La pagination, commençant à 99, donne à penser qu’il manquerait la première partie de ce voyage, comprenant dès lors les pages 1 à 98. La partie que nous donnons ici étant datée du 8 octobre 1811, de Naples, nous n’avons pas l’intervalle compris entre cette date d’arrivée à Naples et celle du départ de Milan, précisée dans le Journal, à la page 407, par cette phrase : “Je partis de Milan à 1 h. 1/2 le 22 septembre 1811.” Ce voyage a été imposé à Stendhal par la comtesse Simonetta, par prudence, après l’entrevue notée à la page 406 du Journal : “Le 21 septembre, à 11 h. 1/2, je remporte cette victoire si longtemps désirée.” […] « Le document que nous reproduisons ici comblera une lacune qui se trouve dans le Journal de Stendhal, à la page 410. […] Le récit du voyage suit pas à pas les cahiers 32 et 33 du journal de 1811, mais ici de nombreuses notes autographes de Stendhal, ajoutées en 1813, augmentent considérablement les 8 pages du texte de l’édition du Journal, et forment environ cinquante pages des plus intéressantes, tant au point de vue des observations du voyageur que de l’histoire de ses amours avec Mme Piétragrua, alors comtesse Simonetta.
Certaines de ces pages ont été imprimées dans Le Livre, en 1887. […] Nous y lisons (page 60) comment, le jour de Noël 1759, Casanova reçut, de Paris, une lettre dans laquelle Manon lui annonçait son mariage avec « M. […] « Ces lettres étaient au nombre de plus de deux cents et les plus courtes avaient quatre pages », dit-il. […] Pierre Dufay nous a communiqué une brochure de 140 pages dont il a surveillé la réimpression, entreprise par le Dr Guède. […] « C’était la copie exacte, page pour page et ligne pour ligne avec tous les signes accessoires dessinés dans la publication, d’un curieux ouvrage de l’aventurier, que M.
C’est un in-8° de 107 pages. […] Au VIe volume (il a 552 pages) il écrit à la page 484. […] Au VIIe volume (il a 563 pages), il écrit à la page 313. […] Le volume est près de finir, il n’y a plus que 100 pages de texte. […] Les autres volumes ont 552 pages, 563 pages ; le dernier volume n’a que 443 pages.
Ce sont là des pages de tout premier ordre, des pages de philosophie historique. […] Dans les pages sur l’Italie, M. […] Les pages somptueuses de Gabriele d’Annunzio m’ennuient encore plus que les oraisons funèbres de Bossuet. […] Mais quelle force, et quel mépris du convenu, révèlent ses moindres pages ! […] Il a consacré à formuler ce rêve les pages les plus fortes que je connaisse.
Il a ramassé, en 400 pages, la collection complète des singularités vénitiennes. […] J’y sens cependant plus de douleur que, tout étourdi des grelots de ce long carnaval secoués pendant quatre cents pages, M. […] Je cherche en vain cette scène aux dernières pages du livre. […] C’est qu’aussi, plein de verve, d’invention même, dans le rendu des nuances légères, spirituelles, tendres, lumineuses, délicieusement singulières, d’une civilisation de joie et de couleur enfermée dans une île, — avec une érudition minutieuse et savoureuse aidant, à chaque page, aux trouvailles de plume, — le style de ce livre ignore un peu trop (j’entends bien qu’il ne pouvait pas les constater au xviiie siècle) les grands côtés de l’histoire de Venise, la largeur, la gravité.
Comme le théâtre italien existe à peu près autant — et même moins — que le théâtre fuégien ou congolais, la Scena Illustrata publie des études sur le théâtre chez les anciens et les étrangers, des variétés, des pages de littérature, enfin de fort belles gravures sur bois. […] En une étude sur M. d’Annunzio, premières pages de Libri e Teatro, M. […] Si le récit de si peu d’événements emplit près de quatre cents pages, c’est que l’auteur avait à dire, en même temps, tout ce que lui suggérait d’idées adventices cette brève tragédie.
Mais, en général, une haleine de fièvre, de fièvre collective ou de fièvre individuelle, rend ardentes et même éloquentes quelques-unes des pages les plus récentes des jeunes prosateurs italiens. […] Angelo Conti, remplit les pages nombreuses, en étend la signification, leur donne une valeur d’enseignement que dépasse celle d’un simple document d’âme. […] Et il a dû souffrir de ses défaillances, pour s’acharner de la sorte contre elles, et pour exalter en quelque sorte à chaque page le courage de hautement les proclamer après les avoir reconnues chez soi-même ou chez autrui.
Anastasi absolument admirable ; chaleur, conviction, mouvement, il y a tout ce qui fait une page d’art puissant. […] Mais, pour créer des dessins où revécût le poème, des pages émouvantes et anagogiques, il eût fallu être un Dante du crayon. […] C’est l’unique page teintée de l’œuvre, mais, sans doute, le maître avait l’intention d’en enluminer plusieurs autres. […] Mais à partir de ce moment, les incidents se succèdent de telle sorte qu’il devient impossible de les noter en une seule page. […] À gauche de cette page, en bas et en haut, volent les aigles, très décoratifs, que Dante vit en songe.
C’est là, je crois, la seule remarque à faire sur ces nombreuses pages, où le poète, avec art, et souvent avec un étonnant artifice, mêle les éléments de la tragédie antique, de l’Ajax, à ceux de sa tragédie. […] Le Prélude, l’Intermezzo et l’Exode, « motifs pour une symphonie », sont parmi les pages les plus belles du poète. […] Mais il est certain qu’il est animé depuis longtemps de cette volonté de renaissance de la Tragédie qui passionne notre esprit méditerranéen, et que les lecteurs du Mercure ont connue dans les termes précis de sa réalisation à travers les fortes pages récentes de M.
Il y aurait à citer presque à chaque page ; le chap. […] Et certaines pages descriptives, où l’on retrouve le « paysage psychologique » de M. […] La biographie de Cola di Rienzo abonde en de semblables pages. […] Mais que de force, que de poésie suggestive, dans un si grand nombre de pages. […] On ne lira pas ces pages, en Italie, sans quelque frémissement.
Dans ces pages, il dit que le socialisme est une question sévère et terrifiante, et non pas un bibelot pour les vers éclopés. […] […] Le Convito, — c’est une nouvelle revue de grand luxe et de belle littérature que, sous la direction de M. d’Annunzio, publie à Rome l’éditeur Adolfo de Bosis ; elle paraîtra durant une seule année, en 12 fascicules de 80 pages gr. in-40, sur merveilleux vergé à la cuve timbré au sceau du Convito, et ornée de riches planches d’art. […] « Mais les Médicis — ajoute Dumas père — dorment en paix dans leurs tombeaux de marbre et de porphyre ; car ils ont plus fait pour la gloire du monde que n’avaient jamais fait avant eux, et que ne firent jamais depuis, ni princes, ni rois, ni empereurs. » (Les Médicis, édition Michel Lévy, pages 268 et 269.) […] Le seigneur traitait à sa table Dante Alighieri, homme très illustre alors, et qu’il vénérait à cause de son génie.” » (Une année à Florence, édition Michel Lévy, page 194.)
Il était curieux de rapprocher des articles de critique actuelle quelques pages des grands critiques d’un passé encore récent. […] Vous ne devez pas ignorer ce que contiennent ces pages. […] Nuit affreuse ; le roulis… etc. » Il y en a des pages de cette concision. […] Dantier sur le monastère fortifié du Mont-Cassin ; des pages intéressantes d’un M. […] Page 1 du tome II des Mémoires (édition Garnier), on lit : « Le général des galères ayant ordonné une revue générale à Gouyn… » Page 6, on lit… « Je m’arrachai de ses bras pour me rendre à Gouyn… » — L’enseigne Casanova était en garnison à Corfou ; il connaissait à merveille la ville et les environs ; l’infatigable M.
Rome était un sujet si vaste qu’il ne paraissait pas facile de le faire rentrer dans le cadre restreint d’un volume de 170 pages. […] Page 124, M. […] Page 95, nous trouvons cette expression anachronique : « le parti anticlérical ». […] Gauthiez d’avoir placé ses notes (il y en a 70 pages) à la fin du volume : il faut bien trouver quelque chose à reprendre. […] Voir, à ce propos, page 147, les conseils si caractéristiques de la belle-mère du connétable à Bourbon.
J’ai lu à la chambre Contrada, dei due Walls, 150 pages de Lanzi qui, au milieu de son bavardage critique, historique et timide, sent bien les arts en sa qualité d’italien. […] Pour ne pas tomber dans l’erreur de cet homme extraordinaire, je viens d’écrire 4 pages de phrases plates.
Il ne faut point chercher dans ces quatre cents pages des impressions originales. […] De belles pages : je ne croyais pas Mme Jolanda capable d’arriver si haut. […] Gramegna consacre quelques pages véhémentement enthousiastes à un Statuaire italien, Vincent Jerace. […] Pages de maîtres Charles Morice. […] Ernest Leroux, l’éditeur, a bien fait de réunir ces quelques pages où l’on peut trouver facilement un certain nombre de documents.
Une photographie occupe le milieu de la première page. […] En effet, elle remplit 40 grandes pages in-octavo composées en caractères très fins. C’est aussi à M. van Steenderen qu’on doit une notable « Chronologie biographique » et aussi une bibliographie de plus de 20 pages. […] Récemment, il réimprimait cette page exquise de la légende franciscaine ; Comment saint François, chemin faisant, expose au frère Léon en quoi consiste la joie parfaite. […] Welschinger, dans sa brochure de cent pages, paraît avoir écrit sur ce chapitre tout ce qu’on en peut écrire à ce jour.
Ferrero me semble contenir la somme de vérité qui donne du prix aux pages écrites. […] « Pages libres » (30 janvier). […] Le dieu Faunus resurgit dans ces pages, à la manière du dieu Pan. […] Un souffle des Fioretti, venu d’Assise, est très sensible dans les pages de Dom Bruno. […] À la première page s’y trouvait le compte-rendu de la quatrième conférence de M.
Alfred Loisy, quelques pages de M. […] Platane. » Les pages, publiées ici, occupent les feuillets 54 à 83. […] Mafarka se battant à côté de son frère Magamal, l’enragé, est une page fabuleusement saisissante. […] André Suarès, où il y a des pages capitales sur Mantoue. […] Le nombre de pages a été plus que doublé.
Aux dernières pages de son précédent volume, où il a donné toute son importance à la figure d’Antoine, M. […] (Voir là-dessus la note de la page 96.)
Le poète écrit enfin la page qui doit rester dans l’histoire littéraire de son pays. […] Seulement, dans les Odes la langue est toujours belle même si touffue, elle est neuve même si tordue dans un spasme de latinité, dans un effort de redevenir ce que la mère opulente fut, et le style n’a plus ce ton railleur qui souvent rendait de longues pages de vers semblables à de la polémique rythmée. […] Et lorsque Carducci constate : « la littérature italienne contemporaine n’est autre que la reproduction et la copie de la littérature française » et qu’il se plaint qu’on peut y remarquer çà et là quelques débris d’allemand, mais que l’italien généralement y manque ; nous constatons à notre tour que l’influence française en Italie dépasse l’influence d’un pays sur un autre, et, en dehors même de la puissance de l’esprit français, répond mystérieusement à une orientation merveilleuse de l’esprit méditerranéen, dont la prophétie, faite aujourd’hui dans ces pages, un jour ne semblera peut-être pas simplement paradoxale. […] Morello, un journaliste plus connu sous le pseudonyme de Rastignac, a fait représenter des pages de politique contemporaine dramatisée sous le titre : la Flotta degli Emigranti.
Dans les deux cents pages qui traitent de Verlaine, puis de Mallarmé, rien n’est oublié, dates, citations, références ; les jugements, toujours motivés, sont précis et sûrs ; les portraits, agréables et ressemblants. […] Ces quelques pages ne suffisent pas, certes, à décréter cet oratorio un chef-d’œuvre et à saluer en don Lorenzo Perosi un génie, mais elles autorisent toutes les espérances. […] Je suis loin d’affirmer qu’on ne puisse pas rencontrer des pages superbes, magistrales, dans ces tragédies ; mais le théâtre ne se fait pas avec des pages. […] De cette œuvre à laquelle Mallarmé travaillait depuis plusieurs années, on n’a malheureusement rien trouvé que des vers épars (à peine), des mots jetés sur des pages. […] Stuart Mill, qui a écrit des pages si belles et si amères sur la tyrannie de l’opinion qui réduit presque à néant toutes les prétendues libertés anglaises, aurait dû reconnaître en Amérique un certain esprit de tolérance.
Fogazzaro, n’arrive pas à créer une seule page littéraire qu’on puisse lire avec profit, sinon avec plaisir. […] Un grand souffle d’idéalisme passe dans ces pages. […] Et si tous les auteurs se donnaient la peine de couper eux-mêmes les pages de leurs œuvres ! […] Ce livre en fournira les preuves à chaque page. […] On lira encore de curieuses pages inédites de Stendhal sur Florence, Venise, Padoue.
Les critiques voient le jeune maître partout ; à travers les pages des autres, surtout. […] Enfin, je crois que je pourrais continuer de cette manière pendant trois ou quatre pages, et j’ai promis de ne pas discuter ; je me réserve de faire ailleurs et à mon aise maintes interrogations à M. […] Toutefois, il faut être juste : de belles pages marquent la carrière politique de Cavallotti. […] Il est d’ailleurs impossible que je tâche avec des adjectifs de montrer la beauté de ces pages et d’autres ; on ne raconte ni l’eurythmie, ni les détails d’une œuvre littéraire : il faut se borner à une constatation. […] Les meilleures pages de sa partition se rapportent à elle : la scène dernière du premier acte, où les deux amoureux « échangent leurs serments », et aussi le dénouement, la mort de Mimi qui passe doucement, dans un petit souffle.
Parsemées dans le plus inégal des chefs-d’œuvre, ces pages vivront autant que la musique elle-même. […] Autant qu’il le connaît, il aime ce pays ; et ses pages sont animées d’une belle chaleur latine, douce à mon cœur, si douce ! […] Elle ne compte pas moins de 1700 pages remplies d’idées, de faits et de classifications nouvelles. […] Il y a là-dessus une page prodigieuse dans la vie de Catherine. […] Cette page s’intitule : Les deux énergies.
Saint Jean, dans sa page maîtresse, a dit : « La vie est la lumière des hommes. » Mais il a eu la tête rompue par les arguties et les commentaires, il hait la scolastique pour sa stérilité. […] Julien venait de triompher dans la joute du 28 janvier 1475, tournoi chevaleresque qui, en face de l’austère église de Santa Croce, au son des tambours et des fifres, parmi les étendards de soie, les belles dames et les pages, célébrait la Ligue éphémère de Florence, de Sixte IV, de Milan, de Venise. […] Des générations entières se sont émues, s’émouvront, sur ses pages nombreuses, où tremble perpétuellement la petite larme que Hello dédaignait avec de si hauts arguments. […] C’en est un, vraiment, que ce portrait d’un patricien représenté à mi-jambes, tête nue, en armure noire richement damasquinée d’or, avec le collier de la Toison d’Or au cou, et à qui un jeune page tend son casque. […] De bonne pages sont encore consacrées à la mort de Léon XIII. […] Gabriel Faure : Heures d’Ombrie, E.
Remettre à une autre fois les notes critiques — et pathologiques — qui surgissent, comme une volée d’oiseaux noirs, d’entre les pages de ce livre : Les Chants de Maldoror 1, leur nombre et l’incohérence et leur groupement l’exige. […] Malgré ces restrictions, que me dicte la naïve sincérité, Don Chisciottino est un livre d’une jolie logique, — jusqu’à la pénultième page, — d’une fine observation.
Ce sont les pages les plus agréables à lire, et puisque la question Chiappini nous a valu ce tableau de la société du Palais-Royal, félicitons-nous qu’elle ait existé, quelque oiseuse qu’elle soit, d’autant qu’elle n’existe certainement plus après l’exposé péremptoire de M. […] Ces pages auront une saveur toute particulière.
Un très petit nombre d’hommes cultivés et affinés est capable de ressentir franchement la beauté des anciennes pages, écritures ou peintures. […] C’est une histoire mélancolique où il y a de jolies pages. […] Ojetti sur Fogazzaro sont à citer : « En chacune des pages de l’œuvre de Fogazzaro on sent la présence de l’auteur.
Ce qui s’est passé fin octobre sur l’Isonzo restera comme une des pages les plus curieuses, les plus émouvantes et les plus douloureuses de l’histoire de cette guerre et constitue avec la liquéfaction russe une dure leçon pour nous. […] Supprimées pour l’Étranger, en Italie, les petites annonces sont bien réduites chez nous depuis que les journaux ont moins de pages. […] Nous y gagnons des pages intéressantes et justes sur l’Italie du xviiie siècle, sa vie intellectuelle, son art, ses travaux d’érudition. […] Dans une jolie page Henry Bauër, son compagnon à la Nouvelle-Calédonie, donne une haute idée du caractère indomptable de celui qui fut Amilcare Cipriani. […] Marinetti, qui se tait depuis quelque temps, nous donne aussi, comme Govoni, les plus belles pages de son œuvre lyrique et une nouvelle collection des anciens manifestes futuristes.
Mais quelques-unes des pages les plus remarquables de son ouvrage sont celles qu’il consacre au Titien. […] Ce premier fascicule contient notamment, — outre l’exposition de ce programme, qui est elle-même une belle page de philosophie générale, — en français : une étude de M. […] Buquet sur les Morales récentes, et des pages de M.
Ceux qui ne se sont pas contentés de feuilleter les cinq mille pages des Mémoires ont certainement été récompensés d’une lecture attentive et patiente par de plus positives jouissances que la truculence du détail ou le charme réel du style. […] Aux Mémoires de Casanova, Pierre Louÿs a emprunté l’idée première du sujet, toute la série des subterfuges, des prétextes, des ruses imaginés par la fille pour refuser, après l’avoir promise sans cesse, l’étreinte définitive dont l’attente énervée tient en haleine le lecteur pendant plus de cent pages.
Ces trop brèves pages sont un complet et fort juste résumé de l’actuelle histoire littéraire, qui nous fera prendre patience jusqu’à l’apparition des Modernes Byzantins. […] Mais j’ai hâte d’arriver aux pages sur les œuvres et les auteurs dont je vous parlais en commençant. […] Sur ces pages de pierre, ainsi dégagées, l’art pieux des Images s’inscrivit avec le plus pur éclat Les portiques, où roulaient les tournoyantes et fumeuses bacchanales, s’ouvrirent sur l’azur limpide du Paradis.
Et de ce jour le Piémontais s’est senti récompensé de son infaillible foi en l’indivisibilité de l’Art, — d’avoir passé outre aux vulgaires sollicitations d’une tradition facile et vaine, — d’avoir aimé la vie et ses réalités pures au point d’assujettir tous ses dons et toutes ses habiletés à l’âpre, à l’intransigeante loi des valeurs, — ne consentant à s’affirmer que le jour où il se trouva révélé à lui-même devant une page de Baudelaire, qui se dresse, hautaine et méprisante, comme une provocation jetée à l’impuissante vanité des modeleurs : — « C’est en vain que le sculpteur s’efforce de se mettre à un point de vue unique. […] Il admire les livres d’Anatole France, surtout Thaïs, cette Tanagra parisienne ; les pages sincères de M. […] Ces pages excellentes sont illustrées des plus curieux dessins et croquis représentant le poète selon toutes les attitudes.
Page 289 de l’original in-8°, mais je n’ai pas le temps de rien observer par moi-même.
This idea should make me forlorn my time à Mocenigo but se (see four lines in the original page…)
J’ai écrit une lettre de 8 pages.
Dans ce moment, comme j’écrivais les dernières lignes de l’autre page, on est venu, en chantant, à ma porte d’entrée que je n’avais pas pensé à réouvrir après l’avoir fermée en présence de M.
» Je dicterais actuellement 5 à 6 pages bonnes pour moi, mais je suis ennuyé d’écrire.
Voltaire découvrait dans l’admiration débordante de Casanova la justification, nous dirions presque l’excuse d’une rétractation qui devait lui coûter, malgré tout : dans les pages du Dictionnaire philosophique qu’il consacre à l’Arioste comme un hommage éclatant, mais tardif, on sent à chaque ligne le souvenir de cette scène ; et il a soin de citer, comme l’un des morceaux essentiels du Roland, les stances qui lui avaient tiré des larmes. […] Le défaut de compréhension de l’âme italienne contemporaine, révélé par les 300 pages de ce livre, est partagé en quelque sorte par le petit volume sur Giosuè Carducci, que M.
Il propose en conséquence que 50 pensions viagères soient créées dans le but de permettre aux littérateurs en détresse, qui se seraient déjà signalés par la publication de quelques centaines de pages en prose ou en vers, de toucher la somme assez respectable de 6000 francs par an.
Il faut une belle confiance en soi pour oser traiter en soixante pages ce sujet qui semble vaste comme un monde, la Sculpture à Rome de l’Antiquité à la Renaissance. […] Ses romans, qui paraissent d’avance dans les feuilletons des journaux romains, ont ce seul défaut d’avoir quelques pages trop voulues, comme si la crainte de n’être pas assez et pas toujours intéressant avait hanté l’auteur. […] Et la pensée qui suivait la grande idée de l’éternité, qui évoquait les royaumes d’outre-tombe dans la pénombre des chapelles, tout d’un coup revient à la réalité : les visions prennent une forme visible… Et il écrit des pages pleines de parfums, de nuances, de caresses.
Le récit de cette entrevue, — car c’est véritablement une entrevue, — occupe une trentaine de pages dans le tome IV des Mémoires, et il mérite, tant par l’agrément de la mise en scène que par l’intérêt des propos échangés, de piquer la curiosité et de fixer l’attention. […] À plusieurs reprises, au cours de ce volume, l’historien nous conduit en Orient, par exemple quand il s’agit d’examiner le rôle de Gallus, le préfet d’Égypte, ou l’étudier (en de fort belles pages) l’hellénisme en Asie-Mineure.
Il écrit sur Beethoven des pages remarquables de synthèse et de lyrisme. […] Antine rouvrit le Livre, il feignait toujours de lire, et n’oubliait pas de tourner les pages. […] Le souvenir du grand agitateur génois a rempli des colonnes de journaux et des pages de revues. […] Il est des écrivains qui, seulement pour avoir écrit dans leur vie quelques pages remarquables, sont reconnus Maîtres, et dominent. […] Or, à la page 22 du tome II du petit Pétrarque qui m’a été gracieusement communiqué par M.
Le second acte notamment contient d’admirables pages parmi lesquelles le « rêve de Cassio », supérieurement chanté par Maurel.