J’arrive à Milan le 22 octobre 1811 à la nuit tombante, ayant mis moins d’un mois à voir toute l’Italie : je ne touchais pas les pavés en marchant dans les rues. […] C’est une plante trop délicate qu’il ne faut pas toucher.
Henry, qui a son laboratoire à la Sorbonne, duquel j’étais absolument inconnu, et lui exposai l’intérêt passionné que m’inspirait tout ce qui touche à l’aventurier. […] Non, le marbre était nécessaire dans le récit pour affiler l’esponton, l’un était la conséquence de l’autre, et, en plus, il devient une excellente pierre de touche. […] Je range Casanova parmi les personnages pierre de touche. […] Aussi trouve-t-on cette phrase après sa mission en Hollande, pour laquelle il toucha douze mille francs de la marine, qui aurait pu se procurer le renseignement pour rien. […] La roche, qui est du trachyte, est aussi âpre que possible au toucher.
Souvent elles se font face ou elles se touchent. […] vous pouvez toucher ! […] Cette flatterie la toucha. […] Les doigts secs touchent le clavier. […] … Celle qui va toucher les cordes de la mandore a les doigts écartés.
Les moissonneurs, la tête courbée, allongent la main pour toucher la croix, la portent à leurs lèvres et s’éloignent en silence… La croix a vaincu. […] Il part sans avoir touché sa femme, la vierge qui sera vierge et veuve. […] Il espérait être embrassé, mais il dut se contenter d’effleurer la main blanche et noble d’Antine et de toucher l’un des boutons rouges. […] Quand tu seras prêtre quand tu auras les livres saints, qui donc vous touchera ? […] Il ne s’est pas laissé toucher par moi : juge un peu s’il va t’écouter !
« Je laisse, sans y toucher, les lettres couronnées (sacrées), parce qu’elles sont la suprême vérité. » Pensait-il que l’ère théologique finissait ou bien, en esprit consciencieux, se jugeait-il inapte à y toucher ? […] Il a dû souvent le contempler ce paysage éminemment classique, dont chaque ligne, chaque touche paraît avoir été prise sur la palette de la civilisation et posée par le pinceau de l’histoire. […] Lorsque Léonard dit : « Je ne toucherai pas à l’Écriture qui est la suprême vérité », il marque la zone de la libre pensée. […] Defendente toucha huit cents florins et dix gros pour cette importante œuvre : il y mit son monogramme avec la date de 1531 et y ajouta les œuvres de la ville de Moncalieri. […] Nous touchons là à une des questions les plus importantes et les plus discutées de la biologie moderne.
Le rayonnement animique de l’œuvre de Botticelli fécondait mon inexpérience et guidait mon esprit, car aucune des pensées qui accompagnent la création d’une œuvre ne se perd : les molécules de la matière les abritent, et au toucher délicat d’une âme elles revivent et parlent à l’amie visiteuse. […] Je sais tout le plaisir qu’il y a à étaler une touche grasse, à écraser deux tons harmonieux qui se fondent comme le jus de deux fruits savoureux, mais combien plus noble la recherche approfondie de l’expression d’un sentiment, d’une pensée, avec la modestie obéissante et sévère du métier chez le peintre ! […] La jugeant inutile, Rosso l’a supprimée ; et, le résultat ayant été bon, ce fut une indication pour le scrupuleux impressionniste : pour traiter à fond un sujet, lui accorder d’abord une ambiance en traitant du même coup les êtres et les choses qui le touchent de près, — puis, au dernier moment, détruire tout ou partie de ces accessoires et n’en conserver que ce qui ferait défaut à la fidèle traduction des valeurs observées.
On ne peut pas y toucher sans se teindre. […] M. d’Annunzio a remis en honneur maintes expressions oubliées, et entrelacé une couronne de mots rares, subtils, suggestifs, pompeux et pimpants… Mais, puisqu’ils ont servi au jeune maître, défense de s’en servir à notre tour ; ils sont sacrés ; nous sommes dans une Galerie d’art ancien et moderne : messieurs les visiteurs sont priés de ne pas toucher… Ça ne valait pas le prix payé à la porte. […] Peu à peu, par cette réaction naturelle des pensées dominantes, la paix vient éclairer encore l’âme d’Alexandre Zeno ; il a compris le mystère, il se sent fort, il trouve que la vie est partout, puisqu’elle n’est que le changement infatigable de la matière ; et même en mourant on peut nier la mort… Un soir de printemps, le petit Gino monte dans la chambre du vieillard, et il voit Alexandre sur son lit, le visage calme, comme apaisé dans un sommeil sans rêves ; l’enfant l’appelle en vain, et il lui touche la main ; elle est froide… Sans plus oser, le petit Gino se détourne, redescend, et il annonce à la famille : — Grand-père dort ! […] Puccini, a certainement été touché par sa jeunesse et par son charme ingénu ; il l’a traitée avec amour. […] Il faillit toucher à notre Louvre, au vieux et admirable Louvre des Netezeau, des Du Cerceau, des Fournier, de Jehan Coing, de Pierre Lescot, de Jean Goujon et du Primatice, de tant d’autres bons et grands besoigneurs, italiens de la bonne veine, français non encore appauvris, à la vision nette et au cerveau fort.
Il s’est souvent trompé, mais là où il voulut bien user de la syntaxe commune, abandonner son système d’allusions et d’abréviations, Mallarmé n’est plus d’exception que par le génie : il est le poète de la grâce et de la limpidité matinale ; les idées ordinaires retrouvent par lui une fraîcheur qu’on ne croyait plus possible ; il renouvelle tout ce qu’il touche, — don comme de fée : Hérodiade est peut-être le poème le plus pur, le plus transparent de la langue française. […] Ce qu’on peut appeler la fascination de la corruption pénètre en chaque touche sa beauté, finie d’une manière si exquise. […] Il ne se plongea pas seulement dans l’étude de la nature ; mais encore dans celle de la personnalité humaine, et il devint surtout un peintre de portraits, de figures rendues avec un art qu’on n’avait jamais atteint avant lui, et qu’on n’atteignit jamais depuis, vêtues d’une réalité qui touchait à l’illusion, sur l’atmosphère sombre qui les faisait ressortir. […] C’est une figure de sexe incertain, placée dans l’ombre de ses propres cheveux, la ligne de la joue qui touche cette ombre étant vivement éclairée, avec une pointe de volupté et de satiété dans les yeux et dans les lèvres. […] Comme il arrive souvent dans les travaux où l’invention semble toucher à ses bornes, il s’y trouve un élément d’emprunt, et que le maître n’a pas inventé.
Ce matin, nous avons enfin touché Naples. […] Car les Xénocrates sont rares qui laissent sortir Phryné de leur lit sans la toucher. […] Nous touchons ici du doigt, chez un historien pourtant de grande valeur, ce que deviennent les grands sujets traités par les méthodes actuelles. […] Un prêtre la touche, ce qui nous épargne une sérénade. […] Et d’autres poèmes révèlent de plus près l’âme du chantre, tout agitée par des angoisses de notre temps, au milieu de contingences que nous pouvons reconnaître et dont l’émotion nous touche.
Un livre fait par l’auteur d’un tableau ôte à ce tableau la grâce nécessaire pour toucher.
Et la flamme immense de l’exaltation tragique ne la toucha presque pas. […] Et Maeterlinck rappelle Edgar Poe en même temps qu’il touche directement à ce grand synthétiseur du psychisme occidental que fut Shakespeare. […] Toucher à un ouvrage de Paisiello ! […] Il a gardé pour tout ce qui touche à la scène les enivrements d’un collégien. […] « Je fus touché presque jusqu’aux larmes », écrit-il dans son Journal inédit.
Il propose en conséquence que 50 pensions viagères soient créées dans le but de permettre aux littérateurs en détresse, qui se seraient déjà signalés par la publication de quelques centaines de pages en prose ou en vers, de toucher la somme assez respectable de 6000 francs par an.
Aussi, en ce qui touche aux mœurs des courtisanes, si votre Théophile Gautier a dit : Au soleil tirant sans vergogne Le drap de la blonde qui dort, Comme Philippe de Bourgogne Vous trouveriez la toison d’or… Aussi j’aime tes courtisanes. […] En l’an 1700 l’Italie n’avait pas produit, imitations de l’œuvre du Tasse, moins de deux cents drames pastoraux ; en Angleterre, en Espagne, en France, Spencer, Shakespeare, Milton, Cervantès, Honoré d’Urfé furent touchés par le génie du Tasse, écrivirent des pastorales : l’Astrée est une longue et très belle transposition de l’Aminta, « ce tableau de l’âme et de la nature humaine à leur printemps ».
Vous touchez du doigt les mensonges et les invraisemblances. […] Il me donna sa parole qu’il ne toucherait à rien. […] Ce qui le touche n’a rien à voir avec la doctrine philosophique du christianisme. […] Au moins dans une direction, ce lieu touchera à une prairie d’ailleurs couverte d’asphodèles63. […] L’Amérique aussi, à travers le collectivisme lyrique de Walt Whitman, a touché quelques cœurs de la Péninsule.
» Le fils, touché, veut demander pardon, trouver une parole d’excuse et de tendresse. […] Son livre, qui commence fort justement par un portrait peint, est aussi un portrait écrit, portrait minutieux et complexe, d’une touche très intelligente et très libre, avec, pour fond à la vie de l’homme, la vie du temps en sa variété et son pittoresque, en ses personnages nombreux et singuliers. […] Il touche souvent à la perfection, et la représentation des sentiments les plus divers trouve dans la poésie du poète des attitudes nouvelles, exquises ou tragiques, hardies, violentes ou délicatement nuancées.
Les appointements de son mari lui suffisent à peine — encore n’en touchera-t-il qu’un mois — tant le prix de toutes choses est exorbitant17. […] Le bon Violet était, sans contredit, le plus fidèle et le plus attaché de ses domestiques, et sa fin prématurée est pour elle un événement qui la touche jusqu’aux larmes. […] De nos jours, on peut tout réhabiliter sans que cela nous touche beaucoup, puisque nous ne croyons même plus à la réalité de notre histoire contemporaine. […] Sans demi-teinte, pas de clair-obscur, et aucune demi-teinte n’est possible sans une touche fondue et où le coup de pinceau disparaît. […] Aussi, l’entreprise des financiers belges qui voulurent conduire Rome à la mer par un chemin de fer électrique nous touche.
Elle fut bien vite touchée par la poésie des variations que le pianiste improvisa sur un air populaire italien. […] La rive droite est touchée par la clarté de la lune, la gauche est obscure. […] Il baisa la main qu’elle lui tendit, et tous ceux qui la virent, ce soir-là, eurent l’impression qu’elle touchait au point extrême de la beauté. […] Un de nos vieux serviteurs mourut, elle l’apprit, manifesta le désir de le voir, s’approcha de lui, toucha son front, sa poitrine, comme si elle cherchait une blessure et s’enfuit. […] Comme tous les vrais poètes, il donne une vie nouvelle à tout ce qu’il touche.
Cette fois-ci la faute par excès touche ses dernières limites possibles.
D’autres moyens qui touchent davantage à la vie administrative, judiciaire et municipale des villes étrangères peuvent s’ajouter à celui-là et nous croyons fermement que l’entente serait possible sur ces terrains entre les Gouvernements intéressés. […] Touché de la grâce (amoureux ?) […] Celle des Nations latines qui s’agrégerait politiquement, économiquement à l’un des autres groupes pourrait momentanément toucher quelques avantages ; elle demeurerait indéfiniment un satellite sans personnalité et sans avenir… … Par quels moyens pratiques réaliser cette fédération ? […] Il paraît assez singulier, à première vue, que les arrière-neveux d’un compositeur mort en 1848 prétendent toucher les droits d’auteur de la Favorite ou de la Fille du Régiment, derniers vestiges d’une carrière glorieuse. […] Et on peut désormais abandonner le champ de la science géométrique, qui nous a démontré la possibilité de réaliser une 4e dimension, et rentrer dans notre propre champ de la création, car, en parlant de perspective, nous touchons à la base même de notre art.
L’étendue de ses connaissances donne le vertige : il a touché à toute chose, avec une avidité incroyable de l’omniscience ; en cela il s’est satisfait. […] L’Italien est fidèle à ses traditions : il froncera le sourcil si une main française touche à une de ses gloires. […] J’ai pu comparer maints passages et j’ai rarement trouvé trois phrases consécutives qui n’aient pas été touchées. […] Si cet homme ne peut lui convenir par aucun rapport, quand même sa passion serait criminelle elle ne doit jamais s’en offenser, ni le maltraiter, elle doit être douce, le plaindre, si elle ne l’aime pas, et lui suffise de se tenir invinciblement attachée à son propre devoir. » À l’occasion, il touche aux sujets esthétiques, comme dans le fragment suivant qui commence par cette définition libérale de la beauté : « L’harmonie fait le beau, dit M. de S.
Le mattoïde, invention de Lombroso, est l’être qui touche par quelque côté à la folie : pour Lombroso c’est, au fond, une sorte de fou ; mais il n’est point assez fou pour qu’il soit possible de le colloquer dans un asile d’aliénés : il ne scandalise pas les passants, il n’est pas immédiatement dangereux, mais il peut le devenir si l’on prête l’oreille à ses discours ; il n’a pas le cerveau en ordre, il ne pense pas comme tout le monde ; d’autre part, souvent il a la langue déliée, il est capable de séduire, de convaincre, de subjuguer les « hommes normaux » qui, selon les théories de Lombroso, ne sont pas des plus malins. […] Puis, reportant son regard sur les femmes, il vit le cercle se resserrer sans cesse autour de lui, à tel point qu’il n’aurait pu étendre les bras sans toucher Dircé et Stérope. […] On le double simplement d’un autre viaduc à route carrossable, et la ville y gagne, sans être touchée, des communications avec la terre complètes et faciles. […] Il faut savoir, — d’ailleurs on le saura sans doute, parce que rien de ce qui touche à M. d’Annunzio ne peut échapper aux peuples civilisés — il faut savoir que l’auteur du Fuoco était député. […] Mais en marchant de ce pas vertigineux, il s’aperçoit trop tard qu’il a ouvert les yeux à sa femme, qu’il a tué sa mère malade, dont les plus douces illusions ont été ravagées par lui ; et il a, secousse suprême, la révélation de toute sa vie fausse et égoïste, devant le cadavre de sa mère, le jour même où il croit toucher au faîte de la gloire (sancta simplicitas !)
Je manquerais à mon objectivisme en oubliant de noter que très souvent, si non toujours, d’Annunzio a touché de près la perfection littéraire et dramatique ; rien de plus délicat que ce troisième acte, où la lecture d’un livre d’amour fait tomber Francesca dans les bras de son beau-frère : rien de plus puissant que ce quatrième acte, où Malatestino dénonce l’adultère au mari. […] Mais la Mère sait qui est le Fils ; elle le tient avec un respect infini couché contre son sein comme en un sanctuaire ; les longues mains font la croix sur le petit corps qu’elles touchent à peine, — et Lui, de ses deux bras levés, nimbe le sein maternel. […] Comme chez Raphaël, le bébé est nu ; mais, avec des mains bien plus fines et délicates, la mère évite de toucher le corps divin et c’est dans un lange d’une blancheur sacrée, c’est dans le corporal qu’elle tient l’hostie.
Cela veut dire qu’il touchait les cœurs les plus durs et forçait les plus inertes à lui obéir.
Il y broyait les couleurs, dessinait les cartons, touchait à tout ce qui concernait le métier, comme : marbre, terre, huiles, vernis, essences, poudres, etc.
Si l’on ajoute à cela que le soldat italien est moins bien nourri que le Français ou l’Anglais, qu’on ne lui donne qu’une paie infime et qu’il ne touche du vin que deux fois par mois, on comprend que, même sans propagande défaitiste, son moral n’ait pas toujours été des plus brillants. […] Celui-ci touche presque à la plaine par le Val S. […] Lazzari et Serrati continue imperturbablement ses discussions de philosophie sociale13… Il est donc difficile de parler de complète union sacrée dans un pays où tout un grand parti politique observe la plus absolue réserve pour tout ce qui touche la guerre. […] Rien ne me touche plus profondément que de m’entendre nommer quand on parle de Lui… Celui qui admire a la meilleure part. […] Et nous ne toucherons pas le côté éducatif, car ne serait-ce pas grotesque de supposer que des livres écrits par des gens qui jugent de la valeur de civilisation d’un peuple par le nombre de kilogrammes et de tonnes qu’il a à son actif puissent avoir autre chose qu’un effet funeste sur l’âme juvénile, alors qu’on y fait argument des accès de colère de paysans illettrés et que l’on y passe sous silence la sauvagerie raffinée des héros de Hindenburg, des mutilateurs des enfants belges ?
Si tu as aimé les grands yeux pleureurs des mères, et leurs bras tendus en te maudissant, ô déesse, de la tête pliée des fils ; si tu as aimé sur le Palatin sublime l’autel antique (le Tibre touchait encore la colline évandrienne, et le soir en naviguant entre le Capitole et l’Aventin, le Quirite, en revenant, regardait en haut la ville carrée, éclairée de soleil, et il murmurait un chant lent saturnien) ; Fièvre, écoute-moi.
Mais qu’un étranger s’avise de toucher à la sérénissime république ; qu’un Amelot de la Houssaye écrive son Histoire du Gouvernement de Venise qu’un Voltaire se permette quelques doutes sur les bienfaits de cette liberté dont les inquisiteurs d’État étaient le produit le plus contestable, Casanova prend feu contre les critiques imprudents : il ne peut admettre qu’un Français exprime sur le compte de sa patrie les vérités sévères qu’il ne s’interdit pas à lui-même.
La sensation s’identifie dans l’idée, car à la vue d’un objet, ou au toucher d’un objet, correspond simultanément une idée-image de cet objet. […] Il ajoutait que si l’intervention du Pape au Congrès de la Paix était demandée par les Empires centraux afin de rouvrir la Question Romaine et de toucher à la loi italienne de la liberté de l’Eglise, on devait s’y opposer absolument. […] De même, c’est l’église de Sant’Apollinare Nuovo, à Ravenne, qui conserve de précieuses mosaïques où figurent le palais de Théodoric et le port de Classis, ainsi que des processions de saints et de saintes ; une bombe y a touché la nef, détruit l’orgue, un pan de la façade, écrasé le porche et même écorné une partie de la frise décorative intérieure. — Ce sont là, sans doute, de hauts faits de guerre et dont peut se réjouir l’ennemi.
L’Autriche ne doit pas plus toucher à l’Adriatique qu’à l’Archipel.
Comme, à peu près, Wagner à la « musique pure », Caccini reproche au « contrepoint » d’être apte seulement à « satisfaire l’oreille par le concert de l’harmonie », et de ne pouvoir toucher jamais « l’inteletto » par « des discours rendus inintelligibles » ; — sans que l’un ni l’autre censeur ait paru songer que la seule hyperesthésie de « l’oreille » à la nouveauté d’impressions éprouvées de « l’harmonie » susdite, permettait l’emploi pertinent du mélos et déterminait sa puissance émotive.