Une part légitime de l’ovation revient, certes, à Mlle Legrand, qui sut chanter en tragédienne au lieu de se croire au concert. […] Alors, certes, en dépit de la sténographie calzabigienne, ses héros ne « déclament » plus du tout : l’action s’arrête, et ils chantent un air de concert. […] Certes, Gluck ne fut qu’un piètre polyphoniste, et c’est sans doute à quoi pensait Haendel eu lui préférant « son cuisinier ». […] « Oui, certes, nous dit Mathilde Serao, c’est un pays trop long que l’Italie ! […] Certes elle l’avait regardé d’une curieuse façon… — Comme vous voudrez, mon ami.
» Certes, Casanova, qui avait à l’auberge, dans les loisirs que lui laissaient ses conversations avec Voltaire, de plus positives satisfactions, ne se laissait pas distraire par les servantes des Délices ; mais son esprit n’en était pas pour cela plus complaisant et plus docile aux propos de son hôte. […] Et la révolte théâtrale, par la complexité des intérêts que le théâtre réunit, et par l’âpreté marchande des entrepreneurs de spectacles, est certes en ce moment la plus violente qui émeuve les plumes italiennes jeunes et vieilles. […] Le vers fondamental italien, le vers de onze syllabes, tantôt puissant, tantôt souple et insidieux, y prend tous les aspects rythmiques de la prosodie italienne, et révèle en images plastiques la plus profonde et la plus belle tragédie, certes, du théâtre contemporain. […] Butti est certes le plus important et le plus significatif.
— Certes ! […] — Certes ! […] — Certes ! […] » — Certes, bons camarades, ce jour-là, Giorgio sera fou ! […] … — Oh certes !
Elle ne fut certes pas banale et inspirait des réflexions assez variées. […] Certes, Mlle Sirède ressuscitait superbement une Anne d’Autriche imposante, Mlle Faivre, un délicieux Louis XIV en miniature, et M. […] § Antonio Fogazzaro, certes, ne donne guère à l’actualité militaire, et cela se comprend, son œuvre étant toute en reflets de la vie intérieure sur le miroir terni du réel. […] Certes, il est plus aisé d’ignorer ces inquiétudes intérieures ou d’en affirmer le néant. […] Pascoli ne voit pas seulement la projection d’un acte humain dans l’histoire, il voit aussi, — certes, avec plus d’allégresse, — la projection d’un peu d’amour dans l’acte le plus simple, dans un geste fraternel, dans un geste d’abnégation.
La sûreté dans le choix des timbres, la hardiesse heureuse de certaines combinaisons d’instruments, que ne désavouerait certes pas un musicien d’expérience, prouvent en tout cas que M. […] Canaletto, discrètement, aime et connaît bien sa ville, il en traduit avec une ferveur et une sensibilité tendres la couleur foncière, fondamentale, et certes par lui on se fait une sûre et chantante idée de la cité sur la lagune. […] Je n’apporterai, certes ! […] Voilà, certes, un événement artistique d’une singulière importance. […] Certes, l’attitude a une parfaite modestie, l’œil est limpide, — mais il nous regarde ; la main gauche de Marie tient à l’épaule l’enfant nu : les mains maternelles sont chargées de l’enfant, le regard lui est étranger.
Ces quelques pages ne suffisent pas, certes, à décréter cet oratorio un chef-d’œuvre et à saluer en don Lorenzo Perosi un génie, mais elles autorisent toutes les espérances. […] Ce bon Vallardi en avait attribué toutes les pièces au Vinci : une étude plus attentive a fait restituer au Pisanello celles qui lui appartenaient, — le précieux recueil étant composé, ainsi que les analogues de l’Ambrosienne de Milan, d’œuvres de Léonard, certes, mais d’autres encore, de Cesaro de Sesto, notamment. […] Vittore Pisano, de San Virgilio sur le lac de Garde, est certes un des plus grands. […] » Certes, M. […] On ne s’est pas ennuyé certes, mais on ne ressent nul désir de passer une seconde soirée dans les mêmes conditions.
Formiggini, Gênes La production italienne ne se borne certes pas à ces recueils qui n’apportent d’ailleurs rien à la marche d’une littérature. […] Ils n’ont certes ni l’aisance ni l’instruction de vos admirables ouvriers français, mais il y a progrès malgré un gouvernement que vous trouvez détestable. […] La lettre de « Giuseppe Fiorentino » n’est certes pas faite pour relever le crédit du « nationalisme » auprès des gens qui réfléchissent et ne se laissent pas éblouir par l’esprit de ce monsieur : M. […] Que ces gens aient pu commettre impunément leurs irrégularités en plein jour, ne parle certes point en faveur de l’élévation de la conscience publique en Italie et je ne conçois pas comment le sieur « Giuseppe Fiorentino » vante cela comme une supériorité de sa nation. […] La coïncidence est aussi complète que possible ; certes, elle nous encourage à interroger de nouveau Scylax sur la durée de la navigation de retour.
Certes, elle s’ennuyait un peu. […] — Certes non ! […] — Certes ! […] Certes ! […] Certes, il y a encore de l’argent ; mais il est timide ; il se cache.
Certes, il faut se garder d’accepter sans contrôle ou sans examen tous les détails de cet épisode. […] D’ailleurs, Casanova lui-même a senti le besoin de se ménager le crédit de ses lecteurs par une ingénieuse déclaration ; quand il a pris congé de Voltaire, avant de se mettre en route pour Annecy et Aix en Savoie, il a soin de noter tout ce qu’il a vu ou entendu aux Délices et surtout ce qu’il y a dit : « Je passai une partie de la nuit, confesse-t-il, et presque tout le jour suivant à écrire mes conversations avec Voltaire ; je fis presque un volume, dont je ne confie ici qu’un faible abrégé1. » Certes, ce livre devrait être curieux et il est regrettable que le manuscrit n’en soit pas parvenu jusqu’à nous. […] Certes, c’est une curieuse figure, même dans ce xviiie siècle si fécond en originaux de toute sorte, que cet aventurier des lettres et de l’amour : Voltaire l’appelle son cher cygne de Padoue, le Brillant et sage Algarotti À qui le ciel a départi L’art d’aimer, d’écrire et de plaire.
On ne pourrait certes point considérer comme tels son classicisme de la forme et son érudition riche et variée ; il n’en est pas moins vrai qu’il y a là un assez grave obstacle à la diffusion de ses poèmes. […] Certes, plusieurs de ces édifices furent grandioses, tel le Colysée, tel le palais des Césars dont on voit encore les ruines, tel le théâtre de Pompée, avec son portique de 100 colonnes dont les intervalles étaient ornés de voiles attaliques.
Réjouissantes, certes ; équivalentes, non. […] Certes, son œil ne se fût agrandi, mais eût découvert d’humbles et de vibrants trésors, sources de splendeurs, d’intimités, de charmes émus, sources fraîches qui ont inspiré ce qu’il y a de plus pur et de plus haut dans les œuvres humaines. […] Sous ce rapport, Lombroso n’est certes pas un médiocre : l’erreur prend chez lui des proportions énormes, il se trompe d’une manière robuste et délibérée ; une fois entré dans une voie, il va droit devant lui et ne se laisse arrêter par rien, il est entier, il a le courage de sa bêtise. […] Certes, entre tous les poèmes, celui de Dante apparaît comme le plus impossible à illustrer. […] Certes, l’harmonie qui s’en dégage reflète mal l’immense joie qui déborde du vibrant Gloria Patri entonné par l’église triomphante ; mais une illustration adéquate exigerait des dons si spéciaux !
Rien ne semble, certes, plus idoine à corrompre jusqu’à l’avilissement les aspirations d’un grand public en train de devenir mélomane et que l’impuissance sénile de M. […] Certes, contrairement à ce qu’on l’a dit, je ne crois pas qu’il soit aller trop loin que de voir en Charlemagne le héros national de l’Italie. […] Certes aujourd’hui nous pouvons la comprendre plus profondément que ne le purent les lettrés de 1830. […] Certes, l’artiste rarement a fait le tour de la notion angélique ; il en subit le charme et il l’a reflété de telle sorte que les plus beaux êtres sont forcément des esprits. […] Notre héros n’est certes plus celui de cape et d’épée, fleuri au milieu des temps de mœurs militaires, comme la fleur du sang généreux de la race.
Tentative hardie, certes, et que nul n’a reprise. […] Certes, celui qui commande à de si impétueuses puissances sera seigneur des peuples et aucun génie ne résistera à ses implacables forces ! […] Niceforo a apporté à la science anthropologique une série de recherches, toute une orientation même, certes des plus remarquables. […] Carducci, dont une des principales qualités fut celle d’être, pendant la période virile de sa vie, un homme plein de dédain pour tout apparat officiel, eût certes condamné ses nouveaux adeptes dithyrambiques et les eût peut-être chassés du Temple. […] Cet homme, certes très jeune, est un grand poète.
Oui, certes, je le devais. […] Certes, il ne me provoquerait pas. […] En ce qui concerne Machiavel, certes, je ne range point parmi les sincères convenances morales ou critiques à juger avec modération dans l’époque de 1830, un pauvre essai doctrinaire comme celui d’Artaud de Montor. […] Les Italiens certes ont encore peu bâti et n’ont changé en aucune manière la physionomie de la ville. […] Certes, à cette époque, si le gouvernement de Rome l’eût voulu, le prétexte du coup d’éventail eût été facilement trouvé.
Certes, il reste assez indifférent aux Anglais, aux Français, aux Italiens que le Bulgare soit un hérétique au regard de l’orthodoxie ; mais ce dont il faut s’apercevoir, c’est de sa malfaisance.
Ce n’est pas certes un livre d’affirmations ou de révélations ; la volonté d’être étrange par la voie des contradictions psychologiques et paradoxales, par la voie des antinomies, y est souvent manifeste ; il y a aussi un abus romantique de thé, de café, de haschisch et de larmes.
Il est possible qu’ils en sachent sur beaucoup de choses bien moins long que nous, car, là-bas, la nature est trop belle — et pour eux, le mot de Méphistophélès est, certes, plus vrai que pour nous — mais n’importe, vous ne leur ferez jamais prendre des lanternes pour des étoiles. […] Et, certes, cette réaction partait directement de la Bible, car il est facile de reconnaître des façons de docteurs de la loi, race de ces scribes qu’anathématisa Jésus, et venus, pour surcroît de supercherie, après les charlatanismes de Simon-le-Magicien, dans ces astrologues juifs qui prédirent, en Asie-Mineure, la pourpre à l’Isaurien, alors enfant, sous la condition qu’il abolirait le culte des Images.
Jusque-là, on souhaitait certes « le succès », mais on le cherchait proprement et on aboutissait parfois à des chefs d’œuvre, témoin la Dame Blanche, et Guillaume Tell lui-même à maints égards. […] Mlle Yvonne Gall chanta certes admirablement, et M. […] Et là, certes oui, il est « irrésistible ». […] Elle s’ingénie à des manifestations scientifiques et industrielles certes très neuves et très fortes, mais qui n’ont pas ce cachet de génialité et d’originalité qui est le secret du succès universel. […] Mais ils laissent presque toujours, malgré le bonheur étonnant de l’expression, un sens de vide et de froid : il y a là certes de l’art et un art raffiné mais il n’y a presque jamais le frisson de la poésie.
Quand je me promène avec un ami dans un musée et qu’il me montre les chefs-d’œuvre catalogués, certes, je les admire avec lui. […] Certes, la question d’art ainsi posée montre un but singulièrement élevé à l’effort au chercheur ; et lui seul peut donner ce que ne donnera jamais le praticien décorateur doublé de son mouleur.
» Certes, il a la note réaliste, quand il (Vinci) dit : “L’homme, comme l’animal, est un canal pour la nourriture, un lieu de sépulture pour les animaux, une auberge de mort, une gaine de corruption et il ne conserve sa vie que par la mort d’autres créatures”, mais il proclame “que l’Âme est indépendante de la matière et que notre corps est le sujet du ciel, comme le ciel est le sujet de l’esprit”. […] Leoncavallo apparaît, certes, le pince-sans-rire le plus étourdissant de la troupe. […] Ce n’est, certes, pas un ciel d’Italie, mais c’est peut-être un ciel d’opéra « vériste ». — Serait-ce un symbole ? […] Le groupe est d’une forte plasticité que l’on remarquera souvent chez Segantini ; il s’inscrirait avec énergie et agrément dans un médaillon décoratif en vigoureux relief à la Della Robbia, L’artiste qui a su voir cela, certes, est déjà à la hauteur de Millet, à qui plus tard (1885) des esprits superficiels le compareront ; erreur explicable seulement par ce désir de découvrir de subtiles analogies qui, souvent, distrait même les plus érudits des grandes lignes essentielles.
Le mystérieux Antonio da Negroponte, dont on ignore toute la vie et dont on ne connaît qu’une œuvre, mais d’une exquise beauté, la Madone de San Francesco della Vigna, fut certes d’un exemple profitable aux squarcionesques, Bartolomeo Vivarini et Carlo Crivelli.
Certes, les mariages dits de « convenance », « de raison » ou « d’argent » sont trop nombreux dans les sociétés actuelles, et l’on ne peut entièrement donner tort à M. […] Certes, la composition en est harmonieuse, et la langue en est belle, bien qu’assez peu personnelle : au reste, il ne faut pas oublier que M. d’Annunzio, écrivant la Ville morte directement en français, n’écrivait pas dans sa langue maternelle, et je sais bien des auteurs français, et des plus applaudis, à qui cet Italien pourrait donner des leçons de style. […] P. de Lauribar, écrit de visu et d’après les témoignages des officiers italiens est heureusement d’un autre intérêt7 ; l’histoire de la conquête et de la guerre y tient une large place, mais on y a consigné des faits nombreux sur les régions diverses du Tigré et de l’Érythrée, les habitants et les mœurs : et les Abyssins apparaissent ici ce qu’ils sont très réellement, c’est-à-dire un peuple primitif et guerrier, haineux, fourbe et cruel, ayant certes les qualités de ses défauts, la bravoure, le dévouement parfois à des chefs choisis, une endurance extrême aux fatigues de ses expéditions continuelles, l’amour de l’indépendance et du sol.
Aucun, certes.
Certes, s’il y a imitation, cette imitation n’a absolument rien de servile ; mais il y a souvenir plutôt qu’imitation volontaire et consciente.
Son commentaire musical est rempli d’intérêt, encore que discutable en maint endroit peut-être, mais on sent que l’auteur connaît à fond ce dont il parle, ce qui n’est certes pas banal à l’heure actuelle en parlant de Tancrède, de Moïse et d’Othello. […] Verga, le romancier vériste, éclipsé par la notoriété de M. d’Annunzio : Certes, l’Enfant de volupté, le Feu apparaissent comme les réalisations des rêves d’un fort beau cerveau, très moderne, très informé, et parallèlement au courant d’art français social, il faut compter que d’Annunzio par des poèmes tout modernes, comme son Ode à Garibaldi, ouvre en Italie, peut-être plus largement qu’on n’avait pu la frayer chez nous, une voie féconde. […] Vittorio Pica, le réputé critique et essayiste, de Giovanni Verga et des romanciers italiens dits « véristes », et je déplorai, tout comme mon interlocuteur, du reste, l’éclipse subie par la gloire du conteur sicilien au profit de la renommée certes méritée, mais un peu trop « monopolisée » tout de même, du brillant et ardent d’Annunzio. […] Le progrès des échanges, de 1898 à 1905, n’est certes pas inférieur à 800 millions de francs, soit à plus de 25 p. 100. […] Je ne citerai certes en exemple ni la France républicaine, ni l’Angleterre constitutionnelle, ni l’Allemagne semi-absolutiste ; mais il faut bien reconnaître que l’Italie a poussé, beaucoup plus loin que toutes ses voisines, les abus du parlementarisme combinés avec l’arbitraire bureaucratique.
Certes, je ne veux pas critiquer l’érudition de votre correspondant, ni la patience qu’il a montrée à traduire en alexandrins les rudes hendécasyllabes de l’Alighieri. […] Non certes ! […] Certes, il est des curés de campagne, des religieux qui, au front ou parmi leurs ouailles, firent preuve du plus sincère patriotisme. […] Certes, elle avait fait preuve d’une décision courageuse pour se soustraire à l’ancienne emprise allemande et affronter la dure lutte contre ce peuple de proie, mais son âme se ressentait encore de sa trop longue alliance avec lui, elle raisonnait un peu à sa façon en pensant à tel ou tel autre peuple ; aujourd’hui tout cet ancien kaisérisme est dissipé ; à la dure épreuve de la guerre, l’Italie s’est purifiée, et désormais elle est tout à fait digne de notre sainte cause ; plus de jalousies mesquines contre les Grecs et les Yougoslaves, plus de machiavélique désir de conserver une Autriche affaiblie contre de jeunes peuples désireux de reconquérir leurs droits, l’Italie sait qu’elle a avant tout à abattre l’ennemi, l’Austro-Allemagne, et l’œuvre de destruction des rois-tyrans ne peut se faire que par l’œuvre de libération des peuples tyrannisés. […] Certes, M.
Certes, l’enthousiasme avec lequel l’énorme majorité de la population s’est rangée à la cause des Alliés prouve bien que l’Italie marcherait avec transport contre i Tedeschi, pour les obliger à lâcher ce qu’ils détiennent de l’Italia irredenta. […] Mais on ne peut en déduire qu’il soit souhaitable d’accroître le nombre des bévues ; et certes, quant à moi, je ne suis pas fait pour cette besogne et je déplore que dans d’autres pays mes collègues en philosophie s’en soient chargés, quand il leur eût mieux convenu de se taire. « Mais vous devez éprouver au moins le besoin de réfuter, pour le profit de tous, ce que vous appelez des bévues. » C’est ce que je fais, mais avec discrétion, parce que, comme je l’ai dit, ce n’est pas l’heure des maîtres d’école : il y a autre chose à faire : il faut vaincre pour l’Italie.
Leconte de Lisle, Vigny, Hugo, s’élancent vers les triomphes de l’homme légendaire avec une hardiesse que la puissance n’égale certes pas toujours, mais au seuil de la civilisation qui sera la nôtre, sortie de la dernière Cosmogonie et de la dernière Morale de l’Occident, sortie du Christianisme, tous les grands poètes français du xixe siècle écoutèrent frémir dans la profondeur de l’âme gauloise, l’âme antique et nouvelle du monde.
Elle devait résister à la perspicacité, autrement aiguë que la nôtre, des révérends inquisiteurs qui certes, avec deux lignes d’un homme, se chargeaient fort bien de le faire brûler, ad majorem Dei gloriam.
Certes, la colère jalouse de Silvia donne matière à des scènes assez dramatiques, mais qui, il faut l’avouer, ne sont pas très neuves et auxquelles n’ajoutent rien les longues dissertations qui les ont précédées. […] C’est vrai que j’ai oublié de lui payer mes dettes, mais ce n’est certes point par mauvaise volonté. […] Certes il était heureux de franchir les Alpes et de voir la Ville qui, sous les Papes comme sous les Césars, était demeurée le premier théâtre du monde, mais il l’était surtout à la pensée qu’il allait trouver, au service du cardinal, l’emploi de ses facultés actives, car lui aussi se croyait l’étoffe d’un homme d’action. […] Certes la civilisation présente est pleine d’éclat : loin de la condamner dans ce qu’elle a de légitime, l’Église applaudit à des résultats qui doivent être mis au nombre des fruits du Christianisme.