Paris, Isidore Liseux, 5, rue Scribe. […] Ne pouvant conquérir chez eux un large public homogène, les écrivains italiens songent à l’Europe : ils écrivent pour Paris. […] À Paris, 17, rue Guénégaud. […] Vie de Saint François d’Assise, Paris, librairie Fischbacher, 1894, in-8. […] [NdE] Hugues Rebell, La Nichina : mémoires inédits de Lorenzo Vendramin, Paris, Société du Mercure de France, 1897.
» Voilà ce qui diminue tous les artistes, à Paris, il faut être doublement Michel-Ange à Paris pour égaler l’auteur de Moïse. […] De la froideur et l’insignifiance des jeunes gens à Paris. […] Me faire prêter à Paris les ouvrages de Cesarotti, Monti, Foscolo (l’auteur des lettres d’Ortiz) ; lire leurs préfaces et notes.
Il le fit précéder d’une renommée toute faite, et lorsque Goldoni vint à Paris, en 1761, et se fixa en France pour y cueillir des lauriers moins amers que ceux dont son ingrate patrie récompensait sa verve, il y trouva des esprits capables de le goûter et disposés à l’applaudir. […] En effet, et quoiqu’on ne puisse pas parler de « succès » de la Comédie Française pendant la dernière saison, car elle n’en eut point, il est certain que les entrepreneurs italiens de spectacles me semblent vraiment guetter à Paris la mise en vente des pièces les plus superficielles, sinon les plus grossières, du boulevard, pour les transporter au-delà des Alpes, où elles se présentent habillées de parisianisme afin d’établir un degré égal de corruption systématique du goût, entre Paris et ses colonies intellectuelles. […] Elle contient l’exaltation lyrique de la mer, du mare nostrum, de notre berceau de lumière vers lequel convergent, en effort idéal, les aspirations les plus nobles de notre jeunesse, qui de Paris crée avec ardeur sa fédération intellectuelle méditerranéenne pour reprendre sa conscience millénaire de domination, et résister au nom de cette nouvelle conscience aux impositions présentes du Nord, et à celles immanentes de l’Orient, slave ou mongol. […] Bientôt son drame moderne Maria Salvestri sera représenté en français, à Bruxelles et à Paris. […] Paris.
Pour cela, j’appelle Paris la ville-synthèse. […] Tout ce qui ne veut pas être vexé par… vient à Paris. […] Paris — A. […] Capelli, Champion, Paris. […] Il a manqué à Carducci, pour que Paris lui fasse fête, de venir, comme tant d’autres, parader devant Paris.
Il y évoluait un monde charmant, et que je retrouvais, ensuite, à Londres ou à Paris. […] Il avait gaspillé une maigre fortune, et donnait à Paris, pour vivre, des leçons de piano. […] Depuis quatre jours Théodore est à Paris, à Londres ou à Rome, Je suis avec Tebaldo. […] Charpentier, éditeur ; Paris, 1881. […] Chastellux, Paris, 1773), p. 120, note 1.
Au même moment un de ses amis, ingénieur à Paris, le prie de lui envoyer quelques pièces qu’il essaiera de placer. […] Sur ce nouvel argent, quelques dettes payées, Rosso prélève vingt-huit francs, obtient un permis d’aller et retour et vient à Paris. […] Il rêvait de Paris : il y est. […] L’Exposition Universelle de 1889 appelle enfin Rosso à Paris. […] On respire à Paris une étrange atmosphère, on ne s’y sent pas seul à lutter, à chercher, parmi les cohues routinières.
. — Vous croyez donc que Paris ait été indifférent ? […] Aucun organisme, à Paris, ne répond à cette nécessité. […] Adolphe Paupe (Paris, Dujarric, 1904, gr. in-18) n’en fait pas mention. […] George, dès votre arrivée à Paris, semble vous avoir rejeté comme un citron pressé. […] Ce souverain, homme d’affaires consommé, a vendu directement à un grand marchand de Paris, M.
Son corps est à Rome, tandis que son cerveau vit à Paris, et il voit tout, les hommes, les passions et la société, selon le dernier mot de la vie parisienne. […] Ce ténor polonais, retour d’Amérique, décidant chez des princesses de chanter à Paris l’ours d’un croque-notes italien, copain d’un empereur allemand, tout cela n’est pas clair. […] Le voyage à Paris est révoqué en doute. […] Nous y lisons (page 60) comment, le jour de Noël 1759, Casanova reçut, de Paris, une lettre dans laquelle Manon lui annonçait son mariage avec « M. […] On la trouve à Paris à la librairie Thomas, 6, place de la Sorbonne.
Londres et Paris devaient entrer dans tous ses discours ; Londres et Paris étaient la loi de sa vie, de son habillement et de ses études, autant dire, en un mot, de ses niaiseries. ». […] Ils ont trouvé des guides à Paris, mais ils y ont ajouté beaucoup, qui vient d’eux-mêmes, avec beaucoup de fougue et d’éclat. […] Il faut qu’il file ou se brûle la cervelle ; il choisit le premier parti et confie sa maîtresse à Casanova, qui l’amène à Paris. […] Elle représentait pour eux ce que représentait la Bastille pour le peuple de Paris. […] Paris, 3 avril 1912.
Aussi ces détails peuvent être faux, mais enfin c’est de la fausseté prise à la source et qui doit encore plus ressembler à la nature que ce qu’impriment à Paris des gens qui n’ont jamais vu le soleil de Naples réfléchi dans cette mer charmante. […] On est vêtu à Naples comme à Paris.
Si, lors de votre premier séjour à Paris, vous n’auriez pas fait une petite apparition en Angleterre, dont vous n’avez jamais parlé ? […] Paris, Nilsson ; in-4, 172 p., av. 169 fig.et 42 planches ; 15 fr.) […] Comme celui de Paris, le livre de Londres semble avoir appartenu, après la mort du peintre, à son fils Gentile. […] Celos : Le Pain brié, in-18, ill., Paris, H. Jouve éd. ; Le Pain brié en Vénétie, in-18, ill., Paris, Jouve et Cie, éd.
Piérard, qui nous répond : Paris, le 17 février 1918. […] Orlando est allé en février à Paris et à Londres résoudre les questions les plus urgentes pour l’avenir de l’Italie, il s’est fait accompagner de M. […] L’action se passe donc en 1853 : aux deux premiers actes, dans un village hollandais ; au troisième, à Paris. […] Que va-t-il faire : retourner à Paris, où l’attendent ses amis, ou continuer la délicieuse idylle de Hollande ? […] Cette sculpture fut admirée à Paris en 1873.
[…] La Revue de Paris (1er décembre). — Les deux premiers actes de la « Francesca da Rimini », de M. […] La tyrannie de l’usage populaire de Paris comme celle de la bonne société lui semblaient également intolérables. […] La Revue de Paris : un inédit de Stendhal La Revue de Paris (1er janvier) publie des fragments d’un Journal d’Italie de Stendhal, jusqu’alors inédit, et qui va bientôt paraître, par les soins de M. […] Marinetti a traduit lui-même en italien son volume Destruction, paru à Paris en 1904. […] Je l’ai en quelque sorte appris, moi en venant à Paris, la ville lumière.
Dans sa thèse doctorale : De Henrico Beyle sive Stendhal litterarum germanicarum judice (Paris, 1899, in-8°), M. […] On en fut ému, à Paris. […] Venu d’Italie à Paris, il projeta de monter par actions un théâtre. […] […] Ce que doit la France à l’Italie dans la Littérature, par Umberto Maspes (Paris, 1909). […] Paris, Fayard, 1909.
Ce qui est certain, c’est que Claude de Ruet, fraîchement arrivé de Paris où il avait fait fortune, lui confia les motifs d’architecture de sa décoration de sa voûte des Minimes. […] On bâtit tout un quartier, à Amsterdam, en cubes de nougat, en maisons de cet affreux torchis pistache dont on peut voir les bois de Garches, la Malmaison, tous les environs de Paris, déshonorés… M. […] L’incertitude, l’indécision qui le hantaient à Paris vont s’accroître, la poussière de la route secouée. […] Il ne peut envoyer les études des nouveaux pensionnaires qu’au commencement de l’année nouvelle ; il leur a fait déjà recommencer celles qu’il pensait pouvoir adresser à Paris. […] C’est si différent de Paris et de sa fièvre !
Qu’on se figure la ville de Munich tout entière enfoncée dans Paris comme un bloc immense englobant quatre arrondissements. […] Paris, 1830. […] Paris, 1833-1837, 10 vol. in-8, chez Paulin. […] Paris, 1843. […] Deux Bohèmes italiennes sont actuellement dans leurs meubles à Paris.
L’étude intitulé « Quantité et Qualité » (qui est une conférence faite, en novembre 1913, à Paris) contient l’idée-maîtresse qui est au fond de tout ce qu’a écrit M. […] Bonnefon-Craponne (Pierre Roger, édit., Paris). […] L’opérette italienne aura un théâtre à soi, à Paris. […] La place de l’Opéra à Paris. […] Peintre tout d’abord, il montra ses ouvrages dans cette exposition annoncée à grand tapage qui eut lieu chez Bernheim, à Paris.
Car c’est bien ce que nos voisins ont qualifié « die franzœsiche Oper », de quoi Calzabigi lui fournit la recette ; que celui-ci l’ait trouvée de soi-même, ou rapportée d’un séjour à Paris, comme un contemporain l’assure. […] Tandis qu’en France un auteur dramatique n’écrit d’abord que pour un public, celui de Paris, et même pour une fraction de ce public, puisque chaque théâtre à sa clientèle, souvent très différente de la clientèle voisine, il faut en Italie plaire à la fois ou successivement au public des cinq ou six grands théâtres répandus dans toute la péninsule. […] Où est-elle, cette capitale de la pensée, du verbe, de la poésie, de l’art qu’est Paris chez vous ? […] À l’époque même où il écrivait ces vers, un autre écrivain, rendu célèbre par un poème qui lui valait un procès pour atteinte aux bonnes mœurs, une truculente justification de Flaubert et la curiosité sympathique du public, menait à Paris une existence de « faune dans les grands bois », avec une fougue qui pouvait faire prévoir le caractère brutal de ses premières œuvres, débordantes de santé et de vie. […] C’est ainsi que pense le Prix de Rome auquel on reproche de penser à Paris.
Il nous a donné l’apothéose d’un Paris transfiguré et glorifié, saisi, au coucher du soleil, à l’heure de cette lente invasion des rues et des places par la lumière lunaire des lampes électriques, — de la frénétique fièvre du plaisir. […] Paris aura ses « lectures de Dante », à l’école des Hautes Études sociales, où M. […] En tous cas, ces comités italo-français, qui semblent se charger de fournir à Paris un surplus de mauvaises statues, dont Paris n’a vraiment pas besoin, ont commémoré à leur manière celui qu’on appelle le dernier grand poète italien, et entre deux musiques militaires et une dizaine de discours, Mlle Cæcilia Vellini a noblement dit les trop pathétiques sonnets de Ça ira, vigoureusement traduits par M. […] Paris s’intéresse aux manifestations de la vie italienne. […] Pilon : « Le Sourire de Paris : les Fenêtres fleuries. » Échos.
Lui est un débutant, un inconnu dans le monde de la musique, et grande dut être la stupéfaction des membres du jury au concours de la Ville de Paris lorsqu’ils surent que le lauréat auquel ils venaient, si judicieusement, d’accorder une mention était élève de lui-même, et ne se réclamait d’aucun maître, d’aucune école, d’aucune chapelle ou sacristie musicales ! […] En effet, cette idée hardie d’exposer en quatre actes les points culminants de la vie du grand Polonais (Pologne, 1826, Paris, 1837, Majorque, 1839, Paris, 1849) ne pouvait trouver en Angiolo Orvieto qu’un exécuteur plein de finesse et de tact. […] Ojetti un correspondant parisien hors ligne, et voilà l’auteur de Il Vecchio presque toujours à Paris, où il se plaît à interwiever M. […] […] La Revue de Paris (15 juillet). […] Un drame de M. […] Une galerie d’œuvres admirables va être dispersée ou, tout au moins, définitivement séquestrée sans que Paris ait eu le moyen d’en jouir.
», s’écriait-il en quittant Paris en 1837. […] Perrin, en 1863, eut l’idée de reprendre les Vêpres siciliennes et pria Verdi, de passage à Paris, de surveiller quelques répétitions. […] À 16 ans, après un amour malheureux, elle s’enfuit à Paris ; M. […] Un riche Irlandais, de passage à Paris, admira cette robe couverte de magnifiques broderies ; il demanda à voir l’artiste et, séduit, il ne tarda pas à l’épouser. […] Les journaux annoncent que le général Fayolle, nommé commandant en chef des armées françaises en Italie, a quitté Paris le 19 pour remplir sa mission.
§ Elle était connue, à ce moment de sa vie, sous le nom de la Charpillon, qu’elle avait rendu illustre à Paris, à Londres et dans toute l’Europe galante par l’éclat de sa beauté et de ses aventures. […] C’était à Paris ; Casanova se trouvait dans une boutique d’orfèvre en compagnie de sa maîtresse en exercice, la belle Baret, à qui il achetait mille colifichets.
Le coup tiré sur Paris se répercute donc aussitôt à des milliers de lieues loin de Paris. […] À propos de ce dernier, il a tort de nommer un arrangeur de spectacles dont on ne doit parler que dans les comptes rendus des tribunaux, mais il a raison de signaler la concordance entre les efforts des George Ancey, des Pierre Wolf, de Paris, et des Hauptmann, des Sundermann, de Berlin.
À Munich, à Paris, à Bruxelles, à Amsterdam, à Cologne, à Bonn, à Stuttgart, à Zurich, à Berne, il est l’homme à la mode, celui que se disputent certains salons, auxquels un peu de scandale ne saurait déplaire et qui ne sont pas fort difficiles sur la qualité de leurs hôtes ; le cardinal de Bernis, le ministre Choiseul, l’électeur de Bologne lui demandent le récit de son évasion. […] Par une coïncidence singulière, l’auteur des Lettres sur la Russie n’est pas sans présenter de nombreuses analogies à la fois avec Voltaire et avec Casanova : courtisan et collaborateur littéraire de Frédéric II, esprit encyclopédique, curieux de tout et touche-à-tout, polygraphe agréable et vulgarisateur scientifique, il a du premier, outre ces rencontres accidentelles de leurs deux destinées, cette intelligence largement ouverte, cette passion d’écrire, ce besoin de se dépenser, de s’assimiler toutes les idées neuves et toutes les causes à la mode, qui ont pu le faire appeler « une réduction de Voltaire » ; mais il n’était pas vénitien pour rien, et comme son compatriote Casanova, il souffre de cette étrange maladie du mouvement, qui l’entraîne de Florence à Paris, de Paris à Londres, de Londres à Saint-Pétersbourg, de Saint-Pétersbourg à Berlin, toujours avide de succès, désireux de se faire voir et de séduire, usant sa vie en plaisirs faciles, prodigue, enjoué et complaisant, promenant à travers l’Europe galante la grâce de son sourire perpétuel et de ses manières élégantes.
Si tout le monde travaillait dix heures par jour, Paris serait Belleville ou Charonne : c’est sans doute le rêve socialiste, ce n’est pas le mien. […] Après des négociations longues et difficiles, l’envoi d’un premier projet non accepté et enfin l’élimination des trois autres concurrents, le Cavalier, ayant reçu une lettre de la main même de Louis XIV, se décide à venir à Paris. […] De ce Paris qui gronde là-bas ? […] Esbaupin écrit à Colbert : « Dans toutte la route jusques icy, il ne s’est trouvé de la glace qu’à Essaunne, Fontainebleau et à Chastillon, qui appartient à M. le Mareschal d’Albret… il serait à propos de tirer un ordre de mondit Mareschal, addressant à son concierge, de ne faire aucune difficulté de délivrer de la glace lorsqu’on lui en demandera pour le service de monsieur le cavalier Bernini, de laquelle on se servira pour ledit Montargis, me faisant fort que la bonne quantité que je feray voitturer d’icy à Rouanne, pour mettre dans le batteau, nous conduira jusqu’à Briare ; et ainsy toutte notre routte sera fraische. » § Le lendemain de son arrivée, Colbert se présente chez lui, ne souffre pas qu’il se lève et lui parle au lit ; le jour de la Fête-Dieu il voit le roi à Saint-Germain, à qui il dit : « J’ai vu, sire, les palais des empereurs et des papes, ceux des princes souverains qui se sont trouvés sur la route de Rome à Paris ; mais, il faut faire pour un roi de France, un roi d’aujourd’hui, de plus grandes et magnifiques choses que tout cela. » Puis il ajoute, en se tournant vers ceux qui faisaient cercle : « Qu’on ne me parle pas de rien qui soit petit ! […] Puis, il visite Paris.
Ses amis de Paris savent apprécier son énergique propagande. […] Les journaux d’Italie ont grand succès à Paris depuis la guerre. […] Dans une autre lettre de Paris au Giornale d’Italia intitulée l’Opinion de l’Amérique, le même écrivain faisait cette remarque, qui lui avait été inspirée par une discussion dont il avait été témoin dans le salon de M. […] En quittant la Belgique à la fin d’octobre 1914 pour retourner à Paris, j’ai rencontré un Belge qui avait fui Anvers bombardé et s’était réfugié momentanément en Hollande : par un soir humide, dans le brouillard et la boue d’Amsterdam, il m’a conté longuement ses détresses, celles de ses compagnons d’infortune, les villages détruits, la fuite lamentable des humbles au long des routes, la détresse confuse de l’exil. […] Toutes ces choses ont servi trop longtemps en vérité aux banquiers grecs de Marseille et de Paris pour créer cet hellénisme dont les journalistes et les hommes politiques de France ont usé sans modération pour molester l’Italie, spécialement pendant la guerre libyque… Aujourd’hui tous les peuples de l’Europe sont en campagne, engagés dans la plus grande lutte qu’ait connue l’histoire de la civilisation humaine et l’on ne peut s’attarder aux petits artifices, aux petites astuces, au petit marché des souvenirs… Aujourd’hui il s’agit vraiment de guerre et non d’industrie politique.
Je partis de Milan le 13 novembre, arrivai à Paris le 27 novembre à 5 1/2.
Grâce aux 200 000 francs que le prince de Wagram a payés pour la partie centrale : nous l’aurons bientôt à Paris, dans la galerie du Prince.
Les grands artistes que Naples a produits vécurent vers l’an 1726, temps où les mœurs étaient si gaies à Paris sous le Régent.
À Naples, comme à Paris, quand la cour prenait le deuil, tout le monde, jusques aux artisans, se trouvait de la Cour et se mettait en noir. — Naples a un grand nombre de boutiques de glaces et de cafés.
Il revient enfin à Varèse, le 24 octobre, y retrouve la comtesse Simonetta, et leurs amours continuent jusqu’au 13 novembre, date du retour de Stendhal à Paris, son congé si heureusement rempli pour lui étant expiré.
Paris. — Vittoria Aganoor-Pompili : Esaù-Castel di Zocco. […] Hoffbauer, dont le Paris à travers les âges fut naguère si justement apprécié, se propose de ressusciter Rome de la même manière. […] Nous avons lu de Paul Souchon les Élévations poétiques, les Élégies parisiennes, la Beauté de Paris ; nous lirons le Soleil natal. […] « Cette année, en causant, à Paris, avec M. […] A Paris, a paru la traduction du Roland furieux, par M.
La nouvelle tragédie méditerranéenne, où tous nos dieux apparaîtront dans la lumière, où la pensée humaine, art, philosophie et science, se sublime dans ses teintes d’aurore nouvelle, où le corps et l’âme, le paganisme et le christianisme, la Danse et l’Extase, seront réconciliés, et dans leur parfaite harmonie montreront encore au monde la puissance joyeuse de la vie, se compose déjà peu à peu, dans notre inconscient, des éléments qui, de tous les pays méditerranéens en réveil, élèvent leurs voix de renaissance, et que, comme autrefois à Athènes et à Rome, on sent palpiter dans une formidable synthèse, à Paris, l’antique Civitas philosophorum, centre du monde méditerranéen moderne. […] Papini place, selon la tradition, à Rome, et que, à tous les points de vue, dans toutes les manifestations supérieures, et surtout dans les tendances à peine révélées, que seul l’œil aigu du philosophe peut saisir, nous voyons à Paris.
Paris. — Wagner : Epistolario.
Paris, Plon, 7 fr.
S’il subit dans ses premières œuvres, dont les madones de Vérone et de la collection de Stuers à Paris sont le type, l’influence d’Antonio de Negroponte et peut-être aussi celle de Gregorio Schiavone, l’élève du Squarcione, dès son départ de Venise, sa personnalité se développa en toute indépendance et le perfectionnement de sa technique ne subit guère d’arrêt.
Flegrea publiait dernièrement de lui une étude excellente sur Rembrandt dans son pays : et la Rassegna Internationale éditait ces jours en volume l’Art à Paris en 1900, où M.