quante vers macaroniques qui se rencontrent en plus dans une ancienne
édition
, probablement unique, de la cérémonie du Malade i
l y aurait une histoire instructive et amusante à faire des premières
éditions
du Malade imaginaire. Cette comédie-ballet, compo
’une est une rapsodie misérable et l’autre un chef-d’œuvre1. Diverses
éditions
plus ou moins fautives se succédèrent tant à Pari
lques mots4. Ce texte est donc resté fixé de la sorte dans toutes les
éditions
aussi bien qu’au théâtre, où cependant il est de
u’on remarquera dans le livret de Rouen. Ce livret offre le texte des
éditions
ordinaires, mais beaucoup plus ample. Ici la céré
s simplement que cette pièce doit entrer comme annexe dans toutes les
éditions
critiques que l’on fera dorénavant de notre immor
rs seulement prennent part à la réception da postulant, et que dans l’
édition
de Rouen huit docteurs entrent en lice et interro
sores, etc. Le premier docteur parle également comme dans toutes les
éditions
. Les développemens nouveaux ne commencent qu’à la
CTOR. La question de notre quatrième docteur est celle du second des
éditions
ordinaires ; elle est seulement un peu plus dével
Le couplet du cinquième docteur commence comme celui du troisième des
éditions
ordinaires ; mais il contient une kyrielle de mal
ptième docteur est, à quelques vers près, celle du quartus doctor des
éditions
communes. Un trait pourtant est à relever : Tomb
avons consulté, sinon la totalité, au moins un très grand nombre des
éditions
connues de Molière, et nous n’avons trouvé ces ad
4. Par exemple, dans le programme de 1674, au lieu du mot chorus de l’
édition
de 1175, ou lit le mot facultas. 5. En marge : D
ssement du commentateur [La Princesse d’Élide] Dans les premières
éditions
, La Princesse d’Élide est comme ensevelie dans le
ière en ont altéré le texte sans nécessité ; je le rétablis d’après l’
édition
originale. Je me permets seulement, à l’exemple d
on a joui jusqu’à présent de l’honneur d’être insérée dans toutes les
éditions
des Œuvres de Molière1. Le poète qui a fourni à M
ublié tel que l’a composé Molière. On n’a fait que suivre jusqu’ici l’
édition
de 1682, où la pièce fut d’abord imprimée dans so
u moins fort défiguré par l’impression : en sorte que là on avait une
édition
correcte, mais tronquée ; ici, une édition entièr
sorte que là on avait une édition correcte, mais tronquée ; ici, une
édition
entière, mais fautive. Il s’agissait d’obtenir un
obtenir un texte qui fut à la fois complet et pur. Un exemplaire de l’
édition
de Paris, dont la Bibliothèque du roi a fait, réc
la suppression ou l’adoucissement, a servi de copie pour la présente
édition
. Quant aux passages moins nombreux et moins impor
des cartons dans cet exemplaire, ils ont été restitués ici d’après l’
édition
entière de Jacques Le Jeune, Amsterdam, 1683. Cet
ès l’édition entière de Jacques Le Jeune, Amsterdam, 1683. Cette même
édition
offre quelquefois, dans le reste de la pièce, des
rre avait été représenté la première fois tel qu’on le lit dans cette
édition
, c’est-à-dire avec la scène ou Sganarelle argumen
, neuf ans après la mort de Molière, La Grange et Vinot donnèrent une
édition
de ses œuvres, divisée en deux parties, dont la s
adoucis ; et ce qu’il y a de vraiment extraordinaire, c’est que cette
édition
hollandaise, qui fut suivie de quelques autres, r
, resta presque aussi inconnue que les exemplaires non cartonnés de l’
édition
de Paris, puisque, cinquante ans après (en 1730)
erre Marcassus, ami de Molière. C’est certainement d’après une de ces
éditions
de Hollande, que Nicolas Castelli, auteur d’une t
ans aucune altération. L’existence de cette traduction, qui a eu deux
éditions
, est une raison de plus de s’étonner que l’existe
scitèrent contre lui les dévots » : cette phrase ne figure pas dans l’
édition
de 1855. 120. Ce paragraphe ne figure pas dans l
pas dans l’édition de 1855. 120. Ce paragraphe ne figure pas dans l’
édition
de 1855. 121. Dans l’édition de 1855, cette part
120. Ce paragraphe ne figure pas dans l’édition de 1855. 121. Dans l’
édition
de 1855, cette partie est nommée Pièces données a
23. Le paragraphe qui suit l’annonce de la pièce ne figure pas dans l’
édition
de 1855. Ceci est de même pour chacun des paragra
Coquille : Ganarelle → Sganarelle. Cette faute a été corrigée dans l’
édition
de 1855. 126. La représentation a eu lieu en mai
déroulée au mois de février et non au mois de novembre. 130. Dans l’
édition
de 1855, un passage a été ajouté : « La farce du
ation a eu lieu le 13 janvier 1668. 132. Autre passage ajouté dans l’
édition
de 1855 : « Pourceaugnac est une farce, a dit Vol
n effet, l’écrivain contemporain de sa vie, de laquelle il y eut deux
éditions
publiées en 1688 et 1690, conséquemment avant sa
a sans doute qu’ajourné la question ; il pourra s’en occuper dans son
édition
des Œuvres de cet auteur, qui s’est rendu si inté
rieuses faites pendant le règne du connétable M. de Luynes. Quatrième
édition
, 1628, pages 338 et 474. 5. Hist. de la nobless
’ils avaient contracté un mariage caché. On trouvera cette vie dans l’
édition
des Œuvres de Molière. Paris, 1716, t. I. Dissert
y, t. 4, p. 213. 19. Grimarest, Vie de Molière. M. Petitot, dans son
édition
de Molière, dit que Françoise fut élevée à Nîmes,
24. Vie de Molière, par Grimarest. 25. Lettres de Racine, dans l’
édition
de La Harpe, faite sur les originaux. Ces lettres
, faite sur les originaux. Ces lettres ne sont point complètes dans l’
édition
de Luneau de Boisjermain. 26. Dictionnaire de B
e de lettres estimable, M. Petitot, a donné, il y a peu d’années, une
édition
des œuvres de Molière, avec des réflexions sur ch
e, c’est la correction du texte. Je puis affirmer que dans toutes les
éditions
, sans en excepter les plus belles et les plus est
ur lesquels elle repose. Molière ne s’est jamais occupé de donner une
édition
de ses œuvres. Celles de ses comédies qui avaient
mesure, probablement d’après son manuscrit et sous ses yeux ; et ces
éditions
de pièces détachées se répétaient autant de fois
partie du moins ; et ce recueil fut entièrement conforme au texte des
éditions
séparées et originales5. Cependant, en 1682, c’es
avait été son camarade, Vinot et Lagrange, entreprirent de donner une
édition
complète de ses comédies. Us annoncèrent qu’elle
s que la négligence des imprimeurs avait laissé s’introduire dans les
éditions
précédentes ; mais ils ne dirent pas qu’elle eût
s plus ou moins nombreuses, plus ou moins considérables qu’offre leur
édition
, comparée aux éditions originales. N’ayant point,
uses, plus ou moins considérables qu’offre leur édition, comparée aux
éditions
originales. N’ayant point, pour le texte de Moliè
le prendrai dans la première comédie de Molière, l’Étourdi. Suivant l’
édition
originale, publiée en 1663, Mascarille dit à Léli
toutes aventures, Prendre les contre-temps et rompre les mesures. L’
édition
de 1682, dont le texte a été suivi dans toutes le
esures. L’édition de 1682, dont le texte a été suivi dans toutes les
éditions
suivantes, porte : Ah ! voilà tout le mal ; c’es
’un d’assez peu de jugement et de goût pour le faire. Je le répète, l’
édition
posthume de 1682 a été suivie constamment jusqu’à
t qui n’a fait souvent qu’y ajouter de nouvelles altérations7. Aucune
édition
des œuvres de Molière n’en donne donc le véritabl
donne donc le véritable texte. Ce texte se trouve seulement dans les
éditions
partielles, publiées du vivant de Molière et jusq
es du vivant de Molière et jusqu’à l’année de sa mort inclusivement ;
éditions
qui sont parfaitement conformes entre elles, et q
henticité égale à celle du manuscrit même de l’auteur. J’ai suivi ces
éditions
originales avec une exactitude scrupuleuse. J’ai
originales avec une exactitude scrupuleuse. J’ai cependant eu, pour l’
édition
de 1682 et même pour celle de 1734, une condescen
’élévation des pensées. 2. Page 1057 et suivantes du tome VIII de l’
édition
en 12 volumes in-8º, ou page 360et suiv. du tome
’édition en 12 volumes in-8º, ou page 360et suiv. du tome XLVIII de l’
éd.
de Kehl, 70 vol. in-8º. 3. Andromaqueest de 166
ération de la forme n’empêche pas de reconnaître. 5. Cette première
édition
des œuvres de Molière réunies, que je n’ai trouvé
ination suivie ; les autres sont formés des pièces détachées dont les
éditions
n’étaient pas encore épuisées. 6. Ces termes d’
ertissement, qu’afin de rectifier le texte de 1682, il a consulté les
éditions
originales, et il ajoute que, pour sa justificati
dit avoir fait, il me l’a laissé à faire ; et ce sont précisément les
éditions
originales qu’il prétend avoir consultées, ce son
urni, avec la preuve que son texte était inexact, ainsi que celui des
éditions
qui ont précédé etsuivi la sienne, les moyens d’e
même d’éditeur de Molière. C’est en cette qualité, et pour cette même
édition
de 1734 dont j’ai parlé, qu’il composa laVie de M
sespièces, qui font partie desMélanges littéraires, tome VIII, dans l’
édition
en 12 volumes in-8º. M. Rouillé, alors chargé du
. J. B. Rousseau, écrivant à Brossette, qui se disposait à donner une
édition
des Œuvres de Molière, avecCommentaires, l’averti
maître qui avait la main si prompte et si meurtrière. 36. Lapremière
édition
de ce libelle parut, en 1688, à Francfort, chez F
nard, né à Troyes en 1610, et mort à Paris en 1695. 40. Préfacede l’
édition
des Œuvres de Molière, donnée par La Grange et Vi
autres jours. 45. Œuvres de Segrais, tome II, pages 138 et 159 de l’
édition
en deux vol., Paris, 1755. 46. Paul Scarron, né
promptu de l’Hôtel de Condé. Voir tome III, pages 331 et 332 de cette
édition
. 50. Œuvres de J. Racine, avec le Commentaire d
VII, p. 170. La lettre de Racine est du mois de décembre 1663. Dans l’
édition
que Louis Racine a donnée, en 1747, des Lettres d
a Biographie universelle ;et M. Jules Taschereau, à qui l’on doit une
édition
des Œuvres complètes de Molière, avec les notes d
on du Bourgeois gentilhomme(voir tome VIII, pages 186 et 187 de cette
édition
). 61. Telle fut, en effet, la conduite de Louis
es notes et la Notice de l’Impromptu de Versailles, tome III de cette
édition
). 62. Pierre Belllocq, né à Paris en 1645, mort
ujet et du lecteur. »Ailleurs il demande hautement qu’on exclue d’une
édition
de Molière, à laquelle il promettait de donner qu
ilhomme. 75. Voir ce sonnetet cette lettre, t. IX., p. 503 de cette
édition
, où ils ont été imprimés pour la première fois.
. Voir, dans la Notice sur les Fâcheux, t. II, p. 463 et 464 de cette
édition
, le jugement que La Fontaine porta sur l’auteur,
le Troisième placet, en tête de l’Imposteur, p. 29 dot t. VI de cette
édition
. 89. Une déclaration du roi, du 16 avril 1641,
99. Voir la Critique de l’École des Femmes, t. III, p. 188 de cette
édition
. 100. Ces détails sont tirés de la comédie de Zé
oir la Critique de l’École des Femmes, t. III, p. 188 et 189 de cette
édition
. 101. Nouvelles nouvelles, troisième partie, p.
le prouve ce mot de l’Impromptu de Versailles(t. III, p. 274 de cette
édition
) : « Pour vous, je n’ai rien à vous dire. »Il éta
xactitude. En 1682, il donna, avec Vinot, ami de Molière, la première
édition
complète des Œuvres de ce grand poète. La veuve d
ou de les confirmer à l’aide des gravures contenues dans les diverses
éditions
de Molière, éditions que je ne puis consulter en
l’aide des gravures contenues dans les diverses éditions de Molière,
éditions
que je ne puis consulter en ce moment. [1880-02]
ans Les Poètes français de Crépet (1861) ; ses excellentes notes de l’
édition
belge du Chappuzeau (1867), celles du Récit de la
ntre elles les gravures placées en tête du Tartuffe dans les diverses
éditions
de Molière, et je faisais appel au zèle des molié
n’ayant pas encore répondu, je passerai en revue, non pas toutes les
éditions
de Molière, mais du moins celles que je trouve da
ou de Damis26. Voyons maintenant ce que nous donnent les gravures :
Édition
de 1681 (Paris, D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trab
D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trabouillet), t. III, pas de gravures.
Édition
de 1682 (Paris, D. Thierry, Cl. Barbin et P. Trab
ures de Brisart, gravées par Sauvé. Reproduction un peu corrigée de l’
édition
originale. Une salle, sans sièges ni autres meubl
as : l’Imposteur. Hauteur totale, 128 millim. ; largeur, 75 millim.
Édition
de 1693 (Amsterdam, H. Wetstein, à la sphère). La
millim. de moins en largeur, d’une ligne à l’autre de l’encadrement.
Édition
de 1710 (Paris, Michel Clousier, t. V, p. 23). Mê
. 23). Même disposition des personnages et des accessoires que dans l’
édition
de 1693, mêmes fenêtres à droite, même porte à ga
devant du corsage, les manches sont à peu près semblables dans cette
édition
et dans les autres ; mais la jupe est chargée de
du corsage montant, et aux manches. Tartuffe est le même que dans les
éditions
précédentes. Pas de nom de dessinateur ni de grav
sinateur ni de graveur ; en titre, au bas : l’Imposteur, comme dans l’
édition
de 1682. Hauteur totale : 125 millim. ; largeur,
’édition de 1682. Hauteur totale : 125 millim. ; largeur, 72 millim.
Édition
de 1718 (Paris, par la Compagnie des libraires).
Paris, par la Compagnie des libraires). Même disposition que dans les
éditions
de 1693 et 1710 ; la gravure est d’un trait plus
médaillon. Chandelier rond sur la table, et non carré, comme dans les
éditions
précédentes ; pas de papier sur la table ; tapis
genoux ; même pose, même expression insignifiante que dans toutes les
éditions
précédentes. Pas de nom de dessinateur ou de grav
t), puisqu’il n’a que le petit rabat, et que ce rabat, excepté dans l’
édition
de 1718, est de linge uni : d’où il résulte que,
de pousser à l’examen comparatif des gravures qui ornent les diverses
éditions
de Molière, et à l’étude qui s’y peut faire des d
e Vinot, qui a donné, en 1682, de concert avec La Grange, la première
édition
complète de Molière, d’après les manuscrits de l’
bibliographes ont attribué une part de collaboration dans la célèbre
édition
de 1682. J’avais cru reconnaître notre Vinot dans
ux article de Ch. Livet sur le costume de Tartuffe dans les premières
éditions
des gravures des Œuvres de Molière, je suis venu
it exécuter par P. Brissart les dessins que Sauvé a gravés pour cette
édition
. Autre idée lumineuse, j’ai eu recours à la liste
lui qui a choisi le dessinateur P. Brissart et Sauvé pour illustrer l’
édition
de 1682 ? [1880-10] Paul LACROIX (Bibliophile J
je lui adressai, à ce sujet, une lettre qu’il inséra dans la seconde
édition
de son livre (page 248) : « Molière, lui disais
vons signalé le premier, en le réimprimant, ce curieux ballet, dont l’
édition
de Paris, sans date, n’a pas été mentionnée par B
rais Moyens de parvenir, que nous avons réimprimée aussi, d’après une
édition
in-4 de 6 pages, sans nom de lieu et sans date, m
-4 de ses Recherches, page 63 de la 3e partie) décrit aussi une autre
édition
du Ballet des Vrais Moyens de parvenir, que le du
ère entrée : les Gens de cour. » La description de ce ballet, dans l’
édition
imprimée à Lyon, est identique à celle de l’éditi
ce ballet, dans l’édition imprimée à Lyon, est identique à celle de l’
édition
de Paris sans date, si ce n’est que, dans cette é
à celle de l’édition de Paris sans date, si ce n’est que, dans cette
édition
, la cinquième entrée donne le nom de Scapamonte,
imique, et son ami. Il résulte vraisemblablement de l’existence d’une
édition
lyonnaise du Ballet des Vrais Moyens de parvenir,
est celui qu’ont indiqué MM. Despois et Mesnard, dans leur excellente
édition
des Œuvres de notre poète : « Votre sonnet est bo
elo ; sei un angelo. — Molière lo diceva al teatro, ove erano i culti
ed
urbanissimi cortigiani dì Luigi XIV. Perciò qui m
historique, t. II, p. 201, édit. Ch.-L. Livet.) 28. Voy, dans notre
édition
du libelle intitulé « Les Intrigues de Molière et
ux, 1877, p.102), une note relative au chapeau de Sganarelle dans les
éditions
de 1666 et de 1682 de L’Amour médecin, et un pass
501. 30. Édit. de M. Livet, II, 26. 31. Œuvres de Molière, II, 23.
Édition
des grands écrivains. 32. Somaize le dit positiv
e (Note de M. B. Fillon). 42. (Mémoire fourni, en vue d’une nouvelle
édition
de Moreri, en novembre 1723, par M. de Sarcy, anc
n. 72. Ce travail n’a pas été de petite difficulté. Nous avons deux
éditions
des lettres de Maintenon, l’une de 1756, l’autre
s lettres de Maintenon, l’une de 1756, l’autre de 1806. Dans ces deux
éditions
se rencontrent une multitude de différences essen
dans le manuscrit sont diversement placées par les éditeurs. Dans une
édition
, elles paraissent se rapporter à un événement et
ent se rapporter à un événement et le caractériser, tandis que dans l’
édition
postérieure elles se rapportent à un autre événem
uve en conférant les unes avec les autres toutes les lettres des deux
éditions
, les dates et le texte de chacune, et surtout en
. En 1706, madame de Maintenon écrivait à son frère, lettre CXVI de l’
édition
de Nancy : « Je n’ai pu voir sans plaisir une gén
Observations sur l’
édition
des Œuvres de Molière publiée en 1682 par La Gran
ubliée en 1682 par La Grange Au moment de publier cette troisième
édition
des œuvres de Molière, nous avons voulu réviser n
u commentaire nous conduisait naturellement à l’étude des différentes
éditions
de l’auteur, et c’est là, il faut le dire, le but
note du Journal de la Librairie, un exemplaire des œuvres de Molière,
édition
de 1682, dont le texte offrait de nombreuses diff
ombreuses différences avec le texte des autres exemplaires de la même
édition
. On y remarquait surtout une nouvelle leçon de la
n conclut avec le savant bibliographe, auteur de la découverte, que l’
édition
donnée par Vinot et La Grange était cartonnée, et
i, en nous permettant d’en faire usage pour établir le texte de cette
édition
, a rendu un véritable service aux admirateurs de
mirateurs de Molière, c’est-à-dire au monde littéraire tout entier. L’
édition
de 1682, publiée par La Grange, acteur de la trou
justifiés. Toutefois pour établir sans conteste notre jugement sur l’
édition
de 1682 non cartonnée, nous l’avons collationnée
ur l’édition de 1682 non cartonnée, nous l’avons collationnée sur les
éditions
originales publiées du vivant de l’auteur, et c’e
nte de ces pièces, c’est le Tartuffe. Nous l’avons collationnée sur l’
édition
de 1669, donnée par l’auteur lui-même, comme le t
titre1 . La similitude du texte s’est trouvée parfaite dans les deux
éditions
. Seulement, l’indication du jeu des acteurs et la
du jeu des acteurs et la division des scènes avaient éprouvé, dans l’
édition
de 1682, quelques modifications sans importance,
tribuées à Molière. Le texte de l’Avare a été également respecté. Les
éditions
de Jean Ribou 1669 et de Claude Barbin 1675, coll
r, car dans tout le reste de la pièce le texte reproduit exactement l’
édition
originale de 1671. Si cet examen n’est pas favora
rtantes, et cependant excellentes, qui se rencontrent çà et là dans l’
édition
de 1682, avaient été préparées par Molière lui-mê
Il ne fut imprimé qu’après la mort de l’auteur. On en fit alors deux
éditions
sur des copies rédigées à la hâte pendant les rep
copies rédigées à la hâte pendant les représentations de la pièce. L’
édition
de Daniel Elzevier, 1674, n’est qu’une rapsodie s
tations . Certes, ce n’était pas le moyen de donner du crédit à cette
édition
. D’autre part, La Grange et Vinot, en publiant, s
fausses additions et suppositions de scènes entières faites dans les
éditions
précédentes . Et, pour fortifier cette déclaratio
cet acte tout entier n’étaient point de la plume de Molière dans les
éditions
précédentes, et qu’ils les donnaient rétablis sur
texte a une supériorité incontestable sur celui de toutes les autres
éditions
publiées en Hollande. La servante de Molière ne s
ence de tels faits, les accusations d’infidélité s’évanouissent, et l’
édition
de 1682 se trouve justifiée. En effet, tout le ma
ù Boileau ne reconnaissait pas l’auteur du Misanthrope. C’est donc l’
édition
de 1682, non cartonnée et moins les fautes d’impr
s avons prise pour base de la nôtre, en la relisant toutefois sur les
éditions
originales, travail qui nous a donné deux cent so
d nombre de variantes. Nous pouvons donc affirmer hardiment que notre
édition
est la seule qui jusqu’à ce jour ait reproduit le
x de scène, qui ne se trouvent bien développés que dans les premières
éditions
. On peut en voir un exemple remarquable dans Méde
ant plus précieuses qu’elles sont l’image du jeu même de Molière. Les
éditions
modernes les ont toutes supprimées. Nous les avon
modernes les ont toutes supprimées. Nous les avons recueillies dans l’
édition
de Jean Ribou 1667 : c’est une véritable restaura
ra long ; toutefois nous espérons encore le publier à la fin de cette
édition
L. AIMÉ-MARTIN. Paris, 3 mars 1845. Préface d
dition L. AIMÉ-MARTIN. Paris, 3 mars 1845. Préface de la première
édition
publiée de 1824 à 1826. Quel que soit le nombr
ar Grimarest ; Mémoires que j’ai cru devoir placer à la tête de cette
édition
, malgré le discrédit où ils sont tombés, et la cr
not, ami intime de Molière, et La Grange, son camarade, donnèrent une
édition
de ce poète, Paris, Thiéry, 1682. La préface qui
ère. 3. Voyez sa lettre à Brossette, du 12 septembre 1731. 4. Cette
édition
est peu connue ; elle fut publiée à Naples en 169
ison de Dassoucy, pag. 45. 11. Roman de la Rose. 12. Préface de l’
édition
de Molière donnée en 1682 par La Grange et Vinot.
, pag. 212 14. Lettre de Boileau à Brossette, tome IV, page 426 de l’
édition
de M. Amar. 15. A la tête de l’édition des œuvre
sette, tome IV, page 426 de l’édition de M. Amar. 15. A la tête de l’
édition
des œuvres de Molière, publiée en 1682. 16. Mer
oires de Louis Racine, à la tête des œuvres de Jean Racine, cinquième
édition
de Lefèvre, Paris, 1844. 18. Dans son commentair
4. Déjà M. Taschereau avait donné une Vie de Molière à la tête de son
édition
des œuvres de ce poète (1823). J’ignore ce qu’il
c’est que moi, je n’ai point copié M. Taschereau. (Note de la seconde
édition
publiée en 1837.) 23. Mémoires de Segrais, page
t un de ses condisciples. (Vie de Molière par La Grange, préface de l’
édition
de 1682.) 28. Chapelle, célèbre par sa gaieté, s
discours de Molière tel qu’il se trouve dans la Préface de La Grange,
édition
de 1682. 53. Ce ne fut point les trois Docteurs
ordres pour établir sa troupe à Paris. » (Préface de La Grange dans l’
édition
de 1682.) On sait que Boileau regrettait fort qu’
ique peu croyable, est très véritable. »(Voyez Œuvres de Jean Racine,
édition
de Lefèvre, tome Ier.) 90. On trouve dans un aut
eiller au parlement, et membre de l’Académie Française, qui donna une
édition
des Œuvres de Gassendi avec une préface latine tr
ne fut réimprimée qu’en 1682, et on ne la trouve pas dans la seconde
édition
du Misanthrope publiée chez Claude Barbin, un peu
e de Molière à la suite de ces Mémoires. La Grange publia en 1682 une
édition
des Œuvres de Molière, et il se permit d’altérer
les Mémoires sur la vie de Jean Racine, tome I des Œuvres de Racine,
édition
de Lefèvre, 1844.) 110. L’auteur désigne ici mad
ie de Molière. (Voyez les Œuvres de J.-B. Rousseau, tome V, page 321,
édition
de Lefèvre.) 131. Molière ne nous a conservé qu
sse de Saint-Géran ; lettre malheureusement sans date dans toutes les
éditions
des lettres de Maintenon. « Vous voulez savoir, m
premier. 100. Cette lettre et la suivante sont datées de 1676 dans l’
édition
de Nancy. 101. Lettres, édition de 1778, t. I,
suivante sont datées de 1676 dans l’édition de Nancy. 101. Lettres,
édition
de 1778, t. I, p. 100. 102. Les commentateurs ci
dresser un contrat de onze mille écus en bonne forme. » 104. Ici l’
édition
de 1806 marque par des points qu’il y a une lacun
ints qu’il y a une lacune ; je la remplis par ce qui se trouve dans l’
édition
de Nancy.
texte de celui-ci est le même, en très grande partie, que celui de l’
édition
de 1682, répété par toutes les éditions suivantes
grande partie, que celui de l’édition de 1682, répété par toutes les
éditions
suivantes ; et, dans les endroits où il en diffèr
même à croire qu’il est le texte véritable. Quoi qu’il en soit, cette
édition
de 1674 fut reproduite plusieurs fois à l’étrange
es, Thierry et Barbin, qui, sept ans plus tard, en 1682, publièrent l’
édition
des Œuvres de Molière, donnée par La Grange et Vi
fausses additions et suppositions de scènes entières, faites dans les
éditions
précédentes . De plus, ils eurent soin d’avertir,
troisième acte, que ces deux scènes et cet acte tout entier, dans les
éditions
précédentes, n’étaient point de la prose de M. M
e en possession des manuscrits de ses comédies inédites, pour faire l’
édition
de ses œuvres, c’est un fait dont on n’a aucune r
r. Mais il a été prouvé plus d’une fois, dans le cours de la présente
édition
, qu’ils s’étaient permis d’altérer plus ou moins
rer plus ou moins gravement le texte de leur auteur, constaté par des
éditions
faites sous ses yeux (voyez tome Ier, page 98, no
t. VIII, page 372, note 14) une portion de scène qui se trouve dans l’
édition
originale de la pièce, imprimée du vivant de Moli
Ayant imprimé deux actes, moins deux scènes, tels qu’ils sont dans l’
édition
de 1682, leur aurait-il été si difficile de se pr
médiens suivent, et j’imprime, en variantes, celui de 1674, d’après l’
édition
de Paris, 1675, purgée de toutes les fautes typog
is, 1675, purgée de toutes les fautes typographiques qui défigurent l’
édition
de Cologne. Ces variantes, qui consistent princip
mps-là. (***) Pour l’explication de ce nom de Côteaux, voir, dans les
éditions
de Boileau avec commentaires, la note sur le vers
Les Fourberies de Scapin tout ce passage, qui existe pourtant dans l’
édition
originale de 1671. Est-ce Molière qui l’a transpo
erfidement inventé pour le besoin de la cause. On lit, page 373 de l’
édition
de Las Obros de Pierre Goudouli (Toulouse 1713),
it que nous n’aurons jamais la paix avec les Allemands. 1. Voir l’
édition
Hachette des Œuvres de Molière, tomes I et II. 2
our l’époque. 11. On lit, au tome I, page 90, des Œuvres de Molière,
édition
Hachette : « M. Hermann Fritsche, à l’article Mas
et surtout germaniques ! Ô Molière ! 12. Voir la pièce sur Lo Modo,
édition
de 1642 ; collection Soleinne. (Archives national
Avertissement du nouvel éditeur Cette
édition
nouvelle des Œuvres complètes de Molière est enri
très difficile par l’incorrection presque incroyable des différentes
éditions
de ce grand poète. « Je puis affirmer, dit M. Aug
er dans l’avertissement de celle qu’il a publiée, que dans toutes les
éditions
, sans en excepter les plus belles et les plus est
soin que de l’expliquer… Molière ne s’est jamais occupé de donner une
édition
de ses Œuvres. Celles de ses comédies qui avaient
mesure, probablement d’après son manuscrit et sous ses yeux ; et ces
éditions
de pièces détachées se répétaient autant de fois
partie du moins ; et ce recueil fut entièrement conforme au texte des
éditions
séparées et originales. En 1682, c’est-à-dire neu
omme, deux de ses amis, Vinot et Lagrange, entreprirent de donner une
édition
complète de ses comédies. Ils annoncèrent qu’elle
s que la négligence des imprimeurs avait laissé s’introduire dans les
éditions
précédentes ; mais ils ne dirent pas qu’elle eût
faut attribuer les différences plus ou moins nombreuses qu’offre leur
édition
, comparée aux éditions originales. N’ayant point
férences plus ou moins nombreuses qu’offre leur édition, comparée aux
éditions
originales. N’ayant point pour le texte de Molièr
Auger nous a servi de base, et nous avons consulté en même temps les
éditions
originales. L’édition publiée en 6 vol., petit in
base, et nous avons consulté en même temps les éditions originales. L’
édition
publiée en 6 vol., petit in-12, par Wettstein (Am
s espérons être arrivés à un degré d’exactitude qui distinguera cette
édition
de la plupart de celles qui l’ont précédée. Léon
not, ami intime de Molière, et La Grange, son camarade, donnèrent une
édition
de ce poète en 1682. La préface qui est au commen
le fait bien. 292. Elle figure à la quarante septième place dans l’
édition
de 1855. 293. Cette partie est nommée « Autre ép
ion de 1855. 293. Cette partie est nommée « Autre épitaphes » dans l’
édition
du Moliérana datant de 1855.
n arrivant. 245. Cette anecdote figure à la trente-une place dans l’
édition
de 1855. 246. RIS : Signifie la même chose que R
ement Vinaigrettes. (Dictionnaire de l’Académie françaises, troisième
édition
, 1740)
Les Grands Écrivains de la France, nouvelles
éditions
publiées sous la direction de M. Ad. Regnier, de
ction de M. Ad. Regnier, de l’Institut. — Œuvres de Molière, nouvelle
édition
, par MM. Despois et Paul Mesnard, tomes IV et V,
ose de nouveau. On sait quel est l’esprit et l’objet de ces nouvelles
éditions
. Il ne faut pas y chercher des éditions usuelles,
t et l’objet de ces nouvelles éditions. Il ne faut pas y chercher des
éditions
usuelles, portatives, faites uniquement pour la l
usuelles, portatives, faites uniquement pour la lecture : ce sont des
éditions
savantes et définitives, destinées surtout à la r
losophique que nous entreprenons, disons cependant quelques mots de l’
édition
elle-même et des nouveautés qu’elle contient. Cet
mots de l’édition elle-même et des nouveautés qu’elle contient. Cette
édition
a eu des malheurs ; et les deux récents volumes s
été enlevés par la mort pendant qu’ils préparaient la suite de cette
édition
, dont ils avaient exécuté les premiers volumes. L
i-ci : c’est l’antériorité du Tartuffe sur Don Juan malgré toutes les
éditions
, qui, ne tenant compte que des représentations pu
notice sur Don Juan est l’étude approfondie et complète des diverses
éditions
de cette pièce célèbre et des variantes de Molièr
é de sacrifier la scène du pauvre, ou du moins de la réduire dans les
éditions
imprimées à un texte insignifiant. Cette scène sc
assisté à la première représentation, se retrouve seulement dans les
éditions
de Hollande et donne seul son sens à la scène et
la première représentation et que Molière a fait disparaître dans les
éditions
imprimées : c’est le dernier mot de la pièce. Au
el est ce philosophe. 9. Le passage du moine bourru n’est pas dans l’
édition
publiée par Molière, mais il est dans l’édition d
urru n’est pas dans l’édition publiée par Molière, mais il est dans l’
édition
de Hollande. C’est probablement un trait supprimé
Coquille : Quest-ce → Qu’est-ce. Cette coquille a été corrigée dans l’
édition
de 1855. 183. Cette anecdote figure à la vingt-
1855. 183. Cette anecdote figure à la vingt-quatrième place dans l’
édition
de 1855.
nt, et je guéris. 252. Elle est à la trente troisième place dans l’
édition
de 1855. 253. Cette anecdote, selon Bonvallet, a
3. Cette anecdote, selon Bonvallet, apparaît en 1694 dans la deuxième
édition
du Ménagiana (que nous n’avons pas consultée) : M
xpliqueront aisément ceux des lecteurs qui savent que j’ai publié une
édition
des œuvres de Molière avec toutes les recherches
ication comporte1. Il y a, à mon avis, deux manières de concevoir une
édition
des œuvres de Molière : ou publier le texte dans
’il avait figuré dans la notice du Festin de Pierre, au tome III de l’
édition
; c’est le canevas du Convitato di pietra. Cette
une finesse d’observation, par aucune grâce de style. Néanmoins cette
édition
de Neufvillenaine avec arguments est celle que, d
é dans sa copie quantité de mots les uns pour les autres . Dans cette
édition
, qu’il faut bien considérer comme originale, la p
pour la retenir en entier. Toute foi sur ce point est donc due à son
édition
que Molière a rendue authentique au moins par son
it plus favorable : l’ouvrage ne fut imprimé qu’après sa mort, dans l’
édition
de ses œuvres, publiée par Vinot et La Grange. L’
ie, dans les différentes villes où elle fut représentée : la première
édition
connue est de Pérouse, 1654, et ce fut sept ans a
lière mentionnée dans ce privilège, avait principalement pour objet l’
édition
du Cocu imaginaire, donnée par Neufvillenaine, et
jugée à l’encontre du libraire Ribou, lequel avait imprimé cette même
édition
. 3. Ce sont les propres termes de l’avertissemen
Carnaval ; nous y joignons les paroles françaises qui accompagnent l’
édition
du divertissement de Chambord, publiée chez Balla
...... Les paroles des opérateurs sont celles des deux médecins des
éditions
ordinaires; elles se terminent, au deuxième coupl
lo su, Signor monsu Etc .... Les paroles qui suivent sont celles des
éditions
ordinaires ; puis vient la poursuite des matassin
avocats et les scènes qui précèdent. M. Auger, dans les notes de son
édition
, fait une observation fort juste; il dit : Sbriga
ceaugnac, voici ce que je dirais, en suivant l’ordre des scènes sur l’
édition
Ch. Louandre (in-18) : Premier acte. — Il est bie
as attendu à le rencontrer au premier rang. Suivant un grand nombre d’
éditions
, Lully aurait pris ce surnom de Chiacchiarone pou
din. La relation de cette fête de Versailles est donnée dans quelques
éditions
de Molière, mais je ne sache pas qu’on ait tiré,
. 6. Observations de Rochemont sur le Don Juan de Molière (Molière,
éd.
des Grands Ecrivains, t. IV, p. 231). 7. Mllede
s Grands Ecrivains, t. IV, p. 231). 7. Mllede Montpensier, Mémoires,
éd.
Chéruel, 11!, 36-37 et Allier, la Cabale des Dévo
ns, 1rs Libertins en France, 1896; Jules Lair, Mllede La Vallière, 3*
édition
; F. Brunetière, Manuel de l’histoire de la Litté
c, Revue des Cours et Conférences, 1906-1907. 10. Lettres choisies,
éd.
de Rotterdam de 1723, t. II, p. 123. Cf. la lettr
Brucker sur ces deux publications. 15. Sermons choisis de Bossuet,
éd.
Hachette, p. 338. Déjà en 1662, dans le Sermon su
Vie de M. Olier, 4* édit., 1873, t. II, p. 374-375. 25. D’Argenson,
éd.
de dom Beauchet-Filleau, p- 168. 189, 203, 211.
sage de Bossuet dans les Maximes et Réflexions sur la Comédie, ch. V (
éd.
Gazier, p. 33-34), sur Sganarelle ; Bossuet avait
u certains de la Compagnie. 35. Monmerqué et Paulin Paris, dans leur
édition
de Tallemant, t. VII, p. 212-213. Cf. Paul Mesnar
mant, t. VII, p. 212-213. Cf. Paul Mesnard, Notice sur Tartufe dans l’
édition
de Molière des Grands Écrivains, t. V. 36. D’aut
ait achevée, lorsque nous avons recouvré un exemplaire de la première
édition
de la tragédie de Timocrate, à la tête de laquell
de laquelle se trouve un Avis au lecteur qui aurait dû entrer dans l’
édition
des Œuvres des MM. Corneille, donnée en 1738. Com
nous allons employer un passage de la préface des Œuvres de Molière,
édition
de Paris, 1682b. L’auteur de cette préface, après
a vie et les ouvrages de Molière, à la tête des Œuvres de cet auteur,
édition
in-12, Paris, 1739. a. « [*]Les connaisseurs on
parut au théâtre. b. Cette pièce est imprimée en trois actes dans l’
édition
in-4° des Œuvres de Molière, Paris, 1734, et in-1
34, et in-12, 1739. Mais nous avons cru devoir suivre les précédentes
éditions
, et plus encore l’usage établi à la comédie, où e
ui se trouve dans la table générale des pièces de théâtre de Molière,
édition
in-12, Paris, 1739, attendu que cette pièce fut j
es observations sur le génie de ce poëte comique. On doit à M. Joly l’
édition
des œuvres de Moliere, publiée en 1734, en 4 volu
in-12. Le premier volume commence par l’avertissement qui est dans l’
édition
de 1734, suivi d’additions importantes à cet aver
our réunir grand nombre de ses réflexions faites en réalité d’après l’
édition
stéréotype de Didot. Les feuillets contenant les
t. Les feuillets contenant les notes manuscrites furent reliés dans l’
édition
publiée en 1814 chez Nicolle, en 6 volumes in-S a
sont pris dans la couverture ; d’ailleurs Stendhal utilisa beaucoup d’
éditions
de Molière, car à propos de celle de Nicolle, il
lière, car à propos de celle de Nicolle, il en dit : « For the sight,
édition
plus nette que la mienne de 1804. » J’avais déjà
uné commentateur de notre poète comique, Claude-Bernard Petitot. Si l’
édition
du Molière de Nicolle appartenant à M. de Spoelbe
s marginales, les remarques des feuillets liminaires sont tirées de l’
édition
stéréotype de Firmin Didot, 17999. Les pièces don
ajouter aucune platitude élogieuse. » La troisième brochure est une
édition
de Hamlet 39 au bas de la p. ix. « Très bien 30
beaucoup de notes autographes de l’auteur, pour servir à une nouvelle
édition
. Parmi ces notes très spirituelles, il y en a que
laisanterie. au lieu de fournir du comique78. * * * [Note i, page 16 (
édition
in-8º de 1804).] Cette scène suppose un amour ext
as raisonnable. * * * [Note 3, page 29.] Marmontel, tome 2, page 143,
édition
complète, assure que Molière a mis l’autre. Les
st marqué en queue H. B. 9. 1 Œuvres de J.-B. Poquelin de Molière. —
Edition
stéréotype d’après le procédé de Firmin Didot. À
a tragedy ; By William Shakspeare- — With prefatory remarks. The only
édition
existing which is faithfully marked with the stag
n. ch. En tête, le portrait de Mr. Kean, as Hamlet. 40. Oxberry s
Edition
. — The Rivais, a comedy ; By R. B. Sheridan. — Wi
, a Comedy ; By George Far-quliar. — With prelatory remarks. The onlv
édition
existing which is faithfully marked with the stag
À tragedy : By William Shakspeare. — With prefatory remarks. The only
édition
existing which is faithfully marked with the stag
entaires sur Molière. Notes et introduction par Jean de Mitty. Paris,
Éditions
de la Revue blanche, 1897, in-18, pp. XXV, 260.
59. Dans le volume III, du Molière. — Dans le volume IV, p. 49, de l’
édition
Didot 60. 5 Le jeudi 16 décembre 1813 le specta
Théâtre de Shakespeare comprend 20 vol. in-8 (1776-1782). — Nouvelle
édition
précédée d’une notice biographique et littéraire
tique.) 67. Dans le vol. IV. du Molière. — Dans le vol. V, p. 5 de l’
éd.
Didot. 68. Je note que le Tartuffe fut joué le
embre 1813. — Précède Scapin dans ce vol. — Vol. V, pp. 195-274, de l’
éd.
Didot. George Dandin, joué le mardi 15 février et
ouvrages de Molière. – Geoffroy, Cours de littérature dramatique, 2e
édition
, 1825, t. I, p. 335. 5. Bazin, Notes historiques
t. I, p. 335. 5. Bazin, Notes historiques sur la vie de Molière, 2e
éditions
Paris, Techner, 1857, p. 143. 6. Fléchier, Orais
Misanthrope. 10. Bazin, Notes historiques sur la vie: de Molière, 2e
éditions
Paris, Techner, 1857, p. 143. Aimé-Martin cite av
le disséquer. » (De Barante, Tableau littéraire du XVIIIe siècle, 8e
édition
, p.44.) « Une scène de Molière n’est pas un comme
. Sainte-Beuve dit encore dans son remarquable ouvrage Port-Royal, 2e
édition
, t. III, p. 226 : « Molière n’est rien moins qu’u
-4º . Voici ce passage remarquable, dont nous empruntons le texte à l’
édition
de 1646 : SATYRE I. « Que je suis dégoûté de la
qui abrite la cheminée. Je le veux bien. Seulement, dans les futures
éditions
du Tartuffe, on supprimera l’ancienne indication
plus vif désir est de changer ce titre dans une seconde et prochaine
édition
. Toutefois, si vous adoptez avec chaleur cette pr
Molière a dû être choqué de la façon dont on imprime dans toutes les
éditions
et dont on dit au théâtre ce vers du Dépit amoure
son que nous allons donner tout à l’heure, et répétée dans toutes les
éditions
qui se sont succédé par suite de cet esprit de ro
sont pas toujours exempts. Il est à peu près certain que la première
édition
du Dépit amoureux fut imprimée en province. Bien
primée en province. Bien qu’on ne connaisse aucun exemplaire de cette
édition
, il est probable qu’elle fut faite sous les yeux
héâtre, que livrée aux chances, alors fort aléatoires, de la vente. L’
édition
de Claude Barbin, dont l’Achevé d’imprimer porte
u 24 novembre 1662, a sans doute été faite d’après un exemplaire de l’
édition
provinciale. Reproduit-elle une faute ou la comme
eler à nos lecteurs sans la raconter de nouveau. Ouvrons maintenant l’
édition
de 1682 publiée par Vinot et La Grange, et nous a
pas. — Nous croyons à une faute d’impression commise peut-être dans l’
édition
provinciale et reproduite dans l’édition de Claud
ion commise peut-être dans l’édition provinciale et reproduite dans l’
édition
de Claude Barbin, ou faite pour la première fois
uvent. Henri Zschokke, célèbre nouvelliste suisse, a aussi publié une
édition
de tout l’œuvre de Molière. Voici d’ailleurs les
tes de 1664. 40. Th. italien de Gherardi. Avertissement, t. Ier de l’
éd.
d’Amsterdam, 1721. 41. Ibid. 42. Voir le fron
Verfeil (Haute-Garonne). 51. Œuvre de M. de Palaprat, préface de l’
édition
de 1712, reproduite dans l’édition de 1735. Paris
re de M. de Palaprat, préface de l’édition de 1712, reproduite dans l’
édition
de 1735. Paris, Briasson, in-8. 52. Dans le cost
München, 1850, t. XX. Voir aussi l’article de Brunet dans la deuxième
édition
de la Biographie Michaud. 56. Dominici, Vite de’
et il faut démêler l’idée originale entre les lignes d’une troisième
édition
reprise et amendée. De là des incertitudes, de là
ous à ma droite. C. COQUELIN, De la Comédie-Française. 1. Voyez l’
édition
Despois-Mesnard (Grands Écrivains de la France) e
Voyez l’édition Despois-Mesnard (Grands Écrivains de la France) et l’
édition
Moland. 2. Voir Paul Lacroix, préface du Paris b
oileau-Despréaux et Brossette, publiée en 1858; citée par M. Mesnard,
éd.
des Grands écrivains de la France. 8. Publiée c
Mesnard, éd. des Grands écrivains de la France. 8. Publiée clans l’
éd.
Mosnard. 9. Histoire de France, éd. Chamerot, t
la France. 8. Publiée clans l’éd. Mosnard. 9. Histoire de France,
éd.
Chamerot, t. XIII. 10. Le Tartuffe, éd. Ch. Liv
d. 9. Histoire de France, éd. Chamerot, t. XIII. 10. Le Tartuffe,
éd.
Ch. Livct. 11. II l’avait étudié à Orléans, selo
econde interdiction de Tartuffe, et la Lettre sur l’Imposteur, dans l’
éd.
Mesnard. 15. Le P. Maury. Moliériste, n<>
ustes de leurs Ouvrages ». Il cite pour exemple de ce mauvais goût, l’
Edition
de Racine faite en 1728. Pour lui, il se propose,
rt se trouvent dans les Mémoires historiques, dont on a orné la belle
Edition
in-4°. de Moliere, ils semblent avoir acquis une
mœurs, et de mauvais goût dans le langage ? 2. Mémoires de Sully,
édition
de Petitot. T. VIII, pag. 51 à 59 comprise. — « H
ieurs fois que vous tenez de sa bonté tout ce que vous êtes. » Sully,
édition
de Petitot, t. VIII, pag. 143. L’Écluse, t. V, pa
volumes de ses conversations à Mad. de Sévigné. (Lettres de Sévigné,
édition
de Monmerqué, t. VIII, p. 89). 14. Nous avons, o
M. Frédéric Hillemacher vient de publier, chez Lemerre, la cinquième
édition
de l’ouvrage original que Molière se borna à cond
est la vérité. M. Livet lui-même, qui, dans un appendice à sa savante
édition
de la Fameuse Comédienne, a publié des fragments
sa femme : un passage outrageant pour ses mœurs ne figure pas dans l’
édition
sans lieu ni date que M. Livet a reproduite et re
idèles. A cette occasion, M. Ch. Livet, à qui l’on doit d’excellentes
éditions
savamment annotées de quelques pièces de Molière,
és et des excommuniés. C’est à M. Louis Moland, si connu par sa belle
édition
de Molière dont la réimpression se termine en ce
ger d’opinion touchant la sépulture de Molière, car, dans sa première
édition
des œuvres du grand poète comique, il s’était trè
ttre de lui au chancelier Séguier, et que nous avons citée dans notre
édition
de la Fameuse Comédienne, en est une première pre
ographie qui termine le premier volume récemment publié de sa seconde
édition
des œuvres de Molière, M. Louis Moland parle en c
as, non plus que ses contemporains. C’est seulement dans la troisième
édition
du Dictionnaire de l’Académie, publiée en 1740, q
les adresses de ses lettres à son ami. Le titre et les privilèges des
éditions
originales des pièces de ce dernier portent, il e
e moliéresque de Paul Lacroix et dans le premier volume de la seconde
édition
du Molière Moland. Qu’on compare la signature qui
signés, et jusqu’à la poussière de ses ossements. Joignez à cela les
éditions
de ses œuvres, les innombrables études dont il a
ec circonspection. C’est bien l’introduction qui convient à une belle
édition
de Molière qui s’adresse au grand public, lequel
ans sa notice sur le Misanthrope, au t. V, p. 380 de cette magnifique
édition
de Molière, publiée par la maison Hachette, et où
érés comme trop crus. Il ne se passe pas d’année sans qu’une nouvelle
édition
des œuvres de Molière ne voie le jour ; des savan
ur se nommait Molière, eut quelque part à ce choix. » Bret, dans son
édition
des Œuvres de Molière (Paris, 1773), fait suivre
tpellier devant Mgr le Prince et Mme la Princesse de Conti (d’après l’
édition
de Montpellier, 1655). Quelques vers de cette piè
ôté des dévots il y a des despotes. M. Louis Moland, qui a publié une
édition
nouvelle de Molière36, a eu l’idée de demander à
à la mort de Molière, il ajoutera des vers plus violents encore à une
édition
nouvelle de son Enfer burlesque, et on retrouvera
cace qui peut passer pour un chef-d’œuvre de flagornerie. La première
édition
d’Élomire hypocondre est datée de 1670 (Paris, Ch
heureux Molière intenta à l’auteur46, qui s’en venge dans sa deuxième
édition
en disant : « Ce serait peu que vous vissiez le p
e de le faire devenir fou, dès qu’elle aura vu le jour… » La première
édition
était ornée d’une estampe gravée par L. Weyen, et
ière, fort curieux, est aussi celui qui figure en tête de la première
édition
d’Élomire hypocondre. Mais, à vrai dire, ce n’est
e des détails intéressants et bons à retenir. M. Ch. Louandre, dans l’
édition
qu’il a donnée des œuvres de Molière (Bibliothèqu
i devait, avec un ami de Molière, Vinot, donner au public la première
édition
des Œuvres de Molière (Paris, Thierry, 1682). — R
ouvenirs d’un vieux comédien de la troupe de Molière, nommé Marcel. L’
édition
que j’ai consultée est celle d’Amsterdam, 1735. L
figures en taille-douce (Amsterdam, chez Herman Uytwerf, 1735). Cette
édition
contient L’Ombre de Molière, de Brécourt. – La tr
25. Molière et la Comédie italienne. 26. Vie de Moliere, dans l’
édition
de ses Œuvres (Amsterdam, chez Herman Uytwerf, 17
oir le fac simile autographié de l’acte découvert par Beffara, dans l’
édition
des Grands écrivains français de M. Alph. Pagès.)
Quinze ans et demi, mais n’en dites rien à ma mère ! » 28. Voyez l’
édition
de l’Histoire de la Guérin, qu’a publiée, avec un
e préface et des notes, M. Jules Bonnassies. 29. Œuvres de Molière,
édition
d’Amsterdam, 1735. Vie de l’auteur, p. 57. 30.
erait un portrait du P. La Chaise. Cela est radicalement faux. 36. L’
édition
complète, un des hommes les plus remarquables de
es Contes, et le Dictionnaire de Bayle (t. IV). 42. Publié d’après l’
édition
de Paris, 1670. J. Gay et fils (Turin, 1869). 43
ibliographie Moliéresque, contenant : 1º la description de toutes les
éditions
des œuvres et des pièces de Molière ; 2º les imit
le premier Théâtre de l’Europe, qu’on trouve même dans les mauvaises
éditions
. Harpagon demande à Maître Jacques ce qu’il faud
ment avec ce dont on l’a gratifié. Voici ce qu’il y a dans les bonnes
éditions
: Eh bien, il faudra quatre grands potages, &
r dialogue en conséquence. 28. Note qui se trouve dans les bonnes
éditions
de Moliere. Le sieur Duchemin, comédien, qui sav
er le spectacle dans un fauteuil. Etendez la main vers ces admirables
éditions
que publie la maison Hachette, vers cette collect
n public assez chaud. Et, pour les chefs-d’œuvre, en voici de petites
éditions
, réduites de celles-là, discrètement annotées, et
nt annoncé l’approche des vacances. Louis GANDERAX. 1. Nouvelles
éditions
publiées sous la direction de M. Ad. Régnier, in-
tes fois, & distribuées en plusieurs volumes ; les deux dernieres
éditions
de Paris, l’une en l’année 1697. & l’autre en
médie. A la fin de l’année 1731. on a commencé à Paris une magnifique
édition
des œuvres de Moliere en 6 volumes in-4°. ornée d
Vignettes. a. Menagiana, tome 2. page 65. a. Oeuvres de Despréaux,
édition
de Geneve, page 433. a. Remarques sur le Vers 39
um in animalibus. Ed. Florence, tome II, p. 203, col. 2). La première
édition
des Œuvres de Gassendi est de 1658, et le Festin
lotine l’instrument de leur politique. » Œuvres complètes de Molière,
édition
variorum de Ch. Louandre, Paris, 1864, tome II, p
haut, chap. VI ; p. 115. 777. Le Festin de Pierre, act. III, sc. I,
édition
variorum de Ch. Louandre. — On trouve la même int
artuffe. Au 2e vers de la scène vu de l’acte III, dans toutes les
éditions
de Molière, on lit : « Ô ciel, pardonne-lui la do
productions des contrefacteurs étrangers ! Il a fallu l’existence des
éditions
frauduleuses d’Amsterdam, 1683, et de Bruxelles,
682. 8. En 1813, M. Simonnin publia pour la première fois, d’après l’
édition
de 1683, les scènes que l’on croyait perdues. Voy
n Pierre. 13. Cette partie du titre ne se trouve pas dans toutes les
éditions
; je le donne d’après une fort ancienne que j’ai
maison entre celles qui étaient ouvertes à la société d’élite. 89. L’
édition
de 1778 dit de se croire enfermée. 90. Le marq
nt de leur enchaînement à d’autres qui suivent ou qui précèdent. 93.
Edition
de 1778.
ace ». 178. Cette anecdote figure à la trente septième place dans l’
édition
de 1855.
t un bel esprit, mais il manque des rieurs. 179. Elle figure dans l’
édition
de 1855, à la sixième place.
r servir d’exemple.149 149. Elle figure à la seizième place dans l’
édition
de 1855.
i propre à la bien remplir. 141. C’est la troisième anecdote dans l’
édition
de 1855.
jour de leur donner du pain.243 243. Cette anecdote figure dans l’
édition
de 1855, à la douzième place.
et il n’y avait pas fort longtemps, qu’il avait fallu que la deuxième
édition
suivît de près la première ; et voilà que tout d’
ques. Je ne parle point de ses Œuvres galantes, dont il y a plusieurs
éditions
. Ce sont des jeux où il s’amusait avant qu’il fît
marginale] Avertissement de la comédie de La Comtesse d’Escarbagnas,
édition
in-12, Paris, 1739. [*]. [Note marginale] Mémoir
le chef-d’œuvre de l’auteur. » 1. [Note marginale] Tome III, p. 23,
édition
de Paris de 1729. 1. [Note marginale] Vadius. a
mêmes y sont désignés. 1. [Note marginale] Dictionnaire de Richelet,
édition
in-4°, Genève, 1680. 2. [Note marginale] Carpent
[*]. [Note marginale] Lettres de Boursault, tome I, p. 219 et 120,
édition
de Paris, 1729.
iant un passage des Mémoires de La Serre, publiés en tête de la belle
édition
in-4° de 1734, écrivent en 1747 (tome X, page 86)
ar les Dlles Guerin, de Brie et la Grange211. On lit dans la nouvelle
édition
des œuvres de Moliere212, dont on a déjà emprunté
t-il dit, ni Lambert ni Molière. 135. Textuellement reproduit de l’
édition
de 1734 : Mémoires sur la vie et les ouvrages de
e parut pour la première fois dans les Œuvres posthumes, t. VIII de l’
édition
de 1682, et ne fut représentée à la Comédie-Franç
Elle eut cependant sept représentations. 144. Dans le tome VII de l’
édition
de 1682. 145. On ne connaît pas le titre de la p
eptembre, imprimée en 1673. 234. Cette date est celle de la première
édition
: le Cocher suposé, ou le Cocher de Madrid, coméd
à cette date, puisque Chappuzeau le cite en 1674, et qu’il existe une
édition
de 1670. (Voir le Catalogue Soleinne.) 242. Un a
dit le roi ; mais vous vous y connaissez mieux que moi. 188. Dans l’
édition
de 1855, cette anecdote figure à la vingt-cinq pl
a mieux. 195. Cette anecdote figure à la vingt-sixième place dans l’
édition
de 1855.
248. Cette anecdote est placée à la trente deuxième position dans l’
édition
de 1855.
la suite Corneille de l’Isle. 151 150. v. 179 – 182. 151. Dans l’
édition
de 1855, cette anecdote est placée à la dix-septi
.158 158. Cette anecdote est placée à la dix-neuvième place dans l’
édition
de 1855.
servir. 206. Cette anecdote figure à la vingt-septième place dans l’
édition
de 1855.
eterre. 260. Cette anecdote est à la quarante quatrième place dans l’
édition
de 1855.
; il nous a pris pour dupes. 200 200. Cette anecdote figure dans l’
édition
de 1855, à la neuvième place.
vivra toujours. 176. Elle figure à la vingt-troisième place dans l’
édition
de 1855 du Moliérana. 177. Cette anecdote fut re
es ! »211 211. Elle est placée à la vingt-huitième position dans l’
édition
de 1855.
e la partie ». 232. Elle figure à la quarante-deuxième place dans l’
édition
de 1855.
copie, Qu’elle en fit un original. 290. Cette anecdote, dans l’
édition
de 1855, est à la cinquième place. 291. Il y a i
ou que les remèdes l’aient tué. 144. Cette anecdote figure, dans l’
édition
de 1855, à la quatorzième place.
é, illustre tragédienne. (DLF XVII, p. 259). 167. Elle figure dans l’
édition
de 1855, à la cinquième place.
scène 3. 174. Acte III, scène 2. 175. Cette anecdote figure dans l’
édition
de 1855 à la vingt-deuxième place. Nous pouvons r
et Boileau-Despréaux. Elle fut reprise par Voltaire dans la deuxième
édition
du Tartuffe, 1764. Puis, plus tard dans Le Tablea
lui → lui. 138. Cette anecdote figure à la trente cinq place dans l’
édition
de 1855.
e pièce.152 152. Cette anecdote est à la dix-huitième place dans l’
édition
de 1855.
ues réflexions, et ne retourna plus au Cocu imaginaire. 205. Dans l’
édition
de 1855, cette anecdote figure à la trente neuviè
ragiques. 216. Cette anecdote figure à la trentième position dans l’
édition
de 1855. 217. Coquille : Moudorge → Mondorge.
orie de la comédie sur le modèle moliéresque. À la fin de la première
édition
(1772) figurent les Causes de la décadence du thé
pas accoutumé de parler à des visages. 230. Cette anecdote, dans l’
édition
de 1855, est à la quarante et unième place. 231.
t pendable après les avoir faits199. 197. Seconde anecdotes dans l’
édition
de 1855. 198. Chapelain, La Pucelle ou la Franc
qua sur-le-champ le médecin, voyez comme il est mort ». 214. Dans l’
édition
de 1855, elle est placée à la vingt-neuvième posi
Préface Tous ceux qui ont donné des
éditions
des œuvres de Molière, les ont fait précéder de l
l vint-et-un chevaux. (Furetière, 1690). 140. Cette anecdote, dans l’
édition
de 1855, est placée à la trente sixième position.
es a débridées. (Furetière, 1690). 257. Cette anecdote figure dans l’
édition
de 1855 du Moliérana, à la treizième place.
as se trouvait toujours à l’envers.265 265. Cette anecdote, dans l’
édition
de 1855, est placée à la trente quatrième place.
que, rédigées à l’occasion des erreurs répandues dans une multitude d’
éditions
nouvelles des écrivains du XVIIe siècle ou dans
is des éditeurs Nous n’avons rien négligé pour que cette nouvelle
édition
fût digne du grand homme dont elle reproduit les
du vivant de Molière que possède la Bibliothèque impériale, et sur l’
édition
non cartonnée de 1682. Comparant ensuite ce texte
nous avons pu constater que, malgré l’affirmation du commentateur, l’
édition
de 1845, présentée comme type à suivre désormais,
bien voulu revoir, compléter et nous autoriser à publier la cinquième
édition
de son Histoire de la vie et des ouvrages de Moli
is, notre Histoire de la vie et des ouvrages de Molière en tête d’une
édition
de ses Œuvres. Comme il n’entrait pas dans le pla
ur publication, d’admettre les notes justificatives qui suivaient nos
éditions
précédentes, nous avons dû consentir au retranche
uelles le lecteur, en cas de doute, pourra se reporter à la troisième
édition
, celle de 1844. Mais ayant recueilli considérable
ranges méprises leur absence peut quelquefois donner lieu. Depuis nos
éditions
précédentes, beaucoup de travaux ont été continué
os notes3 et comme nous aurons à le montrer encore dans une prochaine
édition
de notre Histoire de la vie et des ouvrages de Co
des ouvrages de Molière, quand il voulut, dans une note d’une de ses
éditions
, celle de 1837, donner à entendre que sans lui no
qu’une circonstance récente vient de rajeunir. En tête de la seconde
édition
du Tartuffe, de celle dont l’achevé d’imprimer po
e 1835, où M. Aimé-Martin alla les emprunter en 1837, pour cette même
édition
, dont nous venons de citer une note, et les donna
s une simple biographie, et depuis trente-huit ans que notre première
édition
a été publiée, presque chaque jour, en dépit de l
sion, nous ne sommes plus sûrs de n’avoir rien à en modifier dans une
édition
nouvelle. Sommaire Livre premier. 1622-16
e de Condé. Représentation du Festin de Pierre ; fureur de la cabale.
Édition
des œuvres de Molière, cartonnée par ordre dans l
la cabale. Édition des œuvres de Molière, cartonnée par ordre dans l’
édition
posthume. Louis XIV accorde une pension à sa trou
e secrétaire, celui-ci, La Grange nous l’apprend dans sa préface de l’
édition
des Œuvres de Molière de 1682, lui prodigua ainsi
il devint l’ami de Molière, et donna en 1682, avec Vinot, la première
édition
complète des Œuvres de notre auteur. La troupe s’
vier 166037 ; les exemplaires en furent rapidement enlevés ; d’autres
éditions
se succédèrent dans cette même année, et une broc
re le libraire Ribou40. Sa plainte fut sans doute accueillie, car aux
éditions
postérieures de Sganarelle, nous voyons son nom s
duit ou trahi tous les poètes latins, fit paraître en 1659 la seconde
édition
d’une version en prose française de Lucrèce qu’il
prose qui fut faite de Lucrèce dès l’année 1649, dont il y a eu deux
éditions
. Ces vers n’ont vu le jour que par la bouche du c
us tard, en 1682, Vinot et La Grange, l’ayant fait imprimer dans leur
édition
des Œuvres de Molière telle qu’elle avait été jou
écrite, mais mieux pensée, qui fut imprimée à la tête de la première
édition
. Grimarest a prétendu que Molière, furieux contre
voluptate, imprimée à Paris en 1505, et citée par Le Duchat dans son
édition
du Dictionnaire étymologique de Ménage. L’un des
is œil une contrefaçon qui se répandit presque au même moment que son
édition
; mais, dès le mois de juin, c’est-à-dire moins d
on théâtre, et le garda en portefeuille. Ce ne fut qu’en 1682, dans l’
édition
de Vinot et La Grange, qu’il fut imprimé pour la
5. Nous aussi nous avons donné des listes d’acteurs, afin que notre
édition
ne parût pas moins complète que celles qui ont ét
toriques sur la vie de Molière, par Bazin, page 49. 21. Préface de l’
édition
des Œuvres de Molière de 1682. 22. Extrait des
lui et comme il écrit son nom p. 38 de l’une et p. 50 de l’autre des
éditions
de ce pamphlet, toutes deux publiées chez Jean Ri
t nommé : le sieur de Molière. Mais dans les premières des nombreuses
éditions
que Guillaume de Luyne et ses cessionnaires, Char
ndant à la première personne. La Bibliothèque impériale possède trois
éditions
des Précieuses ridicules sous cette date, et ce n
re de La Bruyère, augmentée de portraits nouveaux jusqu’à la neuvième
édition
(1696), il est au moins bien évident pour tout le
n’a pu être antérieure à cette première publication. Or, la première
édition
des Caractères a paru en 1688, et c’est trente an
sson ; Amsterdam, 1695, in-12, 2e partie, p. 270. Omis ensuite dans l’
édition
du même Recueil de 1741, ce sonnet n’a pris place
. » b. [NdE] Citation très largement remaniée par Taschereau. Cf. l’
édition
en ligne des Observations. c. [NdE] Citation lar
ie, p. 103. 27. Ces lettres ne sont point datées dans les nombreuses
éditions
qui ont été faites des œuvres diverses de Balzac,
uise de 38 à 48. On en trouverait probablement la date précise dans l’
édition
complète des Œuvres de l’auteur, en 2 vol. in-fol
Vacua cur jaces ? 145. Elle est à la trente huitième place dans l’
édition
de 1855. 146. Acte I, scène 5, (p. 739, volume I
ment de réflexion : tiens, mon ami, en voilà une autre. 168. Dans l’
édition
de 1855, elle est placée à la vingt-une place. 1
ommes Illustres, 1696 – 1700. 161. C’est la première anecdote dans l’
édition
de 1855.
ne 1, vers 99. 210. Cette anecdote est à la quarantième place dans l’
édition
de 1855.
sesseur des deux manuscrits, les avoir envoyés à M. Chauvelin, pour l’
édition
des Œuvres de Molière, qui a paru en 1754, 6 vol.
qu’homme de France.213 212. ??? 213. Cette anecdote figure dans l’
édition
de 1855 du Moliérana, à la dixième place.
) poëte comique, etc. On en a parlé dans le dictionaire historique
éditions
de 1725. et de 1732. mais son article mérite les
olyeucte, La Mort de Pompée, Le Menteur et La Suite du Menteur. Cette
édition
est extrêmement rare, et presque ignorée, même de
ait fait ceux de Guillén de Castro, et de Lucain, dans cette nouvelle
édition
du Cid et de Pompée. Il finit par des remerciemen
tte comédie. Ces deux épigrammes se trouvent imprimées à la tête de l’
édition
que les Elzevier ont faite de la pièce ; M. Corne
résentée sur le théâtre du Palais-Royal, le 4 juin. Dans toutes les
éditions
des Œuvres de M. Molière, la première représentat
24 juin, est une faute d’impression, qui a été copiée dans toutes les
éditions
suivantes, et que c’était le 4 juin qu’on avait v
en 1663 par les soins de M. Colbert. On trouvera à la fin du tome VI,
édition
de 1739, in-12, le remerciement que Molière fit a
emerciement que Molière fit au roi à ce sujet. » a. Dans toutes les
éditions
des Œuvres de M. Molière, on met la première repr
Princesse d’Élide entra, soit non seulement imprimée dans toutes les
éditions
des Œuvres de Molière, mais encore séparément, no
re d’une Piece que l’on a mise à la tête de ses Oeuvres dans quelques
Editions
. C’est un Remerciment au Roi ; il y donne un tour
ixeme, 2. Vie de Moliere, à la tête de ses Oeuvres : je me sers de l’
Edition
de Brusselles 1694. 3. Voiez le Livre intitulé
ogues, imprimé à Paris, & en Hollande l’an 1695, à la pag. 6 de l’
Edition
de Hollande. 28. C’est la VII. 29. C’est la
les éléments qui sont de provenance italienne ; ce n’est que dans une
édition
des œuvres du poète qu’il y a lieu de noter cela
rs, ses contemporains et ses émules. 39. Nous avons sous les yeux l’
édition
de Venise, Appresso Fabio e Agostino Zoppini frat
Venise, Appresso Fabio e Agostino Zoppini fratelli, 1587. La première
édition
de L’Interesse est de 1581, mais la pièce a été c
re d’une piece que l’on a mise à la tête de ses Oeuvres dans quelques
éditions
. C’est un remerciment au Roi ; il y donne un tour
1520. a. Vie de Moliere à la tête de ses Oeuvres : je me sers de l’
édition
de Brusselles 1694. b. Corrigez dans Moreri 16
le face avec cette légende jouant sur le nom de Gelosi : Virtù, fama
ed
onor n’ ser gelosi. Les bizarres équipées attrib
tutta spogliata, ligata ad uno scoglio con velo trasparente intorno,
ed
altre cose indegne d’esser vedute da galant’ uomi
une anecdote dont pourra fort bien s’accommoder l’infaillible seconde
édition
de son curieux volume. Je trouve cette anecdote,
e, Ou comme la statue est au Festin de Pierre. Le commentateur de l’
édition
de 1701 mit, à cet endroit : « Dans la comédie du
82 seulement, que Vinot et La Grange firent imprimer Don Juan, dans l’
édition
qu’ils donnèrent des Œuvres de Molière, chez les
ère. La censure eut un certain goût, ce jour-là. Il fallut remanier l’
édition
, et l’on s’y prit avec beaucoup d’adresse, de l’a
même, dans son admirable bibliothèque. Il s’y trouvait, en effet, une
édition
du Festin de Pierre (Amsterdam, Henri Western, 16
les suppressions que La Grange et Vinot s’étaient imposées pour leur
édition
et qui ne l’avaient pas empêché d’être impitoyabl
e la plaquette d’Amsterdam, et d’après elle, il avait donné, dans son
édition
de Molière, publiée la même année, les deux scène
eux : il avait constaté qu’en outre de ces deux scènes, le texte de l’
édition
de Hollande renfermait un grand nombre de variant
écrit dans une note du Catalogue Soleinne 51 au sujet de ces petites
éditions
hollandaises du Festin de Pierre : « Resterait à
louis au Pauvre, à la condition qu’il jurera, n’existe pas dans leur
édition
, même sur l’exemplaire, sans les cartons que poss
qui pouvaient connaître les très rares exemplaires non cartonnés de l’
édition
de La Grange ; maintenant, en revanche, le pamphl
a phrase est authentique, comme tout le reste : elle se trouve dans l’
édition
de 1683, et elle se trouvait aussi dans la copie
es-uns, que ce passage est de son invention, puisque, existant dans l’
édition
de 1683, il avait été imprimé, onze ans avant sa
nage67. Des deux côtés le nom fit fortune ; le Dictionnaire eut douze
éditions
consécutives ; quant au comédien, vous savez ce q
écrivit,un jour,à Brossette, qui lui demandait quelques notes pour l’
édition
de Molière, qu’il préparait alors et qui n’a jama
uscrits de notre grand comique. En cette année 1731, on préparait une
édition
des œuvres de Molière, et désirant qu’elle fut au
nspection générale de la Librairie, et qui s’intéressait fort à cette
édition
de Molière, se fit, pour les obtenir, solliciteur
ut sans doute de cet avis, car les deux farces ne parurent pas dans l’
édition
dont il s’était donné le soin. Elles ne furent mê
personne le contestât. Aimé Martin les fit donc entrer dans sa grande
édition
des OEuvres de Molière, et depuis lors elles ont
« Ce libraire, dit Chalussay lui-même, dans la curieuse postface de l’
édition
qu’il fît faire clandestinement deux ans après, s
vit. Pour le Misanthrope (Molière écrit toujours Misantrope), c’est l’
édition
originale de 1666, année de la représentation, qu
a, d’ailleurs, été reproduite, avec une incroyable exactitude, dans l’
édition
de Molière, faite par M. Pauly pour l’éditeur Lem
vons vous apprendre, comme une grande nouvelle, d’après les premières
éditions
imprimées sur le manuscrit même de Molière, et re
Dorine, d’après la mise en scène de Molière, indiquée par la première
édition
, s’enfuit, mais ne sort pas. Elle se poste derriè
vations, malheureusement peu connues, dont il perfectionna la seconde
édition
de son Commentaire sur Molière. On sait que Sénèq
saient sous une forme classique. Selon l’opinion commune, la première
édition
de l’Aloysia fut publiée à Grenoble, vers 1660 (s
it et qui est aujourd’hui à la Bibliothèque Nationale : « La première
édition
de cette satire fut imprimée in-8°, à Paris, dans
n peu de son avis. J’avais consulté la ponctuation des plus anciennes
éditions
de Molière, sans oublier, bien entendu, la premiè
ont l’initiale C se glissa même comme signature au bas de la première
édition
, où le coup d’œil éprouvé de Paul Lacroix la déco
purger vos belles comédies de ces vilaines notes. Faites une nouvelle
édition
sans notes. Je me charge de l’offrir à mon Empere
ervations, malheureusement inconnues, dont il perfectionna la seconde
édition
de son Commentaire sur Molière. On sait que, dans
dit : « Les livres restent », et comme je ne doute pas qu’une seconde
édition
n’en soit prochaine, M. Delorme voudra bien perme
ce même moment, choisi d’ailleurs tout exprès, publia sa remarquable
édition
de Molière, trouva moyen d’y féliciter en phrases
eur de Séville et le Convié de pierre. M. Ch. Magnin a vu d’anciennes
éditions
portant la titre tel que nous le donnons ici (voi
colonel au régiment des gardes, dans le Journal de Barbier, première
édition
, in-8, t. II, p. 40. 64. Voyez la Vie de Pascal,
64. Voyez la Vie de Pascal, par Gilberte, sa sœur, dans la première
édition
du livre de M. Cousin, Jacqueline Pascal, p. 59.
variantes qui s’y trouvent seraient bonnes à relever. 111. Première
édition
, t. I, p. 251, 112. Les dernières années de Mol
, dit positivement Saint-Simon, et personne ne s’y méprit. » Première
édition
, t. V, p. 267. 132. Voyez la chanson déjà citée
son déjà citée plus haut à la note. 133. Madame de Sévigné en parle,
édition
Monmerqué, t. VII, p. 438. 134. Recueil de Maur
s, à la suite de Mélicerte. du même auteur, qu’on a ajoûté dans cette
édition
, ne peut donner lieu à aucun détail ; cette pasto
lui présenter le41 mémoire qui est imprimé à la tête des différentes
éditions
de Tartuffe. Ce ne fut néanmoins qu’en 1669, que
oi avec des intermédes, qui n’ont encore été imprimés dans aucune des
éditions
de Moliere, & que l’on trouvera dans celle-ci
, par les soins de m. Colbert. On trouve à la fin du tome VI de cette
édition
le remerciement que Moliere fit au Roi à ce sujet
Psiché en 1671. 57. Outre les ouvrages qu’on a rassemblés dans cette
édition
, & plusieurs piéces qu’il avoit composées pou
ontre ceux qui les avaient empêchés de se noyer. 184. Figure dans l’
édition
de 1855, à la septième place. 185. Cette anecdot
ans la première scène de son Médecin malgré lui. Menagiana, de Paris,
édition
de 1729, tome III, p. 18. 1666. Le Ballet des
Ballet des Muses, et dans le quatrième volume des Œuvres de Molière,
édition
in-12, Paris, 1739. « IVe entrée. Euterpe, muse
eut la lire en entier dans le cinquième volume des Œuvres de Molière,
édition
in-12, Paris, 1739. Il y trouvera aussi les parol
e (sous le titre de Placet) qui est imprimé à la tête des différentes
éditions
de Tartuffe. Ce ne fut néanmoins qu’en 1669 que l
augnac ; nous supposons que le lecteur connaît les Œuvres de Molière,
édition
in-12 de 1739, où ces intermèdes sont joints à la
reine mère. » [*]. [Note marginale] Préface des Œuvres de Molière,
édition
de Paris, en 1682. [*]. [Note marginale] Mémoire
ginale] Molière. *. [Note marginale] Tome IV des Oeuvres de Molière,
édition
de Paris, in-12, 1739 [*]. [Note marginale] Mémo
3 juin. *. [Note marginale] Mlles Molière et de Brie. a. Toutes les
éditions
des Œuvres de Molière marquent la première représ
in malgré lui. a. Nous nous sommes conformés à la date de toutes les
éditions
des Œuvres de Molière, qui marquent la première r
e] Voyez la seconde scène de Pourceaugnac, Œuvres de Molière, tome V,
édition
in-12, 1739. 2. [Note marginale] Mlle Hilaire, l
mière fois en 1579, et jouit d’une longue réputation. Il en parut une
édition
avec une traduction française en regard du texte
atre représentations à Chambord et trois à Saint-Germain. Voyez notre
édition
des Œuvres de Molière, tome VI, page 112. 65. Br
uteur de la lettre suivante. Elle fut imprimée en tête de la première
édition
du Misanthrope, 1667, et les éditeurs de 1682 l’o
t que j’ai pris de reproduire, avec la plus scrupuleuse fidélité, les
éditions
originales des comédies de Molière, ne se borne p
c’est un honneur dont je n’ai pas voulu qu’elle fût privée dans cette
édition
. Le Misanthrope valut à Molière un témoignage d’
ution d’éloges et de critique. Voltaire a rapporté cet écrit dans son
édition
de Corneille. Je ne parie ici d’un fait si connu
Cet ouvrage était destiné à être imprimé à la tête du Molière in-4°.
édition
de Paris. On pria un homme très-connu de faire ce
La Serre fut imprimé très-mal à propos, puisqu’il ne convenait qu’à l’
édition
du Molière. On nous a dit que quelques curieux dé
u Molière. On nous a dit que quelques curieux désiraient une nouvelle
édition
de cette bagatelle. Nous la donnons malgré la rép
critiques injustes de leurs ouvrages. C’est ce qui est arrivé dans l’
édition
de Racine faite à Paris en 1728. On tâchera d’évi
nter le deuxième placet qui se trouve imprimé dans presque toutes les
éditions
des ouvrages de Molière. Le monarque ne leva pas
e extrêmement importante qui jusqu’à ce jour n’avait paru dans aucune
édition
. Les amis de Molière crurent devoir réfuter cette
s le nom de Tartuffe, et c’est ainsi qu’il est appelé dans toutes les
éditions
de l’ouvrage. Ce n’est pas le seul changement qu’
se soustraire par la fuite à la vindicte publique. M. Petitot, dans l’
édition
qu’il a donnée de Molière, a justement remarqué q
i avec plaisir M. Taschereau, qui a fait des notes très utiles dans l’
édition
de Molière qu’il a récemment publiée.
remiers biographes du poète : Grimarest, Bruzen de Lamartinière. Deux
éditions
importantes eurent lieu, celle de Joly, en 1734,
sans excepter le chef-d’œuvre de Sheridan : The School for scandal. L’
édition
de Molière publiée à Londres en 1732 est une des
L’édition de Molière publiée à Londres en 1732 est une des premières
éditions
de luxe du grand écrivain. Chacun des chefs-d’œuv
tre si fécondes en résultats pour la biographie du poète. Les grandes
éditions
se succédèrent à courts intervalles. On vit paraî
rtantes ; aucune ne veut laisser à ses concurrents le privilège d’une
édition
savante ou d’une édition de luxe. Nous avons, dep
laisser à ses concurrents le privilège d’une édition savante ou d’une
édition
de luxe. Nous avons, depuis lors, traversé des he
urs parades une admiration excessive. La Grange, dans la préface de l’
édition
de 1682, a constaté l’inclination que Molière eut
rien dire. Lorsque nous avons écrit l’introduction de notre première
édition
des œuvres de Molière, on ne savait presque rien
Poquelin, apparaît cette fois. Nous avions donné dans notre première
édition
une transcription de cet acte certifiée conforme
le, lieutenant du roi, président aux états. » Et dans la préface de l’
édition
de 1682, on lit : « La seconde comédie de M. de M
édienne. La troupe passa le carnaval à Grenoble. C’est la notice de l’
édition
de 1682 qui le dit expressément. Elle eut là les
i 1658, contient le passage suivant, ainsi imprimé dans les premières
éditions
de cette lettre : « Le mariage de Mlle Le Ravon,
eille, dont on voit la distribution manuscrite sur un exemplaire de l’
édition
originale, in-4°, provenant de la bibliothèque de
étaient venus à Rouen, comme le disent les auteurs de la préface de l’
édition
de 1682, que pour se rapprocher de Paris. Ceux qu
à ce qu’on imprimât sa nouvelle pièce, parce qu’il était menacé d’une
édition
subreptice pour laquelle on avait même obtenu par
ours est-il que cette épître se trouve dans quelques exemplaires de l’
édition
de 1660 et dans la plupart des éditions suivantes
Molière. « Je comprendrais à merveille, disait Charles Nodier, qu’une
édition
du plus parfait de tous les théâtres du monde fût
i fut représenté entre le 15 et le 19 octobre 1663 (14 octobre dans l’
édition
de 1682 ; mais le roi ne partit de Vincennes que
, pour y jouer Tartuffe en cinq actes. Reçu 1000 livres. » Et dans l’
édition
des œuvres de Molière de 1682, à laquelle le même
tations auxquelles il avait pris part. Et d’ailleurs, lorsque parut l’
édition
de 1682, Condé, le duc d’Enghien, étaient vivants
e pièce ne fut pas publiée du vivant de Molière, et ne le fut, dans l’
édition
de 1682, qu’avec de graves mutilations. Quoiqu’el
tre apologétique que le libraire Ribou imprima en tête de la première
édition
de la comédie (1667). Tout ce qu’il y avait d’esp
té, disent les frères Parfait, un intime ami de l’auteur, la première
édition
complète des œuvres de Molière, en 1682. Les deux
lière, en 1682. Les deux derniers volumes, tomes VII et VIII de cette
édition
, mirent au jour Don Garde de Navarre, L’Impromptu
re depuis les obsèques jusqu’à nos jours se trouve dans notre seconde
édition
des Œuvres complètes de Molière, tome 1, pages 31
osselin dans La Coupe enchantée à M. de La Thorillière… » Voyez notre
édition
des Œuvres complètes de La Fontaine, tome V, page
n peut lire cette jolie page de leur Voyage, où Molière est devancé. (
Édition
Saint-Marc, p. 47.) 58. Noms romanesques de M
rente, est dans les Mémoires sur la vie de Jean Racine, Louis Racine,
édition
de Lausanne, 1747, p. 121 72. Mémoires de Mme C
re hypocondre ou les Médecins vengés. 75. Voyez Œuvres de Chapelle,
édition
Saint-Marc, p. 184. 76. Il y a deux mille ; deux
5. De Malherbe à Bossuet, Paris 1885, p. 97. 86. Œuvres de Racine,
édition
de Saint-Marc Girardin et Louis Moland, tome VII,
et les ouvrages de Molière et sur les comédiens de son temps. (Voyez
édition
Monval, 1887.) 105. Voy., ci-devant, page 154.
uis XIV, tome IV, page 571. 173. Œuvres diverses de M. de Segrais ;
édition
d’Amsterdam, 1722, t. I, p. 173. 174. Voici les
pour la sœur de ces petits princes, tantôt pour leur cousine. » 96.
Edition
de 1778, t. I, p. 95. 97. Mémoires, t. XI, p. 2
fois dans le Mercure galant, 1673, tome 1. 803. Titre de la première
édition
du ‘Discours sur l’Histoire universelle, Paris, S
ce paragraphe n’a été introduit par La Bruyère que dans sa cinquième
édition
, en 1690. Bayle a pris le mot barbarisme à La Bru
d’Alembert (sélection d’articles) Compilation établie à partir de l’
édition
numérisée de l’ARTFL MOLIERE MOLIERE. Vo
er sur le théâtre, il nous en reste 11, dont nous devons à Kuster une
édition
magnifique, mise au jour en 1710 in-fol. La coméd
sur-tout son Amphytrion, l’Epidicus & l’Aululaire.Les meilleures
éditions
de cet auteur sont celles de Douza, de Gruter &am
t été imprimées à Paris en 1734, en 6 volumes in 4°. Mais cette belle
édition
est fort susceptible d’être perfectionnée à plusi
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