Raphaël fut élevé dans l’atelier de son père, médiocre peintre — nous dit-on — dont il copia les tableaux, puis entra chez le Pérugin. […] Or, comme il peignait, il faisait mille folies, racontant aux bons pères les histoires les plus scandaleuses et leur faisant à brûle-pourpoint les propositions les plus incongrues, etc. […] Après avoir exposé les causes de cette abjection, le Convito ajoute : Il y a encore des hommes qui vivent et qui ne désespèrent pas, confiants dans la force ascendante de l’idéalité des pères, dans le pouvoir indestructible de la Beauté, dans la souveraine dignité de l’esprit, dans la nécessité des hiérarchies intellectuelles, et enfin dans l’efficacité de la parole. […] Je laisse à son sujet la parole à Alexandre Dumas père, auteur d’un volume sur elle : « Mais c’est qu’il faut le dire, l’art s’est développé et est tombé avec cette famille, et, chose étrange, a subi toutes les variations qu’elle eut à subir… etc. […] « Mais les Médicis — ajoute Dumas père — dorment en paix dans leurs tombeaux de marbre et de porphyre ; car ils ont plus fait pour la gloire du monde que n’avaient jamais fait avant eux, et que ne firent jamais depuis, ni princes, ni rois, ni empereurs. » (Les Médicis, édition Michel Lévy, pages 268 et 269.)
Le dernier acte de la pièce n’est que la bataille de ces deux âmes, le père et le fils athées, devant Ie mystère de la mort ; acte superbe, je suis heureux de le constater, qui a excité partout un enthousiasme sincère. […] Le père, lui, l’athée, accablé par ce malheur et par la chute soudaine de tout son édifice, murmure, égaré, la grande parole humaine : Chi sa ? […] Il a vite gaspillé son argent, en Amérique, il a essayé de toutes les professions, sauf d’en choisir une, et il n’a appris qu’à aimer cette pauvre jeune femme avec qui il revient, pâle et avili, à la maison du père. […] Mais le fils travaille à sa manière ; il travaille à ameuter peu à peu les ouvriers et les paysans contre son père ; et Giacomo Vettori se trouve un jour vis-à-vis d’une grève générale et menaçante. […] Je laisse tout, je vais partir ; je reviendrai plus tard pour voir ce que tu auras su faire : mes villas, mes fermes, mes établissements sont à toi ; va, et que le souvenir de ton père t’attriste !
Son père ! […] Qu’avait fait son père après mon départ ? […] Que lui avait dit son père ? […] Son père l’avait expédiée. […] Elle se tourna du côté de son père et le regarda en face.
Son père vit avec une servante de la maison, ce qui fait le malheur de L. Ce père me semble avoir beaucoup du caractère et de l’esprit de mon cousin Rebuffet et être, comme lui, peu apprécié.
Trois principautés chacune de trois ordres, d’après la suprême puissance du Père, la sagesse du Fils et l’amour du Saint-Esprit. […] Le suprême hiérophante de la Divine Comédie est saint Bernard, le père spirituel des Templiers, puisqu’il en composa la règle ; il porte la bianca stola et se réclame de Béatrice pour se rendre la vierge favorable.
Avant la nuit, Antonio, son père ou même la Ceschini auraient découvert ma retraite. […] J’ai ordonné au domestique de mon père de te suivre. […] On crut à un caprice d’Antonio et de son père. […] », oui elle m’a dit : « Merci, mon père ! […] « Merci, mon père !
Un Cecco d’Ascoli monte sur le bûcher en 1328, mais un siècle après, Gemiste Pléthon, le restaurateur du polythéisme, siège parmi les pères du concile de Florence. […] La duchesse de Mantoue lui écrit en des termes de bien grand respect et le roi de France l’appelle « mon Père ». […] Léonard, dans ses écrits, parle avec indifférence de la mort de Ser Piero, son père. […] Chez lui, pour déjouer l’exclusivisme ardent de son père, c’était sur les poètes primitifs de l’Angleterre qu’il portait ses études, ou bien il découvrait, avec un croissant enthousiasme, Keats, Browning et Shelley. […] Dans la tragédie d’Alfieri, elle n’a que des paroles de dévouement sévère, de résolution farouche, devant son père et devant son époux.
Mais le marmot vient à mourir, tandis que son père, dans la solitude d’Albano, trouve et aime une Claire Bregh ; et alors, puisqu’il n’y a plus rien à faire, la femme de Maurice Clarena revient. […] Le lendemain, la jeune fille, à qui le père reproche sa conduite scandaleuse, comprend tout à coup que cet intrus de la nuit se trouvait dans la maison pour un rendez-vous avec sa belle-mère, mais elle n’ose pas se défendre en accusant Olga, elle n’ose pas porter ce coup à son père adoré : elle baisse la tête, elle se résigne, elle épousera le littérateur qui était, qui est encore l’amant d’Olga ; et le mariage a lieu réellement, le sacrifice s’accomplit au quatrième acte, tandis qu’Olga triomphe et sourit au bon génie de l’adultère… Il n’y a pas besoin d’insister pour faire comprendre que cette pièce, personnages à part, est suffisamment scabreuse et discutable en soi-même ; je prévois si bien les objections des lecteurs que je ne m’arrête pas à les exposer pour mon compte. […] Ses souvenirs personnels et les malheurs d’une jeunesse bien triste le poussèrent à fuir le bruit des grandes villes modernes Il était encore enfant lorsque son père fut assassiné ; il connut la misère et la faim ; mais, loin de haïr les hommes, ceux mêmes qui lui ont fait tant de mal, le poète décèle pour tous une indulgence mélancolique, une douce tristesse pour l’incertitude de la destinée humaine. […] Elle a été trop souvent racontée pour que nous nous y attardions et toutes les revues d’art ont cité plus ou moins du fragment autobiographique où le maître avait narré, avec un humour souriant et attendri, eu même temps qu’une verve un peu italienne, sa fuite de Milan lorsque son père l’y eut abandonné et son séjour chez de braves paysans lombards qui firent de lui un petit porcher. […] Nous n’essayerons pas d’établir les variantes : nous avons vu tant de fois depuis Paris 1889 paraître ce motif dans les œuvres exposées par Segantini un peu partout, nous l’avons vu tant de fois reproduit et il a tellement séduit non seulement tous ceux qui, dans un public, se sentent des entrailles de père ou de mère, mais tous les affamés qui recherchent la trace, dans l’art contemporain, de sentiments religieux, que nous sommes tentés de croire qu’il s’est agi à peu près chaque fois de répétitions.
Chapitre LX On met au premier rang des musiciens non inventeurs Vinci, le père de ceux qui ont écrit pour la théorie.
[Le 19, son père, après dîner, me parle du départ devant elle.
Il est le roi et le père du pays qu’il habile, il fait le bonheur de ce qui l’entoure, et il est aussi bon père de famille que bon poète.
Piero Antonio, son père, était d’une famille noble de Florence, les Vinci du Val d’Arno, et Léonard, délicatement élevé parmi les vrais descendants de cette maison, était l’enfant d’amour de sa jeunesse, doué d’une nature ardente et puissante, comme il arrive souvent en pareil cas. […] Son père, voyant les promesses de ce précoce génie, emmena l’enfant à l’atelier d’Andrea del Verrocchio, alors l’artiste le plus célèbre de Florence. […] Ces lézards, ces lampyres et toutes ces petites créatures étranges qui hantent un vignoble italien évoquent le tableau complet de la vie d’un enfant dans un village toscan, moitié château, moitié ferme, et sont aussi conformes à la nature que l’étonnement feint du père pour qui son garçon a préparé une surprise. […] En 1492, Laurent de Médicis mourait, laissant un fils sans énergie, tout adonné aux plaisirs, incapable de maintenir intact la puissance acquise par son père et de se mouvoir habilement au milieu des difficultés croissantes de la situation. […] L’une s’est réinstallée à l’Opéra-Comique, l’autre vient de pendre très gaîment la crémaillère à la Renaissance, et leurs heureux pères, MM.
Son nom est acclamé comme celui d’un « père de la poésie ».
Mais comme ce serait reculer bien loin Boucher le fils, que de remettre à le faire jouir de cette grâce à deux ans d’icy où on commencerait le bénéfice de ces quatrièmes années, je vous supplie, Monsieur, de vouloir bien accorder cette faveur à la considération d’un père célèbre par ses talents, et que d’ailleurs vous affectionnez, en ordonnant que son fils parte dès l’automne de l’année prochaine et lui accordant pour cet effet pendant la première année qui s’écoulera une pension de gratification, ainsi que vous avez déjà bien voulu faire pour quelques autres.
Septentrionaux, méridionaux et insulaires, peuple et bourgeoisie ont, pour la première fois, dans le danger et dans l’espérance, acquis le sens de la grande entreprise douloureuse des pères, de la conquête pacifique des fils qui est l’Italie unifiée. […] Scipio Slataper, Triestin, de père d’origine slave, était un témoignage de la force d’assimilation de la culture italienne. […] Eugenio Vaina, de père hongrois et de mère italienne, était de la lignée de ces étrangers idéalistes qui vinrent en Italie lors du Risorgimento pour combattre pour toutes les patries et pour toutes les libertés. […] » Et les doctes d’affecter un air important et de prendre à témoin les traditions qui justifient nos pères, qui firent aussi de l’histoire, — parfois même sans le savoir. […] Il a vu son père et sa mère périr dans un palais en flammes pour avoir voulu sauver un petit chien hargneux.
Près de lui son frère coloriait trois pères éternels déjà dessinés et destinés à représenter la Trinité ; il se servait d’un unique pinceau trempé successivement dans des godets pleins de couleurs délayées à l’eau ; ces couleurs étaient le jaune, le rouge, le bleu, le vert, le noir, le violet, le chair et rien de plus : « Haleka-Luccas, ayant lui-même terminé son dessin, prit un pinceau et se mit à colorier. […] Hamlet ne sachant rien ne peut, par conséquent, se créer l’hallucination du fantôme de son père… Quant à la terreur de l’inconnu, plus qu’une sensation, c’est un sentiment qui peut devenir, si l’on veut, un moment de l’action dramatique, mais qui ne saurait, comme semble le prétendre M.
Car, à l’exemple de son père d’élection, elle voulut aussi faire des Essais. […] À l’excellence des traditions qu’ils tenaient de leur père, ils ajoutaient la parfaite connaissance des nouveaux procédés de peinture, qu’Antonello de Messine était allé chercher, en Flandre, auprès de Jean de Bruges. […] J’ai chanté sous ses fenêtres, mais son père et ses frères m’ont poursuivi. […] j’ai cru que Giorgio était père et que la grâce du monde rayonnait, actuellement, pour lui, sur la figure d’un bambin… — Dois-je préparer des cadeaux de baptême ? […] Notre père vénérable nous a élevés selon les coutumes antiques de plus en plus méprisées, hélas !
À côté de moi toute une famille : la mère, trois enfants, le père ; ce dernier d’allure brutale et sanguine. […] Pendant que tout le monde s’est installé, les enfants ont hurlé, fait grand tapage ; puis, le père les ayant giflés largement, chacun à leur tour, ils se sont endormis et les voici dans un profond sommeil. […] Prod’homme étaya d’une documentation certaine et d’instructifs détails sur, à tout le moins, la technique d’un jeu à propos de quoi l’enthousiasme effaré de nos pères oscillait de l’énigme au miracle. […] Hippolyte ne tue pas l’épouse de son père, il n’abaisse pas la hache meurtrière que sa fureur avait levée contre la femme. […] Des fièvres de marais et de l’atmosphère malsaine des environs de Rome, l’auteur a su dégager une idylle tragique dont le héros est vieux, l’héroïne trop jeune pour donner le jour à deux jumeaux ; c’est, de nouveau, les petits de la louve et ils seront pères à leur tour de tous les arts exaspérés et violents.
Le Héros n’obéissait pas à la volonté du Destin, ne semblait même pas obéir à la Volonté du Père. […] Il est un des pères du roman local, du roman de terroir ; mais certainement, plus que personne, il y a apporté de l’humanité générale. […] Il a jusqu’ici beaucoup espéré de son père, qu’il croit riche et qu’il juge avare. Mais son père ne veut rien lâcher. […] La roche est escarpée, l’eau est profonde, et le jésuite (son père n’a que 70 [ans].
Lucas, encore existant, affirma avoir vu son père travailler à ce buste. […] C’est vers la femme, la seconde femme de son père, que la jeune femme voit se tourner son mari ; elle écrit à son père, il accourt de Paris à Taormina, et, instigué par le monstre, il précipite, détermine, cause les événements dont tous souffrent, et qui peut-être auraient pu être évités. […] L’idée de Père, de l’Ancien des jours nous force à faire de l’Éternel un vieillard, malgré l’insanité de montrer le Tout-Puissant en un état qui annonce la prochaine et fatale décadence des facultés et des forces. […] C’est là que j’use surtout de la liberté mélancolique d’errer, de parler, de pleurer, le long de ces rues désertes, de ces maisons inconnues, de ces églises hospitalières où je me précipite comme si j’entrais par une porte dérobée dans la maison de mon père. […] Le véritable nom de Longhi était Falca et notre Pietro, qui naquit en 1702, eut pour père un Alexandre Falca qui était fondeur d’argent.
Doit-on tenir Monteverdi pour « le père de l’instrumentation » ? […] Cela n’a pas eu d’autre importance ; les physiologies sont restées les mêmes, parce que le climat demeurait le même, parce que le sol, père de toute vie, demeurait immuable. […] Plusieurs de ses nouvelles (Duchoux, l’Abandonné, Un Fils, le Champ d’oliviers) nous montrent directement un père ou une mère placés par la force des choses en face de l’enfant grandi, dont ils ignoraient l’existence, ou que leur intérêt les avait contraints d’écarter très loin de leur propre vie. […] « Il y a d’abord, en lui, a-t-on déjà remarqué, l’hérédité morale de deux familles : les Médicis, exploiteurs et tyrans de la démocratie florentine ; les Soderini, défenseurs des vieilles traditions libres de cette démocratie. » Son père, l’incapable et besogneux Pierre-François de Médicis, tout descendant qu’il fût du Magnifique, ne lui laisse qu’un maigre patrimoine ; et, dans les questions d’intérêt qui divisent perpétuellement avec tant d’âpreté cette énorme tribu des Médicis aux multiples lignées rivalisantes, Lorenzino a toujours une position plus ou moins sacrifiée.
………………………………… Ô pères !
Casanova était du reste plein de respect pour sa dupe, qu’il aimait comme un père, lequel lui rendait l’affection qu’il aurait eue pour son fils. […] Je perdais un homme qui, depuis vingt-deux ans, me tenait lieu de père, vivant avec économie et s’endettant même pour fournir à mes besoins. […] Fut baptisé Jacques-Charles, né d’hier, fils d’Antoine Lacrosse, bourgeois de Paris, et de Charlotte Lamotte, ses père et mère (mot illisible), faubourg Saint-Denis, de cette paroisse. […] Le poète adolescent, perdu avec sa petite famille dans une campagne romagnole, vit une nuit s’arrêter dans la cour de la maison la voiture souillée de boue et de sang où gisait son père assassiné. […] On court avertir Alcinoos : « Ô dieux, s’écrie celui-ci, vont-elles donc s’accomplir les prophéties de mon père qui a établi ici notre peuple !
Son père, médecin, le fit transporter à Rapallo et « entreprit d’achever l’ouvrage de la nature et de travailler à la formation de l’enfant avec le même artifice que celui dont on se sert pour faire éclore les poulets en Égypte » ; il fit mettre son fils dans un four et réussit dans son entreprise à tel point que l’enfant vécut soixante-dix-neuf ans. […] Il faut ajouter que l’extraordinaire étendue des connaissances de Liceti témoigne avec sa longévité de l’excellence du traitement que son père avait imaginé pour l’élever. […] Il dit que Mesnil n’est pas le nom de mon père et me traite d’anarchiste et de collaborateur de Demain. […] Mesnil vise, il faut bien que je lui réponde : i° Père de trois enfants, n’ayant été astreint avant la guerre à aucune obligation militaire, j’appartiens à une catégorie de Belges exilés qui n’a pas encore été mobilisée ; 2° Jamais je n’ai dit ni écrit : jusqu’au bout ! […] Il est comme un père affectueux, mais intelligent, qui subvient aux besoins de son fils, sans rien abdiquer des droits de la paternité.
Très vénéré père. […] Ces jours-ci on m’a parlé pour toi de la fille d’Altovito Altoviti ; elle n’a ni père ni mère et est au couvent de San Martino. […] Très saint Père. […] Il est une autre sorte de distribution53, quand en élevant le bâtiment on tiendra compte de l’usage qu’en veut faire le père de famille.
Les lignes douces et graves de l’abside, dont toute une partie se maintient dans ce clair-obscur déjà cher au premier en date, au père des peintres flamands, ferment bien le fond selon les lois qui gouvernent, chez les Van Eyck et leurs successeurs, l’esthétique du Paradis. […] Ni l’une ni l’autre n’ont d’auréole, toutes deux sont d’une réalité, d’une familiarité évidentes : mais cette nourrice au sein nu est plus chaste que la noble madone italienne richement vêtue ; mais ce bébé aux genoux repliés vers les coudes, ce quasi-fœtus avec le développement exagéré de la tête et ses joues gonflées, est plus émouvant que l’élégant bambino. — Naturellement, la vierge de Quentin, à travers ses paupières baissées, n’a de regards que pour son fils, et c’est le père, le gardien, le vigilant, qui surveille l’horizon.
Il a écrit que le Poète jette dans la masse incandescente les mémoires et les gloires, le passé et l’avenir de ses pères et de sa race.
Ce grand poète envisageait toujours la parabole d’une idée avant de l’écrire, et pour cela c’est le père du socialisme, qui ne s’en doute guère.
Ce n’est plus le démon hirsute et monstrueux du Moyen-Âge, pourvu de queue et de cornes, qui allait caresser les vierges dans les monastères et susciter les fièvres solitaires des Pères dans le Désert.
C’est le cas d’Ulysse remettant Chryséïs à son père, de David sacré roi par Samuel, du Débarquement de Cléopâtre à Tarse, et de tant d’autres qu’on ne voit même plus et qui sont à jamais perdus sous les vernis épaissis et les restaurations assassines. […] Traductions Chez l’éditeur Barbèra, de Florence, vient de paraître en deux volumes la traduction italienne, par Mme Emma Boghen-Conigliani, de les Pères et les enfants au xixe siècle, par M. […] […] Et cela s’appellera Jéroboam sacrifiant aux Idoles … Boucher avait bien concouru avec : Evilmerodach, fils et successeur de Nabuchodonosor, délivrant Joachim des chaînes dans lesquelles son père le retenait depuis longtemps… Fragonard remporta le prix.