Elle songe aux charmes des Grâces, balançant, en cadence grave et lente, la fragilité de leurs corps graciles, avec l’enlacement harmonieux de leurs mains. […] Personne ne songe, en parlant d’une œuvre d’art, sauf de rares exceptions, à critiquer la réelle désharmonie d’une œuvre. […] Le spectateur qui tourne autour de la figure peut choisir cent points de vue différents, excepté le bon ; et il arrive souvent — ce qui est humiliant pour l’artiste — qu’un hasard de lumière, un effet de lampe découvrent une beauté qui n’est pas celle à laquelle il avait songé. […] La part de l’esprit de contradiction, c’est ceci : qu’il songeait moins à vous exalter pour vous-même qu’à se servir de votre gloire pour écraser, comme d’une roue, les nouveaux écrivains français indociles à ses manipulations d’apothicaire. […] Songez à n’être que vous-même ; ne prétendez pas, comme votre pays, vous enrichir par des emprunts étrangers ; ne rêvez pas d’une gloire immodeste, de tout une forêt de lauriers : celui qui vous est dû suffira à vous tenir en joie avec ses petites fleurs roses et ses belles feuilles vertes.
— À quoi songe-t-elle ainsi ? […] — À qui songeais-tu ? […] à qui songeais-tu ? […] Je te permets de songer à qui tu voudras. […] Et songez au repos d’Aurora.
Casanova songe à envoyer son instrument dans le dos d’un livre. […] Je ne songe pas à retirer à l’Aventin sa qualité de montagne plébéienne : encore est-il que ce n’est pas sur l’Aventin, mais sur le Mont-Sacré, que le peuple se retira par deux fois (493 et 449), la deuxième fois sous la conduite, précisément, d’Icilius. […] Carducci avait, de son côté, avec son talent de polémiste, ses aptitudes de journaliste, les ricaneurs sceptiques des « boulevards » romains et milanais, et les poètes vraiment nouveaux qui songeaient à la nouvelle renaissance de l’Italie. […] Songez au nombre d’hectares de terre que l’on bonifierait avec cette somme, au nombre de familles que l’on sauverait de la misère et auxquelles on épargnerait de s’exiler en Amérique ! […] Connaissant le personnage, nous n’avons pas à nous préoccuper si le drôle y a jamais songé ; mais il était intéressant de savoir ce que cet enfant aurait pu devenir.
— Y songez-vous ? […] » Je veux que leur corps vous fasse songer à la volupté, éveillent vos désirs. […] — Je n’y ai pas songé. […] En appliquant mes couleurs, je songeais à la Maurina. […] Je songeai à Titian, mais son attitude envers moi me défendit de le considérer ainsi qu’un ami.
Son Christ apparaissant à Sainte Madeleine, sa Barque de Saint Pierre, sa Descente de Croix sont parmi les grandes choses de la peinture ancienne — et je dis ancienne parce qu’on y voit moins l’influence de la tradition byzantine que celle de la tradition latine ; telle de ses fresques fait songer aux images pompéiennes. […] Ne pouvant conquérir chez eux un large public homogène, les écrivains italiens songent à l’Europe : ils écrivent pour Paris. […] Il semble la traduction de faits véritables : François, aux environs du couvent de Monte-Casale, faisait porter des vivres aux brigands pour leur éviter le péché de vol et de pillage, car, disait-il, s’ils avaient de quoi manger et passer la vie, ils ne songeraient point à se faire voleurs.
Certains de ses dessins, par la sûreté de leur anatomie, font songer à Albert Dürer. […] Devant le Colleone, on évoque le souvenir du Pensieroso, qui songe douloureusement dans son cadre de marbre. […] Au lieu de songer à frapper l’imagination par des figures idéales, on voulait maintenant apprendre à les situer dans l’espace et à les représenter avec exactitude. […] Les artistes ne songent plus à inspirer la piété. […] On les aimera et on songera à eux.
Les deux apparitions légendaires avaient bu leur café, et ne paraissaient pas songer qu’il y ait au monde des amateurs de folklore et des professeurs de poésie comparée. […] Je songeais à l’amour comme à une chose sacrée et la femme était pour moi une sorte de mystérieuse récompense qui m’attendait au seuil de ma jeunesse. […] Les souvenirs du passé lointain épuisés, je ne pouvais parler avec lui du passé proche, de tout mon univers plus récent de beautés contemplées, de cœurs aimés et brisés, de paradoxes improvisés autour de la table à thé, et bien moins encore du songe douloureux qui remplit désormais toute mon âme.
Je n’avais pas songé à cela de la matinée. […] Alors je ne songeai plus qu’à rentrer chez moi pour voir si sa fenêtre était toujours close. […] … Plus d’une fois, déjà, j’y· avais songé. […] Mais elle n’y voulait point songer ; elle écartait les idées funestes. […] Il ne pouvait donc songer à défendre celles de sa colonie.
Les Méridionaux d’Italie espéraient qu’avec le cabinet de 1914 leur situation serait améliorée, et qu’on commencerait à songer à des réformes précises. […] Nul d’après lui n’avait songé à défendre une politique de neutralité à tout prix. […] D’après les nouveaux anglophobes, ce n’était pas dans l’intérêt supérieur de l’humanité civilisée que l’Angleterre était intervenue dans la lutte ; elle n’avait songé qu’à son avenir économique menacé. […] Quelles perspectives pour l’Italie, surtout si l’on songe aux ressources que représentera pour elle la houille blanche destinée à remplacer le charbon qui lui vient de si loin ! […] Qu’on songe à leur raisonnement : « En mai 1915, nous avons dit que la guerre contre l’Austro-Allemagne était une entreprise très périlleuse.
Je mourais de sommeil : je n’avais pas songé à dormir dans la journée.
Pour le prouver, qu’on songe à l’effet contraire, un tableau, trouvé par hasard, d’un auteur malheureux, intéresse sur-le-champ. — 2° expression.
Comme, à peu près, Wagner à la « musique pure », Caccini reproche au « contrepoint » d’être apte seulement à « satisfaire l’oreille par le concert de l’harmonie », et de ne pouvoir toucher jamais « l’inteletto » par « des discours rendus inintelligibles » ; — sans que l’un ni l’autre censeur ait paru songer que la seule hyperesthésie de « l’oreille » à la nouveauté d’impressions éprouvées de « l’harmonie » susdite, permettait l’emploi pertinent du mélos et déterminait sa puissance émotive. […] Et si le français, malgré de violentes tendances au patois (songer aux mots tels que : eau, feu), a gardé une forme nettement latine, il le doit à la culture et à la tutelle ecclésiastiques. […] Cette angoisse mortelle, que le poète a douloureusement exprimée au milieu des plus douloureux frissons de la chair (Animal Triste, Panico, Sed non satiatus) traverse sans cesse les étreintes des couples, des deux éternels adversaires qui s’épuisent l’un l’autre : la tristesse atroce du désir infini et de la jouissance limitée leur apparaît, quand les sens sont las ; l’homme songe que toute sa jeunesse « barbare et forte » se consume entre les bras des femmes, qu’une bouche ardente suce infatigablement sa vie ; il est pris de haine pour l’image dont « aucun voile d’amour ne couvre plus l’inerte nudité », — alors vient l’heure fatale, le besoin de tuer et l’envie de mourir : Tempus destruendi ! […] L’ardent parfum qu’exhale un corps de femme fait songer à un fruit mûr : « Il y avait dans cette odeur une vision de fruits mûrs, de miel, de chevelures, de belles bouches brûlantes et de toutes les choses impures. » (Intermezzo, Preludio). […] En parcourant ces notices bibliographiques, on se rend compte que les traducteurs ne nous ont donné qu’une bien faible partie de l’œuvre de chaque conteur : ce qu’il y a de meilleur sans doute, et ce qui peut intéresser le public français. — L’un de ces contes : le Terrible châtiment, de Antonio Francesco Doni, est une terrible histoire qui fait songer à de l’Edgar Poë.
Ils analysent, avec une satisfaction qu’ils ne songent guère à déguiser, leurs joies et aussi leurs douleurs ; ils parlent longuement d’eux-mêmes. […] J’espère me repêcher ; en vendant seulement les poulains je paierai mes dettes, puis je ferai un riche mariage, et puis, la jeunesse passée, on ne dépense plus, on travaille, on songe à ses enfants. […] Un poète qu’on ne lit pas, un poète sans public, c’est l’amoureux d’une amante qui n’existe qu’en songe, c’est un homme sans descendance. […] Il ne commença vraiment à l’étudier que vers 1823 lorsqu’il songea à écrire la Mort de Socrate. […] J’en doute, quoiqu’il fasse songer plus d’une fois à Joachim du Bellay, qui fut à l’aurore de la Renaissance ce qu’il a été lui-même au début de la Restauration, l’annonciateur de la poésie nouvelle.
Hier 18, je suis allé à Saint-Cirriaque (en A), mais je n’ai pas songé à voir la fameuse vierge qui ouvrit les yeux après l’arrivée des Français, ce qui voulait dire qu’elle voulait les voir chassés.
J’ai repoussé cette idée par une considération générale ; je songeais à l’auberge de l’autre bout du village et au temps affreux qu’il fera en effet ce soir à minuit.
Giolitti, écrivait que son illustre compatriote ne se consolait pas d’avoir été écarté du pouvoir et qu’il songeait déjà aux élections qui, après la guerre, se feraient sans lui. […] Les exilés aussi qui attendent la fin comme l’accomplissement des prophéties savent que le songe est vain. […] Les erreurs qui sollicitent l’esprit ouvrier, songe M. […] Il songeait toujours à quelque sursaut, à quelque brusque réveil du peuple italien dont l’Europe entendrait, toute surprise, la grande rumeur. […] Quant à l’Angleterre, elle était toute à l’Égypte et songeait plutôt à agrandir son empire.
Je ne songeais guère à m’arrêter à toutes ces beautés.
Pourquoi ne pas exploiter ces remplissages, financièrement inoffensifs et par ailleurs stériles jusqu’ici, à l’avantage d’une culture historique à quoi s’accoutumerait sans y songer le plus grand public de théâtre ? […] La plus étonnante de ces visions était celle du Songe d’Enfer, peu admise encore par les professionnels du Dante, que M. […] Songe-t-on à l’inconvenance qu’il y aurait à ce qu’un jeune homme vînt annoncer à Marie qu’elle va enfanter : et voit-on une vierge dans cet office ? […] Riche, célèbre, il pouvait désormais suivre sereinement sa voie, ne songer qu’à faire des chefs-d’œuvre. […] Il songe à cette épopée.
Or je ne sache pas qu’elle ait jamais songé à condamner en bloc tout le poème dantesque. […] A-t-on jamais songé à taxer d’athéisme les vieux maîtres, tel le Beato Angelico, parce que dans leurs enfers ils ont représenté des moines, des prélats et des papes ? […] Nous songeons non seulement à l’esprit de sacrifice que déploya la cavalerie génoise en couvrant le repli sur la Livenza et le Piave, mais encore au sauvetage de la Ire armée accrochée aux rochers du Carso, de la IIIe armée perdue parmi les glaciers, parmi les neiges éternelles du Cadore. […] Nul ne songera, d’ailleurs, à l’établissement, après-guerre, d’une sorte d’orthodoxie intellectuelle interalliée. […] Les adversaires des Yougoslaves leur ont reproché cette précaution oratoire, qu’ils pardonnent aux Tchèques, sans songer que les députés italiens d’Autriche-Hongrie n’ont même jamais osé faire aucune déclaration ni aller, comme les Yougoslaves, jusqu’à refuser en corps de voter le budget et les crédits de guerre.
Alors, il n’est pas étonnant qu’un Italien de la vieille race, amateur de la valeur du sang, songe enfin à s’emparer de l’Amour, le confisque à son profit, lui offre, dernier refuge, un palais de marbre et d’or, en pleine Venise, la ville du rêve où les doges, dédaigneux du vulgaire possible, chastes à force de pure passion, jetaient leurs anneaux dans la mer, espérant toujours que Vénus elle-même le leur rapporterait ! […] Mais considérant ici avant tout l’écrivain (et je songe aussi au poète qui, en si beaux vers, chanta Florence), je veux citer cette délicieuse impression des entours de Rome : « Enfin, Rome est aussi la voisine de la campagne où elle étend ses basiliques et ses portes multiples. […] Il est invraisemblable qu’il ne songe pas un moment aux conséquences de cette espèce de fuite devant le danger, le jour même où un crime odieux vient de jeter le deuil parmi ses fidèles.
Dès que j’aurai un moment à moi, je lirai ses nouvelles pièces… Je vois avec peine, en ouvrant le livre, qu’il s’intitule poète du duc de Parme ; il me semble que Térence ne s’appelait pas le poète de Scipion ; on ne doit être le poète de personne, surtout quand on est celui du public. » Là encore, il y a une coïncidence fort intéressante entre le texte de la Correspondance et celui des Mémoires : que Voltaire ne fasse cette observation à Albergati que huit mois après l’avoir faite à Casanova, il n’y a à cela rien de surprenant, si l’on songe que Voltaire n’avait pas écrit à son ami de Bologne depuis le mois de décembre 1760. […] En vérité, à cette époque de sa vie, Casanova nous fait songer au naïf tambourinaire d’A.
Elle est là, de profil, l’œil à demi fermé laissant sourdre le regard droit, presque vague, un regard de songe, qui se pose, très au loin, à un horizon très reculé, sur une image presque immatérielle, les beaux cheveux enserrés par les bandelettes blanches des vierges. […] Et de même qu’il anticipe en quelque sorte sur la manière de Léonard, Léonard, de son côté, rappelle jusqu’à la fin l’atelier de Verrocchio, aussi bien par son amour des beaux colifichets comme l’aiguière qui sert de miroir, ou la magnifique broderie qui entoure deux mains jointes dans la Modestie et la Vanité, que par sa recherche des reliefs, tels que ces camées qui, dans la Vierge aux Balances, pendent autour de la ceinture de saint Michel ; tant par une sorte de prédilection pour les pierres aux reflets variés, comme les agathes de Sainte Anne, que par une précision et une grâce hiératiques, qui font songer à un sanctuaire purifié et resplendissant. […] Il était possédé par l’amour de l’impossible, il songeait à percer les montagnes, à changer le cours des fleuves, à élever dans les airs de grands édifices, comme l’église de San Giovanni, exploits dont la magie seule prétendait avoir le secret. […] Que l’on songe ensuite à la transformation profonde que subit, quatre années durant, ce peuple subjugué par la seule puissance de la parole du prédicateur dominicain, que l’on se figure Florence devenue mystique, chantant des chants religieux, dansant sur ses places des danses sacrées au lieu des folles rondes du carnaval, Florence libérée, se donnant un gouvernement entièrement démocratique et proclamant roi Jésus-Christ.
Dante, au milieu des splendeurs du paradis, songe avec mélancolie à son exil et souhaite que son poème lui rouvre les portes de Florence. […] … Je te vois grand comme un Dieu… Quand je vois ta figure honnête et bonne, ton regard tendre et sincère, ton front pur comme celui d’un enfant, je me rassure et ne songe plus qu’au plaisir de te regarder. […] en vérité, plus j’y songe et plus sa bonne fortune m’apparaît falotement lamentable. […] L’ensemble, tout de suite compris et traité comme un ensemble, on n’y songeait guère d’abord. […] Elles allèrent même si mal que le cardinal Farnèse, qui aurait autrefois, dit Garganello, rendu son chapeau rouge pour garder sa légation, ne songea plus qu’à s’en défaire.
C’est d’une robustesse, d’une sûreté, d’une largeur qu’ils envieraient, — d’une harmonie des masses qui fait songer à Courbet. […] Ernest Tissot n’ait pas songé à intituler, avec simplicité, ses notes de voyage : Promenades sentimentales en Italie, ou quelque chose d’analogue. […] Il ne songe pas davantage à faire la clarté dans son propre esprit. […] Il est effrayant de songer que la majorité des gens qui savent lire — non seulement dans les milieux populaires, mais aussi et surtout dans les milieux bourgeois, — ont pour principal objet de lecture le journal ! […] À gauche de cette page, en bas et en haut, volent les aigles, très décoratifs, que Dante vit en songe.
Pas un instant ils ne songent à se poser cette question préalable : y a-t-il lieu de nous envier ? […] Si l’on songe que des difficultés de ce genre se présentent pour tout problème de délimitation de frontières, l’on se rendra compte de l’impossibilité de découvrir une solution qui contente tout le monde ou que l’on puisse déclarer parfaitement équitable. […] Les Italiens ne songent nullement à réclamer des territoires ou à demander la révision des faits accomplis.
Un autre moyen de le pénétrer consiste à connaître les auteurs qu’il cite, Cicéron (le Songe de Scipion) et la Consolation de Boëce, qui l’amenèrent à l’amour, c’est-à-dire à l’étude.
Il n’en fallait pas tant pour enflammer le bouillant Casanova qui décida, sans plus tarder, d’ajouter à sa collection une conquête qu’il croyait facile : cette belle fille n’était rien moins que farouche et des aventures peu secrètes avaient sérieusement entamé une réputation qu’elle ne songeait plus à ménager ; on la savait capricieuse, sensuelle et vénale.
Rien n’entravait l’Esprit des hommes ; le Doute n’était point né ; et des millions d’êtres partaient pour délivrer le tombeau du Christ sans avoir songé un instant à ce qu’ils mangeraient en chemin et de quelle étoffe ils se vêtiraient.
Le gouvernement italien, qui avait les mains liées par la Convention de Septembre 1864, ne pouvait songer, pour le moment, à réaliser cet article suprême du programme national.
» Le Roy m’ayant fait l’honneur, Monsieur, de me charger de la Direction généralle de ses Bâtiments, mon premier soin a été de songer à l’Accadémie Royalle de Rome, dont vous êtes le chef. […] Mais songez objectivement, les mêmes sujets s’imposent aux peintres chrétiens du xve et du xvie dans le Nord et dans le Midi.
Debout dans leur fierté, ils font tous deux songer à l’image austère de Dante.
Les femmes de Byzance, lorsque, extasiées, elles serraient cette Image sur leur sein, faisaient songer aux prêtresses des sanctuaires de Byblos.
Mais Edoarda, peu à peu, sans en avoir conscience, finit par se créer un monde fantomatique, où la figure idéale d’Henri Kronberg domine : c’est son amour rêveur, son Amour de songe qui la possède toute. […] Voici un traité en italien : Delle Passioni ; de longs dialogues tels que : le Philosophe et le Théologien, et Rêve : Dieu-Moi ; il y a le Songe d’un Quart d’Heure divisé par minutes ; une très longue critique de Bernardin de Saint-Pierre ; la Confutation d’une Censure indiscrète qu’on lit dans la Gazette de Iéna. 19 juin 1789 ; un autre volumineux manuscrit, malheureusement imparfait, d’abord appelé l’Insulte, puis Placet au Public, et daté « Dux, ce 2e mars 1790 », se référant à la même critique de l’Icosameron et de la Fuite des Prisons.
Sa Nuit à Amiens me fait songer à certains coins de notre banlieue bruxelloise, à ce qu’on peut apercevoir, par-dessus le garde-fou d’un pont, de la Senne roulant ses eaux d’égoût et usinières entre de hautes murailles lépreuses.