La maison en tremble toute. […] Des paysans amènent à la maison tragique Lazaro blessé. […] Par haine contre Lazaro, elle s’est traînée dans la maison nuptiale. […] Il sentait que si Zio Pera n’avait pas été dans la maison, il y aurait pénétré pour y commettre un crime. […] Angizia di Fura domine réellement sur tous les hommes de la maison par sa luxure et par ses artifices occultes.
Il faut donc féliciter la maison Plon d’avoir mis à la portée de tout le monde, par une réédition portative, les deux volumes de l’excellente traduction de la Cultur im Zeitalter der Renaissance que M. […] Je signalerai volontiers comme la plus belle et la plus poignante composition du poète, l’évocation de Jacovella, la jeune femme de la Renaissance, qui joua du luth devant Raphaël, et que le poète aime et va chercher dans la petite maison, encore debout, de cette lointaine beauté. […] Bari Il y a en Italie quelques maisons d’éditions particulièrement consacrées à la savante vulgarisation des œuvres de culture générales. La maison Laterza, de Bari, fondée bien après celle de Hoepli, de Milan, de Bocca, de Turin, et de Sandron, de Palerme, est arrivée en peu d’années à s’affirmer digne de la plus grande reconnaissance de la part des intellectuels italiens aussi bien qu’étrangers. […] Lux éditeur, Rome. — La maison Ars Regia, de Milan, fait paraître la traduction italienne de l’œuvre si remarquable de W.
Il m’avait suffi de franchir le seuil de ma maison pour changer d’humeur. […] On eût dit que la vie avait abandonné cette maison. […] Posséder une maison montée et ne plus vivre au restaurant ! […] Elle leur indique la haute maison de l’anax son père. […] Ses habitants semblent travailler à l’intérieur des maisons.
Nous sortons de la maison de l’hermite à 4 1/2, nous faisons encore une lieue sur nos ânes ; et enfin entreprenons la grimpée la plus pénible que j’aie faite en ma vie. […] La plus belle vue du monde, probablement, est celle dont on jouit de la maison de l’hermite. […] Il me semble qu’aucun souverain n’a des maisons de campagne seulement comparables à celles du roi de Naples ; Portici, Castellamare, Caserta ; et Capo di Monte, où il est à la campagne avec une vue unique peut-être au monde, et à 15 minutes, je crois, du théâtre de San Carlo.
En échange, ils bénissent la maison de leur bienfaiteur. […] Sa maison est une des plus belles de Venise. […] Il commença par décorer sa maison, place San Silvestro. […] Sa maison était le centre des intrigues galantes. […] Mais la Maison d’Orléans, c’était la France.
C’est la cabale qui lui a donné son importance dans la maison de M. de Bragadin. […] Telle était la situation de l’aventurier dans la maison Bragadin lors de son arrestation. […] Le poète adolescent, perdu avec sa petite famille dans une campagne romagnole, vit une nuit s’arrêter dans la cour de la maison la voiture souillée de boue et de sang où gisait son père assassiné. […] Nous voici dans la ville elle-même, par des rues étroites et tortueuses, bordées de murs de clôture et de maisons n’ayant guère qu’une porte sur la voie publique. […] Montons de nouveau ; des ruelles qui grimpent, et toujours des maisons désertes, des terrasses effondrées, des murs croulants.
Il s’engagea, au petit bonheur, chez un certain Agostino Tassi, peintre, qui menait un train de grand seigneur et habitait une superbe maison, non loin de Monte Cavallo. […] — entretenait chez lui nombre de belles filles, d’un commerce facile, à l’aide desquelles il payait les gens de sa maison. […] Israël Sylvestre en a laissé une inoubliable estampe : devant les maisons aux façades uniformes, les charpenteries massives contre lesquelles se pressent les gens avides. […] Mais son idée favorite, sa plus… géniale idée est assurément celle d’envoyer aux petites maisons les gens qui dérangent la digestion paisible des hommes normaux. […] Du logis de la rue Fromenteau à la maison du marquis Mancini, la transition avait été brusque.
Ce fut alors une fièvre de démolition, de restauration et de construction ; le Forum fut bouleversé et l’on y rasa plus de deux cents maisons ; des églises, d’anciens édifices furent abattus pour permettre aux Romains de faire à l’empereur une entrée digne de lui. […] Toute sa vie est désormais bouleversée par ce simple événement : hanté par l’idée fixe de faire reconnaître son innocence, il perd le goût du travail, néglige sa maison et ses champs, et meurt à moitié fou, avec l’obsession délirante de son aventure qui le poursuit jusque dans son agonie. […] À l’époque du Connétable, la position de la maison de Bourbon dans la monarchie française rappelle assez celle de la maison d’Orléans, plus tard. […] C’est un guide, et l’on doit savoir gré à la maison Hachette, qui s’est fait une spécialité de ces publications pratiques, d’avoir cette fois choisi un auteur dont la compétence s’imposait et donné de ce volume une édition aussi heureusement comprise […] Il transforma la capitale en bâtissant des temples, en élevant des constructions nouvelles dans les vieux quartiers, en ouvrant à travers les îlots de maisons de larges percées, et en élevant sur les terrains qui avoisinaient le Tibre un quartier neuf avec des monuments magnifiques.
D’après ce que l’on m’a dit, il y en a peut-être dans quarante maisons. […] À cause de ma maison j’ai beaucoup de mal et de grandes dépenses comme tu le verras. […] J’en ai donné quelques-uns aux amis et le reste est pour la maison. […] Il faudra disposer les maisons de ville autrement que les propriétés de la campagne, où elles sont faites pour recevoir les récoltes. […] Gino Calza rappelle quelques usages des maisons de la Rome antique.
Il a vite gaspillé son argent, en Amérique, il a essayé de toutes les professions, sauf d’en choisir une, et il n’a appris qu’à aimer cette pauvre jeune femme avec qui il revient, pâle et avili, à la maison du père. […] On nous dit bien que le manuscrit des Mémoires a été acheté en 1820 par Frédéric Arnold Brockhaus à Leipzig, le fondateur de la maison. […] La guerre éclate, Rome est prise, l’unité italienne faite, — et François II, devenu duc de Castro, réduit les frais de sa maison et garde sa madone ; il la prête au South Kensington, où elle est exposée quelque temps. […] § Heureusement, voici que la Maison Treves de Milan vient de publier le Nerone. […] Le roi de Nirvanie, Othon III, appartient à celle élite de rois philosophes qui constituent un danger quotidien pour eux-mêmes, pour leur maison et pour le royaume qui est en leurs mains.
La maison des Atrides synthétisait la fureur insatisfaite et inapaisable d’un peuple conquérant, c’est-à-dire de tous les peuples qui ont une histoire. […] L’orgueil de tes maisons et de tes casinos. […] Mais on ignore généralement que l’acteur Novelli voulut, il y a quelques années, fonder à Rome une « Maison de Goldoni », quelque chose comme notre « Maison de Molière », et que, malgré un labeur ardent, il échoua dans son entreprise. […] Le lendemain du jour où il sera propriétaire d’une maison il la revendra. […] Malgré la peur des… on bâtit à Bologne, comme partout, beaucoup de maisons nouvelles.
Dès cette Iphigénie, pour lui plaire, il s’est plié du mieux qu’il put aux habitudes de la maison. […] Le drame s’est déroulé dans une maison de santé, à Rome. […] Même, la maison qu’elle habite se trouve-t-elle à l’extrémité de la ville, près du taudis réservé aux représentations de la troupe française. […] C’est là que j’use surtout de la liberté mélancolique d’errer, de parler, de pleurer, le long de ces rues désertes, de ces maisons inconnues, de ces églises hospitalières où je me précipite comme si j’entrais par une porte dérobée dans la maison de mon père. […] Il mourut dans sa maison de la paroisse Saint-Pantalon le 8 mai 1785, après une courte maladie, ainsi que cela résulte des documents publiés par M.
Moi et toi, Don Juan, nous sommes les héros de la diversité et de la mutabilité, et les dévots de la maison unique et de la femme unique ont voulu nous cracher à la face leur mépris. […] Deux images dans un bassin I Uniquement afin de revoir mon visage dans un bassin mort, plein de feuilles mortes, au fond d’un jardin stérile, pour cela seulement, alors, je m’arrêtai après tant d’années dans la petite capitale. — Quand j’en fus tout près, je ne pensais pas avoir d’autre maison que celle-là. […] Je me l’appelais aussi la maison où j’habitais pendant les années de mon noviciat scientifique. Mes fenêtres ne donnaient pas sur la place, mais sur un grand jardin enfermé entre les maisons, où il y avait, dans un coin, un bassin ceint de rochers artificiels. […] Enfin le cinquième jour, voyant que je ne pouvais me délivrer de sa surveillance jalouse, je pensai qu’il me restait encore un moyen, et je sortis résolument de la maison, suivi de son ombre lamentable.
Les maisons sont en briques et fort hautes, les rues très étroites. […] Son père vit avec une servante de la maison, ce qui fait le malheur de L.
Les nombreux enfants de sa sœur remplissaient sa maison. […] Leurs maisons étaient voisines. […] Regardez la Ca d’Oro, maison d’aubépine. […] L’esprit de Dante animait toute la maison des Rossetti. […] La Maison de Vie, c’est, à proprement parler, la Maison d’Amour.
Les pauvres gens ne devaient pas jeter des regards furtifs par des portes entrebâillées dans la maison des riches pour connaître leurs fêtes. […] Aujourd’hui encore les Italiens vivent plus dans la rue que dans les maisons ; ils préfèrent, pour traiter les affaires, l’air libre aux locaux fermés. […] Les femmes seules restaient à la maison. […] Tandis que les maisons de commerce participent à la souscription nationale, les hommes de lettres n’auront-ils aucune initiative ? […] Au moment d’entrer dans sa maison, il se rappela qu’il n’avait pas ses pantoufles et il revint sur ses pas.
Germano et connue sous le nom de Maison des Martyrs […]. […] Avant, il court de ville en ville, de Maison en Maison, peignant ici, portraicturant là, se gîtant au hasard des guerres et des émois sanglants, au coin sûr où il pense ne recevoir trop de horions, se domestiquant avec cette passivité curieuse du temps, et rejetant son idéal, son rêve, bien au-delà des communes barrières. […] Piero Antonio, son père, était d’une famille noble de Florence, les Vinci du Val d’Arno, et Léonard, délicatement élevé parmi les vrais descendants de cette maison, était l’enfant d’amour de sa jeunesse, doué d’une nature ardente et puissante, comme il arrive souvent en pareil cas. […] Présente dès l’origine sous une forme immatérielle dans l’esprit de Léonard, tracée faiblement dans les dessins de Verrocchio, elle se retrouve enfin dans la maison d’Il Giocondo. […] La place, les fenêtres des maisons, les toits mêmes étaient noirs de monde.
À la maison ; la guerre est finie, n’est-ce pas ? […] Les deux maisons rivalisèrent, et cette lutte était favorisée par la grande liberté dont on jouit dans le grand-duché de Toscane de 1848 à 1859. […] À la maison ». Or quiconque possède les premiers éléments de la langue italienne sait que : aller à la maison se dit andare a casa et jamais alla casa. […] L’harmonie de l’ensemble est le produit d’une identité de caractères plutôt que d’un accord préétabli ; comme les plus grandes cités d’Angleterre se sont formées peu à peu, maison par maison, et non selon un plan déterminé ou une vision d’art convenue, mais pour économiser le terrain ou par la loi d’une orientation commune.
En Angleterre elle brûle la maison et les manuscrits de Harvey ; en France, elle abat la tête de Lavoisier. […] Le poète vit avec sa femme Olga et une jeune fille, née d’un mariage antécédent, et il ignore profondément ce que tous les littérateurs habitués de sa maison savent par expérience. Une nuit qu’il revient à l’improviste chez lui, il trouve dans sa maison un de ces jeunes hommes de lettres ; il le questionne, et l’écrivain lui répond qu’il se trouve là pour un rendez-vous non avec la femme du grand poète, mais avec sa fille. […] D’Annunzio : Le Laudi À la même maison Treves ont paru Le Laudi de Gabriele d’Annunzio. […] Ces douze volumes sont uniformes et furent en réalité tous imprimés pour la maison Brockhaus.
Bari Une maison éditoriale italienne, surgie depuis quelques années, s’est affirmée et s’affirme de plus en plus comme une des plus importantes d’Europe. C’est la maison Laterza, de Bari.
Mais, Wellseley, vous allez priver ma maison de vous, de Lowsky, de Morga et de cet immortel ouvrage ! […] Aurora marchait vite, et s’arrêta devant une maison dont des glycines et des lierres drapaient la façade. […] Elle va et vient dans la maison, folle à tout jamais ! […] comment avez-vous pu pénétrer dans cette maison ? […] Eugène Montfort fit à la Maison du Peuple, sur la « Chanson de Naples ».
« Voltaire tenait sa maison on ne peut pas plus noblement, — écrit-il dès sa seconde visite ; — et l’on faisait bonne chère chez le poète ; circonstance fort rare chez ses confrères en Apollon, qui ne sont pas tous comme lui des favoris de Plutus. […] Si le caractère même de Casanova et la nature de ses propos ne suffisent pas à expliquer la froideur ou la malveillance relative de l’accueil qui lui fut fait, il n’est pas inutile de rappeler que l’état de santé de Voltaire, entre 1760 et 1766, lui rendait fort pénible la nécessité où il s’était vu d’ouvrir sa maison à tous les passants que l’admiration ou la simple curiosité y attiraient. […] Les maisons d’automobiles accentuent ou excitent le réveil de la conscience artistique nationale, paraît-il.
Cette fille, baptisée Marie-Stella Chiappini et devenue lady Newborough, aurait découvert le faux, et elle prétendit effectivement, — munie d’un jugement qui mentionnait bien le fait d’une substitution d’enfants, lequel semble avéré, mais sans nommer le moins du monde le duc de Chartres (et pour cause) comme le complice de Chiappini dans cette substitution, — elle prétendit, disons-nous, prendre, dans la maison d’Orléans, le rang que Louis-Philippe, vulgaire Chiappini (!) […] Maurice Vitrac, avaient de bonnes raisons de douter que Naundorff fût Louis XVII, n’était-il pas de bonne guerre que le parti Naundorffiste s’efforçât d’établir que Louis-Philippe, étant né d’un geôlier italien, les prétentions de la Maison d’Orléans à la couronne de France étaient ridicules ?
La Maison éditrice Galli de Milan vient de publier sa Vita e Scritti di Roberto Hamerling e la sua tragedia tradotta : Danton e Robespierre. […] (Domenico Oliva : Robespierre, drame en cinq actes ; Milan, maison Galli, édit.) […] Alessandro D’Ancona, dont la maison éditrice Treves de Milan, en continuant ses traditions de bon goût, vient de publier un volume qui a pour titre ce nom cher aux italiens : Federico Confalonieri.
Tandis que La Verdure et la comtesse se dirigeaient vers ta maison, il s’attardait à cueillir et à examiner des insectes. […] Le résultat de toutes ces circonstances mal calculées c’est que le public impartial n’a pas pu prononcer un jugement définitif et il attend, pour ce qui est des beautés poétiques et littéraires, d’avoir sous les yeux la Tragédie, qui paraîtra, comme d’habitude, à la Maison Treves, de Milan. […] Ce volume de la Maison Zanichelli de Bologne, qui présente toutes les poésies de Carducci depuis 1830 jusqu’à 1900, vient d’avoir un accueil d’enthousiasme qui réchauffe les âmes : cinquante ans d’art, de batailles, d’amours, de douleurs, passent sous nos yeux en ces quelques milliers de pages. […] Henri Eustache, c’est l’État actuel et restauration de la Voie Sacrée à Rome, montrant en diverses planches l’état des fouilles en 1896 et sur la reconstitution, les monuments triomphaux et les boutiques des orfèvres, la maison et le sanctuaire des Vestales, le temple de Castor et Pollux, le Forum, la Basilique Julia et l’arc de Septime-Sévère. — M. […] Autres revues À son tour, la maison Treves, de Milan, lance une revue mensuelle, Il Secolo XX, qui fait valoir dès à présent la collaboration assidue de Gabriel d’Annunzio.
Le vent glacé éparpillait ses paroles, mais des lambeaux de phrases arrivaient à mes oreilles ; — Regardez… maisons détruites par les Belges ! […] Les premières lumières apparaissaient dans les maisons demeurées intactes. […] Au pont della Zilla les femmes se sont enfuies de leurs maisons en chemise, en serrant sur leur poitrine leurs enfants en pleurs. […] On ne sait où les caser ; il n’y a pas de travail ; tous ces gens chassés de leur maison après que tous leurs plus chers sont partis pour la guerre, vieillards, femmes et enfants sans refuge, souffrant la faim. […] Quoi que disent, ou que fassent, les sociaux-démocrates allemands et austro-allemands — exception faite d’une véritable révolution qui remettrait leur maison à neuf, et serait leur seule ancre de salut — ils sont et seront éternellement condamnés par l’humaine justice, par les honnêtes gens de l’univers entier, comme les auteurs de la plus horrible, vile, basse félonie de peuples que connaisse l’Histoire, et ce ne sera que raison que leurs actes ne puissent rien réparer, et ne puissent être interprétés que comme une continuation de leur hypocrite perfidie !
On sait que les 3/4 des maisons vivent de minestra verde et de macaronni et tiranno la carozza codenti.
Il y a à Berlin une rue plus droite et même plus large : c’est, je crois, Frederik-Gasse ; mais les maisons sont trop peu élevées et on n’y voit pas la centième partie de la population qui s’agite dans Tolède.
Tout leur avoir se réduit à une chemise et à un caleçon de toile et quand ils n’ont ni maison ni lit, ils couchent sur les bancs qui bordent les rues.
On en trouve dans chaque maison et quelques-uns méritent l’attention d’un homme de goût.
Il est d’usage qu’une femme qui est accouchée tienne pendant quelque temps maison ouverte : c’est-à-dire que beaucoup de gens viennent la voir et qu’elle leur fait distribuer des glaces. — Un usage qui a survécu au bouleversement amené par les rois français est celui qu’a la noblesse de promener un carrosse une heure avant le coucher du soleil sur le rivage de Chiaga et de Margelina.
jusqu’à sa nouvelle maison.
Ribot, à la Philosophique, il me dit : « En redescendant, regardez donc l’étalage de la maison. » Je regardai et je lus sur les livres exposés : Éliphas Lévi, Dogme et rituel de la haute magie, la Clef des grands mystères, la Science des Esprits ; Du Potet, la Magie dévoilée, ou principe de science occulte ; Cahagnet, Sanctuaire du spiritualisme ; et ces mots alléchants : Bibliothèque diabolique.
Mais avec les paralipomènes, que la maison Treves vient de publier, l’auteur continue ses causeries philosophiques sur le sentiment immortel, sans trop d’histoire naturelle comparative, M. […] Il s’est promené souvent dans le petit jardin de la maison la rue Contrada del Monte, devant la Madone à fresque dont Santi avait décoré le mur, dans cet enclos, fleuri d’oliviers, de pampres et de roses, dont la terrasse basse dominait la ville, d’où on voyait la campagne, blonde de blés mûrissants, les crêtes aiguës et dentelées des derniers Apennins, tout au loin, sous le ciel léger, un pan de mer profonde, — petit jardin symbolique où, bien peu d’années après, Raphaël enfant devait jouer. […] Ces choses émouvantes qui caractérisent la maison ancestrale et que Du Bellay chante si joliment : Plus me plaist le séjour qu’ont basty mes ayeux Que des palais romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaist l’ardoise fine. […] De ces maisons royales qui l’entourent ?
Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907, p. 766-768 [767] La maison Brockhaus, de Leipzig, s’est enfin décidée à publier intégralement le texte original des Mémoires de Casanova.
Hier encore, avant que la fortune d’un prix boréal ne fût tombée dans la « fosca turrita Bologna », où est la maison du vieillard glorieux, Carducci, d’un de ses gestes de suprême dédain auxquels l’Italie officielle ou quasi officielle est habituée depuis de très longues années, avait refusé la proposition d’une souscription nationale pour la publication intégrale de ses œuvres, dont les bénéfices lui auraient été dévolus. « Je n’accepte aucune aumône, même si elle me vient de la Patrie ! […] La reine Marguerite a acheté aussi la Maison du Poète, à Bologne.
Mais ni la catastrophe de la maison de ses aïeux, ni celle de son amour, ni celle de sa réputation attaquée pendant un moment de sa vie avec une terrible violence, ne peuvent ébranler sa volonté, ni détourner ses regards du point terminus de ses aspirations.
Cipolla narre la vie et l’œuvre d’un poète populaire, le curé don Pietro Zenari, connu sous le pseudonyme de Mario Zocaro, dont la maison Franchini, de Vérone, vient de publier les Poesie scelte. […] Mais toi, prie le Seigneur, et il guérira tes péchés et ceux de toute ta maison et ceux de tous les saints.
Dans cette ville, et précisément dans cette maison, il retrouvait le souvenir d’une des liaisons les plus pathétiques de sa carrière amoureuse. C’est là que, treize ans auparavant, il s’était séparé pour toujours de cette Henriette qu’il avait aimée avec toute la fougue dont il était coutumier, avec toute la constance dont il se croyait capable ; il l’avait rencontrée déguisée en officier de fantaisie en compagnie d’un capitaine hongrois et n’avait eu aucune peine à la deviner femme sous son travesti ; de longs mois, il vécut avec elle à Parme, se faisant appeler M. de Farusi, jusqu’au jour où Henriette fit la rencontre d’un de ses compatriotes, M. d’Antoine, qui la cherchait pour la ramener à sa famille, car elle était fille de grande maison et seul un coup de tête l’avait pu engager dans cette aventure extravagante de courir le monde, en habits de carnaval.
Avant de quitter Venise, il avait eu d’ailleurs une vie assez mouvementée ; en 1467, il avait été condamné à deux mois de prison et deux cents livres d’amende pour avoir enlevé Tarsia, femme de Francesco Cortese, et l’avoir tenue cachée plusieurs mois dans sa maison.
Une banque allemande à enseigne italienne, avec très peu de capitaux, mais avec une direction habile et sans scrupules, aide avec son crédit de bonnes entreprises industrielles, en encourage de nouvelles, et leur impose outils et machines allemandes ; elle appelle des filiales de maisons allemandes en les affublant d’un nom italien ; elle place partout des directeurs, des administrateurs, des chefs techniques et des contremaîtres allemands ; elle s’empare, au moyen de systèmes ingénieux et variés, des principales activités industrielles et commerciales italiennes organisées sous forme de sociétés anonymes. […] Zuccoli et Pirandello et Mmes Serao et Deledda ont mis dans le commerce de nouveaux livres que le public ne s’arrache pas, mais qui font tout de même leur petit bonhomme de chemin parmi la clientèle affectionnée de la Maison Treves Frères. […] Et il annonce que « les sportsmen sont les premiers catéchumènes de cette religion dont le résultat prochainement attendu sera la destruction des maisons et des cités remplacées par des rendez-vous d’automobiles et d’aéroplanes ». […] S’ils sentent un besoin impérieux de piété, les Français qui se souviennent de Pasteur et pas mal d’Italiens trouveront plus simple, plus sérieux, sinon plus profitable d’aller, sans négliger les études scientifiques sérieuses, s’agenouiller dans un sanctuaire, Sacré-Cœur, Lourdes ou Sainte maison de Lorette, que de marier la religion avec la science dans le cabinet d’une voyante.
Le directeur de la maison, Louis Gallet, bienveillant aux intellectuels, le met à même de poursuivre ses travaux.