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2. (1913) Articles du Mercure de France, année 1913

D’un regard, il avait tout compris. […] Elle allait paraître ; elle allait me jeter un regard ardent et tendre. […] Elle entra dans le salon, et s’approcha de son père, toujours le regard fixé sur le sol. […] Son regard était toujours tendre et chargé d’amour, mais il me semblait aussi ombré de honte. […] J’étais fier d’être à son côté et les regards d’admiration qu’on lui adressait m’enivraient.

3. (1896) Articles du Mercure de France, année 1896

» Et que l’arbre, le rocher, la fleur, le nuage, l’ombre et la lumière, la montagne et la mer, l’homme dans toute la nature, te révèlent toujours à mon regard adorant !  […] Le regard des yeux meurt comme étouffé sous la lourdeur des paupières tombantes ; là déjà, sans le concours d’aucune patine, le maître peintre qu’a voulu rester Rosso sculpteur a su rendre saisissable par la mise en valeur l’éclat pourpré du nez en fraise, la violâtre bouffissure des joues. […] Les paupières se ferment comme pour un sommeil sans réveil ; et les lèvres faibles tremblent l’exhalaison lente d’une plainte douce et mourante. — L’Enfant Juif : autre face de bébé, toute béante, toute ravie, avec un rien de songerie grave dans le regard fixe et réfléchi. […] Il quitte le boulevard Voltaire, installe sa première fonderie rue Cauchois et se lance dans des études d’un ordre nouveau et d’une extrême audace : La Femme sortant de l’Église : figure gazée d’une longue voilette flottante, émergeant vive et franche, au grand jour d’une obscure décoration façonnée en impression de portail ; — le Sportman, homme de belle santé, pris en plein soleil sur un champ de courses, insolemment campé, le gibus provoquant, le veston tendu, fouetté d’air vif, trempé de soleil ; — l’Enfant au sein, vorace, animalement absorbé par sa succion goulue, la joue ballonnée, pétrissant de sa menotte grasse et forte la bonne et tendre mamelle qui palpite hors de la chemise froissée ; — la Cantatrice, impression de femme faite pour un éclairage très spécial, blanche figure à peine dégagée de la matière et qui semble d’abord indistincte, à peine dessinée par quelques traits d’esquisse, puis, peu à peu, s’éclaire, s’agite, s’anime sous le regard, se complète, s’exprime et se béatifie en l’exaltation de quelque vocalise éperdue.

4. (1900) Articles du Mercure de France, année 1900

Du Sodoma, c’est une Pietà superbe ; de Luini, une femme au sourire franc, au regard profond, à la chevelure étoilée de fleurs, où le grand fresquiste se retrouve. […] dit-il en promenant un regard circulaire. — Est-ce toi, Stazia ? […] Puis, reportant son regard sur les femmes, il vit le cercle se resserrer sans cesse autour de lui, à tel point qu’il n’aurait pu étendre les bras sans toucher Dircé et Stérope. […] La luxuriante imagination de Botticelli s’est déployée dans la portraiture de ces diables, mais sans réussir à leur donner un air réellement féroce, ni des regards perfides. […] Malgré la haute admiration que l’on avait pour Botticelli et malgré la beauté de son œuvre, ou dut dissimuler aux regards cette Assomption si subtilement hétérodoxe.

5. (1912) Articles du Mercure de France, année 1912

À la fin du même mois, un morceau de marbre noir poli, épais d’un pouce, long de six et large de trois, attira mes regards ; je m’en emparai sans savoir encore ce que j’en ferais, et je le cachai dans ma prison, ayant soin de le couvrir avec mes chemises. […] Quant à l’âme, … quant à cette âme prodigieuse de Dante, inouïe de puissance d’amour, et qui, à travers tant de misères, alla jusqu’au bout de la destinée d’amour où la jeta, dès l’enfance, un regard de l’Adorée, quel abîme interroger sur son origine ? […] Née du regard de Béatrice, née des profondeurs de sa propre âme, une sublime destinée d’amour emporte et conduit Dante à travers et par-delà tous les orages de la vie. […] Et les regards du poète voient les ombres inévitables des êtres qui viennent de tous les horizons de la mort, qui vont vers tous les horizons de la vie, répétant, automates du Destin immuable, les gestes du labour et ceux de l’ensemencement, ceux des moissons et ceux des vendanges, ceux de l’amour et ceux de la mort, sans trêve, sans trêve. […] Quand Ulysse arrive en vue de Schérie, ce qui frappe tout d’abord ses regards, aux premières lueurs du jour, ce sont « les montagnes ombreuses des Phéaciens ».

6. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »

Et vous, pour le plaisir et l’utilité desquels je disserte, dans quel aveuglement vivez-vous, si, au lieu de lever vos regards vers ces sublimes spectacles, vous les tenez fixés sur la fange de votre sottise. » VI. — Comme cette dame possède véritablement la perfection, Dieu, qui l’a comblée de grâces, la chérit comme son œuvre la meilleure. […] VI. — Récapitulation d’Aristote et de Platon : « Aristote est donc celui qui a dirigé les regards et les pas du genre humain vers le but auquel il doit tendre. » Ô malheur à vous, les gouvernants actuels !

7. (1911) Articles du Mercure de France, année 1911

  J’échangeai un regard avec Daniel. […] On eût dit que sa vie dépendait de ce regard acharné. […] Dès le premier regard, je compris que je lui appartenais. Dès le premier regard, elle eut peur, m’avoua-t-elle plus tard, de devenir mon esclave. […] Elle promenait sur l’assistance des regards d’animal indifférent.

8. (1903) Articles du Mercure de France, année 1903

Personne n’a poussé aussi loin l’expression spirituelle, et si quelques-uns se dépitent de ne plus voir en lui l’occultiste traditionnel, qu’ils aillent au Louvre affronter le regard du Saint Jean à mi-corps, son chef-d’œuvre. Dans ces yeux de paradis, la vraie magie de l’intelligence brille d’un tel éclat que les autres regards semblent purement animiques. […] Et elle n’a pas un regard pour Massimo, nulle pitié pour son amour : elle poursuit un idéal nébuleux qui lui semble mille fois plus enivrant que la passion mâle et saine de son jeune voisin. […] En tournant les feuillets d’un petit manuscrit, mon regard fut attiré par ce nom : Charpillon, qui, comme s’en souviennent les lecteurs des Mémoires, est le nom de la harpie par qui Casanova souffrit tant à Londres, en 1763-64. […] Cette jeune et agréable personne jouit d’une mimique exubérante et de regards démesurés où la prunelle implore et poursuit vainement l’abri d’inaccessibles paupières.

9. (1904) Articles du Mercure de France, année 1904

Les jeunes et les vieux ont le regard fixé sur la scène ; on dirait que la lumière ne vient plus du Nord, ce dont je me suis toujours permis de douter, mais des planches du théâtre. […] » elle lui avait lancé un regard singulier. […] … Soudain, Rosa se releva, regarda Emidio avec un regard singulier : — Donc, nous partons ? […] Figure trop calme, regard trop immobile, avec une finesse inquiétante, ironique et triste, de la bouche ; un vaste orgueil rentré sous toute cette pâleur ; visage de maître et d’homme supérieur, certes, mais sans le mouvement et l’aise qui vient de la vraie force ; tendu, au contraire, fixe, fatal. […] Il parle à des convalescents, c’est-à-dire à tous les hommes, et les accuse de se laisser courber sous le faix de leur mal, elles poussent à ouvrir avec le regard de leur espérance les portes de l’avenir.

10. (1914) Articles du Mercure de France, année 1914

Sous les regards d’Aldramino et de Mondella, il s’empourpre. […] Aurora sentait, aussi, ses regards, comme un contact. […] Pourtant, certains regards la firent réfléchir, de nouveau, aux menaces de Nina et aux reproches d’Antonio. […] Un homme est là qui se promène de long en large, épiant mes regards et mes progrès. […] D’un geste brusque, mais surtout avec un suppliant regard, elle arrêta Wellseley, qui s’avançait vers elle.

11. (1908) Articles du Mercure de France, année 1908

Soit dans le portrait des Uffizi, soit dans la sanguine de Windsor, le maître, qui fut doux entre tous, montre un regard aigu et préhensif, un regard d’aigle qui correspond à l’incroyable audace de sa spécialisation et donne le vertige à contempler ainsi isolé du dogme et de toute doctrine, face à face avec le Cosmos, comme Moïse au Sinaï. […] Il avait son regard fixé sur l’horizon et caressait sa moustache. […] Son regard noble et grave étincelle de pleurs. […] On sent qu’ils obéissent au cerveau et leur dépendance grandit l’air d’autorité du regard. […] La crainte et la tristesse ont tout envahi, jusqu’à ce qu’une lueur pâle d’espérance meilleure vienne guider nos regards et nos pas.

12. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »

En conséquence, je feignis l’amour à la perfection, et j’imitai tous les gestes, les sourires, les regards, les paroles, les expressions dont les amoureux font usage. […] Les deux âmes — l’ancienne et la nouvelle — cherchèrent ensemble l’université silencieuse et sépulcrale comme un couvent dans la montagne ; elles se promenèrent dans le jardin français, derrière le jardin rococo, où les statues mutilées et noircies n’honoraient plus d’un seul regard les allées sans fin — et poussèrent enfin jusqu’au Liliensee, un étang mal creusé qui, par décret des vieux princes, avait fini par obtenir le nom de lac.

13. (1910) Articles du Mercure de France, année 1910

J’en ai vu beaucoup de charmantes… Leurs regards sont dédaigneux et froids durant la promenade, leur démarche droite, aisée et digne. […] De tout ce monde il est le traducteur fidèle et un peu indiscret : tout est mis en évidence par son pinceau précis et coloré : les sourires, les regards, les manières, les cajoleries, les mignardises, les révérences, les inclinations. […] Vers la fin de sa vie, ceux-ci forcèrent les regards d’un plus large nombre d’admirateurs à se tourner vers le puissant écrivain méconnu. […] Le regard de Laurent Évrard est aigu : il perce jusqu’au fond des choses, il fouille jusqu’aux arrière-plans des âmes, il discerne jusqu’aux ultimes chambres des palais. […] Pierre Jouve « embrassa d’un seul regard sa vie nouvelle et son esprit désormais réglé par lui-même » ; il dut, « à ce monument du génie humain de s’être senti, dans une seule minute, plein de passion et de clarté tout ensemble ».

14. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »

Mais ni la catastrophe de la maison de ses aïeux, ni celle de son amour, ni celle de sa réputation attaquée pendant un moment de sa vie avec une terrible violence, ne peuvent ébranler sa volonté, ni détourner ses regards du point terminus de ses aspirations.

15. (1918) Articles du Mercure de France, année 1918

Mais il me paraît excessif qu’il puisse dire n’avoir rencontré que gens dont le regard demandait : Pourquoi le conflit, pourquoi de telles horreurs ? […] On connaît le sujet de ce tableau : Vénus est étendue nue, au premier plan, sur un lit de repos, les regards dirigés vers un petit chien qu’elle caresse (dans le second tableau, ce chien est supprimé et c’est à un Amour qui lui parle à l’oreille, que Vénus prête son attention), tandis que sur le côté un jeune seigneur, vu de dos, mais se tournant à demi vers la déesse, la charme des sons d’un orgue dont il joue. […] Il y avait, annexée au théâtre, une salle de jeu où Casanova perdit tout ce qu’il possédait, quitte à se refaire un autre soir où il gagna en quelques minutes 500 sequins sous les regards étonnés de ceux qui avaient répandu le bruit de son expulsion de Padoue. […] La tête inclinée sur la poitrine et les sourcils sévères, il regardait en dessous et paraissait toiser du regard un adversaire inconnu et redoutable et calculer mentalement les forces qu’il fallait lui opposer. […] La barbe est courte, le visage maigre, le menton subtil, le regard vif et tranquille.

16. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »

Il avait son regard toujours fixé sur la mer, et caressait sa moustache de la main gauche.

17. (1898) Articles du Mercure de France, année 1898

La figure, sans être comme dans quelques-unes de ses œuvres absolument cernée de noir, est accusée d’un trait net, rigide, précis ; le pli des lèvres est mélancolique, le regard est grave, les mains sont bien d’un réaliste, un peu grosses et sans élégance convenue. […] … le regard de l’enfant, si inexprimablement émouvant dans sa tendresse de tout-petit, et ce fond génial, tout en ciel, où se profilent ces arbres ébranchés et ces roses… Et la bleue et rose apothéose de rêve de l’Angélico… Seule, la Vierge du Ghirlandajo, en dépit de l’orchestration aveuglante de Visitation, a quelque peu de la sévérité de celle de Francesca. […] À travers le tempérament littéraire de Cavallotti, l’amour même se présentait comme un dieu larmoyant et asexué, le dieu de ces chevaliers hyperboliques qui se contentaient d’un mot, d’un souris, d’un regard.

18. (1915) Articles du Mercure de France, année 1915

S’il est bon de ne pas négliger ses devoirs nationaux, il faut aussi porter ses regards au-delà des frontières, et l’Italie doit se fier, maintenant, moins que tout autre nation du monde, à une paix germanique ; elle ne doit pas oublier que l’hégémonie allemande prétend reconstituer le Saint Empire Romain, qui étendait ses frontières jusqu’au Tibre. […] Aucun regard ne s’arrête sur les Allemands. […] À lire le Corriere della Sera, on aurait pu s’imaginer que l’esprit pratique domine en Italie et qu’il est servi par une critique intelligente au regard clair pour laquelle les motifs d’ordre sentimental ne pèsent guère dès qu’il s’agit de délibérer de questions d’intérêt public.

19. (1909) Articles du Mercure de France, année 1909

L’Allemagne et l’Angleterre ne se mesurent du regard que depuis une dizaine d’années. […] Les pauvres gens ne devaient pas jeter des regards furtifs par des portes entrebâillées dans la maison des riches pour connaître leurs fêtes. […] Faut-il louer un visage plutôt ovale, un front clair, un nez qui part droitement des confins des sourcils, des lèvres moyennes sans être plates, des yeux aux regards obliques et luisants ? […] En l’examinant mieux, on découvrait de la finesse dans son sourire et du feu dans son regard… Sans être éclairé dans les arts, il y portait un sentiment assez sûr, et, en toutes choses, il avait des notions saines comme ses instincts. […] … Je te vois grand comme un Dieu… Quand je vois ta figure honnête et bonne, ton regard tendre et sincère, ton front pur comme celui d’un enfant, je me rassure et ne songe plus qu’au plaisir de te regarder.

20. (1905) Articles du Mercure de France, année 1905

Le brave homme parlait en souriant, et donnait une grande importance à ses paroles les plus futiles : tout au fond, il était un peu intimidé par la haute taille, par le regard indifférent du séminariste. […] Seulement au coucher du soleil le souffle frais du fleuve montait et se répandait dans la tanca ; et la nuit, quand la lune donnait sur les chaumes et que les grillons chantaient, la douceur était infinie, infinie… La ligne argentée de la tanca s’évaporait à l’horizon dans un lac de rêve, et ce fond vaporeux absorbait les regards et l’imagination d’Antine comme par une attraction magnétique. […] Antine plongeait son regard dans l’horizon incertain ; sur l’ombre couleur de cendre les étoiles brillaient d’un éclat aigu, avec des scintillements verdâtres et rougeâtres. […] Il avait les cheveux noirs, brillants, relevés sur un front haut et pâle, les yeux châtain très clair, le regard doux, la bouche bien dessinée : il était grand, svelte, rose, propre : on aurait dit une belle fille en travesti. […] — Nous avons essayé, — répondit le vieux avec un calme parfait, en fixant sur le fusil en question le regard de son œil bleu. — Ça n’a pas réussi.

21. (1901) Articles du Mercure de France, année 1901

Sans faire tort à personne et tout en laissant à mes confrères le plaisir de se placer toujours parmi cette jeunesse dorée de l’intelligence, je vois que le moment approche où il faudra tourner le regard vers ceux qui viennent après nous et qui nous pressent, l’épée aux reins. […] Le regard que je viens de jeter sur ces jeunes gens marqués par le don fatal du talent littéraire nous montre donc une élite toute prête aux luttes pour l’art ; mais je suis obligé de renvoyer à ma prochaine chronique quelques notes rapides sur bon nombre d’autres ; tels, par exemple, MM. 

22. (1899) Articles du Mercure de France, année 1899

Elle est là, de profil, l’œil à demi fermé laissant sourdre le regard droit, presque vague, un regard de songe, qui se pose, très au loin, à un horizon très reculé, sur une image presque immatérielle, les beaux cheveux enserrés par les bandelettes blanches des vierges. […] Toute la région mystique de son âme était trouble, ténébreuse, le regard de sa conscience n’y pouvait pénétrer ; cet esprit, ordinairement si net, si résolu, était vague et chancelant dès qu’il était question du caractère merveilleux, miraculeux de sa mission.

23. (1897) Articles du Mercure de France, année 1897

Texte latin en regard.

24. (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »

Buzzi : L’Exil, « Poesia », Milan La presse, qui s’occupe trop de ces écrivains « arrivés », n’a presque plus de place pour signaler des œuvres, où un talent puissant, se révélant tout d’un coup, se montre cependant digne d’attirer les regards du grand public, ne fût-ce que le long d’une colonne de quotidien.

25. (1906) Articles du Mercure de France, année 1906

Le Christ réapparut aux multitudes chevauchant la mort, les regards fixés sur la nécessité de son acte. […] Ainsi, lorsque Shakespeare regarda la vie avec son terrible regard de souffrant qui connaît toutes les souffrances, il fut parfois troublé par la fureur tragique, mais jamais il ne sut communiquer son trouble à la foule. […] Le rayon de son regard suscite les orages et les tempêtes et les belles horreurs de l’histoire.

26. (1917) Articles du Mercure de France, année 1917

Son regard, tour à tour olympien, caressant ou farouche, foudroie, persuade, approuve, fulmine, objurgue. […] Personne du reste ne songe à négliger les ambitions de nos alliés, à ne pas les prendre en considération, encore moins à les repousser en bloc ; mais pourquoi les envisager d’un regard inquiet, pourquoi ces réticences, qui ne peuvent que compromettre le succès de tous ? […] , le jeune homme meurt en une allégresse surhumaine sous le regard de la vierge (de la femme ?).

27. (1916) Articles du Mercure de France, année 1916

Jacques Rouché n’ont pas cessé d’enchanter pour le moins le regard, si peut-être ils n’ont pas toujours strictement tenu la promesse « de résumer ce que la musique a produit de plus remarquable » à tel ou tel moment choisi de son évolution. […] Car Luisa ne reporte pas son regard vers le ciel et elle ne fait pas allusion à une survie où elle pourrait se retrouver avec ses morts. — C’est une réaliste.

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