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2. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »

Quand tu as cru partir définitivement je suis resté ici, dans cette ville où le temps ne s’écoule pas, sans bouger, sans rien faire, à t’attendre. […] Je ne te laisserai pas partir. […] Non, tu ne partiras pas de cette petite capitale. Je ne permettrai pas que tu partes !  […] Le jour d’après je me disposai à partir, mais il se planta devant ma porte et ne me laissa pas sortir tant que je ne lui eus pas promis de rester encore avec lui ce jour-là.

3. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »

Cependant elle souffrait de la détresse financière de l’Académie ; en 1756, Cochin sollicite de Marigny l’ordre de faire partir pour l’Italie les cinq élèves protégés qui doivent remplir les places vacantes à l’école de Rome. […] Mais comme ce serait reculer bien loin Boucher le fils, que de remettre à le faire jouir de cette grâce à deux ans d’icy où on commencerait le bénéfice de ces quatrièmes années, je vous supplie, Monsieur, de vouloir bien accorder cette faveur à la considération d’un père célèbre par ses talents, et que d’ailleurs vous affectionnez, en ordonnant que son fils parte dès l’automne de l’année prochaine et lui accordant pour cet effet pendant la première année qui s’écoulera une pension de gratification, ainsi que vous avez déjà bien voulu faire pour quelques autres. […] Le 10 mai 1754, il y avait un an que Fragonard était élève de l’École des Élèves protégés ; en 1756, il était parti pour Rome.

4. (1914) Articles du Mercure de France, année 1914

Partez ! […] Nous partirons ce soir, demain. […] — Partons ! […] — Je pars pour Mantoue. […] — Je pars.

5. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »

À une heure du matin, nous partons pour le Vésuve, le Vicomte, M.  […] J’y retourne à 5 h. et j’arrête une place pour partir par le courrier du 11 octobre.

6. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXII »

[Je pars ce matin de Varèse pour Laveno, où j’arrive à 11 heures. […] Je pars en bateau toujours avec la pluie, mêlée d’intervalles de brouillards, pour les îles Borromées.

7. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIII »

J’ai été à Laveno à midi ; j’en suis parti sur-le-champ ; arrivé à Varèse à 2 h. 1/2. […] Tout a réussi assez bien ; je suis parti par un temps de Montcenis à 4 h. 1/4 après une conversation bien écrite, mais assez vide d’idées avec M. l’avocat della chiesa.

8. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »

[Hier, 23, croyant suivre les conseils d’une politique sage et plein d’un transport d’amour qui agitait mon âme et me laissait la froideur et le coulant d’un homme qui veut parvenir à une chose difficile, je suis parti de Milan à 2 h. 1/2 pour Varèse. […] Je suis parti à cheval à 6 h. 1/4 pour la Madona del Monte.

9. (1905) Articles du Mercure de France, année 1905

Cependant elle ne peut pas partir. […] Nous partirons demain matin ensemble. […] Et le coup n’a jamais voulu partir. […] Laissez-moi partir tranquille. […] Il partit sans avoir obtenu de Crispi et du ministre de la guerre aucune promesse formelle.

10. (1913) Articles du Mercure de France, année 1913

Nous partîmes pour la Sicile. […] nous partions pour une existence nouvelle. […] — Partez vite !… Je vous en supplie, partez vite ! […] Le navire partit.

11. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »

Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907, p. 508-513 [512-513] Ce pauvre Louis-Philippe, dont la situation, comme on vient de le voir, ne fut en vérité que trop malaisée, eut encore, par-dessus le marché, maille à partir, après sa mort, avec les Naundorffistes, qui, s’ils ont octroyé à Naundorff le droit de porter le nom de Bourbon, ont refusé au fils de Philippe-Égalité le droit de porter le nom d’Orléans. […] Vischer partit pour l’Italie en 1839, alors qu’il était âgé de trente-deux ans.

12. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIV »

Si j’eusse été heureux cette nuit, j’avais le projet de proposer de passer incognito ici la journée d’aujourd’hui et de ne partir que lundi matin.

13. (1918) Articles du Mercure de France, année 1918

Duveen, le grand marchand de tableaux de Londres, et est parti pour New-York ; […]. […] Attaques convergentes, qui partent, au nord du Mt. […] Orlando sont parties de son cœur et de son cerveau aussi bien que du cœur et du cerveau de M.  […] Mais Lodoletta elle-même lui conseille de partir et il obéit. […] Or, voici que soudain et quand tout le monde est parti, Lodoletta fait son apparition dans le jardin de la villa.

14. (1912) Articles du Mercure de France, année 1912

Il partirait par un train de plaisir pour quelques jours aux bains de mer qu’il n’en emporterait pas davantage ! […] … Mais il est temps de partir. […] Elle était assez éloignée de l’endroit d’où j’étais parti, pour que je pusse juger que le grenier qu’elle éclairait n’appartenait pas à l’enclos des prisons que j’avais brisées ». […] Casanova est parti avec l’intention de s’arrêter à Orléans pour voir une ancienne bonne fortune d’il y a vingt-deux ans. […] Il va à la poste avant de partir, et y trouve intactes cinq ou six lettres qu’on avait absolument respectées, à son grand étonnement.

15. (1900) Articles du Mercure de France, année 1900

Du groupe des femmes, les voix partaient en chœur ; et la voix d’Orphée qui donnait les réponses paraissait être le chant, et entre le chœur et le chant, le flot scandait son rythme liquide. […] Demande à partir, humilie-toi, si tu veux être sauf. […] Tu nous suivras quand nous allons partir. […] Mais à partir du motif XXVIII, reparaissent les tableaux mouvementés ou pathétiques. […] […] Cependant le terme approchait où il allait falloir partir pour Rome.

16. (1911) Articles du Mercure de France, année 1911

Elle attendait l’heure où tous partiraient. […] La tête dans les coussins je hurlais : « Elle est partie !  […] » Zaratto était parti, Lorenzo était parti. […] Il est parti d’ici vêtu d’un pourpoint noir ! […] — Tu pars seule ?

17. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »

Ce matin, toute troublée par tous les hasards qui se tournent contre nous, quand je lui ai annoncé la prolongation miraculeuse de mon congé, elle m’a dit : « Il faut partir. » Elle m’a appris qu’elle allait à Novare.

18. (1906) Articles du Mercure de France, année 1906

L’ardeur de la haine et de la peine du Dieu montait des mille racines qui partaient de son cœur et s’ouvraient dans les pampres roux, dans l’opulence rouge du Soleil d’automne. […] Partir ! […] Duccio della Bella partit avec son vieux compagnon. […] « Rome, Rome est ma patrie, je brûle de partir », écrivait-il le 4 juillet dans son Journal. Et un mois après il était parti, mais pour Milan : il devait y rester sept ans.

19. (1898) Articles du Mercure de France, année 1898

On est parti de là pour conclure sans appel que le jeune écrivain est un suivant aveugle de M. d’Annunzio : le mot était épidémique ; l’adjectif imperioso est un des préférés de M. d’Annunzio ; donc celui qui s’en emparait ne pouvait être qu’un imitateur. […] Dans cette école ombrienne, qui partit de Gualdo et des San Severino pour se dévoyer complètement et se perdre en Raphaël, Piero della Francesca semble être le dernier mystique, un mystique qu’est venu troubler si curieusement la préoccupation de faire vrai et que le réel hante en chacune de ses œuvres. […] Ugo Ojetti avant de partir pour l’Égypte dans un voyage d’études et d’agrément, a publié son roman, Il Vecchio (Milan, Galli). […] Puis, ils vont braver leur passion ; ils partent pour l’étranger où Saveria a repris sa carrière de triomphes éblouissants ; mais Ercole n’a plus cette vertu inquiétante et féroce de la première jeunesse, qui s’attache et s’arrache avec la même promptitude, qui se donne et se reprend à temps.

20. (1892) Articles du Mercure de France, année 1892

Moi, je ne monte point au général pour redescendre au particulier, mais je pars du particulier pour atteindre le général ; le particulier seul existe vraiment ; l’individuel seul est réel et l’universel est un de ses attributs3. […] Et, certes, cette réaction partait directement de la Bible, car il est facile de reconnaître des façons de docteurs de la loi, race de ces scribes qu’anathématisa Jésus, et venus, pour surcroît de supercherie, après les charlatanismes de Simon-le-Magicien, dans ces astrologues juifs qui prédirent, en Asie-Mineure, la pourpre à l’Isaurien, alors enfant, sous la condition qu’il abolirait le culte des Images.

21. (1909) Articles du Mercure de France, année 1909

Alors, nous qui, depuis quatre jours, sommes privés des bonnes productions de la belle Terre, qui sommes sans boire une eau propre, sans manger un pain frais, nous avons vu partir ces barques savoureuses, nous avons vu s’éloigner tout ce paradis flottant de la gourmandise. […] De Florence aussi sont parties d’autres œuvres, dues à M.  […] Elle était restée à Avignon pour passer les fêtes de Pâques, et son mari eut le bienheureux caprice de s’en aller à Barbentane pour changer d’air, encore qu’il eût laissé la fièvre-quarte à Pont-de-Sorgues, lorsqu’il alla voir le comte de Tende64 qui y logea un jour entier quand il partit pour la cour. […] C’est Garganello qui nous y invite : Monsieur de Caumont74, jeune homme excellent, s’en allant par-delà, je n’ai pas voulu manquer de l’accompagner de cette lettre, bien qu’il fasse nuit, que je sois déchaussé et sur le point de m’aller mettre au lit pour partir au matin, s’il plaît à Dieu, à Barbentane. […] Mais les seigneurs partent pour ces guerres de France, « non pas civiles, mais inciviles en vérité, cruelles et bestiales comme il n’y en eut jamais au monde ; les Goths en comparaison devaient être des anges descendus du ciel ».

22. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »

Benoist étudie dans les premiers chapitres ces exemplaires préparatoires, à partir du Sforza.

23. (1915) Articles du Mercure de France, année 1915

À cette date, les Turcs sont partis, les Grecs sont venus les remplacer ; et depuis lors les choses continuent d’aller exactement comme auparavant, avec cette seule différence que nous avons maintenant à payer beaucoup plus d’impôts. […] Gargano, tous ces gens qui partent en guerre ne savent pourquoi et demandent que le philosophe les justifie à leurs propres yeux et leur fournisse la conscience qui leur manque ! […] On ne sait où les caser ; il n’y a pas de travail ; tous ces gens chassés de leur maison après que tous leurs plus chers sont partis pour la guerre, vieillards, femmes et enfants sans refuge, souffrant la faim.

24. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »

Casanova eut le courage et le tort de ne point reculer ; il resta, dîna mal, se fit voler au jeu, et partit après que la fille se fût invitée à souper chez lui pour le surlendemain.

25. (1894) Articles du Mercure de France, année 1894

Rien n’entravait l’Esprit des hommes ; le Doute n’était point né ; et des millions d’êtres partaient pour délivrer le tombeau du Christ sans avoir songé un instant à ce qu’ils mangeraient en chemin et de quelle étoffe ils se vêtiraient.

26. (1903) Articles du Mercure de France, année 1903

Amor di sogno expose le cas psychologique d’une jeune fille, Edoarda, qui, fiancée à un artiste étranger, Henri Kronberg, et follement éprise de lui, le voit partir pour la Norvège. […] Très probablement, dans ces trois ans de sommeil psychologique, le dévouement muet et tendre de Massimo n’a pas été sans effet : en sortant de son rêve maladif, en rentrant dans la réalité de l’amour, la jeune fille s’aperçoit bientôt que Massimo occupe dans sa vie une place énorme ; et lorsque, sans aucun espoir désormais, Massimo lui annonce qu’il va partir, Edoarda a un élan de passion : « Ne me demandez rien ! […] Après une rapide visite du château, nous partîmes en voiture pour Oberleutensdorf, un schloss plus petit, près de Komotau, où résidait alors la famille Waldstein.

27. (1910) Articles du Mercure de France, année 1910

— Mais à partir du xviie  siècle, l’importance militaire du château décroît ; avec les progrès de l’artillerie, ce n’était plus qu’un nid à bombes. — L’ange qui surmonte l’édifice, et d’où il a tiré son nom, y a été placé en souvenir d’une apparition miraculeuse, qui advint sous le pontificat de Grégoire le Grand ; la ville était alors ravagée par la peste ; lors d’une procession solennelle, et tandis que le cortège franchissait le pont, un ange apparut au sommet du château, tenant une épée flamboyante, qu’il remit au fourreau en signe de pardon. […] Nos bas-reliefs sont remplis de figures admirables où l’originalité et le style se combinent, avec une variété incroyable : nos sculpteurs sont partis, comme ceux d’Italie, du débris romain, du sarcophage chrétien, mais l’époque romane, trop influencée par ces débris, n’atteint pas à la subtilité de Bourges, de Strasbourg et en générai de l’Île-de-France. […] Il partit, emmenant sa femme et ses deux filles, laissant son fils Hippolyte en pension, à Grenoble, chez le généreux M.  […] Nous sommes relégués à la Porte de Rome et je vous prie, si vous passez à Milan, dont je serai partie alors sans doute, de venir arrêter un regard mélancolique sur le théâtre appelé Carcano, qui tient à notre pauvre maison qui n’a de valeur qu’un vieux platane et un jeune acacia mêlant leurs branches à ma fenêtre sans rideau, au fond d’une cour humide, dans la longue rue appelée Il Borgo de la Porta Romana. […] Berolini, 1847, tome V, pars posterior, p. 364, n° 6000.

28. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »

Lors de sa dernière visite, Casanova accuse Voltaire de s’être montré particulièrement blessant envers lui dans ses propos, parce qu’il escomptait le prochain départ de son hôte : « Il plut au grand homme d’être ce jour-là frondeur, railleur, goguenard et caustique ; il savait que je devais partir le lendemain35. » C’est fort vraisemblable ; comme il est vraisemblable que Casanova tint à honneur de soutenir contre Voltaire sur Venise et sur la superstition, sur Chapelain et sur Goldoni, sur Albergati et même sur l’Arioste, quelques paradoxes dont il ne pensait pas le premier mot.

29. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »

Près d’elles il est en faveur, Et magna pars de leur histoire ; Mais c’est un modeste vainqueur Qui ne parle point de sa gloire.

30. (1917) Articles du Mercure de France, année 1917

Je suis trop de mon temps et j’accorde aux phénomènes économiques une action trop déterminante dans l’évolution historique des peuples pour ne pas leur attribuer l’importance qui leur appartient, mais combien avec notre tendance à partir d’idées générales, avec la culture de tous nos hommes d’État, l’entente dans l’ordre matériel serait facilitée par une coopération préalable dans l’ordre intellectuel. […] C’est là que se trouve la maison où Galilée écrivit la défense de son système dans l’ouvrage intitulé : Quatre dialogues sur les deux principaux systèmes du monde, celui de Ptolémée et celui de Copernic, et d’où il partit pour attendre la sentence de l’Inquisition romaine.

31. (1904) Articles du Mercure de France, année 1904

Depuis lors, les critiques italiens et les journaux les plus en vue ont décerné les éloges les plus vifs au jeune écrivain, mais toujours est-il que le premier encouragement au poète est parti de cette Revue, et j’en suis fier. […] … Soudain, Rosa se releva, regarda Emidio avec un regard singulier : — Donc, nous partons ?

32. (1901) Articles du Mercure de France, année 1901

Je laisse tout, je vais partir ; je reviendrai plus tard pour voir ce que tu auras su faire : mes villas, mes fermes, mes établissements sont à toi ; va, et que le souvenir de ton père t’attriste ! 

33. (1916) Articles du Mercure de France, année 1916

Son intellectualisme, est grave et compliqué, mais il est seulement la superficie : au fond de lui, la source souterraine des impulsions est puissante et brise la croûte de l’indolence analysante : une impatience de marcher l’étreint, d’agir lui-même, de participer à la vie de la nation, peut-être mieux, de sa région où il est enraciné, de ses ardents Romagnols qui, appelés, partirent pour la guerre avec lui. […] Le grand historien Guglielmo Ferrero donne à cette propagande anti-italienne une origine allemande et écrit à ce sujet dans le Secolo : À partir du jour où l’Italie a déclaré la guerre à l’Autriche, j’ai reçu de nombreuses lettres, aussi bien d’Amérique que d’Europe, surtout de la Suède et de la Suisse — qui me racontaient toutes la même choses, et renouvelaient la même invitation.

34. (1902) Articles du Mercure de France, année 1902

À partir des salles du mobilier Louis XVI, elles se succèdent : les Italiens du xive au xviie  siècle dans les trois premières, les Espagnols du xvie et xviie dans la quatrième, les Allemands du xve et du xvie dans le cinquième, dans celle qui suit les Flamands du xvie et du xviie , plus loin les Hollandais du xviie , et enfin, dans les cinq salles qui séparent des deux dernières, les Français.

35. (1899) Articles du Mercure de France, année 1899

et en couvrant de fleurs la civilisation anglo-saxonne, qui pourtant, si elle n’est pas militariste, est diantrement militaire et prête à partir en guerre pour Cuba aussi bien que pour Fachoda.

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