Chapitre LXII Je vais extraire aussi le chapitre des mœurs sur lequel M.
Un chapitre d’histoire inédit Arthur Symons. […] Mais de beaucoup le manuscrit le plus important que j’ai découvert et qu’apparemment je suis le premier à révéler, est un Extrait des Chapitres 4 et 5. Il est écrit sur du papier semblable à celui sur lequel les Mémoires sont écrits ; les pages sont numérotées 104-148 ; et malgré le titre d’Extrait, il paraît contenir, en tous cas, la plus grande partie des chapitres manquants auxquels j’ai déjà fait allusion, les chapitres IV et V du dernier volume des Mémoires. Dans ce manuscrit, nous retrouvons Armelline et Scolastica dont l’histoire est interrompue par la fin brusque du chapitre III ; nous retrouvons Mariuccia du volume VII, chap. 9, qui épousa un coiffeur ; et nous retrouvons aussi Jaconine, que Casanova reconnaît comme sa fille « beaucoup plus belle que Sophia que j’avais eue de Thérèse Pompeati que j’avais laissée à Londres6 ». […] J’ai fait part de ma découverte à Herr Brockhaus et j’espère voir les chapitres IV et V à leur place quand l’édition tant désirée du texte intégral sera publiée.
. — En trois beaux chapitres, M. […] Je n’oserais pas dire que tous les chapitres du livre soient assez développés : il me semble, au contraire, que plusieurs ne marquent pas entièrement la pensée de M. […] Oliva se borne à résumer Zarathustra ; son style prend alors une allure très vive ; mais en comparaison du sujet, le chapitre ne me semble pas suffisant, et il laisse le lecteur légèrement désappointé. […] Le chapitre le plus complet de cette première série d’études littéraires est dédié à Hippolyte Taine, pour lequel l’auteur a une admiration presque sans borne, qu’il justifie, d’ailleurs, en considérant sa vie, son œuvre, les jugements qu’on a portés sur lui en Italie, et en donnant un précis très exact des idées critiques et philosophiques du Maître.
Voici un excellent chapitre d’histoire littéraire, Érasme en Italie, amusant et savant, gonflé d’anecdotes aussi bien que de références et de documents. […] Plus qu’ailleurs, ce système est remarquable dans le chapitre qui traite de Napoléon et qui en esquisse la psychologie à la Lombroso. […] Très bons premiers chapitres où l’on voit l’enfance du petit Attilio développer tout ce qu’il sera plus tard, en quelque sorte malgré lui. […] Elle revient à la mansarde des artistes, et les mains dans un manchon (emprunté à Francine, sa voisine de chapitre), elle meurt en chantant, comme la Traviata, comme toutes nos phtisiques de roman qui vont en Italie consulter des musiciens. […] — Pour les femmes en Abyssinie, voir le curieux chapitre : Madames des officiers.
Pour les détails, je renvoie à l’intéressant livre de Jordan et Labanca (chapitres VIII, IX et X) et voudrais leur signaler une lacune. […] Le festin des monstres de la mer et l’orgie qui suit sont des chapitres merveilleux. […] On peut comparer les chapitres sur Pérouse ; les chapitres intitulés : l’Umbria Verde et la Colline sacrée dans Heures d’Ombrie, avec le chapitre : Vers Assise, dans Heures d’Italie ; le chapitre sur Montefalco dans les deux livres. — Au moins pouvait-il prévenir, car il semble que le lecteur a un peu le droit, se grattant la tête, de trouver le procédé singulier. […] Un premier chapitre résume excellemment l’histoire mouvementée de Bologne, et il y a pour clore le livre de M. […] Quels beaux morceaux oratoires que ces chapitres relatifs au chant d’une beauté qui s’en va vers la Mort ou aux Ombres qui flottent sur les couchants de l’Adriatique !
En réalité, la discordance n’existe qu’entre l’édition Garnier frères et toutes les autres ; elle n’apparaît même qu’à partir du chapitre v du tome VI, lequel correspond au chapitre i du tome IX de l’édition Paulin et au chapitre xiv du tome V de l’édition J. […] Quoique l’édition Tournachon soit vertueusement mutilée, sensiblement abrégée, et n’ait qu’une importance chronologique, elle n’en est pas moins à consulter, pour vérifier des variantes de traduction et pour y recueillir une repartie de quelque valeur au chapitre des entrevues de Casanova avec Voltaire. […] Dans les trois derniers volumes de l’édition Garnier, collation scrupuleuse de l’édition française de Brockhaus, vous ne trouverez pas, à partir du chapitre v du tome VI, des pages entières, d’une décence parfaite ou d’une licence courante, et cependant d’un vif intérêt au point de vue documentaire, dont la lecture vous sera procurée par les tomes IX et X de l’édition Paulin, à partir du premier chapitre du tome IX, où commence la traduction non moins littérale de l’édition allemande de Brockhaus… Je souligne à dessein : à partir du tome IX, car toute l’obscurité vient de là. […] C’est à partir du chapitre suivant que la bifurcation des textes est manifeste, et que le libellé des sommaires change. […] Qu’il compare le premier chapitre, si court, du tome IX de l’édition Paulin (chapitre xiv du tome V de l’édition Rozez), avec les chapitres vi et vii, si longs, du tome VI de l’édition Garnier ; et la sévérité qu’il applique à Laforgue n’épargnera pas davantage Schütz, qui est aussi coupable… et récidiviste.
La discussion de fait occupe les deux derniers chapitres et un appendice. Les premiers chapitres recomposent la vie du duc de Chartres à l’époque de son mariage avec Mlle de Bourbon-Penthièvre, et depuis, jusqu’à la naissance de M. de Valois (le futur Louis-Philippe).
Il parlait des faits de la journée et pour cela il intéressait. » — « Alphonse Daudet, écrit-il dans un autre chapitre, est le Sardou du roman. […] […] Gazzetta Letteraria : un bon article de Giuseppe Depapis sur le dernier roman de Gabriele d’Annunzio, l’Innocente : « Comme œuvre d’art pure, c’est un des meilleurs livres publiés en Italie ; la forme est merveilleuse par la clarté des images, la ciselure du style, la franche saveur d’italianité de la langue ; quelques chapitres ont un relief et une force de coloris extraordinaires… » Cronaca d’Arte : de jolis vers français d’Alberto Sormani : Comme une barque, perdues les rames, je ne vaux plus rien. […] Voir le chapitre intitulé : Boethius and the scholastic problem. — Cf.
Il semble donc qu’on puisse accorder une confiance suffisante au chapitre des Mémoires où Casanova raconte ses visites chez Voltaire. […] Essai sur les mœurs, chap. 106. Le même jugement est exprimé dans les mêmes termes, chap. 74.
Chapitre LXVIII Retour de Naples à Rome, second séjour à Rome et route jusqu’à Ancône.
Chapitre LXXX Après cela, je fus trop heureux et trop occupé par les jalousies de ces MM. pour avoir le temps d’écrire.
Chapitre LXI Naples a aussi produit d’excellents chanteurs.
Chapitre LXIV Les habitants d’un pays si fertile et si beau se livrent avec fureur au plaisir qui est leur passion dominante.
Chapitre LXXIV Madona del Monte 27 octobre, 7 h. 10 matin.
Chapitre LIX.
Chapitre LVII Mardi, 8 octobre 1811.
Chapitre LXVII Ces gens-ci sont extrêmement portés au tapage.
Chapitre LXXVII At two of o oclock the fair Ang. give me the following letter : Mercoledì.
Chapitre LXXVIII Milan, 30 octobre 1811.
Chapitre LXXIX Je suis allé voir le Cénacle de Bossi, chez M.
Chapitre LXIII La dernière classe du peuple à Naples est célèbre, dans toute l’Europe, sous le nom de lazzaroni ; ce mot vient de Lazzari, nom qu’on leur donnait à cause de leur nudité : le Lazare de l’Évangile.
Chapitre LXV Quand on n’a pas traversé le tapage de la rue de Tolède, on ne peut se figurer à quel point le peuple de Naples est criard, vif et gesticulateur.
Chapitre LXXVI [Hier, 28, a été un jour heureux.
Chapitre LX On met au premier rang des musiciens non inventeurs Vinci, le père de ceux qui ont écrit pour la théorie.
Chapitre LXVI Le goût du pays pour les arts paraît dans les pompes funèbres.
Chapitre LVIII Jeudi, 10 octobre 1811.
Parmi les chapitres les plus remarquables, il faut encore signaler, bien qu’un peu en dehors du sujet, celui qui est consacré à la Nature du gothique. […] Puis, en se relisant, Beyle s’était aperçu que son chapitre sur le Beau, dont il était fort content, avait disparu. […] Ainsi fit-il, on le sait, pour un chapitre perdu de la Chartreuse. […] De tous les chapitres que nous en connaissons, il lui restait seulement à faire la moitié de la vie de Michel-Ange. […] Tout un chapitre, et celui que Stendhal estimait le plus, les cent pages sur le Beau idéal, avait même totalement disparu.
Chapitre LXIX Ancône, 19 octobre 1811.
Chapitre LXII Civita, Isola Bella, le 25 octobre 1811, à 9 heures du soir.
Chapitre LXXV Milan, 29 octobre.
Chapitre LXXIII Madona del Monte le 26 8bre 1811 — 8 heures.
Chapitre LXXI Écrit à Varèse, le jeudi 24 octobre 1811.
Chapitre LXX Ne sono colla L*** a take to her the… sans qu’elle se fâche ; elle ne m’a dit qu’impertinent et en riant.
Il confesse que : « Esso ha il merito di essersi occupato dei modi coi quali si possono cambiar le cose… » Nous revoilà dans le pragmatisme et revenus aux derniers chapitres du Crepuscolo où l’occultisme fait une inquiétante apparition.
Voici Jacques Bainville avec la Guerre et l’Italie (Fayard), qui raconte en quelques chapitres bien documentés comment l’Italie s’est décidée à la guerre et comment elle la mène. […] Remarquables, les chapitres sur le relèvement économique et le déclin de la Triple-Alliance. […] Pour être complet il faut citer aussi deux livres de critique : le premier volume de la Storia della Letteratura Inglese de Emilio Cecchi (Milano, Treves), où il y a des chapitres très bien écrits, mais où les appréciations ne sont ni très nouvelles ni très profondes ; et les Stroncature de Giovanni Papini (Firenze, La Voce), recueil d’essais polémiques et exégétiques, où l’on peut lire, à côté des éreintements célébrés de Croce, de d’Annunzio, etc., des chapitres sur Tristan Corbière, Remy de Gourmont et Romain Rolland. […] Mais d’autres chapitres intéressent davantage. […] Comme contraste à cette morale perverse et répugnante, on ne saurait trop recommander le chapitre consacré, moins à la visite que fit l’auteur au Cardinal Mercier, en son antique palais de Malines, qu’à la description de la noble et magnanime figure du prélat patriote, fier et simple, que rien ne fait plier ni désespérer.
Alors, je parlais, je parlais sans relâche, pour m’étourdir, pour me griser, pour oublier mon attente de chaque seconde, et j’improvisais des chapitres entiers de mes Survivances, lesquels chapitres, en vérité, devaient être extraordinaires. […] Il y aurait à citer presque à chaque page ; le chap. […] » Ce fut tout un roman d’amour, chaste et triste, en trois petits chapitres, — une minute, — à l’ombre d’une rose. […] Le caractère factice de cette division apparaît nettement dans le chapitre consacré à la crise économique de 1887. […] Celle-ci, par la création des banques, populaires, des coopératives de crédit et de consommation, a en effet donné des résultats remarquables, et c’est un chapitre bien intéressant que celui où M.
Ce sont treize aspects de la même inquiétude, ou, si l’on aime mieux, treize nouvelles ou treize chapitres d’un livre de mémoires psychopathologiques.
Sur la situation et le rôle de l’Italie dans la politique européenne durant les années qui précédèrent, la guerre ainsi que sur l’événement de 1915, on consultera notamment le substantiel chapitre intitulé : « Un ministre et deux souverains » (le ministre est M. […] Dans son remarquable chapitre final sur le caractère et l’influence de Catherine, M. […] Le dit Chapitre m’a fait attendre deux mois pour l’avoir. […] Si ce n’est pas l’usage de le faire, je la prie de me faire rendre raison de la façon suivante : le terrain que j’ai pris ne me suffit pas pour ce dont j’ai besoin, et le Chapitre en a, derrière celui-ci, une certaine quantité ; je prie Votre Seigneurie de m’en faire donner une autre parcelle qui me dédommagerait de ce qu’ils m’ont pris en trop sur ce que j’ai acheté. […] Les œuvres de Luigi Barzini ont beau être littérairement intéressantes, elles ne peuvent avoir l’attrait de l’inédit, puisque tout le monde en a lu les chapitres, écrits au jour le jour, dans le Corriere della Sera.
Je crois, — à vrai dire j’en suis sûr, — que c’est tout à fait cette région-là que nous ouvrent les premiers chapitres du livre de M. […] C’est un gros volume, luxueusement édité et illustré, dont les six chapitres renferment un programme aussi fortement lyrique que scientifique, consacré : aux générations alternantes, à la recherche de la personne, à l’unité biologique, à l’énergie psychique et à la théologie, à la morale de la nature, à la vie et à l’esthétique des abîmes. […] Or, ces deux éditions qui, à part les coupures de chapitres différentes, sont exactement les mêmes jusqu’au dernier tiers du 5e volume de Rozez, diffèrent totalement à partir de ce moment jusqu’à la fin. […] Il se piquait de bonne éducation, comme tous les seigneurs qu’on rencontre dans les casinos et qui ne plaisantent pas sur le chapitre de l’honneur. […] Néanmoins, fidèle à son titre, qu’il n’oublie pas, voici la phrase qui termine le chapitre XIV, l’avant-dernier.
Chronique stendhalienne ; Coffe et Cie, Milan [extrait] […] On trouvera, dans ce gros volume de 538 pages, les chapitres les plus curieux, les plus typiques de ses divers ouvrages […] Des Anecdotes italiennes, tirées de Rome, Naples et Florence, un des livres les moins connus de Stendhal, et peut-être le plus curieux au point de vue de ses idées sur la vie et sur les mœurs. […] Jean de Foville lui a consacré des chapitres très informés. […] Ce sont de jeunes obscurs, qui se révèlent à nous de temps en temps, par des lettres où frémit un talent déjà sûr, un talent de novateurs, exprimés en des épîtres, qui formeront un jour quelques chapitres de l’histoire de la nouvelle formation idéale méditerranéenne. […] […] Un chapitre sur les Amours Milanaises, où nous retrouvons l’étude de M. […] Dans un chapitre de ses Promenades philosophiques (2e série) consacré à la Science de Léonard de Vinci, M.
Rodocanachi, historien justement estimé et dont le bagage est déjà nombreux, ne s’est pas mis en peine d’écrire le livre qu’il était certes capable de nous donner ; il a préféré simplement disposer en bouts de chapitres sa documentation, présenter époque par époque, siècle par siècle, tout ce qu’il a pu recueillir d’intéressant ou de curieux sur le palais sénatorial, le palais des conservateurs, l’église de Santa-Maria Aracœli, le Mont Tarpéien ou Monte-Caprino, la reconstruction et la décoration des édifices, l’origine et la formation des musées capitolins. […] Dans la physiologie de l’amour, dont G. de Maupassant a, lui aussi, écrit de nombreux chapitres, un autre problème l’a visiblement préoccupé : la paternité, conséquence souvent involontaire ou volontairement négligée, et dont la responsabilité surgit un jour, fatale et impitoyable, parfois amusante, presque toujours tragique. […] Si l’on ne compte pas les chapitres plus ou moins importants consacrés à Innocent III dans les diverses histoires générales de l’Église, on peut dire qu’il y a pénurie d’ouvrages sur ce grand pape. […] Dans un chapitre supplémentaire, l’auteur fait un curieux tableau de la Curie romaine et des réformes qu’Innocent III sut y apporter.
Cette façon de donner en sommaire une citation de chaque chapitre m’a paru, malgré son aridité, plus propre qu’un discours coordonné à faire sentir la singularité de l’ouvrage, Je connais mal les huit in-8 de Rossetti, mais son titre seul indique qu’il a deviné en partie l’énigme dantesque.
Il se complaît dans la lecture de la Bible, qu’il trouve très intéressante et qu’il cite dans sa conversation avec tous les détails de la référence, comme lorsqu’il nous dit par exemple : Fuore di me, vous ne pouvez rien faire (saint Jean, chap.
» Ce livre n’a pas encore été écrit ; on attend toujours, entre maints amusants chapitres, celui qui s’appellerait : « les mariages manqués de Casanova » et dont on trouve dans le Passé vivant une séduisante esquisse.
Autre pensée de Léonard épinglée au premier chapitre : « On ne peut avoir de plus grande seigneurie que celle de soi-même ».
Il y a plus d’air dans le chapitre sur Sienne. […] Le caractère de ce souverain paraît avoir frappé M. de Reiset qui lui consacre plusieurs chapitres rétrospectifs, depuis les premières années du xixe siècle, où le fils orphelin de Charles-Emmanuel de Savoie-Carignan se trouvait à Genève dans la très modeste pension de M.
C’est l’œuvre d’un esprit paradoxal qui résume, en une vingtaine de chapitres, ses idées sur les types littéraires italiens et français. […] Or, ces deux éditions qui, à part les coupures de chapitres différentes avec des en-têtes de chapitres différents (on ne voit pas pourquoi), courent exactement les mêmes jusqu’au dernier tiers du 5e volume de Rozez, diffèrent totalement à partir de ce moment jusqu’à la fin, non seulement dans la rédaction, mais pour les faits et la conclusion des incidents dans lesquels apparaissent les personnages.
Mais les chœurs aussi ont voix au chapitre, car dans les grands moments de tumulte chacun se laisse aller à son exaltation personnelle, et crie ce que bon lui semble, en patois, oubliant le texte et les strictes convenances de la scène. […] Je dis alors à Pagello : « Brave jeune homme, — car cette louange, du moins personne ne vous la refuse, — brave jeune homme, il y a cependant, dans votre aventure avec Lélia, un chapitre qui serait de nature, il m’en faut convenir, à faire douter de votre esprit. […] Lavisse) sur les xie , xiie et xiiie siècles, où se détachent de si beaux chapitres sur Philippe-Auguste. […] Et puisque voilà notre homme, de par cette transition inattendue, sur le chapitre des femmes, il y reste et s’y étend avec complaisance.
On sait quelle importance Voltaire attribuait aux lettres, à la philosophie et aux beaux-arts dans le développement historique d’un peuple, dans le tableau général d’une époque ; il leur avait consacré, dans son Siècle de Louis XIV et dans son Essai sur les mœurs plusieurs chapitres spéciaux qui sont parmi les plus neufs et les plus personnels des deux livres.
La vision de Reggio et de Messine détruites, celle de la baie de Messine morte, des caravanes douloureuses, tragiques, désespérées, et de celles qui s’installaient sur la mort, tous ces chapitres parfaits, qui composent comme le grand poème fantastique (et précis) de la mort d’une ville, deviennent une sorte de livre fondamental de la ville nouvellement créée. […] J’ai rendu par des équivalents les expressions intraduisibles et coupé en chapitres ce récit qui, sous sa forme originale, ne présente ni blancs ni alinéas. […] C’est ainsi que, dans son chapitre : Casanova chez Voltaire, il nous prouve facilement que l’attitude et les paroles du philosophe durent être exactement rapportées par Casanova. […] Les chapitres consacrés à Giorgione et à ses successeurs, à Tiepolo, Canaletto, Guardi, Longhi et leurs contemporains, sont d’une documentation parfaite et d’une rare intelligence.
Il y avait là un des plus curieux chapitres de l’histoire diplomatique à écrire, et d’ailleurs, M. Welschinger, dans sa brochure de cent pages, paraît avoir écrit sur ce chapitre tout ce qu’on en peut écrire à ce jour.
Le volume s’achève sur un chapitre qui dans l’esprit de l’auteur donnerait un congé définitif à la Philosophie.
« Ma véritable intention, en écrivant mes canzones, différait de l’intention apparente : j’entends les éclaircir par une interprétation allégorique et raisonnée. » Est-il besoin de commenter ce premier chapitre ?
Maintenant j’étais en train de relire, pour la millième fois, les premiers chapitres de la Genèse, et vous comprenez bien pourquoi.
Il est difficile de rédiger de bons chapitres d’histoire littéraire, et qui pourrait nous empêcher de sourire à ouïr Verlaine dénommé « le chef de l’Ecole décadente ».
Son livre est à lire et il reste que plusieurs de ses chapitres se trouvent un véritable enchantement. […] En effet, dans son De voluptate, au chapitre An moriendum sit pro aliis, on trouve que la patrie n’est qu’un ensemble d’individus dont aucun ne doit vous être plus cher que vous-même et dont aucun n’a droit à votre mort. […] En 1544, il signe un contrat avec le chapitre de la cathédrale de Palestrina pour le service choral, l’enseignement des enfants de chœur et la tenue de l’orgue à Sant’Agapito.
. — Le texte présente un tableau d’ensemble de l’Italie de nos jours, — sans d’ailleurs insister sur les merveilles de l’industrie et les transformations modernes — et les descriptions sont coupées de chapitres spéciaux, par exemple sur les Étrusques, Pompéi, Syracuse, ou sur le Vésuve, l’Etna, sur la république de Saint-Marin ou l’État de Savoie, le Gouvernement, l’armée italienne, etc… Des études beaucoup plus complètes, abondantes d’indications et de faits, se rapportent aux trois grands centres de la péninsule : Venise, Florence et Rome, et valent hautement d’être lues. — M. […] Mais hâtons-nous d’ajouter qu’à défaut d’une vraie préface les cinq premiers chapitres du tome I peuvent, aux restrictions près indiquées ci-dessus, tenir lieu d’introduction. On pourra s’y renseigner, en y ajoutant le dernier chapitre du même tome et tout le tome II, sur la méthode de l’auteur.
Ce chapitre, le dernier, est dans le roman de M. […] Elle se dégage de l’ensemble, et non d’un chapitre en particulier.