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1 (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246
Des influences royales en littérature Les écrivains qui recherchent dans l’histoire des langues celle
lques autres de même espèce semblent avoir été imaginés. Depuis qu’un écrivain illustre, mêlant l’histoire et la biographie à l’
e M. Villemain, ils n’ont pas manqué de s’égarer. Les biographies des écrivains fameux sont devenues interminables, — non qu’on y
tableau fort embelli de la faveur dont avaient joui jadis les grands écrivains aux persécutions qu’ils éprouvaient de son temps,
date, si décisive qu’elle puisse être, tienne contre celle d’un grand écrivain , lu, relu, appris par tant de générations et répé
onsacrées, et l’on continuera à compter Pascal et Corneille parmi les écrivains du temps de Louis XIV, comme on dit que le soleil
t généralement ? Avant la mort de Mazarin, on voit déjà paraître cinq écrivains illustres, qui n’ont pas, il est vrai, écrit enco
l’éducation du dauphin, que se réduit l’influence du roi sur ce grand écrivain . Pourquoi ne soutiendrait-on pas la thèse contrai
génie qu’à lui-même, à ses goûts et à ses auteurs favoris, les vieux écrivains du XVIe siècle, il est inutile d’insister sur ce
rdre, ou si Mmede Ventadour aura le tabouret. Autour des trois grands écrivains que nous venons de citer s’en groupent d’autres,
possible de ne pas remarquer une différence et dans l’inspiration des écrivains et dans la langue dont ils se servent. Je ne sais
angement à Louis XIV ; mais ce qui parait évident, c’est que chez les écrivains de la seconde génération l’inspiration est devenu
a perdu avec Racine et Fénelon. Racine et Fénelon, voilà, de tous ces écrivains illustres, les seuls qui appartiennent réellement
bonne action, la faveur royale et que sa disgrâce le tua. S’il est un écrivain qui ne doive rien à son temps, c’est assurément F
? Il ne s’agit que de s’entendre. Cet inventaire, déjà bien long, des écrivains illustres que l’on rapporte au règne de Louis XIV
Descartes, Corneille, Pascal, sont antérieurs à Louis XIV. Quant aux écrivains formés sous Mazarin, mais dont la fécondité glori
poitrine et évite les émotions. Les derniers survivans de nos grands écrivains s’étaient déjà aperçus de cette décadence et la d
nelon à Ovide ; mais avant eux on remarque également une génération d’ écrivains d’une trempe plus vigoureuse ; après eux, la litt
s le milieu du XVIe siècle, quelle succession ininterrompue de grands écrivains  ? Leur caractère est aussi original que leur inte
que d’œuvres puissantes, éternelle méditation des âges suivans ! Les écrivains ont agi, ont souffert ; ils ont vu les grandes ca
éraire à toutes les autres, croit volontiers que pour avoir de grands écrivains , il suffit d’en faire la commande et de ne pas tr
s en leur donnant conscience de leur valeur par sa déférence pour les écrivains , par sa familiarité avec eux, et quand il exigeai
epuis longtemps, le surintendant Fouquet avait ouvert sa cassette aux écrivains et aux savans, et parmi ses pensionnaires figurai
est porté pour 2,000 livres, Molière pour 1,000 seulement. Vingt-deux écrivains sur cette liste, qui contient une trentaine de no
Ce qu’il importe de remarquer dans cette liste, c’est que, parmi les écrivains célèbres du temps, il n’en est aucun dont la muni
l reste donc prouvé que les libéralités du roi ont pu récompenser les écrivains que l’opinion publique désignait à ses faveurs, m
r, les Mécènes ont presque toujours une prédilection marquée pour les écrivains abandonnés du public ; ils les consolent avec des
les lettres sont émancipées et n’ont plus besoin de protection ; les écrivains le savent : loin de méconnaître la puissance de l
ire, seul également il donne la fortune ; les rentes qu’il fait à ses écrivains , en achetant leurs ouvrages, sont bien autre chos
dées jadis par la munificence royale à Corneille, à Molière, à tant d’ écrivains illustres. Ce n’est plus par quarante ou cinquant
ieuse et ne vient qu’à son heure ; elle ne répond plus à l’appel de l’ écrivain acharné à sa besogne lucrative. Trouve-t-on que b
de Molière, et quand il demandait à Boileau quel était le plus grand écrivain de son temps, le poète le surprit en lui nommant
2 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre premier. » pp. 5-11
de langage, et qui fut dans le grand siècle, et pour tous les grands écrivains qui l’illustrèrent, pour Corneille, pour Boileau,
puis près de quinze ans, quand Les Précieuses ridicules ont paru. Les écrivains qui accréditent cette erreur ne remarquent pas qu
ient. On attribue exclusivement à Molière, à Racine, à Boileau et aux écrivains de leur temps, l’épuration de la langue et sa bea
herbe, Régnier, Corneille, avaient écrit longtemps avant qu’aucun des écrivains du siècle de Louis XIV eut paru dans la littératu
3 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441
ileau en 1677. — Racine. — Incidents relatifs à Phèdre. — Méprise des écrivains qui imputent les critiques de Phèdre a la société
es. Si j’en parle ici, c’est parce que je dois relever la méprise des écrivains qui ont confondu des sociétés si différentes, à l
Pradon, l’autre pour Racine. Aussi cela arriva-t-il. Aujourd’hui des écrivains affirment, premièrement, que l’hôtel de Rambouill
dre a paru, madame Deshoulières avait depuis longtemps rompu avec les écrivains qui avaient intéressé sa première jeunesse, tels
e madame de Sévigné, avec l’application qu’on est en droit d’exiger d’ écrivains moins occupés qui parlent d’elle, il aurait vu qu
 : elle l’apprécie en moraliste profond, en esprit délicat et fin, en écrivain habile, en poète du premier ordre. Quelle chaleur
ion de La Fontaine pour madame de Sévigné suffirait pour démentir les écrivains qui la supposent décriée dans les écrits d’un des
4 (1811) Discours de réception à l’Académie française (7 novembre 1811)
o sous le masque de Thalie. L’homme a beau varier ses compositions, l’ écrivain a beau s’exercer dans les genres les plus différe
ges de ce beau siècle, tout en restera. De grands généraux, de grands écrivains en ont immortalisé la gloire : Molière en a immor
, à la grâce. Des esquisses agréables, des miniatures charmantes, des écrivains spirituels ; mais plus de vastes conceptions, plu
qui travaille à d’utiles découvertes ; le charlatan littéraire, de l’ écrivain qui dédaigne les succès d’un jour, et qui n’aspir
ui associe tous les talents à la gloire de son règne est l’appui de l’ écrivain qui en accroît la splendeur ; le législateur qui
5 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
Du monument de Molière. Parmi les écrivains , race assez abandonnée des dieux et des gouvernem
lus difficile en matière de distinctions. Comparé par les plus grands écrivains de son temps aux modèles du genre qu’il traitait,
erre, incarné dans la mémoire, c’est Poquelin de Molière. C’est à cet écrivain si peu connu, comme on voit, si peu rémunéré pend
ocle, où on l’a scellé pour l’effroi bien plus que pour l’exemple des écrivains . Le grand Molière, le sublime Molière, le divin M
6 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
t d’un mérite si différents, qu’on peut à peine y reconnaître le même écrivain , et pourtant on les confond toutes ensemble, lors
devons-nous plutôt à son ambition et au désir d’être compté parmi les écrivains classiques du beau siècle, qu’à un élan intérieur
homme vil et intéressé, car sous ce personnage, Molière désignait un écrivain encore vivant dont le nom même n’était que légère
iment de l’honneur, il y a des carrières plus profitables que celle d’ écrivain . Le Misanthrope, comme on sait, fut d’abord reçu
vec l’esprit délicat de la poésie espagnole : Scarron est pourtant un écrivain du siècle de Louis XIV, et qui ne manque pas de r
d’un air, ou dans une allusion à ses anciennes paroles. Autrefois des écrivains qui pouvaient élever plus haut leurs prétentions,
uisées par de légers changements. Nous en revenons à nous occuper des écrivains français qui ont attaqué le système national sur
l devait être en effet leur sort ; car les principes sur lesquels ces écrivains se sont fondés, tendaient à détruire toute espèce
ntes, et surtout par de continuelles allusions à sa propre carrière d’ écrivain . Le plan du Barbier de Séville est conçu sans bea
ns la sphère de la véritable littérature dramatique, les travaux d’un écrivain tel que Lemercier, méritent sans doute l’attentio
7 (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47
aujourd’hui ; rétablir quelle était la situation, l’état d’esprit des écrivains qui y ont vécu, et, puisque je dois vous parler d
mps. Vous aurez probablement remarqué, mesdames et messieurs, que nos écrivains aujourd’hui sont très préoccupés de la postérité.
nation ne connaît encore que ses rois, ne connaît que le Roi, et les écrivains ne pensent pas autrement que la nation. Voyons do
t pas autrement que la nation. Voyons donc un peu la situation de ces écrivains . Ce sont pour la plupart des humanistes, ce que n
flatteries, toutes les adulations, ce cortège d’honneur que font les écrivains du grand siècle autour du grand roi, est-ce qu’il
a révocation de l’Edit de Nantes, aura la nation avec elle. Quant aux écrivains qui nous occupent plus particulièrement ; souvene
8 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
le le pense. Il est bon, à mon avis, de discuter et de peser tous les écrivains , même les plus illustres, tous les chefs-d’œuvre,
, tous les chefs-d’œuvre, même les plus généralement admirés, que les écrivains s’appellent Molière ou Victor Hugo, les chefs-d’œ
on jusqu’à l’intolérance, et que c’est mal servir la cause d’un grand écrivain que de lui sacrifier tous ceux qui, l’ayant sincè
e dernier en date et non le moins heureux. M. Larroumet l’a traité en écrivain et en homme d’esprit. Mais il est moins facile de
d’exploiter le fond : c’est beaucoup exiger sans doute, mais le jeune écrivain est de ceux dont le talent autorise à se montrer
a donné le signal dans la préface de son drame sur Molière. Plusieurs écrivains , qui ont traité certaines parties de l’histoire d
suis nullement étonné de la retrouver exprimée tout récemment par un écrivain qui, cependant, ne saurait passer pour un champio
nomène dont l’étrangeté aurait frappé les contemporains ; de nombreux écrivains nous eussent transmis le souvenir de ce prodige.
optées, bien que timidement et avec quelque atténuation, par le jeune écrivain que je nommais tout à l’heure, dans sa remarquabl
ve quelquefois d’annexées aux actes d’inhumation des comédiens. » Un écrivain qui jouit d’une compétence spéciale en matière d’
ière ne cherchèrent point le corps du poète à l’endroit indiqué par l’ écrivain même sur lequel il s’appuyaient, car ces investig
cènes lugubres est frappante. C’est la nuit aussi que les deux grands écrivains du dix-huitième siècle furent arrachés de leurs t
tre pièces. Si leur réunion présentait quelques difficultés, l’habile écrivain qui dirige aujourd’hui la maison de Molière, et à
ment sérieux pour attribuer cette pièce et sa congénère à notre grand écrivain . Cependant, comme ce second autographe rencontrer
hes comme MM. Léopold Delisle, Henri Bordier et A. de Montaiglon, des écrivains ayant une autorité incontestée pour tout ce qui t
ge les opinions des adversaires de Port-Royal. Le spirituel et subtil écrivain que j’analyse ne va pas jusque-là. Philinte n’est
e les meilleures choses. Écoutez Chamfort sur ce point : le spirituel écrivain va répondre à l’objection que me fait M. du Boula
9 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre X » pp. 83-88
n est plus énergique quand on est plus absolu et plus outré. Quelques écrivains ont fait honneur à l’influence d’Anne d’Autriche
âtre écrit en cette langue. C’est du reste un tic commun à beaucoup d’ écrivains , d’indiquer dans nos vieilles cours l’origine du
10 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VI » pp. 50-55
ulant pas souscrire au jugement porté sur Voiture par une multitude d’ écrivains qui ne l’ont pas lu, j’ai courageusement entrepri
hrase qu’il croit être de Pline le jeune, dont il se moque comme d’un écrivain affecté. « Ne m’avouerez-vous pas, dit-il, que ce
11 (1819) Notices des œuvres de Molière (II) : Les Précieuses ridicules ; Sganarelle ; Dom Garcie de Navarre ; L’École des maris ; Les Fâcheux pp. 72-464
e les deux ouvrages, que de distance entre les deux auteurs. Somaise, écrivain obscur et bien fait pour l’être, fit une comédie
ière ; il avait mis du sien dans le volume, et s’était associé, comme écrivain , à l’auteur de la pièce qu’il mettait au jour. Ch
ons, je citerais l’opinion de Riccoboni relativement aux Fâcheux. Cet écrivain , sincère admirateur du génie de Molière, mais pla
le surnom d’inimitable qui les distingue au milieu de tous les grands écrivains de leur siècle. Ils ont dû être appréciés l’un pa
aller à une assignation amoureuse. » C’est un ouvrage de Molière. Cet écrivain , par sa manière, Charme à présent toute la cour.
12 (1739) Vie de Moliere (Réflexions sur les ouvrages de litérature) [graphies originales] « Chapitre » pp. 252-262
ur style, quoiqu’il ne soit, selon lui, qu’un Plagiaire. Ce misérable Ecrivain fit une Préface, dont je vais rapporter quelques
t il être surpris que les modernes se déchaînent contre les excellens Ecrivains de notre siécle ? On a reproché à Moliere que son
13 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
nombre de tomes de Lope de Vega, de Moreto, de Calderon, et d’autres écrivains espagnols. On n’a pas à craindre de se tromper en
térature et de l’art. J’arrive, au contraire, après beaucoup d’autres écrivains du siècle dernier et du siècle présent. Les ouvra
14 (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)
mortalité. » Il est peut-être même, avec La Fontaine, le seul de nos écrivains que comprennent et goûtent les lecteurs de tous m
l y a plus : le succès de Molière lient encore à ce qu’entre tous nos écrivains , si clairs, si humains qu’ils aient été, il a le
s, Molière est devenu, dès le principe, un des plus populaires de nos écrivains et un de ceux qui ont le plus fidèlement représen
15 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29
e la marquise de Rambouillet d’avoir été appelée Arthenice. Plusieurs écrivains , et en dernier lieu, M. Taschereau, dans son Hist
e aux femmes qu’ils ont chantées. Peu de gens ignorent le mérite des écrivains qui formèrent la société de Rambouillet dans la p
loué la décence. Vaugelas est appelé par Boileau le plus sage de nos écrivains . Tels furent les commencements de l’hôtel de Ramb
16 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
ait une tâche désespérée. À je ne sais quels signes imperceptibles, l’ écrivain le plus oublieux et le plus négligent de ses œuvr
urs à vivre pour s’aimer… Telle est, ou peu s’en faut, l’émotion de l’ écrivain qui retrouve, après tant d’années, les premiers c
e encore, on commençait, cela se voit, à se douter que l’on serait un écrivain quelque jour. — Ô page innocente… ô page empreint
oin, — uniquement à cette gloire : qu’il serait reconnu un des grands écrivains de son siècle ; et comme on l’eût fâché si l’on e
et quel débordement incroyable de mille fureurs insensées contre les écrivains malavisés qui se figurent qu’il leur est permis d
 : Santolius pœnitens ; au frontispice du poème, on voyait l’illustre écrivain de Saint-Victor à genoux et la corde au cou… Boss
aix l’honnête Père théatin, et remarquez, je vous en prie, quel grand écrivain de feuilletons c’eût été là si Bossuet eût voulu
x à ses critiques, je parie pour l’esprit ! Si vous admettez que tout écrivain en ce monde, pourvu qu’il parle sa langue et qu’i
e son esprit. Cet homme a été sauvé, par la seule chose qui sauve les écrivains , par l’originalité du style. Il a été lui, non pa
obéit qu’à ceux qui la violentent, et ces violents sont justement les écrivains qui se ressemblent fidèlement à eux-mêmes. » C’es
t savante, et dont la recherche est de bon goût. Que de poètes, que d’ écrivains en prose fleurie, ont peine à franchir les murail
x excellait. Parlez-moi, pour faire un journal qui soit durable, d’un écrivain habile à faire une lieue ou même deux lieues, sur
ndre son temps, il faut obéir à l’heure présente, il faut étudier les écrivains les plus habiles à nous fournir les développement
a fait, de l’histoire de Marianne, un livre en deux tomes. C’est à l’ écrivain qui écrit, chaque jour, qu’il convient (la langue
arivaudage ! ce mot nouveau est en effet un des titres de ce charmant écrivain . Toutes les fois qu’un écrivain donnera son nom à
en effet un des titres de ce charmant écrivain. Toutes les fois qu’un écrivain donnera son nom à une manière, à un style, tenez-
on nom à une manière, à un style, tenez-vous pour assuré que c’est un écrivain original. Marivaudage est resté, parce qu’en effe
au nom même de la nature ! La nature ! voilà encore le grand cri des écrivains de pacotille. On a écrit et débité de grandes sot
espectons l’art, il a ses droits et ne peut rien gâter. Quand donc un écrivain nous charme et nous attire, n’allons pas faire co
17 (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454
D’une manière générale, c’est la prétention ou la coquetterie des écrivains des âges classiques, un signe où on les reconnaît
ues qu’ils ont toute leur vie recommencé la même pièce. Molière est l’ écrivain dont on pourrait le moins le prétendre. Le second
plus étroitement qu’au temps de Molière lui-même. En 1660, les grands écrivains ont l’instinct du style. En 1680, en grande parti
tie à cause du travail accompli et des exemples donnés par les grands écrivains classiques, les procédés du style sont catalogués
nc  : si nous ne pouvons affirmer avec Vauvenargues « qu’il y a peu d’ écrivains moins corrects et moins purs que Molière », du mo
lus élégamment que Térence, ni plus simplement, tandis qu’aucun grand écrivain n’est plus abondant en métaphores d’ailleurs inut
egré sans doute — mais enfin de retrouver sous la plume des meilleurs écrivains du XVIIe siècle. Corneille, Mme de Sévigné, Boile
te n’est que son image, comme l’autre est l’image de la pensée. » Les écrivains du XVIe siècle, semble-t-il, se souciaient plus d
a chaire et du théâtre — voici qu’entre 1610 et 1640 presque tous nos écrivains deviennent ce que l’on appelle aujourd’hui des au
éducation, voyage, apprentissage, Molière étant le seul de nos grands écrivains qui ait « vu du pays ». Le théâtre comique de 16
18 (1900) Molière pp. -283
blic1. Il trouva dans M. Yung un auxiliaire précieux. M. Eugène Yung, écrivain distingué, possédait deux grandes qualités, vérit
e public choisi que ces jeunes orateurs presque tous professeurs, ces écrivains connus déjà du public, à la veille de devenir cél
d’accueil curieux et bienveillant. Cette fois, en effet, au lieu de l’ écrivain que l’on connaît, de l’irréprochable, de l’impecc
u de l’écrivain que l’on connaît, de l’irréprochable, de l’impeccable écrivain , dont on sait la langue constamment exemplaire et
controverse ardente, un prétexte, une occasion d’étudier à nouveau l’ écrivain , sinon le plus grand, sinon le premier, du moins
ion surtout à l’égard de Molière. On croit généralement que les seuls écrivains qui aient élevé quelques objections soit morales,
s-là que choquait Molière en lui. Mais je ne puis vous abandonner les écrivains du xviiie  siècle les plus honnêtes, les plus déc
fort ! Cela légitimerait presque les représailles qu’a entreprises un écrivain catholique de nos jours, M. Louis Veuillot. — Je
eux étudier l’homme en lui-même, tel qu’il est, et essayer de juger l’ écrivain . Tâchons d’abord de vous donner un caractère géné
ses dix années glorieuses, non seulement sur les écrits ridicules des écrivains de son temps, mais sur ces écrivains eux-mêmes, q
ent sur les écrits ridicules des écrivains de son temps, mais sur ces écrivains eux-mêmes, qu’il dévorait tout entiers, et tout v
nécessaire. Il était visionnaire à un tel point qu’il n’y a que deux écrivains à qui je puis trouver la même qualité, Balzac et
à qui je puis trouver la même qualité, Balzac et Saint-Simon, et deux écrivains étrangers, Shakespeare, à un degré assez haut, Go
ressusciter l’homme en chair et en os. C’était le procédé surtout des écrivains anciens de faire des statues, et des statues irré
crée. Je ne crois pas en effet que, dans notre langue au moins, aucun écrivain dramatique ait su se plier au personnage et s’ass
avait au xviie siècle un sens tout à fait défavorable, même chez les écrivains les plus catholiques, pourvu que ce fussent des l
as pourquoi tous les gens très instruits de ce temps, tous les grands écrivains placés dans les mêmes conditions, n’auraient pas
rnement de la famille. Ici, messieurs, vous pouvez vous demander si l’ écrivain , si le littérateur, si le poète qui agit incontes
qui est-ce ? D’un contemporain de l’Encyclopédie ? Non ; est-ce d’un écrivain laïque du xviie  siècle ? Non ; est-ce d’un ecclé
épandu, qu’il inquiétait l’Église elle-même. Non seulement, parmi les écrivains laïques, beaucoup protestaient, mais l’Église, el
la direction de conscience a été tracé d’une façon définitive par un écrivain très peu suspect, car il est très pieux, La Bruyè
y donner suite, en profiter tous et toujours. Quand on a affaire à un écrivain comme Molière, quand on a traité de son rôle mora
grands mouvements du monde ». Le dialogue, cette forme qui permet à l’ écrivain de se faire poète en mettant des personnages en a
19 (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293
ur de P. Corneille. Section première. De Molière. L’éloge d’un écrivain est dans ses ouvrages; on pourrait dire que l’élo
s ouvrages; on pourrait dire que l’éloge de Molière est dans ceux des écrivains qui l’ont précédé et qui l’ont suivi, tant les un
besoin de l’esprit; c’est le naturel qui distingue le plus les grands écrivains , parce qu’un des caractères du génie est de produ
ande, des fêtes pour la cour, ou l’on ne retrouve rien de Molière. Un écrivain supérieur est quelquefois obligé de descendre à c
on , et qui montre ce que pouvaient devenir, sous la plume d’un grand écrivain , ces questions de l’ancienne cour d’amour, qui ét
qu’il croîtrait pour cela? est d’un bonheur! Qu’on juge ce qu’est un écrivain dont presque tous les vers (dans ses bonnes pièce
lus ou moins de lumière ; aussi les critiques qu’on a faites des bons écrivains sont oubliées, et leurs réponses sont encore lues
que, par Visé ; et le Portrait du Peintre, par Boursault. Les mauvais écrivains ne manquent jamais de se réunir contre le talent,
éâtre à théâtre. Visé, comme auteur de mauvaises comédies, et de plus écrivain de Nouvelles, espèce de journal qui précéda le Me
ssession du premier rang, que le Tartufe seul lui disputait, quand un écrivain d’autant plus fameux par son éloquence, qu’il la
guère. Je n’aurais pas entrepris cette réfutation après celle de deux écrivains supérieurs, MM. d’Alembert et Marmontel, si elle
20 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
ntestablement ceux des satiriques et des comiques. Ces deux classes d’ écrivains , ayant principalement pour objet de peindre les v
crû dispensé de recourir aux écrits originaux. Tout commentateur d’un écrivain classique, se proposant à la fois d’éclaircir les
Molière n’est pas seulement un grand comique, il est encore un grand écrivain . L’énergie, la hardiesse souvent heureuse, la sai
partagé longtemps ce préjugé ; mais une lecture attentive de tous les écrivains qui faisaient autorité à l’époque où Molière comp
u : il ne reste que son nom, de courts fragments où le moraliste et l’ écrivain se montrent plus que le poète comique, les comédi
ressions ? Il me reste à parler de Molière comme imitateur des autres écrivains . Il existe, en littérature, une sorte de droit pu
spèce, Molière n’en a certainement aucune à se reprocher ; mais peu d’ écrivains , il en faut convenir, ont aussi largement usé du
pas même scrupule de s’approprier d’heureux traits appartenant à des écrivains de son pays et de son temps. La scène la plus gai
ui de comique dans les livres comme dans le monde, Molière fut un des écrivains qui ont le plus mis à profit les pensées des autr
e littérature, nos prosateurs et nos poètes ont été les disciples des écrivains de l’antiquité : quelques-uns les ont égalés ; pe
ù ils vont puiser les contes ineptes dont ils barbouillent la vie des écrivains célèbres, et les interprétations ridicules dont i
inventée la haine. Mais il n’en devait pas être tout-à-fait ainsi. Un écrivain , connu pour se livrer avec ardeur à la recherche
tés plus signalées et plus nombreuses que pour tous les autres grands écrivains , ornements de son règne. Il ne se contentait pas
mauvais poètes, mais censeur utile et approbateur courageux des bons écrivains , avait pour Molière une estime profonde, dont ses
surnom76. Louis XIV lui demandant quel était le plus rare des grands écrivains qui avaient honoré la France pendant son règne :
çoit que, d’une différence d’âge de seize ; on dix-neuf ans entre des écrivains , il devait en résulter une fortgrande dans leur m
qu’ainsi il lui arrive très-fréquemment de mettre sur le compte de l’ écrivain , des fautes qu’il ne faudrait imputer qu’à l’époq
ateurs, et une Histoire de la Vie et des Ouvrages de Molière.Ce jeune écrivain n’a pas cru devoir, comme quelques exemples pouva
de voix contre une gueule comme celle-là ? 98. Il est peu de grands écrivains dont on ait retenu moins de mots sentencieux ou p
21 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
our cela, messieurs, que vous êtes accusés de tyrannie par beaucoup d’ écrivains généreux; quant à moi, je vous prie de croire que
que je comptais citer ici en toutes lettres un nom parmi ceux de nos écrivains préférés, le nom de celui qui me paraît représent
. Je trouve, et je ne parle plus ici, Dieu m’en garde, des véritables écrivains qui peuvent se tromper, mais qui ne peuvent pas s
lus perdue de toutes les nations ! Ayez pitié ou peur de moi ! » Les écrivains des pays à divorce ne parlent presque jamais du d
22 (1769) Idées sur Molière pp. 57-67
Idées sur Molière L’éloge d’un écrivain est dans ses ouvrages. Celui de Molière est dans
besoin de l’esprit; c’est le naturel qui distingue le plus les grands écrivains , parce qu’un des caractères du génie est de produ
23 (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362
Les Grands Écrivains de la France, nouvelles éditions publiées sous la
tomes IV et V, Paris, 1878-1880 (Hachette). La collection des Grands Écrivains de la France, dirigée par M. Adolphe Regnier, de
Cependant il serait bien fâcheux de faire attendre trop longtemps des écrivains tels que Pascal, La Fontaine et Boileau. Espérons
moire le juste hommage qu’il se promettait de lui rendre. De ces deux écrivains , l’un était chargé de la révision du texte, l’aut
blication ; mais l’œuvre ne pouvait rester en suspens, et deux autres écrivains , non moins dévoués que les précédents, ont accept
ont, mais attribué par quelques érudits à Barbier d’Aucourt, l’un des écrivains de Port-Royal. Nous y trouvons tous les griefs du
littérature mondaine, née du monde et pour le monde. On a dit que nos écrivains du xviie  siècle sont tous des écrivains de cour,
r le monde. On a dit que nos écrivains du xviie  siècle sont tous des écrivains de cour, que c’est pour la cour que nos chefs-d’œ
24 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE PREMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. » pp. 1-20
REMIER. Part de la Morale dans la Comédie de Molière. « Quel est l’ écrivain qui honore le plus mon règne ? — Sire, c’est Moli
t arrêt du Législateur du Parnasse. Molière. est, avec La Fontaine, l’ écrivain du grand siècle demeuré le plus populaire1. Malgr
5. 3. « Mon esprit se refuse à convenir que l’on doive condamner un écrivain pour avoir songé seulement à nous amuser et à nou
25 (1825) Notice sur Molière — Histoire de la troupe de Molière (Œuvres complètes, tome I) pp. 1-
t enrichie de plusieurs morceaux littéraires importants. Un ingénieux écrivain , dont la longue carrière dramatique a été semée d
miers et ses derniers traits. On remarque que presque tous les jeunes écrivains , en débutant dans la carrière dramatique, choisis
èces de notre grand auteur : les principaux événements de la vie d’un écrivain ne sont-ils pas ses ouvrages ? Nous avons déjà pa
ictime d’une vengeance secrète. L’Hôtel de Rambouillet, dont quelques écrivains semblent aujourd’hui se rendre les échos, ne souf
de temps après, Louis XIV lui ayant demandé quel était le plus grand écrivain qui eût honoré le siècle, il répondit aussitôt :
ci quatre pistoles que vous lui donnerez pour moi , répliqua le noble écrivain , et en voici vingt autres que vous lui donnerez
e pressentit toute la portée de ce génie naissant : il donna au jeune écrivain une forte somme d’argent, et en même temps il lui
26 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [30, p. 59] »
unique. Le roi lui demandant un jour quel était le premier des grands écrivains qui avaient honoré la France pendant son règne, i
27 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [81, p. 127] »
it de l’Estandoux (Estandoux, près de Toulouse, 1731 – Sceaux 1813) : écrivain français. Auteur comique mineur, Cailhava réussit
28 (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32
st la vie de Molière, et le jugement que je porte sur le génie de cet écrivain , qui a contribué si puissamment à la prééminence
its, au contraire, pénétrés dès leur enfance de la lecture des grands écrivains , ont conservé, ont même augmenté cet amour que la
nt souvent tourner ; mais tôt ou tard nous sommes forcés d’y rentrer. Ecrivains , artistes, sachez dédaigner une gloire passagère
29 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Préface » pp. -
ion des erreurs répandues dans une multitude d’éditions nouvelles des écrivains du XVIIe  siècle ou dans leur biographie. Mon ass
30 (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466
disgrâce, c’est-à-dire à le déchirer. J’emprunte ici les paroles d’un écrivain qui mérite, en général, peu de confiance, mais qu
partiennent à l’âge reculé de leur plus grande perfection. Le premier écrivain à qui nous devions la connaissance des aventures
ue. La littérature du moyen âge nous parle aussi de Psyché. Fulgence, écrivain du sixième siècle, à qui l’on doit un ouvrage int
lu, difficile à exprimer autrement, que jusqu’au siècle d’Apulée, les écrivains , surtout les poètes de la Grèce et de Rome, ont g
31 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [23, p. 51] »
on, Les Arts florissants...), et il a été amené à collaborer avec les écrivains de son temps, Donneau de Visé, Thomas Corneille,
32 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
s souvent, lorsque l’on songe à Molière, on ne considère que le grand écrivain et pas du tout l’acteur, quoique la comédie jouée
u fut peint, Molière était déjà reconnu grand homme et la gloire de l’ écrivain accompagnait l’acteur dans les emplois les plus b
bre de l’Académie française depuis la création. Boissat n’était qu’un écrivain médiocre, mais il aimait sincèrement les lettres,
aient de bonne heure cédé au penchant qui, de tout temps, a porté les écrivains et les artistes à se chercher. Boileau loua donc,
pportait toutes pensées, qu’il s’y donnait corps et âme. Avant d’être écrivain de génie, il était, il voulait être comédien exce
é, d’autre part, de retrouver, derrière la statue solennelle du grand écrivain , l’homme lui-même, avec sa trempe morale, ce méla
s manières, ni l’indulgence pour soi-même que l’on rencontre chez les écrivains du XVIe siècle et surtout chez ceux du XVIIIe ; d
33 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
Boileau n’a fait qu’exprimer le jugement de Molière sur le métier d’ écrivain  : Soyez plutôt maçon, si c’est votre talent, Ouv
çon, si c’est votre talent, Ouvrier estimé dans un art nécessaire, Qu’ écrivain du commun et poète vulgaire184. …... Que les vers
ions que leur littérature soit raisonnable 189. C’est ainsi qu’un bon écrivain est un homme utile, moins pour ce qu’il enseigne
34 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
ions de Rochemont sur le Don Juan de Molière (Molière, éd. des Grands Ecrivains , t. IV, p. 231). 7. Mllede Montpensier, Mémoires
ssions de théâtre. Cf. 3* série. 21. Molière, collection des Grands Écrivains , t. V, Notice sur Don Juan. 22. « Qu’est-ce qu
28. Eug. Despois, Notice sur l’Ecole des Femmes (Molière des Grands Ecrivains , 111, p. 138.) 29. Allier, la Cabale des Dévots,
Paul Mesnard, Notice sur Tartufe dans l’édition de Molière des Grands Écrivains , t. V. 36. D’autant plus que la « petite MmePatr
Tartufe et sur Don Juan, dans le Molière de la collection des Grands Écrivains , notices dont la documentation si riche est toujo
35 (1899) Salut à Molière, dit par Coquelin cadet, le soir du 15 janvier, pour le 277e anniversaire de la naissance de Molière, sur la scène de la Comédie-française pp. 3-8
ésent, les voici en Molière. Salut à Molière, comédien qui fait rire, écrivain qui fait penser. Il entre dans la vie avec la sur
36 (1769) Éloge de Molière pp. 1-35
ous, en voyant dans ce Sanctuaire des Lettres les portraits de tant d’ Écrivains célèbres, a souvent demandé, où est Molière ? Une
apprécié, mais bientôt mis à sa place, fut sans contredit le premier Écrivain de la Nation. Lui seul réveillait sans cesse l’ad
ne sommes pas tous des barbares. Ainsi fut traité par les Français l’ Écrivain le plus utile à la France. Malgré ses défauts, ma
37 (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382
nclos. Sauf une seule exception que je vais signaler, tous les grands écrivains du siècle de Louis XIV, relèvent plus ou moins de
n opposition avec le spiritualisme cartésien de la plupart des grands écrivains du siècle de Louis XI v, de là l’origine et l’exp
38 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
rsqu’on disait jadis : « Le seul dépouillement des pièces de ce docte écrivain , bien examinées, suffît à compléter la poétique d
; et il est mort sur la brèche. Aussi n’est-ce pas seulement un grand écrivain , c’est un type, et sa vie est en quelque sorte le
iée à Londres en 1732 est une des premières éditions de luxe du grand écrivain . Chacun des chefs-d’œuvre était dédié à quelque g
ge même du génie, et qui, loin de rien dérober à la marche libre de l’ écrivain , lui imprime plus de véhémence et d’énergie et lu
« We certainly have in comedy no name equal to Molière 2 ». disait l’ écrivain . Molière n’a point déchu, depuis lors, dans l’opi
uvre de Véfyk Effendi, ancien ambassadeur de Turquie en France. Aucun écrivain français (excepté peut-être La Fontaine et ses fa
leur permettre, c’est de dénaturer l’aspect véritable de la vie de l’ écrivain . Les biographes qui rapportent les visites fort p
ans, le marquis de Sévigné. C’est la première phalange des illustres écrivains du siècle de Louis XIV, la plus forte et la plus
Molière était assez répandu : il avait été porté précédemment par un écrivain aujourd’hui inconnu, mais qui jouissait alors de
t peu de temps dans le parti où il s’engageait. Georges Pinel, maître écrivain , empruntait à Jean Poquelin, le père, au mois de
Georges La Couture, un nom de guerre sans doute. La qualité de maître écrivain à Paris qu’il prend dans les actes d’emprunt a fa
ompagnie comique. Nous croyons, d’ailleurs, quel expression de maître écrivain n’a pas le sens de professeur d’écriture, mais ce
aître écrivain n’a pas le sens de professeur d’écriture, mais celui d’ écrivain public ou d’homme faisant des travaux d’écriture.
t, tragédie (antérieure d’un an à la célèbre tragédie de Rotrou). Cet écrivain obscur est un de ceux qui, dans les titres de leu
Épernon avait tirée d’un précipice, et la réponse presque unanime des écrivains qui ont cherché le mot de cette énigme a été qu’i
de trouver place pour la représentation de L’Étourdi à Lyon. Molière écrivain , à en juger par ce qui nous est connu, débute don
Il y avait contribué par lui-même, par la révélation de son talent d’ écrivain , qu’il parait avoir longtemps ignoré. Il a compos
titre d’honneur. Grandes dames, nobles seigneurs, poètes, romanciers, écrivains , avaient formé une sorte de secte qui tendait à e
es adversaires pour que ses protestations fussent efficaces. D’autres écrivains  n’avaient pas toujours été respectueux. La parodi
IV ? Molière conjura le péril. Esprit de la vieille souche gauloise, écrivain d’une veine libre et hardie, il venait dresser dr
pour un autre que Molière, seraient des coups de maître. « II y a un écrivain de génie, dit M. Nisard, dans L’Étourdi, Le Dépit
qu’en aucun temps, dans aucune circonstance, la sauvegarde donnée à l’ écrivain contre tous les ressentiments qu’il pourrait prov
ouchés et si bien finis, qu’il en a mérité beaucoup de gloire. » Les écrivains dramatiques savent ce que valent ces prétendus mé
rime sur le compte de son auteur : C’est un ouvrage de Molière : Cet écrivain , par sa manière, Charme à présent toute la cour.
bord que ladite anecdote s’est produite bien tardivement : Le premier écrivain qui l’ait lancée, dit-il dans son livre sur Le Th
; car on a beau faire, on ne peut abstraire complètement l’homme de l’ écrivain  ; on aime à se représenter Molière comme le montr
t pourtant, il n’est rien d’impossible à l’esprit fertile de certains écrivains . « La Béjart, dit un de ces historiens que rien n
vrai. Il ne faudrait pas chercher des application trop précises. Les écrivains qui entreprennent de distinguer et de démêler ce
nt le fourbe a le front de me faire l’auteur. D’autre part, quelques écrivains prirent la défense de Molière. On a deux de ces a
survécu à Molière. À côté des rudes combats de sa vie d’artiste et d’ écrivain , Molière était à cette époque éprouvé dans sa vie
 Louis XIV ayant demandé à Boileau quel était le plus rare des grands  écrivains de son siècle, Boileau lui répondit : — Sire, c
urce est inconnue. Elle est l’œuvre d’un versificateur expert et d’un écrivain qui n’est pas sans verve. La véritable opposition
basse dans une pièce de vers intitulée L’Enfer burlesque, d’un obscur écrivain du nom de Jaulnay. L’auteur, un des derniers disc
eux ou trois traits qui ne témoignent que de l’hostilité aveugle de l’ écrivain  : Il arriva dans ce même temps une aventure à la
out ; son érudition, son jugement, ne s’épuisent jamais. » Les grands écrivains , surtout les grands écrivains classiques, sont ce
ent, ne s’épuisent jamais. » Les grands écrivains, surtout les grands écrivains classiques, sont ceux qui donnent une forme défin
arler, une puissance d’invention dont bien peu, parmi les plus grands écrivains classiques, ont été doués. Ce qu’il répète, tradu
oujours été compris ni bien apprécié par les littérateurs purs et les écrivains à période. C’est au théâtre qu’il faut le juger,
; le rythme qu’il imprime par moments à celle-ci reste un secret de l’ écrivain  ; et peut-être un instinct de l’artiste. On a vu
39 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XX » pp. 215-219
urs de sa préciosité contre la licence de la cour et contre celle des écrivains nouveaux et elle eut la plus grande part à leur d
40 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354
uffonneries indécentes et de personnalités. Plaute a de la verve (les écrivains dont je parle ont l’adresse de nuancer leur musiq
quante du comique latin, peut-être aurai-je ajouté à la critique de l’ écrivain une idée, et au plaisir de ceux qui le lisent que
as retrouver dans l’âme de Molière ; ce critique pourra briller comme écrivain , mais jamais il ne sera philosophe. La rose empru
de mon élève. Je ferais plus. J’exciterais dans le cœur de mon petit écrivain en herbe de beaux sentiments d’émulation, et je p
donner à Lamartine et à lord Byron des rivaux. Je sais qu’il y a des écrivains qui détruisent à plaisir la vérité, par défaut de
unissaient de vraies et de fausses précieuses, de grands et de petits écrivains , des causeurs qui savaient rendre la raison agréa
dre écrit avec une pureté qui n’a rien de cette bassesse. » Voltaire, Écrivains du siècle de Louis XIV. Dictionnaire philosophiqu
41 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXV. Des Caracteres généraux. » pp. 263-267
policées. Je rangerois le Tartufe dans cette derniere classe, si nos Ecrivains les plus illustres n’avoient pas dit que « cette
42 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XVI » pp. 188-192
t bafouée par le public depuis deux ans », ne croirait-on pas que cet écrivain est tombé en imbécillité ou en démence ? C’est po
43
ttéraire, ni comme un essai de la première jeunesse. Elle y a senti l’ écrivain en pleine possession de sa langue la plus parfait
u second acte), « qui coûtent maintenant si peu à la plupart de nos écrivains et qui font retomber le théâtre dans la turpitude
, tome II, nº 17, 1er août 1880, p. 143-149. Presque tous les grands écrivains dramatiques de tous les pays du monde ont été pil
Molière ; et si le bon goût a pu parfois la réprouver du vivant de l’ écrivain , l’intérêt qui s’attache pour nous aux anecdotes
et les façons de traiter la protase, l’épitase et la péripétie, que l’ écrivain français, ami de la clarté et du franc-parler, no
u, qui se trouve être l’homonyme du traiteur de Limoges. Bien que les écrivains classiques ne se piquent pas de préciser leur lie
érêts. Il tient que la France est battue en ruine par la plume de cet écrivain , et qu’il ne faut que ce bel esprit pour défaire
ons du Maître, des allusions aux hommes et aux choses de son temps. L’ écrivain n’aurait garde d’imprimer à ses œuvres cette marq
tias double : le simple, où le lecteur est seul à ne pas comprendre l’ écrivain  ; le double, où l’écrivain lui-même ne se compren
le lecteur est seul à ne pas comprendre l’écrivain ; le double, où l’ écrivain lui-même ne se comprend pas par surcroît ; et, lo
M. Livet, II, 26. 31. Œuvres de Molière, II, 23. Édition des grands écrivains . 32. Somaize le dit positivement. V. Prédictions
uement de Nicolas Desfontaines. 47. Brouchoud, ouvrage cité. Le même écrivain dit, p. 45 : « En présence des incorrections nomb
44 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135
les diverses parties de ce travail que je voudrais rendre utiles aux écrivains à venir, afin de compenser le peu de renommée que
au chapitre. C’est une fort bonne précaution que j’indique à tous les écrivains de feuilleton à venir ; pendant que vous écrivez
. Moïse, Homère, Platon, Virgile, Horace ne sont au-dessus des autres écrivains que par leurs expressions et par leurs images : i
45
Misanthrope est aujourd’hui le plus justement populaire de nos grands écrivains , on nous pardonnera de dire que nous sommes, en F
-il pas une présomption de plus pour y affirmer la naissance du grand écrivain  ? Le Camus l’apothicaire, l’acquéreur de Morot, m
gloire égale sur leur patrie respective, et dominant tous les autres écrivains dramatiques de leur nation d’une aussi puissante
, par sa tendance à s’affranchir de l’unité de genre dont nos anciens écrivains se faisaient une loi, il l’a été jusque dans ses
de Shakespeare est cousine germaine du valet de Molière. Notre grand écrivain connaissait-il Shakespeare ? S’il le connaissait,
manque, à notre avis, ni de vraisemblance ni d’intérêt. « Plusieurs écrivains  » dit encore M. René Delorme, que nous citons tou
» Il faut avouer cependant que Molière a été attaqué parfois par des écrivains allemands : Auguste-Guillaume de Schlegel (1767-1
une édition de tout l’œuvre de Molière. Voici d’ailleurs les noms des écrivains allemands qui ont donné des versions de Molière,
dramatiques. On en est encore réduit aux conjectures à l’égard de cet écrivain , qui a certainement composé sa comédie sous l’ins
46 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
eut-être que l’on a, comme lui, plus souffert par elles. Un ingénieux écrivain , M. Noël, a raconté, dans un petit livre charmant
notre spirituel compatriote, que Molière, comme la plupart des grands écrivains , a bien souvent écrit sous la dictée de son cœur
47 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
’en juge par les extraits qu’a donnés le jeune professeur, est un bon écrivain comique de premier ordre. À la cour de Stockholm,
saurait être qu’artificiel. C’est un simple jeu d’esprit fait par un écrivain qui en a manqué ce jour-là. M. Louis Veuillot com
dre à lui de l’inutilité de ses efforts. C’est le prédicateur. Mais l’ écrivain dramatique n’a point ces hautes visées. Comme il
hores incohérentes, de tous les tours surannés ou bizarres, on est un écrivain de théâtre, et même un grand écrivain. Oui, mon c
surannés ou bizarres, on est un écrivain de théâtre, et même un grand écrivain . Oui, mon cher monsieur Scherer, on est un grand
me un grand écrivain. Oui, mon cher monsieur Scherer, on est un grand écrivain malgré tout cela. Parce qu’en art, voyez-vous, l’
e mouvement, il a l’éclat, il a le coup de trompette, c’est un maître écrivain de théâtre. Tenez, ce Molière dont vous parlez en
rce même de la répétition qui a par elle-même une puissance propre. L’ écrivain dramatique qui est un peintre de mœurs, qui s’ing
usage qu’en pareille circonstance on louât toujours et quand même un écrivain , que tout le monde devait faire ainsi ; je vous m
lière avait dissimulés, comme ont fait parfois pour s’amuser quelques écrivains de notre temps, notamment Alphonse Karr, en les i
armé les hommes d’esprit de leur temps. Il faut avoir pour ces grands écrivains une tendre et respectueuse dévotion qui s’étende
ue chose dans ce genre, il aurait pu nous laisser (car il était grand écrivain ) un morceau admirable, propre à être inséré dans
ui, en somme, méritait d’avoir eu le sort tranquille de tant d’autres écrivains qui ne valent pas mieux que lui, et qui peut-être
omédienne qui accaparait tous les éloges. Il n’en restait pins pour l’ écrivain , que l’on avait l’air de trouver fort heureux d’a
les voltigeait un goût de poésie romanesque. Musset était un si grand écrivain qu’il semblait que ses ouvrages eussent dû éclips
rviteurs, et vice versa. Ils font remarquer qu’au xviie  siècle aucun écrivain ne se fut avisé de revêtir Dorante d’une souqueni
urseur de 89. Voilà bien des affaires. Marivaux a fait comme tous les écrivains dramatiques : il a recueilli les préjugés de son
lé et prétentieux ; une sorte de pédantisme sémillant et joli. Mais l’ écrivain , considéré dans l’ensemble, vaut mieux que la déf
alors même que c’est sur place, il a l’air d’avancer. Oui, ce méchant écrivain , cet écrivain de si peu de goût, il a, par cela s
c’est sur place, il a l’air d’avancer. Oui, ce méchant écrivain, cet écrivain de si peu de goût, il a, par cela seul qu’il étai
e se laisser tout bonnement émouvoir et prendre par les entrailles. L’ écrivain de théâtre ne doit apprendre à ses contemporains
devait le rendre parfaitement odieux. C’était un sous-entendu entre l’ écrivain et le public. Il n’avait qu’à prononcer ce nom de
it un partisan ! Il n’y a guère dans toute la pièce qu’une scène où l’ écrivain dramatique nous ait rendus témoins des vols et de
eaucoup de cette saillie qu’on prit pour la rodomontade d’un vaniteux écrivain , et les critiques en rient encore. Piron avait po
nne, en un siècle où tendre la main n’était pas un déshonneur pour un écrivain de talent. Il ne connut jamais ni les bassesses d
s. Il n’y a guère de faute plus grave en art dramatique, et jamais un écrivain , né pour le théâtre, n’y tombe. Il peut se trompe
 ; et son Père de famille est illisible. Eh bien ! il s’est trouvé un écrivain qui, sans le savoir, sans aucun parti pris, pouss
48 (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33
s grands hommes. Celle personnification est de date toute moderne. Un écrivain dont les ouvrages sont une source inépuisable d’i
e Molière n’en vivait pas moins dans toutes les âmes5 Bien plus, des écrivains du grand siècle, Molière est peut-être le seul do
les gens au nom de la science ; Dans sa prose ou ses vers un mauvais Écrivain Substitue à la langue un jargon fade et vain ; Et
49 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
sa hauteur. Quelque rare, en effet, que soit leur mérite, combien ces écrivains restent encore au-dessous de lui ! Mais pénétrés
en quoi cette supériorité consiste. Deuxième période. Après ces écrivains remarquables, la comédie dégénère. La Chaussée et
s est digne d’être mis au rang de nos meilleurs comiques. De tous les écrivains de ce genre, il est le seul, depuis Molière, dont
n pas exposé à se tromper sur celui du Misanthrope, lorsque de grands écrivains , des critiques justement renommés, en ont fait de
souleva contre lui, dans son temps, une vive polémique, et plusieurs écrivains distingués, quoique d’un mérite bien inférieur au
-il être aussi considéré, à certains égards, comme la peinture de ces écrivains acrimonieux, de ces réformateurs téméraires, faux
santhrope sa véritable physionomie. Partageant l’erreur de beaucoup d’ écrivains au sujet de la haute vertu de ce personnage, la p
ans doute. Il y avait entre ces deux grands hommes la différence d’un écrivain qui n’est que philosophe et moraliste, et d’un au
ce d’un écrivain qui n’est que philosophe et moraliste, et d’un autre écrivain également moraliste et philosophe, et de plus aut
50 (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112
ncan. Mais, lorsque je me trouve en ce foyer illustre Où nos grands écrivains brillent de tout leur lustre, Sur leurs hauts pié
rices de l’imagination. S’il faut en croire un de nos plus spirituels écrivains , M. Léon Gozlan, la devise de Fouquet se composai
e l’Hôtel de Bourgogne ; il faisait rire le public à leurs dépens. Un écrivain d’alors assure, et cela est aisé à croire, que Mo
r la masse de la nation, soulevèrent du temps de Rousseau une foule d’ écrivains généreux; l’encyclopédie se fonda sous cette puis
à une hauteur qu’il est difficile d’atteindre après lui. De tous les écrivains qui ont parlé du Misanthrope, Marmontel est peut
ns pas M. Gustave Planche, critique judicieux et profond, et meilleur écrivain que ses devanciers.         On remarque dans la c
lus question de courtisanes que de femmes mariées dans les œuvres des écrivains grecs et latins. A la cour de Néron, du reste, où
rigues, agitant une question renouvelée dernièrement par un spirituel écrivain , à savoir que l’on a exclu injustement les femmes
51 (1843) Épître à Molière, qui a obtenu, au jugement de l’Académie française, une médaille d’or, dans le concours de la poésie de 1843 pp. 4-15
rquis, Ses faux savants gonflés de leurs minces mérites, Ses méchants écrivains , ses dévots hypocrites. Gloire à toi qui, de fron
52 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VIII. Les Fedeli » pp. 129-144
ulina.   Le directeur des Fedeli, Giovanni-Battista Andreini, fut un écrivain dramatique des plus féconds : il a laissé un gran
53 (1856) Les reprises au Théâtre-Français : l’Amphitryon, de Molière (Revue des deux mondes) pp. 456-
les Femmes savantes. Tout en rangeant Molière parmi les plus habiles écrivains de son temps, il lui reproche de tomber parfois d
54 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIV » pp. 126-174
à personne de l’inventer. Il n’en est pas de même de la dénégation d’ écrivains qui ont cru se faire une place distinguée au temp
avaient pour les mœurs et le bel esprit, pouvait également servir à l’ écrivain satirique pour déprécier, et au bel esprit bienve
cieuses ridicules, je ne puis m’empêcher de revenir sur l’opinion des écrivains qui donnent pour une adroite précaution contre le
55 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
la gloire du nom français. Au premier rang, dans ce cortège de grands écrivains qui inaugurent par des chefs-d’œuvre le règne per
ous reste à noter encore quelques reproches articulés par d’illustres écrivains , et la restriction apportée à l’éloge par cet arb
56 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434
ivra parce qu’il a été fécondé, agrandi, fortifié par quelques grands écrivains , l’honneur de la prose et de la poésie, et ces éc
lques grands écrivains, l’honneur de la prose et de la poésie, et ces écrivains déjà dans l’ombre, ils seront tout étonnés de se
ide à bien des rois tout-puissants ; elle a manifesté plus d’un grand écrivain qui serait mort oublié, s’il n’avait pas combattu
urent deux fois Ainsi meurent les grands orateurs et les plus habiles écrivains de la presse (Armand Carrel ! Armand Marrast !),
57 (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134
out le premier, parlé de Stendhal. Il en est de Beyle, comme d’autres écrivains qui se doivent déguster à petites doses, et non ê
temps que collectionneur des pensées d’autrui (la musique notamment), écrivain profond, mais sans forme (en quoi il se rapproche
lière. ô infortuné Petitot ! « Au contraire, sot. » (Page 6.) « Plat écrivain . » (Page 21.) « Quelle lourdeur de collège, pensé
mirable » II, Même page : V : « Ce qui fait souvent le mécompte d’un écrivain , c’est qu’il croit rendre les choses telles qu’il
ant, excellent ton de Molière qui fait l’imposant autant que nos sots écrivains actuels le recherchent. Voilà un des grands vices
iré a pour son héros, et l’estime, que ce même public fait d’un autre écrivain du même genre. Clitandre Qui fait qu’à son mérit
mission, qualité qu’on trouve dans Molière comme dans tous les grands écrivains . De noir, d’un ton doux, vérité de la peinture, h
me ils ne vaudraient rien, on y aperçoit toujours de quelle hauteur l’ écrivain s’est élancé. Se rappeler toujours dans les arts
58 (1730) Poquelin (Dictionnaire historique, 4e éd.) [graphies originales] pp. 787-790
dissimuler, j’avertis ici mon Lecteur, que si l’on en croit d’autres Ecrivains , Moliere n’eut pas la force d’assister à la repré
qui les traitent la pauvreté d’une Langue, autant que la sentent les Ecrivains des matieres dogmatiques. Il faut avouer, dit Mr.
59 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
facilement à la vérité. Qu’ils se donnent pour les collaborateurs des écrivains habitués à l’improvisation, qui se contentent d’i
simplement conçus, écrits dans une langue harmonieuse et hardie, les écrivains dramatiques sentiraient plus vivement le besoin d
60 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
la réputation dont jouissait cet homme de cour et que la plupart des écrivains de son siècle se sont plu à confirmer, ce fait s’
t heureuse et riante de sa propre existence ? Ce penchant, auquel nul écrivain n’échappe, devient un besoin impérieux, irrésisti
61 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
e livra à l’étude du droit ; c’est du moins ce qu’attestent plusieurs écrivains . Grimarest a dit : « On s’étonnera peut-être que
bon œil, et qui daignait le favoriser en toutes rencontres », dit un écrivain du temps, un historien du théâtre, Chappuzeau. Il
n je le suppose Et crois que ce n’est pas en vain, Puisque de ce rare écrivain , Pour poème et pour tragédie, La plume féconde et
ers, de toutes les palmes, en faisait, selon l’expression d’un de nos écrivains , des fleurons de sa couronne, et semblait se dire
précier les qualités de son cœur : C’est un ouvrage de Molière : Cet écrivain , par sa manière, Charme à présent toute la cour.
? » Ce portrait, si nous le comparons à ceux que les peintres et les écrivains contemporains nous ont laissés de Molière, offre
presque y rien changer, deux récits à l’Antigone de Rotrou. D’autres écrivains ont dit qu’il ne s’était permis cet emprunt que p
de renouveler cette calomnie. En 1676, trois ans après la mort de cet écrivain , dont le génie immortel offusquait toujours leur
me qu’il avait injustement offensé ; Molière loua son rival. Quelques écrivains , pour disculper Racine, ont prétendu qu’il ne s’é
sans le consentement de son auteur, un éloge emprunté à la plume d’un écrivain qui l’avait poursuivi de tant d’injustes critique
lâmables, parce qu’ils sont, dit-on, dangereux. Riccoboni, le premier écrivain un peu renommé qui se soit élevé contre l’immoral
l’auteur de Julie, J.-J. Rousseau, qui l’a prononcé ! Oui, c’est cet écrivain dont la plume a tracé le voluptueux tableau des s
se refuse à rapporter. C’est cependant par de tels changements que l’ écrivain d’outre-mer s’est cru autorisé à dire dans sa pré
ces sottes conséquences. Le second antagoniste de Molière était un écrivain plus célèbre encore ; c’était l’aigle de Meaux, B
ous nous attacherons à ne retracer les faits que d’après l’autorité d’ écrivains qui ne peuvent, dans cette occasion, être accusés
es que l’entrée du temple semble avoir été interdite. Je ne sais quel écrivain spirituel a prétendu qu’on ferait une Académie bi
rs, mus par un louable sentiment d’admiration pour ces deux immortels écrivains , ordonnèrent que leurs cendres soient exhumées, p
nté à ses devanciers des idées qu’il a su faire fructifier. Nos vieux écrivains ont été mis par lui à contribution avec un rare b
st dans sa réponse à Louis XIV lui demandant quel était le plus grand écrivain de son siècle. « Sire, c’est Molière. — Je ne le
minant cet essai, à faire remarquer l’influence sur son siècle de cet écrivain qui renversa le faux goût avant les Satires ; pos
voix : C’est le fameux sieur de Somaize ! …………………………………… — Quoi ! cet écrivain du pont Neuf Qui n’a pas pour avoir un œuf ? Dit
62 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
se silence à la raison même. — Les hommes sont le premier livre que l’ écrivain doive étudier pour réussir, après quoi il étudier
s et des opinions de la veille, et plus je trouverai que vous êtes un écrivain à ma portée, un narrateur bonhomme, un critique a
voulez-vous venir, avec tout votre style ? à prouver que vous êtes un écrivain  ? Eh bien ! faites vos preuves dans un livre, on
la grammaire la plus sévère ! Allez, allez toujours dans cette voie, écrivains mes frères, qui êtes l’exemple et l’honneur du jo
peine des hommes, de tous les dieux d’un Olympe créé par lui ». — Ces écrivains dont je parle, ils faisaient de nos plus grands h
es, aux passages éloquents, aux gaietés, aux colères, à l’accent de l’ écrivain  ; ainsi le journal est bien plus, chez nous, le b
légant et d’achevé ; lorsque cette intelligente nation aura forcé les écrivains , par son discernement même, à ne rien avancer, qu
63 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. » pp. 279-289
te ce fait, le place sous le regne de Boris Godunow. Plusieurs autres Ecrivains le mettent sous celui d’Alexis.
64 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XII. Lo Ipocrito et Le Tartuffe » pp. 209-224
sion de la faveur publique. Il s’en empara à son tour, après d’autres écrivains français ; et l’on sait avec quelle puissance et
65 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
inauderie. Toutefois, ce serait être injuste et aussi frivole que ces écrivains , dont l’observation n’a pas été plus loin que le
66 (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196
re, en manière de préface à cette solennité, un des plus remarquables écrivains de La Presse, de Vienne, M. Lauser, auteur d’un o
st pas d’apprenti, ni de domestique — ici nous citons textuellement l’ écrivain autrichien — qui ne sache par cœur des vers ou de
, absolument, vraiment Français par ce bon sens que signale si bien l’ écrivain autrichien, et qui fit la force de notre race dan
au champ de bataille, le juge à son banc, le peintre à sa palette, l’ écrivain à sa plume, le marin à son banc de quart, Molière
énie avait été fait de bonté, de pitié, d’ironie et de souffrance. Un écrivain , dont on fera bien de consulter le travail, que n
point ; il s’agissait d’élever une statue à un homme de théâtre, à un écrivain que l’Académie française avait admis seulement en
a netteté de pensée et de langage ; il descend en droite ligne de ces écrivains sans alliage qui gardent dans leurs veines le san
utographié de l’acte découvert par Beffara, dans l’édition des Grands écrivains français de M. Alph. Pagès.) 27. Ce petit Louis,
pare depuis plusieurs années pour la magnifique Collection des grands écrivains , entreprise par la librairie Hachette. Il faut at
67 (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146
u’on repousse du sanctuaire des lettres au nom des intérêts du trône, écrivains qui êtes chaque jour en butte à la haine des libe
econnaît à ces derniers mots la noirceur des tartufes de dévotion ? L’ écrivain frénétique n’ose attaquer le roi, il commence mêm
poétique union formée par l’estime et cimentée par l’amitié. Quelques écrivains , et entre autres Grimarest, auteur d’une Vie de M
posée par Molière après la représentation de L’Imposteur ; du moins l’ écrivain qui en a donné une si fidèle analyse n’en fait au
68 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
que suspecte science allemande, surtout quand il s’agit de nos grands écrivains nationaux — comme Molière ! Je n’insiste donc pas
69 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XV » pp. 175-187
à tous les usages de l’art de parler et de l’art d’écrire. Les grands écrivains eurent alors leur style propre ; de grandes et d’
70 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Introduction » pp. 3-17
ançais du dix-septième et du dix-huitième siècle, chez la plupart des écrivains , des causeurs qui, dans nos journaux, dans nos sa
71 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
ure éternelle des choses. Mais Molière a une excuse que n’ont pas les écrivains qui, de même que lui, ont poussé trop loin la sat
complètement réfuté par d’Alembert, Marmontel, La Harpe, et d’autres écrivains d’un ordre inférieur, que toute argumentation nou
72 (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181
rodie que tout y est vrai, jusqu’aux violons. Au rapport de plusieurs écrivains du xviie siècle, le cadre bouffon imaginé par Mo
73 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
e Scapin-modèle emprunté à Beltrame, l’un des plus fameux artistes et écrivains de la commedia dell’arte. Le Mascarille des deux
74 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
ur qu’injurieuses aux personnes dont les noms sont déchiffrés, et à l’ écrivain . Dirai-je sérieusement, continue-t-il, et protest
75 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
dans le mauvais. Si le génie dramatique s’y montre à peine, le grand écrivain en vers s’y révèle déjà tout entier. Dans ces piè
où le bon sens de Malherbe reconnaissait le vrai français. Il y a un écrivain de génie dans L’Étourdi, le Dépit amoureux, les P
’est ainsi que la parlent, quand ils ne sont que des hommes, même les écrivains qui la violent dans leurs livres. De la sorte, to
76 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. Des Vers & de la Prose dans les Comédies. » pp. 103-117
ux pieces vivement intriguées. Je crois que c’est une erreur ; un bon Ecrivain peindra aussi fortement un caractere en prose qu’
77 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102
ensuite jetté au feu. 23. Bernard le Bovier de Fontenelle, célebre Ecrivain du dix-septieme & du dix-huitieme siecle, né
78 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre VII » pp. 56-69
s. Les œuvres de Balzac me l’ont appris. Trois longues lettres de cet écrivain qui lui sont adressées, comme suite des conversat
79 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXIII » pp. 237-250
elle-même et bien élevée, sa société fut bientôt recherchée. Quelques écrivains du temps l’ont qualifiée de marquise ; c’est sans
80 (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266
avoir bonne façon et être accompagnées de délicatesse. La plupart des écrivains du temps, poètes ou prosateurs, ont entrevu un id
au public français comme un homme de cœur, un penseur original et un écrivain d’un beau talent. L. Vuillemin. 1. Poètes du
81 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
n goût que le contraire n’est prouvé par la fréquentation de quelques écrivains ridicules dans sa maison qui était ouverte à tout
82 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366
me de Clorinville, & tantôt dans celui de Monsieur. L’Auteur, cet Ecrivain aimable qui veut toujours garder l’anonyme, &
83 (1821) Sur le mariage de Molière et sur Esprit de Raimond de Mormoiron, comte de Modène pp. 131-151
fut pas moins conservée publiquement, même de son vivant. En effet, l’ écrivain contemporain de sa vie, de laquelle il y eut deux
84 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102
retraite. Tous deux ne s’occupèrent plus de leur art qu’en qualité d’ écrivains . Andreini fit paraître à Venise, en 1607, un recu
85 (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873
dissimuler, j’avertis ici mon Lecteur, que si l’on en croit d’autres Ecrivains , Moliere n’eut pas la force d’assister à la repre
86 (1818) Épître à Molière pp. 6-18
perflus, Oubliant que le temps passe, et ne revient plus. De quelques écrivains la féale éloquence Dans de fervents sermons nous
87 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
i doit être compté parmi les fondateurs du journal moderne, un maître écrivain qui jetait sur le papier son esprit et son âme à
ation une gloire ! Il haïssait les faquins, les beaux parleurs et les écrivains compassés : « Écris, écris, disait-il de M. Suard
pire français, une grande dame qui était un bel esprit et un charmant écrivain . Plus tard, et dans la même maison, le fils aîné,
un homme qui ait donné à la poésie, aux beaux-arts, aux artistes, aux écrivains français, des preuves plus signalées de zèle, d’a
mber l’imagination livrée à ses propres forces ! Que de poètes, que d’ écrivains , et combien de philosophes ont invoqué la science
morte ! Ah ! race oisive et terrible des penseurs de profession, des écrivains par métier, des amoureux et des amoureuses condam
grâce et de bienveillance paternelle pour l’artiste découragé, pour l’ écrivain mal compris, pour le révolutionnaire convaincu, p
ois, l’urbanité et le beau langage. Jules César lui-même, aussi grand écrivain que grand capitaine, admire tout haut cette gaiet
mêle incroyable des hommes et des choses, des dieux et des fictions ; écrivain châtié à l’égal des plus rares poètes, tout à cou
a été, de son temps, une nouveauté incroyable ; il a été à la fois un écrivain et un homme riche. — Poète, il avait un jardin à
habitudes de la vie littéraire. À force de montrer leur âme à nu, les écrivains de ce temps-là ont fini par habiller leur corps p
88 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
ort anticipé. L’attrait du caractère de Molière nous a fait oublier l’ écrivain . Revenons en arrière. Dans le temps où il suivait
es esprits à un plus juste sentiment de la véritable mesure. D’autres écrivains lui vinrent en aide, Boileau par ses satires, Rac
eur ouvrit celle de la gloire. Ce fut là ce qui donna aux travaux des écrivains du XVIIe siècle un caractère sérieux, et les sauv
laration des droits et des devoirs du poète. Molière est un des rares écrivains du XVIIe siècle qui aient secoué ce joug et qui s
e qui naît du développement de l’action a de tout temps préoccupé les écrivains français : c’est, nous l’avons dit déjà, la quest
t, l’auteur le plus divin Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain . Il est assez curieux, par parenthèse, de voir l
nne façon, et être accompagnées de délicatesse. La plupart des grands écrivains du temps, poètes ou prosateurs, ont entrevu un id
rave lacune qui se trahit même dans les chefs-d’œuvre des plus grands écrivains  : dans les Pensées de Pascal, où les joies de la
89 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
dire son mot contre le Syllabus. A propos de ce travestissement, un écrivain qui passait alors pour avoir des sentiments catho
i tomba. Molière avait une plaie au fond de l’âme. Le double talent d’ écrivain et d’auteur comique ne satisfaisait point son amb
qu’en aucun temps, dans aucune circonstance, la sauvegarde donnée à l’ écrivain contre tous les ressentiments qu’il pourrait prov
e de barbarisme académique, qui le met à part et au-dessus des autres écrivains et poêles, comme grand homme de bien. Là, il a mo
commentaire déjà volumineux. Nous l’emprunterons aux Notes de Bazin, écrivain que l’on ne peut accuser de partialité contre le
à quelles gens décriait Molière, et diffament encore, à sa suite, des écrivains qui font ce que nous savons, pour un ruban, pour
son état. » Énumération, pour le dire en passant, qui n’exclut pas l’ écrivain même laïque, soit qu’il publie des livres, soit q
erre qui canonise Scapin. 1. Molière est le premier en mérite des écrivains célèbres nés à Paris. Après lui, on cite Regnard,
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
fâcheux pour moi de me trouver très souvent en contradiction avec les Ecrivains les plus célebres de notre siecle : mais je crois
91 (1794) Mes idées sur nos auteurs comiques. Molière [posthume] pp. 135-160
de son auteur ; il faut donc pardonner cette négligence de style à un écrivain qui était assez modeste pour être persuadé que se
92 (1886) Revue dramatique : Les Fâcheux, Psyché (Revue des deux mondes) pp. 457-466
tions que publie la maison Hachette, vers cette collection des Grands Écrivains de la France : vous tenez là Corneille, Racine, M
93 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
lecchi mesalem safa ghieldy. » Francesco Andreini, artiste lettré, et écrivain assez distingué, était membre de la société des S
94 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXV » pp. 259-278
ont ingérés de nous l’apprendre ; ce secret n’a pas été, comme tant d’ écrivains l’ont supposé, une excessive ambition de richesse
95 (1732) Jean-Baptiste Pocquelin de Molière (Le Parnasse françois) [graphies originales] « CII. JEAN-BAPTISTE POCQUELIN. DE MOLIERE, Le Prince des Poëtes Comiques en France, & celebre Acteur, né à Paris l’an 1620. mort le 17. Fevrier de l’année 1673. » pp. 308-320
ens des Sçavans sur les Poëtes modernes, tome 5. n°. 1520. Ce dernier Ecrivain en qualité de Prêtre & d’homme d’une morale t
96 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
monde, ou qui sont enfermés dans les livres, sont peu de chose pour l’ écrivain , pour le poète : c’est l’art de la composition qu
assez dire ; il en a fait toutes les pièces de son théâtre ; car cet écrivain , dans sa fécondité stérile, n’a guère traité qu’u
97 (1775) Anecdotes dramatiques [extraits sur Molière]
 532) 10. Montagu, Lady Mary Wortley (26 mai 1689 – 21 août 1762) : écrivaine britannique. 11. Nicole (Bourgeois gentilhomme)
elding, Henry Sharpham (Park, Somersetshire, 1705 – Lisbonne, 1754) : écrivain anglais, auteur d’une trentaine de comédies. Son
e lui attribuait une part supplémentaire pour rémunérer son travail d’ écrivain , car elle ne jouait que les pièces qu’il composai
alons et ruelles, fidèle adorateur de Mmede Maintenon, lié à tous les écrivains du temps, il obtint la présidence de la Cour des
98 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338
upe ne joue presque plus rien de son répertoire national. Ce sont des écrivains français qui travaillent pour elle : nous avons d
99 (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421
artialité, et qui dénigrent, pour la plus grande gloire des règles, l’ écrivain coupable d’amuser le public qu’ils sont en posses
i recommandent également sa mémoire, était encore au dernier rang des écrivains , quand il eut la folle audace d’insulter Molière,
100 (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322
e prétention personnelle, que commandait le grand nom de Molière à un écrivain digne de l’admirer ; et, comme ces artistes adroi
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