[64248, p. 100-101]
1721, Segraisiana, p. 212-214
Les Précieuses ridicules mirent Molière en réputation. La pièce ayant eu l’approbation de tout Paris, on l’envoya à la cour, qui était alors au voyage des Pyrénées, où elle fut très-bien reçue. Cela enfla le courage de l’auteur. « Je n’ai plus que faire, dit-il, d’étudier Plaute* et Térence*, ni d’éplucher les fragments de Ménandre* ; je n’ai qu’à étudier le monde ».