[2, p. 34-35]
1705, Grimarest, p. 12-15
On prétend que le Prince de Conti* voulut prendre le jeune Molière pour son secrétaire, et qu’heureusement pour la gloire du théâtre français, Molière eut le courage de préférer son talent à un poste honorable. Je suis, dit-il, un acteur passable, et je serais peut-être un fort mauvais secrétaire. Si ce fait est vrai, il fait également honneur au prince et au comédien.