[82, p. 127277]
Molière ne s’est pas borné à peindre dans son Avare▶, l’◀Avare▶ amoureux, l’◀Avare▶ mauvais père, l’◀Avare usurier ; son Harpagon est tout cela ; il ne s’est pas contenté de saisir une seule branche de l’avarice, il les a embrassées toutes.