[55, p. 89]
Molière, en quelque sorte, remplaça Voltaire à l’académie : le fameux buste de ce comique, fait par Houdon233, y fut placé. Quand il fut question d’y mettre une inscription, quelqu’un proposa d’écrire : Molière, de l’académie française, après sa mort ; mais on préféra ce vers de Saurin234 :
Rien ne manque à sa gloire, il manquait à la nôtre.