Id., act. I, sc. IV. 256. Id., act. I, sc. VI ; act.
III
, sc. I. 257. M. de Pourceaugnac, act. III, sc.
255. Id., act. I, sc. IV. 256. Id., act. I, sc. VI ; act. III, sc.
I
. 257. M. de Pourceaugnac, act. III, sc. X. 258
Id., act. I, sc. IV. 256. Id., act. I, sc. VI ; act. III, sc. I.
257.
M. de Pourceaugnac, act. III, sc. X. 258. Les
d., act. I, sc. VI ; act. III, sc. I. 257. M. de Pourceaugnac, act.
III
, sc. X. 258. Les Fourberies de Scapin, act. I,
I, sc. VI ; act. III, sc. I. 257. M. de Pourceaugnac, act. III, sc.
X.
258. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. II.
c. VI ; act. III, sc. I. 257. M. de Pourceaugnac, act. III, sc. X.
258.
Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. II. 259.
Pourceaugnac, act. III, sc. X. 258. Les Fourberies de Scapin, act.
I
, sc. II. 259. Id., act. I, sc. IV. 260. Id.,
augnac, act. III, sc. X. 258. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc.
II
. 259. Id., act. I, sc. IV. 260. Id., act. II,
c, act. III, sc. X. 258. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. II.
259.
Id., act. I, sc. IV. 260. Id., act. II, sc. IV
X. 258. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. II. 259. Id., act.
I
, sc. IV. 260. Id., act. II, sc. IV. 261. Id.,
8. Les Fourberies de Scapin, act. I, sc. II. 259. Id., act. I, sc.
IV
. 260. Id., act. II, sc. IV. 261. Id., act. II
es Fourberies de Scapin, act. I, sc. II. 259. Id., act. I, sc. IV.
260.
Id., act. II, sc. IV. 261. Id., act. II, sc. V
Scapin, act. I, sc. II. 259. Id., act. I, sc. IV. 260. Id., act.
II
, sc. IV. 261. Id., act. II, sc. VIII, XI. 262.
act. I, sc. II. 259. Id., act. I, sc. IV. 260. Id., act. II, sc.
IV
. 261. Id., act. II, sc. VIII, XI. 262. Les Fo
I, sc. II. 259. Id., act. I, sc. IV. 260. Id., act. II, sc. IV.
261.
Id., act. II, sc. VIII, XI. 262. Les Fourberie
. Id., act. I, sc. IV. 260. Id., act. II, sc. IV. 261. Id., act.
II
, sc. VIII, XI. 262. Les Fourberies de Scapin, a
act. I, sc. IV. 260. Id., act. II, sc. IV. 261. Id., act. II, sc.
VIII
, XI. 262. Les Fourberies de Scapin, act, III, s
, sc. IV. 260. Id., act. II, sc. IV. 261. Id., act. II, sc. VIII,
XI
. 262. Les Fourberies de Scapin, act, III, sc. I
IV. 260. Id., act. II, sc. IV. 261. Id., act. II, sc. VIII, XI.
262.
Les Fourberies de Scapin, act, III, sc. II.. 26
1. Id., act. II, sc. VIII, XI. 262. Les Fourberies de Scapin, act,
III
, sc. II.. 263. Id., act III, sc. XIV. 264. L’A
act. II, sc. VIII, XI. 262. Les Fourberies de Scapin, act, III, sc.
II
.. 263. Id., act III, sc. XIV. 264. L’Avare, ac
I, sc. VIII, XI. 262. Les Fourberies de Scapin, act, III, sc. II..
263.
Id., act III, sc. XIV. 264. L’Avare, act. V, sc
. 262. Les Fourberies de Scapin, act, III, sc. II.. 263. Id., act
III
, sc. XIV. 264. L’Avare, act. V, sc. IV, V, VI.
Les Fourberies de Scapin, act, III, sc. II.. 263. Id., act III, sc.
XIV
. 264. L’Avare, act. V, sc. IV, V, VI. 265. Id.
urberies de Scapin, act, III, sc. II.. 263. Id., act III, sc. XIV.
264.
L’Avare, act. V, sc. IV, V, VI. 265. Id., act.
act, III, sc. II.. 263. Id., act III, sc. XIV. 264. L’Avare, act.
V
, sc. IV, V, VI. 265. Id., act. I, sc. I. 266.
II, sc. II.. 263. Id., act III, sc. XIV. 264. L’Avare, act. V, sc.
IV
, V, VI. 265. Id., act. I, sc. I. 266. Id., ac
sc. II.. 263. Id., act III, sc. XIV. 264. L’Avare, act. V, sc. IV,
V
, VI. 265. Id., act. I, sc. I. 266. Id., act.
II.. 263. Id., act III, sc. XIV. 264. L’Avare, act. V, sc. IV, V,
VI
. 265. Id., act. I, sc. I. 266. Id., act. III,
263. Id., act III, sc. XIV. 264. L’Avare, act. V, sc. IV, V, VI.
265.
Id., act. I, sc. I. 266. Id., act. III, sc. V,
III, sc. XIV. 264. L’Avare, act. V, sc. IV, V, VI. 265. Id., act.
I
, sc. I. 266. Id., act. III, sc. V, VI. 267. L
c. XIV. 264. L’Avare, act. V, sc. IV, V, VI. 265. Id., act. I, sc.
I
. 266. Id., act. III, sc. V, VI. 267. Le Bourg
IV. 264. L’Avare, act. V, sc. IV, V, VI. 265. Id., act. I, sc. I.
266.
Id., act. III, sc. V, VI. 267. Le Bourgeois ge
e, act. V, sc. IV, V, VI. 265. Id., act. I, sc. I. 266. Id., act.
III
, sc. V, VI. 267. Le Bourgeois gentilhomme, act.
, sc. IV, V, VI. 265. Id., act. I, sc. I. 266. Id., act. III, sc.
V
, VI. 267. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, s
c. IV, V, VI. 265. Id., act. I, sc. I. 266. Id., act. III, sc. V,
VI
. 267. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. I
, V, VI. 265. Id., act. I, sc. I. 266. Id., act. III, sc. V, VI.
267.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI,
266. Id., act. III, sc. V, VI. 267. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. IV, VI, XVIII, XIX ; act. IV, sc. I. — Dans
, act. III, sc. V, VI. 267. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc.
IV
, VI, XVIII, XIX ; act. IV, sc. I. — Dans celte ci
t. III, sc. V, VI. 267. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV,
VI
, XVIII, XIX ; act. IV, sc. I. — Dans celte circon
II, sc. V, VI. 267. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI,
XVIII
, XIX ; act. IV, sc. I. — Dans celte circonstance,
V, VI. 267. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI, XVIII,
XIX
; act. IV, sc. I. — Dans celte circonstance, Moli
7. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI, XVIII, XIX ; act.
IV
, sc. I. — Dans celte circonstance, Molière tombe
ourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI, XVIII, XIX ; act. IV, sc.
I
. — Dans celte circonstance, Molière tombe certain
celte circonstance, Molière tombe certainement sous le coup du chap.
V
des Maximes et Réflexions sur la Comédie de Bossu
orante. Voir d’ailleurs, sur ce chapitre de Bossuet, plus loin, chap.
VIII
. 268. Les Misérables. 269. Si quid inexpe
Voir d’ailleurs, sur ce chapitre de Bossuet, plus loin, chap. VIII.
268.
Les Misérables. 269. Si quid inexpertum sc
chapitre de Bossuet, plus loin, chap. VIII. 268. Les Misérables.
269.
Si quid inexpertum scenæ committis, et audes
et sibi constet. Horace, Epistolæ, Iib.
II
, III, 125. 270. Les Femmes savantes (1672), ac
sibi constet. Horace, Epistolæ, Iib. II,
III
, 125. 270. Les Femmes savantes (1672), act. V,
constet. Horace, Epistolæ, Iib. II, III,
125.
270. Les Femmes savantes (1672), act. V, sc. V
. Horace, Epistolæ, Iib. II, III, 125.
270.
Les Femmes savantes (1672), act. V, sc. V 271.
Horace, Epistolæ, Iib. II, III, 125. 270. Les Femmes savantes (
1672
), act. V, sc. V 271. Id., act. I, sc. III ; act
Epistolæ, Iib. II, III, 125. 270. Les Femmes savantes (1672), act.
V
, sc. V 271. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc.
æ, Iib. II, III, 125. 270. Les Femmes savantes (1672), act. V, sc.
V
271. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. III.
Iib. II, III, 125. 270. Les Femmes savantes (1672), act. V, sc. V
271.
Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. III. 272.
5. 270. Les Femmes savantes (1672), act. V, sc. V 271. Id., act.
I
, sc. III ; act. IV, sc. III. 272. Id., act. II,
0. Les Femmes savantes (1672), act. V, sc. V 271. Id., act. I, sc.
III
; act. IV, sc. III. 272. Id., act. II, sc. II.
mes savantes (1672), act. V, sc. V 271. Id., act. I, sc. III ; act.
IV
, sc. III. 272. Id., act. II, sc. II. 273. Id.
ntes (1672), act. V, sc. V 271. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc.
III
. 272. Id., act. II, sc. II. 273. Id., act. I,
1672), act. V, sc. V 271. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. III.
272.
Id., act. II, sc. II. 273. Id., act. I, sc. II
c. V 271. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. III. 272. Id., act.
II
, sc. II. 273. Id., act. I, sc. II. 274. Id.,
1. Id., act. I, sc. III ; act. IV, sc. III. 272. Id., act. II, sc.
II
. 273. Id., act. I, sc. II. 274. Id., act. I,
d., act. I, sc. III ; act. IV, sc. III. 272. Id., act. II, sc. II.
273.
Id., act. I, sc. II. 274. Id., act. I, sc. II,
III ; act. IV, sc. III. 272. Id., act. II, sc. II. 273. Id., act.
I
, sc. II. 274. Id., act. I, sc. II, IV ; act. IV
ct. IV, sc. III. 272. Id., act. II, sc. II. 273. Id., act. I, sc.
II
. 274. Id., act. I, sc. II, IV ; act. IV, sc. II
V, sc. III. 272. Id., act. II, sc. II. 273. Id., act. I, sc. II.
274.
Id., act. I, sc. II, IV ; act. IV, sc. II. 275.
. Id., act. II, sc. II. 273. Id., act. I, sc. II. 274. Id., act.
I
, sc. II, IV ; act. IV, sc. II. 275. Id., act. I
act. II, sc. II. 273. Id., act. I, sc. II. 274. Id., act. I, sc.
II
, IV ; act. IV, sc. II. 275. Id., act. IV, sc. I
. II, sc. II. 273. Id., act. I, sc. II. 274. Id., act. I, sc. II,
IV
; act. IV, sc. II. 275. Id., act. IV, sc. II.
II. 273. Id., act. I, sc. II. 274. Id., act. I, sc. II, IV ; act.
IV
, sc. II. 275. Id., act. IV, sc. II. 276. Id.,
. Id., act. I, sc. II. 274. Id., act. I, sc. II, IV ; act. IV, sc.
II
. 275. Id., act. IV, sc. II. 276. Id., act. I,
., act. I, sc. II. 274. Id., act. I, sc. II, IV ; act. IV, sc. II.
275.
Id., act. IV, sc. II. 276. Id., act. I, sc. II
I. 274. Id., act. I, sc. II, IV ; act. IV, sc. II. 275. Id., act.
IV
, sc. II. 276. Id., act. I, sc. II ; act. III, s
Id., act. I, sc. II, IV ; act. IV, sc. II. 275. Id., act. IV, sc.
II
. 276. Id., act. I, sc. II ; act. III, sc. IX ;
, act. I, sc. II, IV ; act. IV, sc. II. 275. Id., act. IV, sc. II.
276.
Id., act. I, sc. II ; act. III, sc. IX ; act. IV
, IV ; act. IV, sc. II. 275. Id., act. IV, sc. II. 276. Id., act.
I
, sc. II ; act. III, sc. IX ; act. IV, sc. II, VII
act. IV, sc. II. 275. Id., act. IV, sc. II. 276. Id., act. I, sc.
II
; act. III, sc. IX ; act. IV, sc. II, VII, VIII.
c. II. 275. Id., act. IV, sc. II. 276. Id., act. I, sc. II ; act.
III
, sc. IX ; act. IV, sc. II, VII, VIII. 277. Id.,
75. Id., act. IV, sc. II. 276. Id., act. I, sc. II ; act. III, sc.
IX
; act. IV, sc. II, VII, VIII. 277. Id., act. V,
act. IV, sc. II. 276. Id., act. I, sc. II ; act. III, sc. IX ; act.
IV
, sc. II, VII, VIII. 277. Id., act. V, sc. V. 2
sc. II. 276. Id., act. I, sc. II ; act. III, sc. IX ; act. IV, sc.
II
, VII, VIII. 277. Id., act. V, sc. V. 278. Id.
II. 276. Id., act. I, sc. II ; act. III, sc. IX ; act. IV, sc. II,
VII
, VIII. 277. Id., act. V, sc. V. 278. Id., act
276. Id., act. I, sc. II ; act. III, sc. IX ; act. IV, sc. II, VII,
VIII
. 277. Id., act. V, sc. V. 278. Id., act. II,
Id., act. I, sc. II ; act. III, sc. IX ; act. IV, sc. II, VII, VIII.
277.
Id., act. V, sc. V. 278. Id., act. II, sc. I.
II ; act. III, sc. IX ; act. IV, sc. II, VII, VIII. 277. Id., act.
V
, sc. V. 278. Id., act. II, sc. I. 279. Il faut
ct. III, sc. IX ; act. IV, sc. II, VII, VIII. 277. Id., act. V, sc.
V.
278. Id., act. II, sc. I. 279. Il faut joindre
III, sc. IX ; act. IV, sc. II, VII, VIII. 277. Id., act. V, sc. V.
278.
Id., act. II, sc. I. 279. Il faut joindre à Cli
t. IV, sc. II, VII, VIII. 277. Id., act. V, sc. V. 278. Id., act.
II
, sc. I. 279. Il faut joindre à Clitandre le Dora
c. II, VII, VIII. 277. Id., act. V, sc. V. 278. Id., act. II, sc.
I
. 279. Il faut joindre à Clitandre le Dorante de
I, VII, VIII. 277. Id., act. V, sc. V. 278. Id., act. II, sc. I.
279.
Il faut joindre à Clitandre le Dorante de la Crit
une autre scène et sous un autre nom : mais l’homme est le même (sc.
VI
, VII). C’est encore lui que joue Brécourt dons l’
autre scène et sous un autre nom : mais l’homme est le même (sc. VI,
VII
). C’est encore lui que joue Brécourt dons l’Impro
st encore lui que joue Brécourt dons l’Impromptu de Versailles (sc.I,
III
) > et lui que fait Ergaste dans les Fâcheux :
retrouve, plus jeune, dans le Cléonte du Bourgeois gentilhomme (act.
III
, sc. XII). 280. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II,
, plus jeune, dans le Cléonte du Bourgeois gentilhomme (act. III, sc.
XII
). 280. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III ; ac
jeune, dans le Cléonte du Bourgeois gentilhomme (act. III, sc. XII).
280.
Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III ; act. IV, s
u Bourgeois gentilhomme (act. III, sc. XII). 280. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I, II, III ; act. IV, sc. I, II, III ; act.
eois gentilhomme (act. III, sc. XII). 280. Le Tartuffe, act. I, sc.
I
, II, III ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V. Voir
s gentilhomme (act. III, sc. XII). 280. Le Tartuffe, act. I, sc. I,
II
, III ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V. Voir en-
ntilhomme (act. III, sc. XII). 280. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II,
III
; act. IV, sc. I, II, III ; act. V. Voir en-core
act. III, sc. XII). 280. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III ; act.
IV
, sc. I, II, III ; act. V. Voir en-core sur Cléant
, sc. XII). 280. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III ; act. IV, sc.
I
, II, III ; act. V. Voir en-core sur Cléante, chap
c. XII). 280. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III ; act. IV, sc. I,
II
, III ; act. V. Voir en-core sur Cléante, chap. XI
II). 280. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III ; act. IV, sc. I, II,
III
; act. V. Voir en-core sur Cléante, chap. XI. — I
Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III ; act. IV, sc. I, II, III ; act.
V.
Voir en-core sur Cléante, chap. XI. — Il faut joi
I ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V. Voir en-core sur Cléante, chap.
XI
. — Il faut joindre à lui l’Ariste de l’École des
chap. XI. — Il faut joindre à lui l’Ariste de l’École des Maris (act.
I
, sc. I, II, III ; act. III, sc. VI-X), l’Ariste d
I. — Il faut joindre à lui l’Ariste de l’École des Maris (act. I, sc.
I
, II, III ; act. III, sc. VI-X), l’Ariste des Femm
— Il faut joindre à lui l’Ariste de l’École des Maris (act. I, sc. I,
II
, III ; act. III, sc. VI-X), l’Ariste des Femmes s
faut joindre à lui l’Ariste de l’École des Maris (act. I, sc. I, II,
III
; act. III, sc. VI-X), l’Ariste des Femmes savant
re à lui l’Ariste de l’École des Maris (act. I, sc. I, II, III ; act.
III
, sc. VI-X), l’Ariste des Femmes savantes (act. II
I, II, III ; act. III, sc. VI-X), l’Ariste des Femmes savantes (act.
II
, sc. I-IV ; act. IV, sc. VII ; act. V, sc. IV, V)
II, sc. VI-X), l’Ariste des Femmes savantes (act. II, sc. I-IV ; act.
IV
, sc. VII ; act. V, sc. IV, V), et le Bêralde du M
VI-X), l’Ariste des Femmes savantes (act. II, sc. I-IV ; act. IV, sc.
VII
; act. V, sc. IV, V), et le Bêralde du Malade ima
iste des Femmes savantes (act. II, sc. I-IV ; act. IV, sc. VII ; act.
V
, sc. IV, V), et le Bêralde du Malade imaginaire (
s Femmes savantes (act. II, sc. I-IV ; act. IV, sc. VII ; act. V, sc.
IV
, V), et le Bêralde du Malade imaginaire (act. II,
mmes savantes (act. II, sc. I-IV ; act. IV, sc. VII ; act. V, sc. IV,
V
), et le Bêralde du Malade imaginaire (act. II, sc
c. VII ; act. V, sc. IV, V), et le Bêralde du Malade imaginaire (act.
II
, sc. XII ; act. III). — Voir sur Cléante, F. Géni
act. V, sc. IV, V), et le Bêralde du Malade imaginaire (act. II, sc.
XII
; act. III). — Voir sur Cléante, F. Génin, Vie de
. IV, V), et le Bêralde du Malade imaginaire (act. II, sc. XII ; act.
III
). — Voir sur Cléante, F. Génin, Vie de Molière, c
XII ; act. III). — Voir sur Cléante, F. Génin, Vie de Molière, chap.
V.
CHAPITRE
X.
Du Père, de la Famille, de l’Etat. C’est une é
du Malade imaginaire ? On ne parle pas de celles de M. de Sotenville
663
ou de Sganarelle 664. Que peut-on trouver dans to
? On ne parle pas de celles de M. de Sotenville 663 ou de Sganarelle
664.
Que peut-on trouver dans toutes ces maisons-là, q
une consolation aux vieillards ? C’est que la famille ne vit que par
1e
père, et Molière semble avoir absolument ignoré c
, sont traités par leurs fils et leurs valets de vilains et de benêts
666
; et n’est-ce pas encore nommer trop honnêtement
arille est-il blâmable de jouer tant qu’il peut de semblables barbons
669
? Les autres, comme Harpagon et Argan, sont deven
à mépriser des tètes respectables, et à rire sans pitié des Gorgibus
671,
des Pandolfe, des Anselme 672, des Albert, des Po
les, et à rire sans pitié des Gorgibus 671, des Pandolfe, des Anselme
672,
des Albert, des Polidore 673, des Alcantor 674, d
Gorgibus 671, des Pandolfe, des Anselme 672, des Albert, des Polidore
673,
des Alcantor 674, des Sganarelle 675, des Géronte
Pandolfe, des Anselme 672, des Albert, des Polidore 673, des Alcantor
674,
des Sganarelle 675, des Géronte 676, des Orgon 67
e 672, des Albert, des Polidore 673, des Alcantor 674, des Sganarelle
675,
des Géronte 676, des Orgon 677, des Sotenville 67
, des Polidore 673, des Alcantor 674, des Sganarelle 675, des Géronte
676,
des Orgon 677, des Sotenville 678, des Harpagon 6
673, des Alcantor 674, des Sganarelle 675, des Géronte 676, des Orgon
677,
des Sotenville 678, des Harpagon 679, des Oronte
4, des Sganarelle 675, des Géronte 676, des Orgon 677, des Sotenville
678,
des Harpagon 679, des Oronte 680, des Jourdain 68
675, des Géronte 676, des Orgon 677, des Sotenville 678, des Harpagon
679,
des Oronte 680, des Jourdain 681, des Argante 682
676, des Orgon 677, des Sotenville 678, des Harpagon 679, des Oronte
680,
des Jourdain 681, des Argante 682, des Chrysale 6
7, des Sotenville 678, des Harpagon 679, des Oronte 680, des Jourdain
681,
des Argante 682, des Chrysale 683 et des Argan 68
678, des Harpagon 679, des Oronte 680, des Jourdain 681, des Argante
682,
des Chrysale 683 et des Argan 684 l’en a-t-il un
679, des Oronte 680, des Jourdain 681, des Argante 682, des Chrysale
683
et des Argan 684 l’en a-t-il un seul qui ne soit
680, des Jourdain 681, des Argante 682, des Chrysale 683 et des Argan
684
l’en a-t-il un seul qui ne soit ou tyrannique, ou
ndre deviendront-ils donc nécessairement des Chrysale et des Jourdain
685
? N’y en aura-t-il pas un qui atteigne la maturit
se faire aimer ? À peine trouve-t-on dans tout le théâtre de Molière
deux
pères qui prononcent quelques paroles dignes de c
ion lente produite par un spectacle qui dure sans interruption depuis
deux
siècles, et qui enseigne sans cesse aux jeunes ge
ertus paternelles sont l’apanage des vieux garçons. Voyez les Cléante
690,
les Ariste 691, les Béralde 692 : quel malheur qu
s sont l’apanage des vieux garçons. Voyez les Cléante 690, les Ariste
691,
les Béralde 692 : quel malheur qu’ils n’aient ran
des vieux garçons. Voyez les Cléante 690, les Ariste 691, les Béralde
692
: quel malheur qu’ils n’aient rang dans la famill
juvéniles. Quelles mères devraient faire les Henriette et les Eliante
695
! Il n’y en a pourtant qu’une vraiment respectabl
n’y en a pourtant qu’une vraiment respectable sur ce théâtre, Elmire
696,
et c’est une belle-mère ! Les autres, Mme Jourdai
éâtre, Elmire 696, et c’est une belle-mère ! Les autres, Mme Jourdain
697,
Philaminte 698, Béline 699, sont si ridicules ou
6, et c’est une belle-mère ! Les autres, Mme Jourdain 697, Philaminte
698,
Béline 699, sont si ridicules ou si égoïstes, qu’
une belle-mère ! Les autres, Mme Jourdain 697, Philaminte 698, Béline
699,
sont si ridicules ou si égoïstes, qu’il n’y a pas
ent. Quant aux personnes comme Mme de Sotenville née de la Prudoterie
700,
comme la comtesse d’Escarbagnas 701, comme Bélise
Sotenville née de la Prudoterie 700, comme la comtesse d’Escarbagnas
701,
comme Bélise 702, comme Mme Pernelle 703, on ne p
la Prudoterie 700, comme la comtesse d’Escarbagnas 701, comme Bélise
702,
comme Mme Pernelle 703, on ne peut, les citer com
e la comtesse d’Escarbagnas 701, comme Bélise 702, comme Mme Pernelle
703,
on ne peut, les citer comme membres d’une famille
au foyer d’Orgon, de Philaminte, de M. Jourdain, d’Argan et de Béline
705
? Des domestiques si précieux et si rares, s’ils
ants qui nous fait croire que nous avons tout inventé en politique en
1789.
Nous méprisons nos pères, et nous ne voyons pas q
ue la France est un peuple, qui immola les marquis au rire du peuple,
cent
cinquante ans avant que le peuple les traînât à l
France est un peuple, qui immola les marquis au rire du peuple, cent
cinquante
ans avant que le peuple les traînât à la guilloti
s mauvais et de plus redoutable, la noblesse oisive. On fait dater de
1789
le principe de l’égalité des hommes devant la loi
charges honorables ; je me sais acquis, dans les armes, l’honneur de
six
ans de service, et je me trouve assez de bien pou
ranchement que je ne suis point gentilhomme714. Immoler au parterre
715
l’orgueil du nom et de la race pour y substituer
che ; les Gros-Pierre qui s’appellent pompeusement Monsieur de l’Isle
717
; les George Dandin qui, par un allongement, reço
, par un allongement, reçoivent le titre de Monsieur de la Dandinière
718
; on n’oubliera jamais l’illustre maison de Soten
l y en a partout, des marquis. Dans les Précieuses ridicules, ce sont
deux
valets qui laissent la livrée pour endosser les c
sous le bâton leur marquisat de Mascarille et leur vicomte de Jodelet
722
: ce ne sont que deux valets rossés ; mais l’habi
rquisat de Mascarille et leur vicomte de Jodelet 722 : ce ne sont que
deux
valets rossés ; mais l’habit est rossé aussi, et
ce hardi petit chef-d’œuvre, il faut remarquer la scène des Porteurs
723,
où le sentiment des droits et de la valeur du peu
its et de la valeur du peuple respire autant que dans celle du Pauvre
724.
Dans les Fâcheux, passent en courant devant les y
rtune distinguées. Partout, mais particulièrement dans le Misanthrope
739,
le tort des marquis, c’est d’être oisifs, c’est d
fois aux hommes, quand on oublie, comme don Juan, que noblesse oblige
740.
Nous ne sommes pas libres, dans la famille immens
ussi coupables que le bûcheron qui passe le temps à boire743, ou le
1
marchand à apprendre à danser744. On trouve dans
ime et imprescriptible, celle de l’intelligence pratiquant le bien.
657.
« Eadem natura… ingenerat in primis præcipuum qu
isque quos caros habeat tuerique debeat. » Cicéron, De Officiis, lib.
I
, cap. IV. 658. P. Janet, la Famille. 659. Don
os caros habeat tuerique debeat. » Cicéron, De Officiis, lib. I, cap.
IV
. 658. P. Janet, la Famille. 659. Don Louis da
ros habeat tuerique debeat. » Cicéron, De Officiis, lib. I, cap. IV.
658.
P. Janet, la Famille. 659. Don Louis dans le F
Cicéron, De Officiis, lib. I, cap. IV. 658. P. Janet, la Famille.
659.
Don Louis dans le Festin de Pierre, act. V, sc.
. Janet, la Famille. 659. Don Louis dans le Festin de Pierre, act.
V
, sc. I. 660. Elmire dans le Tartuffe, Mm e Jour
, la Famille. 659. Don Louis dans le Festin de Pierre, act. V, sc.
I
. 660. Elmire dans le Tartuffe, Mm e Jourdain da
Famille. 659. Don Louis dans le Festin de Pierre, act. V, sc. I.
660.
Elmire dans le Tartuffe, Mm e Jourdain dans le B
mire dans le Tartuffe, Mm e Jourdain dans le Bourgeois gentilhomme.
661.
Henriette dans les Femmes savantes, Angélique da
ette dans les Femmes savantes, Angélique dans le Malade imaginaire.
662.
Cléante dans l’Avare et dans le Tartuffe, Bérald
Béralde dans le Malade imaginaire, Ariste dans les Femmes savantes.
663.
Le Mari confondu. 664. Le Cocu imaginaire, le
ginaire, Ariste dans les Femmes savantes. 663. Le Mari confondu.
664.
Le Cocu imaginaire, le Médecin malgré lui. 665
e Mari confondu. 664. Le Cocu imaginaire, le Médecin malgré lui.
665.
« Coram cano capite consurge, et honora perso
« Coram cano capite consurge, et honora personam senis. » Levit, cap.
XIX
, v. 32. 666. L’Etourdi, act. I, sc. II :
cano capite consurge, et honora personam senis. » Levit, cap. XIX, v.
32.
666. L’Etourdi, act. I, sc. II :
apite consurge, et honora personam senis. » Levit, cap. XIX, v. 32.
666.
L’Etourdi, act. I, sc. II :
a personam senis. » Levit, cap. XIX, v. 32. 666. L’Etourdi, act.
I
, sc. II :
nam senis. » Levit, cap. XIX, v. 32. 666. L’Etourdi, act. I, sc.
II
: Mon
s, etc. Moquez-vous des sermons d’uu vieux barbon de père, etc.
667.
« Penards chagrins, » L’Etourdi, act. I, sc. II.
x barbon de père, etc. 667. « Penards chagrins, » L’Etourdi, act.
I
, sc. II. 668. L’Etourdi, act. I, sc. VI. 669.
n de père, etc. 667. « Penards chagrins, » L’Etourdi, act. I, sc.
II
. 668. L’Etourdi, act. I, sc. VI. 669. Id., ac
père, etc. 667. « Penards chagrins, » L’Etourdi, act. I, sc. II.
668.
L’Etourdi, act. I, sc. VI. 669. Id., act. I, s
Penards chagrins, » L’Etourdi, act. I, sc. II. 668. L’Etourdi, act.
I
, sc. VI. 669. Id., act. I, sc. IX ; act. II, sc
chagrins, » L’Etourdi, act. I, sc. II. 668. L’Etourdi, act. I, sc.
VI
. 669. Id., act. I, sc. IX ; act. II, sc. I, III
rins, » L’Etourdi, act. I, sc. II. 668. L’Etourdi, act. I, sc. VI.
669.
Id., act. I, sc. IX ; act. II, sc. I, III, V. 6
i, act. I, sc. II. 668. L’Etourdi, act. I, sc. VI. 669. Id., act.
I
, sc. IX ; act. II, sc. I, III, V. 670. L’Avare,
I, sc. II. 668. L’Etourdi, act. I, sc. VI. 669. Id., act. I, sc.
IX
; act. II, sc. I, III, V. 670. L’Avare, act. I,
. 668. L’Etourdi, act. I, sc. VI. 669. Id., act. I, sc. IX ; act.
II
, sc. I, III, V. 670. L’Avare, act. I, sc. V, VI
L’Etourdi, act. I, sc. VI. 669. Id., act. I, sc. IX ; act. II, sc.
I
, III, V. 670. L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act.
Etourdi, act. I, sc. VI. 669. Id., act. I, sc. IX ; act. II, sc. I,
III
, V. 670. L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act. II,
di, act. I, sc. VI. 669. Id., act. I, sc. IX ; act. II, sc. I, III,
V.
670. L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc.
act. I, sc. VI. 669. Id., act. I, sc. IX ; act. II, sc. I, III, V.
670.
L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. II, II
. Id., act. I, sc. IX ; act. II, sc. I, III, V. 670. L’Avare, act.
I
, sc. V, VI ; act. II, sc. II, III ; act. IV, sc.
act. I, sc. IX ; act. II, sc. I, III, V. 670. L’Avare, act. I, sc.
V
, VI ; act. II, sc. II, III ; act. IV, sc. III ; L
t. I, sc. IX ; act. II, sc. I, III, V. 670. L’Avare, act. I, sc. V,
VI
; act. II, sc. II, III ; act. IV, sc. III ; Le Ma
IX ; act. II, sc. I, III, V. 670. L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act.
II
, sc. II, III ; act. IV, sc. III ; Le Malade imagi
. II, sc. I, III, V. 670. L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc.
II
, III ; act. IV, sc. III ; Le Malade imaginaire, a
, sc. I, III, V. 670. L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. II,
III
; act. IV, sc. III ; Le Malade imaginaire, act. I
I, V. 670. L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. II, III ; act.
IV
, sc. III ; Le Malade imaginaire, act. I. sc. V ;
70. L’Avare, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. II, III ; act. IV, sc.
III
; Le Malade imaginaire, act. I. sc. V ; act. II,
act. II, sc. II, III ; act. IV, sc. III ; Le Malade imaginaire, act.
I
. sc. V ; act. II, sc. VII, VIII. 671. La Jalous
I, sc. II, III ; act. IV, sc. III ; Le Malade imaginaire, act. I. sc.
V
; act. II, sc. VII, VIII. 671. La Jalousie du B
, III ; act. IV, sc. III ; Le Malade imaginaire, act. I. sc. V ; act.
II
, sc. VII, VIII. 671. La Jalousie du Barbouillé,
act. IV, sc. III ; Le Malade imaginaire, act. I. sc. V ; act. II, sc.
VII
, VIII. 671. La Jalousie du Barbouillé, le Médec
IV, sc. III ; Le Malade imaginaire, act. I. sc. V ; act. II, sc. VII,
VIII
. 671. La Jalousie du Barbouillé, le Médecin vol
III ; Le Malade imaginaire, act. I. sc. V ; act. II, sc. VII, VIII.
671.
La Jalousie du Barbouillé, le Médecin volant, le
é, le Médecin volant, les Précieuses ridicules, le Cocu imaginaire.
672.
L’Etourdi. 673. Le Dépit amoureux. 674. Le
t, les Précieuses ridicules, le Cocu imaginaire. 672. L’Etourdi.
673.
Le Dépit amoureux. 674. Le Mariage forcé. 6
, le Cocu imaginaire. 672. L’Etourdi. 673. Le Dépit amoureux.
674.
Le Mariage forcé. 675. L’Amour médecin. 676
2. L’Etourdi. 673. Le Dépit amoureux. 674. Le Mariage forcé.
675.
L’Amour médecin. 676. Le Médecin malgré lui,
Dépit amoureux. 674. Le Mariage forcé. 675. L’Amour médecin.
676.
Le Médecin malgré lui, les Fourberies de Scapin.
r médecin. 676. Le Médecin malgré lui, les Fourberies de Scapin.
677.
Le Tartuffe. 678. Le Mari confondu. 679. L
Médecin malgré lui, les Fourberies de Scapin. 677. Le Tartuffe.
678.
Le Mari confondu. 679. L’Avare. 680. M. de
ourberies de Scapin. 677. Le Tartuffe. 678. Le Mari confondu.
679.
L’Avare. 680. M. de Pourceaugnac., 681. Le
in. 677. Le Tartuffe. 678. Le Mari confondu. 679. L’Avare.
680.
M. de Pourceaugnac., 681. Le Bourgeois gentilh
78. Le Mari confondu. 679. L’Avare. 680. M. de Pourceaugnac.,
681.
Le Bourgeois gentilhomme. 682. Les Fourberies
vare. 680. M. de Pourceaugnac., 681. Le Bourgeois gentilhomme.
682.
Les Fourberies de Scapin. 683. Les Femmes sav
681. Le Bourgeois gentilhomme. 682. Les Fourberies de Scapin.
683.
Les Femmes savantes. 684. Le Malade imaginair
mme. 682. Les Fourberies de Scapin. 683. Les Femmes savantes.
684.
Le Malade imaginaire. 685. Les Femmes savante
Scapin. 683. Les Femmes savantes. 684. Le Malade imaginaire.
685.
Les Femmes savantes, le Bourgeois gentilhomme.
imaginaire. 685. Les Femmes savantes, le Bourgeois gentilhomme.
686.
Don Louis dans le Festin de Pierre, act. IV, sc.
urgeois gentilhomme. 686. Don Louis dans le Festin de Pierre, act.
IV
, sc. VI ; act. V, sc. I. 687. Anselme dans l’Et
gentilhomme. 686. Don Louis dans le Festin de Pierre, act. IV, sc.
VI
; act. V, sc. I. 687. Anselme dans l’Etourdi, a
e. 686. Don Louis dans le Festin de Pierre, act. IV, sc. VI ; act.
V
, sc. I. 687. Anselme dans l’Etourdi, act. IV, s
6. Don Louis dans le Festin de Pierre, act. IV, sc. VI ; act. V, sc.
I
. 687. Anselme dans l’Etourdi, act. IV, sc. IV.
Don Louis dans le Festin de Pierre, act. IV, sc. VI ; act. V, sc. I.
687.
Anselme dans l’Etourdi, act. IV, sc. IV. 688.
act. IV, sc. VI ; act. V, sc. I. 687. Anselme dans l’Etourdi, act.
IV
, sc. IV. 688. Le Festin de Pierre, act. IV, sc.
, sc. VI ; act. V, sc. I. 687. Anselme dans l’Etourdi, act. IV, sc.
IV
. 688. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 68
VI ; act. V, sc. I. 687. Anselme dans l’Etourdi, act. IV, sc. IV.
688.
Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 689. L’A
lme dans l’Etourdi, act. IV, sc. IV. 688. Le Festin de Pierre, act.
IV
, sc. IX. 689. L’Avare, act. IV, sc. V. Voir, su
l’Etourdi, act. IV, sc. IV. 688. Le Festin de Pierre, act. IV, sc.
IX
. 689. L’Avare, act. IV, sc. V. Voir, sur cette
ourdi, act. IV, sc. IV. 688. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX.
689.
L’Avare, act. IV, sc. V. Voir, sur cette scène,
IV. 688. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 689. L’Avare, act.
IV
, sc. V. Voir, sur cette scène, Saint-Marc Girardi
. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 689. L’Avare, act. IV, sc.
V.
Voir, sur cette scène, Saint-Marc Girardin, Cours
tte scène, Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome
I
, XIII. L’immoralité de l’Avare au point de vue pa
scène, Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome I,
XIII
. L’immoralité de l’Avare au point de vue paternel
ble moralement parlant. Voir d’ailleurs sur l’Avare, plus haut, chap.
II
, p. 34. 690. Le Tartuffe, act. I, sc. I-VI ; ac
nt parlant. Voir d’ailleurs sur l’Avare, plus haut, chap. II, p. 34.
690.
Le Tartuffe, act. I, sc. I-VI ; act. IV, sc. I ;
urs sur l’Avare, plus haut, chap. II, p. 34. 690. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I-VI ; act. IV, sc. I ; act. V. 691. Les F
us haut, chap. II, p. 34. 690. Le Tartuffe, act. I, sc. I-VI ; act.
IV
, sc. I ; act. V. 691. Les Femmes savantes, act.
chap. II, p. 34. 690. Le Tartuffe, act. I, sc. I-VI ; act. IV, sc.
I
; act. V. 691. Les Femmes savantes, act. II, sc
, p. 34. 690. Le Tartuffe, act. I, sc. I-VI ; act. IV, sc. I ; act.
V.
691. Les Femmes savantes, act. II, sc. I-IV, IX
34. 690. Le Tartuffe, act. I, sc. I-VI ; act. IV, sc. I ; act. V.
691.
Les Femmes savantes, act. II, sc. I-IV, IX ; act
sc. I-VI ; act. IV, sc. I ; act. V. 691. Les Femmes savantes, act.
II
, sc. I-IV, IX ; act. IV, sc. VII ; act. V, sc. IV
t. IV, sc. I ; act. V. 691. Les Femmes savantes, act. II, sc. I-IV,
IX
; act. IV, sc. VII ; act. V, sc. IV, V. 692. Le
I ; act. V. 691. Les Femmes savantes, act. II, sc. I-IV, IX ; act.
IV
, sc. VII ; act. V, sc. IV, V. 692. Le Malade im
. V. 691. Les Femmes savantes, act. II, sc. I-IV, IX ; act. IV, sc.
VII
; act. V, sc. IV, V. 692. Le Malade imaginaire,
Les Femmes savantes, act. II, sc. I-IV, IX ; act. IV, sc. VII ; act.
V
, sc. IV, V. 692. Le Malade imaginaire, act. II,
mmes savantes, act. II, sc. I-IV, IX ; act. IV, sc. VII ; act. V, sc.
IV
, V. 692. Le Malade imaginaire, act. II, sc. XII
savantes, act. II, sc. I-IV, IX ; act. IV, sc. VII ; act. V, sc. IV,
V.
692. Le Malade imaginaire, act. II, sc. XII ; a
antes, act. II, sc. I-IV, IX ; act. IV, sc. VII ; act. V, sc. IV, V.
692.
Le Malade imaginaire, act. II, sc. XII ; act. II
t. IV, sc. VII ; act. V, sc. IV, V. 692. Le Malade imaginaire, act.
II
, sc. XII ; act. III, sc. I-IX, XVI-XXIII. 693. V
c. VII ; act. V, sc. IV, V. 692. Le Malade imaginaire, act. II, sc.
XII
; act. III, sc. I-IX, XVI-XXIII. 693. Voir plus
t. V, sc. IV, V. 692. Le Malade imaginaire, act. II, sc. XII ; act.
III
, sc. I-IX, XVI-XXIII. 693. Voir plus haut, chap.
Malade imaginaire, act. II, sc. XII ; act. III, sc. I-IX, XVI-XXIII.
693.
Voir plus haut, chap. VII, p. 121. 694. Id., ch
sc. XII ; act. III, sc. I-IX, XVI-XXIII. 693. Voir plus haut, chap.
VII
, p. 121. 694. Id., chap. VIII, p. 145. 695. Vo
. III, sc. I-IX, XVI-XXIII. 693. Voir plus haut, chap. VII, p. 121.
694.
Id., chap. VIII, p. 145. 695. Voir plus haut, c
XVI-XXIII. 693. Voir plus haut, chap. VII, p. 121. 694. Id., chap.
VIII
, p. 145. 695. Voir plus haut, chap V, p. 92 ; ch
. Voir plus haut, chap. VII, p. 121. 694. Id., chap. VIII, p. 145.
695.
Voir plus haut, chap V, p. 92 ; chap. VI, p. 103,
I, p. 121. 694. Id., chap. VIII, p. 145. 695. Voir plus haut, chap
V
, p. 92 ; chap. VI, p. 103, 112 ; chap. VII, p. 13
Id., chap. VIII, p. 145. 695. Voir plus haut, chap V, p. 92 ; chap.
VI
, p. 103, 112 ; chap. VII, p. 137 ; chap. VIII, p.
VIII, p. 145. 695. Voir plus haut, chap V, p. 92 ; chap. VI, p. 103,
112
; chap. VII, p. 137 ; chap. VIII, p. 150 696. I
. 695. Voir plus haut, chap V, p. 92 ; chap. VI, p. 103, 112 ; chap.
VII
, p. 137 ; chap. VIII, p. 150 696. Id., chap. VI
ut, chap V, p. 92 ; chap. VI, p. 103, 112 ; chap. VII, p. 137 ; chap.
VIII
, p. 150 696. Id., chap. VI, p. 105. 697. Le B
92 ; chap. VI, p. 103, 112 ; chap. VII, p. 137 ; chap. VIII, p. 150
696.
Id., chap. VI, p. 105. 697. Le Bourgeois genti
. 103, 112 ; chap. VII, p. 137 ; chap. VIII, p. 150 696. Id., chap.
VI
, p. 105. 697. Le Bourgeois gentilhomme. Voir pl
chap. VII, p. 137 ; chap. VIII, p. 150 696. Id., chap. VI, p. 105.
697.
Le Bourgeois gentilhomme. Voir plus haut, chap.
p. VI, p. 105. 697. Le Bourgeois gentilhomme. Voir plus haut, chap.
VI
, p. 110. 698. Les Femmes savantes. Voir plus ha
. 697. Le Bourgeois gentilhomme. Voir plus haut, chap. VI, p. 110.
698.
Les Femmes savantes. Voir plus haut, chap. V, p.
, chap. VI, p. 110. 698. Les Femmes savantes. Voir plus haut, chap.
V
, p. 91. 699. Le Malade imaginaire. Voir plus ha
p. 110. 698. Les Femmes savantes. Voir plus haut, chap. V, p. 91.
699.
Le Malade imaginaire. Voir plus haut, chap. VI,
t, chap. V, p. 91. 699. Le Malade imaginaire. Voir plus haut, chap.
VI
, p. 109. 700. Le Mari confondu. Voir plus haut,
. 91. 699. Le Malade imaginaire. Voir plus haut, chap. VI, p. 109.
700.
Le Mari confondu. Voir plus haut, chap. VI, p. 1
aut, chap. VI, p. 109. 700. Le Mari confondu. Voir plus haut, chap.
VI
, p. 109. 701. Voir plus haut, chap. V, p. 88. 7
, p. 109. 700. Le Mari confondu. Voir plus haut, chap. VI, p. 109.
701.
Voir plus haut, chap. V, p. 88. 702. Les Femmes
nfondu. Voir plus haut, chap. VI, p. 109. 701. Voir plus haut, chap.
V
, p. 88. 702. Les Femmes savantes. Voir plus hau
r plus haut, chap. VI, p. 109. 701. Voir plus haut, chap. V, p. 88.
702.
Les Femmes savantes. Voir plus haut, chap. V, p.
ut, chap. V, p. 88. 702. Les Femmes savantes. Voir plus haut, chap.
V
, p. 91. 703. Le Tartuffe. Voir plus haut, chap.
, p. 88. 702. Les Femmes savantes. Voir plus haut, chap. V, p. 91.
703.
Le Tartuffe. Voir plus haut, chap. VI, p. 109.
plus haut, chap. V, p. 91. 703. Le Tartuffe. Voir plus haut, chap.
VI
, p. 109. 704. Est-ce parce que dans son ménage i
hap. V, p. 91. 703. Le Tartuffe. Voir plus haut, chap. VI, p. 109.
704.
Est-ce parce que dans son ménage il ne trouva guè
rouva guère affection ni soins constants que de la part de Laforêt ?
705.
Voir plus haut, chap. VI, p. 110. 706. « On tro
ins constants que de la part de Laforêt ? 705. Voir plus haut, chap.
VI
, p. 110. 706. « On trouve dans les fragments de
que de la part de Laforêt ? 705. Voir plus haut, chap. VI, p. 110.
706.
« On trouve dans les fragments de Ménandre et de
(Sentences des anciens comiques grecs, édit. Guillaume Morel, Paris,
1553,
p. 19), ne doit point s’irriter contre son fils…
p. 28). » Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome
I
, xi : De la Clémence paternelle. Voir toute la le
atique, tome I, xi : De la Clémence paternelle. Voir toute la leçon.
707.
Andria : Simo\ Chremes ; — Adelphi : Micio, Deme
tés nuisent en rien au comique, ni le comique à la dignité du père.
708.
Aulularia : Megadorus, Eunomia, Euclio ; — Cap
(Bacchides, Grex.)
709.
Don Louis dans le Festin de Pierre (act. V, sc.
(Bacchides, Grex.) 709. Don Louis dans le Festin de Pierre (act.
V
, sc. I), et Chrysale dans les Femmes savantes (ac
ides, Grex.) 709. Don Louis dans le Festin de Pierre (act. V, sc.
I
), et Chrysale dans les Femmes savantes (act. III,
de Pierre (act. V, sc. I), et Chrysale dans les Femmes savantes (act.
III
, sc. IX) sont les seuls pères de Molière chez qui
(act. V, sc. I), et Chrysale dans les Femmes savantes (act. III, sc.
IX
) sont les seuls pères de Molière chez qui l’on tr
l’on trouve quelque élan de tendresse ; et c’est bien peu de chose.
710.
Voir plus loin, chap. XI. 711. Voir Saint-Marc G
e tendresse ; et c’est bien peu de chose. 710. Voir plus loin, chap.
XI
. 711. Voir Saint-Marc Girardin, Cours de Littéra
dresse ; et c’est bien peu de chose. 710. Voir plus loin, chap. XI.
711.
Voir Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dr
11. Voir Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique, tome1,
XIII
: Des pères dans la comédie, et surtout dans les
s qui la discréditent, etc. » Voir tout ce plaidoyer fort ingénieux.
712.
Boileau, Satire VIII, v. 194. 713. Le Festin
, etc. » Voir tout ce plaidoyer fort ingénieux. 712. Boileau, Satire
VIII
, v. 194. 713. Le Festin de Pierre, act. IV,
Voir tout ce plaidoyer fort ingénieux. 712. Boileau, Satire VIII, v.
194.
713. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. VI. C
ut ce plaidoyer fort ingénieux. 712. Boileau, Satire VIII, v. 194.
713.
Le Festin de Pierre, act. IV, sc. VI. Cette ti
12. Boileau, Satire VIII, v. 194. 713. Le Festin de Pierre, act.
IV
, sc. VI. Cette tirade, qui date de février 1665 a
eau, Satire VIII, v. 194. 713. Le Festin de Pierre, act. IV, sc.
VI
. Cette tirade, qui date de février 1665 au plus t
Festin de Pierre, act. IV, sc. VI. Cette tirade, qui date de février
1665
au plus tard (la première représentation est du 1
date de février 1665 au plus tard (la première représentation est du
15
février 1665), donna à Boileau l’idée de sa Satir
vrier 1665 au plus tard (la première représentation est du 15 février
1665
), donna à Boileau l’idée de sa Satire V, qui fut
entation est du 15 février 1665), donna à Boileau l’idée de sa Satire
V
, qui fut composée la même année, et qui avait d’a
Ne sert plus que de jour à votre ignominie. En vain, etc., (v.
59
). Il est curieux de remarquer que cette idée,
l est curieux de remarquer que cette idée, qui est de Juvénal (Satire
VIII
, v. 138) : Incipit ipsorum contra testare par
ieux de remarquer que cette idée, qui est de Juvénal (Satire VIII, v.
138
) : Incipit ipsorum contra testare parentum
i-même a sans doute imité Salluste, qui fait dire à Marius (Jugurtha,
LXXXIII
) : « Majorum gloria posteris lumen est, neque bon
teris lumen est, neque bona neque mala eorum in occulto patitur. »
714.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. XII. 71
a eorum in occulto patitur. » 714. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. XII. 715. Boileau, Epître VII, v. 32. 716.
n occulto patitur. » 714. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc.
XII
. 715. Boileau, Epître VII, v. 32. 716. Le Fest
lto patitur. » 714. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. XII.
715.
Boileau, Epître VII, v. 32. 716. Le Festin de P
. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. XII. 715. Boileau, Epître
VII
, v. 32. 716. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
urgeois gentilhomme, act. III, sc. XII. 715. Boileau, Epître VII, v.
32.
716. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II : le
is gentilhomme, act. III, sc. XII. 715. Boileau, Epître VII, v. 32.
716.
Le Festin de Pierre, act. III, sc. II : le Pauvr
I. 715. Boileau, Epître VII, v. 32. 716. Le Festin de Pierre, act.
III
, sc. II : le Pauvre. 717. L’École des Femmes,
Boileau, Epître VII, v. 32. 716. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
II
: le Pauvre. 717. L’École des Femmes, act. I,
I, v. 32. 716. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II : le Pauvre.
717.
L’École des Femmes, act. I, sc. I. 718. Le Mar
ierre, act. III, sc. II : le Pauvre. 717. L’École des Femmes, act.
I
, sc. I. 718. Le Mari confondu, act. I, sc. IV.
act. III, sc. II : le Pauvre. 717. L’École des Femmes, act. I, sc.
I
. 718. Le Mari confondu, act. I, sc. IV. 719.
III, sc. II : le Pauvre. 717. L’École des Femmes, act. I, sc. I.
718.
Le Mari confondu, act. I, sc. IV. 719. Le Mari
17. L’École des Femmes, act. I, sc. I. 718. Le Mari confondu, act.
I
, sc. IV. 719. Le Mari confondu, act. I, sc. V.
École des Femmes, act. I, sc. I. 718. Le Mari confondu, act. I, sc.
IV
. 719. Le Mari confondu, act. I, sc. V. 720. I
des Femmes, act. I, sc. I. 718. Le Mari confondu, act. I, sc. IV.
719.
Le Mari confondu, act. I, sc. V. 720. Id., act
718. Le Mari confondu, act. I, sc. IV. 719. Le Mari confondu, act.
I
, sc. V. 720. Id., act. I, sc. IV. 721. Les Pr
e Mari confondu, act. I, sc. IV. 719. Le Mari confondu, act. I, sc.
V.
720. Id., act. I, sc. IV. 721. Les Précieuses
ri confondu, act. I, sc. IV. 719. Le Mari confondu, act. I, sc. V.
720.
Id., act. I, sc. IV. 721. Les Précieuses ridic
. I, sc. IV. 719. Le Mari confondu, act. I, sc. V. 720. Id., act.
I
, sc. IV. 721. Les Précieuses ridicules, sc. VII
. IV. 719. Le Mari confondu, act. I, sc. V. 720. Id., act. I, sc.
IV
. 721. Les Précieuses ridicules, sc. VIII, X, XI
719. Le Mari confondu, act. I, sc. V. 720. Id., act. I, sc. IV.
721.
Les Précieuses ridicules, sc. VIII, X, XII. Moli
. V. 720. Id., act. I, sc. IV. 721. Les Précieuses ridicules, sc.
VIII
, X, XII. Molière, qui jouait Mascarille, s’était
720. Id., act. I, sc. IV. 721. Les Précieuses ridicules, sc. VIII,
X
, XII. Molière, qui jouait Mascarille, s’était com
. Id., act. I, sc. IV. 721. Les Précieuses ridicules, sc. VIII, X,
XII
. Molière, qui jouait Mascarille, s’était composé
Voir le Récit en prose et en vers de la Farce des Précieuses (Paris,
1660
), cité par Aimé Martin. 722. Les Précieuses rid
vers de la Farce des Précieuses (Paris, 1660), cité par Aimé Martin.
722.
Les Précieuses ridicules, sc. XIV, XVI. 723. I
is, 1660), cité par Aimé Martin. 722. Les Précieuses ridicules, sc.
XIV
, XVI. 723. Id., sc. VIII 724. Le Festin de Pi
660), cité par Aimé Martin. 722. Les Précieuses ridicules, sc. XIV,
XVI
. 723. Id., sc. VIII 724. Le Festin de Pierre,
cité par Aimé Martin. 722. Les Précieuses ridicules, sc. XIV, XVI.
723.
Id., sc. VIII 724. Le Festin de Pierre, act. I
artin. 722. Les Précieuses ridicules, sc. XIV, XVI. 723. Id., sc.
VIII
724. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II. Voi
722. Les Précieuses ridicules, sc. XIV, XVI. 723. Id., sc. VIII
724.
Le Festin de Pierre, act. III, sc. II. Voir plus
, sc. XIV, XVI. 723. Id., sc. VIII 724. Le Festin de Pierre, act.
III
, sc. II. Voir plus haut, chap. II, p. 28. 725.
, XVI. 723. Id., sc. VIII 724. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
II
. Voir plus haut, chap. II, p. 28. 725. Les Fâch
I 724. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II. Voir plus haut, chap.
II
, p. 28. 725. Les Fâcheux, act. I, sc. I. 726.
Festin de Pierre, act. III, sc. II. Voir plus haut, chap. II, p. 28.
725.
Les Fâcheux, act. I, sc. I. 726. Id., act. I,
II, sc. II. Voir plus haut, chap. II, p. 28. 725. Les Fâcheux, act.
I
, sc. I. 726. Id., act. I, sc. V, Lisandre. 72
II. Voir plus haut, chap. II, p. 28. 725. Les Fâcheux, act. I, sc.
I
. 726. Id., act. I, sc. V, Lisandre. 727. Id.
Voir plus haut, chap. II, p. 28. 725. Les Fâcheux, act. I, sc. I.
726.
Id., act. I, sc. V, Lisandre. 727. Id., act.
chap. II, p. 28. 725. Les Fâcheux, act. I, sc. I. 726. Id., act.
I
, sc. V, Lisandre. 727. Id., act. I. sc. X, Alc
II, p. 28. 725. Les Fâcheux, act. I, sc. I. 726. Id., act. I, sc.
V
, Lisandre. 727. Id., act. I. sc. X, Alcandre.
. Les Fâcheux, act. I, sc. I. 726. Id., act. I, sc. V, Lisandre.
727.
Id., act. I. sc. X, Alcandre. Voir plus haut cha
act. I, sc. I. 726. Id., act. I, sc. V, Lisandre. 727. Id., act.
I
. sc. X, Alcandre. Voir plus haut chap. II, p.39.
sc. I. 726. Id., act. I, sc. V, Lisandre. 727. Id., act. I. sc.
X
, Alcandre. Voir plus haut chap. II, p.39. 728.
Lisandre. 727. Id., act. I. sc. X, Alcandre. Voir plus haut chap.
II
, p.39. 728. Id., act. II, sc. II, Alcippe. 72
727. Id., act. I. sc. X, Alcandre. Voir plus haut chap. II, p.39.
728.
Id., act. II, sc. II, Alcippe. 729. Id., act.
. I. sc. X, Alcandre. Voir plus haut chap. II, p.39. 728. Id., act.
II
, sc. II, Alcippe. 729. Id., act. II, sc. VII,
X, Alcandre. Voir plus haut chap. II, p.39. 728. Id., act. II, sc.
II
, Alcippe. 729. Id., act. II, sc. VII, Dorante.
oir plus haut chap. II, p.39. 728. Id., act. II, sc. II, Alcippe.
729.
Id., act. II, sc. VII, Dorante. 730. Id., act
ap. II, p.39. 728. Id., act. II, sc. II, Alcippe. 729. Id., act.
II
, sc. VII, Dorante. 730. Id., act. III, sc. IV,
p.39. 728. Id., act. II, sc. II, Alcippe. 729. Id., act. II, sc.
VII
, Dorante. 730. Id., act. III, sc. IV, Filinie.
, act. II, sc. II, Alcippe. 729. Id., act. II, sc. VII, Dorante.
730.
Id., act. III, sc. IV, Filinie. 731. La Criti
I, Alcippe. 729. Id., act. II, sc. VII, Dorante. 730. Id., act.
III
, sc. IV, Filinie. 731. La Critique de F École
e. 729. Id., act. II, sc. VII, Dorante. 730. Id., act. III, sc.
IV
, Filinie. 731. La Critique de F École des Femm
act. II, sc. VII, Dorante. 730. Id., act. III, sc. IV, Filinie.
731.
La Critique de F École des Femmes, sc. IV-VII.
IV, Filinie. 731. La Critique de F École des Femmes, sc. IV-VII.
732.
Le Misanthrope, act. I, sc. II, Oronte. 733.
itique de F École des Femmes, sc. IV-VII. 732. Le Misanthrope, act.
I
, sc. II, Oronte. 733. L’lmpromptu de Versaille
de F École des Femmes, sc. IV-VII. 732. Le Misanthrope, act. I, sc.
II
, Oronte. 733. L’lmpromptu de Versailles, sc. I
Femmes, sc. IV-VII. 732. Le Misanthrope, act. I, sc. II, Oronte.
733.
L’lmpromptu de Versailles, sc. IV-IX. 734. Le
ct. I, sc. II, Oronte. 733. L’lmpromptu de Versailles, sc. IV-IX.
734.
Le Misanthrope, act. III, sc. I, Clitandre, Acas
3. L’lmpromptu de Versailles, sc. IV-IX. 734. Le Misanthrope, act.
III
, sc. I, Clitandre, Acaste. 735. Le Festin de P
romptu de Versailles, sc. IV-IX. 734. Le Misanthrope, act. III, sc.
I
, Clitandre, Acaste. 735. Le Festin de Pierre,
. IV-IX. 734. Le Misanthrope, act. III, sc. I, Clitandre, Acaste.
735.
Le Festin de Pierre, don Juan. Voir plus haut, c
Acaste. 735. Le Festin de Pierre, don Juan. Voir plus haut, chap.
II
, p. 22. 736. Le Bourgeois gentilhomme, act. III
35. Le Festin de Pierre, don Juan. Voir plus haut, chap. II, p. 22.
736.
Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI,
oir plus haut, chap. II, p. 22. 736. Le Bourgeois gentilhomme, act.
III
, sc. IV, VI, XVIII-XX ; act. IV, sc. I, II, Doran
haut, chap. II, p. 22. 736. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc.
IV
, VI, XVIII-XX ; act. IV, sc. I, II, Dorante. Voir
, chap. II, p. 22. 736. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV,
VI
, XVIII-XX ; act. IV, sc. I, II, Dorante. Voir plu
736. Le Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI, XVIII-XX ; act.
IV
, sc. I, II, Dorante. Voir plus haut, chap. IV, p.
Bourgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI, XVIII-XX ; act. IV, sc.
I
, II, Dorante. Voir plus haut, chap. IV, p. 79. 7
urgeois gentilhomme, act. III, sc. IV, VI, XVIII-XX ; act. IV, sc. I,
II
, Dorante. Voir plus haut, chap. IV, p. 79. 737.
IV, VI, XVIII-XX ; act. IV, sc. I, II, Dorante. Voir plus haut, chap.
IV
, p. 79. 737. L’lmpromptu de Versailles, sc. I.
I-XX ; act. IV, sc. I, II, Dorante. Voir plus haut, chap. IV, p. 79.
737.
L’lmpromptu de Versailles, sc. I. 738. Les Fem
oir plus haut, chap. IV, p. 79. 737. L’lmpromptu de Versailles, sc.
I
. 738. Les Femmes savantes, act. IV, sc. III. 7
plus haut, chap. IV, p. 79. 737. L’lmpromptu de Versailles, sc. I.
738.
Les Femmes savantes, act. IV, sc. III. 739. Voi
. L’lmpromptu de Versailles, sc. I. 738. Les Femmes savantes, act.
IV
, sc. III. 739. Voir plus haut, chap. III, p. 44
romptu de Versailles, sc. I. 738. Les Femmes savantes, act. IV, sc.
III
. 739. Voir plus haut, chap. III, p. 44 et 52. 7
de Versailles, sc. I. 738. Les Femmes savantes, act. IV, sc. III.
739.
Voir plus haut, chap. III, p. 44 et 52. 740. Le
. Les Femmes savantes, act. IV, sc. III. 739. Voir plus haut, chap.
III
, p. 44 et 52. 740. Le Festin de Pierre, act. I,
savantes, act. IV, sc. III. 739. Voir plus haut, chap. III, p. 44 et
52.
740. Le Festin de Pierre, act. I, sc. I : « Gus
tes, act. IV, sc. III. 739. Voir plus haut, chap. III, p. 44 et 52.
740.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. I : « Gusman :
r plus haut, chap. III, p. 44 et 52. 740. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. I : « Gusman : Un homme de sa qualité feroit
haut, chap. III, p. 44 et 52. 740. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
I
: « Gusman : Un homme de sa qualité feroit une ac
n en est belle ; et c’est par là qu’il s’empêcheroit des choses ! »
741.
L’Amour peintre, sc. XXI. 742. Le Misanthrope,
ar là qu’il s’empêcheroit des choses ! » 741. L’Amour peintre, sc.
XXI
. 742. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 743. Le
qu’il s’empêcheroit des choses ! » 741. L’Amour peintre, sc. XXI.
742.
Le Misanthrope, act. I, sc. I. 743. Le Médecin
ses ! » 741. L’Amour peintre, sc. XXI. 742. Le Misanthrope, act.
I
, sc. I. 743. Le Médecin malgré lui, act. I, sc.
741. L’Amour peintre, sc. XXI. 742. Le Misanthrope, act. I, sc.
I
. 743. Le Médecin malgré lui, act. I, sc. I, VI.
41. L’Amour peintre, sc. XXI. 742. Le Misanthrope, act. I, sc. I.
743.
Le Médecin malgré lui, act. I, sc. I, VI. 744.
2. Le Misanthrope, act. I, sc. I. 743. Le Médecin malgré lui, act.
I
, sc. I, VI. 744. Le Bourgeois gentilhomme, act.
Misanthrope, act. I, sc. I. 743. Le Médecin malgré lui, act. I, sc.
I
, VI. 744. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc.
anthrope, act. I, sc. I. 743. Le Médecin malgré lui, act. I, sc. I,
VI
. 744. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II
ope, act. I, sc. I. 743. Le Médecin malgré lui, act. I, sc. I, VI.
744.
Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act.
malgré lui, act. I, sc. I, VI. 744. Le Bourgeois gentilhomme, act.
I
, sc. II ; act. II, sc. I. 745. Les Fâcheux, ac
lui, act. I, sc. I, VI. 744. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc.
II
; act. II, sc. I. 745. Les Fâcheux, act. III,
I, sc. I, VI. 744. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act.
II
, sc. I. 745. Les Fâcheux, act. III, sc. II. 7
I, VI. 744. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act. II, sc.
I
. 745. Les Fâcheux, act. III, sc. II. 746. Le
. 744. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act. II, sc. I.
745.
Les Fâcheux, act. III, sc. II. 746. Les Femmes
ntilhomme, act. I, sc. II ; act. II, sc. I. 745. Les Fâcheux, act.
III
, sc. II. 746. Les Femmes savantes, act. IV, sc.
, act. I, sc. II ; act. II, sc. I. 745. Les Fâcheux, act. III, sc.
II
. 746. Les Femmes savantes, act. IV, sc. III. 7
. I, sc. II ; act. II, sc. I. 745. Les Fâcheux, act. III, sc. II.
746.
Les Femmes savantes, act. IV, sc. III. 747. Le
745. Les Fâcheux, act. III, sc. II. 746. Les Femmes savantes, act.
IV
, sc. III. 747. Les Fâcheux, act. I, sc. X ; le
s Fâcheux, act. III, sc. II. 746. Les Femmes savantes, act. IV, sc.
III
. 747. Les Fâcheux, act. I, sc. X ; le Tartuffe,
eux, act. III, sc. II. 746. Les Femmes savantes, act. IV, sc. III.
747.
Les Fâcheux, act. I, sc. X ; le Tartuffe, act. V
746. Les Femmes savantes, act. IV, sc. III. 747. Les Fâcheux, act.
I
, sc. X ; le Tartuffe, act. V, sc. VII ; Psyché, P
es Femmes savantes, act. IV, sc. III. 747. Les Fâcheux, act. I, sc.
X
; le Tartuffe, act. V, sc. VII ; Psyché, Prologue
t. IV, sc. III. 747. Les Fâcheux, act. I, sc. X ; le Tartuffe, act.
V
, sc. VII ; Psyché, Prologue ; le Malade imaginair
sc. III. 747. Les Fâcheux, act. I, sc. X ; le Tartuffe, act. V, sc.
VII
; Psyché, Prologue ; le Malade imaginaire, Prolog
. V, sc. VII ; Psyché, Prologue ; le Malade imaginaire, Prologue, sc.
III
, IV. Il va sans dire qu’il faut apporter à l’élog
sc. VII ; Psyché, Prologue ; le Malade imaginaire, Prologue, sc. III,
IV
. Il va sans dire qu’il faut apporter à l’éloge fa
ait ici à Molière la très grave restriction indiquée plus haut, chap.
IX
, p. 169 et 176.
ère la très grave restriction indiquée plus haut, chap. IX, p. 169 et
176.
CHAPITRE
IX
. De l’Adultère et des Amours faciles. Pourquoi
honneur d’honnête homme. Oui, l’auteur du Tartuffe a fait Amphitryon
586
; celui qui a soulevé contre le suborneur hypocri
en note : « C’est un scélérat qui parle588 ; » ce même homme, pendant
trois
actes qui sont trois chefs-d’œuvre de comédie, de
scélérat qui parle588 ; » ce même homme, pendant trois actes qui sont
trois
chefs-d’œuvre de comédie, de poésie et d’esprit,
tes amours par le don Juan de l’Olympe. C’est justement parce que ces
trois
actes sont des chefs-d’œuvre, parce que les farce
a subtile et immorale distinction de Jupiter entre l’époux et l’amant
591
? Songe-t-on à plaindre Amphitryon, dans le long
le moment même, l’autre Amphitryon Est auprès de la belle Alcmène
594
? En un mot, cette pièce est d’un bout à l’autre
r Jupiter sait dorer la pilule595 ; et certes, ce n’est pas assez de
trois
paroles ironiques dans la bouche d’un valet mépri
er à un jugement moral le spectateur démoralisé de main de maître par
trois
actes irrésistibles. Il s’en va, riant encore, ré
des dieux, et où les Hercules ne pouvaient être que des ducs du Maine
599.
Les comédies de la Jalousie du Barbouillé 600,
ue des ducs du Maine 599. Les comédies de la Jalousie du Barbouillé
600,
du Cocu imaginaire 601, du Mariage forcé 602, du
. Les comédies de la Jalousie du Barbouillé 600, du Cocu imaginaire
601,
du Mariage forcé 602, du Mari confondu 603, bien
Jalousie du Barbouillé 600, du Cocu imaginaire 601, du Mariage forcé
602,
du Mari confondu 603, bien qu’elles offrent d’ail
é 600, du Cocu imaginaire 601, du Mariage forcé 602, du Mari confondu
603,
bien qu’elles offrent d’ailleurs d’excellentes le
qui effarouchaient les spectatrices précieuses de l’École des Femmes
611
; autant on approuvera même la gaillardise, peu c
ne, mais nécessaire pour répondre à l’hypocrite lubricité de Tartuffe
612
: autant on condamnera sans rémission les plaisan
aison614 ; et non-seulement la morale, mais le goût est avec Bossuet.
II
est inutile de discuter ces choses-là. Peut-être
ire que nous sommes plus délicats aujourd’hui qu’on ne l’était il y a
deux
siècles, et que nous affectons d’être « plus chas
vrant le jour qui verra se dénouer les amours de la Princesse d’Elide
620
: Quand l’amour à vos yeux offre un choix agréab
ages royaux rendus publiquement à sa maîtresse623. Plus loin arrivent
deux
bergères qui se demandent si l’on doit croire de
harmes de l’amour625. La charmante Daphné et la trop aimable Eroxène
626
suivent ces sages maximes, et viennent s’offrir 6
p aimable Eroxène 626 suivent ces sages maximes, et viennent s’offrir
627
au jeune Myrtil, qui chante à son moineau :
? Au Myrtil de Mélicerte succède le Philène de la Pastorale comique
629
qui dit à ses brebis : Paissez, chères brebis, l
ême ton, sinon sur le même air, les bergères de la Fêle de Versailles
632
chantent à leurs bergers : CHLORIS. Le zéphyr en
32 chantent à leurs bergers : CHLORIS. Le zéphyr entre ces eaux Fait
mille
courses secrètes, Et les rossignols nouveaux De l
laisirs ! PHILÈNE. Un moment de bonheur dans l’amoureux empire Répare
dix
ans de soupirs. TOUS ENSEMBLE. Chantons tous de l
plus aimable Et le plus grand des dieux. « À ces mots, dit Félibien
633
, l’on vit s’approcher du fond du théâtre un gran
bres, sur lequel étoit assise toute la troupe de Bacchus, composée de
quarante
satyres. L’un d’eux, s’avançant à la tête, chanta
Ah ! quel plaisir de boire ! LES
DEUX
PARTIS. ’ Non, non, c’est un abus : Le plus grand
C’est Bacchus ! Un berger arrive, qui se jette entre les
deux
partis pour les séparer, et leur chante ces vers
nous assemble. L’Amour a des douceurs, Bacchus a des appas : Ce sont
deux
déités qui sont fort bien ensemble : Ne les sépar
nt deux déités qui sont fort bien ensemble : Ne les séparons pas. LES
DEUX
CHŒURS.’ Mêlons donc leurs douceurs aimables, Mêl
dèle636. Aimons-nous donc d’une ardeur éternelle : Quand
deux
cœurs s’aiment bien, Tout le reste n’est
e joindre aux musiciens pour chanter tous ensemble à Louis XIV, à ses
deux
maîtresses, à sa cour : Soyez toujours amoureux,
ntend bergers et bergères, imités dans leurs danses luxurieuses par «
trois
petites Dryades et trois petits Faunes, » s’écrie
, imités dans leurs danses luxurieuses par « trois petites Dryades et
trois
petits Faunes, » s’écrier ensemble : Jouissons,
plaisirs innocents Dont les feux de l’Amour savent charmer nos sens
644,
n’est-il pas tout naturel qu’en sortant du spec
omances espagnoles, italiennes et poitevines du Bourgeois gentilhomme
646,
terminées par ces stances : Le rossignol, sous c
eux Leur âme est pleine ; Qu’ils sont heureux ! Nous pouvons tous les
deux
, Si tu le veux, Être comme eux647. On peut citer
de cette pièce païenne, les soins de Zéphyre, les conseils de l’Amour
649
; et, pour aller jusqu’au bout, les chansons des
e de sa république656 ; on comprend que Bossuet l’ait anathématisé.
585.
Daniel, cap. II, v ; 32, 33. 586. La date défini
656 ; on comprend que Bossuet l’ait anathématisé. 585. Daniel, cap.
II
, v ; 32, 33. 586. La date définitive du Tartuffe
comprend que Bossuet l’ait anathématisé. 585. Daniel, cap. II, v ;
32,
33. 586. La date définitive du Tartuffe est 1667
prend que Bossuet l’ait anathématisé. 585. Daniel, cap. II, v ; 32,
33.
586. La date définitive du Tartuffe est 1667 ; A
que Bossuet l’ait anathématisé. 585. Daniel, cap. II, v ; 32, 33.
586.
La date définitive du Tartuffe est 1667 ; Amphitr
Daniel, cap. II, v ; 32, 33. 586. La date définitive du Tartuffe est
1667
; Amphitryon est de 1668. 587. Le Tartuffe, act
33. 586. La date définitive du Tartuffe est 1667 ; Amphitryon est de
1668.
587. Le Tartuffe, act. V, sc. VII. 588. Id.,
6. La date définitive du Tartuffe est 1667 ; Amphitryon est de 1668.
587.
Le Tartuffe, act. V, sc. VII. 588. Id., act.
Tartuffe est 1667 ; Amphitryon est de 1668. 587. Le Tartuffe, act.
V
, sc. VII. 588. Id., act. IV, sc. V. 589. Am
fe est 1667 ; Amphitryon est de 1668. 587. Le Tartuffe, act. V, sc.
VII
. 588. Id., act. IV, sc. V. 589. Amphitryon,
1667 ; Amphitryon est de 1668. 587. Le Tartuffe, act. V, sc. VII.
588.
Id., act. IV, sc. V. 589. Amphitryon, act. I,
n est de 1668. 587. Le Tartuffe, act. V, sc. VII. 588. Id., act.
IV
, sc. V. 589. Amphitryon, act. I, sc. II ; act.
1668. 587. Le Tartuffe, act. V, sc. VII. 588. Id., act. IV, sc.
V.
589. Amphitryon, act. I, sc. II ; act. II, sc.
. 587. Le Tartuffe, act. V, sc. VII. 588. Id., act. IV, sc. V.
589.
Amphitryon, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, II
ct. V, sc. VII. 588. Id., act. IV, sc. V. 589. Amphitryon, act.
I
, sc. II ; act. II, sc. II, III ; act. III, sc. II
sc. VII. 588. Id., act. IV, sc. V. 589. Amphitryon, act. I, sc.
II
; act. II, sc. II, III ; act. III, sc. II, VII.
588. Id., act. IV, sc. V. 589. Amphitryon, act. I, sc. II ; act.
II
, sc. II, III ; act. III, sc. II, VII. 590. Voir
d., act. IV, sc. V. 589. Amphitryon, act. I, sc. II ; act. II, sc.
II
, III ; act. III, sc. II, VII. 590. Voir la même
act. IV, sc. V. 589. Amphitryon, act. I, sc. II ; act. II, sc. II,
III
; act. III, sc. II, VII. 590. Voir la même cause
. V. 589. Amphitryon, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, III ; act.
III
, sc. II, VII. 590. Voir la même cause d’immorali
9. Amphitryon, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, III ; act. III, sc.
II
, VII. 590. Voir la même cause d’immoralité indiq
Amphitryon, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, III ; act. III, sc. II,
VII
. 590. Voir la même cause d’immoralité indiquée p
ryon, act. I, sc. II ; act. II, sc. II, III ; act. III, sc. II, VII.
590.
Voir la même cause d’immoralité indiquée pour d’a
me cause d’immoralité indiquée pour d’autres pièces, plus haut, chap.
IV
, p. 70. 591. Amphitryon, act. I, sc. IV. 592.
mmoralité indiquée pour d’autres pièces, plus haut, chap. IV, p. 70.
591.
Amphitryon, act. I, sc. IV. 592. Id., act.
d’autres pièces, plus haut, chap. IV, p. 70. 591. Amphitryon, act.
I
, sc. IV. 592. Id., act. II, sc. II. Comparez
es pièces, plus haut, chap. IV, p. 70. 591. Amphitryon, act. I, sc.
IV
. 592. Id., act. II, sc. II. Comparez l’École
ces, plus haut, chap. IV, p. 70. 591. Amphitryon, act. I, sc. IV.
592.
Id., act. II, sc. II. Comparez l’École des Fem
ap. IV, p. 70. 591. Amphitryon, act. I, sc. IV. 592. Id., act.
II
, sc. II. Comparez l’École des Femmes, act. II, sc
p. 70. 591. Amphitryon, act. I, sc. IV. 592. Id., act. II, sc.
II
. Comparez l’École des Femmes, act. II, sc. VI :
IV. 592. Id., act. II, sc. II. Comparez l’École des Femmes, act.
II
, sc. VI : Ô fâcheux examen d’un mystère fatal
2. Id., act. II, sc. II. Comparez l’École des Femmes, act. II, sc.
VI
: Ô fâcheux examen d’un mystère fatal, Où
s Femmes est toute morale, puisqu’Arnolphe n’a que ce qu’il mérite.
593.
Amphitryon, act. II, sc. VI. 594. Id., act. II
le, puisqu’Arnolphe n’a que ce qu’il mérite. 593. Amphitryon, act.
II
, sc. VI. 594. Id., act. III, sc. II. Remarquez
qu’Arnolphe n’a que ce qu’il mérite. 593. Amphitryon, act. II, sc.
VI
. 594. Id., act. III, sc. II. Remarquez encore q
nolphe n’a que ce qu’il mérite. 593. Amphitryon, act. II, sc. VI.
594.
Id., act. III, sc. II. Remarquez encore que Merc
e qu’il mérite. 593. Amphitryon, act. II, sc. VI. 594. Id., act.
III
, sc. II. Remarquez encore que Mercure, en jouant
érite. 593. Amphitryon, act. II, sc. VI. 594. Id., act. III, sc.
II
. Remarquez encore que Mercure, en jouant cet odie
ouer aussi celui de la Providence châtiant les peccadilles de Sosie.
595.
Amphitryon, act. III, sc. XI. 596. Amphitryon,
Providence châtiant les peccadilles de Sosie. 595. Amphitryon, act.
III
, sc. XI. 596. Amphitryon, act. III, sc. XI. 5
e châtiant les peccadilles de Sosie. 595. Amphitryon, act. III, sc.
XI
. 596. Amphitryon, act. III, sc. XI. 597. L
tiant les peccadilles de Sosie. 595. Amphitryon, act. III, sc. XI.
596.
Amphitryon, act. III, sc. XI. 597. Les Plai
e Sosie. 595. Amphitryon, act. III, sc. XI. 596. Amphitryon, act.
III
, sc. XI. 597. Les Plaisirs de l’Ile enchanté
595. Amphitryon, act. III, sc. XI. 596. Amphitryon, act. III, sc.
XI
. 597. Les Plaisirs de l’Ile enchantée, premi
Amphitryon, act. III, sc. XI. 596. Amphitryon, act. III, sc. XI.
597.
Les Plaisirs de l’Ile enchantée, première jour
Les terres où de mes regards J’arrête les douces caresses !
598.
Amphitryon, act. III, sc. XI. 599. En 1668, ann
s regards J’arrête les douces caresses ! 598. Amphitryon, act.
III
, sc. XI. 599. En 1668, année de la première repr
J’arrête les douces caresses ! 598. Amphitryon, act. III, sc.
XI
. 599. En 1668, année de la première représentati
’arrête les douces caresses ! 598. Amphitryon, act. III, sc. XI.
599.
En 1668, année de la première représentation d’Am
les douces caresses ! 598. Amphitryon, act. III, sc. XI. 599. En
1668,
année de la première représentation d’Amphitryon,
pan était véritablement maîtresse en titre. Le duc du Maine naquit en
1670.
Voir plus loin, p. 176, note 2. 600. 1658. 601.
n titre. Le duc du Maine naquit en 1670. Voir plus loin, p. 176, note
2.
600. 1658. 601. 1660. 602. 1664. Le Mariage fo
tre. Le duc du Maine naquit en 1670. Voir plus loin, p. 176, note 2.
600.
1658. 601. 1660. 602. 1664. Le Mariage forcé ét
Le duc du Maine naquit en 1670. Voir plus loin, p. 176, note 2. 600.
1658.
601. 1660. 602. 1664. Le Mariage forcé était pr
du Maine naquit en 1670. Voir plus loin, p. 176, note 2. 600. 1658.
601.
1660. 602. 1664. Le Mariage forcé était primitiv
ine naquit en 1670. Voir plus loin, p. 176, note 2. 600. 1658. 601.
1660.
602. 1664. Le Mariage forcé était primitivement
uit en 1670. Voir plus loin, p. 176, note 2. 600. 1658. 601. 1660.
602.
1664. Le Mariage forcé était primitivement en tro
n 1670. Voir plus loin, p. 176, note 2. 600. 1658. 601. 1660. 602.
1664.
Le Mariage forcé était primitivement en trois act
1658. 601. 1660. 602. 1664. Le Mariage forcé était primitivement en
trois
actes, et contenait des entrées de ballet où le r
e roi dansa lui-même, dans un rôle l’’Egyptien (Troisième entrée), le
29
janvier 1664. 603. 1668. Le Mari confondu a été
lui-même, dans un rôle l’’Egyptien (Troisième entrée), le 29 janvier
1664.
603. 1668. Le Mari confondu a été énergiquement
me, dans un rôle l’’Egyptien (Troisième entrée), le 29 janvier 1664.
603.
1668. Le Mari confondu a été énergiquement blâmé
ans un rôle l’’Egyptien (Troisième entrée), le 29 janvier 1664. 603.
1668.
Le Mari confondu a été énergiquement blâmé par J.
» Lettre à d’Alembert sur les spectacles. Voir plus loin p. 173, note
3.
604. Voir plus haut, chap. VIII. 605. Amphi
ttre à d’Alembert sur les spectacles. Voir plus loin p. 173, note 3.
604.
Voir plus haut, chap. VIII. 605. Amphitryon,
pectacles. Voir plus loin p. 173, note 3. 604. Voir plus haut, chap.
VIII
. 605. Amphitryon, act. I, sc. IV, Mercure-So
s. Voir plus loin p. 173, note 3. 604. Voir plus haut, chap. VIII.
605.
Amphitryon, act. I, sc. IV, Mercure-Sosie à Cl
note 3. 604. Voir plus haut, chap. VIII. 605. Amphitryon, act.
I
, sc. IV, Mercure-Sosie à Cléanthis : Mon Dieu
. 604. Voir plus haut, chap. VIII. 605. Amphitryon, act. I, sc.
IV
, Mercure-Sosie à Cléanthis : Mon Dieu, tu n’e
de Qu’une fatigante vertu. Voir aussi l’École des Femmes, act.
IV
, sc. VIII ; et p. 172, note 3. 606. Le Barboui
’une fatigante vertu. Voir aussi l’École des Femmes, act. IV, sc.
VIII
; et p. 172, note 3. 606. Le Barbouillé, dans
Voir aussi l’École des Femmes, act. IV, sc. VIII ; et p. 172, note
3.
606. Le Barbouillé, dans la Jalousie du Barbou
ir aussi l’École des Femmes, act. IV, sc. VIII ; et p. 172, note 3.
606.
Le Barbouillé, dans la Jalousie du Barbouillé, S
imaginaire et le Mariage forcé, George Dandin dans le Mari confondu.
607.
Angélique et Valère dans la Jalousie du Barbouil
ans le Mariage forcé ; Angélique et Clitandre dans le Mari confondu.
608.
La Jalousie du Barbouillé, sc. III, IV, VII, XI,
litandre dans le Mari confondu. 608. La Jalousie du Barbouillé, sc.
III
, IV, VII, XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc.
dre dans le Mari confondu. 608. La Jalousie du Barbouillé, sc. III,
IV
, VII, XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc. V,
dans le Mari confondu. 608. La Jalousie du Barbouillé, sc. III, IV,
VII
, XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc. V, VI ;
le Mari confondu. 608. La Jalousie du Barbouillé, sc. III, IV, VII,
XI
, XII ; le Mari confondu, act. I, sc. V, VI ; act.
ari confondu. 608. La Jalousie du Barbouillé, sc. III, IV, VII, XI,
XII
; le Mari confondu, act. I, sc. V, VI ; act. II,
sie du Barbouillé, sc. III, IV, VII, XI, XII ; le Mari confondu, act.
I
, sc. V, VI ; act. II, sc. III, X, XI ; act. III.
Barbouillé, sc. III, IV, VII, XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc.
V
, VI ; act. II, sc. III, X, XI ; act. III. 609.
bouillé, sc. III, IV, VII, XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc. V,
VI
; act. II, sc. III, X, XI ; act. III. 609. La s
c. III, IV, VII, XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc. V, VI ; act.
II
, sc. III, X, XI ; act. III. 609. La seule excus
IV, VII, XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc.
III
, X, XI ; act. III. 609. La seule excuse du comé
II, XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. III,
X
, XI ; act. III. 609. La seule excuse du comédie
XI, XII ; le Mari confondu, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. III, X,
XI
; act. III. 609. La seule excuse du comédien se
le Mari confondu, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. III, X, XI ; act.
III
. 609. La seule excuse du comédien serait la néc
i confondu, act. I, sc. V, VI ; act. II, sc. III, X, XI ; act. III.
609.
La seule excuse du comédien serait la nécessité d
t la nécessité de faire rire : Molière sa¬vait faire rire autrement.
610.
Voir, sur la question de Bossuet, plus loin, chap
e autrement. 610. Voir, sur la question de Bossuet, plus loin, chap.
XII
. Voir aussi p. 172, note 3. 611. L’École des F
la question de Bossuet, plus loin, chap. XII. Voir aussi p. 172, note
3.
611. L’École des Femmes, act. I, sc. I ; act.
estion de Bossuet, plus loin, chap. XII. Voir aussi p. 172, note 3.
611.
L’École des Femmes, act. I, sc. I ; act. II, sc.
hap. XII. Voir aussi p. 172, note 3. 611. L’École des Femmes, act.
I
, sc. I ; act. II, sc. VI ; la Critique de l’École
I. Voir aussi p. 172, note 3. 611. L’École des Femmes, act. I, sc.
I
; act. II, sc. VI ; la Critique de l’École des Fe
ussi p. 172, note 3. 611. L’École des Femmes, act. I, sc. I ; act.
II
, sc. VI ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
172, note 3. 611. L’École des Femmes, act. I, sc. I ; act. II, sc.
VI
; la Critique de l’École des Femmes, sc. III, VII
. I, sc. I ; act. II, sc. VI ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
III
, VII. Voir plus haut, chap. V, p. 100. 612. Le
sc. I ; act. II, sc. VI ; la Critique de l’École des Femmes, sc. III,
VII
. Voir plus haut, chap. V, p. 100. 612. Le Tartu
a Critique de l’École des Femmes, sc. III, VII. Voir plus haut, chap.
V
, p. 100. 612. Le Tartuffe, act. III, sc. II. Vo
e l’École des Femmes, sc. III, VII. Voir plus haut, chap. V, p. 100.
612.
Le Tartuffe, act. III, sc. II. Voir plus haut, c
. III, VII. Voir plus haut, chap. V, p. 100. 612. Le Tartuffe, act.
III
, sc. II. Voir plus haut, chap. VI, p. 117. 613.
I. Voir plus haut, chap. V, p. 100. 612. Le Tartuffe, act. III, sc.
II
. Voir plus haut, chap. VI, p. 117. 613. La Jalo
, p. 100. 612. Le Tartuffe, act. III, sc. II. Voir plus haut, chap.
VI
, p. 117. 613. La Jalousie du Barbouillé, sc. IV
2. Le Tartuffe, act. III, sc. II. Voir plus haut, chap. VI, p. 117.
613.
La Jalousie du Barbouillé, sc. IV, VI, XI ; le M
ir plus haut, chap. VI, p. 117. 613. La Jalousie du Barbouillé, sc.
IV
, VI, XI ; le Médecin volant, sc. III, IV ; l’Etou
lus haut, chap. VI, p. 117. 613. La Jalousie du Barbouillé, sc. IV,
VI
, XI ; le Médecin volant, sc. III, IV ; l’Etourdi,
haut, chap. VI, p. 117. 613. La Jalousie du Barbouillé, sc. IV, VI,
XI
; le Médecin volant, sc. III, IV ; l’Etourdi, act
. La Jalousie du Barbouillé, sc. IV, VI, XI ; le Médecin volant, sc.
III
, IV ; l’Etourdi, act. I, sc. II, VI ; act. V, sc.
Jalousie du Barbouillé, sc. IV, VI, XI ; le Médecin volant, sc. III,
IV
; l’Etourdi, act. I, sc. II, VI ; act. V, sc. VII
lé, sc. IV, VI, XI ; le Médecin volant, sc. III, IV ; l’Etourdi, act.
I
, sc. II, VI ; act. V, sc. VII, XVI ; le Dépit amo
IV, VI, XI ; le Médecin volant, sc. III, IV ; l’Etourdi, act. I, sc.
II
, VI ; act. V, sc. VII, XVI ; le Dépit amoureux, a
VI, XI ; le Médecin volant, sc. III, IV ; l’Etourdi, act. I, sc. II,
VI
; act. V, sc. VII, XVI ; le Dépit amoureux, act.
le Médecin volant, sc. III, IV ; l’Etourdi, act. I, sc. II, VI ; act.
V
, sc. VII, XVI ; le Dépit amoureux, act. I, sc. I,
cin volant, sc. III, IV ; l’Etourdi, act. I, sc. II, VI ; act. V, sc.
VII
, XVI ; le Dépit amoureux, act. I, sc. I, II ; act
olant, sc. III, IV ; l’Etourdi, act. I, sc. II, VI ; act. V, sc. VII,
XVI
; le Dépit amoureux, act. I, sc. I, II ; act. V,
, act. I, sc. II, VI ; act. V, sc. VII, XVI ; le Dépit amoureux, act.
I
, sc. I, II ; act. V, sc. IX ; le Cocu imaginaire,
I, sc. II, VI ; act. V, sc. VII, XVI ; le Dépit amoureux, act. I, sc.
I
, II ; act. V, sc. IX ; le Cocu imaginaire, sc. II
sc. II, VI ; act. V, sc. VII, XVI ; le Dépit amoureux, act. I, sc. I,
II
; act. V, sc. IX ; le Cocu imaginaire, sc. II, IV
; act. V, sc. VII, XVI ; le Dépit amoureux, act. I, sc. I, II ; act.
V
, sc. IX ; le Cocu imaginaire, sc. II, IV-VI, XVI,
V, sc. VII, XVI ; le Dépit amoureux, act. I, sc. I, II ; act. V, sc.
IX
; le Cocu imaginaire, sc. II, IV-VI, XVI, XVII ;
moureux, act. I, sc. I, II ; act. V, sc. IX ; le Cocu imaginaire, sc.
II
, IV-VI, XVI, XVII ; le Mariage forcé, sc. IV, VII
t. I, sc. I, II ; act. V, sc. IX ; le Cocu imaginaire, sc. II, IV-VI,
XVI
, XVII ; le Mariage forcé, sc. IV, VII, X ; le Fes
sc. I, II ; act. V, sc. IX ; le Cocu imaginaire, sc. II, IV-VI, XVI,
XVII
; le Mariage forcé, sc. IV, VII, X ; le Festin de
le Cocu imaginaire, sc. II, IV-VI, XVI, XVII ; le Mariage forcé, sc.
IV
, VII, X ; le Festin de Pierre, act. II, sc. I ; l
Cocu imaginaire, sc. II, IV-VI, XVI, XVII ; le Mariage forcé, sc. IV,
VII
, X ; le Festin de Pierre, act. II, sc. I ; l’Amou
imaginaire, sc. II, IV-VI, XVI, XVII ; le Mariage forcé, sc. IV, VII,
X
; le Festin de Pierre, act. II, sc. I ; l’Amour m
, XVII ; le Mariage forcé, sc. IV, VII, X ; le Festin de Pierre, act.
II
, sc. I ; l’Amour médecin, act. II, sc. VII ; le M
le Mariage forcé, sc. IV, VII, X ; le Festin de Pierre, act. II, sc.
I
; l’Amour médecin, act. II, sc. VII ; le Médecin
VII, X ; le Festin de Pierre, act. II, sc. I ; l’Amour médecin, act.
II
, sc. VII ; le Médecin malgré lui, act. I, sc. I ;
; le Festin de Pierre, act. II, sc. I ; l’Amour médecin, act. II, sc.
VII
; le Médecin malgré lui, act. I, sc. I ; act. II,
. I ; l’Amour médecin, act. II, sc. VII ; le Médecin malgré lui, act.
I
, sc. I ; act. II, sc. IV, VII ; act. III, sc III,
’Amour médecin, act. II, sc. VII ; le Médecin malgré lui, act. I, sc.
I
; act. II, sc. IV, VII ; act. III, sc III, l’Amph
decin, act. II, sc. VII ; le Médecin malgré lui, act. I, sc. I ; act.
II
, sc. IV, VII ; act. III, sc III, l’Amphitryon, Pr
ct. II, sc. VII ; le Médecin malgré lui, act. I, sc. I ; act. II, sc.
IV
, VII ; act. III, sc III, l’Amphitryon, Prologue,
II, sc. VII ; le Médecin malgré lui, act. I, sc. I ; act. II, sc. IV,
VII
; act. III, sc III, l’Amphitryon, Prologue, act.
; le Médecin malgré lui, act. I, sc. I ; act. II, sc. IV, VII ; act.
III
, sc III, l’Amphitryon, Prologue, act. I, sc. IV ;
decin malgré lui, act. I, sc. I ; act. II, sc. IV, VII ; act. III, sc
III
, l’Amphitryon, Prologue, act. I, sc. IV ; act. II
act. II, sc. IV, VII ; act. III, sc III, l’Amphitryon, Prologue, act.
I
, sc. IV ; act. II, sc. II, III, VII ; le Mari con
, sc. IV, VII ; act. III, sc III, l’Amphitryon, Prologue, act. I, sc.
IV
; act. II, sc. II, III, VII ; le Mari confondu, a
VII ; act. III, sc III, l’Amphitryon, Prologue, act. I, sc. IV ; act.
II
, sc. II, III, VII ; le Mari confondu, act. I, sc.
t. III, sc III, l’Amphitryon, Prologue, act. I, sc. IV ; act. II, sc.
II
, III, VII ; le Mari confondu, act. I, sc. IV ; ac
II, sc III, l’Amphitryon, Prologue, act. I, sc. IV ; act. II, sc. II,
III
, VII ; le Mari confondu, act. I, sc. IV ; act. II
c III, l’Amphitryon, Prologue, act. I, sc. IV ; act. II, sc. II, III,
VII
; le Mari confondu, act. I, sc. IV ; act. II, sc.
, act. I, sc. IV ; act. II, sc. II, III, VII ; le Mari confondu, act.
I
, sc. IV ; act. II, sc. I ; M. de Pourceaugnac, ac
I, sc. IV ; act. II, sc. II, III, VII ; le Mari confondu, act. I, sc.
IV
; act. II, sc. I ; M. de Pourceaugnac, act. II, s
; act. II, sc. II, III, VII ; le Mari confondu, act. I, sc. IV ; act.
II
, sc. I ; M. de Pourceaugnac, act. II, sc. II, VI,
I, sc. II, III, VII ; le Mari confondu, act. I, sc. IV ; act. II, sc.
I
; M. de Pourceaugnac, act. II, sc. II, VI, VII, X
confondu, act. I, sc. IV ; act. II, sc. I ; M. de Pourceaugnac, act.
II
, sc. II, VI, VII, X ; act. III, sc. III ; le Mala
u, act. I, sc. IV ; act. II, sc. I ; M. de Pourceaugnac, act. II, sc.
II
, VI, VII, X ; act. III, sc. III ; le Malade imagi
ct. I, sc. IV ; act. II, sc. I ; M. de Pourceaugnac, act. II, sc. II,
VI
, VII, X ; act. III, sc. III ; le Malade imaginair
I, sc. IV ; act. II, sc. I ; M. de Pourceaugnac, act. II, sc. II, VI,
VII
, X ; act. III, sc. III ; le Malade imaginaire, ac
. IV ; act. II, sc. I ; M. de Pourceaugnac, act. II, sc. II, VI, VII,
X
; act. III, sc. III ; le Malade imaginaire, act.
t. II, sc. I ; M. de Pourceaugnac, act. II, sc. II, VI, VII, X ; act.
III
, sc. III ; le Malade imaginaire, act. II, sc. VI.
. I ; M. de Pourceaugnac, act. II, sc. II, VI, VII, X ; act. III, sc.
III
; le Malade imaginaire, act. II, sc. VI. 614. «
, sc. II, VI, VII, X ; act. III, sc. III ; le Malade imaginaire, act.
II
, sc. VI. 614. « Il faudra bannir du milieu des
, VI, VII, X ; act. III, sc. III ; le Malade imaginaire, act. II, sc.
VI
. 614. « Il faudra bannir du milieu des chrétien
VII, X ; act. III, sc. III ; le Malade imaginaire, act. II, sc. VI.
614.
« Il faudra bannir du milieu des chrétiens les p
es contre leurs jaloux. » Maximes et Réflexions sur la Comédie, chap.
V.
Voir plus loin, chap. XII. 615. La Critique de
Maximes et Réflexions sur la Comédie, chap. V. Voir plus loin, chap.
XII
. 615. La Critique de l’École des Femmes, sc. II
es et Réflexions sur la Comédie, chap. V. Voir plus loin, chap. XII.
615.
La Critique de l’École des Femmes, sc. III. 616
r plus loin, chap. XII. 615. La Critique de l’École des Femmes, sc.
III
. 616. Voir H. Taine, Voyage aux Pyrénées, chap.
loin, chap. XII. 615. La Critique de l’École des Femmes, sc. III.
616.
Voir H. Taine, Voyage aux Pyrénées, chap. III, La
des Femmes, sc. III. 616. Voir H. Taine, Voyage aux Pyrénées, chap.
III
, La Pudeur au XVIe siècle : « Chaque siècle a son
t de trouver les Contes de La Fontaine obscurs (Tircis et Amarante).
617.
Art poétique, ch. II, v. 176. 618. F. Génin (Vi
de La Fontaine obscurs (Tircis et Amarante). 617. Art poétique, ch.
II
, v. 176. 618. F. Génin (Vie de Molière, chap. VI
ontaine obscurs (Tircis et Amarante). 617. Art poétique, ch. II, v.
176.
618. F. Génin (Vie de Molière, chap. VI), dans s
e obscurs (Tircis et Amarante). 617. Art poétique, ch. II, v. 176.
618.
F. Génin (Vie de Molière, chap. VI), dans sa défe
Art poétique, ch. II, v. 176. 618. F. Génin (Vie de Molière, chap.
VI
), dans sa défense du Mari confondu contre les vio
es violentes attaques de J.-J. Rousseau (voir plus haut, p. 170, note
5
), dit avec beaucoup de justesse : « Le vice d’Ang
roman, le théâtre, et jusqu’à certaines théories philosophiques. »
619.
Boileau, Satire X, v. 141. 620. 1664. 621. La
t jusqu’à certaines théories philosophiques. » 619. Boileau, Satire
X
, v. 141. 620. 1664. 621. La Princesse d’Elide,
u’à certaines théories philosophiques. » 619. Boileau, Satire X, v.
141.
620. 1664. 621. La Princesse d’Elide, Prologue
rtaines théories philosophiques. » 619. Boileau, Satire X, v. 141.
620.
1664. 621. La Princesse d’Elide, Prologue, sc.
es théories philosophiques. » 619. Boileau, Satire X, v. 141. 620.
1664.
621. La Princesse d’Elide, Prologue, sc. I. 62
ries philosophiques. » 619. Boileau, Satire X, v. 141. 620. 1664.
621.
La Princesse d’Elide, Prologue, sc. I. 622. La
ire X, v. 141. 620. 1664. 621. La Princesse d’Elide, Prologue, sc.
I
. 622. La princesse d’Elide, act. I, sc. I.. 62
X, v. 141. 620. 1664. 621. La Princesse d’Elide, Prologue, sc. I.
622.
La princesse d’Elide, act. I, sc. I.. 623. Là e
Princesse d’Elide, Prologue, sc. I. 622. La princesse d’Elide, act.
I
, sc. I.. 623. Là est une des raisons de la colèr
se d’Elide, Prologue, sc. I. 622. La princesse d’Elide, act. I, sc.
I
.. 623. Là est une des raisons de la colère de Bo
Elide, Prologue, sc. I. 622. La princesse d’Elide, act. I, sc. I..
623.
Là est une des raisons de la colère de Bossuet, c
Bossuet, car il y a une sainte colère dans la phrase célèbre du chap.
V
des Maximes et Réflexions sur la Comédie : « La p
de celui qui dit : Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez (Luc,
VI
, 25). Ceux qui ont laissé sur la terre déplus ric
celui qui dit : Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez (Luc, VI,
25
). Ceux qui ont laissé sur la terre déplus riches
plus haut, p. 169 ; dans M. de Pourceaugnac, plus loin, p. 185, note
3
; dans les Amants magnifiques, plus loin, p. 186,
p. 185, note 3 ; dans les Amants magnifiques, plus loin, p. 186, note
2.
Voir d’ailleurs sur la question de Bossuet, plus
note 2. Voir d’ailleurs sur la question de Bossuet, plus loin, chap.
XII
. 624. La Princesse d’Elide, quatrième intermède
2. Voir d’ailleurs sur la question de Bossuet, plus loin, chap. XII.
624.
La Princesse d’Elide, quatrième intermède. 625.
s loin, chap. XII. 624. La Princesse d’Elide, quatrième intermède.
625.
Id., cinquième intermède. 626. Mélicerte, 1666
cesse d’Elide, quatrième intermède. 625. Id., cinquième intermède.
626.
Mélicerte, 1666. 627. Id., act. I, sc. II,
atrième intermède. 625. Id., cinquième intermède. 626. Mélicerte,
1666.
627. Id., act. I, sc. II, IV, et V : Deu
intermède. 625. Id., cinquième intermède. 626. Mélicerte, 1666.
627.
Id., act. I, sc. II, IV, et V : Deux nymph
Id., cinquième intermède. 626. Mélicerte, 1666. 627. Id., act.
I
, sc. II, IV, et V : Deux nymphes, ô Myrtil, v
nquième intermède. 626. Mélicerte, 1666. 627. Id., act. I, sc.
II
, IV, et V : Deux nymphes, ô Myrtil, viennent
ème intermède. 626. Mélicerte, 1666. 627. Id., act. I, sc. II,
IV
, et V : Deux nymphes, ô Myrtil, viennent s’of
ermède. 626. Mélicerte, 1666. 627. Id., act. I, sc. II, IV, et
V
: Deux nymphes, ô Myrtil, viennent s’offrir à
626. Mélicerte, 1666. 627. Id., act. I, sc. II, IV, et V :
Deux
nymphes, ô Myrtil, viennent s’offrir à vous :
ô Myrtil, viennent s’offrir à vous : Contentez nos désirs, etc.
628.
Mélicerte, act. I, sc. V. 629. Nous n’en posséd
ffrir à vous : Contentez nos désirs, etc. 628. Mélicerte, act.
I
, sc. V. 629. Nous n’en possédons que les paroles
vous : Contentez nos désirs, etc. 628. Mélicerte, act. I, sc.
V.
629. Nous n’en possédons que les paroles chantée
s : Contentez nos désirs, etc. 628. Mélicerte, act. I, sc. V.
629.
Nous n’en possédons que les paroles chantées, con
fête appelée le Ballet des Muses, donnée à Saint-Germain en décembre
1666.
630. Pastorale comique, sc. III. 631. Pastora
ppelée le Ballet des Muses, donnée à Saint-Germain en décembre 1666.
630.
Pastorale comique, sc. III. 631. Pastorale com
onnée à Saint-Germain en décembre 1666. 630. Pastorale comique, sc.
III
. 631. Pastorale comique, sixième entrée de ball
à Saint-Germain en décembre 1666. 630. Pastorale comique, sc. III.
631.
Pastorale comique, sixième entrée de ballet. 63
omique, sc. III. 631. Pastorale comique, sixième entrée de ballet.
632.
1668. 633. Relation de la Fête de Versailles du
e, sc. III. 631. Pastorale comique, sixième entrée de ballet. 632.
1668.
633. Relation de la Fête de Versailles du 18 ju
III. 631. Pastorale comique, sixième entrée de ballet. 632. 1668.
633.
Relation de la Fête de Versailles du 18 juillet
ée de ballet. 632. 1668. 633. Relation de la Fête de Versailles du
18
juillet 1668. 634. Relation de la Fête de Vers
t. 632. 1668. 633. Relation de la Fête de Versailles du 18 juillet
1668.
634. Relation de la Fête de Versailles du 18 j
1668. 633. Relation de la Fête de Versailles du 18 juillet 1668.
634.
Relation de la Fête de Versailles du 18 juillet
lles du 18 juillet 1668. 634. Relation de la Fête de Versailles du
18
juillet 1668, par Félibien. 635. Satire X, v
juillet 1668. 634. Relation de la Fête de Versailles du 18 juillet
1668,
par Félibien. 635. Satire X, v. 131 : Pa
Relation de la Fête de Versailles du 18 juillet 1668, par Félibien.
635.
Satire X, v. 131 : Par toi-même bientôt co
Fête de Versailles du 18 juillet 1668, par Félibien. 635. Satire
X
, v. 131 : Par toi-même bientôt conduite à l’o
e Versailles du 18 juillet 1668, par Félibien. 635. Satire X, v.
131
: Par toi-même bientôt conduite à l’opéra,
ine de ces doux sons, Avec quelque Médor pratiquer ces leçons.
636.
Doileau, Satire X, v. 159 : Recevant ses a
Avec quelque Médor pratiquer ces leçons. 636. Doileau, Satire
X
, v. 159 : Recevant ses amants sons le doux no
quelque Médor pratiquer ces leçons. 636. Doileau, Satire X, v.
159
: Recevant ses amants sons le doux nom d’amis
tire X, v. 159 : Recevant ses amants sons le doux nom d’amis.
637.
M. de Pourceaugnac, act. I, sc. II. 638. La
es amants sons le doux nom d’amis. 637. M. de Pourceaugnac, act.
I
, sc. II. 638. La pièce fut donnée en 1669, d
ts sons le doux nom d’amis. 637. M. de Pourceaugnac, act. I, sc.
II
. 638. La pièce fut donnée en 1669, dans une
s le doux nom d’amis. 637. M. de Pourceaugnac, act. I, sc. II.
638.
La pièce fut donnée en 1669, dans une fête de
M. de Pourceaugnac, act. I, sc. II. 638. La pièce fut donnée en
1669,
dans une fête de la cour à Chambord. Mme de Monte
e de la cour à Chambord. Mme de Montespan, dont l’avènement datait de
1668,
était maîtresse du roi en même temps que Mlle » d
e la Vallière, qui allait s’enfuir au couvent pour la seconde fois en
1671.
Ces vers sont donc encore un encouragement à cett
couragement à cette double et publique débauche. Voir plus haut, note
2,
p. 176. La gloire est une allusion à la conquête
176. La gloire est une allusion à la conquête de la Franche-Comté en
1668,
suivie du traité d’Aix-la-Chapelle, et célébrée é
en 1668, suivie du traité d’Aix-la-Chapelle, et célébrée également en
1669
par Doileau, Epitre 1, v. 128 : Et camper dev
d’Aix-la-Chapelle, et célébrée également en 1669 par Doileau, Epitre
1,
v. 128 : Et camper devant Dôle an milieu des
-la-Chapelle, et célébrée également en 1669 par Doileau, Epitre 1, v.
128
: Et camper devant Dôle an milieu des hivers.
Epitre 1, v. 128 : Et camper devant Dôle an milieu des hivers.
639.
M. de Pourceaugnac, act. III, sc. X. 640. Les
r devant Dôle an milieu des hivers. 639. M. de Pourceaugnac, act.
III
, sc. X. 640. Les Amants magnifiques, troisième
Dôle an milieu des hivers. 639. M. de Pourceaugnac, act. III, sc.
X.
640. Les Amants magnifiques, troisième intermèd
an milieu des hivers. 639. M. de Pourceaugnac, act. III, sc. X.
640.
Les Amants magnifiques, troisième intermède, sc.
. III, sc. X. 640. Les Amants magnifiques, troisième intermède, sc.
II
. Pièce dont le sujet et la conduite sont indiqués
uniquement pour le roi et la cour. La première représentation est du
7
septembre 4670 : Mlle de la Vallière commençait à
pour le roi et la cour. La première représentation est du 7 septembre
4670
: Mlle de la Vallière commençait à être tout à fa
r la seconde fois chez les religieuses de Sainte-Marie de Chaillot le
11
février 1671, et Louis XIV allait envoyer Colbert
e fois chez les religieuses de Sainte-Marie de Chaillot le 11 février
1671,
et Louis XIV allait envoyer Colbert la chercher l
rcher le jour même. Molière fait allusion à ces hésitations entre les
deux
maîtresses et à ce retour vers la première dans l
traduction gracieuse de l’ode d’Horace : Donec gratus eram tibi (Lib.
III
, Od. x) : Philinte semble être le roi, Climène, l
être le duc de Longueville ou le duc de Lauzun : voir plus haut, note
2,
p. 176. 641. Remarquez l’immoralité de rendre Di
de Longueville ou le duc de Lauzun : voir plus haut, note 2, p. 176.
641.
Remarquez l’immoralité de rendre Dieu créateur re
es excès de nos passions. Il n’y a pas loin de là au culte de Vénus.
642.
Voir plus haut, p. 178. 643. Les Amants magnifi
’y a pas loin de là au culte de Vénus. 642. Voir plus haut, p. 178.
643.
Les Amants magnifiques, troisième intermède, sc.
haut, p. 178. 643. Les Amants magnifiques, troisième intermède, sc.
III
. — Il suffit, je pense, de citer, sans faire ress
, sans faire ressortir ce qu’il y a de monstrueux dans ces théories.
644.
Les Amants magnifiques, troisième intermède, sec
s Amants magnifiques, troisième intermède, seconde entrée de ballet.
645.
L’influence de ces plaisirs est exprimée par Volt
de ces plaisirs est exprimée par Voltaire, Siècle de Louis XIV, chap.
XXVI
: « Tandis que Mme de la Vallière et Mme de Monte
t occupée d’intrigues d’amour : Louvois même était sensible, etc. »
646.
Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act.
is même était sensible, etc. » 646. Le Bourgeois gentilhomme, act.
I
, sc. II ; act. IV, sc. I ; act. V, entrées II, II
était sensible, etc. » 646. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc.
II
; act. IV, sc. I ; act. V, entrées II, III, IV, V
sible, etc. » 646. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act.
IV
, sc. I ; act. V, entrées II, III, IV, V. 647. L
tc. » 646. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act. IV, sc.
I
; act. V, entrées II, III, IV, V. 647. Le Bourg
46. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act. IV, sc. I ; act.
V
, entrées II, III, IV, V. 647. Le Bourgeois gent
rgeois gentilhomme, act. I, sc. II ; act. IV, sc. I ; act. V, entrées
II
, III, IV, V. 647. Le Bourgeois gentilhomme, act
is gentilhomme, act. I, sc. II ; act. IV, sc. I ; act. V, entrées II,
III
, IV, V. 647. Le Bourgeois gentilhomme, act. V,
ntilhomme, act. I, sc. II ; act. IV, sc. I ; act. V, entrées II, III,
IV
, V. 647. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entr
homme, act. I, sc. II ; act. IV, sc. I ; act. V, entrées II, III, IV,
V.
647. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée V
e, act. I, sc. II ; act. IV, sc. I ; act. V, entrées II, III, IV, V.
647.
Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée V. 648
act. V, entrées II, III, IV, V. 647. Le Bourgeois gentilhomme, act.
V
, entrée V. 648. Psyché, Prologue, Flore. 649.
trées II, III, IV, V. 647. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée
V.
648. Psyché, Prologue, Flore. 649. Id., act.
s II, III, IV, V. 647. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée V.
648.
Psyché, Prologue, Flore. 649. Id., act. III,
eois gentilhomme, act. V, entrée V. 648. Psyché, Prologue, Flore.
649.
Id., act. III, sc. I ; troisième intermède ; act
, act. V, entrée V. 648. Psyché, Prologue, Flore. 649. Id., act.
III
, sc. I ; troisième intermède ; act. V, sc. VI. 6
entrée V. 648. Psyché, Prologue, Flore. 649. Id., act. III, sc.
I
; troisième intermède ; act. V, sc. VI. 650. Le
gue, Flore. 649. Id., act. III, sc. I ; troisième intermède ; act.
V
, sc. VI. 650. Le Malade imaginaire, deuxième in
ore. 649. Id., act. III, sc. I ; troisième intermède ; act. V, sc.
VI
. 650. Le Malade imaginaire, deuxième intermède.
649. Id., act. III, sc. I ; troisième intermède ; act. V, sc. VI.
650.
Le Malade imaginaire, deuxième intermède. 651.
e ; act. V, sc. VI. 650. Le Malade imaginaire, deuxième intermède.
651.
« M. de La Fontaine, dit l’abbé Pouget son confe
aux personnes qui le lisaient. » H. Taine, La Fontaine et ses fables,
1re
partie, III. 652. Les infidélités de Mlle de Mol
s qui le lisaient. » H. Taine, La Fontaine et ses fables, 1re partie,
III
. 652. Les infidélités de Mlle de Molière commenc
le lisaient. » H. Taine, La Fontaine et ses fables, 1re partie, III.
652.
Les infidélités de Mlle de Molière commencèrent e
partie, III. 652. Les infidélités de Mlle de Molière commencèrent en
1664,
à Versailles, pendant les représentations des Pla
ir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
II
. 653. Toute celte partie de Molière tombe sous l
Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. II.
653.
Toute celte partie de Molière tombe sous le coup
re tombe sous le coup des Maximes et Réflexions sur la Comédie, chap.
III
, Si la comédie d’aujourd’hui est aussi honnête qu
insinuent sans qu’on y pense, et plaisent sans être aperçus ; » chap.
IV
, S’il est vrai que la représentation des passions
ntation des passions agréables ne les excite que par accident ; chap.
V
, Si la comédie d’aujourd’hui purifie l’amour sens
’hui purifie l’amour sensuel en le faisant aboutir au mariage ; chap.
VI
, Ce que c’est que les mariages du théâtre ; chap.
mariage ; chap. VI, Ce que c’est que les mariages du théâtre ; chap.
VIII
, Crimes publics et cachés dans la comédie. Dispos
comme goutte à goutte : à la fin on n’en est pas moins submergé. »
654.
Voir plus haut, p. 178. 655. A. Barbier, Mel
in on n’en est pas moins submergé. » 654. Voir plus haut, p. 178.
655.
A. Barbier, Melpomène : Quelle force ont l
Melpomène : Quelle force ont les arts pour démolir les mœurs.
656.
Les Lois, liv. II, VII ; la République, liv. II,
le force ont les arts pour démolir les mœurs. 656. Les Lois, liv.
II
, VII ; la République, liv. II, III, X.
orce ont les arts pour démolir les mœurs. 656. Les Lois, liv. II,
VII
; la République, liv. II, III, X.
olir les mœurs. 656. Les Lois, liv. II, VII ; la République, liv.
II
, III, X.
les mœurs. 656. Les Lois, liv. II, VII ; la République, liv. II,
III
, X.
mœurs. 656. Les Lois, liv. II, VII ; la République, liv. II, III,
X.
Textes et documents
I
. — Page 60. Les Gelosi ne sont pas sans doute
Textes et documents I. — Page
60.
Les Gelosi ne sont pas sans doute, ainsi que
La Calandra, qui eut lieu devant Henri II et Catherine de Médicis, en
1548.
Nous avons cité la troupe de Ganassa, qui fit, à
a met sous nos yeux une partie de leur répertoire. Voici la liste des
cinquante
canevas que contient ce recueil : 1. Li Due vecch
toire. Voici la liste des cinquante canevas que contient ce recueil :
1.
Li Due vecchi gemelli, comedia. 2. La Fortuna di
canevas que contient ce recueil : 1. Li Due vecchi gemelli, comedia.
2.
La Fortuna di Llavio. 3. La Fortunata Isabella. 4
recueil : 1. Li Due vecchi gemelli, comedia. 2. La Fortuna di Llavio.
3.
La Fortunata Isabella. 4. Le Burle d’Isabella. 5.
gemelli, comedia. 2. La Fortuna di Llavio. 3. La Fortunata Isabella.
4.
Le Burle d’Isabella. 5. Flavio tradito. 6. Il Vec
Fortuna di Llavio. 3. La Fortunata Isabella. 4. Le Burle d’Isabella.
5.
Flavio tradito. 6. Il Vecchio geloso. 7. La Credu
3. La Fortunata Isabella. 4. Le Burle d’Isabella. 5. Flavio tradito.
6.
Il Vecchio geloso. 7. La Creduta morta. 8. La Fin
lla. 4. Le Burle d’Isabella. 5. Flavio tradito. 6. Il Vecchio geloso.
7.
La Creduta morta. 8. La Finta pazza. 9. Il Marito
abella. 5. Flavio tradito. 6. Il Vecchio geloso. 7. La Creduta morta.
8.
La Finta pazza. 9. Il Marito. 10. La Sposa. 11. I
radito. 6. Il Vecchio geloso. 7. La Creduta morta. 8. La Finta pazza.
9.
Il Marito. 10. La Sposa. 11. Il Capitano. 12. Il
Vecchio geloso. 7. La Creduta morta. 8. La Finta pazza. 9. Il Marito.
10.
La Sposa. 11. Il Capitano. 12. Il Cavadente. 13.
. 7. La Creduta morta. 8. La Finta pazza. 9. Il Marito. 10. La Sposa.
11.
Il Capitano. 12. Il Cavadente. 13. Il Dottor disp
orta. 8. La Finta pazza. 9. Il Marito. 10. La Sposa. 11. Il Capitano.
12.
Il Cavadente. 13. Il Dottor disperato. 14. Il Per
pazza. 9. Il Marito. 10. La Sposa. 11. Il Capitano. 12. Il Cavadente.
13.
Il Dottor disperato. 14. Il Peregrino fido. 15. L
La Sposa. 11. Il Capitano. 12. Il Cavadente. 13. Il Dottor disperato.
14.
Il Peregrino fido. 15. Lo Specchio. 16. Li Due c
no. 12. Il Cavadente. 13. Il Dottor disperato. 14. Il Peregrino fido.
15.
Lo Specchio. 16. Li Due capitani simili. 17. Li
te. 13. Il Dottor disperato. 14. Il Peregrino fido. 15. Lo Specchio.
16.
Li Due capitani simili. 17. Li Tragici successi.
14. Il Peregrino fido. 15. Lo Specchio. 16. Li Due capitani simili.
17.
Li Tragici successi. 18. Li Tre fidi amici. 19. L
5. Lo Specchio. 16. Li Due capitani simili. 17. Li Tragici successi.
18.
Li Tre fidi amici. 19. Li Due fidi notari. 20. Il
Due capitani simili. 17. Li Tragici successi. 18. Li Tre fidi amici.
19.
Li Due fidi notari. 20. Il Finto negromante. 21.
. Li Tragici successi. 18. Li Tre fidi amici. 19. Li Due fidi notari.
20.
Il Finto negromante. 21. Il Creduto morto. 22. Il
. Li Tre fidi amici. 19. Li Due fidi notari. 20. Il Finto negromante.
21.
Il Creduto morto. 22. Il Porta-lettere. 23. Il Fi
9. Li Due fidi notari. 20. Il Finto negromante. 21. Il Creduto morto.
22.
Il Porta-lettere. 23. Il Finto Tofano. 24. La Gel
20. Il Finto negromante. 21. Il Creduto morto. 22. Il Porta-lettere.
23.
Il Finto Tofano. 24. La Gelosa Isabella. 25. Li T
nte. 21. Il Creduto morto. 22. Il Porta-lettere. 23. Il Finto Tofano.
24.
La Gelosa Isabella. 25. Li Tappeti Alessandrini.
o. 22. Il Porta-lettere. 23. Il Finto Tofano. 24. La Gelosa Isabella.
25.
Li Tappeti Alessandrini. 26. La Mancata fede. 27.
Il Finto Tofano. 24. La Gelosa Isabella. 25. Li Tappeti Alessandrini.
26.
La Mancata fede. 27. Flavio finto negromante. 28.
La Gelosa Isabella. 25. Li Tappeti Alessandrini. 26. La Mancata fede.
27.
Flavio finto negromante. 28. Il Fido amico. 29. L
ppeti Alessandrini. 26. La Mancata fede. 27. Flavio finto negromante.
28.
Il Fido amico. 29. Li Finti servi. 30. Il Pedante
26. La Mancata fede. 27. Flavio finto negromante. 28. Il Fido amico.
29.
Li Finti servi. 30. Il Pedante. 31. Li Due finti
. 27. Flavio finto negromante. 28. Il Fido amico. 29. Li Finti servi.
30.
Il Pedante. 31. Li Due finti Zingani. 32. Li Quat
to negromante. 28. Il Fido amico. 29. Li Finti servi. 30. Il Pedante.
31.
Li Due finti Zingani. 32. Li Quattro finti spirit
amico. 29. Li Finti servi. 30. Il Pedante. 31. Li Due finti Zingani.
32.
Li Quattro finti spiritati. 33. Il Finto cieco. 3
Il Pedante. 31. Li Due finti Zingani. 32. Li Quattro finti spiritati.
33.
Il Finto cieco. 34. Le Disgrazie di Flavio. 35. I
ue finti Zingani. 32. Li Quattro finti spiritati. 33. Il Finto cieco.
34.
Le Disgrazie di Flavio. 35. Isabella astrologa. 3
ttro finti spiritati. 33. Il Finto cieco. 34. Le Disgrazie di Flavio.
35.
Isabella astrologa. 36. La Caccia. 37. La Pazzia
. Il Finto cieco. 34. Le Disgrazie di Flavio. 35. Isabella astrologa.
36.
La Caccia. 37. La Pazzia d’Isabella. 38. Il Ritr
o. 34. Le Disgrazie di Flavio. 35. Isabella astrologa. 36. La Caccia.
37.
La Pazzia d’Isabella. 38. Il Ritratto. 39. Il G
io. 35. Isabella astrologa. 36. La Caccia. 37. La Pazzia d’Isabella.
38.
Il Ritratto. 39. Il Giusto castigo. 40. La Fortu
strologa. 36. La Caccia. 37. La Pazzia d’Isabella. 38. Il Ritratto.
39.
Il Giusto castigo. 40. La Fortunata prencipessa,
. 37. La Pazzia d’Isabella. 38. Il Ritratto. 39. Il Giusto castigo.
40.
La Fortunata prencipessa, tragedia. 41, 42. Gli a
atto. 39. Il Giusto castigo. 40. La Fortunata prencipessa, tragedia.
41,
42. Gli avvenimenti comici, pastorali e tragici,
. 39. Il Giusto castigo. 40. La Fortunata prencipessa, tragedia. 41,
42.
Gli avvenimenti comici, pastorali e tragici, oper
ia. 41, 42. Gli avvenimenti comici, pastorali e tragici, opera mista.
43.
L’Alvida, opera regia. 44. Rosalba incantatrice,
comici, pastorali e tragici, opera mista. 43. L’Alvida, opera regia.
44.
Rosalba incantatrice, opera heroica. 45. L’Innoce
43. L’Alvida, opera regia. 44. Rosalba incantatrice, opera heroica.
45.
L’Innocente Persiana, opera reale. 46, 47, 48. De
a incantatrice, opera heroica. 45. L’Innocente Persiana, opera reale.
46,
47, 48. Dell’Orseida, opera reale, parte I, II, I
cantatrice, opera heroica. 45. L’Innocente Persiana, opera reale. 46,
47,
48. Dell’Orseida, opera reale, parte I, II, III.
atrice, opera heroica. 45. L’Innocente Persiana, opera reale. 46, 47,
48.
Dell’Orseida, opera reale, parte I, II, III. 49.
e Persiana, opera reale. 46, 47, 48. Dell’Orseida, opera reale, parte
I
, II, III. 49. L’Arbore incantato. 50. La Fortuna
ersiana, opera reale. 46, 47, 48. Dell’Orseida, opera reale, parte I,
II
, III. 49. L’Arbore incantato. 50. La Fortuna di F
ana, opera reale. 46, 47, 48. Dell’Orseida, opera reale, parte I, II,
III
. 49. L’Arbore incantato. 50. La Fortuna di Forest
opera reale. 46, 47, 48. Dell’Orseida, opera reale, parte I, II, III.
49.
L’Arbore incantato. 50. La Fortuna di Foresta, pr
Dell’Orseida, opera reale, parte I, II, III. 49. L’Arbore incantato.
50.
La Fortuna di Foresta, prencipessa di Moscou, ope
to. 50. La Fortuna di Foresta, prencipessa di Moscou, opera regia.
II
. — Page 75. La dernière scène du Vecchio gelos
Fortuna di Foresta, prencipessa di Moscou, opera regia. II. — Page
75.
La dernière scène du Vecchio geloso revient su
a sia sua moglie, cosi si fanno le nozze d’Oratio con Isabella. »
III
. — Page 104. L’Emilia de Luigi Groto est une
glie, cosi si fanno le nozze d’Oratio con Isabella. » III. — Page
104.
L’Emilia de Luigi Groto est une imitation de
ne imitation de l’Epidicus. Elle fut publiée pour la première fois en
1579,
et jouit d’une longue réputation. Il en parut une
aise en regard du texte italien, à Paris, chez Matthieu Guillemot, en
1609.
En voici le sujet en quelques mots : Chrisoforo (
ient la femme légitime du vieux Polidoro, ce qui ne fait pas moins de
quatre
mariages au dénouement. Chrisoforo, comme Epidicu
s droits de la morale qu’on a tant accusé Plaute d’avoir méconnus.
IV
. — Page 141. Voici la traduction que M. Ch. Ma
la morale qu’on a tant accusé Plaute d’avoir méconnus. IV. — Page
141.
Voici la traduction que M. Ch. Magnin a faite
IV. — Page 141. Voici la traduction que M. Ch. Magnin a faite des
deux
premiers sonnets du Teatro celeste de Giov.-Batt.
des anges. C’est à la clarté de la lune et du soleil que le poète en
trois
personnes fournit le sujet sublime. Les spectateu
» Le jeu de mots qui termine ce second sonnet est intraduisible.
V.
— Page 170. Nous pouvons donner une idée du ta
de mots qui termine ce second sonnet est intraduisible. V. — Page
170.
Nous pouvons donner une idée du talent poétiqu
ittura è poësia ch’è muta : Merta fede chi parla, e non chi tace.
VI
. — Page 268. EXTRAIT DES COMPTES DE LA COUR, P
ësia ch’è muta : Merta fede chi parla, e non chi tace. VI. — Page
268.
EXTRAIT DES COMPTES DE LA COUR, POUR L’ANNÉE 1
. VI. — Page 268. EXTRAIT DES COMPTES DE LA COUR, POUR L’ANNÉE
1670.
État de la dépense faite pour la comédie-ballet
ues comédies représentées à Versailles pendant ledit mois de novembre
1670.
livres. sous. À Baraillon, tailleur… 5108 »
dit mois de novembre 1670. livres. sous. À Baraillon, tailleur…
5108
» À Fortier, tailleur… 3571 » Au sieur Lulli
livres. sous. À Baraillon, tailleur… 5108 » À Fortier, tailleur…
3571
» Au sieur Lulli et à la demoiselle Hilaire, po
571 » Au sieur Lulli et à la demoiselle Hilaire, pour leurs habits…
900
» Aux comédiens de la troupe du Palais-Royal, p
00 » Aux comédiens de la troupe du Palais-Royal, pour leurs habits…
4400
» À Dufour, pour la fourniture des bas… 1177 »
al, pour leurs habits… 4400 » À Dufour, pour la fourniture des bas…
1177
» À Detienges, pour la fourniture des rubans… 5
rniture des bas… 1177 » À Detienges, pour la fourniture des rubans…
535
» À la veuve Vaignard, pour masques, mannes, ca
a veuve Vaignard, pour masques, mannes, cadenas et autres ustensiles…
1835
» À Ducreux, pour les perruques, barbes, etc.…
res ustensiles… 1835 » À Ducreux, pour les perruques, barbes, etc.…
687
» À Rabache, pour six perruques de crin… 76 »
À Ducreux, pour les perruques, barbes, etc.… 687 » À Rabache, pour
six
perruques de crin… 76 » À Lenoir, plumassier, p
rruques, barbes, etc.… 687 » À Rabache, pour six perruques de crin…
76
» À Lenoir, plumassier, pour les plumes… 603 1
six perruques de crin… 76 » À Lenoir, plumassier, pour les plumes…
603
1 À Blanchard, pour les gants… 89 16 À Brécou
perruques de crin… 76 » À Lenoir, plumassier, pour les plumes… 603
1
À Blanchard, pour les gants… 89 16 À Brécourt
ir, plumassier, pour les plumes… 603 1 À Blanchard, pour les gants…
89
16 À Brécourt65, pour la fourniture des pierrer
plumassier, pour les plumes… 603 1 À Blanchard, pour les gants… 89
16
À Brécourt65, pour la fourniture des pierreries
r les gants… 89 16 À Brécourt65, pour la fourniture des pierreries…
220
» À Balard, imprimeur, pour les livres… 1022 »
rniture des pierreries… 220 » À Balard, imprimeur, pour les livres…
1022
» Pour les escarpins des danseurs… 420 » Pour
imprimeur, pour les livres… 1022 » Pour les escarpins des danseurs…
420
» Pour les logements des danseurs, musiciens et
du ballet de Chambord à Saint-Germain, et pour une nuit à Saint-Dier…
535
10 Pour toutes les nourritures, tant pour le vo
allet de Chambord à Saint-Germain, et pour une nuit à Saint-Dier… 535
10
Pour toutes les nourritures, tant pour le voyag
allet à Saint-Germain, et pour les comédies de l’Hôtel, à Versailles…
7916
10 (Dans lesquelles 7916 liv. 10 s. les comédie
à Saint-Germain, et pour les comédies de l’Hôtel, à Versailles… 7916
10
(Dans lesquelles 7916 liv. 10 s. les comédiens
our les comédies de l’Hôtel, à Versailles… 7916 10 (Dans lesquelles
7916
liv. 10 s. les comédiens du Palais-Royal, pour le
médies de l’Hôtel, à Versailles… 7916 10 (Dans lesquelles 7916 liv.
10
s. les comédiens du Palais-Royal, pour les nourri
voyage de Chambord qu’aux répétitions de Saint-Germain, entrent pour
3442
liv. 10 s.) À Cordier, pour le pain, vin, ver
Chambord qu’aux répétitions de Saint-Germain, entrent pour 3442 liv.
10
s.) À Cordier, pour le pain, vin, verres, boi
À Cordier, pour le pain, vin, verres, bois, viandes et fruits
2355
» Pour la construction du théâtre fait à Cham
héâtre fait à Chambord ; — parties et quittance du sieur de Vigarani…
3075
» Pour toutes les planches, solives, chevrons e
ens, concertants ; pour une galerie pour habiller les danseurs, etc….
1578
2 Pour toutes les serrures à fermer les loges…
concertants ; pour une galerie pour habiller les danseurs, etc…. 1578
2
Pour toutes les serrures à fermer les loges… 70
danseurs, etc…. 1578 2 Pour toutes les serrures à fermer les loges…
70
» À Sauvage, pour la menuiserie faite à Saint-G
es loges… 70 » À Sauvage, pour la menuiserie faite à Saint-Germain…
266
8 À Ducreux, pour fourniture de 80 aunes de toi
oges… 70 » À Sauvage, pour la menuiserie faite à Saint-Germain… 266
8
À Ducreux, pour fourniture de 80 aunes de toile
nuiserie faite à Saint-Germain… 266 8 À Ducreux, pour fourniture de
80
aunes de toile pour boucher les fenêtres des musi
boucher les fenêtres des musiciens, comédiens, etc., et autres frais…
180
3 À Paysan, pour la poudre, pommade, y compris
her les fenêtres des musiciens, comédiens, etc., et autres frais… 180
3
À Paysan, pour la poudre, pommade, y compris se
eines, celles de ses garçons, et les frais de leur voyage à Chambord…
210
» Pour toutes les voitures généralement quelcon
Chambord… 210 » Pour toutes les voitures généralement quelconques…
9008
» Pour trois bannes qui ont servi à couvrir les
» Pour toutes les voitures généralement quelconques… 9008 » Pour
trois
bannes qui ont servi à couvrir les charrettes où
bannes qui ont servi à couvrir les charrettes où étaient les habits…
50
8 Pour tous les Suisses qui ont servi, tant à C
nnes qui ont servi à couvrir les charrettes où étaient les habits… 50
8
Pour tous les Suisses qui ont servi, tant à Cha
, tant à Chambord qu’à Saint-Germain, à garder les portes du théâtre…
153
» Au sieur de Lulli, pour ses copistes, leur en
Lulli, pour ses copistes, leur entretien et nourriture, la somme de…
800
» Pour les ports, rapports et entretiens d’inst
mme de… 800 » Pour les ports, rapports et entretiens d’instruments…
196
» Pour les dessins et peines du sieur Gissez… 4
ns d’instruments… 196 » Pour les dessins et peines du sieur Gissez…
483
» Pour les peines d’avertisseurs, huissiers et
Pour les peines d’avertisseurs, huissiers et autres gens nécessaires…
300
» Aux concierges de Chambord et de Saint-Germai
… 300 » Aux concierges de Chambord et de Saint-Germain, à raison de
100
liv. chacun… 200 » Pour tous les menus frais im
cierges de Chambord et de Saint-Germain, à raison de 100 liv. chacun…
200
» Pour tous les menus frais imprévus, suivant l
Pour tous les menus frais imprévus, suivant le mémoire ci-attaché…
403
» Somme totale du contenu au présent état… 4940
mémoire ci-attaché… 403 » Somme totale du contenu au présent état…
49404
18 Nous, Louis-Marie d’Aumont de Rochebaron, d
re ci-attaché… 403 » Somme totale du contenu au présent état… 49404
18
Nous, Louis-Marie d’Aumont de Rochebaron, duc
nue au présent état, et l’avoir arrêtée pour Sa Majesté à la somme de
quarante-neuf
mille quatre cent quatre livres dix-huit sous.
état, et l’avoir arrêtée pour Sa Majesté à la somme de quarante-neuf
mille
quatre cent quatre livres dix-huit sous. À Pari
et l’avoir arrêtée pour Sa Majesté à la somme de quarante-neuf mille
quatre
cent quatre livres dix-huit sous. À Paris, le……
voir arrêtée pour Sa Majesté à la somme de quarante-neuf mille quatre
cent
quatre livres dix-huit sous. À Paris, le………..fé
arrêtée pour Sa Majesté à la somme de quarante-neuf mille quatre cent
quatre
livres dix-huit sous. À Paris, le………..février
a Majesté à la somme de quarante-neuf mille quatre cent quatre livres
dix-huit
sous. À Paris, le………..février 1671. Signé
quatre cent quatre livres dix-huit sous. À Paris, le………..février
1671.
Signé : le duc d’Aumont. Enregistré au contr
e Sa Majesté, les jour et an de l’autre part. Signé : Boileau.
VII
. — Page 283. Liste des canevas de Dominique a
, les jour et an de l’autre part. Signé : Boileau. VII. — Page
283.
Liste des canevas de Dominique analys2s par G
de l’ancien théâtre italien, et appartenant à la période antérieure à
1668
: 1. Le Dopie gelosie (la Double jalousie). 2. I
cien théâtre italien, et appartenant à la période antérieure à 1668 :
1.
Le Dopie gelosie (la Double jalousie). 2. I Morti
période antérieure à 1668 : 1. Le Dopie gelosie (la Double jalousie).
2.
I Morti vivi (les Morts vivants). Il existait sou
iode antérieure à 1668 : 1. Le Dopie gelosie (la Double jalousie). 2.
I
Morti vivi (les Morts vivants). Il existait sous
ce dernier, Le Mort vivant, fut jouée à l’Hôtel de Bourgogne en avril
1662.
3. La Figlia disubediente (la Fille désobéissante
nier, Le Mort vivant, fut jouée à l’Hôtel de Bourgogne en avril 1662.
3.
La Figlia disubediente (la Fille désobéissante).
ne en avril 1662. 3. La Figlia disubediente (la Fille désobéissante).
4.
Il Basilico di Bernagasso (Bernagasse, ou le Drag
re l’acte, s’empare du bâton et met Bernagasso à la porte à son tour.
5.
I Tre ladri scoperti (les Trois voleurs découvert
l’acte, s’empare du bâton et met Bernagasso à la porte à son tour. 5.
I
Tre ladri scoperti (les Trois voleurs découverts)
et met Bernagasso à la porte à son tour. 5. I Tre ladri scoperti (les
Trois
voleurs découverts). On y remarque le rôle du cap
t plus le même inconvénient, il porte du linge comme tous les autres.
6.
Il Lunatico (le Lunatique). 7. Ohimè il cuore ! (
porte du linge comme tous les autres. 6. Il Lunatico (le Lunatique).
7.
Ohimè il cuore ! (le Cœur me fait mal). 8. Il Bar
l Lunatico (le Lunatique). 7. Ohimè il cuore ! (le Cœur me fait mal).
8.
Il Barone tedesco (le Baron allemand). 9. I Quatt
re ! (le Cœur me fait mal). 8. Il Barone tedesco (le Baron allemand).
9.
I Quattro Arlecchini (les Quatre Arlequins). 10.
! (le Cœur me fait mal). 8. Il Barone tedesco (le Baron allemand). 9.
I
Quattro Arlecchini (les Quatre Arlequins). 10. L
. Il Barone tedesco (le Baron allemand). 9. I Quattro Arlecchini (les
Quatre
Arlequins). 10. La Zerla (la Hotte). 11. Il Medi
(le Baron allemand). 9. I Quattro Arlecchini (les Quatre Arlequins).
10.
La Zerla (la Hotte). 11. Il Medicino volante (le
Quattro Arlecchini (les Quatre Arlequins). 10. La Zerla (la Hotte).
11.
Il Medicino volante (le Médecin volant). 12. I Tr
10. La Zerla (la Hotte). 11. Il Medicino volante (le Médecin volant).
12.
I Tre Finti Turchi (les Trois feints Turcs). 13.
La Zerla (la Hotte). 11. Il Medicino volante (le Médecin volant). 12.
I
Tre Finti Turchi (les Trois feints Turcs). 13. No
Il Medicino volante (le Médecin volant). 12. I Tre Finti Turchi (les
Trois
feints Turcs). 13. Non vuol rivali amore (l’Amour
(le Médecin volant). 12. I Tre Finti Turchi (les Trois feints Turcs).
13.
Non vuol rivali amore (l’Amour ne veut point de r
Turcs). 13. Non vuol rivali amore (l’Amour ne veut point de rivaux).
14.
I Due Arlecchini (les Deux Arlequins). 15. L’Inno
cs). 13. Non vuol rivali amore (l’Amour ne veut point de rivaux). 14.
I
Due Arlecchini (les Deux Arlequins). 15. L’Innoce
li amore (l’Amour ne veut point de rivaux). 14. I Due Arlecchini (les
Deux
Arlequins). 15. L’Innocente travagliata (l’Innoce
ne veut point de rivaux). 14. I Due Arlecchini (les Deux Arlequins).
15.
L’Innocente travagliata (l’Innocente persécutée).
eux Arlequins). 15. L’Innocente travagliata (l’Innocente persécutée).
16.
I Tappeti (les Tapis). 17. Le Case svaligiate (le
Arlequins). 15. L’Innocente travagliata (l’Innocente persécutée). 16.
I
Tappeti (les Tapis). 17. Le Case svaligiate (les
ente travagliata (l’Innocente persécutée). 16. I Tappeti (les Tapis).
17.
Le Case svaligiate (les Maisons dévalisées). 18.
Tappeti (les Tapis). 17. Le Case svaligiate (les Maisons dévalisées).
18.
Il Convitato di pietra (le Convive de pierre). 19
isons dévalisées). 18. Il Convitato di pietra (le Convive de pierre).
19.
Arlecchino creduto principe (Arlequin cru prince)
ve de pierre). 19. Arlecchino creduto principe (Arlequin cru prince).
20.
Arlecchino ladro, sbirro e giudice (Arlequin larr
Arlecchino ladro, sbirro e giudice (Arlequin larron, prévôt et juge).
21.
L’Impegno d’un acaso (les Engagements du hasard),
roire ce qu’on voit, où Douville a pris le sujet des Fausses Vérités.
22.
Il Servo-padrone (le Maître-valet). C’est la même
’est la même intrigue que celle de la pièce de Scarron. À partir de
1668,
nous voyons les pièces suivantes composées en Fra
artir de 1668, nous voyons les pièces suivantes composées en France :
1.
Il Regallo delle Damme (le Régal des Dames), 2 ma
composées en France : 1. Il Regallo delle Damme (le Régal des Dames),
2
mai 1668. 2. Il Teatro senza commedie (le Théâtre
ées en France : 1. Il Regallo delle Damme (le Régal des Dames), 2 mai
1668.
2. Il Teatro senza commedie (le Théâtre sans comé
France : 1. Il Regallo delle Damme (le Régal des Dames), 2 mai 1668.
2.
Il Teatro senza commedie (le Théâtre sans comédie
Teatro senza commedie (le Théâtre sans comédie), par Cintio, juillet
1668.
3. Il Remedio à tutti mali (le Remède à tous mau
senza commedie (le Théâtre sans comédie), par Cintio, juillet 1668.
3.
Il Remedio à tutti mali (le Remède à tous maux),
l Remedio à tutti mali (le Remède à tous maux), par Cintio, septembre
1668.
On y remarque la chanson à boire, ayant pour refr
en Ton grand varre, Piarre, Contre le mien !
4.
Le Metamorfosi d’Arlecchino (les Métamorphoses d’
morfosi d’Arlecchino (les Métamorphoses d’Arlequin), par Cintio, mars
1669.
5. Il Soldato per vendetta, o Arlecchino soldato
i d’Arlecchino (les Métamorphoses d’Arlequin), par Cintio, mars 1669.
5.
Il Soldato per vendetta, o Arlecchino soldato in
(Soldat par vengeance, ou Arlequin soldat en Candie), par Cintio, mai
1669.
6. Il Mondo alla roversa (le Monde renversé), pro
t par vengeance, ou Arlequin soldat en Candie), par Cintio, mai 1669.
6.
Il Mondo alla roversa (le Monde renversé), probab
ndo alla roversa (le Monde renversé), probablement de Cintio, juillet
1669.
On peut comparer ce canevas avec Crispin rival de
eut comparer ce canevas avec Crispin rival de son maître, de Le Sage.
7.
Il gentilhuomo campagnard, du Docteur Lolli, janv
, de Le Sage. 7. Il gentilhuomo campagnard, du Docteur Lolli, janvier
1670.
8. Arlecchino spirito folleto (Arlequin esprit fo
e Sage. 7. Il gentilhuomo campagnard, du Docteur Lolli, janvier 1670.
8.
Arlecchino spirito folleto (Arlequin esprit folle
Arlecchino spirito folleto (Arlequin esprit follet), par Cintio, mars
1670.
9. Le Collier de perles, par M. Girardin, juillet
hino spirito folleto (Arlequin esprit follet), par Cintio, mars 1670.
9.
Le Collier de perles, par M. Girardin, juillet 16
Cintio, mars 1670. 9. Le Collier de perles, par M. Girardin, juillet
1672.
10. Arlecchino creato re per ventura (Arlequin ro
o, mars 1670. 9. Le Collier de perles, par M. Girardin, juillet 1672.
10.
Arlecchino creato re per ventura (Arlequin roi pa
Arlecchino creato re per ventura (Arlequin roi par hasard), novembre
1672.
On y apercevrait aujourd’hui des intentions satir
rait aujourd’hui des intentions satiriques passablement audacieuses.
11.
Agiunta al Convitato di pietra (Adjonctions ou Ad
to di pietra (Adjonctions ou Additions au Convive de pierre), février
1673.
C’est dans cette pièce que le gagiste Giraton cré
gagiste Giraton créa le rôle de Pierrot, dont il resta en possession.
12.
Arlequin soldat et bagage, juillet 1673. Il y a u
, dont il resta en possession. 12. Arlequin soldat et bagage, juillet
1673.
Il y a une grossière rédaction de cette pièce en
te pièce en vers français dans le Supplément du Théâtre italien, tome
II
, Bruxelles, 1697. 13. Le Baron de Fœneste, 10 jan
s français dans le Supplément du Théâtre italien, tome II, Bruxelles,
1697.
13. Le Baron de Fœneste, 10 janvier 1674. 14. Le
çais dans le Supplément du Théâtre italien, tome II, Bruxelles, 1697.
13.
Le Baron de Fœneste, 10 janvier 1674. 14. Le Trio
u Théâtre italien, tome II, Bruxelles, 1697. 13. Le Baron de Fœneste,
10
janvier 1674. 14. Le Triomphe de la médecine, 14
talien, tome II, Bruxelles, 1697. 13. Le Baron de Fœneste, 10 janvier
1674.
14. Le Triomphe de la médecine, 14 mai 1674. 15.
, tome II, Bruxelles, 1697. 13. Le Baron de Fœneste, 10 janvier 1674.
14.
Le Triomphe de la médecine, 14 mai 1674. 15. À fo
Le Baron de Fœneste, 10 janvier 1674. 14. Le Triomphe de la médecine,
14
mai 1674. 15. À fourbe, fourbe et demi, de Cintio
n de Fœneste, 10 janvier 1674. 14. Le Triomphe de la médecine, 14 mai
1674.
15. À fourbe, fourbe et demi, de Cintio, 18 octob
œneste, 10 janvier 1674. 14. Le Triomphe de la médecine, 14 mai 1674.
15.
À fourbe, fourbe et demi, de Cintio, 18 octobre 1
de la médecine, 14 mai 1674. 15. À fourbe, fourbe et demi, de Cintio,
18
octobre 1674. Voici maintenant un certain, nomb
ine, 14 mai 1674. 15. À fourbe, fourbe et demi, de Cintio, 18 octobre
1674.
Voici maintenant un certain, nombre de canevas
où commence le Recueil de Gherardi. La Propreté ridicule, en juillet
1678.
La Magie naturelle, ou la Magie sans magie, en d
uillet 1678. La Magie naturelle, ou la Magie sans magie, en décembre
1678.
Le Combat à cheval, comédie italienne, représent
Le Combat à cheval, comédie italienne, représentée à Fontainebleau le
18
mai 1680. Eularia, muette par amour, représentée
at à cheval, comédie italienne, représentée à Fontainebleau le 18 mai
1680.
Eularia, muette par amour, représentée le 29 mai
tainebleau le 18 mai 1680. Eularia, muette par amour, représentée le
29
mai de la même année. Les Quatre Scaramouches, r
laria, muette par amour, représentée le 29 mai de la même année. Les
Quatre
Scaramouches, représentée le 11 juin. C’était, sa
le 29 mai de la même année. Les Quatre Scaramouches, représentée le
11
juin. C’était, sans doute, le pendant de la pièce
présentée le 11 juin. C’était, sans doute, le pendant de la pièce des
Quatre
Arlequins, dont nous avons déjà parlé. Le Deuil
ont nous avons déjà parlé. Le Deuil de Scaramouche et d’Arlequin, le
21
juin. La Jalousie de Scaramouche et d’Arlequin,
d’Arlequin, le 21 juin. La Jalousie de Scaramouche et d’Arlequin, le
20
du même mois. Les Juifs de Babylone, représentés
’Arlequin, le 20 du même mois. Les Juifs de Babylone, représentés le
1er
juillet. Arlequin, soldat déserteur, le 20 juill
Babylone, représentés le 1er juillet. Arlequin, soldat déserteur, le
20
juillet66. Arlequin, vendangeur, en décembre 168
soldat déserteur, le 20 juillet66. Arlequin, vendangeur, en décembre
1681.
Arlequin, valet étourdi, représenté à Saint-Germ
1681. Arlequin, valet étourdi, représenté à Saint-Germain-en-Laye le
2
avril 1682. Arlequin, dogue d’Angleterre, le 7 a
rlequin, valet étourdi, représenté à Saint-Germain-en-Laye le 2 avril
1682.
Arlequin, dogue d’Angleterre, le 7 avril. La Ma
nt-Germain-en-Laye le 2 avril 1682. Arlequin, dogue d’Angleterre, le
7
avril. La Maladie de Spezzafer, le 1er mai. Arl
rlequin, dogue d’Angleterre, le 7 avril. La Maladie de Spezzafer, le
1er
mai. Arlequin tombé dans le puits, le 15 juin.
a Maladie de Spezzafer, le 1er mai. Arlequin tombé dans le puits, le
15
juin. Le Deuil d’Arlequin, le 21 juin. Arlequin
. Arlequin tombé dans le puits, le 15 juin. Le Deuil d’Arlequin, le
21
juin. Arlequin, juif, peintre et tailleur, le 24
euil d’Arlequin, le 21 juin. Arlequin, juif, peintre et tailleur, le
24
juin. Arlequin, cabaretier, turc et capitaine es
uin. Arlequin, cabaretier, turc et capitaine espagnol, représenté le
30
juin67. On peut constater, d’après les états de
française, quand il n’y en eut plus qu’une à partir du mois d’octobre
1680.
Le Recueil de Gherardi commence par le Mercure ga
Gherardi commence par le Mercure galant, de Fatouville, à la date du
22
janvier de l’année 1682, et finit avec Les Fées,
le Mercure galant, de Fatouville, à la date du 22 janvier de l’année
1682,
et finit avec Les Fées, de Dufresny et Biancolell
l’année 1682, et finit avec Les Fées, de Dufresny et Biancolelli, au
2
mars 1697. C’est là ce qui constitue le répertoir
e 1682, et finit avec Les Fées, de Dufresny et Biancolelli, au 2 mars
1697.
C’est là ce qui constitue le répertoire authentiq
signation en fait probablement remonter l’origine avant la clôture de
1697
; mais n’a rien que d’indéterminé en ce qui pourr
uelques-unes de celles que nous venons d’énumérer en dernier lieu.
VIII
. — Page 337. Ce qu’on a dit relativement à La
de celles que nous venons d’énumérer en dernier lieu. VIII. — Page
337.
Ce qu’on a dit relativement à La Fausse Prude
Konigstein. Pour avoir joué cette dangereuse comédie, Mezzetin resta
vingt
ans en prison. Au bout de ce temps, une autre dam
i qui n’est que plaisant et spirituel : il appartient à la période de
1683
à 1697, où Mezzetin jouait à Paris ; il est ainsi
’est que plaisant et spirituel : il appartient à la période de 1683 à
1697,
où Mezzetin jouait à Paris ; il est ainsi raconté
uva le valet de chambre, qui se montra encore plus inflexible que les
deux
autres, et ne se relâcha que difficilement à la p
é de vous présenter, et pour laquelle je vous prie de me faire donner
cent
coups de bâton.” Cette demande singulière étonna
me donner.” « Le duc fit une sévère réprimande à ses gens, et envoya
cent
louis à la femme de Mezzetin, qui n’avait rien pr
oya cent louis à la femme de Mezzetin, qui n’avait rien promis. »
64.
Il y eut quatre représentations à Chambord et tro
s à la femme de Mezzetin, qui n’avait rien promis. » 64. Il y eut
quatre
représentations à Chambord et trois à Saint-Germa
rien promis. » 64. Il y eut quatre représentations à Chambord et
trois
à Saint-Germain. Voyez notre édition des Œuvres d
rois à Saint-Germain. Voyez notre édition des Œuvres de Molière, tome
VI
, page 112. 65. Brécourt, alors acteur à l’Hôtel
int-Germain. Voyez notre édition des Œuvres de Molière, tome VI, page
112.
65. Brécourt, alors acteur à l’Hôtel de Bourgogn
rmain. Voyez notre édition des Œuvres de Molière, tome VI, page 112.
65.
Brécourt, alors acteur à l’Hôtel de Bourgogne, av
la fourniture des pierreries à toutes les troupes jouant à la cour.
66.
Comptes de la cour, pour l’année 1680. 67. Compt
s les troupes jouant à la cour. 66. Comptes de la cour, pour l’année
1680.
67. Comptes de la cour, pour l’année 1682.
roupes jouant à la cour. 66. Comptes de la cour, pour l’année 1680.
67.
Comptes de la cour, pour l’année 1682.
de la cour, pour l’année 1680. 67. Comptes de la cour, pour l’année
1682.
CHAPITRE
V.
L’Éducation des Femmes. S’il manque quelque ch
ière, ils savent aujourd’hui, aussi bien que ceux qui vivaient il y a
deux
cents ans, ce qu’on entend par préciosité. Mais i
ils savent aujourd’hui, aussi bien que ceux qui vivaient il y a deux
cents
ans, ce qu’on entend par préciosité. Mais il n’es
vraiment, l’esprit et les lettres étaient à leur place ; « et là, en
1659,
on applaudissait aux Précieuses ridicules, par le
t une galanterie honnête dans le sens qu’on donne au mot galant homme
282
; » c’était, en un mot, l’Académie française, ave
es se gâter elles-mêmes par cette mode prétentieuse. Aussi, après les
deux
longues comédies d’intrigue de l’Etourdi et du Dé
épréciait alors toutes ses autres qualités. L’intrigue des Précieuses
285
est nulle : toute la comédie n’est qu’une scène o
des Précieuses 285 est nulle : toute la comédie n’est qu’une scène où
deux
valets du grand monde, sous les habits de leurs m
, sous les habits de leurs maîtres, viennent flatter la préciosité de
deux
petites bourgeoises infectées de la maladie régna
si justement indigné des pommades, du lait virginal et du haut style
286
! Mais, sans doute, empêcher les femmes d’être c
ir vu l’École des Femmes, et qui pousse la pudeur jusqu’à l’obscénité
289
: « cette personne qui est précieuse depuis les p
e déhanche si bien, et se fait tant prier pour lever un peu sa coiffe
291
! Et cette servante précieuse, « qui se mêle de t
ents, la Comtesse d’Escarbagnas. Celle-ci ne peut s’asseoir sans dire
dix
fois : Ah ! madame, depuis qu’elle a été deux moi
peut s’asseoir sans dire dix fois : Ah ! madame, depuis qu’elle a été
deux
mois à Paris294 ; sa bonne, son marmiton et son c
écuyer ; son armoire, une garde-robe, et son grenier, un garde-meuble
295
; « le petit voyage qu’elle a fait à Paris l’a ra
lui faut un M. Tibaudier et un M. Harpin pour lui offrir des vers de
quinze
syllabes et des poires de bon chrétien, pour joue
hrétien, pour jouer tour à tour l’amant langoureux et l’amant emporté
297
; le beau style lui a si bien tourné la tête qu’e
sait plus parler français, excepté quand le naturel revient au galop
298
avec son vocabulaire trop peu précieux 299. Enf
e naturel revient au galop 298 avec son vocabulaire trop peu précieux
299.
Enfin, non contentes d’être renchéries, maniéré
rès avoir jour la précieuse ridicule, il osa jouer la vraie précieuse
302.
Puis, à côté de cette peinture faite de verve, il
impérissable comme le pauvre homme de Tartuffe et la galère de Scapin
309.
Non content d’opposer aux habitudes des femmes du
femmes du temps les mœurs trop simples des femmes du bon vieux temps
310
; non content de mettre en action les ridicules d
me il s’est moqué des femmes à toilette dans les Précieuses ridicules
319
et dans la Comtesse d’Escarbagnas 320, et comme e
e dans les Précieuses ridicules 319 et dans la Comtesse d’Escarbagnas
320,
et comme en même temps il a compris et apprécié l
e les mots fameux de la tarte a la crème et des enfants par l’oreille
333
; les pudibonds se sont indignés de la scène où l
penser une obscénité, à propos du bout de ruban que lui a pris Horace
334.
Non, ce n’était pas trop de cette triviale énergi
oileau dans les Stances qu’il envoyait à Molière pour ses étrennes de
1663,
quatre jours après la première représentation336
dans les Stances qu’il envoyait à Molière pour ses étrennes de 1663,
quatre
jours après la première représentation336 : En v
de 1663, quatre jours après la première représentation336 : En vain
mille
jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censur
ujours cette contrainte coupable imposée à la personne et à l’âme ?
281.
Voir la Préface des Précieuses ridicules. 282.
sonne et à l’âme ? 281. Voir la Préface des Précieuses ridicules.
282.
A. Constantin, Dictionnaire de biographie et d’hi
ographie et d’histoire de Dezobry et Bachelet, article Rambouillet.
283.
Voir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouv
ir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
I
. 284. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée
. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I.
284.
Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée I. 285
es ouvrages de Molière, liv. I. 284. Le Bourgeois gentilhomme, act.
V
, entrée I. 285. 1659. 286. Les Précieuses r
s de Molière, liv. I. 284. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée
I
. 285. 1659. 286. Les Précieuses ridicules,
Molière, liv. I. 284. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée I.
285.
1659. 286. Les Précieuses ridicules, sc. III
ère, liv. I. 284. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée I. 285.
1659.
286. Les Précieuses ridicules, sc. III, IV,
. I. 284. Le Bourgeois gentilhomme, act. V, entrée I. 285. 1659.
286.
Les Précieuses ridicules, sc. III, IV, V. Voir
act. V, entrée I. 285. 1659. 286. Les Précieuses ridicules, sc.
III
, IV, V. Voir D. Nisard, Histoire de la Littératur
V, entrée I. 285. 1659. 286. Les Précieuses ridicules, sc. III,
IV
, V. Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature fr
ntrée I. 285. 1659. 286. Les Précieuses ridicules, sc. III, IV,
V.
Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature frança
285. 1659. 286. Les Précieuses ridicules, sc. III, IV, V. Voir
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
II, IV, V. Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
III
, chap. IX, g 2, et J. Taschereau, Histoire de la
Voir D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap.
IX
, g 2, et J. Taschereau, Histoire de la vie et des
. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX, g
2,
et J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvra
et J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
I
. Voir aussi le Ménagiana, 1715, tome II, p. 65. —
e la vie et des ouvrages de Molière, liv. I. Voir aussi le Ménagiana,
1715,
tome II, p. 65. — Il résulte de la Lettre de Lore
des ouvrages de Molière, liv. I. Voir aussi le Ménagiana, 1715, tome
II
, p. 65. — Il résulte de la Lettre de Loret du 6 d
énagiana, 1715, tome II, p. 65. — Il résulte de la Lettre de Loret du
6
décembre 1659 que les Précieuses curent un très-g
715, tome II, p. 65. — Il résulte de la Lettre de Loret du 6 décembre
1659
que les Précieuses curent un très-grand succès :
les Précieuses curent un très-grand succès : Pour moi, j’y portai
trente
sous : Mais, oyant leurs fines paroles. J’e
e sous : Mais, oyant leurs fines paroles. J’en ris pour plus de
dix
pistoles. 287. Voir sur les médecins, plus hau
oyant leurs fines paroles. J’en ris pour plus de dix pistoles.
287.
Voir sur les médecins, plus haut, chap. III, p. 5
plus de dix pistoles. 287. Voir sur les médecins, plus haut, chap.
III
, p. 59. 288. Les Fâcheux (1661), act. II, sc. I
istoles. 287. Voir sur les médecins, plus haut, chap. III, p. 59.
288.
Les Fâcheux (1661), act. II, sc. IV. 289. La C
ir sur les médecins, plus haut, chap. III, p. 59. 288. Les Fâcheux (
1661
), act. II, sc. IV. 289. La Critique de l’École
édecins, plus haut, chap. III, p. 59. 288. Les Fâcheux (1661), act.
II
, sc. IV. 289. La Critique de l’École des Femmes
plus haut, chap. III, p. 59. 288. Les Fâcheux (1661), act. II, sc.
IV
. 289. La Critique de l’École des Femmes (1663)
haut, chap. III, p. 59. 288. Les Fâcheux (1661), act. II, sc. IV.
289.
La Critique de l’École des Femmes (1663) sc. I,
ux (1661), act. II, sc. IV. 289. La Critique de l’École des Femmes (
1663
) sc. I, II, III, VII. 290. La Critique de l’Éco
act. II, sc. IV. 289. La Critique de l’École des Femmes (1663) sc.
I
, II, III, VII. 290. La Critique de l’École des
t. II, sc. IV. 289. La Critique de l’École des Femmes (1663) sc. I,
II
, III, VII. 290. La Critique de l’École des Femm
I, sc. IV. 289. La Critique de l’École des Femmes (1663) sc. I, II,
III
, VII. 290. La Critique de l’École des Femmes, s
. IV. 289. La Critique de l’École des Femmes (1663) sc. I, II, III,
VII
. 290. La Critique de l’École des Femmes, sc. II
289. La Critique de l’École des Femmes (1663) sc. I, II, III, VII.
290.
La Critique de l’École des Femmes, sc. II. 291.
3) sc. I, II, III, VII. 290. La Critique de l’École des Femmes, sc.
II
. 291. L’lmpromptu de Versailles (1663) ; sc. II
. I, II, III, VII. 290. La Critique de l’École des Femmes, sc. II.
291.
L’lmpromptu de Versailles (1663) ; sc. III. 292
ique de l’École des Femmes, sc. II. 291. L’lmpromptu de Versailles (
1663
) ; sc. III. 292. Id., sc. I. 293. « L’air pré
ole des Femmes, sc. II. 291. L’lmpromptu de Versailles (1663) ; sc.
III
. 292. Id., sc. I. 293. « L’air précieux n’a p
s Femmes, sc. II. 291. L’lmpromptu de Versailles (1663) ; sc. III.
292.
Id., sc. I. 293. « L’air précieux n’a pas seul
I. 291. L’lmpromptu de Versailles (1663) ; sc. III. 292. Id., sc.
I
. 293. « L’air précieux n’a pas seulement infect
291. L’lmpromptu de Versailles (1663) ; sc. III. 292. Id., sc. I.
293.
« L’air précieux n’a pas seulement infecté Paris
est aussi répandu dans les provinces. » Les Précieuses ridicules, sc.
I
. 294. La Comtesse d’Escarbagnas(1671), sc. VII,
aussi répandu dans les provinces. » Les Précieuses ridicules, sc. I.
294.
La Comtesse d’Escarbagnas(1671), sc. VII, XI. 2
. » Les Précieuses ridicules, sc. I. 294. La Comtesse d’Escarbagnas(
1671
), sc. VII, XI. 295. Id., sc. III, V, VI, XII.
cieuses ridicules, sc. I. 294. La Comtesse d’Escarbagnas(1671), sc.
VII
, XI. 295. Id., sc. III, V, VI, XII. 296. La C
es ridicules, sc. I. 294. La Comtesse d’Escarbagnas(1671), sc. VII,
XI
. 295. Id., sc. III, V, VI, XII. 296. La Comte
dicules, sc. I. 294. La Comtesse d’Escarbagnas(1671), sc. VII, XI.
295.
Id., sc. III, V, VI, XII. 296. La Comtesse d’E
294. La Comtesse d’Escarbagnas(1671), sc. VII, XI. 295. Id., sc.
III
, V, VI, XII. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc
. La Comtesse d’Escarbagnas(1671), sc. VII, XI. 295. Id., sc. III,
V
, VI, XII. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. I
La Comtesse d’Escarbagnas(1671), sc. VII, XI. 295. Id., sc. III, V,
VI
, XII. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. I. 2
omtesse d’Escarbagnas(1671), sc. VII, XI. 295. Id., sc. III, V, VI,
XII
. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. I. 297.
e d’Escarbagnas(1671), sc. VII, XI. 295. Id., sc. III, V, VI, XII.
296.
La Comtesse d’Escarbagnas, sc. I. 297. Id, sc.
295. Id., sc. III, V, VI, XII. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc.
I
. 297. Id, sc. XV, XXI. 298. Chassez le na
Id., sc. III, V, VI, XII. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. I.
297.
Id, sc. XV, XXI. 298. Chassez le naturel,
, V, VI, XII. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. I. 297. Id, sc.
XV
, XXI. 298. Chassez le naturel, il revient a
VI, XII. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. I. 297. Id, sc. XV,
XXI
. 298. Chassez le naturel, il revient an gal
II. 296. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. I. 297. Id, sc. XV, XXI.
298.
Chassez le naturel, il revient an galop.
ez le naturel, il revient an galop. Destouches, le Glorieux, act.
III
, sc. V. 299. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. II
urel, il revient an galop. Destouches, le Glorieux, act. III, sc.
V.
299. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. III-VI,, V
il revient an galop. Destouches, le Glorieux, act. III, sc. V.
299.
La Comtesse d’Escarbagnas, sc. III-VI,, VIII, X.
eux, act. III, sc. V. 299. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. III-VI,,
VIII
, X. 300. Là du faux bel esprit se tiennent
ct. III, sc. V. 299. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. III-VI,, VIII,
X.
300. Là du faux bel esprit se tiennent les
III, sc. V. 299. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. III-VI,, VIII, X.
300.
Là du faux bel esprit se tiennent les bureau
Boileau, Satire
X
, v. 447. 301. Qui s’offrira d’abord ? Bon,
Boileau, Satire X, v.
447.
301. Qui s’offrira d’abord ? Bon, c’est ce
Boileau, Satire X, v. 447.
301.
Qui s’offrira d’abord ? Bon, c’est cette sav
yon Il faut chez du Verney voir la dissection. Boileau, Satire
X
, v. 425. — Boileau, qui n’acheva cette satire qu’
Il faut chez du Verney voir la dissection. Boileau, Satire X, v.
425.
— Boileau, qui n’acheva cette satire qu’en 1693,
Boileau, Satire X, v. 425. — Boileau, qui n’acheva cette satire qu’en
1693,
emprunta plus d’un trait à Molière, particulièrem
ble héritière Maintient encore ici leur secte façonnière, etc. (v.
438
). Voir la suite à la note précédente. Remarqu
e. Remarquez encore que la dissection est prise du Malade imaginaire (
1673
), act. II, sc. VI. 302. Les Femmes savantes (1
encore que la dissection est prise du Malade imaginaire (1673), act.
II
, sc. VI. 302. Les Femmes savantes (1672). Si B
que la dissection est prise du Malade imaginaire (1673), act. II, sc.
VI
. 302. Les Femmes savantes (1672). Si Bélise es
dissection est prise du Malade imaginaire (1673), act. II, sc. VI.
302.
Les Femmes savantes (1672). Si Bélise est une pr
lade imaginaire (1673), act. II, sc. VI. 302. Les Femmes savantes (
1672
). Si Bélise est une précieuse ridicule, Philamint
. Voir la très-spirituelle réponse de F. Génin, Vie de Molière, chap.
X.
303. Les Femmes savantes, act. Il, sc. V- VIII
ir la très-spirituelle réponse de F. Génin, Vie de Molière, chap. X.
303.
Les Femmes savantes, act. Il, sc. V- VIII ; act.
ère, chap. X. 303. Les Femmes savantes, act. Il, sc. V- VIII ; act.
III
, sc. VI ; act. V, sc. III, Philaminte. 304. Id
. X. 303. Les Femmes savantes, act. Il, sc. V- VIII ; act. III, sc.
VI
; act. V, sc. III, Philaminte. 304. Id., act.
Les Femmes savantes, act. Il, sc. V- VIII ; act. III, sc. VI ; act.
V
, sc. III, Philaminte. 304. Id., act. I, sc. IV
emmes savantes, act. Il, sc. V- VIII ; act. III, sc. VI ; act. V, sc.
III
, Philaminte. 304. Id., act. I, sc. IV ; act. I
. Il, sc. V- VIII ; act. III, sc. VI ; act. V, sc. III, Philaminte.
304.
Id., act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, act. V,
I ; act. III, sc. VI ; act. V, sc. III, Philaminte. 304. Id., act.
I
, sc. IV ; act. II, sc. III, act. V, sc. III, VI,
. III, sc. VI ; act. V, sc. III, Philaminte. 304. Id., act. I, sc.
IV
; act. II, sc. III, act. V, sc. III, VI, Bélise.
VI ; act. V, sc. III, Philaminte. 304. Id., act. I, sc. IV ; act.
II
, sc. III, act. V, sc. III, VI, Bélise. 305. Id
t. V, sc. III, Philaminte. 304. Id., act. I, sc. IV ; act. II, sc.
III
, act. V, sc. III, VI, Bélise. 305. Id., act. I
III, Philaminte. 304. Id., act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, act.
V
, sc. III, VI, Bélise. 305. Id., act. I, sc. i,
ilaminte. 304. Id., act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, act. V, sc.
III
, VI, Bélise. 305. Id., act. I, sc. i, II ; act
nte. 304. Id., act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, act. V, sc. III,
VI
, Bélise. 305. Id., act. I, sc. i, II ; act. II
d., act. I, sc. IV ; act. II, sc. III, act. V, sc. III, VI, Bélise.
305.
Id., act. I, sc. i, II ; act. III, sc. VII, VIII
IV ; act. II, sc. III, act. V, sc. III, VI, Bélise. 305. Id., act.
I
, sc. i, II ; act. III, sc. VII, VIII ; act. IV, s
II, sc. III, act. V, sc. III, VI, Bélise. 305. Id., act. I, sc. i,
II
; act. III, sc. VII, VIII ; act. IV, sc. I, II, A
I, act. V, sc. III, VI, Bélise. 305. Id., act. I, sc. i, II ; act.
III
, sc. VII, VIII ; act. IV, sc. I, II, Armande. 3
, sc. III, VI, Bélise. 305. Id., act. I, sc. i, II ; act. III, sc.
VII
, VIII ; act. IV, sc. I, II, Armande. 306. Id.,
III, VI, Bélise. 305. Id., act. I, sc. i, II ; act. III, sc. VII,
VIII
; act. IV, sc. I, II, Armande. 306. Id., act.
lise. 305. Id., act. I, sc. i, II ; act. III, sc. VII, VIII ; act.
IV
, sc. I, II, Armande. 306. Id., act. III, sc. V
305. Id., act. I, sc. i, II ; act. III, sc. VII, VIII ; act. IV, sc.
I
, II, Armande. 306. Id., act. III, sc. VI ; act
. Id., act. I, sc. i, II ; act. III, sc. VII, VIII ; act. IV, sc. I,
II
, Armande. 306. Id., act. III, sc. VI ; act. IV
sc. i, II ; act. III, sc. VII, VIII ; act. IV, sc. I, II, Armande.
306.
Id., act. III, sc. VI ; act. IV, sc. IV ; act. V
. III, sc. VII, VIII ; act. IV, sc. I, II, Armande. 306. Id., act.
III
, sc. VI ; act. IV, sc. IV ; act. V, sc. I, III, H
. VII, VIII ; act. IV, sc. I, II, Armande. 306. Id., act. III, sc.
VI
; act. IV, sc. IV ; act. V, sc. I, III, Henriette
I ; act. IV, sc. I, II, Armande. 306. Id., act. III, sc. VI ; act.
IV
, sc. IV ; act. V, sc. I, III, Henriette. 307.
IV, sc. I, II, Armande. 306. Id., act. III, sc. VI ; act. IV, sc.
IV
; act. V, sc. I, III, Henriette. 307. Id., act
, II, Armande. 306. Id., act. III, sc. VI ; act. IV, sc. IV ; act.
V
, sc. I, III, Henriette. 307. Id., act. II, sc.
rmande. 306. Id., act. III, sc. VI ; act. IV, sc. IV ; act. V, sc.
I
, III, Henriette. 307. Id., act. II, sc. V-VIII
nde. 306. Id., act. III, sc. VI ; act. IV, sc. IV ; act. V, sc. I,
III
, Henriette. 307. Id., act. II, sc. V-VIII, Mar
act. III, sc. VI ; act. IV, sc. IV ; act. V, sc. I, III, Henriette.
307.
Id., act. II, sc. V-VIII, Martine. 308. Id.,
; act. IV, sc. IV ; act. V, sc. I, III, Henriette. 307. Id., act.
II
, sc. V-VIII, Martine. 308. Id., act. II, sc. V
, sc. I, III, Henriette. 307. Id., act. II, sc. V-VIII, Martine.
308.
Id., act. II, sc. VI, VII, IX ; act. V, sc. II,
nriette. 307. Id., act. II, sc. V-VIII, Martine. 308. Id., act.
II
, sc. VI, VII, IX ; act. V, sc. II, III, Chrysale.
307. Id., act. II, sc. V-VIII, Martine. 308. Id., act. II, sc.
VI
, VII, IX ; act. V, sc. II, III, Chrysale. 309.
07. Id., act. II, sc. V-VIII, Martine. 308. Id., act. II, sc. VI,
VII
, IX ; act. V, sc. II, III, Chrysale. 309. « Ce
Id., act. II, sc. V-VIII, Martine. 308. Id., act. II, sc. VI, VII,
IX
; act. V, sc. II, III, Chrysale. 309. « Ces co
II, sc. V-VIII, Martine. 308. Id., act. II, sc. VI, VII, IX ; act.
V
, sc. II, III, Chrysale. 309. « Ces comédies fi
V-VIII, Martine. 308. Id., act. II, sc. VI, VII, IX ; act. V, sc.
II
, III, Chrysale. 309. « Ces comédies firent tan
III, Martine. 308. Id., act. II, sc. VI, VII, IX ; act. V, sc. II,
III
, Chrysale. 309. « Ces comédies firent tant de
08. Id., act. II, sc. VI, VII, IX ; act. V, sc. II, III, Chrysale.
309.
« Ces comédies firent tant de honte aux dames qu
bel esprit, que toute la nation des précieuses s’éteignit en moins de
quinze
jours, ou du moins elles se déguisèrent si bien l
nt paru en France pendant le dix-septième siècle, article Molière.
310.
Les Femmes savantes, act. II, sc. VII, Chrysal
eptième siècle, article Molière. 310. Les Femmes savantes, act.
II
, sc. VII, Chrysale : Nos pères sur ce point é
siècle, article Molière. 310. Les Femmes savantes, act. II, sc.
VII
, Chrysale : Nos pères sur ce point étoient ge
rysale : Nos pères sur ce point étoient gens bien sensés, etc.
311.
Id., act. III. 312. Les Femmes savantes, act.
pères sur ce point étoient gens bien sensés, etc. 311. Id., act.
III
. 312. Les Femmes savantes, act. I, sc. I - Le p
sur ce point étoient gens bien sensés, etc. 311. Id., act. III.
312.
Les Femmes savantes, act. I, sc. I - Le principe
sensés, etc. 311. Id., act. III. 312. Les Femmes savantes, act.
I
, sc. I - Le principe que la femme est faite pour
etc. 311. Id., act. III. 312. Les Femmes savantes, act. I, sc.
I
- Le principe que la femme est faite pour être ép
a belle galanterie queia leur ! Quoi ! débuter d’abord par le mariage
1
— Gorgibus : Et par oùveux-tu donc qu’ils débuten
: Et par oùveux-tu donc qu’ils débutent ? Par le concubinage ? » (sc.
V.
) C’est le même bon sens qui cric par la bouche de
r de marier sa fille : « Un mari ! Un mari ! » (L’Amour médecin, act.
I
, sc. III). 313. Les femmes savantes, act. II, s
rier sa fille : « Un mari ! Un mari ! » (L’Amour médecin, act. I, sc.
III
). 313. Les femmes savantes, act. II, sc. VII.
fille : « Un mari ! Un mari ! » (L’Amour médecin, act. I, sc. III).
313.
Les femmes savantes, act. II, sc. VII. 314. Id
(L’Amour médecin, act. I, sc. III). 313. Les femmes savantes, act.
II
, sc. VII. 314. Id., act. I, sc. III. 315. Les
r médecin, act. I, sc. III). 313. Les femmes savantes, act. II, sc.
VII
. 314. Id., act. I, sc. III. 315. Les Femmes s
cin, act. I, sc. III). 313. Les femmes savantes, act. II, sc. VII.
314.
Id., act. I, sc. III. 315. Les Femmes savantes
III). 313. Les femmes savantes, act. II, sc. VII. 314. Id., act.
I
, sc. III. 315. Les Femmes savantes, act. II ; s
313. Les femmes savantes, act. II, sc. VII. 314. Id., act. I, sc.
III
. 315. Les Femmes savantes, act. II ; sc. VII.
Les femmes savantes, act. II, sc. VII. 314. Id., act. I, sc. III.
315.
Les Femmes savantes, act. II ; sc. VII. 316. I
c. VII. 314. Id., act. I, sc. III. 315. Les Femmes savantes, act.
II
; sc. VII. 316. Id., act. III, sc. II, VI ; act
314. Id., act. I, sc. III. 315. Les Femmes savantes, act. II ; sc.
VII
. 316. Id., act. III, sc. II, VI ; act. V, sc. I
Id., act. I, sc. III. 315. Les Femmes savantes, act. II ; sc. VII.
316.
Id., act. III, sc. II, VI ; act. V, sc. I. 317.
III. 315. Les Femmes savantes, act. II ; sc. VII. 316. Id., act.
III
, sc. II, VI ; act. V, sc. I. 317. Id., act. III
5. Les Femmes savantes, act. II ; sc. VII. 316. Id., act. III, sc.
II
, VI ; act. V, sc. I. 317. Id., act. III, sc. V.
Les Femmes savantes, act. II ; sc. VII. 316. Id., act. III, sc. II,
VI
; act. V, sc. I. 317. Id., act. III, sc. V. 31
savantes, act. II ; sc. VII. 316. Id., act. III, sc. II, VI ; act.
V
, sc. I. 317. Id., act. III, sc. V. 318. Id.,
es, act. II ; sc. VII. 316. Id., act. III, sc. II, VI ; act. V, sc.
I
. 317. Id., act. III, sc. V. 318. Id., act. V,
act. II ; sc. VII. 316. Id., act. III, sc. II, VI ; act. V, sc. I.
317.
Id., act. III, sc. V. 318. Id., act. V, sc. I.
I. 316. Id., act. III, sc. II, VI ; act. V, sc. I. 317. Id., act.
III
, sc. V. 318. Id., act. V, sc. I. 319. Les Pré
Id., act. III, sc. II, VI ; act. V, sc. I. 317. Id., act. III, sc.
V.
318. Id., act. V, sc. I. 319. Les Précieuses
, act. III, sc. II, VI ; act. V, sc. I. 317. Id., act. III, sc. V.
318.
Id., act. V, sc. I. 319. Les Précieuses ridicu
II, VI ; act. V, sc. I. 317. Id., act. III, sc. V. 318. Id., act.
V
, sc. I. 319. Les Précieuses ridicules, sc. III,
; act. V, sc. I. 317. Id., act. III, sc. V. 318. Id., act. V, sc.
I
. 319. Les Précieuses ridicules, sc. III, IV, V,
t. V, sc. I. 317. Id., act. III, sc. V. 318. Id., act. V, sc. I.
319.
Les Précieuses ridicules, sc. III, IV, V, VII.
c. V. 318. Id., act. V, sc. I. 319. Les Précieuses ridicules, sc.
III
, IV, V, VII. 320. La Comtesse d’Escarbagnas, sc
318. Id., act. V, sc. I. 319. Les Précieuses ridicules, sc. III,
IV
, V, VII. 320. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. II
8. Id., act. V, sc. I. 319. Les Précieuses ridicules, sc. III, IV,
V
, VII. 320. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. II-VI
Id., act. V, sc. I. 319. Les Précieuses ridicules, sc. III, IV, V,
VII
. 320. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. II-VII, et
act. V, sc. I. 319. Les Précieuses ridicules, sc. III, IV, V, VII.
320.
La Comtesse d’Escarbagnas, sc. II-VII, etc. 321
III, IV, V, VII. 320. La Comtesse d’Escarbagnas, sc. II-VII, etc.
321.
Léonor de l’École des Maris, act. I, sc. II. 32
scarbagnas, sc. II-VII, etc. 321. Léonor de l’École des Maris, act.
I
, sc. II. 322. Le Mariage forcé, sc. IV. 323.
nas, sc. II-VII, etc. 321. Léonor de l’École des Maris, act. I, sc.
II
. 322. Le Mariage forcé, sc. IV. 323. L’École
sc. II-VII, etc. 321. Léonor de l’École des Maris, act. I, sc. II.
322.
Le Mariage forcé, sc. IV. 323. L’École des Mar
or de l’École des Maris, act. I, sc. II. 322. Le Mariage forcé, sc.
IV
. 323. L’École des Maris, act. II, sc. IX 324.
l’École des Maris, act. I, sc. II. 322. Le Mariage forcé, sc. IV.
323.
L’École des Maris, act. II, sc. IX 324. La ques
. II. 322. Le Mariage forcé, sc. IV. 323. L’École des Maris, act.
II
, sc. IX 324. La question du luxe des femmes est
22. Le Mariage forcé, sc. IV. 323. L’École des Maris, act. II, sc.
IX
324. La question du luxe des femmes est traitée
Le Mariage forcé, sc. IV. 323. L’École des Maris, act. II, sc. IX
324.
La question du luxe des femmes est traitée implic
une et rouge de Célimène, etc., étaient des leçons parlant aux yeux.
325.
« Vertu qui a besoin d’être toujours gardée ne v
e vaut pas la sentinelle. » Goldsmilh, Le Vicaire de Wakefield, chap.
V.
326. L’École des Maris (1661), act. I, sc. II.
ut pas la sentinelle. » Goldsmilh, Le Vicaire de Wakefield, chap. V.
326.
L’École des Maris (1661), act. I, sc. II. 327.
oldsmilh, Le Vicaire de Wakefield, chap. V. 326. L’École des Maris (
1661
), act. I, sc. II. 327. Id., act. I, sc. II, Ari
Vicaire de Wakefield, chap. V. 326. L’École des Maris (1661), act.
I
, sc. II. 327. Id., act. I, sc. II, Ariste. 32
e de Wakefield, chap. V. 326. L’École des Maris (1661), act. I, sc.
II
. 327. Id., act. I, sc. II, Ariste. 328. L’Éc
Wakefield, chap. V. 326. L’École des Maris (1661), act. I, sc. II.
327.
Id., act. I, sc. II, Ariste. 328. L’École des
V. 326. L’École des Maris (1661), act. I, sc. II. 327. Id., act.
I
, sc. II, Ariste. 328. L’École des Maris, act.
6. L’École des Maris (1661), act. I, sc. II. 327. Id., act. I, sc.
II
, Ariste. 328. L’École des Maris, act. I, sc. I
s Maris (1661), act. I, sc. II. 327. Id., act. I, sc. II, Ariste.
328.
L’École des Maris, act. I, sc. II. 329. L’Écol
. 327. Id., act. I, sc. II, Ariste. 328. L’École des Maris, act.
I
, sc. II. 329. L’École des Maris, act. II et III
Id., act. I, sc. II, Ariste. 328. L’École des Maris, act. I, sc.
II
. 329. L’École des Maris, act. II et III. — Sur
, act. I, sc. II, Ariste. 328. L’École des Maris, act. I, sc. II.
329.
L’École des Maris, act. II et III. — Sur l’École
8. L’École des Maris, act. I, sc. II. 329. L’École des Maris, act.
II
et III. — Sur l’École des Maris, voir Laharpe, Co
École des Maris, act. I, sc. II. 329. L’École des Maris, act. II et
III
. — Sur l’École des Maris, voir Laharpe, Cours de
. — Sur l’École des Maris, voir Laharpe, Cours de Littérature, partie
II
, liv. I, chap. VI, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire
’École des Maris, voir Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv.
I
, chap. VI, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire de la Li
s Maris, voir Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv. I, chap.
VI
, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire de la Littérature
oir Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect.
2
; D. Nisard, Histoire de la Littérature française
Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect. 2 ;
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
. VI, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
III
, chap. IX, § 3. 330. L’École des Femmes (1662),
2 ; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap.
IX
, § 3. 330. L’École des Femmes (1662), act. I, s
. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX, §
3.
330. L’École des Femmes (1662), act. I, sc. I.
sard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX, § 3.
330.
L’École des Femmes (1662), act. I, sc. I. 331.
rature française, liv. III, chap. IX, § 3. 330. L’École des Femmes (
1662
), act. I, sc. I. 331. Id., act. I, sc. I. 332.
aise, liv. III, chap. IX, § 3. 330. L’École des Femmes (1662), act.
I
, sc. I. 331. Id., act. I, sc. I. 332. L’École
iv. III, chap. IX, § 3. 330. L’École des Femmes (1662), act. I, sc.
I
. 331. Id., act. I, sc. I. 332. L’École des Fe
III, chap. IX, § 3. 330. L’École des Femmes (1662), act. I, sc. I.
331.
Id., act. I, sc. I. 332. L’École des Femmes, a
3. 330. L’École des Femmes (1662), act. I, sc. I. 331. Id., act.
I
, sc. I. 332. L’École des Femmes, act. I, sc. I.
0. L’École des Femmes (1662), act. I, sc. I. 331. Id., act. I, sc.
I
. 332. L’École des Femmes, act. I, sc. I. 333.
L’École des Femmes (1662), act. I, sc. I. 331. Id., act. I, sc. I.
332.
L’École des Femmes, act. I, sc. I. 333. Id., a
I, sc. I. 331. Id., act. I, sc. I. 332. L’École des Femmes, act.
I
, sc. I. 333. Id., act. I, sc. I ; la Critique d
I. 331. Id., act. I, sc. I. 332. L’École des Femmes, act. I, sc.
I
. 333. Id., act. I, sc. I ; la Critique de l’Éco
331. Id., act. I, sc. I. 332. L’École des Femmes, act. I, sc. I.
333.
Id., act. I, sc. I ; la Critique de l’École des
I, sc. I. 332. L’École des Femmes, act. I, sc. I. 333. Id., act.
I
, sc. I ; la Critique de l’École des Femmes, sc. V
I. 332. L’École des Femmes, act. I, sc. I. 333. Id., act. I, sc.
I
; la Critique de l’École des Femmes, sc. VII. 33
I. 333. Id., act. I, sc. I ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
VII
. 334. Id., act. II, sc. VI ; la Critique de l’É
3. Id., act. I, sc. I ; la Critique de l’École des Femmes, sc. VII.
334.
Id., act. II, sc. VI ; la Critique de l’École de
sc. I ; la Critique de l’École des Femmes, sc. VII. 334. Id., act.
II
, sc. VI ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
la Critique de l’École des Femmes, sc. VII. 334. Id., act. II, sc.
VI
; la Critique de l’École des Femmes, sc. III. — V
334. Id., act. II, sc. VI ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
III
. — Voir le Portrait du Peintre, ou la Contre-Crit
Peintre, ou la Contre-Critique de l’École des Femmes, par Boursault (
1G63
) ; le Traité de la Comédie et des spectacles selo
es spectacles selon la tradition de l’Église, par le prince de Conti (
1667
) ; J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvra
; J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
II
; A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Moliè
Molière, liv. II ; A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière,
2e
partie, etc. 335. L’École des Femmes, act. III,
; A. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, 2e partie, etc.
335.
L’École des Femmes, act. III, sc. IV. 336. 26 d
ur la vie de Molière, 2e partie, etc. 335. L’École des Femmes, act.
III
, sc. IV. 336. 26 décembre 1662. 337. Boileau, S
de Molière, 2e partie, etc. 335. L’École des Femmes, act. III, sc.
IV
. 336. 26 décembre 1662. 337. Boileau, Stances à
olière, 2e partie, etc. 335. L’École des Femmes, act. III, sc. IV.
336.
26 décembre 1662. 337. Boileau, Stances à M. Mol
e, 2e partie, etc. 335. L’École des Femmes, act. III, sc. IV. 336.
26
décembre 1662. 337. Boileau, Stances à M. Molièr
, etc. 335. L’École des Femmes, act. III, sc. IV. 336. 26 décembre
1662.
337. Boileau, Stances à M. Molière, 1er janvier
335. L’École des Femmes, act. III, sc. IV. 336. 26 décembre 1662.
337.
Boileau, Stances à M. Molière, 1er janvier 1663.
sc. IV. 336. 26 décembre 1662. 337. Boileau, Stances à M. Molière,
1er
janvier 1663. — Voir encore sur l’École des Femme
6. 26 décembre 1662. 337. Boileau, Stances à M. Molière, 1er janvier
1663.
— Voir encore sur l’École des Femmes : Laharpe, C
encore sur l’École des Femmes : Laharpe, Cours de Littérature, partie
II
, liv. I, chap. VI, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire
r l’École des Femmes : Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv.
I
, chap. VI, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire de la Li
des Femmes : Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv. I, chap.
VI
, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire de la Littérature
s : Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect.
2
; D. Nisard, Histoire de la Littérature française
Laharpe, Cours de Littérature, partie II, liv. I, chap. VI, sect. 2 ;
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
. VI, sect. 2 ; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
III
, chap. IX, § 3.
2 ; D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap.
IX
, § 3.
. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. III, chap. IX, §
3.
CHAPITRE
XI
. De la Religion. Principe et Sanction de la Moral
oles de Sganarelle que dans plus d’un sermon : DON JUAN Je crois que
deux
et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et
Sganarelle que dans plus d’un sermon : DON JUAN Je crois que deux et
deux
sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre
que dans plus d’un sermon : DON JUAN Je crois que deux et deux sont
quatre
, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit. S
: DON JUAN Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que
quatre
et quatre sont huit. SGANARELLE La belle croyance
N Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et
quatre
sont huit. SGANARELLE La belle croyance et les be
ue deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont
huit
. SGANARELLE La belle croyance et les beaux articl
ux que me voilà ici et que j’aie quelque chose dans la tête qui pense
cent
choses différentes en un moment, et fait de mon c
e dire de celui qui, des bouffonneries de Charlotte ou de M. Dimanche
768,
sait passer tout à coup à l’expression la plus pu
tre au pilori ceux qui empruntent un masque sacré pour satisfaire les
deux
plus honteuses passions, celle de l’or et celle d
ge de l’hypocrite d’avec celui du vrai dévot ; j’ai employé pour cela
deux
actes entiers à préparer la venue de mon scélérat
ent vous n’aurez point de récompense chez votre Père qui est dans les
deux
. Quand donc vous faites l’aumône, ne faites pas s
itage : c’est de peur Que tout ce bien ne tombe en de méchantes mains
783.
Quand Elmire oppose le ciel aux vœux de Tartuffe
-t-il confié aux mains de Tartuffe la cassette compromettante d’Argas
785
? Il vous le dit : c’est par suite de la doctrine
st très-beau. Car, quoi qu’en dise Sainte-Beuve, Cléante est chrétien
787
: il y a une différence marquée entre lui et Phil
st chrétien 787 : il y a une différence marquée entre lui et Philinte
788.
Qu’on se rappelle son indulgence, son dévouement,
dre sur ce point, — un jour, il voulut dire, et dit franchement, dans
deux
comédies, ce qu’il pensait de la religion. Ces œu
le ; et, bien qu’on puisse dire avec raison : Nunc non erat his locus
791,
c’est peut-être encore un des motifs de la sévéri
distingué, mais une règle des mœurs fixe et universelle il n’y a que
deux
morales : l’une est celle de la religion, qui imp
ale de Molière est fondée sur la notion claire et l’amour vif du bien
800.
Cette morale naturelle est nécessairement liée à
la morale que certaines gens appellent orgueilleusement indépendante
801
; car, au fond, elle n’est morale, c’est-à-dire r
use originelle de cette incapacité, on doit constater qu’elle existe.
II
est donc compréhensible que Dieu créateur, qui a
e le devoir plus clair aux bons, et les méchants plus inexcusables.
748.
Le Festin de Pierre, act. III, sc. I. 749.
et les méchants plus inexcusables. 748. Le Festin de Pierre, act.
III
, sc. I. 749. Fénelon, Démonstration de l’Exi
échants plus inexcusables. 748. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
I
. 749. Fénelon, Démonstration de l’Existence
ts plus inexcusables. 748. Le Festin de Pierre, act. III, sc. I.
749.
Fénelon, Démonstration de l’Existence de Dieu,
c. I. 749. Fénelon, Démonstration de l’Existence de Dieu, partie
I
, §§ IV, XXX-L. — On ne peut s’empêcher de rire du
749. Fénelon, Démonstration de l’Existence de Dieu, partie I, §§
IV
, XXX-L. — On ne peut s’empêcher de rire du préten
rvamus in anima ? » (Gassendi, Syntagma philosophicum, Physicœ sectio
1,
lib. IV, cap. 7. Ed. Florence, tome I, p. 288, co
n anima ? » (Gassendi, Syntagma philosophicum, Physicœ sectio 1, lib.
IV
, cap. 7. Ed. Florence, tome I, p. 288, col. 2). «
» (Gassendi, Syntagma philosophicum, Physicœ sectio 1, lib. IV, cap.
7.
Ed. Florence, tome I, p. 288, col. 2). « Intueris
philosophicum, Physicœ sectio 1, lib. IV, cap. 7. Ed. Florence, tome
I
, p. 288, col. 2). « Intueris hominis corpus, in q
Physicœ sectio 1, lib. IV, cap. 7. Ed. Florence, tome I, p. 288, col.
2
). « Intueris hominis corpus, in quo pedes, oculi,
æcam expertemque consilii ? » (Syntagma philosophicum, Physicœ sectio
III
, membrum II, lib. II, cap. 3, De usu partium in a
que consilii ? » (Syntagma philosophicum, Physicœ sectio III, membrum
II
, lib. II, cap. 3, De usu partium in animalibus. E
lii ? » (Syntagma philosophicum, Physicœ sectio III, membrum II, lib.
II
, cap. 3, De usu partium in animalibus. Ed. Floren
Syntagma philosophicum, Physicœ sectio III, membrum II, lib. II, cap.
3,
De usu partium in animalibus. Ed. Florence, tome
II, lib. II, cap. 3, De usu partium in animalibus. Ed. Florence, tome
II
, p. 203, col. 2). La première édition des Œuvres
3, De usu partium in animalibus. Ed. Florence, tome II, p. 203, col.
2
). La première édition des Œuvres de Gassendi est
I, p. 203, col. 2). La première édition des Œuvres de Gassendi est de
1658,
et le Festin de Pierre de 1665. Voir d’ailleurs p
édition des Œuvres de Gassendi est de 1658, et le Festin de Pierre de
1665.
Voir d’ailleurs plus haut, chap. I, page 17, note
658, et le Festin de Pierre de 1665. Voir d’ailleurs plus haut, chap.
I
, page 17, note 2 ; et plus loin, page 235. 750
le Festin de Pierre de 1665. Voir d’ailleurs plus haut, chap. I, page
17,
note 2 ; et plus loin, page 235. 750 751. De
de Pierre de 1665. Voir d’ailleurs plus haut, chap. I, page 17, note
2
; et plus loin, page 235. 750 751. Deut., ca
r d’ailleurs plus haut, chap. I, page 17, note 2 ; et plus loin, page
235.
750 751. Deut., cap. VI, v. 5 : « Diliges Do
lleurs plus haut, chap. I, page 17, note 2 ; et plus loin, page 235.
750
751. Deut., cap. VI, v. 5 : « Diliges Dominum
plus haut, chap. I, page 17, note 2 ; et plus loin, page 235. 750
751.
Deut., cap. VI, v. 5 : « Diliges Dominum Deum tu
, page 17, note 2 ; et plus loin, page 235. 750 751. Deut., cap.
VI
, v. 5 : « Diliges Dominum Deum tuum ex toto corde
17, note 2 ; et plus loin, page 235. 750 751. Deut., cap. VI, v.
5
: « Diliges Dominum Deum tuum ex toto corde tuo,
et ex tota anima tua, et ex tota fortitudine tua. (Conf. Mattb., cap.
XXII
, v. 37 ; Marc., cap. XII, v. 30). 752. Le Festi
a anima tua, et ex tota fortitudine tua. (Conf. Mattb., cap. XXII, v.
37
; Marc., cap. XII, v. 30). 752. Le Festin de Pi
x tota fortitudine tua. (Conf. Mattb., cap. XXII, v. 37 ; Marc., cap.
XII
, v. 30). 752. Le Festin de Pierre, act. III, sc
ortitudine tua. (Conf. Mattb., cap. XXII, v. 37 ; Marc., cap. XII, v.
30
). 752. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II.
dine tua. (Conf. Mattb., cap. XXII, v. 37 ; Marc., cap. XII, v. 30).
752.
Le Festin de Pierre, act. III, sc. II. 753. «
II, v. 37 ; Marc., cap. XII, v. 30). 752. Le Festin de Pierre, act.
III
, sc. II. 753. « Diliges proximum tuum sicut te
; Marc., cap. XII, v. 30). 752. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
II
. 753. « Diliges proximum tuum sicut te ipsum. »
rc., cap. XII, v. 30). 752. Le Festin de Pierre, act. III, sc. II.
753.
« Diliges proximum tuum sicut te ipsum. » Matth.
sc. II. 753. « Diliges proximum tuum sicut te ipsum. » Matth., cap.
XXII
, v. 39. (Conf. Lev., cap. XIX, v. 18 ; Marc., cap
753. « Diliges proximum tuum sicut te ipsum. » Matth., cap. XXII, v.
39.
(Conf. Lev., cap. XIX, v. 18 ; Marc., cap. XII, v
um tuum sicut te ipsum. » Matth., cap. XXII, v. 39. (Conf. Lev., cap.
XIX
, v. 18 ; Marc., cap. XII, v. 31.) 754. Le Festi
sicut te ipsum. » Matth., cap. XXII, v. 39. (Conf. Lev., cap. XIX, v.
18
; Marc., cap. XII, v. 31.) 754. Le Festin de Pi
Matth., cap. XXII, v. 39. (Conf. Lev., cap. XIX, v. 18 ; Marc., cap.
XII
, v. 31.) 754. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
cap. XXII, v. 39. (Conf. Lev., cap. XIX, v. 18 ; Marc., cap. XII, v.
31.
) 754. Le Festin de Pierre, act. I, sc. III. 75
XXII, v. 39. (Conf. Lev., cap. XIX, v. 18 ; Marc., cap. XII, v. 31.)
754.
Le Festin de Pierre, act. I, sc. III. 755. Le
IX, v. 18 ; Marc., cap. XII, v. 31.) 754. Le Festin de Pierre, act.
I
, sc. III. 755. Le Festin de Pierre, act. IV, sc
18 ; Marc., cap. XII, v. 31.) 754. Le Festin de Pierre, act. I, sc.
III
. 755. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 75
arc., cap. XII, v. 31.) 754. Le Festin de Pierre, act. I, sc. III.
755.
Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 756. « À
e Festin de Pierre, act. I, sc. III. 755. Le Festin de Pierre, act.
IV
, sc. IX. 756. « À propos de ce mot humanité, qu
de Pierre, act. I, sc. III. 755. Le Festin de Pierre, act. IV, sc.
IX
. 756. « À propos de ce mot humanité, qui n’étai
ierre, act. I, sc. III. 755. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX.
756.
« À propos de ce mot humanité, qui n’était point
Œuvres complètes de Molière, édition variorum de Ch. Louandre, Paris,
1864,
tome II, p. 98. 757. Le Tartuffe, act. V, sc. V
lètes de Molière, édition variorum de Ch. Louandre, Paris, 1864, tome
II
, p. 98. 757. Le Tartuffe, act. V, sc. VIII. 75
ière, édition variorum de Ch. Louandre, Paris, 1864, tome II, p. 98.
757.
Le Tartuffe, act. V, sc. VIII. 758. Cette phras
e Ch. Louandre, Paris, 1864, tome II, p. 98. 757. Le Tartuffe, act.
V
, sc. VIII. 758. Cette phrase désigne évidemment
ouandre, Paris, 1864, tome II, p. 98. 757. Le Tartuffe, act. V, sc.
VIII
. 758. Cette phrase désigne évidemment la grâce.
, Paris, 1864, tome II, p. 98. 757. Le Tartuffe, act. V, sc. VIII.
758.
Cette phrase désigne évidemment la grâce. La grâc
lumière quand on est conduit par le ciel. » Le Festin de Pierre, act.
IV
, sc. XII. 759. Le Festin de Pierre, act. IV, sc
quand on est conduit par le ciel. » Le Festin de Pierre, act. IV, sc.
XII
. 759. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 76
on est conduit par le ciel. » Le Festin de Pierre, act. IV, sc. XII.
759.
Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 760. Le.
Festin de Pierre, act. IV, sc. XII. 759. Le Festin de Pierre, act.
IV
, sc. IX. 760. Le. Festin de Pierre, act. IV, sc
de Pierre, act. IV, sc. XII. 759. Le Festin de Pierre, act. IV, sc.
IX
. 760. Le. Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. Co
erre, act. IV, sc. XII. 759. Le Festin de Pierre, act. IV, sc. IX.
760.
Le. Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. Comp. Pla
Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. 760. Le. Festin de Pierre, act.
IV
, sc. IX. Comp. Platon, République, liv. X. 761.
de Pierre, act. IV, sc. IX. 760. Le. Festin de Pierre, act. IV, sc.
IX
. Comp. Platon, République, liv. X. 761. Id., ac
Le. Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. Comp. Platon, République, liv.
X.
761. Id., act. V, sc. IX. Comp. encore Platon,
Festin de Pierre, act. IV, sc. IX. Comp. Platon, République, liv. X.
761.
Id., act. V, sc. IX. Comp. encore Platon, Républ
, act. IV, sc. IX. Comp. Platon, République, liv. X. 761. Id., act.
V
, sc. IX. Comp. encore Platon, République, liv. X.
IV, sc. IX. Comp. Platon, République, liv. X. 761. Id., act. V, sc.
IX
. Comp. encore Platon, République, liv. X. 762.
X. 761. Id., act. V, sc. IX. Comp. encore Platon, République, liv.
X.
762. Id., act. V, sc. V. 763. Id., act. IV, s
761. Id., act. V, sc. IX. Comp. encore Platon, République, liv. X.
762.
Id., act. V, sc. V. 763. Id., act. IV, sc. IX.
V, sc. IX. Comp. encore Platon, République, liv. X. 762. Id., act.
V
, sc. V. 763. Id., act. IV, sc. IX. 764. Id.,
IX. Comp. encore Platon, République, liv. X. 762. Id., act. V, sc.
V.
763. Id., act. IV, sc. IX. 764. Id., act. V,
Comp. encore Platon, République, liv. X. 762. Id., act. V, sc. V.
763.
Id., act. IV, sc. IX. 764. Id., act. V, sc. V.
aton, République, liv. X. 762. Id., act. V, sc. V. 763. Id., act.
IV
, sc. IX. 764. Id., act. V, sc. V. 765. Id., a
publique, liv. X. 762. Id., act. V, sc. V. 763. Id., act. IV, sc.
IX
. 764. Id., act. V, sc. V. 765. Id., act. IV,
que, liv. X. 762. Id., act. V, sc. V. 763. Id., act. IV, sc. IX.
764.
Id., act. V, sc. V. 765. Id., act. IV, sc. VI.
2. Id., act. V, sc. V. 763. Id., act. IV, sc. IX. 764. Id., act.
V
, sc. V. 765. Id., act. IV, sc. VI. 766. Id.,
, act. V, sc. V. 763. Id., act. IV, sc. IX. 764. Id., act. V, sc.
V.
765. Id., act. IV, sc. VI. 766. Id., act. V,
t. V, sc. V. 763. Id., act. IV, sc. IX. 764. Id., act. V, sc. V.
765.
Id., act. IV, sc. VI. 766. Id., act. V, sc. VI
3. Id., act. IV, sc. IX. 764. Id., act. V, sc. V. 765. Id., act.
IV
, sc. VI. 766. Id., act. V, sc. VI. — Ce n’était
act. IV, sc. IX. 764. Id., act. V, sc. V. 765. Id., act. IV, sc.
VI
. 766. Id., act. V, sc. VI. — Ce n’était pourtan
IV, sc. IX. 764. Id., act. V, sc. V. 765. Id., act. IV, sc. VI.
766.
Id., act. V, sc. VI. — Ce n’était pourtant pas l
4. Id., act. V, sc. V. 765. Id., act. IV, sc. VI. 766. Id., act.
V
, sc. VI. — Ce n’était pourtant pas l’avis du prin
, act. V, sc. V. 765. Id., act. IV, sc. VI. 766. Id., act. V, sc.
VI
. — Ce n’était pourtant pas l’avis du prince de Co
ait le ministre ridicule de la vengeance divine. » Que dire à cela ?
767.
Voir F. Génin, Vie de Molière, chap. III. 768.
ivine. » Que dire à cela ? 767. Voir F. Génin, Vie de Molière, chap.
III
. 768. Le Festin de Pierre, act. II, sc. I-V ; a
» Que dire à cela ? 767. Voir F. Génin, Vie de Molière, chap. III.
768.
Le Festin de Pierre, act. II, sc. I-V ; act. IV,
F. Génin, Vie de Molière, chap. III. 768. Le Festin de Pierre, act.
II
, sc. I-V ; act. IV, sc. III, IV. 769. La Bruyère
lière, chap. III. 768. Le Festin de Pierre, act. II, sc. I-V ; act.
IV
, sc. III, IV. 769. La Bruyère, les Caractères, d
hap. III. 768. Le Festin de Pierre, act. II, sc. I-V ; act. IV, sc.
III
, IV. 769. La Bruyère, les Caractères, de la Mode
III. 768. Le Festin de Pierre, act. II, sc. I-V ; act. IV, sc. III,
IV
. 769. La Bruyère, les Caractères, de la Mode.
768. Le Festin de Pierre, act. II, sc. I-V ; act. IV, sc. III, IV.
769.
La Bruyère, les Caractères, de la Mode. 770. Bo
act. IV, sc. III, IV. 769. La Bruyère, les Caractères, de la Mode.
770.
Bourdaloue, Sermon pour le septième dimanche aprè
n pour le septième dimanche après la Pentecôte. Voir plus haut, chap.
II
, p. 31, note 2. — On ne parle pas ici de don Juan
me dimanche après la Pentecôte. Voir plus haut, chap. II, p. 31, note
2.
— On ne parle pas ici de don Juan-Tartuffe (le Fe
— On ne parle pas ici de don Juan-Tartuffe (le Festin de Pierre, act.
V
, sc. I-III), parce que tout le même caractère se
t le même caractère se retrouve étendu et approfondi dans Tartuffe.
771.
Ce sont eux que l’on voit, d’un discours ins
de Dieu, craint Tartuffe et Molière. Boileau, Discours au Roi, v.
102
:1665. — Les trois premiers actes du Tartuffe ava
eu, craint Tartuffe et Molière. Boileau, Discours au Roi, v. 102 :
1665.
— Les trois premiers actes du Tartuffe avaient ét
artuffe et Molière. Boileau, Discours au Roi, v. 102 :1665. — Les
trois
premiers actes du Tartuffe avaient été représenté
actes du Tartuffe avaient été représentés chez Monsieur en septembre
1664,
et aussi aux fêtes de Versailles la même année. «
es la même année. « Molière, dans le Festin de Pierre, qui se joua en
1665,
se vengea de la cabale qui arrêtait le Tartuffe p
irade de don Juan au cinquième acte. » Sainte-Beuve, Port-Royal, tome
III
, chap. XV. Voir d’ailleurs, sur le Tartuffe plus
n Juan au cinquième acte. » Sainte-Beuve, Port-Royal, tome III, chap.
XV
. Voir d’ailleurs, sur le Tartuffe plus haut, chap
tome III, chap. XV. Voir d’ailleurs, sur le Tartuffe plus haut, chap.
II
, p. 29. 772. Préface du Tartuffe. 773. Deux
p. XV. Voir d’ailleurs, sur le Tartuffe plus haut, chap. II, p. 29.
772.
Préface du Tartuffe. 773. Deuxième placet au
e Tartuffe plus haut, chap. II, p. 29. 772. Préface du Tartuffe.
773.
Deuxième placet au sujet du Tartuffe. — Voir aus
n de celle pièce, la lettre sur la comédie de l’Imposteur, publiée le
20
août 1667, et dont Molière peut être regardé comm
le pièce, la lettre sur la comédie de l’Imposteur, publiée le 20 août
1667,
et dont Molière peut être regardé comme l’auteur.
n à dire à Amphitryon, joué dans le même temps (voir plus haut, chap.
IX
, p. 166) : c’est l’histoire de Scaramouche Hermit
si J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
III
). 774. Matth., cap. VI, v. 1, 2, 5, 16. 775. Il
aschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III).
774.
Matth., cap. VI, v. 1, 2, 5, 16. 775. Il résulte
e de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III). 774. Matth., cap.
VI
, v. 1, 2, 5, 16. 775. Il résulte de la Requête à
vie et des ouvrages de Molière, liv. III). 774. Matth., cap. VI, v.
1,
2, 5, 16. 775. Il résulte de la Requête à l’Arch
e et des ouvrages de Molière, liv. III). 774. Matth., cap. VI, v. 1,
2,
5, 16. 775. Il résulte de la Requête à l’Archevê
t des ouvrages de Molière, liv. III). 774. Matth., cap. VI, v. 1, 2,
5,
16. 775. Il résulte de la Requête à l’Archevêque
es ouvrages de Molière, liv. III). 774. Matth., cap. VI, v. 1, 2, 5,
16.
775. Il résulte de la Requête à l’Archevêque de
vrages de Molière, liv. III). 774. Matth., cap. VI, v. 1, 2, 5, 16.
775.
Il résulte de la Requête à l’Archevêque de Paris,
ir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
IV
, note 1) : « … Attendu que ledit défunct a demand
chereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, note
1
) : « … Attendu que ledit défunct a demandé aupara
Sainct-Germain, lui a administré les sacrements à Pasque dernier… »
776.
Voir plus haut, chap. VI ; p. 115. 777. Le Fest
istré les sacrements à Pasque dernier… » 776. Voir plus haut, chap.
VI
; p. 115. 777. Le Festin de Pierre, act. III, s
ements à Pasque dernier… » 776. Voir plus haut, chap. VI ; p. 115.
777.
Le Festin de Pierre, act. III, sc. I, édition va
. Voir plus haut, chap. VI ; p. 115. 777. Le Festin de Pierre, act.
III
, sc. I, édition variorum de Ch. Louandre. — On tr
us haut, chap. VI ; p. 115. 777. Le Festin de Pierre, act. III, sc.
I
, édition variorum de Ch. Louandre. — On trouve la
i ciel, ni saint, ni Dieu, ni loup-garou » (le Festin de Pierre, act.
I
, sc. I). Enfin on peut remarquer dans les Amants
ni saint, ni Dieu, ni loup-garou » (le Festin de Pierre, act. I, sc.
I
). Enfin on peut remarquer dans les Amants magnifi
I, sc. I). Enfin on peut remarquer dans les Amants magnifiques (act.
I
, sc. II) une réfutation de la croyance aux songes
I). Enfin on peut remarquer dans les Amants magnifiques (act. I, sc.
II
) une réfutation de la croyance aux songes et de l
égard au temps, et comparable à la célèbre fable de La Fontaine (liv.
II
, fable XIII, l’Astrologue qui se laisse tomber da
emps, et comparable à la célèbre fable de La Fontaine (liv. II, fable
XIII
, l’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits)
. II, fable XIII, l’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits).
778.
Préface du Tartuffe. — Il faut remarquer que l’a
Préface du Tartuffe. — Il faut remarquer que l’arrêt du parlement du
17
novembre 1548, donné quand la troupe des Confrère
Tartuffe. — Il faut remarquer que l’arrêt du parlement du 17 novembre
1548,
donné quand la troupe des Confrères de la Passion
’ils ne joueraient que des sujets honnêtes, licites et profanes. Voir
V.
Fournel, les Contemporains de Molière, tome 1, Hi
ites et profanes. Voir V. Fournel, les Contemporains de Molière, tome
1,
Histoire de l’Hôtel de Bourgogne. On pouvait donc
n droit à interdire la représentation du Tartuffe, comme il le fit le
6
août 1667. 779. Il dit le ciel pour Dieu, te
à interdire la représentation du Tartuffe, comme il le fit le 6 août
1667.
779. Il dit le ciel pour Dieu, temple pour é
dire la représentation du Tartuffe, comme il le fit le 6 août 1667.
779.
Il dit le ciel pour Dieu, temple pour église,
pour sacrement, etc. ; cela est évident à la lecture du Tartuffe. Au
2e
vers de la scène vu de l’acte III, dans toute
évident à la lecture du Tartuffe. Au 2e vers de la scène vu de l’acte
III
, dans toutes les éditions de Molière, on lit
mprimer ce passage à l’avenir. Aimé Martin, Œuvres de Molière.
780.
Le Festin de Pierre, act. V, sc. III. 781. F. G
Aimé Martin, Œuvres de Molière. 780. Le Festin de Pierre, act.
V
, sc. III. 781. F. Génin, Vie de Molière, chap. I
Martin, Œuvres de Molière. 780. Le Festin de Pierre, act. V, sc.
III
. 781. F. Génin, Vie de Molière, chap. III. Cf. P
, Œuvres de Molière. 780. Le Festin de Pierre, act. V, sc. III.
781.
F. Génin, Vie de Molière, chap. III. Cf. Pascal,
tin de Pierre, act. V, sc. III. 781. F. Génin, Vie de Molière, chap.
III
. Cf. Pascal, les Provinciales, septième lettre :
tre : De la Méthode de diriger l’intention selon les Casuistes, etc.
782.
Le Tartuffe, act. IV, sc. I. 783. Id., act. IV
iriger l’intention selon les Casuistes, etc. 782. Le Tartuffe, act.
IV
, sc. I. 783. Id., act. IV, sc. V. 784. Le Tar
’intention selon les Casuistes, etc. 782. Le Tartuffe, act. IV, sc.
I
. 783. Id., act. IV, sc. V. 784. Le Tartuffe,
ention selon les Casuistes, etc. 782. Le Tartuffe, act. IV, sc. I.
783.
Id., act. IV, sc. V. 784. Le Tartuffe, act. IV
Casuistes, etc. 782. Le Tartuffe, act. IV, sc. I. 783. Id., act.
IV
, sc. V. 784. Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 785.
es, etc. 782. Le Tartuffe, act. IV, sc. I. 783. Id., act. IV, sc.
V.
784. Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 785. Id., a
etc. 782. Le Tartuffe, act. IV, sc. I. 783. Id., act. IV, sc. V.
784.
Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 785. Id., act. V,
act. IV, sc. I. 783. Id., act. IV, sc. V. 784. Le Tartuffe, act.
IV
, sc. V. 785. Id., act. V, sc. I. 786. F. Génin
, sc. I. 783. Id., act. IV, sc. V. 784. Le Tartuffe, act. IV, sc.
V.
785. Id., act. V, sc. I. 786. F. Génin, Vie de
. I. 783. Id., act. IV, sc. V. 784. Le Tartuffe, act. IV, sc. V.
785.
Id., act. V, sc. I. 786. F. Génin, Vie de Moliè
act. IV, sc. V. 784. Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 785. Id., act.
V
, sc. I. 786. F. Génin, Vie de Molière, chap. V.
V, sc. V. 784. Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 785. Id., act. V, sc.
I
. 786. F. Génin, Vie de Molière, chap. V. Cf. Pas
c. V. 784. Le Tartuffe, act. IV, sc. V. 785. Id., act. V, sc. I.
786.
F. Génin, Vie de Molière, chap. V. Cf. Pascal, le
. V. 785. Id., act. V, sc. I. 786. F. Génin, Vie de Molière, chap.
V.
Cf. Pascal, les Provinciales, neuvième lettre, le
échanceté et une petite mauvaise foi que tout l’esprit n’excuse pas.
787.
« Cléante nous rend l’homme du monde comme Louis
te ; ceCléante fait-il encore ses Pâques ? Je le crois : certainement
cinquante
ans plus tard, il ne les fera plus. » C’est calom
Cléante : car il serait alors lui-même un Tartuffe (Port-Royal, liv.
III
, chap. XVI). 788. Voir plus haut, chap. III, p.
car il serait alors lui-même un Tartuffe (Port-Royal, liv. III, chap.
XVI
). 788. Voir plus haut, chap. III, p. 52. 789.
serait alors lui-même un Tartuffe (Port-Royal, liv. III, chap. XVI).
788.
Voir plus haut, chap. III, p. 52. 789. Le Tartu
rtuffe (Port-Royal, liv. III, chap. XVI). 788. Voir plus haut, chap.
III
, p. 52. 789. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, II
Royal, liv. III, chap. XVI). 788. Voir plus haut, chap. III, p. 52.
789.
Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III, IV, V, VI ;
VI). 788. Voir plus haut, chap. III, p. 52. 789. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II,
88. Voir plus haut, chap. III, p. 52. 789. Le Tartuffe, act. I, sc.
I
, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; a
Voir plus haut, chap. III, p. 52. 789. Le Tartuffe, act. I, sc. I,
II
, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act.
r plus haut, chap. III, p. 52. 789. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II,
III
, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc
s haut, chap. III, p. 52. 789. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III,
IV
, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I,
ut, chap. III, p. 52. 789. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III, IV,
V
, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II
chap. III, p. 52. 789. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III, IV, V,
VI
; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II, II
, p. 52. 789. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III, IV, V, VI ; act.
IV
, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II, III, IV, V,
789. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc.
I
, II, III ; act. V, sc. I, II, III, IV, V, VI, VII
89. Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I,
II
, III ; act. V, sc. I, II, III, IV, V, VI, VII, VI
Le Tartuffe, act. I, sc. I, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II,
III
; act. V, sc. I, II, III, IV, V, VI, VII, VIII.
e, act. I, sc. I, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act.
V
, sc. I, II, III, IV, V, VI, VII, VIII. 790. Le
I, sc. I, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc.
I
, II, III, IV, V, VI, VII, VIII. 790. Le Tartuf
sc. I, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I,
II
, III, IV, V, VI, VII, VIII. 790. Le Tartuffe,
I, II, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II,
III
, IV, V, VI, VII, VIII. 790. Le Tartuffe, act.
I, III, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II, III,
IV
, V, VI, VII, VIII. 790. Le Tartuffe, act. I, s
II, IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II, III, IV,
V
, VI, VII, VIII. 790. Le Tartuffe, act. I, sc.
IV, V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II, III, IV, V,
VI
, VII, VIII. 790. Le Tartuffe, act. I, sc. VI.
V, VI ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II, III, IV, V, VI,
VII
, VIII. 790. Le Tartuffe, act. I, sc. VI. Voir
I ; act. IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II, III, IV, V, VI, VII,
VIII
. 790. Le Tartuffe, act. I, sc. VI. Voir toute
IV, sc. I, II, III ; act. V, sc. I, II, III, IV, V, VI, VII, VIII.
790.
Le Tartuffe, act. I, sc. VI. Voir toute la scène
t. V, sc. I, II, III, IV, V, VI, VII, VIII. 790. Le Tartuffe, act.
I
, sc. VI. Voir toute la scène. Molière a voulu fai
c. I, II, III, IV, V, VI, VII, VIII. 790. Le Tartuffe, act. I, sc.
VI
. Voir toute la scène. Molière a voulu faire de Cl
n : N’est-il pas d’un chrétien de pardonner l’offense ? (act.
IV
, sc. I), mais il lui en fait accomplir les action
N’est-il pas d’un chrétien de pardonner l’offense ? (act. IV, sc.
I
), mais il lui en fait accomplir les actions, surt
I), mais il lui en fait accomplir les actions, surtout dans les actes
IV
et V. Voir là-dessus F. Génin, Vie de Molière, ch
is il lui en fait accomplir les actions, surtout dans les actes IV et
V.
Voir là-dessus F. Génin, Vie de Molière, chap. V.
ans les actes IV et V. Voir là-dessus F. Génin, Vie de Molière, chap.
V.
791. Horace, Epist., lib. II, ep. III, v. 19.
es actes IV et V. Voir là-dessus F. Génin, Vie de Molière, chap. V.
791.
Horace, Epist., lib. II, ep. III, v. 19. 792. Vo
dessus F. Génin, Vie de Molière, chap. V. 791. Horace, Epist., lib.
II
, ep. III, v. 19. 792. Voir plus loin, chap. XII.
. Génin, Vie de Molière, chap. V. 791. Horace, Epist., lib. II, ep.
III
, v. 19. 792. Voir plus loin, chap. XII. 793. Ga
Vie de Molière, chap. V. 791. Horace, Epist., lib. II, ep. III, v.
19.
792. Voir plus loin, chap. XII. 793. Gassendi s
de Molière, chap. V. 791. Horace, Epist., lib. II, ep. III, v. 19.
792.
Voir plus loin, chap. XII. 793. Gassendi semble
Horace, Epist., lib. II, ep. III, v. 19. 792. Voir plus loin, chap.
XII
. 793. Gassendi semble n’avoir entrepris la resta
e, Epist., lib. II, ep. III, v. 19. 792. Voir plus loin, chap. XII.
793.
Gassendi semble n’avoir entrepris la restauration
éfutation complète. Voir Philosophiæ Epicuri Syntagma, Physica, sect.
I
, cap. I, II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. I
n complète. Voir Philosophiæ Epicuri Syntagma, Physica, sect. I, cap.
I
, II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap.
omplète. Voir Philosophiæ Epicuri Syntagma, Physica, sect. I, cap. I,
II
, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III,
ète. Voir Philosophiæ Epicuri Syntagma, Physica, sect. I, cap. I, II,
III
, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV,
Voir Philosophiæ Epicuri Syntagma, Physica, sect. I, cap. I, II, III,
V
, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V,
r Philosophiæ Epicuri Syntagma, Physica, sect. I, cap. I, II, III, V,
VII
, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V, VI, V
losophiæ Epicuri Syntagma, Physica, sect. I, cap. I, II, III, V, VII,
VIII
, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V, VI, VII, VI
iæ Epicuri Syntagma, Physica, sect. I, cap. I, II, III, V, VII, VIII,
X
, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V, VI, VII, VIII
Epicuri Syntagma, Physica, sect. I, cap. I, II, III, V, VII, VIII, X,
XVII
; sect. II, cap. III, IV, V, VI, VII, VIII ; sect
gma, Physica, sect. I, cap. I, II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect.
II
, cap. III, IV, V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap.
ica, sect. I, cap. I, II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap.
III
, IV, V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII
sect. I, cap. I, II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III,
IV
, V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII, IX
. I, cap. I, II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV,
V
, VI, VII, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII, IX, X
, cap. I, II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V,
VI
, VII, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII, IX, XVII,
p. I, II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V, VI,
VII
, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII, IX, XVII, XXII
II, III, V, VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V, VI, VII,
VIII
; sect. III, cap. VII, VIII, IX, XVII, XXII ; sec
VII, VIII, X, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V, VI, VII, VIII ; sect.
III
, cap. VII, VIII, IX, XVII, XXII ; sect. IV, Præfa
X, XVII ; sect. II, cap. III, IV, V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap.
VII
, VIII, IX, XVII, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap.
VII ; sect. II, cap. III, IV, V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap. VII,
VIII
, IX, XVII, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap. I, VI,
sect. II, cap. III, IV, V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII,
IX
, XVII, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap. I, VI, VII
. II, cap. III, IV, V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII, IX,
XVII
, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap. I, VI, VII ; Eth
cap. III, IV, V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII, IX, XVII,
XXII
; sect. IV, Præfat. ; cap. I, VI, VII ; Ethica, c
V, VI, VII, VIII ; sect. III, cap. VII, VIII, IX, XVII, XXII ; sect.
IV
, Præfat. ; cap. I, VI, VII ; Ethica, cap. XX, XXI
sect. III, cap. VII, VIII, IX, XVII, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap.
I
, VI, VII ; Ethica, cap. XX, XXI, XXIX. Enfin, apr
ct. III, cap. VII, VIII, IX, XVII, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap. I,
VI
, VII ; Ethica, cap. XX, XXI, XXIX. Enfin, après u
III, cap. VII, VIII, IX, XVII, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap. I, VI,
VII
; Ethica, cap. XX, XXI, XXIX. Enfin, après une ré
, IX, XVII, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap. I, VI, VII ; Ethica, cap.
XX
, XXI, XXIX. Enfin, après une réfutation minutieus
, XVII, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap. I, VI, VII ; Ethica, cap. XX,
XXI
, XXIX. Enfin, après une réfutation minutieuse des
I, XXII ; sect. IV, Præfat. ; cap. I, VI, VII ; Ethica, cap. XX, XXI,
XXIX
. Enfin, après une réfutation minutieuse des vingt
thica, cap. XX, XXI, XXIX. Enfin, après une réfutation minutieuse des
vingt-six
arguments par lesquels l’épicurisme essaie de pro
prouver que l’âme est mortelle, réfutation qui n’occupe pas moins de
vingt-sept
colonnes in-folio, Gassendi ajoute que son but n’
ehors de la saine raison. Voir Syntagma philosophicum, Physica, sect.
III
, membrum II, lib. XIV, cap. III. Voir plus haut,
aine raison. Voir Syntagma philosophicum, Physica, sect. III, membrum
II
, lib. XIV, cap. III. Voir plus haut, chap. I, p.
on. Voir Syntagma philosophicum, Physica, sect. III, membrum II, lib.
XIV
, cap. III. Voir plus haut, chap. I, p. 17, et cha
yntagma philosophicum, Physica, sect. III, membrum II, lib. XIV, cap.
III
. Voir plus haut, chap. I, p. 17, et chap. XI, p.
ica, sect. III, membrum II, lib. XIV, cap. III. Voir plus haut, chap.
I
, p. 17, et chap. XI, p. 219. — Voir M. Raynand, l
brum II, lib. XIV, cap. III. Voir plus haut, chap. I, p. 17, et chap.
XI
, p. 219. — Voir M. Raynand, les Médecins au temps
I, p. 219. — Voir M. Raynand, les Médecins au temps de Molière, chap.
VII
. 794. Voir L. Mandon, De la Philosophie de Gasse
219. — Voir M. Raynand, les Médecins au temps de Molière, chap. VII.
794.
Voir L. Mandon, De la Philosophie de Gassendi, ch
r M. Raynand, les Médecins au temps de Molière, chap. VII. 794. Voir
L.
Mandon, De la Philosophie de Gassendi, chap. XI,
chap. VII. 794. Voir L. Mandon, De la Philosophie de Gassendi, chap.
XI
, Des amis et des disciples de Gassendi. 795. On
ophie de Gassendi, chap. XI, Des amis et des disciples de Gassendi.
795.
On ne peut rien arguer de la définition de la mor
mes à modérer leurs passions, et..., » le Bourgeois gentilhomme, act.
II
, sc. VI. 796. Exercitationes paradoxlcœ adversu
dérer leurs passions, et..., » le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.
VI
. 796. Exercitationes paradoxlcœ adversus Aristo
leurs passions, et..., » le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc. VI.
796.
Exercitationes paradoxlcœ adversus Aristoteleos.
tationes paradoxlcœ adversus Aristoteleos. Voir particulièrement lib.
I
, exercit. v, n° 12, la réfutation de ces singuliè
œ adversus Aristoteleos. Voir particulièrement lib. I, exercit. v, n°
12,
la réfutation de ces singulières propositions mor
e ces singulières propositions morales d’Aristote (Eth. ad Nie., lib.
I
, cap. III, et lib. II, cap. IX) : « Contenti erim
ngulières propositions morales d’Aristote (Eth. ad Nie., lib. I, cap.
III
, et lib. II, cap. IX) : « Contenti erimus si cum
positions morales d’Aristote (Eth. ad Nie., lib. I, cap. III, et lib.
II
, cap. IX) : « Contenti erimus si cum de talibus e
morales d’Aristote (Eth. ad Nie., lib. I, cap. III, et lib. II, cap.
IX
) : « Contenti erimus si cum de talibus et ex tali
es railleries de Molière contre les aristotéliciens, plus haut, chap.
III
, p. 58. 797. Le Tartuffe, act. I, sc. V :
de Molière contre les aristotéliciens, plus haut, chap. III, p. 58.
797.
Le Tartuffe, act. I, sc. V : Les hommes, la
istotéliciens, plus haut, chap. III, p. 58. 797. Le Tartuffe, act.
I
, sc. V : Les hommes, la plupart, sont étrange
iciens, plus haut, chap. III, p. 58. 797. Le Tartuffe, act. I, sc.
V
: Les hommes, la plupart, sont étrangement fa
gâtent souvent Pour la vouloir outrer, et pousser trop avant.
798.
Le Tartuffe, act. I, sc. I : À tous les sots
la vouloir outrer, et pousser trop avant. 798. Le Tartuffe, act.
I
, sc. I : À tous les sots caquets n’ayons donc
oir outrer, et pousser trop avant. 798. Le Tartuffe, act. I, sc.
I
: À tous les sots caquets n’ayons donc nul ég
c toute innocence, Et laissons aux causeurs une pleine licence.
799.
Voir plus haut, chap. I, p. 6. 800. Si l’on n’ap
issons aux causeurs une pleine licence. 799. Voir plus haut, chap.
I
, p. 6. 800. Si l’on n’appuie pas ces conclusions
causeurs une pleine licence. 799. Voir plus haut, chap. I, p. 6.
800.
Si l’on n’appuie pas ces conclusions sur des text
trer la justesse, répéter une bonne partie des chapitres précédents.
801.
La morale indépendante ne peut remplacer le princ
tiste Pocquelin, si célébre sous le nom de Moliere, naquit à Paris en
1620.
Il étoit fils & petit-fils de valets de chamb
ets de chambre-tapissiers du Roi ; sa mere, fille aussi de tapissiers,
1
s’appelloit N... Boutet. Il passa quatorze années
a mere, fille aussi de tapissiers,1 s’appelloit N... Boutet. Il passa
quatorze
années dans la maison2 paternelle, où l’on ne son
es au collége de Clermont. Il remplit cette carriére dans l’espace de
cinq
ans, pendant lesquels il contracta une étroite li
ans la plûpart de ses ouvrages. Le voyage de Louis XIII à Narbonne en
1641,
interrompit des occupations d’autant plus agréabl
des guerres civiles qui agitérent Paris & tout le royaume, depuis
1648
jusqu’en 1652. Moliere l’employa vraysemblablemen
viles qui agitérent Paris & tout le royaume, depuis 1648 jusqu’en
1652.
Moliere l’employa vraysemblablement à composer se
ns. Ils formérent de concert une troupe, & partirent pour Lyon en
1653.
On y représenta l’étourdi, piéce en cinq actes, q
amp; partirent pour Lyon en 1653. On y représenta l’étourdi, piéce en
cinq
actes, qui enleva presque tous les spectateurs au
toient à peine le nom de comédie, telles que le docteur amoureux, les
trois
docteurs rivaux, & le maître d’école, dont il
e, en suivant un plan général, tiroit le dialogue de son propre fonds,
7
à la maniére des comédiens italiens ; mais, si on
fonds,7 à la maniére des comédiens italiens ; mais, si on en juge par
deux
piéces du même genre, qui sont parvenuës manuscri
eux piéces du même genre, qui sont parvenuës manuscrites jusqu’à nous,
8
elles étoient écrites & dialoguées en entier.
érir le degré de réputation auquel il aspiroit. Sur la fin de l’année
1657,
Moliere avec sa troupe partit pour Grenoble ; il
ec sa troupe partit pour Grenoble ; il y resta pendant le carnaval de
1658.
Il vint passer l’été à Rouen ; &, dans les fr
rès de Monsieur, qui le présenta au Roi & à la Reine mere. Dès le
24
octobre de la même année, sa troupe représenta la
u petit Bourbon. L’étourdi L’étourdi, ou les contretems, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
s, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le ; décembre
1658.
y fut représenté au commencement du mois de décem
; décembre 1658. y fut représenté au commencement du mois de décembre
1658.
On ne connoissoit guéres alors que des piéces cha
dénouement n’est pas heureux ; le nombre des actes n’est déterminé à
cinq
, que pour suivre l’usage, qui fixe à ce nombre le
lesser. Les incidens du dépit amoureux Le Depit amoureux, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
résentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, au mois de décembre
1658.
sont arrangés avec plus d’art, quoique toujours d
. La conversation de Valere avec Ascagne déguisée en homme, celle des
deux
vieillards qui se demandent réciproquement pardon
cte en prose, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le
18
novembre 1659. ne soit pas une des meilleures du
, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 18 novembre
1659.
ne soit pas une des meilleures du côté de l’intri
ans le cocu imaginaire, Sganarelle, ou le cocu imaginaire, comédie en
trois
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
ctes en vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le
28
mars 1660. que l’auteur depuis son établissement
vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 28 mars
1660.
que l’auteur depuis son établissement à Paris, av
rfectionné son stile. Cet ouvrage est plus correctement écrit que ses
deux
premieres comédies. Mais si l’on y retrouve Molie
’intérêt né du sujet, attira un grand nombre de spectateurs12 pendant
quarante
représentations, quoique ce fût en été, & que
arre. Dom Garcie de Navarre, ou le prince jaloux, comédie héroïque en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le
4
février 1661. Le choix du sujet, tiré ou imité de
vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 4 février
1661.
Le choix du sujet, tiré ou imité des espagnols, d
s le misantrope.13 L’école des maris L’école des maris, comédie en
trois
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le
24
juin 1661. effaça l’impression désavantageuse que
n vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 24 juin
1661.
effaça l’impression désavantageuse que Dom Garcie
geuse que Dom Garcie avoit laissée. Il est peu de piéces, sur tout en
trois
actes, aussi simples, aussi claires, aussi fécond
nce n’ont fourni que l’idée de l’école des maris : dans les Adelphes,
deux
vieillards d’humeurs opposées, un pere & un o
’un à son fils, l’autre à son neveu ; dans l’école des maris, ce sont
deux
tuteurs chargés d’élever chacun une fille qui leu
nt : le poëte françois a enchéri sur le poëte latin, en donnant à ces
deux
personnages, non seulement l’intérêt de peres, ma
’école des maris, lorsque les fâcheux Les fâcheux, comédie-ballet en
trois
actes en vers, représentée à Vaux au mois d’août
édie-ballet en trois actes en vers, représentée à Vaux au mois d’août
1661,
& à Paris, sur le théatre du palais royal, le
u mois d’août 1661, & à Paris, sur le théatre du palais royal, le
4
novembre de la même année. furent représentés à V
On vit pour la premiére fois le chant & la danse unis à un sujet,
15
pour ne faire qu’une seule chose du ballet &
l’indulgence pour un ouvrage conçû, fait, appris, & représenté en
quinze
jours.16 Le théatre de Moliere, si l’on en croit
jours.16 Le théatre de Moliere, si l’on en croit l’auteur de sa vie,
17
essuya pendant l’année 1662, un de ces revers que
oliere, si l’on en croit l’auteur de sa vie,17 essuya pendant l’année
1662,
un de ces revers que le bon goût éprouve quelquef
ance ; mais cet admirable pantomime, parti de Paris18 au mois de juin
1662,
n’y revint qu’au19 mois de novembre de la même an
même année, & l’école des femmes L’école des femmes, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le
26
décembre 1662. qui parut au mois de décembre suiv
rs, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 26 décembre
1662.
qui parut au mois de décembre suivant, attira tou
mp; l’école des femmes, sur ce qu’Arnolphe & Sganarelle sont tous
deux
trompés par les mesures qu’ils prennent pour assû
amp; ne songea à les détruire, du moins en partie, qu’au mois de juin
1663,
qu’il donna au public sa comédie intitulée la cri
e en un acte en prose, représentée sur le théatre du palais royal, le
1
juin 1663. Le fonds en devoit être une dissertati
acte en prose, représentée sur le théatre du palais royal, le 1 juin
1663.
Le fonds en devoit être une dissertation, & n
tré des bontés du Roi, dont il venoit d’éprouver de nouvelles marques,
21
crut devoir en sa présence & aux yeux de tout
Versailles, comédie en un acte en prose, représentée à Versailles le
14
octobre 1663, & à Paris sur le théatre du pal
, comédie en un acte en prose, représentée à Versailles le 14 octobre
1663,
& à Paris sur le théatre du palais royal le 4
s le 14 octobre 1663, & à Paris sur le théatre du palais royal le
4
novembre de la même année. Boursault n’y est pas
la datte de son mariage avec la fille de la comédienne Béjart.22 En
1664,
le Roi donna aux Reines une fête aussi superbe qu
donna aux Reines une fête aussi superbe que galante. Elle commença le
7
mai, & dura plusieurs jours. Le détail en est
ne du second en vers, le reste en prose,) représentée à Versailles le
8
may 1664, & à Paris sur le théatre du palais
second en vers, le reste en prose,) représentée à Versailles le 8 may
1664,
& à Paris sur le théatre du palais royal le 9
ailles le 8 may 1664, & à Paris sur le théatre du palais royal le
9
novembre de la même année. qui en faisoit partie.
e forcé, comédie-ballet en un acte en prose, représentée au louvre le
29
janvier 1664, & à Paris sur le théatre du pal
médie-ballet en un acte en prose, représentée au louvre le 29 janvier
1664,
& à Paris sur le théatre du palais royal, ave
à Paris sur le théatre du palais royal, avec quelques changemens, le
15
novembre de la même année. ainsi intitulé parce q
dansé une entrée dans la représentation qui en fut faite au louvre le
29
janvier 1664, parut sous le même tître le 13 may,
ntrée dans la représentation qui en fut faite au louvre le 29 janvier
1664,
parut sous le même tître le 13 may, septiéme jour
n fut faite au louvre le 29 janvier 1664, parut sous le même tître le
13
may, septiéme jour de la fête donnée aux Reines.
ou le festin de Pierre. Dom Juan, ou le festin de Pierre, comédie en
cinq
actes en prose, représentée à Paris sur le théatr
actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le
15
février 1665. Les italiens qui l’avoient emprunté
ose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 15 février
1665.
Les italiens qui l’avoient emprunté des23 espagno
fonneries. Ce sujet fit tant de bruit chez les italiens, dit Rosimond,
24
que toutes les troupes en voulurent régaler le pu
Rosimond,24 que toutes les troupes en voulurent régaler le public. En
1660,
Villiers comédien de l’hôtel de Bourgogne, le fit
e Bourgogne, le fit représenter en vers. Moliere le donna en prose en
1665.
Ses camarades qui l’avoient engagé à ce travail,
succès ; soit que le préjugé qui régnoit alors contre les comédies en
cinq
actes écrites en prose, fût plus fort que l’espri
aits hazardés que25 l’auteur supprima à la seconde représentation. En
1669,
Dorimond, comédien de Mademoiselle, & en 1670
représentation. En 1669, Dorimond, comédien de Mademoiselle, & en
1670,
Rosimond, comédien du marais, traitérent en vers
t en vers le même sujet pour leur théatre. Enfin la troupe formée, en
1673,
des débris de celle du marais & de celle du p
& de celle du palais royal, représenta à l’hôtel de Guénégaud, en
1677,
le festin de Pierre de Moliere, que Thomas Cornei
voit écrit en vers. Il attira sous cette forme un concours prodigieux,
26
& c’est le seul que l’on représente aujourd’h
représente aujourd’hui. L’amour médecin, L’amour medecin, comédie en
trois
actes en prose, avec un prologue, représentée à V
n trois actes en prose, avec un prologue, représentée à Versailles le
15
septembre 1665, & à Paris sur le théatre du p
en prose, avec un prologue, représentée à Versailles le 15 septembre
1665,
& à Paris sur le théatre du palais royal, le
e 15 septembre 1665, & à Paris sur le théatre du palais royal, le
22
du même mois. est encore un de ces ouvrages préci
érée, paroît un motif trop peu important pour avoir, comme on l’a dit,
28
déterminé Moliere à mettre depuis les médecins si
e l’attention. Tel est celui du misantrope, Le misantrope, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
4
juin 1666. qui sera toujours regardé chez les nat
n vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 4 juin
1666.
qui sera toujours regardé chez les nations polies
u misantrope le médecin malgré lui, Le medecin malgré lui, comédie en
trois
actes en prose, représentée à Paris sur le théatr
ctes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
6
aoust 1666. & Alceste passa à la faveur de Sg
prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 6 aoust
1666.
& Alceste passa à la faveur de Sganarelle. Il
ïque en vers, représentée à saint Germain en Laye au mois de décembre
1666.
dans le ballet des muses. pastorale héroïque en v
es muses. pastorale héroïque en vers, dont il n’avoit composé que les
deux
premiers actes ; elle fut représentée en cet état
ar la simplicité de l’expression ; en général, tout ce que disent les
deux
amans est du même ton. Guérin le fils29 qui, en 1
e que disent les deux amans est du même ton. Guérin le fils29 qui, en
1699,
acheva cette piéce, y joignit des intermédes, &am
e piéce, y joignit des intermédes, & changea la versification des
deux
premiers actes, qu’il mit en vers libres & ir
ale comique, représentée à saint Germain eu Laye, au mois de décembre
1666,
dans le ballet des muses, à la suite de Mélicerte
dans le ballet des muses, à saint Germain en Laye, au mois de janvier
1667,
& à Paris sur le théatre du palais royal, le
ois de janvier 1667, & à Paris sur le théatre du palais royal, le
10
juin de la même année. suivit de près les représe
e 10 juin de la même année. suivit de près les représentations de ces
deux
pastorales. C’est une comédie d’intrigue, dont le
érite de cette piéce, qui étoit ornée de musique & de danses. Les
trois
premiers actes de Tartuffe Tartuffe, ou l’impost
rois premiers actes de Tartuffe Tartuffe, ou l’imposteur, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
5
aoust 1667, & depuis sans interruption le 5 f
vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 5 aoust
1667,
& depuis sans interruption le 5 février 1669.
e du palais royal, le 5 aoust 1667, & depuis sans interruption le
5
février 1669. avoient été représentés à la suite
s royal, le 5 aoust 1667, & depuis sans interruption le 5 février
1669.
avoient été représentés à la suite des fêtes de V
rier 1669. avoient été représentés à la suite des fêtes de Versailles,
30
le 12 may 1664, en présence du Roi & des Rein
669. avoient été représentés à la suite des fêtes de Versailles,30 le
12
may 1664, en présence du Roi & des Reines. Le
oient été représentés à la suite des fêtes de Versailles,30 le 12 may
1664,
en présence du Roi & des Reines. Le Roi défen
le 12 may 1664, en présence du Roi & des Reines. Le Roi défendit
31
dès lors cette comédie pour le public, jusqu’à ce
par des gens capables d’en faire un juste discernement, & ajoûta,
32
qu’il ne trouvoit rien à dire à cette comédie. Le
liere de faire représenter sa piéce. Il y fit plusieurs adoucissemens,
37
que l’on avoit apparemment exigés. Il la produisi
tout l’habit ; & crut pouvoir hazarder Tartuffe en cet état, le38
5
aoust 1667. L’ordre qui lui fut envoyé39 le40 len
abit ; & crut pouvoir hazarder Tartuffe en cet état, le38 5 aoust
1667.
L’ordre qui lui fut envoyé39 le40 lendemain, d’en
tête des différentes éditions de Tartuffe. Ce ne fut néanmoins qu’en
1669,
que le Roi donna une permission autentique de rem
e de remettre cette comédie sur le théatre. Elle reparut à Paris le42
5
février de cette année. Dès qu’elle eut été connu
e, que Cléante oppose à celui du vray dévôt. Tartuffe annoncé pendant
deux
actes, paroît au troisiéme. L’intrigue alors, plu
d’avoir choqué la bienséance dans Amphitrion. Amphitrion, comédie en
trois
actes en vers, avec un prologue, représentée à Pa
c un prologue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
13
juin 1668. Mais, soit par respect pour l’antiquit
logue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 13 juin
1668.
Mais, soit par respect pour l’antiquité,44 soit p
alais royal, le 13 juin 1668. Mais, soit par respect pour l’antiquité,
44
soit par une suite de l’usage où l’on est d’adopt
que l’on fût déja familiarisé avec ce sujet, par les Sosies de Rotrou,
45
on n’y fit pas même attention. On se contenta d’a
ssi à faire pancher la balance en faveur de Plaute ; le paralléle des
deux
comédies n’auroit servi qu’à montrer la supériori
lement pour objet de s’éclaircir sur la fidélité de leurs femmes. Les
deux
scénes ne produisent pas le même effet, par la di
le théatre françois, une intrigue aussi galante. L’on rit, dit Horace,
46
& le poëte est tiré d’affaire. Le succès des
ue. C’étoit alors une singularité, un défaut même pour une comédie en
cinq
actes, que d’être écrite en prose. On étoit moins
prose. On étoit moins difficile sur les piéces qui n’avoient qu’un ou
trois
actes. Le mérite de l’avare L’avare, comédie en
oient qu’un ou trois actes. Le mérite de l’avare L’avare, comédie en
cinq
actes en prose, représentée sur le théatre du pal
n cinq actes en prose, représentée sur le théatre du palais royal, le
9
septembre 1668. céda pour quelque tems à la préve
en prose, représentée sur le théatre du palais royal, le 9 septembre
1668.
céda pour quelque tems à la prévention générale ;
rer47 à la septiéme représentation, le fit reparoître sur la scéne en
1668.
On fut forcé de convenir qu’une prose élégante po
r & d’éducation, sont des sources intarissables de discorde entre
deux
personnes que l’intérêt, d’une part, &, de l’
rompent George Dandin, George Dandin, ou le mari confondu, comédie en
trois
actes en prose, représentée avec des intermédes à
trois actes en prose, représentée avec des intermédes à Versailles le
15
juillet 1668, & à Paris, sans intermédes, sur
en prose, représentée avec des intermédes à Versailles le 15 juillet
1668,
& à Paris, sans intermédes, sur le théatre du
8, & à Paris, sans intermédes, sur le théatre du palais royal, le
9
novembre de la même année. le caractére chargé d’
e de m. de Pourceaugnac, Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet, en
trois
actes en prose, représentée à Chambord, au mois d
t, en trois actes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octobre
1669,
& à Paris, sur le théatre du palais royal, le
ois d’octobre 1669, & à Paris, sur le théatre du palais royal, le
15
novembre de la même année. embellie aussi de chan
ujet des amans magnifiques. Les amans magnifiques, comédie-ballet, en
cinq
actes en prose, représentée à saint Germain en La
tes en prose, représentée à saint Germain en Laye, au mois de février
1670,
sous le tître de divertissement royal. Deux princ
Laye, au mois de février 1670, sous le tître de divertissement royal.
Deux
princes rivaux s’y disputent, par des fêtes galan
au bourgeois gentilhomme. Le bourgeois gentilhomme comédie-ballet, en
cinq
actes en prose, représentée à Chambord, au mois d
et, en cinq actes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octobre
1670,
& à Paris sur le théatre du palais royal, le
mois d’octobre 1670, & à Paris sur le théatre du palais royal, le
29
novembre de la même année. Elle confondit cette p
quel il aspire, pour que le seul contraste des maniéres propres à ces
deux
états, peignît sensiblement, dans un seul point &
t dans les fourberies de Scapin, Les fourberies de Scapin, comédie en
trois
actes en prose, représentée à Paris sur le théatr
ctes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
24
mai 1671. des richesses antiques qui n’ont pas dé
prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 24 mai
1671.
des richesses antiques qui n’ont pas déplû aux mo
comique d’un ordre inférieur. Dans Psiché, Psiché, tragédie-ballet en
cinq
actes en vers, représentée à Paris au palais des
vers, représentée à Paris au palais des tuileries pendant le carnaval
1670,
& sur le théatre du palais royal, le 24 juill
es pendant le carnaval 1670, & sur le théatre du palais royal, le
24
juillet 1671. tragédie-ballet en vers libres, Mol
le carnaval 1670, & sur le théatre du palais royal, le 24 juillet
1671.
tragédie-ballet en vers libres, Moliere crut devo
au grand Corneille, qui voulut bien s’assujettir au plan de Moliere :
50
les grands hommes ne sçauroient être jaloux. Quin
célébre par un grand nombre de traits ; &, sur tout, par le tour
neuf
& délicat de la déclaration de l’Amour à Psic
sir la comédie des femmes sçavantes. Les femmes sçavantes, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
11
mars 1672. Il a voulu y peindre le ridicule du fa
vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 11 mars
1672.
Il a voulu y peindre le ridicule du faux bel-espr
ne dura pas. On sentit bientôt avec quel art l’auteur avoit sçû tirer
cinq
actes entiers d’un sujet aride en lui-même, sans
un incident mieux combiné & plus raisonnable que n’est celui des
deux
lettres supposées qu’Ariste apporte au cinquiéme
tes en prose, représentée à saint Germain en Laye, au mois de février
1672,
& à Paris, en un acte, sans intermédes, sur l
aris, en un acte, sans intermédes, sur le théatre du palais royal, le
8
juillet de la même année. n’est qu’une peinture s
se, de monsieur Tibaudier, & de monsieur Harpin, sont le germe de
trois
caractéres que les auteurs comiques ont depuis si
e le Roi donna à Madame, à saint Germain en Laye, au mois de décembre
1671.
Les deux piéces, divisées en sept actes, sans qu’
onna à Madame, à saint Germain en Laye, au mois de décembre 1671. Les
deux
piéces, divisées en sept actes, sans qu’on en con
Roi. Le malade imaginaire Le malade imaginaire, comédie-ballet, en
trois
actes en prose, avec un prologue, représentée à P
c un prologue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
10
février 1673. fut la derniére production de Molie
ue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 février
1673.
fut la derniére production de Moliere. On retrouv
dans le troisiéme interméde, qui, quoique mieux lié au sujet que les
deux
premiers, n’en est pas plus vraysemblable. Le jou
, ce jour-là, de ses camarades que l’on commençât la représentation à
quatre
heures précises. Sa femme & Baron le pressére
uivie d’un vomissement de sang qui le suffoqua. Il mourut le vendredi
17
de février 1673, âgé de cinquante-trois ans, entr
issement de sang qui le suffoqua. Il mourut le vendredi 17 de février
1673,
âgé de cinquante-trois ans, entre les bras de deu
ang qui le suffoqua. Il mourut le vendredi 17 de février 1673, âgé de
cinquante-trois
ans, entre les bras de deux de ces sœurs religieu
edi 17 de février 1673, âgé de cinquante-trois ans, entre les bras de
deux
de ces sœurs religieuses, qui viennent quêter à P
, l’accompagna avec respect. Le convoi se fit tranquillement le mardi
21
de février, à la clarté de plus de cent flambeaux
se fit tranquillement le mardi 21 de février, à la clarté de plus de
cent
flambeaux portés par ses amis. Il n’a laissé qu’u
nombre des ouvrages57 que Moliere a composés dans l’espace d’environ
vingt
années, au milieu de tant d’occupations différent
qui faisoient partie de ses devoirs, on croira plûtôt, avec Despreaux,
58
que la rime venoit le chercher, qu’on n’ajoutera
ime venoit le chercher, qu’on n’ajoutera foi à ce qu’avance un auteur,
59
que Moliere travailloit difficilement : & l’o
ui a reproché de s’être répété quelquefois, comme dans la scéne60 des
deux
marquis du misantrope, imitée en partie de celle6
d’Eraste dans le dépit amoureux ; si Clitandre, dans l’amour médecin,
62
produit à peu près le même incident qu’Adraste da
in,62 produit à peu près le même incident qu’Adraste dans le sicilien,
63
on peut du moins, dans la comparaison de ces scén
ur a exprimées en différens tems. Mais il ne faut point confondre les
deux
scénes de l’amour médecin, & du sicilien, que
particulier, quoique Sganarelle & Dom Pédre soient sur la scéne :
64
dans l’étourdi,65 dans l’école des maris,66 dans
que Sganarelle & Dom Pédre soient sur la scéne :64 dans l’étourdi,
65
dans l’école des maris,66 dans le malade imaginai
édre soient sur la scéne :64 dans l’étourdi,65 dans l’école des maris,
66
dans le malade imaginaire, des amans, qui ne peuv
’est ainsi que Plaute & Térence avoient imité les grecs. Mais les
deux
poëtes latins, plus uniformes dans le choix des c
l l’ait consultée, sur le misantrope ou sur les femmes sçavantes. Ces
deux
piéces, dont le genre même étoit inconnu à l’anti
bruit des heureuses dispositions du jeune Baron, alors âgé d’environ
onze
ans, avoit déterminé Moliere à demander au Roi un
Roi un ordre pour faire passer cet enfant, de la troupe de la Raisin,
70
dans la sienne. Baron, élevé & instruit par M
e. Baron, élevé & instruit par Moliere, qui lui tint lieu de pere,
71
est devenu le Roscius de son siécle. La Beauval q
me, que l’extrême misére empêchoit de paroître ; il se nomme Mondorge,
73
ajouta-t-il. Je le connois, dit Moliere, il a été
oc, c’est un honnête homme ; que jugez-vous qu’il faille lui donner ?
Quatre
pistoles, dit Baron, après avoir hésité quelque t
bien, reprit Moliere, Je vais les lui donner pour moi, donnez-lui ces
vingt
autres que voilà. Mondorge parut, Moliere l’embra
obtenu par priére, Pour jamais sous la tombe eût enfermé Moliere,
Mille
de ces beaux traits, aujourd’hui si vantés, Fur
espéra revenir, Et, sur ses brodequins, ne put plus se tenir.
1.
Ces deux familles étoient établies sous les pilie
revenir, Et, sur ses brodequins, ne put plus se tenir. 1. Ces
deux
familles étoient établies sous les piliers des ha
1. Ces deux familles étoient établies sous les piliers des halles.
2.
On prétend que la maison où naquit Moliere, est l
naquit Moliere, est la troisiéme en entrant par la ruë saint Honoré.
3.
Voici ce qu’en dit Grimarest, vie de Moliere, pag
saint Honoré. 3. Voici ce qu’en dit Grimarest, vie de Moliere, page
312.
Paris in-12. 1705. On s’étonnera peut-être que je
Voici ce qu’en dit Grimarest, vie de Moliere, page 312. Paris in-12.
1705.
On s’étonnera peut-être que je n’aye point fait M
ur monter sur le théatre, son camarade, de comédien, se fit avocat.
4.
Elle parut d’abord sur les fossés de Nesle, &
pas. Artaxerxe, tragédie de Magnon, imprimée pour la premiere sois le
20
juillet 1645, fut représentée par l’illustre théa
rxe, tragédie de Magnon, imprimée pour la premiere sois le 20 juillet
1645,
fut représentée par l’illustre théatre. 5. Hen.
ere sois le 20 juillet 1645, fut représentée par l’illustre théatre.
5.
Hen. le Grand s’appelloit Belleville comme comédi
que Robert Guérin prit le nom de la Fleur, & de Gros Guillaume.
6.
Voyez Grimarest page 24. . . . 7. Ibidem page 2
e nom de la Fleur, & de Gros Guillaume. 6. Voyez Grimarest page
24.
. . . 7. Ibidem page 29. 8. Ces deux piéces se
Fleur, & de Gros Guillaume. 6. Voyez Grimarest page 24. . . .
7.
Ibidem page 29. 8. Ces deux piéces se trouvent d
e Gros Guillaume. 6. Voyez Grimarest page 24. . . . 7. Ibidem page
29.
8. Ces deux piéces se trouvent dans le cabinet d
s Guillaume. 6. Voyez Grimarest page 24. . . . 7. Ibidem page 29.
8.
Ces deux piéces se trouvent dans le cabinet de qu
aume. 6. Voyez Grimarest page 24. . . . 7. Ibidem page 29. 8. Ces
deux
piéces se trouvent dans le cabinet de quelques cu
lé un canevas, quoi qu’informe, du troisiéme acte de George Dandin.
9.
Voyez muse historique de Loret, lettre 48 du 6 n
e acte de George Dandin. 9. Voyez muse historique de Loret, lettre
48
du 6 novembre 1659. Cette troupe de comédiens
de George Dandin. 9. Voyez muse historique de Loret, lettre 48 du
6
novembre 1659. Cette troupe de comédiens Que
Dandin. 9. Voyez muse historique de Loret, lettre 48 du 6 novembre
1659.
Cette troupe de comédiens Que Monsieur avouë
ur avouë être siens. Il y a apparence qu’ils obtinrent ce tître dès
1658,
avec la permission de s’établir à Paris. 10. La
tinrent ce tître dès 1658, avec la permission de s’établir à Paris.
10.
La sale du petit Bourbon ayant été démolie au moi
s. 10. La sale du petit Bourbon ayant été démolie au mois d’octobre
1660,
pour construire la façade du louvre qui est du cô
is. Elle sert aujourd’hui au spectacle de l’opera ; Lulli l’obtint en
1673,
après la mort de Moliere. L’étourdi, ou les cont
, après la mort de Moliere. L’étourdi, ou les contretems, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
s, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le ; décembre
1658.
Le Depit amoureux, comédie en cinq actes en vers
du petit Bourbon, le ; décembre 1658. Le Depit amoureux, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
résentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, au mois de décembre
1658.
Les precieuses ridicules, comédie en un acte en
cte en prose, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le
18
novembre 1659. 11. L’affluence des spectateurs o
, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 18 novembre
1659.
11. L’affluence des spectateurs obligea les comé
sentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 18 novembre 1659.
11.
L’affluence des spectateurs obligea les comédiens
résentation, le double du prix ordinaire. La piéce se soutint pendant
quatre
mois de suite. Sganarelle, ou le cocu imaginaire
quatre mois de suite. Sganarelle, ou le cocu imaginaire, comédie en
trois
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
ctes en vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le
28
mars 1660. 12. Voyez l’avis au lecteur qui préc
vers, représentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 28 mars
1660.
12. Voyez l’avis au lecteur qui précéde la cocu
eprésentée à Paris sur le théatre du petit Bourbon, le 28 mars 1660.
12.
Voyez l’avis au lecteur qui précéde la cocuë ima
ocuë imaginaire, ou les amours d’Alcippe & de Céphise, comédie en
trois
actes en vers, par Fr. Doneau, Paris in-12, 1660.
Céphise, comédie en trois actes en vers, par Fr. Doneau, Paris in-12,
1660.
Dom Garcie de Navarre, ou le prince jaloux, comé
660. Dom Garcie de Navarre, ou le prince jaloux, comédie héroïque en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le
4
février 1661. 13. Voyez la scéne VIII. de l’act
vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 4 février
1661.
13. Voyez la scéne VIII. de l’acte IV. de Dom G
eprésentée à Paris sur le théatre du palais royal le 4 février 1661.
13.
Voyez la scéne VIII. de l’acte IV. de Dom Garcie
ur le théatre du palais royal le 4 février 1661. 13. Voyez la scéne
VIII
. de l’acte IV. de Dom Garcie ; & la scéne III
palais royal le 4 février 1661. 13. Voyez la scéne VIII. de l’acte
IV
. de Dom Garcie ; & la scéne III. de l’acte IV
3. Voyez la scéne VIII. de l’acte IV. de Dom Garcie ; & la scéne
III
. de l’acte IV. du misantrope. L’école des maris,
éne VIII. de l’acte IV. de Dom Garcie ; & la scéne III. de l’acte
IV
. du misantrope. L’école des maris, comédie en tr
céne III. de l’acte IV. du misantrope. L’école des maris, comédie en
trois
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le
24
juin 1661. Les fâcheux, comédie-ballet en trois
n vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 24 juin
1661.
Les fâcheux, comédie-ballet en trois actes en ve
atre du palais royal le 24 juin 1661. Les fâcheux, comédie-ballet en
trois
actes en vers, représentée à Vaux au mois d’août
édie-ballet en trois actes en vers, représentée à Vaux au mois d’août
1661,
& à Paris, sur le théatre du palais royal, le
u mois d’août 1661, & à Paris, sur le théatre du palais royal, le
4
novembre de la même année. 14. Voyez épître déd
ris, sur le théatre du palais royal, le 4 novembre de la même année.
14.
Voyez épître dédicatoire des fâcheux. 15. Voye
vembre de la même année. 14. Voyez épître dédicatoire des fâcheux.
15.
Voyez préface des fâcheux. 16. ibidem. 17. Vo
yez épître dédicatoire des fâcheux. 15. Voyez préface des fâcheux.
16.
ibidem. 17. Voyez Grimarest, page 125. 18. Vo
dicatoire des fâcheux. 15. Voyez préface des fâcheux. 16. ibidem.
17.
Voyez Grimarest, page 125. 18. Voyez muse hist
Voyez préface des fâcheux. 16. ibidem. 17. Voyez Grimarest, page
125.
18. Voyez muse historique de Loret, lettre 21 d
z préface des fâcheux. 16. ibidem. 17. Voyez Grimarest, page 125.
18.
Voyez muse historique de Loret, lettre 21 du 10
yez Grimarest, page 125. 18. Voyez muse historique de Loret, lettre
21
du 10 juin 1662. 19. ibid. lettre 45 du 18 novem
imarest, page 125. 18. Voyez muse historique de Loret, lettre 21 du
10
juin 1662. 19. ibid. lettre 45 du 18 novembre 16
page 125. 18. Voyez muse historique de Loret, lettre 21 du 10 juin
1662.
19. ibid. lettre 45 du 18 novembre 1662. L’écol
25. 18. Voyez muse historique de Loret, lettre 21 du 10 juin 1662.
19.
ibid. lettre 45 du 18 novembre 1662. L’école des
use historique de Loret, lettre 21 du 10 juin 1662. 19. ibid. lettre
45
du 18 novembre 1662. L’école des femmes, comédie
storique de Loret, lettre 21 du 10 juin 1662. 19. ibid. lettre 45 du
18
novembre 1662. L’école des femmes, comédie en ci
Loret, lettre 21 du 10 juin 1662. 19. ibid. lettre 45 du 18 novembre
1662.
L’école des femmes, comédie en cinq actes en ver
ibid. lettre 45 du 18 novembre 1662. L’école des femmes, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le
26
décembre 1662. 20. ibid. lettre 2. du 30 janvie
rs, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 26 décembre
1662.
20. ibid. lettre 2. du 30 janvier 1663, où il d
ésentée à Paris sur le théatre du palais royal le 26 décembre 1662.
20.
ibid. lettre 2. du 30 janvier 1663, où il dit, en
ur le théatre du palais royal le 26 décembre 1662. 20. ibid. lettre
2.
du 30 janvier 1663, où il dit, en parlant de l’éc
théatre du palais royal le 26 décembre 1662. 20. ibid. lettre 2. du
30
janvier 1663, où il dit, en parlant de l’école de
palais royal le 26 décembre 1662. 20. ibid. lettre 2. du 30 janvier
1663,
où il dit, en parlant de l’école des femmes, Pi
e en un acte en prose, représentée sur le théatre du palais royal, le
1
juin 1663. 21. Il fut compris dans l’état des ge
acte en prose, représentée sur le théatre du palais royal, le 1 juin
1663.
21. Il fut compris dans l’état des gens de lettr
n prose, représentée sur le théatre du palais royal, le 1 juin 1663.
21.
Il fut compris dans l’état des gens de lettres qu
l’état des gens de lettres qui eurent part aux libéralités du Roi en
1663,
par les soins de m. Colbert. On trouve à la fin d
Roi en 1663, par les soins de m. Colbert. On trouve à la fin du tome
VI
de cette édition le remerciement que Moliere fit
Versailles, comédie en un acte en prose, représentée à Versailles le
14
octobre 1663, & à Paris sur le théatre du pal
, comédie en un acte en prose, représentée à Versailles le 14 octobre
1663,
& à Paris sur le théatre du palais royal le 4
s le 14 octobre 1663, & à Paris sur le théatre du palais royal le
4
novembre de la même année. 22. Impromptu de Ver
aris sur le théatre du palais royal le 4 novembre de la même année.
22.
Impromptu de Versailles, scéne I. MOLIERE. T
le 4 novembre de la même année. 22. Impromptu de Versailles, scéne
I
. MOLIERE. Taisez-vous, ma femme, vous êtes u
iage change bien les gens, & vous ne m’auriez pas dit cela il y a
dix-huit
mois, La princesse d’Elide, comédie-ballet,
ne du second en vers, le reste en prose,) représentée à Versailles le
8
may 1664, & à Paris sur le théatre du palais
second en vers, le reste en prose,) représentée à Versailles le 8 may
1664,
& à Paris sur le théatre du palais royal le 9
ailles le 8 may 1664, & à Paris sur le théatre du palais royal le
9
novembre de la même année. Le Mariage forcé, com
e forcé, comédie-ballet en un acte en prose, représentée au louvre le
29
janvier 1664, & à Paris sur le théatre du pal
médie-ballet en un acte en prose, représentée au louvre le 29 janvier
1664,
& à Paris sur le théatre du palais royal, ave
à Paris sur le théatre du palais royal, avec quelques changemens, le
15
novembre de la même année. Dom Juan, ou le festi
embre de la même année. Dom Juan, ou le festin de Pierre, comédie en
cinq
actes en prose, représentée à Paris sur le théatr
actes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le
15
février 1665. 23. Tirso de Molina en est l’auteu
ose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal le 15 février
1665.
23. Tirso de Molina en est l’auteur. Le titre es
présentée à Paris sur le théatre du palais royal le 15 février 1665.
23.
Tirso de Molina en est l’auteur. Le titre espagno
eur que la statuë représente, peut avoir donné lieu à cette méprise.
24.
Voyez l’avis au lecteur du nouveau festin de Pie
cteur du nouveau festin de Pierre, ou de l’athée foudroyé, comédie en
cinq
actes en vers, par Rosimond, Paris in-12, 1670.
e foudroyé, comédie en cinq actes en vers, par Rosimond, Paris in-12,
1670.
25. Dom Juan dans une scéne avec un pauvre qui l
oyé, comédie en cinq actes en vers, par Rosimond, Paris in-12, 1670.
25.
Dom Juan dans une scéne avec un pauvre qui lui de
faim, prend cet argent, je te le donne pour l’amour de l’humanité.
26.
Voyez mercure galant, janvier 1677, page 33. L’
onne pour l’amour de l’humanité. 26. Voyez mercure galant, janvier
1677,
page 33. L’amour medecin, comédie en trois actes
’amour de l’humanité. 26. Voyez mercure galant, janvier 1677, page
33.
L’amour medecin, comédie en trois actes en prose
z mercure galant, janvier 1677, page 33. L’amour medecin, comédie en
trois
actes en prose, avec un prologue, représentée à V
n trois actes en prose, avec un prologue, représentée à Versailles le
15
septembre 1665, & à Paris sur le théatre du p
en prose, avec un prologue, représentée à Versailles le 15 septembre
1665,
& à Paris sur le théatre du palais royal, le
e 15 septembre 1665, & à Paris sur le théatre du palais royal, le
22
du même mois. 27. Il fut proposé, fait, appris,
5, & à Paris sur le théatre du palais royal, le 22 du même mois.
27.
Il fut proposé, fait, appris, & représenté en
du même mois. 27. Il fut proposé, fait, appris, & représenté en
cinq
jours. Voyez avis au lecteur de l’amour médecin.
représenté en cinq jours. Voyez avis au lecteur de l’amour médecin.
28.
Voyez Grimarest, page 76. Le misantrope, comédi
Voyez avis au lecteur de l’amour médecin. 28. Voyez Grimarest, page
76.
Le misantrope, comédie en cinq actes en vers, re
r médecin. 28. Voyez Grimarest, page 76. Le misantrope, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
4
juin 1666. Le medecin malgré lui, comédie en tro
n vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 4 juin
1666.
Le medecin malgré lui, comédie en trois actes en
e du palais royal, le 4 juin 1666. Le medecin malgré lui, comédie en
trois
actes en prose, représentée à Paris sur le théatr
ctes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
6
aoust 1666. Melicerte, pastorale héroïque en ver
prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 6 aoust
1666.
Melicerte, pastorale héroïque en vers, représent
ïque en vers, représentée à saint Germain en Laye au mois de décembre
1666.
dans le ballet des muses. 29. Il étoit né du mar
Germain en Laye au mois de décembre 1666. dans le ballet des muses.
29.
Il étoit né du mariage de la veuve de Moliere ave
ançois Détriché, comédien, connu sous le nom de Guérin, & mort le
28
janvier 1718, dans la 92 année de son âge. Fragm
iché, comédien, connu sous le nom de Guérin, & mort le 28 janvier
1718,
dans la 92 année de son âge. Fragment d’une past
, connu sous le nom de Guérin, & mort le 28 janvier 1718, dans la
92
année de son âge. Fragment d’une pastorale comiq
ale comique, représentée à saint Germain eu Laye, au mois de décembre
1666,
dans le ballet des muses, à la suite de Mélicerte
dans le ballet des muses, à saint Germain en Laye, au mois de janvier
1667,
& à Paris sur le théatre du palais royal, le
ois de janvier 1667, & à Paris sur le théatre du palais royal, le
10
juin de la même année. Tartuffe, ou l’imposteur,
l, le 10 juin de la même année. Tartuffe, ou l’imposteur, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
5
aoust 1667, & depuis sans interruption le 5 f
vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 5 aoust
1667,
& depuis sans interruption le 5 février 1669.
e du palais royal, le 5 aoust 1667, & depuis sans interruption le
5
février 1669. 30. Fêtes de Versailles en 1664. s
s royal, le 5 aoust 1667, & depuis sans interruption le 5 février
1669.
30. Fêtes de Versailles en 1664. sixiéme journée
, le 5 aoust 1667, & depuis sans interruption le 5 février 1669.
30.
Fêtes de Versailles en 1664. sixiéme journée. 31
puis sans interruption le 5 février 1669. 30. Fêtes de Versailles en
1664.
sixiéme journée. 31. ibidem. 32. Premier placet
e 5 février 1669. 30. Fêtes de Versailles en 1664. sixiéme journée.
31.
ibidem. 32. Premier placet sur Tartuffe. 33. Le
669. 30. Fêtes de Versailles en 1664. sixiéme journée. 31. ibidem.
32.
Premier placet sur Tartuffe. 33. Les trois premi
664. sixiéme journée. 31. ibidem. 32. Premier placet sur Tartuffe.
33.
Les trois premiers actes représentés à Versailles
iéme journée. 31. ibidem. 32. Premier placet sur Tartuffe. 33. Les
trois
premiers actes représentés à Versailles le 12 mai
r Tartuffe. 33. Les trois premiers actes représentés à Versailles le
12
mai 1664, le furent encore à Villers-côterèz chez
ffe. 33. Les trois premiers actes représentés à Versailles le 12 mai
1664,
le furent encore à Villers-côterèz chez Monsieur
Villers-côterèz chez Monsieur en présence du Roi & des Reines le
24
septembre suivant. La piéce entiére fut jouée au
re suivant. La piéce entiére fut jouée au Rainci chez m. le Prince le
29
novembre de la même année, & au même lieu, le
m. le Prince le 29 novembre de la même année, & au même lieu, le
9
novembre 1665. 34. Premier placet sur Tartuffe.
ce le 29 novembre de la même année, & au même lieu, le 9 novembre
1665.
34. Premier placet sur Tartuffe. 35. ibid. 36.
9 novembre de la même année, & au même lieu, le 9 novembre 1665.
34.
Premier placet sur Tartuffe. 35. ibid. 36. Seco
au même lieu, le 9 novembre 1665. 34. Premier placet sur Tartuffe.
35.
ibid. 36. Second placet. 37. ibid. Il changea
eu, le 9 novembre 1665. 34. Premier placet sur Tartuffe. 35. ibid.
36.
Second placet. 37. ibid. Il changea entre autre
5. 34. Premier placet sur Tartuffe. 35. ibid. 36. Second placet.
37.
ibid. Il changea entre autres ce vers, O Ciel !
re autres ce vers, O Ciel ! Pardonne-lui comme je lui pardonne.
38.
Voyez Grimarest, page 176. 39. par m. le premie
! Pardonne-lui comme je lui pardonne. 38. Voyez Grimarest, page
176.
39. par m. le premier président du parlement de
donne-lui comme je lui pardonne. 38. Voyez Grimarest, page 176.
39.
par m. le premier président du parlement de Paris
t, page 176. 39. par m. le premier président du parlement de Paris,
40.
Second placet. 41. Il est sous le tître de secon
r m. le premier président du parlement de Paris, 40. Second placet.
41.
Il est sous le tître de second placet. 42. Trois
ris, 40. Second placet. 41. Il est sous le tître de second placet.
42.
Troisiéme placet. *. Les camarades de Moliere vo
ui a toujours été depuis réguliérement exécuté. Voyez Grimarest, page
196.
Amphitrion, comédie en trois actes en vers, avec
liérement exécuté. Voyez Grimarest, page 196. Amphitrion, comédie en
trois
actes en vers, avec un prologue, représentée à Pa
c un prologue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
13
juin 1668. 44. Euripide & Archippus avoient
logue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 13 juin
1668.
44. Euripide & Archippus avoient traité pour
représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 13 juin 1668.
44.
Euripide & Archippus avoient traité pour les
té pour les grecs ce sujet, que Plaute a fait connoître aux romains.
45.
Les Sosies, comédie en cinq actes en vers, par R
que Plaute a fait connoître aux romains. 45. Les Sosies, comédie en
cinq
actes en vers, par Rotrou, achevée d’imprimer le
ies, comédie en cinq actes en vers, par Rotrou, achevée d’imprimer le
25
juin 1638, Paris in-4°. 46. Solventur risu tabu
édie en cinq actes en vers, par Rotrou, achevée d’imprimer le 25 juin
1638,
Paris in-4°. 46. Solventur risu tabulæ, tu miss
n vers, par Rotrou, achevée d’imprimer le 25 juin 1638, Paris in-4°.
46.
Solventur risu tabulæ, tu missus abibis, Satyra
4°. 46. Solventur risu tabulæ, tu missus abibis, Satyra prima, lib.
2.
v. 86. L’avare, comédie en cinq actes en prose,
6. Solventur risu tabulæ, tu missus abibis, Satyra prima, lib. 2. v.
86.
L’avare, comédie en cinq actes en prose, représe
, tu missus abibis, Satyra prima, lib. 2. v. 86. L’avare, comédie en
cinq
actes en prose, représentée sur le théatre du pal
n cinq actes en prose, représentée sur le théatre du palais royal, le
9
septembre 1668. 47. On ne sçait pas précisément
en prose, représentée sur le théatre du palais royal, le 9 septembre
1668.
47. On ne sçait pas précisément en quel tems l’a
se, représentée sur le théatre du palais royal, le 9 septembre 1668.
47.
On ne sçait pas précisément en quel tems l’avare
our la premiére fois. George Dandin, ou le mari confondu, comédie en
trois
actes en prose, représentée avec des intermédes à
trois actes en prose, représentée avec des intermédes à Versailles le
15
juillet 1668, & à Paris, sans intermédes, sur
en prose, représentée avec des intermédes à Versailles le 15 juillet
1668,
& à Paris, sans intermédes, sur le théatre du
8, & à Paris, sans intermédes, sur le théatre du palais royal, le
9
novembre de la même année. Monsieur de Pourceaug
embre de la même année. Monsieur de Pourceaugnac, comédie-ballet, en
trois
actes en prose, représentée à Chambord, au mois d
t, en trois actes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octobre
1669,
& à Paris, sur le théatre du palais royal, le
ois d’octobre 1669, & à Paris, sur le théatre du palais royal, le
15
novembre de la même année. Les amans magnifiques
novembre de la même année. Les amans magnifiques, comédie-ballet, en
cinq
actes en prose, représentée à saint Germain en La
tes en prose, représentée à saint Germain en Laye, au mois de février
1670,
sous le tître de divertissement royal. 48. Voye
aye, au mois de février 1670, sous le tître de divertissement royal.
48.
Voyez avant propos. Le bourgeois gentilhomme co
48. Voyez avant propos. Le bourgeois gentilhomme comédie-ballet, en
cinq
actes en prose, représentée à Chambord, au mois d
et, en cinq actes en prose, représentée à Chambord, au mois d’octobre
1670,
& à Paris sur le théatre du palais royal, le
mois d’octobre 1670, & à Paris sur le théatre du palais royal, le
29
novembre de la même année. Les fourberies de Sca
e 29 novembre de la même année. Les fourberies de Scapin, comédie en
trois
actes en prose, représentée à Paris sur le théatr
ctes en prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
24
mai 1671. 49. Voyez la premiére scéne de l’Andr
prose, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 24 mai
1671.
49. Voyez la premiére scéne de l’Andrienne. Ps
représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 24 mai 1671.
49.
Voyez la premiére scéne de l’Andrienne. Psiché,
Voyez la premiére scéne de l’Andrienne. Psiché, tragédie-ballet en
cinq
actes en vers, représentée à Paris au palais des
vers, représentée à Paris au palais des tuileries pendant le carnaval
1670,
& sur le théatre du palais royal, le 24 juill
es pendant le carnaval 1670, & sur le théatre du palais royal, le
24
juillet 1671. 50. Moliere n’a fait que le prolog
le carnaval 1670, & sur le théatre du palais royal, le 24 juillet
1671.
50. Moliere n’a fait que le prologue, le premier
aval 1670, & sur le théatre du palais royal, le 24 juillet 1671.
50.
Moliere n’a fait que le prologue, le premier acte
71. 50. Moliere n’a fait que le prologue, le premier acte, & les
deux
premiéres scénes du second & du troisiéme act
du second & du troisiéme acte. Les femmes sçavantes, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre
actes en vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
11
mars 1672. 51. Voyez Menagiana, tom. 3. p. 23.
vers, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 11 mars
1672.
51. Voyez Menagiana, tom. 3. p. 23. Paris, in-1
représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 11 mars 1672.
51.
Voyez Menagiana, tom. 3. p. 23. Paris, in-12, 17
théatre du palais royal, le 11 mars 1672. 51. Voyez Menagiana, tom.
3.
p. 23. Paris, in-12, 1715. La comtesse d’Escarba
le 11 mars 1672. 51. Voyez Menagiana, tom. 3. p. 23. Paris, in-12,
1715.
La comtesse d’Escarbagnas, comédie-ballet, en pl
tes en prose, représentée à saint Germain en Laye, au mois de février
1672,
& à Paris, en un acte, sans intermédes, sur l
aris, en un acte, sans intermédes, sur le théatre du palais royal, le
8
juillet de la même année. Pastorale comique. Le
année. Pastorale comique. Le malade imaginaire, comédie-ballet, en
trois
actes en prose, avec un prologue, représentée à P
c un prologue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le
10
février 1673. 52. Tout le monde sçait la réponse
ue, représentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 février
1673.
52. Tout le monde sçait la réponse que Moliere f
résentée à Paris sur le théatre du palais royal, le 10 février 1673.
52.
Tout le monde sçait la réponse que Moliere fit à
ere, un canonicat de Vincennes. Voyez troisiéme placet sur Tartuffe.
53.
Frosine y fait allusion dans l’avare, acte II, sc
placet sur Tartuffe. 53. Frosine y fait allusion dans l’avare, acte
II
, scéne VI, en disant à Harpagon, que Moliere repr
r Tartuffe. 53. Frosine y fait allusion dans l’avare, acte II, scéne
VI
, en disant à Harpagon, que Moliere représentoit,
-à-vis la fontaine, du côté qui donne sur le jardin du palais royal.
55.
Voyez note 19, sur l’épître 7 de Despreaux, Amst
ne, du côté qui donne sur le jardin du palais royal. 55. Voyez note
19,
sur l’épître 7 de Despreaux, Amst. in-folio, 1718
onne sur le jardin du palais royal. 55. Voyez note 19, sur l’épître
7
de Despreaux, Amst. in-folio, 1718, tome premier,
al. 55. Voyez note 19, sur l’épître 7 de Despreaux, Amst. in-folio,
1718,
tome premier, p. 218. 56. Mademoiselle Poisson f
l’épître 7 de Despreaux, Amst. in-folio, 1718, tome premier, p. 218.
56.
Mademoiselle Poisson fille de du Croisy, comédien
troupe de Moliere elle a joué le rôle d’une des Graces dans Psiché en
1671.
57. Outre les ouvrages qu’on a rassemblés dans c
de Moliere elle a joué le rôle d’une des Graces dans Psiché en 1671.
57.
Outre les ouvrages qu’on a rassemblés dans cette
Grange : on ne sçait ce qu’elles sont devenuës. [Voyez Grimarest page
310.
] Il avoit aussi traduit presque tout Lucrece. Voy
310.] Il avoit aussi traduit presque tout Lucrece. Voyez le même page
311,
& remarques sur la satyre 2 de Despreaux, in-
e tout Lucrece. Voyez le même page 311, & remarques sur la satyre
2
de Despreaux, in-folio, Amsterdam, page 20, tome
mp; remarques sur la satyre 2 de Despreaux, in-folio, Amsterdam, page
20,
tome premier, 1718. 58. Voyez ép. II, de Despré
la satyre 2 de Despreaux, in-folio, Amsterdam, page 20, tome premier,
1718.
58. Voyez ép. II, de Despréaux. 59. Voyez vie
re 2 de Despreaux, in-folio, Amsterdam, page 20, tome premier, 1718.
58.
Voyez ép. II, de Despréaux. 59. Voyez vie de M
ux, in-folio, Amsterdam, page 20, tome premier, 1718. 58. Voyez ép.
II
, de Despréaux. 59. Voyez vie de Moliere, par Gr
rdam, page 20, tome premier, 1718. 58. Voyez ép. II, de Despréaux.
59.
Voyez vie de Moliere, par Grimarest, page 48. 6
ép. II, de Despréaux. 59. Voyez vie de Moliere, par Grimarest, page
48.
60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III.
I, de Despréaux. 59. Voyez vie de Moliere, par Grimarest, page 48.
60.
Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III. 62. A
préaux. 59. Voyez vie de Moliere, par Grimarest, page 48. 60. Acte
III
, scéne I. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte III,
. Voyez vie de Moliere, par Grimarest, page 48. 60. Acte III, scéne
I
. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne V.
oyez vie de Moliere, par Grimarest, page 48. 60. Acte III, scéne I.
61.
Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne V. 63. S
de Moliere, par Grimarest, page 48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte
I
, scéne III. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XI
e, par Grimarest, page 48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne
III
. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Act
Grimarest, page 48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III.
62.
Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, s
t, page 48. 60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte
III
, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV.
60. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne
V.
63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte
. Acte III, scéne I. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne V.
63.
Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, s
e I. 61. Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII.
64.
Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV. 66. A
Acte I, scéne III. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte
I
, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV. 66. Acte II,
scéne III. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne
IV
. 65. Acte II, scéne XIV. 66. Acte II, scéne VI.
III. 62. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV.
65.
Acte II, scéne XIV. 66. Acte II, scéne VI. 67.
. Acte III, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte
II
, scéne XIV. 66. Acte II, scéne VI. 67. Chaque t
, scéne V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne
XIV
. 66. Acte II, scéne VI. 67. Chaque troupe avoit
e V. 63. Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV.
66.
Acte II, scéne VI. 67. Chaque troupe avoit, dans
Scéne XII. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV. 66. Acte
II
, scéne VI. 67. Chaque troupe avoit, dans ce tems
. 64. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV. 66. Acte II, scéne
VI
. 67. Chaque troupe avoit, dans ce tems-là, un ac
. Acte I, scéne IV. 65. Acte II, scéne XIV. 66. Acte II, scéne VI.
67.
Chaque troupe avoit, dans ce tems-là, un acteur,
s années avant sa mort, avoit cédé cet emploi au comédien la Grange.
68.
Non seulement, en 1665, il obtint pour sa troupe
, avoit cédé cet emploi au comédien la Grange. 68. Non seulement, en
1665,
il obtint pour sa troupe le tître de troupe du Ro
n 1665, il obtint pour sa troupe le tître de troupe du Roi, avec sept
mille
livres de pension ; mais, sur les instances réité
sa maison n’entrassent à la comédie sans payer. Voyez Grimarest, page
131.
69. Il avoit du Croisy en vûë, lorsqu’il composa
son n’entrassent à la comédie sans payer. Voyez Grimarest, page 131.
69.
Il avoit du Croisy en vûë, lorsqu’il composa le r
e Baron encore jeune, il lui destina le rôle de l’Amour dans Psiché.
70.
La Raisin, veuve d’un organiste de Troyes, avoit
jeunes enfans, sous le nom de troupe Dauphine ; elle pria Moliere, en
1664,
de lui prêter son théatre pour trois représentati
Dauphine ; elle pria Moliere, en 1664, de lui prêter son théatre pour
trois
représentations : Moliere, informé du succès qu’a
entations : Moliere, informé du succès qu’avoit eu le jeune Baron les
deux
premiers jours, résolut, quoique malade, de se fa
u Roi, pour faire entrer Baron dans sa troupe. Voyez Grimarest, pages
95
& 101. 71. Baron étoit fils d’un comédien &a
ur faire entrer Baron dans sa troupe. Voyez Grimarest, pages 95 &
101.
71. Baron étoit fils d’un comédien & d’une c
re entrer Baron dans sa troupe. Voyez Grimarest, pages 95 & 101.
71.
Baron étoit fils d’un comédien & d’une comédi
dienne de l’hôtel de Bourgogne. Son pere étoit mort au mois d’octobre
1655
; & sa mere, au mois de septembre 1662. Voyez
oit mort au mois d’octobre 1655 ; & sa mere, au mois de septembre
1662.
Voyez Muse historique de Loret, lettre 40, de l’a
re, au mois de septembre 1662. Voyez Muse historique de Loret, lettre
40,
de l’année 1655, & lettre 35, de l’année 1662
septembre 1662. Voyez Muse historique de Loret, lettre 40, de l’année
1655,
& lettre 35, de l’année 1662. 72. On disoit
ez Muse historique de Loret, lettre 40, de l’année 1655, & lettre
35,
de l’année 1662. 72. On disoit que Moliere, qui
que de Loret, lettre 40, de l’année 1655, & lettre 35, de l’année
1662.
72. On disoit que Moliere, qui avoit été amoureu
Loret, lettre 40, de l’année 1655, & lettre 35, de l’année 1662.
72.
On disoit que Moliere, qui avoit été amoureux de
elle étoit fille d’un gentilhomme d’Avignon, nommé Modéne, Voyez page
21.
73. Son nom de famille étoit Mignot. 74. Epître
étoit fille d’un gentilhomme d’Avignon, nommé Modéne, Voyez page 21.
73.
Son nom de famille étoit Mignot. 74. Epître VII,
, nommé Modéne, Voyez page 21. 73. Son nom de famille étoit Mignot.
74.
Epître VII, à monsieur Racine.
éne, Voyez page 21. 73. Son nom de famille étoit Mignot. 74. Epître
VII
, à monsieur Racine.
par une Histoire des révolutions de la ville et du royaume de Naples
2,
où lui-même avait joué un très grand rôle, en sor
arrians, village assez considérable, situé dans le comté Vénaissin, à
deux
lieues de Carpentras, le 19 novembre 16083. Son p
rable, situé dans le comté Vénaissin, à deux lieues de Carpentras, le
19
novembre 16083. Son père, parent (oncle maternel
dans le comté Vénaissin, à deux lieues de Carpentras, le 19 novembre
16083.
Son père, parent (oncle maternel à la mode de Bre
celle de Savoie, etc. À son retour, il fut nommé conseiller d’état le
25
juillet 1617, et conseiller au conseil des Financ
voie, etc. À son retour, il fut nommé conseiller d’état le 25 juillet
1617,
et conseiller au conseil des Finances le 7 janvie
r d’état le 25 juillet 1617, et conseiller au conseil des Finances le
7
janvier 1620 ; au mois de mars suivant, le Roi lu
e 25 juillet 1617, et conseiller au conseil des Finances le 7 janvier
1620
; au mois de mars suivant, le Roi lui donna la ch
, vraisemblablement lors de son mariage, dont le contrat fut signé le
19
janvier 1630, avec Marguerite de la Baume, veuve
ablement lors de son mariage, dont le contrat fut signé le 19 janvier
1630,
avec Marguerite de la Baume, veuve d’Henri de Bea
mière femme5. Cette dame, qui s’était mariée pour la première fois en
16146,
devait être beaucoup plus âgée que son second épo
second époux. Elle en eut cependant un fils, né vraisemblablement en
1630,
qui fut nommé Gaston par Monsieur, duc d’Orléans,
ment tardif. Le père, encore bien jeune, puisqu’il devait avoir alors
vingt-trois
ans, se remaria peu de temps après avec Madelène
l n’eut pas d’enfants. Il paraît que le comte de Modène contracta ces
deux
mariages par déférence pour son père, plutôt que
our le plaisir. Il eut de cette femme une fille qu’il fit baptiser le
11
juillet 1658 sous leur nom à tous deux, et qu’il
sir. Il eut de cette femme une fille qu’il fit baptiser le 11 juillet
1658
sous leur nom à tous deux, et qu’il fit tenir sur
une fille qu’il fit baptiser le 11 juillet 1658 sous leur nom à tous
deux
, et qu’il fit tenir sur les fonts par son fils Ga
paix universelle de la chrétienté ». On sait que ce Prince fut tué le
6
juillet 1641, à la bataille de la Marfée, près de
rselle de la chrétienté ». On sait que ce Prince fut tué le 6 juillet
1641,
à la bataille de la Marfée, près de Sedan, entre
esprit et son courage11 ; Modène s’attacha à lui, et, comme il avait
six
ans de plus, Guise profita quelquefois de son exp
s, veuve du comte de Bossut : mais ayant fait sa paix avec la Cour en
1643,
il revint en France, et oublia son épouse au mili
le était le fils d’un tapissier, qui formait une troupe de comédie en
1645.
C’est le célèbre Molière qu’elle accompagna dans
le célèbre Molière qu’elle accompagna dans la province, ainsi que ses
deux
frères et sa sœur, et avec lequel elle s’unit pou
éussir, il partit avec lui de Paris pour Rome, vers la fin de l’année
1646,
afin de faire casser le mariage du duc avec une f
les Napolitains, mécontents du duc d’Arcos, qui gouvernait alors les
deux
Siciles, pour le roi d’Espagne Philippe IV, se ré
mbarqua au port d’Ostie, sur des felouques napolitaines, et arriva le
15
novembre 1647, à Naples, où il entra au milieu de
ort d’Ostie, sur des felouques napolitaines, et arriva le 15 novembre
1647,
à Naples, où il entra au milieu des acclamations
es, où il entra au milieu des acclamations du peuple16. Modène arriva
trois
jours après lui, avec quelques prisonniers espagn
Il prouva qu’il en était digne. En moins d’un mois il soumit plus de
trente
villes ; mais ses armes ne furent pas toujours he
ut devoir faire arrêter Modène, et publia un manifeste à ce sujet, le
17
février 164817. Mais en se privant ainsi de son p
aire arrêter Modène, et publia un manifeste à ce sujet, le 17 février
164817.
Mais en se privant ainsi de son principal appui,
les négociations, et y rentra, sans effusion de sang, le lundi saint,
6
avril 1648. Le duc de Guise, obligé de prendre la
ciations, et y rentra, sans effusion de sang, le lundi saint, 6 avril
1648.
Le duc de Guise, obligé de prendre la fuite, fut
nsporté en Espagne, où il fut privé de sa liberté pendant l’espace de
quatre
ans18. Pour le comte de Modène, il fut retenu pri
e comte de Modène, il fut retenu prisonnier par les Espagnols plus de
deux
ans dans le Château-Neuf de Naples, et traité com
Bejard, certainement plus âgée que lui, puisqu’elle avait été mère en
1658,
et que Molière était né en 162219. Il n’avait don
e lui, puisqu’elle avait été mère en 1658, et que Molière était né en
162219.
Il n’avait donc que seize ans de plus que Françoi
mère en 1658, et que Molière était né en 162219. Il n’avait donc que
seize
ans de plus que Françoise, qu’il se chargea d’éle
avait perdu son fils unique ; mais il voulait assurer sa succession à
quatre
neveux21 qui conservaient un nom, dont il s’honor
uvait réclamer une dot, mais non un héritage. En épousant Molière, le
20
février 166222, elle changea de nom ; elle fut mé
mer une dot, mais non un héritage. En épousant Molière, le 20 février
166222,
elle changea de nom ; elle fut métamorphosée en A
En effet, il fut parrain du second enfant qu’elle eut de Molière, le
4
août 166523. Aussi le public ne fut point, trompé
et, il fut parrain du second enfant qu’elle eut de Molière, le 4 août
166523.
Aussi le public ne fut point, trompé sur la préte
naissance, donnait lieu de penser. Il ne fut engagé par Molière qu’en
1670,
huit ans après le mariage de son directeur, dont
nce, donnait lieu de penser. Il ne fut engagé par Molière qu’en 1670,
huit
ans après le mariage de son directeur, dont la tr
accusation absurde, puisqu’il aurait fallu que Molière eût été père à
quinze
ans, et que d’ailleurs sa liaison n’avait commenc
ère à quinze ans, et que d’ailleurs sa liaison n’avait commencé qu’en
1645,
sept ans après la naissance de Françoise ; mais a
me du procureur, et si elle avait eu pour mère Marie Hervé, qui avait
vingt-deux
ans de plus que Molière27, et qui n’aurait pu dev
endue Armande-Grésinde, qui prend seulement le prénom de Grésinde, le
31
mai 1677, dans l’acte de célébration de son secon
rmande-Grésinde, qui prend seulement le prénom de Grésinde, le 31 mai
1677,
dans l’acte de célébration de son second mariage
olière28 ; après son second mariage, elle fut inscrite sur le rôle de
1680,
sous les noms d’Armande-Grésinde-Claire-Elisabeth
ejard, femme Guérin, reprenant ainsi le nom d’Armande, et en ajoutant
deux
autres. Si l’on veut se faire une idée nette de t
es prénoms sont inscrits ainsi : Armande-Grésinde, acte de mariage de
1662
; premier enfant, 1664 ; second, 1665 ; Armande-C
s ainsi : Armande-Grésinde, acte de mariage de 1662 ; premier enfant,
1664
; second, 1665 ; Armande-Claire-Elisabeth Bejard,
de-Grésinde, acte de mariage de 1662 ; premier enfant, 1664 ; second,
1665
; Armande-Claire-Elisabeth Bejard, troisième enfa
4 ; second, 1665 ; Armande-Claire-Elisabeth Bejard, troisième enfant,
1672
; Grésinde, mariage avec Guérin, 1677 ; Armande-G
abeth Bejard, troisième enfant, 1672 ; Grésinde, mariage avec Guérin,
1677
; Armande-Grésinde-Claire-Elisabeth, registre de
, 1677 ; Armande-Grésinde-Claire-Elisabeth, registre de La Grange, de
1662
; liste de 1680 ; et, comme on va le voir, extrai
-Grésinde-Claire-Elisabeth, registre de La Grange, de 1662 ; liste de
1680
; et, comme on va le voir, extrait mortuaire de l
evraient être les plus exacts, le sont le moins, si l’on veut que les
quatre
noms aient appartenu à la femme de Molière. Elle
Raimond son frère, prêta hommage au Pape, pour la terre de Modène, le
2
décembre 1673, comme frère et substitué à ce fief
frère, prêta hommage au Pape, pour la terre de Modène, le 2 décembre
1673,
comme frère et substitué à ce fief par le décès d
nt. En effet, l’écrivain contemporain de sa vie, de laquelle il y eut
deux
éditions publiées en 1688 et 1690, conséquemment
ontemporain de sa vie, de laquelle il y eut deux éditions publiées en
1688
et 1690, conséquemment avant sa mort, citées par
ain de sa vie, de laquelle il y eut deux éditions publiées en 1688 et
1690,
conséquemment avant sa mort, citées par Bayle30 e
nde-Claire-Elisabeth ; car on a vu que le nom de Françoise a subi ces
trois
transformations différentes. Il faudrait encore q
ait stipulée la dot donnée par la prétendue mère qui aurait eu encore
trois
autres enfants, lorsque Molière signa l’acte de c
signa l’acte de célébration. Il n’y a pas de généalogiste qui n’exige
trois
actes pour admettre une descendance. Ici on n’en
es contemporains. Il n’y a pas jusqu’au Nobiliaire du comté Vénaissin
32,
dont l’auteur, travaillant sur les Mémoires fourn
ravaillant sur les Mémoires fournis par la famille de Modène, dit (en
1750
) que la fille de M. de Modène a épousé Molière. I
t été composée et publiée de son vivant ; car elle n’est morte que le
30
novembre33 1700. La faute est trop évidente pour
et publiée de son vivant ; car elle n’est morte que le 30 novembre33
1700.
La faute est trop évidente pour avoir été commise
eu intérêt à falsifier, comme tant d’autres que nous connaissons. Le
27
janvier 1821, M. Beffara, toujours infatigable da
à falsifier, comme tant d’autres que nous connaissons. Le 27 janvier
1821,
M. Beffara, toujours infatigable dans ses recherc
découvert l’extrait mortuaire de la veuve de Molière, sous la date du
2
décembre 1700. Elle y est appelée femme Guérin (A
’extrait mortuaire de la veuve de Molière, sous la date du 2 décembre
1700.
Elle y est appelée femme Guérin (Armande-Grésinde
lée femme Guérin (Armande-Grésinde-Claire-Elisabeth Bejard), morte le
30
novembre, à l’âge de cinquante-cinq ans. Elle éta
e-Grésinde-Claire-Elisabeth Bejard), morte le 30 novembre, à l’âge de
cinquante-cinq
ans. Elle était logée rue de Touraine (paroisse S
ce). Selon cet extrait mortuaire, mademoiselle Bejard serait née l’an
1645,
sept ans après l’accouchement de sa prétendue sœu
nçoise et de l’extrait baptistaire d’Armande. En se faisant naître en
1645,
madame Molière autorisait la calomnie de Montfleu
de Montfleuri, qui était alors plausible. Elle se supposait mariée à
dix-sept
ans au lieu de vingt-quatre ; elle s’était retiré
t alors plausible. Elle se supposait mariée à dix-sept ans au lieu de
vingt-quatre
; elle s’était retirée du théâtre dans un âge ass
quatre ; elle s’était retirée du théâtre dans un âge assez avancé, en
169434,
à cinquante-six ans, et non à quarante-neuf, comm
lle s’était retirée du théâtre dans un âge assez avancé, en 169434, à
cinquante-six
ans, et non à quarante-neuf, comme elle le préten
re dans un âge assez avancé, en 169434, à cinquante-six ans, et non à
quarante-neuf
, comme elle le prétendait, ce qui aurait été un â
si éclairé, et j’adopte d’avance sa décision. Le comte de F… d’U…
1.
C’est le nom d’un fief acheté par son père, dans
aptiste d’Ornano, et Marie de Raimond, dame de Montlaur, son épouse.
2.
Imprimée à Paris, en 3 vol. in-12 ; le premier vo
ie de Raimond, dame de Montlaur, son épouse. 2. Imprimée à Paris, en
3
vol. in-12 ; le premier volume en 1665, et les de
épouse. 2. Imprimée à Paris, en 3 vol. in-12 ; le premier volume en
1665,
et les deux autres en 1667. 3. Voyez l’Histoire
Imprimée à Paris, en 3 vol. in-12 ; le premier volume en 1665, et les
deux
autres en 1667. 3. Voyez l’Histoire de la nobles
s, en 3 vol. in-12 ; le premier volume en 1665, et les deux autres en
1667.
3. Voyez l’Histoire de la noblesse du comté Véna
vol. in-12 ; le premier volume en 1665, et les deux autres en 1667.
3.
Voyez l’Histoire de la noblesse du comté Vénaissi
in, d’Avignon et de la principauté d’Orange (par Pithon-Curt). Paris,
1750,
tome 3, p. 19, 20, 21 et 22, article Raimond. Voy
on et de la principauté d’Orange (par Pithon-Curt). Paris, 1750, tome
3,
p. 19, 20, 21 et 22, article Raimond. Voyez aussi
a principauté d’Orange (par Pithon-Curt). Paris, 1750, tome 3, p. 19,
20,
21 et 22, article Raimond. Voyez aussi l’Histoire
incipauté d’Orange (par Pithon-Curt). Paris, 1750, tome 3, p. 19, 20,
21
et 22, article Raimond. Voyez aussi l’Histoire ma
uté d’Orange (par Pithon-Curt). Paris, 1750, tome 3, p. 19, 20, 21 et
22,
article Raimond. Voyez aussi l’Histoire manuscrit
’Histoire manuscrite de Pernes, par Giberti, généalogie des Raimond.
4.
Sur les prétentions que les ennemis du connétable
aites pendant le règne du connétable M. de Luynes. Quatrième édition,
1628,
pages 338 et 474. 5. Hist. de la noblesse du Co
t le règne du connétable M. de Luynes. Quatrième édition, 1628, pages
338
et 474. 5. Hist. de la noblesse du Comté Vénais
gne du connétable M. de Luynes. Quatrième édition, 1628, pages 338 et
474.
5. Hist. de la noblesse du Comté Vénaissin. Tom
connétable M. de Luynes. Quatrième édition, 1628, pages 338 et 474.
5.
Hist. de la noblesse du Comté Vénaissin. Tome pr
4. 5. Hist. de la noblesse du Comté Vénaissin. Tome premier. Paris,
1743
; p. 135, art. la Baume. 6. Histoire généalogiq
Comté Vénaissin. Tome premier. Paris, 1743 ; p. 135, art. la Baume.
6.
Histoire généalogique de la maison de France, pa
aison de France, par le père Anselme ; art. du maréchal de Lavardin.
7.
C’est ainsi que s’exprime le Dictionnaire univers
ionnaire universel, à l’article Gaston. Voyez les Mémoires du temps.
8.
Dissertation sur J. B. Poquelin-Molière, par L.
Mémoires du temps. 8. Dissertation sur J. B. Poquelin-Molière, par
L.
F. Beffara. Paris, 1821, p. 13. 9. Grimarest (Vi
. Dissertation sur J. B. Poquelin-Molière, par L. F. Beffara. Paris,
1821,
p. 13. 9. Grimarest (Vie de Molière), dit qu’ils
n sur J. B. Poquelin-Molière, par L. F. Beffara. Paris, 1821, p. 13.
9.
Grimarest (Vie de Molière), dit qu’ils avaient co
é. On trouvera cette vie dans l’édition des Œuvres de Molière. Paris,
1716,
t. I. Dissertation, p. 20. 10. L’Art de vérifie
uvera cette vie dans l’édition des Œuvres de Molière. Paris, 1716, t.
I
. Dissertation, p. 20. 10. L’Art de vérifier les
ition des Œuvres de Molière. Paris, 1716, t. I. Dissertation, p. 20.
10.
L’Art de vérifier les dates. Paris, 1818, t. 6,
t. I. Dissertation, p. 20. 10. L’Art de vérifier les dates. Paris,
1818,
t. 6, page 256. 11. Biographie universelle, t.
ssertation, p. 20. 10. L’Art de vérifier les dates. Paris, 1818, t.
6,
page 256. 11. Biographie universelle, t. 19, p.
on, p. 20. 10. L’Art de vérifier les dates. Paris, 1818, t. 6, page
256.
11. Biographie universelle, t. 19, p. 199 ; art
20. 10. L’Art de vérifier les dates. Paris, 1818, t. 6, page 256.
11.
Biographie universelle, t. 19, p. 199 ; article
dates. Paris, 1818, t. 6, page 256. 11. Biographie universelle, t.
19,
p. 199 ; article Guise. 12. Histoire manuscrite
ge 256. 11. Biographie universelle, t. 19, p. 199 ; article Guise.
12.
Histoire manuscrite de Pernes, par Giberti. 13.
9 ; article Guise. 12. Histoire manuscrite de Pernes, par Giberti.
13.
Histoire des révolutions de Naples, t. 2, p. 69.
de Pernes, par Giberti. 13. Histoire des révolutions de Naples, t.
2,
p. 69. 14. L’Art de vérifier les dates. Paris,
par Giberti. 13. Histoire des révolutions de Naples, t. 2, p. 69.
14.
L’Art de vérifier les dates. Paris, 1819, t. 18,
ons de Naples, t. 2, p. 69. 14. L’Art de vérifier les dates. Paris,
1819,
t. 18, p. 288. Histoire des rois des deux Siciles
ples, t. 2, p. 69. 14. L’Art de vérifier les dates. Paris, 1819, t.
18,
p. 288. Histoire des rois des deux Siciles, par d
vérifier les dates. Paris, 1819, t. 18, p. 288. Histoire des rois des
deux
Siciles, par d’Égly. Paris, 1741, t. 4, p. 195.
t. 18, p. 288. Histoire des rois des deux Siciles, par d’Égly. Paris,
1741,
t. 4, p. 195. 15. Il descendait d’Yolande d’Anjo
288. Histoire des rois des deux Siciles, par d’Égly. Paris, 1741, t.
4,
p. 195. 15. Il descendait d’Yolande d’Anjou, fil
re des rois des deux Siciles, par d’Égly. Paris, 1741, t. 4, p. 195.
15.
Il descendait d’Yolande d’Anjou, fille du roi Ren
4, p. 195. 15. Il descendait d’Yolande d’Anjou, fille du roi René.
16.
Histoire des révolutions de Naples, tome 2, page
ou, fille du roi René. 16. Histoire des révolutions de Naples, tome
2,
page 245. 17. Id., t. 3, p. 260. 18. L’Art de
e du roi René. 16. Histoire des révolutions de Naples, tome 2, page
245.
17. Id., t. 3, p. 260. 18. L’Art de vérifier
oi René. 16. Histoire des révolutions de Naples, tome 2, page 245.
17.
Id., t. 3, p. 260. 18. L’Art de vérifier les d
Histoire des révolutions de Naples, tome 2, page 245. 17. Id., t.
3,
p. 260. 18. L’Art de vérifier les dates, t. 18,
es révolutions de Naples, tome 2, page 245. 17. Id., t. 3, p. 260.
18.
L’Art de vérifier les dates, t. 18, p. 290. Hist
e 245. 17. Id., t. 3, p. 260. 18. L’Art de vérifier les dates, t.
18,
p. 290. Hist. des rois des deux Siciles, par d’Ég
18. L’Art de vérifier les dates, t. 18, p. 290. Hist. des rois des
deux
Siciles, par d’Égly, t. 4, p. 213. 19. Grimarest
dates, t. 18, p. 290. Hist. des rois des deux Siciles, par d’Égly, t.
4,
p. 213. 19. Grimarest, Vie de Molière. M. Petito
, p. 290. Hist. des rois des deux Siciles, par d’Égly, t. 4, p. 213.
19.
Grimarest, Vie de Molière. M. Petitot, dans son é
élevée à Nîmes, depuis sa naissance jusqu’à sa réunion avec sa mère.
20.
Vie de la Guérin, citée par Bayle et Joly. 21.
union avec sa mère. 20. Vie de la Guérin, citée par Bayle et Joly.
21.
Histoire de la noblesse du comté Vénaissin, tome
Bayle et Joly. 21. Histoire de la noblesse du comté Vénaissin, tome
3.
22. Dissertation de M. Beffara, p. 7. 23. Id.
e et Joly. 21. Histoire de la noblesse du comté Vénaissin, tome 3.
22.
Dissertation de M. Beffara, p. 7. 23. Id., p.
du comté Vénaissin, tome 3. 22. Dissertation de M. Beffara, p. 7.
23.
Id., p. 15. 24. Vie de Molière, par Grimarest.
n, tome 3. 22. Dissertation de M. Beffara, p. 7. 23. Id., p. 15.
24.
Vie de Molière, par Grimarest. 25. Lettres de
effara, p. 7. 23. Id., p. 15. 24. Vie de Molière, par Grimarest.
25.
Lettres de Racine, dans l’édition de La Harpe, f
res ne sont point complètes dans l’édition de Luneau de Boisjermain.
26.
Dictionnaire de Bayle, art. Poquelin. 27. Conje
e Luneau de Boisjermain. 26. Dictionnaire de Bayle, art. Poquelin.
27.
Conjecture de M. Beffara, p. 24 de sa Dissertatio
. Poquelin. 27. Conjecture de M. Beffara, p. 24 de sa Dissertation.
28.
Registres de La Grange, pour 1662, 1665, 1670 et
Beffara, p. 24 de sa Dissertation. 28. Registres de La Grange, pour
1662,
1665, 1670 et 1672. 29. Histoire manuscrite de
a, p. 24 de sa Dissertation. 28. Registres de La Grange, pour 1662,
1665,
1670 et 1672. 29. Histoire manuscrite de la vil
24 de sa Dissertation. 28. Registres de La Grange, pour 1662, 1665,
1670
et 1672. 29. Histoire manuscrite de la ville de
Dissertation. 28. Registres de La Grange, pour 1662, 1665, 1670 et
1672.
29. Histoire manuscrite de la ville de Pernes,
tation. 28. Registres de La Grange, pour 1662, 1665, 1670 et 1672.
29.
Histoire manuscrite de la ville de Pernes, par G
1672. 29. Histoire manuscrite de la ville de Pernes, par Giberti.
30.
Dictionnaire de Bayle, art. Poquelin ; remarq. C
es, par Giberti. 30. Dictionnaire de Bayle, art. Poquelin ; remarq.
C.
31. Remarques critiques sur ce Dictionnaire, ar
par Giberti. 30. Dictionnaire de Bayle, art. Poquelin ; remarq. C.
31.
Remarques critiques sur ce Dictionnaire, art. Po
31. Remarques critiques sur ce Dictionnaire, art. Poquelin, p. 630.
32.
Tome 3, p. 21 et 22. 33. La Dissertation de M. B
rques critiques sur ce Dictionnaire, art. Poquelin, p. 630. 32. Tome
3,
p. 21 et 22. 33. La Dissertation de M. Beffara,
ues sur ce Dictionnaire, art. Poquelin, p. 630. 32. Tome 3, p. 21 et
22.
33. La Dissertation de M. Beffara, p. 23, disait
ur ce Dictionnaire, art. Poquelin, p. 630. 32. Tome 3, p. 21 et 22.
33.
La Dissertation de M. Beffara, p. 23, disait le 3
3, p. 21 et 22. 33. La Dissertation de M. Beffara, p. 23, disait le
3
octobre ; mais l’extrait mortuaire dit le 30 nove
Beffara, p. 23, disait le 3 octobre ; mais l’extrait mortuaire dit le
30
novembre. 34. Dissertation, p. 23.
, disait le 3 octobre ; mais l’extrait mortuaire dit le 30 novembre.
34.
Dissertation, p. 23.
Tome
I
, numéro 1, 1er avril 1879 Georges Monval : L
Tome I, numéro
1,
1er avril 1879 Georges Monval : Le Moliérist
Tome I, numéro 1,
1er
avril 1879 Georges Monval : Le Moliériste. S
Tome I, numéro 1, 1er avril
1879
Georges Monval : Le Moliériste. Son utilité,
té, son but, son programme Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 1, 1er avril 1879, p. 3-4. Si chaque homme q
n but, son programme Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
1,
1er avril 1879, p. 3-4. Si chaque homme qui sait
ut, son programme Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 1,
1er
avril 1879, p. 3-4. Si chaque homme qui sait lir
ogramme Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 1, 1er avril
1879,
p. 3-4. Si chaque homme qui sait lire est — selo
a de dire que nous sommes, en France et de par le monde, tout au plus
trois
cents dévots de Molière, dont l’admiration va jus
ire que nous sommes, en France et de par le monde, tout au plus trois
cents
dévots de Molière, dont l’admiration va jusqu’au
les travaux considérables de MM. Paul Lacroix, Ed. Thierry, Fournier,
V.
Fournel, etc., après les excellentes monographies
s publiées par MM. Moland, Campardon, Claretie, B. Fillon, Loiseleur,
L.
de la Pijardière, etc., il semble qu’il n’y ait p
ques : tel est notre but. Nous ne négligerons rien pour l’atteindre. [
1879-04
] G. MONVAL. Georges Monval : Notre titre
orges Monval : Notre titre Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 1, 1er avril 1879, p. 6-9. Le mot Moliériste
Monval : Notre titre Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
1,
1er avril 1879, p. 6-9. Le mot Moliériste, qu’on
val : Notre titre Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 1,
1er
avril 1879, p. 6-9. Le mot Moliériste, qu’on ne
e titre Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 1, 1er avril
1879,
p. 6-9. Le mot Moliériste, qu’on ne trouve dans
nnaire, passe généralement pour un néologisme, quoi qu’il ait près de
deux
siècles d’existence. Dix-neuf ans après la mort d
pour un néologisme, quoi qu’il ait près de deux siècles d’existence.
Dix-neuf
ans après la mort de Molière, il était employé pa
y1 dans le prologue de son premier ouvrage : Le Négligent, comédie en
trois
actes, en prose, représentée pour la première foi
représentée pour la première fois à la Comédie-Française le mercredi
27
février 16922. M. Licandre, poète et bel esprit q
e pour la première fois à la Comédie-Française le mercredi 27 février
16922.
M. Licandre, poète et bel esprit qui « parle en c
Ricaner par mesure, et grimacer par ordre. Avec cela, et
cinq
ou six mots en vogue, elle soutient la conversati
Ricaner par mesure, et grimacer par ordre. Avec cela, et cinq ou
six
mots en vogue, elle soutient la conversation tout
u-dessous du portrait des Hommes illustres de Perrault, et décrit dès
1673
dans ce passage du Mercure galant : Ces Armes pa
es gens, ou plutôt des vices qui se cachaient sous de faux masques. [
1879-04
] G. M. Édouard Thierry : Il y a fagots et f
: Il y a fagots et fagots Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 1, 1er avril 1879, p. 11-14. Un petit débat
y a fagots et fagots Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
1,
1er avril 1879, p. 11-14. Un petit débat philolo
fagots et fagots Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 1,
1er
avril 1879, p. 11-14. Un petit débat philologiqu
fagots Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 1, 1er avril
1879,
p. 11-14. Un petit débat philologique s’est élev
(vous voyez la rime) avec son valet Bidache, son élève Godenèche, et
treize
pièces de théâtre en manuscrit, destinées aux Com
ogne. Il se présente à leur assemblée et propose de lire sur le champ
deux
de ses ouvrages. On se prête seulement à écouter
deux de ses ouvrages. On se prête seulement à écouter les titres des
treize
chefs-d’œuvre. Pour être magnifiques, ils le sont
; mais aussi le génie de l’auteur dédaigne trop les calculs mesquins.
Treize
vaisseaux de guerre, il ne demande pas moins pour
aste La Mégère amoureuse. Avec La Mégère, on peut réduire la troupe à
deux
ou trois acteurs. Et Dieu sait les bénéfices que
Mégère amoureuse. Avec La Mégère, on peut réduire la troupe à deux ou
trois
acteurs. Et Dieu sait les bénéfices que se partag
ou trois acteurs. Et Dieu sait les bénéfices que se partageraient, en
trois
mois, trois comédiens seulement ! Trois comédiens
eurs. Et Dieu sait les bénéfices que se partageraient, en trois mois,
trois
comédiens seulement ! Trois comédiens ! dit Haute
ices que se partageraient, en trois mois, trois comédiens seulement !
Trois
comédiens ! dit Hauteroche : À ce compte on fera
seulement ! Trois comédiens ! dit Hauteroche : À ce compte on ferait
trois
troupes de la nôtre ! LE POETE. Cinq ? J’en ferai
eroche : À ce compte on ferait trois troupes de la nôtre ! LE POETE.
Cinq
? J’en ferais bien dix fort belles de la vôtre !
ferait trois troupes de la nôtre ! LE POETE. Cinq ? J’en ferais bien
dix
fort belles de la vôtre ! M. DE FLORIDOR. Et, s’i
rais bien dix fort belles de la vôtre ! M. DE FLORIDOR. Et, s’il faut
six
acteurs sur la scène, comment ?… LE POETE. Lors,
six acteurs sur la scène, comment ?… LE POETE. Lors, il faut habiller
six
fagots proprement. Melle POISSON. Quoi ! Des fago
ait pu faire jouer des fagots, ces fagots-là ne sont pas des fagots à
cent
dix sous le cent, comme ceux de Sganarelle, ce so
u faire jouer des fagots, ces fagots-là ne sont pas des fagots à cent
dix
sous le cent, comme ceux de Sganarelle, ce sont b
r des fagots, ces fagots-là ne sont pas des fagots à cent dix sous le
cent
, comme ceux de Sganarelle, ce sont bien des manne
c, tout aussi gauches que des mannequins. — Il y a fagots et fagots. [
1879-04
] Édouard THIERRY. Georges Monval : Molière
es Monval : Molière à Albi Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 1, 1er avril 1879, p. 15-20. Un jeune avocat
val : Molière à Albi Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
1,
1er avril 1879, p. 15-20. Un jeune avocat de tal
: Molière à Albi Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 1,
1er
avril 1879, p. 15-20. Un jeune avocat de talent,
à Albi Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 1, 1er avril
1879,
p. 15-20. Un jeune avocat de talent, M. Jules Ro
nt de découvrir dans les archives communales d’Albi, sa ville natale,
trois
documents du plus haut intérêt, qu’il a malheureu
ut intérêt, qu’il a malheureusement enfouis dans un gros in-octavo de
427
pages, tiré à 300 exemplaires seulement : L’Instr
a malheureusement enfouis dans un gros in-octavo de 427 pages, tiré à
300
exemplaires seulement : L’Instruction en Province
s, tiré à 300 exemplaires seulement : L’Instruction en Province avant
1789
: histoire littéraire de la ville d’Albi 3, dont
ction en Province avant 1789 : histoire littéraire de la ville d’Albi
3,
dont le chapitre intitulé : « Molière est-il venu
, dont le chapitre intitulé : « Molière est-il venu à Albi ? » occupe
douze
pages à peine (205 à 216). Le premier de ces text
titulé : « Molière est-il venu à Albi ? » occupe douze pages à peine (
205
à 216). Le premier de ces textes, dont l’importan
: « Molière est-il venu à Albi ? » occupe douze pages à peine (205 à
216
). Le premier de ces textes, dont l’importance n’é
qu’on leur avait faite, qui est qu’on leur avait promis une somme de
six
cents livres et le port et conduite de leurs baga
on leur avait faite, qui est qu’on leur avait promis une somme de six
cents
livres et le port et conduite de leurs bagages. C
é serviteur, « Signé : de Breteuil. « Carcassonne, neuvième octobre
1647
» Le second document, qui complète le précédent,
Mgr le Comte, il leur fût accordé pour le dédommagement la fortune de
500
livres payées et avancées par la susdite ville d’
rthelot et Pierre Rebelhon, retenue par Me Bernard Bruel, notaire, le
24e
Octobre dudit an 1647. » Quelle est cette troupe
elhon, retenue par Me Bernard Bruel, notaire, le 24e Octobre dudit an
1647.
» Quelle est cette troupe du duc d’Épernon, dont
celle des Béjart, débris de l’Illustre Théâtre qui, parti de Paris en
1646,
a représenté à Bordeaux La Thébaïde de Molière, p
tion n’est pas douteuse. La présence de Molière à Toulouse en juillet
1647,
à Albi en août et septembre, à Carcassonne en oct
itions conformes. Que nous dit, en effet, la tradition locale ? Qu’en
1646
ou 1647, Molière fut mandé à Bordeaux par le duc
onformes. Que nous dit, en effet, la tradition locale ? Qu’en 1646 ou
1647,
Molière fut mandé à Bordeaux par le duc d’Épernon
Toulouse, y connut Pierre Goudouly ; à quoi la critique a objecté que
1646
est une coquille d’imprimerie, qu’il faut renvers
e 1646 est une coquille d’imprimerie, qu’il faut renverser le dernier
6
et lire 1649 ; et qu’en effet Molière était à Tou
une coquille d’imprimerie, qu’il faut renverser le dernier 6 et lire
1649
; et qu’en effet Molière était à Toulouse le 16 m
e dernier 6 et lire 1649 ; et qu’en effet Molière était à Toulouse le
16
mai 1649 (date à laquelle Goudouly était retiré a
er 6 et lire 1649 ; et qu’en effet Molière était à Toulouse le 16 mai
1649
(date à laquelle Goudouly était retiré au cloître
ly était retiré au cloître des Carmes et proche de sa fin, étant mort
quatre
mois après). Que nous disent les documents ? Que
des Béjart et de Molière, Jean Magnon, fut imprimée cette même année
1647
et dédiée au duc d’Épernon ; Qu’en avril 1648, Mo
primée cette même année 1647 et dédiée au duc d’Épernon ; Qu’en avril
1648,
Molière « l’un des comédiens de la troupe du sieu
comédiens de la troupe du sieur Du Fresne » était à Nantes ; que, le
18
mai, en la paroisse Saint-Léonard de cette ville,
n lit seulement, raturés au-dessous de la signature de Madeleine, ces
deux
mots étranges, énigmatiques : DOMINE BOODAVIA,
ux lecteurs du registre de la mairie de Nantes. Quoi qu’il en soit, à
six
mois de distance, nous trouvons du Fresne, du Par
l’année suivante (E. Raymond), à Narbonne (dº) et Agen (A. Magen) en
1650,
et à Lyon en 1653 (C. Brouchoud). Jusqu’à preuve
E. Raymond), à Narbonne (dº) et Agen (A. Magen) en 1650, et à Lyon en
1653
(C. Brouchoud). Jusqu’à preuve contraire, nous se
mond), à Narbonne (dº) et Agen (A. Magen) en 1650, et à Lyon en 1653 (
C.
Brouchoud). Jusqu’à preuve contraire, nous serons
ous dirons, sans point d’interrogation : « Molière est venu à Albi en
1647.
» Y revint-il dix ans plus tard ? L’affirmative n
nt d’interrogation : « Molière est venu à Albi en 1647. » Y revint-il
dix
ans plus tard ? L’affirmative ne nous paraît pas
le troisième document signalé par M. Rolland. C’est une quittance du
10
septembre 1657 donnée par deux comédiens du duc d
document signalé par M. Rolland. C’est une quittance du 10 septembre
1657
donnée par deux comédiens du duc d’Orléans, const
é par M. Rolland. C’est une quittance du 10 septembre 1657 donnée par
deux
comédiens du duc d’Orléans, constatant que les co
hez le duc d’Arpajon, lieutenant général qui ouvrit les dits États le
8
octobre suivant. Cette quittance porte deux signa
qui ouvrit les dits États le 8 octobre suivant. Cette quittance porte
deux
signatures : Dubois et Mignot. Or, qu’on se rappe
homme… Que croyez-vous que je doive lui donner ?… » Baron statua sur
quatre
pistoles… — Eh ! bien, je vais lui donner quatre
… » Baron statua sur quatre pistoles… — Eh ! bien, je vais lui donner
quatre
pistoles pour moi, dit Molière… mais en voilà vin
vais lui donner quatre pistoles pour moi, dit Molière… mais en voilà
vingt
autres que je lui donnerai pour vous… J’ai aussi
Cet habit, que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté
deux
mille cinq cents livres, et il était presque tout
habit, que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux
mille
cinq cents livres, et il était presque tout neuf.
que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille
cinq
cents livres, et il était presque tout neuf. Il a
Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille cinq
cents
livres, et il était presque tout neuf. Il assaiso
ui avait coûté deux mille cinq cents livres, et il était presque tout
neuf
. Il assaisonna ce présent d’un bon accueil qu’il
rodeur » qui faisait partie de l’association de l’Illustre Théâtre en
1644
? Nous sommes donc vraisemblablement en présence
e Théâtre en 1644 ? Nous sommes donc vraisemblablement en présence de
deux
camarades de Molière, mais nous ne pensons pas qu
sa troupe qui paraît avoir — non pas fait le service de cette session
1657-1658
aux États de Languedoc dont elle n’avait guère eu
l’on tire de ces données, il est incontestable que la découverte des
trois
documents précités est d’une importance réelle po
lète de Molière en province. L’Histoire littéraire de la ville d’Albi
4
mériterait à coup sûr d’être lue et appréciée ne
ivre très étudié et consciencieux attirât l’attention de l’Académie. [
1879-04
] G. M. Tome I, numéro 2, 1er mai 1879
encieux attirât l’attention de l’Académie. [1879-04] G. M. Tome
I
, numéro 2, 1er mai 1879 Édouard Thierry : Un
tirât l’attention de l’Académie. [1879-04] G. M. Tome I, numéro
2,
1er mai 1879 Édouard Thierry : Une mise en s
ât l’attention de l’Académie. [1879-04] G. M. Tome I, numéro 2,
1er
mai 1879 Édouard Thierry : Une mise en scène
ention de l’Académie. [1879-04] G. M. Tome I, numéro 2, 1er mai
1879
Édouard Thierry : Une mise en scène moderne
Tartuffe [premier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 2, 1er Mai 1879, p. 37-42. Le mardi 3 novemb
fe [premier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
2,
1er Mai 1879, p. 37-42. Le mardi 3 novembre 1857
[premier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 2,
1er
Mai 1879, p. 37-42. Le mardi 3 novembre 1857, l’
article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 2, 1er Mai
1879,
p. 37-42. Le mardi 3 novembre 1857, l’Odéon anno
te : revue mensuelle, tome I, nº 2, 1er Mai 1879, p. 37-42. Le mardi
3
novembre 1857, l’Odéon annonçait Tartuffe « avec
mensuelle, tome I, nº 2, 1er Mai 1879, p. 37-42. Le mardi 3 novembre
1857,
l’Odéon annonçait Tartuffe « avec une mise en scè
savez peut-être pas quel était le problème ? C’était de ne pas avoir
six
personnages debout, posés toute une scène en éven
Cela se voit encore au Théâtre-Français ; cela ne se voit plus depuis
vingt
ans à la Porte Saint-Martin, depuis dix ans au Gy
cela ne se voit plus depuis vingt ans à la Porte Saint-Martin, depuis
dix
ans au Gymnase. La plantation du jeu de quilles,
continue par les lignes brisées, assis les comédiens de profil et de
trois
quarts. Il s’agissait donc de rompre l’ancien esp
tes salles, j’imagine. Celle du Palais-Royal, où Molière s’établit en
1661,
était certainement plus grande et plus belle, pui
euse, l’irrévérence et les libertés de la famille nouvelle. Quoi ! En
1667,
une grand-mère mécontente fait la leçon à sa bru,
monde se disperse. Marianne et Damis vont chuchoter à l’écart, comme
deux
amoureux, qu’ils ne sont pas, Dieu merci ! Cléant
mire (Elmire !) fausse çà et là compagnie à Mme Pernelle. Dorine, les
deux
poings sur la table, conteste avec la bonne femme
ante. La belle avance, si Elmire assise ne ressemble plus à Elmire ! [
1857-09
] Édouard THIERRY. (La suite à la prochaine li
lceste et M. de Montausier Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 2, 1er Mai 1879, p. 43-44. Il n’est pas dout
et M. de Montausier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
2,
1er Mai 1879, p. 43-44. Il n’est pas douteux pou
M. de Montausier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 2,
1er
Mai 1879, p. 43-44. Il n’est pas douteux pour mo
ontausier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 2, 1er Mai
1879,
p. 43-44. Il n’est pas douteux pour moi que Moli
ntausier sous le nom de Mégabaste dans son roman du Grand Cyrus (tome
VII
, p. 307). Ce portrait est connu — Le Moliériste l
e. » De ce passage rapprochez les vers suivants du Misanthrope (acte
II
, scène v) : « L’on a tort, ici, de nourrir dans
celui que fait Éliante se trouve dans Lucrèce (De Rerum natura, livre
IV
) mais je suis persuadé que le trait de Mlle de Sc
Le premier à les voir, comme à les condamner. Le Misanthrope est de
1666
; Le Grand Cyrus parut en 1650 ; Molière avait lu
les condamner. Le Misanthrope est de 1666 ; Le Grand Cyrus parut en
1650
; Molière avait lu Mlle de Scudéry, et l’on ne ra
anthrope. Il n’avait qu’à y ajouter sa propre passion… et son génie. [
1879-05
] Henri de LAPOMMERAYE. L. de la Pijardière
a propre passion… et son génie. [1879-05] Henri de LAPOMMERAYE.
L.
de la Pijardière : Molière parrain à Montpellier
ière parrain à Montpellier Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 2, 1er Mai 1879, p. 45-46. Un article de La
arrain à Montpellier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
2,
1er Mai 1879, p. 45-46. Un article de La Républi
ain à Montpellier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 2,
1er
Mai 1879, p. 45-46. Un article de La République,
ntpellier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 2, 1er Mai
1879,
p. 45-46. Un article de La République, journal d
9, p. 45-46. Un article de La République, journal de Montpellier, du
10
mai 1876, contient, sous la signature G., mention
5-46. Un article de La République, journal de Montpellier, du 10 mai
1876,
contient, sous la signature G., mention de la déc
ignature G., mention de la découverte d’un acte de baptême en date du
6
janvier 1654 ou Molière figure en qualité de parr
., mention de la découverte d’un acte de baptême en date du 6 janvier
1654
ou Molière figure en qualité de parrain. L’auteur
ables classé aujourd’hui aux archives municipales de Montpellier (GG.
218
). Voici d’abord le titre du volume : Registre de
’acte est ainsi conçu : (en marge) « Jean Baptiste Du Jardin. » « Le
6
Janvier 1654 a esté baptisé à St Pierre Jean Bapt
ainsi conçu : (en marge) « Jean Baptiste Du Jardin. » « Le 6 Janvier
1654
a esté baptisé à St Pierre Jean Baptiste du Jardi
baptisé à St Pierre Jean Baptiste du Jardin, né le troisiesme octobre
1653,
fils de Jean et d’Elisabeth de La Porte. Le parra
connaissance de sa troupe. La marraine est cette jeune personne qui,
douze
ans plus tard, épousa Esprit-Raimond de Modène, e
Modène, et dont le père et l’oncle sont bien connus des Moliéristes. [
1879-05
] L. de la PIJARDIÈRE. Archiviste de l’Hérault.
dont le père et l’oncle sont bien connus des Moliéristes. [1879-05]
L.
de la PIJARDIÈRE. Archiviste de l’Hérault. T
. [1879-05] L. de la PIJARDIÈRE. Archiviste de l’Hérault. Tome
I
, numéro 3, 1er juin 1879 Édouard Thierry : U
] L. de la PIJARDIÈRE. Archiviste de l’Hérault. Tome I, numéro
3,
1er juin 1879 Édouard Thierry : Une mise en
L. de la PIJARDIÈRE. Archiviste de l’Hérault. Tome I, numéro 3,
1er
juin 1879 Édouard Thierry : Une mise en scèn
PIJARDIÈRE. Archiviste de l’Hérault. Tome I, numéro 3, 1er juin
1879
Édouard Thierry : Une mise en scène moderne
artuffe [deuxième article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 3, 1er juin 1879, p. 69-74. Elmire assise !
e [deuxième article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
3,
1er juin 1879, p. 69-74. Elmire assise ! C’est-à
deuxième article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 3,
1er
juin 1879, p. 69-74. Elmire assise ! C’est-à-dir
article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 3, 1er juin
1879,
p. 69-74. Elmire assise ! C’est-à-dire Elmire in
fais que répéter Molière. Voyez la liste des personnages en tête des
trois
pièces, et d’ailleurs Mme Pernelle dit nettement
ur lui parier en lui tenant la main. Cela n’est pas mal, je parle des
deux
derniers mouvements. Orgon s’assoit parce que le
lière ne la motive pas, c’est une négligence. Il y en a encore une ou
deux
dans la pièce : (Comment se fait-il que Cléante,
intérêt de la santé d’Elmire, ne l’engage pas à éviter le froid. Tous
deux
se placent vulgairement, traditionnellement, au m
vant le trou du souffleur ? Hélas ! Oui, comme à la rue de Richelieu.
Deux
sièges côte à côte et vis-à-vis du public. Tout c
s le dos à la cheminée. À la rue de Richelieu, Elmire et Tartuffe ont
deux
fauteuils ; à l’Odéon, Tartuffe ne prend qu’un ta
la face empourprée et luisante d’un polichinelle de carton. Il ouvre
deux
grands yeux ronds comme les yeux d’un oiseau de p
deux grands yeux ronds comme les yeux d’un oiseau de proie. Avec ces
deux
yeux là, il couve Elmire et l’enveloppe, il s’arr
omettre Elmire et de contrarier à chaque pas l’intention de Molière. [
1857-09
] Édouard THIERRY. (La fin à la prochaine livr
l’article « Une mise en scène moderne du Tartuffe », quoique écrit en
1857,
est entièrement inédit. Ce fut Théophile Gautier,
1857, est entièrement inédit. Ce fut Théophile Gautier, alors depuis
deux
ans successeur de M. Édouard Thierry à la Revue d
e seigneur de Franconville Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 3, 1er juin 1879, p. 75-78. La terre de Fran
neur de Franconville Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
3,
1er juin 1879, p. 75-78. La terre de Franconvill
r de Franconville Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 3,
1er
juin 1879, p. 75-78. La terre de Franconville, d
conville Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 3, 1er juin
1879,
p. 75-78. La terre de Franconville, dans la vall
p. 75-78. La terre de Franconville, dans la vallée de Montmorency, à
trois
lieues de Pontoise, fut autrefois une seigneurie
fut autrefois une seigneurie que Louis XIII érigea en marquisat (juin
1619
) pour Jacques d’O, fils du surintendant des finan
r ». André Boudet était le beau-frère de Molière. Il avait épousé, en
1651,
Marie-Madelaine Poquelin, fille de Jean Poquelin
quelin, fille de Jean Poquelin et de Marie Cressé, laquelle mourut le
18
mai 1665 et fut enterrée à Saint-Eustache. Mais i
fille de Jean Poquelin et de Marie Cressé, laquelle mourut le 18 mai
1665
et fut enterrée à Saint-Eustache. Mais il ne devi
à Saint-Eustache. Mais il ne devint seigneur de Franconville qu’après
1670,
puisque l’ouvrage, peu connu, que nous allons cit
François de Harlay de Champvallon, archevêque de Paris depuis janvier
1671.
Son nom paraît souvent dans les registres de l’ét
t dans les actes notariés concernant Molière et sa famille. Ainsi, le
20
février 1662, il est un des témoins du mariage de
actes notariés concernant Molière et sa famille. Ainsi, le 20 février
1662,
il est un des témoins du mariage de Molière avec
n des témoins du mariage de Molière avec Armande-Grésinde Béjart ; le
22
novembre 1664, Il est, avec son beau-frère, témoi
s du mariage de Molière avec Armande-Grésinde Béjart ; le 22 novembre
1664,
Il est, avec son beau-frère, témoin du mariage de
eviève Béjart avec Léonard de Loménie, sieur de Villaubrun ; en avril
1670,
il assiste à l’inventaire après décès de son beau
n Poquelin, en qualité d’héritier pour un tiers de la succession ; le
12
octobre 1672, il assiste à l’inhumation du second
en qualité d’héritier pour un tiers de la succession ; le 12 octobre
1672,
il assiste à l’inhumation du second fils de Moliè
rt de Molière, il est nommé subrogé-tuteur de la fille du défunt ; le
14
juillet 1673, il emprunte à la veuve de Molière u
re, il est nommé subrogé-tuteur de la fille du défunt ; le 14 juillet
1673,
il emprunte à la veuve de Molière une somme de 11
; le 14 juillet 1673, il emprunte à la veuve de Molière une somme de
11
000 livres, que Lully remboursait, en premier pai
le 14 juillet 1673, il emprunte à la veuve de Molière une somme de 11
000
livres, que Lully remboursait, en premier paiemen
rsait, en premier paiement, sur un prêt que lui avait fait Molière en
1670.
Dans ces divers actes authentiques, il est toujou
e. C’est dans les Nouveaux Entretiens des Jeux d’Esprit et de Mémoire
5,
du marquis de Châtres (Jean Brodeau) qu’il est fa
est fait mention d’André Boudet devenu seigneur de Franconville entre
1671
et 1682, époque de sa mort. On a lieu d’être un p
mention d’André Boudet devenu seigneur de Franconville entre 1671 et
1682,
époque de sa mort. On a lieu d’être un peu étonné
igneuriaux qui en dépendaient, lui qui empruntait à sa belle-sœur, en
1673,
une misérable somme de 11 000 livres. Dans tous l
, lui qui empruntait à sa belle-sœur, en 1673, une misérable somme de
11
000 livres. Dans tous les cas, en achetant la sei
ui qui empruntait à sa belle-sœur, en 1673, une misérable somme de 11
000
livres. Dans tous les cas, en achetant la seigneu
ez qu’ils dirigeront tous leurs intentions comme vous souhaitez.” » [
1879-06
] P. L. JACOB, bibliophile. Eugène Noël : Mol
JACOB, bibliophile. Eugène Noël : Molière à la foire de Rouen en
1643
Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
la foire de Rouen en 1643 Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 3, 1er juin 1879, p. 79-80. Il n’est douteux
ire de Rouen en 1643 Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
3,
1er juin 1879, p. 79-80. Il n’est douteux pour p
de Rouen en 1643 Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 3,
1er
juin 1879, p. 79-80. Il n’est douteux pour perso
en 1643 Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 3, 1er juin
1879,
p. 79-80. Il n’est douteux pour personne que Mol
outeux pour personne que Molière et sa troupe ambulante, durant leurs
treize
ou quatorze années de pérégrinations en province,
r personne que Molière et sa troupe ambulante, durant leurs treize ou
quatorze
années de pérégrinations en province, n’aient jou
le Privilège de Saint Romain). L’ouverture de la foire avait lieu le
23
octobre et se continuait par-delà la fête de la T
a signature de J. B. Poquelin et celles de ses camarades de théâtre :
D.
Beys, Geneviève Béjart, G. Clérin, Joseph Béjart,
ue recueil qui a pour titre Le Musée des Archives départementales (Nº
159,
pl. 58). Cet acte constate la présence à Rouen de
l qui a pour titre Le Musée des Archives départementales (Nº 159, pl.
58
). Cet acte constate la présence à Rouen des coméd
cte constate la présence à Rouen des comédiens susnommés à la date du
3
novembre 1643. Mais il est bien évident qu’un tel
e la présence à Rouen des comédiens susnommés à la date du 3 novembre
1643.
Mais il est bien évident qu’un tel acte suppose q
nc aujourd’hui parfaitement établi que Molière commença par Rouen dès
1643
le cours de ses pérégrinations en province, de mê
cours de ses pérégrinations en province, de même qu’il l’y termina en
1658.
La Grange, son camarade, avait constaté ce séjour
séjour de la troupe dans la patrie de Corneille durant tout l’été de
1658.
Quant au séjour de 1643, comment n’en a-t-il pas
la patrie de Corneille durant tout l’été de 1658. Quant au séjour de
1643,
comment n’en a-t-il pas été question plus tôt ? O
e fut publié peu de temps après une apparition de Molière à Paris, en
1650,
on comprendra combien il est vraisemblable que le
n comprendra combien il est vraisemblable que les jeunes comédiens de
1643,
alors dirigés par Denis Beys, aient fait leurs dé
voir eu les débuts de Poquelin et de ses amis : Corneille avait alors
trente-sept
ans, il venait de faire jouer Le Menteur, la plus
nt s’établir ! Corneille l’aîné, et son jeune frère Thomas, qui avait
dix-huit
ans à peine, avaient l’un et l’autre la passion d
, avaient l’un et l’autre la passion du théâtre. Les voit-on tous les
deux
se diriger vers la foire ? Les jeunes comédiens p
ur auteur du Misanthrope commencèrent certainement dès cette époque. [
1879-06
] Eugène NOËL. Prosper Blanchemain : Le germ
atyres de Jacques Du Lorens, publiées : à Paris, chez Gervais Alliot,
1633,
in-8º ; et chez A. de Sommaville, 1646, in-4º . V
à Paris, chez Gervais Alliot, 1633, in-8º ; et chez A. de Sommaville,
1646,
in-4º . Voici ce passage remarquable, dont nous e
ce passage remarquable, dont nous empruntons le texte à l’édition de
1646
: SATYRE I. « Que je suis dégoûté de la plupart
arquable, dont nous empruntons le texte à l’édition de 1646 : SATYRE
I
. « Que je suis dégoûté de la plupart des hommes,
ffe, tout est là. Le dernier trait surtout est sublime ; mais, de ces
trente
vers, pour faire sortir le chef-d’œuvre immortel,
tel, il fallait le génie de Molière. Prosper BLANCHEMAIN. Tome
I
, numéro 4, 1er juillet 1879 Édouard Thierry
llait le génie de Molière. Prosper BLANCHEMAIN. Tome I, numéro
4,
1er juillet 1879 Édouard Thierry : Une mise
it le génie de Molière. Prosper BLANCHEMAIN. Tome I, numéro 4,
1er
juillet 1879 Édouard Thierry : Une mise en s
de Molière. Prosper BLANCHEMAIN. Tome I, numéro 4, 1er juillet
1879
Édouard Thierry : Une mise en scène moderne
isième et dernier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 4, 1er juillet 1879, p. 101-107. Je n’ai pas
et dernier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
4,
1er juillet 1879, p. 101-107. Je n’ai pas encore
dernier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 4,
1er
juillet 1879, p. 101-107. Je n’ai pas encore dit
icle] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 4, 1er juillet
1879,
p. 101-107. Je n’ai pas encore dit la plus étran
ajoute pas les mauvaises pensées que suggère la nuit ; mais enfin les
deux
flambeaux ne déterminent aucune nouveauté intéres
s ? Du reste, la robe noire répond mieux que le petit manteau gris au
deux
vers de Damis : « Vous pourriez bien ici sur vot
mettre un habit de voyage. Le meneur en scène a jeté son feu dans les
trois
premiers actes ; il se refroidit au quatrième, il
rtent des crinolines ou des jupes à cerceaux. Des jupes à cerceaux en
1667,
cela est absurde, on se le dît : mais en se le di
inente. et, en effet, elle est très forte en gueule. Elle plante ses
deux
poings sur la table ou sur ses hanches, elle débi
lle ; et quand ce polichinelle ardent a l’air de fasciner Elmire avec
deux
yeux qui la dévorent, on accouple involontairemen
ux yeux qui la dévorent, on accouple involontairement dans son esprit
deux
mots : Polichinelle-Vampire. Mais Fechter indique
cablé par le contretemps de l’arrivée d’Orgon, il se sent perdu, avec
deux
accusateurs contre lui : Damis porte la parole, e
comme Talma réchauffait l’Hamlet de Ducis avec celui de Shakespeare. [
1857-09
] Édouard THIERRY. 9 novembre 1857. Jules Ro
mlet de Ducis avec celui de Shakespeare. [1857-09] Édouard THIERRY.
9
novembre 1857. Jules Romain Boulenger : Le «
is avec celui de Shakespeare. [1857-09] Édouard THIERRY. 9 novembre
1857.
Jules Romain Boulenger : Le « Pavillon des ci
cinges » [premier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 4, 1er juillet 1879, p. 108-112. Chacun sait
» [premier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
4,
1er juillet 1879, p. 108-112. Chacun sait qu’en
[premier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 4,
1er
juillet 1879, p. 108-112. Chacun sait qu’en 1821
icle] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 4, 1er juillet
1879,
p. 108-112. Chacun sait qu’en 18216 Beffara a re
uelle, tome I, nº 4, 1er juillet 1879, p. 108-112. Chacun sait qu’en
18216
Beffara a retrouvé sur les registres de Saint-Eus
aint-Eustache l’acte de baptême de Molière ainsi conçu : « Du samedi
15
Janvier 1622 fut baptisé Jean, fils de Jean Pougu
he l’acte de baptême de Molière ainsi conçu : « Du samedi 15 Janvier
1622
fut baptisé Jean, fils de Jean Pouguelin tapissie
de la ire série de la Revue rétrospective, le même Beffara mentionne
treize
autres actes se trouvant également sur les regist
faites sur les bourgeois de Paris pour le néttoiement des rues » daté
1637,
dans l’énumération des contribuables de la rue Sa
is, boutique et cour, faisant le coin de la rue des Estuvées, taxée à
huit
livres. » Enfin, par une lettre conservée aux ar
ne lettre conservée aux archives de l’Assistance publique, en date du
31
janvier 1828, Beffara signalait encore dans un co
onservée aux archives de l’Assistance publique, en date du 31 janvier
1828,
Beffara signalait encore dans un contrat interven
1828, Beffara signalait encore dans un contrat intervenu à la date du
27
septembre 1638 entre Claude Morot et la dame Ferr
signalait encore dans un contrat intervenu à la date du 27 septembre
1638
entre Claude Morot et la dame Ferrand, héritiers
iétaires, et les sieur et dame Le Camus, portant échange de la maison
seize
rue Saint-Honoré faisant l’un des coins de la rue
noré faisant l’un des coins de la rue des vieilles « estuves » contre
1538
livres de rentes et 5600 livres comptant, le pass
ns de la rue des vieilles « estuves » contre 1538 livres de rentes et
5600
livres comptant, le passage suivant, que nous rep
marbre commémorative que chacun y peut lire maintenant. À la date de
1638,
à laquelle se rapportent les deux extraits ci-des
peut lire maintenant. À la date de 1638, à laquelle se rapportent les
deux
extraits ci-dessus, Molière avait environ 15 ans
elle se rapportent les deux extraits ci-dessus, Molière avait environ
15
ans ; il suivait avec le prince de Conti les cour
cependant laissé perdre le vieux poteau cornier. Au mois de nivôse an
X
, quand la maison fut détruite, on le recueillit,
erdit où on avait voulu qu’il se conservât. Lorsqu’au mois de janvier
1828
Beffara voulut le voir et le faire dessiner on lu
ent sur le président Molé. La vieille maison est représentée au fond.
II
faut relire aussi la fable de la Mothe, Les Singe
contrôler l’exactitude. Un fait est certain : le poteau a disparu. En
1802,
la maison fut, pour cause de vétusté, démolie, et
après avoir subi un retrait d’alignement considérable. Le Moniteur du
12
nivôse an X contient à ce sujet l’article suivant
ubi un retrait d’alignement considérable. Le Moniteur du 12 nivôse an
X
contient à ce sujet l’article suivant : « On tra
ce qu’il a insérée dans son Musée des monuments français paru en l’an
X
, tome III, pages 24 à 28, les mêmes détails, les
a insérée dans son Musée des monuments français paru en l’an X, tome
III
, pages 24 à 28, les mêmes détails, les mêmes énon
dans son Musée des monuments français paru en l’an X, tome III, pages
24
à 28, les mêmes détails, les mêmes énonciations e
son Musée des monuments français paru en l’an X, tome III, pages 24 à
28,
les mêmes détails, les mêmes énonciations et jusq
raphe (le mot « tapis »). À la même date, La Décade philosophique (t.
XXXIII
, p. 52) reproduisit mot pour mot l’article du Mon
u Moniteur. Enfin, dans son Pariseum, Blanvillain disait également en
1802
(page 223) : « On a détruit, il y a six mois, dan
Enfin, dans son Pariseum, Blanvillain disait également en 1802 (page
223
) : « On a détruit, il y a six mois, dans la rue S
nvillain disait également en 1802 (page 223) : « On a détruit, il y a
six
mois, dans la rue Saint-Honoré au coin de la rue
plus précis que la gravure connue, et que nous reproduisons ici :
1º
Que l’arbre cornier n’était pas un pommier, mais
eur de fabliaux, représente avec des oranges, leur attribut habituel.
2º
Que le vieux singe tapi au bas de l’arbre et « ay
t le « barbon accroupi » dont parlent la plupart de ces descriptions.
3º
Que la fable composée par Houdart de la Mothe et
tions. 3º Que la fable composée par Houdart de la Mothe et insérée en
1720
dans son recueil, sous le simple titre de Les Sin
ts de sauter, mais le fruit ébranlé, mais non atteint, résiste. «
Deux
prétendants ont encore à sauter ; « Ils s’élancen
e. « Deux prétendants ont encore à sauter ; « Ils s’élancent tous
deux
, l’un pesant, l’autre agile ; « Le Frui
son père, il publiera : une lettre d’Alexandre adressée en nivôse an
X
au ministre de l’intérieur pour être autorisé à e
autorisé à enlever le poteau ; l’autorisation du ministre en date du
13
nivôse an X ; une lettre au préfet à ce sujet ; u
nlever le poteau ; l’autorisation du ministre en date du 13 nivôse an
X
; une lettre au préfet à ce sujet ; une lettre à
Albert Lenoir se rappelle l’y avoir vu longtemps ; et ce n’est qu’en
1827
que M. Sauvé, alors gardien de ce qui restait aux
rdien de ce qui restait aux Beaux-Arts après la funeste dispersion de
1816,
le laissa ainsi que nous l’apprend Beffara dans s
»ou plutôt, comme le pense Alexandre Lenoir dans une autre lettre du
23
janvier précèdent conservée aux mêmes archives, «
a base se trouve un renflement circulaire autour duquel encadrés dans
deux
moulures trois autres singes sont étendus dans di
ve un renflement circulaire autour duquel encadrés dans deux moulures
trois
autres singes sont étendus dans diverses attitude
le château de Champlâtreux. Le tableau est une grande toile carrée de
3
mètres 20 c. fort belle de dessin et de couleur,
u de Champlâtreux. Le tableau est une grande toile carrée de 3 mètres
20
c. fort belle de dessin et de couleur, et, dans l
production quant aux parties de la maison qu’il laisse voir, renferme
deux
anachronismes. La maison, disent toutes les descr
es les descriptions des archives de l’Assistance publique, comportait
trois
étages et un grenier : Vincent n’en a figuré que
ue, comportait trois étages et un grenier : Vincent n’en a figuré que
deux
; de plus, dans son tableau, les fenêtres de droi
dément nullement l’incontestable précision du document dû à Lenoir. [
1879-07
] J. ROMAIN BOULENGER. Alfred Copin : L’homme
: L’homme aux rubans verts Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 4, 1er juillet 1879, p. 118-120. « Pour l’h
mme aux rubans verts Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
4,
1er juillet 1879, p. 118-120. « Pour l’homme au
aux rubans verts Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 4,
1er
juillet 1879, p. 118-120. « Pour l’homme aux ru
verts Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 4, 1er juillet
1879,
p. 118-120. « Pour l’homme aux rubans verts, il
quelquefois avec ses brusqueries et son chagrin bourru ; mais il est
cent
moments où je le trouve le plus fâcheux du monde.
immortalisés, vivront aussi longtemps que Le Misanthrope et Molière. [
1879-07
] Alfred COPIN. Tome I, numéro 5, 1er août
ps que Le Misanthrope et Molière. [1879-07] Alfred COPIN. Tome
I
, numéro 5, 1er août 1879 Jules Rolland : Les
Misanthrope et Molière. [1879-07] Alfred COPIN. Tome I, numéro
5,
1er août 1879 Jules Rolland : Les comédiens
anthrope et Molière. [1879-07] Alfred COPIN. Tome I, numéro 5,
1er
août 1879 Jules Rolland : Les comédiens de c
et Molière. [1879-07] Alfred COPIN. Tome I, numéro 5, 1er août
1879
Jules Rolland : Les comédiens de campagne au
mpagne au temps de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 5, 1er août 1879, p. 140-145. À M. G. Monva
au temps de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
5,
1er août 1879, p. 140-145. À M. G. Monval, dire
temps de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 5,
1er
août 1879, p. 140-145. À M. G. Monval, directeu
Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 5, 1er août
1879,
p. 140-145. À M. G. Monval, directeur du Moliér
jart, mais vous doutez que celle du duc d’Orléans qui séjourna à Albi
dix
ans plus tard, en septembre et octobre 1657, soit
rléans qui séjourna à Albi dix ans plus tard, en septembre et octobre
1657,
soit la même, et vous estimez par conséquent qu’i
nt faisaient partie Mignot et Dubois. On peut constater son passage à
deux
reprises différentes : une première fois, lorsqu’
onde fois lorsqu’elle revint pour aller faire le service des États en
1657.
C’est à ce second passage à Albi qu’il faut rappo
enses de l’administration consulaire de la ville d’Alby, pour l’année
1657
: « A Jean Bayrol et à Bernard Barrau charretier
l et à Bernard Barrau charretiers du Bout du Pont d’Alby, la somme de
85
livres pour paiement du port et voiture par eux f
lieutenant général pour sa Majesté en la dite province, résultant par
deux
lettres missives. Appert du dît payement par quit
ol et Barrau à l’estipulation et présance de Messieurs les Consuls le
10e
7bre 1657, cy rapportée avec les dites lettres12.
t Barrau à l’estipulation et présance de Messieurs les Consuls le 10e
7bre
1657, cy rapportée avec les dites lettres12. » C
rau à l’estipulation et présance de Messieurs les Consuls le 10e 7bre
1657,
cy rapportée avec les dites lettres12. » Ce prem
t à transporter les bagages à Castres, c’est-à-dire à une distance de
quarante-deux
kilomètres. Cet acte, passé le 10 septembre 1657
à-dire à une distance de quarante-deux kilomètres. Cet acte, passé le
10
septembre 1657 porte que devant M. Bruel notaire
distance de quarante-deux kilomètres. Cet acte, passé le 10 septembre
1657
porte que devant M. Bruel notaire royal ont compa
sté en la province du Languedoc ; sçavoir est : la somme de huictante
cinq
livres pour le port de boytures que les dits sieu
commédiens de cette ville d’Alby en la dite ville de Castres, pesant
soixante-huit
quintal et desmy arrangement faict par les dits s
r les dits sieurs Mingot (sic) et Dubois à la dite somme de huictante
cinq
livres de laquelle les dits Bayrol et Barrau sont
jon lieutenant général pour le Roy en la dite province, résultant par
deux
missives… La présante quitance en présance du dit
et moy Bruel not.
13
Que penser de ces deux document
Bruel not. 13 Que penser de ces
deux
documents, si non que les troupes de campagne, lo
c’est le duc d’Arpajon, lieutenant général, qui écrit successivement
deux
lettres missives aux consuls d’Albi pour leur rec
s bagages de la troupe sont assez considérables qu’il est question de
68
quintaux ce qui semble indiquer un matériel fort
expliquer que malgré toutes ces circonstances le notaire Bruel écrive
trois
fois dans le corps de l’acte Mingot au lieu de Mi
ribe du bureau de Nantes avait pu écrire Morlièrre au lieu de Molière
14.
Passe encore pour un scribe, mais le cas de Me Br
ormais illustre, d’écorcher le plus grand nom de la Scène française. [
1879-08
] Jules ROLLAND. Avocat à la Cour d’Appel de Pa
Scarron imité par Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 5, 1er août 1879, p. 148-149. C’est au momen
on imité par Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
5,
1er août 1879, p. 148-149. C’est au moment où un
imité par Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 5,
1er
août 1879, p. 148-149. C’est au moment où un fou
Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 5, 1er août
1879,
p. 148-149. C’est au moment où un fourbe ordinai
l y a sept ans à Pézenas et l’autre qu’il l’a prise pour femme il y a
quatre
ans à Chin-Quentin ; et, à l’appui de leur dire,
ouvé l’indication de cette scène dans Le Marquis ridicule de Scarron (
1656
) ? Stéphanie dame portugaise, espèce d’intrigante
omme qu’elle épouse par obéissance, Stéphane finit par lui dire (acte
IV
, scène iii) : Hélas ! C’est moi,
tre en doute ma foi, Si j’étais sans témoins qui parlassent pour moi.
Deux
enfants malheureux d’un infidèle père, Joindront
nfidèle père, Joindront leur faible voix à celle de leur mère, Et ces
deux
innocents auront bien le crédit De vous persuader
raitaient d’autres négoces, Étaient l’un chez l’autre à toute heure [
1879-08
] Jules COUET. Tome I, numéro 6, 1er septem
t l’un chez l’autre à toute heure [1879-08] Jules COUET. Tome
I
, numéro 6, 1er septembre 1879 Auguste Vitu :
z l’autre à toute heure [1879-08] Jules COUET. Tome I, numéro
6,
1er septembre 1879 Auguste Vitu : Les maison
’autre à toute heure [1879-08] Jules COUET. Tome I, numéro 6,
1er
septembre 1879 Auguste Vitu : Les maisons de
heure [1879-08] Jules COUET. Tome I, numéro 6, 1er septembre
1879
Auguste Vitu : Les maisons de Molière L
u : Les maisons de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 6, 1er septembre 1879, p. 165-171. À M. Monv
s maisons de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
6,
1er septembre 1879, p. 165-171. À M. Monval, dir
aisons de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 6,
1er
septembre 1879, p. 165-171. À M. Monval, directe
ère Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 6, 1er septembre
1879,
p. 165-171. À M. Monval, directeur du Moliériste
ison où mourut le grand comique, rue Richelieu, et qui n’est ni le nº
34,
comme l’ont cru Beffara et la Ville de Paris, ni
t ni le nº 34, comme l’ont cru Beffara et la Ville de Paris, ni le nº
42,
comme l’a supposé M. Édouard Fournier. Le petit t
complétés par quelques recherches personnelles. À vous cordialement, [
1879-09
] Auguste VITU. I. Maison natale de Molière rue
cherches personnelles. À vous cordialement, [1879-09] Auguste VITU.
I
. Maison natale de Molière rue Saint Honoré Lor
père de Molière, passa son contrat de mariage avec Marie de Cressé le
22
février 1621 et lorsqu’il l’épousa à Saint-Eustac
ière, passa son contrat de mariage avec Marie de Cressé le 22 février
1621
et lorsqu’il l’épousa à Saint-Eustache le 27 avri
e Cressé le 22 février 1621 et lorsqu’il l’épousa à Saint-Eustache le
27
avril suivant, il habitait la rue Saint-Honoré su
paroisse Saint-Eustache. C’est là que vint au monde, un peu moins de
neuf
mois plus tard15, l’enfant qui devait être Molièr
e neuf mois plus tard15, l’enfant qui devait être Molière. La date du
15
janvier 1622 est celle de son baptême, et doit êt
plus tard15, l’enfant qui devait être Molière. La date du 15 janvier
1622
est celle de son baptême, et doit être considérée
dans l’« état de la taxe des boues de la Ville de Paris pour l’année
1637
».16 « Maison où pend pour enseigne le pavillon
s d’hostel, boutique et court, faisant le coin de la rue des Estuves,
huit
livres, ci… viij L. » L’inventaire dressé après
t court, faisant le coin de la rue des Estuves, huit livres, ci… viij
L.
» L’inventaire dressé après le décès de Marie de
inventaire dressé après le décès de Marie de Cressé, morte au bout de
onze
ans de mariage, le 15 mai 1632,17 nous donne comm
le décès de Marie de Cressé, morte au bout de onze ans de mariage, le
15
mai 1632,17 nous donne comme état de lieux : une
s de Marie de Cressé, morte au bout de onze ans de mariage, le 15 mai
1632,17
nous donne comme état de lieux : une cave, une sa
t à la dite chambre, et la boutique, qui donnait probablement sur les
deux
rues. En 1633, dix-huit mois après la mort de sa
ambre, et la boutique, qui donnait probablement sur les deux rues. En
1633,
dix-huit mois après la mort de sa première femme,
et la boutique, qui donnait probablement sur les deux rues. En 1633,
dix-huit
mois après la mort de sa première femme, Jean Poq
noré, comme le prouvent le rôle de taxe que j’ai déjà cité, dressé en
1637,
et un acte notarié de la même année18. Il achevai
année18. Il achevait probablement son bail, mais, en cette même année
1637,
il occupait en même temps la maison des Piliers,
maison où est demeurant Jean Pocquelin, appartenant au sr Pocquelin,
cent
sols, ci…… C. » Je vais dresser sommairement l’é
emeurant Jean Pocquelin, appartenant au sr Pocquelin, cent sols, ci……
C.
» Je vais dresser sommairement l’état de proprié
fautif. J’emprunte mes renseignements aux archives de l’Hôtel-Dieu ;
12
novembre 1344. — Constitution de rente par Jehan
mprunte mes renseignements aux archives de l’Hôtel-Dieu ; 12 novembre
1344.
— Constitution de rente par Jehan de Brest, march
une maison située rue Saint-Honoré, au coin de la rue des Estuves (Nº
1388
de l’inventaire). 27 septembre 1638. — Échange en
aint-Honoré, au coin de la rue des Estuves (Nº 1388 de l’inventaire).
27
septembre 1638. — Échange entre Claude Morot, tré
au coin de la rue des Estuves (Nº 1388 de l’inventaire). 27 septembre
1638.
— Échange entre Claude Morot, trésorier général à
arge d’entretenir le bail fait à Jehan Poquelin, maître tapissier (Nº
1390
). 16 octobre 1664. — Partage des biens de Nicolas
entretenir le bail fait à Jehan Poquelin, maître tapissier (Nº 1390).
16
octobre 1664. — Partage des biens de Nicolas Le C
le bail fait à Jehan Poquelin, maître tapissier (Nº 1390). 16 octobre
1664.
— Partage des biens de Nicolas Le Camus. La maiso
Nicolas Le Camus. La maison se trouve dans le lot d’Anne Le Camus (Nº
1392
). 8 septembre 1680. — Anne Le Camus vend la maiso
Le Camus. La maison se trouve dans le lot d’Anne Le Camus (Nº 1392).
8
septembre 1680. — Anne Le Camus vend la maison à
a maison se trouve dans le lot d’Anne Le Camus (Nº 1392). 8 septembre
1680.
— Anne Le Camus vend la maison à Fabien Perreau,
amus vend la maison à Fabien Perreau, sieur de la Charmoye, moyennant
35
000 livres (Nº 1393.) 1661-1767. — Pièces contena
s vend la maison à Fabien Perreau, sieur de la Charmoye, moyennant 35
000
livres (Nº 1393.) 1661-1767. — Pièces contenant l
n à Fabien Perreau, sieur de la Charmoye, moyennant 35 000 livres (Nº
1393.
) 1661-1767. — Pièces contenant la maison et l’éta
ien Perreau, sieur de la Charmoye, moyennant 35 000 livres (Nº 1393.)
1661-1767.
— Pièces contenant la maison et l’étal de boucher
y adossé, légués à l’Hôtel-Dieu par Fabien Perreau de la Charmoye (Nº
1395.
) Ajoutons que dans le grand Terrier royal (années
Charmoye (Nº 1395.) Ajoutons que dans le grand Terrier royal (années
1700
et suivantes) la maison est ainsi décrite : « Mai
nant à l’Hostel Dieu à l’enseigne du Chappeau Royal. » (Arch. Nat. Q.
10993
). Dans un autre volume du même recueil l’enseigne
lume du même recueil l’enseigne est indiquée au « Chapeau Rouge » (Q.
109933
). La maison fut démolie vers la fin du siècle der
dernier. Elle tenait son nom d’un poteau sculpté placé à l’angle des
deux
rues et montant jusqu’au toit, qui représentait d
aujourd’hui École des Beaux-Arts. Lenoir en a publié le dessin au t.
III
, p. 24, nº 557 de sa description du Musée. Il pen
ole des Beaux-Arts. Lenoir en a publié le dessin au t. III, p. 24, nº
557
de sa description du Musée. Il pensait que ces sc
escription du Musée. Il pensait que ces sculptures remontaient à l’an
1200,
et qu’elles avaient fourni à La Motte le sujet de
qu’on puisse savoir comment20. La maison qui porte aujourd’hui le nº
96
de la rue Saint-Honoré et le nº 2 de la rue des V
maison qui porte aujourd’hui le nº 96 de la rue Saint-Honoré et le nº
2
de la rue des Vieilles Estuves est en recul sur l
Honoré et le nº 2 de la rue des Vieilles Estuves est en recul sur les
deux
rues à cause de l’alignement et n’occupe guère qu
oitié du terrain sur lequel s’élevait la maison natale de Molière. En
1876,
le Cercle de la critique musicale et dramatique,
e cette réunion littéraire. Le propriétaire de la maison, M. Duvivier,
21
s’associa avec empressement à notre pensée, ainsi
que M. Ferdinand Duval, alors préfet de la Seine. La plaque, posée le
26
octobre 1876, est en marbre noir et porte gravée
inand Duval, alors préfet de la Seine. La plaque, posée le 26 octobre
1876,
est en marbre noir et porte gravée en lettres d’o
été construite sur l’emplacement « de celle où est né « MOLIÈRE « le
15
janvier 1622. « Contrat de mariage de « J. Poq
uite sur l’emplacement « de celle où est né « MOLIÈRE « le 15 janvier
1622.
« Contrat de mariage de « J. Poquelin « Et de
1622. « Contrat de mariage de « J. Poquelin « Et de Marie Cressé «
22
février 1621. Acte de baptême de Molière 15 jan
Contrat de mariage de « J. Poquelin « Et de Marie Cressé « 22 février
1621.
Acte de baptême de Molière 15 janvier 1622 —
« Et de Marie Cressé « 22 février 1621. Acte de baptême de Molière
15
janvier 1622 — « mariés le 27 avril suivant «
rie Cressé « 22 février 1621. Acte de baptême de Molière 15 janvier
1622
— « mariés le 27 avril suivant « Reg. de St E
1621. Acte de baptême de Molière 15 janvier 1622 — « mariés le
27
avril suivant « Reg. de St Eustache) Inventaire n
eg. de St Eustache) Inventaire notarié après le décès de Marie Cressé
19-31
janvier 1633 » Ainsi se trouva restitué le lieu
ache) Inventaire notarié après le décès de Marie Cressé 19-31 janvier
1633
» Ainsi se trouva restitué le lieu véritable où
stitué le lieu véritable où Molière naquit, ce qui n’empêche pas qu’à
quatre
pas de là, on n’aperçoive dans une niche creusée
creusée à l’entresol d’une maison moderne de la rue du Pont-Neuf, nº
31
qui occupe approximativement l’ancien tracé de la
Cette maison a été bâtie sur l’emplacement de celle où il naquit l’an
1620.
On ignore sur quelles données l’archéologie peu
à l’entrée de la rue de la Tonnellerie. Quoi qu’il en soit, ce fut en
1799
qu’Alexandre Lenoir fit placer un buste de Molièr
e Lenoir fit placer un buste de Molière, par ou d’après Houdon, au nº
3
de la rue de la Tonnellerie, au-dessus de la bout
et il est probable que les Parisiens verront longtemps encore, au nº
31
de la rue du Pont-Neuf, le buste et l’inscription
Pont-Neuf, le buste et l’inscription affirmant que Molière est né en
1620,
quand il est authentique qu’il naquit en 1622, ru
que Molière est né en 1620, quand il est authentique qu’il naquit en
1622,
rue Saint Honoré au coin de la rue des Vieilles E
un vers du Dépit amoureux Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 6, 1er septembre 1879, p. 174-176. Plus d’un
s du Dépit amoureux Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
6,
1er septembre 1879, p. 174-176. Plus d’un admira
u Dépit amoureux Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 6,
1er
septembre 1879, p. 174-176. Plus d’un admirateur
ux Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 6, 1er septembre
1879,
p. 174-176. Plus d’un admirateur de Molière a dû
L’édition de Claude Barbin, dont l’Achevé d’imprimer porte la date du
24
novembre 1662, a sans doute été faite d’après un
Claude Barbin, dont l’Achevé d’imprimer porte la date du 24 novembre
1662,
a sans doute été faite d’après un exemplaire de l
es malgré lui, et l’histoire du Cocu imaginaire édité par le Sieur de
Neuf
Villenaine est assez connue pour qu’il suffise de
lecteurs sans la raconter de nouveau. Ouvrons maintenant l’édition de
1682
publiée par Vinot et La Grange, et nous allons co
jet de la part même de Molière. Le Dépit amoureux se jouait alors en
cinq
actes, mais pour abréger la représentation, un ce
lui fait commettre à toutes les représentations du Dépit amoureux. [
1879-09
] Alexis MARTIN22 Jules Maret-Leriche : La
e : La mâchoire de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 6, 1er septembre 1879, p. 177-179. Depuis en
mâchoire de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
6,
1er septembre 1879, p. 177-179. Depuis environ 1
choire de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 6,
1er
septembre 1879, p. 177-179. Depuis environ 15 an
ère Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 6, 1er septembre
1879,
p. 177-179. Depuis environ 15 ans, plus ou moins
suelle, tome I, nº 6, 1er septembre 1879, p. 177-179. Depuis environ
15
ans, plus ou moins, les adorateurs de reliques ou
les adorateurs de reliques ou sacrées ou profanes, il y en a dans les
deux
camps, ont pu voir, les uns avec indignation les
it trouvé dans des fouilles qui furent faites à Paris, il y a environ
20
ans, et il donnait, pour appuyer son dire, des ra
ivent leur succéder. — La question était et reste encore pendante : —
1º
Était-il possible que, au bout de 180 ans et plus
ait et reste encore pendante : — 1º Était-il possible que, au bout de
180
ans et plus même, un os enterré puisse avoir rési
ologie se prononcèrent en faveur de cette possibilité (à la rigueur).
2º
Quel était le point fixe topographique où le corp
aphe fit un travail d’un immense intérêt, qu’il publia il y a environ
douze
ou quatorze ans dans le Journal des baigneurs de
un travail d’un immense intérêt, qu’il publia il y a environ douze ou
quatorze
ans dans le Journal des baigneurs de Dieppe. En v
: S’il existe des restes de Molière, ils doivent être au-dessous et à
14
ou 15 mètres du palier de la maison portant le Nº
existe des restes de Molière, ils doivent être au-dessous et à 14 ou
15
mètres du palier de la maison portant le Nº 16 de
au-dessous et à 14 ou 15 mètres du palier de la maison portant le Nº
16
de la rue Saint-Joseph et non ailleurs ; toutefoi
’aboutirait probablement à rien d’assez certain pour attribuer ce que
1’on
pourrait y trouver en fait d’ossements à Molière
u Musée de Cluny, est-il bien celui de Molière, ou ne l’est-il pas ? [
1879-09
] J. MARET-LERICHE. Tome I, numéro 7, 1er oc
Molière, ou ne l’est-il pas ? [1879-09] J. MARET-LERICHE. Tome
I
, numéro 7, 1er octobre 1879 Jules Romain Bou
ou ne l’est-il pas ? [1879-09] J. MARET-LERICHE. Tome I, numéro
7,
1er octobre 1879 Jules Romain Boulenger : Le
ne l’est-il pas ? [1879-09] J. MARET-LERICHE. Tome I, numéro 7,
1er
octobre 1879 Jules Romain Boulenger : Le « P
pas ? [1879-09] J. MARET-LERICHE. Tome I, numéro 7, 1er octobre
1879
Jules Romain Boulenger : Le « Pavillon des c
[second et dernier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 7, 1er octobre 1879, p. 197-199. Dans un prem
d et dernier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
7,
1er octobre 1879, p. 197-199. Dans un premier art
t dernier article] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 7,
1er
octobre 1879, p. 197-199. Dans un premier article
ticle] Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 7, 1er octobre
1879,
p. 197-199. Dans un premier article nous avons en
istration de l’Assistance Publique, qui a possédé cette maison depuis
1681
a conservés avec soin dans ses archives et même s
conservés avec soin dans ses archives et même sauvés des incendies de
187123.
Ces titres sont extrêmement nombreux, et l’on n’y
Ces titres sont extrêmement nombreux, et l’on n’y compte pas moins de
vingt
chartes sur parchemin en ancienne écriture. La pr
sés de Paris entre les portes St. Denis et Montmartre, d’une rente de
13
liv. 6 s. 8 d. tournois, sur tous ses biens et sp
aris entre les portes St. Denis et Montmartre, d’une rente de 13 liv.
6
s. 8 d. tournois, sur tous ses biens et spécialem
entre les portes St. Denis et Montmartre, d’une rente de 13 liv. 6 s.
8
d. tournois, sur tous ses biens et spécialement s
. Honoré, en la censive de Monsieur de Paris et chargée envers lui de
10
sols parisis de rente, moyennant 160 livres ». Ce
de Paris et chargée envers lui de 10 sols parisis de rente, moyennant
160
livres ». Cette pièce, qui porte la date de 1546,
s de rente, moyennant 160 livres ». Cette pièce, qui porte la date de
1546,
est la tête d’une filière de propriétaires et de
ession pour arriver plus vite à l’époque contemporaine de Molière. Le
10
août 1549, testament de Cousineau qui « de présen
our arriver plus vite à l’époque contemporaine de Molière. Le 10 août
1549,
testament de Cousineau qui « de présent étant en
cède cette rente à Nicolas Julian, marchand de Paris, qui lui-même en
1555
la vend, toujours par-devant notaires, à « honora
le homme Michel Pierre Le Bel, procureur au Chastellet de Paris ». Le
2
septembre 1574 « Honorable homme Pierre Le Bel ma
hel Pierre Le Bel, procureur au Chastellet de Paris ». Le 2 septembre
1574
« Honorable homme Pierre Le Bel marchant apoticai
omme Martin Morot marchand a tapissier bourgeois de Paris la somme de
huit
vingt livres tournois sur une maison assise à Par
Martin Morot marchand a tapissier bourgeois de Paris la somme de huit
vingt
livres tournois sur une maison assise à Paris en
le coing de la rue du pressouer Dubray et de la rue St. Honoré ». En
1578,
le tapissier Martin Morot, qui paraît avoir été d
rez-de-chaussée à un grand ouvroir ou boutique et salle allée à côté,
trois
étages quarrés l’un sur l’autre au-dessus du rez
Vieilles-Estuves, à l’un des côtés de laquelle du costé du puits y a
trois
estages de galleries l’un sur l’autre, servant de
i-après déclaré ; et de l’autre côté de la dite cour y a pareillement
deux
étages de gallerie l’un sur l’autre en forme d’éq
des Vieilles Estuves appliqué au rez de chaussée à salle et cuisine,
deux
étages au rez l’un sur l’autre, au-dessus de l’ét
i Notre Sire des offices de charpenterie et maçonnerie » avaient fait
deux
lots à tirer au sort ; que le premier lot était é
evant, lesquelles cloisons serviront pour faire la séparation desdits
deux
lots, tant dudit gros mur que des cloisons qu’il
os mur que des cloisons qu’il y conviendra faire, dont il y a environ
74
poteaux servant esdites cloisons qui demeureront
es séparations et aussi pour séparer la portion de cour entre lesdits
deux
corps d’hostel l’un dans l’autre, sera fait un mu
e, sera fait un mur en équerre, lequel sera planté assis et maçonné à
14
pieds de distance dedans œuvre, du pan de mur du
e mur du corps d’hostel de devant sur ladite cour, sur la longueur de
six
pieds et se retournera ledit mur en équerre qui s
r de six pieds et se retournera ledit mur en équerre qui sera fait de
14
pouces d’épaisseur, se pourchassera après ladite
it de 14 pouces d’épaisseur, se pourchassera après ladite distance de
14
pieds tant d’une part que d’autre, et ledit retou
un autre mur mitoyen au travers de ladite cour, de ladite hauteur de
12
pieds et de même épaisseur ; et ne pourront lesdi
» Il était résulté de ce partage que l’immeuble des singes divisé en
deux
, soit la contenance actuelle des Nºs 94 et 96, c’
meuble des singes divisé en deux, soit la contenance actuelle des Nºs
94
et 96, c’est-à-dire en largeur 9 m. 70, se trouva
des singes divisé en deux, soit la contenance actuelle des Nºs 94 et
96,
c’est-à-dire en largeur 9 m. 70, se trouvait d’un
soit la contenance actuelle des Nºs 94 et 96, c’est-à-dire en largeur
9
m. 70, se trouvait d’une distribution peu commode
la contenance actuelle des Nºs 94 et 96, c’est-à-dire en largeur 9 m.
70,
se trouvait d’une distribution peu commode et voy
rouvait d’une distribution peu commode et voyait sa largeur réduite à
5
m. 10. Depuis 1578 la partie cédée à Guérin avait
it d’une distribution peu commode et voyait sa largeur réduite à 5 m.
10.
Depuis 1578 la partie cédée à Guérin avait été re
stribution peu commode et voyait sa largeur réduite à 5 m. 10. Depuis
1578
la partie cédée à Guérin avait été refaite en par
578 la partie cédée à Guérin avait été refaite en partie, et était en
1637
sous l’enseigne de « la Coupe d’or ». Quant à l’a
l’autre, qu’embellissait sa poutre sculptée angulaire, elle avait, le
27
septembre 1638, passé des mains des enfants du ta
mbellissait sa poutre sculptée angulaire, elle avait, le 27 septembre
1638,
passé des mains des enfants du tapissier Martin M
Hostel de Ville de Paris »contre diverses rentes montant en capital à
26
400 livres et une soulte de 5 600 livres « à la c
tel de Ville de Paris »contre diverses rentes montant en capital à 26
400
livres et une soulte de 5 600 livres « à la charg
e diverses rentes montant en capital à 26 400 livres et une soulte de
5
600 livres « à la charge d’entretenir le bail fai
diverses rentes montant en capital à 26 400 livres et une soulte de 5
600
livres « à la charge d’entretenir le bail fait à
600 livres « à la charge d’entretenir le bail fait à Jean Poquelin »
24.
Ce contrat, sous forme d’échange, décrit ainsi la
at, sous forme d’échange, décrit ainsi la maison : « maison contenant
deux
corps d’hostel, ung devant et l’autre derrière, a
Morot et dame Ferrand frère et sœur de leur propre chacun par moitié,
seize
à Paris rüe Saint Honoré, faisant l’ung des coins
ous possédons ; pourtant, le fait de la présence de tapissiers durant
60
ans n’est-il pas une présomption de plus pour y a
écrivain ? Le Camus l’apothicaire, l’acquéreur de Morot, mourut vers
1650
laissant une succession embarrassée ; et ses héri
sée ; et ses héritiers ne tardèrent pas à emprunter sur la maison. En
1660,
sa veuve laisse installer et encastrer dans la pa
age que le tapissier n’eut sans doute pas souffert si près de lui. Le
8
septembre 1680, Fabien Perreau Sr de la Charnoye,
apissier n’eut sans doute pas souffert si près de lui. Le 8 septembre
1680,
Fabien Perreau Sr de la Charnoye, un de messieurs
le majeure de Nicolas, devenue propriétaire par un acte de partage de
1664,
demeurant au Port-Royal de Paris, paroisse Saint-
é et des Vieilles Estuves vis à vis la Croix du Tiroir, consistant en
deux
corps de logis l’un sur le devant qui est sur lad
dite rue Saint Honoré, appliqué à caves, boutique, salle et au dessus
quatre
estages de chambres les unes sur les aultres dont
nces et appartenances, court et puits en icelle, lequel sert auxdicts
deux
corps de logis cy devant, et à présent est de nul
ue des Vieilles Estuves appliqué à une petite courelle d’entrée, et à
quatre
estages l’un sur l’autre, dont un en galtas, scel
e toutes parts et de fond en comble. » Et cela, moyennant la somme de
35
000 livres, dont partie dut être payée aux créanc
outes parts et de fond en comble. » Et cela, moyennant la somme de 35
000
livres, dont partie dut être payée aux créanciers
livres, dont partie dut être payée aux créanciers Le Camus. Enfin, le
28
octobre 1681, Perreau, par un testament olographe
t partie dut être payée aux créanciers Le Camus. Enfin, le 28 octobre
1681,
Perreau, par un testament olographe déposé chez P
ministra sagement, comme une direction bien gouvernée qu’il était. En
1673
il passe avec un Sr Puylon propriétaire voisin de
mur mitoyen « séparant leurs courelles » à frais communs. Investi en
1701,
après la mort de Puylon, du legs de cette même ma
il transige avec les héritiers Puylon moyennant une rente annuelle de
800
francs. En 1732, il rachète à l’Archevêque les 55
c les héritiers Puylon moyennant une rente annuelle de 800 francs. En
1732,
il rachète à l’Archevêque les 556 livres de cens
rente annuelle de 800 francs. En 1732, il rachète à l’Archevêque les
556
livres de cens moyennant 1683 livres, et en 1758
. En 1732, il rachète à l’Archevêque les 556 livres de cens moyennant
1683
livres, et en 1758 les impôts de lanternes, pompe
te à l’Archevêque les 556 livres de cens moyennant 1683 livres, et en
1758
les impôts de lanternes, pompes, et nettoiement d
8 les impôts de lanternes, pompes, et nettoiement des rues. Enfin, le
1er
septembre 1741 il demandait l’alignement au burea
e lanternes, pompes, et nettoiement des rues. Enfin, le 1er septembre
1741
il demandait l’alignement au bureau des finances
partie du mur de façade, un trumeau de pierre formant avant corps de
deux
pouces à supprimer suivant la face de la maison n
ouces à supprimer suivant la face de la maison neuve joignante » ; en
1750
celui d’une jambe étrière mitoyenne entre les deu
e joignante » ; en 1750 celui d’une jambe étrière mitoyenne entre les
deux
maisons formant coude de deux pouces. C’est en ra
d’une jambe étrière mitoyenne entre les deux maisons formant coude de
deux
pouces. C’est en raison de ces réparations sans d
ces réparations sans doute que dans le tableau de Vincent qui est de
1779,
une des deux fenêtres à chaque étage paraît aveug
ns sans doute que dans le tableau de Vincent qui est de 1779, une des
deux
fenêtres à chaque étage paraît aveuglée et bouché
oisinage d’un étal de boucher que la veuve Le Camus avait autorisé en
1661,
avec auvent enclavé près de l’encoignure, contre
et qui, malgré le mauvais vouloir de l’Hôtel Dieu, n’en partit qu’en
1767,
lorsque la création de la nouvelle Halle au blé v
ndre encore plus passagère cette petite voie déjà très fréquentée. En
1684
et 1700 nous trouvons dans la boutique des Poquel
ore plus passagère cette petite voie déjà très fréquentée. En 1684 et
1700
nous trouvons dans la boutique des Poquelin un ch
rdon et son « Chappeau royal » devenu plus tard « Chapeau rouge ». En
1802
(nivôse an X), la vieille maison menaçant ruine i
appeau royal » devenu plus tard « Chapeau rouge ». En 1802 (nivôse an
X
), la vieille maison menaçant ruine il fallut la r
lignement de la rue des Estuves et reculer la façade sur cette rue de
2m
. 20 c., de telle sorte que la maison qu’il constr
ement de la rue des Estuves et reculer la façade sur cette rue de 2m.
20
c., de telle sorte que la maison qu’il construisi
aison qu’il construisit se trouva dotée de l’épaisseur assez mince de
2
m. 90 c. seulement. Mais pour se faire une idée d
qu’il construisit se trouva dotée de l’épaisseur assez mince de 2 m.
90
c. seulement. Mais pour se faire une idée de la m
il faut par l’imagination lui rendre sa largeur réelle, qui était de
5
m. 10 : il faut se la figurer avec son colombage,
aut par l’imagination lui rendre sa largeur réelle, qui était de 5 m.
10
: il faut se la figurer avec son colombage, ses b
son colombage, ses baies non aveuglées sa jambe étrière rapportée en
1750
et qu’avait nécessitée en 1579 l’érection et en 1
veuglées sa jambe étrière rapportée en 1750 et qu’avait nécessitée en
1579
l’érection et en 1673 la réfection du mur mitoyen
ère rapportée en 1750 et qu’avait nécessitée en 1579 l’érection et en
1673
la réfection du mur mitoyen après le grand partag
la réfection du mur mitoyen après le grand partage de la propriété en
1578.
Depuis la Révolution, elle semble avoir été vouée
que constamment à la boucherie qui y rappelait précédemment l’étal de
1660
à 1767. Vers 1840 elle fut vendue au boucher Thie
stamment à la boucherie qui y rappelait précédemment l’étal de 1660 à
1767.
Vers 1840 elle fut vendue au boucher Thieboucle d
la boucherie qui y rappelait précédemment l’étal de 1660 à 1767. Vers
1840
elle fut vendue au boucher Thieboucle dont le suc
e on lisait ces mots en ancienne écriture : « plan collé sur toile et
deux
en papier d’une maison rue Saint Honoré, ledit pl
e et deux en papier d’une maison rue Saint Honoré, ledit plan levé en
1753
». Malheureusement la chemise est vide, et les pl
Nous apprîmes heureusement que M. Armand Landrin en avait pris avant
1870
un calque, et sur notre demande il a bien voulu l
ecteurs. Ils y verront que seule la partie de devant a été démolie en
1802,
et que le fond de la maison du Pavillon des Cinge
illon des Cinges subsiste, parfaitement reconnaissable du reste au Nº
4
actuel de la rue des Vieilles Estuves (maintenant
indiquées par l’inventaire de Marie Cressé donné par Eudore Soulié en
1863.
Toutefois, il ne faut pas oublier que de 1622, da
é par Eudore Soulié en 1863. Toutefois, il ne faut pas oublier que de
1622,
date de la naissance de Molière, à 1753, date vra
l ne faut pas oublier que de 1622, date de la naissance de Molière, à
1753,
date vraisemblable du plan, il s’était écoulé un
1753, date vraisemblable du plan, il s’était écoulé un intervalle de
131
ans. Désireux d’élucider jusqu’au bout la ques
tance Publique, nous avons essayé de retrouver également celles du Nº
31
de la rue du Pont-Neuf. La maison venait d’être a
s du Nº 31 de la rue du Pont-Neuf. La maison venait d’être acquise en
1877
par un Sr Delabie, boucher, qui a bien voulu nous
er ses titres de propriété ; mais ceux-ci ne remontent pas au-delà de
1770,
et nous avons dû renoncer à tout éclaircissement
n du père Poquelin ont figuré l’apothicaire amiénois Le Bel, et après
1638
l’apothicaire Le Camus : or — peut-être en ce tem
ropriétaire et le raillait-on volontiers : le monde est si méchant ! [
1879-10
] J. ROMAIN BOULENGER. Jules Guillemot : Shak
t : Shakespeare et Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 7, 1er octobre 1879, p. 208-214. On a souven
akespeare et Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
7,
1er octobre 1879, p. 208-214. On a souvent rappr
speare et Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 7,
1er
octobre 1879, p. 208-214. On a souvent rapproché
lière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 7, 1er octobre
1879,
p. 208-214. On a souvent rapproché Shakespeare e
-Française, en inaugurant ses représentations à Londres, unissait ces
deux
grands noms dans une commune apothéose. Mais jusq
nt, dans ces rapprochements, on n’a cherché, on n’a vu qu’une chose :
deux
merveilleux génies jetant une gloire égale sur le
t inspiré. Mais il est une autre source à laquelle ils ont puisé tous
deux
, et qui devait encore plus sûrement les rapproche
ns, allons, allons, allons ! Un diamant qui m’avait coûté à Francfort
deux
mille ducats, perdu ! Jusqu’à présent la malédict
llons, allons, allons ! Un diamant qui m’avait coûté à Francfort deux
mille
ducats, perdu ! Jusqu’à présent la malédiction n’
pas tombée sur notre nation ; je ne l’ai jamais sentie qu’à présent…
Deux
mille ducats que je perds là, sans compter d’autr
tombée sur notre nation ; je ne l’ai jamais sentie qu’à présent… Deux
mille
ducats que je perds là, sans compter d’autres bij
e Shakespeare donne la main à celui de Molière. Il en est de même des
deux
misanthropes, bien que Timon d’Athènes et Alceste
« Si fait, tu as dit du bien de moi », ne songe-t-on pas aussitôt aux
deux
vers de Molière : Tous les hommes me sont à tel
rvation moins profond, mais non moins piquant. Je vais ici transcrire
deux
scènes entières ; mais leur coïncidence me semble
fait mal ! Quelle tête j’ai ! Elle bat comme si elle allait tomber en
vingt
morceaux… Et puis, d’un autre côté, mon dos… Oh !
pourrait, ce me semble, ouvrir le champ a de fécondes observations. [
1879-10
] Jules GUILLEMOT. Alfred Copin : Molière à
rue des Jardins-Saint-Paul Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nos 7, 1er octobre 1879, p. 218-222. La rue des
Jardins-Saint-Paul Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nos
7,
1er octobre 1879, p. 218-222. La rue des Jardins
rdins-Saint-Paul Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nos 7,
1er
octobre 1879, p. 218-222. La rue des Jardins-Sai
Paul Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nos 7, 1er octobre
1879,
p. 218-222. La rue des Jardins-Saint-Paul commen
, car elle commençait autrefois rue de l’Ave-Maria, et ce n’est qu’en
1847
qu’elle fut prolongée jusqu’au quai. J’ajouterai
Auguste. L’aspect de la rue des Jardins a dû bien peu changer depuis
deux
siècles. Les maisons, à quelques-unes près, sont
elques-unes près, sont les mêmes. La rue à peine assez large pour que
deux
voitures puissent y passer de front, n’est même p
s allons voir. Dans l’obligation de Molière à Jeanne Levé, en date du
31
mars 1643, obligation retrouvée par les soins de
voir. Dans l’obligation de Molière à Jeanne Levé, en date du 31 mars
1643,
obligation retrouvée par les soins de M. Eud. Sou
ne Levé, marchande publique, lui a fait prêt ci-devant de la somme de
deux
cent quatre-vingt-onze livres tournois, pour nant
vé, marchande publique, lui a fait prêt ci-devant de la somme de deux
cent
quatre-vingt-onze livres tournois, pour nantissem
archande publique, lui a fait prêt ci-devant de la somme de deux cent
quatre-vingt-onze
livres tournois, pour nantissement et sûreté de l
ournois, pour nantissement et sûreté de laquelle il lui auroit déposé
deux
rubans en broderie d’or et argent, l’un de satin
utre de drap vert ; etc., etc. » Voilà donc un fait bien établi : le
31
mars 1645, Molière demeurait au coin de la rue d
rap vert ; etc., etc. » Voilà donc un fait bien établi : le 31 mars
1645,
Molière demeurait au coin de la rue des Jardins.
in de la rue des Jardins. À quelle époque vint-il s’y fixer ? Vers le
20
décembre 1644. la troupe de l’Illustre Théâtre ap
des Jardins. À quelle époque vint-il s’y fixer ? Vers le 20 décembre
1644.
la troupe de l’Illustre Théâtre après avoir, au m
avec certitude que Molière vint demeurer rue des Jardins en décembre
1644
ou, au plus tard, dans les premiers jours de janv
en décembre 1644 ou, au plus tard, dans les premiers jours de janvier
1645.
Je ne puis m’empêcher d’ouvrir ici une parenthèse
coin de la rue des Jardins : reste à trouver lequel, la rue en ayant
quatre
. La salle du jeu de paume de la Croix-Noire ayant
onné que la salle du jeu de paume occupait tout le côté Est du marché
neuf
que l’on vient d’inaugurer, ainsi que l’a déjà pr
jà prouvé M. Collardeau déjà cité26. Reste à préciser laquelle de ces
deux
maisons eut l’insigne honneur d’abriter le poète
un jour nouveau sur ce séjour de Molière dans la rue des Jardins. Ces
deux
maisons sont fort anciennes, et j’ai tout lieu de
uve la construction de leurs fenêtres étroites et hautes, et accolées
deux
à deux, ainsi que dans la maison de droite. Le me
construction de leurs fenêtres étroites et hautes, et accolées deux à
deux
, ainsi que dans la maison de droite. Le mercier a
n a un à chaque coin. La maison de gauche, portant actuellement le nº
5,
rue des Jardins, possède quatre étages, dont un m
son de gauche, portant actuellement le nº 5, rue des Jardins, possède
quatre
étages, dont un mansardé. La petite porte basse e
ix : on se souvient du jeu de paume de la Croix-Noire, — est haute de
cinq
étages, dont le dernier est mansardé. Transformée
as de porte à la maison, et l’on entre par la boutique. En somme, ces
deux
maisons ont un aspect vieux et sale, et je doute
ligation qu’il souscrivit à Jeanne Levé. On peut dire que cette année
1645
fut peut-être la plus dure que Molière eut à trav
icile de préciser. On la place généralement vers la fin de l’année de
1645,
le dernier document connu jusqu’ici révélant enco
u’ici révélant encore la présence des comédiens au port Saint-Paul le
13
août de cette année. Je terminerai par un rapproc
3 août de cette année. Je terminerai par un rapprochement bizarre. Le
9
avril 1553, François Rabelais mourait dans une ma
e cette année. Je terminerai par un rapprochement bizarre. Le 9 avril
1553,
François Rabelais mourait dans une maison de la r
çois Rabelais mourait dans une maison de la rue des Jardins. Moins de
cent
ans après, en 1645, Molière venait y demeurer. Ét
it dans une maison de la rue des Jardins. Moins de cent ans après, en
1645,
Molière venait y demeurer. Étrange coïncidence !
devaient passer, dans des circonstances bien diverses de la vie, les
deux
penseurs les plus illustres dont la France s’hono
ie, les deux penseurs les plus illustres dont la France s’honore27 ! [
1879-10
] Alfred COPIN. Tome I, numéro 8, 1er novemb
ustres dont la France s’honore27 ! [1879-10] Alfred COPIN. Tome
I
, numéro 8, 1er novembre 1879 Auguste Vitu :
t la France s’honore27 ! [1879-10] Alfred COPIN. Tome I, numéro
8,
1er novembre 1879 Auguste Vitu : Molière et
a France s’honore27 ! [1879-10] Alfred COPIN. Tome I, numéro 8,
1er
novembre 1879 Auguste Vitu : Molière et les
nore27 ! [1879-10] Alfred COPIN. Tome I, numéro 8, 1er novembre
1879
Auguste Vitu : Molière et les Italiens : à p
ant à la Comédie-Française Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 8, 1er novembre 1879, p. 227-242. Tous les M
la Comédie-Française Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
8,
1er novembre 1879, p. 227-242. Tous les Moliéris
Comédie-Française Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 8,
1er
novembre 1879, p. 227-242. Tous les Moliéristes
aise Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 8, 1er novembre
1879,
p. 227-242. Tous les Moliéristes connaissent le
édie-Française, représente les « Farceurs français et italiens depuis
60
ans et plus, peints en 1670 ». M. René Delorme en
les « Farceurs français et italiens depuis 60 ans et plus, peints en
1670
». M. René Delorme en a donné la description comp
excellent travail intitulé Le Musée de la Comédie-Française, p. 57 à
63
et p. 185. Nous n’avons rien à y ajouter ; encore
on de M. René Delorme, que le peintre inconnu de cette toile a traité
trois
figures de comédiens français avec une évidente d
t il existe quelques répétitions chez des particuliers, fut offert en
1839
par M. Alfred Lomé à la Comédie-Française ; il pr
ient de la galerie du cardinal de Luynes, archevêque de Sens, mort en
1788.
Nul effort n’a été tenté par la critique pour en
mencèrent dès son établissement au théâtre du Petit-Bourbon (novembre
1658
), où jouait depuis longtemps la troupe italienne,
longtemps la troupe italienne, Molière et ses camarades lui donnèrent
1500
livres pour jouer les jours extraordinaires, c’es
es, c’est-à-dire les lundis, mercredis, jeudis et samedis28. Entre le
7
et le 11 juillet 1659, « la troupe italienne », d
t-à-dire les lundis, mercredis, jeudis et samedis28. Entre le 7 et le
11
juillet 1659, « la troupe italienne », dit La Gra
s lundis, mercredis, jeudis et samedis28. Entre le 7 et le 11 juillet
1659,
« la troupe italienne », dit La Grange, « s’en re
lia restèrent29 ». Lorsque les Italiens revinrent à Paris, en janvier
166230,
ils trouvèrent la salle du Petit-Bourbon démolie
ais faits par lui pour son installation au Palais-Royal, c’est-à-dire
deux
mille livres31. Je crois, d’après mon calcul, que
aits par lui pour son installation au Palais-Royal, c’est-à-dire deux
mille
livres31. Je crois, d’après mon calcul, que Moliè
. Je crois, d’après mon calcul, que Molière leur fit grâce de quelque
cent
écus, mais il rentrait dans les 1 500 livres que
olière leur fit grâce de quelque cent écus, mais il rentrait dans les
1
500 livres que lui avait coûtées le Petit-Bourbon
ière leur fit grâce de quelque cent écus, mais il rentrait dans les 1
500
livres que lui avait coûtées le Petit-Bourbon ; c
Tiberio Fiorilli dit Scaramouche32, avait débuté au Petit-Bourbon le
10
août 1653. De cette première date jusqu’à l’année
Fiorilli dit Scaramouche32, avait débuté au Petit-Bourbon le 10 août
1653.
De cette première date jusqu’à l’année 1680, où e
Petit-Bourbon le 10 août 1653. De cette première date jusqu’à l’année
1680,
où elle fut transférée à l’hôtel de Bourgogne, ru
s ou moins complète : Turi, qui jouait Pantalon, et qui se retira en
1670
; Le fils Turi, qui jouait les amoureux sous le
sous le nom de Virginio ; Domenico Locatelli, dit Trivelin, né vers
1613,
mort le 26 avril 1672, titulaire d’une pension ro
e Virginio ; Domenico Locatelli, dit Trivelin, né vers 1613, mort le
26
avril 1672, titulaire d’une pension royale de 1 2
o ; Domenico Locatelli, dit Trivelin, né vers 1613, mort le 26 avril
1672,
titulaire d’une pension royale de 1 200 livres33
é vers 1613, mort le 26 avril 1672, titulaire d’une pension royale de
1
200 livres33 ; marié à Lodovica Gabrielli, morte
vers 1613, mort le 26 avril 1672, titulaire d’une pension royale de 1
200
livres33 ; marié à Lodovica Gabrielli, morte avan
on royale de 1 200 livres33 ; marié à Lodovica Gabrielli, morte avant
1665,
puis à Marie de Creil ; Domenico Biancolelli, né
orte avant 1665, puis à Marie de Creil ; Domenico Biancolelli, né en
1640,
mort en 1688, s’était rendu célèbre à la cour du
5, puis à Marie de Creil ; Domenico Biancolelli, né en 1640, mort en
1688,
s’était rendu célèbre à la cour du duc de Parme ;
cour du duc de Parme ; Louis XIV le demanda au duc par une lettre du
5
juillet 1660. Ce fut à Paris, sinon le premier, d
uc de Parme ; Louis XIV le demanda au duc par une lettre du 5 juillet
1660.
Ce fut à Paris, sinon le premier, du moins le plu
lus célèbre des Arlequins ; Tiberio Fiorilli, dit Scaramouche, né en
1608,
mort le 7 décembre 1694, avait épousé en première
s Arlequins ; Tiberio Fiorilli, dit Scaramouche, né en 1608, mort le
7
décembre 1694, avait épousé en premières noces Lo
; Tiberio Fiorilli, dit Scaramouche, né en 1608, mort le 7 décembre
1694,
avait épousé en premières noces Lorenza Elizabett
bligé de faire enfermer pour ses débordements34 ; Romagnesi, mort en
1660,
jouait les amoureux sous le nom d’Orazio. Sa femm
chi, dite Aurelia, qui, seule avec Trivelin, était restée à Paris, en
1659,
alors que le reste de la troupe repassait les mon
e la troupe repassait les monts35. Son fils Marc Antonio dit Cinthio (
1633-1706
), débuta en 1667, succédant à Valerio dans l’empl
les monts35. Son fils Marc Antonio dit Cinthio (1633-1706), débuta en
1667,
succédant à Valerio dans l’emploi des premiers am
nt à Valerio dans l’emploi des premiers amoureux, qu’il tint jusqu’en
1697.
Il ne le quitta qu’à 64 ans pour prendre l’emploi
des premiers amoureux, qu’il tint jusqu’en 1697. Il ne le quitta qu’à
64
ans pour prendre l’emploi du Docteur joué jusqu’a
no), connu par abréviation sous le nom de M. Ange ou M. Lange ; né en
1622,
mort en 1702 ; il avait créé à Paris le caractère
abréviation sous le nom de M. Ange ou M. Lange ; né en 1622, mort en
1702
; il avait créé à Paris le caractère du docteur G
, de son vrai nom Giacinto Bendinelli, gentilhomme italien, mourut le
16
mai 1668 ; Eularia jouait les amoureuses. Quoiqu
n vrai nom Giacinto Bendinelli, gentilhomme italien, mourut le 16 mai
1668
; Eularia jouait les amoureuses. Quoique un peu
ue un peu plus âgée que Domenico Biancolelli, elle devint sa femme en
1663.
Les biographes ont cru et dit qu’elle s’appelait
vec la duchesse d’Elbeuf, la fille aînée de M. et madame Biancolelli (
1er
décembre 1664), dix mois après qu’il eut fait le
se d’Elbeuf, la fille aînée de M. et madame Biancolelli (1er décembre
1664
), dix mois après qu’il eut fait le même honneur a
beuf, la fille aînée de M. et madame Biancolelli (1er décembre 1664),
dix
mois après qu’il eut fait le même honneur au fils
madame Molière. Le Roi tenait, on le voit, la balance égale entre les
deux
troupes, et je ne disconviens pas que ce rapproch
propre fille d’Arlequin ? Gherardi (Giovanni) dit Flautino, mort en
1682
; François Mansac, dit le Capitan, assassiné le
autino, mort en 1682 ; François Mansac, dit le Capitan, assassiné le
19
mai 166236 ; Giuseppe Giaratoni ou Jeraton, d’ab
mort en 1682 ; François Mansac, dit le Capitan, assassiné le 19 mai
166236
; Giuseppe Giaratoni ou Jeraton, d’abord simple
Giuseppe Giaratoni ou Jeraton, d’abord simple gagiste, fut promu en
1673
à l’emploi des Pierrots ; On ne connaît leur cama
ur camarade Florinde que par la mention d’une gratification royale de
600
livres en 1666 ; Enfin, Annibal Barbieri était le
orinde que par la mention d’une gratification royale de 600 livres en
1666
; Enfin, Annibal Barbieri était le pourvoyeur de
et on la rétribuait fort largement. Le roi lui payait une pension de
15
000 livres, plus du double de celle qu’il accorda
on la rétribuait fort largement. Le roi lui payait une pension de 15
000
livres, plus du double de celle qu’il accorda plu
it en outre, sur la cassette particulière du roi, des gages montant à
deux
mille livres39. Le répertoire de la Comédie-Itali
outre, sur la cassette particulière du roi, des gages montant à deux
mille
livres39. Le répertoire de la Comédie-Italienne s
d’en avoir vu le sujet un moment avant que d’entrer sur le théâtre »
40.
Après ces canevas, sans doute très rudimentaires,
danses, était fort amusant ; les petites pièces jouées plus tard aux
deux
grandes foires de Paris n’en donnent qu’une idée
ançais, n’a jamais perdu une représentation de cet original italien »
42.
C’est à bon droit qu’on a pu graver ce distique s
u Palais-Royal, lorsqu’il épousa Ursule Cortege, Cortesi ou Coris, le
2
avril 1663. J’ai découvert, dans le précieux minu
-Royal, lorsqu’il épousa Ursule Cortege, Cortesi ou Coris, le 2 avril
1663.
J’ai découvert, dans le précieux minutier d’Ogier
minutier d’Ogier, notaire, prédécesseur de Me Carré, le bail fait le
2
mai 1664 à Dominique Biancolelli et à sa femme, p
ier d’Ogier, notaire, prédécesseur de Me Carré, le bail fait le 2 mai
1664
à Dominique Biancolelli et à sa femme, par honora
t-Honoré, à l’image Saint-Claude, attenant au Palais-Royal46. Mais, à
huit
jours de là, le 9 mai, Biancolelli céda son bail
aint-Claude, attenant au Palais-Royal46. Mais, à huit jours de là, le
9
mai, Biancolelli céda son bail à messire Henry de
nry de la Grange, chevalier, marquis d’Arquyan, capitaine-colonel des
Cent
Suisses de la garde ordinaire du corps de Monsieu
ine de Pologne, femme de Jean Sobiesky. Il mourut cardinal à Rome, le
24
mai 1707, à 97 ans. Un futur cardinal sous-louant
Pologne, femme de Jean Sobiesky. Il mourut cardinal à Rome, le 24 mai
1707,
à 97 ans. Un futur cardinal sous-louant, le logem
femme de Jean Sobiesky. Il mourut cardinal à Rome, le 24 mai 1707, à
97
ans. Un futur cardinal sous-louant, le logement d
tes : Orsola Coris. Locatelli ou Trivelin mourut rue Saint-Honoré, le
26
avril 1671. Bandinelli, ou Valerio, mourut le 15
ola Coris. Locatelli ou Trivelin mourut rue Saint-Honoré, le 26 avril
1671.
Bandinelli, ou Valerio, mourut le 15 mars 1668 ru
rue Saint-Honoré, le 26 avril 1671. Bandinelli, ou Valerio, mourut le
15
mars 1668 rue Saint-Nicaise, probablement au coin
t-Honoré, le 26 avril 1671. Bandinelli, ou Valerio, mourut le 15 mars
1668
rue Saint-Nicaise, probablement au coin de la rue
Saint-Maurice, appartenant au sieur Morice, avait pour locataires, en
1662,
Annibal Barbieri, le pourvoyeur des comédiens ita
capitan François Mansac et Giuseppe Giaratone ou Jeraton47. Ainsi les
deux
troupes, celle de Molière et celle de Tiberio Fio
ui est le tableau de la Comédie française. Palaprat, né à Toulouse en
1650,
avait eu dans sa première jeunesse la bonne fortu
un peintre italien nommé Vario, tant que dura l’hiver de cette année
1671,
hiver qui fut plus riant qu’un printemps pour la
abitude que nous avons d’estropier les noms, et de donner au B et à l’
V
l’usage de l’un à l’autre), pendant les deux ou t
s, et de donner au B et à l’V l’usage de l’un à l’autre), pendant les
deux
ou trois années qu’il y avait travaillé. Mon Flor
donner au B et à l’V l’usage de l’un à l’autre), pendant les deux ou
trois
années qu’il y avait travaillé. Mon Florentin éta
sur le même théâtre avec la troupe de Molière. Ce grand comédien, et
mille
fois encore plus grand auteur, vivait d’une étroi
s étaient bons acteurs et fort honnêtes gens : il y en avait toujours
deux
ou trois des meilleurs à nos soupers. Molière en
t bons acteurs et fort honnêtes gens : il y en avait toujours deux ou
trois
des meilleurs à nos soupers. Molière en était sou
lui donnait ; et il me semble fort (sans oser pourtant rassurer après
quarante
ans) d’avoir ouï dire à Molière, en parlant avec
et de Molière. M. Regnier, dans une lettre adressée à M. Guillard le
23
avril 187353, fait remarquer qu’en 1670 Molière e
lière. M. Regnier, dans une lettre adressée à M. Guillard le 23 avril
187353,
fait remarquer qu’en 1670 Molière et Poisson viva
ettre adressée à M. Guillard le 23 avril 187353, fait remarquer qu’en
1670
Molière et Poisson vivaient encore mais que tous
nt Antonio Verrio, né à Lecce, dans la province d’Otrante, et mort en
1707
à Hampton-Court en Angleterre, où il avait été at
s du château de Windsor54. Il vint en France à une date postérieure à
1661
et il peignit à Toulouse un tableau pour le maîtr
date, car le Canal de Languedoc ne fut connu qu’à partir de l’édit de
1666
qui autorisa l’ouverture des travaux. Cette date
de l’édit de 1666 qui autorisa l’ouverture des travaux. Cette date de
1666
est parfaitement concordante avec le récit de Pal
te avec le récit de Palaprat, qui nous montre Vario établi à Paris en
1671
après l’achèvement des travaux de décoration que
les huguenots du midi de la France, qu’il avait quitté depuis plus de
trente
ans, on arrive à se demander quelle peut avoir ét
un artiste dont ses compatriotes n’avaient plus entendu parler depuis
quarante
ans. Peut-être le récit chimérique de Dominici co
contretemps par des convives qui ne tenaient plus sur leurs jambes. [
1879-11
] Auguste VITU. Ferdinand Gross : Molière en
oss : Molière en Allemagne Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 8, 1er novembre 1879, p. 243-250. J’ai l’aud
Molière en Allemagne Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
8,
1er novembre 1879, p. 243-250. J’ai l’audace d’é
ière en Allemagne Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 8,
1er
novembre 1879, p. 243-250. J’ai l’audace d’écrir
agne Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 8, 1er novembre
1879,
p. 243-250. J’ai l’audace d’écrire dans une lang
esprit doublé d’un auteur dramatique assez remarquable — s’est mis en
quatre
pour la propagation du culte de Molière en Allema
ers à imprimer une traduction de Molière. Abraham Peys, qui publia en
1670
une version hollandaise de l’Amphitryon, fut, dit
omment le plus grand poète de l’Allemagne se déclarait à Eckermann en
1827
: « Depuis mon adolescence, j’aime Molière, et pe
parfois par des écrivains allemands : Auguste-Guillaume de Schlegel (
1767-1845
), l’ami intime de Mme de Staël, juge très dédaign
’une minorité de pygmées. En revanche, il y a de ce côté du Rhin, des
milliers
et des milliers qui s’enflamment pour lui comme s
pygmées. En revanche, il y a de ce côté du Rhin, des milliers et des
milliers
qui s’enflamment pour lui comme s’il était un des
e Wolf de Baudissin, mort il y a quelques années, et Henri de Kleist (
1776-1811
), poète romantique qui termina sa courte vie par
roduire toutes les subtilités du génie de Molière. Frédéric de Gentz (
1764-1832
), célèbre publiciste au service du feu prince de
ublic une nouvelle, « Molière », qui a trouvé bon accueil. Il y a une
dizaine
d’années qu’on a monté sur les scènes allemandes
aquelle Molière, avant la représentation du Tartuffe annoncée pour le
6
août 1667, aurait adressé ces mots au public : «
Molière, avant la représentation du Tartuffe annoncée pour le 6 août
1667,
aurait adressé ces mots au public : « Messieurs,
érie de représentations solennelles pour l’anniversaire de Molière en
1880.
C’est M. Emile Claar — récemment nommé chef du th
re le plus pur. Dans ce signe nous vaincrons ! Francfort s. le Mein. [
1879-11
] Ferdinand GROSS. P. S. — Je reçois de M. le
vue de l’ancienneté : cette pièce fut donnée pour la première fois le
20
mai 1838 ; L’Avare, le 26 juin 1861 ; Le Malade i
l’ancienneté : cette pièce fut donnée pour la première fois le 20 mai
1838
; L’Avare, le 26 juin 1861 ; Le Malade imaginaire
e pièce fut donnée pour la première fois le 20 mai 1838 ; L’Avare, le
26
juin 1861 ; Le Malade imaginaire, le 3 mai 1870,
fut donnée pour la première fois le 20 mai 1838 ; L’Avare, le 26 juin
1861
; Le Malade imaginaire, le 3 mai 1870, Les Femmes
le 20 mai 1838 ; L’Avare, le 26 juin 1861 ; Le Malade imaginaire, le
3
mai 1870, Les Femmes savantes, le 10 février 1871
mai 1838 ; L’Avare, le 26 juin 1861 ; Le Malade imaginaire, le 3 mai
1870,
Les Femmes savantes, le 10 février 1871 ; Le Méde
n 1861 ; Le Malade imaginaire, le 3 mai 1870, Les Femmes savantes, le
10
février 1871 ; Le Médecin malgré lui, le 5 mai 18
Malade imaginaire, le 3 mai 1870, Les Femmes savantes, le 10 février
1871
; Le Médecin malgré lui, le 5 mai 1871 ; Le Bourg
, Les Femmes savantes, le 10 février 1871 ; Le Médecin malgré lui, le
5
mai 1871 ; Le Bourgeois gentilhomme, le 3 mai 187
Femmes savantes, le 10 février 1871 ; Le Médecin malgré lui, le 5 mai
1871
; Le Bourgeois gentilhomme, le 3 mai 1873. J’aj
; Le Médecin malgré lui, le 5 mai 1871 ; Le Bourgeois gentilhomme, le
3
mai 1873. J’ajouterai que le théâtre de Munich
édecin malgré lui, le 5 mai 1871 ; Le Bourgeois gentilhomme, le 3 mai
1873.
J’ajouterai que le théâtre de Munich occupe une
reconnu et déclaré médecin Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 9, 1er décembre 1879, p. 261-264. L’auteur d
u et déclaré médecin Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
9,
1er décembre 1879, p. 261-264. L’auteur de la co
t déclaré médecin Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 9,
1er
décembre 1879, p. 261-264. L’auteur de la comédi
ecin Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 9, 1er décembre
1879,
p. 261-264. L’auteur de la comédie d’Élomire hyp
p. 261-264. L’auteur de la comédie d’Élomire hypocondre, publiée en
1670
chez Ch. de Sercy, n’est connu que par cette comé
e, Holl. Elzevier) à Paris, chez Claude Barbin, au signe de la Croix,
1669,
petit in-12 de 172 pages, y compris 5 feuillets p
Paris, chez Claude Barbin, au signe de la Croix, 1669, petit in-12 de
172
pages, y compris 5 feuillets préliminaires, et 67
rbin, au signe de la Croix, 1669, petit in-12 de 172 pages, y compris
5
feuillets préliminaires, et 67 pages. Le frontisp
69, petit in-12 de 172 pages, y compris 5 feuillets préliminaires, et
67
pages. Le frontispice gravé, qui compte dans les
préliminaires, et 67 pages. Le frontispice gravé, qui compte dans les
5
feuillets préliminaires de la première partie du
que de la médecine et des médecins, par Jean Bernier (Paris, d’Houry,
1695,
in-4). Jean Bernier, qui ne pardonne pas à Molièr
famille de médecins ? Recherche à faire. Puis Jean Bernier, en citant
deux
vers de la comédie d’Élomire hypocondre, déclare
a jocantem Corripit, et mimum fingere sæva negat. [
1879-12
] P. L. JACOB, bibliophile. 1. Dufresny ava
mimum fingere sæva negat. [1879-12] P. L. JACOB, bibliophile.
1.
Dufresny avait vingt ans à la mort de Molière, qu
negat. [1879-12] P. L. JACOB, bibliophile. 1. Dufresny avait
vingt
ans à la mort de Molière, qu’il dût connaître et
ût connaître et rencontrer, étant fils d’un Valet-de-chambre du Roi.
2.
Cette pièce eut neuf représentations. 3. Toulous
contrer, étant fils d’un Valet-de-chambre du Roi. 2. Cette pièce eut
neuf
représentations. 3. Toulouse, Éd. Privat, 1879 ;
n Valet-de-chambre du Roi. 2. Cette pièce eut neuf représentations.
3.
Toulouse, Éd. Privat, 1879 ; et se trouve à Paris
. 2. Cette pièce eut neuf représentations. 3. Toulouse, Éd. Privat,
1879
; et se trouve à Paris, chez Picard, 82, rue Bona
. 3. Toulouse, Éd. Privat, 1879 ; et se trouve à Paris, chez Picard,
82,
rue Bonaparte, au prix de 5 francs. 4. Citons en
79 ; et se trouve à Paris, chez Picard, 82, rue Bonaparte, au prix de
5
francs. 4. Citons encore – seulement en ce qui t
trouve à Paris, chez Picard, 82, rue Bonaparte, au prix de 5 francs.
4.
Citons encore – seulement en ce qui touche le thé
tifs aux Mystères, et aux tragiques Claude Boyer et Michel Le Clerc.
5.
Lyon, Jacques Lyons, 1709, in-12, p. 73 et suiv.
x tragiques Claude Boyer et Michel Le Clerc. 5. Lyon, Jacques Lyons,
1709,
in-12, p. 73 et suiv. 6. Dissertation sur J. B.
ichel Le Clerc. 5. Lyon, Jacques Lyons, 1709, in-12, p. 73 et suiv.
6.
Dissertation sur J. B. Poquelin Molière par Beff
6. Dissertation sur J. B. Poquelin Molière par Beffara, broch. in-8,
1821.
7. Sans doute le prédécesseur du père de Molière
sertation sur J. B. Poquelin Molière par Beffara, broch. in-8, 1821.
7.
Sans doute le prédécesseur du père de Molière dan
édécesseur du père de Molière dans la maison du Pavillon des singes.
8.
Grimarest, quoi qu’on en ait dit, ne contredit po
lement, ce qui est incontestable, que ses parents y eurent boutique.
9.
Le Roman de Molière, in-12,1863. Dentu, page 173
y eurent boutique. 9. Le Roman de Molière, in-12,1863. Dentu, page
173.
10. Marque typique du temps. 11. Biographie Did
ent boutique. 9. Le Roman de Molière, in-12,1863. Dentu, page 173.
10.
Marque typique du temps. 11. Biographie Didot, 1
Molière, in-12,1863. Dentu, page 173. 10. Marque typique du temps.
11.
Biographie Didot, 1866, article Vincent. 12. Arc
Dentu, page 173. 10. Marque typique du temps. 11. Biographie Didot,
1866,
article Vincent. 12. Archives communales de la v
rque typique du temps. 11. Biographie Didot, 1866, article Vincent.
12.
Archives communales de la ville d’Albi : Série CC
article Vincent. 12. Archives communales de la ville d’Albi : Série
CC
, registre 335, folio 15. 13. Archives communales
ent. 12. Archives communales de la ville d’Albi : Série CC, registre
335,
folio 15. 13. Archives communales de la ville d’
rchives communales de la ville d’Albi : Série CC, registre 335, folio
15.
13. Archives communales de la ville d’Albi ; sér
es communales de la ville d’Albi : Série CC, registre 335, folio 15.
13.
Archives communales de la ville d’Albi ; série CC
re 335, folio 15. 13. Archives communales de la ville d’Albi ; série
CC
, registre 498. 14. Recherches sur le séjour de
15. 13. Archives communales de la ville d’Albi ; série CC, registre
498.
14. Recherches sur le séjour de Molière dans l’
13. Archives communales de la ville d’Albi ; série CC, registre 498.
14.
Recherches sur le séjour de Molière dans l’Ouest
séjour de Molière dans l’Ouest de la France, par M. Benjamin Fillon.
15.
Exactement deux cent soixante-deux jours, en supp
re dans l’Ouest de la France, par M. Benjamin Fillon. 15. Exactement
deux
cent soixante-deux jours, en supposant que Molièr
ns l’Ouest de la France, par M. Benjamin Fillon. 15. Exactement deux
cent
soixante-deux jours, en supposant que Molière soi
Ouest de la France, par M. Benjamin Fillon. 15. Exactement deux cent
soixante-deux
jours, en supposant que Molière soit né du 14 au
nt deux cent soixante-deux jours, en supposant que Molière soit né du
14
au 15 janvier 1622 ; ce qui fait huit mois et vin
x cent soixante-deux jours, en supposant que Molière soit né du 14 au
15
janvier 1622 ; ce qui fait huit mois et vingt-deu
ante-deux jours, en supposant que Molière soit né du 14 au 15 janvier
1622
; ce qui fait huit mois et vingt-deux jours de ge
supposant que Molière soit né du 14 au 15 janvier 1622 ; ce qui fait
huit
mois et vingt-deux jours de gestation. Rien de pl
e Molière soit né du 14 au 15 janvier 1622 ; ce qui fait huit mois et
vingt-deux
jours de gestation. Rien de plus normal. Ceci pou
insinuations romanesques, mais démenties par les dates et les faits.
16.
Archives nationales, KK 1036 fº 85. 17. Cet inve
is démenties par les dates et les faits. 16. Archives nationales, KK
1036
fº 85. 17. Cet inventaire porte la date des 19-3
ties par les dates et les faits. 16. Archives nationales, KK 1036 fº
85.
17. Cet inventaire porte la date des 19-31 janvi
par les dates et les faits. 16. Archives nationales, KK 1036 fº 85.
17.
Cet inventaire porte la date des 19-31 janvier 16
ives nationales, KK 1036 fº 85. 17. Cet inventaire porte la date des
19-31
janvier 1633. V. Eud. Soulié. Recherches. 18. Tr
s, KK 1036 fº 85. 17. Cet inventaire porte la date des 19-31 janvier
1633.
V. Eud. Soulié. Recherches. 18. Transaction du 2
1036 fº 85. 17. Cet inventaire porte la date des 19-31 janvier 1633.
V.
Eud. Soulié. Recherches. 18. Transaction du 29 m
re porte la date des 19-31 janvier 1633. V. Eud. Soulié. Recherches.
18.
Transaction du 29 mars 1637 entre Jean Poquelin e
s 19-31 janvier 1633. V. Eud. Soulié. Recherches. 18. Transaction du
29
mars 1637 entre Jean Poquelin et Nicolas son père
janvier 1633. V. Eud. Soulié. Recherches. 18. Transaction du 29 mars
1637
entre Jean Poquelin et Nicolas son père pour l’of
e de tapissier du roi, aux minutes de Me Turquet. Eud. Soulié, Rech.
19.
Archives Nationales, KK 1020 fº 64. 20. Voir le
inutes de Me Turquet. Eud. Soulié, Rech. 19. Archives Nationales, KK
1020
fº 64. 20. Voir le Nº 4 du Moliériste, pages 113
e Me Turquet. Eud. Soulié, Rech. 19. Archives Nationales, KK 1020 fº
64.
20. Voir le Nº 4 du Moliériste, pages 113 et 117
Turquet. Eud. Soulié, Rech. 19. Archives Nationales, KK 1020 fº 64.
20.
Voir le Nº 4 du Moliériste, pages 113 et 117. 21
oulié, Rech. 19. Archives Nationales, KK 1020 fº 64. 20. Voir le Nº
4
du Moliériste, pages 113 et 117. 21. M. Duvivier
ves Nationales, KK 1020 fº 64. 20. Voir le Nº 4 du Moliériste, pages
113
et 117. 21. M. Duvivier est grainetier à l’ensei
ionales, KK 1020 fº 64. 20. Voir le Nº 4 du Moliériste, pages 113 et
117.
21. M. Duvivier est grainetier à l’enseigne du P
s, KK 1020 fº 64. 20. Voir le Nº 4 du Moliériste, pages 113 et 117.
21.
M. Duvivier est grainetier à l’enseigne du Petit
de la Mégisserie, au coin de la rue des Lavandières Saint-Opportune.
22.
M. Alexis Martin est l’auteur d’un charmant à pro
re, comédie en un acte, en vers, représentée au Théâtre de l’Odéon le
15
janvier 1860. 23. Grâce à l’archiviste actuel M.
en un acte, en vers, représentée au Théâtre de l’Odéon le 15 janvier
1860.
23. Grâce à l’archiviste actuel M. Brièle, dont
acte, en vers, représentée au Théâtre de l’Odéon le 15 janvier 1860.
23.
Grâce à l’archiviste actuel M. Brièle, dont nous
l M. Brièle, dont nous ne saurions assez louer l’extrême courtoisie.
24.
Nous avons donné dans le Nº de juillet l’extrait
s, que le bail qui en a esté faict ∞ à Fournier est expiré ».
25.
Nous laissons à M. Landrin la responsabilité de l
ré ». 25. Nous laissons à M. Landrin la responsabilité de la date de
1680
qu’il attribue à son plan, et que nous ne nous so
mes pas crus autorisés à changer sur la copie que nous reproduisons.
26.
M. Jules Loiseleur, dans son intéressant ouvrage
ant ouvrage : Les points obscurs de la vie de Molière, Paris, Liseux,
1877,
est encore plus affirmatif : « Il prit gîte à côt
t qui subsiste encore, au coin de la rue des Jardins St. Paul », page
125.
27. Par une particularité aussi curieuse, en mai
subsiste encore, au coin de la rue des Jardins St. Paul », page 125.
27.
Par une particularité aussi curieuse, en mai 1656
. Paul », page 125. 27. Par une particularité aussi curieuse, en mai
1656,
Molière vint loger à Narbonne à l’auberge des Tro
curieuse, en mai 1656, Molière vint loger à Narbonne à l’auberge des
Trois
Nourrices, dans laquelle, vers 1540, avait aussi
loger à Narbonne à l’auberge des Trois Nourrices, dans laquelle, vers
1540,
avait aussi logé Rabelais. (Voir Emmanuel Raymond
gé Rabelais. (Voir Emmanuel Raymond, Molière dans le Languedoc, pages
52,
53.) 28. Registre de La Grange, p. 3. Éd. de la
abelais. (Voir Emmanuel Raymond, Molière dans le Languedoc, pages 52,
53.
) 28. Registre de La Grange, p. 3. Éd. de la Com
s. (Voir Emmanuel Raymond, Molière dans le Languedoc, pages 52, 53.)
28.
Registre de La Grange, p. 3. Éd. de la Comédie-F
28. Registre de La Grange, p. 3. Éd. de la Comédie-Française, p. 8.
29.
Ibid. 30. Ils avaient joué à Fontainebleau pen
de La Grange, p. 3. Éd. de la Comédie-Française, p. 8. 29. Ibid.
30.
Ils avaient joué à Fontainebleau pendant les cinq
p. 8. 29. Ibid. 30. Ils avaient joué à Fontainebleau pendant les
cinq
derniers mois de 1661. La Grange. 31. Ibid., p.
0. Ils avaient joué à Fontainebleau pendant les cinq derniers mois de
1661.
La Grange. 31. Ibid., p. 40. 32. Archives nati
é à Fontainebleau pendant les cinq derniers mois de 1661. La Grange.
31.
Ibid., p. 40. 32. Archives nationales, Menus pl
ndant les cinq derniers mois de 1661. La Grange. 31. Ibid., p. 40.
32.
Archives nationales, Menus plaisirs, KK. 213. 33
ge. 31. Ibid., p. 40. 32. Archives nationales, Menus plaisirs, KK.
213.
33. Reg. du trésor royale, 1665. Colbert mss. 3
1. Ibid., p. 40. 32. Archives nationales, Menus plaisirs, KK. 213.
33.
Reg. du trésor royale, 1665. Colbert mss. 34. Vo
ives nationales, Menus plaisirs, KK. 213. 33. Reg. du trésor royale,
1665.
Colbert mss. 34. Voy. Jal, Dict. hist., art. Fio
us plaisirs, KK. 213. 33. Reg. du trésor royale, 1665. Colbert mss.
34.
Voy. Jal, Dict. hist., art. Fiorilli. 35. Jal et
oyale, 1665. Colbert mss. 34. Voy. Jal, Dict. hist., art. Fiorilli.
35.
Jal et les frères Parfaict disent que Aurelia ava
. Jal et les frères Parfaict disent que Aurelia avait quitté Paris en
1659
: mais le témoignage contraire de La Grange est p
ris en 1659 : mais le témoignage contraire de La Grange est positif.
36.
Campardon, Nouvelles pièces sur Molière, p. 55. L
de Molière, le danseur, qui habitait la maison aujourd’hui numérotée
36,
à deux pas de celle où Molière vint mourir onze a
lière, le danseur, qui habitait la maison aujourd’hui numérotée 36, à
deux
pas de celle où Molière vint mourir onze ans plus
aujourd’hui numérotée 36, à deux pas de celle où Molière vint mourir
onze
ans plus tard. M. Campardon s’y est trompé. 37.
Molière vint mourir onze ans plus tard. M. Campardon s’y est trompé.
37.
« À Louis Blavette, maître des carrosses de Bord
u et les espagnols et leur train en la ville de Bordeaux, la somme de
M
X X l. t. » — « À Pierre Castel voiturier par ter
et les espagnols et leur train en la ville de Bordeaux, la somme de M
X
X l. t. » — « À Pierre Castel voiturier par terre
les espagnols et leur train en la ville de Bordeaux, la somme de M X
X
l. t. » — « À Pierre Castel voiturier par terre p
Dauphin et ceux des comédiens espagnols et italiens à Fontainebleau.
IIII
c LXII l. t. X sols. » Comptes des menus plaisirs
n et ceux des comédiens espagnols et italiens à Fontainebleau. IIII c
LXII
l. t. X sols. » Comptes des menus plaisirs pour 1
es comédiens espagnols et italiens à Fontainebleau. IIII c LXII l. t.
X
sols. » Comptes des menus plaisirs pour 1664. Arc
inebleau. IIII c LXII l. t. X sols. » Comptes des menus plaisirs pour
1664.
Archives nationales, KK. 213. — La Comédie italie
ols. » Comptes des menus plaisirs pour 1664. Archives nationales, KK.
213.
— La Comédie italienne avait été appelée à Compiè
les, KK. 213. — La Comédie italienne avait été appelée à Compiègne en
1656.
On y mena la reine Christine, qui la trouva fort
doutait pas, puisqu’on les gardait. » Mém. de madame de Motteville.
38.
Reg. du Trésor royal pour 1662, mss. Colbert ; re
rdait. » Mém. de madame de Motteville. 38. Reg. du Trésor royal pour
1662,
mss. Colbert ; registre de 1664, passim. — Compte
ille. 38. Reg. du Trésor royal pour 1662, mss. Colbert ; registre de
1664,
passim. — Comptes de 1669, Archives nationales, O
oyal pour 1662, mss. Colbert ; registre de 1664, passim. — Comptes de
1669,
Archives nationales, O 1 2815. 39. « À Tiberio
; registre de 1664, passim. — Comptes de 1669, Archives nationales, O
1
2815. 39. « À Tiberio Fiorilly dit Scaramouche,
registre de 1664, passim. — Comptes de 1669, Archives nationales, O 1
2815.
39. « À Tiberio Fiorilly dit Scaramouche, coméd
e de 1664, passim. — Comptes de 1669, Archives nationales, O 1 2815.
39.
« À Tiberio Fiorilly dit Scaramouche, comédien i
s tant de luy que de sa femme pendant une année finie le dernier juin
1664.
» Comptes de 1664. 40. Th. italien de Gherardi.
e sa femme pendant une année finie le dernier juin 1664. » Comptes de
1664.
40. Th. italien de Gherardi. Avertissement, t. I
mme pendant une année finie le dernier juin 1664. » Comptes de 1664.
40.
Th. italien de Gherardi. Avertissement, t. Ier de
Th. italien de Gherardi. Avertissement, t. Ier de l’éd. d’Amsterdam,
1721.
41. Ibid. 42. Voir le frontispice d’Élomire h
alien de Gherardi. Avertissement, t. Ier de l’éd. d’Amsterdam, 1721.
41.
Ibid. 42. Voir le frontispice d’Élomire hypoco
ardi. Avertissement, t. Ier de l’éd. d’Amsterdam, 1721. 41. Ibid.
42.
Voir le frontispice d’Élomire hypocondre, qui rep
ire hypocondre, qui représente Molière prenant leçon de Scaramouche.
43.
Il mourut rue Tiquetonne, dans le voisinage de l’
Il mourut rue Tiquetonne, dans le voisinage de l’hôtel de Bourgogne.
44.
Tout au moins le premier des Arlequins célèbres e
gne. 44. Tout au moins le premier des Arlequins célèbres en France.
45.
L’un des trois associés de la compagnie Flacourt,
t au moins le premier des Arlequins célèbres en France. 45. L’un des
trois
associés de la compagnie Flacourt, de l’Espine et
bâtir la maison de la rue Richelieu dans laquelle Molière est mort.
46.
« Consistant en une cave sous la cour et escalli
orps de logis de derrière, dont chacun desdits estages est composé de
deux
chambres à cheminée, chaque chambre séparée par u
à cheminée, chaque chambre séparée par une cloison d’aix de sappin et
deux
cabinets, l’un au premier, l’autre au second, etc
et deux cabinets, l’un au premier, l’autre au second, etc. moyennant
265
livres de loyer par année. » Le même jour, Claude
uverture dans le mur qui fait séparation du costé du Palais-Royal ».
47.
Campardon, Pièces nouvelles. L’une de celles-ci (
Palais-Royal ». 47. Campardon, Pièces nouvelles. L’une de celles-ci (
17
juin 1662) donne deux domiciles à Jeraton : l’un
oyal ». 47. Campardon, Pièces nouvelles. L’une de celles-ci (17 juin
1662
) donne deux domiciles à Jeraton : l’un chez le si
Campardon, Pièces nouvelles. L’une de celles-ci (17 juin 1662) donne
deux
domiciles à Jeraton : l’un chez le sieur Morice,
Morlière, rue Jean-Saint-Denis, en face de la rue des Bons-Enfants.
48.
M. Eugène Despois les a citées dans son Théâtre f
ées dans son Théâtre français sous Louis XIV, mais en les tronquant.
49.
Détail fort exact, ainsi qu’on s’en assure en lis
moiselle de La Vallière, suivi de son prompt et inutile retour, etc.
50.
Riquet était seigneur de Bonrepos. Le domaine de
maine de ce nom est situé dans le canton de Verfeil (Haute-Garonne).
51.
Œuvre de M. de Palaprat, préface de l’édition de
aute-Garonne). 51. Œuvre de M. de Palaprat, préface de l’édition de
1712,
reproduite dans l’édition de 1735. Paris, Briasso
Palaprat, préface de l’édition de 1712, reproduite dans l’édition de
1735.
Paris, Briasson, in-8. 52. Dans le costume coule
n de 1712, reproduite dans l’édition de 1735. Paris, Briasson, in-8.
52.
Dans le costume couleur de musc de L’École des ma
ulier pour ce dernier rôle ; le même habit servait peut-être pour les
deux
Écoles. 53. Archives de la Comédie-Française cit
dernier rôle ; le même habit servait peut-être pour les deux Écoles.
53.
Archives de la Comédie-Française citées par M. Re
Française citées par M. René Delorme, Musée de la Comédie-Française.
54.
Il existe une suite gravée de ces compositions, q
’un fort grand style. Le cabinet des estampes en possède une partie.
55.
Nagler, Neues allgemeines Künstler Lexicon. Münch
une partie. 55. Nagler, Neues allgemeines Künstler Lexicon. München,
1850,
t. XX. Voir aussi l’article de Brunet dans la deu
e. 55. Nagler, Neues allgemeines Künstler Lexicon. München, 1850, t.
XX
. Voir aussi l’article de Brunet dans la deuxième
article de Brunet dans la deuxième édition de la Biographie Michaud.
56.
Dominici, Vite de’ pittori, etc., Naples, 1762, i
la Biographie Michaud. 56. Dominici, Vite de’ pittori, etc., Naples,
1762,
in-4, t. III, p. 173.
ichaud. 56. Dominici, Vite de’ pittori, etc., Naples, 1762, in-4, t.
III
, p. 173.
Tome
I
, numéro 10, 1er janvier 1880 Alfred Friedman
Tome I, numéro
10,
1er janvier 1880 Alfred Friedmann : Les Femm
Tome I, numéro 10,
1er
janvier 1880 Alfred Friedmann : Les Femmes s
Tome I, numéro 10, 1er janvier
1880
Alfred Friedmann : Les Femmes savantes et le
es et les Meininger à Wien Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 10, 1er janvier 1880, p. 302-309. Le 21 nove
les Meininger à Wien Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
10,
1er janvier 1880, p. 302-309. Le 21 novembre a é
Meininger à Wien Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 10,
1er
janvier 1880, p. 302-309. Le 21 novembre a été d
Wien Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 10, 1er janvier
1880,
p. 302-309. Le 21 novembre a été donnée au Ring-
e : revue mensuelle, tome I, nº 10, 1er janvier 1880, p. 302-309. Le
21
novembre a été donnée au Ring-Theater, l’ancien O
c’est à ce but louable que Molière et Grillparzer ont contribué ; les
deux
nations, séparées par l’espace, se sont réunies s
ableaux en peintre de premier ordre et qui sait grouper des masses de
cent
personnes comme reproduire un salon du temps de M
rouver dans Molière ». L’Extrablatt se fait prophète et présage que «
deux
des théâtres de Vienne se livreront bataille pour
a quelques années Le Malade imaginaire, et hier Les Femmes savantes. [
1880-01
] Dr Alfred FRIEDMANN. Mondorge : L’anniversa
tes. [1880-01] Dr Alfred FRIEDMANN. Mondorge : L’anniversaire du
quinze
janvier Le Moliériste : revue mensuelle, tom
versaire du quinze janvier Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 11, 1er février 1880, p. 328-334. Le Moliér
re du quinze janvier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
11,
1er février 1880, p. 328-334. Le Moliériste ne
u quinze janvier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 11,
1er
février 1880, p. 328-334. Le Moliériste ne pouv
vier Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 11, 1er février
1880,
p. 328-334. Le Moliériste ne pouvait laisser pa
évrier 1880, p. 328-334. Le Moliériste ne pouvait laisser passer le
258e
anniversaire de la naissance de Molière — le prem
édoc en carafes Corton Léoville Moët frappé Café et Liqueurs. À
onze
heures et demie, se trouvaient réunis dans un sal
raison, et qui a été chaleureusement applaudie. On s’est séparés vers
trois
heures, en se promettant d’être plus nombreux l’a
par un à-propos en vers de M. Eug. Adenis : Diogène et Scapin, où les
deux
Coquelin ont fait assaut de verve et d’entrain. D
x Coquelin ont fait assaut de verve et d’entrain. Diogène, qui depuis
deux
mille ans a quitté la terre « Pour habiter l’Érè
uelin ont fait assaut de verve et d’entrain. Diogène, qui depuis deux
mille
ans a quitté la terre « Pour habiter l’Érèbe et
sans dédain À côté du bonhomme Orgon ou de Jourdain. Oui, malgré les
deux
vers qu’on s’est permis d’écrire, Alceste aurait
À Molière, de M. Ch. Tournay. Le Théâtre Cluny, quoique en retard de
trois
jours, a très dignement célébré Molière à sa douz
gnement célébré Molière à sa douzième Matinée des Jeunes, le dimanche
18,
par Le Cimetière Saint-Joseph, à-propos en un act
M. Gustave Rivet, un vrai poète, représenté pour la première fois le
17
janvier 18742 sur le théâtre de l’Alhambra (faubo
Rivet, un vrai poète, représenté pour la première fois le 17 janvier
18742
sur le théâtre de l’Alhambra (faubourg du Temple)
buste. Un autre théâtre de Bordeaux, les Variétés, a aussi célébré le
15
janvier en introduisant dans son programme du soi
outre le Sonnet aux Moliéristes de notre cher poète François Coppée,
deux
comédies de circonstance : Dandin vengé, de M. Ma
tant souffrir, Et qui vécut son Œuvre, — hélas ! Pour en mourir ! » [
1880-02
] Mondorge Tome I, numéro 11, 1er février 18
on Œuvre, — hélas ! Pour en mourir ! » [1880-02] Mondorge Tome
I
, numéro 11, 1er février 1880 Charles-Louis L
— hélas ! Pour en mourir ! » [1880-02] Mondorge Tome I, numéro
11,
1er février 1880 Charles-Louis Livet : Deux
las ! Pour en mourir ! » [1880-02] Mondorge Tome I, numéro 11,
1er
février 1880 Charles-Louis Livet : Deux mots
n mourir ! » [1880-02] Mondorge Tome I, numéro 11, 1er février
1880
Charles-Louis Livet : Deux mots à propos de
e Tome I, numéro 11, 1er février 1880 Charles-Louis Livet :
Deux
mots à propos de Tartuffe Le Moliériste : r
mots à propos de Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 11, 1er février 1880, p. 335-338. Je viens d
propos de Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
11,
1er février 1880, p. 335-338. Je viens de relire
pos de Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 11,
1er
février 1880, p. 335-338. Je viens de relire le
ffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 11, 1er février
1880,
p. 335-338. Je viens de relire le Tartuffe, et m
rincipale préoccupation a été de me faire une opinion personnelle sur
deux
ou trois points qui me semblent mériter d’être mi
e préoccupation a été de me faire une opinion personnelle sur deux ou
trois
points qui me semblent mériter d’être mis en ques
de Molière, était de robe longue, devint homme d’épée à la reprise de
1667
: il portait « un petit chapeau, de grands cheveu
s malade ; elle n’a même eu qu’une légère indisposition qui remonte à
deux
jours : « Madame eut, avant hier, la fièvre jusq
. » Aussi Dorine pouvait-elle dire d’elle et de Tartuffe : « … Tous
deux
se portent bien enfin. » Molière, en parlant dan
éditions de Molière, éditions que je ne puis consulter en ce moment. [
1880-02
] Ch.-L. LIVET. Eugène Noël : Les valets de
ël : Les valets de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 11, 1er février 1880, p. 339-340. On s’est é
es valets de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
11,
1er février 1880, p. 339-340. On s’est étonné qu
alets de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 11,
1er
février 1880, p. 339-340. On s’est étonné quelqu
ière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 11, 1er février
1880,
p. 339-340. On s’est étonné quelquefois de la fa
. Il ne sera peut-être pas hors de propos de rapporter en cet endroit
deux
petites historiettes qui marquent bien sa facilit
ettes qui marquent bien sa facilité et son humeur enjouée. À l’âge de
dix-huit
ou dix-neuf ans, et lorsqu’il s’établit premièrem
rquent bien sa facilité et son humeur enjouée. À l’âge de dix-huit ou
dix-neuf
ans, et lorsqu’il s’établit premièrement à Paris,
outes ses sottises de tout son sens. M. d’Ablancourt jouait un jour à
trois
chez à la Pomme de pin et perdait. Bassan, qui vo
ent). M. d’Ablancourt manque à l’assignation, Bassan boude et pendant
cinq
ou six jours ne le veut point voir. Sa colère enf
d’Ablancourt manque à l’assignation, Bassan boude et pendant cinq ou
six
jours ne le veut point voir. Sa colère enfin se p
absolument contemporains de Molière. Perrot d’Ablancourt était né en
1606,
précisément la même année que Pierre Corneille. P
son jeune maître Léandre ! Encore un coup, Molière n’a rien exagéré. [
1880-02
] Eugène NOËL. Tome I, numéro 12, 1er mars
un coup, Molière n’a rien exagéré. [1880-02] Eugène NOËL. Tome
I
, numéro 12, 1er mars 1880 Georges Monval : L
olière n’a rien exagéré. [1880-02] Eugène NOËL. Tome I, numéro
12,
1er mars 1880 Georges Monval : Le fauteuil d
re n’a rien exagéré. [1880-02] Eugène NOËL. Tome I, numéro 12,
1er
mars 1880 Georges Monval : Le fauteuil de Mo
en exagéré. [1880-02] Eugène NOËL. Tome I, numéro 12, 1er mars
1880
Georges Monval : Le fauteuil de Molière
l : Le fauteuil de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
I
, nº 12, 1er mars 1880, p. 355-359. Il ne s’agit
fauteuil de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº
12,
1er mars 1880, p. 355-359. Il ne s’agit ici ni d
teuil de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 12,
1er
mars 1880, p. 355-359. Il ne s’agit ici ni du fa
Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome I, nº 12, 1er mars
1880,
p. 355-359. Il ne s’agit ici ni du fauteuil que
auteuil de Pézenas, dont on sait l’histoire et qui est à Paris depuis
1873
; ni d’aucun des vingt-huit fauteuils que posséda
nt on sait l’histoire et qui est à Paris depuis 1873 ; ni d’aucun des
vingt-huit
fauteuils que possédait Molière tant à la rue de
ers, je renvoie le lecteur à l’inappréciable inventaire exhumé, voilà
seize
années, par les soins patients du regrettable Eud
’en est pas de même du Fauteuil du Malade imaginaire, conservé depuis
deux
siècles à la Comédie-Française, et dans lequel Mo
une crémaillère permet de rabattre et de relever son vaste dossier ;
deux
tiges de fer, sortant des bras, servent à placer
ons, le mémoire de l’apothicaire monsieur Fleurant, la sonnette, etc.
Deux
clous à crochet fixés derrière le dossier sont de
olière, le fauteuil fut religieusement conservé par ses camarades, et
dix
jours ne s’étaient pas écoulés depuis qu’« un peu
tel de Bourgogne, Rosimond lui succède et prend place au fauteuil. En
1689,
nouveau déménagement. Cette fois, la Comédie, éta
omédie, établie rue des Fossés-Saint-Germain-des-Prés, est fixée pour
quatre-vingts
ans. Le fauteuil est installé dans la salle des A
dité résolvait le problème du contenant plus petit que le contenu. En
1770,
le fauteuil suivit la Comédie aux Tuileries, paru
re avait joué sa Psyché un siècle auparavant, et repassa les ponts en
1782
pour l’ouverture de la salle du faubourg Saint-Ge
udiences de Thalie, comédie épisodique en vers libres, représentée le
12
avril. Dès la scène première, Mme Vestris, en Mel
endu même qu’il s’y trouvait encore le jour de l’incendie de l’Odéon (
18
mars 1799), et les journaux du temps, notamment L
e qu’il s’y trouvait encore le jour de l’incendie de l’Odéon (18 mars
1799
), et les journaux du temps, notamment La Décade P
sement, il n’y avait pas d’employé de ce nom à la rive gauche en l’an
VII
: le garçon de théâtre s’appelait Mayeux. D’autre
n qu’il n’était plus à l’Odéon à l’époque de l’incendie. Il avait, en
1789,
figuré avec plusieurs autres meubles dans la trag
la fameuse pièce de Marie-Joseph Chénier au théâtre de la République (
8
janvier 1799), l’Odéon prêta pour cette reprise «
pièce de Marie-Joseph Chénier au théâtre de la République (8 janvier
1799
), l’Odéon prêta pour cette reprise « les meubles
Charles IX »,parmi lesquels — d’après l’état même du tapissier : — «
10
tabourets, 2 banquettes, 2 fauteuils, une table a
parmi lesquels — d’après l’état même du tapissier : — « 10 tabourets,
2
banquettes, 2 fauteuils, une table antique, et un
— d’après l’état même du tapissier : — « 10 tabourets, 2 banquettes,
2
fauteuils, une table antique, et un mauvais faute
antique, et un mauvais fauteuil en basane noire, dit de Molière (ces
trois
mots sont raturés et remplacés par ceux-ci : qui
rés et remplacés par ceux-ci : qui a appartenu à Molière] prisé, ……..
12
fr. » ! Il était donc rue de Richelieu (à cette é
fr. » ! Il était donc rue de Richelieu (à cette époque rue de la Loi)
deux
mois et demi avant, et il s’y trouvait encore un
ur faire l’inventaire du théâtre de la République, à leur vacation du
17
avril 1799, comme appartenant aux comédiens franç
l’inventaire du théâtre de la République, à leur vacation du 17 avril
1799,
comme appartenant aux comédiens français de l’Odé
u Mariage de Figaro. Il figure une dernière fois dans l’inventaire de
1815,
dont l’extrait suivant prouvera tout le prix que
vant prouvera tout le prix que l’on attachait alors à ce meuble : «
17e
VACATION, DU 13 JUILLET 1815. » « Magasin du ta
t le prix que l’on attachait alors à ce meuble : « 17e VACATION, DU
13
JUILLET 1815. » « Magasin du tapissier. — Mobil
ue l’on attachait alors à ce meuble : « 17e VACATION, DU 13 JUILLET
1815.
» « Magasin du tapissier. — Mobilier et accesso
ce du théâtre. » Le fauteuil de Figaro, recouvert en camelot vert,
trente
francs, ci ……………… 30 fr. Un Fauteuil de M
il de Figaro, recouvert en camelot vert, trente francs, ci ………………
30
fr. Un Fauteuil de Molière, à crémaillère et
plus souvent, et l’emploi du fauteuil n’est pas une sinécure. Depuis
soixante
ans, il a successivement porté Baptiste-Cadet, De
uzin, Micheau, Anselme Bert, MM. Talbot, Barré et Thiron, et son cuir
deux
fois séculaire est presque retourné à sa couleur
ux fois séculaire est presque retourné à sa couleur naturelle. Encore
deux
ou trois générations de financiers, et c’en serai
séculaire est presque retourné à sa couleur naturelle. Encore deux ou
trois
générations de financiers, et c’en serait fait du
médie, soit aux Archives où nous lui souhaitons une place d’honneur. [
1880-03
] Georges MONVAL. Tome I, numéro 13, 1er av
souhaitons une place d’honneur. [1880-03] Georges MONVAL. Tome
I
, numéro 13, 1er avril 1880 Édouard Thierry :
une place d’honneur. [1880-03] Georges MONVAL. Tome I, numéro
13,
1er avril 1880 Édouard Thierry : Molière et
place d’honneur. [1880-03] Georges MONVAL. Tome I, numéro 13,
1er
avril 1880 Édouard Thierry : Molière et Tart
onneur. [1880-03] Georges MONVAL. Tome I, numéro 13, 1er avril
1880
Édouard Thierry : Molière et Tartuffe dans l
la Préface des Plaideurs Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 13, 1er avril 1880, p. 3-13. Nous voici arri
face des Plaideurs Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
13,
1er avril 1880, p. 3-13. Nous voici arrivés à l’
des Plaideurs Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 13,
1er
avril 1880, p. 3-13. Nous voici arrivés à l’anné
eurs Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 13, 1er avril
1880,
p. 3-13. Nous voici arrivés à l’année 1669, mais
ome II, nº 13, 1er avril 1880, p. 3-13. Nous voici arrivés à l’année
1669,
mais en laissant derrière nous une comédie qui fu
ne avaient repris le chemin de l’Italie. Soit ; mais c’est en juillet
1659
que la troupe italienne fermait son théâtre, et v
italiens au Petit-Bourbon. À cette époque, il s’en fallait encore de
deux
ans que Perrault le jetât par terre pour se faire
ce nette, les chantiers de construction de la colonnade du Louvre. En
1659
aussi, Racine avait à peine vingt ans. C’est l’âg
uction de la colonnade du Louvre. En 1659 aussi, Racine avait à peine
vingt
ans. C’est l’âge de l’enthousiasme et de la tendr
lancent d’un coup d’aile dans l’empyrée de l’ode ou de la tragédie. À
vingt
ans, toujours plein de Théagène et Chariclée, Rac
it ? Scaramouche n’était pas pour rester toujours absent : en janvier
1662,
la troupe italienne faisait sa rentrée au Palais-
sa rentrée au Palais-Royal et s’y établissait sur un théâtre remis à
neuf
, l’ancien théâtre de Richelieu, dont les Comédien
ne s’était pas encore brouillé avec Molière comme il devait le faire
six
ans plus tard en passant avec son Alexandre du Pa
Le scandale qu’elle avait soulevé lui rappelait celui de Tartuffe en
1667,
et l’enthousiasme indiscret qu’il avait eu le tor
a seule chance de la rencontrer, je veux dire dans la Gazette. Or, du
1er
novembre 1668, au 1er janvier 1669, la Gazette ne
e de la rencontrer, je veux dire dans la Gazette. Or, du 1er novembre
1668,
au 1er janvier 1669, la Gazette ne signale qu’un
encontrer, je veux dire dans la Gazette. Or, du 1er novembre 1668, au
1er
janvier 1669, la Gazette ne signale qu’un voyage
e veux dire dans la Gazette. Or, du 1er novembre 1668, au 1er janvier
1669,
la Gazette ne signale qu’un voyage de la Cour où
c’était pour les fêtes de la Saint-Hubert données à Saint-Germain, le
3,
le 4, le 5 et le 6 novembre. Louis XIV quitta Par
t pour les fêtes de la Saint-Hubert données à Saint-Germain, le 3, le
4,
le 5 et le 6 novembre. Louis XIV quitta Paris le
les fêtes de la Saint-Hubert données à Saint-Germain, le 3, le 4, le
5
et le 6 novembre. Louis XIV quitta Paris le 2, il
es de la Saint-Hubert données à Saint-Germain, le 3, le 4, le 5 et le
6
novembre. Louis XIV quitta Paris le 2, il y rentr
Germain, le 3, le 4, le 5 et le 6 novembre. Louis XIV quitta Paris le
2,
il y rentra le 7. Ce fut la troupe de Molière, la
4, le 5 et le 6 novembre. Louis XIV quitta Paris le 2, il y rentra le
7.
Ce fut la troupe de Molière, la troupe du Roi pro
croire que l’Hôtel de Bourgogne ait partagé cet honneur. Pendant les
cinq
jours que Leurs Majestés restèrent à Saint-Germai
és restèrent à Saint-Germain, les comédiens du Palais-Royal donnèrent
cinq
représentations, quatre de George Dandin, une de
ermain, les comédiens du Palais-Royal donnèrent cinq représentations,
quatre
de George Dandin, une de L’Avare. Il y eut un au
ne de L’Avare. Il y eut un autre voyage de la Cour à Versailles, les
4,
5 et 6 décembre ; mais la Cour n’y prit d’autre d
de L’Avare. Il y eut un autre voyage de la Cour à Versailles, les 4,
5
et 6 décembre ; mais la Cour n’y prit d’autre div
Avare. Il y eut un autre voyage de la Cour à Versailles, les 4, 5 et
6
décembre ; mais la Cour n’y prit d’autre divertis
is la Cour n’y prit d’autre divertissement que celui de la chasse. Le
29,
l’Hôtel de Bourgogne représente enfin devant la C
enfin devant la Cour, mais c’est à Paris et par ordre de Monsieur. Le
6
janvier, le Roi et la Reine prennent encore « le
alon du Palais des Tuileries. Il faut cependant que ce soit un de ces
deux
jours-là ou plutôt ce dernier jour, qu’ait eu lie
Germain, mais à Paris. S’il en était ainsi, rapprochons seulement ces
deux
dates : le 6 janvier, la revanche des Plaideurs,
Paris. S’il en était ainsi, rapprochons seulement ces deux dates : le
6
janvier, la revanche des Plaideurs, suivie de la
revanche des Plaideurs, suivie de la reprise des représentations ; le
5
février, ce grand événement, la reprise triomphan
Qu’est-ce que la fin de sa préface ? Un coup de sifflet, que dis-je ?
Deux
ou trois coups de sifflet dissimulés, à l’adresse
e que la fin de sa préface ? Un coup de sifflet, que dis-je ? Deux ou
trois
coups de sifflet dissimulés, à l’adresse de Moliè
je m’assure qu’il vaut mieux avoir occupé l’impertinente éloquence de
deux
avocats autour d’un chien accusé que d’avoir mis
ur la sellette, n’est-ce pas Tartuffe, que Cléante pousse à bout dans
deux
sévères interrogatoires et oblige dans le second
r assez longtemps réjoui le monde. » Entendez-vous, à travers tantôt
dix
ans qui séparent la préface des Plaideurs et La C
Racine méritaient qu’on se moquât d’eux. Je ne rapproche pas ici les
deux
procédés pour faire ressortir le plus généreux, c
r la différente physionomie des représentations, à l’origine, sur les
deux
théâtres. Si L’Avare avait eu véritablement l’air
tradition et, par Ponsard suivi d’Emile Augier, remontât à Molière. [
1880-04
] Édouard THIERRY. (Extrait d’une Étude inédit
(Extrait d’une Étude inédite sur Le Théâtre de Molière.) Tome
II
, numéro 14, 1er mai 1880 Charles-Louis Livet
d’une Étude inédite sur Le Théâtre de Molière.) Tome II, numéro
14,
1er mai 1880 Charles-Louis Livet : Molière e
ne Étude inédite sur Le Théâtre de Molière.) Tome II, numéro 14,
1er
mai 1880 Charles-Louis Livet : Molière et le
inédite sur Le Théâtre de Molière.) Tome II, numéro 14, 1er mai
1880
Charles-Louis Livet : Molière et les scrupul
es d’un traducteur italien Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 14, 1er mai 1880, p. 35-43. En 1794 et année
traducteur italien Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
14,
1er mai 1880, p. 35-43. En 1794 et années suivan
ducteur italien Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 14,
1er
mai 1880, p. 35-43. En 1794 et années suivantes
italien Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 14, 1er mai
1880,
p. 35-43. En 1794 et années suivantes fut publié
ériste : revue mensuelle, tome II, nº 14, 1er mai 1880, p. 35-43. En
1794
et années suivantes fut publiée en Italie une « B
ançaise » comprend un certain nombre de volumes, dont chacun contient
deux
pièces, ayant une pagination particulière sous un
loyer des expressions indécentes, ou peu naturelles et peu claires »
4.
Les passages exceptés de la règle d’une traductio
principaux, et nous les indiquerons après lui : La deuxième scène du
1er
acte débute ainsi : GROS-RENÉ. S’t, Marinette !
surtout en parlant à une dame. J’ai donc été obligé de la remplacer. »
5
Presqu’à la fin de la même scène, Eraste, s’adr
désignation galante d’Éraste, qui faisait d’elle un « ange adorable »
6
: « Les scrupules de notre théâtre (italien) son
ns la bouche de Gros-René et de Marinette m’ont semblé mauvaises pour
mille
raisons. Qui pourrait souffrir, dans la bouche de
e…. « Ne m’a jamais rien fait apprendre que mes heures, « Qui, depuis
cinquante
ans, dites journellement, « Ne sont encor pour mo
ibes de latin : et encore, bien que je les répète très souvent depuis
cinquante
ans, cependant elles me paraissent dures comme du
lus polis, plus délicats que les parisiens du siècle de Louis XIV ! »
8
Au même acte, à la même scène viii, Métaphraste
; j’ai changé la dernière, bien que j’aie dû conserver la première. »
9
En conséquence, il a traduit : « … Per Jovem, j
put obtenir des Réformateurs de l’Université de Padoue, à la date du
25
février 1794, les licences nécessaires pour l’imp
r des Réformateurs de l’Université de Padoue, à la date du 25 février
1794,
les licences nécessaires pour l’impression du Thé
érilité ! Ô procédés infiniment petits d’infiniment petits esprits ! [
1880-05
] CH.-L. LIVET. Alfred Copin : L’arbre aux pr
in : L’arbre aux prêcheurs Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 14, 1er mai 1880, p. 48-49. Il n’y a pas un
arbre aux prêcheurs Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
14,
1er mai 1880, p. 48-49. Il n’y a pas un moliéris
e aux prêcheurs Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 14,
1er
mai 1880, p. 48-49. Il n’y a pas un moliériste q
êcheurs Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 14, 1er mai
1880,
p. 48-49. Il n’y a pas un moliériste qui ne conn
enger nous a raconté l’histoire à cette place. (Voir Le Moliériste du
1er
juillet 1879, page 108.) Mais un fait ignoré de l
raconté l’histoire à cette place. (Voir Le Moliériste du 1er juillet
1879,
page 108.) Mais un fait ignoré de la plupart, ass
histoire à cette place. (Voir Le Moliériste du 1er juillet 1879, page
108.
) Mais un fait ignoré de la plupart, assurément, c
jet représenté diffère, voilà tout. Cette maison, qui porte le numéro
83
de la rue Saint-Denis, à cent mètres des halles,
à tout. Cette maison, qui porte le numéro 83 de la rue Saint-Denis, à
cent
mètres des halles, entre la rue de la Cossonnerie
cette maison est appliqué un arbre sculpté, en bois, de la hauteur de
trois
étages, ayant douze branches, sur chacune desquel
liqué un arbre sculpté, en bois, de la hauteur de trois étages, ayant
douze
branches, sur chacune desquelles un apôtre est de
des cinges » et l’arbre aux prêcheurs sont bien de la même famille. [
1880-05
] Alfred COPIN. Tome II, numéro 15, 1er jui
urs sont bien de la même famille. [1880-05] Alfred COPIN. Tome
II
, numéro 15, 1er juin 1880 Georges Monval : N
en de la même famille. [1880-05] Alfred COPIN. Tome II, numéro
15,
1er juin 1880 Georges Monval : Nécrologie. É
e la même famille. [1880-05] Alfred COPIN. Tome II, numéro 15,
1er
juin 1880 Georges Monval : Nécrologie. Édoua
famille. [1880-05] Alfred COPIN. Tome II, numéro 15, 1er juin
1880
Georges Monval : Nécrologie. Édouard Fournie
crologie. Édouard Fournier Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 15, 1er juin 1880, p. 67-68. Le mercredi 12
e. Édouard Fournier Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
15,
1er juin 1880, p. 67-68. Le mercredi 12 mai, nou
douard Fournier Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 15,
1er
juin 1880, p. 67-68. Le mercredi 12 mai, nous co
urnier Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 15, 1er juin
1880,
p. 67-68. Le mercredi 12 mai, nous conduisions à
evue mensuelle, tome II, nº 15, 1er juin 1880, p. 67-68. Le mercredi
12
mai, nous conduisions à sa dernière demeure le ch
e du « plus érudit et plus ingénieux des moliéristes contemporains ».
Quatre
discours ont été prononcés sur la tombe d’Édouard
noté, recueilli, retenu. Ses premières études sur Molière remontent à
1852
: il publia dans L’Illustration les « Reliques de
plus tard à « Molière et le procès du pain mollet » (Revue française,
1855
) et à deux autres notices (« Le Registre de La Gr
« Molière et le procès du pain mollet » (Revue française, 1855) et à
deux
autres notices (« Le Registre de La Grange » ; «
on Roman de Molière. Ce petit volume, coquettement édité par Dentu en
1863,
fut rapidement épuisé. L’auteur venait de faire r
ut rapidement épuisé. L’auteur venait de faire représenter à l’Odéon (
15
janvier 1863) un à-propos en vers, La Fille de Mo
nt épuisé. L’auteur venait de faire représenter à l’Odéon (15 janvier
1863
) un à-propos en vers, La Fille de Molière, qui té
olière, qui témoignait assez de son culte pour le Père de la Comédie.
Cinq
ans plus tard, le Théâtre-Français célébrait l’an
uvres : dans la Revue française, « Comment Molière fit le Tartuffe » (
1857
), « À propos de Don Juan » et « La farce avant Mo
ffe » (1857), « À propos de Don Juan » et « La farce avant Molière » (
1858
) ; dans cette précieuse Revue des provinces qu’il
ue des provinces qu’il venait de fonder, « Les Poquelin à Bordeaux » (
1865
) et « Les vers espagnols de Molière » ; dans la R
; dans la Revue des cours littéraires, sa conférence du Jubilé de mai
1873
: « La famille et l’enfance de Molière », etc., e
notice sur les Poésies de Molière dans Les Poètes français de Crépet (
1861
) ; ses excellentes notes de l’édition belge du Ch
épet (1861) ; ses excellentes notes de l’édition belge du Chappuzeau (
1867
), celles du Récit de la farce des Précieuses qu’i
es du Récit de la farce des Précieuses qu’il a réimprimé dans le tome
IV
des Variétés historiques et littéraires de la Bib
Variétés historiques et littéraires de la Bibliothèque Elzévirienne (
1856
), et enfin ses feuilletons hebdomadaires de La Pa
1856), et enfin ses feuilletons hebdomadaires de La Patrie, où depuis
vingt
ans il ne perdait pas une occasion de parler de M
rand livre qu’il rêvait : Molière au théâtre et chez lui, annoncé dès
1863
par la librairie Didier, et que l’implacable Mort
rie Didier, et que l’implacable Mort ne lui a pas permis d’achever ! [
1880-06
] Georges MONVAL. Anton Gerard Van Hamel : U
n hollandaise du Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 15, 1er juin 1880, p. 69-80. Tartuffe, kome
ndaise du Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
15,
1er juin 1880, p. 69-80. Tartuffe, komedie in V
se du Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 15,
1er
juin 1880, p. 69-80. Tartuffe, komedie in Vyf b
tuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 15, 1er juin
1880,
p. 69-80. Tartuffe, komedie in Vyf bedryven, va
edryven, van Molière, vertaald d00r J. A. Alberdingk Thym. Amsterdam,
C.
L. van Langenhuysen, 1879. La Hollande a toujour
yven, van Molière, vertaald d00r J. A. Alberdingk Thym. Amsterdam, C.
L.
van Langenhuysen, 1879. La Hollande a toujours é
rtaald d00r J. A. Alberdingk Thym. Amsterdam, C. L. van Langenhuysen,
1879.
La Hollande a toujours été très enthousiaste de
10, une étude non moins intéressante et non moins solide sur Tartuffe
11.
Mais il ne suffit pas aux Hollandais de pouvoir l
t à peine si une seule des tragédies en vers du grand Vondel (mort en
1679
) Gysbrecht d’Aemstel se joue une fois par an sur
s si les élèves du Conservatoire d’Amsterdam en jouent parfois une ou
deux
scènes. La traduction des Femmes Savantes, qui d’
d’Orgon au premier acte, il n’aurait pas dû, à propos de Valère (acte
II
, scène ii), donner à ces mots leur sens moderne e
petits détails. Si nous avions à faire une œuvre semblable, voici les
deux
règles auxquelles nous demanderions surtout à nou
plus grand soin à rendre les vers qui sont restés célèbres ; sur ces
deux
points, nous n’admettrions pas la moindre transac
homme du monde. Il y a, dans la manière différente dont chacun de ces
deux
personnages représente la franchise, l’honnêteté
aire » par le « bréviaire » et pourquoi il n’a pas reproduit dans ces
quatre
vers les sons traînants et les rimes sonores de l
sait rien. Si le rédacteur du Moliériste veut bien nous permettre ici
deux
vers hollandais, voici la rédaction que nous nous
Voilà quelques petites critiques fort aisées, et qui ne prouvent que
deux
choses, d’abord, que l’art est difficile, et ensu
Nous apprenons que la troupe du théâtre hollandais a joué la pièce le
18
avril à La Haye et le 20 à Amsterdam. Assurément
upe du théâtre hollandais a joué la pièce le 18 avril à La Haye et le
20
à Amsterdam. Assurément acteurs et public ont joi
ur gloire à jouer un peu comme on le joue dans la Maison de Molière. [
1880-06
] Van HAMEL. Ulric Richard-Desaix : La Reliq
du Cabinet du Baron Denon Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 15, 1er juin 1880, p. 83-93. À Monsieur Geor
inet du Baron Denon Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
15,
1er juin 1880, p. 83-93. À Monsieur Georges Monv
du Baron Denon Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 15,
1er
juin 1880, p. 83-93. À Monsieur Georges Monval.
Denon Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 15, 1er juin
1880,
p. 83-93. À Monsieur Georges Monval. Monsieur,
Dominique-Vivant Denon, Membre de l’ancienne Académie de Peinture (de
1787
à 1793), puis de l’Institut de France (Académie d
ue-Vivant Denon, Membre de l’ancienne Académie de Peinture (de 1787 à
1793
), puis de l’Institut de France (Académie des Beau
7 à 1793), puis de l’Institut de France (Académie des Beaux-Arts) (de
1795
à 1825) ; Membre-Fondateur de l’Institut d’Égypte
3), puis de l’Institut de France (Académie des Beaux-Arts) (de 1795 à
1825
) ; Membre-Fondateur de l’Institut d’Égypte (1798-
aux-Arts) (de 1795 à 1825) ; Membre-Fondateur de l’Institut d’Égypte (
1798-1800
) ; Directeur-général (pendant plus de quinze ans)
l’Institut d’Égypte (1798-1800) ; Directeur-général (pendant plus de
quinze
ans) des Musées Impériaux et Royaux, de la Monnai
ut lieu, au feu des enchères, dans les appartements du Baron Denon, —
5,
quai Voltaire, — en 1826, quelques mois seulement
hères, dans les appartements du Baron Denon, — 5, quai Voltaire, — en
1826,
quelques mois seulement après le décès du Collect
le conserva jusqu’à sa mort. À la vente de la Galerie-Pourtalès, — en
1865,
— il repassa de nouveau sous le marteau des Commi
eau des Commissaires-priseurs. Il fut mis sur table, — sous le numéro
1958
du catalogue, — à l’Hôtel de Pourtalès même, 7, R
e, — sous le numéro 1958 du catalogue, — à l’Hôtel de Pourtalès même,
7,
Rue Tronchet, où se faisait la vente, — devant un
où se faisait la vente, — devant une salle à peu près vide, le lundi
13
mars 1865. — Ce jour-là, tout le flot des curieux
aisait la vente, — devant une salle à peu près vide, le lundi 13 mars
1865.
— Ce jour-là, tout le flot des curieux habituels
du Duc de Morny, dont le service funèbre se célébrait, — justement à
deux
pas de la rue Tronchet, — en l’Église de la Madel
t-neveu du héros de Marengo, qui l’obtint, — pour la modique somme de
300
francs. M. Desaix, dans le salon duquel je l’ai,
sité ». Voici, premièrement, comment est décrit le Reliquaire (Numéro
646
des Monuments historiques) dans le catalogue de s
gue de son cabinet, dont l’imposant ensemble ne comprend pas moins de
trois
volumes in-8, de près de 300 pages chacun (N. B.
sant ensemble ne comprend pas moins de trois volumes in-8, de près de
300
pages chacun (N. B. — Cette même description a ét
ralement, reproduite par le rédacteur du Catalogue Pourtalès) : « Nº
646.
— Cuivre doré., — Un Reliquaire de forme hexagone
ire de forme hexagone et de travail gothique, flanqué à ses angles de
six
tourillons attachés par des arcs-boutants à un co
un couronnement composé d’un petit édifice surmonté de la croix : les
deux
faces principales de ce reliquaire sont divisées
les deux faces principales de ce reliquaire sont divisées chacune en
six
compartiments, et contiennent les objets suivants
out entière lors de l’exhumation des corps des Rois à Saint-Denis, en
1793.
— Fragment du linceul de Turenne. — Fragments d’o
ments d’os de MOLIÈRE et de La Fontaine. — Cheveux du Général Desaix.
Deux
des faces latérales du même objet sont remplies,
ne Feuille du saule sous lequel il repose dans l’île de Sainte-Hélène
14.
« Haut. 16 pouces, 3 lignes. » À cette énumérati
u saule sous lequel il repose dans l’île de Sainte-Hélène 14. « Haut.
16
pouces, 3 lignes. » À cette énumération déjà lon
s lequel il repose dans l’île de Sainte-Hélène 14. « Haut. 16 pouces,
3
lignes. » À cette énumération déjà longue, il co
encore : « la moitié d’une Dent de Voltaire », classée sous le numéro
1379
du même catalogue, parmi les « Objets omis », et
devant faire partie des Souvenirs historiques décrits dans l’article
646
qui précède ». Cette Dent de Voltaire est parfait
de Voltaire est parfaitement indiquée dans le catalogue Pourtalès (nº
1958
), et se trouve bien, effectivement, aujourd’hui,
s avoir redouté jamais ni la peine, ni la fatigue. Souvenez-vous qu’à
cinquante
ans bien sonnés, — en 1798, — n’étant plus déjà t
ne, ni la fatigue. Souvenez-vous qu’à cinquante ans bien sonnés, — en
1798,
— n’étant plus déjà tout à fait un jeune homme !
arquis de Pastoret, dans son Éloge de Denon prononcé à l’Institut, en
1851
) un jour que l’on remontait le Nil, Denon aperçut
ectionneurs ! Les tombeaux d’Héloïse et d’Abailard, furent ouverts en
179216.
Le tombeau d’Agnès Sorel le fut en 1777 et en 180
bailard, furent ouverts en 179216. Le tombeau d’Agnès Sorel le fut en
1777
et en 180117 ; celui de Henri IV, en 179318 ; cel
rent ouverts en 179216. Le tombeau d’Agnès Sorel le fut en 1777 et en
180117
; celui de Henri IV, en 179318 ; celui de Turenne
eau d’Agnès Sorel le fut en 1777 et en 180117 ; celui de Henri IV, en
179318
; celui de Turenne, en octobre 179319 ; celui de
180117 ; celui de Henri IV, en 179318 ; celui de Turenne, en octobre
179319
; celui de Molière, au cimetière Saint-Joseph, en
, en octobre 179319 ; celui de Molière, au cimetière Saint-Joseph, en
1792.
C’est dans ce cimetière que se trouvait encore, à
rs d’une section du quartier Montmartre ne l’eussent fait enlever (le
6
juillet 1792) et que les soins pieux d’Alexandre
ection du quartier Montmartre ne l’eussent fait enlever (le 6 juillet
1792
) et que les soins pieux d’Alexandre Lenoir ne l’e
arge tombe de pierre, et durant un hiver fort rude, elle fit voiturer
cent
voies de bois dans le cimetière Saint-Joseph, afi
a tombe de Molière. Il en résulta que la pierre calcinée se fendit en
deux
morceaux, mais du moins les indigents avaient eu
et Denon. Pour le tombeau de Voltaire, il fut ouvert, lui, en juillet
1791,
lorsque, au nom de l’Assemblée Constituante, on a
e Scellières en Champagne, les cendres du célèbre Philosophe, — comme
trois
ans plus tard, sous la Convention, en octobre 179
ilosophe, — comme trois ans plus tard, sous la Convention, en octobre
1794,
celles de Rousseau de l’île des Peupliers, à Erme
Patrie reconnaissante. » Du Panthéon, — sous la Restauration, en mai
1814,
— les restes de Voltaire et de Rousseau furent ho
é la paix de Scèllières et d’Ermenonville, qui sait si la réaction de
1815
aurait même songé à la troubler ? Quant aux reliq
e provenant du pillage des églises et couvents de Burgos, en novembre
1808,
par les troupes françaises. Ces fragments doivent
ses voyages. C’est ainsi qu’on voit figurer dans ses collections (Nº
628
du Catalogue cité), un Fragment de pierre calcair
ché du Chéops, la plus haute des Pyramides de Girgeh, et un autre (Nº
629
), de grès de la Statue de Memnon. Les Cheveux du
dans son tombeau de la chapelle du couvent du Mont-Saint-Bernard, le
19
juin 1805. Le Baron Denon, vous ne l’ignorez pas,
n tombeau de la chapelle du couvent du Mont-Saint-Bernard, le 19 juin
1805.
Le Baron Denon, vous ne l’ignorez pas, avait été
réchal Berthier, officiellement envoyé pour représenter l’Empereur22.
Deux
autres numéros du catalogue du Cabinet Denon conc
talogue du Cabinet Denon concernent encore le souvenir de Desaix : Nº
653.
« Une Boucle de cheveux coupée sur la tête de Des
º 653. « Une Boucle de cheveux coupée sur la tête de Desaix. » Et Nº
722.
« Bronze. — Petit fragment de la statue colossale
— Petit fragment de la statue colossale du général Desaix, placée en
1810
sur la Place des Victoires, à Paris, et actuellem
de même qu’à celle de la Statue colossale de la Place des Victoires,
deux
belles médailles officielles signées de son nom,
tions futures, le souvenir de l’éclat dont furent alors entourées ces
deux
imposantes cérémonies. Le Baron Denon avait, au p
remarquer, voué un culte si sincère et si profond à la mémoire de ses
deux
illustres amis, — Napoléon et Desaix, — n’eût jam
à son cœur, des pièces dont la provenance lui eût semblé douteuse ? [
1880-06
] ULRIC RICHARD-DESAIX. Tome II, numéro 16,
lui eût semblé douteuse ? [1880-06] ULRIC RICHARD-DESAIX. Tome
II
, numéro 16, 1er juillet 1880 Charles Nuitter
mblé douteuse ? [1880-06] ULRIC RICHARD-DESAIX. Tome II, numéro
16,
1er juillet 1880 Charles Nuitter : Les affic
douteuse ? [1880-06] ULRIC RICHARD-DESAIX. Tome II, numéro 16,
1er
juillet 1880 Charles Nuitter : Les affiches
[1880-06] ULRIC RICHARD-DESAIX. Tome II, numéro 16, 1er juillet
1880
Charles Nuitter : Les affiches de spectacles
tacles au temps de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 16, 1er juillet 1880, p. 103-107. Les affich
au temps de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
16,
1er juillet 1880, p. 103-107. Les affiches théât
emps de Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16,
1er
juillet 1880, p. 103-107. Les affiches théâtrale
ère Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16, 1er juillet
1880,
p. 103-107. Les affiches théâtrales sont d’une e
vement. Celle de l’Opéra, par exemple, ne remonte pas au-delà de l’an
XII
. Il faut des circonstances particulières pour qu’
te dans ses Spectacles forains et la Comédie-Française (Paris, Dentu,
1875
), pages 6, 7, 25, 26 et 27. D’autres fois l’affic
pectacles forains et la Comédie-Française (Paris, Dentu, 1875), pages
6,
7, 25, 26 et 27. D’autres fois l’affiche a servi
tacles forains et la Comédie-Française (Paris, Dentu, 1875), pages 6,
7,
25, 26 et 27. D’autres fois l’affiche a servi de
les forains et la Comédie-Française (Paris, Dentu, 1875), pages 6, 7,
25,
26 et 27. D’autres fois l’affiche a servi de chem
forains et la Comédie-Française (Paris, Dentu, 1875), pages 6, 7, 25,
26
et 27. D’autres fois l’affiche a servi de chemise
s et la Comédie-Française (Paris, Dentu, 1875), pages 6, 7, 25, 26 et
27.
D’autres fois l’affiche a servi de chemise à une
blanc, des feuillages et des fleurs : presque toutes les affiches de
1775
à 1785 qui ont été retrouvées, trahissent la même
des feuillages et des fleurs : presque toutes les affiches de 1775 à
1785
qui ont été retrouvées, trahissent la même origin
es dessins ou des gravures. Elles avaient ainsi traversé sans dommage
deux
siècles environ, quand le propriétaire du carton
colla avec soin, et les fit de nouveau apparaître au jour. Il y avait
trois
affiches, deux des Comédiens du Marais, une de l’
et les fit de nouveau apparaître au jour. Il y avait trois affiches,
deux
des Comédiens du Marais, une de l’Hôtel de Bourgo
penser à la première représentation de cet ouvrage, qui a eu lieu en
1661
; mais le mardi ne se trouve être un 3 février, e
t ouvrage, qui a eu lieu en 1661 ; mais le mardi ne se trouve être un
3
février, et le vendredi un 13 février, que dans l
661 ; mais le mardi ne se trouve être un 3 février, et le vendredi un
13
février, que dans les années 1665, 1671 ou 1682.
être un 3 février, et le vendredi un 13 février, que dans les années
1665,
1671 ou 1682. C’est donc une reprise qui est anno
un 3 février, et le vendredi un 13 février, que dans les années 1665,
1671
ou 1682. C’est donc une reprise qui est annoncée,
rier, et le vendredi un 13 février, que dans les années 1665, 1671 ou
1682.
C’est donc une reprise qui est annoncée, et les r
eprises de la Toison d’or ont été nombreuses. Loret parle de celle du
12
janvier 1662. En 1746, Parfaict s’exprime ainsi à
la Toison d’or ont été nombreuses. Loret parle de celle du 12 janvier
1662.
En 1746, Parfaict s’exprime ainsi à cet égard : «
d’or ont été nombreuses. Loret parle de celle du 12 janvier 1662. En
1746,
Parfaict s’exprime ainsi à cet égard : « Pour bie
pièces de ce genre. » L’affiche de l’Hôtel de Bourgogne est du mardi
17
décembre ; elle annonce Le Feint Alcibiade, de M.
ibiade, de M. Quinault, qui a été représenté pour la première fois en
1658.
Le 17 décembre s’étant trouvé un mardi dans les a
e M. Quinault, qui a été représenté pour la première fois en 1658. Le
17
décembre s’étant trouvé un mardi dans les années
fois en 1658. Le 17 décembre s’étant trouvé un mardi dans les années
1658,
1669, 1675, 1680, etc., c’est à une de ces années
en 1658. Le 17 décembre s’étant trouvé un mardi dans les années 1658,
1669,
1675, 1680, etc., c’est à une de ces années, et p
8. Le 17 décembre s’étant trouvé un mardi dans les années 1658, 1669,
1675,
1680, etc., c’est à une de ces années, et probabl
17 décembre s’étant trouvé un mardi dans les années 1658, 1669, 1675,
1680,
etc., c’est à une de ces années, et probablement
t de l’affiche des Comédiens de Monsieur, on ne peut hésiter qu’entre
1658
et 1660 ; les indications fournies par le registr
ffiche des Comédiens de Monsieur, on ne peut hésiter qu’entre 1658 et
1660
; les indications fournies par le registre de La
de Monsieur, frère unique du Roi, commença au Louvre devant S. M. le
24
octobre 1658 […] Le lundi 11e octobre (1660), le
r, frère unique du Roi, commença au Louvre devant S. M. le 24 octobre
1658
[…] Le lundi 11e octobre (1660), le théâtre du Pe
Roi, commença au Louvre devant S. M. le 24 octobre 1658 […] Le lundi
11e
octobre (1660), le théâtre du Petit-Bourbon comme
a au Louvre devant S. M. le 24 octobre 1658 […] Le lundi 11e octobre (
1660
), le théâtre du Petit-Bourbon commença à être dém
pas certain qu’elles aient toujours été mentionnées. Nos affiches des
trois
théâtres se rapportent donc à une période de 1658
. Nos affiches des trois théâtres se rapportent donc à une période de
1658
à 1665 au moins. Elles sont toutes d’un format et
ffiches des trois théâtres se rapportent donc à une période de 1658 à
1665
au moins. Elles sont toutes d’un format et d’une
n de plus que ceci : DIENS SIEVR
DV
ROY auvaise nouvelle en ous représenterons ssee
senterons ssee de Mons avec Gorgibvs sujet d’être satisfai bon à
deux
heures. La restitution des trois premières ligne
rgibvs sujet d’être satisfai bon à deux heures. La restitution des
trois
premières lignes et des deux dernières nous paraî
bon à deux heures. La restitution des trois premières lignes et des
deux
dernières nous paraît ne présenter aucun doute. Q
trouveront peut-être une restitution plus heureuse ou plus certaine. [
1880-07
] Ch. NUITTER. Jules Claretie : Une maison h
maison habitée par Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 16, 1er juillet 1880, p. 108-114. Nous avons
habitée par Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
16,
1er juillet 1880, p. 108-114. Nous avons fait na
tée par Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16,
1er
juillet 1880, p. 108-114. Nous avons fait naguèr
ère Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16, 1er juillet
1880,
p. 108-114. Nous avons fait naguère, avec M. Vic
ociété de l’Histoire de Paris, M. Philéas Colardeau, a publié, il y a
trois
ans, sur cette salle de théâtre au port Saint-Pau
leurs suivi une à une les indications de M. Eudore Soulié : « Dès le
20
décembre 1644, dit-il, la troupe de l’Illustre Th
une à une les indications de M. Eudore Soulié : « Dès le 20 décembre
1644,
dit-il, la troupe de l’Illustre Théâtre, — ainsi
pour les transporter et les remonter dans un autre jeu de paume, où,
dix-huit
jours après, les jeunes comédiens allaient de nou
de paume de la Croix-Noire, dit M. Colardeau, que fut représenté, en
1645,
Artaxerce, tragédie de Magnon, et la seule pièce,
ement dans une fête donnée par ce prince en l’hôtel du Luxembourg, le
7
février 1645. Molière, à cette époque, logeait à
une fête donnée par ce prince en l’hôtel du Luxembourg, le 7 février
1645.
Molière, à cette époque, logeait à proximité de s
ercier ? Sans doute à l’une des encoignures de la rue des Barrés. Les
deux
maisons d’angle qui existent aujourd’hui à cet en
futur grand homme, conduit au Châtelet par des exempts ! ». L’acte du
13
août 1645, par lequel J.-B. Poquelin et ses asso
and homme, conduit au Châtelet par des exempts ! ». L’acte du 13 août
1645,
par lequel J.-B. Poquelin et ses associés s’obli
ée de la rue des Barrés par une maison occupée au rez-de-chaussée par
deux
petites boutiques, avec deux petites cours entre
ne maison occupée au rez-de-chaussée par deux petites boutiques, avec
deux
petites cours entre elle et le jeu de paume ». T
evant, par la mise à l’alignement de la maison rue de l’Ave-Maria, nº
13,
et du côté du couchant par les démolitions auxque
que celui occupé actuellement par la propriété quai des Célestins nº
32,
laquelle a conservé une issue sur l’ancienne rue
mme autrefois, au rez-de-chaussée de la maison, rue de l’Ave-Maria nº
15.
Elle sera, elle aussi, détruite bientôt, car l’éd
éliorer les abords par l’élargissement de la rue de l’Ave-Maria ; les
deux
maisons portant, sur cette rue, les nºs 15 et 17,
rue de l’Ave-Maria ; les deux maisons portant, sur cette rue, les nºs
15
et 17, sont donc destinées à être démolies dans u
l’Ave-Maria ; les deux maisons portant, sur cette rue, les nºs 15 et
17,
sont donc destinées à être démolies dans un aveni
avenir peu éloigné. Nous avons franchi le seuil de cette maison du nº
15,
poussé cette porte verte, du temps de la Régence,
oulie qui grince, et dont le ventre de grès a été bâti il y a près de
trois
siècles. Ce misérable et triste puits ne vaut rie
ardins, chez un mercier, habita Molière ? M. Sardou nous montrait aux
deux
angles de la vieille rue, à gauche, une maison à
us montrait aux deux angles de la vieille rue, à gauche, une maison à
trois
étages, à droite, une maison à cinq étages portan
ille rue, à gauche, une maison à trois étages, à droite, une maison à
cinq
étages portant cette enseigne : À la Croix d’Or ;
d’ailleurs par un débit de vins. Et cette question nous venait à tous
deux
: Où Molière a-t-il vécu ? Car il a vécu là, dans
dans quelque mansarde de l’un de ces vieux logis ? Où a-t-il rêvé, à
vingt
ans, les chefs-d’œuvre de son âge mûr ? Je ne sai
gue. Mais — autre question à résoudre — quel est maintenant celui des
deux
coins dont le rez-de-chaussée était occupé par le
ar le mercier ? Mon avis est que c’était le coin gauche portant le nº
6
de la rue des Jardins et le nº 16 de la rue de l’
c’était le coin gauche portant le nº 6 de la rue des Jardins et le nº
16
de la rue de l’Ave-Maria (ancienne rue des Barrés
e est le cerveau du logis, et c’est là-haut que le songeur abrita ses
vingt
ans. N’y aurait-t-il pas à faire placer, sur une
eux aussi, et parmi lesquels je souhaiterais qu’il y eût un Molière. [
1880-07
] Jules CLARETIE. Paul Lacroix : Le Sonnet d
croix : Le Sonnet d’Oronte Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 16, 1er juillet 1880, p. 115-116. Plusieurs
Le Sonnet d’Oronte Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
16,
1er juillet 1880, p. 115-116. Plusieurs commenta
Sonnet d’Oronte Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16,
1er
juillet 1880, p. 115-116. Plusieurs commentateur
nte Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16, 1er juillet
1880,
p. 115-116. Plusieurs commentateurs de Molière o
s opinions répandues depuis peu contre la poésie (Paris, Ve Foucault,
1731,
in-12 de 33 pages). Voici ce qu’il dit de Molière
ndues depuis peu contre la poésie (Paris, Ve Foucault, 1731, in-12 de
33
pages). Voici ce qu’il dit de Molière dans cette
thrope ou par le duc de Montausier, dont Alceste était le prototype. [
1880-07
] P. L. JACOB, bibliophile. Louis Moland : Le
ière un succès inattendu ? Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 16, 1er juillet 1880, p. 117-118. M. Despois
succès inattendu ? Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
16,
1er juillet 1880, p. 117-118. M. Despois, dans l
cès inattendu ? Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16,
1er
juillet 1880, p. 117-118. M. Despois, dans la no
u ? Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16, 1er juillet
1880,
p. 117-118. M. Despois, dans la notice prélimina
notice préliminaire des Précieuses ridicules (Œuvres de Molière, tome
II
, p. 11-13), émet cette opinion que Molière ne par
dès lors l’existence. De plus, la recette peu élevée du premier soir,
533
livres, permettrait de croire que l’on avait négl
t joué également au simple, avec Nicomède, et produit le premier soir
350
livres. Dom Garcie est joué au simple, et produit
le premier soir 350 livres. Dom Garcie est joué au simple, et produit
600
livres (au Palais-Royal). L’École des maris est j
(au Palais-Royal). L’École des maris est jouée au simple, et produit
410
livres. De même pour les pièces des autres auteur
raie et la Fausse Précieuse, de Gilbert, fait une première recette de
500
livres ; Pylade, de M. Coqueteau de La Clairière,
ière recette de 500 livres ; Pylade, de M. Coqueteau de La Clairière,
540
livres ; Don Guichot, raccommodé par Mlle Béjart,
e La Clairière, 540 livres ; Don Guichot, raccommodé par Mlle Béjart,
300
livres ; Zénobie, pièce nouvelle de M. Magnon, 12
é par Mlle Béjart, 300 livres ; Zénobie, pièce nouvelle de M. Magnon,
125
livres (hélas !), etc. On voit que ce qui eut lie
is, et qu’il n’y a rien, par conséquent, à en conclure. La recette de
533
livres est une bonne recette de première représen
-directeur. Les recettes ordinaires se traînaient, à cette époque, de
130
à 200 livres, et pouvaient passer pour très satis
teur. Les recettes ordinaires se traînaient, à cette époque, de 130 à
200
livres, et pouvaient passer pour très satisfaisan
passer pour très satisfaisantes quand elles s’élevaient au-dessus de
300
livres. Du 28 avril 1659, où commence le registre
ès satisfaisantes quand elles s’élevaient au-dessus de 300 livres. Du
28
avril 1659, où commence le registre de La Grange,
aisantes quand elles s’élevaient au-dessus de 300 livres. Du 28 avril
1659,
où commence le registre de La Grange, jusqu’au 11
res. Du 28 avril 1659, où commence le registre de La Grange, jusqu’au
11
octobre 1660, où la troupe quitte le théâtre du P
avril 1659, où commence le registre de La Grange, jusqu’au 11 octobre
1660,
où la troupe quitte le théâtre du Petit-Bourbon,
bon, c’est-à-dire dans l’espace d’un an et demi, nous en avons compté
quatre-vingt-six
, y compris celles des Précieuses et de Sganarelle
nt celui de travailler au succès de ses pièces avec trop de passion. [
1880-07
] Louis MOLAND. Daspit de Saint-Amand : Clau
e Théâtre du Petit-Bourbon Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 16, 1er juillet 1880, p. 119-120. Dans le 13
re du Petit-Bourbon Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
16,
1er juillet 1880, p. 119-120. Dans le 13e numéro
u Petit-Bourbon Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16,
1er
juillet 1880, p. 119-120. Dans le 13e numéro du
bon Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 16, 1er juillet
1880,
p. 119-120. Dans le 13e numéro du Moliériste (1e
vue mensuelle, tome II, nº 16, 1er juillet 1880, p. 119-120. Dans le
13e
numéro du Moliériste (1er avril 1880), Édouard Th
16, 1er juillet 1880, p. 119-120. Dans le 13e numéro du Moliériste (
1er
avril 1880), Édouard Thierry a publié une très in
uillet 1880, p. 119-120. Dans le 13e numéro du Moliériste (1er avril
1880
), Édouard Thierry a publié une très intéressante
aideurs, où nous lisons le passage suivant : « Mais c’est en juillet
1659
que la troupe italienne fermait son théâtre, et v
ns italiens au Petit-Bourbon. À cette date, il s’en fallait encore de
deux
ans que Perrault le jetât par terre pour se faire
tion, puisque les plans de Perrault ne furent adoptés et exécutés que
quatre
ans après la prouesse de M. de Ratabon. Molière a
, dans l’Avis au lecteur de La Cocue imaginaire, pour remplir plus de
quarante
fois les loges et le théâtre du Petit-Bourbon, et
. Les effets de ce déchaînement se firent bientôt sentir. « Le lundi
11
octobre 1660, écrit La Grange dans son registre,
s de ce déchaînement se firent bientôt sentir. « Le lundi 11 octobre
1660,
écrit La Grange dans son registre, le théâtre du
Mémoires de son frère, Charles Perrault. Lorsque, au premier janvier
1664,
Colbert fut fait surintendant des bâtiments du Ro
emplacement de M. de Ratabon, la façade du Louvre s’élevait à peine à
huit
ou dix pieds hors de terre. Mais Colbert, méconte
ent de M. de Ratabon, la façade du Louvre s’élevait à peine à huit ou
dix
pieds hors de terre. Mais Colbert, mécontent du p
rnin de regagner l’Italie, et adopta le plan de Claude Perrault. Mais
quatre
ans séparent l’érection de la colonnade du Louvre
, Le Dépit amoureux, Les Précieuses ridicules et Le Cocu imaginaire. [
1880-07
] DASPIT DE SAINT-AMAND. Tome II, numéro 17,
es et Le Cocu imaginaire. [1880-07] DASPIT DE SAINT-AMAND. Tome
II
, numéro 17, 1er août 1880 Charles-Louis Live
cu imaginaire. [1880-07] DASPIT DE SAINT-AMAND. Tome II, numéro
17,
1er août 1880 Charles-Louis Livet : Deux mot
maginaire. [1880-07] DASPIT DE SAINT-AMAND. Tome II, numéro 17,
1er
août 1880 Charles-Louis Livet : Deux mots à
. [1880-07] DASPIT DE SAINT-AMAND. Tome II, numéro 17, 1er août
1880
Charles-Louis Livet : Deux mots à propos du
ND. Tome II, numéro 17, 1er août 1880 Charles-Louis Livet :
Deux
mots à propos du Tartuffe Le Moliériste : r
mots à propos du Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 17, 1er août 1880, p. 131-138. II25 À
propos du Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
17,
1er août 1880, p. 131-138. II25 À la fin d
os du Tartuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 17,
1er
août 1880, p. 131-138. II25 À la fin d’un
tuffe Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 17, 1er août
1880,
p. 131-138. II25 À la fin d’un article où
afin de désarmer la coterie « dévote » ; dans sa première pensée, en
1664,
Tartuffe portait certainement un costume dont la
combien peu Tartuffe tient à ce mariage, et combien peu il en parle,
deux
fois seulement dans toute la comédie : ELMIRE. O
ous donner sa fille. Est-il vrai ? dites-moi. TARTUFFE. Il m’en a dit
deux
mots ; mais, Madame, à vrai dire, Ce n’est pas le
s26. Voyons maintenant ce que nous donnent les gravures : Édition de
1681
(Paris, D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet)
aintenant ce que nous donnent les gravures : Édition de 1681 (Paris,
D.
Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet), t. III, p
Édition de 1681 (Paris, D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet), t.
III
, pas de gravures. Édition de 1682 (Paris, D. Thi
, Cl. Barbin et P. Trabouillet), t. III, pas de gravures. Édition de
1682
(Paris, D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet)
et P. Trabouillet), t. III, pas de gravures. Édition de 1682 (Paris,
D.
Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet), t. V, Fig
Édition de 1682 (Paris, D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet), t.
V
, Figures de Brisart, gravées par Sauvé. Reproduct
èges ni autres meubles qu’une table recouverte d’un tapis ; à gauche,
deux
fenêtres ; au fond, un tableau, une porte dont la
x fenêtres ; au fond, un tableau, une porte dont la corniche supporte
cinq
vases, et surmontée d’un tableau rond. Tartuffe e
bras avec effroi ; le corps est de face, la tête tournée à droite, de
trois
quarts. Elmire, le corps de trois quarts à droite
face, la tête tournée à droite, de trois quarts. Elmire, le corps de
trois
quarts à droite, la tête de profil regardant Tart
ortrait d’Edelinck, etc., etc. Au bas : l’Imposteur. Hauteur totale,
128
millim. ; largeur, 75 millim. Édition de 1693 (A
., etc. Au bas : l’Imposteur. Hauteur totale, 128 millim. ; largeur,
75
millim. Édition de 1693 (Amsterdam, H. Wetstein,
steur. Hauteur totale, 128 millim. ; largeur, 75 millim. Édition de
1693
(Amsterdam, H. Wetstein, à la sphère). La gravure
e 1693 (Amsterdam, H. Wetstein, à la sphère). La gravure est celle de
1682,
retournée, c’est-à-dire ayant à droite ce qui est
e : Tartuffe. — Aucune signature, ni du dessinateur, ni du graveur. —
Treize
millimètres de moins que la précédente, en hauteu
tuffe. — Aucune signature, ni du dessinateur, ni du graveur. — Treize
millimètres
de moins que la précédente, en hauteur ; 15 milli
raveur. — Treize millimètres de moins que la précédente, en hauteur ;
15
millim. de moins en largeur, d’une ligne à l’autr
moins en largeur, d’une ligne à l’autre de l’encadrement. Édition de
1710
(Paris, Michel Clousier, t. V, p. 23). Même dispo
’autre de l’encadrement. Édition de 1710 (Paris, Michel Clousier, t.
V
, p. 23). Même disposition des personnages et des
disposition des personnages et des accessoires que dans l’édition de
1693,
mêmes fenêtres à droite, même porte à gauche surm
s dans cette édition et dans les autres ; mais la jupe est chargée de
trois
rangs de volants à tête froncée ; un collier de p
de graveur ; en titre, au bas : l’Imposteur, comme dans l’édition de
1682.
Hauteur totale : 125 millim. ; largeur, 72 millim
au bas : l’Imposteur, comme dans l’édition de 1682. Hauteur totale :
125
millim. ; largeur, 72 millim. Édition de 1718 (P
comme dans l’édition de 1682. Hauteur totale : 125 millim. ; largeur,
72
millim. Édition de 1718 (Paris, par la Compagnie
1682. Hauteur totale : 125 millim. ; largeur, 72 millim. Édition de
1718
(Paris, par la Compagnie des libraires). Même dis
a Compagnie des libraires). Même disposition que dans les éditions de
1693
et 1710 ; la gravure est d’un trait plus fin ; le
nie des libraires). Même disposition que dans les éditions de 1693 et
1710
; la gravure est d’un trait plus fin ; le décor e
ment est assez long pour les recouvrir. Elmire, la tête légèrement de
trois
quarts, coiffure frisée mais non relevée, une lon
court tout ouvert, petit rabat en dentelles, pourpoint boutonné, uni,
deux
poches à ouverture arrondie, haut de chausses col
ssinateur ou de graveur ; — en titre : l’Imposteur. Hauteur totale :
122
millim. ; largeur, 70 millim. Les conséquences à
; — en titre : l’Imposteur. Hauteur totale : 122 millim. ; largeur,
70
millim. Les conséquences à tirer de ce qui précèd
llim. Les conséquences à tirer de ce qui précède sont les suivantes :
1º
Le costume d’Elmire, dans la période la plus rapp
période la plus rapprochée de Molière, a toujours été très élégant ;
2º
Dans celui de Tartuffe, on remarque bien « le pet
il n’a que le petit rabat, et que ce rabat, excepté dans l’édition de
1718,
est de linge uni : d’où il résulte que, en s’éloi
ions indiquées par Molière pour prévenir les plaintes de la coterie ;
3º
D’après son costume, Orgon n’est pas d’épée, mais
os amis les moliéristes voudront bien m’accorder quelque indulgence. [
1880-08
] Ch. -L. LIVET. Jules Couet : La Précieuse
éristes voudront bien m’accorder quelque indulgence. [1880-08] Ch. -
L.
LIVET. Jules Couet : La Précieuse de l’Abbé
récieuse de l’Abbé de Pure Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 17, 1er août1880, p. 139-142. Il est aujourd
e de l’Abbé de Pure Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
17,
1er août1880, p. 139-142. Il est aujourd’hui cer
l’Abbé de Pure Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 17,
1er
août1880, p. 139-142. Il est aujourd’hui certain
es à ce sujet, ils ont tous été levés par les vers de La Muse royale (
3
mai 1660) cités par M. V. Fournel dans ses Contem
e sujet, ils ont tous été levés par les vers de La Muse royale (3 mai
1660
) cités par M. V. Fournel dans ses Contemporains d
3 mai 1660) cités par M. V. Fournel dans ses Contemporains de Molière
29.
Quels rapports y a-t-il entre cette pièce et Les
poète de ses Véritables Précieuses : « C’est la même chose : ce sont
deux
valets tout de même qui se déguisent pour plaire
ose : ce sont deux valets tout de même qui se déguisent pour plaire à
deux
femmes, et que leurs maîtres battent à la fin. Il
aut, on ne sait rien de cette pièce, si ce n’est qu’elle fut jouée en
165632
sur le théâtre du Petit-Bourbon33. J’ai retrouvé
sans toutefois en chasser Scaratide, la laissant ainsi partagée entre
deux
amants, et ne se décidant pas à faire un choix. E
t gardé le silence avec assez de mortification, je m’en allai trouver
deux
ou trois personnes de ma connaissance particulièr
le silence avec assez de mortification, je m’en allai trouver deux ou
trois
personnes de ma connaissance particulière, avec q
vec qui j’étais très souvent et très familièrement. Elles sont toutes
trois
des plus aimables personnes de la Cour, et ont au
orrespondent pas à ceux fournis par Somaize ; nous n’y voyons point «
deux
femmes », « deux valets », non plus que « leurs m
à ceux fournis par Somaize ; nous n’y voyons point « deux femmes », «
deux
valets », non plus que « leurs maîtres », mais se
scarille), et un « galant effectif et de condition » (un La Grange). [
1880-08
] Jules COUET. Henri Van Laun : Les plagiair
gleterre (premier article) Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 17, 1er août 1880, p. 143-149. Presque tous
e (premier article) Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
17,
1er août 1880, p. 143-149. Presque tous les gran
remier article) Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 17,
1er
août 1880, p. 143-149. Presque tous les grands é
ticle) Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 17, 1er août
1880,
p. 143-149. Presque tous les grands écrivains dr
ns ma traduction anglaise des Œuvres de Molière, publiée à Édimbourg,
1875-1877.
Il est à regretter que, jusqu’à présent, aucun éd
éditeur français des Œuvres de Molière n’ait parlé de ces emprunts.
I
L’Étourdi, imité par Guillaume Cavendish, duc
om de sir Martin Mar-all (Martin Gâte-tout), pour la première fois en
1667,
et fut représentée trente-trois fois. On l’a publ
(Martin Gâte-tout), pour la première fois en 1667, et fut représentée
trente-trois
fois. On l’a publiée l’année suivante sans nom d’
ajouté plusieurs grossièretés, ayant le goût du terroir de ce temps.
Trois
traductions littérales de L’Étourdi ont paru en a
aductions littérales de L’Étourdi ont paru en anglais, la première en
1714,
la seconde en 1732, dédiée à lord Chesterfield, e
de L’Étourdi ont paru en anglais, la première en 1714, la seconde en
1732,
dédiée à lord Chesterfield, et la dernière sous l
à lord Chesterfield, et la dernière sous les auspices de M. Foote, en
1742.
M. Arthur Murphy, dans The School for Guardians (
Murphy, dans The School for Guardians (L’École des tuteurs), jouée en
1767,
s’est inspiré principalement de L’École des femme
ui se querellent, ou la Maîtresse invisible). Cette comédie, jouée en
1677,
est empruntée principalement d’un conte espagnol,
loger (Une soirée d’amour, ou le Prétendu Astrologue), représentée en
1671,
a imité la deuxième scène du premier acte, la tro
me scène du premier acte, la troisième scène du quatrième acte et les
trois
dernières scènes du second acte de la pièce de Mo
llente de la comédie de Molière dans The Mistake (L’Erreur), jouée en
1706.
L’épilogue de la comédie anglaise, dont l’intrigu
révocation de l’Édit de Nantes, et est rempli d’obscénités. Il existe
trois
traductions littérales du Dépit amoureux, l’une p
ductions littérales du Dépit amoureux, l’une par M. Ozell, publiée en
1714,
l’autre en 1732 par MM. Miller et Baker, et une t
es du Dépit amoureux, l’une par M. Ozell, publiée en 1714, l’autre en
1732
par MM. Miller et Baker, et une troisième, publié
bliée sous les auspices de l’acteur et auteur dramatique M. Foote, en
1742.
Dans quelques-unes des traductions anglaises, on
talent, et que Dryden a attaqué dans une de ses satires, a publié, en
1667,
une imitation des Précieuses, avec des scènes pri
outre, s’occupait d’intrigues politiques et amoureuses, fit jouer, en
1682,
une comédie, The False Count, or A New Way to Pla
a imité dans sa comédie Bury Fair (La Foire de Bury), représentée en
1689,
Mascarille et Jodelet, sous le nom de La Roch (si
e imitation du langage prétentieux de Madelon et Cathos. M. Ozell, en
1714,
MM. Miller et Baker, en 1737, ont aussi fait para
ieux de Madelon et Cathos. M. Ozell, en 1714, MM. Miller et Baker, en
1737,
ont aussi fait paraître une traduction littérale
ridicules, tandis qu’une autre, probablement de Foote, fut publiée en
1742.
M. Miller, pasteur protestant, a fait représenter
ubliée en 1742. M. Miller, pasteur protestant, a fait représenter, en
1735,
une comédie The Man of Taste (L’Homme de goût), q
une imitation des Précieuses ridicules et de L’École des maris, avec
deux
caractères pris des Femmes savantes, et quelques
t une sorte de comédie, The Playhouse to Let (Le Théâtre à louer), en
cinq
actes, dont chacun forme une pièce différente. On
ié français, moitié anglais. La Biographia Britannica prétend que les
quatre
derniers actes de cette comédie étaient déjà écri
aient déjà écrits du temps de Cromwell, mais comme Cromwell mourut le
3
septembre 1658, et que Sganarelle ne fut représen
crits du temps de Cromwell, mais comme Cromwell mourut le 3 septembre
1658,
et que Sganarelle ne fut représenté pour la premi
658, et que Sganarelle ne fut représenté pour la première fois que le
28
mai 1660, la traduction n’a pu être faite qu’aprè
que Sganarelle ne fut représenté pour la première fois que le 28 mai
1660,
la traduction n’a pu être faite qu’après. Un grav
aveur et imprimeur de la Monnaie, Thomas Rawlins, fit représenter, en
1677,
une comédie : Tom Essence, or the Modish Wife (To
es les plus obscènes qu’il a publiées, jouée pour la première fois en
1681,
a pris la neuvième scène de Sganarelle, quatre sc
our la première fois en 1681, a pris la neuvième scène de Sganarelle,
quatre
scènes de L’École des maris, une plaisanterie de
ohn Vanbrugh a aussi fait représenter une traduction de Sganarelle en
1706,
mais elle n’a jamais été imprimée. Un certain M.
té imprimée. Un certain M. Charles Molloy est l’auteur d’une pièce en
cinq
actes : The Perplexed Couple or Mistake upon Mist
Couple dans l’embarras, ou une Méprise après l’autre), représentée en
1715.
Dans la préface, l’auteur avoue que l’incident du
succès. M. Ozell a publié une traduction littérale de Sganarelle, en
1714
; Baker en a publié une autre en 1732. Le dernier
ion littérale de Sganarelle, en 1714 ; Baker en a publié une autre en
1732.
Le dernier traducteur, dans une dédicace excentri
fance, et parce qu’il a reçu beaucoup de politesses de sa famille. Le
11
avril 1733, on a représenté à Drury Lane un opéra
parce qu’il a reçu beaucoup de politesses de sa famille. Le 11 avril
1733,
on a représenté à Drury Lane un opéra nommé The I
rait, ou le Cocu imaginaire), mêlée de chansons, a été représentée en
1735.
Le héros de la pièce anglaise est un épicier et c
, c’est parce que l’on n’a pu y faire passer l’esprit de l’original. [
1880-08
] Henri VAN LAUN. (À suivre.) Tome II, n
t de l’original. [1880-08] Henri VAN LAUN. (À suivre.) Tome
II
, numéro 18, 1er septembre 1880 Jules Guillem
inal. [1880-08] Henri VAN LAUN. (À suivre.) Tome II, numéro
18,
1er septembre 1880 Jules Guillemot : La note
. [1880-08] Henri VAN LAUN. (À suivre.) Tome II, numéro 18,
1er
septembre 1880 Jules Guillemot : La note de
Henri VAN LAUN. (À suivre.) Tome II, numéro 18, 1er septembre
1880
Jules Guillemot : La note de l’actualité dan
e l’actualité dans Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 18, 1er septembre 1880, p. 163-176. Mon cher
ualité dans Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
18,
1er septembre 1880, p. 163-176. Mon cher Monval,
té dans Molière Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 18,
1er
septembre 1880, p. 163-176. Mon cher Monval, Vou
e Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 18, 1er septembre
1880,
p. 163-176. Mon cher Monval, Voulez-vous bien m’
kespeare ? Il ne s’agit pas, cette fois, d’un rapprochement entre ces
deux
grands génies, qui, par des chemins différents, s
tations, qui font, chez nous, les délices des revues de fin d’année ?
Quatre
ans plus tôt déjà, et avant d’attaquer les comédi
Molière. Philinte ne dit-il pas à Alceste : « Je crois voir en nous
deux
, sous mêmes soins nourris, « Ces deux frères que
este : « Je crois voir en nous deux, sous mêmes soins nourris, « Ces
deux
frères que peint L’École des maris. » La comtess
e n’est pas ce Martial-là, madame ; c’est un auteur qui vivait il y a
trente
ou quarante ans. » Dans Les Fâcheux, cette sorte
s ce Martial-là, madame ; c’est un auteur qui vivait il y a trente ou
quarante
ans. » Dans Les Fâcheux, cette sorte d’actualité
, poursuit : — Avouons que Paris nous fait part De
cent
plaisirs charmants qu’on n’a point autre part. Le
arnés de la Gazette de Hollande, nouvellistes à tous crins, qui, avec
deux
mots, gagnent des batailles et décident du sort d
la vérité absolue pour s’attarder aux détails de la vérité relative. [
1880-09
] Jules GUILLEMOT. Charles Nuitter : Les aff
s GUILLEMOT. Charles Nuitter : Les affiches du Théâtre du Marais [
I
] Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, n
s du Théâtre du Marais [I] Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 18, 1er septembre 1880, p. 180-181. À M. Lou
éâtre du Marais [I] Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
18,
1er septembre 1880, p. 180-181. À M. Louis Molan
e du Marais [I] Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 18,
1er
septembre 1880, p. 180-181. À M. Louis Moland. M
] Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 18, 1er septembre
1880,
p. 180-181. À M. Louis Moland. Monsieur, Je ne d
. Louis Moland. Monsieur, Je ne demanderais pas mieux que de dater de
1660
les affiches des comédiens du Marais, d’autant pl
autant plus que, l’affiche de l’Hôtel de Bourgogne étant peut-être de
1658,
et celle des comédiens de Monsieur de 1658 à 1660
rgogne étant peut-être de 1658, et celle des comédiens de Monsieur de
1658
à 1660, il y aurait là une concordance qui expliq
étant peut-être de 1658, et celle des comédiens de Monsieur de 1658 à
1660,
il y aurait là une concordance qui expliquerait l
qui me fait encore hésiter : C’est seulement dans le mois de novembre
1660
que M. de Sourdéac fit représenter La Toison d’or
ison d’or dans son château du Neufbourg. C’est seulement à la date du
1er
décembre 1660 que Sourdéac prêta aux comédiens du
s son château du Neufbourg. C’est seulement à la date du 1er décembre
1660
que Sourdéac prêta aux comédiens du Marais les dé
re, Chevalier, Brécourt et la demoiselle Desurlis. C’est seulement le
15
février 1661 (d’après Parfaict) que les comédiens
er, Brécourt et la demoiselle Desurlis. C’est seulement le 15 février
1661
(d’après Parfaict) que les comédiens du Marais re
Toison d’or , est-il vraisemblable qu’ils aient annoncé, dès février
1660,
une pièce au sujet de laquelle ils ne devaient tr
une pièce au sujet de laquelle ils ne devaient traiter qu’en décembre
1660,
et qu’ils ne devaient jouer qu’en février 1661, u
raiter qu’en décembre 1660, et qu’ils ne devaient jouer qu’en février
1661,
un an plus tard ! Je vous en fais juge, monsieur,
et vous prie d’agréer l’assurance de mes meilleurs sentiments. Paris,
2
août 1880. [1880-09] Ch. NUITTER. Charles-J
prie d’agréer l’assurance de mes meilleurs sentiments. Paris, 2 août
1880.
[1880-09] Ch. NUITTER. Charles-Jules Revill
’agréer l’assurance de mes meilleurs sentiments. Paris, 2 août 1880. [
1880-09
] Ch. NUITTER. Charles-Jules Revillout : Les
TER. Charles-Jules Revillout : Les affiches du Théâtre du Marais [
II
] Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, n
du Théâtre du Marais [II] Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 18, 1er septembre 1880, p. 181-186. Parmi le
âtre du Marais [II] Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
18,
1er septembre 1880, p. 181-186. Parmi les quatre
du Marais [II] Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 18,
1er
septembre 1880, p. 181-186. Parmi les quatre aff
] Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 18, 1er septembre
1880,
p. 181-186. Parmi les quatre affiches de théâtre
mensuelle, tome II, nº 18, 1er septembre 1880, p. 181-186. Parmi les
quatre
affiches de théâtre auxquelles M. Ch. Nuitter a c
r a consacré dans Le Moliériste une si curieuse et si savante notice,
deux
m’ont paru plus importantes que les autres au poi
La première, imprimée à l’encre noire, annonce le spectacle du mardi
3
février ; la seconde, en caractères rouges, est d
u mardi 3 février ; la seconde, en caractères rouges, est du vendredi
13
du même mois. Toutes deux donnent comme très proc
econde, en caractères rouges, est du vendredi 13 du même mois. Toutes
deux
donnent comme très prochaine la représentation d’
ison d’or, œuvre du grand Corneille. À quelle année se rapportent ces
deux
affiches ? M. Ch. Nuitter répond à cette question
penser à la première représentation de cet ouvrage, qui a eu lieu en
1661
; mais le mardi ne se trouve être un 3 février, e
t ouvrage, qui a eu lieu en 1661 ; mais le mardi ne se trouve être un
3
février, et le vendredi un 13 février, que dans l
661 ; mais le mardi ne se trouve être un 3 février, et le vendredi un
13
février, que dans les années 1665, 1671 ou 1682.
être un 3 février, et le vendredi un 13 février, que dans les années
1665,
1671 ou 1682. C’est donc une reprise qui est anno
un 3 février, et le vendredi un 13 février, que dans les années 1665,
1671
ou 1682. C’est donc une reprise qui est annoncée,
rier, et le vendredi un 13 février, que dans les années 1665, 1671 ou
1682.
C’est donc une reprise qui est annoncée, et les r
t été nombreuses. Il est évident qu’il ne peut s’agir ici de l’année
1661,
mais est-il aussi certain que les affiches du Mar
s annonçaient une reprise et non pas une première représentation ? En
1660,
le 3 février tombait un mardi et le 13 un vendred
ient une reprise et non pas une première représentation ? En 1660, le
3
février tombait un mardi et le 13 un vendredi ; p
remière représentation ? En 1660, le 3 février tombait un mardi et le
13
un vendredi ; pourquoi nos deux affiches ne serai
60, le 3 février tombait un mardi et le 13 un vendredi ; pourquoi nos
deux
affiches ne seraient-elles pas de cette année ? P
u’on était alors en plein carnaval : ce qui était tout à fait vrai en
1660,
puisqu’en cette année-là, comme en 1880, les Cend
ui était tout à fait vrai en 1660, puisqu’en cette année-là, comme en
1880,
les Cendres tombèrent le 11 février. Vient ensuit
60, puisqu’en cette année-là, comme en 1880, les Cendres tombèrent le
11
février. Vient ensuite, dans cette même affiche,
si elle était vraie, elle exclurait toutes les années postérieures à
1660,
puisque Scarron mourut précisément au mois d’octo
d’octobre de cette année-là. L’affiche rouge annonce pour le vendredi
13
février la farce de L’Usse tu cru. Je n’ai pu tro
ins, il est certain que sa plus grande vogue eut lieu dans l’hiver de
1659
à 1660. On peut dire que pendant toute la saison
est certain que sa plus grande vogue eut lieu dans l’hiver de 1659 à
1660.
On peut dire que pendant toute la saison elle fit
aux marquis de Mascarille faisait rire à gorge déployée aux dépens de
deux
provinciales, au jeu de paume du Marais Lustucru
sses ». L’opérateur céphalique avait si bien mis son nom à la mode en
1660,
qu’on le plaçait partout dans la conversation. Lo
açait partout dans la conversation. Loret divise sa lettre bourrue du
31
janvier en couplets qui se terminent tous par cet
rquoi, lorsque dans sa comédie des Véritables précieuses, imprimée le
7
janvier 1660, Somaize a l’idée de faire composer
sque dans sa comédie des Véritables précieuses, imprimée le 7 janvier
1660,
Somaize a l’idée de faire composer par son poète
qu’il me semble difficile de renvoyer à un autre jour qu’au vendredi
13
février 1660 le spectacle annoncé dans l’affiche
emble difficile de renvoyer à un autre jour qu’au vendredi 13 février
1660
le spectacle annoncé dans l’affiche rouge du Mara
le spectacle annoncé dans l’affiche rouge du Marais. Quant aux années
1665,
1671 et 1682, proposées par M. Ch. Nuitter, la de
ctacle annoncé dans l’affiche rouge du Marais. Quant aux années 1665,
1671
et 1682, proposées par M. Ch. Nuitter, la dernièr
nnoncé dans l’affiche rouge du Marais. Quant aux années 1665, 1671 et
1682,
proposées par M. Ch. Nuitter, la dernière doit êt
re forcément mise en dehors du débat, puisque, dès le mois de juillet
1673,
le théâtre du Marais avait cessé d’exister. Je ne
Je ne vois pour le moment aucune raison péremptoire de repousser les
deux
premières, c’est-à-dire 1665 et 1671 ; néanmoins
cune raison péremptoire de repousser les deux premières, c’est-à-dire
1665
et 1671 ; néanmoins elles sont loin de réunir en
son péremptoire de repousser les deux premières, c’est-à-dire 1665 et
1671
; néanmoins elles sont loin de réunir en leur fav
anmoins elles sont loin de réunir en leur faveur autant de motifs que
1660.
Mais si les affiches du Marais sont de 1660, comm
eur autant de motifs que 1660. Mais si les affiches du Marais sont de
1660,
comment se fait-il qu’elles annoncent si longtemp
r, qui ne fut donnée au public parisien que vers le milieu de février
1661
? D’où vient cet intervalle de plus d’un an entre
usique, et pour cela il a fait faire une salle qui lui coûte au moins
dix
mille écus ». Avec une salle, il lui fallait une
ue, et pour cela il a fait faire une salle qui lui coûte au moins dix
mille
écus ». Avec une salle, il lui fallait une pièce
it Andromède, et les acteurs à la troupe royale du Marais. C’était en
1659
que lui était venue cette fantaisie, et, comme à
nt. Les conférences du cardinal avec don Louis de Haro, commencées le
13
août 1659, se terminèrent le 7 novembre. Mais div
conférences du cardinal avec don Louis de Haro, commencées le 13 août
1659,
se terminèrent le 7 novembre. Mais diverses circo
avec don Louis de Haro, commencées le 13 août 1659, se terminèrent le
7
novembre. Mais diverses circonstances empêchèrent
c activité. Si bien que Thomas, frère du grand Corneille, écrivait le
1er
décembre 1659 à l’abbé de Pure : « M. de Sourdéac
i bien que Thomas, frère du grand Corneille, écrivait le 1er décembre
1659
à l’abbé de Pure : « M. de Sourdéac fait toujours
raîtra à Paris vers la fin de janvier. » Ainsi, dans les calculs des
deux
Corneille, comme dans ceux du marquis, la premièr
rg, mais à Paris —, devait avoir lieu dans le premier mois de l’année
1660.
Est-il alors étonnant que les Comédiens du Marais
e l’absence de la Cour, partie de Fontainebleau dès la fin de juillet
1659,
La Toison d’or ne fut pas représentée, soit dans
que Sourdéac donna sa superbe fête en Normandie, au mois de novembre
1660.
Si bien que la tragédie de Corneille ne parut dev
tragédie de Corneille ne parut devant le public parisien que vers le
13
février 1661. Il y avait alors plus d’un an qu’el
e Corneille ne parut devant le public parisien que vers le 13 février
1661.
Il y avait alors plus d’un an qu’elle avait figur
’un an qu’elle avait figuré sur les affiches. Aussi Loret qui, dès le
1er
janvier 1661, avait parlé des grands apprêts auxq
le avait figuré sur les affiches. Aussi Loret qui, dès le 1er janvier
1661,
avait parlé des grands apprêts auxquels elle donn
ente, « Enfin, dit-on, se représente « Au jeu de paume du Marais. » [
1880-09
] Ch. REVILLOUT, Professeur de littérature franç
térature française à la Faculté des Lettres de Montpellier. Tome
II
, numéro 19, 1er octobre 1880 Édouard Thierry
ançaise à la Faculté des Lettres de Montpellier. Tome II, numéro
19,
1er octobre 1880 Édouard Thierry : La Thébaï
ise à la Faculté des Lettres de Montpellier. Tome II, numéro 19,
1er
octobre 1880 Édouard Thierry : La Thébaïde a
ulté des Lettres de Montpellier. Tome II, numéro 19, 1er octobre
1880
Édouard Thierry : La Thébaïde au Palais-Roya
1er octobre 1880 Édouard Thierry : La Thébaïde au Palais-Royal (
1664
) Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, n
ïde au Palais-Royal (1664) Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 19, 1er octobre 1880, p. 195-209. La troupe
Palais-Royal (1664) Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
19,
1er octobre 1880, p. 195-209. La troupe du Palai
is-Royal (1664) Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 19,
1er
octobre 1880, p. 195-209. La troupe du Palais-Ro
64) Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 19, 1er octobre
1880,
p. 195-209. La troupe du Palais-Royal avait quit
re 1880, p. 195-209. La troupe du Palais-Royal avait quitté Paris le
30
avril pour se rendre aux Fêtes de Versailles ; la
r se rendre aux Fêtes de Versailles ; la rentrée eut lieu le dimanche
25
mai par L’École des maris et la farce de La Casaq
che 25 mai par L’École des maris et la farce de La Casaque. Recette :
147
livres, ce qui donne à penser que le temps était
tres, et que Molière avait besoin de renouveler son affiche. Le mardi
27,
Don Japhet d’Arménie, qui n’était pas pour la raj
t d’Arménie, qui n’était pas pour la rajeunir. La recette descendit à
134
livres, et, comme il y avait des frais de figurat
ser éteintes. Ainsi s’expliquerait, faute de mieux, l’Interruption du
27
mai au 3 juin. Quoi qu’il en soit, c’est encore u
es. Ainsi s’expliquerait, faute de mieux, l’Interruption du 27 mai au
3
juin. Quoi qu’il en soit, c’est encore un assez m
s Fâcheux et Sganarelle ensuite donnèrent ensemble, une première fois
vingt
et une livres de partage, vingt-deux ensuite, ce
donnèrent ensemble, une première fois vingt et une livres de partage,
vingt-deux
ensuite, ce qui n’était pas à dédaigner ; puis le
L’Héritier ridicule fut encore plus pauvre que celle de Don Japhet :
106
livres, aussi sèches que possible, et le même Néa
e annonçait La Thébaïde pour le prochain spectacle, celui du vendredi
20
juin ; c’était une nouveauté, un début dans leque
ble et passionné, le portrait se complète. Il y manquerait encore (en
1664
), l’impatience de la jeunesse, d’une jeunesse ard
el qui est souvent le premier don du génie, et par lequel un poète de
vingt-cinq
ans commence à gagner les protecteurs dont il aur
onneur à la signature de Chapelain, et obtint du Roi pour le poète de
vingt
et un ans, une pension de six cents livres ; sur
in, et obtint du Roi pour le poète de vingt et un ans, une pension de
six
cents livres ; sur le duc de Saint-Aignan, qui ne
et obtint du Roi pour le poète de vingt et un ans, une pension de six
cents
livres ; sur le duc de Saint-Aignan, qui ne l’int
l avait quelque ressemblance avec notre ancien Théâtre du Cirque. Les
deux
troupes, entretenues par le Roi, s’appelaient éga
alimatias partout où il le rencontrait. Il le divisait plaisamment en
deux
degrés, le galimatias simple et le galimatias dou
l le cherchait, ce me semble, et l’Œdipe de Corneille s’était joué le
24
janvier 1659 ; la lettre de Racine est du 5 septe
ait, ce me semble, et l’Œdipe de Corneille s’était joué le 24 janvier
1659
; la lettre de Racine est du 5 septembre 1660, et
orneille s’était joué le 24 janvier 1659 ; la lettre de Racine est du
5
septembre 1660, et il s’en fallait encore de troi
tait joué le 24 janvier 1659 ; la lettre de Racine est du 5 septembre
1660,
et il s’en fallait encore de trois ans, quatre an
ettre de Racine est du 5 septembre 1660, et il s’en fallait encore de
trois
ans, quatre ans peut-être, que Quinault ne fût l’
cine est du 5 septembre 1660, et il s’en fallait encore de trois ans,
quatre
ans peut-être, que Quinault ne fût l’heureux aute
-être, que Quinault ne fût l’heureux auteur d’Astrate. Pour avoir eu
neuf
pièces jouées de 1653 à 1659, c’est-à-dire dans l
fût l’heureux auteur d’Astrate. Pour avoir eu neuf pièces jouées de
1653
à 1659, c’est-à-dire dans l’espace de six ans, du
heureux auteur d’Astrate. Pour avoir eu neuf pièces jouées de 1653 à
1659,
c’est-à-dire dans l’espace de six ans, durant les
r eu neuf pièces jouées de 1653 à 1659, c’est-à-dire dans l’espace de
six
ans, durant lesquels, comme l’Achille d’Homère, C
nt il ne pouvait soutenir la dépense. Racine avait des dettes, et les
cent
louis du Roi étaient loin de suffire à les payer.
promptu de Versailles ; il n’a pas vu personnellement l’auteur depuis
huit
jours ; mais il ira le voir tantôt. Et puis encor
et Molière s’étaient rencontrés au lever du Roi, bien aises tous les
deux
, Racine, il le dit, « de ce que le Roi avait donn
a Thébaïde, l’Hôtel de Bourgogne ne lui faisait prendre rang qu’après
trois
pièces nouvelles. Molière profita de l’impatience
aïde se produisit pour la première fois devant le public, le vendredi
20
juin 1664, représentée par la troupe de Molière.
produisit pour la première fois devant le public, le vendredi 20 juin
1664,
représentée par la troupe de Molière. Avec quelle
troupe de Molière. Elle réussit à petites recettes. La chaleur venue (
20
juin), la Cour à Fontainebleau ne permettaient pa
e permettaient pas davantage ; mais elle réussit avec distinction. Du
20
juin au 21 juillet, le Palais-Royal la joua seule
ent pas davantage ; mais elle réussit avec distinction. Du 20 juin au
21
juillet, le Palais-Royal la joua seule d’abord, p
s dans le sac. Racine, comme les auteurs les plus favorisés, touchait
deux
parts sur la recette (on ne voit nulle part que M
e (on ne voit nulle part que Molière lui ait fait faire une avance de
cent
louis). Les Frères ennemis en étaient à leur douz
ecevait en grand appareil le Légat qu’il avait déjà reçu incognito le
3
juillet, et voulait lui offrir un échantillon des
comédiens du Palais-Royal partirent pour Fontainebleau et y donnèrent
cinq
représentations, quatre de La Princesse d’Élide d
yal partirent pour Fontainebleau et y donnèrent cinq représentations,
quatre
de La Princesse d’Élide dont la Cour ne semblait
ément puisqu’il ne fut pas redemandé. Le voyage de Fontainebleau dura
vingt-trois
jours ; Molière et ses camarades revinrent à Pari
ura vingt-trois jours ; Molière et ses camarades revinrent à Paris le
13
août, mais sans rouvrir leur salle. Rien ne press
Rien ne pressait avec les jours caniculaires. On afficha cependant le
24
août. C’était un dimanche, et la veille de la fêt
honorable, ce fut la dernière. Le chiffre du surlendemain, descendu à
170
livres, arrêta les représentations de la pièce.
es représentations de la pièce. Les Frères ennemis furent donc joués
quinze
fois devant le public, dix-huit fois en tout, y c
. Les Frères ennemis furent donc joués quinze fois devant le public,
dix-huit
fois en tout, y compris le voyage à la Cour, une
ur, recevant le Roi son frère et ayant sa troupe de comédiens pendant
huit
jours, profita de l’occasion pour se donner le pl
rofita de l’occasion pour se donner le plaisir du fruit défendu : les
trois
premiers actes du Tartuffe. Molière n’avait donc
rgogne. Pour revenir à Villers-Cotterêts, la troupe de Monsieur passa
huit
jours au château, du 20 au 27 septembre. Le Roi y
lers-Cotterêts, la troupe de Monsieur passa huit jours au château, du
20
au 27 septembre. Le Roi y alla le 20 et en repart
otterêts, la troupe de Monsieur passa huit jours au château, du 20 au
27
septembre. Le Roi y alla le 20 et en repartit le
passa huit jours au château, du 20 au 27 septembre. Le Roi y alla le
20
et en repartit le 24. On se demande si les trois
château, du 20 au 27 septembre. Le Roi y alla le 20 et en repartit le
24.
On se demande si les trois premiers actes du Tart
embre. Le Roi y alla le 20 et en repartit le 24. On se demande si les
trois
premiers actes du Tartuffe furent représentés grâ
pectacles de Villers-Cotterêts, telle que l’enregistre La Grange, les
trois
premiers actes du Tartuffe viennent en cinquième
du Tartuffe viennent en cinquième lieu, par conséquent à peu près le
26.
À ce moment, le Roi n’était déjà plus l’hôte de s
elle se présenta d’autant mieux que la troupe fut encore appelée pour
douze
jours à Versailles où le Roi, parmi ses divertiss
la belle Antigone et de la fière Alcine. Nouvelle clôture. « Mardi,
4
novembre, dit La Grange, on ne joua point à cause
ces frais ne montent pas si haut que les comédiens ne touchent encore
32
livres de part. La recette du 9 décembre passa to
que les comédiens ne touchent encore 32 livres de part. La recette du
9
décembre passa toute entière dans les frais, mais
décembre passa toute entière dans les frais, mais elle n’était que de
233
livres. Pour les décorations ou la décoration, le
rations ou la décoration, le théâtre en fut quitte avec le produit de
deux
visites, l’une chez Colbert, l’autre chez M. des
duit de deux visites, l’une chez Colbert, l’autre chez M. des Rennes,
330
livres chacune, dont néant au partage. C’est qu’e
se en scène que l’on veut : unité de lieu absolue. Le prologue et les
cinq
actes se passent autour du même arbre, sous leque
i par son ours. Pour les intermèdes, même simplicité d’exécution. Sur
six
, y compris le prologue, Molière faisait le jeu de
exécution. Sur six, y compris le prologue, Molière faisait le jeu des
quatre
premiers. Madeleine Béjard jouait le rôle de Phil
olière était juste. Sans atteindre aux chiffres du Mariage forcé, les
deux
premières recettes de La Princesse d’Élide montrè
simple. Rien de grave, disaient d’abord les médecins ; cependant, le
9
et le 11 décembre, le Saint-Sacrement fut exposé
Rien de grave, disaient d’abord les médecins ; cependant, le 9 et le
11
décembre, le Saint-Sacrement fut exposé dans tout
es couronnées, où elle se pique de donner la mesure du dévouement. Le
14,
la recette de La Princesse d’Élide descendit à 47
du dévouement. Le 14, la recette de La Princesse d’Élide descendit à
475
livres. Le 16, naissait aux grandeurs de ce monde
Le 14, la recette de La Princesse d’Élide descendit à 475 livres. Le
16,
naissait aux grandeurs de ce monde une royale pet
Il y eut un mouvement de joie générale ; la recette se releva ; mais,
deux
jours après, l’état de la reine recommençait à in
rement, et les prières se disaient encore dans toutes les églises. Le
19,
la châsse de Sainte-Geneviève — cet objet d’une p
ar les processions de toutes les paroisses et n’était remontée que le
22
sur ses quatre colonnes. Jusqu’à ce moment, on le
essions de toutes les paroisses et n’était remontée que le 22 sur ses
quatre
colonnes. Jusqu’à ce moment, on le conçoit, l’int
Le Roi, qui ne l’avait pas quittée pendant sa maladie, se permit, le
24,
le plaisir de la chasse. Les fêtes recommençaient
rmit, le 24, le plaisir de la chasse. Les fêtes recommençaient et, le
29,
sur un ordre de M. le Prince, la troupe de Monsie
our donner une représentation au Raincy, chez la princesse Palatine. [
1880-10
] Edouard THIERRY. Paul Lacroix : Les amis d
Les amis de Molière. Vinot Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 19, 1er octobre1880, p. 214-215. Je viens en
s de Molière. Vinot Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
19,
1er octobre1880, p. 214-215. Je viens enfin de d
Molière. Vinot Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 19,
1er
octobre1880, p. 214-215. Je viens enfin de décou
215. Je viens enfin de découvrir le véritable Vinot, qui a donné, en
1682,
de concert avec La Grange, la première édition co
hes ont attribué une part de collaboration dans la célèbre édition de
1682.
J’avais cru reconnaître notre Vinot dans le Rober
e scène de son Médecin volant (voyez mon Iconographie moliéresque, nº
305,
p. 111). Je tenais mon homme, en rencontrant, dan
et curiosités de la ville de Lyon (Lyon, imprimerie de Jacques Koetn,
1673
), et, cette fois, j’ai mis la main sur l’éditeur
, 1673), et, cette fois, j’ai mis la main sur l’éditeur du Molière de
1682
: « M. Vinot, rue de l’Arbre sec, estampes, tabl
hoisi le dessinateur P. Brissart et Sauvé pour illustrer l’édition de
1682
? [1880-10] Paul LACROIX (Bibliophile JACOB).
dessinateur P. Brissart et Sauvé pour illustrer l’édition de 1682 ? [
1880-10
] Paul LACROIX (Bibliophile JACOB). Charles-
Livet : Nicolas de Tralage Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 19, 1er octobre 1880, p. 216-217. Notre sava
Nicolas de Tralage Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
19,
1er octobre 1880, p. 216-217. Notre savant colla
olas de Tralage Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 19,
1er
octobre 1880, p. 216-217. Notre savant collabora
age Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 19, 1er octobre
1880,
p. 216-217. Notre savant collaborateur Paul Lacr
Vendée à M. Anatole de Montaiglon par Benjamin Fillon, Paris, Tross,
1861,
in 8º (Lettre V, p. 68-73). Ce très intéressant o
M. Anatole de Montaiglon par Benjamin Fillon, Paris, Tross, 1861, in
8º
(Lettre V, p. 68-73). Ce très intéressant ouvrage
de Montaiglon par Benjamin Fillon, Paris, Tross, 1861, in 8º (Lettre
V
, p. 68-73). Ce très intéressant ouvrage étant d’u
ean Nicolas, sieur de Tralage, lieutenant-général de Limoges, mort en
165
9… Il a laissé, de Françoise de Carbonnières, un
Nicolas, sieur de Tralage, lieutenant-général de Limoges, mort en 165
9
… Il a laissé, de Françoise de Carbonnières, un fi
s ample et le plus complet qui eût paru jusqu’à lui. Il l’a légué, en
1698,
à la bibliothèque publique de l’abbaye de Saint-V
Saint-Victor, à Paris, avec les livres de son cabinet et une rente de
2
000 livres sur l’hôtel de ville41. Il a publié qu
int-Victor, à Paris, avec les livres de son cabinet et une rente de 2
000
livres sur l’hôtel de ville41. Il a publié quelqu
(c’est-à-dire la sœur de celui-ci), nommée Gillon, épousa, en février
1660,
Jean Guillaume, sieur de la Grange et de Rochebru
fournit, nous y voyons une garantie qu’il a pu être bien renseigné. [
1880-10
] Ch. -L. LIVET. Tome II, numéro 20, 1er no
voyons une garantie qu’il a pu être bien renseigné. [1880-10] Ch. -
L.
LIVET. Tome II, numéro 20, 1er novembre 1880
qu’il a pu être bien renseigné. [1880-10] Ch. -L. LIVET. Tome
II
, numéro 20, 1er novembre 1880 Paul Lacroix :
être bien renseigné. [1880-10] Ch. -L. LIVET. Tome II, numéro
20,
1er novembre 1880 Paul Lacroix : Molière aut
e bien renseigné. [1880-10] Ch. -L. LIVET. Tome II, numéro 20,
1er
novembre 1880 Paul Lacroix : Molière auteur
gné. [1880-10] Ch. -L. LIVET. Tome II, numéro 20, 1er novembre
1880
Paul Lacroix : Molière auteur de ballets et
s et de mascarades de cour Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 20, 1er novembre 1880, p. 229-234. Il y aura
mascarades de cour Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
20,
1er novembre 1880, p. 229-234. Il y aura toujour
carades de cour Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 20,
1er
novembre 1880, p. 229-234. Il y aura toujours à
ur Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 20, 1er novembre
1880,
p. 229-234. Il y aura toujours à deviner et à dé
iographique des livres choisis en tout genre, composant sa librairie (
1858
), et enfin lorsque je recueillais, avec des peine
itre de Ballets et mascarades de cour sous Henri IV et Louis XIII, de
1581
à 1652 (Turin, J. Gay et fils, 1868-1870, 6 vol.
Ballets et mascarades de cour sous Henri IV et Louis XIII, de 1581 à
1652
(Turin, J. Gay et fils, 1868-1870, 6 vol. in-16).
r sous Henri IV et Louis XIII, de 1581 à 1652 (Turin, J. Gay et fils,
1868-1870,
6 vol. in-16). J’avais eu la bonne fortune de tro
i IV et Louis XIII, de 1581 à 1652 (Turin, J. Gay et fils, 1868-1870,
6
vol. in-16). J’avais eu la bonne fortune de trouv
emplaire unique du Ballet des Incompatibles, imprimé à Montpellier en
1655
; je l’avais attribué à Molière, parce qu’il est
était le chef et le directeur. Toutes les critiques ont porté sur ces
six
vers, que l’auteur du ballet a mis dans la bouche
ie ayant dit dans son charmant ouvrage Molière, sa vie et ses œuvres (
1873
) : « Je ne partage pas l’opinion de M. P. Lacroix
t, une lettre qu’il inséra dans la seconde édition de son livre (page
248
) : « Molière, lui disais-je, composait les vers
x, comme s’il était sorti d’une académie de précieuses. Voilà comment
deux
autres ballets, dansés chez Gaston d’Orléans, ont
pour d’autres représentations dans les châteaux du Languedoc. » Les
deux
ballets que j’avais attribués à Molière, outre ce
l’Oracle de la Sibylle de Pansoust, imprimés sans date à Paris, vers
1645,
et qui tous deux appartiennent au répertoire des
bylle de Pansoust, imprimés sans date à Paris, vers 1645, et qui tous
deux
appartiennent au répertoire des ballets de Gaston
: L’un suit les Favoris et l’autre les Princesses, La Fortune à tous
deux
partage ses caresses, L’un obtient un bâton et l’
arvenir, que nous avons réimprimée aussi, d’après une édition in-4 de
6
pages, sans nom de lieu et sans date, mais que M.
ais que M. Victor Fournel reporte, avec beaucoup de raison, à l’année
1651.
Or, Beauchamps (édit. in-4 de ses Recherches, pag
n, à l’année 1651. Or, Beauchamps (édit. in-4 de ses Recherches, page
63
de la 3e partie) décrit aussi une autre édition d
née 1651. Or, Beauchamps (édit. in-4 de ses Recherches, page 63 de la
3e
partie) décrit aussi une autre édition du Ballet
rencontrer : « Ballet des Vrais moyens de parvenir, dansé à Lion, le
16
février 1654, in-4, divisé en 12 entrées. « La Né
: « Ballet des Vrais moyens de parvenir, dansé à Lion, le 16 février
1654,
in-4, divisé en 12 entrées. « La Nécessité, premi
moyens de parvenir, dansé à Lion, le 16 février 1654, in-4, divisé en
12
entrées. « La Nécessité, premier récit. « Premièr
ivelin ; sixième, l’Astrologie, la Musique et la Peinture ; septième,
deux
Revendeuses ; huitième, deux Pêcheurs à la ligne,
e, la Musique et la Peinture ; septième, deux Revendeuses ; huitième,
deux
Pêcheurs à la ligne, aux Dames ; neuvième, l’Acad
Moyens de parvenir, avec cette indication formelle, « dansé à Lyon le
16
février 1654 », que ce ballet a été représenté su
arvenir, avec cette indication formelle, « dansé à Lyon le 16 février
1654
», que ce ballet a été représenté sur le théâtre
e de Molière et des Béjart occupait à Lyon depuis le mois de décembre
1652.
Cette troupe, après avoir suivi le prince de Cont
aux États du Languedoc, était rentrée à Lyon, vers la fin de l’année
1653,
avec le prince qu’elle accompagnait : « Le 26 dé
s la fin de l’année 1653, avec le prince qu’elle accompagnait : « Le
26
décembre, dit M. Loiseleur dans son excellent ouv
passage de Chappuzeau, précédemment cité. Au cours de l’été suivant (
1654
), la troupe reprit ses tournées dans le Midi et s
divertissements. C’est pendant la durée de cette session, ouverte le
7
décembre, que fut représenté le ballet des Incomp
décembre, que fut représenté le ballet des Incompatibles, imprimé en
1655
à Montpellier, chez Daniel Pech, et dansé en cett
ue ces ballets étaient composés par Molière, qui y dansait aussi avec
deux
bonnes danseuses, Mlle de Brie et Mlle du Parc, c
re et à Versailles. Ce n’est pas tout : Molière était venu à Paris en
1651,
comme je l’avais présumé par induction, et comme
comme l’a prouvé Eudore Soulié dans ses Recherches sur Molière (page
48
) : il y passa plusieurs mois. On pouvait donc sup
Fêtes de Bacchus, et la Mascarade des Vrais Moyens de parvenir, tous
deux
dansés par le Roi, au Palais-Cardinal, le 2 mai e
yens de parvenir, tous deux dansés par le Roi, au Palais-Cardinal, le
2
mai et le 12 juin 1651. C’est seulement en cette
enir, tous deux dansés par le Roi, au Palais-Cardinal, le 2 mai et le
12
juin 1651. C’est seulement en cette année-là que
us deux dansés par le Roi, au Palais-Cardinal, le 2 mai et le 12 juin
1651.
C’est seulement en cette année-là que Benserade c
coup d’essai fut le Ballet de Cassandre, dansé au Palais-Cardinal le
26
février 1651. [1880-11] P. L. JACOB, Bibliophile
ai fut le Ballet de Cassandre, dansé au Palais-Cardinal le 26 février
1651.
[1880-11] P. L. JACOB, Bibliophile. Henri Va
le Ballet de Cassandre, dansé au Palais-Cardinal le 26 février 1651. [
1880-11
] P. L. JACOB, Bibliophile. Henri Van Laun :
Van Laun : Les plagiaires de Molière en Angleterre (deuxième article)
43
Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, n
erre (deuxième article)43 Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 20, 1er novembre 1880, p. 235-239. Le dramat
euxième article)43 Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
20,
1er novembre 1880, p. 235-239. Le dramaturge Art
ème article)43 Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 20,
1er
novembre 1880, p. 235-239. Le dramaturge Arthur
3 Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 20, 1er novembre
1880,
p. 235-239. Le dramaturge Arthur Murphy a fait j
vembre 1880, p. 235-239. Le dramaturge Arthur Murphy a fait jouer en
1761
une comédie en cinq actes, All in the Wrong (Tout
239. Le dramaturge Arthur Murphy a fait jouer en 1761 une comédie en
cinq
actes, All in the Wrong (Tout le monde a tort) qu
rtie, qu’une fois, dans The Masquerade (La Mascarade), représentée en
1719,
et écrite par Charles Johnson, un avocat qui, plu
ième, la cinquième et la sixième scène du premier acte, ainsi que les
cinq
premières scènes, la huitième, la neuvième et la
s. En outre, pour donner bonne mesure, il a fait entrer dans sa pièce
deux
Léonores, qu’il nomme Anne et Marie. Guillaume Wy
he Gentleman Dancing-Master (Le Gentilhomme maître à danser), joué en
1673,
et imité du poète espagnol Calderon, la seconde e
The Country Wife (La Femme campagnarde), représentée probablement en
1675,
et dont le héros est un prétendu impotent, Wycher
et Buckingham, et poète dramatique à ses moments perdus, fit jouer en
1688,
une comédie The Mulberry Garden (Le Jardin des mû
The Mulberry Garden (Le Jardin des mûriers), dans laquelle on trouve
deux
Isabelle, deux Léonore et quatre amoureux, et où
arden (Le Jardin des mûriers), dans laquelle on trouve deux Isabelle,
deux
Léonore et quatre amoureux, et où plusieurs des s
des mûriers), dans laquelle on trouve deux Isabelle, deux Léonore et
quatre
amoureux, et où plusieurs des scènes de la comédi
t of the Dramatic Poets (Histoire des poètes dramatiques), publiée en
1688,
admet, en parlant du Jardin des mûriers, que deux
iques), publiée en 1688, admet, en parlant du Jardin des mûriers, que
deux
des caractères de cette pièce ressemblent tant so
eu à Ariste et à Sganarelle, mais prétend que « quiconque connaît les
deux
langues, donnera facilement, et avec justice, la
Français à copier la nature ». Des traductions littérales ont paru en
1714
et 1732, la première par M. Ozell, et la seconde
à copier la nature ». Des traductions littérales ont paru en 1714 et
1732,
la première par M. Ozell, et la seconde par M. Ba
s Fâcheux. — Thomas Shadwell, que j’ai déjà cité, fit représenter, en
1668,
une comédie The Sullen Lovers, or the Impertinent
ttérale des Fâcheux, et une autre, par MM. Miller et Baker, a paru en
1732.
L’École des femmes. — John Caryl, qui était secr
it secrétaire de la reine Marie, femme de Jacques II, fit jouer entre
1669
et 1670, une comédie : Sir Solomon, or the Cautio
taire de la reine Marie, femme de Jacques II, fit jouer entre 1669 et
1670,
une comédie : Sir Solomon, or the Cautious Coxcom
ondon Cuckolds (Les Cocus de Londres), jouée pour la première fois en
1682.
Jusqu’à l’année 1754, on avait l’habitude de repr
cus de Londres), jouée pour la première fois en 1682. Jusqu’à l’année
1754,
on avait l’habitude de représenter cette pièce su
ll a aussi imprimé une traduction littérale de L’École des femmes, en
1714,
et une autre, faite par M. Miller ou Baker, a par
emmes, en 1714, et une autre, faite par M. Miller ou Baker, a paru en
1732.
Un certain John Lee, écrivit une farce en deux ac
r ou Baker, a paru en 1732. Un certain John Lee, écrivit une farce en
deux
actes, d’après la comédie de Wycherley, et sous l
près la comédie de Wycherley, et sous le même nom, qu’il fit jouer en
1765,
à son bénéfice, mais elle n’eut aucun succès. M.
néfice, mais elle n’eut aucun succès. M. Isaac Bickerstaffe donna, en
1767,
un opéra-comique, Love in the City (L’Amour dans
un opéra-comique, Love in the City (L’Amour dans la cité), où il y a
deux
caractères, Priscilla, demoiselle créole, et Barn
s. Plus tard on en a élagué quelques rôles, on en a fait une farce en
deux
actes qui, sous le nom de The Romp (La Gamine), e
s qui, sous le nom de The Romp (La Gamine), eut beaucoup de succès en
1781.
Mais Arthur Murphy, comme nous l’avons déjà dit p
elque peu de sa vigueur, et fit représenter la pièce ainsi châtrée en
1776,
sous le nom de Country Girl (La Demoiselle campag
comédie : More Ways than One (Il y a plus de routes qu’une), jouée en
1783,
dont la partie principale est prise de Sir Solomo
t alors aux Indes, est écrite dans un galimatias des plus ridicules. [
1880-11
] H. VAN LAUN. (À suivre.) Jules Guillemot
t : Pulcinella et Lustucru Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 20, 1er novembre 1880, p. 240-242. Depuis qu
cinella et Lustucru Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
20,
1er novembre 1880, p. 240-242. Depuis quelque te
lla et Lustucru Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 20,
1er
novembre 1880, p. 240-242. Depuis quelque temps,
ru Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 20, 1er novembre
1880,
p. 240-242. Depuis quelque temps, Le Moliériste
tre pas sans intérêt pour les lecteurs du Moliériste ? Il y a quelque
vingt
ans, j’ai retrouvé en Italie cette farce de Lustu
u, qui pourrait bien en être originaire. C’était à la fin de décembre
1857.
J’avais quitté Rome pour m’embarquer à Civitavecc
aples à Marseille, que j’avais à prendre au passage, s’y fit attendre
trois
jours durant. Trois jours à Civitavecchia, c’étai
ue j’avais à prendre au passage, s’y fit attendre trois jours durant.
Trois
jours à Civitavecchia, c’était jouer de malheur !
une formidable barbiche ; et nul, là-bas, ne songeait à en rire. Les
deux
sœurs ont, depuis, joué le même opéra chez nous ;
e Le Moliériste a reproduites dernièrement ont réveillé le souvenir. [
1880-11
] Jules GUILLEMOT. Émile Picot : Sur un vers
ur un vers du Misanthrope Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 20, 1er novembre 1880, p. 246. Les commentat
ers du Misanthrope Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
20,
1er novembre 1880, p. 246. Les commentateurs se
du Misanthrope Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 20,
1er
novembre 1880, p. 246. Les commentateurs se sont
e Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 20, 1er novembre
1880,
p. 246. Les commentateurs se sont plus d’une foi
te : « Franchement, il est bon à mettre au cabinet. » (Misanthr., v.
376.
) Le sens, aujourd’hui bien fixé, de ce vers est
tion. Charles Robinet, constatant, dans sa Lettre en vers à Madame du
23
août 1665, le succès qu’avait obtenu sa précédent
arles Robinet, constatant, dans sa Lettre en vers à Madame du 23 août
1665,
le succès qu’avait obtenu sa précédente épître, s
e mon cœur est la proie « Plus de la peur que de la joie… » Dans les
deux
passages, le cabinet est bien le meuble où l’on s
st bien le meuble où l’on serre les papiers que l’on veut conserver. [
1880-11
] Émile PICOT. Tome II, numéro 21, 1er déce
s papiers que l’on veut conserver. [1880-11] Émile PICOT. Tome
II
, numéro 21, 1er décembre 1880 L. de La Pijar
ue l’on veut conserver. [1880-11] Émile PICOT. Tome II, numéro
21,
1er décembre 1880 L. de La Pijardière : Comé
’on veut conserver. [1880-11] Émile PICOT. Tome II, numéro 21,
1er
décembre 1880 L. de La Pijardière : Comédien
erver. [1880-11] Émile PICOT. Tome II, numéro 21, 1er décembre
1880
L. de La Pijardière : Comédiens de campagne
80-11] Émile PICOT. Tome II, numéro 21, 1er décembre 1880
L.
de La Pijardière : Comédiens de campagne à Carcas
880 L. de La Pijardière : Comédiens de campagne à Carcassonne en
1649
et 1655 Le Moliériste : revue mensuelle, tom
L. de La Pijardière : Comédiens de campagne à Carcassonne en 1649 et
1655
Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
arcassonne en 1649 et 1655 Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 21, 1er décembre 1880, p. 263-269. Les voyag
nne en 1649 et 1655 Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
21,
1er décembre 1880, p. 263-269. Les voyages de Mo
en 1649 et 1655 Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 21,
1er
décembre 1880, p. 263-269. Les voyages de Molièr
55 Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 21, 1er décembre
1880,
p. 263-269. Les voyages de Molière dans le Midi
ons avoir trouvé aux archives communales de Carcassonne les traces de
deux
arrêts de Molière dans cette ville. I La pre
Carcassonne les traces de deux arrêts de Molière dans cette ville.
I
La première de ces étapes aurait eu lieu à l’é
dates de ces sessions et les noms des villes où elles eurent lieu de
1648
à 1658, noms et dates que nous avons relevés sur
de ces sessions et les noms des villes où elles eurent lieu de 1648 à
1658,
noms et dates que nous avons relevés sur la minut
nous avons relevés sur la minute même des procès-verbaux : Session de
1648,
à Carcassonne, du 13 février au 29 mai. Session d
a minute même des procès-verbaux : Session de 1648, à Carcassonne, du
13
février au 29 mai. Session de 1649-1650, à Montpe
des procès-verbaux : Session de 1648, à Carcassonne, du 13 février au
29
mai. Session de 1649-1650, à Montpellier, du 1er
: Session de 1648, à Carcassonne, du 13 février au 29 mai. Session de
1649-1650,
à Montpellier, du 1er juin au 25 novembre 1649. S
nne, du 13 février au 29 mai. Session de 1649-1650, à Montpellier, du
1er
juin au 25 novembre 1649. Session de 1651, à Péze
évrier au 29 mai. Session de 1649-1650, à Montpellier, du 1er juin au
25
novembre 1649. Session de 1651, à Pézenas, du 24
mai. Session de 1649-1650, à Montpellier, du 1er juin au 25 novembre
1649.
Session de 1651, à Pézenas, du 24 octobre 1650 au
1649-1650, à Montpellier, du 1er juin au 25 novembre 1649. Session de
1651,
à Pézenas, du 24 octobre 1650 au 14 janvier 1651.
lier, du 1er juin au 25 novembre 1649. Session de 1651, à Pézenas, du
24
octobre 1650 au 14 janvier 1651. Session de 1652,
r juin au 25 novembre 1649. Session de 1651, à Pézenas, du 24 octobre
1650
au 14 janvier 1651. Session de 1652, à Carcassonn
u 25 novembre 1649. Session de 1651, à Pézenas, du 24 octobre 1650 au
14
janvier 1651. Session de 1652, à Carcassonne, du
re 1649. Session de 1651, à Pézenas, du 24 octobre 1650 au 14 janvier
1651.
Session de 1652, à Carcassonne, du 31 juillet 165
de 1651, à Pézenas, du 24 octobre 1650 au 14 janvier 1651. Session de
1652,
à Carcassonne, du 31 juillet 1651 au 10 janvier 1
4 octobre 1650 au 14 janvier 1651. Session de 1652, à Carcassonne, du
31
juillet 1651 au 10 janvier 1652. Session de 1653,
650 au 14 janvier 1651. Session de 1652, à Carcassonne, du 31 juillet
1651
au 10 janvier 1652. Session de 1653, à Pézenas, d
4 janvier 1651. Session de 1652, à Carcassonne, du 31 juillet 1651 au
10
janvier 1652. Session de 1653, à Pézenas, du 17 m
651. Session de 1652, à Carcassonne, du 31 juillet 1651 au 10 janvier
1652.
Session de 1653, à Pézenas, du 17 mars au 1er jui
652, à Carcassonne, du 31 juillet 1651 au 10 janvier 1652. Session de
1653,
à Pézenas, du 17 mars au 1er juin. Session de 165
du 31 juillet 1651 au 10 janvier 1652. Session de 1653, à Pézenas, du
17
mars au 1er juin. Session de 1654, à Montpellier,
et 1651 au 10 janvier 1652. Session de 1653, à Pézenas, du 17 mars au
1er
juin. Session de 1654, à Montpellier, du 16 décem
1652. Session de 1653, à Pézenas, du 17 mars au 1er juin. Session de
1654,
à Montpellier, du 16 décembre 1655 au 31 mars 165
à Pézenas, du 17 mars au 1er juin. Session de 1654, à Montpellier, du
16
décembre 1655 au 31 mars 1654. Session de 1655, à
u 17 mars au 1er juin. Session de 1654, à Montpellier, du 16 décembre
1655
au 31 mars 1654. Session de 1655, à Montpellier,
s au 1er juin. Session de 1654, à Montpellier, du 16 décembre 1655 au
31
mars 1654. Session de 1655, à Montpellier, du 7 d
juin. Session de 1654, à Montpellier, du 16 décembre 1655 au 31 mars
1654.
Session de 1655, à Montpellier, du 7 décembre 165
1654, à Montpellier, du 16 décembre 1655 au 31 mars 1654. Session de
1655,
à Montpellier, du 7 décembre 1654 au 14 mars 1655
16 décembre 1655 au 31 mars 1654. Session de 1655, à Montpellier, du
7
décembre 1654 au 14 mars 1655. Session de 1656, à
e 1655 au 31 mars 1654. Session de 1655, à Montpellier, du 7 décembre
1654
au 14 mars 1655. Session de 1656, à Pézenas, du 4
u 31 mars 1654. Session de 1655, à Montpellier, du 7 décembre 1654 au
14
mars 1655. Session de 1656, à Pézenas, du 4 novem
s 1654. Session de 1655, à Montpellier, du 7 décembre 1654 au 14 mars
1655.
Session de 1656, à Pézenas, du 4 novembre 1655 au
e 1655, à Montpellier, du 7 décembre 1654 au 14 mars 1655. Session de
1656,
à Pézenas, du 4 novembre 1655 au 22 février 1656.
r, du 7 décembre 1654 au 14 mars 1655. Session de 1656, à Pézenas, du
4
novembre 1655 au 22 février 1656. Session de 1657
embre 1654 au 14 mars 1655. Session de 1656, à Pézenas, du 4 novembre
1655
au 22 février 1656. Session de 1657, à Béziers, d
54 au 14 mars 1655. Session de 1656, à Pézenas, du 4 novembre 1655 au
22
février 1656. Session de 1657, à Béziers, du 17 n
rs 1655. Session de 1656, à Pézenas, du 4 novembre 1655 au 22 février
1656.
Session de 1657, à Béziers, du 17 novembre 1656 a
de 1656, à Pézenas, du 4 novembre 1655 au 22 février 1656. Session de
1657,
à Béziers, du 17 novembre 1656 au 1er juin 1657.
du 4 novembre 1655 au 22 février 1656. Session de 1657, à Béziers, du
17
novembre 1656 au 1er juin 1657. Session de 1658,
e 1655 au 22 février 1656. Session de 1657, à Béziers, du 17 novembre
1656
au 1er juin 1657. Session de 1658, à Pézenas, du
u 22 février 1656. Session de 1657, à Béziers, du 17 novembre 1656 au
1er
juin 1657. Session de 1658, à Pézenas, du 8 octob
ier 1656. Session de 1657, à Béziers, du 17 novembre 1656 au 1er juin
1657.
Session de 1658, à Pézenas, du 8 octobre 1657 au
de 1657, à Béziers, du 17 novembre 1656 au 1er juin 1657. Session de
1658,
à Pézenas, du 8 octobre 1657 au 24 février 165844
du 17 novembre 1656 au 1er juin 1657. Session de 1658, à Pézenas, du
8
octobre 1657 au 24 février 165844. En 1649, on le
embre 1656 au 1er juin 1657. Session de 1658, à Pézenas, du 8 octobre
1657
au 24 février 165844. En 1649, on le voit, les Ét
56 au 1er juin 1657. Session de 1658, à Pézenas, du 8 octobre 1657 au
24
février 165844. En 1649, on le voit, les États se
uin 1657. Session de 1658, à Pézenas, du 8 octobre 1657 au 24 février
165844.
En 1649, on le voit, les États se réunirent à une
ession de 1658, à Pézenas, du 8 octobre 1657 au 24 février 165844. En
1649,
on le voit, les États se réunirent à une époque r
emblée. L’année précédente elle avait siégé à Carcassonne à partir du
13
février. En février 1649, la troupe de l’Illustre
nte elle avait siégé à Carcassonne à partir du 13 février. En février
1649,
la troupe de l’Illustre Théâtre errait, encore in
ublique, ne lui permettaient pas de s’éloigner. À cet anniversaire du
13
février elle joue à Agen, conduite par Du Fresne.
par Du Fresne. Les mêmes causes expliquent sa présence à Toulouse le
10
mai suivant ; puis on la perd de vue pendant les
; puis on la perd de vue pendant les États. Ceux-ci se terminèrent le
23
novembre, et, moins d’un mois après, si nos préso
elle apparaît à Carcassonne. Molière devait être, dans cette ville le
21
décembre, en route pour Narbonne, où sa présence
ns cette ville le 21 décembre, en route pour Narbonne, où sa présence
vingt
jours plus tard est connue. Notre hypothèse repos
rait des registres de la paroisse Saint-Michel de Carcassonne : « Le
21
(décembre 1649) avons bap. Victoire, filhe de Est
stres de la paroisse Saint-Michel de Carcassonne : « Le 21 (décembre
1649
) avons bap. Victoire, filhe de Estienne Munier, c
c Molière et les Béjard46. Nicolas Desfontaines se trouvait à Lyon le
3
février 1643 et signait comme témoin au mariage d
et les Béjard46. Nicolas Desfontaines se trouvait à Lyon le 3 février
1643
et signait comme témoin au mariage de François de
roupe de nos comédiens, le même Du Fresne qui les conduisit à Agen le
13
février 1650. Avec Desfontaines et Du Fresne ne s
s comédiens, le même Du Fresne qui les conduisit à Agen le 13 février
1650.
Avec Desfontaines et Du Fresne ne sommes-nous pas
le, Jane-Françoise, fut baptisée à Lyon dans ce même mois de décembre
1649
en présence de nombreux témoins parmi lesquels fi
mariage de Jean-Jacques de Hautefeuille avec Anne de la Chappe (Lyon,
1er
février 1644). Une Jeanne de la Chappe devint la
ean-Jacques de Hautefeuille avec Anne de la Chappe (Lyon, 1er février
1644
). Une Jeanne de la Chappe devint la femme de Mont
ur la liste des comédiens de l’Hôtel de Bourgogne dans un contrat des
17
et 21 mars 1664 (Soulié, Recherches, p. 205-208).
liste des comédiens de l’Hôtel de Bourgogne dans un contrat des 17 et
21
mars 1664 (Soulié, Recherches, p. 205-208). II
s comédiens de l’Hôtel de Bourgogne dans un contrat des 17 et 21 mars
1664
(Soulié, Recherches, p. 205-208). II Un act
n contrat des 17 et 21 mars 1664 (Soulié, Recherches, p. 205-208).
II
Un acte, publié l’an dernier dans cette Revue,
vue, rappelle que Molière séjourna à Montpellier pendant les Etats de
1654.
Ces États, comme on l’a vu, se terminèrent le 31
dant les Etats de 1654. Ces États, comme on l’a vu, se terminèrent le
31
mars. L’itinéraire de la troupe, après la levée d
rentrer Molière à Lyon, où il aurait demeuré jusqu’à l’automne (page
33
), puis il ne constate son retour qu’à la date du
à l’automne (page 33), puis il ne constate son retour qu’à la date du
29
avril 1655. Or, un document d’un mois antérieur t
ne (page 33), puis il ne constate son retour qu’à la date du 29 avril
1655.
Or, un document d’un mois antérieur témoigne de l
gne ont receu la benediction nuptiale en l’esglise de Sainte-Croix le
8
feburier 1643 par moy soubz signé vicaire en lad.
eu la benediction nuptiale en l’esglise de Sainte-Croix le 8 feburier
1643
par moy soubz signé vicaire en lad. esglise, en p
à Lyon. Voici l’acte mortuaire que nous lisons à Carcassonne : « Le
29
mars (1655) François La Cour, Parisien, de la ban
Voici l’acte mortuaire que nous lisons à Carcassonne : « Le 29 mars (
1655
) François La Cour, Parisien, de la bande des come
la bande des comediens, muny du sacrement de penitence, décéda agé de
quarante
cinq ans ou environ, repose au cimetiere de la pr
des comediens, muny du sacrement de penitence, décéda agé de quarante
cinq
ans ou environ, repose au cimetiere de la present
ière, qui se serait rendue à Carcassonne après les États, terminés le
14
mars. Elle aurait séjourné dans cette ville et pe
t-être à Narbonne avant de revenir à Lyon, où elle figura en corps le
29
avril au mariage de deux camarades : Martin Foull
de revenir à Lyon, où elle figura en corps le 29 avril au mariage de
deux
camarades : Martin Foulle et Anne Reynis. Nos con
mais les documents sur lesquels elles reposent demeurent acquis. Tous
deux
, tirés enfin de la poussière des archives, demeur
’histoire de Molière et pareillement à celle des comédiens ses amis. [
1880-12
] L. de la Cour de la PIJARDIÈRE. Charles M
e Molière et pareillement à celle des comédiens ses amis. [1880-12]
L.
de la Cour de la PIJARDIÈRE. Charles Marie :
80-12] L. de la Cour de la PIJARDIÈRE. Charles Marie : Le vers
376
du Misanthrope Le Moliériste : revue mensue
e vers 376 du Misanthrope Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 21, 1er décembre 1880, p. 270. Pour confirme
376 du Misanthrope Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
21,
1er décembre 1880, p. 270. Pour confirmer ce que
du Misanthrope Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 21,
1er
décembre 1880, p. 270. Pour confirmer ce que MM.
e Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 21, 1er décembre
1880,
p. 270. Pour confirmer ce que MM. Despois et Mes
p. 270. Pour confirmer ce que MM. Despois et Mesnard ont dit du vers
376
du Misanthrope, M. Émile Picot reproduit, dans le
e la langue de Molière, par M. F. Génin. (Paris, Firmin Didot frères,
1845,
p. 244.) M. Génin croit que Molière a recherché l
Pernelle, nous le trouverions certainement dans la bouche d’Alceste. [
1880-12
] Ch. MARIE Georges Monval : Le Jubilé de la
: Le Jubilé de la Comédie Le Moliériste : revue mensuelle, tome
II
, nº 21, 1er décembre 1880, p. 282-284. Nous avon
ubilé de la Comédie Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº
21,
1er décembre 1880, p. 282-284. Nous avons clos n
é de la Comédie Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 21,
1er
décembre 1880, p. 282-284. Nous avons clos notre
ie Le Moliériste : revue mensuelle, tome II, nº 21, 1er décembre
1880,
p. 282-284. Nous avons clos notre dernier Bullet
ous avons clos notre dernier Bulletin théâtral sur la soirée du jeudi
21
octobre et la reprise de L’Impromptu de Versaille
otre collaborateur M. Édouard Thierry a donné à la Revue de France du
15
novembre, et notre Bulletin Théâtral contient la
là même qui célébra Molière en beaux et nobles vers lors du jubilé de
1873,
s’est formellement opposé à cette manifestation,
manifestation, alléguant qu’au premier Jubilé du Burg-Theater, il y a
quatre
ans, la Comédie-Française s’était abstenue de tou
me ! Quoi ! l’on fête, en son antique Maison, celui qui demeure après
deux
siècles le plus grand poète-philosophe qui ait ét
: mais le Temple ne suffit pas ; qu’est le Temple sans les fidèles ? [
1880-12
] Georges MONVAL. 1. 1 vol. br. grand in-1
qu’est le Temple sans les fidèles ? [1880-12] Georges MONVAL.
1.
1 vol. br. grand in-18 anglais de 16 p. chez Tres
est le Temple sans les fidèles ? [1880-12] Georges MONVAL. 1.
1
vol. br. grand in-18 anglais de 16 p. chez Tresse
1880-12] Georges MONVAL. 1. 1 vol. br. grand in-18 anglais de
16
p. chez Tresse, prix : un franc. 2. Intercalé da
vol. br. grand in-18 anglais de 16 p. chez Tresse, prix : un franc.
2.
Intercalé dans la Revue : Madame Angot, cet à-pro
. Intercalé dans la Revue : Madame Angot, cet à-propos fut représenté
32
fois. 3. [Note de G. Monval] C’est le cas de dép
é dans la Revue : Madame Angot, cet à-propos fut représenté 32 fois.
3.
[Note de G. Monval] C’est le cas de déplorer la d
ra toujours une lacune dans l’histoire de l’ancien Théâtre-Français.
4.
« In questa traduzione, io mi sono attenuto alla
be obbligato ad espressioni o indecenti, o poco naturali e chiare ».
5.
« Ogni lingua ha i suoi idiotismi particolari, e
parlandosi ad una donna. Sono stato percio obbligato a supplirvi. »
6.
« Gli scrupoli del nostro teatro son assai grandi
traduzione questa grazietta si conveniente nel linguaggio comico. »
7.
Il fraseggio qui adoperato da Marinetta in franc
senza cadere in una inconveiennza disgustosa. Ho dunque arbitrato.
8.
Noi siamo puliti e delicati più de Parigini del s
Noi siamo puliti e delicati più de Parigini del secolo di Luigi XIV.
9.
A me non piace nè l’una nè l’altra di queste espr
espressioni. Ho cambiato l’ultima, giacchè doveva lasciare la prima.
10.
Voyez la livraison v, tome Ier. 11. De Gids, li
acchè doveva lasciare la prima. 10. Voyez la livraison v, tome Ier.
11.
De Gids, livraison d’avril 1880. 12. Molière e
10. Voyez la livraison v, tome Ier. 11. De Gids, livraison d’avril
1880.
12. Molière en het Nederlaandsch ooneel, par A.
yez la livraison v, tome Ier. 11. De Gids, livraison d’avril 1880.
12.
Molière en het Nederlaandsch ooneel, par A. G. V
880. 12. Molière en het Nederlaandsch ooneel, par A. G. Van Hamel.
13.
M. Schimmel écrit ses drames historiques en vers
amel. 13. M. Schimmel écrit ses drames historiques en vers blancs de
cinq
pieds ïambiques, et le traducteur de Shakespeare
s ïambiques, et le traducteur de Shakespeare a adopté le même mètre.
14.
La publication de cette description date de 1826.
dopté le même mètre. 14. La publication de cette description date de
1826.
Le retour en France des cendres de Napoléon n’eut
retour en France des cendres de Napoléon n’eut lieu que plus tard, en
1840.
Toutes ces Reliques de Sainte-Hélène proviennent
Hélène proviennent donc de l’époque même des obsèques de l’Empereur.
15.
Denon scrips. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Pa
onc de l’époque même des obsèques de l’Empereur. 15. Denon scrips.
16.
Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8, 1821. tom
eur. 15. Denon scrips. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8,
1821.
tome VI, page 186. 17. Vid. Chalmel, Histoire d
enon scrips. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8, 1821. tome
VI
, page 186. 17. Vid. Chalmel, Histoire de Tourai
ps. 16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8, 1821. tome VI, page
186.
17. Vid. Chalmel, Histoire de Touraine. Paris 4
16. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, in-8, 1821. tome VI, page 186.
17.
Vid. Chalmel, Histoire de Touraine. Paris 4 vol.
1. tome VI, page 186. 17. Vid. Chalmel, Histoire de Touraine. Paris
4
vol. in-8, 1828 ; l’Abbé Bourassé ; La Touraine,
age 186. 17. Vid. Chalmel, Histoire de Touraine. Paris 4 vol. in-8,
1828
; l’Abbé Bourassé ; La Touraine, Tours, 1855, in-
aine. Paris 4 vol. in-8, 1828 ; l’Abbé Bourassé ; La Touraine, Tours,
1855,
in-fol. ; et l’Abbé Chevalier, Promenades en Tour
, 1855, in-fol. ; et l’Abbé Chevalier, Promenades en Touraine. Tours,
1869,
grand in-8, pages 385, 389. 18. Vid. Georges d’
bbé Chevalier, Promenades en Touraine. Tours, 1869, grand in-8, pages
385,
389. 18. Vid. Georges d’Heylli. Les Tombes roya
hevalier, Promenades en Touraine. Tours, 1869, grand in-8, pages 385,
389.
18. Vid. Georges d’Heylli. Les Tombes royales d
er, Promenades en Touraine. Tours, 1869, grand in-8, pages 385, 389.
18.
Vid. Georges d’Heylli. Les Tombes royales de Sai
id. Georges d’Heylli. Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris in-12,
1872,
page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1
d’Heylli. Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris in-12, 1872, page
99.
19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821, tome
ylli. Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris in-12, 1872, page 99.
19.
Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821, tome IV,
s. Paris in-12, 1872, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris,
1821,
tome IV, page 432, et Georges d’Heylli, Les Tombe
-12, 1872, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821, tome
IV
, page 432, et Georges d’Heylli, Les Tombes royale
, page 99. 19. Vid. Dulaure, Histoire de Paris, 1821, tome IV, page
432,
et Georges d’Heylli, Les Tombes royales de Saint-
et Georges d’Heylli, Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris, in-12,
1872,
page 97. 20. Vid. Jules Claretie, Molière, sa v
d’Heylli, Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris, in-12, 1872, page
97.
20. Vid. Jules Claretie, Molière, sa vie et ses
lli, Les Tombes royales de Saint-Denis. Paris, in-12, 1872, page 97.
20.
Vid. Jules Claretie, Molière, sa vie et ses œuvr
Jules Claretie, Molière, sa vie et ses œuvres. Paris, Alph. Lemerre,
1
vol. pet. in-12, sans date (1873), page 84, et au
ie et ses œuvres. Paris, Alph. Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (
1873
), page 84, et aussi, page 165 (appendice.) Ce qu’
vres. Paris, Alph. Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (1873), page
84,
et aussi, page 165 (appendice.) Ce qu’il serait i
Lemerre, 1 vol. pet. in-12, sans date (1873), page 84, et aussi, page
165
(appendice.) Ce qu’il serait intéressant de savoi
uellement devenue cette large tombe de pierre « calcinée et fendue en
deux
morceaux », si soigneusement préservée contre la
si soigneusement préservée contre la destruction, par Alex. Lenoir en
1792.
U. R. D. 21. Voy. au sujet de cet enlèvement noc
préservée contre la destruction, par Alex. Lenoir en 1792. U. R. D.
21.
Voy. au sujet de cet enlèvement nocturne, un très
Intermédiaire des chercheurs et curieux, Paris, in-8, première année,
1864,
page 26. 22. Vid. le Moniteur. Nº 281 de l’An X
re des chercheurs et curieux, Paris, in-8, première année, 1864, page
26.
22. Vid. le Moniteur. Nº 281 de l’An XIII (1805
s chercheurs et curieux, Paris, in-8, première année, 1864, page 26.
22.
Vid. le Moniteur. Nº 281 de l’An XIII (1805.) 2
aris, in-8, première année, 1864, page 26. 22. Vid. le Moniteur. Nº
281
de l’An XIII (1805.) 23. Elle annonce Ligdamon e
première année, 1864, page 26. 22. Vid. le Moniteur. Nº 281 de l’An
XIII
(1805.) 23. Elle annonce Ligdamon et Lidias de S
re année, 1864, page 26. 22. Vid. le Moniteur. Nº 281 de l’An XIII (
1805.
) 23. Elle annonce Ligdamon et Lidias de Scudéry,
, 1864, page 26. 22. Vid. le Moniteur. Nº 281 de l’An XIII (1805.)
23.
Elle annonce Ligdamon et Lidias de Scudéry, par l
t Lidias de Scudéry, par les « commédiens de la Troupe choisie » vers
1630.
24. Ces affiches selon l’usage du temps, qui a d
s de Scudéry, par les « commédiens de la Troupe choisie » vers 1630.
24.
Ces affiches selon l’usage du temps, qui a duré j
is, on reconnaît les grotesques de Callot. Cette bordure est large de
cinq
centimètres. Les dimensions totales des affiches
n reconnaît les grotesques de Callot. Cette bordure est large de cinq
centimètres
. Les dimensions totales des affiches sont de 40 c
arge de cinq centimètres. Les dimensions totales des affiches sont de
40
cent. de haut, sur 50 cent. de large. Ce format e
e de cinq centimètres. Les dimensions totales des affiches sont de 40
cent
. de haut, sur 50 cent. de large. Ce format est à
es. Les dimensions totales des affiches sont de 40 cent. de haut, sur
50
cent. de large. Ce format est à peu près celui qu
Les dimensions totales des affiches sont de 40 cent. de haut, sur 50
cent
. de large. Ce format est à peu près celui qu’avai
nnées, et que la Société des Concerts a seule conservé de nos jours.
25.
Voir Le Moliériste du 1er février 1880. 26. Le c
es Concerts a seule conservé de nos jours. 25. Voir Le Moliériste du
1er
février 1880. 26. Le costume de Tartuffe aurait
a seule conservé de nos jours. 25. Voir Le Moliériste du 1er février
1880.
26. Le costume de Tartuffe aurait probablement é
conservé de nos jours. 25. Voir Le Moliériste du 1er février 1880.
26.
Le costume de Tartuffe aurait probablement été to
ère scène, et pris Tartuffe au moment où il revient de chez le Roi.
27.
Le collet ou rabat a son histoire. Voici comment
èces les plus agréables de ce temps (par Ch. Sorel), Paris, de Sercy,
1644
: « en ce qui est des collets, l’on a dit qu’au l
, qu’il semble que l’on se soit mis une manchette autour du col ». En
1656,
la « manchette autour du cou » avait repris une a
se faisaient un devoir d’exagérer. Loret, en effet, dans sa lettre du
3
juin 1656, parle d’un certain galant anonyme qui,
aient un devoir d’exagérer. Loret, en effet, dans sa lettre du 3 juin
1656,
parle d’un certain galant anonyme qui, étant entr
r chez les lingères Acheter un autre collet. (La Muse historique, t.
II
, p. 201, édit. Ch.-L. Livet.) 28. Voy, dans not
e collet. (La Muse historique, t. II, p. 201, édit. Ch.-L. Livet.)
28.
Voy, dans notre édition du libelle intitulé « Les
lé « Les Intrigues de Molière et celles de sa femme » (Paris, Liseux,
1877,
p.102), une note relative au chapeau de Sganarell
102), une note relative au chapeau de Sganarelle dans les éditions de
1666
et de 1682 de L’Amour médecin, et un passage de Z
ote relative au chapeau de Sganarelle dans les éditions de 1666 et de
1682
de L’Amour médecin, et un passage de Zélinde, 166
ions de 1666 et de 1682 de L’Amour médecin, et un passage de Zélinde,
1665.
29. T. II, p. 501. 30. Édit. de M. Livet, II, 2
1666 et de 1682 de L’Amour médecin, et un passage de Zélinde, 1665.
29.
T. II, p. 501. 30. Édit. de M. Livet, II, 26. 3
L’Amour médecin, et un passage de Zélinde, 1665. 29. T. II, p. 501.
30.
Édit. de M. Livet, II, 26. 31. Œuvres de Molièr
passage de Zélinde, 1665. 29. T. II, p. 501. 30. Édit. de M. Livet,
II
, 26. 31. Œuvres de Molière, II, 23. Édition des
age de Zélinde, 1665. 29. T. II, p. 501. 30. Édit. de M. Livet, II,
26.
31. Œuvres de Molière, II, 23. Édition des gran
e Zélinde, 1665. 29. T. II, p. 501. 30. Édit. de M. Livet, II, 26.
31.
Œuvres de Molière, II, 23. Édition des grands éc
II, p. 501. 30. Édit. de M. Livet, II, 26. 31. Œuvres de Molière,
II
, 23. Édition des grands écrivains. 32. Somaize l
p. 501. 30. Édit. de M. Livet, II, 26. 31. Œuvres de Molière, II,
23.
Édition des grands écrivains. 32. Somaize le dit
, 26. 31. Œuvres de Molière, II, 23. Édition des grands écrivains.
32.
Somaize le dit positivement. V. Prédictions xviii
, 23. Édition des grands écrivains. 32. Somaize le dit positivement.
V.
Prédictions xviii et xx. Édit. de M. Livet, t. I,
e dit positivement. V. Prédictions xviii et xx. Édit. de M. Livet, t.
I
, p. 188. 33. Voir les vers de La Muse royale. 3
vement. V. Prédictions xviii et xx. Édit. de M. Livet, t. I, p. 188.
33.
Voir les vers de La Muse royale. 34. La Précieu
it. de M. Livet, t. I, p. 188. 33. Voir les vers de La Muse royale.
34.
La Précieuse, ou le Mystère de la ruelle. Troisi
Mystère de la ruelle. Troisième partie. À Paris, chez Guil. de Luyne,
1657,
p. 475. 35. C’est l’abbé de Pure. L’épître « À t
uelle. Troisième partie. À Paris, chez Guil. de Luyne, 1657, p. 475.
35.
C’est l’abbé de Pure. L’épître « À telle qui n’y
qui n’y pense pas » en tête du premier volume, est signée Gélasire.
36.
Ibid., p. 490. 37. Pages 495-496. 38. Pages 49
en tête du premier volume, est signée Gélasire. 36. Ibid., p. 490.
37.
Pages 495-496. 38. Pages 497-499. 39. Lettre d
premier volume, est signée Gélasire. 36. Ibid., p. 490. 37. Pages
495-496.
38. Pages 497-499. 39. Lettre du 14 février, l
olume, est signée Gélasire. 36. Ibid., p. 490. 37. Pages 495-496.
38.
Pages 497-499. 39. Lettre du 14 février, lendem
signée Gélasire. 36. Ibid., p. 490. 37. Pages 495-496. 38. Pages
497-499.
39. Lettre du 14 février, lendemain de la repré
lasire. 36. Ibid., p. 490. 37. Pages 495-496. 38. Pages 497-499.
39.
Lettre du 14 février, lendemain de la représenta
bid., p. 490. 37. Pages 495-496. 38. Pages 497-499. 39. Lettre du
14
février, lendemain de la représentation annoncée
r, lendemain de la représentation annoncée par l’affiche du Marais.
40.
Suivant l’acte de décès recueilli par M. Jal, Ren
e décès recueilli par M. Jal, René Berthelot, dit Du Parc, mourut, le
28
octobre, dans son domicile de la rue Saint-Thomas
eu le lendemain. Le théâtre ne joua pas dans l’intervalle du dimanche
26
octobre au dimanche 2 novembre ; mais, le 26 octo
âtre ne joua pas dans l’intervalle du dimanche 26 octobre au dimanche
2
novembre ; mais, le 26 octobre et le 2 novembre,
l’intervalle du dimanche 26 octobre au dimanche 2 novembre ; mais, le
26
octobre et le 2 novembre, il représenta L’École d
imanche 26 octobre au dimanche 2 novembre ; mais, le 26 octobre et le
2
novembre, il représenta L’École des femmes ; puis
senta L’École des femmes ; puis il ferma de nouveau jusqu’au dimanche
9.
Au milieu de tous ces relâches on est un peu surp
e tous ces relâches on est un peu surpris de la note de La Grange. Le
4
novembre, la mort de Du Parc, inhumé depuis cinq
a note de La Grange. Le 4 novembre, la mort de Du Parc, inhumé depuis
cinq
jours, n’était guère qu’un dernier prétexte. On r
ier prétexte. On répétait la pièce nouvelle, — nouvelle pour Paris.
41.
La collection de J. Nicolas de Tralage est aujour
est aujourd’hui à la bibliothèque nationale (Note de M. B. Fillon).
42.
(Mémoire fourni, en vue d’une nouvelle édition de
(Mémoire fourni, en vue d’une nouvelle édition de Moreri, en novembre
1723,
par M. de Sarcy, ancien avocat au Parlement, qui
ec M. de La Reynie jusqu’à sa mort. — Cité par M. B. Fillon, p. 72.)
43.
Voir Le Moliériste du 1er août 1880. 44. Les Éta
sa mort. — Cité par M. B. Fillon, p. 72.) 43. Voir Le Moliériste du
1er
août 1880. 44. Les États délibérèrent les 24 fév
— Cité par M. B. Fillon, p. 72.) 43. Voir Le Moliériste du 1er août
1880.
44. Les États délibérèrent les 24 février 1658 e
par M. B. Fillon, p. 72.) 43. Voir Le Moliériste du 1er août 1880.
44.
Les États délibérèrent les 24 février 1658 et 15
Voir Le Moliériste du 1er août 1880. 44. Les États délibérèrent les
24
février 1658 et 15 mars 1655, quoique ces jours-l
liériste du 1er août 1880. 44. Les États délibérèrent les 24 février
1658
et 15 mars 1655, quoique ces jours-là fussent des
du 1er août 1880. 44. Les États délibérèrent les 24 février 1658 et
15
mars 1655, quoique ces jours-là fussent des diman
août 1880. 44. Les États délibérèrent les 24 février 1658 et 15 mars
1655,
quoique ces jours-là fussent des dimanches. Tout
ù siégeaient, en qualité de membres du clergé, à cette dernière date,
deux
archevêques, huit évêques et dix vicaires-générau
ualité de membres du clergé, à cette dernière date, deux archevêques,
huit
évêques et dix vicaires-généraux. 45. Il y avait
s du clergé, à cette dernière date, deux archevêques, huit évêques et
dix
vicaires-généraux. 45. Il y avait eu un obstacle
nière date, deux archevêques, huit évêques et dix vicaires-généraux.
45.
Il y avait eu un obstacle majeur : l’insurrection
surrection de la première Fronde (sortie du Roi de Paris en septembre
1648,
soulèvement des provinces, etc.), qui ne se termi
vinces, etc.), qui ne se termina pas avant les premiers jours d’avril
1649.
On se décida enfin à convoquer les États pour le
jours d’avril 1649. On se décida enfin à convoquer les États pour le
26
mai dans la ville de Montpellier, où cependant il
ndant ils subirent encore un retard, puisqu’ils ne s’ouvrirent que le
1er
juin. 46. Soulié, Recherches, etc., et C. Brouch
ubirent encore un retard, puisqu’ils ne s’ouvrirent que le 1er juin.
46.
Soulié, Recherches, etc., et C. Brouchoud, Origin
ils ne s’ouvrirent que le 1er juin. 46. Soulié, Recherches, etc., et
C.
Brouchoud, Origines du Théâtre de Lyon, ont parlé
es du Théâtre de Lyon, ont parlé longuement de Nicolas Desfontaines.
47.
Brouchoud, ouvrage cité. Le même écrivain dit, p.
s comédiens de la même famille. Particularité intéressante : dans les
deux
actes il se trouve un Desfontaines pour témoin.
ante : dans les deux actes il se trouve un Desfontaines pour témoin.
48.
Archives municipales. Registres de la paroisse Sa
Vie de Molière Jean-Baptiste Pocquelin naquit en
1620,
dans une maison qui subsiste encore sous les pili
donnèrent une éducation trop conforme à leur état ; il resta jusqu’à
quatorze
ans dans leur boutique, n’ayant rien appris, outr
re qui le mit dans une pension, et l’envoya aux Jésuites. Il y étudia
cinq
années, et suivit le cours des classes du premier
otecteur des lettres et de Molière. Il y avait alors dans ce collège,
deux
enfants qui eurent depuis beaucoup de réputation
qu’il composa, fut l’Étourdi ; il représenta cette comédie à Lyon, en
1658.
Il y avait dans cette ville une troupe de comédie
anguedoc, avec une troupe assez complète, composée principalement des
deux
frères nommés Gros-Resné, de Duparc, d’un pâtissi
sier de la rue St. Honoré, de la Duparc* de la Béjart et de la Debrie
117
*. Le prince de Conti* qui tenait les états Langue
, le Dépit Amoureux et les Précieuses Ridicules. Molière avait alors
34
ans. Après avoir couru quelque temps toutes les p
ir couru quelque temps toutes les provinces, il vint enfin à Paris en
1658.
On permit à sa troupe de s’y établir ; ils s’y fi
re prit le titre de la troupe de Monsieur, qui était son protecteur ;
deux
ans après, en 1650, il leur accorda la salle du P
la troupe de Monsieur, qui était son protecteur ; deux ans après, en
1650,
il leur accorda la salle du Palais-Royal. Cette t
la jouissance de cette salle jusqu’à la mort de son chef. Depuis l’an
1658,
jusqu’en 1673, c’est-à-dire en quinze années de t
e cette salle jusqu’à la mort de son chef. Depuis l’an 1658, jusqu’en
1673,
c’est-à-dire en quinze années de temps, Molière d
la mort de son chef. Depuis l’an 1658, jusqu’en 1673, c’est-à-dire en
quinze
années de temps, Molière donna toutes ses pièces,
nées de temps, Molière donna toutes ses pièces, qui sont au nombre de
trente
. Il voulut jouer dans le tragique, mais il n’y ré
eut pas aussi protégé Molière. Il n’eut à la vérité qu’une pension de
mille
livres. La fortune qu’il fit par le succès de ses
er ; ce qu’il retirait du théâtre avec ce qu’il avait placé, allait à
30000
livres de rente, somme qui en ce temps-là faisait
qui sortait de Port-Royal, à travailler pour le théâtre. Dès l’âge de
19
ans, il lui fit composer la tragédie de Théagène
ce fût trop faible pour être jouée, il fit présent au jeune acteur de
cent
louis, et lui donna le plan des frères ennemis. I
et par sa fortune, ne le fut pas dans sa maison ; il avait épousé en
1661,
une jeune fille née de la Béjart, et d’un gentilh
ichelieu, où il mourut quelques instants après, entre les bras de ses
deux
sœurs, étouffé par le sang qui lui sortait par la
ses deux sœurs, étouffé par le sang qui lui sortait par la bouche, le
17
février 1673, âgé de 53 ans. Il ne laissa qu’une
urs, étouffé par le sang qui lui sortait par la bouche, le 17 février
1673,
âgé de 53 ans. Il ne laissa qu’une fille qui avai
par le sang qui lui sortait par la bouche, le 17 février 1673, âgé de
53
ans. Il ne laissa qu’une fille qui avait beaucoup
sentation de chaque pièce, et le jugement qu’on en doit porter120. *
121
L’étourdi , ou les Contre-Temps, comédie en cinq
en doit porter120. * 121 L’étourdi , ou les Contre-Temps, comédie en
cinq
actes en vers, représentée à Paris, sur le théâtr
tes en vers, représentée à Paris, sur le théâtre du Petit-Bourbon, le
3
décembre 1758122. On remarque dans cette pièce de
, représentée à Paris, sur le théâtre du Petit-Bourbon, le 3 décembre
1758122.
On remarque dans cette pièce de la froideur dans
r sur ce qui pourrait le blesser123. Le Dépit Amoureux , comédie en
cinq
actes et en vers, représentée à Paris sur le même
, comédie en un acte et en prose, représentée sur le même théâtre, le
18
novembre 1659. Cette pièce, quoique mal intriguée
un acte et en prose, représentée sur le même théâtre, le 18 novembre
1659.
Cette pièce, quoique mal intriguée, est un des ch
ne et délicate des mœurs et des ridicules de son temps. Sganarelle
125,
ou le Cocu Imaginaire , comédie en 3 actes et en
de son temps. Sganarelle 125, ou le Cocu Imaginaire , comédie en
3
actes et en vers représentée sur le même théâtre,
e , comédie en 3 actes et en vers représentée sur le même théâtre, le
28
mars 1660.126 Tout, dans cette pièce, semble ann
die en 3 actes et en vers représentée sur le même théâtre, le 28 mars
1660.126
Tout, dans cette pièce, semble annoncer qu’elle
x. Dom Garcie de Navarre , ou le Prince Jaloux, comédie héroïque en
cinq
actes et en vers, représentée à Paris, sur le thé
s et en vers, représentée à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le
4
février 1661. Cette pièce imitée de l’Espagnol, n
rs, représentée à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 février
1661.
Cette pièce imitée de l’Espagnol, n’eut aucun suc
aucun succès. Le fond en est vicieux. L’école des Maris , comédie en
3
actes et en vers, représentée sur le même théâtre
, comédie en 3 actes et en vers, représentée sur le même théâtre, le
24
juin 1661. Cette pièce simple, claire, est fécond
ie en 3 actes et en vers, représentée sur le même théâtre, le 24 juin
1661.
Cette pièce simple, claire, est féconde en incide
on ait vu sur le théâtre français. Les Fâcheux , comédie-ballet, en
3
actes et en vers, représentée sur le même théâtre
die-ballet, en 3 actes et en vers, représentée sur le même théâtre le
4
novembre de la même année. Cette espèce de comédi
élégance toujours soutenue du style. L’École des Femmes , comédie en
cinq
actes et en vers, représentée à Paris sur le même
en cinq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théâtre, le
28
décembre 1662.127 Les ressorts cachés de cette p
s et en vers, représentée à Paris sur le même théâtre, le 28 décembre
1662.127
Les ressorts cachés de cette pièce, produisent u
un acte et en prose, représentée sur le même théâtre le premier juin
1663.
Image fidèle d’une partie de la vie civile. Copie
, comédie en un acte et en prose, représentée sur le même théâtre, le
4
novembre de la même année. Espèce de vengeance ex
econd en vers, le reste en prose,) représentée sur le même théâtre le
9
novembre de la même année.128 Cette pièce faite
e l’amour-propre, et de la vanité des femmes. Fêtes de Versailles, en
1664.
Le Mariage Forcé , comédie-ballet, en un acte e
ie-ballet, en un acte et en prose, représentée sur le même théâtre le
15
novembre de la même année129. Dom Juan ou le F
e de la même année129. Dom Juan ou le Festin de Pierre, comédie en
5
actes et en prose, représentée sur le même théâtr
, comédie en 5 actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
15
février 1665. Pièce imitée de l’Espagnol, et qu’o
n 5 actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le 15 février
1665.
Pièce imitée de l’Espagnol, et qu’on ne peut qual
on ne peut qualifier du nom de comédie. L’Amour médecin , comédie en
3
actes et en prose, avec un prologue, représentée
es et en prose, avec un prologue, représentée sur le même théâtre, le
22
septembre de la même année. Ridicule jeté à plein
Peu d’intrigue, et action peu soutenue. Le Misanthrope , comédie en
cinq
actes et en vers, représentée à Paris, sur le mêm
n cinq actes et en vers, représentée à Paris, sur le même théâtre, le
4
juin 1666. Chef d’œuvre de la comédie ancienne et
actes et en vers, représentée à Paris, sur le même théâtre, le 4 juin
1666.
Chef d’œuvre de la comédie ancienne et moderne. L
ve, mais les nuances sont fines. Le Médecin malgré lui , comédie en
3
actes et en prose, représentée à Paris sur le mêm
e en 3 actes et en prose, représentée à Paris sur le même théâtre, le
6
août de la même année. Petite pièce faite pour am
n un acte et en prose, représentée sur le théâtre de Palais royal, le
10
juin 1667. Petite comédie d’intrigue, dialogue fi
e et en prose, représentée sur le théâtre de Palais royal, le 10 juin
1667.
Petite comédie d’intrigue, dialogue fin, et peint
peinture vive de l’amour. Le Tartuffe , ou l’Imposteur, comédie en
cinq
actes et en vers, représentée à Paris sur le même
en cinq actes et en vers, représentée à Paris sur le même théâtre, le
5
août 1667, et depuis, sans interruption, le 5 fév
actes et en vers, représentée à Paris sur le même théâtre, le 5 août
1667,
et depuis, sans interruption, le 5 février 1669.
sur le même théâtre, le 5 août 1667, et depuis, sans interruption, le
5
février 1669. L’hypocrisie y est parfaitement dév
e théâtre, le 5 août 1667, et depuis, sans interruption, le 5 février
1669.
L’hypocrisie y est parfaitement dévoilée, les car
rais, le dialogue également fin et naturel. Amphitrion , comédie en
trois
actes et en vers, avec un prologue, représentée à
n vers, avec un prologue, représentée à Paris sur le même théâtre, le
13
juin 1668131. Comédie imitée de Plaute et supérie
avec un prologue, représentée à Paris sur le même théâtre, le 13 juin
1668131.
Comédie imitée de Plaute et supérieure à son modè
ances que le Tartuffe, et faire rire davantage. L’Avare , comédie en
cinq
actes et en prose, représentée sur le même théâtr
omédie en cinq actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
9
septembre de la même année. Autre imitation de Pl
marqués fortement. Georges Dandin , ou le Mari confondu, comédie en
trois
actes et en prose, représentée sur le même théâtr
médie en trois actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
9
novembre de la même année. Pièce d’un comique plu
l y ait plusieurs ridicules exposés fortement. Fête de Versailles, an
1668.
Monsieur de Pourceaugnac , comédie-ballet, en t
Versailles, an 1668. Monsieur de Pourceaugnac , comédie-ballet, en
trois
actes et en prose, représentée sur le même théâtr
llet, en trois actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
15
novembre de la même année. Ton peu noble, mais du
mais du comique.132 Les Amants magnifiques , comédie-ballet, en
cinq
actes et en prose, représentée à Saint-Germain en
et en prose, représentée à Saint-Germain en Laye, au moins de février
1670.
Comédie qui n’est pas sans beauté pour ceux qui s
tirent leur plus grand prix. Le Bourgeois gentilhomme , comédie en
cinq
actes et en prose, représentée sur le théâtre du
inq actes et en prose, représentée sur le théâtre du Palais royal, le
29
novembre de la même année.133 Peinture fidèle du
s. De la gaîté et du comique. Les Fourberies de Scapin , comédie en
trois
actes et en prose, représentée sur le même théâtr
médie en trois actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
24
mai 1671. Dans le sac ridicule où Scapin s’envel
n trois actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le 24 mai
1671.
Dans le sac ridicule où Scapin s’enveloppe, je n
ut s’empêcher cependant d’y applaudir. Psyché , tragédie-ballet, en
cinq
actes et en vers, représentée sur le même théâtre
ballet, en cinq actes et en vers, représentée sur le même théâtre, le
24
juillet de la même année. Malgré l’irrégularité d
ce, elle plaît par un grand nombre de traits, et sur-tout par le tour
neuf
et délicat de la déclaration de l’amour à Psyché
la déclaration de l’amour à Psyché Les Femmes savantes , comédie en
cinq
actes et en vers, représentée sur le même théâtre
comédie en cinq actes et en vers, représentée sur le même théâtre, le
11
mars 1672. Satyre ingénieuse du faux bel esprit e
en cinq actes et en vers, représentée sur le même théâtre, le 11 mars
1672.
Satyre ingénieuse du faux bel esprit et de l’érud
, en plusieurs actes et en prose, représentée sur le même théâtre, le
8
juillet de la même année. Peinture simple des rid
uits. Pastorale comique. Le Malade Imaginaire , comédie-ballet, en
trois
actes en prose, avec un prologue, représentée sur
actes en prose, avec un prologue, représentée sur le même théâtre, le
10
février 1673. Comique d’un ordre inférieur ; mais
ose, avec un prologue, représentée sur le même théâtre, le 10 février
1673.
Comique d’un ordre inférieur ; mais peinture vrai
tisme des médecins. Remerciement au roi. La Gloire du Val-de-Grâce.
117.
Coquille : Delrie → Debrie 118. Coquille : volu
u roi. La Gloire du Val-de-Grâce. 117. Coquille : Delrie → Debrie
118.
Coquille : volubité → volubilité. 119. « ils sus
Coquille : Delrie → Debrie 118. Coquille : volubité → volubilité.
119.
« ils suscitèrent contre lui les dévots » : cette
ontre lui les dévots » : cette phrase ne figure pas dans l’édition de
1855.
120. Ce paragraphe ne figure pas dans l’édition
ui les dévots » : cette phrase ne figure pas dans l’édition de 1855.
120.
Ce paragraphe ne figure pas dans l’édition de 185
’édition de 1855. 120. Ce paragraphe ne figure pas dans l’édition de
1855.
121. Dans l’édition de 1855, cette partie est no
n de 1855. 120. Ce paragraphe ne figure pas dans l’édition de 1855.
121.
Dans l’édition de 1855, cette partie est nommée P
agraphe ne figure pas dans l’édition de 1855. 121. Dans l’édition de
1855,
cette partie est nommée Pièces données au Théâtre
1855, cette partie est nommée Pièces données au Théâtre par Molière.
122.
Il y a une erreur sur l’année de représentation.
rreur sur l’année de représentation. Cette pièce a été représentée en
1658.
123. Le paragraphe qui suit l’annonce de la piè
r l’année de représentation. Cette pièce a été représentée en 1658.
123.
Le paragraphe qui suit l’annonce de la pièce ne f
graphe qui suit l’annonce de la pièce ne figure pas dans l’édition de
1855.
Ceci est de même pour chacun des paragraphes qui
e même pour chacun des paragraphes qui suivent l’annonce des pièces.
124.
La première représentation a eu lieu le 14 juin 1
t l’annonce des pièces. 124. La première représentation a eu lieu le
14
juin 1659. 125. Coquille : Ganarelle → Sganarell
nce des pièces. 124. La première représentation a eu lieu le 14 juin
1659.
125. Coquille : Ganarelle → Sganarelle. Cette fa
pièces. 124. La première représentation a eu lieu le 14 juin 1659.
125.
Coquille : Ganarelle → Sganarelle. Cette faute a
Ganarelle → Sganarelle. Cette faute a été corrigée dans l’édition de
1855.
126. La représentation a eu lieu en mai et non e
lle → Sganarelle. Cette faute a été corrigée dans l’édition de 1855.
126.
La représentation a eu lieu en mai et non en mars
on de 1855. 126. La représentation a eu lieu en mai et non en mars.
127.
La représentation s’est déroulée le 26 décembre 1
lieu en mai et non en mars. 127. La représentation s’est déroulée le
26
décembre 1662. 128. En 1664 et non en 1663. 129
et non en mars. 127. La représentation s’est déroulée le 26 décembre
1662.
128. En 1664 et non en 1663. 129. La première r
en mars. 127. La représentation s’est déroulée le 26 décembre 1662.
128.
En 1664 et non en 1663. 129. La première représe
127. La représentation s’est déroulée le 26 décembre 1662. 128. En
1664
et non en 1663. 129. La première représentation
sentation s’est déroulée le 26 décembre 1662. 128. En 1664 et non en
1663.
129. La première représentation s’est déroulée a
on s’est déroulée le 26 décembre 1662. 128. En 1664 et non en 1663.
129.
La première représentation s’est déroulée au mois
tation s’est déroulée au mois de février et non au mois de novembre.
130.
Dans l’édition de 1855, un passage a été ajouté :
u mois de février et non au mois de novembre. 130. Dans l’édition de
1855,
un passage a été ajouté : « La farce du Médecin m
il fallut que le sage se déguisât en farceur pour à la multitude ».
131.
La première représentation a eu lieu le 13 janvie
pour à la multitude ». 131. La première représentation a eu lieu le
13
janvier 1668. 132. Autre passage ajouté dans l’é
multitude ». 131. La première représentation a eu lieu le 13 janvier
1668.
132. Autre passage ajouté dans l’édition de 1855
de ». 131. La première représentation a eu lieu le 13 janvier 1668.
132.
Autre passage ajouté dans l’édition de 1855 : « P
lieu le 13 janvier 1668. 132. Autre passage ajouté dans l’édition de
1855
: « Pourceaugnac est une farce, a dit Voltaire ;
, et qu’on voit encore tous les jours avec le plaisir le plus vif. »
133.
La pièce est représentée pour la première fois su
t représentée pour la première fois sur le théâtre du Palais Royal le
2
» novembre 1670.
pour la première fois sur le théâtre du Palais Royal le 2 » novembre
1670.
Chapitre
II
. — De la poésie comique. Pensées d’un humoriste o
fait que votre fille est muette. Le Médecin malgré lui, acte
II
, scène vi. Invitation à la danse120 Donnon
urs être romantique, et le romantisme dans la comédie, c’est l’humour
124.
Première contredanse L’auteur comique vulg
die , et que le vrai poète comique est en même temps poète tragique
133.
Chassé-croisé Le comique n’est donc pas le
dit le divin Sterne, et ailleurs : cela ne vaut pas un liard rogné
140.
Sterne n’est lui-même qu’un arrière-petit-fils du
x, à la prime, à la vole à la pille, à la triumphe, à la Picardie, au
cent
, à l’espinay, à trente-et-ung, à pair et sequence
t-ung, à pair et sequence, au lansquenet, …………………… etc., etc., etc .
142
Il en nomme deux cent seize. Mais Fischart, l’u
equence, au lansquenet, …………………… etc., etc., etc . 142 Il en nomme
deux
cent seize. Mais Fischart, l’un des petits-fils d
ce, au lansquenet, …………………… etc., etc., etc . 142 Il en nomme deux
cent
seize. Mais Fischart, l’un des petits-fils de Rab
u lansquenet, …………………… etc., etc., etc . 142 Il en nomme deux cent
seize
. Mais Fischart, l’un des petits-fils de Rabelais,
de Rabelais, plus comique une fois que son grand-père, a cité jusqu’à
cinq
cent quatre-vingt-six jeux. Je lésai comptés tous
belais, plus comique une fois que son grand-père, a cité jusqu’à cinq
cent
quatre-vingt-six jeux. Je lésai comptés tous, et
s, plus comique une fois que son grand-père, a cité jusqu’à cinq cent
quatre-vingt-six
jeux. Je lésai comptés tous, et cela m’a bien enn
de la mer. Pantagruel, dit le comique, transporta au pays conquesté
9
876 543 210 hommes, sans les femmes et petits-enf
e la mer. Pantagruel, dit le comique, transporta au pays conquesté 9
876
543 210 hommes, sans les femmes et petits-enfants
mer. Pantagruel, dit le comique, transporta au pays conquesté 9 876
543
210 hommes, sans les femmes et petits-enfants 144
. Pantagruel, dit le comique, transporta au pays conquesté 9 876 543
210
hommes, sans les femmes et petits-enfants 144. Le
ays conquesté 9 876 543 210 hommes, sans les femmes et petits-enfants
144.
Le sublime, tombant à genoux145, s’écrie épouvant
me un atome, et comme une ombre qui ne dure qu’un instant sans retour
146.
Le comique taille sa plume et raconte : Micromég
’ils faisaient dans un globe qui paraissait appartenir à des baleines
147.
— Le sublime chante que l’homme est le roi de la
st servie seule, mais qui s’avale avec le reste dans une olla-putrida
149.
Cotillon Les plus grands comiques ont été p
éparation, dans le lit du ruisseau de l’épigramme qui coule entre les
deux
royaumes154 ; puis il a greffé sur ce houx une br
tement ce qui fait que Molière est un assez méchant poète comique.
120.
Une des gentillesses du genre humoristique est d’
st divisé en Périodes du Jubilé et les périodes du jubilé en Cycles.
121.
Voici comment Jean-Paul conclut le Prologue-Progr
é l’idée du mode de division et de composition que nous avons suivi.
122.
Shakespeare est, comme tout le romantisme, l’im
, l’image des plaines de Bakow : la nuit est tiède , etc. Poétique, §
25.
(Traduction de MM. Dumont et Büchner.) 123. § 32
tiède , etc. Poétique, § 25. (Traduction de MM. Dumont et Büchner.)
123.
§ 32. 124. § 32. 125. § 32. 126. Il croit ê
, etc. Poétique, § 25. (Traduction de MM. Dumont et Büchner.) 123. §
32.
124. § 32. 125. § 32. 126. Il croit être un
. Poétique, § 25. (Traduction de MM. Dumont et Büchner.) 123. § 32.
124.
§ 32. 125. § 32. 126. Il croit être un hippo
que, § 25. (Traduction de MM. Dumont et Büchner.) 123. § 32. 124. §
32.
125. § 32. 126. Il croit être un hippocentau
25. (Traduction de MM. Dumont et Büchner.) 123. § 32. 124. § 32.
125.
§ 32. 126. Il croit être un hippocentaure au m
raduction de MM. Dumont et Büchner.) 123. § 32. 124. § 32. 125. §
32.
126. Il croit être un hippocentaure au milieu
tion de MM. Dumont et Büchner.) 123. § 32. 124. § 32. 125. § 32.
126.
Il croit être un hippocentaure au milieu d’onsc
eur, du haut de son cheval, son sermon de capucin contre la folie. §
32.
127. § 32. 128. Le Gulliver de Swift, moins h
du haut de son cheval, son sermon de capucin contre la folie. § 32.
127.
§ 32. 128. Le Gulliver de Swift, moins humoris
de son cheval, son sermon de capucin contre la folie. § 32. 127. §
32.
128. Le Gulliver de Swift, moins humoriste pou
on cheval, son sermon de capucin contre la folie. § 32. 127. § 32.
128.
Le Gulliver de Swift, moins humoriste pour la f
se sur la roche tarpéienne d’où cette pensée précipite l’humanité. §
32.
129. Nous avons remplacé par cette métaphore équ
r la roche tarpéienne d’où cette pensée précipite l’humanité. § 32.
129.
Nous avons remplacé par cette métaphore équivalen
de chef d’orchestre, ni un fouet, et ses coups tombent au hasard. §
32.
130. Le comique romantique est le roi de la su
hef d’orchestre, ni un fouet, et ses coups tombent au hasard. § 32.
130.
Le comique romantique est le roi de la subjecti
§ 32. 130. Le comique romantique est le roi de la subjectivité. §
32.
131. L’humoriste est plein de sentiment. § 32.
130. Le comique romantique est le roi de la subjectivité. § 32.
131.
L’humoriste est plein de sentiment. § 32. 132.
la subjectivité. § 32. 131. L’humoriste est plein de sentiment. §
32.
132. § 33. 133. § 33. 134. Shakespeare, au
bjectivité. § 32. 131. L’humoriste est plein de sentiment. § 32.
132.
§ 33. 133. § 33. 134. Shakespeare, au milieu
ité. § 32. 131. L’humoriste est plein de sentiment. § 32. 132. §
33.
133. § 33. 134. Shakespeare, au milieu même
§ 32. 131. L’humoriste est plein de sentiment. § 32. 132. § 33.
133.
§ 33. 134. Shakespeare, au milieu même de son
131. L’humoriste est plein de sentiment. § 32. 132. § 33. 133. §
33.
134. Shakespeare, au milieu même de son feu p
L’humoriste est plein de sentiment. § 32. 132. § 33. 133. § 33.
134.
Shakespeare, au milieu même de son feu pathétiq
même de son feu pathétique, fait jaillir ses fleurs humoristiques. §
26.
135. À quoi bon une longue polémique contre le
de son feu pathétique, fait jaillir ses fleurs humoristiques. § 26.
135.
À quoi bon une longue polémique contre les défi
isse subsister dans son voisinage d’autres oiseaux que les aigles. §
26.
136. § 26. 137. § 26. 138. Métaphore empruntée
subsister dans son voisinage d’autres oiseaux que les aigles. § 26.
136.
§ 26. 137. § 26. 138. Métaphore empruntée à une
er dans son voisinage d’autres oiseaux que les aigles. § 26. 136. §
26.
137. § 26. 138. Métaphore empruntée à une autre
ns son voisinage d’autres oiseaux que les aigles. § 26. 136. § 26.
137.
§ 26. 138. Métaphore empruntée à une autre défin
voisinage d’autres oiseaux que les aigles. § 26. 136. § 26. 137. §
26.
138. Métaphore empruntée à une autre définition
nage d’autres oiseaux que les aigles. § 26. 136. § 26. 137. § 26.
138.
Métaphore empruntée à une autre définition du com
§ 26. 138. Métaphore empruntée à une autre définition du comique (§
30
), suivant laquelle le comique est la jouissance
et la poésie de l’entendement tout à fait affranchi, qui s’exerce sur
trois
chaînes syllogistiques et fleuries, et qui s’y ba
syllogistiques et fleuries, et qui s’y balance çà et là en dansant .
139.
Le comique individualise jusqu’aux plus petites
petites choses, et même jusqu’aux parties de ce qu’il a subdivisé. §
35.
140. § 35. 141. § 35. 142. § 35. Gargantua, l.
es choses, et même jusqu’aux parties de ce qu’il a subdivisé. § 35.
140.
§ 35. 141. § 35. 142. § 35. Gargantua, l. Ier,
es, et même jusqu’aux parties de ce qu’il a subdivisé. § 35. 140. §
35.
141. § 35. 142. § 35. Gargantua, l. Ier, c. xxi
t même jusqu’aux parties de ce qu’il a subdivisé. § 35. 140. § 35.
141.
§ 35. 142. § 35. Gargantua, l. Ier, c. xxii. 14
jusqu’aux parties de ce qu’il a subdivisé. § 35. 140. § 35. 141. §
35.
142. § 35. Gargantua, l. Ier, c. xxii. 143. F
’aux parties de ce qu’il a subdivisé. § 35. 140. § 35. 141. § 35.
142.
§ 35. Gargantua, l. Ier, c. xxii. 143. Fischar
rties de ce qu’il a subdivisé. § 35. 140. § 35. 141. § 35. 142. §
35.
Gargantua, l. Ier, c. xxii. 143. Fischart cite
35. 140. § 35. 141. § 35. 142. § 35. Gargantua, l. Ier, c. xxii.
143.
Fischart cite jusqu’à 586 jeux d’enfants et de
142. § 35. Gargantua, l. Ier, c. xxii. 143. Fischart cite jusqu’à
586
jeux d’enfants et de société, que j’ai comptés en
ociété, que j’ai comptés en me pressant et en m’ennuyant beaucoup. §
35.
144. Pantagruel, l. III, c. ier . 145. Le c
é, que j’ai comptés en me pressant et en m’ennuyant beaucoup. § 35.
144.
Pantagruel, l. III, c. ier . 145. Le comique
me pressant et en m’ennuyant beaucoup. § 35. 144. Pantagruel, l.
III
, c. ier . 145. Le comique nous attache étroite
en m’ennuyant beaucoup. § 35. 144. Pantagruel, l. III, c. ier .
145.
Le comique nous attache étroitement à ce qui es
, mais il se met sur ses rotules, et peut même se servir du jarret, §
35.
146. Pascal, Pensées, article IX (édition de M.
s il se met sur ses rotules, et peut même se servir du jarret, § 35.
146.
Pascal, Pensées, article IX (édition de M. Havet)
t peut même se servir du jarret, § 35. 146. Pascal, Pensées, article
IX
(édition de M. Havet). 147. Voltaire, Micromégas
rret, § 35. 146. Pascal, Pensées, article IX (édition de M. Havet).
147.
Voltaire, Micromégas, c. v. 148. Swift, Voyage d
article IX (édition de M. Havet). 147. Voltaire, Micromégas, c. v.
148.
Swift, Voyage de Gulliver à Brobdingnag, c. iii.
omégas, c. v. 148. Swift, Voyage de Gulliver à Brobdingnag, c. iii.
149.
Voici le petit amas d’images et d’idées dont nous
s avons formé ce pot-pourri : L’humour est un Socrate en démence. §
35.
Il faut dans la comédie que celui qui se joue lu
de perroquet… Il doit savoir écrire sa propre écriture à rebours. §
39.
L’humour ressemble à l’oiseau Mérops, qui monte
boit et aspire le nectar en dansant sur la tête, etc., etc., etc. , §
33.
Jean-Paul a mis en pratique sa théorie. Le prolog
ce du Voyage sentimental de Sterne n’arrive qu’après le chapitre vi.
150.
Le sérieux se fait reconnaître comme condition
ndividus. L’état ecclésiastique a fourni les plus grands comiques. §
29.
Le père de Jean-Paul était pasteur. 151. Les E
les plus grands comiques. § 29. Le père de Jean-Paul était pasteur.
151.
Les Espagnols ont produit plus de comédies que
de comédies que les Français et les Italiens ensemble. Il y a souvent
deux
arlequins dans une seule de leurs pièces. § 29.
ble. Il y a souvent deux arlequins dans une seule de leurs pièces. §
29.
152. § 29. 153. La nation du persiflage par e
Il y a souvent deux arlequins dans une seule de leurs pièces. § 29.
152.
§ 29. 153. La nation du persiflage par excelle
souvent deux arlequins dans une seule de leurs pièces. § 29. 152. §
29.
153. La nation du persiflage par excellence (l
nt deux arlequins dans une seule de leurs pièces. § 29. 152. § 29.
153.
La nation du persiflage par excellence (la Fran
omique poétique, est la moins comparable à la sérieuse Angleterre. §
29.
154. Le domaine de la satire touche de très pr
e poétique, est la moins comparable à la sérieuse Angleterre. § 29.
154.
Le domaine de la satire touche de très près au
ès près au domaine de Cornus ; l’épigramme en marque la frontière. §
29.
155. Le persiflage est un compromis entre la s
ès au domaine de Cornus ; l’épigramme en marque la frontière. § 29.
155.
Le persiflage est un compromis entre la satire
155. Le persiflage est un compromis entre la satire et l’humour. §
88.
156. § 29. 157. § 29. 158. § 29. 159. La F
Le persiflage est un compromis entre la satire et l’humour. § 88.
156.
§ 29. 157. § 29. 158. § 29. 159. La France
rsiflage est un compromis entre la satire et l’humour. § 88. 156. §
29.
157. § 29. 158. § 29. 159. La France est le
age est un compromis entre la satire et l’humour. § 88. 156. § 29.
157.
§ 29. 158. § 29. 159. La France est le pays
un compromis entre la satire et l’humour. § 88. 156. § 29. 157. §
29.
158. § 29. 159. La France est le pays qui de
ompromis entre la satire et l’humour. § 88. 156. § 29. 157. § 29.
158.
§ 29. 159. La France est le pays qui de tout
s entre la satire et l’humour. § 88. 156. § 29. 157. § 29. 158. §
29.
159. La France est le pays qui de tout temps
e la satire et l’humour. § 88. 156. § 29. 157. § 29. 158. § 29.
159.
La France est le pays qui de tout temps a eu le
e. Elle exclut l’humour et le remplace par le persiflage. Voyez le §
24,
29 et 88. 160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163.
lle exclut l’humour et le remplace par le persiflage. Voyez le § 24,
29
et 88. 160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163. §
clut l’humour et le remplace par le persiflage. Voyez le § 24, 29 et
88.
160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163. § 72. 16
l’humour et le remplace par le persiflage. Voyez le § 24, 29 et 88.
160.
§ 89. 161. § 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3
r et le remplace par le persiflage. Voyez le § 24, 29 et 88. 160. §
89.
161. § 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165
le remplace par le persiflage. Voyez le § 24, 29 et 88. 160. § 89.
161.
§ 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88
lace par le persiflage. Voyez le § 24, 29 et 88. 160. § 89. 161. §
89
162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 16
par le persiflage. Voyez le § 24, 29 et 88. 160. § 89. 161. § 89
162.
§ 59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. § 2
persiflage. Voyez le § 24, 29 et 88. 160. § 89. 161. § 89 162. §
59
163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. § 20 16
siflage. Voyez le § 24, 29 et 88. 160. § 89. 161. § 89 162. § 59
163.
§ 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. § 20 167. § 2
. Voyez le § 24, 29 et 88. 160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163. §
72.
164. § 3. 165. § 88. 166. § 20 167. § 20. 16
yez le § 24, 29 et 88. 160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163. § 72.
164.
§ 3. 165. § 88. 166. § 20 167. § 20. 168. § 8
§ 24, 29 et 88. 160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163. § 72. 164. §
3.
165. § 88. 166. § 20 167. § 20. 168. § 88. 1
, 29 et 88. 160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3.
165.
§ 88. 166. § 20 167. § 20. 168. § 88. 169.
88. 160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165. §
88.
166. § 20 167. § 20. 168. § 88. 169. Donne
160. § 89. 161. § 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88.
166.
§ 20 167. § 20. 168. § 88. 169. Donnez donc
89. 161. § 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. §
20
167. § 20. 168. § 88. 169. Donnez donc une
161. § 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. § 20
167.
§ 20. 168. § 88. 169. Donnez donc une unité
§ 89 162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. § 20 167. §
20.
168. § 88. 169. Donnez donc une unité organi
162. § 59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. § 20 167. § 20.
168.
§ 88. 169. Donnez donc une unité organique à
59 163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. § 20 167. § 20. 168. §
88.
169. Donnez donc une unité organique à un vol
163. § 72. 164. § 3. 165. § 88. 166. § 20 167. § 20. 168. § 88.
169.
Donnez donc une unité organique à un volume d’
ur un Français le sens commun, la vraie logique, c’est un bon mot. §
93.
170. § 36. 171. Avec L’Impromptu de Versailles,
Français le sens commun, la vraie logique, c’est un bon mot. § 93.
170.
§ 36. 171. Avec L’Impromptu de Versailles, Jean-
is le sens commun, la vraie logique, c’est un bon mot. § 93. 170. §
36.
171. Avec L’Impromptu de Versailles, Jean-Paul n
sens commun, la vraie logique, c’est un bon mot. § 93. 170. § 36.
171.
Avec L’Impromptu de Versailles, Jean-Paul nomme a
n-Paul nomme aussi le Tartuffe, qu’il appelle prosaïque et immoral, §
36.
172. § 36. 173. Les métaphores du soleil plasti
l nomme aussi le Tartuffe, qu’il appelle prosaïque et immoral, § 36.
172.
§ 36. 173. Les métaphores du soleil plastique et
aussi le Tartuffe, qu’il appelle prosaïque et immoral, § 36. 172. §
36.
173. Les métaphores du soleil plastique et de la
i le Tartuffe, qu’il appelle prosaïque et immoral, § 36. 172. § 36.
173.
Les métaphores du soleil plastique et de la lune
n-Paul. Quant au chaos du fini et de l’infini, on peut l’admirer au §
31.
de son modèle : la prétendue lettre du père de Celia passe de l’acte
III
, scène 13 de l’Inavvertito à l’acte II, scène 10
èle : la prétendue lettre du père de Celia passe de l’acte III, scène
13
de l’Inavvertito à l’acte II, scène 10 de l’Étour
père de Celia passe de l’acte III, scène 13 de l’Inavvertito à l’acte
II
, scène 10 de l’Étourdi, et plusieurs scènes sont
lia passe de l’acte III, scène 13 de l’Inavvertito à l’acte II, scène
10
de l’Étourdi, et plusieurs scènes sont déplacées
ne 10 de l’Étourdi, et plusieurs scènes sont déplacées dans les actes
IV
et V. Ailleurs, mécontent de Barbieri, Molière l’
de l’Étourdi, et plusieurs scènes sont déplacées dans les actes IV et
V.
Ailleurs, mécontent de Barbieri, Molière l’abando
italiens, français ou espagnols, peu lui en chaut. Au début de l’acte
II
, six scènes sont consacrées à un stratagème macab
iens, français ou espagnols, peu lui en chaut. Au début de l’acte II,
six
scènes sont consacrées à un stratagème macabre de
to ne donnait aucune idée : Molière l’a pris à Noël du Fail. A l’acte
IV
, scène 1, Mascarille fait la leçon à Lélie avant
ait aucune idée : Molière l’a pris à Noël du Fail. A l’acte IV, scène
1,
Mascarille fait la leçon à Lélie avant de l’intro
, l’amoureux Lélie « s’oublie étrangement auprès de Célie » et commet
mille
imprudences : de même Fulvio près d’Angélique dan
Fulvio près d’Angélique dans l’Angelica de Fabritio de Fornaris (acte
IV
, sc. 4). A l’acte V, le capitan Bellorofonte de B
rès d’Angélique dans l’Angelica de Fabritio de Fornaris (acte IV, sc.
4
). A l’acte V, le capitan Bellorofonte de Barbieri
ue dans l’Angelica de Fabritio de Fornaris (acte IV, sc. 4). A l’acte
V
, le capitan Bellorofonte de Barbieri a disparu :
ommentateurs trouvent encore à mettre au compte de Molière ? A l’acte
I
, sc. 4, le prétexte plus dramatique invoqué par M
teurs trouvent encore à mettre au compte de Molière ? A l’acte I, sc.
4,
le prétexte plus dramatique invoqué par Mascarill
plus dramatique invoqué par Mascarille pour parler à Célie ; à l’acte
I
, sc. 5 et suivantes, l’épisode de Mascarille vola
amatique invoqué par Mascarille pour parler à Célie ; à l’acte I, sc.
5
et suivantes, l’épisode de Mascarille volant sa b
n qu’Anselme — annonce qu’il vient de recevoir de l’argent ; à l’acte
III
, sc. 1 à 4, Mascarille calomniant Célie pour en d
lme — annonce qu’il vient de recevoir de l’argent ; à l’acte III, sc.
1
à 4, Mascarille calomniant Célie pour en dégoûter
— annonce qu’il vient de recevoir de l’argent ; à l’acte III, sc. 1 à
4,
Mascarille calomniant Célie pour en dégoûter Léan
à 4, Mascarille calomniant Célie pour en dégoûter Léandre ; à l’acte
III
, sc. 5 à 9, le déguisement de Mascarille et de Lé
carille calomniant Célie pour en dégoûter Léandre ; à l’acte III, sc.
5
à 9, le déguisement de Mascarille et de Léandre e
lle calomniant Célie pour en dégoûter Léandre ; à l’acte III, sc. 5 à
9,
le déguisement de Mascarille et de Léandre en mas
osé par Trufaldin d’une « cassolette » aux fâcheux parfums ; à l’acte
IV
, sc. 1 et 2, Lélie transformé, pour pénétrer chez
Trufaldin d’une « cassolette » aux fâcheux parfums ; à l’acte IV, sc.
1
et 2, Lélie transformé, pour pénétrer chez Trufal
ldin d’une « cassolette » aux fâcheux parfums ; à l’acte IV, sc. 1 et
2,
Lélie transformé, pour pénétrer chez Trufaldin, e
din, en Arménien qui a vu le fils de ce dernier en Turquie ; à l’acte
IV
, sc. 6, Mascarille rossant Lélie, et pour se veng
Arménien qui a vu le fils de ce dernier en Turquie ; à l’acte IV, sc.
6,
Mascarille rossant Lélie, et pour se venger enfin
enfin de son maître et pour inspirer confiance à Trufaldin ; à l’acte
V
, sc. 9, la reconnaissance romanesque que Molière
e son maître et pour inspirer confiance à Trufaldin ; à l’acte V, sc.
9,
la reconnaissance romanesque que Molière a substi
ur la réalité des choses ; écoutons plutôt Mascarille dans l’Étourdi (
IV
, 1) : C’est qu’en fait d’aventure il est très or
a réalité des choses ; écoutons plutôt Mascarille dans l’Étourdi (IV,
1
) : C’est qu’en fait d’aventure il est très ordin
e Turc corsaire, Puis être à leur famille à point nommé rendus, Après
quinze
ou vingt ans qu’on les a crus perdus ; Pour moi,
saire, Puis être à leur famille à point nommé rendus, Après quinze ou
vingt
ans qu’on les a crus perdus ; Pour moi, j’ai déjà
quinze ou vingt ans qu’on les a crus perdus ; Pour moi, j’ai déjà vu
cent
contes de la sorte. « Peut-être Mascarille exag
faldin par un stratagème analogue à celui du Parasite ; cependant les
deux
exemples connus de saint Vincent de Paul et de Re
araissent aujourd’hui. » M. Bernardin indique une analogie entre les
deux
comédies de Molière et de Tristan ; je crois qu’i
sandre qu’il a un moyen sûr de pénétrer auprès d’elle. Il y a quelque
vingt
ans que Manille a perdu son mari Alcidor et son f
ue Manille a perdu son mari Alcidor et son fils Sillare, alors âgé de
deux
ans, qui lui ont été enlevés en mer par « des écu
u de Manille, veut faire pendre Lisandre, et enfin consent à unir les
deux
amoureux. On voit combien Alcidor, pris sur mer
par quelque Turc corsaire, est à point nommé rendu à sa famille après
vingt
ans qu’on l’a cru perdu. Il semble qu’Alcidor,
ine manière, Brioché fait sortir hors de sa gibecière. (Le Parasite,
V
, 1, p. 1272.) N’est-ce pas là un des contes qu
manière, Brioché fait sortir hors de sa gibecière. (Le Parasite, V,
1,
p. 1272.) N’est-ce pas là un des contes qu’a
Lisandre de Tunis, d’Alger, de Jaffe, de Tyr, du Caire (le Parasite,
III
, 5, p. 77). Une inquiétude l’arrête un instant, c
ndre de Tunis, d’Alger, de Jaffe, de Tyr, du Caire (le Parasite, III,
5,
p. 77). Une inquiétude l’arrête un instant, comme
lavage Pourraient-ils pas avoir changé tout son visage ? (L’Étourdi,
IV
, 1, vers 1351-1356.) PHÉNICE Qui pourra l’empêche
ge Pourraient-ils pas avoir changé tout son visage ? (L’Étourdi, IV,
1,
vers 1351-1356.) PHÉNICE Qui pourra l’empêcher de
aient-ils pas avoir changé tout son visage ? (L’Étourdi, IV, 1, vers
1351-1356.
) PHÉNICE Qui pourra l’empêcher de passer pour son
HÉNICE Qui pourra l’empêcher de passer pour son fils ? L’autre âgé de
deux
ans fut pris dans cette barque. FRIPESAUCES Son v
int, point. Nous sommes fortement assurés sur ce point. Manille a dit
cent
fois qu’elle verrait paraître Son fils devant ses
re Son fils devant ses yeux sans le pouvoir connaître. (Le Parasite,
I
, 4, p. 13.) Lisandre, au lieu de songer à ce qu’
Son fils devant ses yeux sans le pouvoir connaître. (Le Parasite, I,
4,
p. 13.) Lisandre, au lieu de songer à ce qu’il p
ur où le mettra la vue de Lucinde ; il oblige Fripesauces à lui faire
cent
recommandations, après lesquelles il ne laisse pa
de Lélie vis-à-vis de Mascarille, et, si l’on peut comparer à l’acte
IV
, scène 1 de l’Étourdi l’acte II, scène 1 de l’Emi
vis-à-vis de Mascarille, et, si l’on peut comparer à l’acte IV, scène
1
de l’Étourdi l’acte II, scène 1 de l’Emilia, à pl
e, et, si l’on peut comparer à l’acte IV, scène 1 de l’Étourdi l’acte
II
, scène 1 de l’Emilia, à plus forte raison en doit
l’on peut comparer à l’acte IV, scène 1 de l’Étourdi l’acte II, scène
1
de l’Emilia, à plus forte raison en doit-on rappr
scène 1 de l’Emilia, à plus forte raison en doit-on rapprocher l’acte
III
, scène 2 du Parasite : LISANDRE Cher ami, je ne
l’Emilia, à plus forte raison en doit-on rapprocher l’acte III, scène
2
du Parasite : LISANDRE Cher ami, je ne sais, je
a femme et ses enfants ? FRIPESAUCES Vous direz qu’il est mort depuis
quatre
ou cinq ans ; Ne sauriez-vous tout seul fonder ce
ses enfants ? FRIPESAUCES Vous direz qu’il est mort depuis quatre ou
cinq
ans ; Ne sauriez-vous tout seul fonder cette fabr
ui sache le langage, Pour voir s’il n’a pas fait un fabuleux voyage. (
III
, 7, p. 86.) Il est vrai encore que Lélie ne se d
che le langage, Pour voir s’il n’a pas fait un fabuleux voyage. (III,
7,
p. 86.) Il est vrai encore que Lélie ne se donne
ntionné dans le Parasite. Tel qu’il est constitué maintenant, l’acte
IV
de l’Étourdi implique une reconnaissance possible
énouement. Alcidor revenait à point nommé pour assurer le mariage des
deux
amants : ainsi vont faire la femme et le fils de
ssin ? Portes-tu des momons ? Apprends-moi ton dessein. (Le Parasite,
III
, 3, p. 71.) Mascarille et Léandre vont vraimen
? Portes-tu des momons ? Apprends-moi ton dessein. (Le Parasite, III,
3,
p. 71.) Mascarille et Léandre vont vraiment e
le et Léandre vont vraiment en masque pour enlever Célie à l’acte
III
, scène 8 de l’Étourdi, et Lélie, qui a révélé si
re vont vraiment en masque pour enlever Célie à l’acte III, scène
8
de l’Étourdi, et Lélie, qui a révélé si imprudemm
ait-on apprendre ? Trufaldin, ouvrez-leur pour jouer un momon. (Vers
1220-1221.
) Or, il n’y a ni momon ni masques dans l’Inavver
masques dans l’Inavvertito, mais des serruriers ; ne sont-ce pas les
deux
passages du Parasite qui ont donné à Molière l’id
t donné à Molière l’idée de cette substitution ? A la fin de cet acte
III
(scène 9) de l’Étourdi, Trufaldin, impatienté par
olière l’idée de cette substitution ? A la fin de cet acte III (scène
9
) de l’Étourdi, Trufaldin, impatienté par le défil
t fort bien imiter la duègne du Dom Japhet d’Arménie de Scarron (acte
IV
, scène 6), mais en quoi il peut aussi exécuter un
n imiter la duègne du Dom Japhet d’Arménie de Scarron (acte IV, scène
6
), mais en quoi il peut aussi exécuter une menace
ot à pisser tout préparé pour vous. Attendez seulement. (Le Parasite,
III
, 5, p. 79-80.) D’autres rapprochements, nullemen
pisser tout préparé pour vous. Attendez seulement. (Le Parasite, III,
5,
p. 79-80.) D’autres rapprochements, nullement si
qualifie un père, devant son fils, de « penard chagrin » (l’Étourdi,
I
, 2, vers 61) ; Phénice de même : Moi, fille de b
alifie un père, devant son fils, de « penard chagrin » (l’Étourdi, I,
2,
vers 61) ; Phénice de même : Moi, fille de berla
n père, devant son fils, de « penard chagrin » (l’Étourdi, I, 2, vers
61
) ; Phénice de même : Moi, fille de berlan ? pena
e de même : Moi, fille de berlan ? penard injurieux ! (Le Parasite,
III
, 5, p. 76.) Mascarille dit qu’il époustera bie
même : Moi, fille de berlan ? penard injurieux ! (Le Parasite, III,
5,
p. 76.) Mascarille dit qu’il époustera bien Lé
, 5, p. 76.) Mascarille dit qu’il époustera bien Lélie (l’Étourdi,
IV
, 5, v. 1577) ; Lisandre dit de Fripesauces : Ens
p. 76.) Mascarille dit qu’il époustera bien Lélie (l’Étourdi, IV,
5,
v. 1577) ; Lisandre dit de Fripesauces : Ensuite
.) Mascarille dit qu’il époustera bien Lélie (l’Étourdi, IV, 5, v.
1577
) ; Lisandre dit de Fripesauces : Ensuite je pren
pesauces : Ensuite je prendrai le temps de l’épouster. (Le Parasite,
II
, 3, p. 47.) Mascarille parle des scoffions de
uces : Ensuite je prendrai le temps de l’épouster. (Le Parasite, II,
3,
p. 47.) Mascarille parle des scoffions de viei
scarille parle des scoffions de vieilles qui se battent (l’Étourdi,
V
, 9, v. 1944) ; le parasite dit à la servante : E
rille parle des scoffions de vieilles qui se battent (l’Étourdi, V,
9,
v. 1944) ; le parasite dit à la servante : Et si
parle des scoffions de vieilles qui se battent (l’Étourdi, V, 9, v.
1944
) ; le parasite dit à la servante : Et si ton sco
scoffion avait tous les appas D’une rouelle de veau bien cuite entre
deux
plats, En l’humeur où je suis, Phénice, je te jur
te jure Que j’aurais tout à l’heure avalé ta coiffure. (Le Parasite,
I
, 3, p. 5.) * * * Est-il vraisemblable que Molièr
jure Que j’aurais tout à l’heure avalé ta coiffure. (Le Parasite, I,
3,
p. 5.) * * * Est-il vraisemblable que Molière ai
t-il vraisemblable que Molière ait connu le Parasite ? oui certes. En
1644,
le célèbre auteur de la Mariane, Tristan l’Hermit
Métayers, ses tragédies de la Mort de Sénèque et de la Mort de Crispe
3.
Depuis, Tristan envoyait sans doute ses œuvres à
eine ne pouvaient se désintéresser des œuvres de Tristan. Si donc, en
1653,
Molière avait pu voir jouer, ou s’il avait pu jou
es nouvelles tant que celles-ci n’avaient pas été imprimées. C’est en
1654
qu’eurent lieu l’impression et la publication du
est en 1654 qu’eurent lieu l’impression et la publication du Parasite
4.
Il est probable que Molière voulut alors représen
souvenir et, plus ou moins consciemment, l’imiter. L’Étourdi est de
1653
d’après certains auteurs. Mais cette date n’est a
dis que La Grange, dans son Registre, a positivement daté la pièce de
1655
et que Despois a confirmé cette indication par le
emière comédie serait désormais à l’abri de toute discussion. Février
1903.
1. Un précurseur de Racine, Tristan l’Hermit
édie serait désormais à l’abri de toute discussion. Février 1903.
1.
Un précurseur de Racine, Tristan l’Hermite…, p.
r 1903. 1. Un précurseur de Racine, Tristan l’Hermite…, p. 508.
2.
Je cite, mais en en rajeunissant l’orthographe, l
on de Tristan qu’a publiée M. Edmond Girard à la Maison des Poètes.
3.
M. Bernardin (Un précurseur de Racine, p. 240 à 2
ison des Poètes. 3. M. Bernardin (Un précurseur de Racine, p. 240 à
244
) n’est affirmatif qu’en ce qui concerne la Mort d
ce qui concerne la Mort de Sénèque ; mais voyez Mesnard, Molière, t.
X
, p. 87 à 89, et Loiseleur, Points obscurs de la v
cerne la Mort de Sénèque ; mais voyez Mesnard, Molière, t. X, p. 87 à
89,
et Loiseleur, Points obscurs de la vie de Molière
87 à 89, et Loiseleur, Points obscurs de la vie de Molière, p. 379.
4.
Privilège du 23 mars, achevé d’imprimer du 10 jui
seleur, Points obscurs de la vie de Molière, p. 379. 4. Privilège du
23
mars, achevé d’imprimer du 10 juin. 5. Molière,
ie de Molière, p. 379. 4. Privilège du 23 mars, achevé d’imprimer du
10
juin. 5. Molière, t. I, p. 79 à 85.
ère, p. 379. 4. Privilège du 23 mars, achevé d’imprimer du 10 juin.
5.
Molière, t. I, p. 79 à 85.
Privilège du 23 mars, achevé d’imprimer du 10 juin. 5. Molière, t.
I
, p. 79 à 85.
du 23 mars, achevé d’imprimer du 10 juin. 5. Molière, t. I, p. 79 à
85.
CII
.JEAN-BAPTISTE POCQUELINDE MOLIERE, Le Prince des
des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an
1620.
mort le 17. Fevrier de l’année 1673. Il étoit f
miques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le
17.
Fevrier de l’année 1673. Il étoit fils & pe
celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année
1673.
Il étoit fils & petit-fils de Tapissiers Va
t il eut même la survivance dans un âge peu avancé, le laissa jusqu’à
quatorze
ans dans sa boutique, & se contenta de lui fa
lin étoit né avec de si heureuses dispositions pour les études, qu’en
cinq
années de tems il fit non seulement ses Humanitez
encore sa Philosophie. Ce fut au College qu’il fit connoissance avec
deux
hommes illustres, Chapelle & Bernier, qui avo
vec sa Troupe, qui eut bien de l’applaudissement en passant à Lyon en
1653.
où il donna au Public l’Etourdi, la premiere de s
n’en perdoit jamais l’occasion, dont il s’acquittoit très-bien. Après
quatre
ou cinq années de succès dans la Province, Molier
it jamais l’occasion, dont il s’acquittoit très-bien. Après quatre ou
cinq
années de succès dans la Province, Moliere quitta
Troupe, en fit ses Comédiens, & leur accorda une pension de sept
mille
livres. Le Roi donna aussi en 1663. une pension p
leur accorda une pension de sept mille livres. Le Roi donna aussi en
1663.
une pension particuliere de mille livres à Molier
mille livres. Le Roi donna aussi en 1663. une pension particuliere de
mille
livres à Moliere, qui en remercia Sa Majesté, par
, c’est que vos Pages ne sçavent pas lire, il prennent les O pour les
L.
On rapporte ce petit trait de plaisanterie de la
lique des Lettres, entr’autres, le Philosophe Rohaut, la Bruiere, les
deux
Corneilles, Despréaux, Chapelle, Bernier, Fourcro
rneilles, Despréaux, Chapelle, Bernier, Fourcroi. Outre la pension de
mille
livres que le Roi donnoit à Moliere, il lui faiso
-en-tems des gratifications : d’ailleurs Moliere jouissoit de plus de
vingt-cinq
mille livres de rente, ayant quatre parts à la Co
s gratifications : d’ailleurs Moliere jouissoit de plus de vingt-cinq
mille
livres de rente, ayant quatre parts à la Comédie,
Moliere jouissoit de plus de vingt-cinq mille livres de rente, ayant
quatre
parts à la Comédie, une comme Acteur, une pour sa
édie, une comme Acteur, une pour sa femme qui étoit Comédienne, &
deux
en qualité d’Auteur. Il faisoit un excellent usag
emperament très-délicat l’ait obligé de vivre de lait pendant plus de
dix
années, il restoit cependant quelquefois quatre &
de lait pendant plus de dix années, il restoit cependant quelquefois
quatre
& cinq heures à table avec les meilleurs conv
ant plus de dix années, il restoit cependant quelquefois quatre &
cinq
heures à table avec les meilleurs convives &
e. Voilà ce que dit Ménagea : J’étois à la premiere representation le
18.
Novembre 1659. des Précieuses ridicules de Molier
ue dit Ménagea : J’étois à la premiere representation le 18. Novembre
1659.
des Précieuses ridicules de Moliere au petit Bour
agnard, qui tout admire, N’ont pas lû tes Ecrits en vain ; Tous
deux
s’y sont instruits en ne pensant qu’à rire. E
lui ; c’est ce qu’on voit au Chant troisiéme de l’Art Poëtique, Vers
391.
& les suivans. Etudiez la Cour, et connois
eur.a On pourroit partager & distinguer les pieces de Moliere en
trois
classes ; la premiere seroit pour des genies supe
rimées differentes fois, & distribuées en plusieurs volumes ; les
deux
dernieres éditions de Paris, l’une en l’année 169
eurs volumes ; les deux dernieres éditions de Paris, l’une en l’année
1697.
& l’autre en 1718. par la Compagnie des Libra
dernieres éditions de Paris, l’une en l’année 1697. & l’autre en
1718.
par la Compagnie des Libraires, sont en 8 volumes
1697. & l’autre en 1718. par la Compagnie des Libraires, sont en
8
volumes in-12. elles contiennent les Pieces suiva
ci le catalogue selon l’ordre des tems qu’elles ont été representées.
I
. L’Etourdi, ou les Contre-temps, Comédie en Vers,
été representées. I. L’Etourdi, ou les Contre-temps, Comédie en Vers,
cinq
Actes, a été jouée la premiere fois à Lyon l’an 1
Comédie en Vers, cinq Actes, a été jouée la premiere fois à Lyon l’an
1653.
& à Paris en 1658. II. Le Dépit amoureux, Com
ctes, a été jouée la premiere fois à Lyon l’an 1653. & à Paris en
1658.
II. Le Dépit amoureux, Comédie en Vers, cinq Acte
a été jouée la premiere fois à Lyon l’an 1653. & à Paris en 1658.
II
. Le Dépit amoureux, Comédie en Vers, cinq Actes,
1653. & à Paris en 1658. II. Le Dépit amoureux, Comédie en Vers,
cinq
Actes, representée à Paris au mois de Decembre 16
Comédie en Vers, cinq Actes, representée à Paris au mois de Decembre
1658.
III. Les Précieuses ridicules, Comédie en Prose,
ie en Vers, cinq Actes, representée à Paris au mois de Decembre 1658.
III
. Les Précieuses ridicules, Comédie en Prose, un A
embre 1658. III. Les Précieuses ridicules, Comédie en Prose, un Acte,
1658.
IV. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, Comédie en
1658. III. Les Précieuses ridicules, Comédie en Prose, un Acte, 1658.
IV
. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, Comédie en Ve
658. IV. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, Comédie en Vers, un Acte,
1660.
V. Dom Garcie, ou le Prince jaloux, Comédie en Ve
V. Sganarelle, ou le Cocu imaginaire, Comédie en Vers, un Acte, 1660.
V.
Dom Garcie, ou le Prince jaloux, Comédie en Vers,
, un Acte, 1660. V. Dom Garcie, ou le Prince jaloux, Comédie en Vers,
cinq
Actes, 1661. VI. L’Ecole des Maris, Comédie en Ve
660. V. Dom Garcie, ou le Prince jaloux, Comédie en Vers, cinq Actes,
1661.
VI. L’Ecole des Maris, Comédie en Vers, trois Act
. Dom Garcie, ou le Prince jaloux, Comédie en Vers, cinq Actes, 1661.
VI
. L’Ecole des Maris, Comédie en Vers, trois Actes,
ie en Vers, cinq Actes, 1661. VI. L’Ecole des Maris, Comédie en Vers,
trois
Actes, 1661. VII. Le Fâcheux, Comédie en Vers, tr
inq Actes, 1661. VI. L’Ecole des Maris, Comédie en Vers, trois Actes,
1661.
VII. Le Fâcheux, Comédie en Vers, trois Actes, pr
tes, 1661. VI. L’Ecole des Maris, Comédie en Vers, trois Actes, 1661.
VII
. Le Fâcheux, Comédie en Vers, trois Actes, préced
Comédie en Vers, trois Actes, 1661. VII. Le Fâcheux, Comédie en Vers,
trois
Actes, précedez d’un Prologue à la gloire du Roi,
édie en Vers, trois Actes, précedez d’un Prologue à la gloire du Roi,
1661.
VIII. L’Ecole des Femmes, Comédie en Vers, cinq A
n Vers, trois Actes, précedez d’un Prologue à la gloire du Roi, 1661.
VIII
. L’Ecole des Femmes, Comédie en Vers, cinq Actes,
à la gloire du Roi, 1661. VIII. L’Ecole des Femmes, Comédie en Vers,
cinq
Actes, 1662. IX. La Critique de l’Ecole des Femme
du Roi, 1661. VIII. L’Ecole des Femmes, Comédie en Vers, cinq Actes,
1662.
IX. La Critique de l’Ecole des Femmes, Comédie en
i, 1661. VIII. L’Ecole des Femmes, Comédie en Vers, cinq Actes, 1662.
IX
. La Critique de l’Ecole des Femmes, Comédie en Pr
62. IX. La Critique de l’Ecole des Femmes, Comédie en Prose, un Acte,
1663.
X. L’Impromptu de Versailles, Comédie en Prose, u
. La Critique de l’Ecole des Femmes, Comédie en Prose, un Acte, 1663.
X.
L’Impromptu de Versailles, Comédie en Prose, un A
Acte, 1663. X. L’Impromptu de Versailles, Comédie en Prose, un Acte,
1663.
XI. La Princesse d’Elide, ou les Plaisirs de l’Is
1663. X. L’Impromptu de Versailles, Comédie en Prose, un Acte, 1663.
XI
. La Princesse d’Elide, ou les Plaisirs de l’Isle
ou les Plaisirs de l’Isle enchantée, Comédie en Prose & en Vers,
cinq
Actes avec un Prologue, Ballet & Musique, 166
ose & en Vers, cinq Actes avec un Prologue, Ballet & Musique,
1664.
XII. Le Mariage forcé, Comédie en Prose, un Acte,
mp; en Vers, cinq Actes avec un Prologue, Ballet & Musique, 1664.
XII
. Le Mariage forcé, Comédie en Prose, un Acte, 166
amp; Musique, 1664. XII. Le Mariage forcé, Comédie en Prose, un Acte,
1664.
XIII. L’Amour Medecin, Comédie en Prose, trois Ac
usique, 1664. XII. Le Mariage forcé, Comédie en Prose, un Acte, 1664.
XIII
. L’Amour Medecin, Comédie en Prose, trois Actes a
die en Prose, un Acte, 1664. XIII. L’Amour Medecin, Comédie en Prose,
trois
Actes avec un petit Prologue en Vers, 1665. XIV.
edecin, Comédie en Prose, trois Actes avec un petit Prologue en Vers,
1665.
XIV. Dom Juan, ou le Festin de Pierre, Comédie en
, Comédie en Prose, trois Actes avec un petit Prologue en Vers, 1665.
XIV
. Dom Juan, ou le Festin de Pierre, Comédie en Pro
Vers, 1665. XIV. Dom Juan, ou le Festin de Pierre, Comédie en Prose,
cinq
Actes, 1665. XV. Le Misantrope, Comédie en Vers,
XIV. Dom Juan, ou le Festin de Pierre, Comédie en Prose, cinq Actes,
1665.
XV. Le Misantrope, Comédie en Vers, cinq Actes, 1
Dom Juan, ou le Festin de Pierre, Comédie en Prose, cinq Actes, 1665.
XV
. Le Misantrope, Comédie en Vers, cinq Actes, 1666
médie en Prose, cinq Actes, 1665. XV. Le Misantrope, Comédie en Vers,
cinq
Actes, 1666. XVI. Melicerte, Pastorale heroïque e
se, cinq Actes, 1665. XV. Le Misantrope, Comédie en Vers, cinq Actes,
1666.
XVI. Melicerte, Pastorale heroïque en Vers, deux
nq Actes, 1665. XV. Le Misantrope, Comédie en Vers, cinq Actes, 1666.
XVI
. Melicerte, Pastorale heroïque en Vers, deux Acte
n Vers, cinq Actes, 1666. XVI. Melicerte, Pastorale heroïque en Vers,
deux
Actes, 1666. XVII. Le Medecin malgré lui, Comédie
Actes, 1666. XVI. Melicerte, Pastorale heroïque en Vers, deux Actes,
1666.
XVII. Le Medecin malgré lui, Comédie en Prose, 16
, 1666. XVI. Melicerte, Pastorale heroïque en Vers, deux Actes, 1666.
XVII
. Le Medecin malgré lui, Comédie en Prose, 1666. X
ers, deux Actes, 1666. XVII. Le Medecin malgré lui, Comédie en Prose,
1666.
XVIII. Le Sicilien, ou l’Amour Peintre, Comédie e
eux Actes, 1666. XVII. Le Medecin malgré lui, Comédie en Prose, 1666.
XVIII
. Le Sicilien, ou l’Amour Peintre, Comédie en Pros
n, ou l’Amour Peintre, Comédie en Prose, un Acte avec des intermedes,
1667.
XIX. Le Tartuffe, ou l’Imposteur,a Comédie en Ver
l’Amour Peintre, Comédie en Prose, un Acte avec des intermedes, 1667.
XIX
. Le Tartuffe, ou l’Imposteur,a Comédie en Vers, c
intermedes, 1667. XIX. Le Tartuffe, ou l’Imposteur,a Comédie en Vers,
cinq
Actes, 1667. XX. Amphitrion, Comédie en Vers, tro
1667. XIX. Le Tartuffe, ou l’Imposteur,a Comédie en Vers, cinq Actes,
1667.
XX. Amphitrion, Comédie en Vers, trois Actes avec
XIX. Le Tartuffe, ou l’Imposteur,a Comédie en Vers, cinq Actes, 1667.
XX
. Amphitrion, Comédie en Vers, trois Actes avec un
a Comédie en Vers, cinq Actes, 1667. XX. Amphitrion, Comédie en Vers,
trois
Actes avec un Prologue, 1668. XXI. L’Avare, Coméd
1667. XX. Amphitrion, Comédie en Vers, trois Actes avec un Prologue,
1668.
XXI. L’Avare, Comédie en Prose, cinq Actes, 1668.
XX. Amphitrion, Comédie en Vers, trois Actes avec un Prologue, 1668.
XXI
. L’Avare, Comédie en Prose, cinq Actes, 1668. XXI
, trois Actes avec un Prologue, 1668. XXI. L’Avare, Comédie en Prose,
cinq
Actes, 1668. XXII. George Dandin, Comédie en Pros
s avec un Prologue, 1668. XXI. L’Avare, Comédie en Prose, cinq Actes,
1668.
XXII. George Dandin, Comédie en Prose, un Acte, 1
un Prologue, 1668. XXI. L’Avare, Comédie en Prose, cinq Actes, 1668.
XXII
. George Dandin, Comédie en Prose, un Acte, 1668.
se, cinq Actes, 1668. XXII. George Dandin, Comédie en Prose, un Acte,
1668.
XXIII. Monsieur de Pourseaugnac, Comédie, Ballet
nq Actes, 1668. XXII. George Dandin, Comédie en Prose, un Acte, 1668.
XXIII
. Monsieur de Pourseaugnac, Comédie, Ballet avec M
1668. XXIII. Monsieur de Pourseaugnac, Comédie, Ballet avec Musique,
trois
Actes en Prose, 1669. XXIV. Le Bourgeois Gentilho
de Pourseaugnac, Comédie, Ballet avec Musique, trois Actes en Prose,
1669.
XXIV. Le Bourgeois Gentilhomme, Comédie en Prose
urseaugnac, Comédie, Ballet avec Musique, trois Actes en Prose, 1669.
XXIV
. Le Bourgeois Gentilhomme, Comédie en Prose avec
omme, Comédie en Prose avec des Intermédes de Musique & de Danse,
cinq
Actes, 1670. XXV. Les Amans magnifiques, Comédie
e en Prose avec des Intermédes de Musique & de Danse, cinq Actes,
1670.
XXV. Les Amans magnifiques, Comédie en Prose avec
rose avec des Intermédes de Musique & de Danse, cinq Actes, 1670.
XXV
. Les Amans magnifiques, Comédie en Prose avec Mus
XV. Les Amans magnifiques, Comédie en Prose avec Musique & Danse,
cinq
Actes, 1670. XXVI. Les Fourberies de Scapin, Comé
s magnifiques, Comédie en Prose avec Musique & Danse, cinq Actes,
1670.
XXVI. Les Fourberies de Scapin, Comédie en Prose,
ifiques, Comédie en Prose avec Musique & Danse, cinq Actes, 1670.
XXVI
. Les Fourberies de Scapin, Comédie en Prose, troi
, cinq Actes, 1670. XXVI. Les Fourberies de Scapin, Comédie en Prose,
trois
Actes, 1671. XXVII. Psiché, Tragédie, Ballet en V
1670. XXVI. Les Fourberies de Scapin, Comédie en Prose, trois Actes,
1671.
XXVII. Psiché, Tragédie, Ballet en Vers, un Prolo
XXVI. Les Fourberies de Scapin, Comédie en Prose, trois Actes, 1671.
XXVII
. Psiché, Tragédie, Ballet en Vers, un Prologue &a
tes, 1671. XXVII. Psiché, Tragédie, Ballet en Vers, un Prologue &
cinq
Actes, 1672. Pierre Corneille & Quinault ont
XVII. Psiché, Tragédie, Ballet en Vers, un Prologue & cinq Actes,
1672.
Pierre Corneille & Quinault ont travaillé à u
Acte, la premiere Scene du second & le troisiéme sont de Moliere.
XXVIII
. Les femmes sçavantes, Comédie en Vers, cinq Acte
siéme sont de Moliere. XXVIII. Les femmes sçavantes, Comédie en Vers,
cinq
Actes, 1672. XXIX. La Comtesse d’Escarbagnas, Com
e Moliere. XXVIII. Les femmes sçavantes, Comédie en Vers, cinq Actes,
1672.
XXIX. La Comtesse d’Escarbagnas, Comédie en Prose
ere. XXVIII. Les femmes sçavantes, Comédie en Vers, cinq Actes, 1672.
XXIX
. La Comtesse d’Escarbagnas, Comédie en Prose, un
es, 1672. XXIX. La Comtesse d’Escarbagnas, Comédie en Prose, un Acte,
1672.
XXX. Le Malade imaginaire, Comédie en Prose, troi
72. XXIX. La Comtesse d’Escarbagnas, Comédie en Prose, un Acte, 1672.
XXX
. Le Malade imaginaire, Comédie en Prose, trois Ac
en Prose, un Acte, 1672. XXX. Le Malade imaginaire, Comédie en Prose,
trois
Actes avec des Intermedes de Musique & de Dan
petit Prologue en Vers, accompagnée aussi de Musique & de Danse,
1673.
Cette Piece fut le tombeau de son Auteur, qui mou
de Danse, 1673. Cette Piece fut le tombeau de son Auteur, qui mourut
cinq
ou six heures après qu’il y eut joué le rôle du M
e, 1673. Cette Piece fut le tombeau de son Auteur, qui mourut cinq ou
six
heures après qu’il y eut joué le rôle du Malade i
verses Langues ; en Italien, par Nicolo Castelli, imprimées à Leipsic
1692.
en Anglois & en Allemand, par des Auteurs de
Connoisseurs en Poësie & en Peinture : ce Poëme contient plus de
trois
cens cinquante Vers ; il le fit pour remercier Mi
rs en Poësie & en Peinture : ce Poëme contient plus de trois cens
cinquante
Vers ; il le fit pour remercier Mignard, qui avoi
i Louis XIV. quelques petites farces pour amuser ce Prince, comme les
trois
Docteurs rivaux, & le Maître d’école. Il lais
alle de la Comédie, avant que de s’aller habiller. Ce fut le Vendredi
17.
Février 1673. qu’il termina ses jours, étant dans
omédie, avant que de s’aller habiller. Ce fut le Vendredi 17. Février
1673.
qu’il termina ses jours, étant dans la cinquante-
e sujet, ordonna que le corps de Moliere seroit conduit seulement par
deux
Prêtres qui ne chanteroient point : cependant son
& d’autres personnes zélées pour sa gloire, au nombre de plus de
cent
, y assisterent ayant chacun un flambeau à la main
es & des Epitaphes à la memoire de Moliere ; j’en rapporterai ici
deux
ou trois, dont la premiere est de l’Illustre M. H
des Epitaphes à la memoire de Moliere ; j’en rapporterai ici deux ou
trois
, dont la premiere est de l’Illustre M. Huet, depu
par une action très-belle & très-remarquable de cette Demoiselle.
Deux
ou trois ans après la mort de son mari il y eut u
action très-belle & très-remarquable de cette Demoiselle. Deux ou
trois
ans après la mort de son mari il y eut un hiver t
la mort de son mari il y eut un hiver très-froid ; elle fit voiturer
cent
voyes de bois dans ledit Cimetiere, & les fit
pauvres du quartier : la grande chaleur du feu ouvrit cette pierre en
deux
. Voilà ce que j’ai appris, il y a environ vingt a
ouvrit cette pierre en deux. Voilà ce que j’ai appris, il y a environ
vingt
ans, d’un ancien Chapelain de saint Joseph, qui m
a apparence qu’on en parla à Moliere, mais cela n’eut point de suite.
V.
Grimarest, Vie de Moliere. La Bruiere, Caracteres
naire. Bayle, Dictionaire Critique. Brice, Description de Paris, tome
1.
page 459. & les suivantes. Baillet, Jugemens
ayle, Dictionaire Critique. Brice, Description de Paris, tome 1. page
459.
& les suivantes. Baillet, Jugemens des Sçavan
uivantes. Baillet, Jugemens des Sçavans sur les Poëtes modernes, tome
5.
n°. 1520. Ce dernier Ecrivain en qualité de Prêtr
s. Baillet, Jugemens des Sçavans sur les Poëtes modernes, tome 5. n°.
1520.
Ce dernier Ecrivain en qualité de Prêtre & d’
u trop contre cet Auteur & contre la Comédie. A la fin de l’année
1731.
on a commencé à Paris une magnifique édition des
on a commencé à Paris une magnifique édition des œuvres de Moliere en
6
volumes in-4°. ornée de très-belles Estampes &
ès-belles Estampes & de plusieurs Vignettes. a. Menagiana, tome
2.
page 65. a. Oeuvres de Despréaux, édition de Gen
s Estampes & de plusieurs Vignettes. a. Menagiana, tome 2. page
65.
a. Oeuvres de Despréaux, édition de Geneve, page
a, tome 2. page 65. a. Oeuvres de Despréaux, édition de Geneve, page
433.
a. Remarques sur le Vers 394. du troisiéme Chant
de Despréaux, édition de Geneve, page 433. a. Remarques sur le Vers
394.
du troisiéme Chant de l’Art Poëtique. a. Les tro
arques sur le Vers 394. du troisiéme Chant de l’Art Poëtique. a. Les
trois
premiers Actes de la Comédie du Tartuffe avoient
du Tartuffe avoient été representez à Versailles, dès le mois de Mai
1664.
mais elle ne parut en cinq Actes, qu’en 1667. a.
resentez à Versailles, dès le mois de Mai 1664. mais elle ne parut en
cinq
Actes, qu’en 1667. a. On peut voir la note sur l
les, dès le mois de Mai 1664. mais elle ne parut en cinq Actes, qu’en
1667.
a. On peut voir la note sur le premier Vers de l
I
. Les tribulations et les luttes finales de la com
les luttes finales de la compagnie du très-saint-sacrement de Paris.
1
Depuis 1627, date de sa naissance, plusieurs
nales de la compagnie du très-saint-sacrement de Paris. 1 Depuis
1627,
date de sa naissance, plusieurs fois, la Compagni
n danger d’être découverte; jamais plus qu’au commencement de l’année
1658.
Sans parler de ses œuvres qui se multipliaient, d
la police, riche en espions, de Mazarin. Rien d’étonnant donc que le
28
mars 1658, il ait été résolu en la Compagnie de P
ce, riche en espions, de Mazarin. Rien d’étonnant donc que le 28 mars
1658,
il ait été résolu en la Compagnie de Paris que, p
e Sainte-Magdelaine sans information, ni condamnation. » Par arrêt du
12
juillet 1658, le Parlement de Guyenne interdit à
gdelaine sans information, ni condamnation. » Par arrêt du 12 juillet
1658,
le Parlement de Guyenne interdit à la supérieure
ncore n’était perdu, lorsque parurent, dans le courant de cette année
1660,
à Caen, deux libelles qui portaient brusquement l
perdu, lorsque parurent, dans le courant de cette année 1660, à Caen,
deux
libelles qui portaient brusquement la question de
la ville de Caen, appellee l’Hermitage, et un Extrait d’une lettre du
25
mai 4060, contenant la relation des extravagances
e de Caen, appellee l’Hermitage, et un Extrait d’une lettre du 25 mai
4060,
contenant la relation des extravagances que quelq
ndie était depuis quelques mois fort scandalisée. Un jour de février,
cinq
jeunes hommes, élevés à la maison dite de l’Ermit
e et le pourpoint déboutonné, »proclamant que les curés de Caen, sauf
deux
, étaient fauteurs du Jansénisme, et ameutant cont
t se roulaient dans les bourbiers; — un prêtre, à la tête du cortège,
deux
pierres à la main, dont il faisait feu continuell
ntait avec ensemble, et avec une précision pressante et efficace5. En
1659,
les principaux magistrats de Paris recevaient la
. En 1659, les principaux magistrats de Paris recevaient la visite de
deux
particuliers (deux membres de la Compagnie) qui f
cipaux magistrats de Paris recevaient la visite de deux particuliers (
deux
membres de la Compagnie) qui faisaient une tourné
Italie et dont raffolaient alors toutes les classes de la société. En
1660,
le Palais voyait, et d’un fort mauvais œil sans d
it « d’empêcher que les comédiens ne jouassent pendant le jubilé; »en
1662,
elle projetait « de mettre un terme au libertinag
ger par le sang les insultes, comme s’étaient engagés à le faire, dès
1646-1647,
sous les auspices de M. Olier, les Renty, les Lia
si à des malheureux » même coupables7. En outre, au milieu de l’année
1657,
« la Compagnie résolut, dit Voyer d’Argenson, de
rgenson est obligé de consigner dans son histoire, vers cette date de
1660
: « L’esprit du monde ne pouvait souffrir la Comp
es militantes. Ninon de Lenclos enfermée, ne fût-ce qu’un instant, en
1057,
aux Madelonnettes, parce qu’elle « dogmatisait su
année pour quelques vers hardis : — le prince de Conti entreprenant (
1656-1657
) contre le théâtre une campagne de proscription r
issait avoir pour les Jésuites; elle se scandalisait de voir (octobre
1660
), brûlées par la main du bourreau, ces Provincial
ns tarder, son effet. Guy Patin vient de le lire sans doute, quand le
6
août 1660, il écrit, tout ému, à Falconet : « Par
er, son effet. Guy Patin vient de le lire sans doute, quand le 6 août
1660,
il écrit, tout ému, à Falconet : « Paris est plei
manteau qui met bien des fourbes à couvert. »Quelques semaines après (
28
septembre), il annonce à son ami la découverte de
’appel que le réquisitoire de Caen leur adressait. Plusieurs évêques (
trois
au moins, dont l’archevêque de Rouen, François de
r, sur le bord de la tombe, encore un complot à dissiper? A l’automne
1660,
il était décidé à « surprendre, »d’un coup de fil
plusieurs femmes et filles détenues sans aucun ordre de justice. » Le
13
décembre 1660, un arrêt de la Cour13 « fit inhibi
mmes et filles détenues sans aucun ordre de justice. » Le 13 décembre
1660,
un arrêt de la Cour13 « fit inhibitions et défens
oignon, elle ne fut pas acculée à une dissolution immédiate. Elle eut
cinq
années de répit, et qu’elle mit merveilleusement
ut cinq années de répit, et qu’elle mit merveilleusement à profit. De
1661
à 1666, dans la gène où elle est réduite, « son e
années de répit, et qu’elle mit merveilleusement à profit. De 1661 à
1666,
dans la gène où elle est réduite, « son esprit se
es Compagnies de commerce; on fit brûler un visionnaire, Simon Morin (
14
mars 1663); on contribua grandement, en 1661, à l
gnies de commerce; on fit brûler un visionnaire, Simon Morin (14 mars
1663
); on contribua grandement, en 1661, à la suppress
visionnaire, Simon Morin (14 mars 1663); on contribua grandement, en
1661,
à la suppression de « la méchante comédie de Tart
ra tout à l’heure, de s’estimer pris à partie; on travailla encore en
1660
à « procurer » contre les blasphémateurs « une fo
agnie furent toujours « pleines d’affaires. » Toutefois, à partir de
1661,
les assemblées plénières, jusque-là hebdomadaires
ie dans la pureté de son esprit. » Il est vrai aussi qu’on essaya, en
1660,
de remplacer les assemblées plénières par des ass
, — de la Compagnie. » D’Argenson a bien raison de dire qu’en fait le
26
décembre 1660 fut « le jour de la grande décadenc
mpagnie. » D’Argenson a bien raison de dire qu’en fait le 26 décembre
1660
fut « le jour de la grande décadence de la Compag
de cette année quelle « finit, » bien que ce n’ait été qu’à la fin de
1660
ou au commencement de 1660 que les « officiers »c
it, » bien que ce n’ait été qu’à la fin de 1660 ou au commencement de
1660
que les « officiers »cessèrent tout à fait de s’a
u’il n’est pas indifférent, pour l’histoire générale, d’éclaircir.
II
. Les « libertins » de lettres et la compagnie du
nt j’ai parlé plus haut, du monde bourgeois et courtisan. Les quelque
dix
années qui suivent l’affaire de L’Ermitage de Cae
tive de la libre pensée contre le courant religieux général. C’est de
1662
à 1605 que Bossuet, nota leur si exact en ses ser
la libre pensée contre le courant religieux général. C’est de 1662 à
1605
que Bossuet, nota leur si exact en ses sermons de
es aveux graves : prêchant an Louvre, le deuxième dimanche de l’Avent
1665,
il confesse qu’à l’heure où il parle, les liberti
ns les « compagnies,» — entendez: dans les salons, — « ils triomphent
15.
» C’est qu’alors rien ne s’oppose à ce qu’ils esp
nement. La Reine mère a beau continuer, jusqu’à sa mort, — arrivée en
1660,
— de témoigner aux croyans pieux une faveur que,
à son fils, sa préférence ne l’emporte pas contre l’indifférence des
trois
ministres qui se partaient alors la confiance du
iance du jeune roi. Colbert, Le Tellier, Hugues de Lyonne16 sont tous
trois
fort peu dévots (le jésuite Rapin, qui les connaî
ympathies si hautes, il est bien probable qu’après que le scandale de
1600
eut dévoilé l’importance et le mystère du Saint-S
vanche, ce « déchaînement »est historiquement très saisissable. Entre
1663
et 1670, une véritable campagne de plume se mène
ce « déchaînement »est historiquement très saisissable. Entre 1663 et
1670,
une véritable campagne de plume se mène contre le
s « libertins »), où, parlant au Roi même, il dénonce assez vertement
17
« des faux zélés la trompeuse [p.905] grimace. »D
nt 17 « des faux zélés la trompeuse [p.905] grimace. »De ce mouvement
deux
documens subsistent, que nous ne saurions souhait
ue nous ne saurions souhaiter plus illustres : Tartufe et Don Juan, —
deux
pièces dont aujourd’hui, après tant d’exégèses ér
s, le lien logique et la filiation apparaissent indiscutablement18; —
deux
pièces île combat, deux pièces « de colère 19, »
filiation apparaissent indiscutablement18; — deux pièces île combat,
deux
pièces « de colère 19, » amères d’une amertume qu
indiscutablement18; — deux pièces île combat, deux pièces « de colère
19,
» amères d’une amertume qui « ne se contient pas,
, » amères d’une amertume qui « ne se contient pas, » « faites toutes
deux
pour exciter l’indignation et même la haine »cont
que Molière fût bien enragé contre les faux dévots, » — écrivait, en
1886,
M. Lemaître, — pour imposer à son Don Juan cette
r avatar du grand séducteur, c’est, comme l’avait aperçu Paul Mesnard
21,
« le moyen que trouve Molière pour accommoder le
igoterie peut masquer l’incrédulité tout autant que l’immoralité. Les
deux
pièces se faisaient suite. Le bloc agressif qu’el
et de l’empire qu’ils prétendaient exercer sur les « honnêtes gens. »
22
. Mais était-ce à ceux des « zélés » que gro
e Nesles, dans la vieille salle du Jeu de Paume des Mestayers, que la
dizaine
d’« enfans de famille » dont il était le chef s’i
a dizaine d’« enfans de famille » dont il était le chef s’installa en
1644.
Or, dès la fin de l’année, la jeune troupe résili
de l’année, la jeune troupe résilie son bail et « déménage au galop »
23
pour aller tenter fortune sur l’autre rive de la
uittait définitivement Paris et s’en allait courir les provinces pour
treize
ans. S’il y resta si longtemps, c’est, — selon le
Molière put croire, quelques années après, avoir trouvé un défenseur.
II
était devenu l’ami, le confident, il fut, dit-on,
rbon, prince de Conti, frère de Condé et de Mme de Longueville, et de
1653
à 1656, « l’Illustre Théâtre, »parcourant le midi
rince de Conti, frère de Condé et de Mme de Longueville, et de 1653 à
1656,
« l’Illustre Théâtre, »parcourant le midi de la F
France, jouit de cette protection. Mais voici que tout d’un coup, en
1657,
cette amitié s’écroule, ce patronage disparaît. L
de la volte-face de son protecteur. Et il était de retour à Paris en
1660,
lorsque dans la Compagnie du Saint-Sacrement un r
la vie intime et l’ambition de la Compagnie. Sganarelle est joué en
1660,
l’École des Maris et l’École des Femmes en 1662,
anarelle est joué en 1660, l’École des Maris et l’École des Femmes en
1662,
et tout porte à croire que les esprits religieux
osée des « préceptes du mariage» de saint Grégoire de Nazianze27. En
1662,
Molière commence d’être attaqué par des écrits pu
ère commence d’être attaqué par des écrits publics : une polémique de
deux
ans suivit l’École des Femmes. Mais cette polémiq
laquelle, dès ses premiers pas, il avait failli succomber. Enfin, en
1664
et 1665, il se venge. Il fait coup sur coup ces d
e, dès ses premiers pas, il avait failli succomber. Enfin, en 1664 et
1665,
il se venge. Il fait coup sur coup ces deux pièce
omber. Enfin, en 1664 et 1665, il se venge. Il fait coup sur coup ces
deux
pièces, « où, dit M. Faguet, la satire, contenue
Et justement, il y eut, en ce temps-là, un « dévot »dont le public de
1664
ne mit pas, que je sache, le nom sous celui de Ta
ue les historiens du XIXe siècle, lorsqu’ils le rencontrèrent, il y a
soixante
ans, dans la chronique de Tallemant des Réaux, on
Sacrement ? Nous l’ignorons; ce fripon, qui publiait, nous dit-on, en
165937,
un livre édifiant intitulé L’Intérieur chrétien 3
us dit-on, en 165937, un livre édifiant intitulé L’Intérieur chrétien
38,
a bien pu s’insinuer par fraude dans la troupe de
qui a laissé une bonne odeur de vie par ses bons exemples. » La date (
1612
) empêche que ce Patrocle ait été autre chose (jus
et pas eux seuls41. Il serait excessif et inexact d’affirmer que les
deux
grandes pièces « anticléricales » de Molière ne s
, fut loin d’obtenir un entier succès. Don Juan cessa d’être joué dès
1665
après un petit nombre de représentations et jusqu
re joué dès 1665 après un petit nombre de représentations et jusqu’en
1669,
on le sait, Tartufe resta interdit. Il y avait dé
et jusqu’en 1669, on le sait, Tartufe resta interdit. Il y avait déjà
trois
ans alors que la Compagnie du Saint-Sacrement de
rement de Paris avait disparu. Donc, dans la campagne qui aboutit, en
1666,
à sa disparition, l’effort des « libertins de let
ables furent à la Compagnie les coups de ses adversaires d’Église.
III
. La compagnie du Saint-Sacrement et le jansénisme
lle ici sans y insister. Renseignés enfin par les divers scandales de
1658-1660,
sur la nature d’une concurrence secrète et univer
oncurrence secrète et universelle dont ils pouvaient ressentir depuis
1630
les sourdes atteintes, et auprès de laquelle la c
ue, de l’aveu de Voyer d’Argenson, « la dernière persécution qui,» en
1665,
« donna le coup de la mort à la Compagnie, fut ex
s de l’existence et des menées du Saint-Sacrement, avait pour autours
deux
jansénistes, dont l’un n’est rien moins que Pierr
sénisme témoigna, efficacement, à la Compagnie du Saint-Sacrement, en
1000,
à une époque où il avait le vent en poupe, où les
Sacrement, en 1000, à une époque où il avait le vent en poupe, où les
trois
ministres Colbert, Lyonne et Le Tellier le favori
longtemps, depuis leur origine, à peu près contemporaine, à tous les
deux
. De cette lutte, les preuves s’entr’aperçoivent,
e qui animait, l’un contre l’autre, d’une animosité destructrice, ces
deux
groupes catholiques. Et d’abord, faut-il croire q
enfans, dotaient les jeunes filles. Celle que dirigeait à Paris, vers
1640-1650,
le P. Bagot, du collège de Clermont, et qui avait
s effrayer, vers cette époque, en province, les autorités locales: en
1631,
en Normandie, le Parlement essayait de l’enrayer.
le P. Suffren, avait, on s’en souvient, présidé. Mais à cette date, —
1627-1631,
— la Société d’Ignace de Loyola, attaquée à la fo
le Père Joseph, capucin, que le fondateur de l’Oratoire, Bérulle. Des
trois
religieux qui répondirent à l’appel du duc de Ven
ur collège de Sainte-Marie. »De même à Dijon, à Grenoble46. Quand, en
1657,
il fut question de fonder à Borne une Compagnie d
ent, le conseiller d’État de Voyer de Paulmy d’Argenson. Et lorsqu’en
1696,
d’Argenson engage l’archevêque de Paris à ressusc
ement, d’amis des Jésuites, n’allait pas jusqu’à s’inféoder à eux. En
1657,
lorsque Du Plessis-Montbard conseille de recruter
attachés aux opinions jansénistes : tels, Hubert Charpentier, mort en
1650,
fondateur de la maison des Prêtres du Mont-Valéri
Père Eustache Gault. De ceux-là, il y en eut qui survécurent jusqu’en
1684
et même au-delà : par exemple Mgr Alain de Solmin
ar exemple Mgr Alain de Solminihac, évêque de Cahors, qui, mourant en
1695,
dénonça la Compagnie de Jésus « comme un danger d
Jésus « comme un danger de l’Église. » Nicolas Pavillon, — l’un des «
quatre
évêques » et qui, dès 1664, était considéré comme
Église. » Nicolas Pavillon, — l’un des « quatre évêques » et qui, dès
1664,
était considéré comme tout à fait janséniste, — e
considéré comme tout à fait janséniste, — et l’abbé de Ciron, mort en
1678
ou en 1680, fondateur avec Mmede Mondonville de c
omme tout à fait janséniste, — et l’abbé de Ciron, mort en 1678 ou en
1680,
fondateur avec Mmede Mondonville de ce célèbre In
tut des Filles de l’Enfance, le Port-Royal toulousain, — étaient tous
deux
probablement de la Compagnie. Jean du Ferrier, vi
du Ferrier, vicaire général de Rodez, de Narbonne et d’Albi, mort en
1685,
l’auteur de Mémoires précieux sur le Jansénisme,
oute, il paraît certain, comme l’a remarqué M. Allier, qu’à partir de
1656,
M. de Liancourt, le noble ami d’Arnauld et de Pas
mes du monde qui allaient dans Paris prônant les Provinciales. Or, en
1660-1661,
si le directeur de la Compagnie du Saint-Sacremen
que, de gré ou de force, la Compagnie du Saint-Sacrement, même après
1653,
ne s’épura pas complètement de ceux de ses membre
nisme, mauvais rapports antérieurs, du reste, à la grande bataille de
1650-1661
entre les Jésuites et les Jansénistes et aux déci
661 entre les Jésuites et les Jansénistes et aux décisions d’Innocent
X
(1653) contre les disciples de Saint-Cyran. Dès 1
entre les Jésuites et les Jansénistes et aux décisions d’Innocent X (
1653
) contre les disciples de Saint-Cyran. Dès 1619, r
écisions d’Innocent X (1653) contre les disciples de Saint-Cyran. Dès
1619,
rapporte d’Argenson, un des membres de la Compagn
seiller ordinaire du Roy en son Conseil d’Etat, » écrivant en l’année
1640,
« pendant sa prison au château de Milan, » un édi
moins pour l’expansion et la propagande que pour l’oraison solitaire.
Cinquante
ans plus tard, en 1701, l’auteur de la Science du
propagande que pour l’oraison solitaire. Cinquante ans plus tard, en
1701,
l’auteur de la Science du Salut, un intéressant m
rammes de ce genre, la Compagnie du Saint-Sacrement pouvait bien, dès
1612,
voir sa condamnation. Au fond, il y avait, entre
ment mit aussi contre elle les « politiques. » Alfred Rebelliau.
1.
Voyez la Revue des 1er juillet, 1er août, 1" sept
elle les « politiques. » Alfred Rebelliau. 1. Voyez la Revue des
1er
juillet, 1er août, 1" septembre 1903 et du 15 aoû
litiques. » Alfred Rebelliau. 1. Voyez la Revue des 1er juillet,
1er
août, 1" septembre 1903 et du 15 août 1908, et le
» Alfred Rebelliau. 1. Voyez la Revue des 1er juillet, 1er août,
1
" septembre 1903 et du 15 août 1908, et les Annale
elliau. 1. Voyez la Revue des 1er juillet, 1er août, 1" septembre
1903
et du 15 août 1908, et les Annales de la Compagni
1. Voyez la Revue des 1er juillet, 1er août, 1" septembre 1903 et du
15
août 1908, et les Annales de la Compagnie du Sain
z la Revue des 1er juillet, 1er août, 1" septembre 1903 et du 15 août
1908,
et les Annales de la Compagnie du Saint-Sacrement
nson. publiées par le R. P. dom Beauchet-Filleau, Paris et Marseille,
1900,
— où sont pris la plupart des faits qui suivent.
et Marseille, 1900, — où sont pris la plupart des faits qui suivent.
2.
Cf. Arch. de la Gironde, série C, 3784, et Allier
la plupart des faits qui suivent. 2. Cf. Arch. de la Gironde, série
C
, 3784, et Allier, La Cabale des Dévots, p. 347 et
plupart des faits qui suivent. 2. Cf. Arch. de la Gironde, série C,
3784,
et Allier, La Cabale des Dévots, p. 347 et suivan
série C, 3784, et Allier, La Cabale des Dévots, p. 347 et suivantes.
3.
G. de Renty, l’un des membres les plus éminens de
’opposer aux incursions des Hiroquois au Canada. » Voyez une pièce de
1644,
analysée par le P. Chérot (Études, 5 mai 1900).
Canada. » Voyez une pièce de 1644, analysée par le P. Chérot (Études,
5
mai 1900). 4. Ces factums sont faciles à trouver
. » Voyez une pièce de 1644, analysée par le P. Chérot (Études, 5 mai
1900
). 4. Ces factums sont faciles à trouver dans les
z une pièce de 1644, analysée par le P. Chérot (Études, 5 mai 1900).
4.
Ces factums sont faciles à trouver dans les bibli
èques. Ils sont aussi réimprimés partiellement dans un vieux livre de
1754
que me signale l’obligeante érudition de M. Gazie
rsécutions, ou Vie de la mère Marie des Anges [Suireau], p. 585-618.
5.
Dom Beauchet-Fillau, p. 192, 109, 200, 202, 239.
rie des Anges [Suireau], p. 585-618. 5. Dom Beauchet-Fillau, p. 192,
109,
200, 202, 239. Cf. Allier, La Compagnie du Très-S
es Anges [Suireau], p. 585-618. 5. Dom Beauchet-Fillau, p. 192, 109,
200,
202, 239. Cf. Allier, La Compagnie du Très-Saint-
ges [Suireau], p. 585-618. 5. Dom Beauchet-Fillau, p. 192, 109, 200,
202,
239. Cf. Allier, La Compagnie du Très-Saint-Sacre
Suireau], p. 585-618. 5. Dom Beauchet-Fillau, p. 192, 109, 200, 202,
239.
Cf. Allier, La Compagnie du Très-Saint-Sacrement
a Compagnie du Très-Saint-Sacrement de l’autel à Marseille. Champion,
1909,
p. 65, 120-121. 6. Observations de Rochemont su
u Très-Saint-Sacrement de l’autel à Marseille. Champion, 1909, p. 65,
120-121.
6. Observations de Rochemont sur le Don Juan de
nt-Sacrement de l’autel à Marseille. Champion, 1909, p. 65, 120-121.
6.
Observations de Rochemont sur le Don Juan de Mol
ont sur le Don Juan de Molière (Molière, éd. des Grands Ecrivains, t.
IV
, p. 231). 7. Mllede Montpensier, Mémoires, éd. C
Juan de Molière (Molière, éd. des Grands Ecrivains, t. IV, p. 231).
7.
Mllede Montpensier, Mémoires, éd. Chéruel, 11!, 3
vains, t. IV, p. 231). 7. Mllede Montpensier, Mémoires, éd. Chéruel,
11
!, 36-37 et Allier, la Cabale des Dévots, p. 329-3
, t. IV, p. 231). 7. Mllede Montpensier, Mémoires, éd. Chéruel, 11!,
36-37
et Allier, la Cabale des Dévots, p. 329-330. 8.
éd. Chéruel, 11!, 36-37 et Allier, la Cabale des Dévots, p. 329-330.
8.
Cf. la Revue. 1908, 1" août, p. 852. 9. E. Fague
36-37 et Allier, la Cabale des Dévots, p. 329-330. 8. Cf. la Revue.
1908,
1" août, p. 852. 9. E. Faguet, l’Anticléricalism
et Allier, la Cabale des Dévots, p. 329-330. 8. Cf. la Revue. 1908,
1
" août, p. 852. 9. E. Faguet, l’Anticléricalisme.
ale des Dévots, p. 329-330. 8. Cf. la Revue. 1908, 1" août, p. 852.
9.
E. Faguet, l’Anticléricalisme. Paris, 1906. — Cf.
vue. 1908, 1" août, p. 852. 9. E. Faguet, l’Anticléricalisme. Paris,
1906.
— Cf. pour les détails qui suivent, Études sur la
ite des Libertins, dans les Œuvres posthumes de René Grousset. Paris,
1906
; l’index du livre de Victor Giraud sur Pascal, Pa
et. Paris, 1906; l’index du livre de Victor Giraud sur Pascal, Paris,
1905,
au mot Libertins; Perrens, 1rs Libertins en Franc
de Victor Giraud sur Pascal, Paris, 1905, au mot Libertins; Perrens,
1rs
Libertins en France, 1896; Jules Lair, Mllede La
cal, Paris, 1905, au mot Libertins; Perrens, 1rs Libertins en France,
1896
; Jules Lair, Mllede La Vallière, 3* édition ; F.
rrens, 1rs Libertins en France, 1896; Jules Lair, Mllede La Vallière,
3
* édition ; F. Brunetière, Manuel de l’histoire de
on ; F. Brunetière, Manuel de l’histoire de la Littérature française,
2
* edit., p. 113, 174, 175, etc.; Allier, Cabale de
, Manuel de l’histoire de la Littérature française, 2* edit., p. 113,
174,
175, etc.; Allier, Cabale des Dévots, p. 385, 392
uel de l’histoire de la Littérature française, 2* edit., p. 113, 174,
175,
etc.; Allier, Cabale des Dévots, p. 385, 392 et s
2* edit., p. 113, 174, 175, etc.; Allier, Cabale des Dévots, p. 385,
392
et suiv. ; A. Lefranc, Revue des Cours et Confére
s, p. 385, 392 et suiv. ; A. Lefranc, Revue des Cours et Conférences,
1906-1907.
10. Lettres choisies, éd. de Rotterdam de 1723,
92 et suiv. ; A. Lefranc, Revue des Cours et Conférences, 1906-1907.
10.
Lettres choisies, éd. de Rotterdam de 1723, t. I
t Conférences, 1906-1907. 10. Lettres choisies, éd. de Rotterdam de
1723,
t. II, p. 123. Cf. la lettre du 19 octobre 1660.
nces, 1906-1907. 10. Lettres choisies, éd. de Rotterdam de 1723, t.
II
, p. 123. Cf. la lettre du 19 octobre 1660. 11. G
s choisies, éd. de Rotterdam de 1723, t. II, p. 123. Cf. la lettre du
19
octobre 1660. 11. Guy Patin assure même que si l
éd. de Rotterdam de 1723, t. II, p. 123. Cf. la lettre du 19 octobre
1660.
11. Guy Patin assure même que si la « cabale » a
Rotterdam de 1723, t. II, p. 123. Cf. la lettre du 19 octobre 1660.
11.
Guy Patin assure même que si la « cabale » a été
jour, c’est qu’un mari, fâché d’être averti, a tout su et tout dit.
12.
Voyez l’importante circulaire envoyée dès le 8 oc
out su et tout dit. 12. Voyez l’importante circulaire envoyée dès le
8
octobre, par la Compagnie de Paris à ses succursa
ication sur la Compagnie secrète du Saint-Sacrement. Paris, Champion,
1908,
p. 113, 114. 13. Arch. nat. Reg. du Cons. secret
Compagnie secrète du Saint-Sacrement. Paris, Champion, 1908, p. 113,
114.
13. Arch. nat. Reg. du Cons. secret du Parlement
gnie secrète du Saint-Sacrement. Paris, Champion, 1908, p. 113, 114.
13.
Arch. nat. Reg. du Cons. secret du Parlement (V1°
p. 113, 114. 13. Arch. nat. Reg. du Cons. secret du Parlement (V1°,
8392,
fº 212 V6 et 213). 14. Voyez la Compagnie secrèt
114. 13. Arch. nat. Reg. du Cons. secret du Parlement (V1°, 8392, fº
212
V6 et 213). 14. Voyez la Compagnie secrète du Sa
Arch. nat. Reg. du Cons. secret du Parlement (V1°, 8392, fº 212 V6 et
213
). 14. Voyez la Compagnie secrète du Saint-Sacrem
at. Reg. du Cons. secret du Parlement (V1°, 8392, fº 212 V6 et 213).
14.
Voyez la Compagnie secrète du Saint-Sacremenl. Le
l. Lettres du groupe parisien au groupe marseillais, Paris. Champion,
1908,
et l’ouvrage de M. Allier sur la compagnie de Mar
pagnie de Marseille, cité ci-dessus. Cf. dans les Etudes du a octobre
1909
un article du P. Brucker sur ces deux publication
f. dans les Etudes du a octobre 1909 un article du P. Brucker sur ces
deux
publications. 15. Sermons choisis de Bossuet, é
u a octobre 1909 un article du P. Brucker sur ces deux publications.
15.
Sermons choisis de Bossuet, éd. Hachette, p. 338
ions. 15. Sermons choisis de Bossuet, éd. Hachette, p. 338. Déjà en
1662,
dans le Sermon sur les Devoirs des Unis (préché a
662, dans le Sermon sur les Devoirs des Unis (préché aussi au Louvre,
2
avril, ibid., p. 284), Bossuet (membre de la Comp
le des Libertins sera renversée : » auferetur factio lascivientium.
16.
Le P. Rapin, Mémoires, t. III, p. 136 et passim;
e : » auferetur factio lascivientium. 16. Le P. Rapin, Mémoires, t.
III
, p. 136 et passim; Pierre Clément, Colbert; Perre
rre Clément, Colbert; Perrens, les Libertins au XVIIème siècle, etc.
17.
Discours au Roi, 1663 18. E. Rigal, Molière, t.
Perrens, les Libertins au XVIIème siècle, etc. 17. Discours au Roi,
1663
18. E. Rigal, Molière, t. I, p. 225-226. 19. A.
s, les Libertins au XVIIème siècle, etc. 17. Discours au Roi, 1663
18.
E. Rigal, Molière, t. I, p. 225-226. 19. A. Gazi
e siècle, etc. 17. Discours au Roi, 1663 18. E. Rigal, Molière, t.
I
, p. 225-226. 19. A. Gazier, Mélanges de littérat
17. Discours au Roi, 1663 18. E. Rigal, Molière, t. I, p. 225-226.
19.
A. Gazier, Mélanges de littérature et d’histoire,
225-226. 19. A. Gazier, Mélanges de littérature et d’histoire, p. 6,
15,
18; E. Faguet, Propos de théâtre, p. 203. 20. J.
226. 19. A. Gazier, Mélanges de littérature et d’histoire, p. 6, 15,
18
; E. Faguet, Propos de théâtre, p. 203. 20. J. Le
e et d’histoire, p. 6, 15, 18; E. Faguet, Propos de théâtre, p. 203.
20.
J. Lemaître, article de 1886, dans le tome 1 des
8; E. Faguet, Propos de théâtre, p. 203. 20. J. Lemaître, article de
1886,
dans le tome 1 des Impressions de théâtre. Cf. 3*
s de théâtre, p. 203. 20. J. Lemaître, article de 1886, dans le tome
1
des Impressions de théâtre. Cf. 3* série. 21. M
ître, article de 1886, dans le tome 1 des Impressions de théâtre. Cf.
3
* série. 21. Molière, collection des Grands Écri
le de 1886, dans le tome 1 des Impressions de théâtre. Cf. 3* série.
21.
Molière, collection des Grands Écrivains, t. V,
tre. Cf. 3* série. 21. Molière, collection des Grands Écrivains, t.
V
, Notice sur Don Juan. 22. « Qu’est-ce que sign
olière, collection des Grands Écrivains, t. V, Notice sur Don Juan.
22.
« Qu’est-ce que signifie la fin de Don Juan, »di
Juan. 22. « Qu’est-ce que signifie la fin de Don Juan, »disait en
1906
(L’Anticléricalisme, p. 69-71) M. Faguet, — je su
permettent, ce me semble, de croire que nous en savons un peu plus.
23.
G. Lafenestre, Molière, p. 16. 24. Faillon, Vie
que nous en savons un peu plus. 23. G. Lafenestre, Molière, p. 16.
24.
Faillon, Vie de M. Olier, 4* édit., 1873, t. II,
s. 23. G. Lafenestre, Molière, p. 16. 24. Faillon, Vie de M. Olier,
4
* édit., 1873, t. II, p. 374-375. 25. D’Argenson,
Lafenestre, Molière, p. 16. 24. Faillon, Vie de M. Olier, 4* édit.,
1873,
t. II, p. 374-375. 25. D’Argenson, éd. de dom Be
re, Molière, p. 16. 24. Faillon, Vie de M. Olier, 4* édit., 1873, t.
II
, p. 374-375. 25. D’Argenson, éd. de dom Beauchet
6. 24. Faillon, Vie de M. Olier, 4* édit., 1873, t. II, p. 374-375.
25.
D’Argenson, éd. de dom Beauchet-Filleau, p- 168.
, t. II, p. 374-375. 25. D’Argenson, éd. de dom Beauchet-Filleau, p-
168.
189, 203, 211. 26. On connaît le passage de Boss
II, p. 374-375. 25. D’Argenson, éd. de dom Beauchet-Filleau, p- 168.
189,
203, 211. 26. On connaît le passage de Bossuet d
. 374-375. 25. D’Argenson, éd. de dom Beauchet-Filleau, p- 168. 189,
203,
211. 26. On connaît le passage de Bossuet dans l
-375. 25. D’Argenson, éd. de dom Beauchet-Filleau, p- 168. 189, 203,
211.
26. On connaît le passage de Bossuet dans les Ma
25. D’Argenson, éd. de dom Beauchet-Filleau, p- 168. 189, 203, 211.
26.
On connaît le passage de Bossuet dans les Maximes
passage de Bossuet dans les Maximes et Réflexions sur la Comédie, ch.
V
(éd. Gazier, p. 33-34), sur Sganarelle ; Bossuet
r Sganarelle ; Bossuet avait été de la Compagnie du Saint-Sacrement.
27.
G. Lanson, dans la Revue Bleue (2 déc. 1S99) ; E.
la Compagnie du Saint-Sacrement. 27. G. Lanson, dans la Revue Bleue (
2
déc. 1S99) ; E. Rigal, ouvrage cité. 28. Eug. D
agnie du Saint-Sacrement. 27. G. Lanson, dans la Revue Bleue (2 déc.
1S99
) ; E. Rigal, ouvrage cité. 28. Eug. Despois, No
Lanson, dans la Revue Bleue (2 déc. 1S99) ; E. Rigal, ouvrage cité.
28.
Eug. Despois, Notice sur l’Ecole des Femmes (Moli
Despois, Notice sur l’Ecole des Femmes (Molière des Grands Ecrivains,
111,
p. 138.) 29. Allier, la Cabale des Dévots, p. 29
sur l’Ecole des Femmes (Molière des Grands Ecrivains, 111, p. 138.)
29.
Allier, la Cabale des Dévots, p. 296. 30. Muse
Ecrivains, 111, p. 138.) 29. Allier, la Cabale des Dévots, p. 296.
30.
Muse historique, 31 décembre 1662. 31. Propos
8.) 29. Allier, la Cabale des Dévots, p. 296. 30. Muse historique,
31
décembre 1662. 31. Propos de théâtre, p. 203.
ier, la Cabale des Dévots, p. 296. 30. Muse historique, 31 décembre
1662.
31. Propos de théâtre, p. 203. 32. Mélanges d
Cabale des Dévots, p. 296. 30. Muse historique, 31 décembre 1662.
31.
Propos de théâtre, p. 203. 32. Mélanges de lit
Muse historique, 31 décembre 1662. 31. Propos de théâtre, p. 203.
32.
Mélanges de littérature et d’histoire, 1904 (Pav
opos de théâtre, p. 203. 32. Mélanges de littérature et d’histoire,
1904
(Pavillon, Molière et Conti). 33. Mlle de Montp
es de littérature et d’histoire, 1904 (Pavillon, Molière et Conti).
33.
Mlle de Montpensier, Mémoires, t. III, p. 139 ; S
(Pavillon, Molière et Conti). 33. Mlle de Montpensier, Mémoires, t.
III
, p. 139 ; Sainte-Beuve, Port-Royal ; Abel Lefranc
nte-Beuve, Port-Royal ; Abel Lefranc, Revue des Cours et Conférences,
1906
et 1907; Etienne Dejean, Nicolas Pavillon, p. 116
e, Port-Royal ; Abel Lefranc, Revue des Cours et Conférences, 1906 et
1907
; Etienne Dejean, Nicolas Pavillon, p. 116 et pass
, 1906 et 1907; Etienne Dejean, Nicolas Pavillon, p. 116 et passim.
34.
Car on parla aussi des abbés de Roquette, de Pons
de Pons et de Ciron, membres probables ou certains de la Compagnie.
35.
Monmerqué et Paulin Paris, dans leur édition de T
e. 35. Monmerqué et Paulin Paris, dans leur édition de Tallemant, t.
VII
, p. 212-213. Cf. Paul Mesnard, Notice sur Tartufe
Notice sur Tartufe dans l’édition de Molière des Grands Écrivains, t.
V.
36. D’autant plus que la « petite MmePatrocle »d
ce sur Tartufe dans l’édition de Molière des Grands Écrivains, t. V.
36.
D’autant plus que la « petite MmePatrocle »de Tal
emant s’appelait, elle aussi, Angélique : Angélique Hansse, mariée le
3
août 1643 à François Patrocle. 37. Deux ans aprè
’appelait, elle aussi, Angélique : Angélique Hansse, mariée le 3 août
1643
à François Patrocle. 37. Deux ans après la date
lique : Angélique Hansse, mariée le 3 août 1643 à François Patrocle.
37.
Deux ans après la date probable où Tallemant raco
e : Angélique Hansse, mariée le 3 août 1643 à François Patrocle. 37.
Deux
ans après la date probable où Tallemant racontait
ux ans après la date probable où Tallemant racontait cette histoire.
38.
Notons que le confrère de Bernières-Louvigny voye
ières-Louvigny voyez plus haut) est l’auteur du Chrétien intérieur.
39.
Voyez la Revue du 15 août 1908. — C’est la lettre
lus haut) est l’auteur du Chrétien intérieur. 39. Voyez la Revue du
15
août 1908. — C’est la lettre du 31 octobre 1042.
) est l’auteur du Chrétien intérieur. 39. Voyez la Revue du 15 août
1908.
— C’est la lettre du 31 octobre 1042. Voyez la Co
intérieur. 39. Voyez la Revue du 15 août 1908. — C’est la lettre du
31
octobre 1042. Voyez la Compagnie secrète du Saint
39. Voyez la Revue du 15 août 1908. — C’est la lettre du 31 octobre
1042.
Voyez la Compagnie secrète du Saint-Sacrement. Ch
ctobre 1042. Voyez la Compagnie secrète du Saint-Sacrement. Champion,
1908,
p. 29. 40. Brunetière, la Philosophie de Molière
oyez la Compagnie secrète du Saint-Sacrement. Champion, 1908, p. 29.
40.
Brunetière, la Philosophie de Molière dans la Rev
8, p. 29. 40. Brunetière, la Philosophie de Molière dans la Revue du
1er
août 1890 ou dans les Études critiques, 4e série;
40. Brunetière, la Philosophie de Molière dans la Revue du 1er août
1890
ou dans les Études critiques, 4e série; Gazier, o
Molière dans la Revue du 1er août 1890 ou dans les Études critiques,
4e
série; Gazier, ouvr. cité, p. 17 ; E. Faguet, Pro
E. Faguet, Propos de théâtre, p. 179-181 ; L’Anticléricalisme, p. 72,
73,
78, 79; J. Lemaitre, articles cités, et particuli
aguet, Propos de théâtre, p. 179-181 ; L’Anticléricalisme, p. 72, 73,
78,
79; J. Lemaitre, articles cités, et particulièrem
t, Propos de théâtre, p. 179-181 ; L’Anticléricalisme, p. 72, 73, 78,
79
; J. Lemaitre, articles cités, et particulièrement
Lemaitre, articles cités, et particulièrement Impressions de théâtre,
4e
série, p. 45-47. 41. Sur cette question, Bruneti
tés, et particulièrement Impressions de théâtre, 4e série, p. 45-47.
41.
Sur cette question, Brunetière, que la psychologi
de ses opinions religieuses passionnait (cf. l’article de la Revue du
1er
août 1890) se proposait de revenir (cf. la Revue
inions religieuses passionnait (cf. l’article de la Revue du 1er août
1890
) se proposait de revenir (cf. la Revue du 1" juil
e la Revue du 1er août 1890) se proposait de revenir (cf. la Revue du
1
" juillet 1903, p. 70). Dans ces derniers temps, l
du 1er août 1890) se proposait de revenir (cf. la Revue du 1" juillet
1903,
p. 70). Dans ces derniers temps, l’auteur-acteur
uteur-acteur danois Karl .Mantzius (Molière, trad. Maurice Pellisson,
1907.
p. 212 et suiv.), persuadé que la Compagnie du Sa
e fut dirigée la satire de Tartufe, etc. » MM. Eugène Higal (Molière,
1908,
t. I, p. 221-307, spécialement p. 233-235), Abel
igée la satire de Tartufe, etc. » MM. Eugène Higal (Molière, 1908, t.
I
, p. 221-307, spécialement p. 233-235), Abel Lefra
écialement p. 233-235), Abel Lefranc {Revue des Cours et Conférences,
1900
1908), serrent de plus près et tentent avec plus
ement p. 233-235), Abel Lefranc {Revue des Cours et Conférences, 1900
1908
), serrent de plus près et tentent avec plus de ci
, à l’aide aussi de M. Gazier, Mélanges de littérature et d’histoire (
1904
), à l’aide enfin des notices d’Eugène Despois et
uyées sur des faits précis, ont presque toujours devancé les nôtres.
42.
Voyez un article de M. Wilmotte, Grande Revue, 25
vancé les nôtres. 42. Voyez un article de M. Wilmotte, Grande Revue,
25
juillet 1908. 43. Le second, — et le principal,
ôtres. 42. Voyez un article de M. Wilmotte, Grande Revue, 25 juillet
1908.
43. Le second, — et le principal, — auteur de la
42. Voyez un article de M. Wilmotte, Grande Revue, 25 juillet 1908.
43.
Le second, — et le principal, — auteur de la Rela
Mémoires du chanoine Hermant, publiés pur M. Gazier, notamment, au t.
IV
, p. 392 et suivantes. 44. Le P. Rapin, Mémoires,
nt, publiés pur M. Gazier, notamment, au t. IV, p. 392 et suivantes.
44.
Le P. Rapin, Mémoires, t. III, p. 193 et passim.
amment, au t. IV, p. 392 et suivantes. 44. Le P. Rapin, Mémoires, t.
III
, p. 193 et passim. 45. « On assure, — dit une
et suivantes. 44. Le P. Rapin, Mémoires, t. III, p. 193 et passim.
45.
« On assure, — dit une note de police de 1C63 su
II, p. 193 et passim. 45. « On assure, — dit une note de police de
1C63
sur les « communautés, »— que cette nouvelle cong
on a tant parlé. »Cité par Ch. Gérin, Rech. hist. sur l’assemblée de
1682,
2e edition, p. 523. 46. Le P. Prat, les Jésuites
tant parlé. »Cité par Ch. Gérin, Rech. hist. sur l’assemblée de 1682,
2e
edition, p. 523. 46. Le P. Prat, les Jésuites à
Ch. Gérin, Rech. hist. sur l’assemblée de 1682, 2e edition, p. 523.
46.
Le P. Prat, les Jésuites à Grenoble, p. 302-313;
renoble, p. 302-313; Allier, Cabale des Dévots, p. 241 et suivantes.
47.
Le Traité de l’Aumône chrétienne est de Saint-Cyr
té la position de Molière, en face de la philosophie de son époque.
I
. Il n’est pas besoin de connaître à fond l’his
ous sommes ici en présence d’une révolution qui semble avoir brisé en
deux
la pensée humaine. En face de la vieille philosop
capable, d’exprimer des pensées aussi profondes. Ecoutez, en effet : (
2
) PRIMUS doctor. Si mihi licentiam dat dominus pr
est natura, Sensus assoupire. Et tout le chœur de s’écrier : Vivat…
cent
fois vivat, Novus doctor, qui tana bene parlat !3
re en est inepte, la mineure impertinente, et la conclusion ridicule (
4
). » Et, là-dessus, lui ou ses amis se plaisent à
à nous faire admirer les charmes de cette logique « qui enseigne les
trois
opérations de l’esprit. La première, la seconde e
rois opérations de l’esprit. La première, la seconde et la troisième (
5
) » Et de quelles questions cette logique-là s’occ
roirait peut-être pas sur parole. Entrons donc à l’école de médecine (
6
). Les professeurs, fidèles à leur serment, ont «
es, le bonnet carré sur la tête, et la chausse d’écarlate à l’épaule (
7
). » La séance va s’ouvrir. Voici les deux thèses
chausse d’écarlate à l’épaule (7). » La séance va s’ouvrir. Voici les
deux
thèses qui vont être solennellement discutées : «
qui mel et butyrum comedit, sciat reprobare malum et eligere bonum (
8
) ? » etc. Ou si vous avez peur de vous déranger,
eut émouvoir par son être réel, ou par son être intentionnel ? »etc. (
9
). Mais ceci doit suffire, je pense, pour faire ju
e juger du tout, et le lecteur « est déjà charmé de ce petit morceau (
10
). » — Que sera-ce, quand il verra tous les magnif
agnifiques résultats auxquels conduit cette méthode vraiment divine !
Deux
mots les résument : parler beaucoup et ne rien di
e sable, Quand… conclut : Les femmes enfin ne valent pas le diable (
11
). C’est grâce à elle, surtout, qu’un médecin, sa
est à droite, finira par vous apprendre « que votre fille est muette (
12
). » Je ne me trompe pas! En veut-on une dernière
le professeur de philosophie lui-même ; qu’on l’écoute… une heure ou
deux
, et l’on saura… une foule de choses ; l’on saura…
toujours au même endroit, faisant une manière de tremblement : R, RA (
13
). »— Que si l’on hésite encore à s’écrier avec M.
urdain cette morale qui, dit-il, est l’art « de modérer ses passions (
14
). » Mais, après tout, un principe et une méthode
confiés à ses soins, ne perdez pas de temps à lire tant de modernes (
15
)… »Aussi, dépassé un moment, débordé, il put, ave
crier : « Je n’ai jamais donné de quinquina » (remède nouveau alors) (
16
), et sur la fin de sa vie, dans un moment d’entho
ers de Joachim du Bellay : O bonne, ô sainte, ô divine saignée! (
17
) Mais si fidèle représentant des anciens que fut
ron dit qu’entre l’arbre et le doigt, il ne faut pas mettre l’écorce (
18
). » S’agit-il de mettre son chapeau sur sa tâte
chapeau sur sa tâte : — Hippocrate dit… que nous nous couvrions tous
deux
. — Hippocrate dit celât — Oui. — Dans quel chapit
s quel chapitre, s’il tous plaît ? — Dans son chapitre… des chapeaux (
19
). Après cela, il n’est pas étonnant que Molière
e touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine (
20
). » Voilà qui est clair. Quant à ceux qui oseraie
olie jusqu’au point de ne pas jurer par les anciens, un édit royal de
1624
les condamne au bannissement perpétuel. Malheureu
ouffrant un scandale aussi intolérable que celui dont je veux parler (
21
). » Voilà pour l’école. Mais, on le sait, l’amou
astrologie, physionomie, métoposcopie, chiromancie, géomancie, etc. (
22
) » Oui, c’est bien l’Aristote de Molière et du si
rt le philosophe des philosophes, ou encore le philosophe tout court (
23
). Il est vrai qu’un certain Sganarelle ose traite
vrai qu’un certain Sganarelle ose traiter ce grand homme de « bavard (
24
)». Mais quelle confiance peut-on avoir, je le dem
end aimer le tabac en dépit (horresco referens), en dépit d’Aristote (
25
). Mais ce Sganarelle est presque partout un homme
istote a bien raison, quand il dit qu’une femme est pire qu’un démon (
26
). » Et cet autre, que nous a conservé la rare sci
u’on dit qu’au monde On ne peut rien trouver de si stable que l’onde (
27
). Enfin, dans son enthousiasme, Molière va jusqu
ce sont les termes exprès d’Aristote dans le chapitre de la qualité (
28
). » Je ne crains pas que le lecteur se soit mépr
e et de son autorité, seulement pour accomplir son métier de comique (
29
)? Non, assurément. Hâtons-nous de le dire : Moliè
phique, si l’on veut. Ce but est d’affranchir l’esprit du joug de ces
mille
autorités qui l’accablait à cette époque, et mena
oyen âge, sous la robe de Gui Patin et de ses confrères ? Pourquoi, à
deux
reprises, attaque-t-il les Précieuses et dépasse-
êté un moment par d’antiques barrières, les renverse et se partage en
deux
courants bien distincts. Deux écoles opposées se
arrières, les renverse et se partage en deux courants bien distincts.
Deux
écoles opposées se fondent, dont l’une a pour che
étude. Or, en vue toujours de notre sujet, nous pouvons ramener à ces
trois
points la philosophie de Descartes : un principe,
hie de Descartes : un principe, qui est en même temps une méthode, et
deux
thèses, qui en sont la conséquence. Un principe :
e pense, donc je suis. » C’est ce qu’on a appelé le doute méthodique.
Deux
thèses : le corps et l’esprit sont profondément d
E. Ferais-je bien ou mal de l’épouser ? MARPHURIUS. L’un ou l’autre… (
30
) Et la conversation continue. Est-ce là, vraimen
andis que celui-ci ne doute que pour avoir le droit de douter encore (
31
). Avouons-le simplement : Marphurius est un pyrrh
e ne sais, » de Charron, le « Quid igitur, » de Sanchez. N’est-ce pas
deux
ans seulement avant le Discours de la Méthode que
tour, de faire des concessions sur la manière dont Molière défend les
deux
thèses cartésiennes dont nous avons parlé. La pre
modeste conseil : À l’esprit, comme nous, donnez-vous tout entière (
32
). Elle va plus loin, et comme Frosine qui voulai
ois la partie animale, Dont l’appétit grossier aux bêtes nous ravale (
33
). Pour la seconde thèse, l’âme plus certaine que
tous les transports. Et Ton ne s’aperçoit jamais qu’on ait un corps (
34
). Enfin, pour achever de la ruiner, Belise vient
ense y peut être reçue, Mais nous en bannissons la substance étendue (
35
). Le lecteur a reconnu les deux définitions du c
us en bannissons la substance étendue (35). Le lecteur a reconnu les
deux
définitions du corps et de l’âme, de la matière e
rser celles de Descartes. Nous avons vu, en effet, Descartes affirmer
deux
choses : la profonde distinction du corps et de l
e l’âme beaucoup plus claire que celle du corps. Gassendi en affirme-
deux
autres, à son tour : la ressemblance du corps et
ressemblance du corps et de l’âme, qui n’est qu’un corps plus subtil (
36
), et la connaissance de notre corps, beaucoup plu
aissance de notre corps, beaucoup plus claire que celle de notre âme (
37
). De même, en physique, Descartes, confondant la
éfend Épicure, et avec lui le vide et les atomes. Enfin, comme si les
deux
adversaires eussent pris à tâche de se contredire
est près de raccorder aux plantes et de les ranger parmi les animaux (
38
). Voilà Gassendi : que dit Molière ? Nous l’avons
, dans ce passage des Femmes savantes, on a cru voir une allusion aux
deux
mots célèbres : Ô Esprit, ô chair. De plus, nous
nt ses herbes, Elle accommode mal les noms avec les verbes, Et redise
cent
fois un bas et méchant mot, Que de brûler ma vian
ou saler trop mon pot ; Je vis de bonne soupe et non de beau langage (
39
). C’est là ce que Molière a trouvé de plus fort
un plus lourd assemblage, Un esprit composé d’atomes plus bourgeois… (
40
) « Un esprit composé d’atomes. » C’est la premi
n veux prendre soin. Guenille si l’on veut ; ma guenille m’est chère (
41
). « Mon corps est moi-même. » C’est la seconde
ARMANDE. J’aime ses tourbillons. PHILAMINTE. Moi, ses mondes tombants(
42
). Que conclure, enfin, de toutes ces contradicti
, touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine (
43
). » Est-ce assez fort ? Voici qui l’est davantag
e qui, pour comble de malheur, l’avait faite, lui, très-sérieusement (
44
). Or, ce philosophe, c’est Gassendi. Avouons que
t de nos recherches plus important encore. Molière a vu les excès des
deux
systèmes qui se partageaient alors la domination
accordera pour saluer en lui un des fondateurs des sciences modernes (
45
). Que notre grand comique n’ait pas su découvrir
a peine qu’on y pense. »Le mot est dur, mais surtout il est clair.
II
Disciple de Gassendi en face de l’ancienne phi
n mieux, nous antres gens d’étude, Une comparaison qu’une similitude (
46
), je dirai : Il est temps de descendre de ces ha
cation solide, engagea Gassendi à lui donner des leçons. Molière avec
deux
autres de ses amis, Bernier et Hesnault, fut admi
de vraisemblance que celle de l’école, et n’en avait pas la barbarie (
47
). » C’était en 1642. Molière avait vingt ans. L’i
ue celle de l’école, et n’en avait pas la barbarie (47). » C’était en
1642.
Molière avait vingt ans. L’influence du maître su
et n’en avait pas la barbarie (47). » C’était en 1642. Molière avait
vingt
ans. L’influence du maître sur l’élève fut profon
eur de son existence qu’un seul genre de preuves, les causes finales (
48
). Molière déclare dans une préface que : « La phi
naissance d’un Dieu par la contemplation des merveilles de la nature (
49
). » Et la démonstration qu’il met dans la bouche
s la bouche de Sganarelle est presque copiée du Syntagma de Gassendi (
50
). Nous pouvons donc maintenant aborder la grande
que dans sa vie il réalise bien mieux que La Fontaine dans la sienne (
51
). » « Dans l’ensemble » : que le lecteur se gard
ir les passions des hommes que de vouloir les retrancher entièrement (
52
). » Voilà le texte : le commentaire est dans ses
nous montrions sages, Je veux une vertu qui ne soit point diablesse (
53
). Et pour abréger, sa pensée à ce sujet me parai
d’être au nombre des fous Que du sage parti se voir seul contre tous (
54
). Au reste, pourquoi citer des vers que l’on pou
femmes savantes et le rustre Chrysale,… et partout vous apparaissent
deux
caractères opposés, semblables à deux statues plu
,… et partout vous apparaissent deux caractères opposés, semblables à
deux
statues plus ou moins effrayantes et destinées à
à deux statues plus ou moins effrayantes et destinées à vous montrer
deux
précipices entre lesquels l’homme doit se frayer
tant, « neque obstat vero, quod res quae uni pilcet, alii dtspliceat (
55
). » — Son fidèle disciple et traducteur, Bernier
t d’opinions sur le bien et sur le mal, continue Damiron qui le cite (
56
). — Gassendi enfin désigne nettement pour but de
prétendu épicurisme de Molière, fondé sur l’épicurisme de son maître (
57
) ? » Non ; l’accord est parfait. Molière en mora
olière en morale suit Gassendi, nous avons là-dessus son propre aveu (
58
), nous avons l’aveu de tout son théâtre. Seulemen
étonnement don Juan faire l’aumône au pauvre « au nom de l’humanité (
59
). » Or le grand principe le voilà : l’humanité ;
ur de la faire souffrir ne lui propose que sa morale du juste milieu (
60
). Voilà bien, ce me semble, la dernière réponse à
de ce qui en fait une vertu, la première des vertus. Le dirai-je même
I
ainsi dépouillé et isolé, il me saisit davantage
éduit à s’écrier un jour que les chaînes du grand roi le fatiguaient (
61
), il a vu les hommes lancer contre lui les plus a
ent sur cette œuvre. Nous laissons ce soin au lecteur. Heureux si ces
deux
résultats acceptés par lui peuvent lui être de qu
nce avec Descartes a été résumée par Descartes et par lui-même en ces
deux
mots célèbres : « O mens, ô caro. » Il faut oubl
s aient tort, de ses écrits il but encore effacer tous les passages :
1°
Où il nie l’existence des idées innées (Cinquième
il nie l’existence des idées innées (Cinquièmes objections, p. 275);
2°
Où il établit l’existence des atomes, bien qu’il
ence des atomes, bien qu’il leur refuse l’éternité (Damiron, p. 421);
3°
Où il déclare que toute science est des sens ou v
ou vient des sens (Damiron, p. 400 ; Cinquièmes objections, p. 274) ;
4°
Où à propos de la pensée, il trouve qu’elle pourr
bien convenir à la matière (Cinquièmes objections, p. 325, p. 259) ;
5°
Où sur l’âme il déclare qu’il « balbutiera » seul
âme il déclare qu’il « balbutiera » seulement, où il admet en l’homme
deux
âmes, l’une matérielle, l’autre raisonnable, mais
’âme raisonnable n’est pas matérielle comme l’autre (Damiron, p. 478,
479,
480) ; 6° Où sur Dieu il déclare que nous ne le c
raisonnable n’est pas matérielle comme l’autre (Damiron, p. 478, 479,
480
) ; 6° Où sur Dieu il déclare que nous ne le conce
able n’est pas matérielle comme l’autre (Damiron, p. 478, 479, 480) ;
6°
Où sur Dieu il déclare que nous ne le concevons q
a, quamdiu est illigate corpori, haurit per sensus notiones rerum; »
7°
Où enfin comme conséquence de tout son système, i
— à côté de ses doutes. Cette séparation complète, tranchée entre les
deux
moitiés d’une môme pensée, trop commune à cette é
la lui paraît tout à fait raisonnable (Cinquièmes objections, p. 298,
888
). Seulement, et c’est ici le point important, le
du moins pour justifier les affirmations de l’étude qui précède.
1.
Voir la Revue chrétienne du 5 décembre 1869. 2.
firmations de l’étude qui précède. 1. Voir la Revue chrétienne du
5
décembre 1869. 2. Le Malade imaginaire, 3e inte
de l’étude qui précède. 1. Voir la Revue chrétienne du 5 décembre
1869.
2. Le Malade imaginaire, 3e intermède. 3. Le
ude qui précède. 1. Voir la Revue chrétienne du 5 décembre 1869.
2.
Le Malade imaginaire, 3e intermède. 3. Le Mala
ir la Revue chrétienne du 5 décembre 1869. 2. Le Malade imaginaire,
3e
intermède. 3. Le Malade imaginaire, 3e intermèd
étienne du 5 décembre 1869. 2. Le Malade imaginaire, 3e intermède.
3.
Le Malade imaginaire, 3e intermède. 4. Le Mari
. 2. Le Malade imaginaire, 3e intermède. 3. Le Malade imaginaire,
3e
intermède. 4. Le Mariage forcé, ac. VI. 5. Le
e imaginaire, 3e intermède. 3. Le Malade imaginaire, 3e intermède.
4.
Le Mariage forcé, ac. VI. 5. Le Bourgeois gent
. 3. Le Malade imaginaire, 3e intermède. 4. Le Mariage forcé, ac.
VI
. 5. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. vi.
Le Malade imaginaire, 3e intermède. 4. Le Mariage forcé, ac. VI.
5.
Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. vi. 6. J
e. 4. Le Mariage forcé, ac. VI. 5. Le Bourgeois gentilhomme, acte
II
, sc. vi. 6. J’emprunte, dans ces premières pages
riage forcé, ac. VI. 5. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. vi.
6.
J’emprunte, dans ces premières pages, la plupart
ns de son siècle, Molière a fait non la caricature mais le portrait.
7.
Les Médecins au temps de Molière, H. Raynaud, p.
e portrait. 7. Les Médecins au temps de Molière, H. Raynaud, p.31.
8.
Citées par Gui Patin, Lettres, t. III. 9. Le Ma
s de Molière, H. Raynaud, p.31. 8. Citées par Gui Patin, Lettres, t.
III
. 9. Le Mariage forcé. sc. vi. 10. Le Misanthr
olière, H. Raynaud, p.31. 8. Citées par Gui Patin, Lettres, t. III.
9.
Le Mariage forcé. sc. vi. 10. Le Misanthrope,
itées par Gui Patin, Lettres, t. III. 9. Le Mariage forcé. sc. vi.
10.
Le Misanthrope, acte I, sc. ii. 11. Le Dépit a
es, t. III. 9. Le Mariage forcé. sc. vi. 10. Le Misanthrope, acte
I
, sc. ii. 11. Le Dépit amoureux, acte IV sc. ii.
9. Le Mariage forcé. sc. vi. 10. Le Misanthrope, acte I, sc. ii.
11.
Le Dépit amoureux, acte IV sc. ii. 12. Le Méde
. 10. Le Misanthrope, acte I, sc. ii. 11. Le Dépit amoureux, acte
IV
sc. ii. 12. Le Médecin malgré lui, acte II, sc.
isanthrope, acte I, sc. ii. 11. Le Dépit amoureux, acte IV sc. ii.
12.
Le Médecin malgré lui, acte II, sc. VI. Encore u
Le Dépit amoureux, acte IV sc. ii. 12. Le Médecin malgré lui, acte
II
, sc. VI. Encore un exemple de fidélité historique
t amoureux, acte IV sc. ii. 12. Le Médecin malgré lui, acte II, sc.
VI
. Encore un exemple de fidélité historique de Moli
e procureur général conclut au rejet de l’appel. » (Raynaud, p. 271)
13.
Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. VI. 14.
de l’appel. » (Raynaud, p. 271) 13. Le Bourgeois gentilhomme, acte
II
, sc. VI. 14. Id., acte II, sc. IV, VI. 15. Le
pel. » (Raynaud, p. 271) 13. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc.
VI
. 14. Id., acte II, sc. IV, VI. 15. Lettres de
» (Raynaud, p. 271) 13. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. VI.
14.
Id., acte II, sc. IV, VI. 15. Lettres de Gui P
271) 13. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. VI. 14. Id., acte
II
, sc. IV, VI. 15. Lettres de Gui Patin, t.1, p.
. Le Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. VI. 14. Id., acte II, sc.
IV
, VI. 15. Lettres de Gui Patin, t.1, p. 131. 16
e Bourgeois gentilhomme, acte II, sc. VI. 14. Id., acte II, sc. IV,
VI
. 15. Lettres de Gui Patin, t.1, p. 131. 16. I
rgeois gentilhomme, acte II, sc. VI. 14. Id., acte II, sc. IV, VI.
15.
Lettres de Gui Patin, t.1, p. 131. 16. Id., t.
Id., acte II, sc. IV, VI. 15. Lettres de Gui Patin, t.1, p. 131.
16.
Id., t. III, p.292 17. Lettre de Gui Patin, t.
I, sc. IV, VI. 15. Lettres de Gui Patin, t.1, p. 131. 16. Id., t.
III
, p.292 17. Lettre de Gui Patin, t. III, p. 416.
I. 15. Lettres de Gui Patin, t.1, p. 131. 16. Id., t. III, p.292
17.
Lettre de Gui Patin, t. III, p. 416. 18. Le Mé
, t.1, p. 131. 16. Id., t. III, p.292 17. Lettre de Gui Patin, t.
III
, p. 416. 18. Le Médecin malgré lui, acte I, sc.
16. Id., t. III, p.292 17. Lettre de Gui Patin, t. III, p. 416.
18.
Le Médecin malgré lui, acte I, sc. III. 19. Id
ettre de Gui Patin, t. III, p. 416. 18. Le Médecin malgré lui, acte
I
, sc. III. 19. Id, acte II, sc. III 20. Le Mal
e Gui Patin, t. III, p. 416. 18. Le Médecin malgré lui, acte I, sc.
III
. 19. Id, acte II, sc. III 20. Le Malade imagi
Patin, t. III, p. 416. 18. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. III.
19.
Id, acte II, sc. III 20. Le Malade imaginaire,
p. 416. 18. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. III. 19. Id, acte
II
, sc. III 20. Le Malade imaginaire, acte II, sc.
18. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. III. 19. Id, acte II, sc.
III
20. Le Malade imaginaire, acte II, sc. vi. Gui
Le Médecin malgré lui, acte I, sc. III. 19. Id, acte II, sc. III
20.
Le Malade imaginaire, acte II, sc. vi. Gui Patin
sc. III. 19. Id, acte II, sc. III 20. Le Malade imaginaire, acte
II
, sc. vi. Gui Patin appelle Van Helmont « un mécha
, t.1, p. 314.) Ce Flamand a posé les bases de la médecine actuelle.
21.
Le Mariage forcé, sc. vi. 22. Le Mariage forcé
é les bases de la médecine actuelle. 21. Le Mariage forcé, sc. vi.
22.
Le Mariage forcé, sc. vi. 23. « Aristote a tou
lle. 21. Le Mariage forcé, sc. vi. 22. Le Mariage forcé, sc. vi.
23.
« Aristote a toujours été reconnu dans l’Univers
ppel, et non comptable de ses opinions » Arrêt burlesque de Boileau.
24.
Le Mariage forcé, sc. vii, xvi. 25. Le Festin
» Arrêt burlesque de Boileau. 24. Le Mariage forcé, sc. vii, xvi.
25.
Le Festin de Pierre, acte I, sc. I 26. Le Méde
24. Le Mariage forcé, sc. vii, xvi. 25. Le Festin de Pierre, acte
I
, sc. I 26. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. I
e Mariage forcé, sc. vii, xvi. 25. Le Festin de Pierre, acte I, sc.
I
26. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. I. 27.
ariage forcé, sc. vii, xvi. 25. Le Festin de Pierre, acte I, sc. I
26.
Le Médecin malgré lui, acte I, sc. I. 27. Le D
Le Festin de Pierre, acte I, sc. I 26. Le Médecin malgré lui, acte
I
, sc. I. 27. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. II.
tin de Pierre, acte I, sc. I 26. Le Médecin malgré lui, acte I, sc.
I
. 27. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. II. 28.
de Pierre, acte I, sc. I 26. Le Médecin malgré lui, acte I, sc. I.
27.
Le Dépit amoureux, acte IV, sc. II. 28. Le mar
Le Médecin malgré lui, acte I, sc. I. 27. Le Dépit amoureux, acte
IV
, sc. II. 28. Le mariage forcé, sc. VI. 29. Voi
ecin malgré lui, acte I, sc. I. 27. Le Dépit amoureux, acte IV, sc.
II
. 28. Le mariage forcé, sc. VI. 29. Voir dans l
malgré lui, acte I, sc. I. 27. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. II.
28.
Le mariage forcé, sc. VI. 29. Voir dans le préc
27. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. II. 28. Le mariage forcé, sc.
VI
. 29. Voir dans le précédent article la réfutatio
Le Dépit amoureux, acte IV, sc. II. 28. Le mariage forcé, sc. VI.
29.
Voir dans le précédent article la réfutation de l
ion de la théorie l’art pour l’art, appliquée au théâtre de Molière.
30.
Le Mariage forcé, sc. VIII. 31. Si l’on vent qu
r l’art, appliquée au théâtre de Molière. 30. Le Mariage forcé, sc.
VIII
. 31. Si l’on vent que Molière ait eu en vue un p
, appliquée au théâtre de Molière. 30. Le Mariage forcé, sc. VIII.
31.
Si l’on vent que Molière ait eu en vue un philoso
t soupçon que son adversaire. (Voir la note de la fin sur Gassendi.)
32.
Les Femmes savantes, acte I, sc. i. 33. Id.
Voir la note de la fin sur Gassendi.) 32. Les Femmes savantes, acte
I
, sc. i. 33. Id. 34. Les Femmes savantes, act
e de la fin sur Gassendi.) 32. Les Femmes savantes, acte I, sc. i.
33.
Id. 34. Les Femmes savantes, acte IV, sc. ii.
sur Gassendi.) 32. Les Femmes savantes, acte I, sc. i. 33. Id.
34.
Les Femmes savantes, acte IV, sc. ii. 35. Id.,
s savantes, acte I, sc. i. 33. Id. 34. Les Femmes savantes, acte
IV
, sc. ii. 35. Id., acte V, sc. iii. 36. Cinqui
cte I, sc. i. 33. Id. 34. Les Femmes savantes, acte IV, sc. ii.
35.
Id., acte V, sc. iii. 36. Cinquièmes objection
33. Id. 34. Les Femmes savantes, acte IV, sc. ii. 35. Id., acte
V
, sc. iii. 36. Cinquièmes objections faites par
. Les Femmes savantes, acte IV, sc. ii. 35. Id., acte V, sc. iii.
36.
Cinquièmes objections faites par M. .Gassendi co
endi contre la Méditation de Descartes (édition Charpentier), p. 257,
325.
37. Id., p. 271. 38. Voir sur Gassendi la note
ontre la Méditation de Descartes (édition Charpentier), p. 257, 325.
37.
Id., p. 271. 38. Voir sur Gassendi la note à la
de Descartes (édition Charpentier), p. 257, 325. 37. Id., p. 271.
38.
Voir sur Gassendi la note à la fin. 39. Les Fem
57, 325. 37. Id., p. 271. 38. Voir sur Gassendi la note à la fin.
39.
Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 40. Id
. Voir sur Gassendi la note à la fin. 39. Les Femmes savantes, acte
II
, sc. vii. 40. Id. 41. Les Femmes savantes,
endi la note à la fin. 39. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii.
40.
Id. 41. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii
e à la fin. 39. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 40. Id.
41.
Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 42. Id.
vantes, acte II, sc. vii. 40. Id. 41. Les Femmes savantes, acte
II
, sc. vii. 42. Id., acte III, sc. ii. 43. Le M
I, sc. vii. 40. Id. 41. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii.
42.
Id., acte III, sc. ii. 43. Le Malade imaginair
0. Id. 41. Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 42. Id., acte
III
, sc. ii. 43. Le Malade imaginaire, acte II, sc.
Les Femmes savantes, acte II, sc. vii. 42. Id., acte III, sc. ii.
43.
Le Malade imaginaire, acte II, sc. vi. 44. «
c. vii. 42. Id., acte III, sc. ii. 43. Le Malade imaginaire, acte
II
, sc. vi. 44. « Nempe sol non fort indigne cum
Id., acte III, sc. ii. 43. Le Malade imaginaire, acte II, sc. vi.
44.
« Nempe sol non fort indigne cum heliotropia qua
entiunt, in ipsum respectant. » (Lettre de Gassendi à Campanella, mai
1683.
) — Cette lettre parut eu 1658, et le Malade imagi
(Lettre de Gassendi à Campanella, mai 1683.) — Cette lettre parut eu
1658,
et le Malade imaginaire est de 1672. Il faut ajou
i 1683.) — Cette lettre parut eu 1658, et le Malade imaginaire est de
1672.
Il faut ajouter que Gassendi n’entend pas railler
. (Article Gassendi de la Bibliothèque universelle de Firmin Didot.)
45.
Gassendi rejetait l’opinion de Copernic sur le mo
u clairement sur la loi de l’inertie. (Cinquièmes objections, p.256)
46.
Le Dépit amoureux, acte IV, sc. ii. 47. Vie de
inertie. (Cinquièmes objections, p.256) 46. Le Dépit amoureux, acte
IV
, sc. ii. 47. Vie de Molière. 48. Cinquièmes
quièmes objections, p.256) 46. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. ii.
47.
Vie de Molière. 48. Cinquièmes objections, p.
56) 46. Le Dépit amoureux, acte IV, sc. ii. 47. Vie de Molière.
48.
Cinquièmes objections, p. 300. 49. Préface du T
sc. ii. 47. Vie de Molière. 48. Cinquièmes objections, p. 300.
49.
Préface du Tartuffe. 50. Don Juan, acte III, s
re. 48. Cinquièmes objections, p. 300. 49. Préface du Tartuffe.
50.
Don Juan, acte III, sc. i. 51. Vinet, Poètes du
s objections, p. 300. 49. Préface du Tartuffe. 50. Don Juan, acte
III
, sc. i. 51. Vinet, Poètes du tiède de Louis XIV.
p. 300. 49. Préface du Tartuffe. 50. Don Juan, acte III, sc. i.
51.
Vinet, Poètes du tiède de Louis XIV. 52. Préface
Don Juan, acte III, sc. i. 51. Vinet, Poètes du tiède de Louis XIV.
52.
Préface du Tartuffe. 53. Tartuffe, acte IV, sc
51. Vinet, Poètes du tiède de Louis XIV. 52. Préface du Tartuffe.
53.
Tartuffe, acte IV, sc. iii. 54. L’École des ma
u tiède de Louis XIV. 52. Préface du Tartuffe. 53. Tartuffe, acte
IV
, sc. iii. 54. L’École des maris, acte I, sc. II
is XIV. 52. Préface du Tartuffe. 53. Tartuffe, acte IV, sc. iii.
54.
L’École des maris, acte I, sc. II. 55. Syntagm
ffe. 53. Tartuffe, acte IV, sc. iii. 54. L’École des maris, acte
I
, sc. II. 55. Syntagma, t. II, p. 488 56. Damir
53. Tartuffe, acte IV, sc. iii. 54. L’École des maris, acte I, sc.
II
. 55. Syntagma, t. II, p. 488 56. Damiron, Essa
Tartuffe, acte IV, sc. iii. 54. L’École des maris, acte I, sc. II.
55.
Syntagma, t. II, p. 488 56. Damiron, Essai sur
sc. iii. 54. L’École des maris, acte I, sc. II. 55. Syntagma, t.
II
, p. 488 56. Damiron, Essai sur l’histoire de la
4. L’École des maris, acte I, sc. II. 55. Syntagma, t. II, p. 488
56.
Damiron, Essai sur l’histoire de la Philosophie,
sur l’histoire de la Philosophie, Dix-septième siècle, t.1, p. 469.
57.
Morale de Molière, p. 219. 58. Voir plus haut l
, Dix-septième siècle, t.1, p. 469. 57. Morale de Molière, p. 219.
58.
Voir plus haut le mot de Molière que nous citons.
ière, p. 219. 58. Voir plus haut le mot de Molière que nous citons.
59.
Le Festin de Pierre, acte III. sc. II. 60. Sera
ut le mot de Molière que nous citons. 59. Le Festin de Pierre, acte
III
. sc. II. 60. Serait-on tenté de voir ici une con
de Molière que nous citons. 59. Le Festin de Pierre, acte III. sc.
II
. 60. Serait-on tenté de voir ici une contradicti
olière que nous citons. 59. Le Festin de Pierre, acte III. sc. II.
60.
Serait-on tenté de voir ici une contradiction ave
notre second travail ne fait que confirmer la conclusion du premier.
61.
Voir dans Amphytrion, le rôle de Sosie.
I
C’est une étude pleine d’intérêt que de reche
ôt éclater sur l’auteur du Tartufe grondait déjà dans le lointain.
II
Parlons d’abord d’Alceste, la principale figur
, s’écriait dans son grotesque dédain : Ris donc, parterre, ris donc
2
! Une tradition: plus sérieuse, et qui mérite u
ute malveillance, aient voulu découvrir en lui l’original d’Alceste6.
Seize
ans avant Le Misanthrope, Montausier apparaît dan
! Que ce partisan effréné du pouvoir absolu, qui veut qu’on bâtisse “
deux
citadelles à Paris pour contenir le peuple, et qu
belle Sedanaise, qu’il chantait sous le nom allégorique d’Iris ? Et
vingt
ans plus tard, ne le trouvons-nous pas toujours f
portrait d’une femme très-connue à la cour, la même que le satirique,
vingt-huit
mis après, stigmatisait dans ses vers : « Nous
ir à poursuivre de ses satires la sœur de M. le prince, -vouée depuis
treize
ans aux pratiques de la religion la plus austère1
ce le type d’une Arsinoé12. La curiosité s’est aussi exercée sur les
deux
marquis de la pièce. On a cru reconnaître dans Cl
est pas facile de concilier le caractère que la tradition prête à ces
deux
hommes à bonnes fortunes avec les esquisses de-Cl
é de ces traits épars, relatifs à de Lauzun et à de Guiche, il en est
cent
autres diamétralement opposés et faits pour décon
ralement opposés et faits pour déconcerter toutes les allusions16.
III
Un second point de vue, qui ouvre des aspects
cachés18; » Molière, « Dont la gaîté souvent fut voisine des pleurs
19,
» et qui, suivant l’heureuse expression de Sain
fié avec son personnage, souvent ; aussi il l’abandonne : on en voit ,
1a
preuve dans les avertissements et les leçons qu’i
tique en général, et de la manière dont Molière a compris son art.
IV
L’art du poète n’est pas de voir et de copier
ssance du cœur de l’homme. Le poète comique puise .ses inspirations à
deux
sources différentes : l’une, la société qui l’ent
mies dramatiques un cachet d’actualité. De l’heureuse alliance de ces
deux
éléments naît cet ensemble de vérité idéale et de
d’œil l’unité variée de la nature, « si féconde en bizarres portraits
22
; »connaître l’homme, comprendre ce qu’il y a d’un
re ce qu’il y a d’un et d’immuable dans ce « sujet divers et ondoyant
23
; »suivre et saisir, dans le labyrinthe du cœur h
sir, dans le labyrinthe du cœur humain, les passions, ces Protées aux
mille
métamorphoses ; prendre pour type l’espèce et non
tion devant le génie de Ménandre : « O Molière! O nature! qui de vous
deux
a imité l’autre 25 ! » C’est à tort qu’on a c
Ménandre : « O Molière! O nature! qui de vous deux a imité l’autre
25
! » C’est à tort qu’on a comparé la manière du
tort qu’on a comparé la manière du grand poète à celle de la Bruyère
26.
« Je rends au public ce qu’il m’a prêté, » dit l
l peut regarder avec loisir ce portrait que j’ai fait de lui- même
27.
» Quand ou n’aurait que ce seul mot de sa préfac
t, même involontairement, quelques traits du caractère de leur nation
28.
» Mais qu’on se garde bien de chercher dans chac
cette; admirable poétique de L’Impromptu de Versailles ? Écoutez les
deux
, interlocuteurs mis en scène pour éclairer un pub
— Et moi je juge que ce n’est ni l’un ni l’autre. Vous êtes fous tous
deux
de vouloir vous appliquer ces; sortes de choses,
. L’art du poëte comique. Appliquons cette théorie au Misanthrope.
V
En partant de ce principe, que Molière n’a poi
: il y a bien près de l’hypocrite en religion à l’hypocrite en vertu
32.
» Éliante, cette figure sympathique, qui se déta
ndre son œuvre durable, et lui donner un caractère d’universalité.
VI
Apprécions maintenant la personnalité de Moliè
mporte à la vérité, et ce qui est compatible avec la dignité de l’art
36
» Comme on l’a très bien remarqué, L’École des
ans Ariste de L’École des maris, Ariste qui doit épouser une fille de
seize
ans. On donnait la pièce en 1661. L’année suivant
riste qui doit épouser une fille de seize ans. On donnait la pièce en
1661.
L’année suivante, Armande Béjart devait être sa f
sert .qu’à me faire connaître ma faiblesse sans en pouvoir triompher
38
» N’est-ce pas tout à fait le langage d’Alceste,
t esprit observateur qui a vu de près le néant des grandeurs humaines
41
? Et cette Célimène, qui se rit de l’amour qu’ell
’un lâche fit tenir à Molière pour lui prouver l’infidélité d’Armande
42
? Ce salon déserté43, n’est-ce pas en quelque sor
osition de Molière et de sa femme avec celle d’Alceste et de Célimène
45.
» Oui, tous ces souvenirs, évoqués de la vie int
sentirez quelle douleur amère se cache au fond de ce diamant plaisir
47.
» On voudrait se transporter dans ce temps où Mo
possédant eu eux une “étincelle de ce feu sacré qui animait le poëte
48.
Bouillon, 21 mars 1862. B. VAN HOLLEBEKE. 1.
eux une “étincelle de ce feu sacré qui animait le poëte 48. Bouillon,
21
mars 1862. B. VAN HOLLEBEKE. 1. Ch. Louandre,
“étincelle de ce feu sacré qui animait le poëte 48. Bouillon, 21 mars
1862.
B. VAN HOLLEBEKE. 1. Ch. Louandre, Œuvres de
ui animait le poëte 48. Bouillon, 21 mars 1862. B. VAN HOLLEBEKE.
1.
Ch. Louandre, Œuvres de Molière, t. II, p.168. 2
rs 1862. B. VAN HOLLEBEKE. 1. Ch. Louandre, Œuvres de Molière, t.
II
, p.168. 2. Cette plaisante boutade a été immorta
VAN HOLLEBEKE. 1. Ch. Louandre, Œuvres de Molière, t. II, p.168.
2.
Cette plaisante boutade a été immortalisée par La
itique de l’Ecole des femmes. – Consulter Bret, Œuvres de Molière, t.
II
, p.255 3. Note sur le duc et la duchesse de Mon
’Ecole des femmes. – Consulter Bret, Œuvres de Molière, t. II, p.255
3.
Note sur le duc et la duchesse de Montausier. Vo
de Montausier. Voir Montausier, sa vie et son temps, par Amédée Roux,
1861,
p.244 et suivantes. 4. Taschereau, Histoire de l
ier, sa vie et son temps, par Amédée Roux, 1861, p.244 et suivantes.
4.
Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de
des ouvrages de Molière. – Geoffroy, Cours de littérature dramatique,
2e
édition, 1825, t. I, p. 335. 5. Bazin, Notes his
de Molière. – Geoffroy, Cours de littérature dramatique, 2e édition,
1825,
t. I, p. 335. 5. Bazin, Notes historiques sur la
re. – Geoffroy, Cours de littérature dramatique, 2e édition, 1825, t.
I
, p. 335. 5. Bazin, Notes historiques sur la vie
oy, Cours de littérature dramatique, 2e édition, 1825, t. I, p. 335.
5.
Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, 2
25, t. I, p. 335. 5. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière,
2e
éditions Paris, Techner, 1857, p. 143. 6. Fléchi
Notes historiques sur la vie de Molière, 2e éditions Paris, Techner,
1857,
p. 143. 6. Fléchier, Oraison funèbre de M. de Mo
ues sur la vie de Molière, 2e éditions Paris, Techner, 1857, p. 143.
6.
Fléchier, Oraison funèbre de M. de Montausier. —
— Massillon, Oraison funèbre du Dauphin. — Mme de Sévigné, Lettre du
4
août 1677. — Amédée Roux, ouvrage cité. — Le Père
illon, Oraison funèbre du Dauphin. — Mme de Sévigné, Lettre du 4 août
1677.
— Amédée Roux, ouvrage cité. — Le Père Petit, Bio
médée Roux, ouvrage cité. — Le Père Petit, Biographie de Montausier.
7.
Tallemant des Réaux. 8. Rœderer, Mémoire sur la
— Le Père Petit, Biographie de Montausier. 7. Tallemant des Réaux.
8.
Rœderer, Mémoire sur la société polie, 1835, p. 2
. 7. Tallemant des Réaux. 8. Rœderer, Mémoire sur la société polie,
1835,
p. 219. — Sainte-Beuve, Causeries du lundi, t. VI
a société polie, 1835, p. 219. — Sainte-Beuve, Causeries du lundi, t.
VIII
, p. 314. — F. Genin, Vie de Molière, p. XXVI. 9.
ries du lundi, t. VIII, p. 314. — F. Genin, Vie de Molière, p. XXVI.
9.
Victor Cousin, La société française au XVIIe sièc
IIe siècle, d’après le Grand Cyrus de Mlle de Scudéry. Paris, Didier,
1858,
t. II, p. 53. — On pourrait multiplier à l’infini
e, d’après le Grand Cyrus de Mlle de Scudéry. Paris, Didier, 1858, t.
II
, p. 53. — On pourrait multiplier à l’infini ces r
firme que Molière a peint Montausier au naturel dans Le Misanthrope.
10.
Bazin, Notes historiques sur la vie: de Molière,
Le Misanthrope. 10. Bazin, Notes historiques sur la vie: de Molière,
2e
éditions Paris, Techner, 1857, p. 143. Aimé-Marti
Notes historiques sur la vie: de Molière, 2e éditions Paris, Techner,
1857,
p. 143. Aimé-Martin cite avec complaisance tous l
uange sont également vraies et ne peuvent convenir qu’à lui seul. »
11.
Bazin, ouvrage cité, p. 143 12. On trouve le por
peuvent convenir qu’à lui seul. » 11. Bazin, ouvrage cité, p. 143
12.
On trouve le portait suivant dans un manuscrit de
mme un curieux rapprochement. Voir Sainte-Beuve, Portraits de femmes,
1854,
p. 348. 13. Voir Philarète Chasles, Œuvres de Mo
rapprochement. Voir Sainte-Beuve, Portraits de femmes, 1854, p. 348.
13.
Voir Philarète Chasles, Œuvres de Molière, Notice
oir Philarète Chasles, Œuvres de Molière, Notice sur le Misanthrope.
14.
Misanthrope, acte II, sc. I. 15. Ibid., acte I
Œuvres de Molière, Notice sur le Misanthrope. 14. Misanthrope, acte
II
, sc. I. 15. Ibid., acte II, sc. III. 16. Mémo
e Molière, Notice sur le Misanthrope. 14. Misanthrope, acte II, sc.
I
. 15. Ibid., acte II, sc. III. 16. Mémoires co
lière, Notice sur le Misanthrope. 14. Misanthrope, acte II, sc. I.
15.
Ibid., acte II, sc. III. 16. Mémoires complets
le Misanthrope. 14. Misanthrope, acte II, sc. I. 15. Ibid., acte
II
, sc. III. 16. Mémoires complets et authentiques
nthrope. 14. Misanthrope, acte II, sc. I. 15. Ibid., acte II, sc.
III
. 16. Mémoires complets et authentiques du duc d
e. 14. Misanthrope, acte II, sc. I. 15. Ibid., acte II, sc. III.
16.
Mémoires complets et authentiques du duc de Sain
tiques du duc de Saint-Simon, Paris, Hachette. Voir sur de Guiche, t.
VIII
, p. 221 et suiv., passim ; et sur de Lauzun, t. X
ur de Guiche, t. VIII, p. 221 et suiv., passim ; et sur de Lauzun, t.
XIII
, p. 66 et suiv., passim. — A l’époque du Misanthr
, p. 66 et suiv., passim. — A l’époque du Misanthrope de Guiche avait
28
ans et était au plus beau moment de sa carrière;
8 ans et était au plus beau moment de sa carrière; de Lauzun en avait
34,
et trois ans plus tard prenait le chemin de la Ba
t était au plus beau moment de sa carrière; de Lauzun en avait 34, et
trois
ans plus tard prenait le chemin de la Bastille.
n avait 34, et trois ans plus tard prenait le chemin de la Bastille.
17.
Voir le commentaire d’Aimé-Martin, qui a poussé u
-Martin, qui a poussé un peu loin les allusions dans Le Misanthrope.
18.
Boileau, Art poétique, chant III. 19. Auguste B
les allusions dans Le Misanthrope. 18. Boileau, Art poétique, chant
III
. 19. Auguste Barbier, L’Ombre de Molière, inter
lusions dans Le Misanthrope. 18. Boileau, Art poétique, chant III.
19.
Auguste Barbier, L’Ombre de Molière, intermède, s
chant III. 19. Auguste Barbier, L’Ombre de Molière, intermède, sc.
III
. « Le grand contemplateur au rire bon et triste
on et triste, » dit encore Brizeux, dans sa Poétique nouvelle, chant
II
. — « Beaumarchais était morose, dit Victor Hugo,
èrement gai. » —Voir Beaumarchais et son temps, par Louis de Loménie,
2e
édit., t. I, p. 62. 20. Voir Alfred Mezières, S
» —Voir Beaumarchais et son temps, par Louis de Loménie, 2e édit., t.
I
, p. 62. 20. Voir Alfred Mezières, Shakspeare, s
marchais et son temps, par Louis de Loménie, 2e édit., t. I, p. 62.
20.
Voir Alfred Mezières, Shakspeare, ses œuvres et s
ezières, Shakspeare, ses œuvres et ses critiques. Paris, Charpentier,
1860,
p. 333 et suiv. 21. Taine, La Fontaine et ses fa
s œuvres et ses critiques. Paris, Charpentier, 1860, p. 333 et suiv.
21.
Taine, La Fontaine et ses fables. 22. Boileau, A
entier, 1860, p. 333 et suiv. 21. Taine, La Fontaine et ses fables.
22.
Boileau, Art poétique, chant III. 23. Montaigne,
. Taine, La Fontaine et ses fables. 22. Boileau, Art poétique, chant
III
. 23. Montaigne, Essais. 24. Louandre, Vie de Mo
e, La Fontaine et ses fables. 22. Boileau, Art poétique, chant III.
23.
Montaigne, Essais. 24. Louandre, Vie de Molière,
bles. 22. Boileau, Art poétique, chant III. 23. Montaigne, Essais.
24.
Louandre, Vie de Molière, p. XXVII – « Molière, d
ans le disséquer. » (De Barante, Tableau littéraire du XVIIIe siècle,
8e
édition, p.44.) « Une scène de Molière n’est pas
as un commentaire sur la nature, »c’est la nature même. Ibid. p. 92)
25.
G. Guizot, Ménandre, étude hist. et litt sur la c
) 25. G. Guizot, Ménandre, étude hist. et litt sur la comédie, etc.
26.
Voir Auger, Notice sur la Bruyère. 27. Sainte-Be
et litt sur la comédie, etc. 26. Voir Auger, Notice sur la Bruyère.
27.
Sainte-Beuve, Nouveaux portraits. M. Sainte-Beuve
. M. Sainte-Beuve dit encore dans son remarquable ouvrage Port-Royal,
2e
édition, t. III, p. 226 : « Molière n’est rien mo
ve dit encore dans son remarquable ouvrage Port-Royal, 2e édition, t.
III
, p. 226 : « Molière n’est rien moins qu’un peintr
pour ne pas aller calquer leurs démarches sur la stricte réalité. »
28.
Chamfort, 4. —Voir aussi, dans les Nouveaux Mémoi
ler calquer leurs démarches sur la stricte réalité. » 28. Chamfort,
4.
—Voir aussi, dans les Nouveaux Mémoires de l’Acad
eaux Mémoires de l’Académie des sciences et belles-lettres de Berlin,
1770,
le Discours sur Matière, par Bitaubé, p. 346. — E
d’analyses du Misanthrope et du Tartufe, par de Saint-Prosper, Paris,
1812.
Nous, avons oui dire que cet essai renferme des d
ssible d’en découvrir un exemplaire dans les bibliothèques de Paris.
29.
Impromptu, de Versailles, scène III ; et dans, L
ans les bibliothèques de Paris. 29. Impromptu, de Versailles, scène
III
; et dans, La Critique de l’École des femmes, qui
d’une censure générale : ce sont miroirs publics, etc., etc. »(Scène
VII
.) 30. E. Geruzez, Études littéraires, 7e édit.,
censure générale : ce sont miroirs publics, etc., etc. »(Scène VII.)
30.
E. Geruzez, Études littéraires, 7e édit., p. 208.
ublics, etc., etc. »(Scène VII.) 30. E. Geruzez, Études littéraires,
7e
édit., p. 208. 31. Taschereau, ouvrage cité. 32
»(Scène VII.) 30. E. Geruzez, Études littéraires, 7e édit., p. 208.
31.
Taschereau, ouvrage cité. 32. Ibid. 33. « Il e
Études littéraires, 7e édit., p. 208. 31. Taschereau, ouvrage cité.
32.
Ibid. 33. « Il est de mes amis. » (Le Misanthro
raires, 7e édit., p. 208. 31. Taschereau, ouvrage cité. 32. Ibid.
33.
« Il est de mes amis. » (Le Misanthrope, acte II,
cité. 32. Ibid. 33. « Il est de mes amis. » (Le Misanthrope, acte
II
, scène V.) 34. Le Misanthrope, acte II, scène V
. Ibid. 33. « Il est de mes amis. » (Le Misanthrope, acte II, scène
V.
) 34. Le Misanthrope, acte II, scène V. 35. «
id. 33. « Il est de mes amis. » (Le Misanthrope, acte II, scène V.)
34.
Le Misanthrope, acte II, scène V. 35. « Il ne
mis. » (Le Misanthrope, acte II, scène V.) 34. Le Misanthrope, acte
II
, scène V. 35. « Il ne plaçait aucuns traits qu
Misanthrope, acte II, scène V.) 34. Le Misanthrope, acte II, scène
V.
35. « Il ne plaçait aucuns traits qu’il n’eût
nthrope, acte II, scène V.) 34. Le Misanthrope, acte II, scène V.
35.
« Il ne plaçait aucuns traits qu’il n’eût des id
voulut le mettre sur le théâtre. » (Grimarest, Vie de Molière. Paris,
1705,
p. 189.) « Molière, a dit Lagrange, camarade et
remarqué bien des fois. » (Voir Sainte- Beuve, Nouveaux portraits.)
36.
D. Nisard, Histoire de la littérature française.
rqué bien des fois. » (Voir Sainte- Beuve, Nouveaux portraits.) 36.
D.
Nisard, Histoire de la littérature française. 3
portraits.) 36. D. Nisard, Histoire de la littérature française.
37.
Armande Béjart, sœur et non fille de Madeleine Bé
ère.) Voir le portrait d’Armande, dans Le Bourgeois gentilhomme, acte
III
, scène IX : « Elle a les yeux petits - Cela est v
le portrait d’Armande, dans Le Bourgeois gentilhomme, acte III, scène
IX
: « Elle a les yeux petits - Cela est vrai, elle
ultez les lettres de Mlle Poisson, insérées au Mercure de France, mai
1740,
pp. 845-849. De même, juin 1740. 38. Voir la Fa
lettres de Mlle Poisson, insérées au Mercure de France, mai 1740, pp.
845-849.
De même, juin 1740. 38. Voir la Fameuse comédie
, insérées au Mercure de France, mai 1740, pp. 845-849. De même, juin
1740.
38. Voir la Fameuse comédienne ou Intrigues de
es au Mercure de France, mai 1740, pp. 845-849. De même, juin 1740.
38.
Voir la Fameuse comédienne ou Intrigues de Molièr
u Intrigues de Molière et de sa femme, p. 39 ; Mémoires de Grimarest,
31
F. Génin, Vie de Molière. 39. Misanthrope, acte
a femme, p. 39 ; Mémoires de Grimarest, 31 F. Génin, Vie de Molière.
39.
Misanthrope, acte I, sc. II, etc. 40. Ibid., a
es de Grimarest, 31 F. Génin, Vie de Molière. 39. Misanthrope, acte
I
, sc. II, etc. 40. Ibid., acte V, sc. I. 41. M
rimarest, 31 F. Génin, Vie de Molière. 39. Misanthrope, acte I, sc.
II
, etc. 40. Ibid., acte V, sc. I. 41. Misanthro
31 F. Génin, Vie de Molière. 39. Misanthrope, acte I, sc. II, etc.
40.
Ibid., acte V, sc. I. 41. Misanthrope, acte II
de Molière. 39. Misanthrope, acte I, sc. II, etc. 40. Ibid., acte
V
, sc. I. 41. Misanthrope, acte III, sc. III. 42
ère. 39. Misanthrope, acte I, sc. II, etc. 40. Ibid., acte V, sc.
I
. 41. Misanthrope, acte III, sc. III. 42. Ibid
39. Misanthrope, acte I, sc. II, etc. 40. Ibid., acte V, sc. I.
41.
Misanthrope, acte III, sc. III. 42. Ibid., act
e I, sc. II, etc. 40. Ibid., acte V, sc. I. 41. Misanthrope, acte
III
, sc. III. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ib
II, etc. 40. Ibid., acte V, sc. I. 41. Misanthrope, acte III, sc.
III
. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte
c. 40. Ibid., acte V, sc. I. 41. Misanthrope, acte III, sc. III.
42.
Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte V, sc
cte V, sc. I. 41. Misanthrope, acte III, sc. III. 42. Ibid., acte
IV
, sc. III. 43. Ibid., acte V, scènes IV, V et VI
c. I. 41. Misanthrope, acte III, sc. III. 42. Ibid., acte IV, sc.
III
. 43. Ibid., acte V, scènes IV, V et VI. 44. I
41. Misanthrope, acte III, sc. III. 42. Ibid., acte IV, sc. III.
43.
Ibid., acte V, scènes IV, V et VI. 44. II nous
, acte III, sc. III. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte
V
, scènes IV, V et VI. 44. II nous semble entendr
, sc. III. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte V, scènes
IV
, V et VI. 44. II nous semble entendre Molière,
. III. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte V, scènes IV,
V
et VI. 44. II nous semble entendre Molière, tou
. 42. Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte V, scènes IV, V et
VI
. 44. II nous semble entendre Molière, toujours
Ibid., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte V, scènes IV, V et VI.
44.
II nous semble entendre Molière, toujours plein d
id., acte IV, sc. III. 43. Ibid., acte V, scènes IV, V et VI. 44.
II
nous semble entendre Molière, toujours plein de p
L’École des femmes : « Je te pardonne et te rends ma tendresse. »
45.
Telle est aussi l’opinion de M. de Sainte-Beuve e
et des critiques les plus judicieux. Voir F. Génin, Vie de Molière ;
D.
Nisard, Hist. de la littérature française, etc. ;
La jeunesse de Molière, lettre de Félix Delhasse, p.’13; etc., etc.
46.
F. Génin, Vie de Molière, p. 45. 47. F. Génin, I
ix Delhasse, p.’13; etc., etc. 46. F. Génin, Vie de Molière, p. 45.
47.
F. Génin, Ibid. 48. Pour se faire une idée de c
c., etc. 46. F. Génin, Vie de Molière, p. 45. 47. F. Génin, Ibid.
48.
Pour se faire une idée de cette troupe accomplie
consulter L’Histoire du théâtre français, par les frères Parfait, t.
XIV
, p. 257 et suiv. —Segraisiana, 1721, 1re partie.
ançais, par les frères Parfait, t. XIV, p. 257 et suiv. —Segraisiana,
1721,
1re partie. —-Grimarest, p. 202. — Tascheneau, ou
, par les frères Parfait, t. XIV, p. 257 et suiv. —Segraisiana, 1721,
1re
partie. —-Grimarest, p. 202. — Tascheneau, ouvrag
1, 1re partie. —-Grimarest, p. 202. — Tascheneau, ouvrage cité, livre
III
. « Le Misanthrope garde encore aujourd’hui toute
Chapitre
XIII
Suite de la 6e période, de 1650 à 1660. — Soci
Chapitre XIII Suite de la
6e
période, de 1650 à 1660. — Sociétés d’élite qui p
Chapitre XIII Suite de la 6e période, de
1650
à 1660. — Sociétés d’élite qui prennent la place
Chapitre XIII Suite de la 6e période, de 1650 à
1660.
— Sociétés d’élite qui prennent la place de l’hôt
étés d’élite qui prennent la place de l’hôtel de Rambouillet. Après
1645,
quand la société de Rambouillet commença à se dis
progrès, et il ne fit qu’en favoriser le développement et l’éclat. En
1650,
la société de tous les rangs, de toutes les opini
ns à connaître les cercles de la bonne compagnie qui existèrent entre
1560
et 1660 ; mais auparavant disons encore quelque c
naître les cercles de la bonne compagnie qui existèrent entre 1560 et
1660
; mais auparavant disons encore quelque chose de
lus jeune sœur de la duchesse, Angélique Claire d’Angennes, mariée en
1658
au comte de Grignan, le même qui, après un second
le même qui, après un second mariage, épousa en troisièmes noces, en
1669,
mademoiselle de Sévigné, avec qui sa mère lia cet
ivains ridicules dans sa maison qui était ouverte à tout le monde. De
1650
à 1660, nous voyons donc la marquise, âgée de 70
ridicules dans sa maison qui était ouverte à tout le monde. De 1650 à
1660,
nous voyons donc la marquise, âgée de 70 à 80 ans
tout le monde. De 1650 à 1660, nous voyons donc la marquise, âgée de
70
à 80 ans, sa seconde fille mariée au comte de Gri
le monde. De 1650 à 1660, nous voyons donc la marquise, âgée de 70 à
80
ans, sa seconde fille mariée au comte de Grignan
Nemours ; madame de Sablé, les Scudéry même. Descartes était mort en
1650,
Sarrazin et Balzac en 1654. Il ne restait en homm
les Scudéry même. Descartes était mort en 1650, Sarrazin et Balzac en
1654.
Il ne restait en hommes, à madame de Rambouillet,
e m’inquiète guère pour sa mémoire, des satires de Boileau contre les
deux
premiers, et je suis fort rassuré sur leur compte
s satires. Voltaire est évidemment dans l’erreur : c’est seulement en
1664
et 1665 que Boileau, pour la première fois, a pub
s. Voltaire est évidemment dans l’erreur : c’est seulement en 1664 et
1665
que Boileau, pour la première fois, a publié des
re fois, a publié des épigrammes contre Chapelain. Or, en cette année
1665,
est morte la marquise de Rambouillet, âgée de 81
r, en cette année 1665, est morte la marquise de Rambouillet, âgée de
81
ou 82 ans. On ne voit pas fa possibilité du décha
cette année 1665, est morte la marquise de Rambouillet, âgée de 81 ou
82
ans. On ne voit pas fa possibilité du déchaînemen
ammes et satires de Boileau, durant les derniers jours d’une femme de
82
ans. C’est pourtant sur cet anachronisme de Volta
en mépris sur l’hôtel Rambouillet. Revenant à Cottin, je dirai qu’en
1663
il fit imprimer des Œuvres galantes en vers et en
e de Sévigné. Elle fit son entrée dans le monde dans cette même année
1654,
où l’abbé d’Aubignac et Molière faisaient la guer
cieuses, l’un à Paris, l’autre en province. Orpheline depuis l’âge de
5
ans, élevée par un oncle respectable, instruite p
ans, élevée par un oncle respectable, instruite par Ménage, mariée à
18
ans, veuve à 26, retirée pendant deux années qu’e
un oncle respectable, instruite par Ménage, mariée à 18 ans, veuve à
26,
retirée pendant deux années qu’elle emploie à l’é
e, instruite par Ménage, mariée à 18 ans, veuve à 26, retirée pendant
deux
années qu’elle emploie à l’éducation de ses enfan
de sa fille, désolée de la mort de son mari et de celle d’un fils de
31
ans arrivées à un an de distance, fut la première
e femme charmante, dont l’esprit et la grâce n’ont pas vieilli depuis
deux
siècles, dont la vertu a été aussi souvent citée
’y est établi. On a peu de lettres de madame de Sévigné antérieures à
1661.
Les anciens recueils ne commencent même qu’à 1661
igné antérieures à 1661. Les anciens recueils ne commencent même qu’à
1661.
On doit aux recherches de M. de Monmerqué les let
qu’elle avait amené à se contenter de son amitié ? Il lui écrivait le
30
juillet 1654 : « Mon Dieu, que vous avez d’esprit
it amené à se contenter de son amitié ? Il lui écrivait le 30 juillet
1654
: « Mon Dieu, que vous avez d’esprit, ma belle co
ma belle cousine, que vous écrivez bien, que vous êtes aimable ! » Le
7
octobre 1655, à propos de l’estime que M. de Ture
ousine, que vous écrivez bien, que vous êtes aimable ! » Le 7 octobre
1655,
à propos de l’estime que M. de Turenne lui avait
e les lettres de madame de Sévigné au surintendant Fouquet, lorsqu’en
1654,
il se mit en tête de la séduire ! Elle était veuv
qu’en 1654, il se mit en tête de la séduire ! Elle était veuve depuis
1651,
et avait 27 ans. Elle ne voulait point Fouquet po
se mit en tête de la séduire ! Elle était veuve depuis 1651, et avait
27
ans. Elle ne voulait point Fouquet pour amant ; e
ficulté ! Qu’il serait curieux de voir comment elle lui écrivait ! En
1661,
quand Louis XIV fit arrêter Fouquet, on saisit un
ière mit ses Précieuses au théâtre de la capitale. Dans la période de
1650
à 1660, nous ne revoyons plus que dans d’autres s
t ses Précieuses au théâtre de la capitale. Dans la période de 1650 à
1660,
nous ne revoyons plus que dans d’autres sociétés,
voyons plus que dans d’autres sociétés, la marquise de Sablé, âgée de
42
à 52 ans, la comtesse de la Suze, âgée de 38 à 48
s plus que dans d’autres sociétés, la marquise de Sablé, âgée de 42 à
52
ans, la comtesse de la Suze, âgée de 38 à 48, mad
rquise de Sablé, âgée de 42 à 52 ans, la comtesse de la Suze, âgée de
38
à 48, madame de la Fayette, âgée de 18 à 28. Les
e de Sablé, âgée de 42 à 52 ans, la comtesse de la Suze, âgée de 38 à
48,
madame de la Fayette, âgée de 18 à 28. Les deux m
a comtesse de la Suze, âgée de 38 à 48, madame de la Fayette, âgée de
18
à 28. Les deux maisons principales qui s’ouvriren
tesse de la Suze, âgée de 38 à 48, madame de la Fayette, âgée de 18 à
28.
Les deux maisons principales qui s’ouvrirent à la
la Suze, âgée de 38 à 48, madame de la Fayette, âgée de 18 à 28. Les
deux
maisons principales qui s’ouvrirent à la bonne co
au grand monde, furent l’hôtel d’Albret et l’hôtel de Richelieu, vers
1655.
Le duc de Saint-Simon parle de l’hôtel d’Albret c
compagnie, et il en suppose l’existence du vivant de Scarron, mort en
1660.
Ce fut chez Scarron que le maréchal d’Albret fit
it tous ces détails dans les Souvenirs de madame de Caylus, p. 140 et
141.
On y lit aussi que l’hôtel d’Albret et l’hôtel de
Maure, fort recherchées alors comme beaux esprits. Dans la période de
1650
à 1660, Mademoiselle était âgée de vingt-trois à
fort recherchées alors comme beaux esprits. Dans la période de 1650 à
1660,
Mademoiselle était âgée de vingt-trois à trente-t
x esprits. Dans la période de 1650 à 1660, Mademoiselle était âgée de
vingt-trois
à trente-trois ans. Segrais, âgé de vingt-six à t
s la période de 1650 à 1660, Mademoiselle était âgée de vingt-trois à
trente-trois
ans. Segrais, âgé de vingt-six à trente-six ans,
oiselle était âgée de vingt-trois à trente-trois ans. Segrais, âgé de
vingt-six
à trente-six ans, était son secrétaire, sous le t
t âgée de vingt-trois à trente-trois ans. Segrais, âgé de vingt-six à
trente-six
ans, était son secrétaire, sous le titre de son g
re les ouvrages venant de si haut. Le duc de La Rochefoucauld, âgé de
quarante-huit
ans en 1661, époque où madame de Longue ville com
t de si haut. Le duc de La Rochefoucauld, âgé de quarante-huit ans en
1661,
époque où madame de Longue ville commença à se re
Albret et de Richelieu, et qui se partageaient entre elles et lui. En
1660,
madame de Longueville était âgée de quarante-deux
ient entre elles et lui. En 1660, madame de Longueville était âgée de
quarante-deux
ans. Ses habitudes d’intrigue finirent en 1661, à
était âgée de quarante-deux ans. Ses habitudes d’intrigue finirent en
1661,
à la mort du cardinal Mazarin. Elle devint dévote
nirent en 1661, à la mort du cardinal Mazarin. Elle devint dévote. En
1663,
quand elle perdit son mari, elle se voua à la ret
Longueville. Après avoir perdu son fils au fameux passage du Rhin du
12
juin 1672, elle s’établit à Port-Royal-des-Champs
ille. Après avoir perdu son fils au fameux passage du Rhin du 12 juin
1672,
elle s’établit à Port-Royal-des-Champs. Là, les A
es de Sacy s’assemblaient chez elle et formèrent toute sa société. En
1655,
une nouvelle maison s’ouvrit ; ce fut celle de ma
a femme de France qui avait le plus d’esprit et qui écrivait le mieux
43.
À l’époque de son mariage, elle était âgée de vin
i écrivait le mieux 43. À l’époque de son mariage, elle était âgée de
vingt-deux
ans. Du moment qu’elle fut établie, elle se plut
j’ai réformé son cœur. »C’était à l’occasion des Maximes, publiées en
1665,
qu’ils faisaient l’utile échange de leurs sentime
madame de La Fayette où était M. de La Rochefoucauld. Quelquefois les
trois
amis se trouvaient ensemble à l’hôtel de Longuevi
e mot fut employé originairement comme désignation d’un caractère. En
1671,
madame de Sévigné écrit à sa fille qu’elle a la p
e Guittaut, après la mort de madame de La Fayette, que leur amitié de
quarante
ans n’avait jamais eu le moindre nuage, que son g
nous anticipons ici sur la période suivante. Madame Cornuel, née en
1609,
en 1650 avait quarante-un ans. Son mari était tré
icipons ici sur la période suivante. Madame Cornuel, née en 1609, en
1650
avait quarante-un ans. Son mari était trésorier d
xtraordinaire des guerres, grand emploi de finance. Elle est morte en
1694
à quatre-vingt-cinq ans. Chaulieu nous apprend, p
inaire des guerres, grand emploi de finance. Elle est morte en 1694 à
quatre-vingt-cinq
ans. Chaulieu nous apprend, par son épitaphe, que
en des termes vils et concis, comme les habiles dessinateurs, qui, en
trois
ou quatre coups de crayon, ont voir toute la perf
rmes vils et concis, comme les habiles dessinateurs, qui, en trois ou
quatre
coups de crayon, ont voir toute la perfection d’u
ayon, ont voir toute la perfection d’une figure. » (Mém. de litt., t.
I
, p. 341.) Nous avons vu madame Cornuel dans la so
de sa belle-sœur Madeleine et de Georges de Scudéry son mari, âgée de
19
à 29 ans. Ses lettres au comte de Bussy-Rabutin l
belle-sœur Madeleine et de Georges de Scudéry son mari, âgée de 19 à
29
ans. Ses lettres au comte de Bussy-Rabutin la pla
était accueillie dans les meilleures, et y figurait convenablement.
38.
Le prince de Conti. 39. M. de Bouillon. 40. M.
meilleures, et y figurait convenablement. 38. Le prince de Conti.
39.
M. de Bouillon. 40. M. de Turenne. 41. M. de Fo
urait convenablement. 38. Le prince de Conti. 39. M. de Bouillon.
40.
M. de Turenne. 41. M. de Fouquet. 42. Lettre de
. 38. Le prince de Conti. 39. M. de Bouillon. 40. M. de Turenne.
41.
M. de Fouquet. 42. Lettre de Bussy-Rabutin à mad
Conti. 39. M. de Bouillon. 40. M. de Turenne. 41. M. de Fouquet.
42.
Lettre de Bussy-Rabutin à mademoiselle de Sévigné
e Fouquet. 42. Lettre de Bussy-Rabutin à mademoiselle de Sévigné, du
16
(ou 14) juin 1644 (ou plutôt 1654). — Lettre de m
et. 42. Lettre de Bussy-Rabutin à mademoiselle de Sévigné, du 16 (ou
14
) juin 1644 (ou plutôt 1654). — Lettre de mademois
Lettre de Bussy-Rabutin à mademoiselle de Sévigné, du 16 (ou 14) juin
1644
(ou plutôt 1654). — Lettre de mademoiselle de Sév
Rabutin à mademoiselle de Sévigné, du 16 (ou 14) juin 1644 (ou plutôt
1654
). — Lettre de mademoiselle de Sévigné à Bussy-Rab
plutôt 1654). — Lettre de mademoiselle de Sévigné à Bussy-Rabutin, du
17
août suivant. T. Ier de l’édition de 1818, p. 344
e Sévigné à Bussy-Rabutin, du 17 août suivant. T. Ier de l’édition de
1818,
p. 344 et 350. 43. Madame de La Fayette, auteur
y-Rabutin, du 17 août suivant. T. Ier de l’édition de 1818, p. 344 et
350.
43. Madame de La Fayette, auteur de Zaïde, de La
tin, du 17 août suivant. T. Ier de l’édition de 1818, p. 344 et 350.
43.
Madame de La Fayette, auteur de Zaïde, de La Prin
stoire d’Henriette d’Angleterre, les Mémoires de la Cour de France de
1688
et 1689.
’Henriette d’Angleterre, les Mémoires de la Cour de France de 1688 et
1689.
EXAMEN DE
DEUX
FRAGMENTS INÉDITS PARAISSANT APPARTENIR A L’OEUVR
cture attentive de la comédie M. de Pourceaugnac laisse dans l’esprit
1’idée
d’une chose incomplète, mal finie, soit dès 1’ori
isse dans l’esprit 1’idée d’une chose incomplète, mal finie, soit dès
1’origine
, soit par suite d’un remaniement ; il y a des hés
usses si les raisonnements qui vont suivre paraissent insuffisants.
I
Ce fut en lisant la partition du Carnaval, de
lons parler au lecteur. Le Carnaval fut représenté au mois de février
1675
; cet opéra-ballet avait huit intermèdes, une intr
rnaval fut représenté au mois de février 1675; cet opéra-ballet avait
huit
intermèdes, une introduction et un finale, en tou
-ballet avait huit intermèdes, une introduction et un finale, en tout
dix
entrées. Lully avait composé cette partition avec
et, comme ceux qui le précèdent et le suivent, il a dû exister avant
1675
tel que le rapporte le Carnaval. Le ballet du Car
Carnaval, ballet-mascarade), figure au catalogue Soleine, sous le n°
3301-7-
; il y est désigné comme étant composé de huit en
Soleine, sous le n° 3301-7- ; il y est désigné comme étant composé de
huit
entrées et d’un prologue : N° 3301. Le Carnaval,
est désigné comme étant composé de huit entrées et d’un prologue : N°
3301.
Le Carnaval, ballet-mascarade, huit entrées et pr
it entrées et d’un prologue : N° 3301. Le Carnaval, ballet-mascarade,
huit
entrées et prologue; paroles prises dans Quinault
paroles prises dans Quinault, Benserade et Molière, musique de Lully,
17
octobre 1675-1700. La note ajoute: Pourceaugnac,
ses dans Quinault, Benserade et Molière, musique de Lully, 17 octobre
1675-1700.
La note ajoute: Pourceaugnac, acte tiré de ce bal
obre 1675-1700. La note ajoute: Pourceaugnac, acte tiré de ce ballet,
1716-30.
Il en résulte que le succès du Carnaval avait été
le succès du Carnaval avait été assez grand pour que, joué d’abord en
1675,
il fût repris en 1700, et pour qu’une partie de c
vait été assez grand pour que, joué d’abord en 1675, il fût repris en
1700,
et pour qu’une partie de cette partition fût joué
repris en 1700, et pour qu’une partie de cette partition fût jouée en
1716,
séparément, puis encore en 1730. Les indications
rtie de cette partition fût jouée en 1716, séparément, puis encore en
1730.
Les indications du catalogue Soleine ne nous para
des entrées est mal indiqué, et si Quinault ou Benserade (et non les
deux
, et c’est plutôt Benserade) a fourni quelque chos
uelque chose, ce ne peut être que dans l’introduction, la très courte
9ª
entrée et le finale, intermèdes tirés d’un même e
à nos chants... est prise dans un autre Carnaval, dansé à la cour en
1668.
La première entrée : Les Espagnols (Trois Espagno
arnaval, dansé à la cour en 1668. La première entrée : Les Espagnols (
Trois
Espagnols chantants, trois Espagnols et trois Esp
1668. La première entrée : Les Espagnols (Trois Espagnols chantants,
trois
Espagnols et trois Espagnoles dansants), avec les
entrée : Les Espagnols (Trois Espagnols chantants, trois Espagnols et
trois
Espagnoles dansants), avec les airs : Se que me’
de : Dulce muerte es el amor... vient du Bourgeois gentilhomme. La
2e
entrée : Le Barbacole (un maître d’école italien,
trée : Le Barbacole (un maître d’école italien, nommé Barbacola, avec
quatre
enfants écoliers) est tirée d’une ancienne pièce
olière dont nous nous réservons de parler à la fin de cet article. La
3e
entrée est le Pourceaugnac. La 4e entrée : La Ber
parler à la fin de cet article. La 3e entrée est le Pourceaugnac. La
4e
entrée : La Bergerie (Philène, Tircis, troupe de
: Pauvres amants... est tirée du concert donné dans le Sicilien. La
5e
entrée : Les Italiens et les Egyptiens, est tirée
tristesse... Les biens, la gloire... les sceptres qu’on envie... La
6e
entrée : Le Muphti et la Cérémonie turque, est pr
et la Cérémonie turque, est prise dans le Bourgeois gentilhomme. La
7e
entrée: Les Nouveaux mariés (Philis, Idas, Lycas)
et les airs des musiciens, vient de la sérénade de Pourceaugnac. La
8e
entrée : Les Bohémiennes (un Egyptien, dansant et
Les Bohémiennes (un Egyptien, dansant et chantant, est accompagné de
quatre
Bohémiens jouant de la guitare, de quatre Basques
chantant, est accompagné de quatre Bohémiens jouant de la guitare, de
quatre
Basques jouant des castagnettes, et de quatre Egy
ouant de la guitare, de quatre Basques jouant des castagnettes, et de
quatre
Egyptiens jouant des gnaccares) avec les airs sui
oi, hâtons-nous, ma Sylvie... est tirée de la Pastorale comique. La
9e
entrée : La Galanterie (la Galanterie est accompa
ique. La 9e entrée : La Galanterie (la Galanterie est accompagnée de
deux
Basques et de cinq polichinelles qui dansent alte
: La Galanterie (la Galanterie est accompagnée de deux Basques et de
cinq
polichinelles qui dansent alternativement après s
le. Le soin d’un amant.. vient, comme l’Introduction, du Carnaval de
1668.
La 10e entrée : Réunion du Carnaval et des peuple
in d’un amant.. vient, comme l’Introduction, du Carnaval de 1668. La
10e
entrée : Réunion du Carnaval et des peuples qui f
a douceur de nos chansons... vient aussi, comme l’introduction et la
9e
entrée, du Carnaval de l’hiver 1668. Sans parler
t aussi, comme l’introduction et la 9e entrée, du Carnaval de l’hiver
1668.
Sans parler ici du Pourceaugnac que nous allons e
ertitude que toutes ces entrées ont été prises sans changement — sauf
trois
morceaux de peu d’importance, elles sont toutes t
urceaugnac a livré au Carnaval toute la musique de ses intermèdes.
II
Mais ici se place une remarque singulière : to
sement de Chambord, publiée chez Ballard, (indiquée comme imprimée en
1670,
in-4°, mais que nous n’avons pu trouver que porta
1670, in-4°, mais que nous n’avons pu trouver que portant la date de
1715.
Au reste, comme on le verra plus loin, cette diff
.) Pourceaugnac, bourgeois italien, vient demander justice sur ce que
deux
femmes veulent lui faire accroire qu’il les a épo
ue deux femmes veulent lui faire accroire qu’il les a épousées toutes
deux
, et chante : Giustitia ! Giustitia ! (4 fois) N
’il les a épousées toutes deux, et chante : Giustitia ! Giustitia ! (
4
fois) Non sara moi possibile, Cbè in caso si ter
mi sia favorevole Contro si gran’ malitia, Giustitia ! Giustitia ! (
4
fois) Pourceaugnac aperçoit un avocat et le salu
atroce, Gridand’ ad alla voce, Che con me son maritate. Han mentito (
3
fois) lo scelerate; M’hanno meinato tanti bambini
, M’hanno messo tutt’ in bisbiglio Car’ avocato mio Consiglio {bis) (
4
fois) Car avocato mio Consiglio {bis). L’avoca
ourceaugnac, au désespoir, répond à l’avocat bredouilleux : Tinque! (
9
fois) tin! Povero Pursognacco, Giur’ al corpo di
o di Bacco Che questi consultanti Sono tutt’ ignoranti. Il prend les
deux
avocats, et leur dit : Vien’ qua, animalacio ! E
! o stelle ! o fatorio! Amor, crudel amor ! Che t’o fattio ! (bis)
Deux
opérateurs italiens et six matassins viennent pou
or, crudel amor ! Che t’o fattio ! (bis) Deux opérateurs italiens et
six
matassins viennent pour réjouir » Pourceaugnac da
: Bondi ! Bondi ! ...... Les paroles des opérateurs sont celles des
deux
médecins des éditions ordinaires; elles se termin
, monsu Pourceaugnac ! Entrée de ballet : Les matassins dansent. Les
deux
opérateurs, chacun avec une seringue, vantent la
a ! Ce couplet, on peut le remarquer, remplace complètement la scène
XV
du premier acte, celle de l’apothicaire présentan
icaire présentant le clystère, qu’il déclare : « Bénin, bénin. » Les
deux
opérateurs veulent forcer Pourceaugnac à prendre
qu’il ne veut pas le prendre et chante : Non lo voglio pigliare No (
4
fois). (bis) Non lo Yoglio pigliare Lasciate mi a
orzare Vi mandera fate, Squartate, squartate. Lasciate mi andare. No (
5
fois) Non voglio pigliare No (ter) voglio piglia
de Molière. — Il y a surtout un renversement complet dans l’ordre des
deux
scènes des avocats et des apothicaires — Pourceau
de ceux-ci, qui, comme nous l’avons fait remarquer, remplace la scène
XV
du premier acte, les paroles de l’intermède sont
a comédie et la forme que, selon nous, elle a pu avoir auparavant.
III
La comédie de M. de Pourceaugnac est défectueu
III La comédie de M. de Pourceaugnac est défectueuse à partir du
2
e acte, et il ne serait nullement étonnant que l
Molière à remanier sa pièce ne fût la cause de ces défaillances1. Le
3e
acte ne se compose que de répétitions continuelle
init pas; cela est si vrai qu’à la Comédie-Française (du moins il y a
15
ou 20 ans encore) on terminait M, de Pourceaugnac
as; cela est si vrai qu’à la Comédie-Française (du moins il y a 15 ou
20
ans encore) on terminait M, de Pourceaugnac en fa
Comédie-Française (du moins il y a 15 ou 20 ans encore) on terminait
M
, de Pourceaugnac en faisant apparaître, dans une
qui n’a pas plus de raison pour finir que pour commencer. Mais si le
3e
acte n’est pas irréprochable, le second acte renf
, sans avoir une raison préalable de mise en scène, chanter et danser
deux
avocats? Or, si, là, Pourceaugnac parlait italien
ins la comédie — que Lully ne jouait pas, au moins cette fois, un des
deux
médecins grotesques. M. Auger conteste l’authenti
ERASTE : … Voici notre subtil Napolitain qui nous dira des nouvelles.
1er
acte, scène III. Ce n’est pas la première fois q
notre subtil Napolitain qui nous dira des nouvelles. 1er acte, scène
III
. Ce n’est pas la première fois que Molière emplo
patriotes. SBRIGANI : Je suis originaire de Naples, à votre service.
1er
acte, scène IV. Lorsque Molière refit sa pièce,
GANI : Je suis originaire de Naples, à votre service. 1er acte, scène
IV
. Lorsque Molière refit sa pièce, il mit Limoges
ié chez les Ballard, l’ordre des scènes y eût gagné. On évitait ainsi
deux
inconvénients: la longueur du troisième acte, l’a
cte actuel s’éteint dans l’ennui d’un rire forcé et trop prolongé.
IV
On pourrait faire cette objection, contre le r
ez J. Holot, imprimeur et libraire du Roy, devant la Grande-Fontaine,
1669,
petit in-4°carré.) Pourceaugnac est indiqué comme
ine, 1669, petit in-4°carré.) Pourceaugnac est indiqué comme étant en
trois
actes. Mais ce livret ne porte pas, comme les div
ait pas encore brouillé avec Lully ; ils se brouillèrent seulement en
1672.
Nous disons : 1° Il y eut un canevas donné soit p
llé avec Lully ; ils se brouillèrent seulement en 1672. Nous disons :
1°
Il y eut un canevas donné soit par Lully, soit pa
ce ancienne ; peut-être une anecdote du temps fournit-elle le sujet3.
2°
Molière fit les arguments du Divertissement de Ch
style, c’est celui qu’on retrouve dans d’autres arguments analogues.
3°
Quant aux paroles italiennes, qu’on le remarque b
cela, musicalement parlant, texte et notes, est écrit d’un seul jet.
4°
Lully a joué une fois le rôle de Pourceaugnac. Ce
semble le démontrer; car s’il y a eu remaniement, il n’y en a pas eu
deux
; Molière refit ensuite la pièce, car si Lully po
visée en un seul acte long, précédé d’un prologue-sérénade, coupé par
deux
intermèdes amenés par le sujet, et suivi d’entrée
ac: « Allez au diable ! » seraient reportées au divertissement final.
2e
acte. — Suivre jusqu’après la scène des Paysannes
(les enfants) à la scène Ière du troisième acte (Eraste et Sbrigani).
3°
acte. — Supprimer les scènes IIe IIIe IVe Ve VIe
ni et Pourceaugnac). Suivent alors tout naturellement, après la scène
XII
, l’exposé de Pourceaugnac, la scène des avocats,
e, qui peut être suivi de l’entrée des masques annoncés dans la scène
IX
* du troisième acte. Les morceaux de musique étaie
eaugnac, et faisaient de cette pièce un réel divertissement de cour :
1°
Ouverture (elle n’existe que dans la copie manusc
de cour : 1° Ouverture (elle n’existe que dans la copie manuscrite) ;
2°
Sérénade, qui contient une ritournelle. — L’air d
Philis. — Le rondeau d’Idas. — L’air de Lycas. — Un duo et un trio. —
Quatre
airs de violons. — Un air chanté par un musicien.
air chanté par un musicien. — Un trio et couplets pour un musicien et
deux
musiciennes. — Une danse pour deux mariés; 3° Apr
io et couplets pour un musicien et deux musiciennes. — Une danse pour
deux
mariés; 3° Après la sérénade viennent les airs de
s pour un musicien et deux musiciennes. — Une danse pour deux mariés;
3°
Après la sérénade viennent les airs de danse pour
ser. — Les pages. — Les combattants et les combattants réconciliés ;
4°
Intermède des avocats et des apothicaires. — Il c
la réponse de Pourceaugnac. — Le chœur des matassins et la poursuite.
5°
L’Entrée des Masques comprenait : Air pour les Eg
: Air pour les Egyptiens. — Chant d’une Egyptienne, avec chœur dansé (
deux
couplets). — Un chœur général. La copie manuscrit
la place, peut-être faisait-il partie du divertissement de la fin.
V
Y a-t-il outrecuidance à supposer un livret en
au reste confirmer pour nous que Lully n’a pas joué le rôle d’un des
deux
médecins dansants. Pourquoi Molière, auquel on do
que Lully, pour faire sa cour au roi, a été choisir le rôle d’un des
deux
opérateurs. Car à quoi cela lui eût-il servi? Le
que Lully joua le Muphti du Bourgeois gentilhomme, et ce ne fut qu’en
1670.
Si Lully voulait faire rire le roi et en retirer
ps donné de spectacle ? Pourquoi ne le supprima-t-il pas simplement ?
11
est à remarquer que Molière n’a jamais écrit une
lement ? 11 est à remarquer que Molière n’a jamais écrit une pièce en
deux
actes; là est peut-être l’explication du fait. Qu
e du carnaval, ce que justifieraient les derniers mots d’Eraste (acte
III
, scène X). Ces mots semblent ajoutés ; l’époque d
al, ce que justifieraient les derniers mots d’Eraste (acte III, scène
X
). Ces mots semblent ajoutés ; l’époque de la repr
alien, joué par Lully, eut été offert en primeur au roi Louis XIV.
VI
Resterait à dire que rien de tout cela n’est v
que le remaniement indiqué dans le Carnaval a été opéré par Lully en
1675
; — que, tout au plus, il y avait eu un canevas i
a existé autrement. Puis, si Lully avait seul remanié Pourceaugnac en
1675,
il eût simplement écrit un air pour relier les de
Pourceaugnac en 1675, il eût simplement écrit un air pour relier les
deux
intermèdes dont il renversait l’ordre, et on ne t
et on ne trouverait pas, dans le Divertissement de Chambord (Ballard,
1670
; voir Brunet), et dans le Carnaval, les indicatio
us sur une fausse voie ? Quoi qu’il en soit, il y a un fait certain :
11
existe un Divertissement de Chambord ayant, en pl
xemple, d’une relation manuscrite et inédite des fêtes de Chambord en
1669.
VII Nous désirons ajouter aux lignes qui pr
’une relation manuscrite et inédite des fêtes de Chambord en 1669.
VII
Nous désirons ajouter aux lignes qui précèdent
ord en 1669. VII Nous désirons ajouter aux lignes qui précèdent
deux
courts chapitres. L’un, argument en notre faveur,
qui nous semble appartenir à une des anciennes farces de Molière. Le
18
juillet 1668, au milieu du Triomphe de t Amour et
emble appartenir à une des anciennes farces de Molière. Le 18 juillet
1668,
au milieu du Triomphe de t Amour et de Bacchus, o
la Bergerie-Bachique mêlée à Georges Dandin, « Il semble que ce soit
deux
comédies que l’on joue en mesme temps, dont l’une
ntent qu’une seule action. » Il y avait donc ici fusion complète des
deux
œuvres ; l’ouverture était faite par quatre berge
onc ici fusion complète des deux œuvres ; l’ouverture était faite par
quatre
bergers, et quatre autres, jouant de la flûte, fa
lète des deux œuvres ; l’ouverture était faite par quatre bergers, et
quatre
autres, jouant de la flûte, faisaient une danse «
t interrompu par une bergère qui lui vient apprendre le désespoir des
deux
bergers ; mais comme il est agité d’autres inquié
ient luy dire que Tircis et Philène ne sont pas morts, et luy monstre
six
bateliers qui les ont sauvéz. Le païsan, importun
acchus et l’Amour. » Certains passages de cette relation des fêtes de
1668,
ceux que j’ai transcrits, tranchent sur le reste
’il va chercher à oublier dans le vin les coquineries de sa femme.
VIII
Il ne nous reste plus à parler que de la deuxi
eu. Une anecdote rapportée par Grimarest raconte qu’au mois d’octobre
1658
la troupe de Molière joua, devant la Cour, la tra
entation, remercia le roi, et demanda l’autorisation de jouer une des
deux
petites comédies qui, en province, lui avaient ac
en province, lui avaient acquis le plus de réputation. C’étaient les
Trois
docteurs rivaux et le Maître d’école. Louis XIV a
e d’école. Louis XIV autorisa la représentation de la première de ces
deux
pièces, et ce fut après cette soirée que le roi a
la Valise de Molière, de M. Ed. Fournier, et la Revue des provinces,
15
janvier 1865, article de M. P. Lacroix). Quelle é
de Molière, de M. Ed. Fournier, et la Revue des provinces, 15 janvier
1865,
article de M. P. Lacroix). Quelle était cette piè
voici la rédaction : Un maître d’école italien, nommé Barbacola, avec
quatre
enfants écoliers. BARBACOLA Son dotor per occasi
miei cari : Me vo metter a ballar (bis) ; Non parliamo piu di scuola (
4
fois). LES ÉCOLIERS. Viva (bis) Barbacola (bis)
is) Le maître et les écoliers dansent ensemble, puis on reprend les
deux
derniers vers, l’air de danse et le maître et les
t que tout l’intermède fût en langue italienne. Ludovic Celler.
1.
Voici certaines dates qui peuvent être utiles à p
ns de Molière et de Lully. Le roi quitte Saint-Germain pour Chambord,
16
septembre 1889. — Divertissement de Chambord, 6 o
et de Lully. Le roi quitte Saint-Germain pour Chambord, 16 septembre
1889.
— Divertissement de Chambord, 6 octobre 1669. — R
rmain pour Chambord, 16 septembre 1889. — Divertissement de Chambord,
6
octobre 1669. — Retour à Saint-Germain, 90 octobr
Chambord, 16 septembre 1889. — Divertissement de Chambord, 6 octobre
1669.
— Retour à Saint-Germain, 90 octobre 1689. — Repr
Divertissement de Chambord, 6 octobre 1669. — Retour à Saint-Germain,
90
octobre 1689. — Représentation de Pourceaugnac à
ent de Chambord, 6 octobre 1669. — Retour à Saint-Germain, 90 octobre
1689.
— Représentation de Pourceaugnac à Paris, 15 nove
t-Germain, 90 octobre 1689. — Représentation de Pourceaugnac à Paris,
15
novembre 1889. — Publication du divertissement de
0 octobre 1689. — Représentation de Pourceaugnac à Paris, 15 novembre
1889.
— Publication du divertissement de Chambord chez
lication du divertissement de Chambord chez J. Hotot, à Blois, fin de
1869,
— Idem chez Ballard, in-4° 1670. — Publication de
mbord chez J. Hotot, à Blois, fin de 1869, — Idem chez Ballard, in-4°
1670.
— Publication de Pourceaugnac, Paris, Jean Ribou.
ourceaugnac, Paris, Jean Ribou. in-12,1670. — Idem Cl. Barbin, in-12,
1678.
— Brouille de Molière et de Lully, 1672. — Représ
0. — Idem Cl. Barbin, in-12, 1678. — Brouille de Molière et de Lully,
1672.
— Représentation du Carnaval, 1675. — Mort de Mol
Brouille de Molière et de Lully, 1672. — Représentation du Carnaval,
1675.
— Mort de Molière, 17 février 1673. — Mort de Lul
e Lully, 1672. — Représentation du Carnaval, 1675. — Mort de Molière,
17
février 1673. — Mort de Lully, 22 mars 1687. 2.
72. — Représentation du Carnaval, 1675. — Mort de Molière, 17 février
1673.
— Mort de Lully, 22 mars 1687. 2. C’était l’usa
Carnaval, 1675. — Mort de Molière, 17 février 1673. — Mort de Lully,
22
mars 1687. 2. C’était l’usage pour tout genre d
l, 1675. — Mort de Molière, 17 février 1673. — Mort de Lully, 22 mars
1687.
2. C’était l’usage pour tout genre de publicati
— Mort de Molière, 17 février 1673. — Mort de Lully, 22 mars 1687.
2.
C’était l’usage pour tout genre de publications;
ons; ainsi, par exemple, le Carnaval, ballet mascarade, représenté en
1675,
porte comme date d’impression celle de 1730 ; et
mascarade, représenté en 1675, porte comme date d’impression celle de
1730
; et à la suite est un prospectus des Ballard, an
Ballard, annonçant les opéras de Lully, dont un encore sous presse en
1720,
— et Lully était mort en 1687. 3. En plus de l’
e Lully, dont un encore sous presse en 1720, — et Lully était mort en
1687.
3. En plus de l’anecdote du gentilhomme campagn
dont un encore sous presse en 1720, — et Lully était mort en 1687.
3.
En plus de l’anecdote du gentilhomme campagnard,
ra peut-être cette mauvaise plaisanterie au lieu de l’avoir copiée.
4.
Pourceaugnac n’est pas la seule comédie de Moliè
x après la cérémonie, sas» y ajouter un cinquième acte languissant.
5.
Les masques étaient alors imposés aux danseurs, e
alors imposés aux danseurs, et ces masques étaient partout en usage.
11
y eut môme jusqu’à des masques personnels. Une le
y eut môme jusqu’à des masques personnels. Une lettre de Guy Patin, (
25
septembre 1665) indique que Molière, dans Y Amour
usqu’à des masques personnels. Une lettre de Guy Patin, (25 septembre
1665
) indique que Molière, dans Y Amour médecin, aurai
longues années (et peut-être encore & présent’, représentait les
deux
médecins dansants de Pourceaugnac avec le visage
ient autant de fois que le besoin s’en faisait sentir. Ce n’est qu’en
1673,
année de la mort de Molière, que ses œuvres furen
entièrement conforme au texte des éditions séparées et originales. En
1682,
c’est-à-dire neuf ans après la mort de ce grand h
e au texte des éditions séparées et originales. En 1682, c’est-à-dire
neuf
ans après la mort de ce grand homme, deux de ses
ales. En 1682, c’est-à-dire neuf ans après la mort de ce grand homme,
deux
de ses amis, Vinot et Lagrange, entreprirent de d
ons originales. N’ayant point pour le texte de Molière ce respect que
cent
cinquante ans de culte rendu à son génie ont impr
riginales. N’ayant point pour le texte de Molière ce respect que cent
cinquante
ans de culte rendu à son génie ont imprimé dans n
consulté en même temps les éditions originales. L’édition publiée en
6
vol., petit in-12, par Wettstein (Amsterdam, 1691
. L’édition publiée en 6 vol., petit in-12, par Wettstein (Amsterdam,
1691
), nous a fourni des corrections utiles. Enfin nou
ième siècle la demeure d’un tapissier du roi. Là naquit, dans l’année
16202,
Jean-Baptiste Poquelin, dont le génie devait un j
ent pas appelé à de si hautes destinées, négligèrent son éducation. À
quatorze
ans il ne savait que lire et écrire. Son esprit l
’il suivrait les cours du collège de Clermont. Il avait alors près de
quinze
ans ; mais les leçons d’excellents maîtres, son a
le voyage que Louis XIII fit en Languedoc, et, quoique à peine âgé de
vingt
ans, il se mit à continuer, sur les hommes et la
ux-arts, presque méconnaissables, se mêlaient à toutes les affaires ;
deux
partis conspiraient encore au milieu des fêtes, e
uillé. Ces ouvrages sont perdus, mais on retrouve quelques traces des
deux
derniers dans Le Médecin malgré lui, et dans Geor
e se rapprocher. La troupe qu’ils avaient rassemblée arriva à Lyon en
1653.
Molière était âgé de trente-trois ans : il débuta
qu’ils avaient rassemblée arriva à Lyon en 1653. Molière était âgé de
trente-trois
ans : il débuta devant le parterre de cette ville
ordre, assurent contre l’oubli : la brouille et la réconciliation des
deux
amants (incident qu’il a depuis reproduit dans de
éconciliation des deux amants (incident qu’il a depuis reproduit dans
deux
de ses chefs-d’œuvre) ont servi de type à une mul
nt débuter en présence de Louis XIV. Cette représentation eut lieu le
24
octobre 1658, dans la salle des Gardes du vieux L
en présence de Louis XIV. Cette représentation eut lieu le 24 octobre
1658,
dans la salle des Gardes du vieux Louvre, qu’on a
e où s’élève aujourd’hui la colonnade du Louvre. Il n’en sortit qu’en
1660
pour se transporter dans la salle que le cardinal
avait fait construire à grands frais au Palais-Royal. C’est dans ces
deux
établissements qu’il mit au jour la plupart des o
de L’Étourdi et du Dépit amoureux ; aussi ne reviendrons-nous sur ces
deux
comédies que pour faire observer qu’en y plaçant
e lui-même ne les admit jamais dans ses pièces importantes. Après ces
deux
premiers ouvrages, il s’élance, avec autant de bo
it pas soupçonnées, et un dénouement des plus ingénieux. Quoi de plus
neuf
, de plus intéressant, de plus délicat que L’École
omment des farces ; et, à ce propos, on ne manque jamais de citer ces
deux
vers de Boileau : Dans le sac ridicule où Scapin
critiquez-le plutôt d’avoir un peu sacrifié au goût de l’époque dans
deux
ouvrages, La Princesse d’Élide et Les Amants magn
is à côté des meilleures productions dramatiques. La consultation des
quatre
docteurs qui, au lieu de discuter sur la maladie
, M. Josse ! Vous vendez des tapisseries, M. Guillaume !sont devenues
deux
de ces formules heureuses dont on peut à tous mom
tième représentation : l’usage était alors de versifier les pièces en
cinq
actes, et le public sut mauvais gré à Molière d’a
de qualité, le gros bon sens de sa femme et de Nicole, la dispute des
trois
professeurs, enfin la manière adroite dont le mar
our élever Le Bourgeois gentilhomme au rang des chefs-d’œuvre, si les
deux
derniers actes n’étaient sacrifies aux charges tr
; la scène du sonnet et du madrigal, les exclamations qu’excitent ces
deux
chefs-d’œuvre, les éloges exagérés et les grossiè
lui-même, la préfère à la superbe Armande. La différence d’humeur des
deux
sœurs montre encore une de ces oppositions dont M
saisit dans des ridicules semblables des différences imperceptibles.
Vingt
petits maîtres ont été livrés par lui en proie à
nfonde pas ensemble. Quelle différence entre les scènes de dépit, que
trois
fois il a placées dans ses ouvrages ; Le Dépit am
le combla de distinctions et de bienfaits. Il donna à la troupe sept
mille
livres de pension et mille livres au directeur. L
et de bienfaits. Il donna à la troupe sept mille livres de pension et
mille
livres au directeur. Les courtisans, incapables d
occasion du Tartuffe. Cette comédie était composée depuis longtemps :
deux
fois l’auteur avait voulu la produire devant le p
mps : deux fois l’auteur avait voulu la produire devant le parterre ;
deux
fois les bigots s’étaient ameutés en fureur, et,
vengea d’une manière aussi ingénieuse que cruelle. Enfin, au bout de
cinq
ans, Louis XIV fit lever la défense qui protégeai
ais pièce, depuis Le Cid, n’avait attiré une aussi grande affluence :
quarante
représentations consécutives ne suffirent point p
Molière demanda à Baron combien il croyait qu’il lui fallait donner.
Quatre
pistoles , répondit le jeune homme. Tenez donc,
onner. Quatre pistoles , répondit le jeune homme. Tenez donc, voici
quatre
pistoles que vous lui donnerez pour moi , répliqu
vous lui donnerez pour moi , répliqua le noble écrivain, et en voici
vingt
autres que vous lui donnerez pour vous. Jamais d’
me les actes et divisa les scènes. Arrivés au sommet de leur art, ces
deux
grands hommes ne se virent plus qu’avec froideur.
loi que Molière faisait d’une fortune considérable : il avait environ
trente
mille livres de revenu, ce qui représentait alors
Molière faisait d’une fortune considérable : il avait environ trente
mille
livres de revenu, ce qui représentait alors une v
ns une seule période de temps et dans un même lieu, de quoi illustrer
dix
siècles et dix nations. Rien ne devait manquer au
riode de temps et dans un même lieu, de quoi illustrer dix siècles et
dix
nations. Rien ne devait manquer au bonheur de Mol
fit pas de connaître un écueil pour l’éviter. Molière, âgé de plus de
quarante
ans, avait eu l’imprudence d’épouser une très jeu
ène ; on le transporta dans sa maison, où il expira entre les bras de
deux
sœurs de la Charité auxquelles sa bienfaisance do
faisance donnait un généreux asile. Cet événement funeste eut lieu le
17
février 1673 ; il n’avait encore que cinquante-tr
nnait un généreux asile. Cet événement funeste eut lieu le 17 février
1673
; il n’avait encore que cinquante-trois ans. Il f
événement funeste eut lieu le 17 février 1673 ; il n’avait encore que
cinquante-trois
ans. Il fallut un ordre de Louis XIV pour faire o
ale, autorisa son inhumation à Saint-Joseph, dans la rue Montmartre ;
deux
prêtres allèrent chercher son corps, et cent pers
dans la rue Montmartre ; deux prêtres allèrent chercher son corps, et
cent
personnes accompagnèrent le convoi avec des flamb
ine). Béjart (Geneviève-Hervé), sa sœur. Béjart (Armande), sœur des
deux
précédentes, femme de Molière. De Brie (Mademois
Béjart l’aîné. Béjart l’aîné faisait, ainsi que son frère, ses
deux
sœurs, Duparc et Molière, partie de l’illustre th
, partie de l’illustre théâtre. Cet acteur était bègue ; il mourut en
1659.
Béjart parait être l’auteur d’un ouvrage intitulé
s et armoiries des prélats et barons des états de Languedoc, tenus en
1654,
par le sieur J. Béjart, volume in-folio imprimé à
us en 1654, par le sieur J. Béjart, volume in-folio imprimé à Lyon en
1655.
Béjart cadet. Béjart, frère des trois actr
-folio imprimé à Lyon en 1655. Béjart cadet. Béjart, frère des
trois
actrices de ce nom, prit fort jeune l’état de com
t camarade de Molière dans la province, et revint avec lui à Paris en
1658.
Son emploi dans le comique était les pères et les
s. Il demeura estropié d’une blessure qu’il reçut au pied en séparant
deux
de ses amis qui se battaient dans la place du Pal
ans tous ceux que Béjart remplissait à Paris. Cet acteur se retira en
1670
avec une pension de mille livres que la troupe lu
remplissait à Paris. Cet acteur se retira en 1670 avec une pension de
mille
livres que la troupe lui fit, et qui lui fut cont
troupe lui fit, et qui lui fut continuée jusqu’à sa mort, arrivée le
29
septembre 1678. Il fut le premier à qui on accord
it, et qui lui fut continuée jusqu’à sa mort, arrivée le 29 septembre
1678.
Il fut le premier à qui on accorda la pension de
e 29 septembre 1678. Il fut le premier à qui on accorda la pension de
mille
livres. Les Béjart étaient d’honnêtes gens ; ils
Rome, est arrêté et jeté dans un cachot du Petit-Châtelet à l’âge de
soixante-dix
ans. « Là, dit d’Assoucy lui-même, je me couchai
. J’y restai étendu comme un homme frappé de la foudre, et y demeurai
quatre
jours sans remuer ni sans prendre aucun aliments…
Molière. Il suivit le dernier à Paris, lorsqu’il vint s’y établir en
1658.
Mais, ayant eu le malheur de tuer un cocher sur l
, et lui permit de rentrer dans la troupe de Molière, qu’il quitta en
1664
pour passer dans celle de l’Hôtel de Bourgogne. E
’il quitta en 1664 pour passer dans celle de l’Hôtel de Bourgogne. En
1680,
lors de la réunion des troupes, Brécourt fut cons
ervé, et continua de jouer sur le théâtre de Guénégaud encore environ
cinq
années. Il se rompit une veine dans le corps par
de Timon, et mourut des suites de cet accident vers la fin de février
1685.
Brécourt a été un très grand comédien dans le tra
Tralage, Brécourt aimait avec excès le jeu, les femmes et le vin. Ces
trois
passions lui firent une réputation assez désavant
sa mort ne purent être acquittées parce qu’elles montaient à plus de
vingt
mille livres au-delà de sa succession. Brécourt a
rt ne purent être acquittées parce qu’elles montaient à plus de vingt
mille
livres au-delà de sa succession. Brécourt avait b
de valeur ; et on en rapporte un trait qui mérite d’être cité ici. En
1678,
ce comédien, étant à la chasse du roi à Fontaineb
lus trivial. La Feinte Mort de Jodelet, comédie en vers, en un acte,
1660.
La Noce de village, comédie en vers, en un acte,
, en un acte, 1660. La Noce de village, comédie en vers, en un acte,
1666.
Le Jaloux invisible, comédie en, vers, en trois
en vers, en un acte, 1666. Le Jaloux invisible, comédie en, vers, en
trois
actes, 1666. L’Infante Salicoque, ou Les Héros d
n acte, 1666. Le Jaloux invisible, comédie en, vers, en trois actes,
1666.
L’Infante Salicoque, ou Les Héros de romans, com
coque, ou Les Héros de romans, comédie en un acte, non imprimée, août
1667.
L’Ombre de Molière, comédie en prose, en un acte
primée, août 1667. L’Ombre de Molière, comédie en prose, en un acte,
1674.
Timon, comédie en un acte, 1684. Brécourt avait
ière, comédie en prose, en un acte, 1674. Timon, comédie en un acte,
1684.
Brécourt avait épousé la demoiselle N. Étienne De
e, où elle remplissait, dans la tragédie, les rôles de confidente. En
1680,
elle quitta le théâtre avec une pension, dont ell
théâtre avec une pension, dont elle jouit jusqu’à sa mort, arrivée le
2
avril 1713. F. Boiron, dit Baron. « Moliè
avec une pension, dont elle jouit jusqu’à sa mort, arrivée le 2 avril
1713.
F. Boiron, dit Baron. « Molière, dit Grim
ement occupé du désir de gagner de l’argent, fit faire une épinette à
trois
claviers, longue à peu près de trois pieds, et la
argent, fit faire une épinette à trois claviers, longue à peu près de
trois
pieds, et large de deux et demi, avec un corps do
nette à trois claviers, longue à peu près de trois pieds, et large de
deux
et demi, avec un corps dont la capacité était le
e double plus grande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait
quatre
enfants, tons jolis, deux garçons et deux filles
le des épinettes ordinaires. Raisin avait quatre enfants, tons jolis,
deux
garçons et deux filles ; il leur avait appris à j
ordinaires. Raisin avait quatre enfants, tons jolis, deux garçons et
deux
filles ; il leur avait appris à jouer de l’épinet
ièce, que le troisième clavier répétait seul d’un bout à l’autre, les
deux
enfants ayant les bras levés ; ensuite le père le
résomptueux ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de
vingt
mille livres à Raisin. Le bruit de cette épinette
tueux ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt
mille
livres à Raisin. Le bruit de cette épinette alla
uvrit le corps de l’épinette, d’où l’on vit sortir un petit enfant de
cinq
ans, beau comme un ange ; c’était Raisin le cadet
uvre enfant sortit de sa prison, où il était si mal à son aise depuis
cinq
ou six heures, que l’épinette en avait contracté
ant sortit de sa prison, où il était si mal à son aise depuis cinq ou
six
heures, que l’épinette en avait contracté une mau
ière. Il commençait son spectacle par sa machine, ensuite de quoi les
trois
enfants dansaient une sarabande ; ce qui était su
ts dansaient une sarabande ; ce qui était suivi d’une comédie que ces
trois
petites personnes, et quelques autres dont Raisin
vait, formé une troupe, représentaient tant bien que mal. Ils avaient
deux
petites pièces qu’ils faisaient rouler, Tricassin
le talent qu’il avait apporté en naissant. Ils l’engagèrent donc pour
cinq
ans dans la troupe de la Raisin (car son mari éta
n avait eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un enfant de
dix
ou onze ans, sans avoir été conduit dans les prin
eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un enfant de dix ou
onze
ans, sans avoir été conduit dans les principes de
ôtel de Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eut gagné
vingt
mille écus de bien. Elle crut que la campagne ne
e Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eut gagné vingt
mille
écus de bien. Elle crut que la campagne ne lui se
bienfaisante de Molière, alla le prier de lui prêter son théâtre pour
trois
jours seulement, afin que le petit gain qu’elle e
seulement, afin que le petit gain qu’elle espérait de faire dans ces
trois
représentations lui servît à remettre sa troupe e
rut sur le théâtre, le lieu était si rempli que la Raisin fit plus de
mille
écus. Molière, qui était incommodé, n’avait pu vo
cus. Molière, qui était incommodé, n’avait pu voir le petit Baron les
deux
premiers jours ; mais tout le monde lui en dit ta
voulait faire. Le lendemain matin, le tailleur exact apporta sur les
neuf
à dix heures, au petit Baron, un équipage tout co
t faire. Le lendemain matin, le tailleur exact apporta sur les neuf à
dix
heures, au petit Baron, un équipage tout complet.
contenta pas de l’avoir si bien fait accommoder ; il lui donna encore
six
louis d’or, avec ordre de les dépenser à ses plai
es dépenser à ses plaisirs. Tout cela était un rêve pour un enfant de
douze
ans, qui était depuis longtemps entre les mains d
vous ôter de la troupe où vous êtes. » Molière, qui s’était levé dès
quatre
heures du matin, avait été à Saint-Germain suppli
e entra toute furieuse le lendemain matin dans la chambre de Molière,
deux
pistolets à la main, et lui dit que s’il ne lui r
pria Molière de lui accorder du moins que le petit Baron jouât encore
trois
jours dans sa troupe. « Non seulement trois, répo
petit Baron jouât encore trois jours dans sa troupe. « Non seulement
trois
, répondit Molière, mais huit, à condition qu’il n
s jours dans sa troupe. « Non seulement trois, répondit Molière, mais
huit
, à condition qu’il n’ira point chez vous, et que
r avec eux. Il fallait bien que la Raisin en passât par là ; mais ces
huit
jours lui donnèrent beaucoup d’argent, avec leque
tenu plus sûrement le théâtre comique que M. Baron ? Baron débuta en
1670
par le rôle de Domitien dans Tite et Bérénice de
670 par le rôle de Domitien dans Tite et Bérénice de Corneille, et en
1671,
par le rôle de l’Amour dans Psyché. L’année même
oire et des bienfaits de Louis XIV, il joua pour la dernière fois, le
22
octobre 1691, le rôle de Ladislas dans Venceslas.
bienfaits de Louis XIV, il joua pour la dernière fois, le 22 octobre
1691,
le rôle de Ladislas dans Venceslas. On a assigné
traite de Baron ne fut pas une disgrâce, puisque, outre la pension de
mille
livres qu’il touchait aux termes du règlement de
il touchait aux termes du règlement de sa société, il en avait une de
trois
mille livres qu’il devait à la munificence de Lou
chait aux termes du règlement de sa société, il en avait une de trois
mille
livres qu’il devait à la munificence de Louis XIV
ns. Cependant, quelque ferme qu’il fût dans sa résolution, au bout de
trente
années de retraite et au moment où le public, qui
e regrettait tous les jours, n’espérait plus le revoir, il reparut le
10
avril 1720, par le rôle de Cinna, en présence du
ait tous les jours, n’espérait plus le revoir, il reparut le 10 avril
1720,
par le rôle de Cinna, en présence du duc d’Orléan
âtre : Le Rendez-vous des Tuileries, ou le Coquet trompé, comédie en
trois
actes et en prose, avec un prologue. Les Enlèvem
omédie en un acte et en prose. L’Homme à bonnes fortunes, comédie en
cinq
actes et en prose. La Coquette, ou la Fausse Pru
cinq actes et en prose. La Coquette, ou la Fausse Prude, comédie en
cinq
actes et en prose. Le Jaloux, comédie en cinq ac
usse Prude, comédie en cinq actes et en prose. Le Jaloux, comédie en
cinq
actes et en vers. Les Fontanges maltraitées, ou
Répétition, comédie en un acte et en prose. Le Débauché, comédie en
cinq
actes et en prose. L’Andrienne, comédie en cinq
Débauché, comédie en cinq actes et en prose. L’Andrienne, comédie en
cinq
actes et en vers. Les Adelphes, ou l’École des p
inq actes et en vers. Les Adelphes, ou l’École des pères, comédie en
cinq
actes et en vers, imitée de Térence ainsi que la
faire passer au théâtre du Palais-Royal, où son mari la suivit ; tous
deux
y furent reçus. Comme c’était un faible acteur, M
rôle. » Après la mort de Molière, Beauval et sa femme passèrent, en
1673,
à l’Hôtel de Bourgogne ; Beauval remplaça Hubert
les rôles d’hommes travestis en femmes. Beauval quitta la comédie en
1704,
et mourut le 29 décembre 1709. C’était un fort ho
travestis en femmes. Beauval quitta la comédie en 1704, et mourut le
29
décembre 1709. C’était un fort honnête homme, d’u
n femmes. Beauval quitta la comédie en 1704, et mourut le 29 décembre
1709.
C’était un fort honnête homme, d’un petit génie,
ques valets et aux vieilles ridicules ; mais il a toujours rempli ces
deux
emplois au gré du public. Il joua d’original le r
il était grand bretteur, et que Molière ne l’aimait pas. Il mourut en
1676
; il avait épousé Catherine Le Clerc, qui se fit
né. Duparc fut un des acteurs de la troupe bourgeoise qui joua en
1645
sur l’illustre théâtre. Le dessein que cette soci
à Lyon ; ils allèrent ensemble en Languedoc, et revinrent à Paris en
1658.
Loret, dans sa Muse historique du 31 mai 1669, pa
edoc, et revinrent à Paris en 1658. Loret, dans sa Muse historique du
31
mai 1669, parle d’une pièce jouée à l’impromptu p
t revinrent à Paris en 1658. Loret, dans sa Muse historique du 31 mai
1669,
parle d’une pièce jouée à l’impromptu par deux ac
historique du 31 mai 1669, parle d’une pièce jouée à l’impromptu par
deux
acteurs français et quatre italiens, à Vincennes,
9, parle d’une pièce jouée à l’impromptu par deux acteurs français et
quatre
italiens, à Vincennes, devant le roi et toute la
roi et toute la cour, où Gros-René fit un rôle9. Gros-René mourut le
4
novembre 1664 ; sa mort affligea tellement ses ca
e la cour, où Gros-René fit un rôle9. Gros-René mourut le 4 novembre
1664
; sa mort affligea tellement ses camarades, qu’il
édiens italiens. Sa part fut continuée à mademoiselle Duparc jusqu’en
1665.
Du Croisy. Philibert Gassaud, sieur du. Cr
ousé Marie Claveau, de la province du Poitou. De ce mariage naquirent
deux
filles : la première, nommée Angélique, qui jouai
naquirent deux filles : la première, nommée Angélique, qui jouait en
1666,
dans la troupe du Dauphin, et mourut en 1670 ; la
ngélique, qui jouait en 1666, dans la troupe du Dauphin, et mourut en
1670
; la seconde, Marie-Angélique Gassaud, épousa Pau
a seconde, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul Poisson, et mourut en
1756,
à quatre-vingt-dix-huit ans. Une sœur de du Crois
e, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756, à
quatre-vingt-dix-huit
ans. Une sœur de du Croisy avait épousé Bellerose
èbre comédien de l’Hôtel de Bourgogne. Du Croisy quitta la Comédie le
18
avril 1689, et mourut en 1695 âgé de soixante-cin
dien de l’Hôtel de Bourgogne. Du Croisy quitta la Comédie le 18 avril
1689,
et mourut en 1695 âgé de soixante-cinq ou soixant
Bourgogne. Du Croisy quitta la Comédie le 18 avril 1689, et mourut en
1695
âgé de soixante-cinq ou soixante-six ans. L’E
u Croisy quitta la Comédie le 18 avril 1689, et mourut en 1695 âgé de
soixante-cinq
ou soixante-six ans. L’Espy. L’Espy, frère
a Comédie le 18 avril 1689, et mourut en 1695 âgé de soixante-cinq ou
soixante-six
ans. L’Espy. L’Espy, frère de Jodelet, ent
Espy. L’Espy, frère de Jodelet, entra dans la troupe de Molière en
1659,
et y resta jusqu’en 1663. On ne sait pas quel éta
Jodelet, entra dans la troupe de Molière en 1659, et y resta jusqu’en
1663.
On ne sait pas quel était son emploi, et on ne co
ne troupe de province, s’engagea dans celle de Molière ; il débuta en
1658,
au théâtre du Petit-Bourbon, avec cet homme illus
ge devint un fort bon acteur. Il passa dans la troupe de Guénégaud en
1673.
La Grange a toujours joué au gré du public ; et,
l’ayant mariée à un homme qui la trompa, il en mourut de chagrin, le
1er
mars 1692, et fut enterré à Saint-André-des-Arcs.
mariée à un homme qui la trompa, il en mourut de chagrin, le 1er mars
1692,
et fut enterré à Saint-André-des-Arcs. La Grange
ère, et La Grange, son camarade, donnèrent une édition de ce poète en
1682.
La préface qui est au commencement de ce livre es
t régaler l’assemblée, à l’ouverture de la troupe du roi (le dimanche
9
juillet 1673), était dans la dernière justesse. C
l’assemblée, à l’ouverture de la troupe du roi (le dimanche 9 juillet
1673
), était dans la dernière justesse. Ce qu’il avait
près la mort de Molière, Hubert passa dans la troupe de Guénégaud (en
1673
). Il se retira avec une pension de mille livres,
ns la troupe de Guénégaud (en 1673). Il se retira avec une pension de
mille
livres, le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 1
uénégaud (en 1673). Il se retira avec une pension de mille livres, le
14
avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre 170
(en 1673). Il se retira avec une pension de mille livres, le 14 avril
1685,
et mourut le vendredi 19 novembre 1700. De Visé p
une pension de mille livres, le 14 avril 1685, et mourut le vendredi
19
novembre 1700. De Visé parle ainsi du sieur Huber
de mille livres, le 14 avril 1685, et mourut le vendredi 19 novembre
1700.
De Visé parle ainsi du sieur Hubert : « Cet acteu
ajesté y consentit. Il entra dans la troupe de Molière au mois de mai
1662.
En 1667 Molière le chargea d’aller avec La Grange
consentit. Il entra dans la troupe de Molière au mois de mai 1662. En
1667
Molière le chargea d’aller avec La Grange, son ca
e Lille en Flandre, sur la défense faite à Molière et à sa troupe, le
6
août (même année 1667), de jouer le Tartuffe. Apr
sur la défense faite à Molière et à sa troupe, le 6 août (même année
1667
), de jouer le Tartuffe. Après la mort de Molière,
e entra à l’Hôtel de Bourgogne, où il joua vraisemblablement jusqu’en
1679.
Il mourut du chagrin que lui causa le mariage de
ait animé. Il composa et fit jouer sur le théâtre du Palais-Royal, le
10
décembre 1667, une tragédie intitulée Marc-Antoin
l composa et fit jouer sur le théâtre du Palais-Royal, le 10 décembre
1667,
une tragédie intitulée Marc-Antoine et Cléopâtre
le 10 décembre 1667, une tragédie intitulée Marc-Antoine et Cléopâtre
10.
La Thorillière laissa trois enfants : savoir, la
ragédie intitulée Marc-Antoine et Cléopâtre 10. La Thorillière laissa
trois
enfants : savoir, la demoiselle Charlotte Le Noir
a Thorillière, fils, de ce dernier, acteur du Théâtre français depuis
1722,
où il remplissait l’emploi des rôles à manteaux e
ublic. Actrices. Mlle Béjart. Madeleine Béjart, née vers
1620,
s’engagea dans une troupe de comédiens, en 1637,
ine Béjart, née vers 1620, s’engagea dans une troupe de comédiens, en
1637,
et parcourut le Languedoc et la Provence avec ses
comédiens, en 1637, et parcourut le Languedoc et la Provence avec ses
deux
frères. Ce fut en Provence qu’elle fit connaissan
elle contracta, dit-on, un mariage secret, dont elle eut une fille le
2
juillet 163811. Madeleine Béjart revint à Paris,
acta, dit-on, un mariage secret, dont elle eut une fille le 2 juillet
163811.
Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses deux fr
fille le 2 juillet 163811. Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses
deux
frères, en 1645, et concourut à former l’illustre
let 163811. Madeleine Béjart revint à Paris, avec ses deux frères, en
1645,
et concourut à former l’illustre théâtre. Molière
t reçu dans la même troupe. Après avoir parcouru la province jusqu’en
1650,
cette troupe revint à Paris, joua à l’Hôtel de Co
revint à Paris, joua à l’Hôtel de Conti, partit ensuite pour Lyon, en
1653,
et s’établit enfin à Paris en 1658. Madeleine Béj
nti, partit ensuite pour Lyon, en 1653, et s’établit enfin à Paris en
1658.
Madeleine Béjart remplissait les rôles de soubret
Madeleine Béjart remplissait les rôles de soubrettes. Elle mourut le
17
février 1672, un an avant Molière. Elle joua d’or
Béjart remplissait les rôles de soubrettes. Elle mourut le 17 février
1672,
un an avant Molière. Elle joua d’original le rôle
ndes noces, du sieur Aubry, maître paveur, qui donna aux français, en
1680,
la tragédie de Démétrius, et en 1690 celle d’Agat
eur, qui donna aux français, en 1680, la tragédie de Démétrius, et en
1690
celle d’Agatocle. Mademoiselle Hervé-Béjart fut c
négaud ; mais elle n’y brilla pas beaucoup, et mourut au mois de juin
1675,
après une maladie de trois années. Armande Béj
la pas beaucoup, et mourut au mois de juin 1675, après une maladie de
trois
années. Armande Béjart (Mlle Molière) Arman
-Élisabeth Béjart, sœur des Béjart, épousa Molière au commencement de
166212.
Ce mariage fut pour Molière une source de chagrin
pousa Guérin d’Estriché, et continua de briller sur la scène jusqu’au
14
octobre 1694, qu’elle obtint son congé et une pen
n d’Estriché, et continua de briller sur la scène jusqu’au 14 octobre
1694,
qu’elle obtint son congé et une pension de mille
jusqu’au 14 octobre 1694, qu’elle obtint son congé et une pension de
mille
livres. Retirée dans son ménage, elle y vécut d’u
dans son ménage, elle y vécut d’une manière exemplaire, et mourut le
3
novembre 1700, rue de Touraine. Elle fut inhumée
énage, elle y vécut d’une manière exemplaire, et mourut le 3 novembre
1700,
rue de Touraine. Elle fut inhumée le 2 décembre à
e, et mourut le 3 novembre 1700, rue de Touraine. Elle fut inhumée le
2
décembre à Saint-Sulpice. Elle était âgée de cinq
e. Elle fut inhumée le 2 décembre à Saint-Sulpice. Elle était âgée de
cinquante-cinq
ans. Mlle de Brie. Catherine Le Clerc, femm
’Agnès jusqu’à ce qu’elle quittât le théâtre. Elle le jouait encore à
soixante
et cinq ans13. Voici des vers qui furent faits su
’à ce qu’elle quittât le théâtre. Elle le jouait encore à soixante et
cinq
ans13. Voici des vers qui furent faits sur mademo
eut pitié de son sort, la prit avec elle, et l’éleva jusqu’à l’âge de
dix
ans, qu’elle la céda à Filandre, chef d’une troup
n ordre portant défense à tous les curés de son diocèse de marier ces
deux
personnes. Un pareil obstacle ne fut pas capable
mort de Molière, elle passa avec son mari à l’Hôtel de Bourgogne. En
1680
elle fut comprise, ainsi que Beauval, dans la réu
e et son mari quittèrent le théâtre à la clôture de Pâques de l’année
1704.
Mademoiselle Beauval était d’un caractère assez d
ièces qui y furent représentées. Mademoiselle Beauval mourut le lundi
20
du mois de mars 1720, âgée environ de soixante-tr
représentées. Mademoiselle Beauval mourut le lundi 20 du mois de mars
1720,
âgée environ de soixante-treize ans. Marotte B
elle Beauval mourut le lundi 20 du mois de mars 1720, âgée environ de
soixante-treize
ans. Marotte Beaupré. Mademoiselle Marotte
xtrêmement jolie et sage. Elle joua dans la troupe du Marais jusqu’en
1669,
époque à laquelle elle passa dans celle du Palais
’en 1669, époque à laquelle elle passa dans celle du Palais-Royal. En
1671
elle joua d’original la Comtesse d’Escarbagnas. L
dans le tragique, et des ridicules dans le comique. Elle se retira en
1672.
On raconte que mademoiselle Beaupré ayant eu un d
ndant quelques années dans la troupe du Palais-Royal, et se retira en
1673.
Mlle du Croisy [II]. Fille de l’acteur, fem
II]. Fille de l’acteur, femme de Poisson ; elle remplit en janvier
1671
le rôle d’une des Grâces dans Psyché, mais ne fut
fut reçue dans la troupe qu’après la mort de Molière, au mois de mai
1673.
Mlle Duparc. Cette actrice était femme de D
nse. Mademoiselle Duparc revint avec Molière et sa troupe à Paris, en
1658,
et réussit encore plus sur le théâtre du Petit-Bo
amateurs du théâtre et à ses camarades. Mademoiselle Duparc mourut le
11
décembre 1668. Voici de quelle façon Robinet décr
théâtre et à ses camarades. Mademoiselle Duparc mourut le 11 décembre
1668.
Voici de quelle façon Robinet décrit l’enterremen
ais-Royal, ensuite de celle de Guénégaud, retirée avec une pension de
mille
livres, le 1er avril 1692, morte le 2 ou le 3 fév
e de celle de Guénégaud, retirée avec une pension de mille livres, le
1er
avril 1692, morte le 2 ou le 3 février 1727. Made
de Guénégaud, retirée avec une pension de mille livres, le 1er avril
1692,
morte le 2 ou le 3 février 1727. Mademoiselle La
retirée avec une pension de mille livres, le 1er avril 1692, morte le
2
ou le 3 février 1727. Mademoiselle La Grange n’ét
avec une pension de mille livres, le 1er avril 1692, morte le 2 ou le
3
février 1727. Mademoiselle La Grange n’était goût
ension de mille livres, le 1er avril 1692, morte le 2 ou le 3 février
1727.
Mademoiselle La Grange n’était goûtée du public q
té femme de chambre de mademoiselle de Brie : on la nommait Marotte.
L.
B. Picard. 1. Œuvres complètes de Molière,
de mademoiselle de Brie : on la nommait Marotte. L. B. Picard.
1.
Œuvres complètes de Molière, publiées avec un co
e Molière, publiées avec un commentaire par M. Auger. (Paris, Desoer,
1819.
) Tome I, page 18 de l’avertissement. 2. M. Beffa
ubliées avec un commentaire par M. Auger. (Paris, Desoer, 1819.) Tome
I
, page 18 de l’avertissement. 2. M. Beffara a tro
avec un commentaire par M. Auger. (Paris, Desoer, 1819.) Tome I, page
18
de l’avertissement. 2. M. Beffara a trouvé dans
M. Auger. (Paris, Desoer, 1819.) Tome I, page 18 de l’avertissement.
2.
M. Beffara a trouvé dans les registres de Saint-E
e Saint-Eustache un acte duquel il résulte que Molière fut baptisé en
1622
; mais un acte de baptême n’est pas toujours un a
ncipaux biographes, dont quelques-uns sont contemporains de Molière.
3.
Cette inscription est de Sauvin. 4. Ce Raisin de
sont contemporains de Molière. 3. Cette inscription est de Sauvin.
4.
Ce Raisin devint un comédien excellent. Il joigna
e l’admettaient à leur table. La cour et la ville se le disputaient.
5.
Le père et la mère de Baron étaient tous deux de
ville se le disputaient. 5. Le père et la mère de Baron étaient tous
deux
de fort bons comédiens. « La mère de Baron était
raita le soir cette blessure comme une bagatelle ; mais quand il vit,
deux
jours après, que la gangrène faisait tout apprête
ima mieux attendre doucement la mort, qui l’emporta le lendemain. »
6.
À l’exception de La Thorillière, aucun des ancien
ors partie de la société dans laquelle il rentrait (Baron avait alors
soixante-douze
ou soixante-treize ans). Cet acteur, dit l’auteur
ociété dans laquelle il rentrait (Baron avait alors soixante-douze ou
soixante-treize
ans). Cet acteur, dit l’auteur de la Galerie hist
udes que l’on regardait alors comme trop voisins de la familiarité.
7.
Il y avait en effet quelques-uns de ces rôles qui
pour rendre la scène exacte, Il se fait raser à chaque acte.
8.
Si l’on s’en rapporte à l’extrait baptistaire pro
rès sa mort par sa famille, Baron naquit à Paris au mois d’octobre en
1653
: en se tenant à cette date, il n’aurait eu que s
ois d’octobre en 1653 : en se tenant à cette date, il n’aurait eu que
soixante-seize
ans et deux mois quand il mourut ; mais on s’acco
: en se tenant à cette date, il n’aurait eu que soixante-seize ans et
deux
mois quand il mourut ; mais on s’accordait généra
mois quand il mourut ; mais on s’accordait généralement à lui donner
six
ans de plus. 9. Voici comment Loret rend compte
ut ; mais on s’accordait généralement à lui donner six ans de plus.
9.
Voici comment Loret rend compte de ce fait. Muse
9. Voici comment Loret rend compte de ce fait. Muse historique du
31
mai 1659. La cour a passé dans Vincenne Cinq ou
oici comment Loret rend compte de ce fait. Muse historique du 31 mai
1659.
La cour a passé dans Vincenne Cinq ou six jours
use historique du 31 mai 1659. La cour a passé dans Vincenne Cinq ou
six
jours de la semaine ; Château certainement royal.
Savoir : des bals, ballets et danses. D’ailleurs quelques comédiens,
Deux
français, quatre italiens ; Sur un sujet qu’ils c
ls, ballets et danses. D’ailleurs quelques comédiens, Deux français,
quatre
italiens ; Sur un sujet qu’ils concertèrent, Tous
ux français, quatre italiens ; Sur un sujet qu’ils concertèrent, Tous
six
ensemble se mêlèrent Pour faire Mirabilia. Savoir
: Pour Trivelin et Scaramouche, Qui se font souvent escarmouche, Ces
deux
rares facétieux Tout de bon y firent de mieux. Gr
Au rapport de plusieurs témoins, Valent mieux séparés que joints.
10.
Cette tragédie n’a pas été imprimée. 11. À cette
ieux séparés que joints. 10. Cette tragédie n’a pas été imprimée.
11.
À cette époque, Molière n’avait que seize ans, et
agédie n’a pas été imprimée. 11. À cette époque, Molière n’avait que
seize
ans, et ce n’est que sept ans plus tard qu’il ren
mande Béjart, qui était la sœur et non la fille de Madeleine Béjart.
12.
Molière n’eut qu’une fille dont l’éducation fut n
qui l’épousa dans la suite, et passa sa vie avec elle à Argenteuil.
13.
Si mademoiselle de Brie avait soixante-cinq ans l
ssa sa vie avec elle à Argenteuil. 13. Si mademoiselle de Brie avait
soixante-cinq
ans lors de sa retraite, qui eut lien en 1685, el
de Brie avait soixante-cinq ans lors de sa retraite, qui eut lien en
1685,
elle était donc née en 1620, et elle se serait en
ans lors de sa retraite, qui eut lien en 1685, elle était donc née en
1620,
et elle se serait engagée avec Molière à trente-h
elle était donc née en 1620, et elle se serait engagée avec Molière à
trente-huit
ans (en 1658) : L’École des femmes a été jouée en
en 1620, et elle se serait engagée avec Molière à trente-huit ans (en
1658
) : L’École des femmes a été jouée en 1662, ce ser
lière à trente-huit ans (en 1658) : L’École des femmes a été jouée en
1662,
ce serait donc à une actrice de quarante-deux ans
École des femmes a été jouée en 1662, ce serait donc à une actrice de
quarante-deux
ans que Molière aurait confié le rôle d’Agnès ? C
elle de Brie, et qui rapporte cette anecdote, a donc dû se tromper de
dix
ans et plus sur l’âge que mademoiselle de Brie av
sur l’âge que mademoiselle de Brie avait à l’époque de sa retraite.
14.
Probablement au mois de septembre 1670, car on li
it à l’époque de sa retraite. 14. Probablement au mois de septembre
1670,
car on lit dans une lettre en vers de Robinet, da
ptembre 1670, car on lit dans une lettre en vers de Robinet, datée du
27
de ce mois : Ainsi le roi court à Chambord, Joye
nt prendre l’essor, Avec sa cour si florissante, Et pendant des jours
quinze
ou trente. Molière privilégié, Comme seul des tal
l’essor, Avec sa cour si florissante, Et pendant des jours quinze ou
trente
. Molière privilégié, Comme seul des talents doué,
ement Le plus attrayant qu’ait la scène C’est une vérité certaine.
15.
Sauval, qui fut témoin de ce duel, en parle dans
l, qui fut témoin de ce duel, en parle dans ses Antiquités de Paris.
16.
Racine. Mignard.
CHAPITRE
XII
. Réflexions Générales. Quand, arrivé au terme
complice des désordres et des scandales de la vie du roi804. Lorsque,
vingt
après la mort de Molière, parut en tête du Théâtr
pas eu le temps de lire Molière, et il avait nécessairement confondu
deux
choses : les pièces de Molière, et les insipides
Caffaro, qui devint bientôt les Maximes et Réflexions sur la comédie
811.
Bossuet n’a rien dit que de profondément juste co
nde, » et il ne corrige l’étrange étroitesse de cet éloge que par ces
quatre
mots : « On sait assez ses autres mérites814. »
À ce point de vue, il n’a été vraiment compris de son temps que par
deux
hommes. Le premier est Boileau, qui est touchant
ressort une estime et un respect réfléchis : ils paraissent tous les
deux
convaincus par l’évidence du génie, sans qu’il y
difficile d’imaginer qu’aucun homme puisse s’en faire une meilleure.
II
a tout sondé dans l’homme et tout apprécié. Ses é
dant La Fontaine déclarer qu’il n’y a rien de mauvais dans ses Contes
829.
Mais cette illusion n’est qu’une preuve de plus d
îtres de par une puissance invincible. Molière règne en France depuis
deux
siècles, et ce n’est pas de ses intentions, mais
Mais il y a un suprême intérêt à ce qu’ils soient du moins innocents
835
et à ce qu’ils délassent l’homme sans le corrompr
itiquer vivement un académicien pour ce qu’on appelait sa théorie des
deux
morales : c’était une mauvaise.querelle. Sans dou
olière, pour le peuple, ne soit le vin pur pour les enfants. FIN.
802.
Voir à la fin des Œuvres de Molière (Paris, Poiri
s. FIN. 802. Voir à la fin des Œuvres de Molière (Paris, Poirion,
1749,
8 vol. in 12) plus de vingt épitaphes ou épigramm
IN. 802. Voir à la fin des Œuvres de Molière (Paris, Poirion, 1749,
8
vol. in 12) plus de vingt épitaphes ou épigrammes
Voir à la fin des Œuvres de Molière (Paris, Poirion, 1749, 8 vol. in
12
) plus de vingt épitaphes ou épigrammes qui ne rou
in des Œuvres de Molière (Paris, Poirion, 1749, 8 vol. in 12) plus de
vingt
épitaphes ou épigrammes qui ne roulent que sur ce
u de mots, qu’on trouve pour la première fois dans le Mercure galant,
1673,
tome 1. 803. Titre de la première édition du ‘Di
qu’on trouve pour la première fois dans le Mercure galant, 1673, tome
1.
803. Titre de la première édition du ‘Discours s
n trouve pour la première fois dans le Mercure galant, 1673, tome 1.
803.
Titre de la première édition du ‘Discours sur l’H
on du ‘Discours sur l’Histoire universelle, Paris, S. Mabre-Cramoisi,
1681.
804. Voir plus haut, chap. IX, p. 170, note 1 ;
Discours sur l’Histoire universelle, Paris, S. Mabre-Cramoisi, 1681.
804.
Voir plus haut, chap. IX, p. 170, note 1 ; p. 176
verselle, Paris, S. Mabre-Cramoisi, 1681. 804. Voir plus haut, chap.
IX
, p. 170, note 1 ; p. 176, note 2 ; p. 185, note 3
S. Mabre-Cramoisi, 1681. 804. Voir plus haut, chap. IX, p. 170, note
1
; p. 176, note 2 ; p. 185, note 3, et 186, note 2
, 1681. 804. Voir plus haut, chap. IX, p. 170, note 1 ; p. 176, note
2
; p. 185, note 3, et 186, note 2. 805. Lettre d
r plus haut, chap. IX, p. 170, note 1 ; p. 176, note 2 ; p. 185, note
3,
et 186, note 2. 805. Lettre d’un Homme d’érudit
haut, chap. IX, p. 170, note 1 ; p. 176, note 2 ; p. 185, note 3, et
186,
note 2. 805. Lettre d’un Homme d’érudition et d
p. IX, p. 170, note 1 ; p. 176, note 2 ; p. 185, note 3, et 186, note
2.
805. Lettre d’un Homme d’érudition et de mérite
X, p. 170, note 1 ; p. 176, note 2 ; p. 185, note 3, et 186, note 2.
805.
Lettre d’un Homme d’érudition et de mérite consu
ir si la comédie peut être permise, ou doit être absolument défendue.
1694.
806. Il faut citer, pour les gens qui n’aura
comédie peut être permise, ou doit être absolument défendue. 1694.
806.
Il faut citer, pour les gens qui n’auraient pa
(Le Médecin volant, sc.
XI
.) Ah ! tout beau, je suis prêt de te dépucele
(Les Menteurs qui ne mentent point, Act.
IV
, sc. IV.) Voilà le style de Boursault ; et les
(Les Menteurs qui ne mentent point, Act. IV, sc.
IV
.) Voilà le style de Boursault ; et les situati
out est digne du style. J’aurais honte de multiplier les citations.
807.
La Lettre au P. Caffaro, théatin, est du 9 mai 16
iplier les citations. 807. La Lettre au P. Caffaro, théatin, est du
9
mai 1694, et le P. Caffaro répondit aussitôt en d
les citations. 807. La Lettre au P. Caffaro, théatin, est du 9 mai
1694,
et le P. Caffaro répondit aussitôt en désavouant
ue des indications, et qui a dû être rédigée par Boursault lui-même.
808.
« La troupe de Molière jouait d’abord sur le thé
, jeudi et samedi, et les liens jouaient les autres jours… En janvier
1662,
quand Molière et sa troupe étaient installés au P
» J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
I
, note 36. — À moins d’être un habitué, il était i
schereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. I, note
36.
— À moins d’être un habitué, il était impossible
moins d’être un habitué, il était impossible de ne pas confondre les
deux
troupes ; et les pièces des Italiens étaient auss
scènes françaises qui ont été jouées sur le Théâtre italien, Genève,
1695.
De plus les Italiens, comme Boursault, pillaient
qu’un contemporain non assidu au théâtre attribuait tout à Molière.
809.
La Bruyère, Discours de Réception à l’Académie fr
re. 809. La Bruyère, Discours de Réception à l’Académie française.
810.
Voir plus haut, chap. IX, p. 172, note 3. 811. F
urs de Réception à l’Académie française. 810. Voir plus haut, chap.
IX
, p. 172, note 3. 811. F. Génin, Vie de Molière,
à l’Académie française. 810. Voir plus haut, chap. IX, p. 172, note
3.
811. F. Génin, Vie de Molière, chap. IX. 812.
Académie française. 810. Voir plus haut, chap. IX, p. 172, note 3.
811.
F. Génin, Vie de Molière, chap. IX. 812. Fén
haut, chap. IX, p. 172, note 3. 811. F. Génin, Vie de Molière, chap.
IX
. 812. Fénelon, Lettre à l’Académie française
chap. IX, p. 172, note 3. 811. F. Génin, Vie de Molière, chap. IX.
812.
Fénelon, Lettre à l’Académie française, VII. —
Molière, chap. IX. 812. Fénelon, Lettre à l’Académie française,
VII
. — Bayle avait dit avant Fénelon : « II avait -un
ttre à l’Académie française, VII. — Bayle avait dit avant Fénelon : «
II
avait -une facilité incroyable à faire des vers ;
onnant de trouver la même appréciation toute superficielle, répétée à
cent
cinquante ans de distance, avec la même légèreté,
t de trouver la même appréciation toute superficielle, répétée à cent
cinquante
ans de distance, avec la même légèreté, par un cr
tteint le style naturel. » H. Taine, La Fontaine et ses Fables, part.
1,
chap. III. Je ne croirais pas faire un vœu injuri
style naturel. » H. Taine, La Fontaine et ses Fables, part. 1, chap.
III
. Je ne croirais pas faire un vœu injurieux pour M
e et des lettres (Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
III
). Le style de Molière a été heureusement apprécié
n. A. Pommier, Crâneries et Dettes de cœur, À un Questionneur.
813.
La Bruyère, les Caractères, des Ouvrages de l’esp
onneur. 813. La Bruyère, les Caractères, des Ouvrages de l’esprit,
XXXVIII
. Remarquez que ce paragraphe n’a été introduit pa
he n’a été introduit par La Bruyère que dans sa cinquième édition, en
1690.
Bayle a pris le mot barbarisme à La Bruyère, et F
90. Bayle a pris le mot barbarisme à La Bruyère, et Fénelon à Bayle.
814.
Voltaire, Siècle de Louis XIV, XXXII. 815. J.-J.
La Bruyère, et Fénelon à Bayle. 814. Voltaire, Siècle de Louis XIV,
XXXII
. 815. J.-J. Rousseau, Lettre à d’Alembert sur le
ère, et Fénelon à Bayle. 814. Voltaire, Siècle de Louis XIV, XXXII.
815.
J.-J. Rousseau, Lettre à d’Alembert sur les Spect
XXII. 815. J.-J. Rousseau, Lettre à d’Alembert sur les Spectacles.
816.
Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv. I,
mbert sur les Spectacles. 816. Laharpe, Cours de Littérature, part.
II
, liv. I, chap. VI, sect. 1 817. Il serait mê
les Spectacles. 816. Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv.
I
, chap. VI, sect. 1 817. Il serait même injus
tacles. 816. Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv. I, chap.
VI
, sect. 1 817. Il serait même injuste de rest
816. Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv. I, chap. VI, sect.
1
817. Il serait même injuste de restreindre à
Laharpe, Cours de Littérature, part. II, liv. I, chap. VI, sect. 1
817.
Il serait même injuste de restreindre à ces tr
ap. VI, sect. 1 817. Il serait même injuste de restreindre à ces
trois
noms la liste des excellents commentateurs et app
auteurs que nous citons ici : De Cailhava, De l’Art de la Comédie,
1772
; Étude sur Molière, 1802. Auger, Œuvres de Mo
i : De Cailhava, De l’Art de la Comédie, 1772 ; Étude sur Molière,
1802.
Auger, Œuvres de Molière, 1819-1825. Beffar
Comédie, 1772 ; Étude sur Molière, 1802. Auger, Œuvres de Molière,
1819-1825.
Beffara, Dissertation sur J.-B. Poquelin de Mo
e, 1819-1825. Beffara, Dissertation sur J.-B. Poquelin de Molière,
1821.
Aimé Martin, Œuvres de Molière, 1823-1826.
r J.-B. Poquelin de Molière, 1821. Aimé Martin, Œuvres de Molière,
1823-1826.
J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvra
826. J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière,
1825,
avec Supplément, 1827. Saint-Marc Girardin, Co
Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, 1825, avec Supplément,
1827.
Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dram
t, 1827. Saint-Marc Girardin, Cours de Littérature dramatique.
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française.
traits littéraires ; Port-Royal. Ch. Louandre, Œuvres de Molière,
1855.
Ph. Chasles, Œuvres de Molière, 1855. M. Ba
Louandre, Œuvres de Molière, 1855. Ph. Chasles, Œuvres de Molière,
1855.
M. Baynaud, Les Médecins au temps de Molière,
es de Molière, 1855. M. Baynaud, Les Médecins au temps de Molière,
1862.
A. Legrelle, Holberg et Molière, 1864, etc.
decins au temps de Molière, 1862. A. Legrelle, Holberg et Molière,
1864,
etc. 818. Il faut citer encore La Fontaine,
s de Molière, 1862. A. Legrelle, Holberg et Molière, 1864, etc.
818.
Il faut citer encore La Fontaine, qui dès 1661
ière, 1864, etc. 818. Il faut citer encore La Fontaine, qui dès
1661,
dit de Molière : « C’est mon homme ! » (Lettre à
1, dit de Molière : « C’est mon homme ! » (Lettre à M. de Maucroix du
22
août 1661) ; Bussy-Rabutin, qui dit en apprenant
e Molière : « C’est mon homme ! » (Lettre à M. de Maucroix du 22 août
1661
) ; Bussy-Rabutin, qui dit en apprenant sa mort :
e suivant n’en verra-t-il pas un de sa façon » (Lettre au P. Rapin du
24
février 1673) ; le P. Bouhours, qui composa sur M
’en verra-t-il pas un de sa façon » (Lettre au P. Rapin du 24 février
1673
) ; le P. Bouhours, qui composa sur Molière un Mon
ue tu peignis si bien, Tu les avois repris de leur ingratitude.
819.
Voir plus haut, chap. II, III, V, VI. 820. Id.,
u les avois repris de leur ingratitude. 819. Voir plus haut, chap.
II
, III, V, VI. 820. Id., chap. VII, VIII. 821.
s avois repris de leur ingratitude. 819. Voir plus haut, chap. II,
III
, V, VI. 820. Id., chap. VII, VIII. 821. Id.,
is repris de leur ingratitude. 819. Voir plus haut, chap. II, III,
V
, VI. 820. Id., chap. VII, VIII. 821. Id., cha
repris de leur ingratitude. 819. Voir plus haut, chap. II, III, V,
VI
. 820. Id., chap. VII, VIII. 821. Id., chap. X
s de leur ingratitude. 819. Voir plus haut, chap. II, III, V, VI.
820.
Id., chap. VII, VIII. 821. Id., chap. X. 822.
tude. 819. Voir plus haut, chap. II, III, V, VI. 820. Id., chap.
VII
, VIII. 821. Id., chap. X. 822. Id., chap. XI.
819. Voir plus haut, chap. II, III, V, VI. 820. Id., chap. VII,
VIII
. 821. Id., chap. X. 822. Id., chap. XI. 823.
. Voir plus haut, chap. II, III, V, VI. 820. Id., chap. VII, VIII.
821.
Id., chap. X. 822. Id., chap. XI. 823. Except
chap. II, III, V, VI. 820. Id., chap. VII, VIII. 821. Id., chap.
X.
822. Id., chap. XI. 823. Excepté pourtant les
p. II, III, V, VI. 820. Id., chap. VII, VIII. 821. Id., chap. X.
822.
Id., chap. XI. 823. Excepté pourtant les devoir
. 820. Id., chap. VII, VIII. 821. Id., chap. X. 822. Id., chap.
XI
. 823. Excepté pourtant les devoirs de famille, v
0. Id., chap. VII, VIII. 821. Id., chap. X. 822. Id., chap. XI.
823.
Excepté pourtant les devoirs de famille, voir plu
823. Excepté pourtant les devoirs de famille, voir plu s haut, chap.
X.
824. Voir surtout chap. IX. 825. Voir toutes le
. Excepté pourtant les devoirs de famille, voir plu s haut, chap. X.
824.
Voir surtout chap. IX. 825. Voir toutes les vies
evoirs de famille, voir plu s haut, chap. X. 824. Voir surtout chap.
IX
. 825. Voir toutes les vies de Molière, et partic
s de famille, voir plu s haut, chap. X. 824. Voir surtout chap. IX.
825.
Voir toutes les vies de Molière, et particulièrem
olière, et particulièrement l’histoire de son dernier jour : « Il y a
cinquante
pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
» (J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
III
). 826. La Requeste à Monseigneur Fillustrissime
aschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. III).
826.
La Requeste à Monseigneur Fillustrissime et révèr
ir J. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.
IV
, note 1, et plus haut, page 227, note 2. 827. P
chereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, note
1,
et plus haut, page 227, note 2. 827. Préface du
a vie et des ouvrages de Molière, liv. IV, note 1, et plus haut, page
227,
note 2. 827. Préface du Tartuffe. Voir plus hau
es ouvrages de Molière, liv. IV, note 1, et plus haut, page 227, note
2.
827. Préface du Tartuffe. Voir plus haut, chap.
uvrages de Molière, liv. IV, note 1, et plus haut, page 227, note 2.
827.
Préface du Tartuffe. Voir plus haut, chap. I, p.
, page 227, note 2. 827. Préface du Tartuffe. Voir plus haut, chap.
I
, p. 8. 828. L’lmpromptu de Versailles, sc. III
, note 2. 827. Préface du Tartuffe. Voir plus haut, chap. I, p. 8.
828.
L’lmpromptu de Versailles, sc. III ; la Critique
Voir plus haut, chap. I, p. 8. 828. L’lmpromptu de Versailles, sc.
III
; la Critique de l’École des Femmes, sc. III, VI,
omptu de Versailles, sc. III ; la Critique de l’École des Femmes, sc.
III
, VI, VII. Voir plus haut, chap. I. 829. Cont
de Versailles, sc. III ; la Critique de l’École des Femmes, sc. III,
VI
, VII. Voir plus haut, chap. I. 829. Contes,
Versailles, sc. III ; la Critique de l’École des Femmes, sc. III, VI,
VII
. Voir plus haut, chap. I. 829. Contes, liv.
itique de l’École des Femmes, sc. III, VI, VII. Voir plus haut, chap.
I
. 829. Contes, liv. III, 1, les Oies de frère
e de l’École des Femmes, sc. III, VI, VII. Voir plus haut, chap. I.
829.
Contes, liv. III, 1, les Oies de frère Philipp
es, sc. III, VI, VII. Voir plus haut, chap. I. 829. Contes, liv.
III
, 1, les Oies de frère Philippe : Je n
c. III, VI, VII. Voir plus haut, chap. I. 829. Contes, liv. III,
1,
les Oies de frère Philippe : Je n’y v
eux. Les mères, les maris me prendront aux cheveux Pour
dix
ou douze contes bleus ! Voyez un peu l
Les mères, les maris me prendront aux cheveux Pour dix ou
douze
contes bleus ! Voyez un peu la belle a
affaire ! Ce que je n’ai point fait, mon livre iroit le faire !
830.
Voir surtout chap. IV, IX, X. 831. Voir plus hau
’ai point fait, mon livre iroit le faire ! 830. Voir surtout chap.
IV
, IX, X. 831. Voir plus haut, chap. I. 832. Le m
point fait, mon livre iroit le faire ! 830. Voir surtout chap. IV,
IX
, X. 831. Voir plus haut, chap. I. 832. Le même
t fait, mon livre iroit le faire ! 830. Voir surtout chap. IV, IX,
X.
831. Voir plus haut, chap. I. 832. Le même espr
it, mon livre iroit le faire ! 830. Voir surtout chap. IV, IX, X.
831.
Voir plus haut, chap. I. 832. Le même esprit d’i
e ! 830. Voir surtout chap. IV, IX, X. 831. Voir plus haut, chap.
I
. 832. Le même esprit d’intérêt prudent pour la m
830. Voir surtout chap. IV, IX, X. 831. Voir plus haut, chap. I.
832.
Le même esprit d’intérêt prudent pour la masse de
ent mal comprises par ceux qui ne se placent pas à son point de vue.
833.
« Les jeux, les bals, les festins, les pompes, l
cées. » Saint François de Sales, Introduction à la vie dévote, chap.
XXIII
. 834. Préface du Tartuffe. 835. Voir plus hau
Saint François de Sales, Introduction à la vie dévote, chap. XXIII.
834.
Préface du Tartuffe. 835. Voir plus haut, chap
roduction à la vie dévote, chap. XXIII. 834. Préface du Tartuffe.
835.
Voir plus haut, chap. I, p. 8.
chap. XXIII. 834. Préface du Tartuffe. 835. Voir plus haut, chap.
I
, p. 8.
ande réputation dont l’action et le mouvement, quoiqu’elles soient en
cinq
actes, suffiraient à peine pour soutenir un acte
u du moins de quoi amuser. Champmeslé avait ouvert cette carrière par
deux
comédies, l’une intitulée : Les Grisettes, et l’a
de La Fosse ; Oreste et Pylade, Amasis, de La Grange Chancel, etc.
1670.
Les Amants magnifiques. Comédie-ballet en cinq
e Chancel, etc. 1670. Les Amants magnifiques. Comédie-ballet en
cinq
actes, en prose, de M. Molière, représentée à Sai
TISSEMENT ROYAL, et à Paris, sur le théâtre de Guénégaud, le vendredi
15
octobre 1688a. « [*]Le roi donna le sujet des
OYAL, et à Paris, sur le théâtre de Guénégaud, le vendredi 15 octobre
1688a
. « [*]Le roi donna le sujet des Amants magnifi
octobre 1688a. « [*]Le roi donna le sujet des Amants magnifiques.
Deux
princes rivaux s’y disputent, par des fêtes galan
donna le sujet de cette pièce à Molière. Il voulut qu’on représentât
deux
princes qui se disputeraient une maîtresse en lui
s. Molière servait le roi avec précipitation. Il mit dans cet ouvrage
deux
personnages qu’il n’avait point encore fait paraî
comédie-ballet. Dans le premier intermède. Éole, le sieur Estival,
douze
Tritons chantants. Les sieurs Le Gros, Hédouin, D
ngan le cadet, Fernon le cadet, Rebel, Langeais, Deschamps, Morel, et
deux
pages de la musique de la chapelle. Huit Fleuves
ngeais, Deschamps, Morel, et deux pages de la musique de la chapelle.
Huit
Fleuves chantants, les sieurs Beaumont, Fernon l’
blet, Serignan, David, Aurat, Devellois, et Gillet. Amours chantants,
quatre
pages de la musique de la chambre. Huit Pêcheurs
t Gillet. Amours chantants, quatre pages de la musique de la chambre.
Huit
Pêcheurs de corail, dansants, les sieurs Joüan, C
aîné, Magny, Joubert, Mayeu, La Montagne et Lestang. Neptune, le Roi.
Six
Dieux marins, dansants, M. le Grand, le marquis d
nt, les sieurs Beauchamp, Favier, et La Pierre. Deuxième intermède.
Trois
Pantomimes dansants, les sieurs Beauchamp, Saint-
, M. Langeais ; Ménandre, M. Fernon le cadet ; Caliste, Mlle Hilaire.
Deux
Satires, MM. Estival et Morel ; Philinte, berger,
ilinte, berger, le sieur Blondel. Climène, Mlle de Saint-Christolphe.
Six
Dryades dansantes, les sieurs Arnald, Noblet, Les
Arnald, Noblet, Lestang, Favier le cadet, Foignard l’aîné, et Isaac.
Six
Faunes, dansants, les sieurs Beauchamp, Saint-And
eurs Beauchamp, Saint-André, Magny, Joubert, Favier l’aîné, et Mayeu.
Trois
petites Dryades, dansantes, les sieurs Bouilland,
tites Dryades, dansantes, les sieurs Bouilland, Vaignard et Thibauld.
Trois
petits Faunes, dansants, les sieurs La Montagne,
les sieurs La Montagne, Daluseau et Foignard. Quatrième intermède.
Huit
Statues, dansantes, les sieurs Dolivet, Le Chantr
rd l’aîné, Dolivet fils, et Foignard le cadet. Cinquième intermède.
Quatre
Pantomimes, dansants, les sieurs Dolivet, Le Chan
ier intermède. Fêtes des jeux Pythiens. La Prêtresse, Mlle Hilaire.
Deux
Sacrificateurs chantants, MM. Gaye et Langeais. S
e, Mlle Hilaire. Deux Sacrificateurs chantants, MM. Gaye et Langeais.
Six
Ministres du sacrifice, portant des haches, dansa
t, Le Chantre, Saint-André, Magny, Foignard l’aîné et Foignard cadet.
Six
Voltigeurs, les sieurs Joli, Doyal, de Launoy, Be
Joli, Doyal, de Launoy, Beaumont, Dugard l’aîné, et Dugard le cadet.
Quatre
Conducteurs d’esclaves, dansants, les sieurs Le P
s, les sieurs Le Prêtre et Jouan, les sieurs Pesan l’aîné et Joubert.
Huit
Esclaves dansants, les sieurs Paysan, La Vallée,
esan le cadet, Favre, Vaignard, Dolivet fils, Girard, et Charpentier.
Quatre
hommes armés à la grecque, les sieurs Noblet, Chi
és à la grecque, les sieurs Noblet, Chicanneau, Mayeu et des Granges.
Quatre
femmes armées à la grecque, les sieurs La Montagn
agne, Lestang, Favier le cadet, et Arnald. Un Héraut, le sieur Rebel.
Six
trompettes, les sieurs de La Plaine, Lorange, du
gan le cadet, Deschamps, Morel, Aurat, David, Devellois, Serignan, et
quatre
pages de la musique de la chapelle, et deux de la
Devellois, Serignan, et quatre pages de la musique de la chapelle, et
deux
de la chambre. On a été très exact à marquer les
bli s’est répété dans le livre du ballet du Bourgeois gentilhomme.
1670.
Le Bourgeois gentilhomme Comédie-ballet, en ci
gentilhomme. 1670. Le Bourgeois gentilhomme Comédie-ballet, en
cinq
actes, en prose, de M. Molière, représentée à Cha
cinq actes, en prose, de M. Molière, représentée à Chambord le mardi
14
octobre[*], et à Paris le 29 novembrea de la même
Molière, représentée à Chambord le mardi 14 octobre[*], et à Paris le
29
novembrea de la même année. « [*]La Cour fut m
quel il aspire, pour que le seul contraste des manières propres à ces
deux
états peignît sensiblement, dans un seul point et
eprésentation du Bourgeois gentilhomme à Chambord. Lettre en vers, du
18
octobre 1670. Les deux Majestés, à Chambor
on du Bourgeois gentilhomme à Chambord. Lettre en vers, du 18 octobre
1670.
Les deux Majestés, à Chambord, Ont reçu to
entilhomme à Chambord. Lettre en vers, du 18 octobre 1670. Les
deux
Majestés, à Chambord, Ont reçu tout de plein abor
tres ébats succéda, Où tout, dit-on, du mieux alla, Par les soins des
deux
grands Baptistesb, Originaux, et non copistes, Co
emploi Pour divertir notre grand roi. Lettre en vers de Robinet, du
15
novembre 1670. J’ajoute encore, pour la fi
divertir notre grand roi. Lettre en vers de Robinet, du 15 novembre
1670.
J’ajoute encore, pour la fin Qu’à Versaill
un sujet follet, De comédie et de ballet. Dans la lettre suivante du
22
novembre, Robinet, après avoir annoncé la premièr
ntre, Bonnard, Isaac, Magny et Saint-André. Dans le troisième acte.
Six
Cuisiniers, dansants, (les mêmes danseurs du seco
in, Morel, Gingan l’aîné, Fernon, Deschamps, Gillet, Bernard, Noblet,
quatre
pages de la musique. Filles coquettes, les sieurs
, les sieurs Dolivet, Le Chantre, Bonnard, Lestang, Isaac et Joubert.
Deux
autres Espagnols dansants, les sieurs Beauchamp e
itevines dansantes, les sieurs Fors, Foignard et Favier le jeune. Les
huit
Flûtes, les sieurs Descoûteaux, Piéche le fils, P
ls, Philidor, Boutet, du Clos, Plumet, Fossart et Nicolas Hottere.
1671.
Psyché Tragi-comédie-ballet, en vers libres, p
s des Tuileries, au mois de janvier, et sur celui du Palais-Royal, le
24
juillet suivantb. Avant de rendre compte de cet
les Vigarani, fils de ·Gaspard. « Le corps de la salle est partagé en
deux
parties inégales. La première comprend le théâtre
loges qui font face au théâtre, et qui occupent le reste du salon de
trois
côtés, l’un qui regarde la cour, l’autre le jardi
i est du côté du pavillon, vers les vieilles Écuries, a de profondeur
vingt-deux
toises. Son ouverture est de trente-deux pieds su
lles Écuries, a de profondeur vingt-deux toises. Son ouverture est de
trente-deux
pieds sur la largeur, ou entre les corridors et c
eds sur la largeur, ou entre les corridors et châssis qui règnent des
deux
côtés. La hauteur où celle des châssis est de vin
is qui règnent des deux côtés. La hauteur où celle des châssis est de
vingt-quatre
pieds jusqu’aux nuages. Par-dessus les nuages, ju
du comble, pour la retraite ou pour le mouvement des machines, il y a
trente-sept
pieds. Sous le plancher ou parquet du théâtre, po
du théâtre, pour les Enfers, ou pour les changements des mers, il y a
quinze
pieds de profondeur. La seconde partie, ou celle
ui est du côté de l’appartement des Tuileries, a de largeur entre les
deux
murs soixante et trois pieds ; entre les corridor
côté de l’appartement des Tuileries, a de largeur entre les deux murs
soixante
et trois pieds ; entre les corridors quarante-neu
partement des Tuileries, a de largeur entre les deux murs soixante et
trois
pieds ; entre les corridors quarante-neuf. Sa pro
eur entre les deux murs soixante et trois pieds ; entre les corridors
quarante-neuf
. Sa profondeur, depuis le théâtre jusqu’au susdit
Sa profondeur, depuis le théâtre jusqu’au susdit appartement, est de
quatre-vingt-treize
pieds. Chaque corridor est de six pieds, et la ha
appartement, est de quatre-vingt-treize pieds. Chaque corridor est de
six
pieds, et la hauteur du parterre jusqu’au plafond
r est de six pieds, et la hauteur du parterre jusqu’au plafond est de
quarante-neuf
pieds. Ce plafond a deux beautés aussi riches que
du parterre jusqu’au plafond est de quarante-neuf pieds. Ce plafond a
deux
beautés aussi riches que surprenantes, par sa dor
uteur .jusqu’au comble, où sont les rouages et les mouvements, est de
soixante
et deux pieds. « Il y a encore une manière, aussi
’au comble, où sont les rouages et les mouvements, est de soixante et
deux
pieds. « Il y a encore une manière, aussi nouvell
que hardie, d’entrer une poutre l’une dans l’autre, et de confier aux
deux
, sur quelque longueur que ce soit, toute sorte de
seule peut passer pour un très superbe spectacle. Sa longueur est de
quarante
toises ; elle est partagée en deux parties, l’une
spectacle. Sa longueur est de quarante toises ; elle est partagée en
deux
parties, l’une est pour le théâtre, et l’autre po
u moment où la scène doit s’ouvrir. La face du théâtre, ainsi que les
deux
retours, est un grand ordre corinthien, qui compr
comprend toute la hauteur de l’édifice. On entre dans le parterre par
deux
portes différentes, à droite et à gauche. Ces ent
ar deux portes différentes, à droite et à gauche. Ces entrées ont des
deux
côtés des colonnes sur des piédestaux, et des pil
ragi-comédie de Psyché, après lesquelles elle fut abandonnée jusqu’en
1716,
qu’on l’a raccommoda pour les ballets qui y furen
ujours célèbre par un grand nombre de traits ; et surtout par le tour
neuf
et délicat de la déclaration de l’Amour à Psyché.
x, M. Gaye. Vénus, Mlle de Brie. L’Amour, La Thorillière le fils. Les
deux
Grâces, Mlles de La Thorillière et Du Croisy. Nym
Desfronteaux ; MM. Gingan, cadet, Langeais, Gillet, Oudot et Jannot.
Quatre
Sylvains de la suite de Vertumne, dansants, MM. C
gi-comédie de Psyché. L’Amour, le sieur Baron. Psyché, Mlle Molière.
Deux
sœurs de Psyché, Mlles Marotte et Beauval. Le Roi
amants de Psyché, les sieurs Hubert et Lagrange. Vénus, Mlle de Brie.
Deux
Grâces, les petites demoiselles La Thorillière et
ie. Deux Grâces, les petites demoiselles La Thorillière et Du Croisy.
Deux
petits Amours, La Thorillière le fils, et Barillo
ermède. Femme désolée qui plaint le malheur de Psyché, Mlle Hilaire.
Deux
Hommes affligés, chantants, MM. Morel et Langeais
d l’aîné. Troisième intermède. Un Zéphir chantant, le sieur Jannot.
Deux
Amours chantants, MM. Renier et Pierrot. Zéphyrs
rd l’aîné et Foignard le cadet. Bacchus, M. Gaye. Silène, M. Blondel.
Deux
Satires chantants, les sieurs de La Grille et Ber
Blondel. Deux Satires chantants, les sieurs de La Grille et Bernard.
Deux
Satires voltigeants, les sieurs Meniglaise, et de
ieurs fois, mais la plus brillante de ces reprises est celle du mardi
1er
juin 1703. Nous en parlerons sous cette année.
s, mais la plus brillante de ces reprises est celle du mardi 1er juin
1703.
Nous en parlerons sous cette année. 1671. Les
celle du mardi 1er juin 1703. Nous en parlerons sous cette année.
1671.
Les Fourberies de Scapin Comédie en trois acte
ons sous cette année. 1671. Les Fourberies de Scapin Comédie en
trois
actes, en prose, de M. Molière, représentée sur l
prose, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le
24
mai. « [*]Si l’on faisait grâce au sac ridicul
pas fait scrupule d’insérer dans sa comédie des Fourberies de Scapin
deux
scènes entières du Pédant joué, mauvaise pièce de
rétend que quand on lui reprochait ce plagiarisme, il répondait : Ces
deux
scènes sont assez bonnes. Cela m’appartenait de d
le trouve. » En donnant l’extrait de La Sœur, comédie de Rotrou, t.
VI
. p. 396 de cette Histoire, nous avons dit que la
régez ce récit, nous en voilà jusqu’à demain. Laissez-moi le finir en
deux
mots, etc. Cette comparaison des deux scènes de
emain. Laissez-moi le finir en deux mots, etc. Cette comparaison des
deux
scènes de la comédie de La Sœur, de Rotrou, avec
comparaison des deux scènes de la comédie de La Sœur, de Rotrou, avec
deux
autres des Fourberies de Scapin, loin de faire to
es devenaient supérieures entre ses mains. On en peut dire autant des
deux
scènes qu’il a prises dans Le Pédant joué, de Cyr
eux scènes qu’il a prises dans Le Pédant joué, de Cyrano Bergerac.
1671.
La Comtesse d’Escarbagnas. Comédie en un acte,
allets, et ensuite sans intermèdes, sur le théâtre du Palais-Royal le
8
juillet 1672. (Registre de Molière.) « [*]Le R
ensuite sans intermèdes, sur le théâtre du Palais-Royal le 8 juillet
1672.
(Registre de Molière.) « [*]Le Roi s’étant pro
; ce divertissement parut à Saint-Germain-en-Laye au mois de décembre
1671,
sous le titre de Ballet des Ballets. Ces deux piè
ye au mois de décembre 1671, sous le titre de Ballet des Ballets. Ces
deux
pièces composaient sept actes, qui étaient précéd
arut sur le théâtre du Palais-Royal qu’en un acte, au mois de juillet
1672,
telle qu’on la joue encore aujourd’hui, et telle
intermède. Entrée d’une Égyptienne, dansante et chantante, suivie de
douze
Égyptiens dansants, tirée de La Pastorale comique
ôles de la Comtesse, de M. Tibaudier et de M. Harpin sont le germe de
trois
caractères que les auteurs comiques ont depuis si
e le roi donna à Madame, à Saint-Germain-en-Laye, au mois de décembre
1671.
Les deux pièces, divisées en sept actes, sans qu’
onna à Madame, à Saint-Germain-en-Laye, au mois de décembre 1671. Les
deux
pièces, divisées en sept actes, sans qu’on en con
[*]… Je trouve ses vers admirables, et ne les appelle pas seulement
deux
strophes, comme vous ; mais deux épigrammes, auss
les, et ne les appelle pas seulement deux strophes, comme vous ; mais
deux
épigrammes, aussi bonnes que toutes celles de Mar
Ce n’est pas ce Martial-là, Madame, c’est un auteur qui vivait il y a
trente
ou quarante ans. Ce Martial qui ne faisait point
as ce Martial-là, Madame, c’est un auteur qui vivait il y a trente ou
quarante
ans. Ce Martial qui ne faisait point de vers éta
s apprend cette anecdote, ainsi qu’une fête singulière qu’il donna en
1652.
Voici le détail que Loret en donne. Lettre en ver
donna en 1652. Voici le détail que Loret en donne. Lettre en vers du
9
novembre 1652. De Monsieur, un valet de ch
652. Voici le détail que Loret en donne. Lettre en vers du 9 novembre
1652.
De Monsieur, un valet de chambre, Ce grand
er jovial, Fit par pure réjouissance, Un festin de rare importance, À
douze
de ses compagnons ; Illec, on ne vit point d’oign
lairaient mieux que des égouts : Mais la fine galanterie, Que j’eusse
cent
fois plus chérie, Que les plats les mieux apprêté
e les plats les mieux apprêtés, Qu’on y voyait de tous côtés Fut, que
douze
charmantes filles, Jeunes, riantes et gentilles,
on fruit ; Après, laquelle gaillardise, Une musique assez exquise, De
deux
, ou trois, ou quatre chœurs, Ravit les âmes et le
; Après, laquelle gaillardise, Une musique assez exquise, De deux, ou
trois
, ou quatre chœurs, Ravit les âmes et les cœurs ;
aquelle gaillardise, Une musique assez exquise, De deux, ou trois, ou
quatre
chœurs, Ravit les âmes et les cœurs ; Ensuite, on
e, Vint, se rencontra, se rangea, Puis but, chanta, dansa, mangea.
1672.
Les Femmes savantes Comédie en cinq actes, et
ut, chanta, dansa, mangea. 1672. Les Femmes savantes Comédie en
cinq
actes, et en vers, de M. Molière, représentée sur
n vers, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le
11
marsa. « [*]Molière travailla à loisir la comé
ne dura pas. On sentit bientôt avec quel art l’auteur avait su tirer
cinq
actes entiers d’un sujet aride en lui-même, sans
par un incident mieux combiné et plus raisonnable que n’est celui des
deux
lettres supposées qu’Ariste apporte au cinquième
rès ce qui se passa au palais de Luxembourg, chez Mademoiselle, entre
deux
auteurs du temps. » Ces deux auteurs sont l’abbé
de Luxembourg, chez Mademoiselle, entre deux auteurs du temps. » Ces
deux
auteurs sont l’abbé Cotin et Ménage : voici de qu
ce fait1. « Au reste, la charmante scène (des Femmes savantes, acte
III
, scène V) de Trissotin et de Vadius est d’après n
« Au reste, la charmante scène (des Femmes savantes, acte III, scène
V
) de Trissotin et de Vadius est d’après nature ; c
M. l’abbé Cotin, jusque-là même qu’elle l’honorait du nom de son ami
1.
Comme il achevait de lire ses vers, Ménage entra
trouva, ce qu’effectivement ils étaient, détestables : là-dessus nos
deux
poètes se dirent à peu près l’un à l’autre les do
ce titre : La Critique désintéressée sur les satires du temps, in-8°,
1666.
Il y chargea Despréaux des injures les plus gross
u’il changea depuis en celui de Trissotin. » Un passage du Menagiana
1
nous apprend jusqu’à quel point Molière chercha à
cepté Montmaur, n’a été tant turlupiné que le pauvre Cotin. On fit en
1682,
peu de temps après sa mort, ces quatre vers : Sa
que le pauvre Cotin. On fit en 1682, peu de temps après sa mort, ces
quatre
vers : Savez-vous en quoi Cotin, Diffère de Tris
neur à Ménage.) M. de Visé, qui entreprit au commencement de l’année
1672
son ouvrage périodique du Mercure galant, rendit
point trompés dans l’espérance qu’il nous avait donnée il y a tantôt
quatre
ans, de faire représenter au Palais-Royal une piè
onsidérable dans cette comédie, qui attire tout Paris. Il y a partout
mille
traits d’esprit, beaucoup d’expressions heureuses
cations de cette comédie, et une querelle de l’auteur, il y a environ
huit
ans, avec un homme de lettres, qu’on prétend être
t suffisamment justifié de cela par une harangue qu’il fit au public,
deux
jours avant la première représentation de sa pièc
risée de tout le monde. Je vous nommerais, si cela était nécessaire,
deux
ou trois personnes de poids, qui, à leur retour d
e tout le monde. Je vous nommerais, si cela était nécessaire, deux ou
trois
personnes de poids, qui, à leur retour de Paris,
ent semblant de ne pas connaître cet ancien ministre d’Apollon et des
neuf
Sœurs, proclamé indigne de sa charge, et livré au
ue, dit en passant* que M. l’abbé Cotin était mort au mois de janvier
1682.
Il ne joignit à cela aucun mot d’éloge, et vous s
ieur Richelet qui a publié que l’on enterra l’abbé à Saint-Merry l’an
1673
? Il lui ôte huit ou neuf années de vie : et ils
a publié que l’on enterra l’abbé à Saint-Merry l’an 1673 ? Il lui ôte
huit
ou neuf années de vie : et ils demeuraient l’un e
que l’on enterra l’abbé à Saint-Merry l’an 1673 ? Il lui ôte huit ou
neuf
années de vie : et ils demeuraient l’un et l’autr
nt l’un et l’autre dans Paris. M. Baillet le croyait encore vivant en
1684
*. Voilà une grande marque d’abandon et d’obscurit
par des écrivains illustres : il était de l’Académie française depuis
quinze
ans1. Et il s’était signalé à l’Hôtel de Luxembou
ésenté sous le personnage de Trissotin, a donné lieu aux applications
1.
« Bien des gens ont cru que ce fut plutôt la quer
us en trouverez le détail dans un petit livre intitulé : La Ménagerie
2,
que l’abbé Cotin dédia à Mademoiselle. C’est une
oir supprimé ce qui fut dit à son sujet, et sa triste catastrophe.
1673.
Le Malade imaginaire. Comédie-ballet, en trois
ste catastrophe. 1673. Le Malade imaginaire. Comédie-ballet, en
trois
actes, en prose, avec un prologue en vers lyrique
r M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le vendredi
10
février. (La musique du Malade imaginaire est de
dans le troisième intermèdeb, qui, quoique mieux lié au sujet que les
deux
premiers, n’en est pas plus vraisemblablec. » Bo
cette pièce et quelques autres à Thierry, libraire, qui l’imprima en
1682,
avec les autres pièces du même auteur. Les Comédi
çais firent de la dépense pour la mettre au théâtre, où elle parut le
15
octobre 1688, mais elle ne fut pas goûtée du publ
de la dépense pour la mettre au théâtre, où elle parut le 15 octobre
1688,
mais elle ne fut pas goûtée du public, et elle n’
ctobre 1688, mais elle ne fut pas goûtée du public, et elle n’eut que
neuf
représentations : la neuvième le 31 du même mois
ée du public, et elle n’eut que neuf représentations : la neuvième le
31
du même mois d’octobre. Registre de Guénégaud, an
a neuvième le 31 du même mois d’octobre. Registre de Guénégaud, année
1688.
[*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ner ensemble tant de choses diverses, Sa Majesté, a choisi pour sujet
deux
princes qui, dans le champêtre séjour de la vallé
ages. [*]. [Note marginale] Voyez ci-dessous la lettre de Robinet du
18
octobre. a. Robinet, dans sa lettre du 22 novem
s la lettre de Robinet du 18 octobre. a. Robinet, dans sa lettre du
22
novembre, annonce la première représentation du B
tion du Bourgeois gentilhomme sur le théâtre du Palais-Royal, pour le
25
du même mois. [*]. [Note marginale] Mémoires sur
ntilhomme fut joué pour la première fois à Chambord au mois d’octobre
1670.
Jamais pièce n’a été plus malheureusement reçue q
l va tomber : cet homme-là donne dans la farce italienne. Il se passa
cinq
ou six jours avant que l’on représentât cette piè
ber : cet homme-là donne dans la farce italienne. Il se passa cinq ou
six
jours avant que l’on représentât cette pièce pour
que l’on représentât cette pièce pour la seconde fois, et pendant ces
cinq
jours, Molière tout mortifié se tint caché dans s
es grands événements. » b. « Au mois de novembre de la même année
1670,
que l’on représenta Le Bourgeois gentilhomme à Pa
: mais lorsque l’on veut vérifier cette prétendue anecdote, on nomme
vingt
personnes différentes ; ce qui engage à croire qu
a. Par la date de la lettre de Robinet, on voit que le mardi était le
14
octobre : ce qui nous indique clairement celle de
aptiste, et Molière pareillement. *. [Note marginale] De Bourgogne.
1.
[Note marginale] Voyez ci-dessous l’article de ce
gne. 1. [Note marginale] Voyez ci-dessous l’article de cette pièce.
2.
[Note marginale] 25 novembre. a. Il y a tout lie
nale] Voyez ci-dessous l’article de cette pièce. 2. [Note marginale]
25
novembre. a. Il y a tout lieu de croire que le s
l’on s’est trompé en mettant la première représentation de Psyché au
24
juillet 1671, mais nous trouvons sur le Registre
trompé en mettant la première représentation de Psyché au 24 juillet
1671,
mais nous trouvons sur le Registre de Molière de
uillet 1671, mais nous trouvons sur le Registre de Molière de l’année
1672
la première représentation de cette pièce le 11 n
Molière de l’année 1672 la première représentation de cette pièce le
11
novembre de cette même année ; elle eut trente-de
entation de cette pièce le 11 novembre de cette même année ; elle eut
trente-deux
représentations, dont la dernière est du dimanche
lle eut trente-deux représentations, dont la dernière est du dimanche
22
janvier 1673. *. [Note marginale] Idée des spect
nte-deux représentations, dont la dernière est du dimanche 22 janvier
1673.
*. [Note marginale] Idée des spectacles anciens
] Idée des spectacles anciens et nouveaux, par l’abbé de Pure, in-12,
1668,
p. 311 et suivantes. *. [Note marginale] Le card
, s’amollit pour plaire à Louis XIV. L’auteur de Cinna fit à l’âge de
67
ans (il fallait dire 65 ans, car Corneille était
à Louis XIV. L’auteur de Cinna fit à l’âge de 67 ans (il fallait dire
65
ans, car Corneille était né en 1606) cette déclar
à l’âge de 67 ans (il fallait dire 65 ans, car Corneille était né en
1606
) cette déclaration de l’Amour à Psyché qui passe
ts sur ses ouvrages. a. Par l’extrait du Pédant joué de Cyrano, tome
VIII
, page première de cette Histoire, on verra que ce
première de cette Histoire, on verra que ce n’est que le fonds de ces
deux
scènes que Molière emprunta pour ses Fourberies d
que ce passage semble le faire entendre. [*]. [Note marginale] ACTE
I
. scène I. LÉLIE, ERGASTE, valet de Lélie. [*].
ssage semble le faire entendre. [*]. [Note marginale] ACTE I. scène
I
. LÉLIE, ERGASTE, valet de Lélie. [*]. [Note marg
scène I. LÉLIE, ERGASTE, valet de Lélie. [*]. [Note marginale] ACTE
I
, scène I. OCTAVE, SILVESTRE, valet d’Octave. [*
LÉLIE, ERGASTE, valet de Lélie. [*]. [Note marginale] ACTE I, scène
I
. OCTAVE, SILVESTRE, valet d’Octave. [*]. [Note m
ent de la comédie de La Comtesse d’Escarbagnas, édition in-12, Paris,
1739.
[*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
s sur la vie et les ouvrages de Molière. [*]. [Note marginale] Scène
XVI
de La Comtesse d’Escabagnas *. [Note marginale]
e Sa Majesté en avait eu auparavant au sujet du Bourgeois gentilhomme
2,
cette première pièce serait peut-être tombée. Ce
ssait les autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris, avec confiance, le
21
mars 1672. » Ce récit de Grimarest ne s’accorde
s autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris, avec confiance, le 21 mars
1672.
» Ce récit de Grimarest ne s’accorde point avec
*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière.
1.
[Note marginale] Histoire de l’Académie française
Molière. 1. [Note marginale] Histoire de l’Académie française, tome
II
, p. 185. 1. [Note marginale] Mercure galant, tom
[Note marginale] Histoire de l’Académie française, tome II, p. 185.
1.
[Note marginale] Mercure galant, tome I, année 16
française, tome II, p. 185. 1. [Note marginale] Mercure galant, tome
I
, année 1672. [*]. [Note marginale] Mémoires pour
, tome II, p. 185. 1. [Note marginale] Mercure galant, tome I, année
1672.
[*]. [Note marginale] Mémoires pour servir à l’h
s pour servir à l’histoire des gens de lettres, par le P. Nicéron, t.
XXIV
, p. 225 et 226. a. Avant lui Juvénal avait dit
l’histoire des gens de lettres, par le P. Nicéron, t. XXIV, p. 225 et
226.
a. Avant lui Juvénal avait dit en latin, Qu’on
é Cotin et Ménage se trouvèrent à la première représentation, et tous
deux
au sortir de là, ils allèrent sonner le tocsin à
r, l’avait vantée avec raison, comme le chef-d’œuvre de l’auteur. »
1.
[Note marginale] Tome III, p. 23, édition de Pari
ison, comme le chef-d’œuvre de l’auteur. » 1. [Note marginale] Tome
III
, p. 23, édition de Paris de 1729. 1. [Note margi
’auteur. » 1. [Note marginale] Tome III, p. 23, édition de Paris de
1729.
1. [Note marginale] Vadius. a. « [*]Ce fut M.
. » 1. [Note marginale] Tome III, p. 23, édition de Paris de 1729.
1.
[Note marginale] Vadius. a. « [*]Ce fut M. Desp
teur (l’une et l’autre pièce imprimées dans ses Œuvres galantes, tome
II
, p. 512, Paris, 1665), dont Molière sut bien fair
tre pièce imprimées dans ses Œuvres galantes, tome II, p. 512, Paris,
1665
), dont Molière sut bien faire son profit dans sa
où il fait paraître ce savant ; ses ouvrages mêmes y sont désignés.
1.
[Note marginale] Dictionnaire de Richelet, éditio
1. [Note marginale] Dictionnaire de Richelet, édition in-4°, Genève,
1680.
2. [Note marginale] Carpenteriana, p. 48. [*].
te marginale] Dictionnaire de Richelet, édition in-4°, Genève, 1680.
2.
[Note marginale] Carpenteriana, p. 48. [*]. [Not
le] Carpenteriana, p. 48. [*]. [Note marginale] Mercure galant, tome
I
, lettre du 12 mars 1672. a. Ici ce n’est plus Mé
iana, p. 48. [*]. [Note marginale] Mercure galant, tome I, lettre du
12
mars 1672. a. Ici ce n’est plus Ménage et Cotin,
48. [*]. [Note marginale] Mercure galant, tome I, lettre du 12 mars
1672.
a. Ici ce n’est plus Ménage et Cotin, ni ce dern
e marginale] Réponse aux questions d’un provincial, tome premier, ch.
29,
p. 245-250. a. M. Bayle ajoute dans la note marg
ginale : « J’excepte un sonnet inséré dans le Mercure galant, juillet
1678.
» M. Bayle aurait été plus exact s’il avait dit :
t, juillet 1678. » M. Bayle aurait été plus exact s’il avait dit : Et
huit
vers du même abbé Cotin, adressés à Monsieur sur
à Monsieur sur la bataille de Cassel, dans le Mercure du mois d’avril
1677,
p. 186. *. [Note marginale] Mercure, mars 1682.
cure du mois d’avril 1677, p. 186. *. [Note marginale] Mercure, mars
1682.
b. Comme le discours du directeur est imprimé en
aies. » *. [Note marginale] Jugements sur les poètes modernes, tome
V
, p. 241. b. « [*]Cotin se tint dans l’inaction,
de ce dernier coup, qui véritablement est des plus rudes : soit qu’en
1672,
qui est l’année qu’on joua pour la première fois
it M. Perrault*, agirent pour obtenir qu’il fût mis en curatelle. »
1.
[Note marginale] Il fut reçu en 1656. 2. [Note m
ir qu’il fût mis en curatelle. » 1. [Note marginale] Il fut reçu en
1656.
2. [Note marginale] Chez Mlle de Montpensier. 3
l fût mis en curatelle. » 1. [Note marginale] Il fut reçu en 1656.
2.
[Note marginale] Chez Mlle de Montpensier. 3. [N
Il fut reçu en 1656. 2. [Note marginale] Chez Mlle de Montpensier.
3.
[Note marginale] Mme la duchesse de Rohan. [*].
Rohan. [*]. [Note marginale] Mercure galant, tome premier, lettre du
19
mars 1672. 1. [Note marginale] Voyez ci-dessus l
[*]. [Note marginale] Mercure galant, tome premier, lettre du 19 mars
1672.
1. [Note marginale] Voyez ci-dessus le passage d
ote marginale] Mercure galant, tome premier, lettre du 19 mars 1672.
1.
[Note marginale] Voyez ci-dessus le passage de De
arginale] Voyez ci-dessus le passage de De Visé, Mercure galant, tome
I
, lettre du 12 mars 1672. 2. [Note marginale] In-
ez ci-dessus le passage de De Visé, Mercure galant, tome I, lettre du
12
mars 1672. 2. [Note marginale] In-12, 1666. [*]
ssus le passage de De Visé, Mercure galant, tome I, lettre du 12 mars
1672.
2. [Note marginale] In-12, 1666. [*]. [Note mar
passage de De Visé, Mercure galant, tome I, lettre du 12 mars 1672.
2.
[Note marginale] In-12, 1666. [*]. [Note margina
e galant, tome I, lettre du 12 mars 1672. 2. [Note marginale] In-12,
1666.
[*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
ses termes : « Il attaqua (Molière) encore les mauvais médecins par
deux
pièces fort comiques, dont l’une est Le Médecin m
t les termes d’art dont il avait besoin. Son fils, qui vit encore (en
1739
) obtint, à la sollicitation de Molière, un canoni
poètes comiques. » [*]. [Note marginale] Lettres de Boursault, tome
I
, p. 219 et 120, édition de Paris, 1729.
es. » [*]. [Note marginale] Lettres de Boursault, tome I, p. 219 et
120,
édition de Paris, 1729.
inale] Lettres de Boursault, tome I, p. 219 et 120, édition de Paris,
1729.
rêt qu’il prend à la mémoire d’un Auteur si Illustre. Fait à Paris ce
15
Décembre 1704. Fontenelle. La Vie de Mr de Mo
end à la mémoire d’un Auteur si Illustre. Fait à Paris ce 15 Décembre
1704.
Fontenelle. La Vie de Mr de Molière. Il y
plus élevées : De sorte qu’il resta dans la boutique jusqu’à l’âge de
quatorze
ans, et ils se contentèrent de lui faire apprendr
lin était né avec de si heureuses dispositions pour les études, qu’en
cinq
années de temps il fit non seulement ses Humanité
encore sa Philosophie. Ce fut au Collège qu’il fit connaissance avec
deux
Hommes illustres de notre temps, Mr de Chapelle e
it reconnu incapable de les gouverner : Il se contenta de lui laisser
8
000 livres de rente entre les mains de personnes
reconnu incapable de les gouverner : Il se contenta de lui laisser 8
000
livres de rente entre les mains de personnes qui
y jouer la Comédie. Cette troupe était composée de la Béjart, de ses
deux
frères, de Gros-René, de Duparc, de sa femme, d’u
ec sa troupe, qui eut bien de l’applaudissement en passant à Lyon, en
1653,
où il donna au Public l’Étourdi, la première de s
Molière s’acquit beaucoup de réputation dans cette Province, par les
trois
premières Pièces de sa façon qu’il fit paraître ;
. Tout cela lui aurait manqué chez Monsieur le Prince de Conti. Après
quatre
ou cinq années de succès dans la Province, la Tro
a lui aurait manqué chez Monsieur le Prince de Conti. Après quatre ou
cinq
années de succès dans la Province, la Troupe réso
résenter la Pièce de Nicomède devant leurs Majestés au mois d’Octobre
1658.
Leur début fut heureux ; et les Actrices surtout
-le-champ de petites Comédies, à la manière des Italiens. Il en avait
deux
entre autres, que tout le monde en Languedoc, jus
sérieuses, ne se laissaient point de voir représenter. C’étaient les
Trois
Docteurs Rivaux, et le Maître d’École, qui étaien
soin ; et Sa Majesté voulut bien qu’il lui donnât la première de ces
deux
petites Pièces, qui eut un succès favorable. Le J
jouer alternativement avec les Italiens. On sait qu’ils passèrent en
1660
au Palais Royal, et qu’ils prirent le titre de Co
vince, et ils commencèrent à représenter, dans cette grande Ville, le
3e
de Novembre 1658. L’Étourdi, la première de ses P
ommencèrent à représenter, dans cette grande Ville, le 3e de Novembre
1658.
L’Étourdi, la première de ses Pièces, qu’il fit p
applaudissement ; et Molière enleva tout à fait l’estime du Public en
1659,
par les Précieuses ridicules ; Ouvrage qui fit al
érite de la nouveauté. Les Précieuses ridicules furent jouées pendant
quatre
mois de suite. Mr Ménage, qui était à la première
a toujours réussi dans tous les caractères qu’il a voulu peindre. Le
28
Mars 1660, Molière donna pour la première fois le
urs réussi dans tous les caractères qu’il a voulu peindre. Le 28 Mars
1660,
Molière donna pour la première fois le Cocu imagi
e fut pas heureux dans la seconde Pièce qu’il fit paraître à Paris le
4
Février 1661. Dom Garcie de Navarre, ou le Prince
heureux dans la seconde Pièce qu’il fit paraître à Paris le 4 Février
1661.
Dom Garcie de Navarre, ou le Prince jaloux, n’eut
: il s’y accommoda entièrement dans l’École des Maris, qu’il donna le
24
Juin 1661. Cette Pièce qui est une de ses meilleu
accommoda entièrement dans l’École des Maris, qu’il donna le 24 Juin
1661.
Cette Pièce qui est une de ses meilleures, confir
emps de l’Auteur. Les Fâcheux, qui parurent à la Cour au mois d’Août
1661,
et à Paris le 4 du mois de Novembre suivant, ache
es Fâcheux, qui parurent à la Cour au mois d’Août 1661, et à Paris le
4
du mois de Novembre suivant, achevèrent de donner
qu’il dise dans sa préface des Fâcheux, qu’il ait fait cette pièce en
quinze
jours de temps, j’ai cependant de la peine à le c
aucoup de plaisir à la voir représenter. L’École des femmes parut en
1662,
avec peu de succès : les gens de spectacle furent
ramassa, et en fit la Critique de l’École des Femmes, qu’il donna en
1663.
Cette pièce fit plaisir au Public : elle était du
tu de Versailles, qui fut joué pour la première fois devant le Roi le
14e
d’Octobre 1663, et à Paris le 4e de Novembre de l
es, qui fut joué pour la première fois devant le Roi le 14e d’Octobre
1663,
et à Paris le 4e de Novembre de la même année, n’
r la première fois devant le Roi le 14e d’Octobre 1663, et à Paris le
4e
de Novembre de la même année, n’est qu’une conver
oupe. La différence de jeu avait fait naître de la jalousie entre les
deux
Troupes. On allait à celle de l’hôtel de Bourgogn
nière qu’ayant su qu’ils devaient représenter une pièce nouvelle dans
deux
mois, il se mit en tête d’en avoir une toute prêt
der ses Ouvrages au Public : et il lui dit de revenir le trouver dans
six
mois. Pendant ce temps-là Molière fit le dessein
’il avait pour divertir Sa Majesté, daigna l’honorer d’une pension de
mille
livres. On voit dans ses Ouvrages le remerciement
servait de fort près, il ne put consommer son mariage pendant plus de
neuf
mois ; c’eût été risquer un éclat qu’il voulait é
Fête, que le Roi donna aux Reines, et à toute sa Cour au mois de Mai
1664,
fit à Molière tout l’honneur qu’il en pouvait att
t chez le Courtisan. Est-ce le même Auteur, disait-on, qui a fait ces
deux
pièces : cet homme aime à parler au Peuple ; il n
à lui donner souvent des nouveautés, hasarda son Festin de Pierre le
15
de Février 1665. On en jugea dans ce temps-là, co
souvent des nouveautés, hasarda son Festin de Pierre le 15 de Février
1665.
On en jugea dans ce temps-là, comme on en juge en
é à la Molière. C’en fut assez pour former de la dissension entre ces
trois
femmes. La Du-Parc pour se mettre bien avec sa no
our voir le spectacle. Elle n’y fut pas plutôt, que la Molière envoya
deux
Gardes pour la faire sortir de l’Amphithéâtre ; e
e touchaient, irrité contre le Médecin, pour se venger de lui, fit en
cinq
jours de temps la Comédie de l’Amour Médecin, don
édie de l’Amour Médecin, dont il fit un divertissement pour le Roi le
15
de Septembre 1665, et qu’il représenta à Paris le
Médecin, dont il fit un divertissement pour le Roi le 15 de Septembre
1665,
et qu’il représenta à Paris le 22 du même mois. C
t pour le Roi le 15 de Septembre 1665, et qu’il représenta à Paris le
22
du même mois. Cette pièce ne relevait pas à la vé
n’ayant, à ce que l’on dit, jamais été saigné. Et l’on rapporte dans
deux
livres de remarques que Mr de Mauvilain, et lui,
ement occupé du désir de gagner de l’argent, fit faire une épinette à
trois
claviers, longue à peu près de trois pieds, et la
argent, fit faire une épinette à trois claviers, longue à peu près de
trois
pieds, et large de deux et demi, avec un corps, d
nette à trois claviers, longue à peu près de trois pieds, et large de
deux
et demi, avec un corps, dont la capacité était le
e double plus grande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait
quatre
enfants, tous jolis, deux garçons et deux filles
le des épinettes ordinaires. Raisin avait quatre enfants, tous jolis,
deux
garçons et deux filles ; il leur avait appris à j
ordinaires. Raisin avait quatre enfants, tous jolis, deux garçons et
deux
filles ; il leur avait appris à jouer de l’épinet
ièce, que le troisième clavier répétait seul d’un bout à l’autre, les
deux
enfants ayant les bras levés. Ensuite le père les
résomptueux ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de
vingt
mille livres à Raisin. Le bruit de cette épinette
tueux ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt
mille
livres à Raisin. Le bruit de cette épinette alla
uvrît le corps de l’épinette, d’où l’on vit sortir un petit enfant de
cinq
ans, beau comme un Ange. C’était Raisin le cadet,
uvre enfant sortît de sa prison, où il était si mal à son aise depuis
cinq
ou six heures, que l’épinette en avait contracté
ant sortît de sa prison, où il était si mal à son aise depuis cinq ou
six
heures, que l’épinette en avait contracté une mau
ière. Il commençait son spectacle par sa machine, ensuite de quoi les
trois
enfants dansaient une sarabande ; ce qui était su
ts dansaient une sarabande ; ce qui était suivi d’une Comédie que ces
trois
petites personnes, et quelques autres dont Raisin
avait formé une Troupe, représentaient tant bien que mal. Ils avaient
deux
petites pièces qu’ils faisaient rouler, Tricassin
le talent qu’il avait apporté en naissant. Ils l’engagèrent donc pour
cinq
ans dans la Troupe de la Raisin, car son mari éta
n avait eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un enfant de
dix
ou onze ans, sans avoir été conduit dans les prin
eu à chercher l’épinette. Il était surprenant qu’un enfant de dix ou
onze
ans, sans avoir été conduit dans les principes de
ôtel de Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eût gagné
vingt
mille écus de bien. Elle crut que la campagne ne
e Guénégaud ; et elle ne quitta point Paris qu’elle n’eût gagné vingt
mille
écus de bien. Elle crut que la campagne ne lui se
bienfaisante de Molière, alla le prier de lui prêter son Théâtre pour
trois
jours seulement, afin que le petit gain qu’elle e
seulement, afin que le petit gain qu’elle espérait de faire dans ses
trois
représentations lui servît à remettre sa Troupe e
ut sur le Théâtre, le lieu était si rempli, que la Raisin fit plus de
mille
écus. Molière, qui était incommodé, n’avait pu vo
cus. Molière, qui était incommodé, n’avait pu voir le petit Baron les
deux
premiers jours ; mais tout le monde lui en dit ta
i voulait faire. Le lendemain matin le Tailleur exact apporta sur les
neuf
à dix heures au petit Baron un équipage tout comp
it faire. Le lendemain matin le Tailleur exact apporta sur les neuf à
dix
heures au petit Baron un équipage tout complet. I
contenta pas de l’avoir si bien fait accommoder ; il lui donna encore
six
louis d’or, avec ordre de les dépenser à ses plai
es dépenser à ses plaisirs. Tout cela était un rêve pour un enfant de
douze
ans, qui était depuis longtemps entre les mains d
r vous ôter de la Troupe où vous êtes. Molière, qui s’était levé dès
quatre
heures du matin, avait été à S. Germain supplier
e entra toute furieuse le lendemain matin dans la chambre de Molière,
deux
pistolets à la main, et lui dit que s’il ne lui r
pria Molière de lui accorder du moins que le petit Baron jouât encore
trois
jours dans sa Troupe. ― Non seulement trois, rép
petit Baron jouât encore trois jours dans sa Troupe. ― Non seulement
trois
, répondit Molière, mais huit ; à condition pourta
jours dans sa Troupe. ― Non seulement trois, répondit Molière, mais
huit
; à condition pourtant qu’il n’ira point chez vou
er avec eux. Il fallut bien que la Raisin en passât par là ; mais ces
huit
jours lui donnèrent beaucoup d’argent, avec leque
nts fréquents que la Troupe de Molière lui donnait, qu’au mois d’Août
1665,
Sa Majesté jugea à propos de la fixer tout à fait
a fixer tout à fait à son service, en lui donnant une pension de sept
mille
livres. Elle prit alors le titre de la Troupe du
e est-il fou, et nous prend-il pour des benêts, de nous faire essuyer
cinq
Actes de prose ? A-t-on jamais vu plus d’extravag
nt quelques années après : il donna son Avare pour la seconde fois le
9e
Septembre 1668. On y fut en foule, et il fut joué
nnées après : il donna son Avare pour la seconde fois le 9e Septembre
1668.
On y fut en foule, et il fut joué presque toute l
que le Public goûte rarement les bonnes choses quand il est dépaysé.
Cinq
Actes de prose l’avaient révolté la première fois
et il s’imaginait que sa femme était prête à le haïr. L’esprit de ces
deux
femmes était tellement opposé à celui de Molière
ait souffrir qu’il eût de la bonté pour cet enfant, qui de son côté à
treize
ans n’avait pas toute la prudence nécessaire, pou
ssez celui-là ; et encore dans un temps où il est chargé d’un rôle de
six
cents vers dans la pièce que nous devons représen
celui-là ; et encore dans un temps où il est chargé d’un rôle de six
cents
vers dans la pièce que nous devons représenter in
ce que je dois lui donner. Baron ne pouvant s’en défendre, statua sur
quatre
pistoles, qu’il croyait suffisantes pour donner à
orge la facilité de joindre une Troupe.― Eh bien, je vais lui donner
quatre
pistoles pour moi, dit Molière à Baron, puisque v
, dit Molière à Baron, puisque vous le jugez à propos : mais en voilà
vingt
autres que je lui donnerai pour vous : je veux qu
cet habit, que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté
deux
mille cinq cents livres, et il était presque tout
habit, que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux
mille
cinq cents livres, et il était presque tout neuf.
que Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille
cinq
cents livres, et il était presque tout neuf. Il a
Molière donnait avec tant de plaisir, lui avait coûté deux mille cinq
cents
livres, et il était presque tout neuf. Il assaiso
ui avait coûté deux mille cinq cents livres, et il était presque tout
neuf
. Il assaisonna ce présent d’un bon accueil qu’il
Comédien après avoir gagné une somme assez considérable pour se faire
dix
ou douze mille livres de rente qu’il avait placée
n après avoir gagné une somme assez considérable pour se faire dix ou
douze
mille livres de rente qu’il avait placées à Flore
s avoir gagné une somme assez considérable pour se faire dix ou douze
mille
livres de rente qu’il avait placées à Florence, l
lle. On alla avec empressement à la Comédie Italienne pendant plus de
six
mois, pour revoir Scaramouche : la troupe de Moli
s furieux, outrés de la résistance qu’il avait faite, le percèrent de
cent
coups d’épée : et chacun d’eux en entrant lui don
Eh ! Messieurs, leur dit-il, épargnez du moins un pauvre Vieillard de
soixante-quinze
ans, qui n’a plus que quelques jours à vivre. Le
e je n’aie importuné le Roi pour avoir l’ordre, qui nous a mis tous à
deux
doigts de notre perte ; il est question présentem
e aux Auteurs, et aux Personnes, qui n’ayant pas le moyen de dépenser
quinze
sols, ne voyaient le spectacle que par charité, s
servante qui faisait alors tout son domestique, quoiqu’il eût près de
trente
mille livres de rente. Cette femme était dans la
e qui faisait alors tout son domestique, quoiqu’il eût près de trente
mille
livres de rente. Cette femme était dans la coulis
était un de ces génies supérieurs et réjouissants, que l’on annonçait
six
mois avant que de le pouvoir donner pendant un re
’était point assez à un véritable ami : de sorte que Molière s’en fit
deux
plus solides dans la personne de Mrs Rohault et M
mmageaient de tous les chagrins qu’il avait d’ailleurs. C’était à ces
deux
Messieurs qu’il se livrait sans réserve. ― Ne me
’ombrage malgré moi. J’y trouve à redire, je m’en plains. Cette femme
cent
fois plus raisonnable que je ne le suis, veut jou
table avec honneur. Il fit un jour partie avec Mrs de J…, de N… et de
L
…d, pour aller se réjouir à Hauteuil avec leur ami
les repas entre gens de cette espèce, on tomba sur la morale vers les
trois
heures du matin. ― Que notre vie est peu de chos
lle. Qu’elle est remplie de traverses ! Nous sommes à l’affût pendant
trente
ou quarante années pour jouir d’un moment de plai
le est remplie de traverses ! Nous sommes à l’affût pendant trente ou
quarante
années pour jouir d’un moment de plaisir, que nou
se le plus d’honneur, et qui réponde à notre conduite. Demain sur les
huit
à neuf heures du matin, bien à jeun et devant tou
lus d’honneur, et qui réponde à notre conduite. Demain sur les huit à
neuf
heures du matin, bien à jeun et devant tout le mo
it N., et il n’y a pas le petit mot à dire. ― Morbleu j’enrage, dit
L.
Molière a toujours cent fois plus d’esprit que no
le petit mot à dire. ― Morbleu j’enrage, dit L. Molière a toujours
cent
fois plus d’esprit que nous. Voilà qui est fait,
’Hauteuil avec un valet, nommé Godemer, qui le servait depuis plus de
trente
ans. Ce vieux domestique avait l’honneur d’être t
que je suis en possession du devant de votre carrosse depuis plus de
trente
ans ; pourquoi voulez-vous me l’ôter aujourd’hui
es alors ; mais à présent je ne puis plus marcher. En un mot comme en
cent
, ajouta ce Valet, vous m’avez accoutumé au carros
us en rapportez à moi, dit Molière, je vais tâcher de mettre d’accord
deux
si honnêtes gens. Vous avez tort, dit-il à Godeme
e donner des coups de bâton, donne-les, et t’en va. On sait que les
trois
premiers actes de la Comédie du Tartuffe de Moliè
Molière furent représentés à Versailles dès le mois de Mai de l’année
1664,
et qu’au mois de Septembre de la même année, ces
Mai de l’année 1664, et qu’au mois de Septembre de la même année, ces
trois
Actes furent joués pour la seconde fois à Villers
ère et la seconde fois au Raincy, au mois de Novembre suivant ; et en
1665
; mais Paris ne l’avait point encore vue en 1667.
mbre suivant ; et en 1665 ; mais Paris ne l’avait point encore vue en
1667.
Molière sentait la difficulté de la faire passer
us la table. Quand il crut avoir suffisamment préparé les esprits, le
5
d’Août 1667, il fait afficher le Tartuffe. Mais i
le. Quand il crut avoir suffisamment préparé les esprits, le 5 d’Août
1667,
il fait afficher le Tartuffe. Mais il n’eut pas é
. Je lisais hier son Tartuffe. Je lui en avais autrefois entendu lire
trois
Actes chez Mr de Mommor, où se trouvèrent aussi M
ion que le peuple de Paris voulait plus rire qu’admirer ; et que pour
vingt
personnes qui sont susceptibles de sentir des tra
sont susceptibles de sentir des traits délicats et élevés, il y en a
cent
qui les rebutent faute de les connaître. Il ne fu
malgré lui : Et qu’ainsi la date de la première représentation de ces
deux
dernières pièces, que l’on a mise dans les œuvres
que qu’elle ont été jouées dès les mois de Mars et de Juin de l’année
1666.
Molière avait lu son Misanthrope à toute la Cour,
s de Décembre de la même année, il donna au Roi le divertissement des
deux
premiers actes d’une Pastorale qu’il avait faite,
os avec raison d’en faire le troisième Acte, ni de faire imprimer les
deux
premiers, qui n’ont vu le jour qu’après sa mort
lien fut trouvé une agréable petite pièce à la Cour, et à la Ville en
1667.
Et l’Amphitryon passa tout d’une voix au mois de
lle en 1667. Et l’Amphitryon passa tout d’une voix au mois de Janvier
1668.
Cependant un Savantasse n’en voulut point tenir c
Après que Molière eut repris avec succès son Avare au mois de Janvier
1668,
comme je l’ai déjà dit, il projeta de donner son
cès. Le George Dandin fut donc bien reçu à la Cour au mois de Juillet
1668,
et à Paris au mois de Novembre suivant. Quand Mol
aient ; mais leur joie ne dura qu’autant de temps qu’il en fallut aux
deux
Comédiens pour apporter l’ordre du Roi, qui voula
t. Je viens d’entendre un Acteur déclamer faussement et pitoyablement
quatre
vers de ma pièce ; et je ne saurais voir maltrait
s Juge le bon Père, dit Molière, si le Système de Descartes n’est pas
cent
fois mieux imaginé, que tout ce que Mr de Gassend
sit avec fureur le moment de rétorquer les arguments de Chapelle. Les
deux
Philosophes en étaient aux convulsions, et presqu
r sa besace, qu’il y avait mise en entrant. C’était un Frère lai, les
deux
Philosophes n’avaient point vu son enseigne ; et
ce système de vivre ; vous êtes isolé de tout ; et vous pouvez penser
quinze
jours durant à un bon mot, sans que personne vous
ais si vous étiez comme moi occupé de plaire au Roi, et si vous aviez
quarante
ou cinquante personnes, qui n’entendent point rai
étiez comme moi occupé de plaire au Roi, et si vous aviez quarante ou
cinquante
personnes, qui n’entendent point raison, à faire
’une parfaite sincérité ; c’était où il triomphait. Un jeune homme de
vingt-deux
ans, beau, et bien fait le vint trouver un jour ;
aisait sentir les endroits touchants. Il semblait qu’il eût travaillé
vingt
années, tant il était assuré dans ses tons ; ses
tête que malgré tout ce que Molière vous a dit, vous en aurez plus en
six
mois de Théâtre qu’en six années de barreau. Mol
e Molière vous a dit, vous en aurez plus en six mois de Théâtre qu’en
six
années de barreau. Molière qui n’avait en vue qu
is. Un jour qu’il dînait en nombreuse compagnie avec Mr le marquis de
M
***1, dont le Page, pour tout domestique, servait
Un jour qu’il dînait en nombreuse compagnie avec Mr le marquis de M***
1,
dont le Page, pour tout domestique, servait à boi
avait dérangé un livre, c’en était assez pour qu’il ne travaillât de
quinze
jours ; il y avait peu de domestiques qu’il ne tr
, et ses assiduités n’étaient pas trop fatigantes pour une femme ; en
huit
jours une petite conversation, c’en était assez p
tes plutôt le Diable , lui répondit ce pauvre garçon, qui fut plus de
vingt-quatre
heures à comprendre comment ce malheureux bas se
pièce, laquelle fut jouée à Chambord au mois de Septembre de l’année
1669,
et à Paris un mois après. Le Roi s’étant proposé
é de donner un divertissement à sa Cour au mois de Février de l’année
1670,
Molière eut ordre d’y travailler : Il fit les Ama
ntilhomme fut joué pour la première fois à Chambord au mois d’Octobre
1670.
Jamais pièce n’a été plus malheureusement reçue q
va tomber : Cet homme-là donne dans la farce Italienne. Il se passa
cinq
jours avant que l’on représentât cette pièce pour
ue l’on représentât cette pièce pour la seconde fois ; et pendant ces
cinq
jours, Molière tout mortifié, se tint caché dans
omme dans les grands événements. Au mois de Novembre de la même année
1670,
que l’on représenta le Bourgeois Gentilhomme à Pa
ntilhomme dans la Personne de Gandouin, Chapelier, qui avait consommé
cinquante
mille écus avec une femme, que Molière connaissai
dans la Personne de Gandouin, Chapelier, qui avait consommé cinquante
mille
écus avec une femme, que Molière connaissait, et
Molière. Les Fourberies de Scapin parurent pour la première fois le
24
de Mai 1671. Et la Comtesse d’Escarbagnas fut jou
Les Fourberies de Scapin parurent pour la première fois le 24 de Mai
1671.
Et la Comtesse d’Escarbagnas fut jouée à la Cour
ouée à la Cour au mois de Février de l’année suivante, et à Paris, le
8
de Juillet de la même année. Tout le monde sait c
les bons Juges, et les gens du goût délicat se récrièrent contre ces
deux
pièces. Mais le Peuple pour qui Molière avait eu
tissait les autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris avec confiance le
11e
de Mai 1672. Molière était vif quand on l’attaqua
autres. Ainsi il donna sa pièce à Paris avec confiance le 11e de Mai
1672.
Molière était vif quand on l’attaquait. Benserade
i demanda un divertissement, et qu’il donna Psyché au mois de Janvier
1672,
il ne désabusa point le public, que ce qui était
our lui aider. On sait que cette pièce eut à Paris au mois de Juillet
1672,
tout le succès qu’elle méritait. Il n’y a pourtan
D’ailleurs sa santé était très faible, il était obligé de se ménager.
Dix
mois après son raccommodement avec sa femme il do
ménager. Dix mois après son raccommodement avec sa femme il donna, le
10
de Février de l’année 1673, le Malade Imaginaire,
on raccommodement avec sa femme il donna, le 10 de Février de l’année
1673,
le Malade Imaginaire, dont on prétend qu’il était
se remettre. — Comment voulez-vous que je fasse, leur dit-il, il y a
cinquante
pauvres Ouvriers, qui n’ont que leur journée pour
de coutume, il ne jouerait point ce jour-là, s’ils n’étaient prêts à
quatre
heures précises pour jouer la Comédie. — Sans ce
médiens tinrent les lustres allumés, et la toile levée, précisément à
quatre
heures. Molière représenta avec beaucoup de diffi
jouta-t-il, allez dire à ma femme qu’elle monte. Il resta assisté de
deux
Sœurs Religieuses, de celles qui viennent ordinai
a volonté du Seigneur. Enfin il rendit l’esprit entre les bras de ces
deux
bonnes Sœurs ; le sang qui sortait par sa bouche
s histoires que l’on a faites à cette occasion. Il mourut le Vendredi
17e
du mois de Février de l’année 1673, âgé de cinqua
tte occasion. Il mourut le Vendredi 17e du mois de Février de l’année
1673,
âgé de cinquante-trois ans ; regretté de tous les
Il mourut le Vendredi 17e du mois de Février de l’année 1673, âgé de
cinquante-trois
ans ; regretté de tous les Gens de Lettres, des C
Ouvrages font juger de son esprit beaucoup mieux que mes expressions.
II
avait un attachement inviolable pour la Personne
trer l’intention de cette Populace : On lui conseilla de répandre une
centaine
de pistoles par les fenêtres. Elle n’hésita point
tout son cœur. Le Convoi se fit tranquillement à la clarté de près de
cent
flambeaux, le Mardi vingt un de Février. Comme il
se fit tranquillement à la clarté de près de cent flambeaux, le Mardi
vingt
un de Février. Comme il passait dans la rue Montm
gnorants ou irrités avaient répandues quelques années auparavant dans
deux
pièces intitulées : Le Portrait du Peintre, dont
crier l’Auteur ; mais il triomphait toujours. Molière connaissait les
trois
sortes de personnes qu’il avait à divertir, le Co
et quel fléau du ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces
deux
Comiques ! » Tous les savants ont porté à peu prè
nt sur les ouvrages de Molière ; mais il divertissait tour à tour les
trois
sortes de personnes dont je viens de parler ; et
e a été Avocat. Table des matières. A Les Amants magnifiques :
257
L’Amphitryon : 190 L’Andouille de Troie : 88 Ave
Table des matières. A Les Amants magnifiques : 257 L’Amphitryon :
190
L’Andouille de Troie : 88 Aventure d’un Ecclésia
s Amants magnifiques : 257 L’Amphitryon : 190 L’Andouille de Troie :
88
Aventure d’un Ecclésiastique qui voulait détourne
ure d’un Ecclésiastique qui voulait détourner Molière de la Comédie :
16
— d’un Vieillard aux Précieuses : 36 — d’un Bourg
étourner Molière de la Comédie : 16 — d’un Vieillard aux Précieuses :
36
— d’un Bourgeois de Paris : 39 — de la Scène du C
: 16 — d’un Vieillard aux Précieuses : 36 — d’un Bourgeois de Paris :
39
— de la Scène du Chasseur des Fâcheux : 48 — de M
d’un Bourgeois de Paris : 39 — de la Scène du Chasseur des Fâcheux :
48
— de Mr Racine : 58 — de l’Épinette de Raisin : 8
aris : 39 — de la Scène du Chasseur des Fâcheux : 48 — de Mr Racine :
58
— de l’Épinette de Raisin : 81 — de Mondorge Comé
seur des Fâcheux : 48 — de Mr Racine : 58 — de l’Épinette de Raisin :
81
— de Mondorge Comédien : 120 — de Hubert Comédien
r Racine : 58 — de l’Épinette de Raisin : 81 — de Mondorge Comédien :
120
— de Hubert Comédien : 134 — de Molière sur un ân
te de Raisin : 81 — de Mondorge Comédien : 120 — de Hubert Comédien :
134
— de Molière sur un âne : 140 — des Ivrognes qui
e Comédien : 120 — de Hubert Comédien : 134 — de Molière sur un âne :
140
— des Ivrognes qui voulaient se noyer : 152 — de
— de Molière sur un âne : 140 — des Ivrognes qui voulaient se noyer :
152
— de Chapelle et de son Valet : 164 — de la perso
Ivrognes qui voulaient se noyer : 152 — de Chapelle et de son Valet :
164
— de la personne qui fit la Défense du Misanthrop
son Valet : 164 — de la personne qui fit la Défense du Misanthrope :
184
— d’un Savant sur l’Amphitryon : 190 — d’une lect
fit la Défense du Misanthrope : 184 — d’un Savant sur l’Amphitryon :
190
— d’une lecture du George Dandin : 193 — de Champ
d’un Savant sur l’Amphitryon : 190 — d’une lecture du George Dandin :
193
— de Champmêlé avec Molière : 202 — d’un Minime :
— d’une lecture du George Dandin : 193 — de Champmêlé avec Molière :
202
— d’un Minime : 215 — d’un Courtisan : 227 — d’un
George Dandin : 193 — de Champmêlé avec Molière : 202 — d’un Minime :
215
— d’un Courtisan : 227 — d’un jeune homme qui vou
e Champmêlé avec Molière : 202 — d’un Minime : 215 — d’un Courtisan :
227
— d’un jeune homme qui voulait se faire Comédien
un Courtisan : 227 — d’un jeune homme qui voulait se faire Comédien :
233
— de Chapelle et de Mr des P** : 242 — d’un Valet
qui voulait se faire Comédien : 233 — de Chapelle et de Mr des P** :
242
— d’un Valet de Molière : 253 — du Chapeau de Mr
: 233 — de Chapelle et de Mr des P** : 242 — d’un Valet de Molière :
253
— du Chapeau de Mr Rohault : 257 — de Benserade s
P** : 242 — d’un Valet de Molière : 253 — du Chapeau de Mr Rohault :
257
— de Benserade sur des Vers : 272 L’Avare : 107,
: 253 — du Chapeau de Mr Rohault : 257 — de Benserade sur des Vers :
272
L’Avare : 107, 192 B Mr Baile : 279 Mr le Baro
peau de Mr Rohault : 257 — de Benserade sur des Vers : 272 L’Avare :
107,
192 B Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56, 80, 89 e
de Mr Rohault : 257 — de Benserade sur des Vers : 272 L’Avare : 107,
192
B Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56, 80, 89 et su
— de Benserade sur des Vers : 272 L’Avare : 107, 192 B Mr Baile :
279
Mr le Baron : 56, 80, 89 et suiv., 110, 125, 153,
r des Vers : 272 L’Avare : 107, 192 B Mr Baile : 279 Mr le Baron :
56,
80, 89 et suiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et
s Vers : 272 L’Avare : 107, 192 B Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56,
80,
89 et suiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et suiv
rs : 272 L’Avare : 107, 192 B Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56, 80,
89
et suiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et suiv.,
vare : 107, 192 B Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56, 80, 89 et suiv.,
110,
125, 153, 166, 171, 211 et suiv., 221, 258, 262,
: 107, 192 B Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56, 80, 89 et suiv., 110,
125,
153, 166, 171, 211 et suiv., 221, 258, 262, 276,
, 192 B Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56, 80, 89 et suiv., 110, 125,
153,
166, 171, 211 et suiv., 221, 258, 262, 276, 284,
B Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56, 80, 89 et suiv., 110, 125, 153,
166,
171, 211 et suiv., 221, 258, 262, 276, 284, 293 L
Mr Baile : 279 Mr le Baron : 56, 80, 89 et suiv., 110, 125, 153, 166,
171,
211 et suiv., 221, 258, 262, 276, 284, 293 La Bar
ile : 279 Mr le Baron : 56, 80, 89 et suiv., 110, 125, 153, 166, 171,
211
et suiv., 221, 258, 262, 276, 284, 293 La Barre :
e Baron : 56, 80, 89 et suiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et suiv.,
221,
258, 262, 276, 284, 293 La Barre : 251 Beauchatea
on : 56, 80, 89 et suiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et suiv., 221,
258,
262, 276, 284, 293 La Barre : 251 Beauchateau Com
56, 80, 89 et suiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et suiv., 221, 258,
262,
276, 284, 293 La Barre : 251 Beauchateau Comédien
0, 89 et suiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et suiv., 221, 258, 262,
276,
284, 293 La Barre : 251 Beauchateau Comédien : 55
et suiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et suiv., 221, 258, 262, 276,
284,
293 La Barre : 251 Beauchateau Comédien : 55 Made
uiv., 110, 125, 153, 166, 171, 211 et suiv., 221, 258, 262, 276, 284,
293
La Barre : 251 Beauchateau Comédien : 55 Mademois
153, 166, 171, 211 et suiv., 221, 258, 262, 276, 284, 293 La Barre :
251
Beauchateau Comédien : 55 Mademoiselle Beauval :
., 221, 258, 262, 276, 284, 293 La Barre : 251 Beauchateau Comédien :
55
Mademoiselle Beauval : 113 Béjart : 20, 133 La Bé
, 293 La Barre : 251 Beauchateau Comédien : 55 Mademoiselle Beauval :
113
Béjart : 20, 133 La Béjart : 20, 65, 109, 129 Bel
e : 251 Beauchateau Comédien : 55 Mademoiselle Beauval : 113 Béjart :
20,
133 La Béjart : 20, 65, 109, 129 Belleroze Comédi
251 Beauchateau Comédien : 55 Mademoiselle Beauval : 113 Béjart : 20,
133
La Béjart : 20, 65, 109, 129 Belleroze Comédien :
Comédien : 55 Mademoiselle Beauval : 113 Béjart : 20, 133 La Béjart :
20,
65, 109, 129 Belleroze Comédien : 8 Mr de Bensera
dien : 55 Mademoiselle Beauval : 113 Béjart : 20, 133 La Béjart : 20,
65,
109, 129 Belleroze Comédien : 8 Mr de Benserade :
: 55 Mademoiselle Beauval : 113 Béjart : 20, 133 La Béjart : 20, 65,
109,
129 Belleroze Comédien : 8 Mr de Benserade : 272
Mademoiselle Beauval : 113 Béjart : 20, 133 La Béjart : 20, 65, 109,
129
Belleroze Comédien : 8 Mr de Benserade : 272 Mr B
13 Béjart : 20, 133 La Béjart : 20, 65, 109, 129 Belleroze Comédien :
8
Mr de Benserade : 272 Mr Bernier : 10, 12, 220 et
La Béjart : 20, 65, 109, 129 Belleroze Comédien : 8 Mr de Benserade :
272
Mr Bernier : 10, 12, 220 et suiv. Un Bourgeois de
5, 109, 129 Belleroze Comédien : 8 Mr de Benserade : 272 Mr Bernier :
10,
12, 220 et suiv. Un Bourgeois de Paris : 39 Mr Bo
09, 129 Belleroze Comédien : 8 Mr de Benserade : 272 Mr Bernier : 10,
12,
220 et suiv. Un Bourgeois de Paris : 39 Mr Boursa
129 Belleroze Comédien : 8 Mr de Benserade : 272 Mr Bernier : 10, 12,
220
et suiv. Un Bourgeois de Paris : 39 Mr Boursault
erade : 272 Mr Bernier : 10, 12, 220 et suiv. Un Bourgeois de Paris :
39
Mr Boursault : 54 De Brie : 20 Mademoiselle de Br
nier : 10, 12, 220 et suiv. Un Bourgeois de Paris : 39 Mr Boursault :
54
De Brie : 20 Mademoiselle de Brie : 20 Mr de la B
, 220 et suiv. Un Bourgeois de Paris : 39 Mr Boursault : 54 De Brie :
20
Mademoiselle de Brie : 20 Mr de la Bruyère : 306
s de Paris : 39 Mr Boursault : 54 De Brie : 20 Mademoiselle de Brie :
20
Mr de la Bruyère : 306 C Champmeslé : 20 Mr Cha
rsault : 54 De Brie : 20 Mademoiselle de Brie : 20 Mr de la Bruyère :
306
C Champmeslé : 20 Mr Chapelain : 3 Mr de Chapel
: 54 De Brie : 20 Mademoiselle de Brie : 20 Mr de la Bruyère : 306
C
Champmeslé : 20 Mr Chapelain : 3 Mr de Chapelle :
20 Mademoiselle de Brie : 20 Mr de la Bruyère : 306 C Champmeslé :
20
Mr Chapelain : 3 Mr de Chapelle : 10, 12, 145, 15
e Brie : 20 Mr de la Bruyère : 306 C Champmeslé : 20 Mr Chapelain :
3
Mr de Chapelle : 10, 12, 145, 151 et suiv., 164,
a Bruyère : 306 C Champmeslé : 20 Mr Chapelain : 3 Mr de Chapelle :
10,
12, 145, 151 et suiv., 164, 171, 173, 215, 222, 2
uyère : 306 C Champmeslé : 20 Mr Chapelain : 3 Mr de Chapelle : 10,
12,
145, 151 et suiv., 164, 171, 173, 215, 222, 241,
e : 306 C Champmeslé : 20 Mr Chapelain : 3 Mr de Chapelle : 10, 12,
145,
151 et suiv., 164, 171, 173, 215, 222, 241, 295
06 C Champmeslé : 20 Mr Chapelain : 3 Mr de Chapelle : 10, 12, 145,
151
et suiv., 164, 171, 173, 215, 222, 241, 295 Le C
slé : 20 Mr Chapelain : 3 Mr de Chapelle : 10, 12, 145, 151 et suiv.,
164,
171, 173, 215, 222, 241, 295 Le Cocu Imaginaire
20 Mr Chapelain : 3 Mr de Chapelle : 10, 12, 145, 151 et suiv., 164,
171,
173, 215, 222, 241, 295 Le Cocu Imaginaire : 38
r Chapelain : 3 Mr de Chapelle : 10, 12, 145, 151 et suiv., 164, 171,
173,
215, 222, 241, 295 Le Cocu Imaginaire : 38 Coméd
pelain : 3 Mr de Chapelle : 10, 12, 145, 151 et suiv., 164, 171, 173,
215,
222, 241, 295 Le Cocu Imaginaire : 38 Comédiens
n : 3 Mr de Chapelle : 10, 12, 145, 151 et suiv., 164, 171, 173, 215,
222,
241, 295 Le Cocu Imaginaire : 38 Comédiens de Mo
Mr de Chapelle : 10, 12, 145, 151 et suiv., 164, 171, 173, 215, 222,
241,
295 Le Cocu Imaginaire : 38 Comédiens de Monsieu
e Chapelle : 10, 12, 145, 151 et suiv., 164, 171, 173, 215, 222, 241,
295
Le Cocu Imaginaire : 38 Comédiens de Monsieur le
151 et suiv., 164, 171, 173, 215, 222, 241, 295 Le Cocu Imaginaire :
38
Comédiens de Monsieur le Dauphin : 88, 90 La Com
241, 295 Le Cocu Imaginaire : 38 Comédiens de Monsieur le Dauphin :
88,
90 La Comtesse d’Escarbagnas : 269 Mr le Prince
, 295 Le Cocu Imaginaire : 38 Comédiens de Monsieur le Dauphin : 88,
90
La Comtesse d’Escarbagnas : 269 Mr le Prince de
omédiens de Monsieur le Dauphin : 88, 90 La Comtesse d’Escarbagnas :
269
Mr le Prince de Conti : 19, 22, 23, 24, 27 Mr de
hin : 88, 90 La Comtesse d’Escarbagnas : 269 Mr le Prince de Conti :
19,
22, 23, 24, 27 Mr de Corneille : 282 La Critique
: 88, 90 La Comtesse d’Escarbagnas : 269 Mr le Prince de Conti : 19,
22,
23, 24, 27 Mr de Corneille : 282 La Critique d’A
, 90 La Comtesse d’Escarbagnas : 269 Mr le Prince de Conti : 19, 22,
23,
24, 27 Mr de Corneille : 282 La Critique d’Andro
La Comtesse d’Escarbagnas : 269 Mr le Prince de Conti : 19, 22, 23,
24,
27 Mr de Corneille : 282 La Critique d’Andromaqu
Comtesse d’Escarbagnas : 269 Mr le Prince de Conti : 19, 22, 23, 24,
27
Mr de Corneille : 282 La Critique d’Andromaque :
as : 269 Mr le Prince de Conti : 19, 22, 23, 24, 27 Mr de Corneille :
282
La Critique d’Andromaque : 61 La Critique de l’
19, 22, 23, 24, 27 Mr de Corneille : 282 La Critique d’Andromaque :
61
La Critique de l’Ecole des Femmes : 52 Du Croisy
2 La Critique d’Andromaque : 61 La Critique de l’Ecole des Femmes :
52
Du Croisy : 257 Mr de Cyrano : 12 D Défense à l
d’Andromaque : 61 La Critique de l’Ecole des Femmes : 52 Du Croisy :
257
Mr de Cyrano : 12 D Défense à la Maison du Roi
La Critique de l’Ecole des Femmes : 52 Du Croisy : 257 Mr de Cyrano :
12
D Défense à la Maison du Roi d’entrer à la Comé
itique de l’Ecole des Femmes : 52 Du Croisy : 257 Mr de Cyrano : 12
D
Défense à la Maison du Roi d’entrer à la Comédie
12 D Défense à la Maison du Roi d’entrer à la Comédie sans payer :
130
et suivantes Le Dépit Amoureux : 23, 34 Descarte
ntrer à la Comédie sans payer : 130 et suivantes Le Dépit Amoureux :
23,
34 Descartes : 216 Les Docteurs rivaux : 30 Dom
r à la Comédie sans payer : 130 et suivantes Le Dépit Amoureux : 23,
34
Descartes : 216 Les Docteurs rivaux : 30 Dom Ga
sans payer : 130 et suivantes Le Dépit Amoureux : 23, 34 Descartes :
216
Les Docteurs rivaux : 30 Dom Garcie : 42 Dom Q
es Le Dépit Amoureux : 23, 34 Descartes : 216 Les Docteurs rivaux :
30
Dom Garcie : 42 Dom Quixote : 140 Domestique de
reux : 23, 34 Descartes : 216 Les Docteurs rivaux : 30 Dom Garcie :
42
Dom Quixote : 140 Domestique de Molière : 253
artes : 216 Les Docteurs rivaux : 30 Dom Garcie : 42 Dom Quixote :
140
Domestique de Molière : 253 E L’École des Femm
vaux : 30 Dom Garcie : 42 Dom Quixote : 140 Domestique de Molière :
253
E L’École des Femmes : 50 et suiv. L’École de
m Quixote : 140 Domestique de Molière : 253 E L’École des Femmes :
50
et suiv. L’École des Maris : 43 Elomire, ou les
ière : 253 E L’École des Femmes : 50 et suiv. L’École des Maris :
43
Elomire, ou les Médecins vengés : 300 Épicure :
0 et suiv. L’École des Maris : 43 Elomire, ou les Médecins vengés :
300
Épicure : 216 Épinette surprenante : 81 et suivan
École des Maris : 43 Elomire, ou les Médecins vengés : 300 Épicure :
216
Épinette surprenante : 81 et suivantes Épitaphes
re, ou les Médecins vengés : 300 Épicure : 216 Épinette surprenante :
81
et suivantes Épitaphes de Molière : 297 et suiv.
e : 216 Épinette surprenante : 81 et suivantes Épitaphes de Molière :
297
et suiv. L’Étourdi : 22, 23, 34 L’Extravagant :
te : 81 et suivantes Épitaphes de Molière : 297 et suiv. L’Étourdi :
22,
23, 34 L’Extravagant : 228, 231 F Les Fâcheux
81 et suivantes Épitaphes de Molière : 297 et suiv. L’Étourdi : 22,
23,
34 L’Extravagant : 228, 231 F Les Fâcheux : 4
et suivantes Épitaphes de Molière : 297 et suiv. L’Étourdi : 22, 23,
34
L’Extravagant : 228, 231 F Les Fâcheux : 44 e
es de Molière : 297 et suiv. L’Étourdi : 22, 23, 34 L’Extravagant :
228,
231 F Les Fâcheux : 44 et suiv. La Femme Juge
Molière : 297 et suiv. L’Étourdi : 22, 23, 34 L’Extravagant : 228,
231
F Les Fâcheux : 44 et suiv. La Femme Juge : 2
L’Étourdi : 22, 23, 34 L’Extravagant : 228, 231 F Les Fâcheux :
44
et suiv. La Femme Juge : 203 Les Femmes savante
xtravagant : 228, 231 F Les Fâcheux : 44 et suiv. La Femme Juge :
203
Les Femmes savantes : 270 et suiv. Le Festin de
Les Fâcheux : 44 et suiv. La Femme Juge : 203 Les Femmes savantes :
270
et suiv. Le Festin de Pierre : 73 Floridor : 59
Juge : 203 Les Femmes savantes : 270 et suiv. Le Festin de Pierre :
73
Floridor : 59 Florimont : 251 Les Fourberies de
s Femmes savantes : 270 et suiv. Le Festin de Pierre : 73 Floridor :
59
Florimont : 251 Les Fourberies de Scapin : 269
es : 270 et suiv. Le Festin de Pierre : 73 Floridor : 59 Florimont :
251
Les Fourberies de Scapin : 269 Les Frères Ennem
Pierre : 73 Floridor : 59 Florimont : 251 Les Fourberies de Scapin :
269
Les Frères Ennemis : 59 G Gandouin Chapelier :
Florimont : 251 Les Fourberies de Scapin : 269 Les Frères Ennemis :
59
G Gandouin Chapelier : 267 Gassendi : 11, 12 G
ies de Scapin : 269 Les Frères Ennemis : 59 G Gandouin Chapelier :
267
Gassendi : 11, 12 George Dandin : 293 et suiv. L
269 Les Frères Ennemis : 59 G Gandouin Chapelier : 267 Gassendi :
11,
12 George Dandin : 293 et suiv. La Grange : 200,
Les Frères Ennemis : 59 G Gandouin Chapelier : 267 Gassendi : 11,
12
George Dandin : 293 et suiv. La Grange : 200, 31
: 59 G Gandouin Chapelier : 267 Gassendi : 11, 12 George Dandin :
293
et suiv. La Grange : 200, 310 Gros René : 20 H
ier : 267 Gassendi : 11, 12 George Dandin : 293 et suiv. La Grange :
200,
310 Gros René : 20 H Hôtel de Bourgogne : 53, 5
267 Gassendi : 11, 12 George Dandin : 293 et suiv. La Grange : 200,
310
Gros René : 20 H Hôtel de Bourgogne : 53, 54, 5
11, 12 George Dandin : 293 et suiv. La Grange : 200, 310 Gros René :
20
H Hôtel de Bourgogne : 53, 54, 57 Hubert Comédi
et suiv. La Grange : 200, 310 Gros René : 20 H Hôtel de Bourgogne :
53,
54, 57 Hubert Comédien : 34, 136 I L’Impromptu
uiv. La Grange : 200, 310 Gros René : 20 H Hôtel de Bourgogne : 53,
54,
57 Hubert Comédien : 34, 136 I L’Impromptu de
La Grange : 200, 310 Gros René : 20 H Hôtel de Bourgogne : 53, 54,
57
Hubert Comédien : 34, 136 I L’Impromptu de Ver
Gros René : 20 H Hôtel de Bourgogne : 53, 54, 57 Hubert Comédien :
34,
136 I L’Impromptu de Versailles : 52 L Lucrè
s René : 20 H Hôtel de Bourgogne : 53, 54, 57 Hubert Comédien : 34,
136
I L’Impromptu de Versailles : 52 L Lucrèce t
: 20 H Hôtel de Bourgogne : 53, 54, 57 Hubert Comédien : 34, 136
I
L’Impromptu de Versailles : 52 L Lucrèce tradu
53, 54, 57 Hubert Comédien : 34, 136 I L’Impromptu de Versailles :
52
L Lucrèce traduit par Molière : 321 Mr Luillier
4, 57 Hubert Comédien : 34, 136 I L’Impromptu de Versailles : 52
L
Lucrèce traduit par Molière : 321 Mr Luillier : 1
I L’Impromptu de Versailles : 52 L Lucrèce traduit par Molière :
321
Mr Luillier : 10, 11 M Madame défunte : 189 Le
e Versailles : 52 L Lucrèce traduit par Molière : 321 Mr Luillier :
10,
11 M Madame défunte : 189 Le Maître d’École :
rsailles : 52 L Lucrèce traduit par Molière : 321 Mr Luillier : 10,
11
M Madame défunte : 189 Le Maître d’École : 30
les : 52 L Lucrèce traduit par Molière : 321 Mr Luillier : 10, 11
M
Madame défunte : 189 Le Maître d’École : 30 Le
e traduit par Molière : 321 Mr Luillier : 10, 11 M Madame défunte :
189
Le Maître d’École : 30 Le Malade Imaginaire : 2
21 Mr Luillier : 10, 11 M Madame défunte : 189 Le Maître d’École :
30
Le Malade Imaginaire : 283 et suiv. Margane Avoc
Madame défunte : 189 Le Maître d’École : 30 Le Malade Imaginaire :
283
et suiv. Margane Avocat : 89 Le Mariage forcé :
re d’École : 30 Le Malade Imaginaire : 283 et suiv. Margane Avocat :
89
Le Mariage forcé : 71, 72 Mr de Mauvilain Médeci
ade Imaginaire : 283 et suiv. Margane Avocat : 89 Le Mariage forcé :
71,
72 Mr de Mauvilain Médecin : 78, 79 Le Médecin m
Imaginaire : 283 et suiv. Margane Avocat : 89 Le Mariage forcé : 71,
72
Mr de Mauvilain Médecin : 78, 79 Le Médecin malg
gane Avocat : 89 Le Mariage forcé : 71, 72 Mr de Mauvilain Médecin :
78,
79 Le Médecin malgré lui : 182 et suiv. Médecins
Avocat : 89 Le Mariage forcé : 71, 72 Mr de Mauvilain Médecin : 78,
79
Le Médecin malgré lui : 182 et suiv. Médecins :
cé : 71, 72 Mr de Mauvilain Médecin : 78, 79 Le Médecin malgré lui :
182
et suiv. Médecins : 74 et suiv. Mélicerte : 190
ain Médecin : 78, 79 Le Médecin malgré lui : 182 et suiv. Médecins :
74
et suiv. Mélicerte : 190 Mr Ménage : 35, 48, 179
Médecin malgré lui : 182 et suiv. Médecins : 74 et suiv. Mélicerte :
190
Mr Ménage : 35, 48, 179 Mr Mignard : 146 Mignot C
ui : 182 et suiv. Médecins : 74 et suiv. Mélicerte : 190 Mr Ménage :
35,
48, 179 Mr Mignard : 146 Mignot Comédien : 120 L
182 et suiv. Médecins : 74 et suiv. Mélicerte : 190 Mr Ménage : 35,
48,
179 Mr Mignard : 146 Mignot Comédien : 120 Le Mi
et suiv. Médecins : 74 et suiv. Mélicerte : 190 Mr Ménage : 35, 48,
179
Mr Mignard : 146 Mignot Comédien : 120 Le Misant
s : 74 et suiv. Mélicerte : 190 Mr Ménage : 35, 48, 179 Mr Mignard :
146
Mignot Comédien : 120 Le Misanthrope : 181 et su
erte : 190 Mr Ménage : 35, 48, 179 Mr Mignard : 146 Mignot Comédien :
120
Le Misanthrope : 181 et suiv. Mr de Modène : 20
35, 48, 179 Mr Mignard : 146 Mignot Comédien : 120 Le Misanthrope :
181
et suiv. Mr de Modène : 20 Le Grand Mogol : 211 M
6 Mignot Comédien : 120 Le Misanthrope : 181 et suiv. Mr de Modène :
20
Le Grand Mogol : 211 Mr de Molière, sa naissance
120 Le Misanthrope : 181 et suiv. Mr de Modène : 20 Le Grand Mogol :
211
Mr de Molière, sa naissance : 5 — Sa profession :
Mr de Modène : 20 Le Grand Mogol : 211 Mr de Molière, sa naissance :
5
— Sa profession : 5, 15, 312 — Ses études : 9, 10
e Grand Mogol : 211 Mr de Molière, sa naissance : 5 — Sa profession :
5,
15, 312 — Ses études : 9, 10, 11 — Son nom : 5, 1
rand Mogol : 211 Mr de Molière, sa naissance : 5 — Sa profession : 5,
15,
312 — Ses études : 9, 10, 11 — Son nom : 5, 16 —
Mogol : 211 Mr de Molière, sa naissance : 5 — Sa profession : 5, 15,
312
— Ses études : 9, 10, 11 — Son nom : 5, 16 — Il s
Molière, sa naissance : 5 — Sa profession : 5, 15, 312 — Ses études :
9,
10, 11 — Son nom : 5, 16 — Il se fait Comédien :
ière, sa naissance : 5 — Sa profession : 5, 15, 312 — Ses études : 9,
10,
11 — Son nom : 5, 16 — Il se fait Comédien : 15 —
, sa naissance : 5 — Sa profession : 5, 15, 312 — Ses études : 9, 10,
11
— Son nom : 5, 16 — Il se fait Comédien : 15 — Il
: 5 — Sa profession : 5, 15, 312 — Ses études : 9, 10, 11 — Son nom :
5,
16 — Il se fait Comédien : 15 — Il refuse d’être
— Sa profession : 5, 15, 312 — Ses études : 9, 10, 11 — Son nom : 5,
16
— Il se fait Comédien : 15 — Il refuse d’être Sec
12 — Ses études : 9, 10, 11 — Son nom : 5, 16 — Il se fait Comédien :
15
— Il refuse d’être Secrétaire : 24 — Sa difficult
om : 5, 16 — Il se fait Comédien : 15 — Il refuse d’être Secrétaire :
24
— Sa difficulté de travailler : 47, 281 — Sa pens
15 — Il refuse d’être Secrétaire : 24 — Sa difficulté de travailler :
47,
281 — Sa pension : 62 — Son mariage : 64 et suiv.
Il refuse d’être Secrétaire : 24 — Sa difficulté de travailler : 47,
281
— Sa pension : 62 — Son mariage : 64 et suiv. — S
ecrétaire : 24 — Sa difficulté de travailler : 47, 281 — Sa pension :
62
— Son mariage : 64 et suiv. — Sa jalousie : 69, 1
difficulté de travailler : 47, 281 — Sa pension : 62 — Son mariage :
64
et suiv. — Sa jalousie : 69, 147 — Son éloignemen
47, 281 — Sa pension : 62 — Son mariage : 64 et suiv. — Sa jalousie :
69,
147 — Son éloignement pour les Médecins : 74 et s
281 — Sa pension : 62 — Son mariage : 64 et suiv. — Sa jalousie : 69,
147
— Son éloignement pour les Médecins : 74 et suiv.
t suiv. — Sa jalousie : 69, 147 — Son éloignement pour les Médecins :
74
et suiv. — Sa libéralité : 123 — Sa maladie : 144
7 — Son éloignement pour les Médecins : 74 et suiv. — Sa libéralité :
123
— Sa maladie : 144, 184 — Sa déclamation : 206 et
pour les Médecins : 74 et suiv. — Sa libéralité : 123 — Sa maladie :
144,
184 — Sa déclamation : 206 et suiv. — Son domesti
les Médecins : 74 et suiv. — Sa libéralité : 123 — Sa maladie : 144,
184
— Sa déclamation : 206 et suiv. — Son domestique
uiv. — Sa libéralité : 123 — Sa maladie : 144, 184 — Sa déclamation :
206
et suiv. — Son domestique : 248 — Son penchant po
maladie : 144, 184 — Sa déclamation : 206 et suiv. — Son domestique :
248
— Son penchant pour le sexe : 250, 252 — Sa mort
n : 206 et suiv. — Son domestique : 248 — Son penchant pour le sexe :
250,
252 — Sa mort : 284 et suiv. — Son caractère : 29
06 et suiv. — Son domestique : 248 — Son penchant pour le sexe : 250,
252
— Sa mort : 284 et suiv. — Son caractère : 293, 2
n domestique : 248 — Son penchant pour le sexe : 250, 252 — Sa mort :
284
et suiv. — Son caractère : 293, 294 — Son enterre
nt pour le sexe : 250, 252 — Sa mort : 284 et suiv. — Son caractère :
293,
294 — Son enterrement : 295 et suiv. — Ses écrits
ur le sexe : 250, 252 — Sa mort : 284 et suiv. — Son caractère : 293,
294
— Son enterrement : 295 et suiv. — Ses écrits : 3
Sa mort : 284 et suiv. — Son caractère : 293, 294 — Son enterrement :
295
et suiv. — Ses écrits : 309 Mademoiselle de Moliè
caractère : 293, 294 — Son enterrement : 295 et suiv. — Ses écrits :
309
Mademoiselle de Molière : 68, 75, 109, 284 Mondor
terrement : 295 et suiv. — Ses écrits : 309 Mademoiselle de Molière :
68,
75, 109, 284 Mondorge Comédien : 120 et suiv. Mon
ement : 295 et suiv. — Ses écrits : 309 Mademoiselle de Molière : 68,
75,
109, 284 Mondorge Comédien : 120 et suiv. Mondori
t : 295 et suiv. — Ses écrits : 309 Mademoiselle de Molière : 68, 75,
109,
284 Mondorge Comédien : 120 et suiv. Mondori : 55
95 et suiv. — Ses écrits : 309 Mademoiselle de Molière : 68, 75, 109,
284
Mondorge Comédien : 120 et suiv. Mondori : 55 Mon
: 309 Mademoiselle de Molière : 68, 75, 109, 284 Mondorge Comédien :
120
et suiv. Mondori : 55 Montfleury : 203 Monsieur :
Molière : 68, 75, 109, 284 Mondorge Comédien : 120 et suiv. Mondori :
55
Montfleury : 203 Monsieur : 28 N Nicomède : 28
, 109, 284 Mondorge Comédien : 120 et suiv. Mondori : 55 Montfleury :
203
Monsieur : 28 N Nicomède : 28 La Nymphe Dodue
orge Comédien : 120 et suiv. Mondori : 55 Montfleury : 203 Monsieur :
28
N Nicomède : 28 La Nymphe Dodue : 89 O Oliv
et suiv. Mondori : 55 Montfleury : 203 Monsieur : 28 N Nicomède :
28
La Nymphe Dodue : 89 O Olivier Gentilhomme de
Montfleury : 203 Monsieur : 28 N Nicomède : 28 La Nymphe Dodue :
89
O Olivier Gentilhomme de Monsieur le Prince de
Dodue : 89 O Olivier Gentilhomme de Monsieur le Prince de Monaco :
93
P Du Parc : 20, 75 La du Parc : 20, 96, 129 Mr
livier Gentilhomme de Monsieur le Prince de Monaco : 93 P Du Parc :
20,
75 La du Parc : 20, 96, 129 Mr Perrault : 26 et s
er Gentilhomme de Monsieur le Prince de Monaco : 93 P Du Parc : 20,
75
La du Parc : 20, 96, 129 Mr Perrault : 26 et suiv
e Monsieur le Prince de Monaco : 93 P Du Parc : 20, 75 La du Parc :
20,
96, 129 Mr Perrault : 26 et suiv. Mademoiselle Po
nsieur le Prince de Monaco : 93 P Du Parc : 20, 75 La du Parc : 20,
96,
129 Mr Perrault : 26 et suiv. Mademoiselle Pocque
ur le Prince de Monaco : 93 P Du Parc : 20, 75 La du Parc : 20, 96,
129
Mr Perrault : 26 et suiv. Mademoiselle Pocquelin
naco : 93 P Du Parc : 20, 75 La du Parc : 20, 96, 129 Mr Perrault :
26
et suiv. Mademoiselle Pocquelin : 293 Le Portrai
Parc : 20, 96, 129 Mr Perrault : 26 et suiv. Mademoiselle Pocquelin :
293
Le Portrait du Peintre : 54, 300 Pourceaugnac :
: 26 et suiv. Mademoiselle Pocquelin : 293 Le Portrait du Peintre :
54,
300 Pourceaugnac : 255 Monsieur des Préaux : 305
6 et suiv. Mademoiselle Pocquelin : 293 Le Portrait du Peintre : 54,
300
Pourceaugnac : 255 Monsieur des Préaux : 305 Le
lle Pocquelin : 293 Le Portrait du Peintre : 54, 300 Pourceaugnac :
255
Monsieur des Préaux : 305 Les Précieuses Ridicul
rtrait du Peintre : 54, 300 Pourceaugnac : 255 Monsieur des Préaux :
305
Les Précieuses Ridicules : 23, 34 et suiv. Mr le
rceaugnac : 255 Monsieur des Préaux : 305 Les Précieuses Ridicules :
23,
34 et suiv. Mr le Prince défunt : 181, 298 La Pr
ugnac : 255 Monsieur des Préaux : 305 Les Précieuses Ridicules : 23,
34
et suiv. Mr le Prince défunt : 181, 298 La Princ
305 Les Précieuses Ridicules : 23, 34 et suiv. Mr le Prince défunt :
181,
298 La Princesse d’Élide : 70, 72 Psyché : 281
Les Précieuses Ridicules : 23, 34 et suiv. Mr le Prince défunt : 181,
298
La Princesse d’Élide : 70, 72 Psyché : 281 R
3, 34 et suiv. Mr le Prince défunt : 181, 298 La Princesse d’Élide :
70,
72 Psyché : 281 R Mr Racine : 58 et suiv. Rais
4 et suiv. Mr le Prince défunt : 181, 298 La Princesse d’Élide : 70,
72
Psyché : 281 R Mr Racine : 58 et suiv. Raisin
le Prince défunt : 181, 298 La Princesse d’Élide : 70, 72 Psyché :
281
R Mr Racine : 58 et suiv. Raisin : 81 et suiv.
181, 298 La Princesse d’Élide : 70, 72 Psyché : 281 R Mr Racine :
58
et suiv. Raisin : 81 et suiv. La Raisin : 101, 11
e d’Élide : 70, 72 Psyché : 281 R Mr Racine : 58 et suiv. Raisin :
81
et suiv. La Raisin : 101, 113 Mr Rohaut : 146, 14
hé : 281 R Mr Racine : 58 et suiv. Raisin : 81 et suiv. La Raisin :
101,
113 Mr Rohaut : 146, 147, 150, 257, 312 Rotrou :
281 R Mr Racine : 58 et suiv. Raisin : 81 et suiv. La Raisin : 101,
113
Mr Rohaut : 146, 147, 150, 257, 312 Rotrou : 59,
e : 58 et suiv. Raisin : 81 et suiv. La Raisin : 101, 113 Mr Rohaut :
146,
147, 150, 257, 312 Rotrou : 59, 60, 190 S Scara
8 et suiv. Raisin : 81 et suiv. La Raisin : 101, 113 Mr Rohaut : 146,
147,
150, 257, 312 Rotrou : 59, 60, 190 S Scaramouch
suiv. Raisin : 81 et suiv. La Raisin : 101, 113 Mr Rohaut : 146, 147,
150,
257, 312 Rotrou : 59, 60, 190 S Scaramouche : 1
Raisin : 81 et suiv. La Raisin : 101, 113 Mr Rohaut : 146, 147, 150,
257,
312 Rotrou : 59, 60, 190 S Scaramouche : 125 et
in : 81 et suiv. La Raisin : 101, 113 Mr Rohaut : 146, 147, 150, 257,
312
Rotrou : 59, 60, 190 S Scaramouche : 125 et sui
iv. La Raisin : 101, 113 Mr Rohaut : 146, 147, 150, 257, 312 Rotrou :
59,
60, 190 S Scaramouche : 125 et suiv. Scaramouc
La Raisin : 101, 113 Mr Rohaut : 146, 147, 150, 257, 312 Rotrou : 59,
60,
190 S Scaramouche : 125 et suiv. Scaramouche H
aisin : 101, 113 Mr Rohaut : 146, 147, 150, 257, 312 Rotrou : 59, 60,
190
S Scaramouche : 125 et suiv. Scaramouche Hermi
haut : 146, 147, 150, 257, 312 Rotrou : 59, 60, 190 S Scaramouche :
125
et suiv. Scaramouche Hermite : 180 Le Sicilien
u : 59, 60, 190 S Scaramouche : 125 et suiv. Scaramouche Hermite :
180
Le Sicilien : 290 Mr de Simoni : 14 Sœurs Quêteu
Scaramouche : 125 et suiv. Scaramouche Hermite : 180 Le Sicilien :
290
Mr de Simoni : 14 Sœurs Quêteuses : 291 Subligny
et suiv. Scaramouche Hermite : 180 Le Sicilien : 290 Mr de Simoni :
14
Sœurs Quêteuses : 291 Subligny : 61 T Le Tartu
Hermite : 180 Le Sicilien : 290 Mr de Simoni : 14 Sœurs Quêteuses :
291
Subligny : 61 T Le Tartuffe : 174 et suiv., 22
Le Sicilien : 290 Mr de Simoni : 14 Sœurs Quêteuses : 291 Subligny :
61
T Le Tartuffe : 174 et suiv., 227, 259 Théagè
de Simoni : 14 Sœurs Quêteuses : 291 Subligny : 61 T Le Tartuffe :
174
et suiv., 227, 259 Théagène et Chariclée : 58 L
Sœurs Quêteuses : 291 Subligny : 61 T Le Tartuffe : 174 et suiv.,
227,
259 Théagène et Chariclée : 58 La Thébaïde : 59
s Quêteuses : 291 Subligny : 61 T Le Tartuffe : 174 et suiv., 227,
259
Théagène et Chariclée : 58 La Thébaïde : 59 Thé
61 T Le Tartuffe : 174 et suiv., 227, 259 Théagène et Chariclée :
58
La Thébaïde : 59 Théophile : 191 La Torellière :
e : 174 et suiv., 227, 259 Théagène et Chariclée : 58 La Thébaïde :
59
Théophile : 191 La Torellière : 200 Tricassin Ri
., 227, 259 Théagène et Chariclée : 58 La Thébaïde : 59 Théophile :
191
La Torellière : 200 Tricassin Rival : 88 Troupe
e et Chariclée : 58 La Thébaïde : 59 Théophile : 191 La Torellière :
200
Tricassin Rival : 88 Troupe de Molière : 15, 20
Thébaïde : 59 Théophile : 191 La Torellière : 200 Tricassin Rival :
88
Troupe de Molière : 15, 20 — Elle va en Languedoc
e : 191 La Torellière : 200 Tricassin Rival : 88 Troupe de Molière :
15,
20 — Elle va en Languedoc : 22 — Elle revient à P
191 La Torellière : 200 Tricassin Rival : 88 Troupe de Molière : 15,
20
— Elle va en Languedoc : 22 — Elle revient à Pari
cassin Rival : 88 Troupe de Molière : 15, 20 — Elle va en Languedoc :
22
— Elle revient à Paris : 27 et suiv. — Elle joue
Molière : 15, 20 — Elle va en Languedoc : 22 — Elle revient à Paris :
27
et suiv. — Elle joue devant le Roi : 28 — Sa Maje
: 22 — Elle revient à Paris : 27 et suiv. — Elle joue devant le Roi :
28
— Sa Majesté lui donne le petit Bourbon : 31 — El
lle joue devant le Roi : 28 — Sa Majesté lui donne le petit Bourbon :
31
— Elle passe au Palais Royal et prend le titre de
le passe au Palais Royal et prend le titre de Comédiens de Monsieur :
33,
34 — Elle commence à représenter dans Paris : 33,
asse au Palais Royal et prend le titre de Comédiens de Monsieur : 33,
34
— Elle commence à représenter dans Paris : 33, 34
diens de Monsieur : 33, 34 — Elle commence à représenter dans Paris :
33,
34 — Le Roi lui donne une pension et la prend à s
s de Monsieur : 33, 34 — Elle commence à représenter dans Paris : 33,
34
— Le Roi lui donne une pension et la prend à son
s : 33, 34 — Le Roi lui donne une pension et la prend à son service :
106
Troupe de Monsieur le Daufin : 88 V Mr le Maréc
ension et la prend à son service : 106 Troupe de Monsieur le Daufin :
88
V Mr le Maréchal de Vivonne : 294 1. Le mar
n et la prend à son service : 106 Troupe de Monsieur le Daufin : 88
V
Mr le Maréchal de Vivonne : 294 1. Le marquis
106 Troupe de Monsieur le Daufin : 88 V Mr le Maréchal de Vivonne :
294
1. Le marquis de Marsilly. a. [NdE] Charles
pe de Monsieur le Daufin : 88 V Mr le Maréchal de Vivonne : 294
1.
Le marquis de Marsilly. a. [NdE] Charles Perraul
sur Molière dans Les Hommes qui ont paru ensemble pendant ce siècle (
1696
). b. [NdE] Mademoiselle de La Grange. c. [NdE]
iselle de Brie. i. [NdE] Racine. j. [NdE] Lire : A… pour Alexandre (
1665
), tragédie de Racine. k. [NdE] Boileau de Puymor
Portrait biographique (
1622-1673
) Sa jeunesse Né le 14 janvier 1622, dans
Portrait biographique (1622-1673) Sa jeunesse Né le
14
janvier 1622, dans une maison située à l’angle de
rtrait biographique (1622-1673) Sa jeunesse Né le 14 janvier
1622,
dans une maison située à l’angle des rues Saint-H
e à l’angle des rues Saint-Honoré et des Vieilles-Étuves1, baptisé le
152,
à Saint-Eustache, sous le nom de Jean-Baptiste, M
it l’aîné des enfants de Marie de Cressé, et de Jean Poquelin, qui en
1631
devint tapissier valet de chambre du roi3. À dix
an Poquelin, qui en 1631 devint tapissier valet de chambre du roi3. À
dix
ans, il perdit sa mère4, qui laissait trois fils
valet de chambre du roi3. À dix ans, il perdit sa mère4, qui laissait
trois
fils et une fille en bas âge5. Sa première enfanc
un an de veuvage, son père ayant contracté une seconde union, en mai
16337,
le petit Poquelin entra chez les jésuites, au col
ilosophie à Chapelle et à Cyrano de Bergerac. Nous savons aussi qu’en
1637,
il obtint la survivance de l’emploi paternel, ce
il obtint la survivance de l’emploi paternel, ce qui l’obligea, vers
1641,
à suivre Louis XIII dans ce long voyage de Narbon
e la salle et de plusieurs loges, avaient d’ailleurs pour doyen, vers
1639,
un nommé Pierre Dubout, qui était, lui aussi, tap
s à la porte de Nesle et rue de Bussy, au faubourg Saint-Germain. Les
deux
frères Béjart, leur sœur Madeleine, et Duparc, fa
vit un jour appréhendé au corps, et mis au Châtelet pour une somme de
cent
quarante-deux livres. Mais un brave homme, Léonar
n jour appréhendé au corps, et mis au Châtelet pour une somme de cent
quarante-deux
livres. Mais un brave homme, Léonard Aubry, paveu
des bâtiments du roi, se porta caution, et hâta sa délivrance, (août
1645
). Ce fut au sortir de prison que Poquelin résolut
rtissements de la scène, Molière partit pour la province, où, pendant
douze
années, à la tête de sa caravane, tout ensemble d
t alors aussi variée de mœurs que de costumes. D’une ville à l’autre,
mille
contrastes attiraient l’œil, et les originaux s’y
uvé dans la posture d’un homme qui rêve. Il avait les yeux collés sur
trois
ou quatre personnes de qualité qui marchandaient
la posture d’un homme qui rêve. Il avait les yeux collés sur trois ou
quatre
personnes de qualité qui marchandaient des dentel
éziers, de Nantes à Lyon, de Rouen à Montpellier. Signalons seulement
deux
comédies, en cinq actes et en vers, qui, malgré l
à Lyon, de Rouen à Montpellier. Signalons seulement deux comédies, en
cinq
actes et en vers, qui, malgré leur inexpérience,
on génie. Ce furent L’Étourdi et Le Dépit amoureux, applaudis l’un en
165311,
l’autre en 1656, pendant la tenue des états du La
L’Étourdi et Le Dépit amoureux, applaudis l’un en 165311, l’autre en
1656,
pendant la tenue des états du Languedoc, présidés
venir son secrétaire après la perte de Sarrasin12. Retour à Paris (
1658
). Les Précieuses ridicules (1659) Il revint à
te de Sarrasin12. Retour à Paris (1658). Les Précieuses ridicules (
1659
) Il revint à Paris, au lendemain de la paix de
s italiens, sur le théâtre du Petit-Bourbon13, Molière put donner, le
24
octobre 1658, au vieux Louvre, dans la salle des
sur le théâtre du Petit-Bourbon13, Molière put donner, le 24 octobre
1658,
au vieux Louvre, dans la salle des Gardes, le Nic
entrait en pleine possession de lui-même14. Dès l’année suivante, le
18
novembre 1659, il inaugura sa glorieuse carrière
pleine possession de lui-même14. Dès l’année suivante, le 18 novembre
1659,
il inaugura sa glorieuse carrière par Les Précieu
rer. Car, après le sel un peu gros, mais bien gaulois, de Sganarelle (
1660
)16, et le drame un peu pâle de Don Garcie de Nava
Car, après le sel un peu gros, mais bien gaulois, de Sganarelle (1660)
16,
et le drame un peu pâle de Don Garcie de Navarre
ganarelle (1660)16, et le drame un peu pâle de Don Garcie de Navarre (
1661
), il se produisit avec autant de vérité que de ga
produisit avec autant de vérité que de gaieté dans L’École des maris (
1661
)17, L’École des femmes (1662), La Critique de l’É
isit avec autant de vérité que de gaieté dans L’École des maris (1661)
17,
L’École des femmes (1662), La Critique de l’École
té que de gaieté dans L’École des maris (1661)17, L’École des femmes (
1662
), La Critique de l’École des femmes 18, Le Festin
1661)17, L’École des femmes (1662), La Critique de l’École des femmes
18,
Le Festin de Pierre ou Don Juan (1665), Le Misant
a Critique de l’École des femmes 18, Le Festin de Pierre ou Don Juan (
1665
), Le Misanthrope (4 juin 1666), Le Médecin malgré
es femmes 18, Le Festin de Pierre ou Don Juan (1665), Le Misanthrope (
4
juin 1666), Le Médecin malgré lui, le Tartuffe (5
es 18, Le Festin de Pierre ou Don Juan (1665), Le Misanthrope (4 juin
1666
), Le Médecin malgré lui, le Tartuffe (5 août 1667
5), Le Misanthrope (4 juin 1666), Le Médecin malgré lui, le Tartuffe (
5
août 1667)19, Amphitryon (16 janvier 1668), L’Ava
Misanthrope (4 juin 1666), Le Médecin malgré lui, le Tartuffe (5 août
1667
)19, Amphitryon (16 janvier 1668), L’Avare (9 sept
thrope (4 juin 1666), Le Médecin malgré lui, le Tartuffe (5 août 1667)
19,
Amphitryon (16 janvier 1668), L’Avare (9 septembr
666), Le Médecin malgré lui, le Tartuffe (5 août 1667)19, Amphitryon (
16
janvier 1668), L’Avare (9 septembre 1668), Le Bou
decin malgré lui, le Tartuffe (5 août 1667)19, Amphitryon (16 janvier
1668
), L’Avare (9 septembre 1668), Le Bourgeois gentil
, le Tartuffe (5 août 1667)19, Amphitryon (16 janvier 1668), L’Avare (
9
septembre 1668), Le Bourgeois gentilhomme (1670)
e (5 août 1667)19, Amphitryon (16 janvier 1668), L’Avare (9 septembre
1668
), Le Bourgeois gentilhomme (1670) et Les Femmes s
janvier 1668), L’Avare (9 septembre 1668), Le Bourgeois gentilhomme (
1670
) et Les Femmes savantes (1672)20. Vue d’ensemb
tembre 1668), Le Bourgeois gentilhomme (1670) et Les Femmes savantes (
1672
)20. Vue d’ensemble sur son théâtre Chacune
e 1668), Le Bourgeois gentilhomme (1670) et Les Femmes savantes (1672)
20.
Vue d’ensemble sur son théâtre Chacune de c
uffiraient à une autre renommée21 ? Disons seulement que, pendant les
quinze
années qui précédèrent sa mort, la verve de Moliè
nu pour Louis XIV la ressource habituelle de ses fêtes, sollicité par
mille
obligations, troublé par ses soucis domestiques,
r tour à tour chacun des acteurs qu’il fait parler, agir et sentir de
mille
façons pathétiques ou divertissantes. Dans cette
pas rougir, mais à soutenir la fortune de sa troupe, c’est-à-dire de
cent
personnes que sa retraite eût jetées dans la misè
suites en furent funestes. Il venait de composer Le Malade imaginaire
31
où il jouait le rôle d’Argan, lorsqu’à la quatriè
it le rôle d’Argan, lorsqu’à la quatrième représentation, le vendredi
17
février 1673, il se sentit plus incommodé que de
d’Argan, lorsqu’à la quatrième représentation, le vendredi 17 février
1673,
il se sentit plus incommodé que de coutume. On lu
en vain. « Comment voulez-vous que je fasse ? répondit-il. Il y a là
cinquante
pauvres ouvriers qui n’ont que leur travail pour
Étouffé par des flots de sang, il ne tarda pas à expirer, à l’âge de
cinquante
et un ans, trois mois et deux jours, à dix heures
s de sang, il ne tarda pas à expirer, à l’âge de cinquante et un ans,
trois
mois et deux jours, à dix heures du soir, dans le
ne tarda pas à expirer, à l’âge de cinquante et un ans, trois mois et
deux
jours, à dix heures du soir, dans les bras de deu
expirer, à l’âge de cinquante et un ans, trois mois et deux jours, à
dix
heures du soir, dans les bras de deux sœurs de ch
ans, trois mois et deux jours, à dix heures du soir, dans les bras de
deux
sœurs de charité qu’il avait recueillies chez lui
rue Montmartre, sans passer par l’église. La cérémonie s’accomplit le
21
février au soir. Deux ecclésiastiques accompagnai
passer par l’église. La cérémonie s’accomplit le 21 février au soir.
Deux
ecclésiastiques accompagnaient la bière, et deux
21 février au soir. Deux ecclésiastiques accompagnaient la bière, et
deux
cents personnes environ suivaient, tenant chacune
évrier au soir. Deux ecclésiastiques accompagnaient la bière, et deux
cents
personnes environ suivaient, tenant chacune un fl
é a bien vengé Molière de ces indignes outrages. Le Misanthrope (
1666
) I. Faits historiques De la Misanthropi
ngé Molière de ces indignes outrages. Le Misanthrope (1666)
I
. Faits historiques De la Misanthropie. Les d
finer dans un désert où « il philosophe avec son boyau », pour gagner
quatre
oboles par jour. Ému de ces récriminations, le ma
ou déréglée, que lui consacra Shakespeare, et que les romantiques de
1820
eurent le tort de préférer à celle de Molière. Ch
u genre humain. Le Misanthrope inaugure la comédie de caractères (
1666
) Tels furent les devanciers de Molière, qui ne
nté pour la première fois à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le
4
juin 1666, cette pièce est dans notre littérature
r la première fois à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 juin
1666,
cette pièce est dans notre littérature dramatique
bientôt désert34 ; et, depuis, lorsque le fameux acteur Baron, après
trente
ans d’absence, joua Le Misanthrope, il n’attira p
du mariage, il venait, aux environs de la quarantaine, d’épouser, en
1662,
la jeune Armande Béjart, âgée de dix-sept ans au
la quarantaine, d’épouser, en 1662, la jeune Armande Béjart, âgée de
dix-sept
ans au plus. Or cette union trop inégale devait ê
intentions manifestées par la conduite et le jeu des caractères.
II
. Étude littéraire Analyse sommaire du Misant
s’avise de dire ce qu’il pense du sonnet d’Oronte : voilà son travers
44.
» Si la comédie veut une fable, c’est donc en va
ns du poète, il convient d’abord de distinguer dans le rôle d’Alceste
deux
éléments que plusieurs ont eu le tort de confondr
it : Non plus sapere quam oportet sapere, sed sapere ad sobrietatem
54,
ne parlait-il pas comme Philinte donnant ce conse
’oreille d’un autre, soutenait son bras sur un troisième, et criait à
deux
autres de la suivre. » Voilà bien ce qu’entendait
se croit victime, et à Dandin qu’il n’est qu’un pauvre homme. Or ces
deux
figures sont le premier et furtif crayon du type
s, dit Rousseau, voir un personnage embarrassé, placez un homme entre
deux
femmes ; il sera gêné. Mais placez une femme entr
n homme entre deux femmes ; il sera gêné. Mais placez une femme entre
deux
hommes, et elle ne sera point embarrassée. » Voil
dit que j’ai pu vous trahir, Et qu’enfin vous avez sujet de me haïr
68.
Mais ne poussons pas trop un parallèle offensant
coquettes ont beau croire que « les années auront pour elles moins de
douze
mois69 », ce désert qui effraye Célimène se fera
une pruderie scrupuleuse leur tiendront lieu de jeunesse et de beauté
71.
» C’est qu’en effet les prudes et les coquettes s
t le duc de Grammont disait alors : « Toute la pruderie est déchaînée
77
? » Éliante. Sa raison, sa bonté Les trave
es Jobistes et des Uranistes fut aussi retentissante que celle du Cid
80
; lorsque les plus grands seigneurs, se piquant d
furent introduits par Quinault sur notre scène. Car La Mère coquette (
1665
) est postérieure à L’École des femmes et à L’Impr
parfois de montrer une malignité qui ne blessât pas la politesse. Les
dix
volumes du Grand Cyrus furent une sorte de galeri
ut pas donner trop à penser à des spectateurs90. » Le Tartuffe (
1667
) I. Faits historiques Les trois premier
er trop à penser à des spectateurs90. » Le Tartuffe (1667)
I
. Faits historiques Les trois premiers actes
eurs90. » Le Tartuffe (1667) I. Faits historiques Les
trois
premiers actes du Tartuffe représentés en 1664
historiques Les trois premiers actes du Tartuffe représentés en
1664
Pour apprécier l’importance d’un chef-d’œuvre
e que par le spectacle d’un grand homme luttant avec courage, pendant
cinq
années, contre une coalition puissante dont la dé
remiers éditeurs du Tartuffe, son acte de naissance daterait, soit du
5
février 1669, jour où la carrière lui fut ouverte
iteurs du Tartuffe, son acte de naissance daterait, soit du 5 février
1669,
jour où la carrière lui fut ouverte librement, so
février 1669, jour où la carrière lui fut ouverte librement, soit du
5
août 1667, première soirée où il put se montrer a
r 1669, jour où la carrière lui fut ouverte librement, soit du 5 août
1667,
première soirée où il put se montrer au grand jou
même joué, d’abord en partie, puis dans son ensemble, avant la fin de
1664,
en des représentations particulières dont la prem
tions particulières dont la première eut lieu, à Versailles, le lundi
12
mai, sixième avant-dernier jour des fêtes décrite
r des fêtes décrites dans la relation des Plaisirs de l’Île enchantée
91.
Les trois premiers actes seulement figurèrent al
es décrites dans la relation des Plaisirs de l’Île enchantée 91. Les
trois
premiers actes seulement figurèrent alors sous le
eau : « Quand Molière composait son Tartuffe, il en récita au Roi les
trois
premiers actes. » Il paraît qu’ils furent agréés
n peut, en effet, se demander pourquoi Molière ne produisit alors que
trois
actes de sa pièce. Faut-il en conclure qu’elle n’
es épisodes de cette fête privilégiée à laquelle assistèrent au moins
six
cents personnes. Mais les plus hardis n’en souffl
pisodes de cette fête privilégiée à laquelle assistèrent au moins six
cents
personnes. Mais les plus hardis n’en soufflèrent
la moindre indiscrétion. Quant à Marigny92, dans sa lettre écrite le
14
mai, sous l’impression toute vive de ses souvenir
implique l’approbation du Roi, confirmée d’ailleurs par la Préface de
166993
et le premier Placet de 1664. Opposition de la
confirmée d’ailleurs par la Préface de 166993 et le premier Placet de
1664.
Opposition de la Reine mère contre une pièce s
réfixe, et le premier président, Guillaume de Lamoignon ; car, dès le
14
mai, avant de partir pour Fontainebleau, le Roi,
vait des colères. On jugera de leur violence par un pamphlet écrit le
13
août 1664, sous ce titre : Le Roi glorieux au mon
colères. On jugera de leur violence par un pamphlet écrit le 13 août
1664,
sous ce titre : Le Roi glorieux au monde, ou Loui
à ces fanatiques fureurs que Boileau fait allusion dans ses vers de
VII
: L’un défenseur zélé des bigots mis en jeu, Pou
le monde voulait avoir Molière, pour lui entendre réciter le Tartuffe
95.
» Une représentation des trois premiers actes fut
e, pour lui entendre réciter le Tartuffe 95. » Une représentation des
trois
premiers actes fut même autorisée le 25 septembre
. » Une représentation des trois premiers actes fut même autorisée le
25
septembre 1664, à Villers-Cotterets, devant Henri
sentation des trois premiers actes fut même autorisée le 25 septembre
1664,
à Villers-Cotterets, devant Henriette d’Angleterr
chez le duc d’Orléans, qui régalait Leurs Majestés. Bientôt après, le
29
novembre, la comédie « entière et achevée97 » eut
ommes du monde ? Quelques baissements de tête, un soupir mortifié, et
deux
roulements d’yeux rajustent dans le monde tout ce
s’érigeait en ministre de la vengeance céleste100. » Bref, au bout de
quinze
jours, cette apologie dut, elle aussi, rentrer da
ur d’espérance pour le vaillant poète qui ne désarmait, pas : car, le
14
août 1665, Louis XIV gratifia sa Troupe d’une pen
érance pour le vaillant poète qui ne désarmait, pas : car, le 14 août
1665,
Louis XIV gratifia sa Troupe d’une pension de six
: car, le 14 août 1665, Louis XIV gratifia sa Troupe d’une pension de
six
mille livres : dès lors, elle prit congé de Monsi
r, le 14 août 1665, Louis XIV gratifia sa Troupe d’une pension de six
mille
livres : dès lors, elle prit congé de Monsieur à
le appartenait, et reçut ce titre : La Troupe du Roi, au Palais-Royal
101.
À cette distinction éclatante s’ajoutèrent les sy
accourut cordialement au secours d’un ami. Dans son Discours au Roi (
1665
), démasquant ces gens, Qui, tous blancs au dehor
ur, la ligue adverse recrutait de nouveaux alliés. Au mois de janvier
1666,
les Visionnaires du Janséniste Nicole traitèrent
u’à lever un interdit auquel il n’avait consenti qu’à regret : et, en
1667,
à la veille de partir pour la campagne de Flandre
un engagement103. Première représentation publique de L’Imposteur,
5
août 1667. Interdit prononcé par M. de Lamoignon.
gement103. Première représentation publique de L’Imposteur, 5 août
1667.
Interdit prononcé par M. de Lamoignon. Second Pla
lacet. Ordonnance de l’Archevêque de Paris Toujours est-il que, le
5
août 1667, la comédie fut jouée, sous ce titre :
Ordonnance de l’Archevêque de Paris Toujours est-il que, le 5 août
1667,
la comédie fut jouée, sous ce titre : L’Imposteur
ntation. La porte du théâtre fut même fermée, et ne se rouvrit que le
25
du mois suivant, cinquante jours après106. Sous c
théâtre fut même fermée, et ne se rouvrit que le 25 du mois suivant,
cinquante
jours après106. Sous ce coup inattendu, Molière n
is demeura inébranlable. Impuissant de ce côté, il s’empressa, dès le
8
août, de députer, en poste, vers le camp de Louis
de députer, en poste, vers le camp de Louis XIV qui assiégeait Lille,
deux
de ses camarades, La Thorillière et La Grange, mu
108, et l’Ordonnance que l’archevêque de Paris se hâta de publier, le
11
août, six jours après la soirée du Palais-Royal.
’Ordonnance que l’archevêque de Paris se hâta de publier, le 11 août,
six
jours après la soirée du Palais-Royal. On y lisai
se en péril : témoin la Lettre sur la comédie de l’Imposteur datée du
20
août 1667. Si cette habile défense n’est pas de s
ril : témoin la Lettre sur la comédie de l’Imposteur datée du 20 août
1667.
Si cette habile défense n’est pas de sa main, ell
109 ; car, après Le Misanthrope, l’Amphitryon joué devant la Cour, le
16
janvier 1668, ne fit qu’affermir le crédit d’une
après Le Misanthrope, l’Amphitryon joué devant la Cour, le 16 janvier
1668,
ne fit qu’affermir le crédit d’une gloire avec la
are en novembre. Tartuffe lui-même faisait une visite à Chantilly, le
29
septembre, chez le grand Condé. C’était un signe
à refuser à l’ouvrier des fêtes royales. Résurrection du Tartuffe,
5
février 1669 Louis XIV n’attendait plus qu’une
à l’ouvrier des fêtes royales. Résurrection du Tartuffe, 5 février
1669
Louis XIV n’attendait plus qu’une occasion fav
pelle, et la Paix de l’Église, signés l’un en mai, l’autre en octobre
1668110.
Aussi, le 5 février 1669, Le Tartuffe put-il être
e l’Église, signés l’un en mai, l’autre en octobre 1668110. Aussi, le
5
février 1669, Le Tartuffe put-il être mis en plei
, signés l’un en mai, l’autre en octobre 1668110. Aussi, le 5 février
1669,
Le Tartuffe put-il être mis en pleine liberté, sa
liberté, sans être cette fois obligé de dissimuler un nom qui, depuis
cinq
ans, volait de bouche en bouche. Il reparut, ce j
ut, ce jour-là même, au milieu d’un enthousiasme que n’épuisèrent pas
cinquante-cinq
représentations consécutives. Au moment où il res
tilités. Sans parler d’une parodie en vers publiée au commencement de
1670,
et qui mérite à peine une mention111, il nous res
aloue crut donc remplir un devoir de son ministère, lorsque, dans ses
deux
sermons sur la piété vraie et sur l’hypocrisie, i
tendre Molière dans l’éloquente préface qui précéda l’édition de mars
1669.
En revendiquant le droit de censurer tous les vic
suet ; conclusion Ce procès ne s’éteignit point avec Molière ; et,
vingt-cinq
ans après le Tartuffe, en 1694, dans sa Lettre au
teignit point avec Molière ; et, vingt-cinq ans après le Tartuffe, en
1694,
dans sa Lettre au Père Caffaro, Bossuet prononça
il relève. Après tout, n’a-t-il pas, lui aussi, son droit divin ?
II
. Étude littéraire L’hypocrisie et les religi
nsibles si on les cherche dans une nouvelle que Scarron avait publiée
neuf
années auparavant, et où il racontait avec entrai
Mme Pernelle, cette aigre et grommelante personne qui n’apparaît que
deux
fois, pour engager et clore l’action, mais avec u
s, il tire sa montre, et s’esquive en disant : […] Il est, monsieur,
trois
heures et demie. Certain devoir pieux me demande
e C’est par là que Tartuffe se distingue d’Onuphre : au fond, tous
deux
sont pourtant le même original, mais représenté d
’autant plus impérieuse que Tartuffe n’avait pas encore paru dans les
deux
premiers actes, remplis déjà de son invisible pré
n’y en eut dans le grand cœur de Molière et d’Alceste. L’Avare (
1668
) I. Faits historiques Froideur du publi
dans le grand cœur de Molière et d’Alceste. L’Avare (1668)
I
. Faits historiques Froideur du public. Préju
est pas vrai que L’Avare subit un premier échec avant de se produire,
six
mois plus tard, sur la scène du Palais-Royal ; ca
euse, il n’est fait aucune mention de cette comédie avant le dimanche
9
septembre 1668. C’est alors seulement qu’elle lig
st fait aucune mention de cette comédie avant le dimanche 9 septembre
1668.
C’est alors seulement qu’elle ligure, sous le tit
’elle ligure, sous le titre de Pièce nouvelle ; cette soirée rapporta
1069
fr. 10 centimes, ce qui atteste l’éveil d’une cur
ure, sous le titre de Pièce nouvelle ; cette soirée rapporta 1069 fr.
10
centimes, ce qui atteste l’éveil d’une curiosité
, sous le titre de Pièce nouvelle ; cette soirée rapporta 1069 fr. 10
centimes
, ce qui atteste l’éveil d’une curiosité très vive
s, ce qui atteste l’éveil d’une curiosité très vive. Cependant, après
neuf
représentations qui ne furent pas consécutives130
, il y eut relâche. La recette avait sensiblement baissé. Le vendredi
15
octobre, elle n’alla pas au-delà de 143 fr. 10 ce
nsiblement baissé. Le vendredi 15 octobre, elle n’alla pas au-delà de
143
fr. 10 centimes. Si, le dimanche 16 septembre, on
nt baissé. Le vendredi 15 octobre, elle n’alla pas au-delà de 143 fr.
10
centimes. Si, le dimanche 16 septembre, on récolt
baissé. Le vendredi 15 octobre, elle n’alla pas au-delà de 143 fr. 10
centimes
. Si, le dimanche 16 septembre, on récolta 664 fr.
obre, elle n’alla pas au-delà de 143 fr. 10 centimes. Si, le dimanche
16
septembre, on récolta 664 fr., ce mouvement de ha
delà de 143 fr. 10 centimes. Si, le dimanche 16 septembre, on récolta
664
fr., ce mouvement de hausse s’explique par la pré
r la présence de Monsieur, frère du Roi, de Madame, et de la Cour. Le
14
décembre, à la suite d’une interruption qui dura
et de la Cour. Le 14 décembre, à la suite d’une interruption qui dura
deux
mois et plus, une reprise eut lieu, et L’Avare fu
qui dura deux mois et plus, une reprise eut lieu, et L’Avare fut joué
huit
fois jusqu’au dimanche 30. Mais, pour attirer le
une reprise eut lieu, et L’Avare fut joué huit fois jusqu’au dimanche
30.
Mais, pour attirer le public, Molière dut l’amorc
reur dupé, avait probablement quelque analogie avec L’Avocat Pathelin
131.
Il est donc certain que ce chef-d’œuvre ne reçut
audrait point exagérer l’indifférence de cet accueil, puisque, dès le
15
septembre 1668, Robinet parle, dans sa Gazette,
exagérer l’indifférence de cet accueil, puisque, dès le 15 septembre
1668,
Robinet parle, dans sa Gazette, D’un Avare qui d
re est-il fou, et nous prend-il pour des benêts de nous faire essuyer
cinq
actes de prose ? » Cependant, ce n’était pas la p
vait déjà délaissé dans La Princesse d’Élide, et le drame de Don Juan
132.
Mais l’un n’était qu’une improvisation, et l’autr
gatons, un luth de Bologne, un trou-madame, et une peau de lézard, de
trois
pieds et demi, remplie de foin137 ». Larivey fut
Plaute, le désespoir d’un ladre qui cache dans un trou une bourse de
deux
mille écus, la retrouve pleine de cailloux, et ve
te, le désespoir d’un ladre qui cache dans un trou une bourse de deux
mille
écus, la retrouve pleine de cailloux, et veut alo
r le docteur Cléandre, et lui persuader « qu’étant d’une pâte à vivre
cent
ans, il mettrait en terre ses enfants, et les enf
plus longue. C’est ainsi qu’il faudrait chercher dans L’Amante patito
140
l’ancêtre de Valère ; car il y a là un certain Lé
era nobile (la femme de chambre de qualité) aurait fourni le germe de
deux
scènes, celle où Maître Jacques fait le brave, co
fut assez en fonds pour imaginer à lui tout seul cette situation que,
cinq
ans plus tard, en 1673, Racine transporta dans Mi
imaginer à lui tout seul cette situation que, cinq ans plus tard, en
1673,
Racine transporta dans Mithridate, et rendit trag
ululaire, seul modèle qui mérite d’entrer en comparaison avec L’Avare
143.
Pour savoir dans quelle mesure le thème dramatiqu
e famille affectueux et libéral, qui ne s’oppose point au bonheur des
deux
amants : car il les marie, et les dote de son tré
e conclusion suffirait à nous avertir de la différence qui sépare les
deux
pièces. Sans doute Molière doit à Plaute plus d’u
qu’il a renoncé à ses arpents de terre, ainsi que sire Grégoire à ses
cent
écus. Voilà pourquoi M. Naudet dit avec justesse
maîtres de la scène ne cesseront pas de puiser l’inspiration147.
II
. Étude littéraire La comédie de caractères.
erait invraisemblable, dira-t-on ; car il y a contradiction entre ces
deux
faiblesses qui s’excluent ou se combattent. Nous
opposer des arguments psychologiques aux vaines chicanes qui, depuis
deux
siècles, se perdent dans les explosions de l’appl
nt ! » Mais voilà l’œuvre d’Harpagon ! Il a dépravé ce jeune homme de
vingt-deux
ans qui ne demandait qu’à tourner vers le bien «
’accuse encore de « forcer la nature et d’abandonner le vraisemblable
152
». Précisant ce blâme, des Aristarques d’outre-Rh
éfuter cette thèse par des principes, il convient d’y relever d’abord
deux
erreurs. Rousseau se trompe, en effet, quand il d
sans doute quelque atteinte, mais relativement légère, parce que tous
deux
ont raison l’un contre l’autre, et que, par suite
ut l’école de la vie ; et c’est sa gloire. Les Femmes savantes (
1672
) I. Faits historiques Les Femmes savan
de la vie ; et c’est sa gloire. Les Femmes savantes (1672)
I
. Faits historiques Les Femmes savantes sont
lacent, se répercutent Dans La Critique de l’École des femmes, en
1663,
Molière faisait ainsi parler Dorante : « Ce serai
e comédie qui est une suite des Précieuses ridicules ? Il yavait déjà
treize
ans que s’était engagée cette première escarmouch
avait été le germe de la grande comédie en vers qui la ferme. Toutes
deux
procèdent du même dessein, et vont à la même fin.
Lysidas, ce proche parent de Vadius. Bref, entre les victimes de ces
deux
satires il n’y a guère qu’une différence, celle q
rence, celle qui sépare des laquais travestis en hommes qualifiés, et
deux
auteurs qui déshonorent leur profession. Froid
n, faut-il voir Ménage et Cotin L’œuvre parut, au Palais-Royal, le
11
mars 1672160. Elle n’eut que dix-neuf représentat
il voir Ménage et Cotin L’œuvre parut, au Palais-Royal, le 11 mars
1672160.
Elle n’eut que dix-neuf représentations, et les n
L’œuvre parut, au Palais-Royal, le 11 mars 1672160. Elle n’eut que
dix-neuf
représentations, et les neuf premières seules fur
, le 11 mars 1672160. Elle n’eut que dix-neuf représentations, et les
neuf
premières seules furent assez suivies. On dit mêm
ontestable que, dans la pièce le personnage devait s’appeler Tricotin
164.
S’il reçut plus tard le nom de Trissotin, au lieu
dînés. Despréaux à ce jeu répond par sa grimace, Et fait en bateleur
cent
tours de passe-passe. Puis ensuite enivrés et de
in, L’un sur l’autre tombant renversent le festin. On les promet tous
deux
, quand on fait chère entière, Ainsi que l’on prom
soit mort de chagrin, comme on l’a prétendu : car il ne trépassa que
dix
ans après. Mais il dut se retirer du monde où il
de Trissotin ? Cotin a fini ses jours, Trissotin vivra toujours.
II
. Étude littéraire Comédie de mœurs. L’action
assons en revue les caractères dont le conflit partage une famille en
deux
camps où se groupent, pour la lutte, des intérêts
un d’eux commande Philaminte, escortée d’Armande et de Bélise. Toutes
trois
étant affectées du même travers, on pouvait crain
rincipal rôle dans l’intrigue. Bien qu’elle ne paraisse qu’à la scène
6
du deuxième acte, où elle éclate comme un ouragan
’une telle impudence, faudra-t-il qu’Ariste imagine le stratagème des
deux
lettres qui, au moment où va se signer le contrat
ses herbes, Elle accommode mal les noms avec les verbes, Qu’elle dise
cent
fois un bas et méchant mot, Que de brûler ma vian
sur le vif par un observateur dont le génie est du bon sens184.
1.
La maison reconstruite porte le nº 96 sur la rue
génie est du bon sens184. 1. La maison reconstruite porte le nº
96
sur la rue Saint-Honoré, et 2 sur celle des Vieil
1. La maison reconstruite porte le nº 96 sur la rue Saint-Honoré, et
2
sur celle des Vieilles-Étuves. 2. Jusqu’ici on a
e nº 96 sur la rue Saint-Honoré, et 2 sur celle des Vieilles-Étuves.
2.
Jusqu’ici on a confondu la date de naissance avec
Jusqu’ici on a confondu la date de naissance avec celle du baptême.
3.
En vertu d’un acte de résignation de son frère ca
ation de son frère cadet, Nicolas Poquelin, la charge était appointée
trois
cents livres. 4. Âgée de trente et un ans. 5. P
de son frère cadet, Nicolas Poquelin, la charge était appointée trois
cents
livres. 4. Âgée de trente et un ans. 5. Parmi l
det, Nicolas Poquelin, la charge était appointée trois cents livres.
4.
Âgée de trente et un ans. 5. Parmi les livres qu
s Poquelin, la charge était appointée trois cents livres. 4. Âgée de
trente
et un ans. 5. Parmi les livres qu’elle possédait
ge était appointée trois cents livres. 4. Âgée de trente et un ans.
5.
Parmi les livres qu’elle possédait se trouvaient
et la Bible, qui figureront plus tard dans l’inventaire de Molière.
6.
Voir la restitution dans laquelle M. Soulié a res
restauré l’appartement des Poquelin. (Sainte-Beuve, Nouveaux lundis,
V
, 264.) 7. Il acheta une maison sous les piliers
stauré l’appartement des Poquelin. (Sainte-Beuve, Nouveaux lundis, V,
264.
) 7. Il acheta une maison sous les piliers des ha
l’appartement des Poquelin. (Sainte-Beuve, Nouveaux lundis, V, 264.)
7.
Il acheta une maison sous les piliers des halles
s halles : elle a été démolie lors du percement de la rue Rambuteau.
8.
Rue Mauconseil, près de la rue Saint-Honoré et de
teau. 8. Rue Mauconseil, près de la rue Saint-Honoré et des halles.
9.
Il n’épargnait pas les canevas à l’italienne, les
À Bordeaux, il fit jouer une Thébaïde, du genre sérieux, qui échoua.
10.
On conserve à Pézenas un fauteuil dans lequel il
de la vie. Ajoutez à ce trait l’expérience personnelle des passions.
11.
À Lyon. 12. Mais Molière refusa, par amour de so
outez à ce trait l’expérience personnelle des passions. 11. À Lyon.
12.
Mais Molière refusa, par amour de son art. 13. S
ssions. 11. À Lyon. 12. Mais Molière refusa, par amour de son art.
13.
Sous le titre de troupe de Monsieur. Lorsqu’on co
Sous le titre de troupe de Monsieur. Lorsqu’on commença de bâtir, en
1660,
la colonnade du Louvre sur l’emplacement du Petit
oupe de Monsieur passa au Palais-Royal ; elle devint troupe du roi en
1665
; plus tard, à la mort de Molière, réunie à la tr
de Molière, réunie à la troupe du Marais d’abord, et sept ans après (
1680
), à celle de l’hôtel de Bourgogne, elle forma le
0), à celle de l’hôtel de Bourgogne, elle forma le Théâtre-Français.
14.
Treize ans de vie nomade, quinze ans de séjour à
à celle de l’hôtel de Bourgogne, elle forma le Théâtre-Français. 14.
Treize
ans de vie nomade, quinze ans de séjour à Paris,
gogne, elle forma le Théâtre-Français. 14. Treize ans de vie nomade,
quinze
ans de séjour à Paris, voilà toute la vie de Moli
nomade, quinze ans de séjour à Paris, voilà toute la vie de Molière.
15.
Ce vieillard avait dû, dix-sept ans auparavant, a
r à Paris, voilà toute la vie de Molière. 15. Ce vieillard avait dû,
dix-sept
ans auparavant, applaudir Le Menteur. Molière jou
rûler ce que nous avons adoré, et adorer ce que nous avons brûlé. »
16.
Il y atteste la puissante facture de son vers. 1
avons brûlé. » 16. Il y atteste la puissante facture de son vers.
17.
Cette pièce fut accompagnée des Fâcheux, représen
représentés dans cette fête de Vaux, où Fouquet faillit être arrêté.
18.
L’École des femmes suivit de près le mariage de
École des femmes suivit de près le mariage de Molière, qui épousa, le
20
février 1662, Armande Béjart, âgée de dix-sept an
emmes suivit de près le mariage de Molière, qui épousa, le 20 février
1662,
Armande Béjart, âgée de dix-sept ans. Il en avait
e de Molière, qui épousa, le 20 février 1662, Armande Béjart, âgée de
dix-sept
ans. Il en avait quarante. La Critique est une co
le 20 février 1662, Armande Béjart, âgée de dix-sept ans. Il en avait
quarante
. La Critique est une comédie d’un genre tout neuf
ns. Il en avait quarante. La Critique est une comédie d’un genre tout
neuf
. Le poète y répond aux injustes attaques de ses d
c d’excellents préceptes de goût, un modèle de polémique littéraire.
19.
Dès 1664, à l’époque où Racine, âgé de vingt-cinq
llents préceptes de goût, un modèle de polémique littéraire. 19. Dès
1664,
à l’époque où Racine, âgé de vingt-cinq ans, débu
de polémique littéraire. 19. Dès 1664, à l’époque où Racine, âgé de
vingt-cinq
ans, débutait par Les Frères ennemis, le Tartuffe
tait par Les Frères ennemis, le Tartuffe était à peu près terminé. Le
5
août, trois actes parurent devant le roi, aux fêt
Les Frères ennemis, le Tartuffe était à peu près terminé. Le 5 août,
trois
actes parurent devant le roi, aux fêtes de Versai
jouer toute la pièce au Raincy. Mais elle ne put être publique que le
5
août 1667. La clameur fut si grande qu’elle dut d
oute la pièce au Raincy. Mais elle ne put être publique que le 5 août
1667.
La clameur fut si grande qu’elle dut disparaître
dut disparaître par ordre du parlement. L’interdit ne fut levé que le
5
février 1669, à la faveur de la trêve imposée aux
aître par ordre du parlement. L’interdit ne fut levé que le 5 février
1669,
à la faveur de la trêve imposée aux partis religi
a trêve imposée aux partis religieux par un bref du pape Clément IX.
20.
Dans Les Femmes savantes, Cotin et Ménage seraien
in et Ménage seraient déguisés sous les noms de Trissotin et Vadius.
21.
La Princesse d’Élide, Le Mariage forcé, L’Amour
médecin, Le Ballet des muses, Mélicerte, Le Sicilien, George Dandin,
1668,
M. de Pourceaugnac, 1669, Les Amants magnifiques,
ses, Mélicerte, Le Sicilien, George Dandin, 1668, M. de Pourceaugnac,
1669,
Les Amants magnifiques, 1669, Psyché, Scapin, La
eorge Dandin, 1668, M. de Pourceaugnac, 1669, Les Amants magnifiques,
1669,
Psyché, Scapin, La Comtesse d’Escarbagnas, Le Mal
69, Psyché, Scapin, La Comtesse d’Escarbagnas, Le Malade imaginaire.
22.
Pour Louis XIV, son bienfaiteur, il est toujours
jours à son poste. L’Amour médecin est fait, appris, et représenté en
cinq
jours. La Princesse d’Élide n’a que le premier ac
fois que de chausser un seul brodequin . Si Mélicerte n’est pas fini,
quinze
jours suffisent aux Fâcheux. Que dire du Mariage
il organisait pour Saint-Germain Mélicerte et La Pastorale comique.
23.
Critique de l’École des femmes, scène VII. 24.
et La Pastorale comique. 23. Critique de l’École des femmes, scène
VII
. 24. En 1661, quelques mois après la publicatio
Pastorale comique. 23. Critique de l’École des femmes, scène VII.
24.
En 1661, quelques mois après la publication des E
le comique. 23. Critique de l’École des femmes, scène VII. 24. En
1661,
quelques mois après la publication des Examens de
, quelques mois après la publication des Examens de Corneille, et des
trois
discours, Molière disait, dans la préface des Fâc
Il voulait, lui, assurer son rang à la comédie près de la tragédie.
25.
Ce mot, il ne l’entend plus dans le sens restrein
largit, et n’admet pas que le bon goût ne puisse siéger au parterre.
26.
La peinture à l’huile. 27. Tiré du poème intitul
e bon goût ne puisse siéger au parterre. 26. La peinture à l’huile.
27.
Tiré du poème intitulé La Gloire du Val-de-Grâce,
ure à l’huile. 27. Tiré du poème intitulé La Gloire du Val-de-Grâce,
1669.
28. Il le fallait bien pour répondre si ponctuel
’huile. 27. Tiré du poème intitulé La Gloire du Val-de-Grâce, 1669.
28.
Il le fallait bien pour répondre si ponctuellemen
ondre si ponctuellement au caprice du maître, et aux vœux du public.
29.
La Bruyère lui-même qui lui reproche « le jargon,
La Bruyère lui-même qui lui reproche « le jargon, et le barbarisme »,
seize
ans après sa mort, en 1689, n’a pas eu le sens éq
reproche « le jargon, et le barbarisme », seize ans après sa mort, en
1689,
n’a pas eu le sens équitable. C’est qu’au dix-sep
voulait-on pas rejeter poitrine, parce qu’on disait poitrine de veau (
I
, 216, Vaugelas) ? L’expression à présent faillit
lait-on pas rejeter poitrine, parce qu’on disait poitrine de veau (I,
216,
Vaugelas) ? L’expression à présent faillit être p
e qu’un courtisan, l’ayant rencontrée dans un livre, ferma l’ouvrage (
II
, p. 111). Il y eut là de l’excès, du préjugé. 30
e, ferma l’ouvrage (II, p. 111). Il y eut là de l’excès, du préjugé.
30.
Riche de trente mille livres de rentes, il menait
vrage (II, p. 111). Il y eut là de l’excès, du préjugé. 30. Riche de
trente
mille livres de rentes, il menait train libéral,
II, p. 111). Il y eut là de l’excès, du préjugé. 30. Riche de trente
mille
livres de rentes, il menait train libéral, dans s
Richelieu, à la hauteur et en face de la rue Traversière, vers le nº
34
d’aujourd’hui. 31. 10 février 1673. 32. Il faut
uteur et en face de la rue Traversière, vers le nº 34 d’aujourd’hui.
31.
10 février 1673. 32. Il faut lire le récit de Gr
r et en face de la rue Traversière, vers le nº 34 d’aujourd’hui. 31.
10
février 1673. 32. Il faut lire le récit de Grima
e de la rue Traversière, vers le nº 34 d’aujourd’hui. 31. 10 février
1673.
32. Il faut lire le récit de Grimarest, qui dut
rue Traversière, vers le nº 34 d’aujourd’hui. 31. 10 février 1673.
32.
Il faut lire le récit de Grimarest, qui dut tenir
es détails de Baron, présent à la scène. Nous analysons cette pièce.
33.
À son convoi, une femme du peuple à qui l’on dema
s’écria : « Comment, malheureuse ! Il est bien Monsieur pour toi. »
34.
Dès le troisième jour, dit-il. Ou sait pourtant d
dit-il. Ou sait pourtant d’autre part que cette pièce fut représentée
vingt
et une fois de suite. 35. Épicurien aimable qui
tre part que cette pièce fut représentée vingt et une fois de suite.
35.
Épicurien aimable qui mourut en 1686, et dont Mol
ntée vingt et une fois de suite. 35. Épicurien aimable qui mourut en
1686,
et dont Molière disait : « Vous prodiguez vos agr
tion lorsque vous leur donnez ce que vous livrez au premier venu. »
36.
La femme de Molière. 37. Le duc de Beauvilliers
nez ce que vous livrez au premier venu. » 36. La femme de Molière.
37.
Le duc de Beauvilliers et de Saint-Aignan mêlait
-Aignan mêlait à ses talents militaires des prétentions littéraires.
38.
Comédiennes de la troupe de Molière. 39. Dans le
s prétentions littéraires. 38. Comédiennes de la troupe de Molière.
39.
Dans le grand Cyrus (t. VII, liv. Ier, p. 307) no
38. Comédiennes de la troupe de Molière. 39. Dans le grand Cyrus (t.
VII
, liv. Ier, p. 307) nous lisons ce portrait de Mon
sévère qu’il garde avec ceux qui ne lui plaisent pas. » On sait qu’en
1668,
Montausier fut nommé gouverneur du dauphin. Il ép
nt qu’il aurait bien voulu ressembler au misanthrope. » (Voltaire).
40.
Molière n’est pas de ceux dont Goethe écrivait, q
nt celles où on se sert de soi, pour peindre autre chose que soi. »
41.
Ajoutons toutefois qu’il idéalisa le caractère d’
e ; car elle ressemblait plus à Dorimène et Angélique qu’à Célimène.
42.
Chapitre sur la comédie (Lettre à l’Académie). 4
e qu’à Célimène. 42. Chapitre sur la comédie (Lettre à l’Académie).
43.
Voilà le travers, dont le poète avait besoin pour
poète avait besoin pour tourner au comique l’austérité de son sujet.
44.
Histoire de la littérature française, t. III. 4
ustérité de son sujet. 44. Histoire de la littérature française, t.
III
. 45. « Ni gros René, ni Mascarille, dit Voltaire
té de son sujet. 44. Histoire de la littérature française, t. III.
45.
« Ni gros René, ni Mascarille, dit Voltaire, pas
ême de valet, sinon pour avancer une chaise, ou porter une lettre. »
46.
L’expression est de M. Nisard. 47. Histoire de
chaise, ou porter une lettre. » 46. L’expression est de M. Nisard.
47.
Histoire de la littérature française, p. 106, t.
de M. Nisard. 47. Histoire de la littérature française, p. 106, t.
III
. 48. Histoire de la littérature française, p. 1
Nisard. 47. Histoire de la littérature française, p. 106, t. III.
48.
Histoire de la littérature française, p. 106, t.
. 106, t. III. 48. Histoire de la littérature française, p. 106, t.
III
. 49. Fabre d’Églantine (1755-1794) donna en 1790
t. III. 48. Histoire de la littérature française, p. 106, t. III.
49.
Fabre d’Églantine (1755-1794) donna en 1790 Le Ph
de la littérature française, p. 106, t. III. 49. Fabre d’Églantine (
1755-1794
) donna en 1790 Le Philinte de Molière, comédie où
rançaise, p. 106, t. III. 49. Fabre d’Églantine (1755-1794) donna en
1790
Le Philinte de Molière, comédie où le rire n’est
nt de cette satire envenimée est L’Optimiste de Collin d’Harleville.
50.
Il dirait volontiers, lui aussi : « Ô mes amis,
ait volontiers, lui aussi : « Ô mes amis, il n’y a plus d’amis. »
51.
Le misanthrope que peint La Bruyère (ch. De l’hom
c, un vieux garçon. L’Aceste de Vauvenargues (éd. Gilbert, p. 300, t.
I
) n’est qu’un amant malheureux. Jean-Jacques Rouss
avoir l’occasion de placer des tirades vertueuses et sentimentales.
52.
Molière disait d’Armande Béjart à Chapelle : « Qu
: « Quand je la vois, une émotion m’ôte l’usage de la réflexion. »
53.
Dans un conte de Marmontel, Le Misanthrope corrig
e à sa future : un peu plus, il prenait la houlette et le chalumeau.
54.
Épître : ad Romanos, XII. « Ne soyons pas sages
s, il prenait la houlette et le chalumeau. 54. Épître : ad Romanos,
XII
. « Ne soyons pas sages plus qu’il ne faut, mais a
II. « Ne soyons pas sages plus qu’il ne faut, mais avec sobriété. »
55.
Rousseau n’a pas l’esprit assez libre pour juger
son rôle. Dans ses utopies, la femme a toujours tenu peu de place.
56.
Acte I, scène 1. 57. Acte I, scène 1. 58. Acte
. Dans ses utopies, la femme a toujours tenu peu de place. 56. Acte
I
, scène 1. 57. Acte I, scène 1. 58. Acte II, scè
s utopies, la femme a toujours tenu peu de place. 56. Acte I, scène
1.
57. Acte I, scène 1. 58. Acte II, scène 4. 59.
opies, la femme a toujours tenu peu de place. 56. Acte I, scène 1.
57.
Acte I, scène 1. 58. Acte II, scène 4. 59. Elle
femme a toujours tenu peu de place. 56. Acte I, scène 1. 57. Acte
I
, scène 1. 58. Acte II, scène 4. 59. Elle ne le
toujours tenu peu de place. 56. Acte I, scène 1. 57. Acte I, scène
1.
58. Acte II, scène 4. 59. Elle ne le dit qu’à l
ours tenu peu de place. 56. Acte I, scène 1. 57. Acte I, scène 1.
58.
Acte II, scène 4. 59. Elle ne le dit qu’à lui. Q
peu de place. 56. Acte I, scène 1. 57. Acte I, scène 1. 58. Acte
II
, scène 4. 59. Elle ne le dit qu’à lui. Quelle fa
ace. 56. Acte I, scène 1. 57. Acte I, scène 1. 58. Acte II, scène
4.
59. Elle ne le dit qu’à lui. Quelle faveur ! 60
56. Acte I, scène 1. 57. Acte I, scène 1. 58. Acte II, scène 4.
59.
Elle ne le dit qu’à lui. Quelle faveur ! 60. Ce
58. Acte II, scène 4. 59. Elle ne le dit qu’à lui. Quelle faveur !
60.
Ce qui le rend malheureux, ce n’est pas d’avoir é
en faisant dépendre son bonheur de la fantaisie d’une femme légère.
61.
Sa devise pourrait être ce mot d’Alceste : Je ve
la demeure isolée de Timon. Être en vue, c’est le bénéfice du rôle.
62.
« Le Misanthrope, disait Diderot, est à refaire
rôle. 62. « Le Misanthrope, disait Diderot, est à refaire tous les
cinquante
ans. » Il y a du vrai dans ce mot. Le Misanthrope
corriger ; les autres rendent la société responsable de nos fautes.
63.
Cependant sa visite, assez insupportable, Traîne
ongueur encore épouvantable ; Et l’on demande l’heure, et l’on baille
vingt
fois, Qu’elle grouille aussi peu qu’une pièce de
baille vingt fois, Qu’elle grouille aussi peu qu’une pièce de bois.
64.
Alceste. 65. Célimène. Où courez-vous ? Alcest
ois, Qu’elle grouille aussi peu qu’une pièce de bois. 64. Alceste.
65.
Célimène. Où courez-vous ? Alceste.
. Célimène. Eh bien ! Allez, sortez, il vous est tout loisible. (Acte
II
, scène 4) 66. Mais si c’est une femme à qui v
. Eh bien ! Allez, sortez, il vous est tout loisible. (Acte II, scène
4
) 66. Mais si c’est une femme à qui va ce bill
bien ! Allez, sortez, il vous est tout loisible. (Acte II, scène 4)
66.
Mais si c’est une femme à qui va ce billet, En
ce billet, En quoi vous blesse-t-il, et qu’a-t-il de coupable ? (Acte
IV
, scène 3) 67. Acte IV, scène 3. 68. Acte V, sc
En quoi vous blesse-t-il, et qu’a-t-il de coupable ? (Acte IV, scène
3
) 67. Acte IV, scène 3. 68. Acte V, scène 4. 6
uoi vous blesse-t-il, et qu’a-t-il de coupable ? (Acte IV, scène 3)
67.
Acte IV, scène 3. 68. Acte V, scène 4. 69. La B
blesse-t-il, et qu’a-t-il de coupable ? (Acte IV, scène 3) 67. Acte
IV
, scène 3. 68. Acte V, scène 4. 69. La Bruyère,
l, et qu’a-t-il de coupable ? (Acte IV, scène 3) 67. Acte IV, scène
3.
68. Acte V, scène 4. 69. La Bruyère, Portrait d
t qu’a-t-il de coupable ? (Acte IV, scène 3) 67. Acte IV, scène 3.
68.
Acte V, scène 4. 69. La Bruyère, Portrait de Lis
il de coupable ? (Acte IV, scène 3) 67. Acte IV, scène 3. 68. Acte
V
, scène 4. 69. La Bruyère, Portrait de Lise. 70.
pable ? (Acte IV, scène 3) 67. Acte IV, scène 3. 68. Acte V, scène
4.
69. La Bruyère, Portrait de Lise. 70. M. Guizot
e ? (Acte IV, scène 3) 67. Acte IV, scène 3. 68. Acte V, scène 4.
69.
La Bruyère, Portrait de Lise. 70. M. Guizot (Rev
V, scène 3. 68. Acte V, scène 4. 69. La Bruyère, Portrait de Lise.
70.
M. Guizot (Revue des Deux Mondes, février 1873) n
scène 4. 69. La Bruyère, Portrait de Lise. 70. M. Guizot (Revue des
Deux
Mondes, février 1873) nous montre Mme Récamier, c
ère, Portrait de Lise. 70. M. Guizot (Revue des Deux Mondes, février
1873
) nous montre Mme Récamier, charmante pour tous, e
vertus d’Éliante. Armande Béjart prit sa retraite, ses invalides, en
1694.
Elle se réfugia dans une dévotion outrée. 71. P.
e, ses invalides, en 1694. Elle se réfugia dans une dévotion outrée.
71.
P. 144, t. II, édition Aimé Martin. 72. Les Fem
s, en 1694. Elle se réfugia dans une dévotion outrée. 71. P. 144, t.
II
, édition Aimé Martin. 72. Les Femmes savantes.
a dans une dévotion outrée. 71. P. 144, t. II, édition Aimé Martin.
72.
Les Femmes savantes. 73. La Critique de l’Écol
71. P. 144, t. II, édition Aimé Martin. 72. Les Femmes savantes.
73.
La Critique de l’École des femmes. 74. Dont les
72. Les Femmes savantes. 73. La Critique de l’École des femmes.
74.
Dont les menées servent à l’action. 75. C’est le
ique de l’École des femmes. 74. Dont les menées servent à l’action.
75.
C’est le titre d’une comédie de Mme Girardin. 76
rvent à l’action. 75. C’est le titre d’une comédie de Mme Girardin.
76.
C’est ainsi que Tartuffe accompagne l’exempt chez
ardin. 76. C’est ainsi que Tartuffe accompagne l’exempt chez Orgon.
77.
Au dix-septième siècle, le mot de prude n’était p
, dans un temps où l’on rencontrait beaucoup de directeurs laïques.
78.
Chez Éliante, la marque du temps est le goût de l
pouvoir, Sème l’intelligence avant que de se voir… (Suite du Menteur,
IV
.) 79. Il lança un pamphlet outrageant contre L
Sème l’intelligence avant que de se voir… (Suite du Menteur, IV.)
79.
Il lança un pamphlet outrageant contre L’Optimist
, et dont l’humeur accommodante n’est qu’une des formes de la bonté.
80.
Un sonnet sans défaut vaut seul un long poème. (
nté. 80. Un sonnet sans défaut vaut seul un long poème. (Boileau.)
81.
Voir nos Extraits des classiques français ; cours
, et rien en ôter sans y retrancher quelque chose de nécessaire. »
82.
Dans la première scène des Fâcheux, Éraste ne sai
t surpris les passants de leur brusque incartade, Et, tandis que tous
deux
étaient précipités Dans les convulsions de leurs
és, Je me suis doucement esquivé… Dans La Mère coquette de Quinault,
I
, 3, 1664, nous lisons : Estimez-vous beaucoup l’
Je me suis doucement esquivé… Dans La Mère coquette de Quinault, I,
3,
1664, nous lisons : Estimez-vous beaucoup l’air
me suis doucement esquivé… Dans La Mère coquette de Quinault, I, 3,
1664,
nous lisons : Estimez-vous beaucoup l’air dont v
ule persistera plus tard. Car Lesage en parle encore dans Gil Blas.
83.
Les maréchaux formaient un tribunal d’honneur auq
vait à l’agresseur des réparations capables de satisfaire l’offensé.
84.
Scarron dit du prince de Tarente : « Il s’était l
ne grandeur étonnante, ce qu’il trouvait le plus galant du monde. »
85.
Sous François Ier, elle apparut pour la première
isparut ; mais la Convention eut pourtant ses muscadins, qui, en l’an
III
, dispersèrent à coups de canne le club des Jacobi
et en dandys avec le comte d’Orsay. Enfin, il y eut plus tard, après
1830,
les lions ; en 1850, les gandins…, et depuis… ; m
comte d’Orsay. Enfin, il y eut plus tard, après 1830, les lions ; en
1850,
les gandins…, et depuis… ; mais, arrêtons-nous.
les lions ; en 1850, les gandins…, et depuis… ; mais, arrêtons-nous.
86.
T. VIII, p. 293. 87. Le nez d’Anne d’Autriche pr
es gandins…, et depuis… ; mais, arrêtons-nous. 86. T. VIII, p. 293.
87.
Le nez d’Anne d’Autriche prêtait à la critique ;
eville dit qu’il contribue à la majesté d’une physionomie imposante.
88.
Il fit un bien méchant portrait de Mme de Sévigné
e imposante. 88. Il fit un bien méchant portrait de Mme de Sévigné.
89.
Il faut lire, entre autres, son portrait de Mme d
igné. 89. Il faut lire, entre autres, son portrait de Mme d’Olonne.
90.
Histoire de la littérature française, t. III, p.
trait de Mme d’Olonne. 90. Histoire de la littérature française, t.
III
, p. 103. 91. Dans la même année, il fut représen
’Olonne. 90. Histoire de la littérature française, t. III, p. 103.
91.
Dans la même année, il fut représenté le 26 septe
nçaise, t. III, p. 103. 91. Dans la même année, il fut représenté le
26
septembre, à Villers-Cotterêts, pour S. A. Monsie
ur S. A. Monsieur, qui régalait Leurs Majestés : on n’y donna que les
trois
premiers actes. Il figura dans son ensemble, le 2
y donna que les trois premiers actes. Il figura dans son ensemble, le
29
novembre, au château du Raincy, pour S. A. S. Mon
u du Raincy, pour S. A. S. Monseigneur le Prince, qui le fit jouer le
8
novembre 1665, et depuis, le 29 septembre 1668, e
, pour S. A. S. Monseigneur le Prince, qui le fit jouer le 8 novembre
1665,
et depuis, le 29 septembre 1668, en son château d
eigneur le Prince, qui le fit jouer le 8 novembre 1665, et depuis, le
29
septembre 1668, en son château de Chantilly. 92.
ince, qui le fit jouer le 8 novembre 1665, et depuis, le 29 septembre
1668,
en son château de Chantilly. 92. C’est l’auteur
1665, et depuis, le 29 septembre 1668, en son château de Chantilly.
92.
C’est l’auteur de la grande Relation des plaisirs
Il fut alors aussi prudent qu’il avait été téméraire sous la Fronde.
93.
Molière y rappelle à Louis XIV qu’il « avait eu l
eu la bonté de déclarer qu’il ne trouvait rien à dire à la pièce ».
94.
Elle venait d’éprouver les premières douleurs de
; la crainte de la mort exaltait encore les scrupules de sa piété.
95.
Cette note explique le vers que voici : Molière
vers que voici : Molière avec Tartuffe y doit jouer son rôle. (Sat.
III
, v. 25.) 96. Molière lui avait dédié L’École d
e voici : Molière avec Tartuffe y doit jouer son rôle. (Sat. III, v.
25.
) 96. Molière lui avait dédié L’École des femme
: Molière avec Tartuffe y doit jouer son rôle. (Sat. III, v. 25.)
96.
Molière lui avait dédié L’École des femmes. Elle
avait dédié L’École des femmes. Elle donnait le ton à la jeune Cour.
97.
Un billet, trouvé dans les archives de Chantilly
trième acte ; ce qui ferait croire qu’il n’était pas encore achevé le
29
septembre 1664. M. Régnier, le sociétaire du Théâ
ce qui ferait croire qu’il n’était pas encore achevé le 29 septembre
1664.
M. Régnier, le sociétaire du Théâtre-Français, co
en dit rien. Par conséquent, la pièce était terminée avant la date du
29
novembre, sauf les retouches obligées. 98. Don
terminée avant la date du 29 novembre, sauf les retouches obligées.
98.
Don Juan. Acte V, scène 2. 99. La statue du Com
ate du 29 novembre, sauf les retouches obligées. 98. Don Juan. Acte
V
, scène 2. 99. La statue du Commandeur disait exp
novembre, sauf les retouches obligées. 98. Don Juan. Acte V, scène
2.
99. La statue du Commandeur disait expressément
embre, sauf les retouches obligées. 98. Don Juan. Acte V, scène 2.
99.
La statue du Commandeur disait expressément : « D
es grâces du ciel que l’on renvoie ouvrent un chemin à sa foudre. »
100.
Observations sur Le Festin de Pierre, par le sie
0. Observations sur Le Festin de Pierre, par le sieur de Rochemont.
101.
Il faut bien dire qu’alors Louis XIV en voulait f
t bannis du Palais pour s’être mêlés de ce qui ne les regardait pas.
102.
L’Avertissement qui précède les Sentiments des Pè
ce de Conti, dénonce Le Festin de Pierre comme une école d’athéisme.
103.
« Votre Majesté, dit-il, avait eu la bonté de m’e
té, dit-il, avait eu la bonté de m’en permettre la représentation. »
104.
Un petit chapeau, de grands cheveux, un grand col
d collet, une épée et des dentelles, un ajustement d’homme du monde.
105.
On crut y voir une parodie sacrilège, et depuis i
y voir une parodie sacrilège, et depuis il fut docilement sacrifié.
106.
La cause en fut peut-être le départ subit de Gra
cause en fut peut-être le départ subit de Grange et La Thorillière.
107.
« Il est très assuré, Sire, qu’il ne faut plus qu
s que je songe à faire de comédie si les Tartuffes ont l’avantage. »
108.
Le premier président jugeait qu’il « ne convient
gile, que ces matières religieuses ne relèvent pas de son ressort ».
109.
Au plus fort de la lutte n’avait-il pas déjà prod
ort ». 109. Au plus fort de la lutte n’avait-il pas déjà produit, en
1665,
Don Juan et L’Amour Médecin, en 1666 Le Misanthro
n’avait-il pas déjà produit, en 1665, Don Juan et L’Amour Médecin, en
1666
Le Misanthrope, Le Médecin malgré lui, Mélicerte
nthrope, Le Médecin malgré lui, Mélicerte et La Pastorale comique, en
1667
Le Sicilien ? 110. Depuis 1666, la mort de la Re
malgré lui, Mélicerte et La Pastorale comique, en 1667 Le Sicilien ?
110.
Depuis 1666, la mort de la Reine mère avait ôté à
Mélicerte et La Pastorale comique, en 1667 Le Sicilien ? 110. Depuis
1666,
la mort de la Reine mère avait ôté à la faction d
ne mère avait ôté à la faction dévote son principal appui à la Cour.
111.
La Critique du Tartuffe. 112. C’est ce que démo
évote son principal appui à la Cour. 111. La Critique du Tartuffe.
112.
C’est ce que démontre avec une logique lumineuse
émontre avec une logique lumineuse un article de M. Janet, {Revue des
Deux
Mondes) : « L’Église, dit-il, ne saurait encourag
encourager à la libre pensée celui qui a l’air d’être un croyant. »
113.
Saint Augustin disait : « L’hypocrisie est cette
gile que l’on ne peut arracher sans déraciner aussi le bon grain. »
114.
Acte I, scène 5. 115. La comédie est plus à l’ai
’on ne peut arracher sans déraciner aussi le bon grain. » 114. Acte
I
, scène 5. 115. La comédie est plus à l’aise que
ut arracher sans déraciner aussi le bon grain. » 114. Acte I, scène
5.
115. La comédie est plus à l’aise que l’Église p
rracher sans déraciner aussi le bon grain. » 114. Acte I, scène 5.
115.
La comédie est plus à l’aise que l’Église pour fa
tains travers ; car son indépendance n’est gênée par aucune entrave.
116.
« Songez seulement si vous oseriez soutenir à la
offensée ou en crainte d’être violée par les derniers attentats. »
117.
Il faut distinguer l’hypocrisie de mœurs qui est
e de duper tous les yeux, de passer pour juste et irréprochable. »
118.
Mentionnons le Roman de Renart, la Farce des Brus
n de Renart, la Farce des Brus, les Contes de Marguerite de Navarre.
119.
« Je voudrais bien savoir, disait le Roi après av
i. Mais Molière les joue eux-mêmes, ce qu’ils ne peuvent souffrir. »
120.
Ah ! Pour être Romain je n’en suis pas moins ho
. » 120. Ah ! Pour être Romain je n’en suis pas moins homme. (Acte
IV
, scène 1, v. 1194). 121. Goethe disait : « Elle
Ah ! Pour être Romain je n’en suis pas moins homme. (Acte IV, scène
1,
v. 1194). 121. Goethe disait : « Elle est uniqu
Pour être Romain je n’en suis pas moins homme. (Acte IV, scène 1, v.
1194
). 121. Goethe disait : « Elle est unique dans l
e Romain je n’en suis pas moins homme. (Acte IV, scène 1, v. 1194).
121.
Goethe disait : « Elle est unique dans le monde,
e, c’est ce qui existe de plus grand, et de meilleur en ce genre. »
122.
S’il faut en croire Brossette, Boileau le jugeait
t ; il faut avouer qu’il en tranche le nœud qu’il n’a pu dénouer. »
123.
Non, non, je ne veux rien. Je vois que vous vou
homme, et vous en tâterez […] Non, vous serez, ma foi, Tartuffiée.
124.
C’est bien l’homme qui disait : Et je verrais mo
e, c’est oublier ce que peut la superstition greffée sur la bêtise.
125.
Sans doute, Tartuffe n’a pas dû choisir exprès un
tion en poche, et sûr de l’avenir, se risque à une dernière infamie.
126.
Nous renvoyons le lecteur au livre des Caractères
n burin pointille, il a tout loisir pour sa facture fine et déliée.
127.
Il se peint dans cette profession de foi : Les h
s la gâtent souvent Pour la vouloir outrer, et pousser trop avant.
128.
Le public n’hésita pas à voir dans le Tartuffe Es
e-Beuve, la graine des Provinciales qui fructifiait. À leur insu, ces
deux
esprits se prêtèrent main-forte. Molière eut les
èrent main-forte. Molière eut les mêmes ennemis que Pascal, ceux qui,
quatre
ans auparavant, avaient obtenu qu’on brûlât les P
à ceux de la Onzième provinciale, et les transporte dans la comédie.
129.
Cailhava, auteur dramatique (1731-1813) ; avec de
et les transporte dans la comédie. 129. Cailhava, auteur dramatique (
1731-1813
) ; avec de nombreuses pièces, dont la meilleure e
re est Le Tuteur dupé, il composa un traité sur L’Art de la comédie.
130.
Il y eut une lacune, du vendredi 21 septembre au
raité sur L’Art de la comédie. 130. Il y eut une lacune, du vendredi
21
septembre au dimanche 30 septembre. 131. Le text
édie. 130. Il y eut une lacune, du vendredi 21 septembre au dimanche
30
septembre. 131. Le texte n’en est pas parvenu ju
y eut une lacune, du vendredi 21 septembre au dimanche 30 septembre.
131.
Le texte n’en est pas parvenu jusqu’à nous. 132.
nche 30 septembre. 131. Le texte n’en est pas parvenu jusqu’à nous.
132.
Avant Molière, Louis Le Jars (La Pucelle, 1562),
parvenu jusqu’à nous. 132. Avant Molière, Louis Le Jars (La Pucelle,
1562
), Jean de La Taille (Les Corrivaux, 1562), Pierre
, Louis Le Jars (La Pucelle, 1562), Jean de La Taille (Les Corrivaux,
1562
), Pierre Larivey, et Cyrano de Bergerac (Le Pédan
no de Bergerac (Le Pédant joué), avaient fait des comédies en prose.
133.
Le préjugé qui repoussait l’emploi de la prose da
oussait l’emploi de la prose dans la haute comédie fut si tenace que,
cent
ans après, en 1775, un sot nommé Mailhot osa port
la prose dans la haute comédie fut si tenace que, cent ans après, en
1775,
un sot nommé Mailhot osa porter la main sur la pr
osa porter la main sur la prose de Molière, et la traduire en vers.
134.
À la mort de Molière, L’Avare avait eu 47 représ
et la traduire en vers. 134. À la mort de Molière, L’Avare avait eu
47
représentations. Il fut joué 127 fois sous Louis
la mort de Molière, L’Avare avait eu 47 représentations. Il fut joué
127
fois sous Louis XIV, 305 fois sous Louis XV, 172
are avait eu 47 représentations. Il fut joué 127 fois sous Louis XIV,
305
fois sous Louis XV, 172 fois de 1774 à 1814, 466
tations. Il fut joué 127 fois sous Louis XIV, 305 fois sous Louis XV,
172
fois de 1774 à 1814, 466 fois de 1814 à 1870. La
fut joué 127 fois sous Louis XIV, 305 fois sous Louis XV, 172 fois de
1774
à 1814, 466 fois de 1814 à 1870. La première édit
é 127 fois sous Louis XIV, 305 fois sous Louis XV, 172 fois de 1774 à
1814,
466 fois de 1814 à 1870. La première édition de c
fois sous Louis XIV, 305 fois sous Louis XV, 172 fois de 1774 à 1814,
466
fois de 1814 à 1870. La première édition de cette
uis XIV, 305 fois sous Louis XV, 172 fois de 1774 à 1814, 466 fois de
1814
à 1870. La première édition de cette comédie est
, 305 fois sous Louis XV, 172 fois de 1774 à 1814, 466 fois de 1814 à
1870.
La première édition de cette comédie est datée de
ois de 1814 à 1870. La première édition de cette comédie est datée de
1669.
Elle parut en un in-12 de 150 pages, chez Jean Ri
édition de cette comédie est datée de 1669. Elle parut en un in-12 de
150
pages, chez Jean Ribou, au Palais, vis-à-vis la p
hez Jean Ribou, au Palais, vis-à-vis la porte de la Sainte-Chapelle.
135.
Citons, entre autres, le lieutenant criminel Tard
les chevaux aussi qu’ils ne peuvent aller. » Ils furent assassinés le
24
août 1665. On parle aussi du cardinal Angelotto b
aux aussi qu’ils ne peuvent aller. » Ils furent assassinés le 24 août
1665.
On parle aussi du cardinal Angelotto bâtonné par
par son palefrenier, une nuit qu’il volait l’avoine de ses chevaux.
136.
Acte II, scènes 1 et 2. Comparer La Belle Plaideu
alefrenier, une nuit qu’il volait l’avoine de ses chevaux. 136. Acte
II
, scènes 1 et 2. Comparer La Belle Plaideuse, acte
une nuit qu’il volait l’avoine de ses chevaux. 136. Acte II, scènes
1
et 2. Comparer La Belle Plaideuse, acte I, scène
nuit qu’il volait l’avoine de ses chevaux. 136. Acte II, scènes 1 et
2.
Comparer La Belle Plaideuse, acte I, scène 8.
vaux. 136. Acte II, scènes 1 et 2. Comparer La Belle Plaideuse, acte
I
, scène 8. 137. Voici les vers où Boisrobert fa
. Acte II, scènes 1 et 2. Comparer La Belle Plaideuse, acte I, scène
8.
137. Voici les vers où Boisrobert fait un inven
e II, scènes 1 et 2. Comparer La Belle Plaideuse, acte I, scène 8.
137.
Voici les vers où Boisrobert fait un inventaire a
urnit le surplus de la somme en guenons, En fort beaux perroquets, en
douze
gros canons, Moitié fer, moitié fonte, et qu’on v
vend à la livre : Si vous voulez ainsi la somme, on vous la livre.
138.
Pierre Larivey (1546-1611) appartenait à la famil
vous voulez ainsi la somme, on vous la livre. 138. Pierre Larivey (
1546-1611
) appartenait à la famille des Giunti (Les Arrivés
s, Le Morfondu, Le Jaloux, La Constance, Les Trompeurs et Le Fidèle.
139.
Elle dit au vieil Ambroise, amoureux de la Veuve
de la Veuve : « Madame Clémence vous aime comme ses menus boyaux. »
140.
Il fut joué à Paris sous ce titre : Lelio et Arle
Paris sous ce titre : Lelio et Arlequin, valets dans la même maison.
141.
On cite encore une comédie de Chevalier (1662) :
s dans la même maison. 141. On cite encore une comédie de Chevalier (
1662
) : Les Barbons amoureux et rivaux de leurs fils.
de Chevalier (1662) : Les Barbons amoureux et rivaux de leurs fils.
142.
N’abusons pas de ces rapprochements. La plupart d
semble imitateur. Son Avare n’avait-il pas une renommée européenne ?
143.
L’Aululaire fut composée vers l’an 195, sous le c
as une renommée européenne ? 143. L’Aululaire fut composée vers l’an
195,
sous le consulat de Caton. Plaute y fait allusion
modèle grec ; mais les détails de mœurs ou de coutumes sont romains.
144.
Quelques vers isolés conservés par Nonius autoris
euse. Ceci est bien romain. Voir l’édition de M. Benoist (Hachette).
145.
On pourra comparer les scènes suivantes : Avare,
st (Hachette). 145. On pourra comparer les scènes suivantes : Avare,
I
, 3 ; Aululaire, I, 1. IV, 4 (la servante chassée)
(Hachette). 145. On pourra comparer les scènes suivantes : Avare, I,
3
; Aululaire, I, 1. IV, 4 (la servante chassée). A
5. On pourra comparer les scènes suivantes : Avare, I, 3 ; Aululaire,
I
, 1. IV, 4 (la servante chassée). Avare, I, 7 ; Au
On pourra comparer les scènes suivantes : Avare, I, 3 ; Aululaire, I,
1.
IV, 4 (la servante chassée). Avare, I, 7 ; Aulula
pourra comparer les scènes suivantes : Avare, I, 3 ; Aululaire, I, 1.
IV
, 4 (la servante chassée). Avare, I, 7 ; Aululaire
ra comparer les scènes suivantes : Avare, I, 3 ; Aululaire, I, 1. IV,
4
(la servante chassée). Avare, I, 7 ; Aululaire, I
: Avare, I, 3 ; Aululaire, I, 1. IV, 4 (la servante chassée). Avare,
I
, 7 ; Aululaire, II, 2 (les allées et venues d’Har
Avare, I, 3 ; Aululaire, I, 1. IV, 4 (la servante chassée). Avare, I,
7
; Aululaire, II, 2 (les allées et venues d’Harpag
ululaire, I, 1. IV, 4 (la servante chassée). Avare, I, 7 ; Aululaire,
II
, 2 (les allées et venues d’Harpagon veillant sur
aire, I, 1. IV, 4 (la servante chassée). Avare, I, 7 ; Aululaire, II,
2
(les allées et venues d’Harpagon veillant sur sa
2 (les allées et venues d’Harpagon veillant sur sa cassette). Avare,
IV
, 7 ; Aululaire, IV, 9 (le monologue de l’avare).
les allées et venues d’Harpagon veillant sur sa cassette). Avare, IV,
7
; Aululaire, IV, 9 (le monologue de l’avare). Ava
enues d’Harpagon veillant sur sa cassette). Avare, IV, 7 ; Aululaire,
IV
, 9 (le monologue de l’avare). Avare, V, 3 ; Aulul
s d’Harpagon veillant sur sa cassette). Avare, IV, 7 ; Aululaire, IV,
9
(le monologue de l’avare). Avare, V, 3 ; Aululair
e). Avare, IV, 7 ; Aululaire, IV, 9 (le monologue de l’avare). Avare,
V
, 3 ; Aululaire, IV, 10 (le quiproquo). 146. Pla
Avare, IV, 7 ; Aululaire, IV, 9 (le monologue de l’avare). Avare, V,
3
; Aululaire, IV, 10 (le quiproquo). 146. Plaute
Aululaire, IV, 9 (le monologue de l’avare). Avare, V, 3 ; Aululaire,
IV
, 10 (le quiproquo). 146. Plaute n’a pas voulu i
ulaire, IV, 9 (le monologue de l’avare). Avare, V, 3 ; Aululaire, IV,
10
(le quiproquo). 146. Plaute n’a pas voulu intit
nologue de l’avare). Avare, V, 3 ; Aululaire, IV, 10 (le quiproquo).
146.
Plaute n’a pas voulu intituler sa pièce Avarus,
ception abstraite n’aurait pas été comprise de ses contemporains. »
147.
The Miser est le titre d’une imitation faite, le
emporains. » 147. The Miser est le titre d’une imitation faite, le
5
février 1671, par un Anglais nommé Shadwell, dont
» 147. The Miser est le titre d’une imitation faite, le 5 février
1671,
par un Anglais nommé Shadwell, dont l’impertinenc
es maniées par les pires écrivains de son pays y gagnent beaucoup. En
1732,
Fielding, l’auteur de Tom Jones, qui avait plus d
rologue : « Le poète est sauvé, s’il laisse Molière sain et sauf. »
148.
Pourceaugnac, I, 6. « Le commissaire. De quelle
est sauvé, s’il laisse Molière sain et sauf. » 148. Pourceaugnac,
I
, 6. « Le commissaire. De quelle couleur est la ca
t sauvé, s’il laisse Molière sain et sauf. » 148. Pourceaugnac, I,
6.
« Le commissaire. De quelle couleur est la casset
dire. — Harpagon. Il n’y a point de doute. C’est elle assurément… »
149.
Molière se garde bien de le convertir, comme l’Eu
9. Molière se garde bien de le convertir, comme l’Euclion de Plaute.
150.
Ce sont les expressions de Bossuet caractérisant
0. Ce sont les expressions de Bossuet caractérisant un jeune homme de
vingt-deux
ans. 151. Battu par Harpagon, pour lui avoir dit
pressions de Bossuet caractérisant un jeune homme de vingt-deux ans.
151.
Battu par Harpagon, pour lui avoir dit ses vérité
coups de bâton pour dire vrai, et on veut me pendre pour mentir. »
152.
« Malgré l’exemple de Plaute où nous lisons Cedo
n de l’homme qu’il soupçonne de l’avoir volé. » Lettre à l’Académie.
153.
L’art, c’est la nature d’abord, mais vérifiée, co
t les faire. Il suppose donc une sélection, une invention créatrice.
154.
Tous les mots qui expriment cette intention sont
meut un mécanisme. Ce ne sont plus que des mouvements involontaires.
155.
Dans L’École des maris, le travers de Sganarelle
ible que pour avoir fait un mariage de vanité. La situation de l’acte
IV
, scène 3, est celle de Mithridate dérobant à Moni
our avoir fait un mariage de vanité. La situation de l’acte IV, scène
3,
est celle de Mithridate dérobant à Monime le secr
son cœur ; mais le ton n’est pas le même, et la note reste comique.
156.
Il faut lire dans M. Saint-Marc Girardin la spiri
nsposée sur le mode mélodramatique. (Cours de littérature dramatique,
I
, 274.) 157. Ce fut vers 1608 que s’ouvrit La Cha
osée sur le mode mélodramatique. (Cours de littérature dramatique, I,
274.
) 157. Ce fut vers 1608 que s’ouvrit La Chambre b
r le mode mélodramatique. (Cours de littérature dramatique, I, 274.)
157.
Ce fut vers 1608 que s’ouvrit La Chambre bleue d’
matique. (Cours de littérature dramatique, I, 274.) 157. Ce fut vers
1608
que s’ouvrit La Chambre bleue d’Arthénice, à l’hô
est à cette seconde génération de Précieuses que s’attaqua Molière.
158.
La pédanterie devait tenir bon longtemps encore,
ie devait tenir bon longtemps encore, comme l’atteste Boileau disant,
vingt
ans après, dans la satire sur Les Femmes : Qui s
e notre curieuse. (Sat.
X.
) 159. Dans leur engouement pour la science, le
curieuse. (Sat. X.)
159.
Dans leur engouement pour la science, les femmes
’est un caprice de vanité ; elles traitent l’étude comme une parure.
160.
Le privilège du Roy est du 31 décembre 1670. La p
s traitent l’étude comme une parure. 160. Le privilège du Roy est du
31
décembre 1670. La pièce fut imprimée le 10 décemb
’étude comme une parure. 160. Le privilège du Roy est du 31 décembre
1670.
La pièce fut imprimée le 10 décembre 1672. L’édit
Le privilège du Roy est du 31 décembre 1670. La pièce fut imprimée le
10
décembre 1672. L’édition fut livrée au public en
du Roy est du 31 décembre 1670. La pièce fut imprimée le 10 décembre
1672.
L’édition fut livrée au public en 1673, à Paris,
e fut imprimée le 10 décembre 1672. L’édition fut livrée au public en
1673,
à Paris, au Palais, et chez Pierre Promé, sans dé
lière, qui revit les épreuves. Elle se vendit mal, et ne s’épuisa que
cinq
ans plus tard. 161. Nous signalerons seulement q
épreuves. Elle se vendit mal, et ne s’épuisa que cinq ans plus tard.
161.
Nous signalerons seulement quelques traits emprun
ans ses Visionnaires. Enfin, quelques analogies lointaines rappellent
deux
pièces espagnoles : Ne badinez pas avec l’amour,
ur, de Calderon, La Présomptueuse et la Belle de Fernando de Zarate.
162.
En voyant Les Précieuses, il aurait dit : « Il no
rûler ce que nous avons adoré, et adorer ce que nous avons brûlé. »
163.
Dans un article du Mercure (12 mai 1672), Donneau
adorer ce que nous avons brûlé. » 163. Dans un article du Mercure (
12
mai 1672), Donneau de Visé le dit expressément :
ce que nous avons brûlé. » 163. Dans un article du Mercure (12 mai
1672
), Donneau de Visé le dit expressément : « Beaucou
s’en est suffisamment justifié par une harangue qu’il fit au public,
deux
jours avant la première représentation. » 164.
qu’il fit au public, deux jours avant la première représentation. »
164.
Il donna un instant son nom à la pièce. Mme de Sé
164. Il donna un instant son nom à la pièce. Mme de Sévigné écrit, le
9
mai 1672 : « Molière lira samedi soir au cardinal
l donna un instant son nom à la pièce. Mme de Sévigné écrit, le 9 mai
1672
: « Molière lira samedi soir au cardinal de Retz
au cardinal de Retz Trissotin, qui est une fort plaisante pièce. »
165.
Ses parents prétendirent que ses facultés baissai
Homère et Platon. Il fit un charmant madrigal. Aumônier du roi depuis
1635,
académicien depuis 1655, fort recherché des salon
un charmant madrigal. Aumônier du roi depuis 1635, académicien depuis
1655,
fort recherché des salons qui goûtaient sa paraph
une haute estime de lui-même. « Mon chiffre, disait-il, se compose de
deux
C entrelacés (Charles Cotin), qui forment un cerc
aute estime de lui-même. « Mon chiffre, disait-il, se compose de deux
C
entrelacés (Charles Cotin), qui forment un cercle
mystique, indique le rond de la terre que mes œuvres rempliront. »
166.
Il est clair que Molière ne trace plus un portrai
il peint le soupirant. Le poète seul est représenté d’après nature.
167.
Dans L’Impromptu de Versailles, Molière avait inj
jurieusement nommé Boursault, sans que Louis XIV fronçât le sourcil.
168.
Ses parents prétendirent que ses facultés baissai
Homère et Platon. Il fit un charmant madrigal. Aumônier du roi depuis
1635,
académicien depuis 1655, fort recherché des salon
un charmant madrigal. Aumônier du roi depuis 1635, académicien depuis
1655,
fort recherché des salons qui goûtaient sa paraph
une haute estime de lui-même. « Mon chiffre, disait-il, se compose de
deux
C entrelacés (Charles Cotin), qui forment un cerc
aute estime de lui-même. « Mon chiffre, disait-il, se compose de deux
C
entrelacés (Charles Cotin), qui forment un cercle
mystique, indique le rond de la terre que mes œuvres rempliront. »
169.
Cette pièce se distingue par une gaieté qui n’a r
r lui comme une heure de trêve, parmi ses ennuis et ses souffrances.
170.
[…] Quoi ! Je vous vois, maraude ? Vite, sortez
ns, quittez ces lieux, Et ne vous présentez jamais devant mes yeux.
171.
La femme qui, en tout et partout, veut être l’éga
de l’homme, ne tarde pas à se persuader qu’elle lui est supérieure.
172.
Ne voudrait-elle pas usurper ainsi les préférence
72. Ne voudrait-elle pas usurper ainsi les préférences de sa mère ?
173.
Y a-t-il encore des Bélises ? On peut en douter ;
aires, où Bélise s’appelle Hespérie, et s’écrie : Hier, j’en blessai
trois
d’un regard innocent ; D’un autre plus cruel j’en
trois d’un regard innocent ; D’un autre plus cruel j’en fis mourir un
cent
. Je sens, quand on me parle, une haleine de flamm
ne haleine de flamme. Ceux qui m’osent parler m’adorent en leur âme ;
Mille
viennent par jour se soumettre à ma loi. Je sens
voler autour de moi. Sans cesse des soupirs sifflent à mes oreilles,
Mille
vœux élancés m’entourent comme abeilles. Les pleu
e douleur pressante, Un je brûle d’amour, un hélas ! je me meurs !
174.
Je vous estime autant qu’on saurait estimer ; M
je trouve un obstacle à vous pouvoir aimer. Un cœur, vous le savez, à
deux
ne saurait être. Et je sens que du mien Clitandre
ma tendresse ; Mais on voit que l’Amour se gouverne autrement. (Acte
V
, scène 1.) 175. Vadius ne fait que traverser la
esse ; Mais on voit que l’Amour se gouverne autrement. (Acte V, scène
1.
) 175. Vadius ne fait que traverser la scène. Ma
Mais on voit que l’Amour se gouverne autrement. (Acte V, scène 1.)
175.
Vadius ne fait que traverser la scène. Mais cela
on ne l’oublie pas. Notons qu’il y a des nuances distinctes entre les
deux
pédants. Trissotin est le bel esprit répandu dans
ère, il rappelle les duels homériques des Scaliger et des Scioppius.
176.
Philaminte Et si votre parole à Clitandre est
er son aîné. Chrysale Voilà dans cette affaire un accommodement.
177.
La Bruyère disait d’une femme savante : « C’est u
ce n’est pas une raison pour les abêtir, comme le voulait Arnolphe.
178.
Il y a de l’égoïsme sous cette faiblesse de carac
e mes jeunes amours. Mais ne vous fiez pas à ces bons mouvements.
179.
Elle estime que « la poule ne doit pas chanter de
erais fort bon Qu’avec quelques soufflets il rabaissât mon ton. (Acte
II
, scène 7.) 180. L’amour, dans son transport
bon Qu’avec quelques soufflets il rabaissât mon ton. (Acte II, scène
7.
) 180. L’amour, dans son transport, parle to
’avec quelques soufflets il rabaissât mon ton. (Acte II, scène 7.)
180.
L’amour, dans son transport, parle toujours ai
naire aux enfants qui n’ont jamais été les Benjamins de la famille.
181.
Mais il ne la ferait pas triompher, sans le conco
pièce qui ait le droit de gourmander Chrysale et de lui faire honte.
182.
« Il ne faut pas, disait M. About, qu’on traite u
te un cerveau féminin, comme le mandarin les pieds de sa Chinoise. »
183.
Le demi-savoir est moins dangereux pour la femme
son intelligence, ce n’est pas la tenir : il faut conquérir le cœur.
184.
C’est bien la comédie française par excellence, c
Valet de Chambre Tapissier du Roi, & nâquit à Paris environ l’an
1620.
Il fit ses Humanitez sous les Jésuites au College
celle de l’Etourdi : il l’exposa au public dans la ville de Lion l’an
1653.
S’étant trouvé quelque tems après en Languedoc, i
pour les Etats de Languedoc. Aiant passé le Carnaval à Grenoble l’an
1658,
il vint s’établir à Rouen. Il y sejourna pendant
upe commença de paroître devant leurs Majestez & toute la Cour le
24
d’Octobre 1658, sur un Théatre dressé exprés dans
de paroître devant leurs Majestez & toute la Cour le 24 d’Octobre
1658,
sur un Théatre dressé exprés dans la salle des Ga
ns Italiens. On lui accorda la sale du Palais Roial au mois d’Octobre
1660c
. Moliere obtint une pension de mille francs l’an
u Palais Roial au mois d’Octobre 1660c. Moliere obtint une pension de
mille
francs l’an 1663. Sa troupe fut arrêtée tout-à-fa
mois d’Octobre 1660c. Moliere obtint une pension de mille francs l’an
1663.
Sa troupe fut arrêtée tout-à-fait au service de s
1663. Sa troupe fut arrêtée tout-à-fait au service de sa Majesté l’an
1665,
& il continua jusques à sa mort à donner des
fut Le malade imaginaire. Il en donna la quatriéme représentation le
17
de Février 1673, & mourut le même jour (A). V
imaginaire. Il en donna la quatriéme représentation le 17 de Février
1673,
& mourut le même jour (A). Voilà ce que j’ai
on assûre qu’il savoit cela par expérience autant qu’homme du monde (
C
). Je m’en rapporte à un Livre qui a été imprimé,
iberté d’inventer de nouveaux termes, & de nouvelles expressions (
D
) : il lui échapoit même fort souvent des barbaris
la mort de Moliere la troupe de Comédiens dont il avoit été le Chef (
I
) : cela peut fort servir à faire connoître le mér
rt malade, d’achever son rôle. Voici ce qu’on conte dans sa Vie. « Le
17
Fevrier 16731, jour de la quatriéme représentatio
d’achever son rôle. Voici ce qu’on conte dans sa Vie. « Le 17 Fevrier
16731,
jour de la quatriéme représentation du Malade Ima
meura si foible, qu’on crut qu’il l’étoit effectivement, & on eut
mille
peines à le relever. On lui conseilla pour lors d
e tout ce qu’on fit sur cette mort, rien ne fut plus approuvé que ces
quatre
vers Latins, qu’on a trouvé à propos de conserver
entendissent l’essence des bonnes pensées. Voiez l’Article Amphitryon
6.
(C) On assûre qu’il savoit par expérience les c
dissent l’essence des bonnes pensées. Voiez l’Article Amphitryon 6. (
C
) On assûre qu’il savoit par expérience les chagr
ou qui ont sujet de l’être.] J’ai lu dans un petit Livre imprimé l’an
1688,
que7 l’on a donné moins de louanges à Moliere, qu
té depuis son mary ; cependant on n’en sçait pas bien la verité – – –
8.
Moliere épousa la petite Bejard quelque tems aprè
entre autres la Princesse d’Elide, où sa femme qui joua la Princesse,
9
parut avec tant d’éclat, qu’il eut tout lieu de s
e, & que le Comte de Lauzun devint fou d’elle. On fit appercevoir
10
Moliere, que le grand soin qu’il avoit de plaire
les foiblesses. Moliere, persuadé de sa vertu par ses larmes, lui fit
mille
excuses de son emportement, & lui remontra av
à croire mal, & fort éloignez de juger des choses avec indulgence
11.
Elle recommença bientôt sa vie avec plus d’éclat
Elle recommença bientôt sa vie avec plus d’éclat que jamais – – – – –
12.
« Moliere averti, par des gens mal intentionnez p
enti de semblables delicatesses, n’ont jamais aimé veritablement – – –
15.
N’admirez vous pas que tout ce que j’ai de raison
ration de toute la France & des païs étrangers, il étoit rongé de
mille
chagrins domestiques. Son mariage lui ôtoit &
ocus ; profitez tout le prémier de vos railleries. Il a peut-être dit
mille
fois avec Horace16, j’aimerois mieux passer pour
sprit, & un génie si admiré, & souffrir tant d’inquiétudes. (
D
) Il se donnoit trop de liberté d’inventer de nou
ere dixerit, & tenebras in noctis modum factas noctescere, &c
17.
Au reste, il n’y a point de meilleure forge de no
aupertas, imo egestas sit, nunquam magis quam hodierno die intellexi.
Mille
res inciderunt, cum forte de Platone loqueremur,
fastidio nostro perdidissent. Quis autem ferat in egestate fastidium
23
? Notez en passant la double source que Seneque n
(E) Il lui échappoit – – – – des barbarismes.] J’en pourrois marquer
cent
exemples ; mais je me bornerai à deux, que je tir
arismes.] J’en pourrois marquer cent exemples ; mais je me bornerai à
deux
, que je tire d’une Piece que l’on a mise à la têt
n fait de meilleur en matiere de petits Ouvrages. Considérez bien ces
quatre
Vers : il s’adresse à sa Muse. Vous pourriez ais
divers usages à quoi ils sont destinez, & parce que l’on y trouve
cent
choses que l’on voudroit que l’Auteur eût retranc
rois fait un Livre qui leur eût plu à la vérité, mais qui eût déplu à
cent
autres, & qu’on eût laissé pourrir dans les m
pourrir dans les magazins du Libraire ? La pauvre chose pour lui, que
deux
gros volumes qui ne contiendroient que ce qui peu
uer à Rouen & de là Lyon, où aiant plu au Prince de Conti, &c
35.
Tout le reste de l’Eloge est bien curieux. (I)
nce de Conti, &c 35. Tout le reste de l’Eloge est bien curieux. (
I
) On sera bien aise d’apprendre ce que devint apr
. Elle avoit passé avec raison pour la plus forte de la Campagne. Les
deux
freres Bejar, & du Parc, étoient du nombre de
i fut ouvert, & elle y représenta jusqu’au commencement du Careme
1673.
Moliere étant mort en ce tems-là, il eut quatre C
commencement du Careme 1673. Moliere étant mort en ce tems-là, il eut
quatre
Comédiens de sa troupe qui prirent dans celle de
la rue Mazarine38, & commença à se montrer en public le Dimanche
9
de Juillet 1673 : le Théatre du Palais Roial &
ine38, & commença à se montrer en public le Dimanche 9 de Juillet
1673
: le Théatre du Palais Roial & celui du Marai
le prémier Orateur de la troupe du Palais Roial, résigna cette charge
six
ans avant sa mort au Sieur de la Grange39. a
ez la Remarque (G). c. Voiez la Remarque (H). d. Voiez la Rem. (
C
). e. Voiez la Rem. (C). f. Voiez la II Sati
Voiez la Remarque (H). d. Voiez la Rem. (C). e. Voiez la Rem. (
C
). f. Voiez la II Satire, de Mr. Despreaux. g
oiez la II Satire, de Mr. Despreaux. g. Jugem. sur les Poëtes, Tom.
V
, num. 1520. h. Vous les trouverez au II Tome de
II Satire, de Mr. Despreaux. g. Jugem. sur les Poëtes, Tom. V, num.
1520.
h. Vous les trouverez au II Tome des Observatio
Jugem. sur les Poëtes, Tom. V, num. 1520. h. Vous les trouverez au
II
Tome des Observations de Mr. Menage sur la Langue
II Tome des Observations de Mr. Menage sur la Langue Françoise, pag.
15.
i. Là-même, pag. 12. k. Il se nomme Nicolas
s de Mr. Menage sur la Langue Françoise, pag. 15. i. Là-même, pag.
12.
k. Il se nomme Nicolas di Castelli, & prend
ourg. Il a fait imprimer à Leipsic cette Traduction à ses depens l’an
1698
en 4 vol. in 12. 1. Corrigez dans Moreri 1672.
a fait imprimer à Leipsic cette Traduction à ses depens l’an 1698 en
4
vol. in 12. 1. Corrigez dans Moreri 1672. Je di
primer à Leipsic cette Traduction à ses depens l’an 1698 en 4 vol. in
12.
1. Corrigez dans Moreri 1672. Je dirai par occa
r à Leipsic cette Traduction à ses depens l’an 1698 en 4 vol. in 12.
1.
Corrigez dans Moreri 1672. Je dirai par occasion
ion à ses depens l’an 1698 en 4 vol. in 12. 1. Corrigez dans Moreri
1672.
Je dirai par occasion qu’au même Article il faut
ar occasion qu’au même Article il faut Polixene, & non Polixeme,
2.
Vie de Moliere, à la tête de ses Oeuvres : je me
ere, à la tête de ses Oeuvres : je me sers de l’Edition de Brusselles
1694.
3. Voiez le Livre intitulé, La fameuse Comedie
a tête de ses Oeuvres : je me sers de l’Edition de Brusselles 1694.
3.
Voiez le Livre intitulé, La fameuse Comedienne,
Histoire de la Guerin. auparavant femme & veuve de Moliere, pag.
38,
39. 4. Vie de Moliere, folio 3. 5. Elle est da
toire de la Guerin. auparavant femme & veuve de Moliere, pag. 38,
39.
4. Vie de Moliere, folio 3. 5. Elle est dans l
de la Guerin. auparavant femme & veuve de Moliere, pag. 38, 39.
4.
Vie de Moliere, folio 3. 5. Elle est dans le I
femme & veuve de Moliere, pag. 38, 39. 4. Vie de Moliere, folio
3.
5. Elle est dans le I Tome du Mercure Galant de
me & veuve de Moliere, pag. 38, 39. 4. Vie de Moliere, folio 3.
5.
Elle est dans le I Tome du Mercure Galant de 167
iere, pag. 38, 39. 4. Vie de Moliere, folio 3. 5. Elle est dans le
I
Tome du Mercure Galant de 1673. On y trouve plusi
e Moliere, folio 3. 5. Elle est dans le I Tome du Mercure Galant de
1673.
On y trouve plusieurs autres Pieces semblables, a
Pieces semblables, avec une Oraison funebre en prose un peu badine.
6.
Remarq. (B). 7. Histoire de la Guerin auparava
avec une Oraison funebre en prose un peu badine. 6. Remarq. (B).
7.
Histoire de la Guerin auparavant femme & veuv
. Histoire de la Guerin auparavant femme & veuve de Moliere, pag.
6.
8. Là-même, pag. 12. 9. Là-même, pag. 13. 10
stoire de la Guerin auparavant femme & veuve de Moliere, pag. 6.
8.
Là-même, pag. 12. 9. Là-même, pag. 13. 10. L
n auparavant femme & veuve de Moliere, pag. 6. 8. Là-même, pag.
12.
9. Là-même, pag. 13. 10. Là-même, pag. 16. 1
aravant femme & veuve de Moliere, pag. 6. 8. Là-même, pag. 12.
9.
Là-même, pag. 13. 10. Là-même, pag. 16. 11.
; veuve de Moliere, pag. 6. 8. Là-même, pag. 12. 9. Là-même, pag.
13.
10. Là-même, pag. 16. 11. Là-même, pag. 18.
ve de Moliere, pag. 6. 8. Là-même, pag. 12. 9. Là-même, pag. 13.
10.
Là-même, pag. 16. 11. Là-même, pag. 18. 12.
6. 8. Là-même, pag. 12. 9. Là-même, pag. 13. 10. Là-même, pag.
16.
11. Là-même, pag. 18. 12. Là-même, pag. 19.
8. Là-même, pag. 12. 9. Là-même, pag. 13. 10. Là-même, pag. 16.
11.
Là-même, pag. 18. 12. Là-même, pag. 19. 13.
2. 9. Là-même, pag. 13. 10. Là-même, pag. 16. 11. Là-même, pag.
18.
12. Là-même, pag. 19. 13. C’étoit une Comedi
. Là-même, pag. 13. 10. Là-même, pag. 16. 11. Là-même, pag. 18.
12.
Là-même, pag. 19. 13. C’étoit une Comedienne
10. Là-même, pag. 16. 11. Là-même, pag. 18. 12. Là-même, pag.
19.
13. C’étoit une Comedienne de la Troupe que Mol
Là-même, pag. 16. 11. Là-même, pag. 18. 12. Là-même, pag. 19.
13.
C’étoit une Comedienne de la Troupe que Moliere
fut aimé, & l’attira dans sa Troupe. Histoire de la Guerin, pag.
8.
14. Hist. de la Guerin. pag. 28. 15. Là-même, p
aimé, & l’attira dans sa Troupe. Histoire de la Guerin, pag. 8.
14.
Hist. de la Guerin. pag. 28. 15. Là-même, pag. 3
Troupe. Histoire de la Guerin, pag. 8. 14. Hist. de la Guerin. pag.
28.
15. Là-même, pag. 30. 16. Prætulerim scriptor
pe. Histoire de la Guerin, pag. 8. 14. Hist. de la Guerin. pag. 28.
15.
Là-même, pag. 30. 16. Prætulerim scriptor deli
Guerin, pag. 8. 14. Hist. de la Guerin. pag. 28. 15. Là-même, pag.
30.
16. Prætulerim scriptor delirus inersque vider
in, pag. 8. 14. Hist. de la Guerin. pag. 28. 15. Là-même, pag. 30.
16.
Prætulerim scriptor delirus inersque videri, Du
l denique fallant, Quam sapere, & ringi. Horat. Libro II, Epist.
II
, Vers. 125. 17. Aulus Gellius, Libr. XVIII, Cap.
fallant, Quam sapere, & ringi. Horat. Libro II, Epist. II, Vers.
125.
17. Aulus Gellius, Libr. XVIII, Cap. XI, pag. m.
t, Quam sapere, & ringi. Horat. Libro II, Epist. II, Vers. 125.
17.
Aulus Gellius, Libr. XVIII, Cap. XI, pag. m. 494.
gi. Horat. Libro II, Epist. II, Vers. 125. 17. Aulus Gellius, Libr.
XVIII
, Cap. XI, pag. m. 494. 495. 18. Vossius Institut
Libro II, Epist. II, Vers. 125. 17. Aulus Gellius, Libr. XVIII, Cap.
XI
, pag. m. 494. 495. 18. Vossius Institut. Orator.
ist. II, Vers. 125. 17. Aulus Gellius, Libr. XVIII, Cap. XI, pag. m.
494.
495. 18. Vossius Institut. Orator. Libro IV, Cap
II, Vers. 125. 17. Aulus Gellius, Libr. XVIII, Cap. XI, pag. m. 494.
495.
18. Vossius Institut. Orator. Libro IV, Cap. I,
rs. 125. 17. Aulus Gellius, Libr. XVIII, Cap. XI, pag. m. 494. 495.
18.
Vossius Institut. Orator. Libro IV, Cap. I, pag.
. XI, pag. m. 494. 495. 18. Vossius Institut. Orator. Libro IV, Cap.
I
, pag. m. 442. 19. Theophile Raynaud, de malis ac
m. 494. 495. 18. Vossius Institut. Orator. Libro IV, Cap. I, pag. m.
442.
19. Theophile Raynaud, de malis ac bonis Libris,
. 495. 18. Vossius Institut. Orator. Libro IV, Cap. I, pag. m. 442.
19.
Theophile Raynaud, de malis ac bonis Libris, num.
, pag. m. 442. 19. Theophile Raynaud, de malis ac bonis Libris, num.
427,
pag. m. 428, en cite un grand nombre. 20. Arnau
. 19. Theophile Raynaud, de malis ac bonis Libris, num. 427, pag. m.
428,
en cite un grand nombre. 20. Arnaud, Préface de
is ac bonis Libris, num. 427, pag. m. 428, en cite un grand nombre.
20.
Arnaud, Préface de la V Dénonciation du Péché Phi
27, pag. m. 428, en cite un grand nombre. 20. Arnaud, Préface de la
V
Dénonciation du Péché Philosophique. 21. Lucreti
. 20. Arnaud, Préface de la V Dénonciation du Péché Philosophique.
21.
Lucretius, Libro I, Vers. 137. 22. Idem, ibidem
V Dénonciation du Péché Philosophique. 21. Lucretius, Libro I, Vers.
137.
22. Idem, ibidem, Vers. 830. 23. Seneca, Epist
nciation du Péché Philosophique. 21. Lucretius, Libro I, Vers. 137.
22.
Idem, ibidem, Vers. 830. 23. Seneca, Epistola L
phique. 21. Lucretius, Libro I, Vers. 137. 22. Idem, ibidem, Vers.
830.
23. Seneca, Epistola LVIII, init. pag. m. 266.
. 21. Lucretius, Libro I, Vers. 137. 22. Idem, ibidem, Vers. 830.
23.
Seneca, Epistola LVIII, init. pag. m. 266. 24.
Idem, ibidem, Vers. 830. 23. Seneca, Epistola LVIII, init. pag. m.
266.
24. Voiez Pline le jeune, Epist. XVIII, Libri I
, ibidem, Vers. 830. 23. Seneca, Epistola LVIII, init. pag. m. 266.
24.
Voiez Pline le jeune, Epist. XVIII, Libri IV. 2
Epistola LVIII, init. pag. m. 266. 24. Voiez Pline le jeune, Epist.
XVIII
, Libri IV. 25. C’est comme à l’égard des produc
it. pag. m. 266. 24. Voiez Pline le jeune, Epist. XVIII, Libri IV.
25.
C’est comme à l’égard des productions de la natu
productions de la nature, où generatio unius est corruptio alterius.
26.
C’est-à-dire, votre compliment. 27. Livre sans
unius est corruptio alterius. 26. C’est-à-dire, votre compliment.
27.
Livre sans nom, divisé en V Dialogues, imprimé à
26. C’est-à-dire, votre compliment. 27. Livre sans nom, divisé en
V
Dialogues, imprimé à Paris, & en Hollande l’a
s nom, divisé en V Dialogues, imprimé à Paris, & en Hollande l’an
1695,
à la pag. 6 de l’Edition de Hollande. 28. C’es
V Dialogues, imprimé à Paris, & en Hollande l’an 1695, à la pag.
6
de l’Edition de Hollande. 28. C’est la VII.
& en Hollande l’an 1695, à la pag. 6 de l’Edition de Hollande.
28.
C’est la VII. 29. C’est la II. Comedie de Mo
ande l’an 1695, à la pag. 6 de l’Edition de Hollande. 28. C’est la
VII
. 29. C’est la II. Comedie de Moliere. 30. De
an 1695, à la pag. 6 de l’Edition de Hollande. 28. C’est la VII.
29.
C’est la II. Comedie de Moliere. 30. Despreaux
pag. 6 de l’Edition de Hollande. 28. C’est la VII. 29. C’est la
II
. Comedie de Moliere. 30. Despreaux, Art Poëtiqu
lande. 28. C’est la VII. 29. C’est la II. Comedie de Moliere.
30.
Despreaux, Art Poëtique, Chant III, vs. 391 &
C’est la II. Comedie de Moliere. 30. Despreaux, Art Poëtique, Chant
III
, vs. 391 & suiv. 31. Livre sans Nom, pag. 4
II. Comedie de Moliere. 30. Despreaux, Art Poëtique, Chant III, vs.
391
& suiv. 31. Livre sans Nom, pag. 4 & 5.
liere. 30. Despreaux, Art Poëtique, Chant III, vs. 391 & suiv.
31.
Livre sans Nom, pag. 4 & 5. 32. Pesez bien
t Poëtique, Chant III, vs. 391 & suiv. 31. Livre sans Nom, pag.
4
& 5. 32. Pesez bien ces paroles de Terence
ue, Chant III, vs. 391 & suiv. 31. Livre sans Nom, pag. 4 &
5.
32. Pesez bien ces paroles de Terence au Prolog
Chant III, vs. 391 & suiv. 31. Livre sans Nom, pag. 4 & 5.
32.
Pesez bien ces paroles de Terence au Prologue de
abulas. Observation générale contre les Censeurs de ce Dictionaire.
33.
Qu’il me soit permis d’appeller ainsi les plus r
r rapport au goût du petit nombre, ou de l’élite des Beaux-Esprits.
34.
Quam multis rebus ego non egeo ! combien y a-t-i
disoit-il, dont je n’ai que faire ! Vide Erasmum in Apophth. pag. m.
168
35. Intendant de Justice & de Marine. 35.
it-il, dont je n’ai que faire ! Vide Erasmum in Apophth. pag. m. 168
35.
Intendant de Justice & de Marine. 35. Perr
in Apophth. pag. m. 168 35. Intendant de Justice & de Marine.
35.
Perrault, Hommes illustres, pag. 79. 37. Elle f
nt de Justice & de Marine. 35. Perrault, Hommes illustres, pag.
79.
37. Elle fut établie l’an 1620, sous le titre d
Justice & de Marine. 35. Perrault, Hommes illustres, pag. 79.
37.
Elle fut établie l’an 1620, sous le titre de la
35. Perrault, Hommes illustres, pag. 79. 37. Elle fut établie l’an
1620,
sous le titre de la troupe du Roi. 38. Dite au
37. Elle fut établie l’an 1620, sous le titre de la troupe du Roi.
38.
Dite autrement des fossez de Nesle. 39. Titré
tre de la troupe du Roi. 38. Dite autrement des fossez de Nesle.
39.
Titré d’un Livre intitulé Le Theatre François. M
e jugement qui fait son suprême mérite aux yeux des amis des lettres.
Deux
siècles de postérité, deux des siècles les plus p
rême mérite aux yeux des amis des lettres. Deux siècles de postérité,
deux
des siècles les plus polis, les plus littéraires,
rite attrayant d’être un des types les plus purs de l’esprit français
2
. Mais, si consacrée que soit une gloire, nous n’
ui-là les joies de l’adultère15 ? Pour d’autres pièces, comme l’Avare
16
ou le Festin de Pierre 17, ne faudrait-il pas avo
ère15 ? Pour d’autres pièces, comme l’Avare 16 ou le Festin de Pierre
17,
ne faudrait-il pas avouer que le sublime talent d
alpitante de vie et de passion26 tous les traits divers ramassés dans
mille
personnages, le plus puissant à imposer l’approba
ile ; car Molière était un habile homme. Sans doute, ce contemplateur
29
de l’humanité portait un jugement précis sur ce q
de l’esprit, d’être bourru comme Alceste ou indulgent comme Philinte
30,
sans s’apercevoir que, dans chaque drame, divers
Que pense-t-il, lui, d’Alceste et de Philinte, et quel est entre eux
deux
le modèle idéal qu’il rêve ? Quels sont ses princ
nce, et il savait qu’en France c’est au peuple qu’on doit parler34.
1.
Sur l’influence et la popularité de Molière, non-
voir A. Legrelle, Holberg considéré comme imitateur de Molière, chap.
I
, 1. 2. D. Nisard, Histoire de la Littérature fra
r A. Legrelle, Holberg considéré comme imitateur de Molière, chap. I,
1.
2. D. Nisard, Histoire de la Littérature françai
Legrelle, Holberg considéré comme imitateur de Molière, chap. I, 1.
2.
D. Nisard, Histoire de la Littérature française,
grelle, Holberg considéré comme imitateur de Molière, chap. I, 1. 2.
D.
Nisard, Histoire de la Littérature française, liv
chap. I, 1. 2. D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv.
I
, chap. i, § 2, 3, 4, 5. 3. « Mon esprit se refu
. D. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap. i, §
2,
3, 4, 5. 3. « Mon esprit se refuse à convenir q
. Nisard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap. i, § 2,
3,
4, 5. 3. « Mon esprit se refuse à convenir que
isard, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap. i, § 2, 3,
4,
5. 3. « Mon esprit se refuse à convenir que l’o
rd, Histoire de la Littérature française, liv. I, chap. i, § 2, 3, 4,
5.
3. « Mon esprit se refuse à convenir que l’on d
Histoire de la Littérature française, liv. I, chap. i, § 2, 3, 4, 5.
3.
« Mon esprit se refuse à convenir que l’on doive
se au remerciement de M. Gustave d’Hugues (Académie des jeux Floraux,
1866
). 4. C’est l’opinion de Molière : « Je voudrois
merciement de M. Gustave d’Hugues (Académie des jeux Floraux, 1866).
4.
C’est l’opinion de Molière : « Je voudrois bien s
n’a pas suivi un bon chemin. » La Critique de l’École des Femmes, sc.
VII
. — En fait, la sculpture, la peinture, la musique
ntées, n’ont d’autre but que de plaire, même au risque de corrompre.
5.
Voir M. Raynaud, Les Médecins au temps de Molière
rrompre. 5. Voir M. Raynaud, Les Médecins au temps de Molière, chap.
VII
. 6. Voir les Placets au sujet du Tartuffe et la
e. 5. Voir M. Raynaud, Les Médecins au temps de Molière, chap. VII.
6.
Voir les Placets au sujet du Tartuffe et la Préfa
oir les Placets au sujet du Tartuffe et la Préface de la même pièce.
7.
Voir la Préface des Deux Sœurs de M. E. de Girard
t du Tartuffe et la Préface de la même pièce. 7. Voir la Préface des
Deux
Sœurs de M. E. de Girardin. 8. On ne cite ici qu
même pièce. 7. Voir la Préface des Deux Sœurs de M. E. de Girardin.
8.
On ne cite ici que ceux qui ont parlé de Molière
ne cite ici que ceux qui ont parlé de Molière à ce point de vue. Dès
1696,
Perrault, dans Les Hommes illustres qui ont paru
ité pour bien des gens. » — De Cailhava, De l’Art de la Comédie, liv.
II
, chap. XLIII, Du but moral : « Molière travaille
ien des gens. » — De Cailhava, De l’Art de la Comédie, liv. II, chap.
XLIII
, Du but moral : « Molière travaille à rendre les
hommes meilleurs. » — Laharpe, Cours de Littérature, IIe partie, liv.
I
, chap. VI, section 1 : « Molière est certainement
illeurs. » — Laharpe, Cours de Littérature, IIe partie, liv. I, chap.
VI
, section 1 : « Molière est certainement le premie
Laharpe, Cours de Littérature, IIe partie, liv. I, chap. VI, section
1
: « Molière est certainement le premier des philo
érience, etc. » — Auger, Discours préliminaire aux Œuvres de Molière (
1819
) : « Le but de la comédie est de corriger, son mo
t de corriger, son moyen est de faire rire. »— Goldoni, Molière, act.
I
, sc. VI, et act. IV, sc. X : « Molière est un sag
rriger, son moyen est de faire rire. »— Goldoni, Molière, act. I, sc.
VI
, et act. IV, sc. X : « Molière est un sage… Grand
moyen est de faire rire. »— Goldoni, Molière, act. I, sc. VI, et act.
IV
, sc. X : « Molière est un sage… Grand homme, qui
t de faire rire. »— Goldoni, Molière, act. I, sc. VI, et act. IV, sc.
X
: « Molière est un sage… Grand homme, qui a reçu
ller les bords du vase, nous mène à la vertu par le plaisir même. »
9.
« Si l’emploi de la comédie est de corriger l
dans tout Molière, l’idée que la comédie puisse avoir un but moral.
10.
Peut-être aurait-on trouvé des idées de ce genre
n jour sur ses pièces, comme il le dit dans la Préface des Fâcheux.
11.
Préface du Tartuffe. — « Il ne me soucie guère q
se au remerciement de M. Gustave d’Hugues (Académie des jeux Floraux,
1866
). 12. Voir plus loin, chap. III, p. 43. 13. Le
merciement de M. Gustave d’Hugues (Académie des jeux Floraux, 1866).
12.
Voir plus loin, chap. III, p. 43. 13. Le Bourge
’Hugues (Académie des jeux Floraux, 1866). 12. Voir plus loin, chap.
III
, p. 43. 13. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, s
émie des jeux Floraux, 1866). 12. Voir plus loin, chap. III, p. 43.
13.
Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. I. 14. Br
oir plus loin, chap. III, p. 43. 13. Le Bourgeois gentilhomme, act.
I
, sc. I. 14. Brécourt, L’Ombre de Molière, sc. IX
s loin, chap. III, p. 43. 13. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc.
I
. 14. Brécourt, L’Ombre de Molière, sc. IX. 15.
in, chap. III, p. 43. 13. Le Bourgeois gentilhomme, act. I, sc. I.
14.
Brécourt, L’Ombre de Molière, sc. IX. 15. Voir p
is gentilhomme, act. I, sc. I. 14. Brécourt, L’Ombre de Molière, sc.
IX
. 15. Voir plus loin, ch. IX. 16. Id., chap. II
ntilhomme, act. I, sc. I. 14. Brécourt, L’Ombre de Molière, sc. IX.
15.
Voir plus loin, ch. IX. 16. Id., chap. II, p. 3
. 14. Brécourt, L’Ombre de Molière, sc. IX. 15. Voir plus loin, ch.
IX
. 16. Id., chap. II, p. 33. 17. Id., chap. II,
. Brécourt, L’Ombre de Molière, sc. IX. 15. Voir plus loin, ch. IX.
16.
Id., chap. II, p. 33. 17. Id., chap. II, p. 22
bre de Molière, sc. IX. 15. Voir plus loin, ch. IX. 16. Id., chap.
II
, p. 33. 17. Id., chap. II, p. 22. 18. « Il ne
re, sc. IX. 15. Voir plus loin, ch. IX. 16. Id., chap. II, p. 33.
17.
Id., chap. II, p. 22. 18. « Il ne dit point ma
Voir plus loin, ch. IX. 16. Id., chap. II, p. 33. 17. Id., chap.
II
, p. 22. 18. « Il ne dit point ma haire et ma di
oin, ch. IX. 16. Id., chap. II, p. 33. 17. Id., chap. II, p. 22.
18.
« Il ne dit point ma haire et ma discipline, au
e paroître ce qu’il est. » La Bruyère, Les Caractères, De la Mode.
19.
Ce manque de vérité et même quelquefois de vra
bandonner le vraisemblable. » Fénelon, Lettre à l’Académie-françoise,
VII
. — C’est son amour absolu du vrai qui a fait dire
, Il n’eut point fait souvent grimacer ses figures. Art poétique,
III
, 393.
Il n’eut point fait souvent grimacer ses figures. Art poétique, III,
393.
le juge, le prince on le roi. » Préface des Précieuses ridicules.
20.
Dénouement du Festin de Pierre. 21. Dénouement
ce des Précieuses ridicules. 20. Dénouement du Festin de Pierre.
21.
Dénouement du Tartuffe. 22. Voir plus loin, cha
20. Dénouement du Festin de Pierre. 21. Dénouement du Tartuffe.
22.
Voir plus loin, chap. XI. 23. Le Bourgeois gent
de Pierre. 21. Dénouement du Tartuffe. 22. Voir plus loin, chap.
XI
. 23. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.VI
ierre. 21. Dénouement du Tartuffe. 22. Voir plus loin, chap. XI.
23.
Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.VI 24. L
22. Voir plus loin, chap. XI. 23. Le Bourgeois gentilhomme, act.
II
, sc.VI 24. L’Impromptu de Versailles, sc. III.
plus loin, chap. XI. 23. Le Bourgeois gentilhomme, act. II, sc.VI
24.
L’Impromptu de Versailles, sc. III. Comparez à c
eois gentilhomme, act. II, sc.VI 24. L’Impromptu de Versailles, sc.
III
. Comparez à celte déclaration celle de la Critiqu
z à celte déclaration celle de la Critique de l’École des Femmes, sc.
VII
, déjà citée p. 4, note 1. On retrouve les mêmes i
de la Critique de l’École des Femmes, sc. VII, déjà citée p. 4, note
1.
On retrouve les mêmes idées dans le Discours au R
mplement à offrir un divertissement innocent (Voir plus haut, p. 7).
25.
« Jusque-là, il y avoit eu de l’esprit et de la
ce pendant le dix-septième siècle, article J.-B. Poquelin de Molière (
1696
). 26. « Il a eu encore le don de distribuer
nt le dix-septième siècle, article J.-B. Poquelin de Molière (1696).
26.
« Il a eu encore le don de distribuer si bien
ls représentoient. » Perrault, Les Hommes illustres, art. Molière.
27.
Sainte-Beuve, Port-Royal, liv. III, chap. XV et X
Hommes illustres, art. Molière. 27. Sainte-Beuve, Port-Royal, liv.
III
, chap. XV et XVI. 28. Gassendi, saint prêtre et
ustres, art. Molière. 27. Sainte-Beuve, Port-Royal, liv. III, chap.
XV
et XVI. 28. Gassendi, saint prêtre et éminent ph
, art. Molière. 27. Sainte-Beuve, Port-Royal, liv. III, chap. XV et
XVI
. 28. Gassendi, saint prêtre et éminent philosoph
Molière. 27. Sainte-Beuve, Port-Royal, liv. III, chap. XV et XVI.
28.
Gassendi, saint prêtre et éminent philosophe, n’a
récié par Goldoni, qui fait dire à Chapelle : « Nous avons suivi tous
deux
ensemble les leçons de Gassendi. Il faut avouer q
ouer que ce grand homme a bien perdu sa peine ; il a fait là vraiment
deux
fameux élèves. » Molière, act. III, sc. I. — Rema
sa peine ; il a fait là vraiment deux fameux élèves. » Molière, act.
III
, sc. I. — Remarquez d’ailleurs que c’est par la p
; il a fait là vraiment deux fameux élèves. » Molière, act. III, sc.
I
. — Remarquez d’ailleurs que c’est par la pédante
fait approuver la philosophie atomistique (Les Femmes savantes, act.
III
, sc. II). — Voir plus loin, sur la question de Ga
rouver la philosophie atomistique (Les Femmes savantes, act. III, sc.
II
). — Voir plus loin, sur la question de Gassendi,
t. III, sc. II). — Voir plus loin, sur la question de Gassendi, chap.
XI
. 29. C’est Boileau qui dans l’intimité donnait c
I, sc. II). — Voir plus loin, sur la question de Gassendi, chap. XI.
29.
C’est Boileau qui dans l’intimité donnait ce surn
29. C’est Boileau qui dans l’intimité donnait ce surnom à son ami.
30.
« Un autre défaut de Molière, que beaucoup de ge
cule et odieuse à la vertu. » Fénelon, Lettre à l’Académie françoise,
VII
. — Voir aussi J.-J. Rousseau, Lettre à d’Alembert
u, Lettre à d’Alembert sur les Spectacles, plus loin, chap. Il1, page
44,
note 1. — « Oui, Molière a tourné l’honnêteté pur
à d’Alembert sur les Spectacles, plus loin, chap. Il1, page 44, note
1.
— « Oui, Molière a tourné l’honnêteté pure et sim
in ; il a voulu humilier la Bourgeoisie. » Mercier, Du théâtre, chap.
VII
. 31. Il résulte de tous les témoignages contempo
l a voulu humilier la Bourgeoisie. » Mercier, Du théâtre, chap. VII.
31.
Il résulte de tous les témoignages contemporains
es témoignages contemporains que c’est le parterre, qui coûtait alors
quinze
sols (Boileau, Sat. IX, v. 177), qui applaudissai
s que c’est le parterre, qui coûtait alors quinze sols (Boileau, Sat.
IX
, v. 177), qui applaudissait le plus franchement M
’est le parterre, qui coûtait alors quinze sols (Boileau, Sat. IX, v.
177
), qui applaudissait le plus franchement Molière ;
; et Boileau lui reproche d’avoir été trop ami du peuple (Art poét.,
III
, v. 395) ; mais Boileau était de l’aristocratie d
ileau lui reproche d’avoir été trop ami du peuple (Art poét., III, v.
395
) ; mais Boileau était de l’aristocratie de l’espr
e La Bruyère de Walckenaer, Remarques et éclaircissements, p. 161, n°
38.
32. « Je me souviens que Molière m’a montré plu
Bruyère de Walckenaer, Remarques et éclaircissements, p. 161, n° 38.
32.
« Je me souviens que Molière m’a montré plusieur
oileau, Réflexions critiques sur quelques passages du rhéteur Longin,
I
. 33. A. de Musset, Namouna, chant II, st. 10. 3
au, Réflexions critiques sur quelques passages du rhéteur Longin, I.
33.
A. de Musset, Namouna, chant II, st. 10. 34. Voi
ques passages du rhéteur Longin, I. 33. A. de Musset, Namouna, chant
II
, st. 10. 34. Voir plus loin, chap. X.
sages du rhéteur Longin, I. 33. A. de Musset, Namouna, chant II, st.
10.
34. Voir plus loin, chap. X.
du rhéteur Longin, I. 33. A. de Musset, Namouna, chant II, st. 10.
34.
Voir plus loin, chap. X.
. A. de Musset, Namouna, chant II, st. 10. 34. Voir plus loin, chap.
X.
Chapitre
XXX
Années 1673 (suite de la huitième période) — M
Chapitre XXX Années
1673
(suite de la huitième période) — Mort de Molière.
. — Madame Scarron commence à voir quelques amies. — Légitimation des
trois
bâtards du roi. Le commencement de l’année 1673
— Légitimation des trois bâtards du roi. Le commencement de l’année
1673
fut marqué par la mort de Molière, arrivée le 17
ncement de l’année 1673 fut marqué par la mort de Molière, arrivée le
17
février. Cet événement fut au nombre de ceux qui
événement fut au nombre de ceux qui concoururent, dans la période de
1670
à 1680, à opérer de grands changements dans la si
ent fut au nombre de ceux qui concoururent, dans la période de 1670 à
1680,
à opérer de grands changements dans la situation,
rs de la fortune qui favorisait madame Scarron. Dans cette même année
1673,
sa situation éprouva un nouveau changement : mada
ouveau changement : madame de Coulanges écrit à madame de Sévigné, le
20
mars : « Nous avons enfin retrouvé madame Scarron
u’elle n’en ait pas davantage. Je suis assurée que vous trouverez que
2
000 écus de pension sont médiocres. J’en conviens
elle n’en ait pas davantage. Je suis assurée que vous trouverez que 2
000
écus de pension sont médiocres. J’en conviens ; m
er espérer d’autres grâces. Le roi vit l’état des pensions, il trouva
2
000 liv. pour madame Scarron. Il les raya et mit
espérer d’autres grâces. Le roi vit l’état des pensions, il trouva 2
000
liv. pour madame Scarron. Il les raya et mit 2 00
ensions, il trouva 2 000 liv. pour madame Scarron. Il les raya et mit
2
000 écus. » Il est évident que ce certain homme
sions, il trouva 2 000 liv. pour madame Scarron. Il les raya et mit 2
000
écus. » Il est évident que ce certain homme c’ét
ue l’effusion de la reconnaissance qu’elle ressentait sûrement. « Les
2
000 écus sont au-dessus de mon mérite, dit-elle,
l’effusion de la reconnaissance qu’elle ressentait sûrement. « Les 2
000
écus sont au-dessus de mon mérite, dit-elle, mais
age précaution d’une femme intacte contre des soupçons offensants. Le
1er
septembre 1673, madame de Sévigné écrit à sa fill
d’une femme intacte contre des soupçons offensants. Le 1er septembre
1673,
madame de Sévigné écrit à sa fille : « J’ai soupé
carron, madame de Sévigné, sa fille, et leur société. Le jour de Noël
1673,
la même à la même : « Rien n’est changé dans ce q
é dans ce qu’il y a de principal dans le pays. Madame de Coulanges et
deux
ou trois amies sont allées voir le dégel (madame
e qu’il y a de principal dans le pays. Madame de Coulanges et deux ou
trois
amies sont allées voir le dégel (madame Scarron)
médiocrité s’était changée en une condition plus douce. La visite des
deux
ou trois amies suppose que le mystère dont le roi
té s’était changée en une condition plus douce. La visite des deux ou
trois
amies suppose que le mystère dont le roi et madam
eurs enfants, s’était éclairci quelque peu, dans l’intervalle de mars
1670
au milieu de 1671. La liaison des deux amants éta
ait éclairci quelque peu, dans l’intervalle de mars 1670 au milieu de
1671.
La liaison des deux amants était devenue, par le
peu, dans l’intervalle de mars 1670 au milieu de 1671. La liaison des
deux
amants était devenue, par le nombre de leurs enfa
nts était devenue, par le nombre de leurs enfants, qui était alors de
quatre
, une espèce de mariage avoué ; c’était une bigami
ait augmenté de son propre mouvement sa pension, et l’avait portée de
2
000 à 6 000 livres. Il avait placé le frère de ma
t augmenté de son propre mouvement sa pension, et l’avait portée de 2
000
à 6 000 livres. Il avait placé le frère de madame
enté de son propre mouvement sa pension, et l’avait portée de 2 000 à
6
000 livres. Il avait placé le frère de madame Sca
té de son propre mouvement sa pension, et l’avait portée de 2 000 à 6
000
livres. Il avait placé le frère de madame Scarron
ante. Une lettre que madame Scarron écrit à son frère, de Tournay, le
16
juin 1673 (elle était alors en chemin avec le duc
e lettre que madame Scarron écrit à son frère, de Tournay, le 16 juin
1673
(elle était alors en chemin avec le duc du Maine
. Il est constant, par une lettre de madame de Sévigné à sa fille, du
7
août 1675, qu’à peu près à la même époque de l’an
t constant, par une lettre de madame de Sévigné à sa fille, du 7 août
1675,
qu’à peu près à la même époque de l’année 1673, m
à sa fille, du 7 août 1675, qu’à peu près à la même époque de l’année
1673,
madame de Montespan et madame Scarron étaient en
ntespan et madame Scarron étaient en guerre ouverte. « Depuis près de
deux
ans, dit-elle, cette belle amitié (de mesdames de
our l’amour d’elle. » (Ceci peut se rapporter au voyage de Tournay de
1673,
ou à celui de Barèges de 1675), « Elle rend compt
t se rapporter au voyage de Tournay de 1673, ou à celui de Barèges de
1675
), « Elle rend compte à l’un et point à l’autre. O
r cette glorieuse. » Tout ce que madame de Sévigné dit, au milieu de
1675,
des griefs de madame de Montespan, s’applique éga
adame de Montespan, s’applique également à cette époque et à celle de
1673,
puisqu’elle a dessein d’expliquer d’où vient cett
73, puisqu’elle a dessein d’expliquer d’où vient cette brouillerie de
deux
ans. Il me semble donc clair que, en 1673, la jal
vient cette brouillerie de deux ans. Il me semble donc clair que, en
1673,
la jalousie de madame de Montespan était en plein
nous avons déjà vues de madame de Sévigné à sa fille. Vers la fin de
1671,
non seulement la bigamie du roi n’était plus un m
arlement des lettres de légitimation au duc du Maine, âgé de moins de
quatre
ans ; au comte de Vexin, âgé d’environ trois ans
Maine, âgé de moins de quatre ans ; au comte de Vexin, âgé d’environ
trois
ans ; et à mademoiselle de Nantes, qui fut depuis
selle de Nantes, qui fut depuis madame la duchesse (seconde), âgée de
deux
ans. Les deux fils furent, en conséquence, qualif
s, qui fut depuis madame la duchesse (seconde), âgée de deux ans. Les
deux
fils furent, en conséquence, qualifiés de princes
deux fils furent, en conséquence, qualifiés de princes. Plus tard en
1680,
des lettres patentes ordonnèrent qu’ils porteraie
econnaissance et la jalousie la plus ombrageuse et la mieux fondée.
94.
Les termes dont se sert madame de Coulanges se re
onne compagnie, et cependant elle veut toujours bien nous regarder !
95.
Je lis dans la notice d’Auger sur madame d’Heudic
ans la notice d’Auger sur madame d’Heudicourt. (Lettres de Maint., t.
I
, p. 14) : « La marquise d’Heudicourt était la com
tôt pour la sœur de ces petits princes, tantôt pour leur cousine. »
96.
Edition de 1778, t. I, p. 95. 97. Mémoires, t.
r de ces petits princes, tantôt pour leur cousine. » 96. Edition de
1778,
t. I, p. 95. 97. Mémoires, t. XI, p. 216.
petits princes, tantôt pour leur cousine. » 96. Edition de 1778, t.
I
, p. 95. 97. Mémoires, t. XI, p. 216.
ces, tantôt pour leur cousine. » 96. Edition de 1778, t. I, p. 95.
97.
Mémoires, t. XI, p. 216.
eur cousine. » 96. Edition de 1778, t. I, p. 95. 97. Mémoires, t.
XI
, p. 216.
en est une—la profession d’avocat — qu’il a laissée de côté ? A peine
trois
ou quatre fois le mot est-il prononcé1, et dans l
e—la profession d’avocat — qu’il a laissée de côté ? A peine trois ou
quatre
fois le mot est-il prononcé1, et dans le seul pas
fois le mot est-il prononcé1, et dans le seul passage où Molière met
deux
avocats en scène, c’est pour les faire parler l’u
e sont point les médecins qu’il joue, mais le ridicule de la médecine
4.
» Or, il aurait bien pu faire rire aux dépens de
ouvellent à chaque instant la scène de M. Desfonandrès et de M. Tomès
5
? Tout cela ne vient pas des individus, mais bien
plains même d’avoir écouté de belles choses qu’il n’a point faites
7
. » Et, de vrai, cela se comprend dans une carriè
oraires ruineux; en voici un qui plaide indifféremment toutes causes
8.
Eh ! Qu’importe ! Ne sont-ce pas là des reproches
oi Molière n’a pas joué la profession d’avocat. Citations (Note
1,
page 5. ) L’Étourdi, acte V, scène IV. La procès
re n’a pas joué la profession d’avocat. Citations (Note 1, page
5.
) L’Étourdi, acte V, scène IV. La procès il faut
fession d’avocat. Citations (Note 1, page 5. ) L’Étourdi, acte
V
, scène IV. La procès il faut rien, il coûter tant
’avocat. Citations (Note 1, page 5. ) L’Étourdi, acte V, scène
IV
. La procès il faut rien, il coûter tant t’archant
air larron, l’afocat pien méchant. Les Fourberies de Scapin, acte
II
, scène VIII. Jetez les yeux sur les détours de la
, l’afocat pien méchant. Les Fourberies de Scapin, acte II, scène
VIII
. Jetez les yeux sur les détours de la justice. Vo
aimeront. (Voir la suite de la scène.) Le Malade imaginaire, acte
I
, scène IX. Ce n’est point à des avocats qu’il fau
. (Voir la suite de la scène.) Le Malade imaginaire, acte I, scène
IX
. Ce n’est point à des avocats qu’il faut aller, c
difficultés et qui sont ignorants des détours de la conscience. (Note
2,
page 5) M. de Pourceaugnac, acte II, sc. XII. -
tés et qui sont ignorants des détours de la conscience. (Note 2, page
5
) M. de Pourceaugnac, acte II, sc. XII. - Oui, ma
détours de la conscience. (Note 2, page 5) M. de Pourceaugnac, acte
II
, sc. XII. - Oui, mais quand il aurait information
de la conscience. (Note 2, page 5) M. de Pourceaugnac, acte II, sc.
XII
. - Oui, mais quand il aurait information, ajourne
cusation, sans un récolement de confrontation avec mes parties. Acte
II
, scène XIII. Premier avocat, traînant ses paroles
sans un récolement de confrontation avec mes parties. Acte II, scène
XIII
. Premier avocat, traînant ses paroles en chantant
si capable, La polygamie est un cas Est un cas pendable. Etc. (Note
2,
page 6.) Le Malade imaginaire, acte III, scène I
ble, La polygamie est un cas Est un cas pendable. Etc. (Note 2, page
6.
) Le Malade imaginaire, acte III, scène III. - C’
un cas pendable. Etc. (Note 2, page 6.) Le Malade imaginaire, acte
III
, scène III. - C’est un bon impertinent que votre
dable. Etc. (Note 2, page 6.) Le Malade imaginaire, acte III, scène
III
. - C’est un bon impertinent que votre Molière, av
ait le fond de notre article : Critique de l’École des femmes, scène
VII
. Ces sortes de satires tombent directement sur le
pent les personnes que par réflexion. Impromptu de Versailles, scène
III
. ...Que son dessein est de peindre les mœurs, san
est de peindre les mœurs, sans vouloir toucher aux personnes. (Note
1,
page 7.) L’Amour médecin, acte II, scène IV - Je
peindre les mœurs, sans vouloir toucher aux personnes. (Note 1, page
7.
) L’Amour médecin, acte II, scène IV - Je soutien
loir toucher aux personnes. (Note 1, page 7.) L’Amour médecin, acte
II
, scène IV - Je soutiens que l’émétique la tuera.
er aux personnes. (Note 1, page 7.) L’Amour médecin, acte II, scène
IV
- Je soutiens que l’émétique la tuera. - Et moi,
ouvenez-vous de la dame que vous avez envoyée en l’autre monde il y a
trois
jours. 1. L’Etourdi, acte V, scène IV. Il n’
a dame que vous avez envoyée en l’autre monde il y a trois jours.
1.
L’Etourdi, acte V, scène IV. Il n’y a qu’au mot.
envoyée en l’autre monde il y a trois jours. 1. L’Etourdi, acte
V
, scène IV. Il n’y a qu’au mot. — Les Fourberies d
en l’autre monde il y a trois jours. 1. L’Etourdi, acte V, scène
IV
. Il n’y a qu’au mot. — Les Fourberies de Scapin,
cte V, scène IV. Il n’y a qu’au mot. — Les Fourberies de Scapin, acte
II
, scène VIII. La critique embrasse ici « les greff
ne IV. Il n’y a qu’au mot. — Les Fourberies de Scapin, acte II, scène
VIII
. La critique embrasse ici « les greffiers, sergen
parait aux sept cordes de la lyre. — La Comtesse d’Escarbagnas, scène
XVI
. Le mot avocat est pris au figuré. — Le Malade im
e XVI. Le mot avocat est pris au figuré. — Le Malade imaginaire, acte
I
, scène IX. C’est un éloge de la profession. 2.
mot avocat est pris au figuré. — Le Malade imaginaire, acte I, scène
IX
. C’est un éloge de la profession. 2. M. de Pour
alade imaginaire, acte I, scène IX. C’est un éloge de la profession.
2.
M. de Pourceaugnac, acte II, scène XIII. — M. de
ne IX. C’est un éloge de la profession. 2. M. de Pourceaugnac, acte
II
, scène XIII. — M. de Pourceaugnac est avocat : «
st un éloge de la profession. 2. M. de Pourceaugnac, acte II, scène
XIII
. — M. de Pourceaugnac est avocat : « Votre père s
dit Nérine, de vouloir vous anger de son avocat de Limoges ? » (Acte
I
, scène III.) Mais rien dans toute la pièce n’a ra
ne, de vouloir vous anger de son avocat de Limoges ? » (Acte I, scène
III
.) Mais rien dans toute la pièce n’a rapport à la
n’est la scène où Pourceaugnac prodigue des termes de procédure (acte
II
, scène XII) ; et encore prétend-il que ces mots-l
cène où Pourceaugnac prodigue des termes de procédure (acte II, scène
XII
) ; et encore prétend-il que ces mots-là lui vienn
nous avons pu dire avec exactitude que Molière ne l’avait pas jouée.
3.
« La plupart des avocats du temps sont joués dan
fférents tons des avocats. » Anecdotes dramatiques, Paris, Duchesnes,
1775,
t. II, p. 79 ; par Clément et l’abbé de La Porte.
tons des avocats. » Anecdotes dramatiques, Paris, Duchesnes, 1775, t.
II
, p. 79 ; par Clément et l’abbé de La Porte. — Bar
; par Clément et l’abbé de La Porte. — Barbier, Dict. des Anonymes.
4.
Le Malade imaginaire, acte III, scène III. 5.
orte. — Barbier, Dict. des Anonymes. 4. Le Malade imaginaire, acte
III
, scène III. 5. L’Amour médecin, acte II, scène
bier, Dict. des Anonymes. 4. Le Malade imaginaire, acte III, scène
III
. 5. L’Amour médecin, acte II, scène IV. 6. Le
Dict. des Anonymes. 4. Le Malade imaginaire, acte III, scène III.
5.
L’Amour médecin, acte II, scène IV. 6. Le Mala
Le Malade imaginaire, acte III, scène III. 5. L’Amour médecin, acte
II
, scène IV. 6. Le Malade imaginaire, acte III, s
imaginaire, acte III, scène III. 5. L’Amour médecin, acte II, scène
IV
. 6. Le Malade imaginaire, acte III, scène III.
naire, acte III, scène III. 5. L’Amour médecin, acte II, scène IV.
6.
Le Malade imaginaire, acte III, scène III. 7. L
L’Amour médecin, acte II, scène IV. 6. Le Malade imaginaire, acte
III
, scène III. 7. La Bruyère, Des Ouvrages de l’esp
édecin, acte II, scène IV. 6. Le Malade imaginaire, acte III, scène
III
. 7. La Bruyère, Des Ouvrages de l’esprit. — Puis
, acte II, scène IV. 6. Le Malade imaginaire, acte III, scène III.
7.
La Bruyère, Des Ouvrages de l’esprit. — Puisque n
é qu’avec éloge (De la ville. — De quelques usages. — De la chaire).
8.
Ces critiques, et d’autres encore, sont exprimées
n petit volume Découverte des mistères du Palais. Paris, M. Guérourt.
MDCLXXXX
. In-12. — C’est un anonyme omis par Barbier
Chapitre
XXXI
Années 1674 (suite de la huitième période). —
Chapitre XXXI Années
1674
(suite de la huitième période). — Inquiétudes jal
és à la reine. — Le roi est même enchanté du duc du Maine. — Il donne
100
000 f. à madame Scarron. — Mauvais procédés de la
la reine. — Le roi est même enchanté du duc du Maine. — Il donne 100
000
f. à madame Scarron. — Mauvais procédés de la mar
ame Scarron. — Embarras du roi. — À la fin de l’année, nouveau don de
100
000 f. à madame Scarron. Cette année commença p
Scarron. — Embarras du roi. — À la fin de l’année, nouveau don de 100
000
f. à madame Scarron. Cette année commença par u
r, avait pressé le renvoi de celles-ci et la nomination des dames. Le
1er
de l’an, madame de Sévigné écrit à sa fille : « O
mes. Le 1er de l’an, madame de Sévigné écrit à sa fille : « On a fait
cinq
dames : mesdames de Soubise, de Chevreuse, la pri
oint encore. Madame de Sévigné écrivait à sa fille, dans sa lettre du
1er
de l’an : « On ne voit point encore ces princes ;
du 1er de l’an : « On ne voit point encore ces princes ; l’aîné a été
trois
jours avec père et mère. Il est joli, mais person
sonne ne l’a vu. On voit un peu madame Scarron. » Dans une lettre du
5,
elle dit : « On a vu sourdement M. le duc du Main
n’était pas sans quelque intelligence avec la conscience du roi. Le
8
janvier, madame de Sévigné écrivait : « On ne voi
habitaient encore la maison de Paris ; que, cependant, l’aîné, âgé de
quatre
ans, qui amusait déjà ses parents, était fréquemm
Parole pleine de bienveillance et de considération98. Cependant, le
25
mai 1674, madame Scarron écrivait de la cour à Go
pleine de bienveillance et de considération98. Cependant, le 25 mai
1674,
madame Scarron écrivait de la cour à Gobelin une
our être mal avec madame de Montespan. Elle lui écrivait d’Anvers, le
18
avril 1674100 : « Madame, notre voyage a été fort
mal avec madame de Montespan. Elle lui écrivait d’Anvers, le 18 avril
1674100
: « Madame, notre voyage a été fort heureux, et l
reux, et le prince se porte aussi bien que la marquise de Suger, tous
deux
également inconnus, tous deux très fatigués, tous
ssi bien que la marquise de Suger, tous deux également inconnus, tous
deux
très fatigués, tous deux fort surpris de ne pas t
de Suger, tous deux également inconnus, tous deux très fatigués, tous
deux
fort surpris de ne pas trouver ici vos ordres. No
ndresse et qui partage avec vous tous ses maux. » À la même, Anvers,
20
avril 1674 : « Madame, le médecin visita hier le
t qui partage avec vous tous ses maux. » À la même, Anvers, 20 avril
1674
: « Madame, le médecin visita hier le prince. Il
y trouva du contentement. Elle s’en exprime ainsi dans une lettre du
15
juin, à son frère : « La vie que l’on mène ici es
te bien101. » C’est dans le même temps qu’eut lieu un premier don de
100
000 fr. fait par le roi à la gouvernante. On en a
ien101. » C’est dans le même temps qu’eut lieu un premier don de 100
000
fr. fait par le roi à la gouvernante. On en appre
n même.— Allez lui dire, reprit le roi, que vous lui donnerez ce soir
100
000 fr. pour vos dragées. — La mère me brouille a
me.— Allez lui dire, reprit le roi, que vous lui donnerez ce soir 100
000
fr. pour vos dragées. — La mère me brouille avec
brouille avec le roi, son fils me réconcilie avec lui. Je ne suis pas
deux
jours de suite dans la même situation. » La lettr
e son propre mouvement, que se rapportent les plaintes contenues dans
deux
lettres sans date, adressées par madame Scarron,
s loin : « On fera la Saint-Hubert à Villers-Cotterets ; on m’a donné
400
louis pour mes habits. » Ces lettres sont postér
stérieures à l’établissement des enfants à Versailles, c’est-à-dire à
1674.
En effet, pour que le roi fut témoin d’une querel
oi en la mariant à un vieux duc, assez malhonnête homme et fort gueux
102.
« Ce mariage », dit-elle dans une lettre du 14 ju
homme et fort gueux 102. « Ce mariage », dit-elle dans une lettre du
14
juillet, à Gobelin, « ne s’achèvera pas… J’ai ass
le monde, sans en aller chercher dans un état qui fait le malheur des
trois
quarts du genre humain. Cependant je n’ai pas rom
pendant je n’ai pas rompu la négociation. » Madame Scarron, riche de
100
000 fr., conçut l’ambition de posséder une petite
ant je n’ai pas rompu la négociation. » Madame Scarron, riche de 100
000
fr., conçut l’ambition de posséder une petite ter
rde mes affaires essentielles. » Une lettre, datée de Versailles, le
6
août, au même abbé Gobelin, ne laisse aucun doute
t, au même abbé Gobelin, ne laisse aucun doute sur la brouillerie des
deux
dames, et sur sa cause, et sur la mauvaise humeur
ement. C’est là ce que supposent les premières lignes de la lettre du
6
août. Ce qui suit s’accorde avec l’interprétation
, une grande impatience de vous apprendre que le roi m’a encore donné
100
000 fr. ; ainsi, en voilà 200 000 que j’ai à votr
e grande impatience de vous apprendre que le roi m’a encore donné 100
000
fr. ; ainsi, en voilà 200 000 que j’ai à votre se
s apprendre que le roi m’a encore donné 100 000 fr. ; ainsi, en voilà
200
000 que j’ai à votre service. » Je prie de remarq
prendre que le roi m’a encore donné 100 000 fr. ; ainsi, en voilà 200
000
que j’ai à votre service. » Je prie de remarquer
urs on s’en repent. » On voit par cette lettre que le nouveau don de
100
000 francs est encore du propre mouvement du roi
on s’en repent. » On voit par cette lettre que le nouveau don de 100
000
francs est encore du propre mouvement du roi ; qu
service avaient succombé sous la fatigue. Madame Scarron avait passé
trois
nuits près de ces enfants malades, et elle croyai
malades, et elle croyait n’avoir encore rien fait. Le roi lui envoya
100
000 francs. » Cette situation durait encore au m
ades, et elle croyait n’avoir encore rien fait. Le roi lui envoya 100
000
francs. » Cette situation durait encore au mois
tes. Madame Scarron la décrit elle-même dans une lettre à Gobelin, du
8
décembre. « M. le duc du Maine a encore eu la fiè
tes les leurs sont sur les dents. » Madame Scarron, en possession de
200
000 fr., au lieu de 100 000, dirigea les recherch
les leurs sont sur les dents. » Madame Scarron, en possession de 200
000
fr., au lieu de 100 000, dirigea les recherches d
es dents. » Madame Scarron, en possession de 200 000 fr., au lieu de
100
000, dirigea les recherches de ses agents vers un
ents. » Madame Scarron, en possession de 200 000 fr., au lieu de 100
000,
dirigea les recherches de ses agents vers une ter
dérable que celle qu’elle avait en Mie dans le voisinage de Paris. Le
6
septembre 1674, elle écrit à son frère qu’elle es
celle qu’elle avait en Mie dans le voisinage de Paris. Le 6 septembre
1674,
elle écrit à son frère qu’elle est en marché d’un
e écrit à son frère qu’elle est en marché d’une terre dont elle offre
240
000 francs. Le 10 novembre elle lui annonce que l
rit à son frère qu’elle est en marché d’une terre dont elle offre 240
000
francs. Le 10 novembre elle lui annonce que le ma
qu’elle est en marché d’une terre dont elle offre 240 000 francs. Le
10
novembre elle lui annonce que le marché est fait
ses. Elles firent suspendre la signature du contrat de vente jusqu’au
27
décembre ; mais en attendant madame Scarron s’éta
ion de la maison et elle y faisait faire des réparations urgentes. Le
20
novembre elle se plaint à son frère « de ne pouvo
a nouvelle propriétaire. Une phrase est remarquable dans la lettre du
10
novembre, par laquelle elle mande à son frère l’a
de vous. » Le roi a entendu parler, veut dire : j’ai parlé au roi.
98.
Cette anecdote ne peut être qu’antérieure à acqui
e où l’on a commencé à voir les enfants et la gouvernante à la cour.
99.
Cette lettre du 25 mai est évidemment mal placée
à voir les enfants et la gouvernante à la cour. 99. Cette lettre du
25
mai est évidemment mal placée parmi celles de 167
99. Cette lettre du 25 mai est évidemment mal placée parmi celles de
1675,
puisqu’au mois de mai 1671 madame Scarron était à
est évidemment mal placée parmi celles de 1675, puisqu’au mois de mai
1671
madame Scarron était à Barèges. Elle est de 1674,
uisqu’au mois de mai 1671 madame Scarron était à Barèges. Elle est de
1674,
durant le carême prêché pour la première fois par
et moi nous le voyons tous les jours. Bourdaloue prêcha le carême de
1674.
Ce fut le premier. 100. Cette lettre et la suiva
s les jours. Bourdaloue prêcha le carême de 1674. Ce fut le premier.
100.
Cette lettre et la suivante sont datées de 1676 d
. Ce fut le premier. 100. Cette lettre et la suivante sont datées de
1676
dans l’édition de Nancy. 101. Lettres, édition
e lettre et la suivante sont datées de 1676 dans l’édition de Nancy.
101.
Lettres, édition de 1778, t. I, p. 100. 102. Le
nt datées de 1676 dans l’édition de Nancy. 101. Lettres, édition de
1778,
t. I, p. 100. 102. Les commentateurs citent le d
de 1676 dans l’édition de Nancy. 101. Lettres, édition de 1778, t.
I
, p. 100. 102. Les commentateurs citent le duc de
s l’édition de Nancy. 101. Lettres, édition de 1778, t. I, p. 100.
102.
Les commentateurs citent le duc de Villars. 103.
778, t. I, p. 100. 102. Les commentateurs citent le duc de Villars.
103.
Elle le remercie plus bas, dans une lettre, du so
e un sur Toscan dont j’ai besoin, car j’en veux dresser un contrat de
onze
mille écus en bonne forme. » 104. Ici l’édition
sur Toscan dont j’ai besoin, car j’en veux dresser un contrat de onze
mille
écus en bonne forme. » 104. Ici l’édition de 18
r j’en veux dresser un contrat de onze mille écus en bonne forme. »
104.
Ici l’édition de 1806 marque par des points qu’il
contrat de onze mille écus en bonne forme. » 104. Ici l’édition de
1806
marque par des points qu’il y a une lacune ; je l
Chapitre
XXXVI
Suite de 1677 et 1678 (continuation de la huit
Chapitre XXXVI Suite de
1677
et 1678 (continuation de la huitième période). —
Chapitre XXXVI Suite de 1677 et
1678
(continuation de la huitième période). — Notions
tions sur les rapports de la littérature avec les mœurs de la cour en
1677
et 1678. — Boileau en 1677. — Racine. — Incidents
r les rapports de la littérature avec les mœurs de la cour en 1677 et
1678.
— Boileau en 1677. — Racine. — Incidents relatifs
a littérature avec les mœurs de la cour en 1677 et 1678. — Boileau en
1677.
— Racine. — Incidents relatifs à Phèdre. — Mépris
devenues dominantes et la littérature. Nous avons vu plus haut qu’en
1673,
à l’époque de la mort de Molière, les trois amis
avons vu plus haut qu’en 1673, à l’époque de la mort de Molière, les
trois
amis qui lui survécurent avaient déjà arrêté le c
s écrits des Sévigné, des La Fayette, des La Suze, des Coulanges, des
deux
belles-sœurs Scudéry, qui ont précédé le règne de
ges. Voyons l’effet que ce changement de la société produisit sur les
trois
poêles qui survécurent à Molière : Boileau, Racin
sor du poète, devant le changement des mœurs de la haute société. Dès
1674,
il sentit qu’il lui convenait de se rapprocher de
à Boileau, et que c’est à madame de La Sablière que s’appliquent ces
quatre
vers de sa dixième satire, publiée en 1693, dix-n
ère que s’appliquent ces quatre vers de sa dixième satire, publiée en
1693,
dix-neuf ans après l’épître critiquée, peu avant
e s’appliquent ces quatre vers de sa dixième satire, publiée en 1693,
dix-neuf
ans après l’épître critiquée, peu avant ou peu ap
ntière. Il faut croire, pour l’honneur du poète, qu’il n’a pas couvé
dix-neuf
ans une vengeance si peu méritée, pour la faire é
t que le démon de la satire le reprît. C’est ainsi qu’il en a usé, en
1677,
contre une autre dame, qu’il soupçonnait d’avoir
il soupçonnait d’avoir protégé Pradon contre Racine. Dans cette année
1677,
il publia son épître à Racine ; là il marqua fort
oètes satiriques rimer dans la rivière ; et Boileau avait parodié, en
1667,
ce trait d’humeur de Montausier. Nous avons déjà
engeance tout entière Irait la tête en bas rimer dans la rivière. En
1677,
Boileau ne prend pas sur ce ton les opinions du d
e Colbert et Vivonne, Que La Rochefoucauld, Marsillac et Pomponne, Et
mille
autres qu’ici je ne puis faire entrer, À leurs tr
C’est à de tels lecteurs que j’offre mes écrits. Boileau, à dater de
1677,
époque de son épître à Racine, jusqu’en 1693, tem
s. Boileau, à dater de 1677, époque de son épître à Racine, jusqu’en
1693,
temps où parut la satire des Femmes, ne publia au
autre écrit que son discours de réception à l’Académie française, en
1684.
La Fontaine, entraîné par son goût pour le plaisi
du nouveau système de vie qu’il devait professer plutôt qu’embrasser
deux
ans plus tard, système dont il reconnut la conven
ablière se livra sans partage à la vie pieuse. La Fontaine était, des
quatre
amis, celui qui avait dans l’esprit le plus de no
e La Fontaine. Voici les marques d’amendement qu’il donna en novembre
1683
: Quelques esprits ont blâmé certains jeux, Cert
u’ils ont faites, Que veut-on plus ? Au mois de mai
1684,
dans son discours de réception à l’Académie franç
« Les pensers amusants, « Les romans et le jeu, «
Cent
autres passions des sages condamnées « Ont pris c
vers ma fin je recommence à vivre ; Car je n’ai pas vécu ; j’ai suivi
deux
tyrans : En vain bruit et l’amour ont partagé mes
é mes ans.… » Racine, homme plus grave, caractère plus élevé que ses
trois
amis, son tenait glorieusement sa marche dans la
it glorieusement sa marche dans la carrière qu’il s’était ouverte. En
1670,
il avait mis au théâtre Britannicus, ouvrage sévè
Montespan, le sacrifice qu’il avait pu faire de Marie de Mancini. En
1673,
Mithridate mit sous les yeux du prince conquérant
Le naufrage élevé D’un roi vaillant……………………………… Que Rome et
quarante
ans ont à peine achevé. Mithridate présenta aus
Il lui donna une charge de trésorier de France, après Mithridate. En
1675,
Racine fit Iphigénie ; le roi le nomma historiogr
ileau. Il leur avait donné au commencement de la même année, à chacun
3
000 fr. de pension. Depuis cette année jusqu’en 1
eau. Il leur avait donné au commencement de la même année, à chacun 3
000
fr. de pension. Depuis cette année jusqu’en 1677,
ême année, à chacun 3 000 fr. de pension. Depuis cette année jusqu’en
1677,
Racine ne publia aucun ouvrage, non plus que Boil
squ’en 1677, Racine ne publia aucun ouvrage, non plus que Boileau. En
1677,
il mit Phèdre au théâtre. Cette pièce donna lieu
à un incident qui servit à cimenter et à manifester l’alliance de nos
deux
poètes avec la société que favorisait chaque jour
, à l’occasion de la Phèdre de Racine, jouée pour la première fois le
1er
janvier 1677. Deux jours après la première représ
on de la Phèdre de Racine, jouée pour la première fois le 1er janvier
1677.
Deux jours après la première représentation de ce
la Phèdre de Racine, jouée pour la première fois le 1er janvier 1677.
Deux
jours après la première représentation de cette p
Deshoulières, personne de beaucoup d’esprit et de talent. Lorsque les
deux
pièces occupaient les amateurs du théâtre, madame
ccupaient les amateurs du théâtre, madame Deshoulières, alors âgée de
trente-neuf
ans, voulant faire la cour au duc de Nevers et à
ns lequel se trouve un mot que l’on ne trouvera pas une fois dans les
douze
volumes de lettres, pourtant très familières, de
il leur ferait donner des coups de bâton. Le prince de Condé prit les
deux
poètes sous sa protection spéciale. Il était diff
s lieu à quelques débats dans le public, et qu’il ne s’y déclarât pas
deux
partis, l’un pour Pradon, l’autre pour Racine. Au
son ami contre les gens de l’hôtel Rambouillet. Ne confondons pas ces
deux
assertions. Voici nos observations sur la premièr
pas ces deux assertions. Voici nos observations sur la première : En
1677,
quand Phèdre a paru, il y avait trente-deux ans q
ervations sur la première : En 1677, quand Phèdre a paru, il y avait
trente-deux
ans que la société de Rambouillet était dissoute
de Rambouillet était dissoute par le mariage de Julie : il y en avait
douze
que la marquise n’existait plus ; huit que la duc
iage de Julie : il y en avait douze que la marquise n’existait plus ;
huit
que la duchesse de Montausier, dernier reste de l
tre Pradon, que son épitre à Racine, qui, comme je l’ai dit, parut en
1677
dans la même année que Phèdre ; et sa satire cont
et sa satire contre les femmes, dont j’ai parlé aussi, et qui est de
1693.
Dans l’épitre à Racine, il se demande : Et qui,
comme admirateur de Pradon. La dixième satire de l’auteur, publiée en
1693
contre les femmes, parle d’une
? etc. Il est bon d’observer que la publication de cette satire, en
1693,
est de seize ans postérieure au débat occasionné
st bon d’observer que la publication de cette satire, en 1693, est de
seize
ans postérieure au débat occasionné par la concur
t de seize ans postérieure au débat occasionné par la concurrence des
deux
Phèdres en 1677. Cette circonstance rend assez d
ostérieure au débat occasionné par la concurrence des deux Phèdres en
1677.
Cette circonstance rend assez difficile de devin
ner qu’elle est la belle à qui Boileau en voulait ; dans un espace de
seize
années, il se rencontre bien des contemporaines e
sonnet sur la Phèdre de Racine. » On dit, est fort sage, en effet, en
1677,
quand Phèdre a paru, madame Deshoulières avait de
tait attachée, était plus près de la licence que de la préciosité. En
1677,
madame Deshoulières avait quarante-trois ans, et
e la licence que de la préciosité. En 1677, madame Deshoulières avait
quarante-trois
ans, et on 1693, quand Boileau a publié sa dixièm
ciosité. En 1677, madame Deshoulières avait quarante-trois ans, et on
1693,
quand Boileau a publié sa dixième satire, elle en
, et on 1693, quand Boileau a publié sa dixième satire, elle en avait
cinquante-neuf
. Est-ce un âge auquel convienne l’épithète de bel
qui peut être calomnieuse ? N’a-t-il pas existé dans l’intervalle de
1677
à 1693 quelque femme célèbre alors, inconnue aujo
ut être calomnieuse ? N’a-t-il pas existé dans l’intervalle de 1677 à
1693
quelque femme célèbre alors, inconnue aujourd’hui
au avait en vue ; qu’il s’agit de madame de Sévigné dans la satire de
1693.
J’avoue que j’ai une grande répugnance à combattr
ire dit seulement : Elle croyait que Racine passerait comme le café
131.
Ce n’était là qu’une conjecture de Voltaire ; et
onjecture de Voltaire ; et sur quoi se fondait cette conjecture ? sur
deux
lettres de madame de Sévigné où elle met en paral
ion de Racine et de Boileau à la place d’historiographes de France en
1675.
Il est vrai que dans ces deux lettres madame de S
a place d’historiographes de France en 1675. Il est vrai que dans ces
deux
lettres madame de Sévigné marque une préférence d
ait comme son chef-d’œuvre, ni Phèdre, ni Athalie ; Voltaire a lu ces
deux
lettres et n’a probablement pas lu toutes celles
ièce charmante, on y est dans une continuelle admiration ; on la voit
trente
fois, et on la trouve plus belle la trentième que
ternativement préférés ! combien de gens prêtèrent toujours celui des
deux
qu’ils tiennent à sa main ! Au fond, madame de Sé
vrages, à mesure que le temps de ces amours s’éloignait. Et cependant
seize
années après elle en avait encore des souvenirs d
le en avait encore des souvenirs déplaisants, en voyant jouer Esther (
1689
), à Saint-Cyr, par les jeunes élèves de cette mai
écrivit nettement à Bussy-Rabutin, à la nouvelle de la nomination des
deux
poètes, qu’ils n’étaient pas capables de bien fai
ce qu’ils avaient l’habitude de louer et de flatter ce prince (lettre
617
). « Le roi », dit-elle ailleurs, « méritait d’avo
roi », dit-elle ailleurs, « méritait d’avoir d’autres historiens que
deux
poètes. Vous savez mieux que moi ce qu’on dit en
iens que deux poètes. Vous savez mieux que moi ce qu’on dit en disant
deux
poètes. Il n’en aurait nul besoin, il ne faudrait
’être l’historien du roi. Au reste, elle ajoute à son opinion sur les
deux
historiographes la citation de plusieurs louanges
nce de son fils qui est en Bretagne, elle se console par ces vers des
deux
Pigeons : Il a tout ce qu’il veut, Bon
le de Sévigné sa fable du Lion amoureux, qui est la première du livre
IV
. Cette fable, lui dit-il, Vient à vos p
entir les écrivains qui la supposent décriée dans les écrits d’un des
quatre
amis. Dans le fait, Molière, Boileau et elle se p
, Boileau et elle se plaisaient, s’estimaient et se recherchaient. Le
15
décembre 1673, elle écrit à sa fille : « Je dînai
elle se plaisaient, s’estimaient et se recherchaient. Le 15 décembre
1673,
elle écrit à sa fille : « Je dînai hier avec M. l
re. » Elle l’avait déjà entendue une fois chez le cardinal de Retz en
1673.
Elle l’entend une troisième fois chez M. de Pompo
etz en 1673. Elle l’entend une troisième fois chez M. de Pomponne. Le
15
janvier 1674, elle dit à sa fille : « J’allai don
. Elle l’entend une troisième fois chez M. de Pomponne. Le 15 janvier
1674,
elle dit à sa fille : « J’allai donc samedi dîner
i dîner chez M. de Pomponne, comme je vous avais dit, et puis jusqu’à
cinq
heures, il fut enchanté, enlevé, transporté de la
lectures de celui-ci. On voit dans une lettre de madame de Sévigné du
9
mars 1672, à sa fille, au sujet de cette pièce de
s de celui-ci. On voit dans une lettre de madame de Sévigné du 9 mars
1672,
à sa fille, au sujet de cette pièce des Femmes sa
é, pour se persuader qu’il leur était réservé de découvrir, à près de
deux
siècles de distance, une malveillance dont elle é
ltat, de savoir comment et par quelles personnes elle fut terminée.
126.
La date de l’épître est de 1674. L’auteur, né en
uelles personnes elle fut terminée. 126. La date de l’épître est de
1674.
L’auteur, né en 1636, n’avait donc effectivement
fut terminée. 126. La date de l’épître est de 1674. L’auteur, né en
1636,
n’avait donc effectivement que 38 ans. 127. Lini
tre est de 1674. L’auteur, né en 1636, n’avait donc effectivement que
38
ans. 127. Linière. 128. Une grosse Aricie aux
e 1674. L’auteur, né en 1636, n’avait donc effectivement que 38 ans.
127.
Linière. 128. Une grosse Aricie aux crins plus
r, né en 1636, n’avait donc effectivement que 38 ans. 127. Linière.
128.
Une grosse Aricie aux crins plus noirs que blon
osse Aricie aux crins plus noirs que blonds N’est là que pour montrer
deux
énormes tétons. 129. Deux énormes t…s. 130. Éd
lus noirs que blonds N’est là que pour montrer deux énormes tétons.
129.
Deux énormes t…s. 130. Édition de Boileau. 131.
oirs que blonds N’est là que pour montrer deux énormes tétons. 129.
Deux
énormes t…s. 130. Édition de Boileau. 131. Voye
st là que pour montrer deux énormes tétons. 129. Deux énormes t…s.
130.
Édition de Boileau. 131. Voyez la notice de M. d
x énormes tétons. 129. Deux énormes t…s. 130. Édition de Boileau.
131.
Voyez la notice de M. de Monmerqué sur madame de
M. de Monmerqué sur madame de Sévigné, p. 132, t. Ier des lettres.
132.
Une nymphe disait au roi qui représentait le sole
Chapitre
XXIII
Années 1660 à 1670 (suite de la septième pério
Chapitre XXIII Années
1660
à 1670 (suite de la septième période). — Revue de
Chapitre XXIII Années 1660 à
1670
(suite de la septième période). — Revue de la soc
à 1670 (suite de la septième période). — Revue de la société polie de
1660
à 1670. — Hommes et femmes célèbres de cette soci
(suite de la septième période). — Revue de la société polie de 1660 à
1670.
— Hommes et femmes célèbres de cette société. L’
n de Rambouillet, nous a fait anticiper d’une année sur la période de
1670
à 1680, il nous a fait assister à sa mort, arrivé
mbouillet, nous a fait anticiper d’une année sur la période de 1670 à
1680,
il nous a fait assister à sa mort, arrivée le 13
période de 1670 à 1680, il nous a fait assister à sa mort, arrivée le
13
avril 1671 ; à sa mort, grand événement dans l’hi
e 1670 à 1680, il nous a fait assister à sa mort, arrivée le 13 avril
1671
; à sa mort, grand événement dans l’histoire des
t nécessaire de revenir sur la société des femmes d’élite, durant les
dix
années que nous venons de parcourir, d’en reconna
d’en reconnaître l’état et de voir ses progrès. Nous avons vu depuis
1645
jusqu’en 1660, quelles maisons s’ouvriront à la h
tre l’état et de voir ses progrès. Nous avons vu depuis 1645 jusqu’en
1660,
quelles maisons s’ouvriront à la haute société, q
Ce fut chez la maréchale d’Albret que madame de Montespan, mariée en
1663,
à l’âge de 22 ans, fit connaissance avec madame S
aréchale d’Albret que madame de Montespan, mariée en 1663, à l’âge de
22
ans, fit connaissance avec madame Scarron. Elle f
es spirituelles de mœurs régulières et décentes. Durant la période de
1660
à 1670, plusieurs des personnes que nous avons ci
ituelles de mœurs régulières et décentes. Durant la période de 1660 à
1670,
plusieurs des personnes que nous avons citées, d’
riques contre elle, s’empressaient de lire leurs ouvrages. On voit en
1672,
M. de La Rochefoucauld prier madame de Sévigné de
apprend que ce même Despréaux fut sa satire sur Le Festin, publiée en
1665,
chez le comte de Brancas en présence de madame Sc
on premier éclat, à qui Voiture écrivait des lettres si flatteuses en
1638,
qui le traitait, malgré ses louanges, avec une gr
corrigeait, soumettait à la critique les Maximes qu’il a publiées en
1665,
que madame de Sablé les jugeait, et les modifiait
à la maréchale de Schomberg, Marie d’Hautefort, alors âgée d’environ
49
ans, anciennement l’objet de cette passion religi
efoucauld allait souvent l’y voir. Cette dame, alors âgée au moins de
60
à ans, d’une santé très délicate, ne voyait du m
Sablé. On lit dans les mémoires de mademoiselle de Montpensier, qu’en
1658,
pendant le séjour que fit la cour à Bordeaux, le
ntrats de mariage ; de lettres, on n’en entendait pas parler. » Vers
1665,
parut dans le monde une femme d’un autre genre, m
lement plus aimable. C’était madame de La Sablière. Mariée à l’âge de
17
ans avec un homme riche, spirituel et fort répand
e, parce qu’elle était vieille, laide, et avait eu quelque galanterie
65.
» Rochefort avait sans doute ajouté ces particula
Mademoiselle ; car à cette époque, madame de La Sablière n’avait que
23
ans, était d’une beauté remarquable, pleine d’esp
re galanterie. Madame de Sévigné l’appelait la tourterelle Sablière
66.
Dans une lettre du 4 août 1677 à madame de Grigna
e Sévigné l’appelait la tourterelle Sablière 66. Dans une lettre du
4
août 1677 à madame de Grignan, elle rapporte la r
né l’appelait la tourterelle Sablière 66. Dans une lettre du 4 août
1677
à madame de Grignan, elle rapporte la réponse de
n de faire vie qui dure, ils ne se voient pas si souvent : au lieu de
douze
heures, par exemple, il n’en passe plus chez elle
e douze heures, par exemple, il n’en passe plus chez elle que sept ou
huit
. Mais la tendresse, la passion, la distinction et
as l’infidélité de La Fare. Madame de Sévigné écrivait à sa fille, le
14
juillet 1680 : « Vous me demandez ce qui a fait c
lité de La Fare. Madame de Sévigné écrivait à sa fille, le 14 juillet
1680
: « Vous me demandez ce qui a fait cette solution
On voit dans une lettre de La Fontaine à mademoiselle Champmeslé, de
1678,
que La Fare se partageait entre elle et le jeu. «
ce point. Propos, agréables commerces, Où le hasard fournit
cent
matières diverses ; Jusque-là qu’en votre
idée que le poète nous donnera de la société de madame de La Sablière
68
: Je vous gardais un temple dans mes vers… L’apo
it chez le duc de Brancas quand Boileau y fit sa satire du Festin, en
1665.
C’était l’année de son mariage. Elle eut depuis,
Festin, en 1665. C’était l’année de son mariage. Elle eut depuis, en
1674,
un démêlé littéraire avec le poète satirique, en
ne société plus choisie parce qu’elle était moins nombreuse. Née vers
1641,
nièce de la femme du chancelier Le Tellier, cousi
ut degré, alliée et amie de madame de Sévigné, qui était son aînée de
quatorze
ans, amie de madame Scarron, elle réunit chez ell
, elle réunit chez elle l’élite du monde poli, durant l’intervalle de
1660
à 1770. Madame de Sévigné, dans sa lettre du 6 ja
réunit chez elle l’élite du monde poli, durant l’intervalle de 1660 à
1770.
Madame de Sévigné, dans sa lettre du 6 janvier 16
ant l’intervalle de 1660 à 1770. Madame de Sévigné, dans sa lettre du
6
janvier 1671, rappelle à sa fille une conversatio
rvalle de 1660 à 1770. Madame de Sévigné, dans sa lettre du 6 janvier
1671,
rappelle à sa fille une conversation qui eut lieu
adame de Coulanges, plusieurs années avant son mariage, qui se fit en
1669.
« On était hier, dit-elle, sur votre chapitre che
alanterie, et à la plume de madame de Sévigné de faire la peinture.
63.
Souvenirs de Caylus. 64. Une note de l’éditeur
madame de Sévigné de faire la peinture. 63. Souvenirs de Caylus.
64.
Une note de l’éditeur porte qu’elle est née vers
nirs de Caylus. 64. Une note de l’éditeur porte qu’elle est née vers
1608
et morte en 1678. Segrais la fait naître en 1602.
64. Une note de l’éditeur porte qu’elle est née vers 1608 et morte en
1678.
Segrais la fait naître en 1602. D’après une lettr
qu’elle est née vers 1608 et morte en 1678. Segrais la fait naître en
1602.
D’après une lettre de Voiture, dont la date est i
ut par cette raison être présumée de la même date, elle serait née en
1585
au plus tard. Elle avait récemment eu la petite v
t revue quelque temps après, assure qu’il l’a trouvée aussi belle que
40
ans avant ; si elle avait été belle 40 ans avant
il l’a trouvée aussi belle que 40 ans avant ; si elle avait été belle
40
ans avant 1638, il faut qu’elle soit née au moins
e aussi belle que 40 ans avant ; si elle avait été belle 40 ans avant
1638,
il faut qu’elle soit née au moins 15 ans avant 16
avait été belle 40 ans avant 1638, il faut qu’elle soit née au moins
15
ans avant 1638, c’est-à-dire en 1583. 65. Mémoi
lle 40 ans avant 1638, il faut qu’elle soit née au moins 15 ans avant
1638,
c’est-à-dire en 1583. 65. Mémoires de Mademoise
il faut qu’elle soit née au moins 15 ans avant 1638, c’est-à-dire en
1583.
65. Mémoires de Mademoiselle, t. VI, p. 69. 66
t qu’elle soit née au moins 15 ans avant 1638, c’est-à-dire en 1583.
65.
Mémoires de Mademoiselle, t. VI, p. 69. 66. Let
avant 1638, c’est-à-dire en 1583. 65. Mémoires de Mademoiselle, t.
VI
, p. 69. 66. Lettre du 19 août 1676. 67. Fable i
c’est-à-dire en 1583. 65. Mémoires de Mademoiselle, t. VI, p. 69.
66.
Lettre du 19 août 1676. 67. Fable ire du liv. X
en 1583. 65. Mémoires de Mademoiselle, t. VI, p. 69. 66. Lettre du
19
août 1676. 67. Fable ire du liv. X : Les deux R
65. Mémoires de Mademoiselle, t. VI, p. 69. 66. Lettre du 19 août
1676.
67. Fable ire du liv. X : Les deux Rats, le Ren
Mémoires de Mademoiselle, t. VI, p. 69. 66. Lettre du 19 août 1676.
67.
Fable ire du liv. X : Les deux Rats, le Renard e
e, t. VI, p. 69. 66. Lettre du 19 août 1676. 67. Fable ire du liv.
X
: Les deux Rats, le Renard et l’Œuf ; Discours à
, p. 69. 66. Lettre du 19 août 1676. 67. Fable ire du liv. X : Les
deux
Rats, le Renard et l’Œuf ; Discours à madame de L
es deux Rats, le Renard et l’Œuf ; Discours à madame de La Sablière.
68.
Fable 15, liv. XII : Le Corbeau, la Gazelle, la
s, le Renard et l’Œuf ; Discours à madame de La Sablière. 68. Fable
15,
liv. XII : Le Corbeau, la Gazelle, la Tortue et l
ard et l’Œuf ; Discours à madame de La Sablière. 68. Fable 15, liv.
XII
: Le Corbeau, la Gazelle, la Tortue et le Rat. À
la Gazelle, la Tortue et le Rat. À madame de La Sablière. (Publiée en
1678.
) 69. Lettre 587.
le, la Tortue et le Rat. À madame de La Sablière. (Publiée en 1678.)
69.
Lettre 587.
ue et le Rat. À madame de La Sablière. (Publiée en 1678.) 69. Lettre
587.
, le seul que nous sachions qui en ait parlé avec quelque étendue. En
1662,
le théâtre fut fertile en nouveautés. Parmi celle
un et de l’autre sexe, qui jouèrent sur le théâtre du Palais-Royal en
1664,
et qu’on nomma la Troupe du Dauphin. L’origine de
été nous a semblé mériter d’être éclaircie : ce fut là que débutèrent
deux
des plus parfaits acteurs du théâtre français, Ba
Palais-Royal, la tragédie d’Alexandre, qui parut le même jour sur ces
deux
théâtres. Le dixième volume de cette Histoire ras
poèmes dramatiques qui parurent alors. Depuis l’impression des tomes
V
et VI de cette Histoire, il nous est tombé entre
es dramatiques qui parurent alors. Depuis l’impression des tomes V et
VI
de cette Histoire, il nous est tombé entre les ma
les mains une seconde partie des Œuvres de P. Corneille, imprimée en
1655
*, qui comprend : Le Cid, Horace, Cinna, Polyeucte
critiques, qui prétendaient que ce que l’on admirait le plus dans les
deux
poèmes n’était que des larcins faits au poète lat
’il a ajouté est encore supérieur. La tragédie du Cid est précédée de
deux
romances espagnoles, et d’une préface dont voici
de l’auteur. « Je me sens obligé, dit-il, de désabuser le public de
deux
erreurs qui s’y sont glissées touchant cette trag
’il a écrite sur ce sujet, et qui ne fait pas la moindre richesse des
deux
derniers trésors qu’il nous a donnés. Or, comme t
alzac, imprimée dans la seconde partie de ses Lettres choisies, livre
III
, lettre IX, qui contient l’éloge de la dernière d
mée dans la seconde partie de ses Lettres choisies, livre III, lettre
IX
, qui contient l’éloge de la dernière de ces tragé
d’Orange, qui, sans le connaître, s’était donné la peine de composer
deux
épigrammes, l’une latine, et l’autre française, p
es, l’une latine, et l’autre française, pour louer cette comédie. Ces
deux
épigrammes se trouvent imprimées à la tête de l’é
llud Euclides prior, Probare rem verissimam mendacio ? Constanter,
1645.
À M. CORNEILLE, Sur sa comédie, LE MENTEUR.
ces du théâtre français, depuis son origine jusqu’à la fin de l’année
1665.
Nous nous sommes d’autant plus prêtés à cet avis
ment, le commencement, le progrès et la suite du théâtre français.
1661.
Dom Garcie de Navarre, ou le Prince jaloux Com
traits qu’il jugea dignes d’être insérés dans d’autres piècesa ».
1661.
L’École des maris Comédie en vers, en trois ac
d’autres piècesa ». 1661. L’École des maris Comédie en vers, en
trois
actes, de M. Molière, représentée sur le théâtre
actes, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le
4
juin. Dans toutes les éditions des Œuvres de M.
lière, la première représentation de L’École des maris est marquée le
24
juin. Cependant il est certain que cette pièce pa
ut au commencement de ce même mois. Loret, dans sa Muse historique du
17
juin 1661, dit que cette comédie fut jouée à Vaux
mmencement de ce même mois. Loret, dans sa Muse historique du 17 juin
1661,
dit que cette comédie fut jouée à Vaux, chez M. F
uin 1661, dit que cette comédie fut jouée à Vaux, chez M. Fouquet, le
12,
et ajoute : Charme, (à présent) de tout Paris,
de tout Paris, De sorte qu’il y a tout lieu de croire que la date du
24
juin, est une faute d’impression, qui a été copié
ui a été copiée dans toutes les éditions suivantes, et que c’était le
4
juin qu’on avait voulu mettre. Voici le passage d
on avait voulu mettre. Voici le passage de Loret : Muse historique du
17
juin 1661. Fouquet, dont l’illustre mémoir
voulu mettre. Voici le passage de Loret : Muse historique du 17 juin
1661.
Fouquet, dont l’illustre mémoire, Vivra to
irable en toute saison, Après qu’on eut de plusieurs tables, Desservi
cent
mets délectables, Tous confits, en friands appas,
ageuse que Dom Garcie avait laissée. Il est peu de pièces, surtout en
trois
actes, aussi simples, aussi claires, aussi fécond
ni tout au plus l’idée de L’École des maris. Il y a dans les Adelphes
deux
vieillards de différentes humeurs, qui donnent ch
te aux enfants qu’ils élèvent ; il y a de même dans L’École des maris
deux
tuteurs, dont l’un est sévère, et l’autre indulge
aisemblance ; il n’est point dans la nature qu’un vieillard qui a été
soixante
ans, chagrin, sévère et avare, devienne tout à co
e fille, qui ne peut avoir d’entretien qu’avec son tuteur, s’expose à
mille
inconvénients pour se tirer de la situation où el
u Palais-Royal, ajoute : « Les Italiens avaient peut-être représenté
cinquante
fois telle pièce, dont il a tiré quelqu’une de ce
le sujet en est tout à fait bien conduit ; et si cette pièce avait eu
cinq
actes, elle pourrait tenir rang dans la postérité
tte dernière phrase n’est-elle pas d’un homme d’un goût bien sûr ?
1661.
Les Fâcheux Comédie-ballet, en trois actes, en
homme d’un goût bien sûr ? 1661. Les Fâcheux Comédie-ballet, en
trois
actes, en vers, de M. Molière, représentée à Vaux
ballet, en trois actes, en vers, de M. Molière, représentée à Vaux le
16
août, à Fontainebleau le 17 du même mois, et à Pa
ers, de M. Molière, représentée à Vaux le 16 août, à Fontainebleau le
17
du même mois, et à Paris sur le théâtre du Palais
eau le 17 du même mois, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le
4
novembre suivant. [*]Nicolas Fouquet, dernier
r au lecteur de placer ici ce que Loret en a dit. Muse historique du
20
août 1661. Aujourd’hui, mes soins, mes tra
teur de placer ici ce que Loret en a dit. Muse historique du 20 août
1661.
Aujourd’hui, mes soins, mes travaux, N’iro
eux, Avec ses clartés immortelles, N’en éclaira jamais de telles ; Là
cent
objets miraculeux, De grands princes, des cordons
s balustrades, Les rigoles, jets d’eau, cascades, Au nombre de plus d’
onze
cent, Charment et ravissent les sens. Le Soleil,
ustrades, Les rigoles, jets d’eau, cascades, Au nombre de plus d’onze
cent
, Charment et ravissent les sens. Le Soleil, dieu
ux, Mais d’infinités de viandes, Si délicates, si friandes, Y compris
mille
fruits divers, Les uns sucrés, les autres verts,
ait composé impromptua. D’une manière assez exquise, Et sa troupe en
trois
jours apprise, Mais qui (sans flatter peu ni poin
rtit d’un rocher en coquille, Une naïade, ou belle fillea… Qui récita
quarante
vers, Au plus grand roi de l’univers, Prônant les
Quoiqu’en apparence bien fermes) Mouvoir des figures, des thermes, Et
douze
fontaines couler, S’élevant de dix pieds en l’air
oir des figures, des thermes, Et douze fontaines couler, S’élevant de
dix
pieds en l’air. Mais il ne faut pas que je die, L
Élevé sur maint édifice, Et qui sur l’onde, et dans les airs, Donna
mille
plaisirs divers ; Sans mentir toutes les fusées,
xent d’admirables effets, Et tout ce que j’en vis jamais, (Et j’ai vu
cent
feux ce me semble) Quand ils seraient tous joints
nt. Pendant que ce grand feu dura, Que toute la Cour admira, Je criai
trente
fois miracle, Ayant devant moi pour spectacle, Pl
e criai trente fois miracle, Ayant devant moi pour spectacle, Plus de
quatre
cent fleurs de lys, Dont les bords étaient embell
trente fois miracle, Ayant devant moi pour spectacle, Plus de quatre
cent
fleurs de lys, Dont les bords étaient embellis, A
ammées, Sans consumer aucunement, Excitaient des ravissements ; Outre
seize
grandes figures, Qui n’étaient pourtant que peint
es mieux fabriqués du royaume, Contenant des clartés ou feux, Plus de
cinq
cent quatre-vingt-deux, (Si bien, je me les remém
eux fabriqués du royaume, Contenant des clartés ou feux, Plus de cinq
cent
quatre-vingt-deux, (Si bien, je me les remémore)
abriqués du royaume, Contenant des clartés ou feux, Plus de cinq cent
quatre-vingt-deux
, (Si bien, je me les remémore) Duquel dôme sortit
t complaire, Se rendit aussi nécessaire. Muse historique de Loret du
27
août 1661. La pièce tant et tant louée, Qu
ire, Se rendit aussi nécessaire. Muse historique de Loret du 27 août
1661.
La pièce tant et tant louée, Qui fut derni
motif, une intrigue ou action, et un dénouement, et fit sa comédie en
trois
actes. Peut-être que cela même a été critiqué par
t qu’enfin on instruise de tous ces faits le spectateur, avec environ
cinquante
vers qui sont épars dans la pièce ? Est-ce ainsi
e l’indulgence pour un ouvrage, conçu, fait, appris, et représenté en
quinze
jours *. » La comédie des Fâcheux parut pour la
Fâcheux parut pour la première fois sur le théâtre du Palais-Royal le
4
novembre 1661 et Loret en rendit le compte suivan
ut pour la première fois sur le théâtre du Palais-Royal le 4 novembre
1661
et Loret en rendit le compte suivant : Muse histo
vembre 1661 et Loret en rendit le compte suivant : Muse historique du
19
novembre 1661. Les Fâcheux, ce nouveau poè
et Loret en rendit le compte suivant : Muse historique du 19 novembre
1661.
Les Fâcheux, ce nouveau poème, Qui par sa
t, Et comme sa taille et sa tête, Lui font mainte et mainte conquête,
Mille
soupirants sont témoins, Que ses beaux pas n’en s
joviale, De Monsieur le duc d’Orléans, Qui les a colloqués céans.
1662.
L’École des femmes Comédie en vers, en cinq ac
colloqués céans. 1662. L’École des femmes Comédie en vers, en
cinq
actes, de M. Molière, représentée sur le théâtre
actes, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le
26
décembre. Cette comédie, qu’on peut mettre au n
ris et L’École des femmes, sur ce qu’Arnolphe et Sganarelle sont tous
deux
trompés par les mesures qu’ils prennent pour assu
evoir rapporter ce que Loret a dit de cette pièce. Muse historique du
13
janvier 1663. Le Roi festoya l’autre jour,
rter ce que Loret a dit de cette pièce. Muse historique du 13 janvier
1663.
Le Roi festoya l’autre jour, La plus fine
e sa cour, Savoir sa mère, et son épouse, Et d’autres jusqu’à plus de
douze
, Dont ce monarque avait fait choix. Ce fut la vei
ui fait le plus de bruit, s’appelle L’École des femmes. Cette pièce a
cinq
actes : tous ceux qui l’ont vue sont demeurés d’a
et plus ignorante que l’Isabelle de L’École des maris. « Le sujet des
deux
pièces n’est point de son invention, il est tiré
œuvres de M. de Molière, in-12, Paris, Charles de Sercy, privilège du
30
octobre 1663. Un passage de la préface qui précèd
. de Molière, in-12, Paris, Charles de Sercy, privilège du 30 octobre
1663.
Un passage de la préface qui précède cette critiq
été ruineuses. » Le Panégyrique de l’École des femmes est divisé en
six
dialogues. Une partie des interlocuteurs critique
le sieur P. de la Croix, in-12, Paris, Pierre Bienfait, privilège du
13
février 1664. Cet ouvrage est, comme le précédent
. de la Croix, in-12, Paris, Pierre Bienfait, privilège du 13 février
1664.
Cet ouvrage est, comme le précédent, en forme de
. Apollon, grâces au destin, Du Parnasse, prince divin, Et les
trois
fois trois sœurs pucelles, Grandes d’esprits, et
ollon, grâces au destin, Du Parnasse, prince divin, Et les trois fois
trois
sœurs pucelles, Grandes d’esprits, et de corps be
r l’École des femmes, à M. Molière, par M. Despréaux. En vain,
mille
jaloux esprits, Molière, osent avec mépris, Censu
Si tu savais un peu moins plaire, Tu ne leur déplairais pas tant.
1663.
La Critique de l’École des femmes Comédie en u
alais-Royal le vendredi premier juin*. Muse historique de Loret, du
2
juin 1663. Les Comédiens de Monsieur, Pour qui d
oyal le vendredi premier juin*. Muse historique de Loret, du 2 juin
1663.
Les Comédiens de Monsieur, Pour qui dans mon int
, et ne songea à les détruire, du moins en partie, qu’au mois de juin
1663
qu’il donna au public sa comédie intitulée La Cri
maine, qui croit ne pouvoir mieux se défendre qu’en attaquanta. »
1663.
L’Impromptu de Versailles Comédie en prose, en
édie en prose, en un acte, de M. Molière, représentée à Versailles le
14
octobre 1663 et à Paris sur le théâtre du Palais-
se, en un acte, de M. Molière, représentée à Versailles le 14 octobre
1663
et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 n
lles le 14 octobre 1663 et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le
4
novembre de la même année. « [*]Molière, pénét
découvrait le ton faux et outré de leur déclamation chantante. »
1664.
Le Mariage forcé Comédie-ballet, en trois acte
amation chantante. » 1664. Le Mariage forcé Comédie-ballet, en
trois
actes, de M. Molière, représentée au Louvre les 2
édie-ballet, en trois actes, de M. Molière, représentée au Louvre les
29
et 31 janvier, et sur le théâtre du Palais-Royal
allet, en trois actes, de M. Molière, représentée au Louvre les 29 et
31
janvier, et sur le théâtre du Palais-Royal sans d
oyal sans divertissement, et avec quelques changements en un acte, le
15
février suivanta. Douze représentations. Registre
ent, et avec quelques changements en un acte, le 15 février suivanta.
Douze
représentations. Registre de Molière. Muse hist
représentations. Registre de Molière. Muse historique de Loret, du
2
février 1664. Dans un salon, ou grande salle, De
ations. Registre de Molière. Muse historique de Loret, du 2 février
1664.
Dans un salon, ou grande salle, De la noble mais
Ce plaisant ballet qui se pique, De musical, et de musique, Et voici
deux
mots du sujet. Un jaloux charmé d’un objet Raviss
eut nommer certainement, Un exquis divertissement. Je ne dis rien des
huit
entrées, Qui méritent d’être admirées, Où princes
les concerts galants, Où les habits beaux et brillants ; J’omets les
deux
Égyptiennes*, Ou si l’on veut, Bohémiennes, Qui j
n distribua les scènes du Mariage forcé, en un acte, pour en composer
trois
actes. « [*]Après la quatrième scène, Sganarelle
our dormir ; pendant son sommeil, il voyait en songe ce qui forme les
deux
premières entrées du ballet. » Première entrée
e entrée : La Jalousie, les Chagrins, les Soupçons. Seconde entrée :
quatre
Plaisants ou Goguenards. « Le second acte ouvrai
nt préparé une mascarade pour honorer ses noces. » Sixième entrée :
Deux
Espagnols, deux Espagnoles. Septième entrée : Un
ascarade pour honorer ses noces. » Sixième entrée : Deux Espagnols,
deux
Espagnoles. Septième entrée : Un charivari grote
tième entrée : Un charivari grotesque. Huitième et dernière entrée :
Quatre
Galants, cajolant la femme de Sganarelle. Acteurs
, dans ses Observations sur la comédie, et le génie de Molière, pages
130
et 131, met le dénouement du Mariage forcé au nom
ses Observations sur la comédie, et le génie de Molière, pages 130 et
131,
met le dénouement du Mariage forcé au nombre des
une action. » M. Riccoboni dans le même ouvrage ci-dessus cité, page
148,
dit : « Il y a, dans Le Mariage forcé, une scène
tu. » M. Riccoboni aurait dû marquer la scène imitée des Italiens.
1664.
La Princesse d’Élidea Comédie-ballet en cinq
ée des Italiens. 1664. La Princesse d’Élidea Comédie-ballet en
cinq
actes, précédée d’un prologue (le premier acte, e
rs, le reste en prose), de M. de Molière, représentée à Versailles le
8
mai, et sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 nove
résentée à Versailles le 8 mai, et sur le théâtre du Palais-Royal, le
9
novembre suivantb. « [*]Le roi, voulant donner
ui peuvent faire admirer une maison de campagne, choisit Versailles à
quatre
lieues de Paris. C’est un château qu’on peut nomm
ù toute la Cour se rendit le cinquième mai, que le roi traita plus de
six
cents personnes jusqu’au quatorzième ; outre une
ute la Cour se rendit le cinquième mai, que le roi traita plus de six
cents
personnes jusqu’au quatorzième ; outre une infini
mbre prodigieux de flambeaux de cire blanche, pour suppléer à plus de
quatre
mille bougies, chaque journée, résistèrent à ce v
odigieux de flambeaux de cire blanche, pour suppléer à plus de quatre
mille
bougies, chaque journée, résistèrent à ce vent qu
irs de l’Île enchantée… On fit donc en peu de jours orner un rond, où
quatre
grandes allées aboutissent entre de hautes paliss
, où quatre grandes allées aboutissent entre de hautes palissades, de
quatre
portiques de trente-cinq pieds d’élévation, et de
allées aboutissent entre de hautes palissades, de quatre portiques de
trente-cinq
pieds d’élévation, et de vingt-deux en carré d’ou
lissades, de quatre portiques de trente-cinq pieds d’élévation, et de
vingt-deux
en carré d’ouverture, et de plusieurs festons enr
course de bague ; Loret va nous en rendre compte. Muse historique du
10
mai 1664. [*]La première de trois journées
de bague ; Loret va nous en rendre compte. Muse historique du 10 mai
1664.
[*]La première de trois journées, À cette
ndre compte. Muse historique du 10 mai 1664. [*]La première de
trois
journées, À cette fête destinées, ………………………………………
rave, et beau La Vallière, Par son adresse singulière, Devant plus de
deux
cents beaux yeux, Emporta le prix glorieux, De va
et beau La Vallière, Par son adresse singulière, Devant plus de deux
cents
beaux yeux, Emporta le prix glorieux, De valeur e
À savoir épée et baudrier, Propres pour un jeune guerrier. Illec les
quatre
âges parurent1, Qui de tous trois admirés furent,
pour un jeune guerrier. Illec les quatre âges parurent1, Qui de tous
trois
admirés furent, Et les quatre saisons aussia. Non
c les quatre âges parurent1, Qui de tous trois admirés furent, Et les
quatre
saisons aussia. Non pas certes cosi cosi, Mais da
Et dans nulle auteur aperçu, Que sans miracles, ou magies, On ait vu
deux
mille bougies, Éclairer par profusion, Une seule
ans nulle auteur aperçu, Que sans miracles, ou magies, On ait vu deux
mille
bougies, Éclairer par profusion, Une seule collat
écits1, À toucher les plus endurcis : Animés des douceurs divines, De
deux
rares voix féminines ; (Qui font comme j’ai dit u
voir, Hilaire, et La Barre. Suite de la Muse historique de Loret, du
10
mai 1664. [*]Le troisième jour* aux flambe
ilaire, et La Barre. Suite de la Muse historique de Loret, du 10 mai
1664.
[*]Le troisième jour* aux flambeaux, Un gr
ements Courses de bague magnifiques, Carrousels, spectacles comiques,
Mille
feux brillants dans les airs, Tant de festins, ta
é pour les autres jours, qui n’étaient pas moins agréables. Le samedi
10,
Sa Majesté voulut courre les têtes. C’est un exer
ns ignorent, et dont l’usage est venu d’Allemagne. » « [*]Le dimanche
11
mai, le roi mena toute la Cour l’après-dînée à sa
olière, mêlée d’entrées, de ballets, et fort ingénieuse. » « [*]Lundi
12
mai… le soir, Sa Majesté fit jouer les premiers a
tres moins capables d’en faire un juste discernement. » « [*]Le mardi
13
mai… on joua le même soir la comédie du Mariage f
ait ce faible, trouva qu’il y avait, dans la scène dont nous parlons,
deux
surprises de théâtre, et, jugeant qu’il ne fallai
sden con el desden. « Dans la dernière scène, le père, accompagné des
deux
princes amants de sa fille, et instruit que la pr
ente et demande à son père la liberté de choisir pour époux celui des
trois
princes qu’il lui plaira davantage. « Après avoir
mêmes princes qu’ils applaudiront au choix qu’elle va faire : et les
deux
princes, qui s’étaient expliqués, ne forment aucu
nteries divertissent, le retient auprès d’elle en qualité de bouffon.
Deux
scènes après, lorsqu’elle a résolu de tenter tous
l certain que les préliminaires de la fête, le cérémonial, répété par
trois
personnages différents, de nommer et reconnaître
cène en ne la mettant point en action. Il a premièrement distribué en
cinq
actes l’action que l’auteur espagnol ne partage q
stribué en cinq actes l’action que l’auteur espagnol ne partage qu’en
trois
. Ensuite, comme il fallait nécessairement que ces
partage qu’en trois. Ensuite, comme il fallait nécessairement que ces
cinq
actes fussent courts, et par conséquent qu’il pre
articulières ; telle est la première du troisième acte, dans laquelle
deux
femmes de la princesse s’entretiennent de la scèn
, ils connaîtront aisément avec quel art il a rendu sublimes dans ces
deux
scènes les beautés manquées dans l’original. Moli
du Palais-Royal, Loret ne manqua pas d’en parler. Muse historique du
10
novembre* 1664. De Monsieur la Troupe com
al, Loret ne manqua pas d’en parler. Muse historique du 10 novembre*
1664.
De Monsieur la Troupe comique, Qui sait a
irons du récit de Grimarest, auteur d’une Vie de Molière qui parut en
1705,
mais avec beaucoup de précaution ; car cet auteur
organiste de Troyes, nommé Raisin, imagina et exécuta une épinette à
deux
claviers, longue à peu près de trois pieds, et la
imagina et exécuta une épinette à deux claviers, longue à peu près de
trois
pieds, et large de deux et demi, avec un corps do
inette à deux claviers, longue à peu près de trois pieds, et large de
deux
et demi, avec un corps dont la capacité était le
e double plus grande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait
trois
enfants, deux garçons et une fille. Cette dernièr
rande que celle des épinettes ordinaires. Raisin avait trois enfants,
deux
garçons et une fille. Cette dernière lui était al
rnière lui était alors inutile, par sa trop grande jeunesse, mais ses
deux
garçons furent en état de seconder ses intentions
ouer de l’épinette, et ensuite il quitta son orgue et vint à Paris en
1660
ou au commencement de 1661 avec sa femme, ses enf
ite il quitta son orgue et vint à Paris en 1660 ou au commencement de
1661
avec sa femme, ses enfants, et l’épinette ; il ob
lairvoyants ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de
vingt
mille livres à Raisin. Le bruit de cette épinette
yants ne pouvaient le deviner. Cependant la foire valut plus de vingt
mille
livres à Raisin. Le bruit de cette épinette alla
on Raisin fit exécuter son épinette devant le roi. Muse historique du
9
avril 1661. Mardi dernier* Sa Majesté, Adm
n fit exécuter son épinette devant le roi. Muse historique du 9 avril
1661.
Mardi dernier* Sa Majesté, Admira fort la
uvrît le corps de l’épinette, d’où l’on vit sortir un petit enfant de
cinq
ans, beau comme un ange ; c’était Raisin le cadet
vre enfant sortît de sa prison, car il était si mal à son aise depuis
cinq
ou six heures, que l’épinette en avait contracté
nt sortît de sa prison, car il était si mal à son aise depuis cinq ou
six
heures, que l’épinette en avait contracté une mau
n la fabrique de l’ouvrage, En a fait les secrets ressorts ; Qui sont
deux
jolis petits corps, Lesquels ravissent à merveill
de tirer encore parti de son épinette à la foire suivante de l’année
1662.
Dans le cours de celle de Saint-Germain, il fait
evant le roi et toute la Cour ; voici ses termes : Muse historique du
11
mars 1662. Cet homme qui met en pratique,
roi et toute la Cour ; voici ses termes : Muse historique du 11 mars
1662.
Cet homme qui met en pratique, Quand il lu
a première différente, Qui, certes, vaut son pesant d’or, Et surprend
cent
fois mieux encor. L’autre jour, autant qu’on peut
(toutefois) sans complaisance, En dirent du bien d’importance, Et des
trois
beaux enfants aussi, (Dudit Raisin, le cher souci
reilles sont friandes, De doux et de justes accords, Doivent voir ces
trois
petits corps, Et leur épinette enchantée, Digne d
’être à jamais vantée. Il y a grande apparence que la foire suivante
1663
ne fût pas si favorable pour Raisin ; car en 1664
e la foire suivante 1663 ne fût pas si favorable pour Raisin ; car en
1664,
il abandonna son épinette et prit des jeunes gens
cette année. Loret va nous en apprendre le succès. Muse historique du
7
juin 1664. À propos de ce noble enfant1… P
nnée. Loret va nous en apprendre le succès. Muse historique du 7 juin
1664.
À propos de ce noble enfant1… Pour quoi de
r donnea. Ce fut dans cette même troupe que le fameux Baron, mort en
1719,
débuta. Nous en parlerons à son article, pour ne
femme continua son entreprise. « [*]Et qu’après avoir gagné plus de
vingt
mille écus à Paris, elle crut que la campagne ne
continua son entreprise. « [*]Et qu’après avoir gagné plus de vingt
mille
écus à Paris, elle crut que la campagne ne lui se
avec ses petits comédiens et son Olivier (au commencement de l’année
1666
). Cette femme n’ayant aucune ressource, et connai
bienfaisante de Molière, alla le prier de lui prêter son théâtre pour
trois
jours seulement, afin que le petit gain qu’elle e
seulement, afin que le petit gain qu’elle espérait de faire dans ces
trois
représentations lui servît à remettre sa troupe e
r le théâtre, le lieu était si rempli que la veuve Raisin fit plus de
mille
écus. » La fin de ce récit de Grimarest est asse
i ce qu’il dit de cette petite troupe : Lettre en vers de Robinet, du
22
février 1666. Cependant au Palais-Royal, A
dit de cette petite troupe : Lettre en vers de Robinet, du 22 février
1666.
Cependant au Palais-Royal, Avec un plaisir
e le beau destin, De charmer chacun sur la scène, Quoiqu’il n’ait que
douze
ans à peine, Et certes, il sera quelque jour, For
aux rôles de l’amour. La permission que la veuve Raisin obtint pour
trois
jours s’étendit plus loin ; car on trouve dans de
isin obtint pour trois jours s’étendit plus loin ; car on trouve dans
deux
lettres de Robinet, de cette même année, deux pas
in ; car on trouve dans deux lettres de Robinet, de cette même année,
deux
passages où il est parlé de la Troupe du Dauphin
er dans l’Histoire du théâtre français. Terminons cet article par les
deux
passages de Robinet dont nous venons de parler. L
ar les deux passages de Robinet dont nous venons de parler. Lettre du
6
mai 1666. Vous aurez pour tout dire enfin,
deux passages de Robinet dont nous venons de parler. Lettre du 6 mai
1666.
Vous aurez pour tout dire enfin, La Troupe
es, Et l’on croit vraisemblablement, Que ce soit un enchantement. Du
12
septembre 1666. J’ajoute ici que je revien
roit vraisemblablement, Que ce soit un enchantement. Du 12 septembre
1666.
J’ajoute ici que je reviens, De ces beaux
e de Beaulieua, Porteront volontiers leurs cœurs en si beau lieu.
1665.
Dom Juan, ou le Festin de Pierre Comédie en ci
i beau lieu. 1665. Dom Juan, ou le Festin de Pierre Comédie en
cinq
actes en prose, de M. Molière, représentée sur le
prose, de M. Molière, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le
15
février. Muse historique de Loret, du 14 févrie
héâtre du Palais-Royal, le 15 février. Muse historique de Loret, du
14
février 1665a. L’effroyable Festin de Pier
alais-Royal, le 15 février. Muse historique de Loret, du 14 février
1665a
. L’effroyable Festin de Pierre, Si fameux
succès ; soit que le préjugé qui régnait alors contre les comédies en
cinq
actes, écrites en prose, fût plus fort que l’espr
: Le Festin de Pierre, par B. A de Rochemont, Paris, in-12, Pépingué,
1665,
permission du 10 mai, (signé, d’Aubray). Voici un
e, par B. A de Rochemont, Paris, in-12, Pépingué, 1665, permission du
10
mai, (signé, d’Aubray). Voici un passage de cette
ochure qui pourra faire juger du goût et du talent de cet écrivain. «
II
est vrai qu’il y a quelque chose de galant dans l
le qui commençait à se former contre la comédie du Tartuffe, dont les
trois
premiers actes avaient été représentés trois fois
ie du Tartuffe, dont les trois premiers actes avaient été représentés
trois
fois dans l’année 1664*. On peut juger de l’effet
trois premiers actes avaient été représentés trois fois dans l’année
1664
*. On peut juger de l’effet que ces premières repr
de Pierre de Molière, Paris, in-12, Gabriel Quinet, avec permission,
1665.
« [*]On peut penser que le sieur de Rochemont est
ière, intitulée : Le Festin de Pierre , Paris, in-12, Gabriel Quinet,
1665,
avec permission. « [*]Cette lettre mériterait d’
ur le dessein de l’auteur des Observations ; en voici la preuve, page
22
: À quoi songiez-vous, Molière, (dit l’auteur de
, votre Festin de Pierre ne serait pas si criminel. Et plus bas, page
46
: “Savez-vous bien, monsieur, où tout ce beau rai
re, et en même temps il fait l’éloge de son auteur. Lettre en vers du
8
août 1665. Partisans du Festin de Pierre,
en même temps il fait l’éloge de son auteur. Lettre en vers du 8 août
1665.
Partisans du Festin de Pierre, Indignés de
ans que personne s’offense, Ce n’est pas certaine défense, Qui depuis
dix
jours a paru, D’un auteur armé, non à cru, Qui ca
elle, Et vous apprendrez chez Quinet, Ce qu’ici vous dit Robinet.
1665.
L’Amour médecina Comédie-ballet en trois act
i vous dit Robinet. 1665. L’Amour médecina Comédie-ballet en
trois
actes, en prose, avec un prologueb, par M. Molièr
prose, avec un prologueb, par M. Molière, représentée à Versailles le
15
septembre, et à Paris sur le théâtre du Palais-Ro
ailles le 15 septembre, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le
22
du même mois. « [*] L’Amour médecin est encore
ui ont des yeux pour découvrir dans la lecture tout le jeu de théâtre
1.
La brouillerie entre la femme de Molière et celle
érée, paraît un motif trop peu important pour avoir, comme on l’a dit
1,
déterminé Molière à mettre depuis les médecins si
ntention. « [*]Dans L’Amour médecin, Molière introduit sur le théâtre
quatre
médecins qui s’enferment pour consulter : pendant
ique amère. « L’art avec lequel Molière fait sentir la différence des
deux
manières de critiquer est admirable ; car je ne d
t voulu mettre les poètes et les spectateurs à portée de comparer ces
deux
manières, et apprendre aux uns la route qui mène
mour médecin doit tenir le premier rang : c’est une petite comédie en
trois
actes, mais si courts que telle pièce du même aut
endue que celle-ci. Molière la fit par ordre du roi, et n’employa que
cinq
jours à la composer et à l’apprendre. Les beautés
anarelle, toujours à sa suite. Pendant qu’on est occupé à danser, les
deux
époux s’échappent et sortent de la maison ; Sgana
-12, Edme Pépingué. *. [Note marginale] Voyez l’article du Cid, tome
V
, p. 247 et suiv. [*]. [Note marginale] Œuvres mê
roupe de Monsieur commença de jouer sur le théâtre du Palais-Royal le
4
ou le 5 novembre 1660. Voyez la note jointe à l’a
Monsieur commença de jouer sur le théâtre du Palais-Royal le 4 ou le
5
novembre 1660. Voyez la note jointe à l’article d
ommença de jouer sur le théâtre du Palais-Royal le 4 ou le 5 novembre
1660.
Voyez la note jointe à l’article de la comédie de
60. Voyez la note jointe à l’article de la comédie de L’Étourdi, tome
VIII
, p. 239. le 4 février. b. « [*] La réputation
jointe à l’article de la comédie de L’Étourdi, tome VIII, p. 239. le
4
février. b. « [*] La réputation naissante de M
e] Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. a. Voyez la scène
V
de l’acte second, et la scène VIII de l’acte quat
vrages de Molière. a. Voyez la scène V de l’acte second, et la scène
VIII
de l’acte quatrième de Dom Garcie, et la scène II
cond, et la scène VIII de l’acte quatrième de Dom Garcie, et la scène
III
du quatrième acte du Misanthrope. Il y a aussi qu
ers de Dom Garcie dans l’acte second, scène sixième de l’Amphitryon.
1.
[Note marginale] Clélie. 2. [Note marginale] C’e
second, scène sixième de l’Amphitryon. 1. [Note marginale] Clélie.
2.
[Note marginale] C’est-à-dire le 12 juin. 3. [No
on. 1. [Note marginale] Clélie. 2. [Note marginale] C’est-à-dire le
12
juin. 3. [Note marginale] La reine d’Angleterre,
ote marginale] Clélie. 2. [Note marginale] C’est-à-dire le 12 juin.
3.
[Note marginale] La reine d’Angleterre, Monsieur,
, avec des jugements sur ses ouvrages. [*]. [Note marginale] Article
8
du 2e livre, p. 157-164. *. [Note marginale] Liv
c des jugements sur ses ouvrages. [*]. [Note marginale] Article 8 du
2e
livre, p. 157-164. *. [Note marginale] Livre pre
du 2e livre, p. 157-164. *. [Note marginale] Livre premier, article
4,
p. 52, 58, et article 6, p. 70. [*]. [Note margi
re, p. 157-164. *. [Note marginale] Livre premier, article 4, p. 52,
58,
et article 6, p. 70. [*]. [Note marginale] Nouve
*. [Note marginale] Livre premier, article 4, p. 52, 58, et article
6,
p. 70. [*]. [Note marginale] Nouvelles nouvelles
des jugements sur ses ouvrages. *. [Note marginale] C’est-à-dire le
16
août. a. « [*]Jamais entreprise de théâtre ne f
velle qu’une comédie ait été conçue, faite, apprise et représentée en
quinze
jours. Je ne dis pas cela pour me piquer de l’imp
divertissement qu’elle semblait attendre. En même temps, au milieu de
vingt
jets d’eau naturels, s’ouvrit cette coquille que
é.” C’en fut assez dit : cette scène fut faite et apprise en moins de
vingt-quatre
heures, et le roi eut le plaisir de la voir en sa
marginale] Observations sur la comédie, et le génie de Molière, livre
II
, p. 104-111. *. [Note marginale] Ibam forte via
p. 104-111. *. [Note marginale] Ibam forte via sacra , Hor., satire
IX
, livre premier. *. [Note marginale] Voyez la pré
irent avec quelle adresse Molière avait su attacher et plaire pendant
cinq
actes, par la seule confidence d’Horace au vieill
art des tragédies de Racine. » *. [Note marginale] C’est-à-dire le
5
ou le 6 janvier 1663. *. [Note marginale] L’aute
tragédies de Racine. » *. [Note marginale] C’est-à-dire le 5 ou le
6
janvier 1663. *. [Note marginale] L’auteur a pla
de Racine. » *. [Note marginale] C’est-à-dire le 5 ou le 6 janvier
1663.
*. [Note marginale] L’auteur a placé la scène de
à Monsieur de la Souche, Qui diable vous a fait aussi vous aviser, À
quarante-deux
ans de vous débaptiser, Et d’un vieux tronc pourr
er pas. *. [Note marginale] Scipion. *. [Note marginale] Elle eut
trente
et une représentations, la dernière le 12 août, R
ote marginale] Elle eut trente et une représentations, la dernière le
12
août, Registre de Molière. [*]. [Note marginale]
vrages de Molière. a. M. de Visé dans ses Nouvelles nouvelles, tome
III
, p. 236 et 237, avance un fait au sujet de cette
re. a. M. de Visé dans ses Nouvelles nouvelles, tome III, p. 236 et
237,
avance un fait au sujet de cette comédie, qui tou
l’état des gens de lettres qui eurent part aux libéralités du roi en
1663
par les soins de M. Colbert. On trouvera à la fin
roi en 1663 par les soins de M. Colbert. On trouvera à la fin du tome
VI
, édition de 1739, in-12, le remerciement que Moli
les soins de M. Colbert. On trouvera à la fin du tome VI, édition de
1739,
in-12, le remerciement que Molière fit au roi à c
re représentation du Mariage forcé sur le théâtre du Palais-Royal, le
15
novembre 1664, mais le Registre de Molière prouve
ation du Mariage forcé sur le théâtre du Palais-Royal, le 15 novembre
1664,
mais le Registre de Molière prouve que cette date
1664, mais le Registre de Molière prouve que cette date est fausse.
1.
[Note marginale] Le Louvre. 2. [Note marginale]
re prouve que cette date est fausse. 1. [Note marginale] Le Louvre.
2.
[Note marginale] 29 janvier. 3. [Note marginale]
date est fausse. 1. [Note marginale] Le Louvre. 2. [Note marginale]
29
janvier. 3. [Note marginale] 31 janvier. *. [No
se. 1. [Note marginale] Le Louvre. 2. [Note marginale] 29 janvier.
3.
[Note marginale] 31 janvier. *. [Note marginale]
ale] Le Louvre. 2. [Note marginale] 29 janvier. 3. [Note marginale]
31
janvier. *. [Note marginale] Mlles Béjart et de
nale] Avertissement de l’éditeur des Œuvres de Molière, in-12. Paris,
1739,
tome III, p. 247. *. [Note marginale] Le roi dan
issement de l’éditeur des Œuvres de Molière, in-12. Paris, 1739, tome
III
, p. 247. *. [Note marginale] Le roi dansait dans
[Note marginale] Avertissement de l’éditeur de Molière, in-12, Paris,
1739,
tome III, p. 247. [*]. [Note marginale] Mémoires
nale] Avertissement de l’éditeur de Molière, in-12, Paris, 1739, tome
III
, p. 247. [*]. [Note marginale] Mémoires sur la v
du bruit, et il repassait en France sans avoir conclu avec elle ; les
deux
frères de la demoiselle le joignirent à Douvres,
vous pour finir cette affaire. » a. Quoique la Fête de Versailles en
1664,
dans laquelle la comédie-ballet de La Princesse d
rut pour la première fois sur le théâtre du Palais-Royal, le dimanche
9
novembre 1664, et elle eut vingt-trois représenta
première fois sur le théâtre du Palais-Royal, le dimanche 9 novembre
1664,
et elle eut vingt-trois représentations. La derni
le théâtre du Palais-Royal, le dimanche 9 novembre 1664, et elle eut
vingt-trois
représentations. La dernière, le dimanche 4 janvi
64, et elle eut vingt-trois représentations. La dernière, le dimanche
4
janvier 1665. Registre de Molière. [*]. [Note ma
e eut vingt-trois représentations. La dernière, le dimanche 4 janvier
1665.
Registre de Molière. [*]. [Note marginale] Fête
65. Registre de Molière. [*]. [Note marginale] Fête de Versailles en
1664.
*. [Note marginale] Première JOURNÉE. Les plaisi
laisirs de l’Île enchantée. [*]. [Note marginale] Première JOURNÉE.
1.
[Note marginale] Mlle de Brie représentait le Siè
ne, par le sieur de La Thorillière, et l’Hiver, par le sieur Béjart.
2.
[Note marginale] Mlle Du Parc. [*]. [Note margin
le enchantée. *. [Note marginale] Mlle Hilaire. *. [Note marginale]
8
mai. 1. [Note marginale] La musique de cette fêt
ntée. *. [Note marginale] Mlle Hilaire. *. [Note marginale] 8 mai.
1.
[Note marginale] La musique de cette fête est de
e et conclusion des plaisirs de l’Île enchantée. *. [Note marginale]
9
mai. a. À la fin de la sixième et dernière entré
le génie de Molière, p. 74 et suivantes. [*]. [Note marginale] ACTE
IV
, scène I. [*]. [Note marginale] Observations, p.
de Molière, p. 74 et suivantes. [*]. [Note marginale] ACTE IV, scène
I
. [*]. [Note marginale] Observations, p. 137 et s
esden con el desden. a. Dans le Mercure de France du mois de février
1722,
on trouve une lettre (de l’abbé Pellegrin) où, ap
teur avait. » *. [Note marginale] La Princesse d’Élide fut jouée le
9.
1. [Note marginale] Loret avait dans la même let
avait. » *. [Note marginale] La Princesse d’Élide fut jouée le 9.
1.
[Note marginale] Loret avait dans la même lettre
te marginale] Troupe du Dauphin. *. [Note marginale] C’est-à-dire le
5
avril. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, par
ut à cette foire Saint-Germain que Raisin fit paraître une épinette à
trois
claviers, parce que sa fille se trouva en état de
laviers, parce que sa fille se trouva en état de jouer, ainsi que ses
deux
garçons ; voici de quelle manière ce jeu s’exécut
ièce que le troisième clavier* répétait seul d’un bout à l’autre, les
deux
enfants ayant les bras levés. » *. [Note margi
fants ayant les bras levés. » *. [Note marginale] C’est-à-dire, le
4
mars. 1. [Note marginale] Monseigneur le Dauphin
nt les bras levés. » *. [Note marginale] C’est-à-dire, le 4 mars.
1.
[Note marginale] Monseigneur le Dauphin. 2. [Not
’est-à-dire, le 4 mars. 1. [Note marginale] Monseigneur le Dauphin.
2.
[Note marginale] On n’entend point ce que veut di
in. 2. [Note marginale] On n’entend point ce que veut dire ce vers.
3.
[Note marginale] Le petit Raisin. a. « [*]Les t
eut dire ce vers. 3. [Note marginale] Le petit Raisin. a. « [*]Les
trois
enfants de Raisin, et quelques autres dont Raisin
ont Raisin avait formé une troupe, représentaient, tant bien que mal,
deux
petites pièces qu’ils faisaient rouler, Tricassin
es de Molière. *. [Note marginale] Le Festin de Pierre de Villers en
1659.
Voyez aussi Le Festin de Pierre de Dorimon, coméd
estin de Pierre de Dorimon, comédien de la Troupe de Mademoiselle, en
1661.
a. « Dom Juan, dans une scène avec un pauvre qu
re sous le titre de L’Athée foudroyé, qui fut représentée à la fin de
1669,
ou au commencement de 1670. « Enfin la Troupe de
foudroyé, qui fut représentée à la fin de 1669, ou au commencement de
1670.
« Enfin la Troupe de Guénégaud donna en 1677 Le F
, ou au commencement de 1670. « Enfin la Troupe de Guénégaud donna en
1677
Le Festin de Pierre de Molière, que Thomas Cornei
lière. *. [Note marginale] Voyez l’article du Tartuffe, sous l’année
1669.
[*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les
édie, qui se joue souvent, est quelquefois affichée sous le titre des
Quatre
Médecins. b. Ce prologue est en vers lyriques, i
uvrages de Molière. c. Il fut proposé, fait, appris et représenté en
cinq
jours. Voyez l’Avis au lecteur de L’Amour médecin
eprésenté en cinq jours. Voyez l’Avis au lecteur de L’Amour médecin.
1.
[Note marginale] Voyez l’Avis au lecteur de L’Amo
in. 1. [Note marginale] Voyez l’Avis au lecteur de L’Amour médecin.
1.
[Note marginale] Vie de Molière, par Grimarest, p
]. Observations sur la comédie et sur le génie de Molière, p. 119 et
120.
[*]. [Note marginale] ACTE II, scène III. [*].
t sur le génie de Molière, p. 119 et 120. [*]. [Note marginale] ACTE
II
, scène III. [*]. [Note marginale] Observations,
énie de Molière, p. 119 et 120. [*]. [Note marginale] ACTE II, scène
III
. [*]. [Note marginale] Observations, etc., p. 12
ERRATA. Page
8,
note 1, au lieu de : act. I, sc. I, lisez : act.
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1,
au lieu de : act. I, sc. I, lisez : act. III, sc.
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I
, sc. I, lisez : act. III, sc. II. Page 18, note 1
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I
, lisez : act. III, sc. II. Page 18, note 1, ligne
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III
, sc. II. Page 18, note 1, ligne 6, au lieu de : M
. Page 8, note 1, au lieu de : act. I, sc. I, lisez : act. III, sc.
II
. Page 18, note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourda
8, note 1, au lieu de : act. I, sc. I, lisez : act. III, sc. II. Page
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note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourdain, lisez
, au lieu de : act. I, sc. I, lisez : act. III, sc. II. Page 18, note
1,
ligne 6, au lieu de : M. Jourdain, lisez : Mme Jo
de : act. I, sc. I, lisez : act. III, sc. II. Page 18, note 1, ligne
6,
au lieu de : M. Jourdain, lisez : Mme Jourdain. P
note 1, ligne 6, au lieu de : M. Jourdain, lisez : Mme Jourdain. Page
53,
ligne dernière, au lieu de : et, lisez : et à. Pa
ourdain. Page 53, ligne dernière, au lieu de : et, lisez : et à. Page
55,
lignes 12 et 13, au lieu de : pourtant, jusqu’à,
ge 53, ligne dernière, au lieu de : et, lisez : et à. Page 55, lignes
12
et 13, au lieu de : pourtant, jusqu’à, lisez : po
ligne dernière, au lieu de : et, lisez : et à. Page 55, lignes 12 et
13,
au lieu de : pourtant, jusqu’à, lisez : pourtant
et 13, au lieu de : pourtant, jusqu’à, lisez : pourtant jusqu’à. Page
88,
ligne 16 : Limousin. Note omise : Quoique la comt
lieu de : pourtant, jusqu’à, lisez : pourtant jusqu’à. Page 88, ligne
16
: Limousin. Note omise : Quoique la comtesse d’Es
t que Molière en faisait une compatriote de M. de Pourceaugnac. Page
95,
ligne 14, au lieu de : linges, lisez : linge. Pag
ère en faisait une compatriote de M. de Pourceaugnac. Page 95, ligne
14,
au lieu de : linges, lisez : linge. Page 126, lig
eaugnac. Page 95, ligne 14, au lieu de : linges, lisez : linge. Page
126,
ligne 14, au lieu de : noblesse, lisez : noblesse
age 95, ligne 14, au lieu de : linges, lisez : linge. Page 126, ligne
14,
au lieu de : noblesse, lisez : noblesse d’âme. Pa
ge 126, ligne 14, au lieu de : noblesse, lisez : noblesse d’âme. Page
129,
ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez : éternel. P
ne 14, au lieu de : noblesse, lisez : noblesse d’âme. Page 129, ligne
8,
au lieu de : Eternel, lisez : éternel. Page 143,
d’âme. Page 129, ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez : éternel. Page
143,
lignes 2 et 3, au lieu de : Diafoirus, ne, lisez
129, ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez : éternel. Page 143, lignes
2
et 3, au lieu de : Diafoirus, ne, lisez : Diafoir
ligne 8, au lieu de : Eternel, lisez : éternel. Page 143, lignes 2 et
3,
au lieu de : Diafoirus, ne, lisez : Diafoirus ne.
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212,
ligne 9, au lieu de : du, lisez : de notre. Page
3, au lieu de : Diafoirus, ne, lisez : Diafoirus ne. Page 212, ligne
9,
au lieu de : du, lisez : de notre. Page 215, lign
foirus ne. Page 212, ligne 9, au lieu de : du, lisez : de notre. Page
215,
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Page 212, ligne 9, au lieu de : du, lisez : de notre. Page 215, ligne
4,
au lieu de : vaniteux, ou, lisez : vaniteux : ou.
215, ligne 4, au lieu de : vaniteux, ou, lisez : vaniteux : ou. Page
242,
ligne 17, au lieu de : vingt après, lisez : vingt
4, au lieu de : vaniteux, ou, lisez : vaniteux : ou. Page 242, ligne
17,
au lieu de : vingt après, lisez : vingt ans après
vaniteux, ou, lisez : vaniteux : ou. Page 242, ligne 17, au lieu de :
vingt
après, lisez : vingt ans après. Page 263, ligne 1
vaniteux : ou. Page 242, ligne 17, au lieu de : vingt après, lisez :
vingt
ans après. Page 263, ligne 1, au lieu de : distra
42, ligne 17, au lieu de : vingt après, lisez : vingt ans après. Page
263,
ligne 1, au lieu de : distraction suffisante, et,
7, au lieu de : vingt après, lisez : vingt ans après. Page 263, ligne
1,
au lieu de : distraction suffisante, et, lisez :
ise, que nos voisins ont adoptée avec la plus grande prédilection.
I
. Il est dit dans la Comédie de George-Dandin,
ilection. I. Il est dit dans la Comédie de George-Dandin, (Acte
1.
Scene 5.) que Bertrand de Sottenville eut le créd
I. Il est dit dans la Comédie de George-Dandin, (Acte 1. Scene
5.
) que Bertrand de Sottenville eut le crédit de ven
llade, qui en ce temps-là s’avisa de mener en Candie à ses dépens une
centaine
de Gentilshommes équipés pour combattre contre le
s pour combattre contre les Turcs, pendant le siege de cette Isle.
II
. Analyse de la jalousie du Barbouillé, farce
style le plus bas & le plus ignoble que l’on puisse imaginer.
III
. Lorsque Moliere fait dire à Chrisalde, dans l
Lorsque Moliere fait dire à Chrisalde, dans l’Ecole des Femmes (Acte
I
, Scene I.) : Je sais un Paysan, qu’on appelloit
bignac, dans sa quatrieme Dissertation concernant le Poëme Epique.
IV
. Dans la Comédie des Fâcheux, qui est une des
C’en fut assez dit : cette Scene fut faite & apprise en moins de
vingt-quatre
heures, & le Roi eut le plaisir de la voir en
la voir en sa place, à la représentation suivante. (Menagiana, Tome.
III
. page 24.) V. Moliere s’est servi pour la c
n sa place, à la représentation suivante. (Menagiana, Tome. III. page
24.
) V. Moliere s’est servi pour la composition
ce, à la représentation suivante. (Menagiana, Tome. III. page 24.)
V.
Moliere s’est servi pour la composition de la
l’exposition de toute la Piece dont je viens de parler, de la Satyre
IX
du premier livre d’Horace ; Ibam forte via sacra,
(Riccoboni, observation sur la Comédie & le génie de Moliere.)
VI
. Le fameux Comte de Grammont a fourni à Molier
bruit, & il répassoit en France sans avoir conclu avec elle ; les
deux
freres de la Demoiselle le joignirent à Douvres d
finir cette affaire. (Ana, ou Bigarrure Calotine premiere partie page
18.
) VII. La troisieme nouvelle de la troisieme
tte affaire. (Ana, ou Bigarrure Calotine premiere partie page 18.)
VII
. La troisieme nouvelle de la troisieme journée
Riccoboni, observations sur la Comédie & le génie de Moliere.)
VIII
. La Piece Espagnole d’Agostino Moreto, intitul
est devenue sublime entre les mains de Moliere. (Riccoboni, idem.)
IX
. Moliere avoit hazardé quelques Traits dans sa
faim, prend cet argent, je te le donne pour l’amour de l’humanité.
X.
Extrait d’un in-4°. de la Bibliotheque de St.
. X. Extrait d’un in-4°. de la Bibliotheque de St. Victor. N°.
688.
QQ. ce volume est rempli de Notes Manuscrites de
ur faire des ronds. Moliere l’écouta avec beaucoup d’attention, &
quinze
jours après le sieur Angelo fut surpris de voir d
de Moliere, la Comédie du Misanthrope, annoncée & promise, &
trois
semaines après, on représenta cette Piece. Je lui
qu’il n’étoit pas possible qu’une aussi belle Piece que celle-là, en
cinq
actes & dont les vers sont fort beaux, eût ét
gloire des grands hommes. (Voyez l’Histoire du Théatre François.)
XI
. Moliere, étoit designe pour remplir la premie
i, beaucoup de ses amis ne se rappellent de le lui avoir ouï dire.
XII
. On ne prétend rien diminuer du mérite & d
d Acte est tirée du Dottor Bachettone, Canevas Italien ; que la Scene
5me
. du même Acte est toute copiée de le case Svaligg
ile, Comédie Italienne aussi jouée à l’inpromptu : que toute la Scene
7me
. du même Acte se trouve dans le Case Svaliggiate,
amp; dans Gelli, on ne trouvera pas dans toute la Comédie de l’Avare,
quatre
Scenes qui soient inventées par Moliere. Un ouvra
fficile, car je suis presque certain qu’il a plus coûté à Moliere que
deux
Comédies de son invention, mérite l’attention, &a
ion, mérite l’attention, & même l’admiration des connoisseurs.
XIII
. La premiere Scene de la Sœur, Comédie de Rotr
de ses mêmes Fourberies. Mais la comparaison que l’on peut faire des
deux
Scene de Rotrou avec les deux de Moliere, loin de
la comparaison que l’on peut faire des deux Scene de Rotrou avec les
deux
de Moliere, loin de faire tort à ce dernier, doit
es devenoient supérieures entre ses mains. On en peut dire autant des
deux
Scenes qu’il a prises dans le Pédant Joué, de Cyr
Scenes qu’il a prises dans le Pédant Joué, de Cyrano de Bergerac.
XIV
. Le Martial dont la Comtesse d’Escarbagnas dit
tte qualité celle de Valet de Chambre de Monsieur. (frere du Roi.)
XV
. Moliere a joué dans ses Femmes Savantes l’Hot
sera peu imité par les Auteurs du siecle présent. (Carpenteriana page
38.
) XVI. Le Latin Macaronique qui fait tant ri
imité par les Auteurs du siecle présent. (Carpenteriana page 38.)
XVI
. Le Latin Macaronique qui fait tant rire à la
’Enclos & Mde. de la Sabliere. (Bolœana, par M. de Monchenay.)
XVII
. La premiere fois que le Malade Imaginaire fut
chose ; mais c’est la dire plus finement. (Lettres de Boursault.)
XVIII
. XIX. La fille que Moliere avoit euë de son Ma
ais c’est la dire plus finement. (Lettres de Boursault.) XVIII.
XIX
. La fille que Moliere avoit euë de son Mariage av
e Montalant sont morts à Argenteuil près de Paris, sans postérité.
XIX
. Le sieur Béjart, beau-frere de Moliere étoit
étoit demeuré estropié d’une blessure qu’il reçut au pied en séparant
deux
de ses amis qui se battoient dans la Place du Pal
mais indifféremment dans tous ceux que Béjart remplissoit à Paris.
XX
. Moliere dans sa Comédie du Bourgeois Gentilho
tilhomme, a donné, dit-on, le portrait de Mademoiselle Moliere, (Acte
III
. Scene IX.) sous le personnage de Lucille. Il y a
it est très-ressemblant à tous ceux qu’on a fait de cette Actrice.
XXI
. Mademoiselle Moliere, ou pour mieux dire Mlle
ur mieux dire Mlle. Guerin, a quitté le Théatre assez âgée, (morte le
3
Novembre 1700.) Elle jouoit à merveille les rôles
re Mlle. Guerin, a quitté le Théatre assez âgée, (morte le 3 Novembre
1700.
) Elle jouoit à merveille les rôles que Moliere, s
ble d’inspirer une grande passion. (Note de M. Grandval, le pere.)
XXII
. Moliere fuyoit la peine ; & ce fut M. Des
ere fuyoit la peine ; & ce fut M. Despréaux, qui lui corrigea ces
deux
vers de la premiere Scene des Femmes Savantes, qu
côtés, qu’il la faut imiter. M. Despréaux trouva du jargon dans ces
deux
vers, & les rétablit de cette façon : Quand
est par ses beaux endroits, qu’il lui faut ressembler. (Bolœana, page
23.
) XXIII. Le mariage de Moliere avec la jeun
es beaux endroits, qu’il lui faut ressembler. (Bolœana, page 23.)
XXIII
. Le mariage de Moliere avec la jeune Mademoise
Le mariage de Moliere avec la jeune Mademoiselle Béjart se fit en
1662.
On en trouve à peu près la date dans l’Inpromptu
ouve à peu près la date dans l’Inpromptu de Versailles, représenté le
14
d’Octobre 1663. Moliere. Taisez-vous ma fem
ès la date dans l’Inpromptu de Versailles, représenté le 14 d’Octobre
1663.
Moliere. Taisez-vous ma femme, vous êtes un
age change bien les gens : & vous ne m’auriez pas dit cela il y a
dix-huit
mois. XXIV. C’est sur le mariage de Mlle.
gens : & vous ne m’auriez pas dit cela il y a dix-huit mois.
XXIV
. C’est sur le mariage de Mlle. Moliere avec le
ur le mariage de Mlle. Moliere avec le Comédien Guerin d’Etriché, (en
1677
ou 1678. pour le plus tard.) que l’on fit ces qua
riage de Mlle. Moliere avec le Comédien Guerin d’Etriché, (en 1677 ou
1678.
pour le plus tard.) que l’on fit ces quatre vers,
rin d’Etriché, (en 1677 ou 1678. pour le plus tard.) que l’on fit ces
quatre
vers, en forme de portrait. Les graces & le
’elle aimoit peu, Elle en a un de chair, qu’elle aime davantage.
XXV
. Monsieur Despréaux ne se lassoit point d’admi
saillant & d’instructif dans ses moindres ouvrages, (Bolœana)
XXVI
. Moliere récitoit en Comédien sur le Théatre &
us pour le profit de ses camarades que pour le sien propre. idem.
XXVII
. M. Despréaux m’a dit, (c’est M. de Monchenay
té de Chrisalde : Il est un peu blessé sur certaines matieres.
XXVIII
. Moliere étoit fort ami du célebre Avocat Four
ue la raison avec un filet de voix contre une gueule comme cela ?
XXIX
. Deux mois avant la mort de Moliere, M. Despré
son avec un filet de voix contre une gueule comme cela ? XXIX.
Deux
mois avant la mort de Moliere, M. Despréaux alla
oque tous les jours ! Cela montre bien le peu que sont les hommes.
XXX
. Racine, après avoir donné son Alexandre à la
vint la brouillerie de Moliere & de Racine, qui s’étudioient tous
deux
à soutenir leur Théatre avec une pareille émulati
eures Pieces de l’Auteur ; C’est ainsi qu’en jugeoit M. Despréaux.
XXXI
. Moliere étant pressé par le Roi au sujet de l
ritidès ou il n’avoit pas trouvé la moindre lueur de plaisanterie.
XXXII
. Il y a une Anecdote assez plaisante au sujet
? (Lettre sur Moliere insérée dans le Mercure de France en Décembre
1739.
premier volume page 2914.) XXXIII. Le Perr
sérée dans le Mercure de France en Décembre 1739. premier volume page
2914.
) XXXIII. Le Perruquier dont parle M. Despr
le Mercure de France en Décembre 1739. premier volume page 2914.)
XXXIII
. Le Perruquier dont parle M. Despréaux dans so
XIII. Le Perruquier dont parle M. Despréaux dans son Lutrin (chant
II
.) s’appelloit Didier l’Amour. Sa premiere femme é
tere dans la premiere Scene de son Médecin Malgré-lui. (Menagiana, de
1729.
) XXXIV. XXXIV. Lorsque Moliere sut mort sa
la premiere Scene de son Médecin Malgré-lui. (Menagiana, de 1729.)
XXXIV
. XXXIV. Lorsque Moliere sut mort sa femme alla
e Scene de son Médecin Malgré-lui. (Menagiana, de 1729.) XXXIV.
XXXIV
. Lorsque Moliere sut mort sa femme alla à Versail
e de M. l’Archevêque. (Note manuscrite de M. Brossette. Non imprimée.
1.
) XXXV. Moliere s’étoit copié lui même en qu
l’Archevêque. (Note manuscrite de M. Brossette. Non imprimée. 1.)
XXXV
. Moliere s’étoit copié lui même en quelques en
e fois, d’un air froid & embarrassé : Monsieur..... (Non imprimée
2.
) Dans la même Comédie, il y a aussi un trait de M
rire de cette saillie, & l’employa ensuite fort à propos : (Acte
II
. Scene derniere.) Hors qu’un commandement exprè
ndable après les avoir faits. (Note Manuscrite de M. Brossette.)
XXXVII
. La Comédie de l’Amour-Médecin est la premiere
n Saigneur à M. d’Aquin qui aimoit beaucoup la saignée. (non imprimée
3.
) Desfonandrès du Grec φενω Occido & de ανδ
o, ou bien de Τομός Seindens. (Note Manuscrite de M. Brossette.)
XXXVIII
. Toutes les Pieces du Théatre de Moliere ont é
bellissime figure, da Nic. di castelli, secret. di S.A.S.E. di Brand.
1698.
in Lipsia a spese dell’autore, e appresso Gio-Lud
ntés, sont incontestablement ceux des satiriques et des comiques. Ces
deux
classes d’écrivains, ayant principalement pour ob
es vices d’oraison ne sont qu’un moyen de mettre en jeu le travers de
trois
femmes puristes et pédantes ; mais personne jusqu
un étranger, et un tel travail ne sera pas inutile à nos compatriotes
2.
» Les incorrections réelles de Molière, c’est-à-d
se l’imagine communément. Ceci demande à être expliqué. Sur la foi de
deux
auteurs célèbres, La Bruyère et Fénelon, et surto
ge, mais que, depuis lui, le langage a éprouvé de nombreux changement
II
faut se souvenir qu’il avait donné presque toutes
olière n’était donc pas celle de Racine et de Boileau, mais celle des
deux
Corneille, de Scarron, de Rotrou, de Boisrobert,
au surplus, que les notes grammaticales, nombreuses dans l’examen des
huit
premières pièces de Molière, le sont beaucoup moi
e sont beaucoup moins dans le reste du travail, et cette différence a
deux
causes : le style de Molière gagne en correction
ient autant de fois que le besoin s’en faisait sentir. Ce n’est qu’en
1673,
année de la mort de Molière, que ses œuvres furen
conforme au texte des éditions séparées et originales5. Cependant, en
1682,
c’est-à-dire neuf ans après la mort de ce grand h
es éditions séparées et originales5. Cependant, en 1682, c’est-à-dire
neuf
ans après la mort de ce grand homme, deux de ses
dant, en 1682, c’est-à-dire neuf ans après la mort de ce grand homme,
deux
de ses amis, dont un avait été son camarade, Vino
on. Ces changements, considérés en eux-mêmes, peuvent être divisés en
trois
classes : quelques-uns sont heureux ; d’autres so
omédie de Molière, l’Étourdi. Suivant l’édition originale, publiée en
1663,
Mascarille dit à Lélie qui vient, pour la sixième
ntures, Prendre les contre-temps et rompre les mesures. L’édition de
1682,
dont le texte a été suivi dans toutes les édition
ugement et de goût pour le faire. Je le répète, l’édition posthume de
1682
a été suivie constamment jusqu’à nos jours, même
682 a été suivie constamment jusqu’à nos jours, même par l’éditeur de
1734,
qui prétend l’avoir corrigée en beaucoup d’endroi
avec une exactitude scrupuleuse. J’ai cependant eu, pour l’édition de
1682
et même pour celle de 1734, une condescendance qu
euse. J’ai cependant eu, pour l’édition de 1682 et même pour celle de
1734,
une condescendance que je me suis presque reproch
duit les mêmes effets. Les historiens de la littérature désignent ces
trois
périodes, ces trois âges de la comédie grecque, p
s. Les historiens de la littérature désignent ces trois périodes, ces
trois
âges de la comédie grecque, par les noms de coméd
e quelques comiques grecs de la troisième époque. Les ouvrages de ces
deux
poètes sont parvenus jusqu’à nous : des autres, n
s politiques établissaient des rapports assez nombreux ; et, chez les
deux
peuples, l’état de la société était à peu près le
revenant ou feignant de revenir des guerres lointaines, parlaient des
milliers
d’hommes qu’ils avaient tués ou mis en fuite, et
e, arrivant tout exprès pour la reconnaître ; et un esclave imaginant
mille
stratagèmes pour tirer de son vieux maître l’arge
laute et de Térence doit trouver ici sa place. Térence vint au monde
huit
ans avant la mort de Plaute, et trente-cinq ans a
sa place. Térence vint au monde huit ans avant la mort de Plaute, et
trente-cinq
ans après sa naissance. C’est un court espace, sa
s et le naturel exquis de son langage. Enfin, Plaute, mort à l’âge de
quarante-quatre
ans, laissa vingt-une comédies, fruits nombreux d
’une verve rapide et peu châtiée ; Térence, mort moins âgé que lui de
quatre
ans seulement, ne laissa que six comédies, produc
érence, mort moins âgé que lui de quatre ans seulement, ne laissa que
six
comédies, productions laborieuses d’un talent pur
t dans les convulsions d’une lente agonie, et se divisait lui-même en
deux
parts, comme pour offrir une proie plus facile au
t à un peuple exalté, chez qui la religion, l’amour et la valeur sont
trois
passions qu’il pousse presque à l’extrême ; mais
ce même. De là, nulle distinction des genres qui constituent ailleurs
deux
scènes séparées, la violation ou plutôt l’ignoran
proprié à son génie et à son goût. Lopez de Véga et Caldéron sont les
deux
princes de ce théâtre tout national, qui doit sa
s II, prince imbu usages, des opinions et des goûts de la France, les
deux
genres furent séparés, et la comédie de mœurs se
t les Esbahis, de Grevin ; le Brave et l’Eunuque, de Baïf ; enfin les
neuf
comédies en prose de La Rivey, supérieures à tout
ses intrigues. Homme universellement recherché, il vit arriver à lui
mille
originaux qui semblaient vouloir lui épargner la
but de la comédie est de corriger ; son moyen est de faire rire. Ces
deux
propositions, dont la première serait trop généra
e à marier l’aînée de ses filles à un sot, et à les déshériter toutes
deux
au profit d’une marâtre, afin de se mieux assurer
et, malheureux ; et, comme de toutes les peines que peuvent ressentir
deux
personnes bien éprises l’une de l’autre, les plus
ncipalement être présenté au théâtre. La jalousie est touchante entre
deux
jeunes gens faits pour s’aimer, pour se rendre he
pas craint de la montrer jusqu’à trois fois dans le mariage même, où
1e
choix n’est plus libre, où le soupçon est un outr
i qui en est la victime. Sganarelle, George Dandin et Amphitryon sont
trois
maris jaloux. L’art du poète a su nous amuser des
l’harmonie, et blessent la vraisemblance. La nature, qui n’a pas fait
deux
êtres absolument pareils, n’en a pas fait non plu
n’a pas fait deux êtres absolument pareils, n’en a pas fait non plus
deux
absolument contraires ; et elle a soin de ne pas
tion. Les hasards de la vie humaine peuvent rapprocher instantanément
deux
personnes du caractère le plus opposé ; mais de c
êts, des devoirs, diversement opposés dans une même personne ou entre
deux
personnes différentes. Tout ce qu’on admire le pl
t seuls répondre de la Vertu des filles, et celle qu’il renferme sous
dix
clefs, est par lui-même tirée de sa prison, et co
euille la cacher, soit qu’il l’ignore et la révèle aux autres sans se
1’apprendre
à lui-même. Tout ce qui, dans le dialogue, ne sor
sonnages dans la bourgeoisie, classe mitoyenne, qui, touchant par ses
deux
extrémités au peuple et à la noblesse, n’avait ni
’objet constant de ses plus vives hostilités. Il leur a livré jusqu’à
cinq
batailles rangées, sans compter les escarmouches
. Fleurant, m’a tout appris sans me vouloir rien apprendre. Ailleurs,
deux
hommes entrent en scène : l’un fuit l’autre et le
ses en scène. J’ai dit que les intrigues de Molière étaient variées :
trois
de ses chefs-d’œuvre en fourniront une preuve suf
able, et que le nœud n’en soit pas indigne : qui oserait dire que ces
deux
conditions n’existent pas dans Tartuffe ? Au rest
détestable, ne veut plus croire aux honnêtes gens, donnant ainsi, par
deux
effets contraires, une double preuve de la même f
ne ne lui résiste plus. Enfin, Harpagon, consentant au mariage de ses
deux
enfants, exige que le beau-père futur fasse les f
de ses deux enfants, exige que le beau-père futur fasse les frais des
deux
noces, lui fournisse un habit neuf pour y figurer
eau-père futur fasse les frais des deux noces, lui fournisse un habit
neuf
pour y figurer décemment, et, par-dessus le march
des phrases les plus forcées et les moins naturelles. Térence dit en
quatre
mots, avec la plus élégante simplicité, ce que ce
vantes, du Bourgeois gentilhomme et du Malade imaginaire. Le sujet de
deux
ou trois des premières comédies de Molière, ses m
du Bourgeois gentilhomme et du Malade imaginaire. Le sujet de deux ou
trois
des premières comédies de Molière, ses moins bonn
u aux mœurs publiques et privées par l’exemple du vertueux Louis XVI,
deux
jeunes auteurs, unis d’amitié15, ont ramené sur l
re eux, répété fidèlement par tous les autres, le faisaient naître en
1620,
dans une maison située sous les piliers des Halle
ans ses recherches, a fait sortir la vérité ensevelie, depuis plus de
deux
siècles, dans la poussière de ces vastes dépôts o
d entre eux, constatent que Molière naquit ou du moins fut baptisé le
15
janvier 1622, sous le nom de Jean19 ; que son pèr
, constatent que Molière naquit ou du moins fut baptisé le 15 janvier
1622,
sous le nom de Jean19 ; que son père, Jean Poquel
l’apprentissage dans la boutique de son père, il ne savait encore, à
quatorze
ans, que lire, écrire et compter autant qu’il le
jeune Poquelin, l’admit aux leçons particulières qu’il donnait à ses
deux
élèves. Hesnault25, connu de la postérité par que
é malgré son humeur déjà turbulente. Molière, dans la suite, lui prit
deux
scènes de sa comédie du Pédant joué : c’était com
ière appelait cela lui-même reprendre son bien ou il le trouvait. Les
cinq
condisciples profitèrent tous, mais diversement e
ui avait combattu, et souvent avec succès, Aristote et Descartes, ces
deux
grandes puissances rivales de la philosophie anti
aire lecture en société, on pria d’abord Boileau de réciter sa satire
II
, adressée à Molière même28. Molière, craignant al
ieure à celle de ses condisciples, était aussi plus formée, avait, en
cinq
années, fourni toute la carrière des études, depu
de suivre Louis XIII dans le voyage que ce prince fit à Narbonne, en
1642.
La cour, à cette époque, était un théâtre d’intri
n, cette odieuse exécution terminée, le monarque et le ministre, tous
deux
moribonds, rentrant dans Paris pour y mourir tous
ministre, tous deux moribonds, rentrant dans Paris pour y mourir tous
deux
à cinq mois de distance l’un de l’autre : tels so
e, tous deux moribonds, rentrant dans Paris pour y mourir tous deux à
cinq
mois de distance l’un de l’autre : tels sont les
son terrible prédécesseur en répandant des flots de sang ; qui, banni
deux
fois de la France, continuait à la gouverner du f
rre au roi lui-même. Les grands, les princes se partagèrent entre les
deux
camps. Des hommes de robe se firent hommes d’épée
la province. Des traditions peu certaines le montrent à Bordeaux, de
1646
à 1650, recevant du duc d’Épernon un accueil fort
vince. Des traditions peu certaines le montrent à Bordeaux, de 1646 à
1650,
recevant du duc d’Épernon un accueil fort bienvei
meilleurs comédiens de l’Illustre-Théâtre, Duparc, dit Gros-René, les
deux
frères Béjart et Madeleine Béjart, leur sœur, fai
dont elles n’étaient souvent qu’une imitation. On a récemment publié
deux
de ces pièces, les seules qui aient été conservée
l’autre le canevas du troisième acte de George Dandin, et qui toutes
deux
offrent un certain nombre de traits que Molière a
e traits que Molière a transportés dans plusieurs de ses comédies. En
1653,
Molière était à Lyon. Sa première comédie réguliè
, courait alors aussi la province, avec son luth, son théorbe, et ses
deux
petits pages ou enfants de musique, société suspe
qu’ils représentent tous les jours sur le théâtre. » Après avoir vécu
trois
mois à Lyon, avec eux, parmi les jeux, la comédie
Lyon, avec eux, parmi les jeux, la comédie et les festins, il demeura
six
bons mois encore à Pézenas, dans leur maison, qu’
cevoir comment il put jamais se résoudre à quitter ces charmants amis
34.
Armand de Conti, qui aimait la comédie en homme d
re Théâtre, pour donner des représentations. Le roi l’ayant envoyé en
1654
tenir les états de Languedoc, il engagea Molière
libelle méprisable, imprimé, pour la première fois, à l’étranger, en
1688,
sous le titre de la Fameuse Comédienne, ou Histoi
beaucoup d’avantages et de caresses, Molière continua encore, pendant
trois
ou quatre années, ses courses dans le midi de la
d’avantages et de caresses, Molière continua encore, pendant trois ou
quatre
années, ses courses dans le midi de la France38.
t trois ou quatre années, ses courses dans le midi de la France38. En
1657,
se trouvant à Avignon, il y rencontra Mignard39,
il y rencontra Mignard39, qui revenait d’Italie, où il avait demeuré
vingt-deux
ans, et qui était alors occupé à dessiner les ant
s vers l’immortalité qu’il venait de recevoir de lui sur la toile. En
1658,
Molière se rapprocha de la capitale, où l’appelai
i-même, et obtint enfin la permission de jouer en, leur présence. Le
24
octobre de la même année, Molière et sa troupe re
goûté, et son offre agréée. Il donna sur-le-champ le Docteur amoureux
41.
Le sel réjouissant de cette farce et le jeu plais
e titre de Troupe de Monsieur, et donna sa première représentation le
3
novembre. Paris, pris à son tour pour juge de l’É
e jugement de la province. Les Précieuses ridicules furent jouées le
18
novembre 1659, et le furent avec un applaudisseme
e la province. Les Précieuses ridicules furent jouées le 18 novembre
1659,
et le furent avec un applaudissement universel. D
dans l’étude du monde qu’il puisa le Cocu imaginaire y représenté le
28
mai 1660 ; c’est bien plutôt dans le comique faux
’étude du monde qu’il puisa le Cocu imaginaire y représenté le 28 mai
1660
; c’est bien plutôt dans le comique faux et outré
ée à Lulli pour y faire jouer l’opéra, et qu’un incendie détruisit en
1768.
La troupe de Molière y commença ses représentatio
uisit en 1768. La troupe de Molière y commença ses représentations le
4
novembre 166048. Le premier ouvrage donné par Mo
68. La troupe de Molière y commença ses représentations le 4 novembre
166048.
Le premier ouvrage donné par Molière sûr ce nouv
par Molière sûr ce nouveau théâtre fut don Garcie de Navarre joué le
4
février 1661. C’était une fâcheuse inauguration.
re sûr ce nouveau théâtre fut don Garcie de Navarre joué le 4 février
1661.
C’était une fâcheuse inauguration. Molière échoua
mptu de l’Hôtel de Condé, des épigrammes de l’lmpromptu de Versailles
49.
On lit, dans une lettre de Racine : « Montfleury
Béjart et du comte de Modène, nommée Françoise au baptême, naquit le
3
juillet 1638. Molière ne connut la mère qu’en 164
du comte de Modène, nommée Françoise au baptême, naquit le 3 juillet
1638.
Molière ne connut la mère qu’en 1645 environ. Fra
au baptême, naquit le 3 juillet 1638. Molière ne connut la mère qu’en
1645
environ. Françoise était donc venue au jour sept
venue au jour sept ans avant cette liaison, lorsqu’il avait lui-même
seize
ans au plus, et qu’il était encore au collège. Ce
es noms ; et ces noms encore sont inscrits dans son acte mortuaire du
2
décembre 1700, qui, lui donnant cinquante-cinq an
t ces noms encore sont inscrits dans son acte mortuaire du 2 décembre
1700,
qui, lui donnant cinquante-cinq ans au moment de
inscrits dans son acte mortuaire du 2 décembre 1700, qui, lui donnant
cinquante-cinq
ans au moment de son décès, fait remonter sa nais
cinq ans au moment de son décès, fait remonter sa naissance à l’année
1645,
époque de la liaison de Molière avec Madeleine Bé
De ces actes en bonne forme, il résulte que Françoise et Armande sont
deux
personnes différentes, et que Molière, en épousan
t des idées toutes différentes. Il était sans enfants ; mais il avait
quatre
neveux de son nom, à qui il voulait assurer sa su
Voici les arguments de M. de Fortia. Une tradition non interrompue de
cent
soixante ans, des témoignages contemporains qui n
les arguments de M. de Fortia. Une tradition non interrompue de cent
soixante
ans, des témoignages contemporains qui n’ont jama
vait, dans le système établi sur les pièces nouvellement découvertes,
deux
moyens de justification également faciles et vict
lé la Fameuse Comédienne, dans lequel le même fait est allégué, parut
douze
ans avant la mort de la veuve Molière ; et celle-
ernait avaient eu intérêt à le cacher ; un acte fait avec dispense de
deux
bans, qui présente Molière et sa femme fiancés et
ans tous les actes qui suivirent, il lui arriva, soit d’omettre un ou
deux
de ces noms, soit d’en intervertir l’ordre. Si el
adeleine était accouchée de Françoise, et, par conséquent, à l’âge de
quarante-cinq
ans au moins : cas rigoureusement possible, mais
entent. La tradition est souvent mensongère ; elle l’a été beaucoup à
1’égard
de Molière en particulier, témoin les circonstanc
it pas que Molière ni sa femme aient démenti le bruit nuisible à tous
deux
, qui donnait à l’une pour mère l’ancienne maîtres
n’en ont même exploré que quelques quartiers. Au reste, l’absence des
deux
actes en question n’est encore qu’une preuve néga
r les réparer. Quant aux exemples de femmes qui accouchent à l’âge de
quarante-cinq
ans, ils ne sont pas aussi rares qu’on le prétend
ière nous offre celui de la femme d’un Robert Poquelin, qui, ayant eu
vingt
enfants en vingt-six ans, ne pouvait pas être âgé
elui de la femme d’un Robert Poquelin, qui, ayant eu vingt enfants en
vingt-six
ans, ne pouvait pas être âgée de moins de quarant
vingt enfants en vingt-six ans, ne pouvait pas être âgée de moins de
quarante-cinq
ans, lorsqu’elle mit au monde le dernier. Mais vo
ai rempli ; et, si maintenant je me déclare en faveur de l’une de ces
deux
opinions, ce n’est pas un jugement que j’entends
ne et jolie comédienne, fort encline à la coquetterie, et entourée de
mille
dangers qu’elle craignait trop peu pour s’en gara
ne pouvait manquer d’être malheureux ; et il le fût beaucoup. Il eut
trois
enfants de ce mariage. Le premier, qui était un f
trois enfants de ce mariage. Le premier, qui était un fils, naquit le
19
janvier 1664 : il eut pour parrain Louis XIV, et
ts de ce mariage. Le premier, qui était un fils, naquit le 19 janvier
1664
: il eut pour parrain Louis XIV, et pour marraine
ieur. Quand le roi et Madame firent cet honneur à Molière, il y avait
deux
mois au plus que Montfleury avait présenté sa req
estimé. Son second enfant fut une fille : elle naquit au mois d’août
1665,
et fut tenue sur les fonts de baptême par M. de M
préaux, et pour marraine la fille de Mignard55. Ce second fils, né le
15
septembre 1672, mourut moins de deux mois après s
ur marraine la fille de Mignard55. Ce second fils, né le 15 septembre
1672,
mourut moins de deux mois après sa naissance. L’é
e Mignard55. Ce second fils, né le 15 septembre 1672, mourut moins de
deux
mois après sa naissance. L’époque de la mort du p
t prendre une place honorable à la séance de l’Académie Française, du
24
août 1769, où fut couronné l’Éloge de Molière, pa
e une place honorable à la séance de l’Académie Française, du 24 août
1769,
où fut couronné l’Éloge de Molière, par Chamfort.
qui osa mépriser Molière, c’était un sot ou un fanatique, ou tous les
deux
ensemble ; et l’on verra tout à l’heure qu’il n’é
étit. Mettez-vous à cette table, et qu’on me serve mon en cas de nuit
63.
Alors le roi découpe sa volaille, et, après avoir
rès le vin et la liberté, ce qu’il chérissait le plus au monde65. Ces
deux
hommes se ressemblaient pourtant fort peu ; ils d
où il a vu Molière boire assez pour, vers le soir, être en goguettes
67.
Molière, de même que Despréaux, pouvait quelquefo
nous moquons pas du bonhomme ; il vivra peut-être plus que nous tous
78.
Molière avait dix-huit ans de plus que Racine. Pe
du bonhomme ; il vivra peut-être plus que nous tous 78. Molière avait
dix-huit
ans de plus que Racine. Pendant quelques années,
plan de la Thébaïde, et il avait joint à ce don celui d’une bourse de
cent
louis.Racine fut trop peu reconnaissant. Après av
e ce moment, sa liaison avec Racine fut rompue. On doit regretter que
deux
hommes de génie, dont l’un avait été le bienfaite
fort différentes, ne furent jamais liés d’amitié ; mais, livrés tous
deux
aux travaux du théâtre, ils ne purent demeurer ét
jalousie envers Molière, à l’occasion du succès de l’Ecole des Femmes
81.
Cette accusation de l’auteur de Zénobie contre l’
nsemble ; il m’ordonne des remèdes ; je ne les fais pas, et je guéris
87.
Ce n’était là malheureusement qu’une saillie sans
lus et à qui il donna le plus de soins, ce fut Baron96. Il faisait, à
douze
ans, la fortune d’une troupe enfantine qui courai
même un jour jusqu’à lui donner un soufflet.La nature et Molière, ces
deux
maîtres dont les leçons étaient dans un si parfai
soient en si mauvais état. Que croyez-vous que je doive lui donner ?
Quatre
pistoles, répondit en hésitant Baron. Je vais lui
ner ? Quatre pistoles, répondit en hésitant Baron. Je vais lui donner
quatre
pistoles pour moi, répliqua Molière ; en voilà vi
vais lui donner quatre pistoles pour moi, répliqua Molière ; en voilà
vingt
que vous lui donnerez pour vous. Il se fait prése
tus, et croyaient qu’il ne devait demander à boire qu’avec une pointe
99.
On a dit une semblable chose de La Fontaine. Le t
blable chose de La Fontaine. Le trait, en effet, leur convient à tous
deux
; mais leur taciturnité n’avait ni le même caract
ce, l’apparat et la représentation. Ayant un revenu annuel de près de
trente
mille francs, somme considérable pour le temps105
pparat et la représentation. Ayant un revenu annuel de près de trente
mille
francs, somme considérable pour le temps105, il u
adroitement mêlée à la flatterie, afin que l’une fasse passer l’autre
106
» Six ans avant sa mort, la faiblesse toujours c
ment mêlée à la flatterie, afin que l’une fasse passer l’autre 106 »
Six
ans avant sa mort, la faiblesse toujours croissan
Hesnault, l’auteur du sonnet de l’Avorton, « Il voit souvent, dit-il,
deux
hommes qui ne sont pas plus chargés d’articles de
souffrit chaque jour davantage de son indifférence et de sa légèreté.
Dix
mois avant sa mort, il s’était rapproché d’elle ;
bsolument. Tout ce qu’il demanda, ce fut que le spectacle commençât à
quatre
heures précises. Il joua ; et, dans le divertisse
le transporta chez lui112. Il demanda plusieurs fois les sacrements.
Deux
prêtres ayant successivement refusé de venir, son
e. Quand il arriva, il n’était plus temps ; Molière venait d’expirer.
Deux
de ces religieuses qui venaient quêter à Paris pe
r le sang qui sortait à grands flots de sa bouche. Ce fut le vendredi
17
février 1673, à dix heures du soir, une heure au
ui sortait à grands flots de sa bouche. Ce fut le vendredi 17 février
1673,
à dix heures du soir, une heure au plus après avo
it à grands flots de sa bouche. Ce fut le vendredi 17 février 1673, à
dix
heures du soir, une heure au plus après avoir qui
ndit le dernier soupir, âgé seulement de cinquante-un ans, un mois et
deux
ou trois jours114. Comme il était mort sans avoir
dernier soupir, âgé seulement de cinquante-un ans, un mois et deux ou
trois
jours114. Comme il était mort sans avoir pu se ré
a sépulture ! En Grèce, on lui eût élevé des autels. Elle adressa, le
20
février, une requête à l’archevêque de Paris115,
lière fut enterré au cimetière Saint-Joseph. Le jour de ses obsèques (
21
février), le peuple se rassembla en tumulte devan
pieux empressements de l’amitié suppléèrent aux pompes religieuses ;
Deux
cents personnes, ayant chacune un flambeau à la m
x empressements de l’amitié suppléèrent aux pompes religieuses ; Deux
cents
personnes, ayant chacune un flambeau à la main, s
rsonnes, ayant chacune un flambeau à la main, suivirent le corps, que
deux
prêtres seulement conduisaient de nuit et en sile
auvaises, eut la malencontreuse idée d’aller l’offrir au grand Condé
121.
Plût à Dieu, lui dit un peu durement le héros, qu
le prouvait sut bien la maîtriser ; car elle joua, dit-on, la comédie
treize
jours après la mort de son mari122. Après quatre
, dit-on, la comédie treize jours après la mort de son mari122. Après
quatre
ans de veuvage, elle se remaria à un obscur coméd
fut fermé pendant une semaine entière124. Avant la rentrée de Pâques,
quatre
des principaux sujets de cette troupe s’engagèren
refaites, le roi déclara qu’il voulait qu’il n’y eût plus à Paris que
deux
troupes de comédiens français, l’une au théâtre d
de l’élite de la troupe du Marais et des débris de celle de Molière.
Sept
ans après, le roi, jugeant qu’une seule troupe su
édie française que nous voyons encore subsister aujourd’hui125.
1.
Dans tous les rôles de petits bourgeois tels que
t-être rien d’aussi péniblement, d’aussi incorrectement écrit que ces
deux
vers du rôle d’Alceste : Et la plus glorieuse (e
ureté du style se joignent à la force et à l’élévation des pensées.
2.
Page 1057 et suivantes du tome VIII de l’édition
style se joignent à la force et à l’élévation des pensées. 2. Page
1057
et suivantes du tome VIII de l’édition en 12 volu
rce et à l’élévation des pensées. 2. Page 1057 et suivantes du tome
VIII
de l’édition en 12 volumes in-8º, ou page 360et s
des pensées. 2. Page 1057 et suivantes du tome VIII de l’édition en
12
volumes in-8º, ou page 360et suiv. du tome XLVIII
7 et suivantes du tome VIII de l’édition en 12 volumes in-8º, ou page
360et
suiv. du tome XLVIII de l’éd. de Kehl, 70 vol. in
me VIII de l’édition en 12 volumes in-8º, ou page 360et suiv. du tome
XLVIII
de l’éd. de Kehl, 70 vol. in-8º. 3. Andromaquee
2 volumes in-8º, ou page 360et suiv. du tome XLVIII de l’éd. de Kehl,
70
vol. in-8º. 3. Andromaqueest de 1667 ; et cette
ou page 360et suiv. du tome XLVIII de l’éd. de Kehl, 70 vol. in-8º.
3.
Andromaqueest de 1667 ; et cette même année vit
du tome XLVIII de l’éd. de Kehl, 70 vol. in-8º. 3. Andromaqueest de
1667
; et cette même année vit paraître la IXesatire d
soit montré dans toute sa force. Alors, Molière avait fait jouer ses
vingt
premières comédies,le Misanthropeetle Tartuffecom
mières comédies,le Misanthropeetle Tartuffecompris. Molière est né en
1620
; Boileau, en 1636 ; et Racine, en 1639 : on conç
Misanthropeetle Tartuffecompris. Molière est né en 1620 ; Boileau, en
1636
; et Racine, en 1639 : on conçoit que, d’une diff
ffecompris. Molière est né en 1620 ; Boileau, en 1636 ; et Racine, en
1639
: on conçoit que, d’une différence d’âge de seize
1636 ; et Racine, en 1639 : on conçoit que, d’une différence d’âge de
seize
; on dix-neuf ans entre des écrivains, il devait
acine, en 1639 : on conçoit que, d’une différence d’âge de seize ; on
dix-neuf
ans entre des écrivains, il devait en résulter un
où la langue se formait et marchait rapidement vers sa perfection.
4.
Voltaire, dans son Commentaire sur Corneille, ouv
us d’assurance. Dépit amoureux. Cet exemple, qnoteue je cite entre
mille
, prouve que Voltaire, pour commenter grammaticale
vérité que l’exagération de la forme n’empêche pas de reconnaître.
5.
Cette première édition des œuvres de Molière réun
ée qu’à la Bibliothèque du Roi, est en sept volumes, petit in-12. Les
deux
premiers volumes seulement ont une pagination sui
s pièces détachées dont les éditions n’étaient pas encore épuisées.
6.
Ces termes d’escrime étaient si familiers alors,
ce dit à Isabelle : Tu vas sortir de garde et perdre tes mesures.
7.
Cet éditeur de 1734 dit, dans son avertissement,
: Tu vas sortir de garde et perdre tes mesures. 7. Cet éditeur de
1734
dit, dans son avertissement, qu’afin de rectifier
de 1734 dit, dans son avertissement, qu’afin de rectifier le texte de
1682,
il a consulté les éditions originales, et il ajou
l a déposé à la Bibliothèque du Roi sept volumes in-12, contenant les
vingt-trois
comédies qui ont été imprimées du vivant de l’aut
t). Qui ne croirait, d’après de pareilles assurances, que le texte de
1734
est le véritable ? Il n’en est cependant rien. Ce
es moyens d’en donner un qui est incontestablement celui de Molière.
8.
Ces variantes, dans la seule pièce del’Étourdi, s
8. Ces variantes, dans la seule pièce del’Étourdi, sont au nombre de
soixante-dix
. 9. MM. Andrieux et Picard, de l’Académie frança
es, dans la seule pièce del’Étourdi, sont au nombre de soixante-dix.
9.
MM. Andrieux et Picard, de l’Académie française.
e soixante-dix. 9. MM. Andrieux et Picard, de l’Académie française.
10.
Je ne puis cependant passer sons silence M. Lemaz
ignorés des historiens duthéâtre, ou rapportés diversement par eux.
11.
Voltaire n’avait pas jugé indigne de lui le rôle
eur de Molière. C’est en cette qualité, et pour cette même édition de
1734
dont j’ai parlé, qu’il composa laVie de Molière,
ugements sur sespièces, qui font partie desMélanges littéraires, tome
VIII
, dans l’édition en 12 volumes in-8º. M. Rouillé,
qui font partie desMélanges littéraires, tome VIII, dans l’édition en
12
volumes in-8º. M. Rouillé, alors chargé du départ
re, et dont le talent ne démentait guère ce pronostic peu favorable.
12.
M. Raoul-Rochette, de l’Académie des Inscriptions
hette, de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, a publié, en
1825,
une traduction de ces Fragments de Ménandre et de
duction élégante et fidèle, que précède une Préface fort ingénieuse.
13.
Il les a attaqués dansla Critique de l’École des
s Femmes, dansl’Impromptu de Versailles, et dansles Femmes savantes.
14.
J. B. Rousseau, écrivant à Brossette, qui se disp
ec ceux qu’il a pu tirer des comédies italiennes, où, à la réserve de
deux
ou trois, il n’a rien trouvé sûrement qui méritât
qu’il a pu tirer des comédies italiennes, où, à la réserve de deux ou
trois
, il n’a rien trouvé sûrement qui méritât d’être e
qu’on m’en trouve un seul dont il ait l’obligation aux Italiens. »
15.
MM. Collin d’Harleville et Andrieux. 16. MM. Pic
bligation aux Italiens. » 15. MM. Collin d’Harleville et Andrieux.
16.
MM. Picard, Duval, Étienne, Roger, de La Ville, C
plus jeunes auteurs qui promettent de suivre dignement leurs traces.
17.
Je ne puis m’empêcher de raconter ici une anecdot
rt, il y a peu de temps, retiré du théâtre depuis quelques années. En
1800,
Kemble, le fameux acteur anglais, vint à Paris. L
a tragédie. On dit, de part et d’autre, de fort belles choses sur les
deux
systèmes et sur les principaux chefs-d’œuvre auxq
? — Non, Molière n’est pas non plus un Anglais. — C’est fort heureux
1
« Mais, enfin, qu’est-il donc ? — C’est un homme.
ire de la France l’hommage le plus flatteur qu’ils pussent recevoir.
18.
M. Beffara, auteur d’uneDissertation sur J.-B. Po
elin-Molière, sur ses ancêtres, l’époque de sa naissance, etc. Paris,
1821.
Je ne saurais témoigner à M. Beffara trop de reco
laquelle Molière est né. On en trouvera ci-contre un tableau abrégé.
19.
On pourrait remarquer que Molière signa, tonte sa
L’objection serait sans fondement. L’église reconnaît principalement
deux
saints du nom deJean, savoir, Jean Baptiste, et J
n-Baptiste, et son extrait de baptême porte le nom deJeanseulement.
20.
Extrait baptistaire de Molière, tiré des registre
lière, tiré des registres de la paroisse Saint-Eustache. « Du samedi
15
janvier 1622, fut baptisé Jean, fils de Jean Poqu
des registres de la paroisse Saint-Eustache. « Du samedi 15 janvier
1622,
fut baptisé Jean, fils de Jean Poquelin, tapissie
it une raison de s’en tenir à la tradition qui fait naître Molière en
1620.
Mais, suivantun acte, découvert aussi par M. Beff
ar M. Beffara, le père et la mère de Molière furent fiancés et mariés
neuf
mois avant l’époque de son baptême. Faudrait-il d
iés neuf mois avant l’époque de son baptême. Faudrait-il donc croire,
1º
qu’il fût né plus d’un an avant le mariage de ses
roire, 1º qu’il fût né plus d’un an avant le mariage de ses parents ?
2º
que ceux-ci, en se mariant, eussent négligé de le
t, eussent négligé de le reconnaître et de le faire baptiser ? Il est
cent
fois plus naturel de penser qu’il y eut négligenc
r qu’il y eut négligence de la part du prêtre, rédacteur de l’acte.
21.
Armand de Bourbon, prince de Conti, né Paris en 1
teur de l’acte. 21. Armand de Bourbon, prince de Conti, né Paris en
1629,
et mort à Pézenas en 1666. Il était frère du gran
d de Bourbon, prince de Conti, né Paris en 1629, et mort à Pézenas en
1666.
Il était frère du grand Condé et de la duchesse d
la tradition de l’Église, qui ne fut imprimé qu’après sa mort, Paris,
1667,
In-8º. 22. Claude-Emmanuel Luillier Chapelle, né
e l’Église, qui ne fut imprimé qu’après sa mort, Paris, 1667, In-8º.
22.
Claude-Emmanuel Luillier Chapelle, né en 1616, pr
rt, Paris, 1667, In-8º. 22. Claude-Emmanuel Luillier Chapelle, né en
1616,
près Paris, au village de La Chapelle, dont le no
village de La Chapelle, dont le nom lui fut donné, et mort à Paris en
1686.
Sa liaison avec Molière et son Voyageavec Bachaum
l’ont rendu célèbre. Il en sera parlé plus loin avec plus de détail.
23.
Pierre Gassendi, né près de Digne en 1592, mort à
s loin avec plus de détail. 23. Pierre Gassendi, né près de Digne en
1592,
mort à Paris en 1655. Il fut l’adversaire de la p
tail. 23. Pierre Gassendi, né près de Digne en 1592, mort à Paris en
1655.
Il fut l’adversaire de la philosophie de Descarte
issimule,metu atomorum ignis(dans la crainte des « atomes du feu »).
24.
François Bernier, né à Angers, et mort à Paris en
mes du feu »). 24. François Bernier, né à Angers, et mort à Paris en
1688.Après
avoir étudié la médecine, il se mit à voyager. Il
1688.Après avoir étudié la médecine, il se mit à voyager. Il séjourna
douze
ans dans l’Inde. À son retour, Louis XIV lui dema
ition du fameuxArrêt burlesque contre une inconnue nommée la Raison.
25.
Jean Hesnault, fils d’un boulanger, né à Paris, e
snault, fils d’un boulanger, né à Paris, et mort dans cette ville, en
1682.
On ade lui quelques pièces de vers dont les plus
passe pour avoir enseigné à madame Déshoulières l’art de la poésie.
26.
Savinien Cvrano de Bergerac, né vers 1620 en Péri
ulières l’art de la poésie. 26. Savinien Cvrano de Bergerac, né vers
1620
en Périgord, et mort à Paris en 1655. Il était fo
nien Cvrano de Bergerac, né vers 1620 en Périgord, et mort à Paris en
1655.
Il était fort brave et fort querelleur, On le sou
pouvaient y avoir donné lien. Sa comédie du Pédant jouéreprésentée en
1654
eut beaucoup de succès. Ses autres ouvrages sont
ge de la Luneet une Histoire comique des États et Empires du Soleil.
27.
Suivant Bayle, « Hesnault se piquait d’athéisme,
iment avec une fureur et une affectation abominable. Il avait composé
trois
différents systèmes de la mortalité de l’âme, et
rent bien : il se convertit, et voulait porter les choses à l’excès. »
II
paraît qu’il avait entrepris, ainsi que Molière,
est que des amis de l’auteur en avaient des copies entre les mains.
28.
C’est dans cette satire que Boileau dit, en parla
s, je n’ai rien fait en ma vie dont je sois véritablement content.
29.
Le roi, qui appelait son favori, cher ami, dit, e
ine. C’est une anecdote transmise par les courtisans de ce temps-là.
30.
Gaston ayant donné la main à un de ses favoris qu
e premier de vos amis que vous ayez aidé à descendre de l’échafaud.
31.
Voltaire dit qu’il y avait déjà un comédien appel
ixain pour être mis en tête de cet ouvrage (voirŒuvres de Racan, tome
II
, page 211). François de Molière, sieur d’Essertin
r être mis en tête de cet ouvrage (voirŒuvres de Racan, tome II, page
211
). François de Molière, sieur d’Essertines, auteur
rançois de Molière, sieur d’Essertines, auteur dePolyxène, publia, en
1620,
un autre roman intituléla Semaine amoureuse. Le n
es de sa cour, les ballets pour lesquels Benserade faisait des vers.
32.
Charles Coypeau d’Assoucy, né à Paris vers 1604,
ade faisait des vers. 32. Charles Coypeau d’Assoucy, né à Paris vers
1604,
et mort dans la même ville vers 1679, âgé d’envir
peau d’Assoucy, né à Paris vers 1604, et mort dans la même ville vers
1679,
âgé d’environ soixante-quatre ans. Il s’appelait
Paris vers 1604, et mort dans la même ville vers 1679, âgé d’environ
soixante-quatre
ans. Il s’appelait lui-mêmeCharles d’Assoucy, Emp
Proserpine, etle Jugement de Paris ; en outre, un volume deRimes, et
quatre
volumes de sesAventureset de saPrison. 33. Moliè
un volume deRimes, et quatre volumes de sesAventureset de saPrison.
33.
Molière, dit-on, pendant le temps qu’il joua la c
Argan. Il sert encore pour les représentations duMalade imaginaire.
34.
Ces détails sont tirés du chapitre IX desAventure
tations duMalade imaginaire. 34. Ces détails sont tirés du chapitre
IX
desAventures de M. d’Assoucy, 1 vol. in-12, Paris
. Ces détails sont tirés du chapitre IX desAventures de M. d’Assoucy,
1
vol. in-12, Paris, 1677. On voit, dans un autre o
rés du chapitre IX desAventures de M. d’Assoucy, 1 vol. in-12, Paris,
1677.
On voit, dans un autre ouvrage du même auteur, in
it, dans un autre ouvrage du même auteur, intituléAventures d’Italie,
1
vol. in-12, Paris, 1699, qued’Assoucy et Molière
rage du même auteur, intituléAventures d’Italie, 1 vol. in-12, Paris,
1699,
qued’Assoucy et Molière se rencontrèrent aussi à
t, quand tu voudras, Me donner le trépas : J’ai revu ma princesse.
35.
Jean-François Sarrasin, né près de Caen en 1603,
revu ma princesse. 35. Jean-François Sarrasin, né près de Caen en
1603,
mort à Pézenas en décembre i654. Poète et prosate
er auprès d’un maître qui avait la main si prompte et si meurtrière.
36.
Lapremière édition de ce libelle parut, en 1688,
pte et si meurtrière. 36. Lapremière édition de ce libelle parut, en
1688,
à Francfort, chez Frans Rottenberg. Il en fut fai
au titre d’un exemplaire appartenant à la bibliothèque de la Ville.
37.
C’est ainsi que l’abbé Lenglet Dufresnoy, comment
ique ses vers par les mêmes faussetés dont il a rempli son histoire.
38.
On cite de Molière un mot facétieux, qui se rappo
tous cesgnac, ma valise est perdue.En effet, on ne la retrouva pas.
39.
Pierre Mignard, né à Troyes en 1610, et mort à Pa
.En effet, on ne la retrouva pas. 39. Pierre Mignard, né à Troyes en
1610,
et mort à Paris en 1695. 40. Préfacede l’éditio
uva pas. 39. Pierre Mignard, né à Troyes en 1610, et mort à Paris en
1695.
40. Préfacede l’édition des Œuvres de Molière,
. 39. Pierre Mignard, né à Troyes en 1610, et mort à Paris en 1695.
40.
Préfacede l’édition des Œuvres de Molière, donné
de l’édition des Œuvres de Molière, donnée par La Grange et Vinot, en
huit
vol. in-12, Paris, 1682. 41. Boileau regrettait
de Molière, donnée par La Grange et Vinot, en huit vol. in-12, Paris,
1682.
41. Boileau regrettait qu’on eût perdu cette far
ère, donnée par La Grange et Vinot, en huit vol. in-12, Paris, 1682.
41.
Boileau regrettait qu’on eût perdu cette farce. «
e saillant et d’instructif dans les moindres ouvrages de Molière. »
42.
Ces trois farceurs avaient d’abord leurs tréteaux
nt et d’instructif dans les moindres ouvrages de Molière. » 42. Ces
trois
farceurs avaient d’abord leurs tréteaux à l’Estra
milière, il le contrefit trop bien, car il fat décrété, ainsi que ses
deux
compagnons. Ceux-ci prirent la fuite ; mais Gros-
Turlupin en ressentirent les emporta aussi dans la même semaine. Ces
trois
acteurs avaient toujours joué sans femmes. Ils n’
n voulaient point, disaient-ils, parce qu’elles les désuniraient. »
43.
Il faut excepter les cas où la grande pièce était
iage de Figaro, Pinto, les Mœurs du Jour, etc., ont été joués seuls.
44.
La troupe de Molière jouait les mardis, les jeudi
mardis, les jeudis et les samedis, et les Italiens les autres jours.
45.
Œuvres de Segrais, tome II, pages 138 et 159 de
edis, et les Italiens les autres jours. 45. Œuvres de Segrais, tome
II
, pages 138 et 159 de l’édition en deux vol., Pari
es Italiens les autres jours. 45. Œuvres de Segrais, tome II, pages
138
et 159 de l’édition en deux vol., Paris, 1755. 4
iens les autres jours. 45. Œuvres de Segrais, tome II, pages 138 et
159
de l’édition en deux vol., Paris, 1755. 46. Paul
s. 45. Œuvres de Segrais, tome II, pages 138 et 159 de l’édition en
deux
vol., Paris, 1755. 46. Paul Scarron, né à Paris
Segrais, tome II, pages 138 et 159 de l’édition en deux vol., Paris,
1755.
46. Paul Scarron, né à Paris vers 1610, mort dan
s, tome II, pages 138 et 159 de l’édition en deux vol., Paris, 1755.
46.
Paul Scarron, né à Paris vers 1610, mort dans la
édition en deux vol., Paris, 1755. 46. Paul Scarron, né à Paris vers
1610,
mort dans la même ville, en 1660. Racine se cacha
46. Paul Scarron, né à Paris vers 1610, mort dans la même ville, en
1660.
Racine se cachait de Boileau pour lire son Énéide
eau lui-même se déridait le front à la lecture de son Roman comique.
47.
Jean Desmarets de Saint-Sorlin, de Paris, né en 1
n Roman comique. 47. Jean Desmarets de Saint-Sorlin, de Paris, né en
1595,
mort en (676. Auteur, entre autres ouvrages, d’un
. 47. Jean Desmarets de Saint-Sorlin, de Paris, né en 1595, mort en (
676.
Auteur, entre autres ouvrages, d’une traduction e
de Moïseenvingt-six chants, et de la comédie des Visionnaires, jouée,
quatre
ans avant le Menteur, avec un succès qui se souti
ans avant le Menteur, avec un succès qui se soutint fort longtemps.
48.
La troupe italienne partagea aussi cette salle av
ez lui un peintre de leur pays, nommé Vario. « Ce grand comédien, et
mille
fois encore plus grand auteur, dit-il, vivait d’u
s étaient bons acteurs et fort honnêtes gens ; il y en avait toujours
deux
ou trois des meilleurs à nos soupers. Molière en
t bons acteurs et fort honnêtes gens ; il y en avait toujours deux ou
trois
des meilleurs à nos soupers. Molière en était sou
lui donnait ; et il me semble sûr, sans oser pourtant l’assurer après
quarante
ans, d’avoir ouï dire à Molière, en parlant avec
s de valet dans ses comédies. (Préface des Œuvres de Palaprat, Paris,
1735.
) » Cette dernière réflexion est bien étrange de l
olière n’a confié la conduite de l’intrigue à des valets que dans ses
deux
premières pièces, et, plus tard, dans deux farces
à des valets que dans ses deux premières pièces, et, plus tard, dans
deux
farces sans conséquence ; et que, dans Tartuffe,
e théâtre, de comprendre la comédie, et de sentir Molière lui-même.
49.
Molière, dans l’lmpromptu de Versailles, s’étant
r venger son père, composa l’Impromptu de l’Hôtel de Condé. Voir tome
III
, pages 331 et 332 de cette édition. 50. Œuvres
n père, composa l’Impromptu de l’Hôtel de Condé. Voir tome III, pages
331
et 332 de cette édition. 50. Œuvres de J. Racin
composa l’Impromptu de l’Hôtel de Condé. Voir tome III, pages 331 et
332
de cette édition. 50. Œuvres de J. Racine, avec
l’Hôtel de Condé. Voir tome III, pages 331 et 332 de cette édition.
50.
Œuvres de J. Racine, avec le Commentaire de La H
ition. 50. Œuvres de J. Racine, avec le Commentaire de La Harpe, t.
VII
, p. 170. La lettre de Racine est du mois de décem
La Harpe, t. VII, p. 170. La lettre de Racine est du mois de décembre
1663.
Dans l’édition que Louis Racine a donnée, en 1747
u mois de décembre 1663. Dans l’édition que Louis Racine a donnée, en
1747,
des Lettres de son père, À la place de ces mots,
e Montfleury ; mais il altérait étrangement les paroles de son père.
51.
Voici le texte de cet acte, inscrit aux registres
ard, fille de feu Joseph Béjard et de Marie Hervé, d’autre part, tous
deux
de cette paroisse, vis-à-vis le Palais royal, fia
Hervé. Armande-Gresinde Béjard. Louis Béjard. Béjard (Madeleine). »
52.
Les personnes qui ont figuré principalement dans
qui prouvent la délicatesse de son esprit et l’honnêteté de son âme.
53.
Entre Molière, né en 1622, et sa femme, née vers
se de son esprit et l’honnêteté de son âme. 53. Entre Molière, né en
1622,
et sa femme, née vers 1645, il y avait une différ
eté de son âme. 53. Entre Molière, né en 1622, et sa femme, née vers
1645,
il y avait une différence d’âge d’environ vingt-t
et sa femme, née vers 1645, il y avait une différence d’âge d’environ
vingt-trois
ans. 54. Pierre Boileau Puimorin, frère puîné d
rs 1645, il y avait une différence d’âge d’environ vingt-trois ans.
54.
Pierre Boileau Puimorin, frère puîné de Despréaux
nes prescrites, Et de l’art même apprend à franchir leurs limites.
55.
Cette fille de Mignard était fort belle, et l’on
t, que Molière en avait été très épris. En tout cas, elle n’avait que
vingt
ans, quand Molière en avait déjà cinquante. Elle
En tout cas, elle n’avait que vingt ans, quand Molière en avait déjà
cinquante
. Elle épousa, en 1696, le comte de Feuquières. So
que vingt ans, quand Molière en avait déjà cinquante. Elle épousa, en
1696,
le comte de Feuquières. Son père disait à Ninon :
u’un peu de mémoire. Tant mieux répondit Ninon, elle ne citera pas.
56.
Boileau disait :« Louis XIV, quand il est dans so
evoir la loi plutôt que la donner. »(Bolœana de Monchesnay, p. 108.)
57.
En 1663, Louis XIV fit comprendre Molière, pour l
a loi plutôt que la donner. »(Bolœana de Monchesnay, p. 108.) 57. En
1663,
Louis XIV fit comprendre Molière, pour la somme d
08.) 57. En 1663, Louis XIV fit comprendre Molière, pour la somme de
mille
francs, dans les gratifications qu’il avait ordon
la société des Bibliophiles français, Molière reçut la sienne depuis
1664
inclusivement jusques et y compris 1671. Comme on
olière reçut la sienne depuis 1664 inclusivement jusques et y compris
1671.
Comme on ne faisait probablement l’état des grati
e dans les premiers mois del’année suivante, Molière, mort en février
1673,
ne fut point porté sur l’état de 1672. 58. « Ce
ante, Molière, mort en février 1673, ne fut point porté sur l’état de
1672.
58. « Cette troupe,dit La Grange dans sa préfac
olière, mort en février 1673, ne fut point porté sur l’état de 1672.
58.
« Cette troupe,dit La Grange dans sa préface des
i souvent employée pour les divertissements du roi, qu’au mois d’août
1665,
Sa Majesté trouva à propos de l’arrêter tout-à-fa
arrêter tout-à-fait à son service, en lui donnant une pension de sept
mille
livres ». Précédemment appelée troupe de Monsieur
elle garda jusqu’à sa fusion avec la troupe de l’Hôtel de Bourgogne.
59.
Chacun sait que Louis XIV indiqua à Molière le pe
s Les Fâcheux, et qu’il lui fournit le sujet des Amants magnifiques.
60.
C’est exactement ce que fit Louis XIV à la second
is XIV à la seconde représentation du Bourgeois gentilhomme(voir tome
VIII
, pages 186 et 187 de cette édition). 61. Telle f
seconde représentation du Bourgeois gentilhomme(voir tome VIII, pages
186
et 187 de cette édition). 61. Telle fut, en effe
représentation du Bourgeois gentilhomme(voir tome VIII, pages 186 et
187
de cette édition). 61. Telle fut, en effet, la c
eois gentilhomme(voir tome VIII, pages 186 et 187 de cette édition).
61.
Telle fut, en effet, la conduite de Louis XIV env
Femmes(voir les notes et la Notice de l’Impromptu de Versailles, tome
III
de cette édition). 62. Pierre Belllocq, né à Par
la Notice de l’Impromptu de Versailles, tome III de cette édition).
62.
Pierre Belllocq, né à Paris en 1645, mort en 1704
lles, tome III de cette édition). 62. Pierre Belllocq, né à Paris en
1645,
mort en 1704. Il composa quelques pièces de vers
de cette édition). 62. Pierre Belllocq, né à Paris en 1645, mort en
1704.
Il composa quelques pièces de vers assez médiocre
e les femmes, enchâssa malignement son nom dans un vers de son épître
X.
Il ne le mettait pas en mauvaise compagnie, puisq
aise compagnie, puisqu’il l’associait à Regnard. Il effaça depuis les
deux
noms, et les remplaça par d’autres. 63. À la cou
gnard. Il effaça depuis les deux noms, et les remplaça par d’autres.
63.
À la cour, tous les services de prévoyance s’appe
re à coucher, en cas qu’il ait besoin de manger ; et ainsi de suite.
64.
Madame Campan, qui rapporte cette anecdote dans s
ire de Louis XIV, qui existait encore lors du mariage de Louis XV (en
1725
), l’avait racontée au père de son mari. Elle semb
homme d’esprit, d’honneur, et incapable d’inventer cette histoire. »
65.
« Chapelle,dit Saint-Marc, éditeur de ses Œuvres
rités gratuitement offensantes, qui est charmé de perdre un procès de
vingt
mille francs, parce qu’il aura, pour son argent,
gratuitement offensantes, qui est charmé de perdre un procès de vingt
mille
francs, parce qu’il aura, pour son argent, droit
ste est une vision ridicule qui ne mérite pas même d’être combattue.
66.
Chapelle, écrivant à Molière (voir Œuvres de Chap
s particularisez le déplaisir que vous donnent les partialités de vos
trois
grandes actrices pour la distribution de vos rôle
tte guerre, sur les différents de la troupe céleste, pour réduire les
trois
déesses à ses volontés. »Ce qu’il y a de plus rem
u’on ne décerne guère aux hommes vivants qui en sont le plus dignes.
67.
Molière, que bien connaissez, Et qui vous a si b
goguettes. Lettre au marquis de Jonsac,Œuvres de Chapelle, p. 190.
68.
M. Andrieux, dans sa petite comédie de Molière av
sa petite comédie de Molière avec ses amis, ou la Soirée d’Auteuil.
69.
La maison qu’occupait Molière à Auteuil, était à
pait fait maintenant partie de la propriété de M. le duc de Praslin.
70.
Boileau n’acheta sa maison d’Auteuil qu’en 1685.
M. le duc de Praslin. 70. Boileau n’acheta sa maison d’Auteuil qu’en
1685.
71. Les convives étaient, dit-on, Jonsac, Nantou
uc de Praslin. 70. Boileau n’acheta sa maison d’Auteuil qu’en 1685.
71.
Les convives étaient, dit-on, Jonsac, Nantouillet
n, Jonsac, Nantouillet, Despréaux, Lulli, Baron, et quelques autres.
72.
On lit, dans les Tusculanes, livre I, ch. 48 : A
i, Baron, et quelques autres. 72. On lit, dans les Tusculanes, livre
I
, ch. 48 : Affertur \n etiam de Sileno fabella qu
n, et quelques autres. 72. On lit, dans les Tusculanes, livre I, ch.
48
: Affertur \n etiam de Sileno fabella quœdam, qu
antageux pour lui, quand il est né, c’est de mourir promptement. »
73.
Dans ces dernières années, on a réimprimé deux fo
ourir promptement. » 73. Dans ces dernières années, on a réimprimé
deux
fois la Vie de Molière par Grimarest. Je n’ai poi
fait de la Vie de notre grand comique ; et Voltaire ignorait alors(en
1730
) ce que Despréaux avait dit de l’ouvrage de Grima
ans des lettres dont le recueil ne fat publié que longtemps après (en
1770
). Despréaux écrivait à Brossette (en 1706) :« Pou
lié que longtemps après (en 1770). Despréaux écrivait à Brossette (en
1706
) :« Pour ce qui est de la Vie de Molière, franche
des plus faux et des plus ennuyeux romans qui aient jamais paru. »
74.
Jacques Rohault, né à Amiens en 1620, mort à Pari
omans qui aient jamais paru. » 74. Jacques Rohault, né à Amiens en
1620,
mort à Paris en 1675. Il était cartésien aussi dé
paru. » 74. Jacques Rohault, né à Amiens en 1620, mort à Paris en
1675.
Il était cartésien aussi déterminé que Bernier ét
ur le rôle du maître de philosophie, dans le Bourgeois gentilhomme.
75.
Voir ce sonnetet cette lettre, t. IX., p. 503 de
ans le Bourgeois gentilhomme. 75. Voir ce sonnetet cette lettre, t.
IX
., p. 503 de cette édition, où ils ont été imprimé
503 de cette édition, où ils ont été imprimés pour la première fois.
76.
« Boileau ne se lassait point d’admirer Molière…
de les mœurs et les caractères des hommes. » (Bolœna de Monchesnay.)
77.
Voir, dans la Notice sur les Fâcheux, t. II, p. 4
(Bolœna de Monchesnay.) 77. Voir, dans la Notice sur les Fâcheux, t.
II
, p. 463 et 464 de cette édition, le jugement que
chesnay.) 77. Voir, dans la Notice sur les Fâcheux, t. II, p. 463 et
464
de cette édition, le jugement que La Fontaine por
s encore, et sur la pièce, dont il venait de Voir la représentation.
78.
C’est ainsi que L. Racine rapporte ce mot. D’autr
pièce, dont il venait de Voir la représentation. 78. C’est ainsi que
L.
Racine rapporte ce mot. D’autres le citent de cet
ont beau se trémousser, ils n’effaceront pas le bonhomme. La leçon de
L.
Racine me semble préférable à tous égards. Non se
onvenable, plus modeste, moins caustique, en tout plus digne de foi.
79.
On aperçoit dans les Lettres de Racine, quelques
e pour lui ; il a été bien aise aussi que j’y fusse présent (novembre
1663
). »— « Je n’ai point vu l’Impromptu de Versailles
— « Je n’ai point vu l’Impromptu de Versailles, ni son auteur, depuis
huit
jours ; j’irai tantôt (décembre 1663). » 80. On
ersailles, ni son auteur, depuis huit jours ; j’irai tantôt (décembre
1663
). » 80. On connaît le mot du grand Condé au suj
ni son auteur, depuis huit jours ; j’irai tantôt (décembre 1663). »
80.
On connaît le mot du grand Condé au sujet de la t
ote d’avoir fait faire une si mauvaise tragédie à l’abbé d’Aubignac.
81.
L’abbé d’Aubignac, dans sa Quatrième dissertation
nt les trophées de Miltiade, qui empêchent Thémistocle de dormir. »
82.
Œuvres de Segrais, t. II, p. 158. 83. Brouette
, qui empêchent Thémistocle de dormir. » 82. Œuvres de Segrais, t.
II
, p. 158. 83. Brouette et Monchesnay attestent l
t Thémistocle de dormir. » 82. Œuvres de Segrais, t. II, p. 158.
83.
Brouette et Monchesnay attestent l’on et l’autre
l’autre que Boileau a voulu peindre Lulli dans ces vers de son épître
IX
: En vain, par sa grimace, un bouffon odieux À t
’a plus rien que d’affreux. Jean-Baptiste Lulli naquit à Florence en
1633,
et mourut à Paris en 1687. 84. Anne de L’Enclos
Jean-Baptiste Lulli naquit à Florence en 1633, et mourut à Paris en
1687.
84. Anne de L’Enclos, ordinairement appelée Nin
aptiste Lulli naquit à Florence en 1633, et mourut à Paris en 1687.
84.
Anne de L’Enclos, ordinairement appelée Ninon, na
84. Anne de L’Enclos, ordinairement appelée Ninon, naquit à Paris, en
1616,
et mourut dans la même ville en 1706, âgée de qua
pelée Ninon, naquit à Paris, en 1616, et mourut dans la même ville en
1706,
âgée de quatre-vingt-dix ans. 85. Ce passage est
aquit à Paris, en 1616, et mourut dans la même ville en 1706, âgée de
quatre-vingt-dix
ans. 85. Ce passage est tiré d’un ouvrage de l’a
et mourut dans la même ville en 1706, âgée de quatre-vingt-dix ans.
85.
Ce passage est tiré d’un ouvrage de l’abbé de Châ
teauneuf, intitulé Dialogue sur la Musique des Anciens, in-12, Paris,
1725.
Voltaire, qui tenait sans doute de l’abbé de Chât
aventure qu’avait racontée Ninon, en fit sa comédie du Dépositaire.
86.
Un contemporain de Molière assure pourtant qu’il
ce même Molière, pendant une oppression, s’est fait saigner jusques à
quatre
fois pour un jour. » Mercure galant, t. IV, p. 27
fait saigner jusques à quatre fois pour un jour. » Mercure galant, t.
IV
, p. 277 et 290. 87. Après les traits sans nombre
usques à quatre fois pour un jour. » Mercure galant, t. IV, p. 277 et
290.
87. Après les traits sans nombre que Molière a l
à quatre fois pour un jour. » Mercure galant, t. IV, p. 277 et 290.
87.
Après les traits sans nombre que Molière a lancés
usqu’à ce que la nature l’ait guéri ou que les remèdes l’aient tué.
88.
Voir le Troisième placet, en tête de l’Imposteur,
88. Voir le Troisième placet, en tête de l’Imposteur, p. 29 dot t.
VI
de cette édition. 89. Une déclaration du roi, d
e placet, en tête de l’Imposteur, p. 29 dot t. VI de cette édition.
89.
Une déclaration du roi, du 16 avril 1641, relativ
r, p. 29 dot t. VI de cette édition. 89. Une déclaration du roi, du
16
avril 1641, relative aux comédiens, voulait que l
dot t. VI de cette édition. 89. Une déclaration du roi, du 16 avril
1641,
relative aux comédiens, voulait que leur exercice
ort, d’abord en proposant son éloge pour sujet du prix d’éloquence de
1769
; ensuite en décidant que son buste ornerait à l’
gistres de l’Académie constate cette dernière circonstance. Du lundi
23
novembre 1778. M. le secrétaire (d’Alembert) a pr
’Académie constate cette dernière circonstance. Du lundi 23 novembre
1778.
M. le secrétaire (d’Alembert) a prié l’Académie d
Académie choisira celle qui lui paraîtra la plus convenable. Du jeudi
26
novembre. L’Académie a choisi, d’une voix unanime
ription suivante, proposée par M. Saurin : J.-B. Poquelin de Molière,
1778.
Rien ne manque à sa gloire ; il manquait à la nôt
olière, 1778. Rien ne manque à sa gloire ; il manquait à la nôtre.
90.
Dès longtemps, la réputation ‘du comédien est abs
grand parleur n’aurait pu en dire en une heure. »(Mercure galant, t.
IV
, p. 302 et 303.) 91. Molière jouadans la plupart
n’aurait pu en dire en une heure. »(Mercure galant, t. IV, p. 302 et
303.
) 91. Molière jouadans la plupart de ses pièces ;
it pu en dire en une heure. »(Mercure galant, t. IV, p. 302 et 303.)
91.
Molière jouadans la plupart de ses pièces ; il cr
, de Psyché ;Géronte, des Fourberieset Argan, du Malade imaginaire.
92.
Madame Molière avait un petit travers dont on ass
umeur : ce n’est pas ce qu’il y a de moins croyable dans l’anecdote.
93.
Nouvelles nouvelles, par de Visé, IIIepartie, p.
e. 93. Nouvelles nouvelles, par de Visé, IIIepartie, p. 234. Paris,
1663.
94. Œuvres de Segrais, t. II, p. 159. 95. Moli
Nouvelles nouvelles, par de Visé, IIIepartie, p. 234. Paris, 1663.
94.
Œuvres de Segrais, t. II, p. 159. 95. Molière a
de Visé, IIIepartie, p. 234. Paris, 1663. 94. Œuvres de Segrais, t.
II
, p. 159. 95. Molière avait confié à Beauval le r
partie, p. 234. Paris, 1663. 94. Œuvres de Segrais, t. II, p. 159.
95.
Molière avait confié à Beauval le rôle de Thomas
ture lui a donné de meilleures leçons que les miennes pour ce rôle.
96.
Michel Boyron, dit Baron, né à Paris en 1653, mor
s miennes pour ce rôle. 96. Michel Boyron, dit Baron, né à Paris en
1653,
mort en 1729 : auteur de l’Homme à bonnes fortune
ce rôle. 96. Michel Boyron, dit Baron, né à Paris en 1653, mort en
1729
: auteur de l’Homme à bonnes fortunes, où il semb
le donne à entendre, il était familiarisé avec les lettres latines.
97.
Pour Molière, parler peu dans le monde, n’était p
ession de comédien. Il devait redouter également les gens qui parlent
quatre
ou cinq à la fois, et ceux qui parlent trop haut.
comédien. Il devait redouter également les gens qui parlent quatre ou
cinq
à la fois, et ceux qui parlent trop haut. Un jour
e la raison avec un filet de voix contre une gueule comme celle-là ?
98.
Il est peu de grands écrivains dont on ait retenu
s dont on ait retenu moins de mots sentencieux ou plaisants. En voici
deux
seulement que la tradition nous a conservés. Le m
haire, et qu’il me sera défendu de fairedes sermons sur le théâtre ?
99.
Voir la Critique de l’École des Femmes, t. III, p
mons sur le théâtre ? 99. Voir la Critique de l’École des Femmes, t.
III
, p. 188 de cette édition. 100. Ces détails sont
la Critique de l’École des Femmes, t. III, p. 188 de cette édition.
100.
Ces détails sont tirés de la comédie de Zélinde,
ement attribuée à de Visé. Voir la Critique de l’École des Femmes, t.
III
, p. 188 et 189 de cette édition. 101. Nouvelles
à de Visé. Voir la Critique de l’École des Femmes, t. III, p. 188 et
189
de cette édition. 101. Nouvelles nouvelles, tro
tique de l’École des Femmes, t. III, p. 188 et 189 de cette édition.
101.
Nouvelles nouvelles, troisième partie, p. 224 et
. 101. Nouvelles nouvelles, troisième partie, p. 224 et suivantes.
102.
Remarques critiques sur quelques passages de Lon
rques critiques sur quelques passages de Longin, Réflexion première.
103.
Brossette. 104. À ce sujet, Grimarest raconte,
quelques passages de Longin, Réflexion première. 103. Brossette.
104.
À ce sujet, Grimarest raconte, avec sa grace acco
e les pousser, et où il est bien plus ridicule encore d’enêtre fier.
105.
Le marc d’argent, qui valait alors moins de trent
core d’enêtre fier. 105. Le marc d’argent, qui valait alors moins de
trente
francs, en vaut maintenant cinquante-quatre. Ains
d’argent, qui valait alors moins de trente francs, en vaut maintenant
cinquante-quatre
. Ainsi, trente mille francs de revenu du temps de
s moins de trente francs, en vaut maintenant cinquante-quatre. Ainsi,
trente
mille francs de revenu du temps de Molière, répon
de trente francs, en vaut maintenant cinquante-quatre. Ainsi, trente
mille
francs de revenu du temps de Molière, répondaient
nte mille francs de revenu du temps de Molière, répondaient à plus de
cinquante-quatre
mille francs d’aujourd’hui. 106. Lettres famili
de revenu du temps de Molière, répondaient à plus de cinquante-quatre
mille
francs d’aujourd’hui. 106. Lettres familières d
, répondaient à plus de cinquante-quatre mille francs d’aujourd’hui.
106.
Lettres familières de MM. Despréaux et Brossette
ourd’hui. 106. Lettres familières de MM. Despréaux et Brossette, t.
III
, p. 106. 107. Charles Varlet, sieur de La Grange
. Lettres familières de MM. Despréaux et Brossette, t. III, p. 106.
107.
Charles Varlet, sieur de La Grange, né à Amiens,
107. Charles Varlet, sieur de La Grange, né à Amiens, mort à Paris en
1692.
Il était fort bon comédien, et il joua d’original
up son talent, comme le prouve ce mot de l’Impromptu de Versailles(t.
III
, p. 274 de cette édition) : « Pour vous, je n’ai
es affaires avec probité, et tenait les registres avec exactitude. En
1682,
il donna, avec Vinot, ami de Molière, la première
ne sait ce qu’ils sont devenus, ni si l’on a fait une grande perte.
108.
Le Théâtre-Français(par Chappuzeau, p. 197 et 19
ne grande perte. 108. Le Théâtre-Français(par Chappuzeau, p. 197 et
198
). 109. Psyché.Elle y jouait le rôle d’une des G
de perte. 108. Le Théâtre-Français(par Chappuzeau, p. 197 et 198).
109.
Psyché.Elle y jouait le rôle d’une des Grâces.
. 197 et 198). 109. Psyché.Elle y jouait le rôle d’une des Grâces.
110.
C’est une copie d’un de ces portraits, placée dan
e Molière sous l’habit d’Auguste.. »Les comédiens en sont innocents.
111.
Monchesnay, dans le Bolœana dont il est l’éditeur
as des plus soumis avec vous, sentiront mieux votre supériorité. »
112.
Il demenrait alors dans une maison située rue de
: c’est, à ce qu’on croit, la maison qui porte aujourd’hui le numéro
34.
Molière avait demeuré précédemment, 1ºrue Saint-H
i porte aujourd’hui le numéro 34. Molière avait demeuré précédemment,
1ºrue
Saint-Honoré, vis-à-vis le Palais royal, sur la p
is-à-vis le Palais royal, sur la paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois ;
2ºmême
rue Saint-Honoré, mais sur la paroisse Saint-Eust
ustache, et par conséquent dans la partie orientale de cette rue ; et
3ºrue
Saint-Thomas-du-Louvre. Ces différents domiciles
sont constatés par des actes dont M. Beffara a fait la découverte.
113.
M. Vafflard, peintre fort distingué, a fait, de c
t de tous ceux qui sont particulièrement voués au culte de Molière.
114.
Voici de quelle manière La Grange, témoin sans do
dans le Registre qu’il tenait jour par jour : Ce même jour (vendredi
17
février 1675), après la comédie, sur les dix heur
istre qu’il tenait jour par jour : Ce même jour (vendredi 17 février
1675
), après la comédie, sur les dix heures du soir, M
: Ce même jour (vendredi 17 février 1675), après la comédie, sur les
dix
heures du soir, M. de Molière mourut dans sa mais
, il se rompit nue veine dans le corps, et ne vécut pas demi-heure ou
trois
quarts d’heure depuis ladite veine rompue ; et so
ns « de l’Hôtel de Bourgogne. Cependant, après avoir été, le dimanche
19
et le mardi 21, sans jouer, en attendant les ordr
de Bourgogne. Cependant, après avoir été, le dimanche 19 et le mardi
21,
sans jouer, en attendant les ordres du roi, on re
sans jouer, en attendant les ordres du roi, on recommença le vendredi
24
février, etc. 115. Je transcris ici le texte
ant les ordres du roi, on recommença le vendredi 24 février, etc.
115.
Je transcris ici le texte même de cette requête,
n tel soin que pour les écrits qui sont des monuments du langage. Du
20
février 1673. À monseigneur l’illustrissime et ré
que pour les écrits qui sont des monuments du langage. Du 20 février
1673.
À monseigneur l’illustrissime et révérendissime a
nt que, vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février mil
six
cent soixante-treize, sur les neuf heures du soir
ue, vendredi dernier, dix-septième du présent mois de février mil six
cent
soixante-treize, sur les neuf heures du soir, led
endredi dernier, dix-septième du présent mois de février mil six cent
soixante-treize
, sur les neuf heures du soir, ledit feu sieur de
ième du présent mois de février mil six cent soixante-treize, sur les
neuf
heures du soir, ledit feu sieur de Molière s’étan
ustache, sa paroisse, lesquels s’adressèrent à MM. Lenfant et Lechat,
deux
prêtres habitués en ladite paroisse, qui refusère
le sentiment d’un bon chrétien, ainsi qu’il a témoigné en présence de
deux
dames religieuses, demeurant en la même maison, d
t à Paris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mil
six
cent soixante-treize. Extrait des registres de l’
Paris, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mil six
cent
soixante-treize. Extrait des registres de l’Arche
, dans notre palais archiépiscopal, le vingtième février mil six cent
soixante-treize
. Extrait des registres de l’Archevêché de Paris.
aroisse, à condition néanmoins que ce sera sans aucune pompe, et avec
deux
prêtres seulement, et hors des heures du jour, et
s selon leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil
six
cent soixante-treize. Ainsi signé : Archevêque de
lon leur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil six
cent
soixante-treize. Ainsi signé : Archevêque de Pari
eur forme et teneur. Donné à Paris, ce vingtième février mil six cent
soixante-treize
. Ainsi signé : Archevêque de Paris ; et au-dessou
, ce fait rendu par les notaires au Châtelet de Paris, soussignés, le
vingt
et unième mars mil six cent soixante-treize. Le V
otaires au Châtelet de Paris, soussignés, le vingt et unième mars mil
six
cent soixante-treize. Le Vasseur. 116. Quelqu
res au Châtelet de Paris, soussignés, le vingt et unième mars mil six
cent
soixante-treize. Le Vasseur. 116. Quelque peu
u Châtelet de Paris, soussignés, le vingt et unième mars mil six cent
soixante-treize
. Le Vasseur. 116. Quelque peu de malignité qu
le vingt et unième mars mil six cent soixante-treize. Le Vasseur.
116.
Quelque peu de malignité qu’on ait, et quelque cr
avait une rare éloquence et une grande capacité pour les affaires.
117.
Voir les Récréations littéraires, de Cizeron-Riva
. 117. Voir les Récréations littéraires, de Cizeron-Rival, p. 23 et
24.
118. On a prétendu que, sur ce refus d’inhumer M
17. Voir les Récréations littéraires, de Cizeron-Rival, p. 23 et 24.
118.
On a prétendu que, sur ce refus d’inhumer Molière
vait demandé jusqu’à quelle profondeur la terre était sainte. Jusqu’à
quatre
pieds, lui répondit-on. Eh bien ! qu’on l’enterre
e. Jusqu’à quatre pieds, lui répondit-on. Eh bien ! qu’on l’enterre à
cinq
.L’anecdote est fort suspecte. 119. « Comme il pa
t-on. Eh bien ! qu’on l’enterre à cinq.L’anecdote est fort suspecte.
119.
« Comme il passait dans la rue Montmartre, dit Gr
, s’écria : Comment ! malheureuse, il est bien monsieur pour toi. »
120.
La meilleure est, sans contredit, celle-ci, dont
gisent Plaute et Térence ; Et cependant le seul Molière y gît. Leurs
trois
talents ne formoient qu’un esprit, Dont le bel ar
s, selon toute apparence, Térence et Plaute et Molière sont morts.
121.
Le grand Condé avait la plus grande estime pour M
ce congédiait tous ceux qui étaient avec lui, et il était souvent des
trois
et quatre heures avec Molière. On a entendu ce gr
iait tous ceux qui étaient avec lui, et il était souvent des trois et
quatre
heures avec Molière. On a entendu ce grand prince
disait qu’il trouvait toujours à apprendre dans sa conversation. »
122.
Voir les Lettres de Bussy-Rabutin, tome IV, pages
ans sa conversation. » 122. Voir les Lettres de Bussy-Rabutin, tome
IV
, pages 36 et 38. Treize jours étaient sans doute
versation. » 122. Voir les Lettres de Bussy-Rabutin, tome IV, pages
36
et 38. Treize jours étaient sans doute un demi fo
ion. » 122. Voir les Lettres de Bussy-Rabutin, tome IV, pages 36 et
38.
Treize jours étaient sans doute un demi fort cour
» 122. Voir les Lettres de Bussy-Rabutin, tome IV, pages 36 et 38.
Treize
jours étaient sans doute un demi fort court ; mai
ns mêmes que le respect humain devraitpeut-être empêcher de montrer.
123.
Je crois devoir cependant raconter, en abrégé, un
rêté. La rase alors fut découverte, et l’on se mit à la recherche des
deux
friponnes, qui furent bientôt prises. Le présiden
amné a faire une réparation verbale à la comédienne outragée ; et les
deux
femmes le furent à être fouettées nues devant la
et devant la maison de madame Molière. L’arrêt est du mois d’octobre
1675.
Thomas Corneille fit allusion à cette aventure da
re 1675. Thomas Corneille fit allusion à cette aventure dans la scène
VI
du IIIeacte de sa comédie de l’Inconnu. 124. Ce
e aventure dans la scène VI du IIIeacte de sa comédie de l’Inconnu.
124.
Ce n’est pas tout-à-fait en signe de douleur, com
on pourrait le croire. L’extrait du registre de La Grange, cité page
162,
note 2, prouve que cette clôture du théâtre tint
it le croire. L’extrait du registre de La Grange, cité page 162, note
2,
prouve que cette clôture du théâtre tint aussi à
pe, et l’attente des ordres du, qui avait pensé un momentà fondre les
deux
troupes du Palais royal et de l’Hôtel de Bourgogn
de Bourgogne, projet qu’il exécuta plus tard. Comme on ne jouait que
trois
fois par semaine, les représentations du dimanche
ne jouait que trois fois par semaine, les représentations du dimanche
19
et du mardi 21 furent les seules que perdit la tr
rois fois par semaine, les représentations du dimanche 19 et du mardi
21
furent les seules que perdit la troupe. 125. Le
dimanche 19 et du mardi 21 furent les seules que perdit la troupe.
125.
Le théâtre del’Hôtel de Bourgogne était situé rue
ns français, la salle fut occupée par les comédiens italiens jusqu’en
1697,
époque où leur théâtre fut fermé par ordre du roi
où leur théâtre fut fermé par ordre du roi. Ils y furent rétablis, en
1716,
par le régent, et ils la quittèrent, en 1783, pou
s y furent rétablis, en 1716, par le régent, et ils la quittèrent, en
1783,
pour occuper celle qu’on avait construite pour eu
s femmes L’École des femmes fut jouée, pour la première fois, le
26
décembre 1662, eut trente représentations de suit
L’École des femmes fut jouée, pour la première fois, le 26 décembre
1662,
eut trente représentations de suite, et fut impri
des femmes fut jouée, pour la première fois, le 26 décembre 1662, eut
trente
représentations de suite, et fut imprimée au comm
t trente représentations de suite, et fut imprimée au commencement de
1663.
Mademoiselle de Brie fut chargée du rôle d’Agnès,
de Cinna, ou Corneille bassement envieux de Molière, c’est entre ces
deux
faits qu’il faut choisir. Il n’y a pas à balancer
nouvelles tragi-comiques de Scarron, intitulée La Précaution inutile
2,
sont les principales sources où il a puisé. Dans
mari, qui, chaque fois, prend ses mesures pour rompre le commerce des
deux
amants, ne peut jamais parvenir à les surprendre
suivant Molière lui-même, consiste la beauté du sujet de sa comédie
3.
Dans Scarron, un gentilhomme grenadin, souvent tr
ls éléments pussent constituer une comédie d’intrigue et de mœurs, en
cinq
actes, où l’intérêt allât toujours croissant ; où
cesser les accointances d’une jeune innocente et d’un jeune éventé
4,
dont l’une ne lui cache rien par simplicité, et d
lait, par suite de cette première nécessité, qu’Horace, qui a jusqu’à
cinq
entretiens avec Arnolphe, le rencontrât autant de
u’on appelle monologues ; et, dans la pièce, il n’y en a pas moins de
huit
, dont la plupart sont fort longs. Tels étaient le
eur à qui appartiennent les rôles d’amoureux sexagénaires. Arnolphe a
quarante-deux
ans seulement : Molière a marqué son âge, afin qu
de ses prétentions en amour ; son tort n’est pas d’aimer une fille de
seize
ou dix-sept ans, et de vouloir en être aimé son v
étentions en amour ; son tort n’est pas d’aimer une fille de seize ou
dix-sept
ans, et de vouloir en être aimé son véritable tra
but dramatique, ai-je dit, est absolument le même. En effet, dans les
deux
ouvrages, c’est un homme qui, tenant dans sa dépe
aire passer plus promptement en sa possession. Quant au but moral des
deux
comédies, s’il n’y a point de conformité, il y a
est ce qui doit l’empêcher le plus sûrement de s’en écarter. Ce sont
deux
systèmes d’éducation également absurdes ; ils ont
à Racine trop affligé des critiques qu’essuyait sa Phèdre. Ce fut le
1er
janvier 1663 que Molière reçut de son ami les sta
op affligé des critiques qu’essuyait sa Phèdre. Ce fut le 1er janvier
1663
que Molière reçut de son ami les stances qu’on va
663 que Molière reçut de son ami les stances qu’on va lire : En vain
mille
jaloux esprits, Molière, osent, avec mépris, Cens
a Critique de l’École des femmes fut jouée, pour la première fois, le
1er
juin 1663, et fut donnée trente-deux fois de suit
e de l’École des femmes fut jouée, pour la première fois, le 1er juin
1663,
et fut donnée trente-deux fois de suite avec la p
mes fut jouée, pour la première fois, le 1er juin 1663, et fut donnée
trente-deux
fois de suite avec la pièce dont elle était l’ing
, et à laquelle elle procura une brillante reprise. Elle fut imprimée
deux
mois après avoir paru sur le théâtre. Voici ce qu
ace de L’École des femmes : « L’idée de ce dialogue me vint après les
deux
ou trois premières représentations de ma pièce. J
’École des femmes : « L’idée de ce dialogue me vint après les deux ou
trois
premières représentations de ma pièce. Je la dis,
la main, mais encore pour l’y mettre lui-même, et je fus étonné que,
deux
jours après, il me montra toute l’affaire exécuté
e temps incertain s’il donnerait suite à son projet, et ce ne fut que
cinq
mois après la représentation de L’École des femme
tte espèce de controverse est expressément défavorable à Molière, les
deux
champions de sa pièce, qui finissent par se range
L’École des femmes fit époque comme Le Cid ; c’est que chacun de ces
deux
ouvrages était en France le premier chef-d’œuvre
ance le premier chef-d’œuvre du genre et de l’auteur ; c’est que tous
deux
ils eurent un égal succès, comme ils se voient av
être l’auteur de la fameuse exclamation, tarte à la crème ! répétée
dix
fois de suite par le marquis comme un argument sa
années en province, entra au théâtre du Marais, d’où il passa en mai
1662,
dans la troupe de Molière. Il en sortit à la clôt
en mai 1662, dans la troupe de Molière. Il en sortit à la clôture de
1664,
pour se réunir à la troupe de l’hôtel de Bourgogn
pour se réunir à la troupe de l’hôtel de Bourgogne. À la réunion des
deux
troupes, qui eut lieu le 25 août 1680, Brécourt n
l’hôtel de Bourgogne. À la réunion des deux troupes, qui eut lieu le
25
août 1680, Brécourt ne fit point partie de la nou
de Bourgogne. À la réunion des deux troupes, qui eut lieu le 25 août
1680,
Brécourt ne fit point partie de la nouvelle assoc
de la nouvelle association, mais il y fut admis, par ordre du roi, le
8
janvier 1682, avec demi-part, obtint part entière
elle association, mais il y fut admis, par ordre du roi, le 8 janvier
1682,
avec demi-part, obtint part entière le 19 juin 16
dre du roi, le 8 janvier 1682, avec demi-part, obtint part entière le
19
juin 1684, et mourut le 28 mars 1685. Tous ces fa
oi, le 8 janvier 1682, avec demi-part, obtint part entière le 19 juin
1684,
et mourut le 28 mars 1685. Tous ces faits sont co
82, avec demi-part, obtint part entière le 19 juin 1684, et mourut le
28
mars 1685. Tous ces faits sont constants, ces dat
demi-part, obtint part entière le 19 juin 1684, et mourut le 28 mars
1685.
Tous ces faits sont constants, ces dates positive
e s’en tira pas aussi bien que d’une scène assez longue qu’il joua en
1678,
à la chasse du roi, avec un sanglier qui l’atteig
r ajoute que ce fut à Brécourt, rentré au théâtre avant la réunion de
1680,
qu’elle fut due, et qu’il l’obtint par son crédit
l’hôtel de Bourgogne, et il ne rentra dans la nouvelle société que le
8
janvier 1682. D’après les mêmes documents, M. Lem
Bourgogne, et il ne rentra dans la nouvelle société que le 8 janvier
1682.
D’après les mêmes documents, M. Lemercier lui att
janvier 1682. D’après les mêmes documents, M. Lemercier lui attribue
trois
meurtres ; c’est bien assez d’un ; la réputation
, sieur de La Grange, né à Amiens, entra dans la troupe de Molière le
25
avril 1659, après avoir exercé son état en provin
e La Grange, né à Amiens, entra dans la troupe de Molière le 25 avril
1659,
après avoir exercé son état en province avec dist
é son état en province avec distinction, fut conservé à la réunion de
1680,
et mourut, sans avoir quitté le théâtre, le 1er m
rvé à la réunion de 1680, et mourut, sans avoir quitté le théâtre, le
1er
mars 1692. C’était un excellent acteur et un très
réunion de 1680, et mourut, sans avoir quitté le théâtre, le 1er mars
1692.
C’était un excellent acteur et un très honnête ho
it au théâtre de la rue Mazarine ; il le conserva après la réunion de
1680.
Cet emploi, dont presque personne n’a d’idée aujo
ef d’une troupe de province lorsqu’il entra dans celle de Molière, le
25
avril 1659. On ne sait pas bien précisément quel
troupe de province lorsqu’il entra dans celle de Molière, le 25 avril
1659.
On ne sait pas bien précisément quel emploi jouai
dans La Comtesse d’Escarbagnas, etc. Il fut conservé à la réunion de
1680,
quitta le théâtre le 18 avril 1689, avec la pensi
gnas, etc. Il fut conservé à la réunion de 1680, quitta le théâtre le
18
avril 1689, avec la pension de 1 000 francs, et m
. Il fut conservé à la réunion de 1680, quitta le théâtre le 18 avril
1689,
avec la pension de 1 000 francs, et mourut vers l
union de 1680, quitta le théâtre le 18 avril 1689, avec la pension de
1
000 francs, et mourut vers la fin de 1695. L’une
ion de 1680, quitta le théâtre le 18 avril 1689, avec la pension de 1
000
francs, et mourut vers la fin de 1695. L’une de s
avril 1689, avec la pension de 1 000 francs, et mourut vers la fin de
1695.
L’une de ses deux filles, Marie-Angélique Gassaud
pension de 1 000 francs, et mourut vers la fin de 1695. L’une de ses
deux
filles, Marie-Angélique Gassaud, femme de Paul Po
ue Gassaud, femme de Paul Poisson, entra dans la troupe de Molière en
1670,
et mourut en 1756, à 98 ans. Il peut donc encore
e Paul Poisson, entra dans la troupe de Molière en 1670, et mourut en
1756,
à 98 ans. Il peut donc encore exister des personn
oisson, entra dans la troupe de Molière en 1670, et mourut en 1756, à
98
ans. Il peut donc encore exister des personnes qu
ntendu parler de Molière à l’une des actrices de sa troupe, et il y a
cent
quarante-cinq ans qu’il est mort. [La Thorilli
u parler de Molière à l’une des actrices de sa troupe, et il y a cent
quarante-cinq
ans qu’il est mort. [La Thorillière] N. Le
er à l’hôtel de Bourgogne, où il remplaça Lafleur, et y joua jusqu’en
1679.
Conjecture qu’il mourut, en cette année, du chagr
nt il devait être animé. Il composa et fit jouer, au Palais-Royal, le
2
décembre 1667, une tragédie intitulée Cléopâtre.
t être animé. Il composa et fit jouer, au Palais-Royal, le 2 décembre
1667,
une tragédie intitulée Cléopâtre. Elle eut onze r
Royal, le 2 décembre 1667, une tragédie intitulée Cléopâtre. Elle eut
onze
représentations, ce qui annonce quelque succès ;
fut camarade de Molière dans la province. Arrivé avec lui à Paris, en
1658,
il s’y fit beaucoup de réputation ; et, quoique d
t beaucoup de présence d’esprit. Il quitta le théâtre à la clôture de
1670,
et fut le premier à qui l’on accorda la pension d
a clôture de 1670, et fut le premier à qui l’on accorda la pension de
1
000 francs, qu’il conserva jusqu’à sa mort, arriv
clôture de 1670, et fut le premier à qui l’on accorda la pension de 1
000
francs, qu’il conserva jusqu’à sa mort, arrivée l
a pension de 1 000 francs, qu’il conserva jusqu’à sa mort, arrivée le
29
septembre 1678. [Du Parc, dit Gros-René] D
1 000 francs, qu’il conserva jusqu’à sa mort, arrivée le 29 septembre
1678.
[Du Parc, dit Gros-René] Du Parc, dit Gros
Gros-René, était un des meilleurs acteurs de la troupe de Molière. En
1645,
il faisait partie d’une troupe bourgeoise, qui jo
tenu, mais moins développé dans Le Cocu imaginaire. Du Parc mourut le
4
novembre 1664 ; et sa mort affligea tellement ses
moins développé dans Le Cocu imaginaire. Du Parc mourut le 4 novembre
1664
; et sa mort affligea tellement ses camarades, qu
part fut continuée à mademoiselle du Parc, jusqu’à Pâques de l’année
1665.
Les historiens du théâtre se sont trompés quand i
oupe quitta la province avec son chef, pour venir débuter à Paris, en
1658.
Après la mort de Molière, de Brie fut conservé, m
de la réunion de celles du Marais et du Palais-Royal ; il y mourut le
9
mars 1676. Ce fat de Brie qui joua d’original le
éunion de celles du Marais et du Palais-Royal ; il y mourut le 9 mars
1676.
Ce fat de Brie qui joua d’original le rôle de M.
chagrins conjugaux, et que mademoiselle de Brie avait du talent pour
deux
. Ces sortes de compensations n’ont pas été très r
de Molière lorsqu’il partit pour la province, et revint avec lui, en
1658,
à Paris, où elle eut beaucoup de succès. Racine,
retour avec Racine. Mademoiselle du Parc joua le rôle d’Andromaque en
1667,
et les comédiens de l’hôtel de Bourgogne n’eurent
is ils n’en profitèrent pas longtemps. Mademoiselle du Parc mourut le
11
décembre 1668. Cette actrice était belle, avait b
profitèrent pas longtemps. Mademoiselle du Parc mourut le 11 décembre
1668.
Cette actrice était belle, avait beaucoup de grâc
en Languedoc et en Provence, prit parti dans la troupe de Molière en
1645,
vint à Paris avec lui, en 1658, et y joua les rei
it parti dans la troupe de Molière en 1645, vint à Paris avec lui, en
1658,
et y joua les reines et les soubrettes jusqu’à sa
8, et y joua les reines et les soubrettes jusqu’à sa mort, arrivée le
17
février 1672, un an jour pour jour avant celle de
a les reines et les soubrettes jusqu’à sa mort, arrivée le 17 février
1672,
un an jour pour jour avant celle de son gendre. M
d qu’elle le garda jusqu’à sa retraite ; d’Hannetaire ajoute, jusqu’à
soixante-cinq
ans ; cela est impossible. Mademoiselle de Brie,
st impossible. Mademoiselle de Brie, qui vint à Paris avec Molière en
1658,
fut conservée à. la réunion de 1680, et quitta le
qui vint à Paris avec Molière en 1658, fut conservée à. la réunion de
1680,
et quitta le théâtre à la clôture de 1685, avec l
conservée à. la réunion de 1680, et quitta le théâtre à la clôture de
1685,
avec la pension de 1 000 francs. Si elle avait so
e 1680, et quitta le théâtre à la clôture de 1685, avec la pension de
1
000 francs. Si elle avait soixante-cinq ans en 16
1680, et quitta le théâtre à la clôture de 1685, avec la pension de 1
000
francs. Si elle avait soixante-cinq ans en 1685,
à la clôture de 1685, avec la pension de 1 000 francs. Si elle avait
soixante-cinq
ans en 1685, ce serait donc à une actrice de quar
, avec la pension de 1 000 francs. Si elle avait soixante-cinq ans en
1685,
ce serait donc à une actrice de quarante-deux ans
elle avait soixante-cinq ans en 1685, ce serait donc à une actrice de
quarante-deux
ans que Molière aurait confié le rôle d’Agnès dan
lière aurait confié le rôle d’Agnès dans L’École des femmes, jouée en
1662.
Il y a là quelque petite erreur d’une vingtaine d
etite erreur d’une vingtaine d’années. Mademoiselle de Brie mourut le
19
novembre 1706. [Mademoiselle du Croisy] Ma
d’une vingtaine d’années. Mademoiselle de Brie mourut le 19 novembre
1706.
[Mademoiselle du Croisy] Marie Claveau, fe
assaud, sieur du Croisy, entra avec lui dans la troupe de Molière, en
1659.
Cette actrice était si médiocre, pour ne pas dire
actrice était si médiocre, pour ne pas dire plus, qu’à la clôture de
1664,
la moitié de la troupe ne voulait plus qu’elle eû
un an après, l’autre moitié fut du même avis. Elle se retira à Pâques
1665.
[Mademoiselle Hervé] Mademoiselle Hervé. E
ante qui ne fut pas reçue. Elle le fut si bien, qu’arrivée à Paris en
1658
avec la troupe de Molière, Mademoiselle Hervé y r
ssa au théâtre de Guénégaud, où elle resta jusqu’à sa mort arrivée le
3
juillet 1675, n’ayant jamais eu de talent, et aya
âtre de Guénégaud, où elle resta jusqu’à sa mort arrivée le 3 juillet
1675,
n’ayant jamais eu de talent, et ayant toujours eu
ais eu de talent, et ayant toujours eu part entière, excepté dans les
deux
années qui suivirent la réunion des troupes du Pa
rt, et d’un gentilhomme nommé M. de Modène, épousa Molière en février
1662,
se remaria, le 31 mai 1677, avec Isaac-François G
me nommé M. de Modène, épousa Molière en février 1662, se remaria, le
31
mai 1677, avec Isaac-François Guérin, sieur d’Est
é M. de Modène, épousa Molière en février 1662, se remaria, le 31 mai
1677,
avec Isaac-François Guérin, sieur d’Estriché, exc
réunie à celle du Palais-Royal, fut conservée à la seconde réunion de
1680,
se retira du théâtre le 14 octobre 1694, avec la
, fut conservée à la seconde réunion de 1680, se retira du théâtre le
14
octobre 1694, avec la pension de 1 000 francs, et
rvée à la seconde réunion de 1680, se retira du théâtre le 14 octobre
1694,
avec la pension de 1 000 francs, et mourut le 3 n
de 1680, se retira du théâtre le 14 octobre 1694, avec la pension de
1
000 francs, et mourut le 3 novembre 1700. Une gra
e 1680, se retira du théâtre le 14 octobre 1694, avec la pension de 1
000
francs, et mourut le 3 novembre 1700. Une grande
tre le 14 octobre 1694, avec la pension de 1 000 francs, et mourut le
3
novembre 1700. Une grande partie des détails de s
ctobre 1694, avec la pension de 1 000 francs, et mourut le 3 novembre
1700.
Une grande partie des détails de sa vie, entrant
es flots d’adorateurs, pour désespérer Molière qui l’adorait, et dont
cent
fois elle mit à bout toute la philosophie ! Jeann
, magistrat de Grenoble, furent condamnées, pour cette espièglerie, à
30
francs d’amende, et à être fustigées de verges de
ut la chambre des vacations qui confirma cette sentence, par arrêt du
17
octobre 1675, et on l’exécuta le 24. Les annalist
re des vacations qui confirma cette sentence, par arrêt du 17 octobre
1675,
et on l’exécuta le 24. Les annalistes du théâtre
irma cette sentence, par arrêt du 17 octobre 1675, et on l’exécuta le
24.
Les annalistes du théâtre ont regardé cette anecd
bientôt pour courir la province avec une troupe de comédiens, et vers
1635
il entra dans celle de l’hôtel de Bourgogne. En 1
médiens, et vers 1635 il entra dans celle de l’hôtel de Bourgogne. En
1638,
il épousa Jeanne de la Chalpe, veuve de Pierre Ro
fît dans sa maison de campagne de Ruel. Montfleury mourut en décembre
1667,
pendant le cours des représentations d’Andromaque
Versailles, qu’ il faut qu’un roi de théâtre soit gros et gras comme
quatre
, entripaillé comme il faut, d’une vaste circonfér
te du sien, c’est une tragédie intitulée La Mort d’Asdrubal, jouée en
1647
; et ce n’est pas une preuve très forte, quoique
[Hauteroche] Noël le Breton, sieur de Hauteroche, né à Paris en
1617,
y mourut en 1707, âgé de 90 ans. Fils d’un huissi
Noël le Breton, sieur de Hauteroche, né à Paris en 1617, y mourut en
1707,
âgé de 90 ans. Fils d’un huissier au parlement, q
on, sieur de Hauteroche, né à Paris en 1617, y mourut en 1707, âgé de
90
ans. Fils d’un huissier au parlement, qui jouissa
teur d’une troupe en Allemagne, et enfin il vint débuter à Paris. Dès
1654,
il était au théâtre du Marais ; il passa ensuite
il passa ensuite à l’hôtel de Bourgogne fut conservé à la réunion de
1680,
et se retira en 1682, avec une pension de 1 000 f
hôtel de Bourgogne fut conservé à la réunion de 1680, et se retira en
1682,
avec une pension de 1 000 francs. Hauteroche étai
servé à la réunion de 1680, et se retira en 1682, avec une pension de
1
000 francs. Hauteroche était d’une haute taille,
rvé à la réunion de 1680, et se retira en 1682, avec une pension de 1
000
francs. Hauteroche était d’une haute taille, d’un
sieurs ont au moins le mérite d’être fort plaisantes. Il en est resté
quatre
au théâtre : Le Deuil, Le Cocher supposé, Crispin
eau y jouaient sous leurs noms. De Villiers se retira du théâtre vers
1670.
[Beauchâteau] François Châtelet, dit Beauc
tait gentilhomme. Entraîné par un penchant irrésistible, il débuta en
1633
à l’hôtel de Bourgogne, et y fut reçu. Quoique Be
qu’il joua d’original le rôle d’Alcippe dans Le Menteur. Il mourut en
1665.
[Mademoiselle Beauchâteau] Madeleine du Bo
ur le Cid) nous apprend qu’elle remplissait le rôle de l’Infante. En
1673,
elle faisait encore partie de la troupe de l’hôte
; mais peu de temps après, elle quitta le théâtre avec une pension de
1
000 francs, et se retira à Versailles, où elle mo
mais peu de temps après, elle quitta le théâtre avec une pension de 1
000
francs, et se retira à Versailles, où elle mourut
pension de 1 000 francs, et se retira à Versailles, où elle mourut le
6
janvier 1683. Notice historique et littérair
1 000 francs, et se retira à Versailles, où elle mourut le 6 janvier
1683.
Notice historique et littéraire sur L’Improm
uée sur La Critique de l’École des femmes, dont elle différait en ces
deux
points seulement, qu’elle était écrite en vers, e
lait de son École des femmes, de sa Critique ; et des passages de ces
deux
pièces étaient malignement commentés ; enfin, on
ta cet ordre pendant un séjour qu’il fit à la cour avec sa troupe, du
11
au 26 octobre 1663 : le titre même d’Impromptu de
ordre pendant un séjour qu’il fit à la cour avec sa troupe, du 11 au
26
octobre 1663 : le titre même d’Impromptu de Versa
ant un séjour qu’il fit à la cour avec sa troupe, du 11 au 26 octobre
1663
: le titre même d’Impromptu de Versailles, exprim
1663 : le titre même d’Impromptu de Versailles, exprime à la fois ces
deux
circonstances, du lieu où la pièce fut composée,
e. La date de la représentation donnée devant le roi est indécise. Le
4
novembre suivant, la pièce fut jouée à Paris, et
ise. Le 4 novembre suivant, la pièce fut jouée à Paris, et elle y eut
dix-neuf
représentations consécutives. Molière ne la fit p
bliée, pour la première fois, dans l’édition de ses œuvres, donnée en
1682,
par La Grange et Vinot. Boursault, livré à la ris
de lui ; mais on en est fâché pour l’auteur du Mercure galant et des
deux
Ésope. Molière, dans L’Impromptu de Versailles, s
e fait La Femme juge et partie, donna L’Impromptu de l’hôtel de Condé
7,
comédie en un acte et en vers, où un personnage,
ult, dont nous plaignons aujourd’hui la disgrâce, en considération de
deux
ou trois bons ouvrages, et d’autant d’actions hon
t nous plaignons aujourd’hui la disgrâce, en considération de deux ou
trois
bons ouvrages, et d’autant d’actions honnêtes qui
s, et la plus forte peut-être à tous égards, Le Tartuffe, sont toutes
deux
dénouées par un moyen semblable, c’est-à-dire par
rtissement du commentateur [Ballet du Mariage forcé] L’éditeur de
1734
est le premier qui ait eu l’idée de donner le liv
donner le livret du Mariage forcé, ballet, tel qu’il fut imprimé, en
1664,
chez Robert Ballard ; mais il ne l’a point donné
est convenu d’appeler un ouvrage de commande. Louis XIV, alors âgé de
vingt-six
ans, aimait à déployer les grâces majestueuses de
iage forcé, qui fut représentée, pour la première fois, au Louvre, le
29
janvier 1664 : le roi dansa dans une des entrées.
qui fut représentée, pour la première fois, au Louvre, le 29 janvier
1664
: le roi dansa dans une des entrées. Molière, sup
divertissements, et resserrant en un seul acte sa pièce qui en avait
trois
originairement, la donna sur le théâtre du Palais
ait trois originairement, la donna sur le théâtre du Palais-Royal, le
15
février suivant ; elle y eut douze représentation
na sur le théâtre du Palais-Royal, le 15 février suivant ; elle y eut
douze
représentations de suite, et ne fut imprimée que
t ; elle y eut douze représentations de suite, et ne fut imprimée que
quatre
ans après, en 1668. Le fameux comte de Grammont,
représentations de suite, et ne fut imprimée que quatre ans après, en
1668.
Le fameux comte de Grammont, le héros des mémoire
d’y être fidèle ; et déjà il avait repris le chemin de la France. Les
deux
frères de mademoiselle Hamilton se mirent à sa po
faire. Telle est l’anecdote, peut-être apocryphe, que l’on cite dans
vingt
ouvrages, comme ayant fourni à Molière le sujet d
umaines, la scène du Mariage forcé, et celle de L’Amour médecin, sont
deux
pendants admirables, où se trouve retracée l’hist
faits ne répondent que trop clairement à cette seconde question.
1.
Le comte du Broussin, pour faire sa cour au comma
vec colère, lui disait tout haut : Ris donc, parterre, ris donc.
2.
C’est dans cette même Nouvelle que Sedaine a pris
presque tous les détails de sa jolie comédie de La Gageure imprévue.
3.
Critique de l’École des femmes, scène vii. 4.
a Gageure imprévue. 3. Critique de l’École des femmes, scène vii.
4.
Vers de L’École des femmes, acte IV, scène vii.
e l’École des femmes, scène vii. 4. Vers de L’École des femmes, acte
IV
, scène vii. 5. Qui diable vous a fait aussi vo
mmes, scène vii. 4. Vers de L’École des femmes, acte IV, scène vii.
5.
Qui diable vous a fait aussi vous aviser À quar
acte IV, scène vii. 5. Qui diable vous a fait aussi vous aviser À
quarante-deux
ans de vous débaptiser ? École
ux ans de vous débaptiser ? École des femmes, acte
I
, scène i. 6. Les frères Parfaict, copiés par la
débaptiser ? École des femmes, acte I, scène i.
6.
Les frères Parfaict, copiés par la plupart de ceu
ffaires du théâtre, que La Harpe, dans son Cours de littérature (tome
V
, page 421, de l’édition originale), attribue à ce
du théâtre, que La Harpe, dans son Cours de littérature (tome V, page
421,
de l’édition originale), attribue à ce même de Vi
nière pièce est incontestablement l’ouvrage du comédien de Villiers.
7.
On ignore pourquoi la pièce de Montfleury est int
aginé de constater cette circonstance par le titre même de sa pièce.
8.
La date précise du mariage du comte de Grammont a
es ; mais, dans les vers du ballet de La Naissance de Vénus, dansé le
26
janvier 1665, Benserade fait dire à madame de Gra
dans les vers du ballet de La Naissance de Vénus, dansé le 26 janvier
1665,
Benserade fait dire à madame de Grammont, qui dan
Chapitre
V.
Le théâtre des Gelosi (suite) Il ne faut point
jouée par la signora Antonella Bajardi) et son camarade Piombino, les
deux
vieillards Pantalon et Gratiano, leurs femmes Isa
t tenu par la signora Silvia Roncagli, de Bergame. ACTE PREMIER scène
I
. À la suite de la querelle qui a eu lieu entre el
er demander audit Oratio le portrait qu’elle lui a donné jadis. scène
II
. Le capitaine Spavente raconte à Arlequin comment
de la signora Vittoria. Arlequin lui dit qu’il perd son temps. scène
III
. Survient Lesbino que le capitaine consent à pren
tions bouffonnes sur sa bravoure et sur ses talents militaires. scène
IV
. Flaminia, de sa fenêtre, appelle Arlequin et le
retire. Arlequin regarde attentivement la fenêtre de Flaminia. scène
V.
Le docteur Gratiano, mari de Flaminia, voyant Arl
. Le docteur prend la lettre et frappe Arlequin avec sa canne. scènes
VI
à X. Pantalon s’interpose entre le docteur et Arl
docteur prend la lettre et frappe Arlequin avec sa canne. scènes VI à
X.
Pantalon s’interpose entre le docteur et Arlequin
e Flaminia le prie instamment de ne plus fréquenter la comédie. scène
XI
. Oratio, à qui Pedrolino réclame le portrait d’I
ur tous les acteurs et en dernier lieu sur la signora Vittoria. scène
XII
. Isabelle sort au même moment ; elle dissimule d’
injurieux à l’égard de Vittoria qui lui a joué ce méchant tour. scène
XIII
. Le capitaine, entendant ce qu’Oratio dit des com
esquiver l’affaire. Le premier acte finit ainsi. ACTE DEUXIÈME scène
I
. Vittoria, vêtue richement, avec des chaînes d’or
es infinies qu’elle reçoit chaque jour des seigneurs parmesans. scène
II
à V. Pedrolino vante son maître Pantalon à Vittor
finies qu’elle reçoit chaque jour des seigneurs parmesans. scène II à
V.
Pedrolino vante son maître Pantalon à Vittoria. P
Pantalon, flatté, exprime l’intention de lui faire un présent. scène
VI
. Pendant qu’Oratio raconte à son ami Flavio l’his
atio l’accueille à coups de poing et le jette hors du théâtre. scènes
VIII
à XII. Flavio et Pedrolino, puis Flaminia s’effor
accueille à coups de poing et le jette hors du théâtre. scènes VIII à
XII
. Flavio et Pedrolino, puis Flaminia s’efforcent d
i-même traiter de la restitution. Pedrolino leur découvre comment les
deux
vieillards, Pantalon et Gratiano, courtisent la c
eux vieillards, Pantalon et Gratiano, courtisent la comédienne. scène
XIII
. Arrive justement le docteur. Pedrolino feint de
gnora Vittoria qui est amoureuse de lui. Gratiano est enchanté. scène
XIV
. Piombino salue le docteur de la part de la signo
e. Le docteur s’en réjouit et promet une récompense à Piombino. scène
XV
. Le capitaine s’entretient avec son page Lesbino
amoureux, à Milan, d’une très belle jeune fille nommée Silvia. scène
XVI
. Arlequin interrompt son maître pour lui dire que
jurie et maltraite le page. Flaminia et Isabelle interviennent. scène
XVII
. Ayant deviné une femme sous l’habit de Lesbino,
u logis de Flaminia. Ainsi finit le second acte. ACTE TROISIÈME scène
I
. Vittoria et Piombino sortent de dîner chez un ri
lle. Piombino l’engage à amasser du bien pour ses vieux jours. scènes
II
et III. Pantalon vient à passer. Vittoria le reme
iombino l’engage à amasser du bien pour ses vieux jours. scènes II et
III
. Pantalon vient à passer. Vittoria le remercie de
Flavio, que la comédienne arrête avec des discours engageants. scène
IV
. Mais Flaminia les aperçoit de sa fenêtre ; elle
main à sa joue, part sans dire un mot. Vittoria éclate de rire. scène
V.
Pantalon, qui a été témoin de ce coup de théâtre,
hange des compliments avec la comédienne. Mais Isabelle paraît. scène
VI
. Elle reproche à son mari de faire le galant avec
troupes de comédiens, les dames mariées ont la bouche sèche17. scène
VII
. Gratiano arrive à son tour. « Voilà l’autre pige
remettre ces objets. Les comédiens se moquent de sa balourdise. scène
VIII
. Oratio, saluant Vittoria, réclame le portrait d’
le ne sait ce qu’il veut dire, et elle s’éloigne avec Piombino. scène
IX
. Isabelle a vu Oratio parler à la comédienne ; el
vue de cet inconnu, enrage et se retire en maudissant Isabelle. scène
X.
Pantalon demande la cause de tout ce bruit. Isabe
justement l’occasion qu’il lui fallait pour aller au théâtre. scènes
XI
à XVII. Les amoureux se cherchent encore querelle
ement l’occasion qu’il lui fallait pour aller au théâtre. scènes XI à
XVII
. Les amoureux se cherchent encore querelle. Pedro
ils ont tort, car les maris sont à la comédie qui durera bien jusqu’à
six
heures du soir. Ils devraient mieux employer ce t
e rentrer en grâce Silvia auprès du capitaine. Celui-ci paraît. scène
XVIII
. Pedrolino dit au capitaine qu’il trouvera Vitto
a maison où l’attend Silvia dépouillée de son costume masculin. scène
XIX
. Les deux valets Pedrolino et Arlequin restent se
où l’attend Silvia dépouillée de son costume masculin. scène XIX. Les
deux
valets Pedrolino et Arlequin restent seuls sur le
la scène par quelques lazzi. Un fourbe, muni d’une lanterne, voit les
deux
valets. Il se met à pleurer, se lamentant parce q
perdu beaucoup d’argent au jeu de cartes. Il ne lui reste plus qu’une
dizaine
d’écus. Les valets l’invitent à jouer avec eux. I
d’Arlequin, et les laisse en chemise ; les valets se désolent. scène
XX
. Grand tumulte qui s’élève du côté de la comédie.
t l’entraînent. Piombino les suit avec des gestes de désespoir. scène
XXI
. Pantalon et Gratiano, se trouvant en face de leu
ent et demandent à leurs maris si la comédie est déjà terminée. scène
XXII
. Pantalon répond qu’une rixe l’a interrompue, et
elles à jouer à la prime. Pantalon et Gratiano les approuvent. scène
XXIII
. Le capitaine sort de la maison en jurant qu’on
Silvia en oubli, mais il revient à elle et consent à l’épouser. scène
XXIV
. On amène Silvia qui apprend que son amant lui re
oi Henri IV et Marie de Médicis. Cette troupe demeura à Paris pendant
trois
années : long espace de temps, car les troupes it
nes avaient le caractère essentiellement ambulatoire. Au printemps de
1604,
les Gelosi résolurent de s’en retourner dans leur
nent ses discours ! Divin esprit dont la France Adorera l’excellence
Mille
ans après son trépas, (Paris vaut bien l’Italie)
rêtée à Lyon par suite d’un accident, au commencement du mois de juin
1604,
elle y mourut au milieu d’une fausse couche. Des
che. Des honneurs publics furent rendus à l’il- lustre comédienne. Le
10
juin, ses obsèques eurent lieu avec beaucoup de s
ctat. » Une médaille fut frappée à son effigie avec son nom suivi des
deux
lettres C. G. (Comica Gelosa), et ayant au revers
édaille fut frappée à son effigie avec son nom suivi des deux lettres
C.
G. (Comica Gelosa), et ayant au revers une renomm
ostume de Marie Stuart », toutefois avec un peu plus d’embonpoint.
10.
— Médaillon d’Isabelle Andreini. Avec Isabelle
ni quitta le théâtre. Flaminio Scala prit également sa retraite. Tous
deux
ne s’occupèrent plus de leur art qu’en qualité d’
eur art qu’en qualité d’écrivains. Andreini fit paraître à Venise, en
1607,
un recueil des traits les plus comiques de son rô
. F. P. (Jacques de Fonteny Parisien.) » À Paris, chez David Leclerc,
1608.
Voici les arguments des six discours contenus en
risien.) » À Paris, chez David Leclerc, 1608. Voici les arguments des
six
discours contenus en ce livre : Au 1er, le capit
1608. Voici les arguments des six discours contenus en ce livre : Au
1er
, le capitaine Spavente raconte son origine à son
(Trappola) et lui discourt de la montre générale de la cavalerie. Au
2e
, de la guerre faite à Jupiter, et comme il fut so
2e, de la guerre faite à Jupiter, et comme il fut son prisonnier. Au
3e
, du jeu du ballon, de la joute et de courre la ba
nnier. Au 3e, du jeu du ballon, de la joute et de courre la bague. Au
4e
, de la chasse du cerf, du sanglier et de l’ours.
e la bague. Au 4e, de la chasse du cerf, du sanglier et de l’ours. Au
5e
, de ses fils bâtards, et de la querelle qu’il eut
u 5e, de ses fils bâtards, et de la querelle qu’il eut avec Janus. Au
6e
, de son habitation, de sa servitude, de son épée
na, comica Gelosa e academica Intenta, nominata l’Accesa. In Venetia,
1627.
— Fragmenti della signora Andreini, etc., raccolt
pitano Spavento, e dati in luce da Flaminio Scala comico. In Venetia,
1627.
Francesco Andreini et Isabelle laissaient un fils
ini et Isabelle laissaient un fils, Giovanni-Battista Andreini, né en
1579,
qui se distingua dans l’art qui avait illustré se
n 1579, qui se distingua dans l’art qui avait illustré ses parents.
15.
Rappelez-vous L’ École des maris, acte II, scène
it illustré ses parents. 15. Rappelez-vous L’ École des maris, acte
II
, scène 5. 16. « E come alle volte stà cinque e s
é ses parents. 15. Rappelez-vous L’ École des maris, acte II, scène
5.
16. « E come alle volte stà cinque e sei mesi se
s parents. 15. Rappelez-vous L’ École des maris, acte II, scène 5.
16.
« E come alle volte stà cinque e sei mesi senza d
come alle volte stà cinque e sei mesi senza dormire con la moglie. »
17.
« Stanno a bocca secca. » 18. « Che possano star
i mesi senza dormire con la moglie. » 17. « Stanno a bocca secca. »
18.
« Che possano star in letto a godersi. »
la commune voix veut-on qu’il se réduise ? Le Misanthrope, acte
II
, scène v. Le comique est le contraire du tragi
rope, acte II, scène v. Le comique est le contraire du tragique. —
I
. Théorie de la comédie. — Pascal, Swift et Voltai
rd et le Sage. — Piron et Legrand. — Caractère général du tragique. —
II
. Aristophane et la poésie. — III. La comédie nouv
d. — Caractère général du tragique. — II. Aristophane et la poésie. —
III
. La comédie nouvelle et la prose. — Plaute et Tér
oésie. — III. La comédie nouvelle et la prose. — Plaute et Térence. —
IV
. Molière. — Ses farces. — Ses comédies de caractè
e de Plaute et L’Avare de Molière. — Le Tartuffe. — Le Misanthrope. —
V.
Éloge de William Schlegel. — Le Roi de Cocagne. —
ge de William Schlegel. — Le Roi de Cocagne. — Conclusion. Mesdames
4
et Messieurs, Je lis dans le Banquet de Platon :
qui l’accablait encore ; mais il me dit en gros que Socrate força ses
deux
interlocuteurs à reconnaître qu’il appartient au
puisque après tout la connaissance et l’art, savoir et pouvoir, sont
deux
choses très différentes, elle indique du moins à
té en font seules tous les frais, Legrand, l’auteur du Roi de Cocagne
6,
chef-d’œuvre méconnu que la critique allemande au
ôt à élever ce qui est abaissé, tantôt à abaisser ce qui est élevé.
I
De tous les genres de poésie, la tragédie est
si nous n’y sommes pas très attentifs, de prendre l’une pour l’autre
deux
choses si profondément contraires. Qu’on veuille
ion de la ruse, du mensonge, de l’égoïsme, des mauvaises passions, de
1
immoralité en un mot ; la comédie ferait mieux de
tends pas que cette pièce manque absolument de gaieté. Il y en a dans
deux
ou trois situations fort plaisantes, mais le comi
s que cette pièce manque absolument de gaieté. Il y en a dans deux ou
trois
situations fort plaisantes, mais le comique n’éga
le dénouement où il précipite le drame. Semper festinat ad eventum
15.
Quelle doit être, par opposition, la forme extéri
leine, la gaieté tombe, le sérieux reste et le comique s’évanouit.
II
Aristophane est le premier de tous les poètes
s la comédie de L’École des femmes, Horace et Arnolphe se rencontrent
trois
fois à la même place22. L’imagination et la gaiet
déguisement burlesque on s’amuse quelquefois à lever le masque28.
III
L’ancienne comédie ne survécut pas à Aristopha
re eux un plus bel idéal qu’eux tous. Platon a écrit sur la politique
deux
ouvrages, l’un, intitulé la République, où il exp
’un emploi subalterne. « Ô vie humaine, et toi Ménandre ! qui de vous
deux
a imité l’autre ? » Cette bizarre apostrophe d’un
comédie n’est point poétique. Revenons au Bourgeois gentilhomme. Les
deux
derniers actes en sont plus poétiques que les pre
e pièce, bien qu’elle soit écrite en prose. Mais si, réserve faite de
deux
ou trois vrais poèmes, nous jetons les yeux sur l
bien qu’elle soit écrite en prose. Mais si, réserve faite de deux ou
trois
vrais poèmes, nous jetons les yeux sur les œuvres
omédie, mais un drame instructif ou touchant, et l’art en péril est à
deux
doigts de la tragédie bourgeoise et larmoyante47.
dre du vaudeville, leur siècle qui a produit Le Désespoir de Jocrisse
51,
en s’écriant que la grande comédie est morte. Les
hardie et la plus heureuse ? Non content de la similitude parfaite de
deux
frères, Shakespeare y a ajouté celle de deux escl
a similitude parfaite de deux frères, Shakespeare y a ajouté celle de
deux
esclaves, et s’il avait voulu que tous les person
caractères ; mais l’intrigue doit y dominer56. Quant aux caractères,
deux
espèces de gaieté comique peuvent s’y développer
yeux compagnon), il nous présente ce que j’ai appelé le comique avoué
60.
Tel est Falstaff. « Que voulez-vous, dit ce bon v
n autre, par conséquent plus de fragilité62. » Le comique avoue étant
deux
fois plus gai que le comique d’observation, puisq
tre beaucoup de scènes et de caractères, l’autre, fondre en une seule
deux
pièces du grand modèle grec66. À la faveur de la
i de la fortune, vous l’avez nommé : c’est Molière. Je viens, plus de
cent
ans déjà passés, vérifier les titres de sa paisib
cent ans déjà passés, vérifier les titres de sa paisible royauté.
IV
Molière est un maître. Voilà mon entrée en cam
êmement inégal, on trouve dans L’École des femmes, et, çà et là, dans
deux
ou trois scènes du Tartuffe 68, dans une ou deux
inégal, on trouve dans L’École des femmes, et, çà et là, dans deux ou
trois
scènes du Tartuffe 68, dans une ou deux du Misant
École des femmes, et, çà et là, dans deux ou trois scènes du Tartuffe
68,
dans une ou deux du Misanthrope 69, des éclairs d
, et, çà et là, dans deux ou trois scènes du Tartuffe 68, dans une ou
deux
du Misanthrope 69, des éclairs de génie comique,
deux ou trois scènes du Tartuffe 68, dans une ou deux du Misanthrope
69,
des éclairs de génie comique, pendant que ses far
oici quelque chose de plus vif. « Que voulez-vous faire, monsieur, de
quatre
médecins ? N’est-ce pas assez d’un pour tuer une
e mérite que je l’aie proclamé maître dans la farce. Je n’ai plus que
deux
choses à faire remarquer en concluant ce premier
-même. « Allez vite boire dans la cuisine un grand verre d’eau claire
79
! » crie l’avare à son fils, pris tout à coup « d
ssemblance de chacune d’elles avec son modèle. J’examinerai en détail
trois
pièces de Molière, l’une, parce qu’elle est imité
et qu’elle me fournira l’occasion d’un rapprochement instructif ; les
deux
autres, parce qu’elles passent communément pour l
eu quelque soupçon de son trésor. Il se tranquillise ensuite pendant
quatre
actes, on n’entend plus parler de ses inquiétudes
qui fait chasser Damis de la maison, et Damis qui veut lui couper les
deux
oreilles. Grâce à ce système d’équilibre et de po
i proposait comme récompense une représentation du Médecin malgré lui
98.
On venait voir la petite comédie, et pour le plai
u à la plaisante description du « grand flandrin de vicomte », qui, «
trois
quarts d’heure durant, crache dans un puits pour
omique que cette comédie ? Je ne dis pas cela seulement parce que sur
mille
sept cent soixante-douze vers, je n’ai pas trouvé
cette comédie ? Je ne dis pas cela seulement parce que sur mille sept
cent
soixante-douze vers, je n’ai pas trouvé, tout com
comédie ? Je ne dis pas cela seulement parce que sur mille sept cent
soixante-douze
vers, je n’ai pas trouvé, tout compte fait, plus
nt soixante-douze vers, je n’ai pas trouvé, tout compte fait, plus de
neuf
ou dix mots pour rire. Je sais qu’un caractère pe
nte-douze vers, je n’ai pas trouvé, tout compte fait, plus de neuf ou
dix
mots pour rire. Je sais qu’un caractère peint par
si déclarée, que lui et son ami Philinte ne sont pas autre chose que
deux
thèses morales habillées en hommes, argumentant s
is les spectateurs et le personnage, et Alceste a le front si morose,
cinq
actes durant, que tous les spectateurs contracten
ions, qui n’ont pas plus de raison pour finir que pour commencer, les
deux
interlocuteurs, également entêtés dans leur idée,
os est le contraire de l’égoïste : tirez vous-mêmes ma conclusion.
V
Je ne me donnerai pas le plaisir facile d’écr
gardé le sceptre qu’un tel critique lui avait rendu ? J’en crois voir
deux
raisons. La première, c’est qu’il est difficile d
, et Legrand n’a dû qu’à son génie l’idée d’un genre alors absolument
neuf
; car il est probable qu’il ne connaissait pas le
Si le trop de santé vous cause des dédains, Souffrez dans vos États
deux
ou trois médecins : Ils vous la détruiront, je me
rop de santé vous cause des dédains, Souffrez dans vos États deux ou
trois
médecins : Ils vous la détruiront, je me le persu
st sensible ici. Mais elle est rare partout ailleurs, et à part un ou
deux
autres traits mordants de la même espèce, une gai
ns nos climats, la coutume des rois Est de laver leurs mains toujours
deux
ou trois fois114. De guerre lasse, il imagine de
limats, la coutume des rois Est de laver leurs mains toujours deux ou
trois
fois114. De guerre lasse, il imagine de répandre
imagination118. Mais, parmi les débris du naufrage de Molière, il y a
deux
ou trois choses dont, pour moi, je regretterais l
ion118. Mais, parmi les débris du naufrage de Molière, il y a deux ou
trois
choses dont, pour moi, je regretterais la perte,
notre siècle trop délicat ou trop compatissant voudrait abolir119.
4.
Madame de Staël (De l’Allemagne, chap. xxxi) parl
nne n’a rien qui ne soit accessible aux lectrices les plus aimables.
5.
Traduction de M. Cousin. — W. Schlegel rappelle c
t de là pour établir que la comédie est le contraire de la tragédie.
6.
Nous verrons plus bas ce que c’est que Legrand et
ous verrons plus bas ce que c’est que Legrand et Le Roi de Cocagne.
7.
Voilà la pierre de l’angle. Nous nous contenteron
e de l’angle. Nous nous contenterons de renvoyer le lecteur aux pages
68,
72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 323, 352, 368 du
l’angle. Nous nous contenterons de renvoyer le lecteur aux pages 68,
72,
73, 296, 298, 299, 304, 307, 323, 352, 368 du tom
ngle. Nous nous contenterons de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72,
73,
296, 298, 299, 304, 307, 323, 352, 368 du tome Ie
. Nous nous contenterons de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73,
296,
298, 299, 304, 307, 323, 352, 368 du tome Ier du
s nous contenterons de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296,
298,
299, 304, 307, 323, 352, 368 du tome Ier du Cours
s contenterons de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298,
299,
304, 307, 323, 352, 368 du tome Ier du Cours de l
tenterons de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299,
304,
307, 323, 352, 368 du tome Ier du Cours de littér
rons de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299, 304,
307,
323, 352, 368 du tome Ier du Cours de littérature
de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307,
323,
352, 368 du tome Ier du Cours de littérature dram
nvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 323,
352,
368 du tome Ier du Cours de littérature dramatiqu
r le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 323, 352,
368
du tome Ier du Cours de littérature dramatique, t
uit de l’allemand par la plume anonyme de madame Necker de Saussure.
8.
La plaisanterie amère et la moquerie caustique
chez les Romains. — Cours de littérature dramatique, sixième leçon.
9.
Sixième Provinciale. 10. Ce qui doit dominer
s de littérature dramatique, sixième leçon. 9. Sixième Provinciale.
10.
Ce qui doit dominer dans la comédie, c’est l’i
i doit dominer dans la comédie, c’est l’intrigue. — Douzième leçon.
11.
Douzième leçon. 12. Douzième leçon. 13. Douzièm
a comédie, c’est l’intrigue. — Douzième leçon. 11. Douzième leçon.
12.
Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14. Pages 6
trigue. — Douzième leçon. 11. Douzième leçon. 12. Douzième leçon.
13.
Douzième leçon. 14. Pages 69, 298, 299, 348 du t
eçon. 11. Douzième leçon. 12. Douzième leçon. 13. Douzième leçon.
14.
Pages 69, 298, 299, 348 du tome Ier. 15. Deuxiè
Douzième leçon. 12. Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14. Pages
69,
298, 299, 348 du tome Ier. 15. Deuxième leçon.
zième leçon. 12. Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14. Pages 69,
298,
299, 348 du tome Ier. 15. Deuxième leçon. 16.
leçon. 12. Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14. Pages 69, 298,
299,
348 du tome Ier. 15. Deuxième leçon. 16. Sixiè
n. 12. Douzième leçon. 13. Douzième leçon. 14. Pages 69, 298, 299,
348
du tome Ier. 15. Deuxième leçon. 16. Sixième l
çon. 13. Douzième leçon. 14. Pages 69, 298, 299, 348 du tome Ier.
15.
Deuxième leçon. 16. Sixième leçon. 17. Deuxième
çon. 14. Pages 69, 298, 299, 348 du tome Ier. 15. Deuxième leçon.
16.
Sixième leçon. 17. Deuxième leçon 18. La pre
298, 299, 348 du tome Ier. 15. Deuxième leçon. 16. Sixième leçon.
17.
Deuxième leçon 18. La première comédie était
e Ier. 15. Deuxième leçon. 16. Sixième leçon. 17. Deuxième leçon
18.
La première comédie était le genre original et
ndaire, plus voisine de la prose et de la réalité. — Sixième leçon.
19.
Septième leçon. 20. Sixième leçon. 21. Ibid.
de la prose et de la réalité. — Sixième leçon. 19. Septième leçon.
20.
Sixième leçon. 21. Ibid. 22. La place m’es
réalité. — Sixième leçon. 19. Septième leçon. 20. Sixième leçon.
21.
Ibid. 22. La place m’est heureuse à vous y
ixième leçon. 19. Septième leçon. 20. Sixième leçon. 21. Ibid.
22.
La place m’est heureuse à vous y rencontrer.
us y rencontrer. L’École des femmes, acte
IV
, scène vi. 23. Les personnages historiques ne
L’École des femmes, acte IV, scène vi.
23.
Les personnages historiques ne sont jamais chez
chez lui qu’un symbole ; ils désignent une espèce. — Sixième leçon.
24.
Les images idéales et les caricatures grotesque
la comédie nouvelle les caricatures de l’ancienne. — Septième leçon.
25.
La tragédie des Grecs était, pour ainsi dire, s
des allusions du moment et des saillies imprévues. — Sixième leçon.
26.
Les comédies d’Aristophane offrent aussi dans l
ons de toute espèce, ou dissipée par de la gaieté. — Sixième leçon.
27.
Cette puissance illimitée de la gaieté se manif
e rien au sérieux, pas même la forme dramatique. — Sixième leçon.
28.
Sixième leçon. 29. Nous n’en sommes encore qu
as même la forme dramatique. — Sixième leçon. 28. Sixième leçon.
29.
Nous n’en sommes encore qu’à chercher un genre
omique national, sans l’avoir véritablement trouvé.— Septième leçon.
30.
Le poète n’est plus dominé par une verve joyeus
e la gaieté dans les objets mêmes qu’il présente . — Septième leçon.
31.
La gaieté sans but, véritable inspiration du gé
sans but, véritable inspiration du génie comique. — Douzième leçon.
32.
La comédie est d’autant plus divertissante que
divertissante que l’arbitraire y règne davantage. — Sixième leçon.
33.
Pour que la gaieté des spectateurs se soutienn
ou l’autre ramènerait infailliblement le sérieux . — Septième leçon.
34.
Les nouveaux auteurs comiques, privés du libre
rme de la composition, dans le nœud de l’intrigue. — Septième leçon.
35.
La tragédie descendit de la hauteur idéale, lor
t en effet l’avant-coureur de la nouvelle comédie. — Septième leçon.
36.
Les pièces finissent en général par le mariage
aisait son entrée dans ta vie avec cet événement. — Septième leçon.
37.
Satires, I, 4. Traduction de M. Patin. 38. L
ée dans ta vie avec cet événement. — Septième leçon. 37. Satires,
I
, 4. Traduction de M. Patin. 38. Le principe po
dans ta vie avec cet événement. — Septième leçon. 37. Satires, I,
4.
Traduction de M. Patin. 38. Le principe poétiq
nt. — Septième leçon. 37. Satires, I, 4. Traduction de M. Patin.
38.
Le principe poétique domine dans la forme de la
monde tel qu’il est, avec un événement véritable. — Septième leçon.
39.
Pour qu’un ouvrage soit poétique, il faut prem
aisse rien à désirer hors de ses propres limites. — Deuxième leçon.
40.
La fiction de l’auteur comique ne peut plus êt
isemblable, c’est-à-dire qu’elle paraisse réelle . — Septième leçon.
41.
Aussitôt qu’on abandonne les régions élevées d
; mais les circonstances plus ou moins heureuses. — Septième leçon.
42.
Voyez page 44, note 2. 43. Le critique Aristopha
onstances plus ou moins heureuses. — Septième leçon. 42. Voyez page
44,
note 2. 43. Le critique Aristophane. 44. Vers 9
plus ou moins heureuses. — Septième leçon. 42. Voyez page 44, note
2.
43. Le critique Aristophane. 44. Vers 990 à 100
s ou moins heureuses. — Septième leçon. 42. Voyez page 44, note 2.
43.
Le critique Aristophane. 44. Vers 990 à 1005. 4
ème leçon. 42. Voyez page 44, note 2. 43. Le critique Aristophane.
44.
Vers 990 à 1005. 45. Le comique arbitraire, o
. 42. Voyez page 44, note 2. 43. Le critique Aristophane. 44. Vers
990
à 1005. 45. Le comique arbitraire, ou celui d
Voyez page 44, note 2. 43. Le critique Aristophane. 44. Vers 990 à
1005.
45. Le comique arbitraire, ou celui des rôles
page 44, note 2. 43. Le critique Aristophane. 44. Vers 990 à 1005.
45.
Le comique arbitraire, ou celui des rôles de f
, quoique les critiques affectent de la rabaisser. — Septième leçon.
46.
Le bouffon privilégié, tantôt fin et spirituel,
t à un si haut degré les premiers poètes comiques. — Septième leçon.
47.
Si le sérieux gagne du terrain dans le but géné
as à faire pour arriver à la tragédie bourgeoise . — Septième leçon.
48.
Si le poète se borne à présente le côté risible
out mélange de sérieux, ce sera une pure comédie. — Septième leçon.
49.
William Schlegel, selon un témoignage que nous av
bsence de plan dans la comédie (t. Ier, p. 299), l’absence d’intérêt (
73,
304), l’absence de vraisemblance (303, 350, 364)
ce de plan dans la comédie (t. Ier, p. 299), l’absence d’intérêt (73,
304
), l’absence de vraisemblance (303, 350, 364) et l
, p. 299), l’absence d’intérêt (73, 304), l’absence de vraisemblance (
303,
350, 364) et l’absence d’unité (303, 307, 351), p
299), l’absence d’intérêt (73, 304), l’absence de vraisemblance (303,
350,
364) et l’absence d’unité (303, 307, 351), pour v
l’absence d’intérêt (73, 304), l’absence de vraisemblance (303, 350,
364
) et l’absence d’unité (303, 307, 351), pour venir
04), l’absence de vraisemblance (303, 350, 364) et l’absence d’unité (
303,
307, 351), pour venir ensuite dire, comme un crit
l’absence de vraisemblance (303, 350, 364) et l’absence d’unité (303,
307,
351), pour venir ensuite dire, comme un critique
ence de vraisemblance (303, 350, 364) et l’absence d’unité (303, 307,
351
), pour venir ensuite dire, comme un critique ordi
; enfin, que « la farce du sac n’est qu’un hors-d’œuvre déplacé » (t.
II
, p. 258). Cette contradiction entre mille vient,
’un hors-d’œuvre déplacé » (t. II, p. 258). Cette contradiction entre
mille
vient, à n’en pas douter, d’un parti pris contre
ple plus de logique et d’unité qu’il n’y en a dans celles du maître.
50.
Les critiques français ont mis à la mode d’acc
une grande supériorité sur la comédie d’intrigue. — Septième leçon.
51.
Une pièce telle que Le Désespoir de Jocrisse p
classique qui a gagné la palme de l’immortalité. — Douzième leçon.
52.
Septième leçon. 53. L’on reproche à la comédie
é la palme de l’immortalité. — Douzième leçon. 52. Septième leçon.
53.
L’on reproche à la comédie d’intrigue de s’écar
trée, une grande invraisemblance, telle que la parfaite conformité de
deux
figures ; mais il faut que tous les incidents qui
emière donnée, en paraissent la suite nécessaire. — Septième leçon.
54.
Sixième leçon. 55. La comédie des Méprises est
raissent la suite nécessaire. — Septième leçon. 54. Sixième leçon.
55.
La comédie des Méprises est la meilleure des pi
ièces qu’on puisse faire d’après les Ménechmes. — Quatorzième leçon.
56.
Douzième leçon. 57. Septième leçon. 58. Les
ire d’après les Ménechmes. — Quatorzième leçon. 56. Douzième leçon.
57.
Septième leçon. 58. Les personnages sensés de
hmes. — Quatorzième leçon. 56. Douzième leçon. 57. Septième leçon.
58.
Les personnages sensés de la pièce, le maître
ls eussent vécu du même temps. » Goethe (Entretiens avec Eckermann).
59.
Septième leçon. 60. Ibid. 61. Shakespeare, H
me temps. » Goethe (Entretiens avec Eckermann). 59. Septième leçon.
60.
Ibid. 61. Shakespeare, Henri IV, Ire partie,
ethe (Entretiens avec Eckermann). 59. Septième leçon. 60. Ibid.
61.
Shakespeare, Henri IV, Ire partie, acte Ier, scèn
, Henri IV, Ire partie, acte Ier, scène ii. Traduction de M. Guizot.
62.
Acte III, scène iii. 63. Sixième leçon. 64. Tex
V, Ire partie, acte Ier, scène ii. Traduction de M. Guizot. 62. Acte
III
, scène iii. 63. Sixième leçon. 64. Textuel. 65
te Ier, scène ii. Traduction de M. Guizot. 62. Acte III, scène iii.
63.
Sixième leçon. 64. Textuel. 65. Textuel. 66. S
aduction de M. Guizot. 62. Acte III, scène iii. 63. Sixième leçon.
64.
Textuel. 65. Textuel. 66. Septième leçon 67.
Guizot. 62. Acte III, scène iii. 63. Sixième leçon. 64. Textuel.
65.
Textuel. 66. Septième leçon 67. C’est dans le
Acte III, scène iii. 63. Sixième leçon. 64. Textuel. 65. Textuel.
66.
Septième leçon 67. C’est dans le comique burle
63. Sixième leçon. 64. Textuel. 65. Textuel. 66. Septième leçon
67.
C’est dans le comique burlesque que Molière a l
de même que son inclination, était pour la farce. — Douzième leçon.
68.
À quelques scènes près, le Tartuffe n’est pas u
s scènes près, le Tartuffe n’est pas une comédie. — Douzième leçon.
69.
À l’exception de quelques scènes plus animées,
suite de thèses soutenues dans toutes les formes. — Douzième leçon.
70.
L’on trouve même dans ses pièces en prose, des
ons, en un mot que son intention est d’instruire. — Douzième leçon.
71.
Nous avertissons que toutes les citations, tous l
ples, sont du disciple de W. Schlegel. Lui-même ne cite jamais rien.
72.
Le Malade imaginaire, acte III, scène iii. 73.
legel. Lui-même ne cite jamais rien. 72. Le Malade imaginaire, acte
III
, scène iii. 73. L’Amour médecin, acte II, scène
e cite jamais rien. 72. Le Malade imaginaire, acte III, scène iii.
73.
L’Amour médecin, acte II, scène i. 74. La Pri
e Malade imaginaire, acte III, scène iii. 73. L’Amour médecin, acte
II
, scène i. 74. La Princesse d’Élide, acte I, sc
naire, acte III, scène iii. 73. L’Amour médecin, acte II, scène i.
74.
La Princesse d’Élide, acte I, scène iii. 75.
L’Amour médecin, acte II, scène i. 74. La Princesse d’Élide, acte
I
, scène iii. 75. La Critique de l’École des fem
n, acte II, scène i. 74. La Princesse d’Élide, acte I, scène iii.
75.
La Critique de l’École des femmes, scène vii.
e I, scène iii. 75. La Critique de l’École des femmes, scène vii.
76.
Le Mariage forcé, scène vi. 77. L’Amour méde
de l’École des femmes, scène vii. 76. Le Mariage forcé, scène vi.
77.
L’Amour médecin, acte IV, scène v. 78. Tout
vii. 76. Le Mariage forcé, scène vi. 77. L’Amour médecin, acte
IV
, scène v. 78. Toutefois, bien d’autres en ava
e Mariage forcé, scène vi. 77. L’Amour médecin, acte IV, scène v.
78.
Toutefois, bien d’autres en avaient fait autan
ormes comiques imaginées chez les étrangers, etc. — Douzième leçon.
79.
L’Avare, acte Ier, scène v. 80. Acte Ier, scèn
trangers, etc. — Douzième leçon. 79. L’Avare, acte Ier, scène v.
80.
Acte Ier, scène x. 81. Aulularia, II, 2. 82.
me leçon. 79. L’Avare, acte Ier, scène v. 80. Acte Ier, scène x.
81.
Aulularia, II, 2. 82. Les Femmes savantes, a
L’Avare, acte Ier, scène v. 80. Acte Ier, scène x. 81. Aulularia,
II
, 2. 82. Les Femmes savantes, acte V, scène ii.
are, acte Ier, scène v. 80. Acte Ier, scène x. 81. Aulularia, II,
2.
82. Les Femmes savantes, acte V, scène ii. 83
acte Ier, scène v. 80. Acte Ier, scène x. 81. Aulularia, II, 2.
82.
Les Femmes savantes, acte V, scène ii. 83. Act
r, scène x. 81. Aulularia, II, 2. 82. Les Femmes savantes, acte
V
, scène ii. 83. Acte V, scène iii. 84. Ce qui
1. Aulularia, II, 2. 82. Les Femmes savantes, acte V, scène ii.
83.
Acte V, scène iii. 84. Ce qui s’éloigne entièr
laria, II, 2. 82. Les Femmes savantes, acte V, scène ii. 83. Acte
V
, scène iii. 84. Ce qui s’éloigne entièrement d
82. Les Femmes savantes, acte V, scène ii. 83. Acte V, scène iii.
84.
Ce qui s’éloigne entièrement de la finesse du c
ilieu de la fausseté et de la corruption du monde. — Douzième leçon.
85.
Acte III, scène ii. 86. Nous aurons toujours p
la fausseté et de la corruption du monde. — Douzième leçon. 85. Acte
III
, scène ii. 86. Nous aurons toujours présent à
e la corruption du monde. — Douzième leçon. 85. Acte III, scène ii.
86.
Nous aurons toujours présent à l’esprit que la
que leurs ouvrages fussent parvenus jusqu’à nous. — Douzième leçon.
87.
Molière a, pour ainsi dire, entassé tous les ge
ur gages ne peuvent guères être le même individu. — Douzième leçon.
88.
Nous avons déjà dit que Schlegel ne cite rien. Il
nous avons supposé qu’il faisait allusion ici à la scène vi de l’acte
III
. 89. Textuel. — Nous n’avons voulu supprimer auc
vons supposé qu’il faisait allusion ici à la scène vi de l’acte III.
89.
Textuel. — Nous n’avons voulu supprimer aucune de
écier ce qui est excellent. » (Entretiens de Goethe et d’Eckermann.)
90.
Le Tartuffe est une peinture très frappante de
s à quelques scènes près, ce n’est pas une comédie.— Douzième leçon.
91.
Acte I, scène vi. 92. Acte V, scène viii. 93.
ues scènes près, ce n’est pas une comédie.— Douzième leçon. 91. Acte
I
, scène vi. 92. Acte V, scène viii. 93. Présen
s, ce n’est pas une comédie.— Douzième leçon. 91. Acte I, scène vi.
92.
Acte V, scène viii. 93. Présenter toujours à c
st pas une comédie.— Douzième leçon. 91. Acte I, scène vi. 92. Acte
V
, scène viii. 93. Présenter toujours à côté d’u
ie.— Douzième leçon. 91. Acte I, scène vi. 92. Acte V, scène viii.
93.
Présenter toujours à côté d’un travers de l’esp
méthodique l’intention d’instruire le spectateur. — Douzième leçon.
94.
Schlegel est indulgent pour L’École des femmes. I
ne nouvelle espagnole le fond d’un petit conte sur le même sujet.
95.
M. de Schlegel savait le français. Il a écrit en
us serez mutins, Plus vous me fournirez matière aux traits malins.
96.
Acte I, scène vi. 97. Acte V, scène i. 98. Le
mutins, Plus vous me fournirez matière aux traits malins. 96. Acte
I
, scène vi. 97. Acte V, scène i. 98. Le Misant
ous me fournirez matière aux traits malins. 96. Acte I, scène vi.
97.
Acte V, scène i. 98. Le Misanthrope, comme on
urnirez matière aux traits malins. 96. Acte I, scène vi. 97. Acte
V
, scène i. 98. Le Misanthrope, comme on sait, f
re aux traits malins. 96. Acte I, scène vi. 97. Acte V, scène i.
98.
Le Misanthrope, comme on sait, fut d’abord reçu
l, mais controuvé. Le Registre de la Comédie fait foi que, représenté
vingt
et une fois de suite, nombre de représentations a
qui l’accompagnât et malgré les chaleurs de l’été, procura au théâtre
dix-sept
recettes productives et quatre autres de bien peu
haleurs de l’été, procura au théâtre dix-sept recettes productives et
quatre
autres de bien peu moins satisfaisantes. Quant au
sentation de cette farce qu’on la donna avec ce chef-d’œuvre, et cela
cinq
fois seulement ». 99. Acte IV, scène iii. 100.
qu’on la donna avec ce chef-d’œuvre, et cela cinq fois seulement ».
99.
Acte IV, scène iii. 100. Acte II, scène vii. 10
donna avec ce chef-d’œuvre, et cela cinq fois seulement ». 99. Acte
IV
, scène iii. 100. Acte II, scène vii. 101. L’a
hef-d’œuvre, et cela cinq fois seulement ». 99. Acte IV, scène iii.
100.
Acte II, scène vii. 101. L’auteur comique doit
e, et cela cinq fois seulement ». 99. Acte IV, scène iii. 100. Acte
II
, scène vii. 101. L’auteur comique doit éviter
fois seulement ». 99. Acte IV, scène iii. 100. Acte II, scène vii.
101.
L’auteur comique doit éviter soigneusement tout
s : car cela ramènerait infailliblement le sérieux.— Septième leçon.
102.
Acte IV, scène iii. 103. Le but de l’auteur a
la ramènerait infailliblement le sérieux.— Septième leçon. 102. Acte
IV
, scène iii. 103. Le but de l’auteur a été de p
failliblement le sérieux.— Septième leçon. 102. Acte IV, scène iii.
103.
Le but de l’auteur a été de peindre à fond un c
opinions sont diamétralement opposées aux siennes ?— Douzième leçon.
104.
Septième leçon. 105. Prologue, scène vi. 106. Q
lement opposées aux siennes ?— Douzième leçon. 104. Septième leçon.
105.
Prologue, scène vi. 106. Quatorzième leçon. 107
s ?— Douzième leçon. 104. Septième leçon. 105. Prologue, scène vi.
106.
Quatorzième leçon. 107. Acte Ier, scène ii. 108
. Septième leçon. 105. Prologue, scène vi. 106. Quatorzième leçon.
107.
Acte Ier, scène ii. 108. Tout ceci est textuel.
ologue, scène vi. 106. Quatorzième leçon. 107. Acte Ier, scène ii.
108.
Tout ceci est textuel. — Douzième leçon, t. II, p
Acte Ier, scène ii. 108. Tout ceci est textuel. — Douzième leçon, t.
II
, p. 277. 109. Textuel. 110. Acte Ier, scène iii
ne ii. 108. Tout ceci est textuel. — Douzième leçon, t. II, p. 277.
109.
Textuel. 110. Acte Ier, scène iii. 111. Sixième
ut ceci est textuel. — Douzième leçon, t. II, p. 277. 109. Textuel.
110.
Acte Ier, scène iii. 111. Sixième leçon. 112. A
ième leçon, t. II, p. 277. 109. Textuel. 110. Acte Ier, scène iii.
111.
Sixième leçon. 112. Acte Ier, scène iii. 113.
277. 109. Textuel. 110. Acte Ier, scène iii. 111. Sixième leçon.
112.
Acte Ier, scène iii. 113. Le Roi de Cocagne, fa
Acte Ier, scène iii. 111. Sixième leçon. 112. Acte Ier, scène iii.
113.
Le Roi de Cocagne, farce excellente ! Folie aima
re, ne cesse jamais d’être légère et inoffensive. — Douzième leçon.
114.
Acte II, scène viii. 115. Acte II, scène xi. 11
se jamais d’être légère et inoffensive. — Douzième leçon. 114. Acte
II
, scène viii. 115. Acte II, scène xi. 116. Textu
légère et inoffensive. — Douzième leçon. 114. Acte II, scène viii.
115.
Acte II, scène xi. 116. Textuel. 117. Textuel.
inoffensive. — Douzième leçon. 114. Acte II, scène viii. 115. Acte
II
, scène xi. 116. Textuel. 117. Textuel. 118. Te
Douzième leçon. 114. Acte II, scène viii. 115. Acte II, scène xi.
116.
Textuel. 117. Textuel. 118. Textuel. 119. Le
. 114. Acte II, scène viii. 115. Acte II, scène xi. 116. Textuel.
117.
Textuel. 118. Textuel. 119. Le malheur comiqu
, scène viii. 115. Acte II, scène xi. 116. Textuel. 117. Textuel.
118.
Textuel. 119. Le malheur comique doit être tou
115. Acte II, scène xi. 116. Textuel. 117. Textuel. 118. Textuel.
119.
Le malheur comique doit être tout au plus une h
CHAPITRE
XVI
.M. DE BEAUMARCHAIS. Mis à côté de Scarron, de
eille, de Boisrobert, & de Moliere, &c. EUGÉNIE, Drame en
cinq
actes & en prose. Nous avons déja beaucoup
parlé de cette piece dans le premier volume de cet ouvrage, Chapitre
XVI
, de l’entr’acte ; il nous suffira donc d’en donne
faire voir à quoi elle ressemble, & nous séparerons l’intrigue en
deux
parties pour ne pas confondre les traits de resse
. Premiere partie de l’intrigue d’Eugénie. Le Baron Hartley a
deux
enfants ; il croit Sir Charles son fils à l’armée
il n’en est pas l’inventeur, puisque les Espagnols l’ont insérée dans
dix
romans au moins, dans autant de comédies, & q
emblances & du fatras espagnol. LES ILLUSTRES ENNEMIS, Comédie en
cinq
actes & en vers, par Thomas Corneille. Acte
IS, Comédie en cinq actes & en vers, par Thomas Corneille. Acte
I
. Enrique accuse fort légérement Don Sanche, respe
loin d’en être fâché, veut la faire servir pour traverser l’amour que
D.
Lope son frere a pour Jacinthe fille de Don Sanch
gnarder son indigne époux. (La scene se passe chez Don Lope.) Acte
II
. Don Lope raconte à Cassandre sa sœur la résoluti
econnoît Don Alvar lui-même en qui Jacinthe retrouve son frere. Acte
III
. Don Sanche apprend que son fils n’est pas mort ;
lui fait mettre l’épée à la main : Alvar le blesse, est poursuivi par
trois
braves 50 : il alloit être accablé par le nombre,
re l’épée à la main : Alvar le blesse, est poursuivi par trois braves
50
: il alloit être accablé par le nombre, lorsque D
rend un moment après qu’il a secouru le meurtrier de son frere. Acte
IV
. Don Alvar & Don Lope se rencontrent : ce der
livreront de son ennemi. Don Alvar vole au secours de Don Lope. Acte
V.
Don Lope avoue qu’il doit la vie au meurtrier de
titre de Drame aux pieces amphibies. LES GÉNÉREUX ENNEMIS, Comédie en
cinq
actes, de Boisrobert. (La scene est à Lisbonne.)
édie en cinq actes, de Boisrobert. (La scene est à Lisbonne.) Acte
I
. Léonore est amoureuse du Comte de Bellefleur ; e
t de sa pension. Phlipin excuse son jeune maître, reçoit du vieillard
deux
cents ducats & feint de repartir bien vîte po
sa pension. Phlipin excuse son jeune maître, reçoit du vieillard deux
cents
ducats & feint de repartir bien vîte pour Cas
pour qu’il vienne bien vîte punir l’insolent qui les déshonore. Acte
II
. Don Pedre est incognito à Lisbonne, parcequ’il e
omte & d’Arnest : ce dernier découvre son intrigue, l’attend avec
quatre
braves & son valet Orcame, lui fait mettre l’
ette à terre. Ses braves veulent le venger : le Comte indigné de voir
cinq
hommes contre un, fait prendre la fuite aux assas
pas se couper la gorge avec son libérateur : son valet lui porte les
deux
cents ducats que son pere lui envoie avec une let
se couper la gorge avec son libérateur : son valet lui porte les deux
cents
ducats que son pere lui envoie avec une lettre qu
llard lui a fait remettre ; ils quittent la scene pour la lire. Acte
III
. Le Comte ne manque point d’affaires. Léonore lui
i sauve à son tour la vie : ils projettent de se voir ailleurs. Acte
IV
. Don Pedre allant au lieu indiqué pour se battre
e suivre le Comte & de l’instruire de toutes ses démarches. Acte
V.
Phlipin annonce à son maître que le combat du Com
ER DE SALAMANQUE,ou les Généreux Ennemis, Tragi-comédie de Scarron en
cinq
actes & en vers. Il est encore inutile de do
trer chez sa fille, trouve un homme qui s’oppose à son passage. Acte
III
. Scene IV. DON FÉLIX, DON PEDRE. D. Félix ent
’oppose à son passage. Acte III. Scene IV. DON FÉLIX, DON PEDRE.
D.
Félix entre sans lumiere. Quoi ! sans cet homme
t.... On se sauve aisément à l’aide de la nuit : Ayons de la lumiere.
D.
Pedre. Ayons de la lumiere.En toute cette rue, Q
lumiere. D. Pedre. Ayons de la lumiere.En toute cette rue, Que j’ai
cent
& cent fois visitée & courue, Il ne logea
. Pedre. Ayons de la lumiere.En toute cette rue, Que j’ai cent &
cent
fois visitée & courue, Il ne logea jamais Dam
moi l’épée toute nue. Défendons notre poste.... Arrête, ou je te tue.
D.
Félix. Tu mourras le premier. D. Pedre Tu mourra
otre poste.... Arrête, ou je te tue. D. Félix. Tu mourras le premier.
D.
Pedre Tu mourras le premier.C’est mon pere ! D.
mourras le premier. D. Pedre Tu mourras le premier.C’est mon pere !
D.
Félix. Tu mourras le premier. C’est mon pere !Es
as le premier. C’est mon pere !Est-ce toi, Don Pedre, mon cher fils ?
D.
Pedre. Don Pedre, mon cher fils ?Ah ! qu’est-ce
Don Pedre, mon cher fils ?Ah ! qu’est-ce que je vois ! Mon pere ici !
D.
Félix. Mon pere ici !Mon fils, qui t’a dit ma de
i t’a dit ma demeure ? Et comment as-tu pu la trouver à telle heure ?
D.
Pedre. O que non sans sujet ce discours me fait p
lle heure ? D. Pedre. O que non sans sujet ce discours me fait peur !
D.
Félix. Il faut mourir, Don Pedre, ou venger mon h
, punissant une vie ennemie, Auroit-il pu déja venger notre infamie ?
D.
Pedre. Venger votre infamie ! D. Félix. Venger v
it-il pu déja venger notre infamie ? D. Pedre. Venger votre infamie !
D.
Félix. Venger votre infamie !Oui, mon fils, la v
: Au prix de notre mal c’est un fardeau léger. Venge-moi, venge-toi.
D.
Pedre. Venge-moi, venge-toi.Ne sachant pas l’off
enge-toi. D. Pedre. Venge-moi, venge-toi.Ne sachant pas l’offense...
D.
Félix. Tu la sauras trop tôt, courons à la vengea
le plaide : Et souviens-toi qu’elle est & ma fille & ta sœur.
D.
Pedre. Je sers mon ennemi contre mon propre honne
n propre honneur. O Dieu ! que de malheurs sur moi le Ciel assemble !
D.
Félix. Don Pedre, faisons mieux, allons la voir e
s la voir ensemble, Et flattant sa douleur, tâchons de lui montrer...
D.
Pedre. Non, mon pere, attendez, vous n’y pouvez e
montrer... D. Pedre. Non, mon pere, attendez, vous n’y pouvez entrer.
D.
Félix. Moi, je n’y puis entrer ! D. Pedre. Moi,
attendez, vous n’y pouvez entrer. D. Félix. Moi, je n’y puis entrer !
D.
Pedre. Moi, je n’y puis entrer !Je vous dis vrai
ntrer !Je vous dis vrai, mon pere, Vous n’y pouvez entrer moi vivant.
D.
Félix. Vous n’y pouvez entrer moi vivant.Quel my
n sens ? Et pourquoi ces soupirs & ces yeux languissants Ote-toi.
D.
Pedre. Ote-toi.N’entrez pas, je garde cette port
sants Ote-toi. D. Pedre. Ote-toi.N’entrez pas, je garde cette porte.
D.
Félix. Résister à son pere & parler de la sor
r combler mon malheur, Que ta raison blessée autant que mon honneur !
D.
Pedre. Mon pere, ma raison ne fut jamais plus sai
on pere, ma raison ne fut jamais plus saine : Mais un juste sujet....
D.
Félix. Mais un juste sujet....Ne crains-tu point
ains-tu point ma haine. Fils ingrat ? Scene V. LÉONORE, LE COMTE,
D.
PEDRE, D. FÉLIX. Léonore, derriere le théâtre.
int ma haine. Fils ingrat ? Scene V. LÉONORE, LE COMTE, D. PEDRE,
D.
FÉLIX. Léonore, derriere le théâtre. Fils ingra
e, derriere le théâtre. Madame, ouvrez la porte, ou je la mets à bas.
D.
Félix. Un homme chez ma fille ! ô Dieu ! D. Pedre
rte, ou je la mets à bas. D. Félix. Un homme chez ma fille ! ô Dieu !
D.
Pedre. Un homme chez ma fille ! ô Dieu !Contre s
re ou mourir. Léonore. Cher Comte, à tes côtés je suis prête à périr.
D.
Félix. Mon fils, c’est l’ennemi qui nous perd &am
nemi qui nous perd & nous brave. Le Comte. Il le nomme son fils !
D.
Félix. Il le nomme son fils !Il faut que son san
; il faut que notre honneur Revive dans la mort d’un lâche suborneur.
D.
Pedre. Je n’ai point à choisir, il faut sauver le
tu périras. Le Comte. La chose gît en fait. Où te faut-il attendre ?
D.
Pedre. Dans la place, où je vais tout à l’heure m
vais tout à l’heure me rendre. Le Comte. Je n’attends pas long-temps.
D.
Pedre. Je n’attends pas long-temps.J’ai hâte plu
z-vous que Madame Murer lui a fait donner de la part d’Eugénie. Acte
IV
. Scene XIV. LE BARON, SIR CHARLES. Le Baron.
imitées de l’espagnol par Thomas Corneille, Boisrobert & Scarron.
D.
Juan a séduit Elvire sur la foi d’un feint mariag
uit Elvire sur la foi d’un feint mariage, & l’a quittée ensuite :
D.
Carlos & D. Alonse, freres d’Elvire, courent
a foi d’un feint mariage, & l’a quittée ensuite : D. Carlos &
D.
Alonse, freres d’Elvire, courent après le scéléra
près le scélérat pour venger l’affront fait à leur famille, ou forcer
D.
Juan à s’unir avec leur sœur. D. Carlos & D.
front fait à leur famille, ou forcer D. Juan à s’unir avec leur sœur.
D.
Carlos & D. Alonse se séparent dans un bois ;
r famille, ou forcer D. Juan à s’unir avec leur sœur. D. Carlos &
D.
Alonse se séparent dans un bois ; des voleurs att
le premier, & sont près de l’assassiner, quand il est délivré par
D.
Juan. Il remercie son libérateur. Son frere arriv
ivré par D. Juan. Il remercie son libérateur. Son frere arrive. Acte
III
. Scene VI. D. Alonse. O Ciel ! que vois-je ici
Il remercie son libérateur. Son frere arrive. Acte III. Scene VI.
D.
Alonse. O Ciel ! que vois-je ici ? Quoi ! mon fre
vois-je ici ? Quoi ! mon frere, vous voilà avec notre ennemi mortel ?
D.
Carlos. Notre ennemi mortel ! D. Juan, mettant la
ous voilà avec notre ennemi mortel ? D. Carlos. Notre ennemi mortel !
D.
Juan, mettant la main sur la garde de son épée. O
p; l’avantage du nombre ne m’obligera pas à vouloir déguiser mon nom.
D.
Alonse, mettant l’épée à la main. Ah ! traître, i
e, il faut que tu périsses, &c... (Sganarelle court se cacher.)
D.
Carlos. Ah ! mon frere, arrêtez. Je lui suis rede
cours de son bras, j’aurois été tué par des voleurs que j’ai trouvés.
D.
Alonse. Et voulez-vous que cette considération em
roprement, que d’être redevable de la vie à qui nous a ôté l’honneur.
D.
Carlos. Je sais la différence, mon frere, qu’un G
p; lui laisse la liberté de jouir cependant du fruit de son bienfait.
D.
Alonse. Non, non, c’est hasarder notre vengeance
à vous retirer, & laisser à ma main la gloire d’un tel sacrifice.
D.
Carlos. De grace, mon frere... D. Alonse. Tous ce
main la gloire d’un tel sacrifice. D. Carlos. De grace, mon frere...
D.
Alonse. Tous ces discours sont superflus, il faut
... D. Alonse. Tous ces discours sont superflus, il faut qu’il meure.
D.
Carlos. Arrêtez, vous dis-je, mon frere. Je ne so
sauvée ; & pour adresser vos coups il faudra que vous me perciez.
D.
Alonse. Quoi ! vous prenez le parti de notre enne
je sens, vous faites voir pour lui des sentiments pleins de douceur !
D.
Carlos. Mon frere, montrons de la modération dans
rre, se charge d’appaiser Adams & Fanni, leur envoie un billet de
deux
mille livres sterlings qui est refusé. Adams voud
se charge d’appaiser Adams & Fanni, leur envoie un billet de deux
mille
livres sterlings qui est refusé. Adams voudroit s
du sentiment. Fanni montée au rang des Ladis leur sert de modele.
50.
Brave vient du mot espagnol bravo, qui signifie u
Chapitre
XVI
. Les derniers temps de la comédie italienne en Fr
omédie des Chinois, de Dufresny et Regnard, jouée par les Italiens le
13
décembre 1692, contient plus d’un trait qui témoi
hinois, de Dufresny et Regnard, jouée par les Italiens le 13 décembre
1692,
contient plus d’un trait qui témoigne de la rival
cembre 1692, contient plus d’un trait qui témoigne de la rivalité des
deux
théâtres, depuis que leur domaine était devenu à
s parodiaient parfois les Français. Ainsi, dans La Lingère du Palais (
1682
), Arlequin faisait la caricature de Mademoiselle
t se perdit ! La lutte devait, plus tard, s’envenimer davantage. Les
deux
théâtres s’accordèrent d’autant moins, que la res
ore pis. — La colique peut-être ? — Pis, vous dis-je. — La fièvre ? —
Cent
fois pis. -La pierre donc ? — Pis, mille fois. —
vous dis-je. — La fièvre ? — Cent fois pis. -La pierre donc ? — Pis,
mille
fois. — Hé ! que diantre pouvez-vous donc tant av
vend un livre, lequel ressemble de bien près à notre vieux livre des
Quinze
joyes, ce sont : « Les Agréments et les chagrins
uinze joyes, ce sont : « Les Agréments et les chagrins du mariage, en
trois
tomes ; le chapitre des agréments contient la pre
ue trop que c est le pauvre homme qui les a reçus. Il a porté plus de
trois
mois un emplâtre sur le nez, d’un coup de chandel
’on serait tenté de croire plus moderne. Ce dialogue date pourtant de
1687
: PERSILLET. Mais, à propos de banqueroute, tene
rès qu’on ne pense. ARLEQUIN. Il faudrait mettre du côté de l’épée le
million
que vous cherchez pour marier votre fille, achete
er un duché et établir votre fils. Dans le crédit où vous êtes, voilà
trois
hameçons capables de prendre toutes les dupes de
on ne sait où vous êtes allé. À cette nouvelle, ceux qui ont prêté le
million
s’alarment, la frayeur les prend ; d’abord ils pr
chant sur quoi se venger, ils font dire sous main qu’ils perdront les
deux
tiers, si on veut assurer l’autre. Ho ! quand ils
contrat bien et dûment homologué, vous revenez sur l’eau avec sept ou
huit
cent mille livres d’argent comptant, et tous vos
at bien et dûment homologué, vous revenez sur l’eau avec sept ou huit
cent
mille livres d’argent comptant, et tous vos meill
en et dûment homologué, vous revenez sur l’eau avec sept ou huit cent
mille
livres d’argent comptant, et tous vos meilleurs e
rêter. (Ils se lèvent.) ARLEQUIN. Sur ce pied-là, vous allez avoir le
million
dans vingt-quatre heures. PERSILLET. Monsieur de
e lèvent.) ARLEQUIN. Sur ce pied-là, vous allez avoir le million dans
vingt-quatre
heures. PERSILLET. Monsieur de La Ressource, le s
ucune relation avec moi. PERSILLET. Laissez-moi faire. ARLEQUIN. Dans
six
semaines ou deux mois, vous conviendrez qu’une ba
vec moi. PERSILLET. Laissez-moi faire. ARLEQUIN. Dans six semaines ou
deux
mois, vous conviendrez qu’une banqueroute et un c
IN. Vous ne trouverez pas mauvais, monsieur, que je vous présente les
trois
meilleurs amis que j’aie au monde et les trois pl
e je vous présente les trois meilleurs amis que j’aie au monde et les
trois
plus riches hommes de Paris. PERSILLET. Que puis-
lle, donner une charge considérable à monsieur votre fils, et acheter
deux
grandes maisons dans la Place Royale… PERSILLET.
gé. Mais dans le ménage il faut avoir de certaines complaisances ; et
cent
mille écus plus ou moins à une maison ne valent p
ais dans le ménage il faut avoir de certaines complaisances ; et cent
mille
écus plus ou moins à une maison ne valent pas la
liez pourvoir à toutes ces petites choses-là, viennent vous offrir un
million
ou douze cent mille livres, sachant bien que leur
ir à toutes ces petites choses-là, viennent vous offrir un million ou
douze
cent mille livres, sachant bien que leur argent n
outes ces petites choses-là, viennent vous offrir un million ou douze
cent
mille livres, sachant bien que leur argent ne peu
ces petites choses-là, viennent vous offrir un million ou douze cent
mille
livres, sachant bien que leur argent ne peut être
ILLET. Je me doute bien de ce que c est. Il me rapporte peut-être les
quarante
mille francs que j’ai prêtés aux fripiers pour fa
me doute bien de ce que c est. Il me rapporte peut-être les quarante
mille
francs que j’ai prêtés aux fripiers pour faire de
nsieur, c’est votre receveur de Cotteronde, qui demande quittance des
quatorze
mille francs qu’il vous a apportés ce matin. PERS
’est votre receveur de Cotteronde, qui demande quittance des quatorze
mille
francs qu’il vous a apportés ce matin. PERSILLET.
harité de prendre leur argent et de leur en faire l’intérêt au denier
vingt-cinq
. PERSILLET vers La Ressource. Mais sont-ils solva
vingt-cinq. PERSILLET vers La Ressource. Mais sont-ils solvables pour
douze
cent mille francs ? ARLEQUIN bas à Persillet. Di
cinq. PERSILLET vers La Ressource. Mais sont-ils solvables pour douze
cent
mille francs ? ARLEQUIN bas à Persillet. Diable
PERSILLET vers La Ressource. Mais sont-ils solvables pour douze cent
mille
francs ? ARLEQUIN bas à Persillet. Diable ! mons
divertit ; il demande, messieurs, si vous le trouverez solvable pour
douze
cent mille francs. LE DOCTEUR. Faites-nous seulem
tit ; il demande, messieurs, si vous le trouverez solvable pour douze
cent
mille francs. LE DOCTEUR. Faites-nous seulement l
il demande, messieurs, si vous le trouverez solvable pour douze cent
mille
francs. LE DOCTEUR. Faites-nous seulement la fave
que c’est pour marier ma fille, donner une charge à mon fils, acheter
deux
maisons dans la Place Royale, et le surplus pour
soin. Monsieur Persillet faisait état que cela lui vaudrait plus d’un
million
. Pour cela, il a fallu faire de grandes dépenses
la, il a fallu faire de grandes dépenses pour sa part, et il a avancé
quatre
cent mille livres, dont il se doit rembourser sur
a fallu faire de grandes dépenses pour sa part, et il a avancé quatre
cent
mille livres, dont il se doit rembourser sur la p
lu faire de grandes dépenses pour sa part, et il a avancé quatre cent
mille
livres, dont il se doit rembourser sur la premièr
plir quand il se présentera des marchands, jusqu’à la concurrence des
quatre
cent mille francs. Vous voyez bien que c’est de l
and il se présentera des marchands, jusqu’à la concurrence des quatre
cent
mille francs. Vous voyez bien que c’est de l’or e
l se présentera des marchands, jusqu’à la concurrence des quatre cent
mille
francs. Vous voyez bien que c’est de l’or en barr
ARLEQUIN. Ma foi, tout bien considéré, je serais d’avis de perdre les
deux
tiers pour sauver l’autre. LE DOCTEUR. C’est beau
de Fatouville, qui fut le principal fournisseur du théâtre italien de
1682
à 1687, la fantaisie est aussi ramenée à la criti
uville, qui fut le principal fournisseur du théâtre italien de 1682 à
1687,
la fantaisie est aussi ramenée à la critique très
t-il de beaux esprits ? ARLEQUIN. C’en est la source. Il y a plus de
soixante
et dix ans que l’on travaille après un dictionnai
x esprits ? ARLEQUIN. C’en est la source. Il y a plus de soixante et
dix
ans que l’on travaille après un dictionnaire qui
l’on travaille après un dictionnaire qui ne sera pas encore achevé de
deux
siècles. COLOMBINE. C’est tout comme ici. Et dans
quatre57, quand ils ne trouvent point à placer leur argent au denier
trois
. ISABELLE. C’est tout comme ici… Et les femmes so
amais nos femmes ne se lèvent qu’après-midi. Elles sont régulièrement
trois
heures à leur toilette ; ensuite elles montent en
r, on joue, ou l’on court le bal, selon les saisons. Et puis, sur les
quatre
ou cinq heures après minuit, les femmes se vienne
, ou l’on court le bal, selon les saisons. Et puis, sur les quatre ou
cinq
heures après minuit, les femmes se viennent couch
i du mari, en telle sorte qu’un pauvre diable d’homme est quelquefois
six
semaines sans rencontrer sa femme dans sa maison
celle-ci, un lardon à celle-là ; enfin, badiner, gesticuler, minauder
60
. » L’arrivée du printemps, qui amène le départ d
jours tant de banqueroutes, sans avoir une bonne et solvable caution
61
. » Évariste Gherardi rivalise avec Dancourt dan
imanche de septembre : à La Foire de Bezons jouée par les Français le
14
août 1695, succède, à l’Hôtel de Bourgogne, le 1e
de septembre : à La Foire de Bezons jouée par les Français le 14 août
1695,
succède, à l’Hôtel de Bourgogne, le 1er octobre d
par les Français le 14 août 1695, succède, à l’Hôtel de Bourgogne, le
1er
octobre de la même année, Le Retour de la Foire d
héâtre lui fut tout à coup interdit après un si long séjour. Le mardi
4
mai 1697, M. d’Argenson, lieutenant-général de po
lui fut tout à coup interdit après un si long séjour. Le mardi 4 mai
1697,
M. d’Argenson, lieutenant-général de police, en v
commissaires et d’exempts et de toute la robe courte, se transporta à
onze
heures du matin au théâtre de l’Hôtel de Bourgogn
ce siècle et de ce règne62. La scène italienne se releva à Paris, en
1716,
sous le Régent ; elle recommença alors une nouvel
la comédie de Molière et par conséquent à notre comédie française.
56.
La Matrone d’Éphèse, ou Arlequin Grapignan, comé
nçaise. 56. La Matrone d’Éphèse, ou Arlequin Grapignan, comédie en
trois
actes, par Nolant de Fatouville, conseiller au pa
is actes, par Nolant de Fatouville, conseiller au parlement de Rouen,
12
mai 1682. 57. C’est-à-dire à vingt-cinq pour cen
s, par Nolant de Fatouville, conseiller au parlement de Rouen, 12 mai
1682.
57. C’est-à-dire à vingt-cinq pour cent. 58. L
Nolant de Fatouville, conseiller au parlement de Rouen, 12 mai 1682.
57.
C’est-à-dire à vingt-cinq pour cent. 58. Les Pr
e, conseiller au parlement de Rouen, 12 mai 1682. 57. C’est-à-dire à
vingt-cinq
pour cent. 58. Les Promenades de Paris, comédie
parlement de Rouen, 12 mai 1682. 57. C’est-à-dire à vingt-cinq pour
cent
. 58. Les Promenades de Paris, comédie en trois
ent de Rouen, 12 mai 1682. 57. C’est-à-dire à vingt-cinq pour cent.
58.
Les Promenades de Paris, comédie en trois actes,
ire à vingt-cinq pour cent. 58. Les Promenades de Paris, comédie en
trois
actes, par Mongin, 6 juin 1695. 59. Les Bains d
t. 58. Les Promenades de Paris, comédie en trois actes, par Mongin,
6
juin 1695. 59. Les Bains de la Porte Saint-Bern
Les Promenades de Paris, comédie en trois actes, par Mongin, 6 juin
1695.
59. Les Bains de la Porte Saint-Bernard, comédi
romenades de Paris, comédie en trois actes, par Mongin, 6 juin 1695.
59.
Les Bains de la Porte Saint-Bernard, comédie en
n, 6 juin 1695. 59. Les Bains de la Porte Saint-Bernard, comédie en
trois
actes, par Boisfranc, 12 juillet 1696. 60. Les
ins de la Porte Saint-Bernard, comédie en trois actes, par Boisfranc,
12
juillet 1696. 60. Les Promenades de Paris, acte
orte Saint-Bernard, comédie en trois actes, par Boisfranc, 12 juillet
1696.
60. Les Promenades de Paris, acte II, scène iv.
int-Bernard, comédie en trois actes, par Boisfranc, 12 juillet 1696.
60.
Les Promenades de Paris, acte II, scène iv. 61.
, par Boisfranc, 12 juillet 1696. 60. Les Promenades de Paris, acte
II
, scène iv. 61. Les Bains de la Porte Saint-Bern
, 12 juillet 1696. 60. Les Promenades de Paris, acte II, scène iv.
61.
Les Bains de la Porte Saint-Bernard, acte III, s
s, acte II, scène iv. 61. Les Bains de la Porte Saint-Bernard, acte
III
, scène ii. 62. Voyez les Annales de la Cour et d
e iv. 61. Les Bains de la Porte Saint-Bernard, acte III, scène ii.
62.
Voyez les Annales de la Cour et de Paris pour les
ène ii. 62. Voyez les Annales de la Cour et de Paris pour les années
1697
et 1698, par Sandras de Courtilz.
62. Voyez les Annales de la Cour et de Paris pour les années 1697 et
1698,
par Sandras de Courtilz.
Paris,
2
juin 1884. Ces jours-ci, le 30 mai, en pleine A
Paris, 2 juin
1884.
Ces jours-ci, le 30 mai, en pleine Académie des
Paris, 2 juin 1884. Ces jours-ci, le
30
mai, en pleine Académie des Inscriptions, un sava
une découverte archéologique réalisée par M. Oppert lui-même, il y a
quinze
ans. Les Français sont coutumiers de ces faits d’
au sujet de l’étymologie du nom de Sganarelle. Voici ma riposte :
I
D’abord, ce que dit M. H. Fritsche de sa doubl
té sort de ces puits de science ! Mais allons droit à l’essentiel.
II
Comme il fallait s’y attendre, M. H. Fritsche
’ai pas perfidement inventé pour le besoin de la cause. On lit, page
373
de l’édition de Las Obros de Pierre Goudouli (Tou
lit, page 373 de l’édition de Las Obros de Pierre Goudouli (Toulouse
1713
), au Glossaire : — « Scalfura, cherchez Escalfura
« Escoire ou Escoyre, cuire de douleur. » Et au-dessous : Escouzentou
4.
Dieu me pardonne et M. H. Fritsche aussi ! mais i
e aussi ! mais il me semble bien que, ayant « cité » comme par hasard
deux
mots au lieu d’un, il doit m’être permis de me re
destinés à compléter ce Lexique. Enganar, enganhar, esgannar, sgannar
5
comme je l’avais assez donné à entendre dans mon
notre langue qui s’intitule le Dictionnaire provençal français (tome
I
, page 915). N’importe ! Je ne me borne pas à avoi
angue qui s’intitule le Dictionnaire provençal français (tome I, page
915
). N’importe ! Je ne me borne pas à avoir toutes l
de « déniaisé ». Au surplus, si nous discutions ici l’histoire de ces
deux
comédies, (l’une portant et comportant l’autre,)
de parler un peu, par vieille, très vieille tradition de famille.
III
Soit dit entre nous exclusivement, de Français
rs telles chartes romanes qui donneraient un éloquent commentaire aux
deux
mots de Mistral sur mon compte. Un des miens y pa
rai, Monsieur, la patriotique, et méridionale immodestie de rapporter
deux
souvenirs de famille qui vous aideront à comprend
e avec Molière, dans ces archives et sur le Registre mortuaire, entre
deux
actes de décès relatifs au père et à la sœur du b
deux actes de décès relatifs au père et à la sœur du baron de Florac (
23
août 1654, 15 janvier 1655) et l’acte de décès du
es de décès relatifs au père et à la sœur du baron de Florac (23 août
1654,
15 janvier 1655) et l’acte de décès du prince de
décès relatifs au père et à la sœur du baron de Florac (23 août 1654,
15
janvier 1655) et l’acte de décès du prince de Con
ifs au père et à la sœur du baron de Florac (23 août 1654, 15 janvier
1655
) et l’acte de décès du prince de Conti (23 févrie
23 août 1654, 15 janvier 1655) et l’acte de décès du prince de Conti (
23
février 1666) se trouve consignée, également, la
4, 15 janvier 1655) et l’acte de décès du prince de Conti (23 février
1666
) se trouve consignée, également, la mort obscure
, qui n’était rien et qui était beaucoup, car c’était mon aïeul. « Le
17
juin 1656 », c’est-à-dire vers l’époque où Molièr
était rien et qui était beaucoup, car c’était mon aïeul. « Le 17 juin
1656
», c’est-à-dire vers l’époque où Molière était da
ce même baron de Florac, déjà nommé. Or, qu’advint-il vers la fin de
1655,
à la date où le prince de Conti fit à Molière ces
frais de ces fêtes pompeuses. La communauté vota une imposition de «
deux
cents livres pour contribuer à l’ameublement du c
s de ces fêtes pompeuses. La communauté vota une imposition de « deux
cents
livres pour contribuer à l’ameublement du château
peut-être à Molière lui-même, et que le devoir m’oblige à savoir ?
IV
Eh ! bien non, je n’y entends rien ! Il faut i
a forme expresse et concluante du verbe mascarilha, barbouiller (Tome
II
, page 289) ! Non, non ! quelque vraisemblable que
xpresse et concluante du verbe mascarilha, barbouiller (Tome II, page
289
) ! Non, non ! quelque vraisemblable que cela soit
Impossible, vous dis-je ! Tout le monde sait que Molière n’habita pas
dix
ou douze ans le Languedoc, mais la province de Po
ble, vous dis-je ! Tout le monde sait que Molière n’habita pas dix ou
douze
ans le Languedoc, mais la province de Poméranie.
, aussi vrai que « le prefix S » n’a jamais existé en provençal !…
V
Ah ! mon brave et très obscur aïeul, enterré à
desquos, « les façons tudesques », étaient, sur le Théâtre de Béziers
12
synonymes de grotesques, autrement que pour la ri
Fritsche me semble avoir oublié un peu trop que, depuis la rançon des
cinq
milliards, nous devons être quittes envers les Pr
che me semble avoir oublié un peu trop que, depuis la rançon des cinq
milliards
, nous devons être quittes envers les Prussiens. L
il est écrit que nous n’aurons jamais la paix avec les Allemands.
1.
Voir l’édition Hachette des Œuvres de Molière, to
llemands. 1. Voir l’édition Hachette des Œuvres de Molière, tomes
I
et II. 2. J’en demande pardon, mais préfixe sera
nds. 1. Voir l’édition Hachette des Œuvres de Molière, tomes I et
II
. 2. J’en demande pardon, mais préfixe serait plu
1. Voir l’édition Hachette des Œuvres de Molière, tomes I et II.
2.
J’en demande pardon, mais préfixe serait plus cor
I et II. 2. J’en demande pardon, mais préfixe serait plus correct.
3.
Ai-je besoin d’expliquer à quelqu’un qu’ici les p
« chauffer », pour en majorer le sens, comme l’en, l’s en italien ?
4.
Ai-je besoin d’apprendre qu’ici encore les préfix
s es et S constituent un renforcement synonymique du radical coïre ?
5.
Tromper, duper. 6. Maillane, 4 décembre 1872. 7
t un renforcement synonymique du radical coïre ? 5. Tromper, duper.
6.
Maillane, 4 décembre 1872. 7. Je prépare depuis
ment synonymique du radical coïre ? 5. Tromper, duper. 6. Maillane,
4
décembre 1872. 7. Je prépare depuis plusieurs an
mique du radical coïre ? 5. Tromper, duper. 6. Maillane, 4 décembre
1872.
7. Je prépare depuis plusieurs années un grand o
u radical coïre ? 5. Tromper, duper. 6. Maillane, 4 décembre 1872.
7.
Je prépare depuis plusieurs années un grand ouvra
société languedocienne au xviie siècle, qui paraîtra prochainement.
8.
Voir de nombreuses lettres de Mme de Sévigné sur
ement. 8. Voir de nombreuses lettres de Mme de Sévigné sur Balaruc.
9.
Notre maison patrimoniale y a été reconstruite en
né sur Balaruc. 9. Notre maison patrimoniale y a été reconstruite en
1722
: elle existe encore au Jeu du Ballon. 10. Archi
y a été reconstruite en 1722 : elle existe encore au Jeu du Ballon.
10.
Archives d’Abeilhan, recueillies par l’abbé Pailh
l’abbé Pailhés. — Notez que la population du village ne dépassait pas
36
feux alors, et vous conviendrez qu’une souscripti
passait pas 36 feux alors, et vous conviendrez qu’une souscription de
200
livres, soit mille francs d’aujourd’hui, ce n’éta
ux alors, et vous conviendrez qu’une souscription de 200 livres, soit
mille
francs d’aujourd’hui, ce n’était pas un denier, s
ancs d’aujourd’hui, ce n’était pas un denier, surtout pour l’époque.
11.
On lit, au tome I, page 90, des Œuvres de Molière
ce n’était pas un denier, surtout pour l’époque. 11. On lit, au tome
I
, page 90, des Œuvres de Molière, édition Hachette
it pas un denier, surtout pour l’époque. 11. On lit, au tome I, page
90,
des Œuvres de Molière, édition Hachette : « M. He
étymologiques, encyclopédiques et surtout germaniques ! Ô Molière !
12.
Voir la pièce sur Lo Modo, édition de 1642 ; coll
germaniques ! Ô Molière ! 12. Voir la pièce sur Lo Modo, édition de
1642
; collection Soleinne. (Archives nationales.)
nd nombre de pièces qu’ils mirent au jour, à peine en peut-on compter
trois
ou quatre qui méritent de marcher après celles de
de pièces qu’ils mirent au jour, à peine en peut-on compter trois ou
quatre
qui méritent de marcher après celles de ce grand
le public était que Corneille avait pour toujours renoncé au théâtre.
Six
années se passèrent en effet sans qu’il reprît le
e parut, et la comédie devint l’école du monde. « Quoique Le Menteur
1
soit très agréable, dit M. de Fontenelle2 ; quoiq
re obtenu par prière, Pour jamais sous la tombe eût renfermé Molière,
Mille
de ces beaux traits aujourd’hui si vantés, Furent
p d’autres qui ne le sont pas moins en leur genre. Tels sont ceux des
trois
comédies des Illustres Ennemis, qui parurent pres
e Boisrobert, et enfin la dernière de M. Scarron. L’historique de ces
trois
pièces fera plaisir aux amateurs des spectacles.
rait dû entrer dans l’édition des Œuvres des MM. Corneille, donnée en
1738.
Comme cet avis tient à l’historique de la tragédi
orme de supplément à l’article de cette pièce, que l’on trouvera page
178
et suivantes de ce huitième volume. « Je ne dout
facile de l’en purger entièrement qu’il me sera facile de répondre à
deux
objections qu’on m’a faites. « La première est qu
trième acte ne tient lieu que de préparatifs pour mettre Phocas entre
deux
princes, dont il sait que l’un est son fils, et l
, et l’autre celui de Maurice, sans qu’il puisse connaître lequel des
deux
est l’ennemi dont il a juré la perte, et c’est ce
en fait le nœud. L’on trouvera la même chose dans Timocrate, dont les
trois
premiers actes ne servent que d’acheminement à me
ne servent que d’acheminement à mettre la reine dans l’obligation de
deux
serments, qui la forcent de faire épouser sa fill
faire jamais rien paraître de plus beau, ni de plus surprenant. »
1658.
Le Docteur amoureux Comédie en prose et en un
mprimée, précédée de Nicomède, tragédie de M. Corneille l’aîné. Ces
deux
pièces furent représentées devant le roi, sur un
du vieux Louvre, par la Troupe de Monsieur, (frère unique du roi) le
24
octobre 1658. [*]L’ordre chronologique demande q
ouvre, par la Troupe de Monsieur, (frère unique du roi) le 24 octobre
1658.
[*]L’ordre chronologique demande que nous placio
yer un passage de la préface des Œuvres de Molière, édition de Paris,
1682b
. L’auteur de cette préface, après avoir parlé des
lière dans différentes provinces, continue ainsi son discours : « En
1658,
ses amis lui conseillèrent de s’approcher de Pari
compagnons, qu’il avait laissés à Rouen, en partirent aussitôt, et le
24
octobre 1658, cette troupe commença de paraître d
qu’il avait laissés à Rouen, en partirent aussitôt, et le 24 octobre
1658,
cette troupe commença de paraître devant Leurs Ma
e titre de la Troupe de Monsieur, commença à représenter en public le
3
novembre 1658 et donna pour nouveautés L’Étourdi
la Troupe de Monsieur, commença à représenter en public le 3 novembre
1658
et donna pour nouveautés L’Étourdi et Le Dépit am
joués à Paris. » Nous allons parler de la première de ces pièces.
1658.
L’Étourdi, ou les Contretemps Comédie de M. Mo
omédie de M. Molière, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbona le
3
novembre 1658. Cette comédie est la première en
. Molière, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbona le 3 novembre
1658.
Cette comédie est la première en vers et en cin
ona le 3 novembre 1658. Cette comédie est la première en vers et en
cinq
actes que Molière ait composée. Elle fut faite en
Elle fut faite en province, et jouée pour la première fois à Lyon en
1653.
« [*]Cette pièce n’est point indigne de son aute
dénouement n’est pas heureux ; le nombre des actes n’est déterminé à
cinq
que pour suivre l’usage qui fixe à ce nombre les
et l’empêchent de trop réfléchir sur ce qui pourrait le blesser.
1658.
Le Dépit amoureux Comédie de M. Molière, repré
résentée sur le théâtre du Petit-Bourbon, au commencement de décembre
1658.
Cette comédie, ainsi que celle de L’Étourdi, av
é composée et représentée en province. Ce fut aux états de Béziers en
1654
que Molière la fit paraître pour la première fois
La conversation de Valère avec Ascagne, déguisée en homme, celle des
deux
vieillards qui se demandent réciproquement pardon
leur réconciliation, sont le morceau le plus justement admiré. »
1659.
Les Précieuses ridicules Comédie en un acte et
n prose de M. Molière, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbon le
18
novembre. « [*]Quoique la comédie des Précieus
en fait, espèce de maladie contagieuse, était alors à la mode. » «
1Il
régnait dans la plupart des conversations un méla
u parterre : Courage, courage, Molière, voilà la bonne comédie. » «
3
On eut honte de ce style affecté, contre lequel M
, si nous ne rapportions pas ce qu’en a dit Loret. Muse historique du
6
décembre 1659. La troupe des comédiens Que
e rapportions pas ce qu’en a dit Loret. Muse historique du 6 décembre
1659.
La troupe des comédiens Que Monsieur avoue
mbla friande, À plusieurs, tant sages que fous ; Pour moi, j’y portai
trente
sous Mais oyant leurs fines paroles, J’en ris pou
tai trente sous Mais oyant leurs fines paroles, J’en ris pour plus de
dix
pistoles. Avant de passer à la seconde partie de
s’en sont rapportés à Grimarest, auteur d’une Vie de Molière (in-12,
1705
), qui est le premier et le seul qui parle des rep
arle des représentations des Précieuses en province, et nous trouvons
deux
auteurs contemporains* qui disent tout le contrai
édien lorsqu’il joue ses pièces, et que ceux qui ont excellé dans ces
deux
choses ont eu place en l’histoire, je puis bien v
y a de gens d’esprit à Paris. « Ce fameux auteur de L’École des maris
2,
ayant eu dès sa jeunesse une inclination toute pa
e les autres comédiens jouaient. Ensuite il voulut faire une pièce en
cinq
actes, et les Italiens ne lui plaisant pas seulem
souvent à ceux qui s’aiment le mieux ; et après avoir fait jouer ces
deux
pièces à la campagne, il voulut les faire voir à
de ceux qu’il avait prié de les venir voir. « Après le succès de ces
deux
pièces, son théâtre commença à se trouver continu
s Précieuses, comédie en un acte, en prose, in-12, Paris, Jean Ribou,
1660.
À la tête de cette pièce (qui n’a jamais été repr
des Précieuses. Voici l’idée de cette pièce. Artémise et Iscarie sont
deux
amies qui affectent dans leurs discours des terme
son Stilicon est tout à fait beau. Nous avons eu cet hiver le Fédéric
1,
qui a fort réussi, sans doute avec quelque raison
ein de feu ; témoin sa Clotilde, où la boutade est bien exprimée. Ces
deux
pièces ont été accompagnées de la Stratonice 2, d
bien exprimée. Ces deux pièces ont été accompagnées de la Stratonice
2,
dont le style est tout différent : l’auteur de ce
ort de Lustucru, lapidé par les femmes ; et ensuite d’un monologue de
douze
vers, qui finit par ces deux-ci : J’en ai partou
s femmes ; et ensuite d’un monologue de douze vers, qui finit par ces
deux
-ci : J’en ai partout la fièvre, et je ne sais pa
rouver un trou. Il passe à la comédie de Pantagruel, dont voici les
deux
premiers vers ; c’est Pantagruel qui parle à son
le moyen de m’introduire dans les compagnies, et il y a déjà plus de
deux
cents personnes qui sont infatuées de mes pièces.
oyen de m’introduire dans les compagnies, et il y a déjà plus de deux
cents
personnes qui sont infatuées de mes pièces. ISCAR
ce, dit Gilles le Niais, en mon nom de théâtre ; que je vous ai rendu
trois
ou quatre visites pour connaître votre humeur… No
illes le Niais, en mon nom de théâtre ; que je vous ai rendu trois ou
quatre
visites pour connaître votre humeur… Nous nous so
fuyez… LE BARON. Nous craignons peu vos menaces, et nous sommes tous
trois
bien résolus de nous défendre si l’on nous attaqu
ocès des précieuses, comédie en vers burlesques et en un acte, Paris,
1660a
. Elle est du même Somaize, et n’a point été jouée
nfin Les Précieuses ridicules de Molière, mise en vers, in-12, Paris,
1660.
Cette pièce est fort mal versifiée : elle est pré
ce qu’il avait dit contre Molière dans ses Véritables Précieuses.
1660.
Sganarellea, ou le Cocu imaginaire Comédie en
vers, par M. Molière, représentée sur le théâtre du Petit-Bourbon, le
28
maic. « [*]On remarqua, dans Le Cocu imaginair
fectionné son style ; cet ouvrage est plus correctement écrit que ses
deux
premières comédies, mais si l’on y retrouve Moliè
a un grand nombre de spectateurs. » « * Le Cocu imaginaire fut joué
quarante
fois de suite, quoique dans l’été, et pendant que
er ici de quelle façon Grimarest rend compte de cette pièce. « [*]Le
18
mai 1660, Molière donna pour la première fois Le
de quelle façon Grimarest rend compte de cette pièce. « [*]Le 18 mai
1660,
Molière donna pour la première fois Le Cocu imagi
ement dans le public. » Un particulier nommé Neufvillenaine, qui, en
cinq
ou six représentations, avait retenu toute cette
ns le public. » Un particulier nommé Neufvillenaine, qui, en cinq ou
six
représentations, avait retenu toute cette comédie
uvrages ; quelques applaudissements toutefois que l’on ait donnés aux
deux
premières de ces pièces, la troisième a beaucoup
la troisième a beaucoup plus fait d’éclat qu’elles n’ont fait toutes
deux
ensemble, puisqu’elle a passé pour l’ouvrage le p
lus délicat qui ait jamais paru au théâtre ; l’on est venu à Paris de
vingt
lieues à la ronde, afin d’en avoir le divertissem
néanmoins trouvé assez de personnes de condition pour remplir plus de
quarante
fois les loges et le théâtre du Petit-Bourbon, et
ire éclater les plaintes de la femme, mais ils n’auraient pas eu tous
deux
les mêmes sujets de faire éclater leur jalousie,
in que le divertissement fût plus agréable, qu’ils raisonnassent tous
deux
sur les mêmes incidents ; tellement que j’ai été
n parle à sa mode. » [*]Chappuzeau dans son Théâtre français, livre
III
, pages 213 et 214, parle d’une troupe de comédien
a mode. » [*]Chappuzeau dans son Théâtre français, livre III, pages
213
et 214, parle d’une troupe de comédiens espagnols
» [*]Chappuzeau dans son Théâtre français, livre III, pages 213 et
214,
parle d’une troupe de comédiens espagnols qui arr
214, parle d’une troupe de comédiens espagnols qui arriva à Paris en
1660.
Voici ce qu’il en dita. « Nous vîmes aussi arri
prêta son théâtre, comme elle avait fait, avant eux, aux Italiens (en
1653
), qui occupèrent depuis le Petit-Bourbon avec Mol
tenus depuis par la reine (Marie-Thérèse) jusqu’au printemps dernier (
1672
) et j’apprends qu’ils ont repassé les Pyrénées. »
Pyrénées. » Loret marque le début de cette troupe espagnole vers le
20
juillet. Muse historique du 24 juillet 1660. Une
ébut de cette troupe espagnole vers le 20 juillet. Muse historique du
24
juillet 1660. Une grande troupe ou famille De co
te troupe espagnole vers le 20 juillet. Muse historique du 24 juillet
1660.
Une grande troupe ou famille De comédiens de Cas
ces, et majestés, Et des ministres chasse-guerres, On y cassa plus de
cent
verres ; Illec, on mangea, ce dit-on, Bien des la
s gens où courtoisie abonde, Et qui savent fort bien leur monde.
1.
[Note marginale] Comédie de P. Corneille. 2. [No
t bien leur monde. 1. [Note marginale] Comédie de P. Corneille.
2.
[Note marginale] Vie de Corneille. [*]. [Note ma
de ce célèbre acteur après la comédie du Misanthrope, représentée le
4
juin 1666. b. Le passage de la préface de 1682 q
célèbre acteur après la comédie du Misanthrope, représentée le 4 juin
1666.
b. Le passage de la préface de 1682 que nous pla
anthrope, représentée le 4 juin 1666. b. Le passage de la préface de
1682
que nous plaçons ici nous a paru mériter la préfé
scrite de feu M. Tralage, qui se trouve dans un volume in-4°, q.q. n°
688,
de la bibliothèque de Saint-Victor. a. Molière,
s, et avoir joué à Grenoble, à Lyon et à Rouen, vint enfin à Paris en
1658.
Le prince de Conti lui donna accès auprès de Mons
ière, avec des jugements sur ses ouvrages, in-12, Paris, Prault fils,
1739.
a. « [*]M. Despréaux ne se lassait point d’admi
ription de la salle du spectacle que Richer2 en a donnée sous l’année
1614.
Tome IV du Mercure français, p. 9 et 10. « Cette
la salle du spectacle que Richer2 en a donnée sous l’année 1614. Tome
IV
du Mercure français, p. 9 et 10. « Cette salle e
2 en a donnée sous l’année 1614. Tome IV du Mercure français, p. 9 et
10.
« Cette salle est de dix-huit toises de longueur
1614. Tome IV du Mercure français, p. 9 et 10. « Cette salle est de
dix-huit
toises de longueur, sur huit de largeur : au haut
s, p. 9 et 10. « Cette salle est de dix-huit toises de longueur, sur
huit
de largeur : au haut bout de laquelle il y a enco
laquelle il y a encore un demi-rond de sept toises de profondeur, sur
huit
et demi de large, le tout en voûte semé de fleurs
eurs Majestés (Louis XIII et la reine mère) était élevé un théâtre de
six
pieds de hauteur, de huit toises de largeur, et d
et la reine mère) était élevé un théâtre de six pieds de hauteur, de
huit
toises de largeur, et d’autant de profondeur. »
fut donné à des comédiens italiens, dont la troupe débuta à Paris le
9
août 16533. Ces comédiens étaient en possession d
nné à des comédiens italiens, dont la troupe débuta à Paris le 9 août
16533.
Ces comédiens étaient en possession de ce théâtre
rs. La salle du Petit-Bourbon ayant été démolie vers la fin d’octobre
1660,
le roi accorda à Molière et aux comédiens italien
rend compte de ce fait dans les termes suivants. Muse historique du
30
octobre 1660. On a mis à bas le théâtre, Fait de
de ce fait dans les termes suivants. Muse historique du 30 octobre
1660.
On a mis à bas le théâtre, Fait de bois, de pier
a salle du Palais-Royal. Nous parlerons de cet événement sous l’année
1673.
[*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et le
de Molière, à la tête des Œuvres de cet auteur, édition in-12, Paris,
1739.
a. « [*]Les connaisseurs ont dit que L’Étourdi
*]. [Note marginale] Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière.
1.
[Note marginale] Vie de Molière, avec des jugeme
résentation, le double du prix ordinaire. La pièce se soutint pendant
quatre
mois de suite. » b. « [*]J’étais à la premièr
Note marginale] Vie de Molière, avec des jugements sur ses ouvrages.
2.
[Note marginale] Nous en parlerons à la fin de ce
e cet article. [*]. [Note marginale] Vie de Molière, par Grimarest.
3.
[Note marginale] Vie de Molière, avec des jugemen
rginale] Nouvelles nouvelles, troisième partie, p. 217 et suivantes.
1.
[Note marginale] L’École des femmes, comédie de
te marginale] L’École des femmes, comédie de Molière, représentée en
1662.
M. de Visé écrivait ceci en 1663. 2. [Note margi
comédie de Molière, représentée en 1662. M. de Visé écrivait ceci en
1663.
2. [Note marginale] Comédie représentée en 1661.
e de Molière, représentée en 1662. M. de Visé écrivait ceci en 1663.
2.
[Note marginale] Comédie représentée en 1661. [*
sé écrivait ceci en 1663. 2. [Note marginale] Comédie représentée en
1661.
[*]. [Note marginale] Faits sur la comédie des P
on seulement de la pièce dont nous rendons compte ici, mais encore de
deux
autres, dont nous parlerons à la fin de cet artic
dont nous parlerons à la fin de cet article, et d’un dictionnaire en
deux
volumes in-8°, intitulé : Le Dictionnaire des pré
par une critique amère de la tragédie de Théodore, reine de Hongrie.
1.
[Note marginale] De l’abbé Boyer. 2. [Note margi
de Théodore, reine de Hongrie. 1. [Note marginale] De l’abbé Boyer.
2.
[Note marginale] Tragi-comédie de Quinault. 3. [
le] De l’abbé Boyer. 2. [Note marginale] Tragi-comédie de Quinault.
3.
[Note marginale] M. Magnon. a. Voici une nouvell
, et le temps qu’il parut au théâtre. b. Cette pièce est imprimée en
trois
actes dans l’édition in-4° des Œuvres de Molière,
mée en trois actes dans l’édition in-4° des Œuvres de Molière, Paris,
1734,
et in-12, 1739. Mais nous avons cru devoir suivre
es dans l’édition in-4° des Œuvres de Molière, Paris, 1734, et in-12,
1739.
Mais nous avons cru devoir suivre les précédentes
ée en un acte. c. Nous adoptons cette date préférablement à celle du
28
mars, qui se trouve dans la table générale des pi
able générale des pièces de théâtre de Molière, édition in-12, Paris,
1739,
attendu que cette pièce fut jouée en été pendant
8. Cette pièce a été représentée par la nouvelle troupe italienne, le
10
novembre 1716. Elle est en prose et en trois acte
ce a été représentée par la nouvelle troupe italienne, le 10 novembre
1716.
Elle est en prose et en trois actes, non imprimée
uvelle troupe italienne, le 10 novembre 1716. Elle est en prose et en
trois
actes, non imprimée. a. Sganarelle, ou le Cocu
comédiens de Monsieur, frère unique du roi, in-12, Paris, Jean Ribou,
1660.
b. Cette pièce est intitulée Les Amours d’Alcipe
imaginaire, comédie en vers et en un acte, in-12, Paris, Jean Ribou,
1660.
c. Cet auteur ne nous est connu que par cette pe
nole ; quoi qu’il en soit, ces comédiens restèrent en France jusqu’en
1672
avec une pension de la reine, et sans doute à tit
de Robinet servira pour appuyer cette conjecture. Lettre en vers du
30
novembre 1669. Comme les abbés de la sorte1, Aux
ervira pour appuyer cette conjecture. Lettre en vers du 30 novembre
1669.
Comme les abbés de la sorte1, Aux plaisirs n’ont
te1, Aux plaisirs n’ont pas l’âme morte, Il fut le jour du lendemain (
2
) 2, Au grand château de Saint-Germain, À la coméd
, Aux plaisirs n’ont pas l’âme morte, Il fut le jour du lendemain (2)
2,
Au grand château de Saint-Germain, À la comédie e
reine avait invité, Obligeamment, Sa Majesté. *. [Note marginale]
21
juillet.
Chapitre
XIV
. La commedia dell’arte au temps de Molière (à par
Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de
1662
) Les Italiens revinrent à Paris en 1662, et ce
ps de Molière (à partir de 1662) Les Italiens revinrent à Paris en
1662,
et cette fois s’y établirent d’une manière perman
ordinaires, et, sur l’ordre du roi, ils restituèrent aux Français les
quinze
cents livres qu’ils avaient reçues de ceux-ci en
res, et, sur l’ordre du roi, ils restituèrent aux Français les quinze
cents
livres qu’ils avaient reçues de ceux-ci en 1658,
Français les quinze cents livres qu’ils avaient reçues de ceux-ci en
1658,
contribuant ainsi pour leur part aux frais d’étab
t la plupart des artistes qui avaient quitté Paris au mois de juillet
1659
: Trivelin, le Pantalon Turi, Costantino Lolli, a
d’Eularia, et un second zanni, Domenico Biancolelli, né à Bologne, en
1640,
jouant sous le nom d’Arlequin ; en tout dix perso
lelli, né à Bologne, en 1640, jouant sous le nom d’Arlequin ; en tout
dix
personnages, qui sont le nombre indispensable, di
jouer une comédie italienne. Le roi leur fit une pension annuelle de
15
000 liv. Dans les comptes de la cour, on trouve,
uer une comédie italienne. Le roi leur fit une pension annuelle de 15
000
liv. Dans les comptes de la cour, on trouve, à la
e de 15 000 liv. Dans les comptes de la cour, on trouve, à la date de
1664,
la mention du payement de cette pension par quart
s comédiens, pour leurs appointements pendant le quartier de janvier…
3
750 liv. « À Tiberio Fiurelli dit Scaramouche, ch
comédiens, pour leurs appointements pendant le quartier de janvier… 3
750
liv. « À Tiberio Fiurelli dit Scaramouche, chef d
pagnie, pour leur entretennement pendant les mois d’avril, mai, juin…
3
750 liv. « À André Zanotti, etc., pour le quartie
gnie, pour leur entretennement pendant les mois d’avril, mai, juin… 3
750
liv. « À André Zanotti, etc., pour le quartier de
dré Zanotti, etc., pour le quartier de juillet, août et septembre…
3
750 liv. « À Dominique Biancolelli, etc., pour le
é Zanotti, etc., pour le quartier de juillet, août et septembre… 3
750
liv. « À Dominique Biancolelli, etc., pour le qua
ancolelli, etc., pour le quartier d’octobre, novembre et décembre…
3
750 liv. » Il faut tripler et quadrupler cette
colelli, etc., pour le quartier d’octobre, novembre et décembre… 3
750
liv. » Il faut tripler et quadrupler cette somm
si l’on veut en avoir l’équivalent actuel. La troupe se composant de
dix
personnes, chacune d’elles avait au moins cinq ce
troupe se composant de dix personnes, chacune d’elles avait au moins
cinq
cents écus d’assuré. Cette pension resta fixée au
pe se composant de dix personnes, chacune d’elles avait au moins cinq
cents
écus d’assuré. Cette pension resta fixée au même
e chiffre, que l’on trouve inscrit encore dans les comptes de l’année
1674
et de l’année 1688. En outre, Scaramouche et sa f
trouve inscrit encore dans les comptes de l’année 1674 et de l’année
1688.
En outre, Scaramouche et sa femme Marinette, qu’i
mme Marinette, qu’il avait emmenée avec lui, touchaient, à la date de
1664,
un supplément de pension personnelle, ainsi qu’il
tant de lui que de sa femme, pendant une année finie le dernier juin
1664
… 200 liv. » Ce n’est pas tout. Lorsque les coméd
de lui que de sa femme, pendant une année finie le dernier juin 1664…
200
liv. » Ce n’est pas tout. Lorsque les comédiens
nique on nommerait des feux. On lit, par exemple, dans les comptes de
1688
: « À Cinthio, comédien italien, tant pour lui q
inthio, comédien italien, tant pour lui que pour ses compagnons, pour
cinq
comédies jouées à Versailles pendant les six dern
ur ses compagnons, pour cinq comédies jouées à Versailles pendant les
six
derniers mois de 1688… 390 liv. » Il n’est pas
ur cinq comédies jouées à Versailles pendant les six derniers mois de
1688
… 390 liv. » Il n’est pas besoin de dire qu’ils
q comédies jouées à Versailles pendant les six derniers mois de 1688…
390
liv. » Il n’est pas besoin de dire qu’ils étaie
édent, on trouve celui-ci : « Item, pour voiturer lesdits comédiens…
200
liv. » La troupe italienne était traitée, sous c
gentilhomme à Chambord, puis à Saint-Germain, en octobre et novembre
1670,
nous voyons, d’après l’état officiel47, les dépen
iciel47, les dépenses accessoires s’élever à la somme considérable de
49
404 livres, 18 sous. C’était Molière qui écrasait
el47, les dépenses accessoires s’élever à la somme considérable de 49
404
livres, 18 sous. C’était Molière qui écrasait alo
penses accessoires s’élever à la somme considérable de 49 404 livres,
18
sous. C’était Molière qui écrasait alors les Ital
olière, par exemple, parmi les siens. Pendant une première période de
cinq
années, ils jouèrent exclusivement les pièces qu’
uffisante de l’ensemble des pièces. Il faut chercher ailleurs : voici
deux
canevas qui remontent probablement à cette époque
ous sera permis de rétablir les noms de la troupe qui joua à Paris de
1662
à 1671. Le premier est intitulé Arlecchino cavali
a permis de rétablir les noms de la troupe qui joua à Paris de 1662 à
1671.
Le premier est intitulé Arlecchino cavaliere per
ia ; le Docteur, juge de la même ville, a un fils nommé Ottavio ; les
deux
vieillards ont projeté d’unir leurs enfants, Aure
ément à l’aide de ce déguisement, et part. Arlequin, après avoir fait
deux
fagots, veut en charger son âne ; il est surpris
se retire. Au second acte, Arlequin rentre avec Diamantine ; tous les
deux
respirent une odeur qui les surprend, quand le rô
atique et surtout le payement du repas qu’il a fait servir chez lui à
douze
francs par tête. Diamantine croit que son mari l’
ntre, en demande des nouvelles. Arlequin lui apprend qu’il l’a vendue
dix
louis ; il lui en rend six et en retient quatre,
les. Arlequin lui apprend qu’il l’a vendue dix louis ; il lui en rend
six
et en retient quatre, deux pour payer le dîner qu
apprend qu’il l’a vendue dix louis ; il lui en rend six et en retient
quatre
, deux pour payer le dîner qu’il a commandé lui-mê
qu’il l’a vendue dix louis ; il lui en rend six et en retient quatre,
deux
pour payer le dîner qu’il a commandé lui-même, de
n retient quatre, deux pour payer le dîner qu’il a commandé lui-même,
deux
pour le souper qu’ils vont manger. Ces canevas no
sent appartenir, au moins pour le fond, à la période où les rôles des
deux
zanni acquirent une importance exceptionnelle sur
et de l’Arlequin Dominique, qui y régnèrent l’un à côté de l’autre de
1662
à 1671, époque où le premier mourut et Dominique
’Arlequin Dominique, qui y régnèrent l’un à côté de l’autre de 1662 à
1671,
époque où le premier mourut et Dominique resta se
nt alors tout à fait scélérat : « Arrogant dans la bonne fortune, dit
M
Jules Guillemot 48 , traître et rusé dans la mauv
it scélérat : « Arrogant dans la bonne fortune, dit M Jules Guillemot
48
, traître et rusé dans la mauvaise ; criant et pl
ce. Dans le canevas de La Figlia disubediente (la Fille désobéissante)
49,
Arlequin ne faisait que passer sur le théâtre, en
uoi de mobile et de fugace, qu’on a de plus en plus accusé en lui.
19.
— Arlequin. Dominique a laissé un manuscrit des
toire de l’ancien théâtre italien, publiée par les frères Parfait, en
175351.
Des canevas qui le composent, il ressort que la p
s comme celle que nous allons, par exemple, emprunter au scénario des
Quatre
Arlequins : « Arlequin vient, tenant une guitare
rès de la première et se retire. Arlequin est fort surpris de trouver
deux
instruments au lieu d’un : “Comment diable, dit-i
couchée !” Sans qu’il s’en aperçoive, l’Arlequin butor lui dérobe les
deux
guitares : nouvelle surprise ; enfin, on lui reme
e véritable est tout à fait confondu lorsqu’il voit paraître aussitôt
deux
autres Arlequins : “Ô ciel ! s’écrie-t-il, il fau
r le mal de dents : « Prenez une pomme, répond Arlequin, coupez-la en
quatre
parties égales : mettez un des quartiers dans vot
avait plusieurs connaissances particulières des secrets de la nature
52
». Ailleurs, Arlequin, prévôt et juge, instruit
la réflexion par laquelle Molière termine la préface du Tartuffe : «
Huit
jours après que ma comédie eut été défendue, on r
on à ce rôle scandaleux en parlant à la reine mère : « Voilà, Madame,
trois
coups mortels pour le pauvre Scaramouche, et il f
de modifier leur manière pour soutenir la lutte avec leurs rivaux.
47.
Voir l’Appendice, nº 6. 48. Revue contemporaine
pour soutenir la lutte avec leurs rivaux. 47. Voir l’Appendice, nº
6.
48. Revue contemporaine, livraison du 15 mai 18
r soutenir la lutte avec leurs rivaux. 47. Voir l’Appendice, nº 6.
48.
Revue contemporaine, livraison du 15 mai 1866.
47. Voir l’Appendice, nº 6. 48. Revue contemporaine, livraison du
15
mai 1866. 49. Voyez La Muse historique, lettre d
oir l’Appendice, nº 6. 48. Revue contemporaine, livraison du 15 mai
1866.
49. Voyez La Muse historique, lettre de Robinet,
ppendice, nº 6. 48. Revue contemporaine, livraison du 15 mai 1866.
49.
Voyez La Muse historique, lettre de Robinet, du 5
du 15 mai 1866. 49. Voyez La Muse historique, lettre de Robinet, du
5
novembre 1667. 50. Nous reproduisons le nouveau
1866. 49. Voyez La Muse historique, lettre de Robinet, du 5 novembre
1667.
50. Nous reproduisons le nouveau personnage d’Ar
49. Voyez La Muse historique, lettre de Robinet, du 5 novembre 1667.
50.
Nous reproduisons le nouveau personnage d’Arlequi
ous reproduisons le nouveau personnage d’Arlequin, d’après la planche
2
de l’Histoire du Théâtre italien de Riccoboni. 5
d’après la planche 2 de l’Histoire du Théâtre italien de Riccoboni.
51.
Voyez l’Appendice, nº 7. 52. Arlequiniana publi
’Histoire du Théâtre italien de Riccoboni. 51. Voyez l’Appendice, nº
7.
52. Arlequiniana publié en 1694, page 2. 53. C
toire du Théâtre italien de Riccoboni. 51. Voyez l’Appendice, nº 7.
52.
Arlequiniana publié en 1694, page 2. 53. Cette
Riccoboni. 51. Voyez l’Appendice, nº 7. 52. Arlequiniana publié en
1694,
page 2. 53. Cette scène faisait certainement par
51. Voyez l’Appendice, nº 7. 52. Arlequiniana publié en 1694, page
2.
53. Cette scène faisait certainement partie du p
Voyez l’Appendice, nº 7. 52. Arlequiniana publié en 1694, page 2.
53.
Cette scène faisait certainement partie du premie
dant scrupuleux fut jouée en monologues, à la foire Saint-Laurent (en
1709
) pour braver les défenses obtenues par les comédi
Chapitre
XXXII
Année 1675 (suite de la huitième période). — L
Chapitre XXXII Année
1675
(suite de la huitième période). — Le roi donne, p
ntenon revient de Barèges. — Faveur de madame de Maintenon. L’année
1675
éclaircit beaucoup l’avenir que pouvait espérer M
pouvait espérer Madame Scarron, et lui fit entrevoir sa destinée. Le
7
janvier elle écrivait à Gobelin : « Mes sentiment
il la nomma madame de Maintenon. « Il est très vrai », écrit-elle, le
6
février, à madame de Coulanges, « que le roi m’a
s mots : une terre que le roi m’a donnée ; ils prouvent, qu’outre les
200
000 francs dont nous avons vu le don, le roi avai
ts : une terre que le roi m’a donnée ; ils prouvent, qu’outre les 200
000
francs dont nous avons vu le don, le roi avait aj
e roi avait ajouté le complément du prix de la terre, qui s’élevait à
50
000 francs. Mais un autre événement marqua bien a
oi avait ajouté le complément du prix de la terre, qui s’élevait à 50
000
francs. Mais un autre événement marqua bien autre
effroi ou la honte que ces prédications parurent jeter dans l’âme des
deux
amants, furent plus forts et plus déterminants en
dans l’âme des deux amants, furent plus forts et plus déterminants en
1675
qu’ils ne l’avaient été dans les années précédent
auxquels elle donna lieu à la cour. D’abord, madame de Caylus a fait
deux
anachronismes à ce sujet. iº Elle a confondu cett
cette rupture avec la courte interruption de liaison qui eut lieu en
1671.
2º Elle la place après le jubilé, qui n’eut lieu
rupture avec la courte interruption de liaison qui eut lieu en 1671.
2º
Elle la place après le jubilé, qui n’eut lieu qu’
lieu en 1671. 2º Elle la place après le jubilé, qui n’eut lieu qu’en
1676,
au lieu de l’indiquer après la semaine sainte de
eut lieu qu’en 1676, au lieu de l’indiquer après la semaine sainte de
1675.
Elle a confondu les circonstances des deux crises
près la semaine sainte de 1675. Elle a confondu les circonstances des
deux
crises de 1671 et 1673, qui n’eurent rien de comm
sainte de 1675. Elle a confondu les circonstances des deux crises de
1671
et 1673, qui n’eurent rien de commun. M. de Beaus
de 1675. Elle a confondu les circonstances des deux crises de 1671 et
1673,
qui n’eurent rien de commun. M. de Beausset, dans
s ne le sont pas. M. de Beausset établît aussi que dans la rupture de
1670
madame de Montespan reçut ordre de quitter la cou
me de Montespan reçut ordre de quitter la cour et fut envoyée à Paris
105
; en quoi il diffère de La Beaumelle qui, dans le
n quoi il diffère de La Beaumelle qui, dans les Mémoires de Maintenon
106,
a fait une longue narration des circonstances de
pour combattre la douleur du roi et ramener à une sainte résignation.
Trente
pages de La Beaumelle contiennent cette histoire
a séparation, madame de Caylus se borne aux paroles suivantes : « Ces
deux
amants, pressés par leur conscience, se séparèren
Le roi, de son côté, fit tout ce qu’un bon chrétien doit faire. » Le
16
avril, peu après l’événement, madame de Scudéry é
, car il y aurait grand danger que l’amour ne reprît le dessus. » Le
10
mai, madame de Sévigné écrit à son cousin : « Je
Madame de Montespan alla à Clagny, où elle avait à dépenser quelques
millions
que le roi lui avait donnés pour adoucir ses chag
it par écrit la suite des conseils et des exhortations de Bossuet. Le
7
juin 1676, madame de Sévigné écrit à sa fille : «
écrit la suite des conseils et des exhortations de Bossuet. Le 7 juin
1676,
madame de Sévigné écrit à sa fille : « Le roi a f
xpressément datée, porte sa date dans les faits qu’elle présente. Les
trois
personnages qui s’étaient séparés à la fin d’avri
isir à visiter sa famille. Dans le cours de ce voyage, elle écrit, le
20
mai, du Petit-Niort, à l’abbé Gobelin, une lettre
remiers jours du mois de mai pour l’armée des Pays-Bas, prit Dinan le
29
et ne revint à Versailles que le 18 ou le 20 juil
armée des Pays-Bas, prit Dinan le 29 et ne revint à Versailles que le
18
ou le 20 juillet. Pendant ce temps-là, madame de
Pays-Bas, prit Dinan le 29 et ne revint à Versailles que le 18 ou le
20
juillet. Pendant ce temps-là, madame de Montespan
re que de transcrire les relations de madame de Sévigné à sa file. Le
12
juin, elle lui écrit ce qui suit : « Madame de Mo
de Montespan dans son carrosse et la mena à Trianon avec elle. » Le
14
juin. « La reine, en allant prendre madame de Mon
vrault. Vous verrez de quelle manière se tournera cette amitié. » Le
28
juin, « Vous jugez très bien de Quantova (madame
ivement, et la considération est sans bornes. » Une autre lettre, du
3
juillet, porte : « Ah ! que l’autorité et la con
triomphe où elle est au milieu de ses ouvriers, qui sont au nombre de
douze
cents : le palais d’Apollidon et les jardins d’Ar
he où elle est au milieu de ses ouvriers, qui sont au nombre de douze
cents
: le palais d’Apollidon et les jardins d’Armide e
’élite, de faire remarquer dans ces lettres de madame de Sévigné, des
28
juin et 3 juillet, la conformité des principes d’
faire remarquer dans ces lettres de madame de Sévigné, des 28 juin et
3
juillet, la conformité des principes d’honnêteté
devoir tenter un dernier effort114. Il se rendit au-devant du roi, à
huit
lieues de Versailles, et parut devant lui. Il n’e
nt pour madame de Montespan. » Madame de Sévigné, dans une lettre du
24
juillet, raconte à sa fille l’arrivée du roi. « L
a plupart des choses que nous croyions voir, on nous détromperait. »
26
juillet. « La cour s’en va à Fontainebleau, c’est
rtain que l’ami de Quantova (le roi) dit à sa femme et à son curé par
deux
fois : Soyez persuadés que je n’ai pas changé les
-vous à ma parole, et instruisez les curieux de mes sentiments116. »
31
juillet. « On devait partir aujourd’hui pour Font
le ; car dans son triomphe extérieur il y a un fonds de tristesse. »
7
août 1675. « Toutes les dames de la reine sont pr
r dans son triomphe extérieur il y a un fonds de tristesse. » 7 août
1675.
« Toutes les dames de la reine sont précisément c
d l’une de l’autre. Elle dévoile le dessous de carte que la lettre du
24
juillet indique mystérieusement. Ce dessous de ca
dames de Montespan et de Maintenon, elles se détestent depuis près de
deux
ans ; « que la première est révoltée de l’orgueil
bien d’autres torts. Nous avons parlé de cette lettre sous la date de
1673,
parce qu’elle s’applique à deux années de mésinte
arlé de cette lettre sous la date de 1673, parce qu’elle s’applique à
deux
années de mésintelligences, de prétentions d’un c
autre… « Ce secret, ajoute la lettre, roule sous terre depuis plus de
six
mois. Il se répand un peu, et je crois que vous e
s. Il se répand un peu, et je crois que vous en serez surprise. » Le
21
août, quatorze jours après ce qu’on vient de lire
répand un peu, et je crois que vous en serez surprise. » Le 21 août,
quatorze
jours après ce qu’on vient de lire, madame de Sév
lle. Lisons madame de Sévigné qui en donne la nouvelle à sa fille, le
11
septembre 1675. « Il est certain que l’ami (le ro
adame de Sévigné qui en donne la nouvelle à sa fille, le 11 septembre
1675.
« Il est certain que l’ami (le roi) et Quanto (ma
e les jalousies et les défiances de la marquise rentrée en faveur. Le
27
octobre, elle écrivait, de Bagnères, à l’abbé Gob
avez toujours connue, etc. » Madame de Sévigné écrit à sa fille, le
3
novembre : « M. Boucherat a passé par Véret. Il a
e Thianges : je crois qu’un si heureux voyage réchauffera le cœur des
deux
amies. » 10 novembre. « Rien ne fut plus agréabl
crois qu’un si heureux voyage réchauffera le cœur des deux amies. »
10
novembre. « Rien ne fut plus agréable que la surp
elle l’est. Madame de Coulanges revient : je n’en ai jamais douté. »
18
décembre. « Je suis étonnée de ce qu’on m’apprend
s sévères, selon l’état où seront mes affaires ; j’avais dans la tête
trois
affaires dont il y a déjà deux de faites : ce son
t mes affaires ; j’avais dans la tête trois affaires dont il y a déjà
deux
de faites : ce sont des avis que j’ai demandés et
it pour un refroidissement opéré par une fortune inespérée. L’année
1675
peut se résumer ainsi : Elle commence par la mani
J’ai composé un long chapitre pour dire ce que je viens de résumer en
dix
lignes ; mais ce chapitre est un assemblage de fr
drame, mais y jettera des incidents propres à en ranimer l’intérêt.
105.
T. II, p. 53. Il cite un manuscrit de Ledieu, qui
t de Ledieu, qui n’est je crois, pas connu de beaucoup de personnes.
106.
T. II, p. 68-94. 107. Beausset, manuscrit de Led
je crois, pas connu de beaucoup de personnes. 106. T. II, p. 68-94.
107.
Beausset, manuscrit de Ledieu. 108. Beausset, t.
rsonnes. 106. T. II, p. 68-94. 107. Beausset, manuscrit de Ledieu.
108.
Beausset, t. II, p. 58. « Le jour de la Pentecôte
II, p. 68-94. 107. Beausset, manuscrit de Ledieu. 108. Beausset, t.
II
, p. 58. « Le jour de la Pentecôte approche où V.
. 108. Beausset, t. II, p. 58. « Le jour de la Pentecôte approche où
V.
M. a résolu de communier… Elle m’a commandé de l’
a résolu de communier… Elle m’a commandé de l’en faire souvenir. »
109.
Pour Barèges. Ce voyage eut lieu tout au commence
our Barèges. Ce voyage eut lieu tout au commencement du mois de mai.
110.
Madame de Sévigné fait, dans une autre lettre à s
i. 110. Madame de Sévigné fait, dans une autre lettre à sa fille, du
7
août, la description du jardin de Clagny. « Nous
allées où l’on est à l’ombre ; et pour cacher les caisses, il y a des
deux
côtés des palissades à hauteur d’appui, toutes fl
enchantée nouveauté qui se puisse imaginer. On aime fort ce bois. »
111.
C’est-à-dire qu’elle ne se bornât pas à suspendre
e le dérèglement de sa vie à l’époque des grandes fêtes de l’église.
112.
Sous-entendez : Dans les bonnes grâces de la rei
nes grâces de la reine, et n’oubliez pas que le roi était à l’armée.
113.
T. II, p. 71. 114. Manuscrit de Ledieu. 115. Ce
ne, et n’oubliez pas que le roi était à l’armée. 113. T. II, p. 71.
114.
Manuscrit de Ledieu. 115. Ceci est relatif à l’a
roi était à l’armée. 113. T. II, p. 71. 114. Manuscrit de Ledieu.
115.
Ceci est relatif à l’apparente amitié de madame d
ubséquente nous apprendra que la vérité qui était comme à Pomponne le
24
juillet, s’est répandue à Paris dans le mois suiv
Pomponne le 24 juillet, s’est répandue à Paris dans le mois suivant.
116.
C’était le bon billet de Ninon à La Châtre.
r La Serre. Vie de Molière avec de petits sommaires de ses pièces (
1739
) Vie de Molière. Le goût de bien des lecte
es. C’est ce qui est arrivé dans l’édition de Racine faite à Paris en
1728.
On tâchera d’éviter cet écueil dans cette courte
ntiments du public éclairé. Jean-Baptiste Poquelin naquit à Paris en
1620
dans une maison qui subsiste encore sous les pili
op conforme à leur état, auquel ils le destinaient : il resta jusqu’à
quatorze
ans dans leur boutique, n’ayant rien appris outre
rès qu’on devait attendre de son empressement à y entrer. Il y étudia
cinq
années ; il y suivit le cours des classes d’Arman
rotecteur des lettres et de Molière. Il y avait alors dans ce collège
deux
enfants, qui eurent depuis beaucoup de réputation
ue à la gloire d’un État, quand elle est perfectionnée. Avant l’année
1625,
il n’y avait point de comédiens fixes à Paris. Qu
tien, ou de Balthazar Baro. Ces auteurs leur vendaient leurs ouvrages
dix
écus pièce. Pierre Corneille tira le théâtre de
lle tira le théâtre de la barbarie et de l’avilissement, vers l’année
1630.
Ses premières comédies, qui étaient aussi bonnes
e ce temps-là, intitulée Artaxerce, d’un nommé Magnon, et imprimée en
1645,
qu’elle fut représentée sur l’Illustre Théâtre. C
nous environne. Il fit donc pour la province le Docteur amoureux, les
Trois
Docteurs rivaux, le Maître d’école : ouvrages don
ouvrages dont il ne reste que le titre. Quelques curieux ont conservé
deux
pièces de Molière dans ce genre : l’une est le Mé
e, du troisième acte de George Dandin. La première pièce régulière en
cinq
actes qu’il composa, fut l’Étourdi. Il représenta
s qu’il composa, fut l’Étourdi. Il représenta cette comédie à Lyon en
1653.
Il y avait dans cette ville une troupe de comédie
Languedoc, avec une troupe assez complète, composée principalement de
deux
frères nommés Gros-René, de Duparc, d’un pâtissie
ouvrage pouvait corriger et la cour et la ville. Molière avait alors
trente-quatre
ans ; c’est l’âge où Corneille fit le Cid. Il est
, et avoir joué à Grenoble, à Lyon, à Rouen, il vint enfin à Paris en
1658.
Le prince de Conti lui donna accès auprès de Mons
l’usage a toujours continué de donner de ces pièces d’un acte, ou de
trois
, après les pièces de cinq. On permit à la troupe
é de donner de ces pièces d’un acte, ou de trois, après les pièces de
cinq
. On permit à la troupe de Molière de s’établir à
s autres jours. La troupe de l’hôtel de Bourgogne ne jouait aussi que
trois
fois la semaine, excepté lorsqu’il y avait des pi
ère prit le titre de la Troupe de Monsieur, qui était son protecteur.
Deux
ans après, en 1660, il leur accorda la salle du P
e la Troupe de Monsieur, qui était son protecteur. Deux ans après, en
1660,
il leur accorda la salle du Palais-Royal. Le card
n de Mirame tragédie, dans laquelle ce ministre avait composé plus de
cinq
cents vers. Cette salle est aussi mal construite
Mirame tragédie, dans laquelle ce ministre avait composé plus de cinq
cents
vers. Cette salle est aussi mal construite que la
ins propre encore pour le chant, que pour la déclamation. Depuis l’an
1658
jusqu’à 1673, c’est-à-dire en quinze années de te
core pour le chant, que pour la déclamation. Depuis l’an 1658 jusqu’à
1673,
c’est-à-dire en quinze années de temps, il donna
e pour la déclamation. Depuis l’an 1658 jusqu’à 1673, c’est-à-dire en
quinze
années de temps, il donna toutes ses pièces, qui
ze années de temps, il donna toutes ses pièces, qui sont au nombre de
trente
. Il voulut jouer dans le tragique, mais il n’y ré
eût pas aussi protégé Molière. Il n’eut à la vérité qu’une pension de
mille
livres, et sa troupe n’en eut qu’une de sept. La
r : ce qu’il retirait du théâtre, avec ce qu’il avait placé, allait à
trente
mille livres de rente ; somme qui, en ce temps-là
qu’il retirait du théâtre, avec ce qu’il avait placé, allait à trente
mille
livres de rente ; somme qui, en ce temps-là, fais
qui sortait de Port-Royal, à travailler pour le théâtre dès l’âge de
dix-neuf
ans. Il lui fit composer la tragédie de Théagène
ce fût trop faible pour être jouée, il fit présent au jeune auteur de
cent
louis, et lui donna le plan des Frères ennemis. I
e pas inutile de dire, qu’environ dans le même temps, c’est-à-dire en
1661,
Racine ayant fait une ode sur le mariage de Louis
ayant fait une ode sur le mariage de Louis XIV, M. Colbert lui envoya
cent
louis au nom du roi. Il est très- pour l’honneur
il croyait qu’il fallait lui donner ? Celui-ci répondit au hasard :
Quatre
pistoles. — Donnez-lui quatre pistoles pour moi,
donner ? Celui-ci répondit au hasard : Quatre pistoles. — Donnez-lui
quatre
pistoles pour moi, lui dit Molière ; en voilà vin
es. — Donnez-lui quatre pistoles pour moi, lui dit Molière ; en voilà
vingt
qu’il faut que vous lui donniez pour vous ; et i
s et par sa fortune, ne le fut pas dans sa maison. Il avait épousé en
1661
une jeune fille, née de la Béjart et d’un gentilh
urant chez lui, rue de Richelieu. Il fut assisté quelques moments par
deux
de ces sœurs religieuses qui viennent quêter à Pa
tre leurs bras, étouffé par le sang qui lui sortait par la bouche, le
17
février 1673, âgé de cinquante-trois ans. Il ne l
ras, étouffé par le sang qui lui sortait par la bouche, le 17 février
1673,
âgé de cinquante-trois ans. Il ne laissa qu’une f
par le sang qui lui sortait par la bouche, le 17 février 1673, âgé de
cinquante-trois
ans. Il ne laissa qu’une fille, qui avait beaucou
créance. L’Étourdi, ou Les Contre-temps, Comédie en vers et en
cinq
actes, jouée d’abord à Lyon, en 1653, et à Paris
-temps, Comédie en vers et en cinq actes, jouée d’abord à Lyon, en
1653,
et à Paris au mois de Décembre 1658, sur le théât
actes, jouée d’abord à Lyon, en 1653, et à Paris au mois de Décembre
1658,
sur le théâtre du Petit-Bourbon. Cette pièce est
ces de construction, mais aussi plusieurs mots impropres et surannés.
Trois
des plus grands auteurs du siècle de Louis XIV, M
ançais que le Menteur. Le Dépit amoureux, Comédie en vers et en
cinq
actes, représentée au théâtre du Petit-Bourbon, e
en vers et en cinq actes, représentée au théâtre du Petit-Bourbon, en
1658.
Le Dépit amoureux fut joué à Paris, immédiatemen
ère fois à Paris sur le théâtre du Petit-Bourbon, au mois de novembre
1659.
Lorsque Molière donna cette comédie, la fureur du
ièce, faite d’abord pour la province, fut applaudie à Paris, et jouée
quatre
mois de suite. La troupe de Molière fit doubler p
ler pour la première fois le prix ordinaire, qui n’était alors que de
dix
sous au parterre. Dès la première représentation,
imaginaire, Comédie en un acte et en vers, représentée à Paris le
28
mai 1660. Le Cocu imaginaire fut joué quarante f
aire, Comédie en un acte et en vers, représentée à Paris le 28 mai
1660.
Le Cocu imaginaire fut joué quarante fois de sui
ers, représentée à Paris le 28 mai 1660. Le Cocu imaginaire fut joué
quarante
fois de suite, quoique dans l’été, et pendant que
neau fit jouer à l’hôtel de Bourgogne la Cocue imaginaire à la fin de
1661.
Don Garcie de Navarre, ou Le Prince jaloux,
ie de Navarre, ou Le Prince jaloux, Comédie héroïque en vers et en
cinq
actes, représentée pour la première fois le 4 Fév
roïque en vers et en cinq actes, représentée pour la première fois le
4
Février 1661. Molière joua le rôle de Don Garcie
vers et en cinq actes, représentée pour la première fois le 4 Février
1661.
Molière joua le rôle de Don Garcie, et ce fut pa
s la mort de l’auteur. L’École des maris, Comédie en vers et en
trois
actes, représentée à Paris le 24 Juin 1661. Il y
s maris, Comédie en vers et en trois actes, représentée à Paris le
24
Juin 1661. Il y a grande apparence que Molière av
Comédie en vers et en trois actes, représentée à Paris le 24 Juin
1661.
Il y a grande apparence que Molière avait au moin
ni tout au plus l’idée de l’École des maris. Il y a dans les Adelphes
deux
vieillards de différente humeur, qui donnent chac
te aux enfants qu’ils élèvent ; il y a de même dans l’École des maris
deux
tuteurs, dont l’un est sévère, et l’autre indulge
isemblance ; il n’est point dans la nature, qu’un vieillard qui a été
soixante
ans chagrin, sévère et avare, devienne tout à cou
ement, dans la plaisanterie. Les Fâcheux, Comédie en vers et en
trois
actes, représentée à Vaux devant le roi, au mois
e roi, au mois d’Août, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le
4
Novembre de la même année 1661. Nicolas Fouquet,
Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 Novembre de la même année
1661.
Nicolas Fouquet, dernier surintendant des financ
ans sa maison de Vaux, aujourd’hui appelée Villars. Molière n’eut que
quinze
jours pour se préparer. Il avait déjà quelques sc
il le dit dans la préface, faite, apprise et représentée en moins de
quinze
jours. Il n’est pas vrai, comme le prétend Grimar
V. Mais celui qui donna la fête, et l’auteur du prologue, furent tous
deux
mis en prison peu de temps après. On les voulait
ence. Sa vieille réputation fit que les comédiens osèrent la jouer en
1719,
mais ils ne purent jamais l’achever. Il ne faut p
il devait se servir. L’École des femmes, Comédie en vers et en
cinq
actes, représentée à Paris, sur le théâtre du Pal
cinq actes, représentée à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le
26
Décembre 1662. Le théâtre de Molière, qui avait d
représentée à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le 26 Décembre
1662.
Le théâtre de Molière, qui avait donné naissance
onné naissance à la bonne comédie, fut abandonné la moitié de l’année
1661,
et toute l’année 1662, pour certaines farces moit
ne comédie, fut abandonné la moitié de l’année 1661, et toute l’année
1662,
pour certaines farces moitié italiennes, moitié f
èrent avec quelle adresse Molière avait su attacher et plaire pendant
cinq
actes, par la seule confidence d’Horace au vieill
et en prose, représentée à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le
1er
Juin 1663. C’est le premier ouvrage de ce genre q
se, représentée à Paris, sur le théâtre du Palais-Royal, le 1er Juin
1663.
C’est le premier ouvrage de ce genre qu’on connai
, Petite pièce en un acte et en prose, représentée à Versailles le
14
octobre 1663 et à Paris le 4 Novembre de la même
pièce en un acte et en prose, représentée à Versailles le 14 octobre
1663
et à Paris le 4 Novembre de la même année. Moliè
t en prose, représentée à Versailles le 14 octobre 1663 et à Paris le
4
Novembre de la même année. Molière fit ce petit
ncesse d’Élide, ou Les Plaisirs de l’Île enchantée, Représentée le
7
Mai 1664, à Versailles, à la grande fête que le r
d’Élide, ou Les Plaisirs de l’Île enchantée, Représentée le 7 Mai
1664,
à Versailles, à la grande fête que le roi donna a
hantée, que Molière fit jouer la Princesse d’Élide, comédie-ballet en
cinq
actes. Il n’y a que le premier acte et la premièr
rcé. Petite pièce en prose et en un acte, représentée au Louvre le
24
janvier 1664, et au théâtre du Palais-Royal le 15
ite pièce en prose et en un acte, représentée au Louvre le 24 janvier
1664,
et au théâtre du Palais-Royal le 15 décembre de l
sentée au Louvre le 24 janvier 1664, et au théâtre du Palais-Royal le
15
décembre de la même année. C’est une de ces petit
de Molière, qu’il prit l’habitude de faire jouer après les pièces en
cinq
actes. Il y a dans celle-ci quelques scènes tirée
Petite comédie en un acte et en prose, représentée à Versailles le
15
septembre 1665, et sur le théâtre du Palais-Royal
édie en un acte et en prose, représentée à Versailles le 15 septembre
1665,
et sur le théâtre du Palais-Royal le 22 du même m
Versailles le 15 septembre 1665, et sur le théâtre du Palais-Royal le
22
du même mois. L’Amour médecin est un impromptu,
du même mois. L’Amour médecin est un impromptu, fait pour le roi en
cinq
jours de temps : cependant cette petite pièce est
tions. Don Juan, ou Le Festin de Pierre. Comédie en prose et en
cinq
actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal
prose et en cinq actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le
15
février 1665. L’original de la comédie bizarre du
cinq actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 15 février
1665.
L’original de la comédie bizarre du Festin de Pie
rose sa comédie : c’était une nouveauté inouïe alors, qu’une pièce de
cinq
actes en prose. On voit par là combien l’habitude
Molière ; et ce préjugé a duré si longtemps, que Thomas Corneille en
1673,
immédiatement après la mort de Molière, mit son F
ne a été imprimée depuis. Le Misanthrope, Comédie en vers et en
cinq
actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal
vers et en cinq actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le
4
juin 1666. L’Europe regarde cet ouvrage comme le
t en cinq actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 4 juin
1666.
L’Europe regarde cet ouvrage comme le chef-d’œuvr
s, lorsque le fameux acteur Baron étant remonté sur le théâtre, après
trente
ans d’absence, joua le Misanthrope, la pièce n’at
er au Misanthrope de Molière. Le Médecin malgré lui, Comédie en
trois
actes et en prose, représentée sur le théâtre du
ois actes et en prose, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le
9
août 1666. Molière ayant suspendu son chef-d’œuv
es et en prose, représentée sur le théâtre du Palais-Royal, le 9 août
1666.
Molière ayant suspendu son chef-d’œuvre du Misan
omédie en prose et en un acte, représentée à Saint-Germain-en-Laye en
1667,
et sur le théâtre du Palais-Royal le 10 juin de l
à Saint-Germain-en-Laye en 1667, et sur le théâtre du Palais-Royal le
10
juin de la même année. C’est la seule petite pièc
à Saint-Germain-en-Laye pour le roi au Ballet des Muses, en décembre
1666.
Molière n’a jamais fait que deux actes de cette
i au Ballet des Muses, en décembre 1666. Molière n’a jamais fait que
deux
actes de cette comédie ; le roi se contenta de ce
mais fait que deux actes de cette comédie ; le roi se contenta de ces
deux
actes dans la fête du Ballet des Muses. Le public
e remplacent jamais le génie. Amphitryon, Comédie en vers et en
trois
actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal
vers et en trois actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le
13
janvier 1668. Euripide et Archippus avaient trai
trois actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 13 janvier
1668.
Euripide et Archippus avaient traité ce sujet de
ces de Plaute qui a eu le plus de succès ; on la jouait encore à Rome
cinq
cents ans après lui ; et, ce qui peut paraître si
e Plaute qui a eu le plus de succès ; on la jouait encore à Rome cinq
cents
ans après lui ; et, ce qui peut paraître singulie
as ce rythme dans son Agésilas. L’Avare, Comédie en prose et en
cinq
actes, représentée à Paris sur le théâtre du Pala
en cinq actes, représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le
9
septembre 1668. Cette excellente comédie avait ét
es, représentée à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 9 septembre
1668.
Cette excellente comédie avait été donnée au publ
eptembre 1668. Cette excellente comédie avait été donnée au public en
1667
; mais le même préjugé qui fit tomber Le Festin d
at dormiens ; Etiamne obturat inferiorem gutturem ? (Aulularia, act.
II
, sc. iv.) Il crie qu’il est perdu, qu’il est abî
te et plus modeste, a traduit L’Avare, et l’a fait jouer à Londres en
1733.
Il y a ajouté réellement quelques beautés de dial
autés de dialogue particulières à sa nation, et sa pièce a eu près de
trente
représentations, succès très rare à Londres, où l
les pièces qui ont le plus de cours, ne sont jouées tout au plus que
quinze
fois. George Dandin, ou Le Mari confondu, C
is. George Dandin, ou Le Mari confondu, Comédie en prose, et en
trois
actes, représentée à Versailles le 15 de juillet
, Comédie en prose, et en trois actes, représentée à Versailles le
15
de juillet 1668, et à Paris le 9 de novembre sui
n prose, et en trois actes, représentée à Versailles le 15 de juillet
1668,
et à Paris le 9 de novembre suivant. On ne conna
actes, représentée à Versailles le 15 de juillet 1668, et à Paris le
9
de novembre suivant. On ne connaît, et on ne joue
L’Imposteur, ou Le Tartuffe, Joué sans interruption en public le
5
février 1669. On sait toutes les traverses que ce
eur, ou Le Tartuffe, Joué sans interruption en public le 5 février
1669.
On sait toutes les traverses que cet admirable ou
oit le détail dans la préface de l’auteur au devant du Tartuffe. Les
trois
premiers actes avaient été représentés à Versaill
premiers actes avaient été représentés à Versailles devant le roi le
12
mai 1664. Ce n’était pas la première fois que Lou
rs actes avaient été représentés à Versailles devant le roi le 12 mai
1664.
Ce n’était pas la première fois que Louis XIV, qu
commencement, et par conséquent la cour le fut aussi. Il fut joué le
29
novembre de la même année à Rainsy, devant le gra
Le Tartuffe. La première représentation en fut donc faite à Paris le
5
août 1667. Le lendemain on allait la rejouer ; l’
tuffe. La première représentation en fut donc faite à Paris le 5 août
1667.
Le lendemain on allait la rejouer ; l’assemblée é
Les comédiens, ses camarades, voulurent que Molière eût toute sa vie
deux
parts dans le gain de la troupe, toutes les fois
pe, toutes les fois qu’on jouerait cette pièce ; elle fut représentée
trois
mois de suite, et durera autant qu’il y aura en F
re, et de vrai, c’est tout ce qu’il fait bien. On imprima contre lui
vingt
libelles ; un curé de Paris s’avilit jusqu’à comp
écute ! Monsieur de Pourceaugnac, Comédie-ballet en prose et en
trois
actes, faite et jouée à Chambord, pour le roi au
is actes, faite et jouée à Chambord, pour le roi au mois de septembre
1669,
et représentée sur le théâtre du Palais-Royal le
s de septembre 1669, et représentée sur le théâtre du Palais-Royal le
15
novembre de la même année. Ce fut à la représenta
gloire. Le Bourgeois gentilhomme, Comédie-ballet en prose et en
cinq
actes, faite et jouée à Chambord, au mois d’octob
prose et en cinq actes, faite et jouée à Chambord, au mois d’octobre
1670,
et représentée à Paris le 23 novembre de la même
t jouée à Chambord, au mois d’octobre 1670, et représentée à Paris le
23
novembre de la même année. Le Bourgeois gentilho
Misanthrope est admirable, Le Bourgeois gentilhomme est plaisant. Les
quatre
premiers actes de cette pièce peuvent passer pour
Pourceaugnac. Les Fourberies de Scapin, Comédie en prose et en
trois
actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal
rose et en trois actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le
24
mai 1671. Les Fourberies de Scapin sont une de c
en trois actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 24 mai
1671.
Les Fourberies de Scapin sont une de ces farces,
avait préparées en province. Il n’avait pas fait scrupule d’y insérer
deux
scènes entières du Pédant joué, mauvaise pièce de
n prétend que quand on lui reprochait ce plagiat, il répondait : Ces
deux
scènes sont assez bonnes ; cela m’appartenait de
lière ne l’a pas ? Psyché, Tragédie-ballet en vers libres et en
cinq
actes, représentée devant le roi, dans la salle d
du palais des Tuileries, en janvier, et durant le carnaval de l’année
1670,
et donnée au public sur le théâtre du Palais-Roya
e l’année 1670, et donnée au public sur le théâtre du Palais-Royal en
1671.
Le spectacle de l’opéra, connu en France sous le
mme de goût, qui avait du génie pour les machines, avaient obtenu, en
1669
le privilège de l’opéra ; mais ils ne donnèrent r
le privilège de l’opéra ; mais ils ne donnèrent rien au public qu’en
1671.
On ne croyait pas alors que les Français pussent
671. On ne croyait pas alors que les Français pussent jamais soutenir
trois
heures de musique, et qu’une tragédie toute chant
La Toison d’or. On voulut donner au roi et à la cour pour l’hiver de
1670,
un divertissement dans ce goût, et y ajouter des
r le roman beaucoup trop allongé, que La Fontaine venait de donner en
1669.
Il ne put faire que le premier acte, la première
, s’amollit pour plaire à Louis XIV. L’auteur de Cinna fit à l’âge de
67
ans cette déclaration de Psyché à l’Amour qui pas
rdonner ses défauts. Les Femmes savantes, Comédie en vers et en
cinq
actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal
vers et en cinq actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le
11
mars 1672. Cette comédie, qui est mise par les co
en cinq actes, représentée sur le théâtre du Palais-Royal le 11 mars
1672.
Cette comédie, qui est mise par les connaisseurs
est le fameux abbé Cottin, si connu par les satires de Despréaux. Ces
deux
hommes étaient pour leur malheur ennemis de Moliè
injures. Les Amants magnifiques, Comédie-ballet en prose et en
cinq
actes, représentée devant le roi à Saint-Germain,
actes, représentée devant le roi à Saint-Germain, au mois de janvier
1670.
Louis XIV lui-même donna le sujet de cette pièce
donna le sujet de cette pièce à Molière. Il voulut qu’on représentât
deux
princes qui se disputeraient une maîtresse, en lu
es. Molière servit le roi avec précipitation. Il mit dans cet ouvrage
deux
personnages qu’il n’avait point encore fait paraî
e, et en prose, représentée devant le roi à Saint-Germain, en février
1672,
et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le 8 j
rmain, en février 1672, et à Paris sur le théâtre du Palais-Royal, le
8
juillet de la même année. C’est une farce, mais t
se sont répandus de proche en proche. Le Malade imaginaire, En
trois
actes, avec des intermèdes, fut représenté sur le
avec des intermèdes, fut représenté sur le théâtre du Palais-Royal le
10
février 1673. C’est une de ces farces de Molière
termèdes, fut représenté sur le théâtre du Palais-Royal le 10 février
1673.
C’est une de ces farces de Molière dans laquelle
nt l’art dramatique est difficile. FIN DE LA VIE DE MOLIÈRE, ETC.
1.
Toureil 2. Fontenelle 3. La Motte
matique est difficile. FIN DE LA VIE DE MOLIÈRE, ETC. 1. Toureil
2.
Fontenelle 3. La Motte
ficile. FIN DE LA VIE DE MOLIÈRE, ETC. 1. Toureil 2. Fontenelle
3.
La Motte
Chapitre
XXXV
Années 1677 et 1678 (suite de la huitième péri
Chapitre XXXV Années
1677
et 1678 (suite de la huitième période). — Dominat
Chapitre XXXV Années 1677 et
1678
(suite de la huitième période). — Domination de m
tée par la réserve qu’elle garde désormais avec ses amis. Les années
1677
et 1678 ne présentent que la continuation, à la f
la réserve qu’elle garde désormais avec ses amis. Les années 1677 et
1678
ne présentent que la continuation, à la fin très
oi n’avait jamais donné de fêtes plus magnifiques que dans l’hiver de
1677.
On a fait honneur de cette somptuosité très dépla
ein de détourner le soupçon d’une nouvelle campagne. Dans le fait, le
4
de mars, dans le moment que l’Europe le croyait l
du roi triomphant à Saint-Germain, pour la fin du mois de mai, après
trois
mois d’absence. Madame de Maintenon n’était pas e
n qui décidait madame de Montespan à empêcher qu’elle s’y trouvât. Le
27
mai, madame de Maintenon écrivait à son frère : «
adame de Montespan, le désir fut trompé, elle partit pour Barèges. Le
11
juin, madame de Sévigné écrivait à madame de Grig
femmes de sa cour, et de l’empire qu’une d’elles exerçait sur lui. Le
18
juin, madame de Montmorency écrivait au comte de
n il pria le roi de trouver bon qu’il allait faire un petit voyage de
quinze
jours à Liancourt. On dît qu’il ne reviendra pas
ite reprendra son train ordinaire chez Madame. » Une autre lettre du
15
juin nous apprend que Jo a été à la messe du roi
oute : « Trouvera-t-on encore des dupes sur la surface de la terre ? »
Dix
jours après, c’est-à-dire le 25 juin, elle donne
dupes sur la surface de la terre ? »Dix jours après, c’est-à-dire le
25
juin, elle donne encore des nouvelles de madame d
e que Dieu a établi dans ce monde, on trouve aussi une allée123. » Le
30
juin, madame de Sévigné représente Jo dans l’inno
t n’est observée par aucun argus. Junon tonnante et triomphante. » Le
2
juillet, elle apprend à sa fille le retour d’Io à
retour d’Io à Versailles, où elle fait son service près de Madame. Le
7
juillet, elle lui dit : « Vous ne pouvez assez pl
nne en parle, elle dit ce haillon. L’événement rend tout permis. » Le
28,
elle écrit : « Jo est chez Madame tout comme elle
me un ange. Pour moi, j’aimerais mieux ce haillon loin que près. » Le
4
septembre, elle raconte à sa fille cette anecdote
n aise, c’est un ridicule de moins. « J’ai trouvé cela plaisant. » Le
6
septembre, elle écrivait de Vichy : « Madame disa
plutôt qu’amoureusement, dans les chaînes de madame de Montespan. Le
15
octobre, madame de Sévigné écrivait à sa fille «
madame de Maintenon, qui était récemment revenue de Barèges, et resta
deux
ou trois jours chez elle. C’est ce que nous appre
e Maintenon, qui était récemment revenue de Barèges, et resta deux ou
trois
jours chez elle. C’est ce que nous apprend madame
elle. C’est ce que nous apprend madame de Sévigné dans une lettre du
15
octobre. Il n’est pas difficile de deviner ce que
remis de la fatigue du voyage, se portail mieux qu’on ne pensait. Le
20
octobre, elle écrit cette nouvelle à sa fille, en
le lassait par ses résistances, s’abandonna à son humeur avec toutes
deux
; l’une avait à souffrir des infidélités sans dég
ns déguisement, l’autre des froideurs passagèrement affectées. Et les
deux
femmes, ayant toujours quelque raison de s’accuse
t de sentiments à laquelle madame de Maintenon était condamnée depuis
deux
années ou environ, il n’est pas étonnant qu’elle
ent des plaintes que madame de Coulanges faisait au mois de septembre
1675
pour la première fois, sur le changement de son a
l’application de l’ancien adage, que les honneurs changent les mœurs
124.
Dès le 14 septembre 1676, madame de Sévigné écriv
on de l’ancien adage, que les honneurs changent les mœurs 124. Dès le
14
septembre 1676, madame de Sévigné écrivait à sa f
n adage, que les honneurs changent les mœurs 124. Dès le 14 septembre
1676,
madame de Sévigné écrivait à sa fille : « On prét
alla faire à madame de Coulanges, qui était malade, au plus tard, le
12
novembre 1677, dans le premier éclat de sa faveur
à madame de Coulanges, qui était malade, au plus tard, le 12 novembre
1677,
dans le premier éclat de sa faveur, elle écrivait
à Maintenon, et n’oubliâmes pas la chambre des élus. » Plus tard, en
1678
et 1679, l’intimité s’étant établie entre le roi
enon, et n’oubliâmes pas la chambre des élus. » Plus tard, en 1678 et
1679,
l’intimité s’étant établie entre le roi et madame
ire certaines choses, c’est les dire. Consentons à passer sur l’année
1678
comme sur un temps vide d’événements remarquables
laissait entrevoir dans les nuages. Au reste, nous avons vu la fin de
1677,
nous allons voir 1679 ; par le point d’arrivée et
les nuages. Au reste, nous avons vu la fin de 1677, nous allons voir
1679
; par le point d’arrivée et par le point de dépar
arrivée et par le point de départ nous jugerons des intermédiaires.
121.
Il se trouve une interruption de cinq à 6 mois da
jugerons des intermédiaires. 121. Il se trouve une interruption de
cinq
à 6 mois dans la correspondance de madame de Sévi
ns des intermédiaires. 121. Il se trouve une interruption de cinq à
6
mois dans la correspondance de madame de Sévigné
de Sévigné avec sa fille, madame de Grignan étant arrivée à Paris le
22
décembre 1676, et n’étant retournée qu’au mois d
vec sa fille, madame de Grignan étant arrivée à Paris le 22 décembre
1676,
et n’étant retournée qu’au mois de juin 1677. 12
à Paris le 22 décembre 1676, et n’étant retournée qu’au mois de juin
1677.
122. Supplément de Bussy, 2e partie, p. 41. 123
le 22 décembre 1676, et n’étant retournée qu’au mois de juin 1677.
122.
Supplément de Bussy, 2e partie, p. 41. 123. Mada
n’étant retournée qu’au mois de juin 1677. 122. Supplément de Bussy,
2e
partie, p. 41. 123. Madame de Sévigné ne joue-t-
u’au mois de juin 1677. 122. Supplément de Bussy, 2e partie, p. 41.
123.
Madame de Sévigné ne joue-t-elle pas sur le nom d
e-t-elle pas sur le nom de Mont-Espan par analogie avec Mont-Liban ?
124.
Voyez les pages 374 et suiv. ci-dessus. 125. Les
om de Mont-Espan par analogie avec Mont-Liban ? 124. Voyez les pages
374
et suiv. ci-dessus. 125. Les documents fournis j
ogie avec Mont-Liban ? 124. Voyez les pages 374 et suiv. ci-dessus.
125.
Les documents fournis jusqu’ici par sa correspond
par une fatalité très fâcheuse, madame de Grignan étant venue passer
22
mois avec sa mère à Paris, depuis la fin d’octobr
nt venue passer 22 mois avec sa mère à Paris, depuis la fin d’octobre
1677
jusqu’en septembre 1679, nous nous trouvons aussi
avec sa mère à Paris, depuis la fin d’octobre 1677 jusqu’en septembre
1679,
nous nous trouvons aussi privés des informations
Chapitre
XV
. La commedia dell’arte au temps de Molière et apr
. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de
1668
) Au printemps de 1668, commence une nouvelle é
u temps de Molière et après lui (à partir de 1668) Au printemps de
1668,
commence une nouvelle époque dans l’histoire de l
e Cintio del Sole. Scaramouche s’en alla en Italie et ne revint qu’en
1670.
Mais la grande innovation qu’il faut remarquer et
ion complète dans leur répertoire. Ce nouveau système fut inauguré le
2
mai 1668 par Le Régal des Dames (Il Regallo delle
mplète dans leur répertoire. Ce nouveau système fut inauguré le 2 mai
1668
par Le Régal des Dames (Il Regallo delle Damme, n
ment de mes gages ! » sans être accusé « de braver la justice du ciel
54
! » Ce mouvement inverse, ce reflux, pour ainsi
heure, on tomba dans cette confusion. Le Livre sans nom, qui parut en
1695
et qui est attribué à Cotolendi, contient le pass
oduit Les Contre-temps, car ce canevas ne devait pas être antérieur à
1662,
et Les Contre-temps avaient été composés bien ava
er comme prototype du Dépit amoureux, non pas L’Interesse, imprimé en
1581,
mais La Creduta maschio (la Fille crue garçon) qu
re copie sous le titre de : Le Triomphe de la médecine, représenté le
14
mai 1674, presque en même temps que la dernière œ
e sous le titre de : Le Triomphe de la médecine, représenté le 14 mai
1674,
presque en même temps que la dernière œuvre de Mo
italienne dans la version imprimée à Rouen et à Amsterdam, et qui est
deux
fois plus étendue que le texte en quelque sorte o
re part, il y a à objecter que ces éditions distinctes sont datées de
1673,
et la première du mois de mars de cette année. Il
perpétuels ; l’équilibre tendait à se rétablir par ce moyen entre les
deux
théâtres et entre les deux littératures. Par la s
ndait à se rétablir par ce moyen entre les deux théâtres et entre les
deux
littératures. Par la suite, cet équilibre se romp
equin fut brûlé en effigie sur la scène de Leipsig. Molière mourut le
17
février 1673, en jouant pour la quatrième fois le
rûlé en effigie sur la scène de Leipsig. Molière mourut le 17 février
1673,
en jouant pour la quatrième fois le rôle du Malad
hui le passage du Pont-Neuf ; ils y jouèrent alternativement jusqu’en
1680.
À cette date, la troupe française de la salle Gué
Mazarine. Les Italiens, à qui les Français payèrent une indemnité de
800
livres, allèrent jouer à la salle de la rue Mauco
s disparu. Le Pantalon Turi, toujours querelleur, s’était sauvé, vers
1670,
après avoir tiré un coup de pistolet sur Ottavio
oir manqué ; il s’était fait prêtre en Italie. Trivelin était mort en
1671.
Aurelia quitta le théâtre en 1683 : elle vécut ju
en Italie. Trivelin était mort en 1671. Aurelia quitta le théâtre en
1683
: elle vécut jusqu’à l’âge de quatre-vingt-dix an
1671. Aurelia quitta le théâtre en 1683 : elle vécut jusqu’à l’âge de
quatre-vingt-dix
ans et mourut en 1703, époque où Mademoiselle Bel
1683 : elle vécut jusqu’à l’âge de quatre-vingt-dix ans et mourut en
1703,
époque où Mademoiselle Belmont, femme de son peti
iraton ou Giaratone, d’abord gagiste, puis sociétaire, ressuscita, en
1673,
le personnage de Pierrot. C’est Molière qui proba
opularité, de sorte qu’il en est demeuré plus Français qu’Italien.
20.
— Pierrot. Voici quelle était, en 1682, la comp
plus Français qu’Italien. 20. — Pierrot. Voici quelle était, en
1682,
la composition de la troupe italienne, d’après «
dant quelque temps), le Docteur, Flautin (Giovanni Gherardi engagé en
1675
). Les demoiselles Eularia, Aurelia, Diamantine. G
ebvre, Davigeau, Loriot, Germain. Décorateurs : Joussin et Cadet. Les
deux
filles de Dominique, Françoise et Catherine Bianc
filles de Dominique, Françoise et Catherine Biancolelli débutèrent en
1683,
l’une comme première amoureuse sous le nom d’Isab
nom d’Isabelle, l’autre comme soubrette sous le nom de Colombine. Ces
deux
piquantes actrices ont laissé, elles aussi, un so
core effacé. Mentionnons encore Angelo Costantini (Mezzetin) admis en
1683
; Giuseppe Tortoriti (Pasquariel) admis en 1685 ;
i (Mezzetin) admis en 1683 ; Giuseppe Tortoriti (Pasquariel) admis en
1685
; Évarista Gherardi, fils de Flautin, qui débuta,
l) admis en 1685 ; Évarista Gherardi, fils de Flautin, qui débuta, le
1er
octobre 1689, dans l’emploi d’Arlequin, et s’y ma
1685 ; Évarista Gherardi, fils de Flautin, qui débuta, le 1er octobre
1689,
dans l’emploi d’Arlequin, et s’y maintint avec su
ienne avait perdu le fameux Dominique. Domenico Biancolelli mourut en
1688,
à l’âge de quarante-huit ans, dans les circonstan
le fameux Dominique. Domenico Biancolelli mourut en 1688, à l’âge de
quarante-huit
ans, dans les circonstances suivantes : « Le sieu
luxion de poitrine. La fièvre s’y étant jointe, il ne fut pas plus de
huit
jours malade, et après avoir renoncé au théâtre,
t jours malade, et après avoir renoncé au théâtre, il mourut le lundi
2
août 1688, à six heures du soir, et fut enterré à
malade, et après avoir renoncé au théâtre, il mourut le lundi 2 août
1688,
à six heures du soir, et fut enterré à Saint-Eust
et après avoir renoncé au théâtre, il mourut le lundi 2 août 1688, à
six
heures du soir, et fut enterré à Saint-Eustache,
is la chapelle de la Vierge. » L’Arlequin Dominique laissait, dit-on,
trois
cent mille livres de biens. Il souffrait déjà dep
chapelle de la Vierge. » L’Arlequin Dominique laissait, dit-on, trois
cent
mille livres de biens. Il souffrait déjà depuis q
lle de la Vierge. » L’Arlequin Dominique laissait, dit-on, trois cent
mille
livres de biens. Il souffrait déjà depuis quelque
-même dans tous les coins de sa chambre, puis ils se regardaient tous
deux
, faisant chacun des grimaces pour se payer de la
de temps, Arlequin leva enfin son masque, et ils s’embrassèrent tous
deux
avec les ha, ha ! de deux amis qui se revoient ap
nfin son masque, et ils s’embrassèrent tous deux avec les ha, ha ! de
deux
amis qui se revoient après une longue absence. Sa
ssi à un autre désastre, à la retraite de Scaramouche qui eut lieu en
1691.
Loret disait de cet acteur : C’est un comique sa
len : Il fut le maître de Molière, Et la nature fut le sien. Né en
1608,
il vécut encore trois années après avoir quitté l
re de Molière, Et la nature fut le sien. Né en 1608, il vécut encore
trois
années après avoir quitté la scène. En mourant, i
’il avait en France et en Italie, qui se monte à la valeur de près de
cent
mille écus. Il a été regretté de tout le monde. U
vait en France et en Italie, qui se monte à la valeur de près de cent
mille
écus. Il a été regretté de tout le monde. Une fou
ustache, où il fut inhumé avec une grande pompe, le huitième décembre
1694.
» Arlequin enterré derrière le chœur, vis-à-vis
e temps de renoncer au théâtre, et qui fut conduit silencieusement, à
neuf
heures du soir, tout droit au petit cimetière de
ère de Saint-Joseph : contraste pénible et sujet d’immortel regret.
54.
Voy. les Observations du sieur de Rochemont, sur
du sieur de Rochemont, sur ces derniers mots du rôle de Sganarelle.
55.
On voit ci-contre l’habit de Pierrot, tel qu’il p
arelle. 55. On voit ci-contre l’habit de Pierrot, tel qu’il parut en
1673,
reproduit d’après la planche 18 de l’Histoire du
bit de Pierrot, tel qu’il parut en 1673, reproduit d’après la planche
18
de l’Histoire du Théâtre italien de Riccoboni. Pi
femmes, scène vii. La critique littéraire Il y avait une fois
trois
cuisiniers (le Chevalier Dorante aime les compara
stronomique, je commence par lui en servir une) ; il y avait une fois
trois
cuisiniers : Pancrace, Marphurius et Épistémon. I
ent cuisine. Pancrace disait : Ce jambon ne vaut rien. A-t-il dessalé
vingt-quatre
heures ? L’a-t-on noué dans un linge ? L’a-t-on p
? L’a-t-on noué dans un linge ? L’a-t-on placé dans une marmite avec
douze
oignons et six clous de girofle ? L’a-t-on mouill
dans un linge ? L’a-t-on placé dans une marmite avec douze oignons et
six
clous de girofle ? L’a-t-on mouillé d’une bonne b
vous n’avez, mon cher Chevalier, triomphé que de sa dépouille. Les
trois
âges du dogmatisme Aristote… est Aristote, et
une évidence accablante. Le Chevalier m’a gratifié fort légèrement de
deux
disciples325 qui sont deux tristes et suffisants
Chevalier m’a gratifié fort légèrement de deux disciples325 qui sont
deux
tristes et suffisants exemples de la barbare anti
pas, et causons un peu des misères de notre goût français. En l’année
17.
., le goût français, semblable au rat de la fable,
nçais et d’un flacon d’essences. Il traversa d’abord la Normandie. En
deux
ou trois endroits, il eut la curiosité de descend
d’un flacon d’essences. Il traversa d’abord la Normandie. En deux ou
trois
endroits, il eut la curiosité de descendre quelqu
er qui eut du goût332 Avec quel art n’a-t-il pas ennobli le mot chien
333
! Deux ou trois poètes en France traduiraient bie
eut du goût332 Avec quel art n’a-t-il pas ennobli le mot chien 333 !
Deux
ou trois poètes en France traduiraient bien Homèr
goût332 Avec quel art n’a-t-il pas ennobli le mot chien 333 ! Deux ou
trois
poètes en France traduiraient bien Homère ; mais
le ! ô juste récompense d’un tel effort ! il trouva sous ces feuilles
deux
ou trois pièces d’argent monnayé. Elles étaient t
uste récompense d’un tel effort ! il trouva sous ces feuilles deux ou
trois
pièces d’argent monnayé. Elles étaient toutes rou
tous les acteurs passent en un moment, d’un vaisseau en pleine mer à
cinq
cent mille sur le continent. En vain le sage Desp
les acteurs passent en un moment, d’un vaisseau en pleine mer à cinq
cent
mille sur le continent. En vain le sage Despréaux
acteurs passent en un moment, d’un vaisseau en pleine mer à cinq cent
mille
sur le continent. En vain le sage Despréaux, légi
ont récité le psaume cxlviii, l’ange Raphaël descend du ciel sur ses
six
ailes, et vient leur rendre visite, et Ève lui pr
» ; sur l’Hippolyte du même auteur, « qu’on ne doit pas admirer pour
trente
ou quarante vers qui se sont trouvés dignes d’êtr
’Hippolyte du même auteur, « qu’on ne doit pas admirer pour trente ou
quarante
vers qui se sont trouvés dignes d’être imités par
ment que les farces de Scapin, du Médecin malgré lui, de Pourceaugnac
363,
etc., étaient un peu indignes de l’auteur du Misa
et qui me fait bien rire quand j’y pense. J’osai dire aussi qu’il y a
deux
sortes de vers dans Boileau : les moins bons, qui
re que fait Aristophane d’un roi de Perse, marchant avec une armée de
quarante
mille hommes, pour aller sur une montagne d’or sa
it Aristophane d’un roi de Perse, marchant avec une armée de quarante
mille
hommes, pour aller sur une montagne d’or satisfai
e, il n’y a d’autre moyen pour cela que d’aller à Londres, d’y rester
trois
ans, d’apprendre bien l’anglais et de voir la com
de la critique. Réponse de Lysidas au Chevalier (suite). Chapitre
II
. — Doctrine de l’école historique Ce n’est pa
le signal : Les ennemis, pensant nous tailler des croupières, Firent
trois
pelotons de leurs gens à cheval ; Mais leur chale
. De chaque armée aux cieux la clameur monte ensemble, Et la voix des
deux
chefs invoque Jupiter. On s’aborde, on se tait. L
éfaut ou un mérite, qu’importe ? un tel anachronisme était nécessaire
384.
Il était impossible à Racine d’imaginer et de pen
na Mencia « jusqu’à ce que tout son sang soit sorti, et qu’elle meure
386
». Ce spectacle plaît aux Espagnols, ou leur a p
s’éveiller en lui les instincts du crocodile388. Quelques règles :
1°
Ne point blâmer Les crocodiles sont beaux, ou
ns lesquelles elle ne serait point l’harmonie ; la fougue offense par
cent
défauts visibles. Mais, si par défauts l’on doit
nt de physionomies différentes, de la diversité de la littérature.
2°
Ne point louer Si le critique ne doit rien blâ
; mais il suffira de célébrer sa puissance et sa sagesse une fois.
3°
Comprendre Comprenons, cela suffit. Mais, dans
odiges apparents, les études calmes d’un Bernardin de Saint-Pierre en
1789,
les tragédies attiques d’un Goethe à Weimar ? La
race, d’un siècle, d’une nation, d’un homme. Ces critiques confondent
deux
choses fort différentes : la nature et le vocabul
si tu avais vécu de son temps. C’est Goethe qui dit tout cela, et le
24
avril 1827, tu étais dans son salon. Les dames t’
ais vécu de son temps. C’est Goethe qui dit tout cela, et le 24 avril
1827,
tu étais dans son salon. Les dames t’entouraient.
s des bandelettes couvertes d’images de dieux indiens, et le texte de
deux
grands poèmes sanscrits que, sauf toi (tu le sava
me de la lune401 », et par Hegel. Ce n’était pas bien difficile. Mais
deux
ou trois faits relatifs à la personne de ces phil
lune401 », et par Hegel. Ce n’était pas bien difficile. Mais deux ou
trois
faits relatifs à la personne de ces philosophes n
lus excellent cœur du monde402 », qualem non candidiorem terra tulit
403,
qui, pour composer ses ouvrages, s’enfonçait dans
es, s’enfonçait dans la campagne avec son chien, les poches munies de
deux
bouteilles de vin rouge. Jeune, il laissait à la
s avaient mouillé les pages de ses romans. Quand il perdit son père à
dix-huit
ans, le pauvre fils de pasteur n’ayant pas le sou
lui Sterne est un Cicéron pour la régularité de la pensée et du style
404
». Il fut en un mot le plus humoriste des humoris
du style 404 ». Il fut en un mot le plus humoriste des humoristes. En
1804,
il écrivit sa Poétique. On lit dans la préface :
osophique. Je venais d’achever un long travail, la lecture suivie des
cinq
volumes de l’Esthétique de Hegel, et la magnifiqu
que celles des sphinx et des colosses égyptiens qui bordaient, il y a
quatre
mille ans, les avenues des temples de Thèbes, écr
les des sphinx et des colosses égyptiens qui bordaient, il y a quatre
mille
ans, les avenues des temples de Thèbes, écrasant
vous ? c’est sa nature, et il ne se peut refondre. Il est écrit qu’en
1865
nos sculpteurs feront de la plastique sentimental
ir de sa cellule, descendre l’escalier, se promener dans un espace de
huit
cents mètres carrés, courir après les papillons,
sa cellule, descendre l’escalier, se promener dans un espace de huit
cents
mètres carrés, courir après les papillons, cultiv
bons devoirs ; et si j’avais à écrire dans une revue sur le salon de
1865,
je laisserais mes idées générales dans ma bibliot
îtresse, c’est de s’embarquer pour les Indes, d’aller s’asseoir entre
deux
bons brahmanes, et de passer avec eux le reste de
enchantée. J’acceptai. Je n’avais encore entendu ce chef-d’œuvre que
quatre
fois, et j’étais bien aise de l’entendre une cinq
tique admirative. Réponse de Lysidas au Chevalier (fin). Chapitre
III
. — Molière Molière est bien heureux, Monsieur
jette à la traverse, croisée par une troisième qui les efface toutes
deux
. On croirait vraiment que le poète échappe à la l
itation ni lenteur. Et puis, une simplicité idéale. La même situation
cinq
ou six fois renouvelée est toute L’École des femm
ni lenteur. Et puis, une simplicité idéale. La même situation cinq ou
six
fois renouvelée est toute L’École des femmes ; un
ans l’enceinte d’une chambre et d’une journée, avec une tapisserie et
quatre
fauteuils416. D’où vient cela ? Pourquoi Shakespe
de la différence de leurs génies, qui répond à celle de l’esprit des
deux
nations. Shakespeare est un créateur d’êtres indi
prendre pour témoin rie son duel ; il réfléchit un instant, prononce
vingt
phrases qui le dégagent, et sans faire le capitan
per un seul coup, si elle n’avait été mise au service de ce demi-dieu
425.
Sans Louis XIV, Molière n’aurait pas été tout Mol
ant, il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie
426.
« Je tremble pour cet auteur, écrivait de Villiers
és avant la composition et la représentation des Précieuses ridicules
428,
nous montrent et la perfection primitive et les p
à la censure des joyeux dérèglements de Versailles432. Au mois de mai
1664,
une fête éblouissante fut donnée dans ce splendid
interdiction prononcée par la politique du roi fut maintenue. Pendant
cinq
ans, le Tartuffe ne put être joué en public. C’ét
unication » ; et le Tartuffe ne put être mis en liberté qu’en février
1659,
à la faveur de l’apaisement des querelles religie
il ajouta à son ouvrage les fameuses tirades de Cléante, qui firent,
cinq
ans après la représentation de Versailles, le sal
s qui fut conduit aux abîmes par la main du Commandeur441. En l’année
1667442,
commence un fait important dans l’histoire du dix
en tiers lorsque celle-ci lui conta que son mari était venu lui dire
mille
injures, dont elle paraissait si outrée qu’elle t
flexible Julie avait contraint Montausier à soupirer pour elle durant
treize
ans entiers ; elle sentait pour le mariage une in
madame de Sévigné446, et voici le portrait passablement flatté qu’en
1651
mademoiselle de Scudéry traçait du héros sous le
il y va de la vie des gens, il ne leur gardera pas le secret449. » En
1666,
Molière créa le personnage d’Alceste. Le Misanth
aucune maxime contre les anciens auteurs approuvés, à peine de la vie
455.
» La Faculté de médecine était la place forte de
ade. Avec ce remède, il avait déjà tué sa femme, sa fille, son neveu,
deux
de ses gendres, et un grand nombre de personnes e
s seulement nous comprendrons tout Molière. Il y a dans son caractère
deux
traits dont la connaissance achève de répandre su
que dans la posture d’un homme qui rêve. Il avait les yeux collés sur
trois
ou quatre personnes de qualité qui marchandaient
la posture d’un homme qui rêve. Il avait les yeux collés sur trois ou
quatre
personnes de qualité qui marchandaient des dentel
La Sagesse, crois-moi, peut pleurer elle-même. On se propose à tort
cent
préceptes divers Pour vouloir d’un œil sec voir m
ire465. On lit dans le registre de La Grange, à la date du vendredi,
17
février 1673 : « Après la comédie, sur les dix he
lit dans le registre de La Grange, à la date du vendredi, 17 février
1673
: « Après la comédie, sur les dix heures du soir,
à la date du vendredi, 17 février 1673 : « Après la comédie, sur les
dix
heures du soir, M. Molière mourut dans sa maison,
se rompit une veine dans le corps, et ne vécut pas une demi-heure ou
trois
quarts d’heure depuis ladite veine rompue ; et so
int-Eustache. Il y a une tombe élevée d’un pied hors de terre. »
322.
La Cuisinière de la ville et de la campagne, p.
e. » 322. La Cuisinière de la ville et de la campagne, p. 215.
323.
M. Lysidas n’est ici, nous le rappelons au lecteu
ue la personnification du dogmatisme en critique littéraire, dans ses
trois
évolutions successives : l’autorité des anciens,
ns, le règne de la raison pure et la doctrine de l’école historique.
324.
Hegel. 325. William Schlegel et Jean-Paul. 326.
de la raison pure et la doctrine de l’école historique. 324. Hegel.
325.
William Schlegel et Jean-Paul. 326. « Un logis
’école historique. 324. Hegel. 325. William Schlegel et Jean-Paul.
326.
« Un logis plein de chiens et de chats, vivant e
es défauts de la poésie et de l’éloquence dans la langue française.
327.
Dictionnaire philosophique ; article Goût. 328.
langue française. 327. Dictionnaire philosophique ; article Goût.
328.
« Si Boileau avait vécu alors (à l’époque où la
s plus dignes d’elle que des chats, des rats et des souris. » Ibid.
329.
Boileau, Neuvième réflexion critique sur Longin.
ris. » Ibid. 329. Boileau, Neuvième réflexion critique sur Longin.
330.
Voltaire, Discours de réception à l’Académie fran
ongin. 330. Voltaire, Discours de réception à l’Académie française.
331.
Boileau, Neuvième réflexion critique sur Longin.
ie française. 331. Boileau, Neuvième réflexion critique sur Longin.
332.
Voltaire, Dix-huitième lettre sur les Anglais. Co
, Dix-huitième lettre sur les Anglais. Correspondance avec La Harpe.
333.
« L’élégance et l’harmonie ont ennobli les chien
La Harpe, Cours de littérature, seconde partie, chapitre iii, section
9.
334. Voltaire, Dictionnaire philosophique ; arti
arpe, Cours de littérature, seconde partie, chapitre iii, section 9.
334.
Voltaire, Dictionnaire philosophique ; article Sc
n 9. 334. Voltaire, Dictionnaire philosophique ; article Scoliaste.
335.
« Rymer dit qu’il n’y a point de singe en Afriqu
ltaire, Lettre à l’Académie française. Correspondance avec La Harpe.
336.
Voltaire, Du théâtre anglais. 337. Lettre à l’A
e. Correspondance avec La Harpe. 336. Voltaire, Du théâtre anglais.
337.
Lettre à l’Académie française. 338. Lettre à l
Voltaire, Du théâtre anglais. 337. Lettre à l’Académie française.
338.
Lettre à l’Académie française. 339. Ibid. et D
Lettre à l’Académie française. 338. Lettre à l’Académie française.
339.
Ibid. et Du théâtre anglais. 340. Voltaire, Du
Lettre à l’Académie française. 339. Ibid. et Du théâtre anglais.
340.
Voltaire, Du théâtre anglais. 341. Dictionnaire
9. Ibid. et Du théâtre anglais. 340. Voltaire, Du théâtre anglais.
341.
Dictionnaire philosophique ; article Art dramati
anglais. 341. Dictionnaire philosophique ; article Art dramatique.
342.
Lettre de Voltaire à La Harpe, citée dans le Jour
2. Lettre de Voltaire à La Harpe, citée dans le Journal des débats du
23
avril 1865. 343. Voltaire fait cette remarque, à
de Voltaire à La Harpe, citée dans le Journal des débats du 23 avril
1865.
343. Voltaire fait cette remarque, à propos de D
taire à La Harpe, citée dans le Journal des débats du 23 avril 1865.
343.
Voltaire fait cette remarque, à propos de Dante.
marque, à propos de Dante. Lettres chinoises, indiennes et tartares.
344.
Voltaire, Lettre à l’Académie française. 345. D
ndiennes et tartares. 344. Voltaire, Lettre à l’Académie française.
345.
Dictionnaire philosophique ; article Épopée. 34
démie française. 345. Dictionnaire philosophique ; article Épopée.
346.
Dictionnaire philosophique ; article Épopée. 34
article Épopée. 346. Dictionnaire philosophique ; article Épopée.
347.
Ibid. ; article Art dramatique. 348. Lettres c
ilosophique ; article Épopée. 347. Ibid. ; article Art dramatique.
348.
Lettres chinoises, indiennes et tartares. Dictio
s et tartares. Dictionnaire philosophique. Ailleurs Voltaire réduit à
vingt
le nombre des bons vers de Dante. 349. Dictionn
. Ailleurs Voltaire réduit à vingt le nombre des bons vers de Dante.
349.
Dictionnaire philosophique ; article Anciens et
te. 349. Dictionnaire philosophique ; article Anciens et Modernes.
350.
Préface d’Œdipe. 351. Dictionnaire philosophiq
philosophique ; article Anciens et Modernes. 350. Préface d’Œdipe.
351.
Dictionnaire philosophique ; article Anciens et
pe. 351. Dictionnaire philosophique ; article Anciens et Modernes.
352.
Ibid. ; article Athéisme. 353. Ibid. 354. Fo
ique ; article Anciens et Modernes. 352. Ibid. ; article Athéisme.
353.
Ibid. 354. Fontenelle, Remarques sur le théâtr
Anciens et Modernes. 352. Ibid. ; article Athéisme. 353. Ibid.
354.
Fontenelle, Remarques sur le théâtre grec. 355.
isme. 353. Ibid. 354. Fontenelle, Remarques sur le théâtre grec.
355.
Lettre à l’Académie. 356. Voyez la théorie du c
ntenelle, Remarques sur le théâtre grec. 355. Lettre à l’Académie.
356.
Voyez la théorie du chœur, Ire partie, chap. iii.
l’Académie. 356. Voyez la théorie du chœur, Ire partie, chap. iii.
357.
Lettre à l’Académie. 358. « Si les fleurs qu’o
théorie du chœur, Ire partie, chap. iii. 357. Lettre à l’Académie.
358.
« Si les fleurs qu’on foule aux pieds dans une p
s somptueux jardins, je les en aime mieux. » Lettre sur l’éloquence.
359.
« J’ai cru, je crois et je croirai que Paris est
lle et des parfaites tragédies de Racine. » Lettre à Horace Walpole.
360.
Racine excepté. 361. Diderot excepté. Personne n
ragédies de Racine. » Lettre à Horace Walpole. 360. Racine excepté.
361.
Diderot excepté. Personne n’a parlé plus magnifiq
notre front touchât à ses parties honteuses. » Paradoxe du comédien.
362.
Molière et La Fontaine exceptés. Ils goûtaient, c
e exceptés. Ils goûtaient, comme il faut, notre vieille littérature.
363.
Diderot est le premier qui ait dit : « Si l’on cr
eaugnac que Le Misanthrope, on se trompe. » De la poésie dramatique.
364.
Voltaire. 365. Lettre à l’Académie française su
isanthrope, on se trompe. » De la poésie dramatique. 364. Voltaire.
365.
Lettre à l’Académie française sur l’éloquence.
364. Voltaire. 365. Lettre à l’Académie française sur l’éloquence.
366.
M. Villemain, Essai littéraire sur Shakespeare.
r l’éloquence. 366. M. Villemain, Essai littéraire sur Shakespeare.
367.
L’aveuglement d’esprit de Glocester se change e
x sur la vraie différence de l’amour de ses fils. Hegel, Esthétique,
V
, p. 209. 368. Diderot, Paradoxe du comédien. 36
ie différence de l’amour de ses fils. Hegel, Esthétique, V, p. 209.
368.
Diderot, Paradoxe du comédien. 369. XVIIIe Lettr
Hegel, Esthétique, V, p. 209. 368. Diderot, Paradoxe du comédien.
369.
XVIIIe Lettre sur les Anglais. 370. XXIIe Lettre
Diderot, Paradoxe du comédien. 369. XVIIIe Lettre sur les Anglais.
370.
XXIIe Lettre sur les Anglais. 371. XIXe Lettre s
. XVIIIe Lettre sur les Anglais. 370. XXIIe Lettre sur les Anglais.
371.
XIXe Lettre sur les Anglais. 372. M. Lysidas aur
70. XXIIe Lettre sur les Anglais. 371. XIXe Lettre sur les Anglais.
372.
M. Lysidas aurait pu citer encore en France La Br
iens, du plaisir et de l’instruction qu’ils en doivent attendre ? »
373.
Première leçon. 374. Poétique, § 89. 375. Cou
l’instruction qu’ils en doivent attendre ? » 373. Première leçon.
374.
Poétique, § 89. 375. Cours d’esthétique, tome
ils en doivent attendre ? » 373. Première leçon. 374. Poétique, §
89.
375. Cours d’esthétique, tome IV, p. 160. 376.
n doivent attendre ? » 373. Première leçon. 374. Poétique, § 89.
375.
Cours d’esthétique, tome IV, p. 160. 376. Tome
remière leçon. 374. Poétique, § 89. 375. Cours d’esthétique, tome
IV
, p. 160. 376. Tome I, p. 234. 377. Amphitryon,
. 374. Poétique, § 89. 375. Cours d’esthétique, tome IV, p. 160.
376.
Tome I, p. 234. 377. Amphitryon, acte I, scène
oétique, § 89. 375. Cours d’esthétique, tome IV, p. 160. 376. Tome
I
, p. 234. 377. Amphitryon, acte I, scène i. 378
9. 375. Cours d’esthétique, tome IV, p. 160. 376. Tome I, p. 234.
377.
Amphitryon, acte I, scène i. 378. Amphitryonis
tique, tome IV, p. 160. 376. Tome I, p. 234. 377. Amphitryon, acte
I
, scène i. 378. Amphitryonis, actus I, scena i,
V, p. 160. 376. Tome I, p. 234. 377. Amphitryon, acte I, scène i.
378.
Amphitryonis, actus I, scena i, vers 72 à 91. 3
. 234. 377. Amphitryon, acte I, scène i. 378. Amphitryonis, actus
I
, scena i, vers 72 à 91. 379. Lycée, Ire partie,
hitryon, acte I, scène i. 378. Amphitryonis, actus I, scena i, vers
72
à 91. 379. Lycée, Ire partie, livre Ier, chap.
on, acte I, scène i. 378. Amphitryonis, actus I, scena i, vers 72 à
91.
379. Lycée, Ire partie, livre Ier, chap. vi, se
cte I, scène i. 378. Amphitryonis, actus I, scena i, vers 72 à 91.
379.
Lycée, Ire partie, livre Ier, chap. vi, sect. ii
rs 72 à 91. 379. Lycée, Ire partie, livre Ier, chap. vi, sect. ii.
380.
Vers 44 de la ire scène. 381. Énéide, livre VI
. 379. Lycée, Ire partie, livre Ier, chap. vi, sect. ii. 380. Vers
44
de la ire scène. 381. Énéide, livre VI. 382.
rtie, livre Ier, chap. vi, sect. ii. 380. Vers 44 de la ire scène.
381.
Énéide, livre VI. 382. Dictionnaire philosophi
p. vi, sect. ii. 380. Vers 44 de la ire scène. 381. Énéide, livre
VI
. 382. Dictionnaire philosophique ; article Art
, sect. ii. 380. Vers 44 de la ire scène. 381. Énéide, livre VI.
382.
Dictionnaire philosophique ; article Art dramati
ivre VI. 382. Dictionnaire philosophique ; article Art dramatique.
383.
Cours de littérature dramatique. Onzième leçon.
t dramatique. 383. Cours de littérature dramatique. Onzième leçon.
384.
« Le poète, dit Hegel, doit avoir égard à la cul
e Sophocle. Cet anachronisme est nécessaire dans l’art. » Esthétique,
I
, p. 300. 385. Le Médecin de son honneur. 386.
Cet anachronisme est nécessaire dans l’art. » Esthétique, I, p. 300.
385.
Le Médecin de son honneur. 386. 387. « Moli
ns l’art. » Esthétique, I, p. 300. 385. Le Médecin de son honneur.
386.
387. « Molière est tellement grand qu’on est
. » Esthétique, I, p. 300. 385. Le Médecin de son honneur. 386.
387.
« Molière est tellement grand qu’on est toujours
ouffrir, etc., etc. » Voyez les Entretiens de Goethe et d’Eckermann.
388.
« Geoffroy Saint-Hilaire disait qu’en Égypte, co
s instincts du crocodile. » Taine, Essais de critique et d’histoire.
389.
« Le critique est le naturaliste de l’âme. Il ac
a diversité de la nature. » Taine, Essais de critique et d’histoire.
390.
« Le beau et le laid, qualités dérivées et fortu
dérivées et fortuites, non essentielles et primitives. » Id., ibid.
391.
« Le critique ne demande point à l’imagination p
sonnable et circonspecte. » Taine, Essais de critique et d’histoire.
392.
« Pour connaître l’homme, ce ne sont pas des rem
ueillir, mais une force qu’on doit atteindre. » Id., ibid., préface.
393.
Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité,
préface. 393. Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre
XIII
, chap. vii. 394. Spinoza, Éthique, avant-propos
der, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre XIII, chap. vii.
394.
Spinoza, Éthique, avant-propos de la troisième pa
isième partie. Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre
XIII
, chap. vii. Scherer, Revue des deux mondes, artic
e l’histoire de l’Humanité, livre XIII, chap. vii. Scherer, Revue des
deux
mondes, article du 15 février 1861. 395. Spinoza
té, livre XIII, chap. vii. Scherer, Revue des deux mondes, article du
15
février 1861. 395. Spinoza, Scherer, ibid. Herde
III, chap. vii. Scherer, Revue des deux mondes, article du 15 février
1861.
395. Spinoza, Scherer, ibid. Herder, Philosophie
ap. vii. Scherer, Revue des deux mondes, article du 15 février 1861.
395.
Spinoza, Scherer, ibid. Herder, Philosophie de l’
Scherer, ibid. Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre
VIII
, chap. ii. 396. Entretiens de Goethe et d’Ecker
rder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre VIII, chap. ii.
396.
Entretiens de Goethe et d’Eckermann. 397. Alfre
é, livre VIII, chap. ii. 396. Entretiens de Goethe et d’Eckermann.
397.
Alfred de Musset, La Coupe et les lèvres, Dédicac
Eckermann. 397. Alfred de Musset, La Coupe et les lèvres, Dédicace.
398.
Cité dans la notice de M. Damas-Hinard sur Le Méd
ité dans la notice de M. Damas-Hinard sur Le Médecin de son honneur.
399.
Cours d’esthétique, tome I, p. 59. 400. Entret
Hinard sur Le Médecin de son honneur. 399. Cours d’esthétique, tome
I
, p. 59. 400. Entretiens de Goethe et d’Eckerman
Le Médecin de son honneur. 399. Cours d’esthétique, tome I, p. 59.
400.
Entretiens de Goethe et d’Eckermann. 401. Mot d
thétique, tome I, p. 59. 400. Entretiens de Goethe et d’Eckermann.
401.
Mot de Goethe. 402. Mot de Schiller. 403. Attes
59. 400. Entretiens de Goethe et d’Eckermann. 401. Mot de Goethe.
402.
Mot de Schiller. 403. Attestation du diplôme de
e Goethe et d’Eckermann. 401. Mot de Goethe. 402. Mot de Schiller.
403.
Attestation du diplôme de docteur en philosophie
testation du diplôme de docteur en philosophie qui lui fut délivré en
1817
par les professeurs de l’université d’Heidelberg,
eurs de l’université d’Heidelberg, parmi lesquels se trouvait Hegel.
404.
Bouterweck. 405. Voyez le chapitre iii de la Pre
té d’Heidelberg, parmi lesquels se trouvait Hegel. 404. Bouterweck.
405.
Voyez le chapitre iii de la Première partie. 406
404. Bouterweck. 405. Voyez le chapitre iii de la Première partie.
406.
Esthétique de Hegel, tome III, p. 113. 407. Ib
chapitre iii de la Première partie. 406. Esthétique de Hegel, tome
III
, p. 113. 407. Ibid., p. 130. 408. Tome I, p. 1
de la Première partie. 406. Esthétique de Hegel, tome III, p. 113.
407.
Ibid., p. 130. 408. Tome I, p. 145. 409. Ibid
406. Esthétique de Hegel, tome III, p. 113. 407. Ibid., p. 130.
408.
Tome I, p. 145. 409. Ibid., p. 178. 410. Tome
thétique de Hegel, tome III, p. 113. 407. Ibid., p. 130. 408. Tome
I
, p. 145. 409. Ibid., p. 178. 410. Tome I, p. 1
Hegel, tome III, p. 113. 407. Ibid., p. 130. 408. Tome I, p. 145.
409.
Ibid., p. 178. 410. Tome I, p. 181 411. Tome I
3. 407. Ibid., p. 130. 408. Tome I, p. 145. 409. Ibid., p. 178.
410.
Tome I, p. 181 411. Tome III, p. 316. 412. « I
Ibid., p. 130. 408. Tome I, p. 145. 409. Ibid., p. 178. 410. Tome
I
, p. 181 411. Tome III, p. 316. 412. « Il n’exi
30. 408. Tome I, p. 145. 409. Ibid., p. 178. 410. Tome I, p. 181
411.
Tome III, p. 316. 412. « Il n’existe dans la na
Tome I, p. 145. 409. Ibid., p. 178. 410. Tome I, p. 181 411. Tome
III
, p. 316. 412. « Il n’existe dans la nature aucu
. 409. Ibid., p. 178. 410. Tome I, p. 181 411. Tome III, p. 316.
412.
« Il n’existe dans la nature aucune chose partic
peut détruire la première. » Spinoza, Éthique, ive partie, Axiome.
413.
« Que chacun de nous s’efforce d’atteindre à la
e autrement. » Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre
VIII
, chap. ii. 414. « Tout retour vers le temps pas
rder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre VIII, chap. ii.
414.
« Tout retour vers le temps passé est impossible
s sa source. » Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre
XV
, chap. iv. 415. Taine, Histoire de la littératur
Herder, Philosophie de l’histoire de l’Humanité, livre XV, chap. iv.
415.
Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre
XV, chap. iv. 415. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre
III
, chap. i. 416. Taine, ibid. 417. Duclos. 418.
415. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
416.
Taine, ibid. 417. Duclos. 418. Bien lui prend
de la littérature anglaise, livre III, chap. i. 416. Taine, ibid.
417.
Duclos. 418. Bien lui prend de n’être pas de ve
ture anglaise, livre III, chap. i. 416. Taine, ibid. 417. Duclos.
418.
Bien lui prend de n’être pas de verre. Les Femme
s. 418. Bien lui prend de n’être pas de verre. Les Femmes savantes,
III
, ii. 419. Taine, Histoire de la littérature angl
Bien lui prend de n’être pas de verre. Les Femmes savantes, III, ii.
419.
Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre
tes, III, ii. 419. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre
III
, chap. i. 420. Taine, Histoire de la littérature
419. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
420.
Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre
III, chap. i. 420. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre
III
, chap. i. 421. Taine, Ibid. 422. Voyez page 32
420. Taine, Histoire de la littérature anglaise, livre III, chap. i.
421.
Taine, Ibid. 422. Voyez page 32. 423. Saint-Si
de la littérature anglaise, livre III, chap. i. 421. Taine, Ibid.
422.
Voyez page 32. 423. Saint-Simon, Mémoires. 424.
re anglaise, livre III, chap. i. 421. Taine, Ibid. 422. Voyez page
32.
423. Saint-Simon, Mémoires. 424. La Feuillade.
glaise, livre III, chap. i. 421. Taine, Ibid. 422. Voyez page 32.
423.
Saint-Simon, Mémoires. 424. La Feuillade. 425.
421. Taine, Ibid. 422. Voyez page 32. 423. Saint-Simon, Mémoires.
424.
La Feuillade. 425. « Il ne suffit pas de garder
422. Voyez page 32. 423. Saint-Simon, Mémoires. 424. La Feuillade.
425.
« Il ne suffit pas de garder le respect que nous
me particulière. » De Villiers, Lettres sur les affaires du théâtre.
426.
L’Impromptu de Versailles, scène i. 427. Lettr
les affaires du théâtre. 426. L’Impromptu de Versailles, scène i.
427.
Lettre sur les affaires du théâtre. 428. Dates
u de Versailles, scène i. 427. Lettre sur les affaires du théâtre.
428.
Dates données par Roederer, Mémoire pour servir à
par Roederer, Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie.
429.
Julie d’Angennes, sœur aînée d’Angélique. 430. H
de la société polie. 429. Julie d’Angennes, sœur aînée d’Angélique.
430.
Historiette xcvi. 431. Cousin, La Société frança
9. Julie d’Angennes, sœur aînée d’Angélique. 430. Historiette xcvi.
431.
Cousin, La Société française au dix-septième sièc
La Société française au dix-septième siècle, d’après Le Grand Cyrus.
432.
Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière.
e Grand Cyrus. 432. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière.
433.
Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière.
ie de Molière. 433. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière.
434.
Bazin, Notes historiques. 435. Voyez page 79 et
s historiques sur la vie de Molière. 434. Bazin, Notes historiques.
435.
Voyez page 79 et suiv. 436. Michelet, Louis XIV.
r la vie de Molière. 434. Bazin, Notes historiques. 435. Voyez page
79
et suiv. 436. Michelet, Louis XIV. 437. La Bruy
olière. 434. Bazin, Notes historiques. 435. Voyez page 79 et suiv.
436.
Michelet, Louis XIV. 437. La Bruyère, Caractères
historiques. 435. Voyez page 79 et suiv. 436. Michelet, Louis XIV.
437.
La Bruyère, Caractères. 438. Cousin, La Société
79 et suiv. 436. Michelet, Louis XIV. 437. La Bruyère, Caractères.
438.
Cousin, La Société française au dix-septième sièc
ractères. 438. Cousin, La Société française au dix-septième siècle.
439.
V. page 82. 440. Louis Moland, Molière, sa vie e
res. 438. Cousin, La Société française au dix-septième siècle. 439.
V.
page 82. 440. Louis Moland, Molière, sa vie et s
8. Cousin, La Société française au dix-septième siècle. 439. V. page
82.
440. Louis Moland, Molière, sa vie et ses ouvrag
usin, La Société française au dix-septième siècle. 439. V. page 82.
440.
Louis Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages. 4
39. V. page 82. 440. Louis Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages.
441.
Louis Moland, ibid. 442. Date donnée par M. Roe
Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages. 441. Louis Moland, ibid.
442.
Date donnée par M. Roederer. 443. Mémoires de M
rages. 441. Louis Moland, ibid. 442. Date donnée par M. Roederer.
443.
Mémoires de Mademoiselle, tome VI, p. 82. 444.
2. Date donnée par M. Roederer. 443. Mémoires de Mademoiselle, tome
VI
, p. 82. 444. Si ma mère le veut, je résous mon
ée par M. Roederer. 443. Mémoires de Mademoiselle, tome VI, p. 82.
444.
Si ma mère le veut, je résous mon esprit / À con
À consentir pour vous à ce dont il s’agit. Les Femmes savantes, acte
IV
, scène ii. 445. Tallemant. 446. Lettre du 5 aoû
ur vous à ce dont il s’agit. Les Femmes savantes, acte IV, scène ii.
445.
Tallemant. 446. Lettre du 5 août 1677. 447. La
il s’agit. Les Femmes savantes, acte IV, scène ii. 445. Tallemant.
446.
Lettre du 5 août 1677. 447. La Saintonge et l’An
Femmes savantes, acte IV, scène ii. 445. Tallemant. 446. Lettre du
5
août 1677. 447. La Saintonge et l’Angoumois. 44
savantes, acte IV, scène ii. 445. Tallemant. 446. Lettre du 5 août
1677.
447. La Saintonge et l’Angoumois. 448. Le Gran
es, acte IV, scène ii. 445. Tallemant. 446. Lettre du 5 août 1677.
447.
La Saintonge et l’Angoumois. 448. Le Grand Cyru
ant. 446. Lettre du 5 août 1677. 447. La Saintonge et l’Angoumois.
448.
Le Grand Cyrus, tome VII. 449. Historiette xcvi
1677. 447. La Saintonge et l’Angoumois. 448. Le Grand Cyrus, tome
VII
. 449. Historiette xcvi. 450. Michelet, Louis XI
447. La Saintonge et l’Angoumois. 448. Le Grand Cyrus, tome VII.
449.
Historiette xcvi. 450. Michelet, Louis XIV. 451
’Angoumois. 448. Le Grand Cyrus, tome VII. 449. Historiette xcvi.
450.
Michelet, Louis XIV. 451. Louis Moland, Molière,
Cyrus, tome VII. 449. Historiette xcvi. 450. Michelet, Louis XIV.
451.
Louis Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages. 4
let, Louis XIV. 451. Louis Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages.
452.
Roederer, Mémoire pour servir à l’histoire de la
452. Roederer, Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie.
453.
Ibid. 454. Henri Martin, Histoire de France.
Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie. 453. Ibid.
454.
Henri Martin, Histoire de France. 455. Tascherea
société polie. 453. Ibid. 454. Henri Martin, Histoire de France.
455.
Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de
ce. 455. Taschereau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière.
456.
Guy Patin. 457. Voyez Les Médecins au temps de M
eau, Histoire de la vie et des ouvrages de Molière. 456. Guy Patin.
457.
Voyez Les Médecins au temps de Molière, de M. Mau
457. Voyez Les Médecins au temps de Molière, de M. Maurice Raynaud.
458.
Michelet, Louis XIV. 459. De Villiers. 460. La
temps de Molière, de M. Maurice Raynaud. 458. Michelet, Louis XIV.
459.
De Villiers. 460. La Zélinde. 461. Anagramme d
de M. Maurice Raynaud. 458. Michelet, Louis XIV. 459. De Villiers.
460.
La Zélinde. 461. Anagramme de Molière. 462. Vo
ud. 458. Michelet, Louis XIV. 459. De Villiers. 460. La Zélinde.
461.
Anagramme de Molière. 462. Voyez Eud. Soulié, Re
V. 459. De Villiers. 460. La Zélinde. 461. Anagramme de Molière.
462.
Voyez Eud. Soulié, Recherches sur Molière et sur
. 462. Voyez Eud. Soulié, Recherches sur Molière et sur sa famille.
463.
Sosie, à quelle servitude Tes jours sont-ils a
aduites de Plaute ; ce qui diminue un peu l’évidence de l’allusion.
464.
Édouard Fournier, Le Roman de Molière. Pour les g
oûts d’artiste de Molière, voir Eud. Soulié, Recherches sur Molière.
465.
Second prologue du Malade imaginaire.
CHAPITRE
XV
. Des Actes. Les Anciens appelloient acte la pa
ciens appelloient acte la partie d’un drame qu’ils renfermoient entre
deux
chœurs. Comme notre orchestre, bon ou mauvais, ti
e musique. Plaute & Térence ont distribué toutes leurs pieces en
cinq
parties ; en conséquence il fut un temps en Franc
uence il fut un temps en France où une comédie qui auroit eu moins de
cinq
actes, auroit paru un monstre, quelque bonne qu’e
g-temps les pieces Espagnoles, par la raison seule qu’elles n’ont que
trois
actes ou trois journées ; comme s’il n’étoit pas
ces Espagnoles, par la raison seule qu’elles n’ont que trois actes ou
trois
journées ; comme s’il n’étoit pas permis à un Aut
petite comédie intitulée les Boutades du Capitan Matamore en vers de
huit
syllabes, sur la seule rime ment, dont nous avons
omme ils ont depuis suivi les nôtres ; & nous fîmes des pieces en
trois
actes, comme ils en font présentement en cinq. Pe
us fîmes des pieces en trois actes, comme ils en font présentement en
cinq
. Peu-à-peu nous nous enhardîmes & nous en fîm
tement en cinq. Peu-à-peu nous nous enhardîmes & nous en fîmes en
deux
. On a encore la sotte timidité de n’oser pas en p
s en deux. On a encore la sotte timidité de n’oser pas en produire en
quatre
, quoique les comédiens, en réduisant à ce nombre
uoique les comédiens, en réduisant à ce nombre ceux du Mercure Galant
38,
nous aient prouvé que la chose n’étoit pas ridicu
u-à-peu, & j’espere que quelque jour nous verrons des comédies en
six
actes. Pourquoi non ? Tel qui n’en fait que cinq
rons des comédies en six actes. Pourquoi non ? Tel qui n’en fait que
cinq
, en fait trop bien souvent39. D’accord. Mais tel
nq, en fait trop bien souvent39. D’accord. Mais tel qui en fait bien
cinq
avec un sujet passable, peut avoir le bonheur d’e
ons à la division des actes. Tout le monde sait que dans une piece en
cinq
actes, le premier doit servir à l’exposition ; qu
e doit se dénouer tout-à-fait au cinquieme. La division des pieces en
trois
actes est beaucoup plus naturelle & infinimen
mp; que, loin de se nuire, ils se servent mutuellement. Moliere a mis
deux
scenes épisodiques dans le quatrieme acte de son
vient faire l’apologie du cocuage. Si elles étoient distribuées dans
deux
actes différents, le défaut frapperoit moins. J’a
sieme & le cinquieme frappent : le public glisse aisément sur les
deux
autres. Cela peut être dans la tragédie. Un beau
ont dit, & écrit plus sérieusement encore, qu’un acte doit avoir
cinq
scenes & trois cents vers. La réponse est aus
rit plus sérieusement encore, qu’un acte doit avoir cinq scenes &
trois
cents vers. La réponse est aussi plaisante que la
us sérieusement encore, qu’un acte doit avoir cinq scenes & trois
cents
vers. La réponse est aussi plaisante que la deman
e sel on doit mettre dans un œuf, & le médecin répondre gravement
six
, huit, dix, par les nombres pairs ; comme dans le
on doit mettre dans un œuf, & le médecin répondre gravement six,
huit
, dix, par les nombres pairs ; comme dans les médi
it mettre dans un œuf, & le médecin répondre gravement six, huit,
dix
, par les nombres pairs ; comme dans les médicamen
l’Auteur ou celui de sa Muse. Le premier acte du Misanthrope n’a que
trois
scenes, le cinquieme en a onze ; voilà donc deux
e premier acte du Misanthrope n’a que trois scenes, le cinquieme en a
onze
; voilà donc deux actes qui, selon le calcul des
Misanthrope n’a que trois scenes, le cinquieme en a onze ; voilà donc
deux
actes qui, selon le calcul des Anciens, & de
re, le goût le plus ordinaire & l’ombre du bon sens. Regle sure :
cent
vers, & deux ou trois scenes plus ou moins, n
us ordinaire & l’ombre du bon sens. Regle sure : cent vers, &
deux
ou trois scenes plus ou moins, ne rendront jamais
aire & l’ombre du bon sens. Regle sure : cent vers, & deux ou
trois
scenes plus ou moins, ne rendront jamais un acte
dans un acte. Il s’ensuivroit de là que chacun de ces actes en auroit
deux
ou trois, & la piece entiere, une quinzaine.
acte. Il s’ensuivroit de là que chacun de ces actes en auroit deux ou
trois
, & la piece entiere, une quinzaine. L’acte fi
isez la derniere scene du premier acte des Fourberies de Scapin. ACTE
I
. Scene VII. SCAPIN, SILVESTRE. Silvestre. J’avou
ustice. Scapin. Va, va, nous partagerons les périls en freres : &
trois
ans de galere de plus ou de moins, ne sont pas po
etour il nous rende un compte bien exact de ce qu’il a fait entre les
deux
actes : je défie le spectateur le plus idiot de n
énéraux nous a procuré en refusant un petit emploi à l’Auteur40. ACTE
II
. Scene X. Frontin, seul. Je ne manque pas d’occu
dans la premiere scene de l’acte suivant, voyons ce qu’il y dit. ACTE
III
. Scene I. LA BARONNE, FRONTIN, LISETTE. La Bar
mp; de l’adresse d’un Auteur de finir ses actes par une scene qui ait
trois
qualités bien nécessaires pour captiver deux mill
s par une scene qui ait trois qualités bien nécessaires pour captiver
deux
mille personnes à qui il va donner le temps de ré
une scene qui ait trois qualités bien nécessaires pour captiver deux
mille
personnes à qui il va donner le temps de réfléchi
rtante qu’ils ne peuvent faire sur le théâtre. Cherchons pour exemple
deux
dernieres scenes d’acte, dont l’une réunisse ces
ns pour exemple deux dernieres scenes d’acte, dont l’une réunisse ces
trois
belles qualités, & l’autre les trois défauts
cte, dont l’une réunisse ces trois belles qualités, & l’autre les
trois
défauts contraires. Je les prendrai toutes les de
amp; l’autre les trois défauts contraires. Je les prendrai toutes les
deux
dans l’Ecole des Maris. ACTE I. Scene VI. VALERE
traires. Je les prendrai toutes les deux dans l’Ecole des Maris. ACTE
I
. Scene VI. VALERE, ERGASTE. Valere vient de fa
talent, Et de profession je ne suis point galant : Mais j’en ai servi
vingt
de ces chercheurs de proie, Qui disoient fort sou
ssez belle, Que la sévérité du Tuteur d’Isabelle. Valere. Mais depuis
quatre
mois que je l’aime ardemment, Je n’ai pour lui pa
t la scene est maigre : enfin l’acte finit d’autant plus mal, que ces
deux
personnages qui entrent chez eux pour rêver, n’im
iere. Passons à une scene plus digne de lui, dans la même piece. ACTE
II
. Scene XV. ISABELLE, SGANARELLE. La scene qui p
un amant qu’elle adore, & convient avec lui qu’il l’enlevera dans
trois
jours : tout cela de façon que le jaloux, loin de
Mignonnette, & je veux qu’il ait sa récompense. C’est trop que de
huit
jours pour ton impatience, Dès demain je t’épouse
ectateur. D’ailleurs cette Isabelle qui ne peut être enlevée que dans
trois
jours, & que son tyran veut épouser le soir m
t, d’action ! combien d’intérêt ! combien d’adresse dans une scene de
dix
vers ! Ah ! Moliere ! Moliere ! Enfin il est cla
elle est tombée, & qu’elle n’est pas de moi. On avoit déja débité
deux
actes, que le public n’avoit pas approuvés : son
; ainsi voilà la piece finie. » En effet elle n’alla pas plus loin.
38.
Comédie de Boursault, si bien persiflé par Molier
ault, si bien persiflé par Moliere dans son Impromptu de Versailles.
39.
Vers de la Métromanie. 40. Alain René le Sage,
oliere dans son Impromptu de Versailles. 39. Vers de la Métromanie.
40.
Alain René le Sage, né à Ruis en Bretagne, vers
étromanie. 40. Alain René le Sage, né à Ruis en Bretagne, vers l’an
1677.
Son Diable boiteux & Gilblas sont les meilleu
e s’y introduise tout-à-fait. Cet Auteur mourut à Boulogne sur mer en
1747.
41. François Hedelin, né à Paris en 1604, fut
troduise tout-à-fait. Cet Auteur mourut à Boulogne sur mer en 1747.
41.
François Hedelin, né à Paris en 1604, fut d’abor
ut à Boulogne sur mer en 1747. 41. François Hedelin, né à Paris en
1604,
fut d’abord Avocat, ensuite Ecclésiastique. Il eu
pour toi Que de rendre un faux témoignage ? Il mourut à Nemours en
1676,
âgé de 72 ans.
de rendre un faux témoignage ? Il mourut à Nemours en 1676, âgé de
72
ans.
Chapitre
X.
La commedia dell’arte en France pendant la jeunes
aux pièces lyriques, aux opéras dont la mode prévalait en Italie. En
1645,
il en vint une très nombreuse et très remarquable
mo Torelli dà Fano. Elle s’installa au Petit-Bourbon. Reconstruite en
1614,
la salle du Petit-Bourbon était spacieuse et élég
n a donné une description dans le quatrième tome du Mercure français (
1615
) : « Elle est, dit-il, de dix-huit toises de long
le quatrième tome du Mercure français (1615) : « Elle est, dit-il, de
dix-huit
toises de longueur sur huit de largeur ; au haut
nçais (1615) : « Elle est, dit-il, de dix-huit toises de longueur sur
huit
de largeur ; au haut de laquelle il y a encore un
laquelle il y a encore un demi-rond de sept toises de profondeur sur
huit
toises et demie de large, le tout en voûte semée
niches. En l’un des bouts de la salle était élevé un grand théâtre de
six
pieds de hauteur, de huit toises de largeur et d’
de la salle était élevé un grand théâtre de six pieds de hauteur, de
huit
toises de largeur et d’autant de profondeur ; en
principaux comédiens faisant partie de la troupe qui vint à Paris en
1645,
étaient Tiberio Fiurelli jouant le personnage de
né par Callot dans la série des Petits Danseurs ou Balli di Sfessania
28.
C’est le type de l’aventurier napolitain, vantard
s Le Sicilien : « Le ciel s’est habillé ce soir en Scaramouche. »
16.
— Scaramuccia. Tiberio Fiurelli, qui s’incarna
urelli, qui s’incarna dans ce caractère, était déjà venu en France en
1639
et en 1640 ; il lui arriva à cette époque l’heure
s’incarna dans ce caractère, était déjà venu en France en 1639 et en
1640
; il lui arriva à cette époque l’heureuse aventur
ambre du dauphin qui fut depuis Louis XIV, le prince, qui avait alors
deux
ans, fut de si mauvaise humeur que rien ne pouvai
it une chanson bien propre à mettre ses partenaires en émoi. En voici
deux
couplets : Fa la ut a mi mod
écrite ou du moins signée par Angelo Costantini (Mezzetin), parut en
1695
chez Barbin et fut ensuite popularisée par les éd
d’esprit en même temps qu’artiste, dit à la scène septième de l’acte
II
de Colombine avocat pour et contre, où il essaye
la comédie étant finie, il le manda et lui fit présent du carrosse à
six
chevaux dans lequel il l’avait envoyé quérir. Il
; mais en France il fut tellement goûté qu’on le mit à toutes sauces
30
. » 17. — Scaramouche. Domenico Locatelli
France il fut tellement goûté qu’on le mit à toutes sauces 30 . »
17.
— Scaramouche. Domenico Locatelli (Trivelin) é
s et lettrées que nous envoyait l’Italie. Elle était venue à Paris en
1639
et 1640, comme nous l’avons vu dans le récit de l
trées que nous envoyait l’Italie. Elle était venue à Paris en 1639 et
1640,
comme nous l’avons vu dans le récit de la scène d
es bonnes grâces de la reine mère. Elle composa et publia à Paris, en
1659,
une comédie intitulée : L’Inganno fortunato overo
fit cadeau, en retour, de pendants d’oreilles en diamants valant bien
trois
cents pistoles, si nous en croyons Loret. La pièc
deau, en retour, de pendants d’oreilles en diamants valant bien trois
cents
pistoles, si nous en croyons Loret. La pièce la p
La Finta Pazza (la Folle supposée), représentée au Petit-Bourbon, le
14
décembre 1645. Ce sujet de La Finta Pazza est un
zza (la Folle supposée), représentée au Petit-Bourbon, le 14 décembre
1645.
Ce sujet de La Finta Pazza est un de ceux qui ont
que, par conséquent, elles ne peuvent feindre d’être ce qu’elles sont
31
. » Malgré cette critique, Les Folles supposées
n Sciro : elle avait, du reste, été antérieurement jouée à Venise, en
1641,
sur le Teatro novissimo della cavalerizza. Les in
s en guise de livret, on remarque les ballets par lesquels chacun des
trois
actes se termine ; le premier est composé de « qu
quels chacun des trois actes se termine ; le premier est composé de «
quatre
ours et quatre singes, lesquels, au son de petits
s trois actes se termine ; le premier est composé de « quatre ours et
quatre
singes, lesquels, au son de petits tambours, font
, parmi les marchandises qu’il conduisait dans son navire, il y avait
cinq
perroquets dont il lui faisait offre, et les fait
lui faisait offre, et les fait apporter dans une cage. En même temps,
quatre
Indiens font un petit bal à la moresque ; enfin l
st ainsi qu’en parlait alors Tallemant des Réaux, fut, au mois d’août
1645,
emprisonné au Châtelet, faute de pouvoir faire ho
ce grand écolier du plus grand des bouffons Ne fasse et ne refasse en
cent
et cent façons : Tantôt, pour exprimer les soucis
écolier du plus grand des bouffons Ne fasse et ne refasse en cent et
cent
façons : Tantôt, pour exprimer les soucis d’un mé
ent et cent façons : Tantôt, pour exprimer les soucis d’un ménage, De
mille
et mille plis il fronce son visage, Puis, joignan
nt façons : Tantôt, pour exprimer les soucis d’un ménage, De mille et
mille
plis il fronce son visage, Puis, joignant la pâle
s cette fois un long séjour à Paris ; elle partit à la fin de l’année
1647
ou au commencement de 1648. On entrait dans les a
à Paris ; elle partit à la fin de l’année 1647 ou au commencement de
1648.
On entrait dans les années de la Fronde. Du 26 ao
au commencement de 1648. On entrait dans les années de la Fronde. Du
26
août 1648, journée des Barricades, jusqu’au 7 fév
encement de 1648. On entrait dans les années de la Fronde. Du 26 août
1648,
journée des Barricades, jusqu’au 7 février 1653 o
nnées de la Fronde. Du 26 août 1648, journée des Barricades, jusqu’au
7
février 1653 où Mazarin rentra à Paris, il n’aura
a Fronde. Du 26 août 1648, journée des Barricades, jusqu’au 7 février
1653
où Mazarin rentra à Paris, il n’aurait peut-être
gens comiques Venant des climats italiques, qui débuta, le dimanche
10
août 1653, dans la salle du Petit-Bourbon. Les pr
miques Venant des climats italiques, qui débuta, le dimanche 10 août
1653,
dans la salle du Petit-Bourbon. Les principaux ac
tter avec eux. Il l’essaya plus d’une fois. Baptiste fit exécuter, le
16
janvier 1657, un ballet auquel le jeune roi prit
ux. Il l’essaya plus d’une fois. Baptiste fit exécuter, le 16 janvier
1657,
un ballet auquel le jeune roi prit part, ballet i
t part, ballet italien-français intitulé Amor malato, l’Amour malade.
Deux
grands médecins, le Temps et le Dépit, et la Rais
onne dose d’antimoine, qui l’enverrait tout droit ad patres, mais les
deux
autres s’y opposent et décident que le moyen de p
arades constituent les entrées du ballet. Dans la cinquième entrée, «
onze
docteurs reçoivent un docteur en ânerie, qui, pou
L’âne-docteur qui subit la thèse est un baladin nommé Lerambert. Les
onze
docteurs assistants se nomment Du Moustier, Lambe
at, les docteurs font entendre le chœur suivant, qui est antérieur de
vingt-six
ans au Bene, bene respondere de la cérémonie du
ns au Bene, bene respondere de la cérémonie du Malade imaginaire :
LI
DOTTORI. Oh ! bene, oh ! bene, oh ! Bene ! S’inco
son frère ont les honneurs de la neuvième entrée. Ils veulent tromper
quatre
bohémiennes et, comme on le pense bien, ils sont
nes. Le Temps fait, à propos du méchant tour que celles-ci jouent aux
deux
nigauds, la réflexion suivante : IL TEMPO. Tra g
tour que celles-ci jouent aux deux nigauds, la réflexion suivante :
IL
TEMPO. Tra gl’amanti che fan tanlo gl’esperti E s
it laissé de si joyeux souvenirs parmi les contemporains, que lorsque
huit
ans après, fut joué L’Amour médecin de Molière, l
. Loret, dans La Muse historique, raconte ou invente, sous la date du
14
février 1654, l’anecdote suivante dont le docteur
ns La Muse historique, raconte ou invente, sous la date du 14 février
1654,
l’anecdote suivante dont le docteur Lolli et le P
amitié ! Ayant commencé de combattre, Nous pensions qu’on nous tînt à
quatre
. Sans cet espoir, nous n’eussions pas Pour nous b
vulgaire Pantalon. Et, au dénouement de la Fronde, la veille du jour (
21
octobre 1652) où le jeune roi va rentrer dans sa
ntalon. Et, au dénouement de la Fronde, la veille du jour (21 octobre
1652
) où le jeune roi va rentrer dans sa capitale, la
belles choses, si tu avais eu assez d’esprit pour me contredire !”
28.
Voyez ci-contre Scaramuccia, tel qu’il a été dess
essiné par Callot dans les premières années du dix-septième siècle.
29.
On se souvient des vers d’Horace : Fescennina pe
inventa licencia morem Versibus alternis opprobria rustica fudit.
30.
Nous reproduisons la planche 11 de l’Histoire du
alternis opprobria rustica fudit. 30. Nous reproduisons la planche
11
de l’Histoire du Théâtre italien représentant Sca
chissait le visage et se noircissait les sourcils et les moustaches.
31.
La Segreteria d’Apollo (1613). 32. « La Folle
cissait les sourcils et les moustaches. 31. La Segreteria d’Apollo (
1613
). 32. « La Folle supposée (La Finta Pazza) ouv
les sourcils et les moustaches. 31. La Segreteria d’Apollo (1613).
32.
« La Folle supposée (La Finta Pazza) ouvrage du
ne mère du roi Très Chrétien (Louis XIV). Imprimé à Paris en novembre
1645.
» Dans l’extrait du privilège pour l’impression
de la Folle supposée, faits en Italie par ledit sieur Torelli. »
33.
À la page 6 de l’imprimé, on lit : « Flore sera r
upposée, faits en Italie par ledit sieur Torelli. » 33. À la page
6
de l’imprimé, on lit : « Flore sera représentée p
a connaître qu’elle est une vraie lumière de l’harmonie. » À la page
7
: « Cette scène sera chantée, et Thétis sera repr
ais si bien dite qu’elle fera presque oublier l’harmonie passée. »
34.
Scaramouche se donnait lui-même ces noms burlesqu
du Ier acte de Colombine avocat pour et contre, pièce représentée en
1685
; la plupart de ces noms appartiennent à la tradi
I
. Préliminaires et biographie. « Encore une fo
en ces termes que Fénelon dans sa Lettre à l’Académie française, — et
cinquante
ans seulement après la mort de Molière, — croyait
la prenait, cette précaution nous est indispensable aujourd’hui. Car,
deux
siècles tantôt passés ont bien pu nous conquérir
à la purée de marrons. On trouve leur menu dans leurs Annales, entre
Deux
notes à propos de Tartufe et un Compte d’apothica
ure de Molière. Grâce à eux, nous savons que l’on peut voir au numéro
83
de la rue Saint-Denis, à l’angle de la rue des Pr
adis orna la maison natale de Molière ; nous savons que Molière avait
trente-huit
fauteuils, à moins que ce ne soit trente-sept, ou
avons que Molière avait trente-huit fauteuils, à moins que ce ne soit
trente-sept
, ou peut-être trente-neuf, et aussi deux douzaine
ente-huit fauteuils, à moins que ce ne soit trente-sept, ou peut-être
trente-neuf
, et aussi deux douzaines et demie de chemises de
moins que ce ne soit trente-sept, ou peut-être trente-neuf, et aussi
deux
douzaines et demie de chemises de jour, dont six
ente-neuf, et aussi deux douzaines et demie de chemises de jour, dont
six
vieilles, plus dix-huit chemises de nuit ; mais n
deux douzaines et demie de chemises de jour, dont six vieilles, plus
dix-huit
chemises de nuit ; mais nous n’avons point, en at
nts qui nous manquent encore sur ce que Molière a vraiment apporté de
neuf
, d’original, d’unique à la conception de son art.
en considérant, d’abord, sa Biographie, — puis le théâtre comique de
1650
à 1658 — en troisième lieu l’Art de Molière, — pu
sidérant, d’abord, sa Biographie, — puis le théâtre comique de 1650 à
1658
— en troisième lieu l’Art de Molière, — puis la p
uses et de scandales de coulisses. La vie de M. de Molière publiée en
1705
par Grimarest ne fait pas plus autorité. La Notic
Grimarest ne fait pas plus autorité. La Notice que La Grange plaça en
1682
à la tête de son édition des œuvres de Molière, n
s en province et les dates surtout des représentations. Plus tard, en
1821,
le laborieux mais naïf Beffara s’avise d’employer
civil à Molière, aux compagnons de ses épreuves et de ses travaux. En
1848,
Bazin emploie pour la première fois à cette quest
de vérification par les faits de l’histoire générale ; M. Soulié, en
1863,
a eu le mérite de faire faire un troisième pas à
rmi les autres que nous pourrions citer, les travaux de J. Loiseleur (
1877
) et de L. Moland (1885) nous suffiront. Sur la fa
es que nous pourrions citer, les travaux de J. Loiseleur (1877) et de
L.
Moland (1885) nous suffiront. Sur la famille, la
pourrions citer, les travaux de J. Loiseleur (1877) et de L. Moland (
1885
) nous suffiront. Sur la famille, la naissance, le
, vieille et riche bourgeoisie. Tapissier de son métier, il acquit en
1631,
de Nicolas Pocquelin, son ainé, une charge dans l
des « bagues, joyaux et vaisselle d’argent » n’y monte pas à moins de
deux
mille et quelque trois cents livres, qui feraient
bagues, joyaux et vaisselle d’argent » n’y monte pas à moins de deux
mille
et quelque trois cents livres, qui feraient envir
t vaisselle d’argent » n’y monte pas à moins de deux mille et quelque
trois
cents livres, qui feraient environ 12 000 ou 15 0
selle d’argent » n’y monte pas à moins de deux mille et quelque trois
cents
livres, qui feraient environ 12 000 ou 15 000 fra
ins de deux mille et quelque trois cents livres, qui feraient environ
12
000 ou 15 000 francs d’aujourd’hui. C’était une a
de deux mille et quelque trois cents livres, qui feraient environ 12
000
ou 15 000 francs d’aujourd’hui. C’était une aisan
x mille et quelque trois cents livres, qui feraient environ 12 000 ou
15
000 francs d’aujourd’hui. C’était une aisance bou
ille et quelque trois cents livres, qui feraient environ 12 000 ou 15
000
francs d’aujourd’hui. C’était une aisance bourgeo
quelques traits, une image de la vie réglée, saine et facile d’il y a
deux
siècles passés. Ainsi Molière est donc non seulem
eau, de Voltaire, ou de Regnard. Bazin a dit : « Il y a de Louis XIV
deux
créations du même temps et du même genre : Colbe
e que naquit Molière, probablement dans les premiers jours de janvier
1622.
La Comédie Française célèbre l’anniversaire de so
e célèbre l’anniversaire de son illustre ancêtre à la date précise du
15
; toutefois ce n’est là que la date du baptême, e
te de mariage de Jean Pocquelin et de Marie Cressé portant la date du
27
avril 1621. L’enfant perdit sa mère de bonne heur
iage de Jean Pocquelin et de Marie Cressé portant la date du 27 avril
1621.
L’enfant perdit sa mère de bonne heure, en 1633 ;
la date du 27 avril 1621. L’enfant perdit sa mère de bonne heure, en
1633
; il n’avait que dix ans ; quelques endroits de s
621. L’enfant perdit sa mère de bonne heure, en 1633 ; il n’avait que
dix
ans ; quelques endroits de son théâtre, où la fra
tée qu’il en ait gardé dans le cœur une impérissable rancune, et que,
quarante
ans plus tard, ce soit la seconde femme du maître
complètes et solides, au collège de Clermont, où il demeura jusqu’en
1641.
Au sortir du collège il se lia avec Chapelle. Qua
se lia avec Chapelle. Quant au prince de Conti, plus jeune que lui de
huit
ans environ, si l’on admet qu’ils se rencontrèren
ve. Aussi bien, ces études de droit, qu’il faudrait faire tomber vers
1642,
auraient-elles eu fort à souffrir des distraction
vec Madeleine Béjart, mais encore, du mois d’avril au mois de juillet
1642,
il est vraisemblable qu’en qualité de survivancie
prédilection ; et il ne revint à Paris que dans les derniers jours de
1642.
C’est à peu près vers ce temps qu’il dut préparer
t été jusqu’à la croire toute platonique. Lorsque l’on considère qu’à
dix-huit
ans Madeleine — qui faisait probablement partie d
faisait probablement partie de la troupe du Marais — avait économisé
cinq
ou six milles livres ; qu’elle était fille d’une
probablement partie de la troupe du Marais — avait économisé cinq ou
six
milles livres ; qu’elle était fille d’une mère qu
bablement partie de la troupe du Marais — avait économisé cinq ou six
milles
livres ; qu’elle était fille d’une mère qui n’ava
ien loin de contrecarrer sa vocation, lui fait une avance d’hoirie de
630
livres ; et Marie Hervé, mère des Béjart, cautio
des comédiens italiens, qui commencèrent de jouer en cette même année
1644,
nuisit-elle à Molière et à ses amis. Le 20 décemb
uer en cette même année 1644, nuisit-elle à Molière et à ses amis. Le
20
décembre, ayant résolu d’aller tenter le sort sur
-Noire, où d’ailleurs ils ne réussissent guère davantage, puisque, le
2
août 1645, nous voyons leur chef écroué au Châtel
où d’ailleurs ils ne réussissent guère davantage, puisque, le 2 août
1645,
nous voyons leur chef écroué au Châtelet. Je ne m
troupe sur une troisième scène, au jeu de paume de la Croix-Blanche (
1646
) : c’était à l’endroit de la rue de Bucy où l’on
quelques recrues, il part pour cette longue odyssée qui va le retenir
douze
ans loin de Paris. Le profit qu’il en devait tire
ans ses pérégrinations, faisons encore une remarque : acteur pendant
trente
ans, on sait que Molière l’a été, mais on n’a pas
es en étapes certaines, étapes moins certaines, étapes peu probables.
1°
C’est à Nantes que nous rencontrons pour la premi
ues, de vraies preuves, des mentions sur les registres municipaux. Le
24
avril 1848, « le sieur Molière, l’un des comédien
raies preuves, des mentions sur les registres municipaux. Le 24 avril
1848,
« le sieur Molière, l’un des comédiens de la trou
re de monter sur le théâtre pour représenter leurs comédies ». En mai
1649,
la troupe contribue de sa part aux fêtes données
Toulouse pour l’entrée du lieutenant général du roi dans la ville. Le
10
janvier 1650, Molière tenait un enfant sur les fo
ur l’entrée du lieutenant général du roi dans la ville. Le 10 janvier
1650,
Molière tenait un enfant sur les fonts à Narbonne
0 janvier 1650, Molière tenait un enfant sur les fonts à Narbonne. Le
15
février 1650, nous retrouvons la troupe à Agen. L
650, Molière tenait un enfant sur les fonts à Narbonne. Le 15 février
1650,
nous retrouvons la troupe à Agen. Le Journal des
rnard de Nogaret, second duc d’Epernon. Evidemment, à la distance des
70
ou 80 lieues qui sépare Agen de Narbonne, s’il ap
de Nogaret, second duc d’Epernon. Evidemment, à la distance des 70 ou
80
lieues qui sépare Agen de Narbonne, s’il appelle
t aussi c’est qu’ils obéissent à l’appel d’un ancien protecteur. — En
1652,
une lettre de d’Assouci nous permet d’établir un
ore vivant, le souvenir de Nicolo Barbieri, dit Beltrame, l’auteur de
1’lnavertito
c’est à Lyon, que sur le modèle de l’Emilia et de
que l’Etourdi a été joué à Lyon pour la première fois. Au mois d’août
1653,
la troupe est à Pézenas. Armand de Bourbon, princ
Grange, les comédiens retournèrent à Lyon, dans les premiers jours de
1654,
et c’est à Lyon qu’ils passèrent la plus grande p
s avons l’acte de baptême d’un enfant de Mlle du Parc, il est daté du
8
mars 1654. Elle est désignée comme marraine dans
l’acte de baptême d’un enfant de Mlle du Parc, il est daté du 8 mars
1654.
Elle est désignée comme marraine dans un autre ac
le est désignée comme marraine dans un autre acte de baptême, daté du
3
novembre de la même année. Ces deux dates nous mè
ns un autre acte de baptême, daté du 3 novembre de la même année. Ces
deux
dates nous mènent jusqu’à l’époque probable où Mo
ssion s’ouvrit, précisément sous la présidence du prince de Conti, le
7
décembre 1654, à Montpellier. Il serait bien poss
rit, précisément sous la présidence du prince de Conti, le 7 décembre
1654,
à Montpellier. Il serait bien possible que ce fût
s fourniraient un jour à sa raillerie. — La troupe demeure là près de
cinq
ou six mois. La campagne y fut bonne. A la fin de
raient un jour à sa raillerie. — La troupe demeure là près de cinq ou
six
mois. La campagne y fut bonne. A la fin de la ses
savons que le prince de Conti fit donner à Molière une assignation de
5000
livres sur le fonds des étapes de la province. Dè
e et de MM. les Béjart ». Il rencontra les comédiens à Lyon, en avril
1655
; il les suivit à Avignon, puis à Pézenas, où ils
Pézenas, où ils se transportèrent pour une seconde session des Etats (
1655-56
). — Ils y séjournèrent du mois de novembre au moi
sentent tous les jours sur le théâtre », qu’au mois d’avril ou de mai
1656,
lors de leur arrivée à Narbonne. De Narbonne, pou
. Molière y donna, soit au mois de novembre, soit au mois de décembre
1656,
la première représentation du Dépit amoureux. Cet
omme aux comédiens ». Le prince de Conti n’était plus là… À la fin de
1657,
Molière est à Avignon, où il connaît Mignard, qui
ît Mignard, qui revient d’Italie, puis la troupe passa le carnaval de
1658
à Grenoble ; de là, quittant enfin le midi de la
’Illustre Théâtre — en attendant que la salle des Métayers fût prête.
Quinze
années entières s’étaient écoulées depuis lors. D
pension qu’il ne paiera jamais, et le vingt-quatrième jour d’octobre
1658,
après tout un été de démarches et de négociations
e roi avait fait dresser dans la salle des gardes du vieux Louvre ».
2°
Les étapes moins certaines sont Albi, Fontenai-le
chives communales d’Albi contiennent la mention d’une somme payée, le
24
octobre 1647, à la troupe des comédiens de M. le
unales d’Albi contiennent la mention d’une somme payée, le 24 octobre
1647,
à la troupe des comédiens de M. le duc d’Epernon,
éveillon. Nous connaissons ces noms : ils ont effectivement tous les
trois
figuré dans la troupe de Molière. Mais Molière, e
ent tous les trois figuré dans la troupe de Molière. Mais Molière, en
1647,
faisait-il partie de leur troupe : c’est là le po
r Dufresne présente requête au lieutenant particulier de la ville, le
9
juin 1648, pour être mis en possession d’un jeu d
sne présente requête au lieutenant particulier de la ville, le 9 juin
1648,
pour être mis en possession d’un jeu de paume lou
je crois, le nom de faubourg des Arènes. Et ajoutez enfin qu’y ayant
deux
autres comédies de Molière : Georges Dandin et la
, comme ils le sont dans M. de Pourceaugnac. Le séjour à Bordeaux, en
1648,
semble prouvé par celui d’Agen en 1650. Nous avon
nac. Le séjour à Bordeaux, en 1648, semble prouvé par celui d’Agen en
1650.
Nous avons remarqué qu’à cette dernière date le d
Or les Bordelais ont commencé à se soulever contre le duc à la fin de
1648.
Il faut donc placer avant ce moment-là la premièr
avant ce moment-là la première rencontre de Molière et du gouverneur.
3°
Voici enfin les étapes peu probables : Le Mans,
du gouverneur. 3° Voici enfin les étapes peu probables : Le Mans, en
1648,
Vienne, en 1641, Nîmes, en 1657. On ne doit pas s
Voici enfin les étapes peu probables : Le Mans, en 1648, Vienne, en
1641,
Nîmes, en 1657. On ne doit pas s’arrêter à cette
étapes peu probables : Le Mans, en 1648, Vienne, en 1641, Nîmes, en
1657.
On ne doit pas s’arrêter à cette ingénieuse hypot
Molière a passé par Le Mans, ce ne pourrait être, au plus tôt, qu’en
1646,
et Scarron, à cette date, avait quitté la ville d
’en 1646, et Scarron, à cette date, avait quitté la ville depuis déjà
dix
ans. Pour Angoulême, on veut qu’il y soit allé en
semble bien hasardeuse ! Nous ne dirons rien du passage à Vienne en
1641,
car il était bien impossible à cette date que Mol
de cette incomparable succession de chefs-d’œuvre qu’il donne jusqu’à
trois
dans la même année, l’accueil que leur fit le pub
lheureusement presque aussi bien, c’est l’histoire de son mariage. Le
29
février 1662, Molière épousa Armande Béjard, soeu
nt presque aussi bien, c’est l’histoire de son mariage. Le 29 février
1662,
Molière épousa Armande Béjard, soeur de Madeleine
ousé que la fille de sa vieille maîtresse, en dépit de la mère, après
neuf
mois de résistance, et dotée des économies de Mad
de Don Garcie de Navarre qui fut représenté pour la première fois le
4
février 1661, c’est-à-dire un an avant le mariage
rcie de Navarre qui fut représenté pour la première fois le 4 février
1661,
c’est-à-dire un an avant le mariage de Molière. D
te et l’affection banale, mais toujours fidèle, étaient depuis tantôt
quinze
ou vingt ans en possession de consoler le maître
fection banale, mais toujours fidèle, étaient depuis tantôt quinze ou
vingt
ans en possession de consoler le maître du logis,
e encore vivement contestée, ne l’oublions pas, — apportait aussi ses
quarante
ans sonnés, les préoccupations irritantes, les im
Armande, inconsciemment ou de propos délibéré, n’en a pas moins été,
dix
ans durant, l’instrument de son supplice, et, dan
mort de Molière. Mais on ne fait pas attention que Bossuet parlait en
1694
et que Molière était mort en 1673. Or en 1673, le
as attention que Bossuet parlait en 1694 et que Molière était mort en
1673.
Or en 1673, le divorce de l’église et du théâtre
que Bossuet parlait en 1694 et que Molière était mort en 1673. Or en
1673,
le divorce de l’église et du théâtre n’était null
re lui-même avait un confesseur attitré, et il faisait ses pâques. En
1672,
un an jour pour jour avant Molière, Madeleine Béj
e plus sincèrement, et qu’il eût outragé le cercueil de Molière comme
dix
ans plus tard, par exemple, il outragera le convo
uple, et l’on a fait distribution aux pauvres qui s’y sont trouvés de
1
000 à 1 200 livres, à chacun cinq sols. » II.
le, et l’on a fait distribution aux pauvres qui s’y sont trouvés de 1
000
à 1 200 livres, à chacun cinq sols. » II. Le
l’on a fait distribution aux pauvres qui s’y sont trouvés de 1 000 à
1
200 livres, à chacun cinq sols. » II. Le Théâ
’on a fait distribution aux pauvres qui s’y sont trouvés de 1 000 à 1
200
livres, à chacun cinq sols. » II. Le Théâtre
on aux pauvres qui s’y sont trouvés de 1 000 à 1 200 livres, à chacun
cinq
sols. » II. Le Théâtre comique de 1650 à 1658
i s’y sont trouvés de 1 000 à 1 200 livres, à chacun cinq sols. »
II
. Le Théâtre comique de 1650 à 1658. Dans une é
0 à 1 200 livres, à chacun cinq sols. » II. Le Théâtre comique de
1650
à 1658. Dans une étude un peu complète il y au
00 livres, à chacun cinq sols. » II. Le Théâtre comique de 1650 à
1658.
Dans une étude un peu complète il y aurait lie
’est les Visionnaires, de Desmarets de Saint-Sorlin, qui fut jouée en
1640.
On peut, à la rigueur, en juger par la liste des
n l’aime, — Sestiane, amoureux de la comédie. — La scène ii de l’acte
II
, entre Hespérie et Mélisse, a donné sans doute à
la nouveauté. Laissons donc à part le Menteuret les Visionnaires. Ces
deux
exceptions faites, les comédies de cette époque s
e cette époque se distinguent, je veux dire se ressemblent toutes par
trois
caractères. Elles ne sont pas nationales ; presqu
nt pour faire rire sont la parodie et la grossièreté. En vérité, vers
1655,
les « honnêtes gens » n’étaient pas exigeants, ni
ces pièces. Parmi d’autres, plus ou moins intéressantes, j’en choisis
trois
, comme assez caractéristiques du genre et de leur
téristiques du genre et de leurs auteurs : don Bertrand de Cigarral (
1650
), de Thomas Corneille ; don Japhet d’Arménie (165
trand de Cigarral (1650), de Thomas Corneille ; don Japhet d’Arménie (
1653
), de Scarron, et l’Amant indiscret, de Quinault (
phet d’Arménie (1653), de Scarron, et l’Amant indiscret, de Quinault (
1654
). Nous avons parlé de Scarron et nous parlerons d
uinault. Disons donc d’abord quelques mots de Thomas Corneille. Né eu
1625,
et mort en 1709, le cadet des Corneille fut d’une
onc d’abord quelques mots de Thomas Corneille. Né eu 1625, et mort en
1709,
le cadet des Corneille fut d’une fécondité plus r
îné. Il a laissé, tant en tragédies ou tragi-comédies qu’en comédies,
trente-sept
pièces de théâtre. En outre, il a composé un trai
Dictionnaire de Géographie, sans parler d’une traduction en vers des
quinze
livres des Métamorphoses d’Ovide. En réalité c’es
e : Thomas Corneille reconnut lui-même plus tard — dans l’édition de
1660
— la faiblesse de son sujet ; de ses sujets en gé
ne tendance au couplet d’Opéra (voir en particulier Les Rivales, acte
III
, sc. I, et l’Amant indiscret, acte III, sc. III).
ce au couplet d’Opéra (voir en particulier Les Rivales, acte III, sc.
I
, et l’Amant indiscret, acte III, sc. III). Dans l
particulier Les Rivales, acte III, sc. I, et l’Amant indiscret, acte
III
, sc. III). Dans l’Amant indiscret, on retrouve la
ier Les Rivales, acte III, sc. I, et l’Amant indiscret, acte III, sc.
III
). Dans l’Amant indiscret, on retrouve la donnée d
son manque de discrétion. On a posé la question de priorité entre les
deux
auteurs. Mais la décision est inutile : tous deu
priorité entre les deux auteurs. Mais la décision est inutile : tous
deux
ont imité un original italien. Il convient d’ajou
ères. Et c’était bien en effet ce qu’il restait à créer à Molière.
III
. L’Art de Molière. D’une manière générale, c’e
nature de l’art, et qu’il est fait pour tout le monde. Ennemis-nés de
1’
« art pour l’art », ils réagissent contre la Pléia
tamment mêlé à la vie. Ne leur demandons donc pas des sujets au fond
neuf
. Ils en donneront, à l’occasion, dans les Provinc
s le Matamore de l’Illusion Comique, ou Dorante, dans Le Menteur. Ces
deux
personnages nous font rire. Mais nous rions de ce
L’aventure de Regnard emmené esclave en Alger en est une preuve entre
mille
autres. Et les erreurs ou les doutes sur la filia
tte qualification. Il tient pour la cour, et il n’a cessé de préférer
1’
« honnête homme » au bourgeois de Paris ou des pro
faire partager. Quelle est cette conception ? Nous l’allons voir.
IV
. La Philosophe de Molière. Il ne faut pas non
nger, au simple attrait du plaisir, il avait eu le temps, pendant ces
douze
ans, de voir, de comparer, de réfléchir. Et ce n’
u un vulgaire « épicurien », que le comédien qui rentrait à Paris, en
1658,
pour n’en plus désormais sortir : il avait sa ph
eulent y voir encore aujourd’hui son chef-d’œuvre. Quelle est donc :
1’
« École des femmes », d’après Molière, et la leçon
de l’Ecole des Femmes, l’Impromptu de Versailles, et Tartufe. De ces
trois
ripostes, la première s’adressait aux pédants et
urs de l’Ecole des Femmes. S’il n’a pris possession de la scène qu’en
1669,
il a vu le jour au mois de mai 1664 ; il n’est do
ris possession de la scène qu’en 1669, il a vu le jour au mois de mai
1664
; il n’est donc vraiment séparé de l’Ecole des Fe
é de l’Ecole des Femmes, représentée pour la première fois l’hiver de
1662,
que par un intervalle de quinze ou seize mois — l
entée pour la première fois l’hiver de 1662, que par un intervalle de
quinze
ou seize mois — le temps nécessaire pour l’écrire
la première fois l’hiver de 1662, que par un intervalle de quinze ou
seize
mois — le temps nécessaire pour l’écrire, et par
e de quinze ou seize mois — le temps nécessaire pour l’écrire, et par
trois
pièces, la Critique, l’Impromptu, et le Mariage f
rs en dévotion » a prétendu Molière. Voyons donc où ils étaient entre
1660
et 1664, les hypocrites et les faux dévots ; de q
votion » a prétendu Molière. Voyons donc où ils étaient entre 1660 et
1664,
les hypocrites et les faux dévots ; de quels si g
vait qu’un XVIIe siècle, identique à lui-même dans toute la durée des
cent
ans de son cours, et comme si Tartufe était conte
était le prince de Conti, et sa sœur la duchesse de Longueville, tous
deux
convertis maintenant ; c’était Bossuet, qui comme
aut bien croire sur leurs impressions — ne s’y trompèrent point ; et,
cinq
jours après la première de Tartufe, la Gazette de
près la première de Tartufe, la Gazette de France, dans son numéro du
17
mai 1664, déclarait la pièce « absolument injurie
première de Tartufe, la Gazette de France, dans son numéro du 17 mai
1664,
déclarait la pièce « absolument injurieuse à la r
qu’ils reconnurent tous,quand,après bien des difficultés, Tartufe, en
1669,
parut enfin publiquement sur la scène. L’épreuve
de son ménage ; la maladie s’y vint bientôt ajouter, et, à partir de
1666,
il perdit, pour ne la plus jamais retrouver, la b
toujours la même. Si donc il ne peut s’empêcher de recommencer, entre
deux
scènes de ménage ou entre deux hoquets, l’apologi
peut s’empêcher de recommencer, entre deux scènes de ménage ou entre
deux
hoquets, l’apologie de la nature ; s’il continue
e dans l’histoire des idées ? « M. Molière, dit le docte Baillet en
1686
dans ses Jugemens des savans, est un des plus dan
maximes les plus ordinaires du libertinage… » Quel était donc, entre
1660
et 1680, le fond de la pensée de nos « libertins
les plus ordinaires du libertinage… » Quel était donc, entre 1660 et
1680,
le fond de la pensée de nos « libertins » ? Ils
omme un troisième courant qu’il faut donc distinguer expressément des
deux
autres. On mesurera la puissance de ce courant si
u siècle suivant Voltaire et Diderot en procèdent ; Voltaire, qui dès
1728,
avec une sûreté de coup d’œil singulière, s’en es
dérable dans l’histoire des idées et dans l’histoire de la morale.
V.
Langue, versification et style de Molière. Qu’
autorité dès qu’ils ne sont pas entièrement favorables à Molière. Dès
1689,
La Bruyère disait : «Il n’a manqué à Molière que
a manqué à Molière que d’éviter le jargon et d’écrire purement » ; en
1697,
Bayle ne s’exprimait pas autrement dans l’article
ssions : il lui échappait même fort souvent des barbarismes. » Et en
1713
enfin, dans sa Lettre sur les occupations de l’Ac
des phrases les plus forcées et les moins naturelles. Térence dit en
quatre
mots, avec la plus élégante simplicité, ce que ce
t, mais l’excusèrent aussitôt par les nécessités du théâtre. Enfin en
1882,
Scherer reprit, en l’appuyant des citations, le j
erminée beaucoup plus étroitement qu’au temps de Molière lui-même. En
1660,
les grands écrivains ont l’instinct du style. En
e lui-même. En 1660, les grands écrivains ont l’instinct du style. En
1680,
en grande partie à cause du travail accompli et d
Bayle les connaît, La Bruyère les applique, et Fénelon, qui est né en
1651,
s’étonne de ne les pas voir suivis. Le XIXe siècl
nt successivement la langue, la versification et le style de Molière.
I
. Sa langue porte un caractère très marqué d’archa
ournit tout naturellement le vocabulaire des pièces qu’il joue depuis
1643
: il n’est pas étonnant dès lors que ses personn
ais trop ; mais il y en a d’autres, et de plus graves, comme dans ces
quatre
vers de l’Ecole des Femmes où Horace dépeint Agnè
ici que d’une manière un peu vague ce qu’Elmire vent dire ; mais les
deux
on qui se rencontrent et se contrarient dans le t
me de ses pièces que, comme son Tartufe, il a eu tout le temps, entre
1664
et 1669, de revoir à loisir. Restent le « galimat
s pièces que, comme son Tartufe, il a eu tout le temps, entre 1664 et
1669,
de revoir à loisir. Restent le « galimatias, » et
d’une cabale Embarrasse les gens dans un fâcheux dédale. (Tartufe,
V
, III.) Mais cette prose est-elle beaucoup meille
une cabale Embarrasse les gens dans un fâcheux dédale. (Tartufe, V,
III
.) Mais cette prose est-elle beaucoup meilleure
rs Dès qu’on voit qu’on nous mêle avec tout l’univers. (Misanthrope,
I
, 1.) Le premier de ces deux on c’est nous et le
Dès qu’on voit qu’on nous mêle avec tout l’univers. (Misanthrope, I,
1.
) Le premier de ces deux on c’est nous et le seco
ous mêle avec tout l’univers. (Misanthrope, I, 1.) Le premier de ces
deux
on c’est nous et le second c’est les autres : no
». Tous les défauts de la langue de Molière semblent réunis dans ces
quatre
vers. Considérons encore ces quelques lignes de l
cette métaphore-ci : Je voudrais de bon cœur qu’on pût, entre vous
deux
, De quelque ombre de paix raccommoder les nœuds.
n : Pour cette grande faim qu’à mes yeux on expose, Un plat seul de
huit
vers me semble peu de chose, Et je pense qu’ici j
our son mari, son chef, son seigneur et son maître (École des Femmes.
III
, II.) Voilà vraiment du Molière, du bon Molière,
on mari, son chef, son seigneur et son maître (École des Femmes. III,
II
.) Voilà vraiment du Molière, du bon Molière, du
laire, au timbre, à l’accent de laquelle il était fait dès l’enfance.
II
. Sa versification est moins personnelle et moins
l’argent est la clef de tous les grands ressorts. (Ecole des Femmes.
I
, VI.) ou encore : C’est être bien coiffé, bien
argent est la clef de tous les grands ressorts. (Ecole des Femmes. I,
VI
.) ou encore : C’est être bien coiffé, bien pré
enu de lui Que de nous démentir sur le fait d’aujourd’hui. (Tartufe,
IV
, III.) ou encore : Pour moi, je ne tiens pas,
de lui Que de nous démentir sur le fait d’aujourd’hui. (Tartufe, IV,
III
.) ou encore : Pour moi, je ne tiens pas, quelq
pose, Que la science soit pour gâter quelque chose. (Femmes Savantes,
IV
, III.) ou bien : Le Ciel, dont nous voyons que
, Que la science soit pour gâter quelque chose. (Femmes Savantes, IV,
III
.) ou bien : Le Ciel, dont nous voyons que l’or
, Pour différens emplois nous fabrique en naissant. (Femmes Savantes,
I
, I,) Et cependant ces chevilles bien loin d’être
our différens emplois nous fabrique en naissant. (Femmes Savantes, I,
I
,) Et cependant ces chevilles bien loin d’être «
Et enfin tout le mal, quoique le monde en glose. (L’École des Femmes,
VI
, VIII.) et encore : Et je ne vois rien là, si
nfin tout le mal, quoique le monde en glose. (L’École des Femmes, VI,
VIII
.) et encore : Et je ne vois rien là, si j’en p
aisonner, Qui blesse la pensée, y fasse frissonner. (Femmes Savantes,
I
, I.) Toutes ces « chevilles » manifestement soul
onner, Qui blesse la pensée, y fasse frissonner. (Femmes Savantes, I,
I
.) Toutes ces « chevilles » manifestement soulage
emmes : Vos chemises de nuit et vos coiffes sont faites, ou dans ces
deux
vers de Tartufe : Et fort dévotement il mangea d
tes, ou dans ces deux vers de Tartufe : Et fort dévotement il mangea
deux
perdrix Avec une moitié de gigot en hachis, l’int
ée », prosaïque, est exactement adaptée aux nécessités de sa comédie.
III
. Au style de Molière, Schérer reprochait d’être «
lé ». L’une des premières leçons que donnaient encore, il y a quelque
trente
ans, les rhétoriques, c’est qu’il ne faut pas écr
n, fortune de l’éloquence de la chaire et du théâtre — voici qu’entre
1610
et 1640 presque tous nos écrivains deviennent ce
ne de l’éloquence de la chaire et du théâtre — voici qu’entre 1610 et
1640
presque tous nos écrivains deviennent ce que l’on
our l’oreille. Et le caractère le plus général du style classique, de
1636
à 1690, a été d’être un style « parlé ». Il essay
reille. Et le caractère le plus général du style classique, de 1636 à
1690,
a été d’être un style « parlé ». Il essaye d’imit
t il manque de grâce et de délicatesse, mais il a la profondeur.
1.
Une étude de Molière qui voudrait être absolument
e nos grands écrivains qui ait « vu du pays ». Le théâtre comique de
1650
à 1658 : Scarron, Th. Corneille, Quinault. Les d
rands écrivains qui ait « vu du pays ». Le théâtre comique de 1650 à
1658
: Scarron, Th. Corneille, Quinault. Les débuts d
Chapitre
VIII
. Les Fedeli Nous avons dit qu’Isabelle Andrei
Fedeli Nous avons dit qu’Isabelle Andreini laissait un fils né en
1579,
ayant vingt-cinq ans, par conséquent, à la mort d
ous avons dit qu’Isabelle Andreini laissait un fils né en 1579, ayant
vingt-cinq
ans, par conséquent, à la mort de sa mère. Ce fil
rt de sa mère. Ce fils, Giovanni-Battista Andreini était marié depuis
1601
à Virginia Ramponi, actrice qui portait au théâtr
vait être bien jeune au commencement du siècle, si Riccoboni, né vers
1674,
put encore la connaître. Cependant on lit en tête
t en tête d’Il Postumio, comédie publiée par Flaminio Scala à Lyon en
1601,
un sonnet della signora Diana Ponti, detta Lavini
1, un sonnet della signora Diana Ponti, detta Lavinia, comica Desiosa
21.
11. — Lavinia. Un acteur qui eut un grand su
onnet della signora Diana Ponti, detta Lavinia, comica Desiosa 21.
11.
— Lavinia. Un acteur qui eut un grand succès da
st plus douteux pour la première, Silvia Roncagli, qui jouait déjà en
1578.
Quoi qu’il en soit, le personnage de Francischina
eule » que sa devancière et sa contemporaine de la commedia dell’arte
22.
12. — Fracischina. 13. — Riciulina. Le
que sa devancière et sa contemporaine de la commedia dell’arte 22.
12.
— Fracischina. 13. — Riciulina. Le direct
contemporaine de la commedia dell’arte 22. 12. — Fracischina.
13.
— Riciulina. Le directeur des Fedeli, Giovanni
é un grand nombre de pièces appartenant à tous les genres ; il y en a
dix-huit
cataloguées dans la Drammaturgia d’Allacci, et ce
cala : il écrivait le dialogue, tantôt en prose et tantôt en vers. En
1613,
il fit représenter à Milan une sorte de mystère (
rent à son invitation ; ils vinrent à Paris et y demeurèrent jusqu’en
1618,
jouant soit à la cour, soit, d’accord avec les co
el de Bourgogne. Ils assistèrent par conséquent aux États-Généraux de
1614,
au mariage du jeune Louis XIII avec Anne d’Autric
énéraux de 1614, au mariage du jeune Louis XIII avec Anne d’Autriche (
1615
), à la chute et à la mort de Concini (1617). Ce f
XIII avec Anne d’Autriche (1615), à la chute et à la mort de Concini (
1617
). Ce fut sans doute à la suite de ces derniers év
Blois, que les Italiens s’en retournèrent en Italie. Ils revinrent en
1621,
à la mort du connétable de Luynes, lorsque, sous
on influence. Ils demeurèrent en France jusqu’à la fin du carnaval de
1623.
Pendant l’année 1622, Giovanni-Battista Andreini
urèrent en France jusqu’à la fin du carnaval de 1623. Pendant l’année
1622,
Giovanni-Battista Andreini fit représenter et imp
1622, Giovanni-Battista Andreini fit représenter et imprimer à Paris
cinq
pièces de sa façon : La Sultana, L’Amor nello spe
t une comédie chantée, une sorte d’opéra-comique, dans lequel sept ou
huit
dialectes se livrent bataille : le mauvais allema
tique, dédié cependant à Marie de Médicis. Cette pièce est divisée en
trois
actes : le premier est une comédie, le second une
lienne. « Après une suite d’aventures compliquées et romanesques, les
deux
Centaures, père et mère, qui combattaient pour re
dépose aux pieds de la reine. » Après avoir passé en Italie l’été de
1623,
les Comici Fedeli revinrent en France et y représ
Comici Fedeli revinrent en France et y représentèrent pendant l’année
1624
et le commencement de l’année 1625. Giovanni-Batt
t y représentèrent pendant l’année 1624 et le commencement de l’année
1625.
Giovanni-Battista Andreini perdit son père vers c
erdit son père vers cette époque. Il publia, dans le cours de l’année
1624,
un opuscule intitulé Il Teatro celeste, en l’honn
mme on sait, dans les conseils du roi, au mois d’avril de cette année
1624.
On voit quels sentiments édifiants animaient le d
en donnât l’exemple. Le capitaine Rhinocéros mourut au mois d’octobre
1624
: « Quand ce capitan trépassa, rapporte son camar
enoncer au théâtre ; il continua à diriger sa troupe jusqu’à l’âge de
soixante-treize
ans, jusqu’en 1652. Est-ce en souvenir du séjour
ua à diriger sa troupe jusqu’à l’âge de soixante-treize ans, jusqu’en
1652.
Est-ce en souvenir du séjour que les Fedeli avaie
. Est-ce en souvenir du séjour que les Fedeli avaient fait à Paris en
1624-1625,
ou à l’occasion d’un nouveau voyage de cette trou
eprésentant les comédiens italiens » pour lequel Bordier fît des vers
23
? Les types que les courtisans et les baladins fi
attista Andreini : Florinde, c’est sa femme Virginia, qui mourut vers
1634
; Lydia, c’est une jeune actrice que le directeur
une jeune actrice que le directeur des Fedeli, devenu veuf, épousa en
1635.
Quant aux autres types, il serait difficile de dé
t la confusion dans la magnificence, une sorte de Babel dramatique.
21.
Callot a dessiné dans ses Balli di Sfessania la s
ée du costume des premiers rôles féminins dans la troupe des Fedeli.
22.
Fracischina et Ridulina figurent toutes deux dans
ns la troupe des Fedeli. 22. Fracischina et Ridulina figurent toutes
deux
dans les Balli di Sfessania de Callot. La premièr
er des castagnettes entre ses doigts, saute avec un égal entrain. Ces
deux
types sont reproduits ci-contre. 23. Voyez V. Fo
aute avec un égal entrain. Ces deux types sont reproduits ci-contre.
23.
Voyez V. Fournel, Les Contemporains de Molière, t
un égal entrain. Ces deux types sont reproduits ci-contre. 23. Voyez
V.
Fournel, Les Contemporains de Molière, tome II, p
ci-contre. 23. Voyez V. Fournel, Les Contemporains de Molière, tome
II
, page 220.
e. 23. Voyez V. Fournel, Les Contemporains de Molière, tome II, page
220.
Chapitre
XII
Sixième période de 1650 à 1660. — La Fronde. —
Chapitre XII Sixième période de
1650
à 1660. — La Fronde. — Mœurs de la cour durant la
Chapitre XII Sixième période de 1650 à
1660.
— La Fronde. — Mœurs de la cour durant la Fronde.
Mœurs du parti de la fronde. — Mœurs de la capitale. La période de
1650
à 1660 va nous montrer une triple opposition : ce
du parti de la fronde. — Mœurs de la capitale. La période de 1650 à
1660
va nous montrer une triple opposition : celle des
’esprit et de mœurs, il est nécessaire de se faire une idée juste des
trois
partis opposés, à commencer par celui de la cour
d’élite ; et enfin celle des précieuses. Louis XIV, roi à l’âge de
5
ans, sous la régence d’Anne d’Autriche sa mère, a
sa mère, assistée du cardinal de Mazarin, avait passé l’intervalle de
1643
à 1648, époque de sa minorité, à écouter chaque j
, assistée du cardinal de Mazarin, avait passé l’intervalle de 1643 à
1648,
époque de sa minorité, à écouter chaque jour le r
jour le récit des victoires que le prince de Condé, âgé seulement de
22
ans, remportait sur les ennemis de la France. Le
. Le roi enfant n’entendait parler que de la gloire de ses armes ; en
1646,
à l’âge de huit ans, il était conduit par sa mère
’entendait parler que de la gloire de ses armes ; en 1646, à l’âge de
huit
ans, il était conduit par sa mère à l’armée de Fl
ibuer à celle des caractères qui ont distingué le père et le fils. En
1648,
la paix se fit avec l’Espagne ; mais la guerre ci
le tombée en quenouille. Les premiers Frondeurs qui se déclarèrent en
1648,
furent le duc d’Orléans, frère de Louis XIII, onc
8, furent le duc d’Orléans, frère de Louis XIII, oncle du roi, âgé de
quarante
ans ; le prince de Conti, frère puîné du prince d
ante ans ; le prince de Conti, frère puîné du prince de Condé, âgé de
vingt-cinq
à vingt-six ans ; le duc de Beau fort, fils de Cé
prince de Conti, frère puîné du prince de Condé, âgé de vingt-cinq à
vingt-six
ans ; le duc de Beau fort, fils de César de Vendô
Beau fort, fils de César de Vendôme, et petit-fils d’Henri IV, âgé de
trente-deux
ans ; le duc de Vendôme (César), fils ainé d’Henr
endôme (César), fils ainé d’Henri IV, père du duc de Beaufort, âgé de
cinquante-quatre
ans ; le duc de Nemours ; le duc de Bouillon ; le
duc de Nemours ; le duc de Bouillon ; le maréchal de Turenne, âgé de
trente-sept
ans ; le prince de Marsillac, depuis duc de La Ro
ans ; le prince de Marsillac, depuis duc de La Rochefoucauld, âgé de
quarante-cinq
ans ; le coadjuteur, depuis cardinal de Retz ; le
t. Dans le principe, la cour eut pour elle le prince de Condé, âgé de
vingt-sept
ans, le maréchal de Grammont, le duc de Châtillon
ingt-sept ans, le maréchal de Grammont, le duc de Châtillon. Mais des
deux
parts, il y eut des transfuges qui passèrent d’un
un ans ; la duchesse de Longueville, sœur du prince de Condé, âgée de
trente-neuf
ans ; la princesse de Condé elle-même ; la duches
; la princesse de Condé elle-même ; la duchesse de Chevreuse, âgée de
quarante-huit
ans ; la duchesse de Nemours, fille de la duchess
e, et les sept nièces du cardinal, qu’il avait fait venir d’Italie en
1647
: cinq du nom de Mancini ; deux du nom de Martino
es sept nièces du cardinal, qu’il avait fait venir d’Italie en 1647 :
cinq
du nom de Mancini ; deux du nom de Martinozzi. La
l, qu’il avait fait venir d’Italie en 1647 : cinq du nom de Mancini ;
deux
du nom de Martinozzi. La galanterie régnait à la
de Retz était gouverné par madame de Chevreuse, alors âgée de plus de
cinquante
ans. Le prince de Conti, originairement un des ch
si. Le duc d’Orléans, père de Mademoiselle, flotta toujours entre les
deux
partis ; il passa plusieurs fois de l’un à l’autr
evaient régner dans un camp dont les chefs étaient de la jeunesse des
deux
sexes, dans un camp où les relations étaient tout
égagée des formes habituelles du respect, en un mot dans une armée de
deux
sexes qui, en révolte contre les lois de l’état,
nal et fut ouverte à tous les grands. La guerre de la Fronde finit en
1652,
ayant duré quatre ans. Le prince de Condé, qui av
e à tous les grands. La guerre de la Fronde finit en 1652, ayant duré
quatre
ans. Le prince de Condé, qui avait été condamné à
t dans ses terres, n’ayant pas la permission de rentrer à la cour. De
1652
à 1658. La guerre rallumée avec l’Espagne n’empêc
ses terres, n’ayant pas la permission de rentrer à la cour. De 1652 à
1658.
La guerre rallumée avec l’Espagne n’empêcha pas M
vec l’Espagne n’empêcha pas Mazarin de rentrer triomphant à Paris, le
3
février 1653, avec une petite armée qu’il avait l
gne n’empêcha pas Mazarin de rentrer triomphant à Paris, le 3 février
1653,
avec une petite armée qu’il avait levée à ses dép
t s’empressa à lui rendre hommage. Il voulut que le roi, alors âgé de
16
ans, se rendît à l’armée ; le jeune prince fit le
de 16 ans, se rendît à l’armée ; le jeune prince fit les campagnes de
1653,
1654, 1655, à Mouzon, à Stenay, à Landrecies, à C
ans, se rendît à l’armée ; le jeune prince fit les campagnes de 1653,
1654,
1655, à Mouzon, à Stenay, à Landrecies, à Condé,
e rendît à l’armée ; le jeune prince fit les campagnes de 1653, 1654,
1655,
à Mouzon, à Stenay, à Landrecies, à Condé, à Sain
mtesse de Soissons, sachant bien que Marie Mancini, la plus jeune des
trois
sœurs, attirait son attention, mais persuadée qu’
lite que j’appelle la société polie. Nous parlerons séparément de ces
deux
classes de personnes,
, devraient bien nous expliquer l’heureuse fortune qu’a faite, depuis
cinquante
ans, le mot influence. Il n’est pas nouveau, mais
re exposés avec une intrépidité sans égale par des gens qui, vivant à
deux
siècles de distance, ne les connaissent que par l
IIe siècle tout entier, et l’on ne songe point que c’est seulement en
1661
que Louis XIV commença à régner par lui-même, que
ença à régner par lui-même, que la seconde moitié de ce siècle et les
quinze
premières années du siècle suivant peuvent bien l
mi les artistes célèbres du temps de Louis XIV. Or Lesueur était mort
six
ans avant 1661 ; Poussin mourut quatre ans après
s célèbres du temps de Louis XIV. Or Lesueur était mort six ans avant
1661
; Poussin mourut quatre ans après cette date, à R
Louis XIV. Or Lesueur était mort six ans avant 1661 ; Poussin mourut
quatre
ans après cette date, à Rome, où il vivait depuis
Dans la même liste vous rencontrerez jusqu’à Descartes, mort en Suède
onze
ans plus tôt. Etonnez-vous après cela d’y voir fi
ous après cela d’y voir figurer Corneille, qui avait, à cette date de
1661,
écrit depuis longtemps tous ses chefs-d’œuvre, et
efs-d’œuvre, et Pascal, dont les Provinciales étaient publiées depuis
cinq
ans ! Louis XIV, il est vrai, vit mourir Pascal u
agérer : il serait assez étrange de lui faire honneur du génie de ces
deux
grands hommes, parce qu’il a eu la gloire de les
is elle aura beau répéter avec sa brutalité ordinaire : le Cid est de
1636,
Horace et Cinna de 1639 ; Polyeucte, de 1640 ; Po
avec sa brutalité ordinaire : le Cid est de 1636, Horace et Cinna de
1639
; Polyeucte, de 1640 ; Pompée, de 1641 ; le Mente
dinaire : le Cid est de 1636, Horace et Cinna de 1639 ; Polyeucte, de
1640
; Pompée, de 1641 ; le Menteur, de 1642, etc., et
st de 1636, Horace et Cinna de 1639 ; Polyeucte, de 1640 ; Pompée, de
1641
; le Menteur, de 1642, etc., et Louis XIV n’a rég
Cinna de 1639 ; Polyeucte, de 1640 ; Pompée, de 1641 ; le Menteur, de
1642,
etc., et Louis XIV n’a régné qu’en 1661 : — qui s
ée, de 1641 ; le Menteur, de 1642, etc., et Louis XIV n’a régné qu’en
1661
: — qui se soucie de ces dates ? Rien de plus enn
dépit de Copernic et de Galilée. Ainsi Descartes, Corneille, Pascal,
trois
noms qui suffiraient à la gloire d’une nation, so
croit généralement ? Avant la mort de Mazarin, on voit déjà paraître
cinq
écrivains illustres, qui n’ont pas, il est vrai,
ont pas, il est vrai, écrit encore leurs chefs-d’œuvre, mais dont les
trois
premiers surtout ont été formés sous le régime pr
Boileau, Racine. Molière, La Fontaine, Bossuet ont à cette époque de
trente-cinq
à quarante ans. Doit-on croire qu’à cet âge des h
ne. Molière, La Fontaine, Bossuet ont à cette époque de trente-cinq à
quarante
ans. Doit-on croire qu’à cet âge des hommes comme
assuré l’avenir en encourageant leurs débuts ? Bossuet avait commencé
trois
ans auparavant à prêcher ses admirables sermons,
ion du dauphin avant de songer à Bossuet. Cette éducation nous a valu
deux
ouvrages immortels ; mais s’il n’eût pas eu à écr
le serait assurément plus conforme à la vérité. Molière avait composé
six
de ses comédies, quand Louis XIV commença à régne
ière et aux lettres consiste en réalité à n’avoir défendu que pendant
cinq
ans la représentation du Tartufe. C’est une chose
juste valeur, parle pourtant de ses chefs-d’œuvre comme de bagatelles
3,
jolies, il est vrai, mais peu dignes d’occuper de
aliers de l’ordre, ou si Mmede Ventadour aura le tabouret. Autour des
trois
grands écrivains que nous venons de citer s’en gr
re. et rien n’est plus juste, les séductions infinies du style de ces
deux
grands hommes, leurs écrits ne sont pas inférieur
l est impossible d’être plus convenable que Bajazet et Hippolyte. Ces
deux
princes accomplis auraient été sans doute cités c
Mmede Champmeslé d’abord, et la religion ensuite, voilà peut-être les
deux
influences les plus profondes qu’il dut subir : n
rapporte au règne de Louis XIV serait incomplet, si l’on n’y joignait
deux
noms, moins éclatans sans doute que ceux de Fénel
ui écrivit ses Caractères vers la fin de la première moitié du règne (
1687
), peintre admirable de détails, n’est d’ailleurs
lent. Or, quand il fut présenté pour la première fois à Louis XIV, en
1669,
il avait déjà écrit ses satires littéraires, et c
ui lui valut les premières faveurs qu’il reçut du roi, une pension de
deux
mille livres, — sa première réflexion, dit Brosse
i valut les premières faveurs qu’il reçut du roi, une pension de deux
mille
livres, — sa première réflexion, dit Brossette, f
rature, d’une stérilité aussi déplorable que celle que présentent les
vingt
dernières années du grand roi. En prose, Fontenel
du pouvoir. Eh bien ! à ce nouveau point de vue, comparez encore les
deux
époques : au-dessous de Corneille, vous trouvez,
ons y ajoutent leurs rigueurs, et c’est au milieu du lugubre hiver de
1709
que paraît Turcaret, le chef-d’œuvre du genre. En
e par La Bruyère et par Fénelon ! Voilà où est descendue, pendant les
vingt
dernières années du règne, cette littérature si g
es gens intéressés, le règne d’Auguste et celui de Louis XIV sont les
deux
grandes époques de la littérature, parfaitement i
après elles la décadence. Rien de moins conforme à l’histoire, et les
deux
règnes présentent au contraire à cet égard une an
il exigeait que Chapelain et Gombault ne lui parlassent que couverts
6,
il servait mieux la littérature qu’en leur donnan
e, il avait fait dresser un rôle de toutes les personnes de lettres
8,
auxquelles il voulait étendre ses libéralités, lo
tions. Parmi les pensionnaires de Richelieu et de Mazarin se trouvent
deux
noms qui eussent peut-être été moins favorisés so
tion de son héritage, et il fit dresser, par Costar et par Chapelain,
deux
listes des gens de lettres auxquels on pourrait a
es gens de lettres auxquels on pourrait accorder des pensions. De ces
deux
listes, on en fit une seule, devenue l’état des p
ces deux listes, on en fit une seule, devenue l’état des pensions de
1663,
si souvent cité comme une véritable curiosité. No
s bornerons à rappeler que Chapelain s’y est fait la plus belle part,
3,000
livres, comme au plus grand poète français qui a
s été (ainsi s’exprime ce document) ; que Corneille y est porté pour
2,000
livres, Molière pour 1,000 seulement. Vingt-deux
document) ; que Corneille y est porté pour 2,000 livres, Molière pour
1,000
seulement. Vingt-deux écrivains sur cette liste,
orneille y est porté pour 2,000 livres, Molière pour 1,000 seulement.
Vingt-deux
écrivains sur cette liste, qui contient une trent
stration du ridicule. La pension de Molière lui fut conservée pendant
neuf
ans et supprimée deux ans avant sa mort. Quant à
La pension de Molière lui fut conservée pendant neuf ans et supprimée
deux
ans avant sa mort. Quant à l’historien Mézeray, o
t sa mort. Quant à l’historien Mézeray, on lui maintint la pension de
4,000
livres qu’il tenait de Mazarin, jusqu’au moment o
té signalées dans son histoire de France, cette pension fut réduite à
2,000.
En vain le pauvre Mézeray déclara-t-il, dans deux
ion fut réduite à 2,000. En vain le pauvre Mézeray déclara-t-il, dans
deux
lettres d’une rare platitude, qu’il était prêt à
ait encouragé les débuts, à l’exception de Racine, qui y figure pour
800
livres ; il n’avait produit alors que quelques ve
teignirent le chiffre le plus élevé, la dépense totale ne dépassa pas
100,000
livres, savoir : 53,000 livres pour les nationaux
plus élevé, la dépense totale ne dépassa pas 100,000 livres, savoir :
53,000
livres pour les nationaux, 16,000 pour les étrang
épassa pas 100,000 livres, savoir : 53,000 livres pour les nationaux,
16,000
pour les étrangers, et le reste en gratifications
pour les étrangers, et le reste en gratifications. Il est vrai qu’en
1673
le roi s’avisa envers les académiciens d’une géné
mme ils travaillaient alors au Dictionnaire et se réunissaient une ou
deux
fois par semaine, pour stimuler leur activité, il
ar semaine, pour stimuler leur activité, il fut réglé qu’une somme de
40
livres serait allouée pour chaque séance, soit 1
glé qu’une somme de 40 livres serait allouée pour chaque séance, soit
1
livre par membre ; il est juste d’ajouter que les
Corneille, à Molière, à tant d’écrivains illustres. Ce n’est plus par
quarante
ou cinquante mille francs, comme au temps de Loui
Molière, à tant d’écrivains illustres. Ce n’est plus par quarante ou
cinquante
mille francs, comme au temps de Louis XIV, c’est
à tant d’écrivains illustres. Ce n’est plus par quarante ou cinquante
mille
francs, comme au temps de Louis XIV, c’est par mi
nte ou cinquante mille francs, comme au temps de Louis XIV, c’est par
millions
que se compte aujourd’hui la recette annuelle de
, la seule qu’il ne soit pas permis de contester. EUGENE DESPOIS.
1.
Il avait obtenu en 1654 la survivance de la charg
it pas permis de contester. EUGENE DESPOIS. 1. Il avait obtenu en
1654
la survivance de la charge de secrétaire d’état a
t au département de la guerre qu’occupait encore son père Letellier.
2.
Il n’est pourtant pas bien certain que le roi ait
ssociés dans ses regrets. « Il n’y a pas un an, écrivait Grimarest en
1706,
que le roi eut occasion de dire qu’il ne remplace
meCampan qui, la première, l’a racontée dans ses Mémoires, publiés en
1822,
un siècle et demi après la mort de Molière, et el
ère, nous le voyons aussi faire à Scaramouche l’honneur de lui verser
deux
fois à boire de sa royale main, et cette anecdote
gelo Constantini, comédien ordinaire du roi dans sa troupe italienne,
1698,
chap. 25. L’ouvrage est dédié à Madame, duchesse
tini, comédien ordinaire du roi dans sa troupe italienne, 1698, chap.
25.
L’ouvrage est dédié à Madame, duchesse d’Orléans.
d’Orléans.) J’admets toute la distance qu’on voudra établir entre ces
deux
actes ; mais entre Molière et Scaramouche la dist
u d’honneur au moins à son goût, c’est que, tandis qu’il donnait sept
mille
livres à la troupe de Molière, il donnait à la tr
livres à la troupe de Molière, il donnait à la troupe de Scaramouche
quinze
mille livres de pension. Enfin, quand Molière meu
à la troupe de Molière, il donnait à la troupe de Scaramouche quinze
mille
livres de pension. Enfin, quand Molière meurt, c’
l’église de Saint-Eustache, où il fut inhumé avec une grande pompe le
8
décembre 1694. » (Vie de Scaramouche) 3. « N’ave
Saint-Eustache, où il fut inhumé avec une grande pompe le 8 décembre
1694.
» (Vie de Scaramouche) 3. « N’avez-vous point tr
umé avec une grande pompe le 8 décembre 1694. » (Vie de Scaramouche)
3.
« N’avez-vous point trouvé jolies les cinq ou six
694. » (Vie de Scaramouche) 3. « N’avez-vous point trouvé jolies les
cinq
ou six fables de La Fontaine qui sont dans un des
Vie de Scaramouche) 3. « N’avez-vous point trouvé jolies les cinq ou
six
fables de La Fontaine qui sont dans un des tomes
bagatelles ; c’est le loisir de Livry qui me tue. » (A Mmede Grignan,
27
avril 1671.) 4. On peut y ajouter Tite-Live, re
s ; c’est le loisir de Livry qui me tue. » (A Mmede Grignan, 27 avril
1671.
) 4. On peut y ajouter Tite-Live, resté pompéien
le loisir de Livry qui me tue. » (A Mmede Grignan, 27 avril 1671.)
4.
On peut y ajouter Tite-Live, resté pompéien sous
-Live, resté pompéien sous Auguste, qui le lui reprochait en riant.
5.
Voir Tallemant des Réaux. 6. Aug. Thierry, Essai
uste, qui le lui reprochait en riant. 5. Voir Tallemant des Réaux.
6.
Aug. Thierry, Essai sur l’histoire du Tiers-État,
mant des Réaux. 6. Aug. Thierry, Essai sur l’histoire du Tiers-État,
2e
édit., p. 235. 7. Tallemand. Edit. de 1843, t. I
Aug. Thierry, Essai sur l’histoire du Tiers-État, 2e édit., p. 235.
7.
Tallemand. Edit. de 1843, t. IV, p, p. 144. Talle
r l’histoire du Tiers-État, 2e édit., p. 235. 7. Tallemand. Edit. de
1843,
t. IV, p, p. 144. Tallemand raconte ailleurs l’an
ire du Tiers-État, 2e édit., p. 235. 7. Tallemand. Edit. de 1843, t.
IV
, p, p. 144. Tallemand raconte ailleurs l’anecdote
dédier Polyeucte. Cela lui fit peur, parce que Montauron avait donné
200
pistoles pour Cinna. « Il n’est pas nécessaire, d
plaisir. » Ce fut à la reine qu’on le dédia, car le roi mourut entre
deux
. » Tome III, p. 71. 8. Ménagiana, t. Ier, p. 28
e fut à la reine qu’on le dédia, car le roi mourut entre deux. » Tome
III
, p. 71. 8. Ménagiana, t. Ier, p. 289. 9. Corne
ine qu’on le dédia, car le roi mourut entre deux. » Tome III, p. 71.
8.
Ménagiana, t. Ier, p. 289. 9. Corneille avait a
ourut entre deux. » Tome III, p. 71. 8. Ménagiana, t. Ier, p. 289.
9.
Corneille avait alors cinquante-sept ans, et Moli
III, p. 71. 8. Ménagiana, t. Ier, p. 289. 9. Corneille avait alors
cinquante-sept
ans, et Molière quarante. Quant à Boileau et à Ra
Ier, p. 289. 9. Corneille avait alors cinquante-sept ans, et Molière
quarante
. Quant à Boileau et à Racine, en 1677 le roi les
quante-sept ans, et Molière quarante. Quant à Boileau et à Racine, en
1677
le roi les nomma ses histioriographes aux appoint
ne, en 1677 le roi les nomma ses histioriographes aux appointemens de
six
mille francs, et les chargea d’un travail auquel
en 1677 le roi les nomma ses histioriographes aux appointemens de six
mille
francs, et les chargea d’un travail auquel ils ét
acine se contenta de faire sa cour, et d’abandonner la poésie pendant
dix
ans, entre Phèdre et Esther. Boileau fit l’ode su
CHAPITRE
VIII
. Du Genre gracieux. Ce genre, accrédité par l
PITRE VIII. Du Genre gracieux. Ce genre, accrédité par les Graces
17
& par Zénéide 18, qui sont en effet deux peti
gracieux. Ce genre, accrédité par les Graces 17 & par Zénéide
18,
qui sont en effet deux petits chefs-d’œuvre dans
, accrédité par les Graces 17 & par Zénéide 18, qui sont en effet
deux
petits chefs-d’œuvre dans leur espece ; ce genre,
enouvellant sous les yeux du spectateur la Nativité de notre Seigneur
19.
Ils introduisirent sur la scene les Bergers de Be
storales qu’on ait faites dans ce genre. CHARLOT, Eglogue pastorale à
onze
personnages, sur les miseres de la France, &
e & très illustre Prince Monseigneur le Duc de Guise, imprimée en
1592.
Deux Bergers se rappellent successivement le bonh
; très illustre Prince Monseigneur le Duc de Guise, imprimée en 1592.
Deux
Bergers se rappellent successivement le bonheur d
Beliard, grand partisan des Guises, comme on le voit : elle parut en
1592.
On conviendra que pour le temps elle est très bie
éressant. L’Auteur peut se flatter d’avoir heureusement imité Virgile
20.
Mais une églogue, quelque excellente qu’elle soit
ons prendre un exemple dans un temps bien reculé. MYLAS, Pastorale en
cinq
actes, en vers, par Claude Bassecourt, imprimée e
Pastorale en cinq actes, en vers, par Claude Bassecourt, imprimée en
1594.
PROLOGUE. L’Amour déguisé en berger vante son pou
en 1594. PROLOGUE. L’Amour déguisé en berger vante son pouvoir. ACTE
I
. Les Bergeres Daphné & Mylas s’entretiennent
oureux d’elle, & à ne se livrer qu’aux plaisirs de la chasse. Ces
deux
Bergeres se retirent ; & Cloris, qui arrive a
la toucher. Tyrse lui promet son secours & celui de Daphné. ACTE
II
. Un Satyre, qui est aussi amoureux de Mylas, pers
, & que Cloris ira lui parler lorsqu’elle sera dans le bain. ACTE
III
. Mylas dépouillée de tous ses vêtements, est prê
rée par un loup : Cloris s’échappe pour aller se donner la mort. ACTE
IV
. Mylas reparoît, & raconte comment elle s’es
des larmes : elle va avec Daphné chercher le corps de son amant. ACTE
V.
Cloris avoit été retenu par des broussailles, &a
ntchrestien22, en prose & à vingt-un personnages, jouée vers l’an
1618.
Cupidon, fatigué de ses grandes occupations, s’é
ger. En même temps l’on dévoile le sens d’un oracle qui destinoit ces
deux
amants l’un à l’autre, & ils s’épousent. Fort
s Graces, lui ressemble cependant beaucoup. L’Amour, fugitif dans les
deux
pieces, s’amuse à séduire les Nymphes de Diane. V
reusement, de la Matinée à la mode, du Tour du Carnaval, donna il y a
trois
ans une piece dans le genre gracieux, intitulée H
le théâtre de la Comédie Italienne, la fameuse églogue de Fontenelle
23,
intitulée Thémire. Ses vers les plus heureux étoi
mais j’ai prouvé que l’un lui a fait faire un pas en arriere, l’autre
deux
: & comme en toutes choses le premier pas est
t nos Ancêtres ou les étrangers rougissent ; mais je serai discret.
17.
Petite piece en un acte & en prose, de M. de
en un acte & en prose, de M. de Saint-Foix : elle est charmante.
18.
Comédie en un acte & en vers, représentée le
est charmante. 18. Comédie en un acte & en vers, représentée le
13
Mai 1743 : elle est de M. de Cahusac, Ecuyer, Sec
armante. 18. Comédie en un acte & en vers, représentée le 13 Mai
1743
: elle est de M. de Cahusac, Ecuyer, Secrétaire d
Ecuyer, Secrétaire de Monseigneur le Comte de Clermont. Il mourut en
1759.
19. On voit dans l’ancien théâtre plusieurs piec
, Secrétaire de Monseigneur le Comte de Clermont. Il mourut en 1759.
19.
On voit dans l’ancien théâtre plusieurs pieces so
19. On voit dans l’ancien théâtre plusieurs pieces sous ce titre.
20.
Publius Maro Virgile, Poëte Latin, né dans un vi
ëte Latin, né dans un village près de Mantoue, de parents obscurs, le
15
Octobre de l’an 70 avant Jésus-Christ, & mort
un village près de Mantoue, de parents obscurs, le 15 Octobre de l’an
70
avant Jésus-Christ, & mort à Brindes en Calab
re de l’an 70 avant Jésus-Christ, & mort à Brindes en Calabre, le
22
Septembre de l’an 19 avant la même époque : il ét
ésus-Christ, & mort à Brindes en Calabre, le 22 Septembre de l’an
19
avant la même époque : il étoit âgé de 52 ans. On
re, le 22 Septembre de l’an 19 avant la même époque : il étoit âgé de
52
ans. On mit sur son tombeau ces deux vers qu’il a
t la même époque : il étoit âgé de 52 ans. On mit sur son tombeau ces
deux
vers qu’il avoit lui-même composés : Mantua me g
. Mantoue me donna la vie, Brindes la mort, Naples la sépulture ».
21.
Cette Pastorale est une imitation du Pastor fido
21. Cette Pastorale est une imitation du Pastor fido de Guarini.
22.
Antoine de Montchrestien, sieur de Vasteville, n
domestique : ils mirent l’épée à la main, & n’ayant pu résister à
trois
personnes, il fut laissé pour mort sur la place ;
l fut laissé pour mort sur la place ; mais en étant revenu, il obtint
douze
mille livres de dommages. Il épousa ensuite secrè
laissé pour mort sur la place ; mais en étant revenu, il obtint douze
mille
livres de dommages. Il épousa ensuite secrètement
amp; des soldats pour le prendre : il se défendit courageusement, tua
deux
gentilshommes, un soldat, & fut enfin tué lui
aie, à avoir les membres rompus, & à être ensuite jetté au feu.
23.
Bernard le Bovier de Fontenelle, célebre Ecrivai
Ecrivain du dix-septieme & du dix-huitieme siecle, né à Rouen le
11
Février 1657, de François le Bovier, Avocat au Pa
u dix-septieme & du dix-huitieme siecle, né à Rouen le 11 Février
1657,
de François le Bovier, Avocat au Parlement de Rou
p; de Marthe Corneille, sœur du grand Corneille. Il mourut à Paris le
9
Janvier 1757, à cent ans moins un mois deux jours
he Corneille, sœur du grand Corneille. Il mourut à Paris le 9 Janvier
1757,
à cent ans moins un mois deux jours. Il avoit été
ille, sœur du grand Corneille. Il mourut à Paris le 9 Janvier 1757, à
cent
ans moins un mois deux jours. Il avoit été reçu d
neille. Il mourut à Paris le 9 Janvier 1757, à cent ans moins un mois
deux
jours. Il avoit été reçu de l’Académie Françoise
oins un mois deux jours. Il avoit été reçu de l’Académie Françoise le
5
Mai 1691 ; & lors du renouvellement de l’Acad
n mois deux jours. Il avoit été reçu de l’Académie Françoise le 5 Mai
1691
; & lors du renouvellement de l’Académie des
Mai 1691 ; & lors du renouvellement de l’Académie des Sciences en
1699,
il eut la place de Secrétaire de cette Académie,
l eut la place de Secrétaire de cette Académie, qu’il remplit pendant
quarante-deux
ans. Il étoit aussi de l’Académie des Inscription
de college, se trouvant à Rouen dans le besoin, lui écrit : vous avez
mille
écus, envoyez-les-moi. Il lui répondit : J’allois
s avez mille écus, envoyez-les-moi. Il lui répondit : J’allois placer
mille
écus ; je ne croyois pas trouver une aussi bonne
ie devant moi mes grands équipages. Nulle maladie ne précéda sa mort.
Neuf
jours avant, il sentit une diminution considérabl
Chapitre
XI
De 1640 à 1650 (5e période.) — Guirlande de Ju
Chapitre XI De
1640
à 1650 (5e période.) — Guirlande de Julie en 1641
Chapitre XI De 1640 à
1650
(5e période.) — Guirlande de Julie en 1641. — Mar
Chapitre XI De 1640 à 1650 (
5e
période.) — Guirlande de Julie en 1641. — Mariage
Chapitre XI De 1640 à 1650 (5e période.) — Guirlande de Julie en
1641.
— Mariage de Julie de Rambouillet avec le duc de
1641. — Mariage de Julie de Rambouillet avec le duc de Montausier en
1645
— Pertes éprouvées par la marquise de Rambouillet
rès que le duc de Montausier eut demandé sa main, elle le fit languir
treize
ans, le soumit à toutes les épreuves imposées aux
, dont mademoiselle de Scudéry n’eut l’idée et ne publia la carte que
dix
ans plus tard. Ils en font, en un mot, une mijaur
et de la vertu ? À l’époque de son mariage, Montausier avait à peine
trente-cinq
ans ; depuis l’âge de vingt ans, il était au serv
n mariage, Montausier avait à peine trente-cinq ans ; depuis l’âge de
vingt
ans, il était au service et engagé dans des guerr
dans des guerres successives, en Italie, en Lorraine, en Alsace ; en
1638,
parvenu au grade de maréchal de camp, bien qu’âgé
1638, parvenu au grade de maréchal de camp, bien qu’âgé seulement de
vingt-huit
ans, il fut nommé gouverneur de l’Alsace, provinc
ourage du guerrier au tarent et à la sagesse de l’administrateur ; en
1638,
il se signala au siège de Brissac ; revenu à Pari
il se signala au siège de Brissac ; revenu à Paris pendant l’hiver de
1641,
il fut rappelé à l’ouverture de la campagne par G
échal, qui avait une grande confiance en Montausier, ayant été tué en
1643,
celui-ci fut fait prisonnier, peu de temps après,
ps après, à la déroute de Dillingen ; il ne recouvra la liberté qu’en
1644
; alors enfin il lui restait encore un obstacle à
er était calviniste ; il lui fallut le temps d’abjurer ; il abjura en
1645,
âgé de trente-cinq ans, comme je l’ai dit, et alo
iniste ; il lui fallut le temps d’abjurer ; il abjura en 1645, âgé de
trente-cinq
ans, comme je l’ai dit, et alors il épousa Julie,
ente-cinq ans, comme je l’ai dit, et alors il épousa Julie, qui avait
trois
ans plus que lui. Voilà l’histoire de son mariage
qu’on en raconte. Ce fut pendant son séjour à Paris, dans l’hiver de
1641,
que le marquis de Montausier fit à Julie cette fa
eur de la chapelle du roi, un madrigal qui se rapporte à cette fleur.
Dix-huit
auteurs ont concouru à l’œuvre poétique, savoir :
Martin, Gombeau, Godeau, le marquis de Briote, Montmor, Desmarets et
deux
anonymes. Le volume qui contient cette guirlande,
tte guirlande, célèbre sous le nom de Guirlande de Julie, a été vendu
14
510 francs à la vente de M. de La Vallière, il y
guirlande, célèbre sous le nom de Guirlande de Julie, a été vendu 14
510
francs à la vente de M. de La Vallière, il y a qu
ie, a été vendu 14 510 francs à la vente de M. de La Vallière, il y a
quarante
ans. Cet hommage du marquis de Montausier était-i
a violette ; mais toutes paient un tribut plus ou moins flatteur. Les
dix-huit
noms propres qui s’étaient associés aux noms de c
biographes modernes lui ont faites, des traits lancés par Molière en
1650
contre Les Précieuses ridicules. Il est certain q
amilles de la capitale. Le duc et la duchesse de Montausier passèrent
deux
années à Paris et dans l’hôtel de Rambouillet, ap
Paris et dans l’hôtel de Rambouillet, après leur mariage. Mais, vers
1648,
cette guerre de la Fronde étant près d’éclater, M
Condé et sa sœur qu’il aimait, mais en qui il voyait des rebelles. En
1648,
il se rendit avec madame de Montausier dans son g
is pour contenir les habitants dans l’obéissance ; il y réussit35. En
1649,
il revint quelques mois à Paris, pour des affaire
blessures pour la cause royale ; il ne revint dans la capitale qu’en
1653,
après la pacification de la guerre civile. Madame
élaissée. Dirai-je que la mort de Voiture, arrivée dans la même année
1648,
cette mort pour laquelle l’Académie française ava
ait pris le deuil, fit aussi un vide dans l’hôtel de Rambouillet ? En
1652,
après la guerre de la Fronde, Madame de Rambouill
En 1652, après la guerre de la Fronde, Madame de Rambouillet, âgée de
72
ans, fut accablée de chagrins. Quelques années av
second fils, mort de la peste entre ses bras. Elle perdit son mari en
1653.
En 1654 elle perdit son fils ainé, tué à l’âge de
ls, mort de la peste entre ses bras. Elle perdit son mari en 1653. En
1654
elle perdit son fils ainé, tué à l’âge de 31 ans,
t son mari en 1653. En 1654 elle perdit son fils ainé, tué à l’âge de
31
ans, à la bataille de Nortlingen. Enfin, en 1658,
s ainé, tué à l’âge de 31 ans, à la bataille de Nortlingen. Enfin, en
1658,
elle se sépara de sa plus jeune fille, mariée ave
ous ses malheurs, Tu n’auras qu’à compter les moments de sa vie. Dès
1645
donc, le temps était venu où cette femme respecta
l’espèce de personnes qu’il désigne, le mot précieuse. Ce fut entre
1645
et 1648 que se formèrent ces nouvelles sociétés c
e de personnes qu’il désigne, le mot précieuse. Ce fut entre 1645 et
1648
que se formèrent ces nouvelles sociétés composées
rir et se faire remarquer, prendre un nom et s’attirer tout à la fois
deux
réprobations, de deux côtés opposés, celle des mœ
uer, prendre un nom et s’attirer tout à la fois deux réprobations, de
deux
côtés opposés, celle des mœurs dominantes ou des
e vertu. » C’est ainsi que s’exprimait Petit dans la Ve de Montausier
36.
Fléchier a parlé avec le même respect de l’hôtel
uillet. « L’hôtel de Rambouillet », dit-il dans une note sur Dangeau (
10
mai 1690), « était dans Paris une espèce d’académ
« L’hôtel de Rambouillet », dit-il dans une note sur Dangeau (10 mai
1690
), « était dans Paris une espèce d’académie de bea
ur le moins que sur les ouvrages qui s’y portaient à l’examen37. »
35.
Vie de Montausier, par le sieur Petit. T. I, p.
men37. » 35. Vie de Montausier, par le sieur Petit. T. I, p. 99.
36.
T. I, p. 48. 37. Saint-Simon reconnaît en M. de
e de Montausier, par le sieur Petit. T. I, p. 99. 36. T. I, p. 48.
37.
Saint-Simon reconnaît en M. de Montausier une ver
ieux lot de notre patrimoine commun. Corneille, Racine, Molière ! Ces
trois
noms, depuis notre enfance, sont logés dans notre
, depuis notre enfance, sont logés dans notre cervelle, comme ceux de
trois
demi-dieux particuliers à notre pays ; sur un ray
que, par lequel notre nation excelle entre toutes, se perpétue depuis
deux
siècles. Il y a cinq ans déjà, cette maison a fêt
nation excelle entre toutes, se perpétue depuis deux siècles. Il y a
cinq
ans déjà, cette maison a fêté le deux-centième an
des plus vénérables : un écho y répète, selon l’ordonnance royale du
21
octobre 1680, des paroles inspirées par le plus p
énérables : un écho y répète, selon l’ordonnance royale du 21 octobre
1680,
des paroles inspirées par le plus pur esprit de n
e cette émotion soit une duperie ; on sent que, du haut de ce balcon,
quarante
chefs-d’œuvre au moins contemplent la foule : ah
regarde la Comédie ! Cependant, un matin, on a la sur son almanach :
6
juin, naissance de Corneille, « Oh ! oh ! s’est-o
et le Cid ; ici et là, un vieil à-propos : Corneille et Richelieu, et
trois
actes du Menteur ; avant Le Menteur, à Paris, M.
êtent Corneille à la rouennaise. Aussi bien, c’était chose réglée dès
1881,
et peut-être avant : Corneille naît, Corneille me
s ? Plus de Corneille : disparu, oublié. Du moins, ce soir, entre les
deux
pièces, voici annoncé un à-propos tout neuf : Pou
moins, ce soir, entre les deux pièces, voici annoncé un à-propos tout
neuf
: Pour Corneille, de M. François Fabié. On se ren
aux gens : « Vous ne savez pas ce que vous avez perdu à ne pas mourir
deux
cents ans plus tard ; » mais ne les honorer que p
ens : « Vous ne savez pas ce que vous avez perdu à ne pas mourir deux
cents
ans plus tard ; » mais ne les honorer que par ce
l’année qu’ils s’y montraient. Combien de représentations, depuis le
1er
janvier jusqu’au 1er juin, en cinq mois entiers,
ontraient. Combien de représentations, depuis le 1er janvier jusqu’au
1er
juin, en cinq mois entiers, le Cid a-t-il obtenue
mbien de représentations, depuis le 1er janvier jusqu’au 1er juin, en
cinq
mois entiers, le Cid a-t-il obtenues ? Deux. Et P
ier jusqu’au 1er juin, en cinq mois entiers, le Cid a-t-il obtenues ?
Deux
. Et Polyeucte ? Une seule. Il est vrai que, l’ann
ule. Il est vrai que, l’année précédente, le Cid avait poussé jusqu’à
dix
, ainsi que le Menteur, et Polyeucte jusqu’à huit
avait poussé jusqu’à dix, ainsi que le Menteur, et Polyeucte jusqu’à
huit
; Horace déjà s’était tenu à une. Mais Cinna ? Da
jusqu’à huit ; Horace déjà s’était tenu à une. Mais Cinna ? Dans ces
dix-sept
mois, il est comme s’il n’était pas. Mais Pompée
de ou Don Sanche ? Des noms, en effet, voilà ce que sont devenues ces
trois
pièces ; mais, pour des réalités, comment s’étonn
celui-ci, son affaire est nette. Combien de représentations depuis le
1er
janvier ? Zéro. Vous lisez bien : zéro. Et en 188
entations depuis le 1er janvier ? Zéro. Vous lisez bien : zéro. Et en
1884
? Cinq de Britannicus, trois de Phèdre, autant d’
ns depuis le 1er janvier ? Zéro. Vous lisez bien : zéro. Et en 1884 ?
Cinq
de Britannicus, trois de Phèdre, autant d’Iphigén
ier ? Zéro. Vous lisez bien : zéro. Et en 1884 ? Cinq de Britannicus,
trois
de Phèdre, autant d’Iphigénie : c’est tout. Mais
e-Française : nous voulons les croire ; quelle preuve de respect ! En
1872,
lors du début de M. Mounet-Sully, dans le rôle d’
nt le lever du rideau, je me rappelle avoir entendu ce dialogue entre
deux
spectateurs du parterre : « Sais-tu ce que c’est
ficile avant peu de trou ver dans le parterre de la Comédie-Française
deux
spectateurs aussi bien renseignés sur une tragédi
roi, de Sophocle, traduit par M. Jules Lacroix, qui a été représenté
deux
fois en 1884. Honnis cela, depuis dix-sept mois,
ocle, traduit par M. Jules Lacroix, qui a été représenté deux fois en
1884.
Honnis cela, depuis dix-sept mois, pour rencontre
Lacroix, qui a été représenté deux fois en 1884. Honnis cela, depuis
dix-sept
mois, pour rencontrer autre chose qu’une comédie,
de tout ce qu’a perdu le tragique. Nous avons dit que Le Menteur, en
1884,
avait été joué dix fois : c’est bon signe. Cette
u le tragique. Nous avons dit que Le Menteur, en 1884, avait été joué
dix
fois : c’est bon signe. Cette année déjà, comme l
témoignage plus favorable, sinon nous demanderons comment L’Avare, en
dix-sept
mois, a mérité seize représentations et le Misant
e, sinon nous demanderons comment L’Avare, en dix-sept mois, a mérité
seize
représentations et le Misanthrope seulement neuf,
sept mois, a mérité seize représentations et le Misanthrope seulement
neuf
, Les Femmes savantes six, Tartufe et Amphitryon c
représentations et le Misanthrope seulement neuf, Les Femmes savantes
six
, Tartufe et Amphitryon cinq ; pourquoi L’École de
thrope seulement neuf, Les Femmes savantes six, Tartufe et Amphitryon
cinq
; pourquoi L’École des femmes, produite sept fois
e des femmes, produite sept fois l’année dernière, et les Précieuses,
deux
fois seulement, n’ont pas encore paru cette année
paru cette année. Nous demanderons surtout ce qu’on attend, depuis le
1er
janvier 1884, — sans regarder plus en arrière, —
nnée. Nous demanderons surtout ce qu’on attend, depuis le 1er janvier
1884,
— sans regarder plus en arrière, — pour se souven
ce compte, pourra envier Regnard : on a joué Le Mariage de Figaro en
1884,
on l’a même joué dix-huit fois, et déjà trois foi
er Regnard : on a joué Le Mariage de Figaro en 1884, on l’a même joué
dix-huit
fois, et déjà trois fois en 1885 ; mais du Barbie
Le Mariage de Figaro en 1884, on l’a même joué dix-huit fois, et déjà
trois
fois en 1885 ; mais du Barbier, point de nouvelle
Figaro en 1884, on l’a même joué dix-huit fois, et déjà trois fois en
1885
; mais du Barbier, point de nouvelles ! Quant à c
die ? Scribe, avec Bertrand et Raton et Bataille de dames, l’un donné
dix-neuf
fois l’an dernier et l’autre dix-sept, — en ce po
t Bataille de dames, l’un donné dix-neuf fois l’an dernier et l’autre
dix-sept
, — en ce point, ne nous plaignons pas de la chich
s morts qui se dressent, à consulter les annales de la Comédie depuis
dix-sept
mois, entre Molière ou Marivaux et M. Dumas fils
complète des ouvrages représentés au Théâtre-Français depuis un an et
cinq
mois (nous avons omis seulement de nommer quelque
La Duchesse Martin, de M. Meilhac ; Denise, de M. Dumas fils ; enfin
trois
à-propos : Maître et Valets, le Centenaire de Fig
ro, Racine à Port-Royal. Voilà décidément tout ce qui a tenu, pendant
deux
hivers, deux printemps, un été, un automne, entre
Port-Royal. Voilà décidément tout ce qui a tenu, pendant deux hivers,
deux
printemps, un été, un automne, entre les muraille
s d’une pièce nouvelle : comment faire que Le Député de Bombignac, en
1884,
n’atteigne pas cinquante-sept représentations, et
e : comment faire que Le Député de Bombignac, en 1884, n’atteigne pas
cinquante-sept
représentations, et la Duchesse Martin cinquante-
n’atteigne pas cinquante-sept représentations, et la Duchesse Martin
cinquante-deux
? Que Denise, dans le commencement de cette année
Denise, dans le commencement de cette année, ne s’élance pas jusqu’à
soixante-neuf
? Sur la rive gauche, ces accidens sont rares. Po
gauche, ces accidens sont rares. Pour Severo Torelli, qui va jusqu’à
cent
six, pour le Bel Armand qui touche à soixante et
he, ces accidens sont rares. Pour Severo Torelli, qui va jusqu’à cent
six
, pour le Bel Armand qui touche à soixante et une,
ero Torelli, qui va jusqu’à cent six, pour le Bel Armand qui touche à
soixante
et une, combien d’essais malheureux comme La Fami
Sarah Moore ! Ce n’est même pas L’Exil d’Ovide ni Le Mari qui, depuis
deux
ans, auront bouché la voie aux classiques : voyon
inée de ces grands hommes dans les derniers exercices, — de septembre
1883
à juin 1884, et de septembre 1884 à juin 1885. Da
grands hommes dans les derniers exercices, — de septembre 1883 à juin
1884,
et de septembre 1884 à juin 1885. Dans la premièr
derniers exercices, — de septembre 1883 à juin 1884, et de septembre
1884
à juin 1885. Dans la première de ces périodes, co
ercices, — de septembre 1883 à juin 1884, et de septembre 1884 à juin
1885.
Dans la première de ces périodes, combien de trag
sent poindre ils reviennent de loin ; c’est déjà beau qu’ils arrivent
trois
; ne demandons pas quand suivra le reste. Est-ce
vra le reste. Est-ce donc que les demi-dieux se réjouissent du nombre
trois
: Phèdre, Andromaque, Bérénice, voilà toute la pa
rois : Phèdre, Andromaque, Bérénice, voilà toute la part de Racine en
1883-84
; à quoi il convient d’ajouter, en 1884-85, Andro
toute la part de Racine en 1883-84 ; à quoi il convient d’ajouter, en
1884-85,
Andromaque derechef et Athalie. Les classiques se
rié). — J’omets, comme étrangère, une pièce traduite de Kotzebue, Les
Deux
Frères. — Voilà quel gros de comiques sépare les
ntage. Le Testament de César Girodot se serait contenté assurément de
dix
représentations, l’année dernière, ou L’Ami Fritz
ssurément de dix représentations, l’année dernière, ou L’Ami Fritz de
douze
, ou Les Pattes de mouches de trente et une, ou Le
’année dernière, ou L’Ami Fritz de douze, ou Les Pattes de mouches de
trente
et une, ou Le Monde où l’on s’ennuie de dix-neuf,
s Pattes de mouches de trente et une, ou Le Monde où l’on s’ennuie de
dix-neuf
, pour céder une soirée à Rodogune, à Bajazet, à D
à Don Juan ou aux Fausses Confidences ; le Bougeoir se serait tenu à
quarante-deux
, pour laisser une petite place au Legs ou à La Cr
de. Le Bourgeois gentilhomme, au Théâtre-Français, est remis à flot :
dix
fois il attire la foule. Dix fois aussi Le Légata
au Théâtre-Français, est remis à flot : dix fois il attire la foule.
Dix
fois aussi Le Légataire : et quels éclats de rire
outer une tragédie, fût-ce La Fille de Roland, il est convenu, depuis
1870,
chez les classes dirigeantes, que c’est contribue
onner des chefs-d’œuvre ? Ils les accepteraient aussi bien. Enfin, si
deux
couches de la société aussi distantes, ici et là,
Bourgeois gentilhomme, Le Légataire, pour ne citer à nouveau que ces
trois
-là, nous répondent heureusement de l’humeur de to
Mlle Hadamard, avec des mérites différens, est la Dudlay de l’Odéon ;
M
"" Barthélémy, Caristie Martel, Antonia Laurent, B
ervatoire de déclamation dirigé par un compositeur de musique. Il y a
deux
ans déjà, nous avons signalé le mal : s’aperçoit-
est pas prochainement réformé, je refuse l’impôt. Louis GANDERAX.
1.
Ou l’on consulte les Annales du théâtre et de la
Chapitre
IX
De 1629 à 1640, 4e période. — État et mœurs de
Chapitre IX De
1629
à 1640, 4e période. — État et mœurs de la cour, v
Chapitre IX De 1629 à
1640,
4e période. — État et mœurs de la cour, vers 1630
Chapitre IX De 1629 à 1640,
4e
période. — État et mœurs de la cour, vers 1630. —
re IX De 1629 à 1640, 4e période. — État et mœurs de la cour, vers
1630.
— Composition de la société de Rambouillet. — Mon
cès des impôts. Il fait trancher la tête à de Thou et à Cinq-Mars. En
dix
années il parvient au faite du pouvoir, et meurt.
aménités de la vie civilisée. Dans la période que nous parcourons de
1630
à 1640, l’accroissement de la société de Rambouil
s de la vie civilisée. Dans la période que nous parcourons de 1630 à
1640,
l’accroissement de la société de Rambouillet prou
va l’éloignement que la terreur avait inspiré pour la cour. On vit en
1635,
entre les femmes qui se jetèrent dans cette socié
uis l’héroïne de la Fronde sous le nom de duchesse de Longueville. En
1635,
elle n’avait que dix-sept ans32. Dans le même tem
nde sous le nom de duchesse de Longueville. En 1635, elle n’avait que
dix-sept
ans32. Dans le même temps parut aussi à l’hôtel d
a comtesse de la Suze, du même âge que mademoiselle de Bourbon-Condé,
dix-sept
ans. Boileau trouvait ses élégies d’un agrément i
confondre avec Madeleine de Scudéry, sœur de ce même Georges, née en
1607,
comme nous l’avons vu, et âgée de vingt-huit ans
ur de ce même Georges, née en 1607, comme nous l’avons vu, et âgée de
vingt-huit
ans en 1635. Madame de Scudéry était beaucoup plu
ges, née en 1607, comme nous l’avons vu, et âgée de vingt-huit ans en
1635.
Madame de Scudéry était beaucoup plus jeune et a
e mariage de mademoiselle de Rambouillet et la mort de Louis XIII, en
1643
: elle fut jusque-là accueillie à l’hôtel de Ramb
s quelque avantage pour elle-même33. Au commencement de la période de
1630
à 1640, la société de Rambouillet recul avec ses
ue avantage pour elle-même33. Au commencement de la période de 1630 à
1640,
la société de Rambouillet recul avec ses anciens
l’instant, Costar, Sarrazin, Conrart, Mairet, Patru, Godeau, âgés de
vingt-cinq
à trente ans. En 1628, elle avait perdu Malherbe,
ostar, Sarrazin, Conrart, Mairet, Patru, Godeau, âgés de vingt-cinq à
trente
ans. En 1628, elle avait perdu Malherbe, âgé de s
, Conrart, Mairet, Patru, Godeau, âgés de vingt-cinq à trente ans. En
1628,
elle avait perdu Malherbe, âgé de soixante-treize
e vingt-cinq à trente ans. En 1628, elle avait perdu Malherbe, âgé de
soixante-treize
ans. Mais à peu près dans le même temps elle reçu
e temps elle reçut Pierre Corneille, dont la vie poétique commença en
1625
par la comédie de Mélite dont nous avons parlé. I
par la comédie de Mélite dont nous avons parlé. Il était alors âgé de
19
ans. Entre 1630 et 1635, viennent Rotrou, Scarron
de Mélite dont nous avons parlé. Il était alors âgé de 19 ans. Entre
1630
et 1635, viennent Rotrou, Scarron, Benserade, Sai
te dont nous avons parlé. Il était alors âgé de 19 ans. Entre 1630 et
1635,
viennent Rotrou, Scarron, Benserade, Saint-Évremo
rleval, Ménage, plus jeunes de quelques années que les précédents. En
1631,
parut à l’hôtel de Rambouillet le duc de la Roche
31, parut à l’hôtel de Rambouillet le duc de la Rochefoucauld, âgé de
18
ans. Enfin, dans le même temps, on y voit le marq
voit le marquis de Salle, qui fut depuis le duc de Montausier, âgé de
21
ans. C’est une époque dans l’histoire de l’hôtel
qui l’habitaient, et émousse bien des épigrammes. Nous avons vu qu’en
1631,
la peste régna à Paris ; que madame de Rambouille
me de Rambouillet y perdit son second fils, le vidame du Mans, âgé de
7
ans, et qu’elle et sa fille Julie, alors âgée de
me du Mans, âgé de 7 ans, et qu’elle et sa fille Julie, alors âgée de
24
ans, ne quittèrent le malade que quand la mort lu
te, des esprits subalternes, mais obséquieux. On les appelait, il y a
soixante
ans, des espèces. Voltaire avait son P. Adam, qui
du roi, prédicateur de la cour, ses sermons furent suivis avec ardeur
quinze
carêmes de suite. L’estime de Montausier pour lui
i qu’elle n’avait jamais occasion de lui donner de semblables avis.
32.
Septembre 1640. Lettre de Voiture à mademoiselle
ait jamais occasion de lui donner de semblables avis. 32. Septembre
1640.
Lettre de Voiture à mademoiselle de Rambouillet,
urbon. Il la prie de faire que Leurs Altesses se souviennent de lui.
33.
Il paraît que les romans qu’elle fit plus tard lu
elle fit plus tard lui étaient nécessaires pour vivre. (Biographie.)
34.
Note de Voltaire, sur son épître à Boileau.
CHAPITRE
IV
. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés ave
hapitre : nous ne ferons pas des recherches pour découvrir lequel des
deux
travailloit aux plans ou aux détails, nous dirons
dirons seulement qu’ils furent heureux lorsqu’ils résolurent d’imiter
deux
ouvrages auxquels ils doivent leur gloire la plus
le Muet. L’AVOCAT PATELIN. Cette comédie avoit été faite l’année
1700
pour être représentée devant le Roi par les princ
angea sa destinée. Elle fut jouée sur le théâtre françois le vendredi
4
Juin 1706 ; elle eut sept représentations : elle
a destinée. Elle fut jouée sur le théâtre françois le vendredi 4 Juin
1706
; elle eut sept représentations : elle tomba dans
tomba dans les regles à la cinquieme, & ne valut aux acteurs que
75
livres 7 sols. Elle est tirée d’une farce jouée l
s les regles à la cinquieme, & ne valut aux acteurs que 75 livres
7
sols. Elle est tirée d’une farce jouée l’an 1470,
x acteurs que 75 livres 7 sols. Elle est tirée d’une farce jouée l’an
1470,
& qui décele le plus grand génie dans son Aut
uillemette, femme de Patelin, lui dit que son époux est malade depuis
six
semaines. Le faux malade paroît, feint d’avoir le
faux malade paroît, feint d’avoir le transport au cerveau, & fait
mille
folies qui déconcertent le marchand. Guillaume es
e voleur de son drap ; ses idées se confondent ; il parle toujours de
six
aunes de mouton : ses coq-à-l’âne & les bées
: ses coq-à-l’âne & les bées du berger persuadent au Juge que les
deux
parties sont folles ; il les met hors de cour. Pa
ond bée, & prend la fuite. Extrait de la Piece moderne. Acte
I
. Patelin tout déguenillé forme le dessein de se d
cte I. Patelin tout déguenillé forme le dessein de se donner un habit
neuf
: ses haillons rebuteroient les partis qui pourro
qu’il est difficile d’être honnête homme lorsqu’on est pauvre. Acte
II
. M. Guillaume va frapper à la porte de Patelin, &
e depuis long-temps. Patelin vient lui-même confirmer le mensonge par
mille
extravagances, il fait prendre la fuite à son cré
ordonne de répondre bée à toutes les questions qu’on lui fera. Acte
III
. Bartholin Juge donne audience, Agnelet y paroît
se cache le visage : le marchand le reconnoît, fait un galimatias de
six
aunes de mouton, de six vingts draps, de trente é
marchand le reconnoît, fait un galimatias de six aunes de mouton, de
six
vingts draps, de trente écus couleur de marron. O
t, fait un galimatias de six aunes de mouton, de six vingts draps, de
trente
écus couleur de marron. On le croit fou ; on inte
ls avec la fille de Patelin ; il signe en enrageant. Comparaison des
deux
expositions. Dans la farce, Patelin se détermine
faire jouer les ressorts de son imagination pour se procurer un habit
neuf
. Dans la piece moderne, Patelin a le même projet
ccès de ses ruses, le bonheur de sa fille en dépend. Comparaison des
deux
intrigues. Le fonds de l’intrigue est le même da
ison des deux intrigues. Le fonds de l’intrigue est le même dans les
deux
pieces. Mais ici l’amour d’Henriette & de Val
vaille de concert avec Colette au bonheur des amants. Les Scenes des
deux
pieces comparées. Les principales scenes des deu
s. Les Scenes des deux pieces comparées. Les principales scenes des
deux
ouvrages sont celles où Patelin cajole M. Guillau
urs modernes, M. Guillaume n’entre pas en matiere si facilement. ACTE
I
. Scene V. PATELIN, M. GUILLAUME. Patelin. Bon
le voilà seul : approchons. M. Guillaume. Compte du troupeau, &c.
six
cents bêtes, &c. Patelin, à part. Voilà une p
oilà seul : approchons. M. Guillaume. Compte du troupeau, &c. six
cents
bêtes, &c. Patelin, à part. Voilà une piece d
. Non, monsieur ; c’est au contraire feu mon pere qui devoit au vôtre
trois
cents écus ; &, comme je suis homme d’honneur
monsieur ; c’est au contraire feu mon pere qui devoit au vôtre trois
cents
écus ; &, comme je suis homme d’honneur, je v
; & je viens savoir quand vous serez de commodité de recevoir vos
trois
cents écus. M. Guillaume. Tout-à-l’heure. Patelin
; je viens savoir quand vous serez de commodité de recevoir vos trois
cents
écus. M. Guillaume. Tout-à-l’heure. Patelin. J’ai
ompte en forme. M. Guillaume. Cela est juste. Hé bien, demain matin à
cinq
heures. Patelin. A cinq heures, soit. J’ai peut-ê
aume. Cela est juste. Hé bien, demain matin à cinq heures. Patelin. A
cinq
heures, soit. J’ai peut-être mal pris mon temps,
t plus tenace ; Patelin a beaucoup plus de peine à s’en défaire. ACTE
II
. Scene III. . . . . . . . . . M. Guillaume. Oh !
e payer qu’avec son mot, c’est-à-dire, en disant bée. Les détails des
deux
pieces sont à-peu-près les mêmes, excepté dans la
’est souvenu de la fable Du corbeau qui estoit assis Sur une croix de
cinq
à six Toises de haut ; lequel tenoit Un fromaige
uvenu de la fable Du corbeau qui estoit assis Sur une croix de cinq à
six
Toises de haut ; lequel tenoit Un fromaige au bec
t de ne pas introduire la fable dans leur piece. Les dénouements des
deux
pieces comparés. Dans la farce de Blanchet, Agne
lin. Cela est juste. Patelin. Oui, en me payant un dédit qui contient
dix
mille écus. M. Guillaume. Dix mille écus ! Il fau
Cela est juste. Patelin. Oui, en me payant un dédit qui contient dix
mille
écus. M. Guillaume. Dix mille écus ! Il faut bien
Oui, en me payant un dédit qui contient dix mille écus. M. Guillaume.
Dix
mille écus ! Il faut bien par force que je laisse
en me payant un dédit qui contient dix mille écus. M. Guillaume. Dix
mille
écus ! Il faut bien par force que je laisse la ch
orce que je laisse la chose comme elle est : mais vous me paierez les
trois
cents écus de votre pere. Patelin. Oui, en m’appo
ue je laisse la chose comme elle est : mais vous me paierez les trois
cents
écus de votre pere. Patelin. Oui, en m’apportant
in. Oui, en m’apportant son billet. M. Guillaume. Son billet ! Et mes
six
aunes de drap ? Patelin. C’est le présent de noce
euve plus fort vendeur. Ce trompeur-là est bien bec jaune, Quand pour
vingt
& quatre sols l’aulne, A prins drap qui n’en
rt vendeur. Ce trompeur-là est bien bec jaune, Quand pour vingt &
quatre
sols l’aulne, A prins drap qui n’en vaut pas ving
pour vingt & quatre sols l’aulne, A prins drap qui n’en vaut pas
vingt
. Guillaume veut duper Patelin ; Patelin le vole
llé la farce de Patelin, pour faire connoître que si elle a survécu à
mille
autres pieces faites après elle, c’est parcequ’on
E MUET. Cette piece, représentée pour la premiere fois le vendredi
22
Juin 1691, n’eut que cinq représentations. Elle e
Cette piece, représentée pour la premiere fois le vendredi 22 Juin
1691,
n’eut que cinq représentations. Elle est imitée d
représentée pour la premiere fois le vendredi 22 Juin 1691, n’eut que
cinq
représentations. Elle est imitée de l’Eunuque de
considérablement au Poëte Latin, puisque les Ediles lui en donnerent
huit
mille pieces, c’est-à-dire, deux cents écus, qui
idérablement au Poëte Latin, puisque les Ediles lui en donnerent huit
mille
pieces, c’est-à-dire, deux cents écus, qui en ce
puisque les Ediles lui en donnerent huit mille pieces, c’est-à-dire,
deux
cents écus, qui en ce temps-là étoient une somme
que les Ediles lui en donnerent huit mille pieces, c’est-à-dire, deux
cents
écus, qui en ce temps-là étoient une somme consid
us, qui en ce temps-là étoient une somme considérable. Elle fut jouée
deux
fois dans un jour12 pendant la fête de Cybele. Le
amp; refuse en conséquence sa porte à Phædria son nouvel amant. Acte
I
. Phædria, piqué contre Thaïs, jure de ne plus la
hædria consent à l’arrangement de Thaïs, renonce à sa possession pour
deux
jours, & ordonne à Parmenon de conduire chez
e esclave d’Ethiopie, avec un Eunuque dont il lui fait présent. Acte
II
. Phædria recommande encore à Parmenon de conduire
d, & de le mettre à portée par-là de voir celle qu’il aime. Acte
III
. Parmenon conduit à Thaïs l’esclave d’Ethiopie &a
, & en raconte toutes les circonstances à son ami Antiphon. Acte
IV
. Le Capitaine est jaloux de Chrémès. Il veut repr
en disant à ses braves soldats d’aller se reposer à la cuisine. Acte
V.
Cherea n’a pu quitter son habit d’eunuque. Il ren
à Naples. Avant-scene. Un Capitaine de vaisseau prend une fille de
deux
ans sur les côtes d’Espagne, il la confie à la Co
e deux ans sur les côtes d’Espagne, il la confie à la Comtesse, &
dix
ou douze ans après il la retire. La Comtesse est
ans sur les côtes d’Espagne, il la confie à la Comtesse, & dix ou
douze
ans après il la retire. La Comtesse est au désesp
oit entrer le Capitaine, il le croit son rival, il est furieux. Acte
I
. Timante ordonne à son valet Frontin de chercher
s’appaise, & jure qu’il mourra d’impatience pendant le voyage de
deux
jours qu’il doit faire avec le Vice-Roi. Cependan
orte que le Chevalier déplaise à son pere par quelque fredaine. Acte
II
. On conduit Zaïde chez la Comtesse ; Frontin l’y
mp; Frontin s’applaudit d’avoir enfermé le loup avec la brebis. Acte
III
. Zaïde aime le Chevalier, voudroit le fuir, &
son fils, & s’il ne veut pas devenir paralytique lui-même. Acte
IV
. Zaïde se détermine à fuir la maison de la Comtes
it que Simon, & qu’il l’a pris de préférence. Alors Timante donne
dix
pistoles à Frontin pour remettre à Simon en le co
n au fils de Crésus, qui parla après avoir été long-temps muet. Acte
V.
Timante gronde Frontin d’avoir engagé son frere d
des amis & mériter leurs présents ; ce lâche amant, qui s’absente
deux
jours pour laisser un champ libre à son rival, &a
à condition qu’il financera ; ce parasite qui fait l’accord entre les
deux
rivaux ; ce pere qui permet à son fils de vivre p
ssi grand que si je l’avois faite tout seul. Cependant nous avons été
trois
à la composer, & le troisieme vaut bien la pe
nsieur, pour tirer mon fils de cet accident ? Frontin, présentant les
deux
mains. Io lo diro tibi, ego vi lo dirai. Le Baron
que. Il y a une infinité de choses contre nature, je n’en citerai que
deux
. Est-il naturel que le Baron, bête comme un dindo
t un Eunuque ; nous n’analyserons pas sa piece, parceque le bon-homme
13,
qui n’étoit pas né pour le théâtre, crut qu’il ét
ne pouvant atteindre à des raisins, s’écrie, ils sont trop verds.
10.
Pierre Blanchet, né à Poitiers en 1458, suivit l
écrie, ils sont trop verds. 10. Pierre Blanchet, né à Poitiers en
1458,
suivit le Palais dans sa jeunesse. Il composa des
des satyres, des rondeaux, des farces. Il reçut l’ordre de Prêtrise à
quarante
ans, & mourut à Poitiers en 1519. 11. Maîtr
reçut l’ordre de Prêtrise à quarante ans, & mourut à Poitiers en
1519.
11. Maître Pierre Patelin, à cinq personnages.
l’ordre de Prêtrise à quarante ans, & mourut à Poitiers en 1519.
11.
Maître Pierre Patelin, à cinq personnages. — Le
ans, & mourut à Poitiers en 1519. 11. Maître Pierre Patelin, à
cinq
personnages. — Le nouveau Patelin, à trois person
. Maître Pierre Patelin, à cinq personnages. — Le nouveau Patelin, à
trois
personnages. — Le Testament de Patelin, à quatre
Le nouveau Patelin, à trois personnages. — Le Testament de Patelin, à
quatre
personnages. — Maître Pierre Patelin & son ja
in, à quatre personnages. — Maître Pierre Patelin & son jargon, à
cinq
personnages. — Maître Pierre Patelin restitué à s
emble son testament, le tout par personnages. — Le Nouveau Patelin, à
trois
personnages. — Patelinus, nova comœdia, traducta
s, nova comœdia, traducta per Alexandrum Connibertum. * attenter.
12.
Eunuchus quidem bis die acta est, meruitque pret
est octo millia nummûm ; propterea summa quoque titulo adscribitur.
13.
Racine & Boileau railloient beaucoup la Font
Chapitre
II
Notice de la cour dans la période de 1600 à 16
Chapitre II Notice de la cour dans la période de
1600
à 1610. — Mariage de Henri IV avec Marie de Médic
Chapitre II Notice de la cour dans la période de 1600 à
1610.
— Mariage de Henri IV avec Marie de Médicis. — Ma
règne de François Ier. Cependant il est nécessaire de revenir sur les
dix
dernières années du règne de Henri IV, ainsi que
de Médicis, et de faire connaître avec détail les mœurs de la cour de
1600
à 1620, pour montrer clairement comment s’échappa
cis, et de faire connaître avec détail les mœurs de la cour de 1600 à
1620,
pour montrer clairement comment s’échappa de cett
et dont l’existence a été illustrée par le respect des étrangers. En
1594,
la France était pacifiée par la reddition de Pari
ddition de Paris et de Rouen, et par l’anéantissement de la Ligue. En
1599,
Henri IV avait obtenu de la cour de Rome la disso
riage avec Marguerite de Valois, sœur de Henri III. L’année suivante,
1600,
il épousa en secondes noces Marie de Médicis, âgé
suivante, 1600, il épousa en secondes noces Marie de Médicis, âgée de
27
ans ; il en avait 46. Ce mariage n’empêcha pas le
ousa en secondes noces Marie de Médicis, âgée de 27 ans ; il en avait
46.
Ce mariage n’empêcha pas le cours de ses galanter
nts de la reine : c’était l’histoire de tous les mauvais ménages2. En
1609,
Henri mit le comble aux ressentiments de la reine
e l’hôtel de Rambouillet. La première année du xviie siècle, l’année
1600,
époque du mariage de Henri IV avec Marie de Médic
Médicis, fut aussi celle du mariage de Catherine de Vivonne, âgée de
16
ans, avec Charles d’Angennes, marquis de Rambouil
Strozzi, parente de Catherine de Médicis ; elle était donc alliée des
trois
derniers Valois5, alliée aussi de Marie de Médici
let, était d’une famille inébranlable dans sa fidélité à Henri IV. De
huit
frères qu’ils étaient, aucun n’entra dans le part
is une année. Cette maison, qui s’appelait l’hôtel de Pisani, prit en
1600
le nom d’hôtel de Rambouillet. On a tant cité l’h
capitale. Le rapprochement encore nouveau des esprits divisés pendant
quarante
années par les guerres civiles, semblait sollicit
taire ; il faut tant de paroles pour expliquer cette prière muette
11
qu’ils s’adressent continuellement l’un à l’autre
s esprits et des imaginations. La conversation française, commune aux
deux
moitiés de la société, excitée, modérée, mesurée
s recevait aussi dans les siens, et à qui elle faisait une pension de
1
200 écus : il était âgé de vingt-six ans. En 1600
recevait aussi dans les siens, et à qui elle faisait une pension de 1
200
écus : il était âgé de vingt-six ans. En 1600, Va
ns, et à qui elle faisait une pension de 1 200 écus : il était âgé de
vingt-six
ans. En 1600, Vaugelas et Malherbe, tous deux âgé
faisait une pension de 1 200 écus : il était âgé de vingt-six ans. En
1600,
Vaugelas et Malherbe, tous deux âgés de quarante-
: il était âgé de vingt-six ans. En 1600, Vaugelas et Malherbe, tous
deux
âgés de quarante-cinq ans, étaient aussi des habi
gé de vingt-six ans. En 1600, Vaugelas et Malherbe, tous deux âgés de
quarante-cinq
ans, étaient aussi des habitués de l’hôtel de Ram
mbouillet, ainsi que le marquis de Racan, élève de Malherbe et âgé de
vingt
et un ans. La conversation devint bientôt le prin
fférence de celle qui en était l’objet ; mais il supprima ensuite les
deux
premiers actes, pour ne pas donner, dit-il, à la
ligé et songe trop à le copier. Dans l’Art poétique, il les cite tous
deux
comme dignes d’éloges dans deux genres différents
Dans l’Art poétique, il les cite tous deux comme dignes d’éloges dans
deux
genres différents : Malherbe d’un héros peut van
défaut d’un Homère. La Fontaine a dit de Malherbe et de Racan : Ces
deux
rivaux d’Horace, héritiers de sa lyre, Disciples
ge de pruderie dans les mœurs, et de mauvais goût dans le langage ?
2.
Mémoires de Sully, édition de Petitot. T. VIII,
langage ? 2. Mémoires de Sully, édition de Petitot. T. VIII, pag.
51
à 59 comprise. — « Henri IV se plaignait à Sully
age ? 2. Mémoires de Sully, édition de Petitot. T. VIII, pag. 51 à
59
comprise. — « Henri IV se plaignait à Sully de Co
envoyait, et de faire cuire souvent sa viande dans leur chambre. »
3.
Sully dit un jour au prince de Condé qui se plaig
ez de sa bonté tout ce que vous êtes. » Sully, édition de Petitot, t.
VIII
, pag. 143. L’Écluse, t. V, pag. 282, cite en note
nté tout ce que vous êtes. » Sully, édition de Petitot, t. VIII, pag.
143.
L’Écluse, t. V, pag. 282, cite en note une répons
us êtes. » Sully, édition de Petitot, t. VIII, pag. 143. L’Écluse, t.
V
, pag. 282, cite en note une réponse du roi au rep
» Sully, édition de Petitot, t. VIII, pag. 143. L’Écluse, t. V, pag.
282,
cite en note une réponse du roi au reproche la ty
M. de Sully : « Vous tenez de sa bonté tout ce que vous êtes. »
4.
Indices contre le prince de Condé et Marie de Méd
s du roi. Il écrivit un jour à Sully : « Le prince fait le diable. »
Trois
personnes furent jalouses de la princesse de Cond
ur au prince de Condé et lui élever la tête. » (Mémoires de Sully, t.
V.
) Mais la reine et le prince de Condé étaient furi
archiduc qui avait reçu le prince et la princesse. Au mois de février
1610,
il lui fit faire une sommation de rentrer en Fran
ce. Le prince s’en alla à Milan, laissant sa femme à Bruxelles. C’est
trois
mois après cette sommation que le roi est tué par
st tué par Ravaillac. On lit dans l’Histoire universelle anglaise, t.
XXXI
, p. 259 que Ravaillac avait été vu, peu de temps
en ouvrir la bouche, et n’en parlèrent jamais que des épaules . (Pag.
422.
) La grandeur des personnages était donc bien impo
struite de celui du prince de Condé ; car le soupçon flotte entre les
deux
, relativement à cette qualité de chef : il est pr
i vit sans doute Ravaillac à Bruxelles, était probablement le chef.
5.
Moréri. — Fléchier, Oraison funèbre. 6. Mad. de
ait probablement le chef. 5. Moréri. — Fléchier, Oraison funèbre.
6.
Mad. de Genlis, Histoire de Henri IV, t. II, p. 3
chier, Oraison funèbre. 6. Mad. de Genlis, Histoire de Henri IV, t.
II
, p. 355. 7. Fléchier. 8. Il ne faut pas confon
n funèbre. 6. Mad. de Genlis, Histoire de Henri IV, t. II, p. 355.
7.
Fléchier. 8. Il ne faut pas confondre avec l’hô
Mad. de Genlis, Histoire de Henri IV, t. II, p. 355. 7. Fléchier.
8.
Il ne faut pas confondre avec l’hôtel de Rambouil
ôtel de Rambouillet, vient uniquement de la conformité de leur nom.
9.
Mémoires de Bassompierre. 10. Essai sur les gu
uement de la conformité de leur nom. 9. Mémoires de Bassompierre.
10.
Essai sur les guerres civiles. Budget de Henri I
sompierre. 10. Essai sur les guerres civiles. Budget de Henri III.
11.
Montesquieu. 12. On en rencontre dans les cours
ssai sur les guerres civiles. Budget de Henri III. 11. Montesquieu.
12.
On en rencontre dans les cours des sciences les p
uté et le patriotisme, qui suivaient toutes les grandes discussions.
13.
Mademoiselle de Scudéry, dans les périodes suivan
ns. 13. Mademoiselle de Scudéry, dans les périodes suivantes, envoya
deux
volumes de ses conversations à Mad. de Sévigné. (
ions à Mad. de Sévigné. (Lettres de Sévigné, édition de Monmerqué, t.
VIII
, p. 89). 14. Nous avons, outre les lettres de Ma
Sévigné. (Lettres de Sévigné, édition de Monmerqué, t. VIII, p. 89).
14.
Nous avons, outre les lettres de Mad. de Sévigné,
n, celles de Voiture, celles de Mad. de Scudéry et de bien d’autres.
15.
Histoire de La Fontaine, t. V, p, 249.
ad. de Scudéry et de bien d’autres. 15. Histoire de La Fontaine, t.
V
, p, 249.
Scudéry et de bien d’autres. 15. Histoire de La Fontaine, t. V, p,
249.
Chapitre
XIV
Suite de la 6e période, de 1650 à 1660. — Des
Chapitre XIV Suite de la
6e
période, de 1650 à 1660. — Des précieuses. — Nais
Chapitre XIV Suite de la 6e période, de
1650
à 1660. — Des précieuses. — Naissance du mot subs
Chapitre XIV Suite de la 6e période, de 1650 à
1660.
— Des précieuses. — Naissance du mot substantif P
, Somaise, Molière. Nous avons dit dans un chapitre précédent, qu’en
1648
la guerre de la Fronde ayant commencé, elle restr
s précieuses en fut arrêté. Mais lorsque la pacification eut lieu, en
1652,
la vie licencieuse de la Cour et de la capitale r
s de ce mot. Pour savoir ces choses, j’ai eu le courage de dépouiller
quatre
écrits du temps qui concernent les personnes ains
premier est Le Royaume de Coquetterie, de l’abbé d’Aubignac publié en
1654
; le second est le roman de l’abbé de Pure, intit
e Pure, intitulé La Précieuse, ou Les Mystères des ruelles, publié en
1656,
un vol. in-8° ; le troisième est le Dictionnaire
l. in-8° ; le troisième est le Dictionnaire des Précieuses, publié en
1660
par Somaise, secrétaire de la princesse Colonna,
t Le Grand Dictionnaire des Précieuses, publié par le même Somaise en
1661,
deux volumes in-12. Je pourrais ajouter en cinqui
rand Dictionnaire des Précieuses, publié par le même Somaise en 1661,
deux
volumes in-12. Je pourrais ajouter en cinquième l
rée de la ville capitale, est une place, nommée Cajolerie, ouverte de
trois
côtés, et qu’on a rendue spacieuse par la ruine d
e de Coquetterie est la grande place, qu’on peut dire vraiment royale
44
… Elle est environnée d’une infinité de réduits, o
uyait au mur du fond, le pied venait en avant, et l’on avait accès de
trois
côtés. Cette disposition était plus commode que c
es ordonnances du palais de Louis XIV et de Louis XV, s’appellent les
deux
côtés du lit. C’est ainsi que cet espace s’appela
qui sont aujourd’hui représentés par nos boudoirs, Boileau en a parlé
deux
fois ; la première dans L’Art poétique : Ne vous
le ! Il a encore employé ce mol dans une petite préface qu’il lit en
1670,
au-devant des œuvres posthumes de Gilles Boileau
étention a d’absurde et d’odieux. Reprenons ici l’ordre des faits. En
1654,
pendant que la satire de l’abbé d’Aubignac courai
Précieuses ridicules est la même que Molière fit représenter à Paris
cinq
ans plus tard, en 1659, et qui fit tant de bruit.
st la même que Molière fit représenter à Paris cinq ans plus tard, en
1659,
et qui fit tant de bruit. Plusieurs de nos biogra
e changer son nom en celui d’Arthénice qu’elle portait depuis plus de
50
ans, et Molière la désigne, disent-ils, par sa Ma
pour la province. Mais la représentation de cet ouvrage à Béziers en
1654,
durant la tenue des états de Provence, est indubi
e Vie de Molière, rédigée sur les témoignages de Baron, et publiée en
1705,
l’affirme. Il n’a été alors contredit par personn
aisons pour nier que Les Précieuses aient été représentées à Béziers,
cinq
ans avant de l’être à Paris. Quand nous parlerons
de Rambouillet. La satire de d’Aubignac et Les Précieuses de Molière,
deux
ouvrages de la même année 1654, prouvent l’existe
Aubignac et Les Précieuses de Molière, deux ouvrages de la même année
1654,
prouvent l’existence des Précieuses dans cette mê
te même année, et aussi leur nouveauté. En voici une autre preuve. En
1606,
parut le roman de Pure, intitulé La Précieuse ou
on. » La guerre dont parle l’auteur, c’est la Fronde, qui a éclaté en
1648,
et fini en 1652. Aussi de Pure dit-il dans ce mêm
ont parle l’auteur, c’est la Fronde, qui a éclaté en 1648, et fini en
1652.
Aussi de Pure dit-il dans ce même roman, publié e
, et fini en 1652. Aussi de Pure dit-il dans ce même roman, publié en
1656,
que le mot de précieuse « est un mot du temps, un
donné commencement aux ruelles ». Il répète au mot Prédiction, qu’en
1647
Voiture fut le fondateur de l’empire des précieus
ondateur de l’empire des précieuses. Il dit ailleurs, sous la date de
1661
: « On en parle de plus en plus depuis cinq ou si
ailleurs, sous la date de 1661 : « On en parle de plus en plus depuis
cinq
ou six ans, c’est-à-dire depuis 1655 ou 1656. »
, sous la date de 1661 : « On en parle de plus en plus depuis cinq ou
six
ans, c’est-à-dire depuis 1655 ou 1656. » Somaise
en parle de plus en plus depuis cinq ou six ans, c’est-à-dire depuis
1655
ou 1656. » Somaise est donc d’accord avec de Pur
e de plus en plus depuis cinq ou six ans, c’est-à-dire depuis 1655 ou
1656.
» Somaise est donc d’accord avec de Pure sur l’é
uit et où le mot de précieuse acquit de la vogue. Retenons donc qu’en
1656,
temps où l’hôtel de Rambouillet était dispersé, l
e sort du mot, nous apprendrons celui des personnes qu’il désigne. En
1656,
l’abbé de Pure fit jouer à Paris une comédie des
, les fausses précieuses furent en déroute et les autres se calmèrent
47.
Il paraît par ce fait que le mot de précieuse, u
nt 47. Il paraît par ce fait que le mot de précieuse, usité jusqu’en
1656
comme substantif exclusivement, et d’abord entend
. Il eut besoin d’un adjectif exprimé ou sous-entendu pour distinguer
trois
classes de précieuses : les précieuses ridicules
oins cultivé. Ce titre se donne, dit de Pure dans La Précieuse, page
26,
aux personnes du beau sexe qui ont su se tirer du
omme illustres modèles, la marquise de Rambouillet, qui avait près de
80
ans et touchait à sa fin, madame de Montausier, s
qui ne l’aimerait pas ? Obligeante, civile, et surtout précieuse. En
1654,
le comte de Bussy-Rabutin écrivait à Madame de la
personne n’a mieux accordé Dieu et le monde que vous ne faites. » Le
26
juillet 1671, madame de Sévigné écrit à sa fille
a mieux accordé Dieu et le monde que vous ne faites. » Le 26 juillet
1671,
madame de Sévigné écrit à sa fille : « Hier, comm
e seule dans ma chambre avec un livre précieusement à la main… » Le
21
octobre suivant, elle écrit à sa fille : « L’honn
édie des Précieuses de de Pure. Cependant, avant d’en venir à l’année
1659,
où Les Précieuses ridicules de Molière furent mis
uses ridicules. Le grand Dictionnaire des Précieuses renferme environ
1
200 noms de beaux-esprits des deux sexes ; de ce
es ridicules. Le grand Dictionnaire des Précieuses renferme environ 1
200
noms de beaux-esprits des deux sexes ; de ce nomb
naire des Précieuses renferme environ 1 200 noms de beaux-esprits des
deux
sexes ; de ce nombre sont huit cents précieuses d
nviron 1 200 noms de beaux-esprits des deux sexes ; de ce nombre sont
huit
cents précieuses de tout genre, depuis les illust
n 1 200 noms de beaux-esprits des deux sexes ; de ce nombre sont huit
cents
précieuses de tout genre, depuis les illustres ju
atenostre, patenôtre. Dis-je, dit-je. Pressentiment, présentiment.
Treize
, tréze. Esvaporés, évaporés. Sixiesme, sixième.
ation ; et quelle conversation ; ce n’était pas celle de personnes de
deux
sexes qui désirent de se plaire : c’était le cail
du même genre ne peut se comparer. Les dialogues ont été imprimés en
1579.
Henri Etienne remarque que le commerce de la cour
de la cour de France avec Thalie prit une grande activité pendant les
trois
régences de Catherine de Médicis, au commencement
t pas roi. Tels sont ces vers de Titus parlant de Bérénice : Depuis
trois
ans entiers, chaque jour je la vois, Et crois tou
et de méthode dans les désirs. Somaise dit plus simplement, qu’il y a
deux
espèces de précieuses : les précieuses galantes o
leur en donnent pas de sujet. »Huet, évêque d’Avranches, a publié, en
1659,
les portraits écrits par Mademoiselle, portraits
fait partie. Ce recueil a été imprimé à Caen. Il n’en a été tiré que
soixante
exemplaires. De Pure nous apprend (p. 260) que «
r coûtent rien ; et d’autres en ont de propres et galants, qui sont à
deux
mains, font des vers, des chansons, quelquefois d
qui font les dévotes par politique, et cette remarque rappelle qu’en
1667,
la reine-mère, vieillie et mécontente du cardinal
e songe pas à ce qu’on dit ! — Jésus ! est-il possible ! — Sont-elles
deux
ensemble ou un plus grand nombre, elles rient au
re en quelque chose à la mode. » Nous n’avons rien à dire les années
1656
et, suivantes, jusqu’à l’année 1659, où Molière d
us n’avons rien à dire les années 1656 et, suivantes, jusqu’à l’année
1659,
où Molière donna à Paris la première représentati
résentation des Précieuses ridicules. Toutefois, dans l’intervalle de
1652
à 1657, les mœurs de la cour éprouvaient un chang
tion des Précieuses ridicules. Toutefois, dans l’intervalle de 1652 à
1657,
les mœurs de la cour éprouvaient un changement no
n changement notable. Ce fut dans cette période que la reine, âgée de
50
ans, dépouillée du pouvoir de la régence, brouill
ademoiselle qui nous apprennent ce chargement49. Au mois de novembre
1659,
la paix fut conclue aux Pyrénées, et au mois de j
e novembre 1659, la paix fut conclue aux Pyrénées, et au mois de juin
1660,
le roi épousa l’infante d’Espagne. L’arrivée de l
60, le roi épousa l’infante d’Espagne. L’arrivée de la jeune reine en
1660,
la réforme de la reine-mère, obligèrent la cour à
e contre l’hôtel de Rambouillet, qu’elle n’ait pas débuté en province
cinq
ans avant de paraître à Paris. Quoique la pièce e
lant des héroïnes qui vont y figurer : « A-t-on jamais vu, dites-moi,
deux
peckes50 provinciales plus ridicules que celles-l
dre quelques précautions d’après les avanies faites à l’abbé de Pure,
cinq
ans auparavant. Mais ces précautions ne pouvaient
rsonnes à qui cette maison doit sa célébrité. Remarquez d’abord qu’en
1609,
quand parurent Les Précieuses de Molière, la marq
nt Les Précieuses de Molière, la marquise valétudinaire avait près de
quatre-vingts
ans. Est-ce dans une femme de cet âge qu’on peut
ses cercles qu’en voulait Molière, s’il en voulait à quelqu’un. Entre
1645
et 1650, après le mariage de Julie d’Angennes, sa
les qu’en voulait Molière, s’il en voulait à quelqu’un. Entre 1645 et
1650,
après le mariage de Julie d’Angennes, sa contempo
romans, mais elle sciait bien gardée de les publier sous son nom. En
1641,
elle fait paraître, sous le nom de Georges de Scu
nom de Georges de Scudéry, son frère, Ibrahim ou L’Illustre Passa. En
1650
encore, elle publia, toujours sous le nom de son
ia, toujours sous le nom de son frère, Artamène ou Le Grand Cyrus, en
10
vol. Mais quand sa ruelle fut bien accréditée, el
fut bien accréditée, elle publia sous son nom le roman de Clélie, en
1656,
1658, 1660. Vint ensuite Almahide ou L’Esclave re
ien accréditée, elle publia sous son nom le roman de Clélie, en 1656,
1658,
1660. Vint ensuite Almahide ou L’Esclave reine, e
créditée, elle publia sous son nom le roman de Clélie, en 1656, 1658,
1660.
Vint ensuite Almahide ou L’Esclave reine, en 1660
ie, en 1656, 1658, 1660. Vint ensuite Almahide ou L’Esclave reine, en
1660
; et ensuite… une infinité d’autres ouvrages du m
tant les proportions étaient différentes entre lui et chacune de ces
deux
femmes. Madame de Sévigné allait aussi voir madem
la était gâté par son mauvais goût ; mais elle n’aurait pas été reçue
trente
années à l’hôtel de Rambouillet, si le mauvais go
nt l’exemple de Cyrus et de Mandane, d’Aronce et de Clélie, héros des
deux
premiers romans que mademoiselle de Scudéry publi
s moins de ridicule que d’odieux. Les inventeurs de ce système ont eu
deux
prétentions fort bizarres : la première, de donne
e celui qu’il a ? N’y aurait-il pas eu effet de l’absurdité à choisir
deux
provinciales, pour attirer la risée sur deux femm
de l’absurdité à choisir deux provinciales, pour attirer la risée sur
deux
femmes de la cour ; deux bourgeoises pour représe
deux provinciales, pour attirer la risée sur deux femmes de la cour ;
deux
bourgeoises pour représenter le ridicule de femme
urgeoises pour représenter le ridicule de femmes de haute naissance ;
deux
vieilles folles de petite condition, dont la vani
les amis la famille ? Ne serait-il pas absurde de mettre sur la scène
deux
vieilles filles qui s’émancipent, et qui sont rap
hesses héréditaires ? En un mot, y aurait-il eu du bon sens à prendre
deux
pécores, bourgeoises, provinciales, presque canai
pièce elle-même, et avoir un autre effet que celui de la blesser ?
44.
Nous verrons que la Place-Royale fut vraiment un
ale fut vraiment un des quartiers où se tenaient les belles ruelles.
45.
Royaume de Coquetterie, 5 et 6. 46. On voit, da
iers où se tenaient les belles ruelles. 45. Royaume de Coquetterie,
5
et 6. 46. On voit, dans les Mémoires de Bassompi
où se tenaient les belles ruelles. 45. Royaume de Coquetterie, 5 et
6.
46. On voit, dans les Mémoires de Bassompierre,
e tenaient les belles ruelles. 45. Royaume de Coquetterie, 5 et 6.
46.
On voit, dans les Mémoires de Bassompierre, que H
mîmes à la ruelle de son lit. » Là elle et lui parlèrent d’affaires.
47.
Somaise, Dictionnaire des grandes Précieuses, au
47. Somaise, Dictionnaire des grandes Précieuses, au moi Prédiction.
48.
Henri Estienne ne prétend pas que tous les change
l’Italie fut la source féconde de changements inutiles ou funestes.
49.
Depuis la Fronde, cette princesse avait vécu dans
e ne reparut qu’au mois d’août à la cour, qui était alors à Sedan. Le
6
de ce mois on y apprit la prise de Montmedi. « La
quittai. Je lui dis : il n’y a pas de changement égal à celui de voir
V.
M. jouer tous les jours, et que mon père ne joue
bataille gagnée par le maréchal de Turenne sur le prince de Condé en
1658,
elle dit : « La reine faisait sa vie ordinaire de
: « La reine faisait sa vie ordinaire de prier Dieu et de jouer. »
50.
Pecke et Peckin me paraissent venir de pécore, qu
Peckin me paraissent venir de pécore, qui vient de pecus, troupeau.
51.
M. Petitot dit que « si les dames de l’hôtel Ramb
s imitaient mal. Adroite précaution oratoire », ajoute-t-il en note.
52.
« J’étais, dit Ménage, à la première représentat
on de dire : Mademoiselle de Rambouillet y était ; lisez : Madame. En
1659,
il n’y avait plus de mademoiselle de Rambouillet.
adame. En 1659, il n’y avait plus de mademoiselle de Rambouillet. Des
cinq
filles de madame de Rambouillet, trois étaient re
ademoiselle de Rambouillet. Des cinq filles de madame de Rambouillet,
trois
étaient religieuses, la quatrième était madame de
ou mademoiselle en toutes lettres, on ne se tromperait pas de même.
53.
J’ai vainement cherché dans les écrits du temps l
me ferait autant de plaisir que le fac simile d’une de ses lettres.
54.
Lettres du 27 novembre 1667, du 20 mars 1671 et d
nt de plaisir que le fac simile d’une de ses lettres. 54. Lettres du
27
novembre 1667, du 20 mars 1671 et du 15 novembre
r que le fac simile d’une de ses lettres. 54. Lettres du 27 novembre
1667,
du 20 mars 1671 et du 15 novembre 1680. 55. Lett
fac simile d’une de ses lettres. 54. Lettres du 27 novembre 1667, du
20
mars 1671 et du 15 novembre 1680. 55. Lettre du
le d’une de ses lettres. 54. Lettres du 27 novembre 1667, du 20 mars
1671
et du 15 novembre 1680. 55. Lettre du 12 juillet
ses lettres. 54. Lettres du 27 novembre 1667, du 20 mars 1671 et du
15
novembre 1680. 55. Lettre du 12 juillet 1671.
. 54. Lettres du 27 novembre 1667, du 20 mars 1671 et du 15 novembre
1680.
55. Lettre du 12 juillet 1671. 56. Voici ce qu
Lettres du 27 novembre 1667, du 20 mars 1671 et du 15 novembre 1680.
55.
Lettre du 12 juillet 1671. 56. Voici ce quatrai
novembre 1667, du 20 mars 1671 et du 15 novembre 1680. 55. Lettre du
12
juillet 1671. 56. Voici ce quatrain : En voyan
67, du 20 mars 1671 et du 15 novembre 1680. 55. Lettre du 12 juillet
1671.
56. Voici ce quatrain : En voyant les œillets
0 mars 1671 et du 15 novembre 1680. 55. Lettre du 12 juillet 1671.
56.
Voici ce quatrain : En voyant les œillets qu’un
Chapitre
IV
. — Molière. Chœur des Français Jamais leur pa
tout leur devient aimable. Le Misanthrope, acte
II
, scène v. Pendant que les Allemands nous prouve
. Gloire à lui ! gloire à Molière, le premier des poêles comiques !
244.
Voltaire. Jouffroy, Leçons d’esthétique. 245. Jo
es poêles comiques ! 244. Voltaire. Jouffroy, Leçons d’esthétique.
245.
Jouffroy. 246. Louis Moland, Molière, sa vie et
es ! 244. Voltaire. Jouffroy, Leçons d’esthétique. 245. Jouffroy.
246.
Louis Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages. 2
245. Jouffroy. 246. Louis Moland, Molière, sa vie et ses ouvrages.
247.
Guillaume Guizot, Ménandre. 248. Sainte-Beuve, N
, Molière, sa vie et ses ouvrages. 247. Guillaume Guizot, Ménandre.
248.
Sainte-Beuve, Notice sur Molière. 249. Boileau,
Guillaume Guizot, Ménandre. 248. Sainte-Beuve, Notice sur Molière.
249.
Boileau, Fénelon, Taschereau, Nisard, Histoire de
, Fénelon, Taschereau, Nisard, Histoire de la littérature française.
250.
Louis Moland. 251. Louis Moland. 252. Voltaire.
u, Nisard, Histoire de la littérature française. 250. Louis Moland.
251.
Louis Moland. 252. Voltaire. 253. Chamfort, Élo
de la littérature française. 250. Louis Moland. 251. Louis Moland.
252.
Voltaire. 253. Chamfort, Éloge de Molière. 254.
e française. 250. Louis Moland. 251. Louis Moland. 252. Voltaire.
253.
Chamfort, Éloge de Molière. 254. Louis Moland.
251. Louis Moland. 252. Voltaire. 253. Chamfort, Éloge de Molière.
254.
Louis Moland. 255. Sainte-Beuve. 256. Louis Mol
252. Voltaire. 253. Chamfort, Éloge de Molière. 254. Louis Moland.
255.
Sainte-Beuve. 256. Louis Moland. 257. M. Cousin
Chamfort, Éloge de Molière. 254. Louis Moland. 255. Sainte-Beuve.
256.
Louis Moland. 257. M. Cousin, Du vrai, du beau e
Molière. 254. Louis Moland. 255. Sainte-Beuve. 256. Louis Moland.
257.
M. Cousin, Du vrai, du beau et du bien. 258. Lou
e. 256. Louis Moland. 257. M. Cousin, Du vrai, du beau et du bien.
258.
Louis Moland. 259. Louis Moland. 260. Chamfort.
d. 257. M. Cousin, Du vrai, du beau et du bien. 258. Louis Moland.
259.
Louis Moland. 260. Chamfort. 261. Guillaume Gui
Du vrai, du beau et du bien. 258. Louis Moland. 259. Louis Moland.
260.
Chamfort. 261. Guillaume Guizot. 262. Guillaume
et du bien. 258. Louis Moland. 259. Louis Moland. 260. Chamfort.
261.
Guillaume Guizot. 262. Guillaume Guizot. 263. G
Moland. 259. Louis Moland. 260. Chamfort. 261. Guillaume Guizot.
262.
Guillaume Guizot. 263. Guillaume Guizot. 264. L
and. 260. Chamfort. 261. Guillaume Guizot. 262. Guillaume Guizot.
263.
Guillaume Guizot. 264. Louis Moland. 265. La co
1. Guillaume Guizot. 262. Guillaume Guizot. 263. Guillaume Guizot.
264.
Louis Moland. 265. La comédie est plus près de l
262. Guillaume Guizot. 263. Guillaume Guizot. 264. Louis Moland.
265.
La comédie est plus près de la peinture que la tr
land. 265. La comédie est plus près de la peinture que la tragédie.
266.
M. Villemain, Essai littéraire sur Shakespeare.
e la tragédie. 266. M. Villemain, Essai littéraire sur Shakespeare.
267.
M. Villemain. 268. M. Villemain. 269. Louis Mol
M. Villemain, Essai littéraire sur Shakespeare. 267. M. Villemain.
268.
M. Villemain. 269. Louis Moland. 270. M. Villem
littéraire sur Shakespeare. 267. M. Villemain. 268. M. Villemain.
269.
Louis Moland. 270. M. Villemain. 271. M. Villem
espeare. 267. M. Villemain. 268. M. Villemain. 269. Louis Moland.
270.
M. Villemain. 271. M. Villemain. 272. M. Guizot
llemain. 268. M. Villemain. 269. Louis Moland. 270. M. Villemain.
271.
M. Villemain. 272. M. Guizot, Shakespeare et son
llemain. 269. Louis Moland. 270. M. Villemain. 271. M. Villemain.
272.
M. Guizot, Shakespeare et son temps. 273. Chamfo
main. 271. M. Villemain. 272. M. Guizot, Shakespeare et son temps.
273.
Chamfort. 274. Chamfort.
illemain. 272. M. Guizot, Shakespeare et son temps. 273. Chamfort.
274.
Chamfort.
La Femme de Molière : Armande Béjart Molière avait près de
quarante
ans, l’âge où le célibat et la solitude deviennen
mme qu’au théâtre ou dans une famille qui tint au théâtre. Or, depuis
dix
ans, il voyait grandir près de lui une jeune fill
elle appartenaient tous les siens et où elle-même devait entrer.
I
Il paraît peu probable que la première enfance
pe, relativement plus stable, eut pris Lyon pour quartier général, en
1653,
Armande, alors âgée d’une dizaine d’années, fut r
t pris Lyon pour quartier général, en 1653, Armande, alors âgée d’une
dizaine
d’années, fut retirée de chez la « dame d’un rang
yre, rôle de figuration à peu près muet, car il ne compte pas plus de
quatre
vers, et, dans cette Mlle Menou, on veut voir la
ou supposerait plutôt Germaine qu’Armande. De plus, Éphyre, comme les
deux
autres néréides de la pièce, ne peut être jouée q
rtie de la troupe de Molière telle que nous la trouvons constituée en
1658,
lors de l’arrivée à Paris, et, jamais, lorsqu’ell
llusion aux embarras de tout genre qu’éprouvait Molière au milieu des
trois
principales actrices de sa troupe ; Chapelle l’y
aillé entre Junon, Minerve et Vénus durant la guerre de Troie. De ces
trois
actrices, Mlle Menou est la seule nommée ; les de
de Troie. De ces trois actrices, Mlle Menou est la seule nommée ; les
deux
autres, Mlle du Parc et Mlle de Brie sans doute,
de la troupe, et c’est peu vraisemblable, car elle n’avait encore que
seize
ans. On ne s’expliquerait guère non plus qu’elle
n ne s’expliquerait guère non plus qu’elle eût entièrement disparu de
1658
à 1663, époque où elle parait pour la première fo
expliquerait guère non plus qu’elle eût entièrement disparu de 1658 à
1663,
époque où elle parait pour la première fois sur l
us sage est de se résigner à ne la voir paraître dans la troupe qu’en
1663,
lorsqu’elle est devenue la femme de Molière. On p
’École des maris, il n’ait rien mis de lui-même et de sa fiancée dans
deux
des héros de sa pièce : cet Ariste qui lui ressem
t souhaité chez celle qu’il allait épouser. L’École des maris est du
24
juin 1661. Dès le mois d’avril précédent, Molière
té chez celle qu’il allait épouser. L’École des maris est du 24 juin
1661.
Dès le mois d’avril précédent, Molière avait fait
de recommencer, après Pâques, au Palais-Royal, M. de Molière demanda
deux
parts au lieu d’une qu’il avait. La troupe (les)
pour sa femme s’il se mariait. » Le contrat de mariage fut signé, le
23
janvier 1662, dans la maison de Marie Hervé, rue
mme s’il se mariait. » Le contrat de mariage fut signé, le 23 janvier
1662,
dans la maison de Marie Hervé, rue Saint-Thomas-d
ettait de donner à sa fille, « la veille des épousailles, la somme de
10,
000 livres tournois, dont un tiers entrerait dans
it de donner à sa fille, « la veille des épousailles, la somme de 10,
000
livres tournois, dont un tiers entrerait dans la
00 livres tournois, dont un tiers entrerait dans la communauté et les
deux
autres tiers demeureraient propres à la future ép
u de Molière lui-même. Celui-ci, de son côté, constituait à sa future
4,
000 livres tournois de douaire. Un mois après, le
e Molière lui-même. Celui-ci, de son côté, constituait à sa future 4,
000
livres tournois de douaire. Un mois après, le lun
sa future 4, 000 livres tournois de douaire. Un mois après, le lundi
20
février 1662, le mariage était célébré à Saint-Ge
4, 000 livres tournois de douaire. Un mois après, le lundi 20 février
1662,
le mariage était célébré à Saint-Germain-l’Auxerr
a signature no figure pas au bas de l’acte. A la seule lecture de ces
deux
pièces, contrat et acte de célébration, tombent l
riage de Molière. La présence de Jean Poquelin et de André Boudet aux
deux
cérémonies prouve d’abord que l’union projetée ne
’origine d’Armande, elle est aussi nettement spécifiée que possible :
deux
fois la jeune femme est dite fille de Joseph Béja
n de l’acte de baptême des époux. L’âge de Marie Hervé, se donnant, à
soixante-sept
ans, comme mère d’une fille de vingt, était pour
rie Hervé, se donnant, à soixante-sept ans, comme mère d’une fille de
vingt
, était pour éveiller l’attention, et, certainemen
, se serait marié un mardi gras, jour où les églises sont désertes, à
dix
heures du soir, en présence de rares témoins, et
ix heures du soir, en présence de rares témoins, et après dispense de
deux
bans obtenue par grâce spéciale. D’abord, le 20 f
t après dispense de deux bans obtenue par grâce spéciale. D’abord, le
20
février 1622 n’était pas un mardi, mais un lundi,
pense de deux bans obtenue par grâce spéciale. D’abord, le 20 février
1622
n’était pas un mardi, mais un lundi, lendemain du
t autres mariages avec celui de Molière ; ce mariage n’eut pas lieu à
dix
heures du soir, mais entre neuf et dix heures du
Molière ; ce mariage n’eut pas lieu à dix heures du soir, mais entre
neuf
et dix heures du matin, car il est le premier ins
; ce mariage n’eut pas lieu à dix heures du soir, mais entre neuf et
dix
heures du matin, car il est le premier inscrit de
et dix heures du matin, car il est le premier inscrit de la série des
huit
; quant à la dispense de doux bans, elle était d’
e pièce vraie, autrement sérieuse, et qui devait tourner au drame.
II
Pas plus d’Armande Béjart que de Madeleine, il
es autres, car ils sont de mains et d’intentions bien différentes. En
1670,
dans le Bourgeois gentilhomme, où Armande tenait
sse de flatterie et un parti-pris d’admiration, qui témoignent, après
huit
ans de mariage, d’un amour aussi vif et aussi ard
l’amour ! Je ne lui vois rien que de très médiocre et vous trouverez
cent
personnes qui seront plus dignes de vous. » Il co
avec succès contre ce caractère peu esthétique. Le Mercure galant de
1673
disait : « Tous les manteaux de femmes que l’on f
poser ses costumes, il les porte avec la même élégance. Mais, si tous
deux
« se mettent parfaitement bien, ils ne pensent pl
prend autant de divers tons qu’elle a de rôles différens. »
III
Mais elle excelle surtout dans les ingénues et
première fois dans la Critique de l’École des femmes, représentée le
1er
juin 1663, c’est-à-dire un an et quatre mois aprè
fois dans la Critique de l’École des femmes, représentée le 1er juin
1663,
c’est-à-dire un an et quatre mois après son maria
École des femmes, représentée le 1er juin 1663, c’est-à-dire un an et
quatre
mois après son mariage : Molière n’avait voulu la
un autre du même genre dans l’Impromptu de Versailles, représenté le
14
octobre suivant : « Mlle Molière, satirique spiri
, lui a fait le même compliment qu’à La Grange et à Mlle du Parc, les
deux
parfaits comédiens : « Pour vous, je n’ai rien à
Mlle Molière se laisse déjà voir avec ses traits essentiels dans ces
deux
rôles de début ; la femme y est aussi, ce me semb
it ; peu de bonté. Elle ne joue pas dans le Mariage forcé, qui est du
29
janvier 1664, car le 19 elle a donné un fils à Mo
bonté. Elle ne joue pas dans le Mariage forcé, qui est du 29 janvier
1664,
car le 19 elle a donné un fils à Molière. Il y a
ne joue pas dans le Mariage forcé, qui est du 29 janvier 1664, car le
19
elle a donné un fils à Molière. Il y a cependant
des vaines tentatives qu’enregistre l’histoire théâtrale. Célimène a
vingt
ans et son expérience est celle d’une femme de qu
rale. Célimène a vingt ans et son expérience est celle d’une femme de
quarante
. Coquette et féline avec Alceste, d’une médisance
fession qui la mettait si en vue. A la grande comédie du Misanthrope (
4
juin 1666) succède, deux mois après, la simple fa
qui la mettait si en vue. A la grande comédie du Misanthrope (4 juin
1666
) succède, deux mois après, la simple farce du Méd
si en vue. A la grande comédie du Misanthrope (4 juin 1666) succède,
deux
mois après, la simple farce du Médecin malgré lui
n : son habit se composait d’une « jupe de satin couleur de feu, avec
trois
guipures et trois volans et le corps de toile d’a
omposait d’une « jupe de satin couleur de feu, avec trois guipures et
trois
volans et le corps de toile d’argent et soie vert
he mante, » présent du roi. Pourquoi cette série de méchans lots dans
trois
pièces successives ? Il sera peut-être possible d
ndant, c’est bien celui-ci que lui attribue une distribution datée de
1685.
L’incertitude continue avec M. de Pourceaugnac, q
elle lui inspirait alors. A ce moment, la concorde régnait entre les
deux
époux et le poète n’avait pour sa femme qu’ingéni
ui inventoria « les habits pour la représentation de Psyché : en tout
cinq
costumes, un par acte. » Il n’est pas sûr qu’ell
tiens galants son double portrait de La Grange et de Mlle Molière.
IV
Telle fut la comédienne dans Armande Béjart :
et du Misanthrope ? Il est difficile de trancher la question. A part
deux
ou trois allusions, on n’a contre Armande que deu
isanthrope ? Il est difficile de trancher la question. A part deux ou
trois
allusions, on n’a contre Armande que deux déposit
a question. A part deux ou trois allusions, on n’a contre Armande que
deux
dépositions contemporaines, toutes deux bien susp
ns, on n’a contre Armande que deux dépositions contemporaines, toutes
deux
bien suspectes ; le reste n’est que tradition vag
e miel de ce ménage aurait vraiment trop peu duré : le mariage est du
20
février 1662 et l’École des femmes du 26 décembre
e ménage aurait vraiment trop peu duré : le mariage est du 20 février
1662
et l’École des femmes du 26 décembre suivant. En
peu duré : le mariage est du 20 février 1662 et l’École des femmes du
26
décembre suivant. En outre, peut-on admettre que,
ogies ; ainsi l’histoire d’Agnès, remarquée par Arnolphe dès l’âge de
quatre
ans, obtenue par lui d’une mère pauvre et par ses
le beau monde et goûter le plaisir de m’ouïr dire des douceurs. » Ces
deux
passages rappellent ce que nous apprend Grimarest
se reprocher. » Avec le Mariage forcé nous sommes au commencement de
1664,
au milieu de 1668 avec George Dandin ; après deux
ec le Mariage forcé nous sommes au commencement de 1664, au milieu de
1668
avec George Dandin ; après deux ans de mariage, à
au commencement de 1664, au milieu de 1668 avec George Dandin ; après
deux
ans de mariage, à plus forte raison après six ans
George Dandin ; après deux ans de mariage, à plus forte raison après
six
ans, les conséquences fatales de la différence d’
es de la différence d’âge et de caractère ont dû se produire pour les
deux
époux. Avide de plaisirs et de vie bruyante, Arma
ractère de sa femme, il ne crut jamais à une indignité de sa part.
V
Cette impression semble bien avoir été celle d
on doit finement dessus certain chapitre… Un autre répondait par ces
deux
vers de l’École des femmes : Hé, mon Dieu ! notr
rop en tirer que d’y prendre un argument contre Armande mariée depuis
deux
ans à peine. Bientôt, un comédien de l’hôtel de B
ière avait dit du Portrait du peintre de Boursault : « Je réponds de
douze
marquis, de six précieuses, de vingt coquettes et
Portrait du peintre de Boursault : « Je réponds de douze marquis, de
six
précieuses, de vingt coquettes et de trente c…s,
de Boursault : « Je réponds de douze marquis, de six précieuses, de
vingt
coquettes et de trente c…s, qui ne manqueront pas
réponds de douze marquis, de six précieuses, de vingt coquettes et de
trente
c…s, qui ne manqueront pas d’y battre des mains.
l ne dit voir le Portrait du peintre : j’y en comptai un jour jusqu’à
trente
et un. Cette représentation ne manqua pas d’appr
’à trente et un. Cette représentation ne manqua pas d’approbateurs :
trente
de ces c…s applaudirent fort, et le dernier fit c
preuve c’est que, dans un recueil par lui publié en cette même année
1663,
les Nouvelles nouvelles, il disait de Molière : «
ins, est expresse : dans Molière, De Villiers ne voyait qu’un jaloux.
Sept
ans après, en 1670, alors que la réputation d’Arm
dans Molière, De Villiers ne voyait qu’un jaloux. Sept ans après, en
1670,
alors que la réputation d’Armande, si elle fut ja
étan et à Baru. Elomire « a une grosse toux et l’oreille lui corne de
mille
tintoins. »Bary répond : Les cornes sont toujours
à la Fameuse Comédienne. C’est un petit livre, publié à Francfort en
1688,
réimprimé jusqu’à cinq fois en neuf ans, et anony
tit livre, publié à Francfort en 1688, réimprimé jusqu’à cinq fois en
neuf
ans, et anonyme. On pouvait donc se donner carriè
scuter aucune de ces attributions, également dénuées de preuves ; les
deux
premières surtout sont d’une haute fantaisie : ni
ier, repentant, converti, entièrement retiré de la littérature depuis
1677,
avait d’autres soucis en tête que d’écrire des li
nd, les inventions haineuses dominent, mais tout n’est pas à rejeter.
II
faut distinguer d’abord les faits généraux se rap
de leur théâtre. Le caractère et la manière d’être qu’elle prête aux
deux
époux, les incidens publics de leur existence qu’
nse, la chose fut bientôt conclue. Ils convinrent qu’il lui donneroit
quatre
pistoles par jour sans ses habits et les régals.
çues pour le mari, ou bien qu’il en a su le motif et les a tolérées :
deux
hypothèses également inadmissibles. Si maintenant
’invraisemblance devient une impossibilité. Armande s’était mariée le
20
février 1662, et, le 10 janvier 1664, elle donnai
lance devient une impossibilité. Armande s’était mariée le 20 février
1662,
et, le 10 janvier 1664, elle donnait un fils à Mo
une impossibilité. Armande s’était mariée le 20 février 1662, et, le
10
janvier 1664, elle donnait un fils à Molière. Veu
ibilité. Armande s’était mariée le 20 février 1662, et, le 10 janvier
1664,
elle donnait un fils à Molière. Veut-on placer un
nait un fils à Molière. Veut-on placer une intrigue galante entre ces
deux
époques ? Ce serait faire commencer son inconduit
ite de bien bonne heure. Quant à l’abbé, il part, dès le mois de mars
1664,
avec l’expédition organisée pour défendre la Hong
anisée pour défendre la Hongrie contre les Turcs et meurt à Venise le
9
janvier 1666. Cela n’empêche point la Fameuse Com
r défendre la Hongrie contre les Turcs et meurt à Venise le 9 janvier
1666.
Cela n’empêche point la Fameuse Comédienne de fai
ambord ; or cette pièce ne fut jouée qu’après le départ de l’abbé, le
8
mai 1664, et à Versailles. Une nouvelle et double
; or cette pièce ne fut jouée qu’après le départ de l’abbé, le 8 mai
1664,
et à Versailles. Une nouvelle et double aventure
t une impossibilité et une invraisemblance. Éloigné de la cour depuis
1663,
à la suite d’un petit complot contre Mlle de La V
ensuite parti pour la Pologne et se trouvait encore à Varsovie en mai
1664.
Quant à Lauzun, on ne le trouve pas nommé parmi l
gneurs célèbres à la cour par leurs aventures galantes, elle a choisi
trois
des plus connus, se disant que, dans la foule de
de sots qui la croient d’une vertu sans exemple. » Ne voilà-t-il pas
deux
choses assez difficiles à concilier, « l’éclat »
celui de la Fameuse Comédienne, on peut tenir le fait pour assuré.
VI
Cette rupture ne saurait être antérieure au mo
ré. VI Cette rupture ne saurait être antérieure au mois d’avril
1666,
car à cette époque Armande donnait à son mari un
Molière tombait malade ; nous le savons par Robinet, qui annonce, le
21
février 1666, sa guérison et sa rentrée au théâtr
mbait malade ; nous le savons par Robinet, qui annonce, le 21 février
1666,
sa guérison et sa rentrée au théâtre. Si l’on adm
re rapportée au moment où cette pièce fut jouée, c’est-à-dire en juin
1666,
ou, au plus tard, vers le mois d’août de la même
de la même année, après le Médecin malgré lui. On a vu que, dans les
trois
pièces qui suivent celle-ci : Mélicerte, le Sicil
l n’est besoin, ce semble, de recourir ni à l’une ni à l’autre de ces
deux
hypothèses. Si l’on admet que la Fameuse Comédien
de se défendre. Dans la grande querelle qui précéda la séparation de
1666,
elle déclara bien haut « qu’elle ne pouvoit plus
rait être. En l’espèce, il commit ou une faute ou une maladresse, les
deux
si l’on veut. Faute ou maladresse, au surplus, la
rigue d’Armande. Durant les représentations de Psyché, au carnaval de
1671,
elle se serait éprise d’une passion violente pour
aurait pas retenu. Mais il était encore bien jeune : il avait à peine
dix-sept
ans et Armande n’était pas assez âgée elle-même p
e trouve mêlé à celui du vieux Corneille. Modèle des époux et père de
six
enfants, l’auteur de tant de stances à Iris n’en
de Psyché ; en tout cas, elle n’eut pas lieu plus tard que la fin de
1671,
entre les Fourberies de Scapin et la Comtesse d’E
ient employés avec dévoûment. Vers le milieu de l’année suivante, les
deux
époux allèrent habiter rue de Richelieu. En s’élo
tion, et que le pauvre grand homme connut, du moins, avant de mourir,
quatre
mois de bonheur intime et de tranquillité. Le 15
avant de mourir, quatre mois de bonheur intime et de tranquillité. Le
15
septembre 1672, il devenait père pour la troisièm
ir, quatre mois de bonheur intime et de tranquillité. Le 15 septembre
1672,
il devenait père pour la troisième fois ; il lui
fois ; il lui naissait un fils. Courte joie : l’enfant ne vivait que
onze
jours, précédant son père dans la tombe de quatre
’enfant ne vivait que onze jours, précédant son père dans la tombe de
quatre
mois et demi. Cette réconciliation, en effet, si
ophe foudroyante : on sait dans quelles circonstances dramatiques, le
17
février 1673, il était surpris par la mort. VI
yante : on sait dans quelles circonstances dramatiques, le 17 février
1673,
il était surpris par la mort. VII Des témoi
ces dramatiques, le 17 février 1673, il était surpris par la mort.
VII
Des témoignages que l’on vient de parcourir se
paroles que Grimarest met dans la bouche de Molière : « Cette femme,
cent
fois plus raisonnable que je ne le suis, veut jou
ée des dispositions douteuses : elle fit répandre par les fenêtres un
millier
de livres « en priant avec des termes si touchans
e tout son cœur. » Sur la tombe elle fit placer une large pierre, et,
deux
ou trois ans après, durant un hiver rigoureux, on
on cœur. » Sur la tombe elle fit placer une large pierre, et, deux ou
trois
ans après, durant un hiver rigoureux, on y alluma
Malgré le coup terrible qui la frappait, la troupe ne fit relâche que
six
jours ; il n’y avait pas de temps à perdre si ell
nt nonchalante. Elle aussi triomphait, lorsqu’une lettre de cachet du
21
octobre 1680 ordonna qu’il n’y aurait plus à Pari
nte. Elle aussi triomphait, lorsqu’une lettre de cachet du 21 octobre
1680
ordonna qu’il n’y aurait plus à Paris qu’un seul
ment avait eu lieu dans l’existence d’Armande : depuis le mois de mai
1677,
elle avait échangé le nom glorieux de Molière con
la brillante comédienne de la rue Guénégaud. Facilement abusé par les
deux
femmes, Lescot profita quelque temps en secret de
e suivit naturellement, et un arrêt du parlement de Paris, en date du
17
octobre 1675, condamna le président à faire amend
turellement, et un arrêt du parlement de Paris, en date du 17 octobre
1675,
condamna le président à faire amende honorable de
Châtelet et devant la maison de Mlle Molière ; ce fait, bannies pour
trois
ans de Paris. » On est frappé de l’étrange ressem
essemblance que présente cette affaire avec celle du Collier, qui, en
1785,
compromit le nom de Marie-Antoinette. Les mêmes r
, compromit le nom de Marie-Antoinette. Les mêmes rôles sont repris à
cent
dix ans de distance, celui d’Armande par la reine
promit le nom de Marie-Antoinette. Les mêmes rôles sont repris à cent
dix
ans de distance, celui d’Armande par la reine, ce
énible encore pour la veuve de Molière, le procès Guichard. Ce fut le
16
juillet 1676 que l’ennemi de Lulli lança le factu
re pour la veuve de Molière, le procès Guichard. Ce fut le 16 juillet
1676
que l’ennemi de Lulli lança le factum où elle éta
sation d’empoisonnement qui pesait sur lui fut reconnue fondée et, le
27
février 1676, il s’entendit condamner au blâme, à
poisonnement qui pesait sur lui fut reconnue fondée et, le 27 février
1676,
il s’entendit condamner au blâme, à l’amende hono
vrier 1676, il s’entendit condamner au blâme, à l’amende honorable, à
4,
000 livres de dommages-intérêts et 200 livres d’a
er 1676, il s’entendit condamner au blâme, à l’amende honorable, à 4,
000
livres de dommages-intérêts et 200 livres d’amend
blâme, à l’amende honorable, à 4, 000 livres de dommages-intérêts et
200
livres d’amende ; les imprimeurs de son factum de
suivis. On remarquera la sévérité avec laquelle la justice frappait à
deux
reprises deux accusateurs d’Armande. Si elle eût
arquera la sévérité avec laquelle la justice frappait à deux reprises
deux
accusateurs d’Armande. Si elle eût été la femme a
era sans doute que les ennuis suscités à la malheureuse femme par ces
deux
affaires suffisaient, avec le soin de son théâtre
n parlant du premier mari de sa mère, un fils né de leur mariage : en
1698,
à peine âgé de vingt ans, ce jeune homme avait im
mari de sa mère, un fils né de leur mariage : en 1698, à peine âgé de
vingt
ans, ce jeune homme avait imaginé d’achever et de
ns sa carrière de comédienne, jusqu’à ce qu’elle prit sa retraite, en
1694,
à la clôture de Pâques. Le bonheur qu’elle trouva
re, l’avaient détachée peu à peu de son art ; elle n’avait encore que
cinquante-deux
ans, et elle aurait pu briller longtemps encore,
temps que lui laissait le théâtre. Cette maison existe encore, au n°
11
de la rue des Pierres, à peu près telle qu’Armand
les et son berceau de vigne. Elle mourut à Paris, rue de Touraine, le
30
novembre 1700, âgée de cinquante-huit ans. Son ac
erceau de vigne. Elle mourut à Paris, rue de Touraine, le 30 novembre
1700,
âgée de cinquante-huit ans. Son acte de décès, ne
e. Elle mourut à Paris, rue de Touraine, le 30 novembre 1700, âgée de
cinquante-huit
ans. Son acte de décès, ne fait, naturellement, a
é, en dépit de ce brave Guérin, la veuve de Molière, celle qui a vécu
onze
ans près de lui, l’interprète et l’inspiratrice d
On plaidait hier pour une signature de Molière ; aujourd’hui, voici
quatre
ou cinq pages oubliées de ce grand homme, qu’un h
ait hier pour une signature de Molière ; aujourd’hui, voici quatre ou
cinq
pages oubliées de ce grand homme, qu’un heureux h
our, et pour beaucoup moins, du grand mot de découverte. Il s’agit de
cent
cinquante vers macaroniques qui se rencontrent en
et pour beaucoup moins, du grand mot de découverte. Il s’agit de cent
cinquante
vers macaroniques qui se rencontrent en plus dans
robablement unique, de la cérémonie du Malade imaginaire. Ce livre de
dix-sept
pages a été achevé d’imprimer à Rouen, le 24 mars
naire. Ce livre de dix-sept pages a été achevé d’imprimer à Rouen, le
24
mars 1673, trente-cinq jours après la mort de Mol
e livre de dix-sept pages a été achevé d’imprimer à Rouen, le 24 mars
1673,
trente-cinq jours après la mort de Molière. II a
e de dix-sept pages a été achevé d’imprimer à Rouen, le 24 mars 1673,
trente-cinq
jours après la mort de Molière. II a échappé jusq
à Rouen, le 24 mars 1673, trente-cinq jours après la mort de Molière.
II
a échappé jusqu’ici aux lunettes des bibliographe
es rayons de la Bibliothèque Royale, et, qui mieux est, figure depuis
vingt-cinq
ans au moins sur le catalogue, à l’article si sou
ions du Malade imaginaire. Cette comédie-ballet, composée à la fin de
1672,
pour récréer Louis XIV au retour de la fameuse ca
de la fameuse campagne de Hollande, ne fut jouée devant le roi que le
19
juillet 1674, dans la troisième journée des fêtes
se campagne de Hollande, ne fut jouée devant le roi que le 19 juillet
1674,
dans la troisième journée des fêtes qui eurent li
vant avec un grand succès à Paris, sur le théâtre du Palais Royal, le
10
février 1673, et interrompue le 27 du même mois,
n grand succès à Paris, sur le théâtre du Palais Royal, le 10 février
1673,
et interrompue le 27 du même mois, après la quatr
sur le théâtre du Palais Royal, le 10 février 1673, et interrompue le
27
du même mois, après la quatrième représentation,
, preuve éclatante de ce que vaut le style, même au théâtre. Dans les
deux
pièces en effet, le plan, l’intrigue, les caractè
ne et authentique publication du théâtre complet de Molière, faite en
1680
par La Grange et Vinot. J’aurais bien quelques re
urieux passage du philosophe Locke, qui, se trouvant à Montpellier en
1676,
trois ans seulement après la mort de Molière, écr
passage du philosophe Locke, qui, se trouvant à Montpellier en 1676,
trois
ans seulement après la mort de Molière, écrivait
nde procession de docteurs habillés de rouge, avec des toques noires.
Dix
violons jouent des airs de Lulli. Le président s’
s imprimés sous la forme ordinaire, petit in-4°, une première fois en
1673,
chez Christophe Ballard, seul imprimeur du roi po
musique, et une seconde fois pour la représentation de Versailles du
19
juillet 1674, chez Guillaume Adam, libraire et im
t une seconde fois pour la représentation de Versailles du 19 juillet
1674,
chez Guillaume Adam, libraire et imprimeur ordina
llaume Adam, libraire et imprimeur ordinaire de la troupe du roi. Ces
deux
impressions présentent dans le prologue et les de
roupe du roi. Ces deux impressions présentent dans le prologue et les
deux
premiers intermèdes des variantes assez important
riptos trovatos post suam mortem. » Rouen, chez Henri-François Viret,
1673
; et au dernier feuillet : « Achevé d’imprimer le
rançois Viret, 1673 ; et au dernier feuillet : « Achevé d’imprimer le
34
de mars 1673. » La seconde page commence ainsi :
et, 1673 ; et au dernier feuillet : « Achevé d’imprimer le 34 de mars
1673.
» La seconde page commence ainsi : Acta et ceremo
notre immortel comique. Ce qui constitue la principale différence des
deux
rédactions, c’est que dans les copies ordinaires
différence des deux rédactions, c’est que dans les copies ordinaires
quatre
docteurs seulement prennent part à la réception d
nent part à la réception da postulant, et que dans l’édition de Rouen
huit
docteurs entrent en lice et interrogent le bachel
Mortaliter obstinatum Per clysterium donare, Saignare, Et reiterando
cent
fois purgare, Non potest se guarire, Finaliter, q
a société du xvIIesiècle. La suite est à peu près semblable dans les
deux
textes, sauf quelques additions. Le président fai
op malhonnête. On voit que cette nouvelle rédaction accroît d’environ
cent
cinquante vers, c’est-à-dire de la moitié, le tex
lhonnête. On voit que cette nouvelle rédaction accroît d’environ cent
cinquante
vers, c’est-à-dire de la moitié, le texte que nou
aperçu ; il a même été reproduit une fois, mais non pas en France. En
1697,
un certain Nic. de Castelli, italien réfugié en A
sick toutes les comédies de Molière, qu’il réunit l’année suivante en
quatre
volumes in-12. Dans sa traduction du Malade imagi
rénavant, de tenir plus de compte de son travail. Charles Magnin.
1.
Cette informe contrefaçon pourrait cependant être
ait été mieux servi par ses yeux que par son esprit et ses oreilles.
2.
Life of Locke, by lord King. 3. Daniel Elzevir
ue par son esprit et ses oreilles. 2. Life of Locke, by lord King.
3.
Daniel Elzevir réimprima, en les fondant, les deu
ocke, by lord King. 3. Daniel Elzevir réimprima, en les fondant, les
deux
programmes de 1673 et 1674, et les plaça en tète
3. Daniel Elzevir réimprima, en les fondant, les deux programmes de
1673
et 1674, et les plaça en tète de la fausse comédi
iel Elzevir réimprima, en les fondant, les deux programmes de 1673 et
1674,
et les plaça en tète de la fausse comédie du Mala
nation distincts les intermèdes de Molière d’avec la pièce supposée.
4.
Par exemple, dans le programme de 1674, au lieu d
lière d’avec la pièce supposée. 4. Par exemple, dans le programme de
1674,
au lieu du mot chorus de l’édition de 1175, ou li
ple, dans le programme de 1674, au lieu du mot chorus de l’édition de
1175,
ou lit le mot facultas. 5. En marge : Du son pou
au lieu du mot chorus de l’édition de 1175, ou lit le mot facultas.
5.
En marge : Du son pour les clystères. 6. En marg
5, ou lit le mot facultas. 5. En marge : Du son pour les clystères.
6.
En marge : Chargé d’argent. 7. L’ancien texte po
n marge : Du son pour les clystères. 6. En marge : Chargé d’argent.
7.
L’ancien texte porte : Trovas à propos facere, qu
te élégance macaronique se retrouve plus loin dans le nouveau texte.
8.
On a déjà dû remarquer, au milieu de tout ce lati
[
67,
p. 103-104] Dans la scène VI de l’acte II du Bo
[67, p. 103-104] Dans la scène
VI
de l’acte II du Bourgeois gentilhomme, on trouve
[67, p. 103-104] Dans la scène VI de l’acte
II
du Bourgeois gentilhomme, on trouve le trait suiv
entilhomme, on trouve le trait suivant : « Par ma foi il y a plus de
cinquante
ans que je dis de la prose sans que j’en susse ri
de Sévigné250 dit à peu-près la même chose dans ses lettres : lettre
cinq
, tome 6. « Comment ! J’ai donc fait un sermon sa
250 dit à peu-près la même chose dans ses lettres : lettre cinq, tome
6.
« Comment ! J’ai donc fait un sermon sans y pens
u’il faisait de la prose ». La comédie de Molière fut représentée en
1670,
et la lettre est de 1681. 250. Sévigné, Marie
. La comédie de Molière fut représentée en 1670, et la lettre est de
1681.
250. Sévigné, Marie de Rabutin-Chantal, marqui
médie de Molière fut représentée en 1670, et la lettre est de 1681.
250.
Sévigné, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de (
e 1681. 250. Sévigné, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de (Paris
1626-
Grignan 1696) : épistolière française. Très culti
Sévigné, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de (Paris 1626- Grignan
1696
) : épistolière française. Très cultivée, enjouée
cultivée, enjouée et douée pour la vie mondaine, elle avait épousé en
1644
le marquis de Sévigné, qui fut tué en duel en 165
le avait épousé en 1644 le marquis de Sévigné, qui fut tué en duel en
1651.
Veuve à vingt-cinq ans, elle entrecoupa sa vie re
é en 1644 le marquis de Sévigné, qui fut tué en duel en 1651. Veuve à
vingt-cinq
ans, elle entrecoupa sa vie retirée aux Rochers (
ne victoire sur l’absence. (Dictionnaire le Petit Robert noms propres
2007
) 251. Savoye, Eugéne-Maurice de, comte de Sois
ire sur l’absence. (Dictionnaire le Petit Robert noms propres 2007)
251.
Savoye, Eugéne-Maurice de, comte de Soissons (16
s propres 2007) 251. Savoye, Eugéne-Maurice de, comte de Soissons (
1635
–1708) : fils puiné de Thomas de Savoye, prince de
pres 2007) 251. Savoye, Eugéne-Maurice de, comte de Soissons (1635–
1708
) : fils puiné de Thomas de Savoye, prince de Cari
rince de Carigan, et de Marie de Bourbon, comtesse de Soissons, né le
3
mai 1635, s’établit en France, où il fut colonel
de Carigan, et de Marie de Bourbon, comtesse de Soissons, né le 3 mai
1635,
s’établit en France, où il fut colonel général de
es du roi. Après s’être distingué en plusieurs occasion, il mourut le
7
juin 1673, laissant l’Olympe Mancini, nièce du ca
oi. Après s’être distingué en plusieurs occasion, il mourut le 7 juin
1673,
laissant l’Olympe Mancini, nièce du cardinal Maza
nseil et surintendant de la maison de la reine, qu’il avait épousé le
21
février 1657, morte le 9 octobre 1708. (Moreri, 1
rintendant de la maison de la reine, qu’il avait épousé le 21 février
1657,
morte le 9 octobre 1708. (Moreri, 1759)
a maison de la reine, qu’il avait épousé le 21 février 1657, morte le
9
octobre 1708. (Moreri, 1759)
e la reine, qu’il avait épousé le 21 février 1657, morte le 9 octobre
1708.
(Moreri, 1759)
il avait épousé le 21 février 1657, morte le 9 octobre 1708. (Moreri,
1759
)
CHAPITRE
IX
. La Princesse d’Elide, Comédie-Ballet, en cin
CHAPITRE IX. La Princesse d’Elide, Comédie-Ballet, en
cinq
actes & en vers, comparée pour le fond &
Pastor fido, & de la Phedre de Racine. Cette piece fut jouée le
8
Mai 1664 à Versailles, & le 9 Novembre de la
r fido, & de la Phedre de Racine. Cette piece fut jouée le 8 Mai
1664
à Versailles, & le 9 Novembre de la même anné
e Racine. Cette piece fut jouée le 8 Mai 1664 à Versailles, & le
9
Novembre de la même année, à Paris, sur le théâtr
e, & celui de sa nation. Extrait de la Princesse d’Elide. Acte
I
. Euriale, Prince d’Ithaque ; Aristomene, Prince d
n’aime qu’à combattre dans les forêts les loups & les lions. Les
trois
Princes ont préparé des courses & des fêtes m
r. On lui peint le danger de l’entreprise ; elle répond d’elle. Acte
II
. Dans l’entr’acte, Euriale a remporté le prix de
endre visible, pour qu’elle puisse le combattre avec ses dards. Acte
III
. Le Prince d’Ithaque découvre, par Moron, qu’il e
media famosa ; Dédain pour dédain, Comédie. Premiere Journée ou Acte
I
. Don Carlos, Comte d’Urgele, a entendu vanter, pa
e le dessein de réduire la cruelle, & d’obtenir la préférence sur
deux
rivaux qu’il a déja, Don Gaston, Comte de Fox, &a
cès. Il compare Diana à une figue sur le haut d’un figuier, & les
trois
Princes à des enfants qui veulent faire tomber la
lla trouve un secret excellent pour que la Princesse ne fuie plus les
deux
Princes : il veut qu’on l’enferme dans une tour,
deux Princes : il veut qu’on l’enferme dans une tour, qu’on la laisse
quatre
jours sans lui donner à manger, que le Prince de
ince de Béarn & Don Gaston passent ensuite devant elle, l’un avec
six
poulets & deux pains, l’autre avec un gigot ;
; Don Gaston passent ensuite devant elle, l’un avec six poulets &
deux
pains, l’autre avec un gigot ; loin de les fuir,
ierté de son inhumaine, il veut prendre une route opposée à celle des
deux
Princes. Il exhorte Polilla à faire en sorte de s
. Elle le retient auprès d’elle. Le Comte de Barcelone vient avec les
trois
Princes. Diana lui annonce qu’avant de se marier
e félicitent du succès de la feinte ; ils en esperent beaucoup. Acte
II
. Polilla annonce à Don Carlos que la Princesse n’
l’exhorte à piquer de plus en plus sa vanité. « Feignez, lui dit-il,
dix
jours, le onzieme elle enragera, le douzieme elle
& lui donne une ceinture de la même couleur. On danse, on défile
deux
à deux. Don Carlos & Diana, qui ferment la ma
lui donne une ceinture de la même couleur. On danse, on défile deux à
deux
. Don Carlos & Diana, qui ferment la marche, r
Don Carlos ne l’a pas vue, ne l’a pas entendue. Elle le fait avertir
deux
fois qu’elle est dans le jardin, que c’est elle q
sort. Polilla la suit, en disant tout bas que la danse va bien. Acte
III
. Les trois Princes & Polilla entrent sur la s
illa la suit, en disant tout bas que la danse va bien. Acte III. Les
trois
Princes & Polilla entrent sur la scene : le C
précédés de la musique, défilent devant la Princesse, & se disent
mille
douceurs. Don Carlos est avec eux. Ils sortent to
s de l’éloge qu’elle lui en a fait, mais que l’amour les aveugle tous
deux
apparemment. En feignant de peindre Cintia, il pe
nclure sans le consentement de Diana. Elle avance, fait consentir les
trois
Princes à suivre ses volontés, & donne sa mai
ur donne sa bénédiction, & leur souhaite un bonheur éternel. Amen
20.
L’extrait de cette piece suffit pour en marquer
préparant avec adresse, en observant sur-tout de ne pas faire répéter
quatre
fois sur la scene la loterie de rubans. J’aime en
ité, que Diana, demandant la permission de choisir un époux entre les
trois
Princes, nomme celui qui lui a marqué un plus gra
r elle les plus tendres sentiments. Il les lui apprend lui-même. ACTE
V.
Scene II. Iphitas. Mais afin d’empêcher que le P
ns la source même. Ritrosia per ritrosia, Rebut pour rebut, Piece en
cinq
actes. Lélio ne sait plus quel parti prendre pour
tout-à-fait propre à nos mœurs ? Les Amours a la chasse, par Coypel
21.
Flaminia, fille de Pantalon, ne se plaît que dans
imitation de la Princesse d’Elide. L’heureux Stratagême, comédie en
trois
actes & en prose. Un Chevalier Gascon est l’a
r. Oui, cette passion, de toutes la plus belle, Traîne dans un esprit
cent
vertus après elle : Aux nobles actions elle pouss
d’Euriale donnent à-peu-près les mêmes conseils à leurs éleves. ACTE
I
. Scene I. Théramene. Enfin d’un chaste amour pou
. . . . . . . . . . Théramene est aussi galant qu’Arbate. Tous les
deux
traitent l’amour avec la même gentillesse, tous l
te. Tous les deux traitent l’amour avec la même gentillesse, tous les
deux
l’érigent en vertu, tous les deux conseillent à l
avec la même gentillesse, tous les deux l’érigent en vertu, tous les
deux
conseillent à leurs éleves de se livrer aux charm
toujours à la philosophie. Le Lecteur peut décider dans laquelle des
deux
pieces cette petite saillie de gaieté est mieux à
es deux pieces cette petite saillie de gaieté est mieux à sa place.
20.
Cet amen paroîtra plaisant à mes Lecteurs dans la
ist ! Allez-vous-en avec Barabas ! Vive le Sacré Corps du Christ !
21.
Voici ce qu’on dit de cet Auteur dans la Biblioth
ertile en grands peintres, & même très savant dans cet art, né en
1695,
& mort en 1752, avoit composé plusieurs piece
ntres, & même très savant dans cet art, né en 1695, & mort en
1752,
avoit composé plusieurs pieces de théâtre, dont q
u une copie de toutes celles qu’il avouoit : je les ai fait relier en
6
vol. in-4°. sous le titre de Théâtre manuscrit de
temps où il les a composées. J’ai mis toutes ces pieces sous l’année
1718,
parceque le 10 Juillet de cette année on joua à l
composées. J’ai mis toutes ces pieces sous l’année 1718, parceque le
10
Juillet de cette année on joua à la Comédie Itali
e qu’on connoisse de lui. « Il a fait : l’Ecole des Peres, comédie en
cinq
actes, en prose. Le Triomphe de la raison, comédi
nq actes, en prose. Le Triomphe de la raison, comédie allégorique, en
trois
actes, en prose, avec un prologue, représentée de
prose, avec un prologue, représentée devant la Reine à Versailles, le
17
Juillet 1730. La Capricieuse, comédie en trois ac
un prologue, représentée devant la Reine à Versailles, le 17 Juillet
1730.
La Capricieuse, comédie en trois actes, en prose.
la Reine à Versailles, le 17 Juillet 1730. La Capricieuse, comédie en
trois
actes, en prose. Le Danger des richesses, comédie
comédie en trois actes, en prose. Le Danger des richesses, comédie en
trois
actes, en prose. Les bons Procédés, comédie héroï
die en trois actes, en prose. Les bons Procédés, comédie héroïque, en
trois
actes, en prose. Les Désordres du jeu, comédie en
héroïque, en trois actes, en prose. Les Désordres du jeu, comédie en
trois
actes, en prose. Sigismond, tragédie en trois act
dres du jeu, comédie en trois actes, en prose. Sigismond, tragédie en
trois
actes, en vers. L’Auteur, comédie en trois actes,
se. Sigismond, tragédie en trois actes, en vers. L’Auteur, comédie en
trois
actes, en prose. La Force de l’exemple, comédie e
, comédie en trois actes, en prose. La Force de l’exemple, comédie en
cinq
actes, en prose. Les Tantes, comédie en un acte,
n cinq actes, en prose. Les Tantes, comédie en un acte, en prose. Les
trois
Freres, comédie en trois actes, en prose. Les Cap
es Tantes, comédie en un acte, en prose. Les trois Freres, comédie en
trois
actes, en prose. Les Captifs, comédie en trois ac
ois Freres, comédie en trois actes, en prose. Les Captifs, comédie en
trois
actes, en prose ; le sujet est tiré de Plaute. La
, en prose ; le sujet est tiré de Plaute. La Soupçonneuse, comédie en
trois
actes, en prose. La Vengeance honnête, comédie en
e, comédie en trois actes, en prose. La Vengeance honnête, comédie en
trois
actes, en prose. Les Jugements téméraires, comédi
omédie en trois actes, en prose. Les Jugements téméraires, comédie en
trois
actes, en prose. Le Défiant, comédie en trois act
téméraires, comédie en trois actes, en prose. Le Défiant, comédie en
trois
actes, en prose. Alceste, tragédie en trois actes
e. Le Défiant, comédie en trois actes, en prose. Alceste, tragédie en
trois
actes, en vers, représentée sur le théâtre du Col
ois actes, en vers, représentée sur le théâtre du College Mazarin, le
20
Août 1739. L’Indocile, comédie en trois actes, en
s, en vers, représentée sur le théâtre du College Mazarin, le 20 Août
1739.
L’Indocile, comédie en trois actes, en prose. La
e théâtre du College Mazarin, le 20 Août 1739. L’Indocile, comédie en
trois
actes, en prose. La Poésie & la Peinture, com
actes, en prose. La Poésie & la Peinture, comédie allégorique, en
trois
actes, en prose. La Répétition, comédie en trois
édie allégorique, en trois actes, en prose. La Répétition, comédie en
trois
actes, en prose. Les folies de Cardenio, piece hé
, deuxieme ballet dansé par le Roi dans son Château des Tuileries, le
13
Décembre 1720. Cette piece est en trois actes, en
allet dansé par le Roi dans son Château des Tuileries, le 13 Décembre
1720.
Cette piece est en trois actes, en prose, précédé
ns son Château des Tuileries, le 13 Décembre 1720. Cette piece est en
trois
actes, en prose, précédée d’un prologue en vers..
trois actes, en prose, précédée d’un prologue en vers... Il y a aussi
trois
entrées mêlées de chants & de danses, dont la
sieurs, Une grande nation a rendu hommage à un grand homme, le jour (
1
) ou s’est élevé à Paris, près du Théâtre français
e ce choix pouvait être approuvé dans une ville où naguère2 encore le
225e
anniversaire du grand comique était célébré avec
ore fût à peine né à l’époque où le poète lui attribue la moralité de
1482,
cette licence non impardonnable, tant de fois dép
re vieux théâtre, une date importante et fort connue : c’est celle de
1402,
année où furent données par Charles VI les lettre
ession du droit exclusif de représenter des pièces en public jusqu’en
1629,
c’est-à-dire jusqu’à la veille du Cid. Mais si l
, c’est-à-dire jusqu’à la veille du Cid. Mais si la charte royale de
1402
a constitué le théâtre, elle ne l’a pas créé. On
ment fut représenté à l’Entrée que fit la reine Isabeau de Bavière en
1385.
Il n’est pas impossible que la faveur octroyée pa
ce, miroir des dames mariées, paraît aussi avoir été joué dès l’année
1395.
N’allons pas toutefois jusqu’à dire, avec le fame
fois jusqu’à dire, avec le fameux critique des Lundis3, que l’acte de
1402
fut une fin et non pas un commencement, exagérati
r en garde. Irons-nous, par exemple, jusqu’à compter, avec M. Magnin,
trois
périodes dramatiques, savoir : « la 1ère du premi
’à compter, avec M. Magnin, trois périodes dramatiques, savoir : « la
1ère
du premier au VIe siècle, dont il ne nous reste,
e nous reste, dit M. Francisque Michel lui-même, aucun monument; » là
2e
, du VIe au XIIe siècle, qui n’a d’autre fondement
logue en latin d’église entremêlé de quelque patois languedocien ; la
3e
enfin, allant du XIIe au XVe siècle, mais, selon
mencement d’art dramatique. Du VIe au Xe siècle, nous rencontrons, en
587,
deux cents religieuses qui, aux funérailles de Sa
ment d’art dramatique. Du VIe au Xe siècle, nous rencontrons, en 587,
deux
cents religieuses qui, aux funérailles de Sainte-
d’art dramatique. Du VIe au Xe siècle, nous rencontrons, en 587, deux
cents
religieuses qui, aux funérailles de Sainte-Radego
el nous pouvons joindre, pour faire nombre, le Jugement de Vulcain et
deux
ou trois autres églogues du même genre, qui prouv
pouvons joindre, pour faire nombre, le Jugement de Vulcain et deux ou
trois
autres églogues du même genre, qui prouvent tout
it pas complètement éteint, nous aurons tout le lot dramatique de ces
quatre
siècles. Nous ne parlons pas, bien entendu, de la
nombre de petits poèmes, dont quelques-uns, traduits en français vers
4845,
ont défrayé pendant plusieurs années la critique
ient fini par faire en quelque sorte partie du rituel. Nous avons une
dizaine
de ces dialogues latins; ils ont été édités par M
agment d’un poème « ludus » sur la résurrection du Sauveur, trouvé en
1834
dans un manuscrit de la bibliothèque nationale. C
Brosse, le Miracle de Théophile, enfin le Jeu de la Feuillée (car les
six
poèmes que je viens d’indiquer composent tout l’i
cédé. Le grand d’Aussy, jésuite qui publia d’après les manuscrits, en
1780,
un fragment du Jeu de Saint-Nicolas, dénomme auss
locale, prenons pour type du genre le mystère qui fut joué à Metz, en
1437,
année célèbre, vous le savez, par la rentrée de C
es lieux à l’alentour étaient accourus. Le premier jour, qui était le
3
juillet, on commença par chanter une grand’messe
n se rendit hors la ville, dans une plaine où un vaste amphithéâtre à
neuf
étages de gradins reçut des milliers de spectateu
ne plaine où un vaste amphithéâtre à neuf étages de gradins reçut des
milliers
de spectateurs. Des loges ou tentes, « faites en
des anciens, amphithéâtres des cirques romains. Ainsi, à Bourges, en
1536,
la représentation fut faite, selon un vieil histo
es. »Il n’y aurait donc rien d’étonnant à ce que la représentation de
1437
à Metz ait eu lieu dans la vaste et remarquable n
si c’est une demi-lune ou une lunette, et c’est ce qui l’a protégée.
Soixante
mille spectateurs y purent trouver place et même
une demi-lune ou une lunette, et c’est ce qui l’a protégée. Soixante
mille
spectateurs y purent trouver place et même s’asse
tait une vaste machine, une espèce de château, généralement divisé en
trois
compartiments, l’enfer au-dessous, la terre au mi
et cloait quand les diables voulaient entrer et sortir, et elle avait
deux
gros yeux d’acier. » Tout d’abord on vit Dieu en
evait naître la vierge Marie. Bientôt après, on se trouva transporté
20
ans plus tard et on vit reparaître Anne et Joachi
elleau? Je ne répondrais pas, au surplus, que ces vers soient bien de
1437,
et ne proviennent pas d’un remaniement postérieur
t pas d’un remaniement postérieur. Quoi qu’il en soit, Marie, âgée de
trois
ans, parut ensuite et se dirigea, conduite par se
rusalem, située au centre du compartiment Terre. Le Temple, élevé sur
quinze
degrés, y atteignait presque de son faîte le plan
s pastoureaux, avertis par Gabriel de la naissance du Sauveur, et les
trois
rois conduits par l’étoile. Ils se rendent ensuit
t l’or, la myrrhe et l’encens; les bergers un flageolet « qui a coûté
deux
deniers à la dernière foire de Bethléem et qui en
oûté deux deniers à la dernière foire de Bethléem et qui en vaut bien
quatre
, un beau calendrier de bois pour savoir les jours
de ce genre. L’hôtelier s’empresse de faire ses offres de service aux
trois
rois, qui : acceptent de souper chez lui et qui l
ce mystère, dont pourtant nos aïeux se sont contentés pendant près de
deux
siècles. Ils aimaient ces représentations vivante
s sculptures et les vitraux de leurs cathédrales reproduisaient, sous
mille
formes, à la fois inspirées et naïves ou souvent
Quand le père de l’école florentine, Giovanni Cimabué eut terminé (en
1302
) son tableau de la Vierge aux anges, tout un peup
gues, sur quoi s’exerçait, vous le savez, le talent des Giotto (né en
1366
), des Fra Angelico, des VanDyck, des Zemling, des
VanDyck, des Zemling, des Mantegna, des Luc de Cortone, des Pérugin (
15e
siècle), ces maîtres renommés, dont les travaux j
de l’éclat sur le moyen-âge à son couchant. La cour papale d’Avignon (
1309-1411
) et la brillante cour des ducs Valois de Bourgogn
vignon (1309-1411) et la brillante cour des ducs Valois de Bourgogne (
1363-14-77
), toutes deux protectrices des arts, en secondent
t la brillante cour des ducs Valois de Bourgogne (1363-14-77), toutes
deux
protectrices des arts, en secondent l’essor. Par-
ennent comme l’aurore des splendeurs immortelles que projetteront les
deux
siècles suivants. Vous voyez donc, Messieurs, com
s actes étaient des journées et qu’une seule pièce durait quelquefois
huit
ou dix jours. Le mystère des Actes des apôtres, j
étaient des journées et qu’une seule pièce durait quelquefois huit ou
dix
jours. Le mystère des Actes des apôtres, joué au
huit ou dix jours. Le mystère des Actes des apôtres, joué au Mans en
1510,
dura même quarante jours. Malgré cela, comme un e
rs. Le mystère des Actes des apôtres, joué au Mans en 1510, dura même
quarante
jours. Malgré cela, comme un enfant n’avait pas l
algré cela, comme un enfant n’avait pas le temps de devenir barbon en
40
jours, il fallait plusieurs personnes pour jouer
fallait plusieurs personnes pour jouer le même rôle. Ainsi il y avait
trois
Maries, l’une pour Marie âgée de trois ans, une d
le même rôle. Ainsi il y avait trois Maries, l’une pour Marie âgée de
trois
ans, une deuxième Marie de 13 ans, et une troisiè
ois Maries, l’une pour Marie âgée de trois ans, une deuxième Marie de
13
ans, et une troisième pour Marie mère du Sauveur.
le Sacrifice d’Abraham, mystère joué à Paris devant: François Ier, en
1539,
Isaac, fils de Sara, paraissait en scène dès le m
ans; le mystère de la Conception, Passion et Résurrection, il y avait
cent
personnages: il fallait donc non une simple troup
e en une seule soirée. Quant à la géographie et à la chronologie, ces
deux
poètes en font tout aussi peu de cas que nos aute
our se rallier au faisceau de l’unité nationale, le comtat Venaissin (
1273
), la Navarre (1285), la Guyenne (1299) au XIII0 s
aisceau de l’unité nationale, le comtat Venaissin (1273), la Navarre (
1285
), la Guyenne (1299) au XIII0 siècle, Lyon (1312),
nationale, le comtat Venaissin (1273), la Navarre (1285), la Guyenne (
1299
) au XIII0 siècle, Lyon (1312), Montpellier (1349)
n (1273), la Navarre (1285), la Guyenne (1299) au XIII0 siècle, Lyon (
1312
), Montpellier (1349), le Dauphiné (1349) au XIVe,
(1285), la Guyenne (1299) au XIII0 siècle, Lyon (1312), Montpellier (
1349
), le Dauphiné (1349) au XIVe, qui est aussi l’épo
(1299) au XIII0 siècle, Lyon (1312), Montpellier (1349), le Dauphiné (
1349
) au XIVe, qui est aussi l’époque des premières ré
udrait pas non plus trop rabaisser. On peut rire, par exemple, de ces
trois
compartiments superposés, enfer, terre, paradis,
de l’une des scènes les plus touchantes du Mystère de Metz. C’est la
12e
de a 4e journée : Joseph d’Arimathie vient, avec
des scènes les plus touchantes du Mystère de Metz. C’est la 12e de a
4e
journée : Joseph d’Arimathie vient, avec Nicodème
nture ont souvent reproduites ; et je ne sais même si le Mystère (sc.
15e
de la 4e journée) ne l’emporte pas ici en effet d
souvent reproduites ; et je ne sais même si le Mystère (sc. 15e de la
4e
journée) ne l’emporte pas ici en effet dramatique
te donne ; Mais que devant moi tu te inclines Et m’adores. (Scène
11e
de la 1ère journée). La scène de Jésus demandant
; Mais que devant moi tu te inclines Et m’adores. (Scène 11e de la
1ère
journée). La scène de Jésus demandant le baptême
de la 1ère journée). La scène de Jésus demandant le baptême à Jean (
I
. 8.) est comme la contrepartie de celle-ci ; car
la 1ère journée). La scène de Jésus demandant le baptême à Jean (I.
8.
) est comme la contrepartie de celle-ci ; car il y
pleige-d’autant, etc. Je doute que ces plates inventions, sauf une ou
deux
peut-être, aient été jamais représentées : en tou
n qui intéresse notre sujet. Du temps des Pères de Saint-Acheul, vers
1828,
on faisait lire encore dans certains collèges un
er de Concupiscence, d’où il est tiré par la vierge Pureté, suivie de
deux
acolytes qui sont le 6e et le 9e commandements ;
il est tiré par la vierge Pureté, suivie de deux acolytes qui sont le
6e
et le 9e commandements ; et depuis cela, un homme
ré par la vierge Pureté, suivie de deux acolytes qui sont le 6e et le
9e
commandements ; et depuis cela, un homme sec et b
par Simon Bourgouin, valet de chambre du roi Louis XII. Elle comprend
trente
mille vers et forme un gros volume in-quarto, où
on Bourgouin, valet de chambre du roi Louis XII. Elle comprend trente
mille
vers et forme un gros volume in-quarto, où pour n
, gens de justice et marchands, puis sot ignorant et sotte folle. Ces
six
personnages se mettent en idée de construire un n
rend caquet, dépit, variation et faiblesse avec enragement. Voilà les
six
piliers faits et l’édifice debout; mais une nouve
d, pour fin et défiant qu’il soit, lui laisse emporter à court crédit
six
aunes de drap, qu’il lui vend du reste le plus ch
Il tient bon toutefois se montre très revêche et ne démord pas de ses
six
aunes de drap. Mais Patelin et Guillemette lui fo
uis qu’ainsi va, je le donne . Pour Dieu à quiconque l’a pris. (Scène
XII
, vers 990-994.) La seconde partie de la pièce, l
si va, je le donne . Pour Dieu à quiconque l’a pris. (Scène XII, vers
990-994.
) La seconde partie de la pièce, le second acte,
f-d’œuvre qui en présente tant d’autres. La comédie de Patelin compte
1599
vers de huit syllabes et peut se partager en deux
en présente tant d’autres. La comédie de Patelin compte 1599 vers de
huit
syllabes et peut se partager en deux actes, le pr
e de Patelin compte 1599 vers de huit syllabes et peut se partager en
deux
actes, le premier de treize scènes et de 1006 ver
ers de huit syllabes et peut se partager en deux actes, le premier de
treize
scènes et de 1006 vers, le second de huit scènes
et peut se partager en deux actes, le premier de treize scènes et de
1006
vers, le second de huit scènes et de 593 vers. Le
deux actes, le premier de treize scènes et de 1006 vers, le second de
huit
scènes et de 593 vers. Le lieu de l’action doit ê
mier de treize scènes et de 1006 vers, le second de huit scènes et de
593
vers. Le lieu de l’action doit être supposé à tro
e huit scènes et de 593 vers. Le lieu de l’action doit être supposé à
trois
compartiments juxtaposés : d’un côté la chambre d
éraire fut envahi par la manie latinisante ou grécisante. A partir de
1552,
date de la première tragédie classique (Cléopâtre
tique : « N’attendez donc en ce théâtre, dit un prologue de Grevin en
1558,
Ni Farce ni Moralité, Mais seulement l’antiquit
dommager en admirant notre aise les immortelles créations de Molière.
14
Janvier 1844. 1. M. le Recteur Ch. Aubertin,
admirant notre aise les immortelles créations de Molière. 14 Janvier
1844.
1. M. le Recteur Ch. Aubertin, correspondant
notre aise les immortelles créations de Molière. 14 Janvier 1844.
1.
M. le Recteur Ch. Aubertin, correspondant de l’In
ulté de Dijon et Maître de Conférences à l’Ecole Normale supérieure.
2.
Le 15 janvier 1874, on joua le Misanthrope et Les
e Dijon et Maître de Conférences à l’Ecole Normale supérieure. 2. Le
15
janvier 1874, on joua le Misanthrope et Les Préci
Maître de Conférences à l’Ecole Normale supérieure. 2. Le 15 janvier
1874,
on joua le Misanthrope et Les Précieuses. 3. S
. 2. Le 15 janvier 1874, on joua le Misanthrope et Les Précieuses.
3.
Sainte-Beuve. Poésie au XVIe siècle, page 175 de
pe et Les Précieuses. 3. Sainte-Beuve. Poésie au XVIe siècle, page
175
de l’édit de 1843. 4. M. Pingaud, transféré de l
ses. 3. Sainte-Beuve. Poésie au XVIe siècle, page 175 de l’édit de
1843.
4. M. Pingaud, transféré de la chaire du Littéra
3. Sainte-Beuve. Poésie au XVIe siècle, page 175 de l’édit de 1843.
4.
M. Pingaud, transféré de la chaire du Littérature
u Littérature, française dans la chaire d’Histoire et de Géographie.
5.
M. Emmanuel des Essarts, dont la Leçon d’ouvertu
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