/ 189
1 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
au moment où elle alloit entrer dans un couvent ; qu’il a feint de l’ épouser & qu’il l’a délaissée : elle vient lui reproc
Il voit Charlotte, la trouve aussi très jolie, & lui promet de l’ épouser . Il l’embrasse ; Pierrot se fâche. Don Juan le ba
ardes, reproche au Duc d’avoir séduit Isabelle en lui promettant de l’ épouser , lui dit qu’Isabelle même l’accuse, que le Roi es
est ravi de l’aventure, projette de la séduire, & lui promet de l’ épouser . Catalinon conduit deux pêcheurs qui se font un p
n Juan emploie les serments les plus forts pour lui persuader qu’il l’ épousera . La jeune innocente se rend : ils se cachent dans
ir après le traître Don Juan qui a joui d’elle en lui promettant de l’ épouser . Les pêcheurs vont chercher le séducteur. Tisbéa
n Juan lui dit que son mari la méprise, & qu’il lui a permis de l’ épouser à sa place. Aminta lui dit de jurer que s’il n’ac
mp; sort avec sa Cour. Aminta court après Don Juan, qui a promis de l’ épouser . Don Juan va souper avec la Statue ; il ordonne à
s du Roi de Castille, qui, pour le consoler de Naples, veut lui faire épouser Dona Anna, fille du Commandeur d’Oliola. Le Roi e
fait part de son bonheur à Don Juan, lui dit qu’il est sur le point d’ épouser Dona Anna. Don Juan est jaloux de la félicité de
u Roi contre Don Juan qui a séduit une bergere en lui promettant de l’ épouser . Don Juan se prépare à fuir dans un autre pays, q
Acte II. (La scene représente une campagne.) Elisa, sur le point d’ épouser Carino, le boude de ce qu’il la quitte sitôt. Car
urs dont elle sera capable. Don Juan la trouve jolie, lui promet de l’ épouser  ; elle le conduit à sa cabane, en disant tout bas
n Juan, en le pressant de lui tenir la parole qu’il lui a donnée de l’ épouser . Carino survient & l’exhorte à ne pas se fier
obtenir l’agrément du Commandeur ; mais Don Juan, plus pressé, veut l’ épouser tout de suite : elle résiste : il prend son poign
Commandeur.) Elisa offre à Don Juan de le faire évader, s’il veut l’ épouser  : deux gardes sont ses parents, & la serviron
ui rend ce service. Alphonse laisse entrevoir à Dona Isabella qu’il l’ épousera quelque jour ; elle est bien aise de cette consol
fuit dans une autre ville, où il trouve un de ses freres qui vient d’ épouser une femme fort riche, & qui le présente à sa
2 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. Pieces intriguées par une ressemblance. » pp. 176-191
lone ; mais il ne le trouve point. A son retour, Pantalon le presse d’ épouser sa fille Rosaura. Camille, amoureuse d’Arlequin,
enferme dans le cabaret. ACTE II. Arlequin le Napolitain est fâché d’ épouser Rosaura ; il aimeroit mieux s’unir à Camille. Pan
, & le menace de le faire mettre en prison, puisqu’il ne veut pas épouser sa fille. Le Docteur & Celio lui font la même
par ordre de Celio. Pantalon lui promet de le faire sortir s’il veut épouser Rosaura. Arlequin donne sa parole. Un instant apr
u amoureux de Rosaura, lui fait la même promesse, à condition qu’il n’ épousera pas Rosaura. Arlequin donne encore sa parole. ACT
lequin l’étranger, & le menace de le tuer s’il persiste à vouloir épouser Rosaura. Arlequin lui répond que Pantalon le veut
ison pour lui dire que Rosaura est revenue à elle, & qu’il peut l’ épouser . Il fait le possédé, & tout le monde prend la
t à Milan avec la sœur de Lélio qui la lui accorde, à condition qu’il épousera Flaminia ; & leur querelle de Genes ne sert q
3 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
ons, qu’il avait aussi eue pour sa maîtresse. Marie, délaissée, avait épousé le connétable Colonna. Nous verrons le sacrifice
e vais reproduire leurs noms dans une liste complète. Anne Martinozzi épousa , comme on l’a vu, le prince de Conti, frère puîné
vu, le prince de Conti, frère puîné du grand Condé ; Laure Martinozzi épousa le duc de Modène ; Laure Mancini, le duc de Vendô
duc de Mazarin. Après la mort du cardinal en 1662, le duc de Bouillon épousa Marie-Anne Mancini. Toutes ces femmes furent gala
4 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
oir cinquante-cinq ans, étoit un homme de très bonne mine. Il l’avoit épousée par inclination ; on prétendoit même qu’il l’avoi
toit pas plus avancé, l’amour l’aveugla au point de lui proposer de l’ épouser . La veuve, étonnée de ce discours, sachant qu’il
u mariage, que je le regarde comme nul. La principale est que je l’ai épousée dans la chapelle d’un château, & que c’est un
ses propositions. Il exigea d’elle qu’elle lui promît par écrit de l’ épouser lorsqu’il auroit prouvé clairement qu’il étoit li
nous ne nous convenons plus. Vous savez de quelle maniere je vous ai épousée  ; il y a eu des nullités essentielles dans notre
séduite au point de m’engager de me retirer dans le château où il m’a épousée , doit-il aujourd’hui se prévaloir contre moi de q
 : mais comme j’ai des preuves du contraire, & que je n’ai jamais épousé votre mere suivant les regles de l’Eglise, je vou
5 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
i. Peut-être en effet M. de Modène eut-il la faiblesse de promettre d’ épouser cette Madelène, s’il devenait veuf un jour9. Mais
nde était fille de la comédienne Bejard, qu’il accusa Molière d’avoir épousé la fille et d’avoir vécu autrefois avec la mère25
ent avec cette comédienne. On alla même jusqu’à le soupçonner d’avoir épousé sa fille26 ; mais la disproportion d’âge rendait
ar la famille de Modène, dit (en 1750) que la fille de M. de Modène a épousé Molière. Il commet à la vérité une erreur en énon
me de… Bejard comédienne de Molière, une fille naturelle que celui-ci épousa . » On voit que la véritable naissance d’Armande-
comédienne de la troupe de Molière, une fille naturelle que celui-ci épousa (Guérin, femme de). » Le texte ainsi rétabli, pa
6 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. Des Pieces intriguées par un déguisement. » pp. 216-222
prouver l’humeur, le caractere, la fidélité d’une personne qu’on veut épouser , ou à parvenir à lui parler ou à lui remettre une
mant forme le dessein de démêler le caractere de sa future avant de l’ épouser  : celle-ci a la même intention. Le premier donne
e son maître est d’une humeur singuliere, & qu’il pourroit bien l’ épouser  ; elle se recommande à l’intendant, quand le geol
qu’il en est amoureux. On lui dit que pour avoir sa liberté il faut l’ épouser  ; il ne demande pas mieux. Rosaura frémit à cette
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124
e & d’Ariste, qui sont freres ; il leur a donné le pouvoir de les épouser ou de leur choisir des époux. Ariste s’est chargé
euvent réparer chez lui les défauts de son âge, il sera enchanté de l’ épouser  ; mais que si elle croit être plus heureuse avec
ainsi, avoir trouvé le secret de lui plaire, & veut absolument l’ épouser . Isabelle frémit d’autant plus en voyant approche
ante dans trois jours : son tyran devient plus empressé, & veut l’ épouser le soir même. Isabelle, réduite au dernier désesp
a Carpio. Un vieillard est amoureux de la jeune Isabelle, qu’il veut épouser  ; mais elle est éprise du fils de ce même vieilla
omique que le vieillard Espagnol, puisqu’il croit être sur le point d’ épouser , & qu’il réunit par-là le double intérêt d’am
ne m’a pas chagriné. ACTE I. Scene II. Sganarelle. Quoi ! si vous l’ épousez , elle pourra prétendre Les mêmes libertés que, fi
8 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. De l’Intérêt. » pp. 385-398
c le prie de lui enseigner le logement de M. Oronte, parcequ’il vient épouser sa fille. Sbrigani feint d’être surpris ; & a
bitement de belle passion pour M. de Pourceaugnac, & de vouloir l’ épouser malgré son pere ; ce qui acheve de persuader au f
nguedocienne, accuse Pourceaugnac de l’avoir abandonnée après l’avoir épousée à Pézenas, & d’avoir eu plusieurs enfants d’e
pays est sévere en diable, & punit rigoureusement les hommes qui épousent deux femmes. Ils sortent pour aller consulter des
ont la partie d’aller voir pendre un certain M. de Pourceaugnac qui a épousé deux femmes. Ils apperçoivent ensuite le héros de
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. » pp. 201-217
rimene, jeune coquette. Il consulte Géronimo, pour savoir s’il doit l’ épouser  ; son ami lui conseille de n’en rien faire. Il de
il prie fort poliment Sganarelle de se couper la gorge avec lui, ou d’ épouser sa sœur. Sganarelle ne veut faire ni l’un ni l’au
refus qu’il en fait, il recommence à le battre. Sganarelle aime mieux épouser Dorimene que risquer sa vie. Précis du Canevas I
it le brave à toute outrance : rien ne peut lui résister. Il refuse d’ épouser une fille à laquelle il a promis sa foi. On vient
en oublié à Londres ? Pardonnez-moi, répondit le Comte, j’ai oublié d’ épouser votre sœur, & j’y retourne avec vous pour fin
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XL. Du dénouement des Pieces à caractere. » pp. 469-474
s. Quoi faire ?L’épouser. Je l’ai promis. Francaleu. Quoi faire ? L’ épouser . Je l’ai promis.Quel homme ! Damis. Et tout en vo
vais tout disposer. Francaleu. Oh ! disposez-vous donc, Monsieur, à m’ épouser  ; A m’épouser, vous dis-je ! oui, moi ! moi ! C’e
oser. Francaleu. Oh ! disposez-vous donc, Monsieur, à m’épouser ; A m’ épouser , vous dis-je ! oui, moi ! moi ! C’est moi-même Qu
11 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XII » pp. 100-108
e ans. Le prince de Conti, originairement un des chefs de la révolte, épousa ensuite Marie Martinozzi, nièce du cardinal Mazar
e fixer les regards. Il maria Laure Mancini au duc de Vendôme. Il fit épouser Marie Martinozzi par le prince de Conti. Il maria
irait son attention, mais persuadée qu’il n’aurait jamais la pensée d’ épouser cette étrangère, et que sa société serait pour lu
12 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [67, p. 103-104] »
ise. Très cultivée, enjouée et douée pour la vie mondaine, elle avait épousé en 1644 le marquis de Sévigné, qui fut tué en due
chef du conseil et surintendant de la maison de la reine, qu’il avait épousé le 21 février 1657, morte le 9 octobre 1708. (Mor
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396
ge, il en est enchanté : il se trouve ensuite que le vieillard veut l’ épouser . Arlequin & Célio, valets dans la même maiso
son beau-pere, quand il voit tout-à-coup qu’il est question de faire épouser Eléonora par le Docteur.   La position d’un amant
hé, répond le pere. J’ai fait réflexion que je suis trop vieux pour l’ épouser , & que tu aurois acquitté ma parole en lui do
uitté ma parole en lui donnant la main. Cléante, surpris, dit qu’il l’ épousera par complaisance. Harpagon prétend ne vouloir pas
ntat le plus horrible qui jamais ait été commis. Valere a secrètement épousé la fille d’Harpagon : il croit qu’on a découvert
yage sous la conduite de sa mere. L’Avare de Moliere. Anselme veut épouser Elise, fille d’Harpagon : trop content d’obtenir
as mis en action la demande qu’Anselme fait d’Elise, lorsqu’il veut l’ épouser sans dot ? L’Avare original est si sublime dans c
nt aux premieres propositions qu’un homme opulent lui auroit faites d’ épouser sa fille, Harpagon faisant des réflexions sur l’a
, Harpagon faisant des réflexions sur l’avidité des gens riches qui n’ épousent que pour le devenir davantage, Harpagon craignant
14 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Du Choix d’un Sujet. » pp. 25-38
rcequ’Ascagne, sœur de Lucile, que tout le monde croit un garçon, l’a épousé en secret dans l’obscurité, sous le nom de Lucile
II. Scene II. Valere se trouve avec Ascagne, cette personne qu’il a épousée dans l’obscurité, en croyant s’unir avec Lucile.
re de Valere. D’un autre côté Polidore, ayant appris que Valere avoit épousé secrètement la fille d’Albert, lui fait demander
de sa sœur, de son précepteur, de son pere ? Comment Valere a-t-il pu épouser , en présence de trois témoins sur-tout, Ascagne p
15 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIX. De l’action dans les Pieces à caractere. » pp. 448-468
iginale dont M. de l’Empyrée est amoureux & qu’il veut absolument épouser . Les scenes de Baliveau sont aussi de la derniere
que sa fille & son fils ne se fassent signe de le voler. Il veut épouser la maîtresse de son fils, pourvu qu’il y trouve q
omme mûr, qui n’a pas plus de cinquante ans, & veut la forcer à l’ épouser , parcequ’on vante ses grands biens. Scene VII. H
n que tu as pour elle, je te l’aurois donnée. Cléante lui dit qu’il l’ épousera par complaisance. Il avoue ensuite l’amour qu’il
III. Valere paroît. On lui dit d’avouer son action infame. Comme il a épousé en secret Elise, il croit que son mariage n’est p
16 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165
r de violence ; Qu’il ne fait pas bien sûr, à vous le trancher net, D’ épouser une fille en dépit qu’elle en ait ; Et qu’elle pe
sgrâces 532. Mais ce malheur sans doute se pourrait éviter si l’on n’ épousait pas comme Sganarelle ; si la nature dans toute sa
térêt555, et le bien n’est pas considérable, lorsqu’il est question d’ épouser une honnête personne556. » XIII. Mais on doit so
aisir d’aimer ; on en regarde les personnages, non pas comme gens qui épousent , mais comme amants ; et c’est amant qu’on veut êt
t. V, sc. V. Quand Henriette se croit ruinée, et que Clitandre veut l’ épouser quand même, elle dit tristement :   Rien n’use
17 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488
ille amitié ; en conséquence il est décidé qu’Octave, fils d’Argante, épousera une fille que Géronte eut jadis à Tarente, d’un m
. Sujet de la farce de Piphagne. Piphagne est un vieillard qui veut épouser Isabelle. Il confie son projet à son valet Tabari
odomont, qui lui fait croire qu’il ne s’y étoit caché que pour ne pas épouser une vieille, riche de cinquante mille écus. Lucas
ujet légitime, se désister de sa promesse ; il est ainsi condamné à l’ épouser dans six semaines ». Léandre. Mais qu’est-ce que
moiselle Genevote n’étoit pas trop sotte, qui refusoit tantôt de vous épouser , sur ce que l’on assuroit que vous étiez d’humeur
lie. Et qu’exigeant de nous ce funeste devoir, Il nous veut obliger d’ épouser dès ce soir ? Ergaste. Dès ce soir. Lélie. Dès c
sa conclusion. Au commencement, m’a-t-il dit, j’avois fait dessein d’ épouser moi-même la fille de mon ami, car je prévoyois bi
raint qu’il ne veuille réellement le priver de sa femme en la faisant épouser par Phormion. Moliere n’a pu introduire cette sit
dire que Phormion veut bien se charger de la femme d’Antiphon & l’ épouser , à condition qu’on lui donnera une somme de la ma
e intrigue qui roule sur une fille esclave, sur une autre qui ne peut épouser son amant parcequ’on la croit étrangere, & su
18 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
ation est des plus fidèles. Nouveau stratagème de Scapin. Fulvio doit épouser Lavinia, fille de Beltrame, qu’il néglige. Scapin
de change de trois cents ducats et racheter Celia, qu’il se propose d’ épouser . Il était fiancé à Laudomia, sœur de Celia ; mais
corsaires ; on n’a plus eu de ses nouvelles ; le capitaine a résolu d’ épouser celle des deux sœurs qu’il a le bonheur de retrou
19 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
elle l’a trompé en se faisant passer pour celle-ci ; comment elle l’a épousé secrètement, et comment elle est enceinte. Après
e que Fabio a fait. Zucca révèle que Fabio a, il y a six à sept mois, épousé clandestinement Virginia, la sœur de Lelio, et qu
abio et Virginia, il lui a proposé d’accommoder l’affaire et de faire épouser à Fabio une autre fille que Virginia, qui apporte
i donnera Virginia pour femme. On lui répond qu’il aura celle qu’il a épousée . Fabio s’apaise sur cette promesse. Tous entrent
io est une fille et que c’est elle, et non Virginia, que ce dernier a épousée . Après quelques récriminations de Ricciardo, tout
ille ; une d’elles s’est éprise d’un violent amour pour lui et veut l’ épouser . La jeune fille, à cette nouvelle, recommence ses
20 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75
mbats dans l’esprit du Glorieux, entre sa vanité & la nécessité d’ épouser un riche parti ; plus de morgue dans le financier
Supposez au tuteur cinquante-cinq ans, sa pupille est une folle de l’ épouser  : ne lui en supposez que trente-cinq, il ne faut
ous savez dans quelle situation je suis avec Hortense ; que je dois l’ épouser , ou lui donner deux cents mille francs. Ici le M
personne comme elle : plus je la vois, plus je l’admire. La Comtesse. Epousez -la, Marquis, épousez-la, & laissez là Hortens
plus je la vois, plus je l’admire. La Comtesse. Epousez-la, Marquis, épousez -la, & laissez là Hortense : il n’y a point à
res. Il est sûr qu’elle ne l’aime point ; il veut faire semblant de l’ épouser  : elle le refusera, & son refus servira de qu
1680, fut chargé long-temps des affaires du Roi en Angleterre, où il épousa secrètement une Demoiselle Angloise d’une naissan
21 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V.*. Destouches imitateur, comparé à Moliere, Plaute, Regnard, Shakespeare, &c. » pp. 185-218
, il est secrètement amoureux de Julie que Léandre est sur le point d’ épouser par ses soins. Crispin l’exhorte à souffler la co
les apprennent d’eux que Léandre & l’Olive leur ont permis de les épouser . Le dépit agit sur leurs cœurs. Crispin presse N
’une fille qui avoient déja passé le printemps de leur âge, s’avisa d’ épouser en secret une jeune personne qui, au bout de quel
t une très jolie personne qui étoit de l’assemblée, & qu’il avoit épousée depuis quelques années. La fille du bon-homme fit
re contre lui ; Valere déteste la vieille folle qui veut absolument l’ épouser . La Comtesse vient elle-même se plaindre à Valer
end confidence pour confidence, & lui déclare qu’il a secrètement épousé Julie. Oronte arrive avec la Comtesse & M. M
ne veut voir danser qu’après son mariage. Oronte ordonne à son fils d’ épouser la Comtesse : celui-ci déclare son mariage avec J
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. Des Pieces intriguées par les Maîtres. » pp. 151-168
us aime, &, pour prix d’un zele si discret, Je vous puis aisément épouser en secret. Oronte, à part. M’épouser en secret !
i discret, Je vous puis aisément épouser en secret. Oronte, à part. M’ épouser en secret ! Me voilà bien. Courage. La Tante. Ce
pour vous vous a fait le beau compte, Ne lui parliez-vous point de l’ épouser  ? La Tante. Ne lui parliez-vous point de l’épous
z-vous point de l’épouser ? La Tante. Ne lui parliez-vous point de l’ épouser  ?Demain, S’il l’eût pu consentir. Léandre. S’il
23 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184
ce noble métier. Harpagon aime la maîtresse de son fils, & veut l’ épouser  ; Harpin est amoureux de Climene amante de Clitan
rès fade : & Don Juan part pour aller voir son pere mourant, sans épouser , ce qui diminue l’intérêt qu’il doit prendre à Lé
que sa confidente introduise la nuit son amant dans sa chambre pour l’ épouser en secret : la cérémonie va se faire quand Don An
le de Pourceaugnac. Le héros, sot comme le Limousin de Moliere, vient épouser une fille qui ne l’aime point. On lui fait mille
, par occasion, que Monsieur Vivien de la Chaponnardiere y étoit pour épouser la fille de Monsieur, j’ai cru ne pouvoir me disp
nier, il faut que tu m’épouses, ou que tu sois pendu. Vivien. Je vous épouserai , moi ? L’Orange. Oui, par la ventrebleu, tu m’épo
vien. Je vous épouserai, moi ? L’Orange. Oui, par la ventrebleu, tu m’ épouseras . Mad. Dubuisson. Ne vous tourmentez donc point, M
e. M. Bernard, amoureux & tuteur d’Angélique, veut absolument l’ épouser , & la tient renfermée dans sa maison de campa
cabaretier de l’Ecu à Nemours, dit qu’il est veuf & projette de l’ épouser . D’un autre côté Julienne croyant être veuve se p
24 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE III. Dufresny imitateur comparé à Moliere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire véritable du faux Martin-Guerre, & à la nature. » pp. 81-99
dant comme il craint que le testament ne soit pas valable, il tâche d’ épouser la veuve. Il ménage en même temps la tendresse d’
ant & des manieres sémillantes, la séduit au point qu’elle veut l’ épouser . L’autre est une prude : Frontin prend le nom &am
n Guerre. Martin Guerre, né dans la Biscaye, âgé d’environ onze ans, épousa Bertrande de Rols, du village d’Artigues, au Dioc
ses soins. Précis de la Piece. La veuve de Damis est sur le point d’ épouser Ligournois, le contrat est signé ; elle voit Vale
25 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
e restait, chercha à s’en débarrasser par un établissement. Scarron l’ épousa en 1651. Elle avait alors seize ans. Elle passa n
e chose, et le corps, en vérité, pour rien77. »Et Scarron, avant de l’ épouser , disait à ses amis : Je lui apprendrai bien des s
ais pas 78… » Quelques mois après la mort de son mari, elle refusa d’ épouser un homme de qualité, à qui ses amis lui conseilla
m’en avait dit quelque chose. » 77. Suivant Auger, Scarron n’aurait épousé Françoise d’Aubigné qu’en 1658, à l’âge de 23 ans
26 (1901) Molière moraliste pp. 3-32
roit le droit de l’être. Comment ! parce qu’un homme s’avise de nous épouser , il faut d’abord que toutes choses soient finies
ur cela que mon père et ma mère : ce sont eux proprement qui vous ont épousé  ; je prétends n’être point obligée à me soumettre
est triste et vraie. Mais pourquoi Georges Dandin a-t-il, par vanité, épousé une demoiselle et l’a-t-il épousée sachant qu’ell
Georges Dandin a-t-il, par vanité, épousé une demoiselle et l’a-t-il épousée sachant qu’elle ne l’aimait pas ? Nous comprenons
rien, demande si l’on fait les enfants par l’oreille. Il va pouvoir l’ épouser en paix. Elle croira volontiers que, du côté de l
rtout de se choisir un gendre médecin, veut-il contraindre sa fille à épouser Thomas Diafoirus ou à s’enterrer dans un cloître,
elle ne s’attarde guère à ces considérations générales. Tartuffe veut épouser Angélique, et ce mariage ne doit point se consomm
27 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXI. Du Genre mixte. » pp. 241-252
est amoureuse d’Accante, amant d’Isabelle sa fille ; elle voudroit l’ épouser , & fait confidence de ses amours à Laurette,
de Palaprat, M. Grichard, Médecin par état, grondeur par humeur, veut épouser Clarice. Toute sa famille desire que ce mariage n
me rendra plus intelligible. Dans l’Ecole des Maris, Sganarelle veut épouser Isabelle : Isabelle ne craint rien tant que ce ma
28 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
éviter. Molière, âgé de plus de quarante ans, avait eu l’imprudence d’ épouser une très jeune personne, la fille de cette même m
e, en un acte, 1674. Timon, comédie en un acte, 1684. Brécourt avait épousé la demoiselle N. Étienne Des-Urlis, comédienne du
retteur, et que Molière ne l’aimait pas. Il mourut en 1676 ; il avait épousé Catherine Le Clerc, qui se fit plus de réputation
curé de ses amis de faire les cérémonies à sa place. Du Croisy avait épousé Marie Claveau, de la province du Poitou. De ce ma
du Dauphin, et mourut en 1670 ; la seconde, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756, à quatre-vingt-d
rut en 1756, à quatre-vingt-dix-huit ans. Une sœur de du Croisy avait épousé Bellerose, célèbre comédien de l’Hôtel de Bourgog
olière) Armande-Grésinde-Claire-Élisabeth Béjart, sœur des Béjart, épousa Molière au commencement de 166212. Ce mariage fut
ans L’Homme à bonnes fortunes. Après la mort de son mari, Mme Molière épousa Guérin d’Estriché, et continua de briller sur la
de la demoiselle Bourguignon, ayant appris le dessein qu’elle avait d’ épouser Beauval, obtint de l’archevêque de Lyon un ordre
ée par sa mère. Elle se laissa enlever par Rachel de Montalant, qui l’ épousa dans la suite, et passa sa vie avec elle à Argent
29 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
et qu’enfin, par suite de son entêtement, sa fille Henriette a failli épouser un plat intrigant. Armande a les défauts de sa mè
n’est soutenue par le mérite et par la vertu ? Elle ne peut espérer d’ épouser qu’un jeune fou, avec qui elle sera malheureuse,
te seul lui demeure quand tout lui manque, et lui propose encore de l’ épouser . Il n’y met qu’une condition, c’est qu’elle quitt
, comme ses confrères, aux défauts des femmes, et s’il s’obstine à en épouser une ce n’est pas du moins qu’il croie à leur perf
de son tuteur. Un article du testament paternel oblige sa pupille à l’ épouser  ; mais il n’a pas dessein de la contraindre ; il
ncle a supposées, elle se croit ruinée avec sa famille, elle refuse d’ épouser celui qu’elle chérit : Je sais le peu de bien qu
le langage de l’honneur et de la raison ; puis, le trouvant obstiné à épouser sa dot, elle va jusqu’à lui faire craindre les ac
m vous reconnaîtrez la même personne. Elle est mariée à Orgon qui l’a épousée en secondes noces, et lui a apporté un grand fils
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
affaires de tous les soucis qu’il peut prendre ! Le mien me fait ici épouser ses inquiétudes ; &, parcequ’il est amoureux,
faires  De tous les soucis qu’il peut prendre.   Le mien me fait ici   Epouser ses inquiétudes ;  Et, parcequ’il est amoureux, I
ent libre que celui des yeux, de la langue & des mains, lorsqu’il épousa Mademoiselle d’Aubigné, si célebre depuis sous le
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
orce pas à faire un hymen qui lui déplaît, & qu’on lui permette d’ épouser Agnès. Arnolphe, qui est amoureux d’Agnès, exhort
ncevable. Dans l’Ecole des Maris, Isabelle sait que Sganarelle veut l’ épouser dans huit jours : elle convient avec son amant qu
nversés par une pensée toute simple qui vient à son tuteur. Au lieu d’ épouser sa pupille dans huit jours, il veut lui donner la
32 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. Pieces intriguées par une chose inanimée. » pp. 199-203
de Scarron. Le maître de Jodelet doit partir incessamment pour aller épouser une femme qui ne l’a jamais vu. Avant que de se m
rt d’un oncle, & d’amener la jalousie d’un rival qui ne veut plus épouser Aurora. Je ne citerai aucun exemple des pieces in
33 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55
ommes l’entrée de l’appartement de la reine 21.Gaston fut contraint d’ épouser l’héritière de Montpensier, pour rendre impossibl
rrivée du roi d’Angleterre à la cour, où il venait dans l’intention d’ épouser la princesse. Les mémoires du duc de La Rochefouc
34 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
e la déraison et l’injustice. Aussi, lorsqu’il va parler à Agnès de l’ épouser , aucune précaution ne lui paraîtra de trop. Il lu
t soumise à toutes ses volontés. Mais, dès qu’Arnolphe lui parle de l’ épouser , elle se réveille, elle se révolte, elle rentre e
es, on peut cependant les rapprocher très justement. Arnolphe voulait épouser une fille beaucoup plus jeune que lui ; George Da
ulait épouser une fille beaucoup plus jeune que lui ; George Dandin a épousé une fille d’un rang supérieur au sien. Eh bien, e
pouvantables. Alors on a rappelé son mariage et on l’a accusé d’avoir épousé sa fille. On ne s’est pas arrêté là. Il y avait u
35 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380
il n’obtient l’absolution qu’en promettant de changer de vie, & d’ épouser une femme avec laquelle il vit, & qui est enc
que Votre Majesté considérera mon rang, & ne m’obligera point à l’ épouser . Le Roi. Votre rang, Milord ! La grandeur qui s’a
i fait de grandes actions. Je crois donc que vous devez, par justice, épouser celle que vous avez injuriée. Peggy, aux genoux d
, Sire, soient mes seuls remerciements. Mais, hélas ! je craindrois d’ épouser ce jeune Seigneur, cela ne feroit que lui donner
sé six semaines chez le Marquis, & que bonnement on ne doit pas l’ épouser  ; après cela Richard au désespoir va se reposer c
36 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475
e le moins dans les pièges… » Vers le milieu de l’année 1685, le roi épousa madame de Maintenon, un peu plus de deux ans aprè
être faite dévote et d’avoir fait manœuvrer des prêtres pour se faire épouser , elle qui avait acquis le cœur du roi et obtenu s
Maintenon. L’amour aurait suffi peut-être pour déterminer le roi à l’ épouser  ; mais quelle puissance aurait eue, en cette circ
ans le déshonneur, on pourrait dire que la religion a décidé le roi à épouser sa concubine, surtout s’il avait été dégoûté d’el
es jésuites, ni le clergé tout entier ne seraient parvenus à la faire épouser si elle n’eût charmé le roi ; et il était fort po
37 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVII. Du titre des Pieces à caractere. » pp. 417-432
Il parle de son amour pour sa pupille, & ne sait trop s’il doit l’ épouser , parceque Newton ne s’est pas marié. Bélise, sœu
larme à l’œil & le désespoir dans le cœur ; un homme qui venoit l’ épouser est arrêté en route par une maladie très dangereu
issuade, & l’exhorte à se marier. Eraste avoue qu’il a projetté d’ épouser sa pupille ; Lisimon approuve ce mariage, quoiqu’
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Des Comédies Héroïques. » pp. 9-29
. Dalila lui oppose son devoir, sa religion, lui apprend qu’elle doit épouser Achab, Général des Philistins. Samson n’est pas e
Samson leur dit que c’est à eux-mêmes de trembler. Achab le menace d’ épouser Dalila en sa présence. Ce dernier outrage le pous
tous les Grands de Castille ne voyant pas de Rois voisins qui pussent épouser leur Reine, prétendant à l’envi l’un de l’autre à
l se rencontre quelqu’un entre ces trois qu’elle puisse aimer, elle l’ épousera . Ils obéissent, & lui nomment Don Manrique de
39 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
lhomme grenadin, souvent trompe par des femmes d’esprit, imagine d’en épouser une bien sotte qu’il fait élever exprès et qu’il
, c’est qu’amoureux et jaloux presque autant qu’Arnolphe, il venait d’ épouser la Béjart, qui était presque aussi jeune qu’Agnès
oiselle Béjart] Mademoiselle Béjart. Cette actrice, dont la fille épousa Molière, joua pendant plusieurs années en Langued
e tragique, qu’elle s’appelait Geneviève Béjart, et que Molière avait épousé sa nièce. [Armande Béjart] Armande-Claire-
fille de mademoiselle Béjart, et d’un gentilhomme nommé M. de Modène, épousa Molière en février 1662, se remaria, le 31 mai 16
et vers 1635 il entra dans celle de l’hôtel de Bourgogne. En 1638, il épousa Jeanne de la Chalpe, veuve de Pierre Rousseau, éc
à Londres ? Pardonnez-moi, messieurs, leur répondit-il, j’ai oublié d’ épouser votre sœur, et je retourne avec vous pour finir c
alité ; c’est ainsi, enfin, qu’un riche paysan, qui a fait la folie d’ épouser une demoiselle, est témoin des rendez-vous noctur
40 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
ng à l’impudent valet ; celui-ci les rend avec usure. « Ottavio doit épouser bientôt Dona Anna, sa bien-aimée ; il doit se ren
r, il aurait conté fleurette aux baleines.” « — Vous avez promis de m’ épouser , dit la pêcheuse en sortant du bois avec Don Juan
is ce n’est pas mon nom. — Il le sera bientôt.” En effet, il enlève l’ épousée  ; Arlequin le suit et disparaît avec la fille qu’
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261
vec la fille de Chrémès est prêt à être conclu : s’il ne refuse pas d’ épouser , il n’aura rien à lui dire ; mais s’il marque de
in, il est charmé de le voir avec Charinus. Il sait que l’un craint d’ épouser Philumene, & l’autre de ne pas l’épouser ; il
l sait que l’un craint d’épouser Philumene, & l’autre de ne pas l’ épouser  ; il leur rend l’espérance en leur apprenant que
I. Pamphile ne peut comprendre à quel propos son pere le presseroit d’ épouser Philumene, s’il étoit vrai que Chrémès la lui ref
ui proteste que son fils est brouillé avec l’Andrienne, & brûle d’ épouser Philumene. Cachez-vous, lui dit-il, je ferai parl
persiffle Simon, en lui disant que son fils languit après le moment d’ épouser Philumene ; qu’il a peint son impatience dans une
42 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. » pp. 20-52
ucile. Ascagne, loin de s’alarmer de cette tendresse, en profite pour épouser en secret son amant, sous le nom de sa sœur. Vale
u’elle a pour Flaminio, l’amant de sa sœur Béatrix, & qu’elle l’a épousé en secret, sous le nom de cette même sœur. Flamin
tenir en mariage. Alors je fus contraint de lui avouer que je l’avois épousée en secret, & que j’étois introduit tous les s
’il differe par-là son bonheur, puisque Béatrix ne le veut absolument épouser qu’après l’arrivée de ce frere. Il prie Arlequin
romise ; à présent que vous manquez à votre parole, il m’est permis d’ épouser qui bon me semble. Diana. Hé bien, restez dans vo
43 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37
acé des vitres de cristal par du verre. Le frère aîné de d’Urfé avait épousé cette belle par arrangement de famille ; et d’Urf
issance ; alors d’Urfé obtint à Rome d’être relevé de ses vœux, et il épousa sa belle-sœur. Il se piqua de la venger des priva
44 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
elui d’avoir été mari trompé. Or c’est certainement une sottise que d’ épouser à quarante ans une jeune fille de dix-huit ; mais
tisan de la liberté féminine est honoré, respecté, aimé et finalement épousé , quoique vieillard, par une jeune fille charmante
 en mettre trop », comme nous disons familièrement, et qu’il ait fait épouser sa jeune fille charmante par un homme très sensé,
onnêtes de la femme que la jeune fille va dans ce cas-là jusqu’à vous épouser , fussiez-vous un vieillard, à plus forte raison v
r enfin il est très vrai que c’est une grande chance de bonheur que d’ épouser un homme raisonnable ; mais encore celui qui, à s
prescrit qu’on la rendît idiote autant qu’il se pourrait. À son avis, épouser une sotie est pour n’être point sot et vous savez
femme n’est que la punition de la sottise qu’a faite George Dandin d’ épouser la fille d’un gentilhomme ridicule ». Rien de plu
dire à, Sostrate quel est celui de ses amants qu’il, lui conseille d’ épouser , font tout à fait songer à Marivaux et même ne so
té devient méchant aussi à l’égard de sa fille, et si l’un veut faire épouser à sa fille une manière de sacristain, l’autre veu
aire épouser à sa fille une manière de sacristain, l’autre veut faire épouser à la sienne le fils du Grand Turc. La punition de
gens qui parlent toujours au nom du Ciel (Tartuffe) ; il ne faut pas épouser une jeune fille d’une classe supérieure à la vôtr
élevée ainsi pourra très bien et très raisonnablement et avec plaisir épouser un sexagénaire. Dans L’École des femmes, Molière
ec plaisir, malgré l’immoralité de ce spectacle, le jeune homme qui a épousé une fille pour son argent devenir un mari trompé,
une fille pour son argent devenir un mari trompé, l’homme d’âge qui a épousé une jeune fille avoir le même sort, c’est qu’il l
gélique, il y a la revendication d’indépendance d’une femme qui a été épousée contre sa volonté et qui, par conséquent, ne s’es
préjugé qui, dans les Femmes savantes, n’est pas ridiculisé, mais est épousé , et qui n’est pas vaincu, mais qui est vainqueur.
e par sa jolie bouche ; elle plaide son cas qui est celui-ci : on l’a épousée sans qu’elle y consentît, et avant les paroles qu
r cela, que mon père et ma mère ; ce sont eux proprement qui vous ont épousé , et c’est pourquoi vous ferez bien de vous plaind
aussi. Martine est certainement un enfant de la nature ; mais vouloir épouser une jolie fille qui a de la fortune et obtenir le
s un bon état monarchique ; s’il est impitoyable pour un paysan qui a épousé une demoiselle, c’est qu’il ne faut pas sortir de
e homme ?… » — « Quel est le plus criminel d’un paysan assez fou pour épouser une demoiselle ou d’une femme qui cherche à désho
té est qu’on peut très bien rire de quelqu’un et ne pas, pour autant, épouser , admirer et aimer celui qui lui joue d’un tour. L
x crimes, celui d’abêtir une petite fille et celui, vieux, de vouloir épouser une jeune fille ; il y abandonne presque tout ent
George Dandin, parce que George Dandin a commis la mauvaise action d’ épouser une jeune fille sans s’être inquiété de son conse
ce soit quand il émet ses théories du premier acte et quand il dit : Epouser une sotte est pour n’être point sot. Et c’est pr
de l’âme sur ce que je faisais. J’ai fait réflexion que, pour vous épouser , je vous ai dérobée à la clôture d’un couvent… Le
ssainir sa demeure. Ce vice vient de la bêtise et la renforce Argan a épousé une infirmière hypocritement câline pour se faire
dire : Eh ! Messieurs, que prétendez-vous faire ? puisqu’il songe à épouser la fille de Philaminte. Mais précisément c’est ce
ie rarement pardonne, à vrai dire. Sa punition sera la courte honte d’ épouser un autre Clitandre, peut-être de second degré, et
dureté qu’il y a à vouloir forcer sa fille qui n’entend pas le grec à épouser un homme de lettres. Par là elle retombe dans le
este. Qu’elle l’aime un peu, cela est certain puisqu’elle consent à l’ épouser ce qui — Alceste est trop emporté pour s’en aperc
Elle devait être de bonne famille bourgeoise, mais pauvre. Orgon l’a épousée pour sa beauté et elle a épousé Orgon pour son ar
e bourgeoise, mais pauvre. Orgon l’a épousée pour sa beauté et elle a épousé Orgon pour son argent ; n’ayant point du reste po
hée de conclure cette affaire. Si elle avait été riche elle n’eût pas épousé ce grand bourgeois colérique chargé de trente ans
aime Philinte puisqu’il s’en faut qu’il soit indigne d’être aimé et j’ épouserai l’un à défaut de l’autre avec une grande bienveil
unes filles de Molière. Comme toutes elle est honnête, sensée et veut épouser le jeune homme qu’elle aime ; mais elle est timid
entilhomme ne fait pas : un gentilhomme séduit une jeune fille sans l’ épouser mais ne réponse pas pour la séduire, et il laisse
fille sans aucun bien. Celui qui, vraisemblablement, ne voudrait pas épouser une fille riche par considération des habitudes d
n, mais encore ne paraît pas un instant ébranlé dans son dessein de l’ épouser , ce qui prouve qu’il est amoureux, bel et bien am
dont le mari est cru mort, se faisant racheter lui et elle, voulant l’ épouser , en étant empêché parce que le mari est vivant, e
45 (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98
dieu ; Madeleine Béjart, dont, toute réflexion faite, Molière vient d’ épouser la sœur. — Il en a épousé la sœur ? — Toute jeune
nt, toute réflexion faite, Molière vient d’épouser la sœur. — Il en a épousé la sœur ? — Toute jeune ; c’est du fruit bien ver
t-ce que ?… — Hé ! hé ! — Diantre ! Mais vous disiez qu’il vient de l’ épouser  ? — En janvier dernier… Entre nous, ce serait dom
rique, cet unique moyen de n’être point… ce que vous savez, — c’est d’ épouser une sotte. Une sotte ! le compère se récrie ; et
our rien ?… Et plus bas encore : — Je vous le disais bien qu’il avait épousé sa fille ! Mais cet orage sous terre ne semble pa
i qui l’a tenue ignorante ; et qu’en attendant qu’Horace, qui la veut épouser honnêtement, ait préparé son père à ce mariage, i
ôter le péché. — Oui, dit Arnolphe, enrageant ; mais je voulais vous épouser , moi. — Ah ! repart l’enfant, vous, ce n’est pas
u roi une requête dans laquelle il accusa ouvertement Molière d’avoir épousé sa fille. On sait la réponse de Louis XIV : le 28
ère. Il avait conquis son public, il faisait de l’argent, il venait d’ épouser la femme qu’il aimait, elle allait le rendre père
46 (1740) Lettres au Mercure sur Molière, sa vie, ses œuvres et les comédiens de son temps [1735-1740] pp. -89
tuteurs de deux filles qu’un de leurs amis leur a laissées, pour les épouser ou pour les pourvoir, comme bon leur semblera. Ar
Claire- Elisabeth - Armande - Gresinde Béjar, veuve de Moliere ; elle épousa François Guérin154, excellent comedien de la Trou
lant, qui, ayant vu quantité de femmes d’esprit infidelles, en voulut épouser une d’une sotise extrême, de laquelle il fut auss
vait été mariée en premières noces à P. Rousseau, sieur Du Clos. Elle épousa Zacharie Jacob en 1638, à Rueil. Nous avons vaine
65. Mlle de Chanvallon (Judith Chabot de La Rinville), née vers 1667, épousa J.-B. de Lhoste, sieur de Chanvallon, et se retir
me de Nicolas Biet de Beau- champ, eut une fille, Madeleine Biet, qui épousa Jean Chantrelle, sieur Du Boccage, père d’Antoine
de Nanteuil. 172. René Berthelot mourut le 4 novembre 1664. Il avait épousé à Lyon, en 1653, Marquise-Thérèse de Gorle. 173.
, l’Allemagne protestante, 1672.) 191. Nicolas Drouin, dit Dorimond, épousa Marie Du Mont, qui, devenue veuve avant 1670, fut
47 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
amp; fils de Trufaldin, marchand d’esclaves. Il ne peut en conscience épouser sa sœur ; il la cede à Lélie. Il n’y a dans tout
gent, il faut qu’il l’épouse : que deviendrai-je ? Géta. Mais il ne l’ épousera pas. . . . . . . . . . . . . . . . M. Piron a mi
prend qu’il est son rival, qu’il est protégé par la mere, & qu’il épousera sa maîtresse. Acte II. Licipe conduit les deux D
48 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIX. » pp. 397-410
Il y avoit autrefois à Atezzo un homme riche, nommé Tofan, qui avoit épousé une belle jeune fille, nommée Gitte. Il ne fut pa
comme c’est assez l’ordinaire parmi les gens de cette profession : il épousa une fille de qualité, nommée Simone, qui n’étoit
descendre à ma volonté, je vous proteste que je ne vous aurois jamais épousée . A quoi la jeune fille, sans considérer ce qu’ell
49 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
it affermi sur son trône, et maître de sa capitale. Lorsque ce prince épousa , en 1600, la Florentine Marie de Médicis, il voul
rofonte Scarabombardon se voit supplanté auprès de celle qu’il devait épouser , sur quoi on lui dit : Galant seigneur capitaine
nner un fils. L’empereur et l’impératrice, pensant me contraindre à l’ épouser , entrèrent un jour dans notre chambre, où déjà je
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132
’eunuque. Il rentre chez Thaïs, qui lui pardonne, dans l’espoir qu’il épousera Pamphila. Pythias, servante de Thaïs, se fait un
amp; du Chevalier, est indigné contre le premier, parcequ’il refuse d’ épouser la fille du Marquis de Sardan, & veut la donn
a Comtesse ; Frontin l’y voit entrer, il est satisfait. Il projette d’ épouser Marine, mais Timante lui doit ses gages, & ne
to per mouille quella ragazza, per moglie. Le Baron. Que je lui fasse épouser cette fille ? Frontin. Ouei metis hodie, hoggi, h
51 (1802) Études sur Molière pp. -355
de Diane, elle lui avoue que, sous le nom de sa sœur Beatrix, elle a épousé secrètement Flaminio, amant de cette même sœur.
Le mystère du déguisement est découvert, et les deux fils du Docteur épousent les deux filles de Magnifico. Lisez la pièce de
n avec la personne qu’il aime, mais avec la sœur de celle qu’il croit épouser  : même invraisemblance dans l’erreur de cet époux
ayant déjà passé plusieurs nuits en secret avec Valère, finira par l’ épouser . De la tradition. Il y a très longtemps que
s douter, que c’est l’amant de sa femme ; Eleonora, jalouse, promet d’ épouser le Docteur, puis, se repentant bientôt de sa prom
pprendre que son fils, vivant en secret avec une autre femme, ne peut épouser Célie. La moralité. — Bonne ; elle nous prouve à
ux ; la dernière confie ce soin à son tuteur, à son tuteur qui veut l’ épouser , et qui, prenant à la commission qu’on lui donne
fendant Damis et en lui sauvant la vie, obtient son consentement pour épouser Orphise. Des intermèdes. L’on veut nous don
très mauvaise opinion des femmes. Il prend cependant la résolution d’ épouser une jeune innocente appelée Laure, qu’il a fait é
et lui propose ensuite de se battre pour se venger de l’insulte, ou d’ épouser bien vite ; il prend bravement le dernier parti.
e ne vint que longtemps après. Dans la scène xiv, Sganarelle refuse d’ épouser , « parce qu’il veut imiter son père et tous ceux
elle bien sûr d’avoir fait un mauvais choix, forcé à coups de bâton d’ épouser la femme qui doit empoisonner ses jours ; accablé
ammée, parce que les incendiaires sont punis par le feu, et finit par épouser celui qui a su vaincre son dédain par le dédain.
s, on les sauve ; dom Juan trouve la jeune fille jolie, lui jure de l’ épouser , et l’entraîne dans un bosquet de roseaux, d’où e
lle Que je ne savais pas, et qui sans doute est belle, ……………………… Vous épousez Tartuffe. Que l’on se figure à quel point le spe
lle du même auteur, Le Héros, marchand fort riche, a fait la folie d’ épouser une demoiselle de qualité ; trompé journellement
« pour punir son mari de ne lui avoir pas demandé son aveu avant de l’ épouser , elle veut borner sa vengeance au plaisir de voir
mot ne vous prouvent-ils pas que, pour la punition du fou qui vous a épousée , vous devez le tourmenter ? Mais que si la plus g
ait l’enlever, et force encore, par là, le bon Oronte à le supplier d’ épouser sa fille. Ajoutons à tout cela une infinité de tr
c le parasite Phormion, qui le fait appeler en justice, et le force d’ épouser sa maîtresse, comme étant son plus proche parent.
mont l’apaise en lui disant qu’il s’est caché dans le sac pour ne pas épouser une vieille, riche de cinquante mille écus. Lucas
me du roi d’Éthiopie, qui doit, dit-elle, arriver incessamment pour l’ épouser . Bussi Rabutin a beau dire que la Bélise de Moliè
croire maître chez lui, s’écrie : Je le savais bien, moi, que vous l’ épouseriez . Bélise se croit obligée de donner à Clitandre
 ! Toutes les deux protègent à la vérité une jeune personne menacée d’ épouser un homme qu’elle n’aime pas ; mais Dorine lutte c
oublié à Londres ? — Pardonnez-moi, répondit le comte, j’ai oublié d’ épouser votre sœur, et j’y retourne avec vous pour finir
la jeune personne se laissa enlever par M. Rachet de Montalant, qui l’ épousa , et passa sa vie avec elle à Argenteuil ». Nous a
ôt, oubliant sa douleur et la gloire attachée au nom de Molière, elle épousa Guérin de Triché, son camarade obscur ; c’est à l
52 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. M. SAURIN. » pp. 333-353
dieu, Mademoiselle Benjamine. Adieu, Messieurs. Adieu, Maître Damis : épousez , épousez, je le veux bien. Allons, allons, mes am
emoiselle Benjamine. Adieu, Messieurs. Adieu, Maître Damis : épousez, épousez , je le veux bien. Allons, allons, mes amis, allon
que c’est : son amant exige, avant de l’instruire, qu’elle jure de l’ épouser . Il lui dit ensuite qu’elle est sans bien, que Bé
53 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
sa fille pour Londres. Le Lord Clarandon l’a séduite en feignant de l’ épouser secrètement. Il a un rendez-vous la nuit dans l’a
mort lui a ravi l’amant qu’elle adoroit, & qu’on veut l’obliger d’ épouser un homme qu’elle hait. Cette idée l’afflige au po
nt, les sépare, leur assure qu’Arnest ne mourra pas. Le Comte offre d’ épouser Léonore : Don Pedre demande la main de Constance,
54 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
ngage, Médecin de campagne. Le voici à-peu-près : Un riche laboureur épousa la fille d’un gentilhomme. Craignant ensuite que,
qu’il vient de faire, &, s’il est encore dans la résolution de m’ épouser , consentez plutôt à mon mariage. Cléarque. Puisqu
55 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
bjura en 1645, âgé de trente-cinq ans, comme je l’ai dit, et alors il épousa Julie, qui avait trois ans plus que lui. Voilà l’
para de sa plus jeune fille, mariée avec ce même comte de Grignan qui épousa ensuite en troisièmes noces mademoiselle de Sévig
56 (1746) Notices des pièces de Molière (1661-1665) [Histoire du théâtre français, tome IX] pp. -369
é au confesseur un vieillard amoureux d’une jeune personne qu’il veut épouser , et dont il ignore que son fils est aimé : elle f
il ignore que son fils est aimé : elle feint néanmoins de consentir à épouser le père de son amant, et demande seulement pour t
s sur la scène un vieux tuteur, amoureux de sa pupille, et qui veut l’ épouser  ; on conçoit aisément la justesse de cette idée,
jet. Un jaloux charmé d’un objet Ravissant et de belle taille, Veut l’ épouser vaille que vaille ; Ou du moins il promet cela, A
Alcidas, afin d’obliger Sganarelle à tenir la parole qu’il a donnée d’ épouser sa sœur, veut lui donner pour la troisième fois d
ur la troisième fois des coups de bâton, et que celui-ci a répondu, j’ épouserai , j’épouserai, le père arrive qui, après avoir con
me fois des coups de bâton, et que celui-ci a répondu, j’épouserai, j’ épouserai , le père arrive qui, après avoir contraint sa fil
ute, répond au père, qu’il n’est pas venu à la Cour dans le dessein d’ épouser la princesse sa fille, et qu’il a été insensible
parlé que par l’entremise de Lisette, et qu’il la fait consentir à l’ épouser , et à prendre sur cela toutes les mesures nécessa
ez-moi, répondit le comte, qui devinait leur intention, j’ai oublié d’ épouser votre sœur, et j’y retourne avec vous pour finir
57 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [7, p. 38] »
seulement l’écouter, et son appartement fut loué à un autre. Molière épousa , en cette occasion, la passion de sa femme y atta
58 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [22, p. 50-51] »
n damné. 167 166. Chevillet, Charles dit Champmêlé : comédien qui épousa en janvier 1666 Marie Desmares, Mademoiselle de C
59 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [3, p. 35] »
ez-moi, répondit le comte, qui devinait leur intention, j’ai oublié d’ épouser votre sœur, et j’y retourne avec vous pour finir
60 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
gtemps amoureux, donnait des avis à la troupe, et enfin s’en mit et l’ épousa . » Cette phrase, pleine d’inexactitudes, pourrait
rsque Molière en avait vingt-trois. Marie de Rabutin-Chantal venait d’ épouser , à l’âge de dix-huit ans, le marquis de Sévigné.
de Madeleine, qui était née en 1618, et Joseph Béjart, le père, avait épousé Marie Hervé en 1615. Il était déjà engagé dans le
mois ; puis, vers la fin de l’année, il se rendit à Paris : il y vint épouser (le 24 février 1654) la nièce du ministre contre
d’elles s’est éprise d’un violent amour pour lui et veut absolument l’ épouser . Ici, nouvelle interruption de la jeune fille, no
II d’Orléans, duc de Longueville, gouverneur de Normandie, qui avait  épousé Anne-Geneviève de Bourbon, sœur du grand Condé et
quise Thérèse de Gorla, autrement dit Mlle Duparc, que nous avons vue épouser à Lyon, en 1653, René Berthelot dit Duparc, obtin
-patissier Ragueneau de L’Étang, père de Mlle Marotte de L’Estang, qu’ épousera La Grange. À quelle date aurait eu lieu la représ
, était frère de Roger de Menou de Champluisant qui, vers 1622, avait épousé  Edme Luillier, d’une famille illustre dans la rob
sa propre situation vis-à-vis de la jeune fille qu’il allait bientôt épouser lorsqu’il faisait dire à Ariste : Il nous faut e
du bien, permettre aux jeunes filles. Un ordre paternel l’oblige à m’ épouser  ; Mais mon dessein n’est point de la tyranniser.
our un tel mariage, Réparer entre nous l’inégalité d’âge, Elle peut m’ épouser  ; sinon, choisir ailleurs. Molière, dans ce bea
ue par Arnolphe Agnès ainsi forgée, Elle l’eut fait cocu s’il l’avait épousée . ÉLOMIRE. Arnolphe commença trop tard à la forger
pourquoi ce complot ? parce que Madeleine avait l’espoir de se faire épouser par le comte de Modène, et que cette seconde fill
vé cette grosse somme ? Quand, deux ans plus tard, sa fille Geneviève épousa Léonard de Loménie, elle ne lui donna rien. Donc
or Fournel85, que Molière ait répondu à ceux qui l’accusaient d’avoir épousé  sa fille, par la production de l’acte de baptême
quête contre Molière et la donner au roi, l’accusant (non pas d’avoir épousé sa propre fille, comme on l’a souvent répété à to
sa propre fille, comme on l’a souvent répété à tort), mais « d’avoir épousé  la fille et d’avoir autrefois aimé la mère » (ce
e s’il se mariait… » Et d’une écriture plus petite : « M. de Molière épousa Armande-Claire-Élisabeth Béjard le mardi gras de
rts furieux à la seule pensée de cette union. Molière prit le parti d’ épouser Armande secrètement ; il ne put pendant neuf mois
s n’avons plus qu’à donner un crayon de cette jeune femme que Molière épousait . Le principal témoignage qu’il soit à propos d’in
al de jalousie. » Tel est Arnolphe surveillant sa pupille, qu’il veut épouser  : égoïste et cynique, confiant en sa finesse, n’a
ait auprès de nous une jeune fille qui disait qu’on voulait lui faire épouser un marquis, mais que, depuis qu’elle les avait vu
une requête contre Molière et l’a donnée au roi. Il l’accuse d’avoir épousé la fille et d’avoir autrefois aimé la mère97. Mai
10 mars 1663. Le 11 décembre 1663. la fille de cette princesse avait épousé le duc d’Enghien, fils du grand Condé, celui qu’o
oublié pour y parvenir. Comme elle était encore fort jeune quand je l’ épousai , je ne m’aperçus pas de ses méchantes inclination
la réception à demi-part de Marie Ragueneau de l’Estang, que venait d’ épouser La Grange. CHAPITRE XVI. DERNIÈRE ŒUVRE ET MOR
c’est-à-dire moins de deux années après cet esclandre, Armande Béjart épousa  « à la Sainte-Chapelle basse de Paris128 » Franço
ou 1708, sans laisser d’enfants d’une demoiselle Guignard qu’il avait  épousée . La fille de Molière, Madeleine Poquelin, était,
et légataire universel Pierre Chapuis, bourgeois de Paris, qui avait  épousé une demoiselle Poquelin, cousine germaine de la f
om de sa mère Marie Hervé. Geneviève Béjart se maria deux fois ; elle épousa , le jeudi 27 novembre 1664, Léonard de Loménie, q
La biographie d’Armande Béjart est faite avec celle de Molière qui l’ épousa . Nous pouvons, toutefois, reproduire quelques doc
e théâtrale. MADEMOISELLE DUPARC Marquise-Thérèse de Gorla, qui épousa René Berthelot, dit Duparc, le 23 février 1653, é
i, Nicolle Ravanne eut une autre fille, Jeanne-Françoise Brouart, qui épousa , le 23 avril 1672, Jean Baraillon, tailleur ordin
iste Villequin dont on n’a que l’acte de mariage du 3 avril 1691 ; il épousa « Madeleine Jacob, fille du défunt maître Antoine
e imaginaire, que Molière n’avait pas édités de son vivant. La Grange épousa Marie Ragueneau de l’Etang. Il a inscrit sur son
t non vingt-neuf, comme il est dit dans l’acte de mariage) quand elle épousa La Grange en 1672. Marie Ragueneau était fille de
e des sœurs de Psyché, entra dans la troupe après la mort de Molière, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756. à quatre-vingt-d
mptu de l’hôtel de Condé et La Vengeance des marquis. Brécourt avait épousé , le 18 décembre 1659, Estiennette Desurlis, une d
an, bourgeois de Paris, et de Marie Bidot, demeurant rue de Poictou ; épousé le mardi 30e jour desd. mois et an. Ainsi La Tho
t un très grand comédien, et son petit-fils un bon acteur. Ses filles épousèrent Baron et Dancourt. Toute cette famille remplit un
embre 1729, moins de trois mois après avoir quitté la scène. Il avait épousé Charlotte Le Noir, fille de la Thorillère. On peu
 propre mérite que par l’énergie de Jeanne-Olivier Bourguignon, qu’il épousa . Il jouait les rôles de niais, et Molière sut uti
al remplissait les modestes fonctions de moucheur de chandelles, elle épousa celui-ci de haute lutte. Ils étaient à Lyon, en 1
reprocha sa bigamie. Peu de temps après la mort de son mari, Hortense épousa un vieux marquis bigame comme Villedieu ; mais ce
n père » et il dit ailleurs que J.-B. Aubry, fils de Léonard Aubry, a épousé Geneviève Béjart, « la sœur de la Molière ». Si A
père, voulant atténuer cette expression, mit : « Il l’accuse d’avoir épousé sa propre fille », ce qui aggravait l’accusation.
61 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVI. De la Vraisemblance. » pp. 434-445
ELLE, SGANARELLE. Isabelle, pour se dérober à son tuteur qui veut l’ épouser dans la journée, profite de son absence, & va
rs, Et que même ils s’étoient, leur flamme étant nouvelle, Donné de s’ épouser une foi mutuelle. Sganarelle. La vilaine ! Isabel
62 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
d’un oracle qui destinoit ces deux amants l’un à l’autre, & ils s’ épousent . Fortunian a même l’avantage de conserver par-là
 ; mais en étant revenu, il obtint douze mille livres de dommages. Il épousa ensuite secrètement la veuve d’un gentilhomme. En
63 (1801) Moliérana « Vie de Molière »
r ses amis et par sa fortune, ne le fut pas dans sa maison ; il avait épousé en 1661, une jeune fille née de la Béjart, et d’u
s. Il ne laissa qu’une fille qui avait beaucoup d’esprit, et sa veuve épousa le comédien Guérin*. On refusa de l’enterrer ; ma
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105
ir à son fils, pour lui assurer des droits au trône. Il veut lui-même épouser Dona Elvire, qui aime Don Silve & en est aimé
it part à son amie des chagrins que Mauregat lui prépare en voulant l’ épouser malgré elle. Elvire plaint Dona Ignès, raille le
Il reconnoît Ignès, l’épouse ; & Dona Elvire est trop contente d’ épouser son Jaloux.   Cette piece ne réussit point ; &
ession de sa Princesse le garantira, dit-il, de ses jalousies : ils s’ épousent , & Don Pedre se marie avec la Duchesse de Tyr
65 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516
’a rien laissé à son neveu. Madame Grognac, qui forçoit le Distrait à épouser sa fille, ne veut plus de lui, le croyant ruiné,
out ; l’Auteur en emploie encore vingt-huit pour décider si Marinette épousera Gros René ou Mascarille. Il paroît d’abord très r
66 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [36, p. 64-67] »
1707) : belle-fille de la célèbre princesse, sœur de Condé, qui avait épousé en 1642 le duc de Longueville. [Mariée en 1657],
67 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
de lui. Célie, furieuse, jure de se venger. Elle promet à son pere d’ épouser Valere ; mais elle revoit Lélie. Après quelques r
amp; Camille parlent de leurs amours. Camille promet à son amant de l’ épouser . On entend Scapin, cabaretier & frere de Cami
68 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
amis la pauvre Silvia en oubli, mais il revient à elle et consent à l’ épouser . scène XXIV. On amène Silvia qui apprend que son
perdition. Je veux donc, madonna Silvia, puisque vous y consentez, n’ épouser que vous, et je vous jure, foi de cavalier, que s
69 (1910) Rousseau contre Molière
uent ayant intérêt à ce qu’Alceste épouse Célimène pour pouvoir, lui, épouser Eliante qui, si Alceste se retirait de Célimène,
pense pourtant qu’à persuader à Alceste de s’écarter de Célimène et d’ épouser Eliante. Il dit à Alceste : La sincère Eliante a
la nécessité de sauver son fils, trouve une conciliation dans ceci : épouser celui qui veut tuer son fils et se tuer immédiate
t parfaitement que le public n’y verra qu’une femme qui veut se faire épouser et qui y réussit et cataloguera immédiatement And
u un égoïste radical, aigri, du reste, désagréable et acariâtre. Il a épousé Eliante et n’en est pas très satisfait. Eliante,
mot de Labiche, mot digne de Molière. Il y a un quinquagénaire qui va épouser une jeune fille. « Ne faites pas cela, lui dit un
« Quel est le plus criminel, s’écrie-t-il, d’un paysan assez fou pour épouser une demoiselle ou d’une femme qui cherche à désho
d’être coupable et digne de quelque punition. Il l’est moins d’avoir épousé une demoiselle par vanité que de l’avoir épousée
l l’est moins d’avoir épousé une demoiselle par vanité que de l’avoir épousée contre son gré et malgré elle. Elle ne manque pas
toute vive avec un mari. Comment ! Parce qu’un homme s’avise de nous épouser , il faut d’abord que toutes choses soient finies
sulté pour cela que mes parents ; ce sont eux proprement qui vous ont épousé , et c’est pourquoi vous ferez bien de vous plaind
entilhomme !… Tu l’as voulu, George Dandin !… Lorsqu’on a, comme moi, épousé une méchante femme, le meilleur parti qu’on puiss
e, les uns les autres. Si avant tout il est ambitieux, il cherchera à épouser la fille d’Orgon et à accaparer toute la fortune 
étonné de sa folle témérité que stupéfait de sa scélératesse : Vous épousez ma fille et convoitez ma femme ! Et il est ridic
pires scélératesses, qui cherche à séduire la femme de son hôte et à épouser par force sa fille et qui le vole ; ou d’un homme
i est pour Molière et du reste pour tout homme sensé, un crime : il a épousé une jeune fille contre son gré. Molière, d’instin
st vous qui êtes le père dans cette famille-là, que vous voulez faire épouser à une de vos filles un prétendant selon votre goû
e le but suprême sera atteint : n’être pas trompé, être bien servi : Epouser une sotte est pour n’être point sot. Je crois, en
our un tel mariage, Réparer entre nous l’inégalité d’âge, Elle peut m’ épouser . . . . . . . . . . . De ce vieillard « presque s
ar le parterre. Pour mon compte, je gagerais que sa tirade maîtresse ( épouser une sotte… De savoir prier Dieu, m’aimer, coudre
marie avec ce médecin, et une fille de bon naturel doit être ravie d’ épouser ce qui est utile à la santé de son père. » Rousse
Elle n’est pas de la religion de son mari. Née protestante, et ayant épousé un athée, elle reste protestante très énergiqueme
aussi ; Martine est évidemment une enfant de la nature ; mais vouloir épouser une jolie fille qui a de la fortune est aussi trè
s un bon état monarchique ; s’il est impitoyable pour un paysan qui a épousé une demoiselle, c’est qu’il ne faut pas sortir de
70 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. Regnard imitateur de Moliere. » pp. 51-80
loir en profiter ; & tout cela en présence d’une femme qu’il veut épouser , & qu’il semble exhorter par ses discours à m
itandre, quand elle craint de lui être à charge, & ne consent à l’ épouser , que lorsqu’Ariste déclare avoir donné de fausses
cher d’entrer chez vous, où j’étois avec Lucile, dans le dessein de l’ épouser . Je vous demande pardon de ma conduite passée. Co
71 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
élie Et qu’exigeant de nous ce funeste devoir, Il nous veut obliger d’ épouser dès ce soir ? Ergaste Dès ce soir Lélie Et tu cro
arce à cinq personnages, en Prose. Piphagne est un vieillard qui veut épouser Isabelle. Il confie son projet à son Valet, Tarab
domont, qui lui fait croire qu’il ne s’y était caché, que pour ne pas épouser une vieille qui avait cinquante mille écus. Lucas
z-moi, répondit le Comte, qui devinait leur intention ; j’ai oublié d’ épouser votre sœur ; et j’y retourne avec vous, pour fini
Tome III, p. 39-40 Béjart*, (Armande-Gresinde-Claire-Élisabeth), épousa en première noces Molière, en secondes Guerin Dét
et mourut le 3 Novembre 1700. La Demoiselle Béjart sa mère, qui avait épousé en secret le sieur de Modène146, était aussi Comé
pe, fit plusieurs projets de mariage qui échouèrent tous et finit par épouser secrètement Lauzun (1681) dont elle se sépara bie
Paris 1666) : Reine de France. Fille de Philippe III d’Espagne, elle épousa Louis XIII en 1615 et lui donna deux fils (Louis
t que lui-même en avait beaucoup besoin » (Bourgeois-André). Il avait épousé secrètement une des trois sœurs du duc de La Roch
le qu’on propose parfois identifier avec Armande Béjart, il finit par épouser une autre comédienne de la troupe de Molière, Mad
72 (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179
ervé, dans le contrat de mariage de Molière, se dit-elle la mère de l’ épousée  ? Parce qu’elle voulait chasser le nuage que la c
nuage que la calomnie jetait déjà au ciel de Molière en l’accusant d’ épouser sa fille, lui l’ancien amant de Madeleine Béjart.
e-Aubrun, un vrai nom de comédie. Elle convola en secondes noces pour épouser ce Jean-Baptiste Aubry, paveur ordinaire du roi,
te-six ans, selon la déclaration inscrite dans l’acte de son mariage, épousa à Saint-Germain l’Auxerrois la veuve de Léonard d
demoiselle de La Grange Marie Ragueneau de Létang eut l’honneur d’ épouser Charles Varlet, sieur La Grange, orateur de la tr
onter sur la scène ; aussi fut-ce pour elle un honneur inespéré que d’ épouser un tel comédien. Elle avait tour à tour été fille
rtant toute sa dot. La Grange, jeune, bien lait, brillant comédien, l’ épousa sans lui demander davantage, sans se croire génér
rqua, s’en éprit à cette déclaration et lui déclara qu’elle voulait l’ épouser . » Le moucheur de chandelles, Jean Pitel, en vit
s Deshayes, qui avait commencé par enlever sa fille Louise avant de l’ épouser  ». C’est un moyen qui a toujours réussi. On ne s’
théâtre du Marais. Étiennette des Urlis jouait les confidentes ; elle épousa Brécourt, qui fut peut-être meilleur comédien que
vereau, comme l’appelle Soleirol. Leur fille, Marie-Angélique Gassot, épousa Paul Poisson. Nicolle Gassot Du Croissy prit le p
73 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
ionné jet lui-même, Molière, dut se reprocher plus d’une fois d’avoir épousé une comédienne exposée à tant de séductions. Il t
ie a tort de vouloir forcer l’inclination de sa fille, pour lui faire épouser un homme qu’elle ne connaît pas, par cela seul qu
ière ne porta pas d’heureux fruits : Ariste eut à se repentir d’avoir épousé Léonor. De toutes les filles de Molière, Isabelle
, mais qui pense que l’on doit se contenter un peu dans la vie, et qu’ épouser une belle personne est ce qu’on peut faire de mie
ils en général. On se plaît aussi à le voir, ce futur Georges Dandin, épouser une coquette achevée, malgré les tristes augures
leur valeur. Il n’acheva jamais Mélicerte ; Guérin fils, dont le père épousa en secondes noces la femme de Molière, finit cett
affaires. Dé tous les soucis qu’il peut prendre ! Le mien me fait ici Epouser ses inquiétudes, Et parce qu’il est amoureux Il f
herchent une alliance déplacée, et surtout à l’imprudence de ceux qui épousent une fille sans consulter son cœur. Nous avons eu
vu des imbéciles qui, au lieu de prendre une femme de leur condition, épousaient des demoiselles de qualité dont leur soumission n
de ressource que le théâtre, il prit le parti de s’y réfugier, afin d’ épouser sa maîtresse. A partir de ce moment, Dancourt dev
ix commerces avec autant de belles, il leur promet tour à tour de les épouser , suivant qu’il a plus ou moins d’affaires d’argen
74 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
en cede ensuite la moitié pour se débarrasser d’Araminte, & pour épouser tranquillement celle qu’il aime. La troisieme pie
arcella. Dom Félix veut poignarder sa sœur ; mais Lisardo promet de l’ épouser , & le frere s’appaise. Scene derniere. Fab
75 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79
mitié avec un certain capitaine, lequel ne souhaitait rien tant que d’ épouser ladite sœur. Cinthio, entrant dans les vues de so
lles supposent une verve endiablée chez tous les acteurs. La Sposa (l’ Épousée ), par exemple, qui forme la dixième journée du re
76 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
c Marguerite de Valois, sœur de Henri III. L’année suivante, 1600, il épousa en secondes noces Marie de Médicis, âgée de 27 an
on fils ; et comme Henri IV avait répudié Marguerite de Valois pour l’ épouser , elle craignait d’être répudiée à son tour pour f
77 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
: ainsi, il aurait tout gâté de lui déclarer le dessein qu’il avait d’ épouser sa fille. Il prit le parti de le faire sans en ri
re donna des marques de fureur et de désespoir comme si Molière avait épousé sa rivale, ou comme si sa fille fût tombée entre
t que le plus grand bonheur qui pût arriver à sa fille, était d’avoir épousé Molière, qui perdit par ce mariage tout l’agrémen
oublié pour y parvenir. Comme elle était encore fort jeune quand je l’ épousai , je ne m’aperçus pas de ses méchantes inclination
4. Timon, comédie en vers, en un acte, 13 août 1684. Brécourt avait épousé la demoiselle Étienne Des-Urlis, comédienne du Ma
ntée par M. Guillet de Saint-George, en octobre 1695. Du Croisy avait épousé Marie Claveau, de la province du Poitou, alliée d
heures, au mois de février 1670. La seconde, Marie-Angélique Gassaud, épousa Paul Poisson, et mourut en 1756, à quatre-vingt-d
rut en 1756, à quatre-vingt-dix-huit ans. Une sœur de du Croisy avait épousé Bellerose, célèbre comédien de l’Hôtel-de-Bourgog
s de longs détails sur Armande Béjart. Après la mort de Molière, elle épousa Guérin d’Estriché, et continua de briller sur la
de la demoiselle Bourguignon, ayant appris le dessein qu’elle avait d’ épouser Beauval, obtint de l’archevêque de Lyon un ordre
uinze ans en 1653, au moment de son départ pour Lyon. Molière l’ayant épousée dans la suite, on osa répandre le bruit qu’il s’é
la fille, de cette Madeleine Béjart que Raymond, seigneur de Modène, épousa secrètement. Cette découverte précieuse est due à
ourbon, prince de Conti, frère du grand Condé, né le 11 octobre 1629, épousa , en 1654, Martinozzi, nièce de Mazarin, ce qui le
, depuis archevêque d’Aix, et Sarrasin, l’avaient fait condescendre à épouser la nièce du cardinal Mazarin, et à abandonner qua
nta à Louis XIV une requête dans laquelle il accusait Molière d’avoir épousé sa propre fille. Racine, très jeune encore, fut t
ne requête contre Molière, et l’a donnée au roi : il l’accuse d’avoir épousé la fille et d’avoir vécu autrefois avec la mère ;
uis XIV. La requête dans laquelle Montfleury accusait Molière d’avoir épousé sa fille, fut présentée à la fin de décembre 1663
es observations de M. Beffara sur l’acte de mariage. Jean Aubry avait épousé une des sœurs de madame Molière ; et si madame Mo
78 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
tion à laquelle on s’arrête : le premier est l’origine de celle qu’il épousa le 29 février 1662, le second celui des dérègleme
e qu’il est inutile de qualifier, ou bien il aurait, à tout le moins, épousé la fille ou la sœur de sa maîtresse, deux cas soc
une requête contre Molière et l’a donnée au roi ; il l’accuse d’avoir épousé la fille et d’avoir aussi vécu avec la mère. »Tal
pète ? « Il a d’abord été amoureux de la comédienne Béjart, dont il a épousé la fille. » Voilà, d’un seul coup et dans une mêm
nne ou Histoire de la Guérin. La Guérin c’est Mlle Molière, qui avait épousé en secondes noces un acteur nommé François Guérin
ière et de Sébastien Aubry, dont le frère, Aubry des Carrières, avait épousé Geneviève Béjart, et se trouvait par là beau-frèr
re elle et la famille Aubry, le propre frère de Sébastien Aubry ayant épousé la propre sœur de la Molière. » C’est là, pour l
Sauvai. Le 30 septembre 1638, son père, Jean Pocquelin, qui venait d’ épouser en secondes noces Catherine Fleurette, acheta une
tard ses injures à une femme de vertu suspecte. Cette même femme est épousée en secondes noces par un homme dont tous les cont
79 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Du Dialogue. » pp. 204-222
elle est bien élevée ; qu’elle est de bonne famille ; que s’il veut l’ épouser , les loix lui en faciliteront les moyens, & q
& sans appui, est de famille honnête ; & qu’à moins que de l’ épouser , on ne peut souffrir ses poursuites. Voilà son am
80 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
pprend que tout le monde sera bientôt content dans la maison, qu’il l’ épousera , que d’Orval s’unira à Constance. A cette nouvell
t aimer que Lélio. Il est enfin contraint de céder à son ami, & d’ épouser Flaminia, qui lui est accordée par son pere.   Ce
81 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
le trompe sous ses propres jeux ; l’acte qui finit par le dessein d ‘ épouser le lendemain Isabelle, ce qui rompt tout ce qu’el
n parle de l’hypocrisie, et la troisième, où il refuse à don Carlos d’ épouser sa sœur, par scrupule (scène que Corneille n’aura
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLIII. Du But Moral. Philosophie de Regnard comparée à celle de Moliere. » pp. 504-548
de vivre aux dépens d’une femme. Il promet à la vieille Araminte de l’ épouser , afin de puiser plus aisément dans sa bourse, &am
, à qui l’on ne peut reprocher qu’une honnêteté brusque, est obligé d’ épouser la vieille Araminte, pour avoir la moitié de la s
maintenant, & je n’y vois plus de remede. Lorsqu’on a, comme moi, épousé une méchante femme, le meilleur parti qu’on puiss
e femme n’est que la punition de la sottise qu’a fait George Dandin d’ épouser la fille d’un Gentilhomme ». Observations de M. d
83 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIV. La commedia dell’arte au temps de Molière (à partir de 1662) » pp. 265-292
que son maître est d’une humeur singulière, et qu’il pourrait bien l’ épouser  ; elle se recommande à l’intendant. Quand le geôl
’il en est amoureux. On lui dit que, pour avoir sa liberté, il faut l’ épouser . Il ne demande pas mieux. Aurelia frémit à cette
84 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
de la poursuite de ses créanciers ; les autres, en plus petit nombre, épousaient eux-mêmes quelque fille de qualité, dont les pare
tise. « Quel est, dit-il, le plus criminel d’un paysan assez fou pour épouser une demoiselle, ou d’une femme qui cherche à désh
icules d’un homme de province, qui vient par le coche à Paris, pour y épouser une jolie fille, et qui s’en retourne dans la mêm
personnage de la comédie des Nuées, d’Aristophane, se plaint d’avoir épousé une femme d’une condition supérieure à la sienne.
85 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
comme tant d’autres naissent fripons. Il arrive, tout souriant, pour épouser la femme qu’on lui a promise. Il est honnête, sai
us reconnaître en lui. Ô peuple de badauds et d’étourdis ! Quand donc épouserons -nous enfin la belle esclave que retient au logis
 ; ainsi il aurait tout gâté de lui déclarer le dessein qu’il avait d’ épouser sa fille. Il prit le parti de le faire sans en ri
e, de le perdre, lui, sa fille et elle-même, si jamais il pensait à l’ épouser . Cependant la jeune fille ne s’accommodait point
ère donna des marques de fureur, de désespoir, comme si Molière avait épousé sa rivale, ou comme si sa fille fût tombée entre
t que le plus grand bonheur qui pût arriver à sa fille, était d’avoir épousé Molière, qui perdit par ce mariage tout l’agrémen
e qui arriva jusqu’aux oreilles du roi et qui voulait que Molière eût épousé sa propre fille ? Durant les deux années qui préc
uières. Pourquoi la destinée ne voulut-elle pas que cet honnête homme épousât cette honnête femme ? Mlle Molière, celle qui dev
s représentez une honnête femme ! La Molière devait se remarier. Elle épousa Guérin d’Estriché. Un quatrain du temps s’en amus
lerc du Rozet, demoiselle), une des maîtresses de Molière. Elle avait épousé Edme Villequin. Actrice d’un talent rare, elle jo
ant d’elle. Lorsque Molière fut mort, abreuvé de chagrins, la Molière épousa , quatre ans après, le 31 mai 1677, un certain Isa
, dit M. Em. Raymond, enlever par M. Claude Rachet de Montalant qui l’ épousa et vécut avec elle à Argenteuil, où elle mourut l
86 (1871) Molière
subi la prison, et porté la guerre civile en Guyenne, avait fini par épouser la propre nièce du Mazarin, et maintenant il prés
anarelle est un jaloux : le premier, pour plaire à Léonor, qu’il veut épouser , lui prodigue les petits soins, les tendresses, l
ellent de Célimène, pour la jeune dame Armande Béjart, qu’il venait d’ épouser . Elle était une des bonnes comédiennes de sa trou
87 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. M. DORAT. » pp. 463-467
fait voir sous le chevet du lit, afin de lui persuader que le Roi l’a épousée pour la tuer la premiere nuit de ses noces, tout
88 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre IX » pp. 77-82
au marquis de Salle le désir de connaître madame de Rambouillet, et d’ épouser Julie. Assurément ce n’est pas là le commencement
89 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
hao, mais je ne pouvois en venir à bout. Tchao-so, fils de Tun, avoit épousé la fille du Roi : j’avois donné ordre à un assass
ia, & est du dernier bien avec elle, lorsqu’Americo arrive pour l’ épouser . Le pere & les fils se reconnoissent, font gr
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441
arraché, lui dis-je, à une maîtresse que j’adore : j’étois près de l’ épouser , & je mourrai loin d’elle faute de deux cents
il étoit logé, le toucha si sensiblement, qu’il forma le dessein de l’ épouser . Elle étoit fille d’un marchand Maltois qui étoit
91 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102
ntends pas le grec317 ; pour déclarer nettement à l’homme qui veut l’ épouser malgré elle, qu’elle ne se sent point la force de
sont, dans l’une et l’autre École ; d’honnêtes amants qui enlèvent et épousent Isabelle et Agnès ; mais qui ne sent que la leçon
92 (1900) Molière pp. -283
s ; et toutes deux le croient ; chacune croit que c’est elle qu’il va épouser  ; et tout cela est si bien agencé, si naturel, qu
lques mots dits par Dom Juan à Charlotte font qu’elle se croit sûre d’ épouser Dom Juan. Or, il y a dans le village un malheureu
c Pierrot était décidé, et la voilà qui explique à Pierrot qu’elle va épouser ce jeune seigneur si brillant, qu’il aurait été s
es de femmes de Molière des femmes sensées et parfaites, des femmes à épouser  ; je ne puis partager en aucune façon leur avis ;
eut la garder pour lui seul, il compte abuser de sa simplicité pour l’ épouser . S’il est très épris de la jeune fille, sa passio
e bassesse, qu’il va jusqu’à dire à Agnès, si elle veut consentir à l’ épouser  : Ta forte passion est d’être brave et leste ; T
ne s’exerçait que d’un seul côté. Armande était Agnès quand Molière l’ épousa  ; une fois mise en présence de toute cette cour b
a peinte, il n’est pas possible d’en douter. Armande Béjart, qu’il a épousée , est née sous ses yeux, il l’a vue grandir, elle
ous la connaissez. Je vous rappelle la situation : Arnolphe, qui veut épouser Agnès, lui explique tout l’honneur que ce sera po
s Dom Juan, présente une situation de frère très tragique. Dom Juan a épousé sa sœur Elvire, et l’a délaissée, et Dom Carlos c
z là Beaumarchais allant chercher Clavijo en Espagne pour le forcer à épouser Marie Beaumarchais : il y a là des débordements i
t dans Orgon, qui veulent que leurs filles se marient uniquement pour épouser ce qui est utile à la santé ou au salut de leur p
s la recherchez ; et, tout doucement, sans vous en douter, vous allez épouser Angélique de Sotenville, vous aussi ; établir, de
93 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
elle soutient le contraire. On lui dit que, pour empêcher le Prince d’ épouser Aglante, elle n’a qu’à lui donner la main ; elle
beaucoup d’adresse & sous le sceau du secret, que son maître doit épouser Silvia. A l’instant Flaminia passe de l’indiffére
94 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273
qu’il va flatter sa manie, en feignant de venir dans la maison pour l’ épouser . Le pere se prête à cette feinte, qui devient une
caire se récrie sur une grande nouvelle ; l’Empereur de la Chine doit épouser la fille du Grand Mogol. Il l’annonce au Docteur
95 (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -
cessé, on rendit justice à l’auteur. La proposition faite à l’avare d’ épouser sa fille sans dot, l’enlévement de la cassette, l
que l’intérêt, d’une part, &, de l’autre la vanité, engagent à s’ épouser , cet abus n’en est pas moins commun dans la socié
eaux portés par ses amis. Il n’a laissé qu’une fille ; & sa veuve épousa dans la suite le comédien Détriché, connu sous le
72. On disoit que Moliere, qui avoit été amoureux de la Béjart, avoit épousé sa propre fille, mais elle étoit née en Languedoc
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du point où doit commencer l’action d’une fable comique. » pp. 172-177
mais comment ? en lardant dans la piece une Sophie qui ne veut point épouser Damon, parcequ’elle craint d’être malheureuse com
97 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
innocents de son âge, tient une conduite irréprochable, et finit par épouser son tuteur. L’autre, qu’on a traitée en esclave,
te entière d’une jeune personne confiée à ses soins, et qu’il voulait épouser . De tels ouvrages sont l’école du monde, et leur
n sens. Quand elle veut s’en aller avec Horace, qui lui a promis de l’ épouser , son jaloux lui fait une querelle épouvantable. E
ent l’entendre. Enfin, lorsque le Misanthrope propose à Célimène de l’ épouser à condition qu’elle le suivra dans la solitude où
ue votre Célimène, et vous-même estimez beaucoup Éliante. Croyez-moi, épousez une femme qui soit telle qu’Éliante vous paraît ê
le, s’écrie d’un air triomphant : Je le savais bien, moi, que vous l’ épouseriez , et dit au notaire du ton le plus absolu : Allons
98 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Pieces intriguées par plusieurs Personnages. » pp. 169-175
e rendre son maître unique légataire, & de lui faire par ce moyen épouser celle qu’il aime : lui seul imagine & agit. I
99 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
ia, c’est une jeune actrice que le directeur des Fedeli, devenu veuf, épousa en 1635. Quant aux autres types, il serait diffic
100 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIX » pp. 207-214
Mancini, dont il était fort amoureux et qu’il avait en la fantaisie l’ épouser  ; mais par cet acte de courtisan, il remplissait
/ 189