Au Musée du Louvre : le Saint Sébastien de Mantegna ; […] le buste de Richelieu par le Bernin Auguste Marguillier. […] Deux œuvres importantes sont venues, nous l’avons dit, enrichir, ces temps derniers, le département des peintures du Musée du Louvre. […] Quoi qu’il en soit, à en juger par l’héliogravure de la Gazette des Beaux-Arts et la description enthousiaste de Paul Mantz (nos seuls éléments d’appréciation pour l’instant, puisque nous ne pouvons avoir la vue du tableau lui-même, auquel la direction du Louvre juge nécessaire de faire subir quelques réparations avant de l’exposer), c’est un admirable chef-d’œuvre. […] Marcel Reymond a été amené à reconnaître dans un buste du Louvre catalogué comme œuvre de l’école française de la seconde moitié du xviie siècle l’œuvre du brillant Italien6. […] Je ne parle pas des faits historiques brutaux et bien connus, guerre civile et guerre étrangère, mais de la disposition même des esprits, étrangement affectés dirait-on, par les cris échappés du cabanon de Saint-Pol ou du Louvre.
La madone de Francesca que le Louvre vient d’acquérir synthétise éloquemment ces tendances. […] Il écrit au Bernin pour lui transmettre le désir du roi d’avoir un dessin pour l’achèvement du Louvre, ceux qu’il possède ne le satisfaisant pas. […] La cour du Louvre doit prendre la forme d’une croix grecque ; ce que Lescot et Ponce ont édifié disparaît presque en entier. […] Dubois proposait d’élever au milieu du Louvre. […] Voir au Louvre le curieux petit panneau, où il a peint Pandolfo agenouillé devant la Vierge.
On sait que cette collection Campana, achetée en 1861 par Napoléon III pour la somme de 4 360 440 francs et comprenant, outre des sculptures et des majoliques de la Renaissance, 646 tableaux, pour la plupart des écoles italiennes du xive et du xve siècle, fut ensuite répartie entre le Louvre, qui ne retint que 313 peintures, le musée de Cluny, où furent envoyées 12 toiles, et divers musées de province, auxquels allèrent les 322 tableaux restants, puis, plus tard, en 1872, 141 autres pris sur ceux qu’avait conservés le Louvre. […] Cet utile travail est complété par une savante étude iconographique de quatre tableaux (du Louvre, de Besançon, Colmar et Montpellier), reproduits à la fin de la brochure et dont l’interprétation valait d’être fixée.
Il se promène au Louvre. […] Et le voici dans le Louvre comme un naufragé dans une île déserte. […] Il va au Louvre, comme M. […] Il ne lui manquait plus que ce nouveau titre à la réprobation des amis de notre Louvre. […] Notre merveilleux Louvre, il faut en convenir, ne possède pas un trésor pareil.
L’exposition temporaire des dessins du Louvre est consacrée, cette fois, à Vittore Pisano. […] Ce qui frappe, dès l’abord, à cette exposition du Louvre, c’est la quantité d’études d’animaux, oiseaux, chiens, chevaux, sangliers, si curieusement notés. […] Au cadeau symbolique venu de Ferrare, elle répond par cet autre symbole, son portrait, — ce petit panneau peint qui est là dans cette salle du Louvre et pour lequel elle pose devant le Pisanello : elle savait bien que son beau-frère le déchiffrerait. […] Le portrait de Cecilia Galerani est perdu, mais on a identifié celui de Lucretia Crevelli avec la Belle Ferronnière du Louvre ; la figure pâle et anxieuse de Ludovic reste encore dans la Bibliothèque Ambroise. […] C’est alors qu’il peignit les tableaux du Louvre, ses œuvres les plus certainement authentiques, qui viennent directement du cabinet de François Ier à Fontainebleau.
[…] Au Louvre : nouvelle acquisition : une peinture, école italienne du xve siècle, portrait de jeune femme attribué à Vittore Pisano, peintre, sculpteur et médailleur. Les œuvres de cet artiste sont fort rares : le Louvre ne possédait de lui que quelques dessins.
Ce qui manque le plus à ses tableaux, c’est un passage de la vie, non tumultueuse dans ses fêtes comme au Louvre encore dans les F. […] Au Louvre : les nouvelles salles de dessins [extrait] Virgile Josz. […] Pendant ce temps Versailles tombe en ruines et le Louvre n’a même pas de quoi faire réparer ses fenêtres et acquérir des stores pour protéger ses chefs-d’œuvre du soleil. […] Il n’y a rien au Louvre qui marque cette date dans l’œuvre du maître. […] Conservateur des Antiques et de la sculpture moderne au Louvre, il mourut doyen des deux Académies des Inscriptions et Belles-lettres et des Sciences morales et politiques.
Victor Goloubew, des deux livres d’esquisses de Jacopo Bellini que possèdent le Louvre et le British Museum. Les dessins du Louvre avaient été publiés les premiers, — quoique le volume portât le n° 11. Nous avons plaisir à annoncer aujourd’hui l’apparition de la 1re partie, c’est-à-dire des dessins du Musée Britannique (les Dessins de Jacopo Bellini au Louvre et au British Museum : 1re partie. […] Tandis que celui du Louvre (trouvé à Constantinople au xviiie siècle) y fut sans doute laissé en 1480, lorsque Gentile quitta la cour du sultan, celui de Londres avait passé au frère de Gentile, Giovanni.
Au Musée du Louvre : une tête grecque attique Auguste Marguillier. […] Ces trois incomparables chefs-d’œuvre, longtemps convoités par le Louvre, lui ont malheureusement échappé pour passer dans la collection de M. […] Notre regret de ne pas savoir au Louvre ces deux chefs-d’œuvre s’augmente de ce que presque partout ailleurs Moroni est parfaitement représenté. […] Victor Goloubew au célébré recueil de dessins de Jacopo Bellini au Louvre. […] Ce livre de dessins, si précieux pour la connaissance des origines de la peinture vénitienne, fut acquis en 1884 par le Louvre grâce à la perspicacité de Courajod.
Les élèves, en nombre très restreint, avaient leurs ateliers au Louvre et travaillaient avec les maîtres dans une fructueuse intimité.
Et il n’y a pas jusqu’aux styles des deux maîtres qui, au terme de leur longue lutte, ne soient miraculeusement arrivés à se ressembler : si bien que la Transfiguration de San Salvatore, le Portrait de Madrid, la Nymphe de Vienne, toute l’extraordinaire série des dernières œuvres de Titien, évoque aussitôt le souvenir de la Vénus du vieux Rembrandt au Louvre et de la Fiancée Juive. […] Je ne veux pas, bien entendu, rendre Raphaël responsable des croûtes de la grande galerie du Louvre comme les portraits de deux hommes ; mais le trop vanté Balthazar Castiglione, si mou de dessin et de modelé, si pauvre de couleur, mais la grande Sainte Famille, avec son saint Joseph appuyé sur un moignon singulier, sont d’un art dénué de toute poésie et de tout mystère ; et si admirables que soient telles parties de son œuvre, il est difficile de continuer à mettre Raphaël au rang des génies suprêmes de la peinture, Vinci, Titien, Vélasquez ou Rembrandt.
Au Musée du Louvre [extraits] Au Musée du Louvre, — où l’on vient enfin de rétablir l’ancien horaire d’ouverture des salles, et où des sergents de ville sont maintenant adjoints aux gardiens, — nous avons eu, à la fin de janvier, l’agréable surprise de voir enfin rouverte, après une fermeture qui dura cinq ans, la galerie Mollien qui, à droite de l’entrée donnant sur les jardins du Carrousel, fait face à la galerie Denon. […] Bonnat, à l’occasion de sa réélection comme président du Conseil des Musées nationaux, a tirés de sa belle collection pour les offrir au Louvre comme un témoignage de sa confiante affection. […] Au musée du Louvre [extraits] Auguste Marguillier. […] Les enrichissements constants du Louvre continuent — et nous nous en réjouissons — de réclamer notre attention. […] De telles acquisitions sont des plus précieuses pour le Louvre ; Mme Mary Logan écrit avec raison15 que c’est là « une des peintures les plus importantes qui, depuis plusieurs années, soient entrées dans une collection publique ».
Au Louvre, on fait cuire avec le plus grand soin, dans l’étuve des combles, un excellent petit Cranach ; à la pinacothèque de Brera, à Milan, ce travail est organisé en grand, et l’on considère comme arrivés à un bon degré de cuisson et de craquelure une douzaine de tableaux, parmi lesquels : une Madone de Jean Bellini ; la Cène de Rubens ; une grande Borgognone : le St. […] Il paraît que les fameux greniers du Louvre renferment, sous triple cadenas : i° 30 à 40 Moys ou tableaux de corporations du xviie siècle, enlevés à Notre-Dame lors de la dernière restauration ; 2° divers Léonard, Raphaël, Titien, Véronèse, disparus : ne seraient-ils pas roulés céans ou céhaut ?
Enfin, et c’est le comble, le Louvre, si pauvre en maîtres allemands, ne possède en tout que trois Cranach : or, un de ces trois Cranach, facile à caser pourtant, puisqu’il n’a guère que vingt-cinq pouces carrés, est exposé… devinez où ?
Gabriele d’Annunzio appelle Léonard le Mage, et une gravure de la chalcographie du Louvre représente, d’après un dessin du maître, le grand œuvre alchimique. […] L’entrée au Louvre il y a quelque temps déjà des deux peintures représentant la Nativité de saint Jean-Baptiste et la Déposition de Notre-Seigneur, classées d’abord parmi les primitifs français et revendiquées par M. […] Mais un peintre comme Gerolamo Giovenone a déjà une personnalité italienne, ou verceillaise, nettement marquée, et la confusion entre ces travaux et ceux d’un primitif français ne paraît guère possible, ainsi que cela a pu se produire pour les deux tableaux du Louvre. […] C’est ainsi qu’il fut amené à résumer en quelques sonnets ses plus fortes impressions du musée du Louvre ; entre autres : POUR UNE PASTORALE VÉNITIENNE par Giorgione (au Louvre). […] Cette œuvre, qui pourrait bien n’être qu’une copie plus ou moins ancienne du tableau du Louvre, n’avait pas dépassé le prix de 6 300 fr., en 1897, à la vente Plessis-Bellière.
Je ne puis, ainsi que le fait de M. de Wyzewa, tenir pour un chef-d’œuvre absolu du portrait le Castiglione de Raphaël au Louvre.
L’école vénitienne au Louvre Le Louvre si abondamment pourvu de peintures de la décadence italienne est pourtant pauvre en premiers Vénitiens, ces premiers Vénitiens que goûta et fit si bien goûter le lettré artiste qu’est M. […] Le don de M. de Vandeuil Il a fallu le don de M. de Vandeuil pour que Bellini entrât enfin réellement au Louvre. […] Mais si l’attribution du musée de Douai est quelque peu hasardée, celle du Louvre paraît juste. […] Wickhoff et Gronau ont retiré au Giorgione le fameux Concert champêtre du Louvre pour l’attribuer à Domenico Campagnola. […] Titien et Véronèse sont du reste parfaitement représentés au Louvre.
Ses cours de l’École du Louvre, puis ceux du Collège de France lui ont valu l’admiration unanime des connaisseurs. […] Exposition des nouvelles acquisitions du Louvre [extrait] En attendant que le Louvre brûle, le département des peintures vient d’exposer, dans la salle des portraits d’artistes réservée à ces installations temporaires, les œuvres dont il s’est enrichi au cours de l’an dernier et dont nous avons signalé la plupart au fur et à mesure de leur entrée. […] Mantégna, l’admirable maître, dans son tableau du Louvre, où Mars et Vénus assistent à la danse des Muses, a mis son génie dans le Mercure de droite, comme dans la Madone de la Victoire, il a exalté la beauté de son saint Georges ; et sans fin, au parcours des Pinacothèques, on trouverait toujours triomphant en sa beauté, le puceau, l’androgyne, céleste ou terrestre, qui, dans la langue lourde de la philosophie, s’appelle synthèse et qui n’a pas de nom pour l’imagination puisque c’est la formule du mystère des formes vivantes. […] Sofia sur le Grand Canal, Pietro Longhi y peignit la Chute des Géants ; mais il revint vite à des toiles de petite dimension, à ses formats préférés de 58 × 44, 52 × 41, 42 × 35, et surtout à ces sujets intimes dont Giuseppe Maria Crespi lui avait donné le goût et l’exemple, en peignant pour son compte des tableaux comme son École de filles du Louvre.
Au Louvre, les admirations des étrangers (qui seuls entrent là) vont aux œuvres vulgarisées par les chansons, les complaintes ou les romans, la Joconde, le Radeau, Atala ; les musées ne sont pour le public que des boutiques de curiosités.
Si l’on excepte quelques merveilles du cycle macédonien, quelques monuments de l’art égyptien, puis, dans l’art grec, le Torse de Phidias et les Parques du British Museum, et, dans l’art romain, certains fermes portraits tels que le Vitellius — non point le beau garçon du Louvre — mais bien celui du Vatican, si l’on consulte les chronologies de la statuaire après les vestiges de ces périodes de création pure, où trouve-t-on l’artiste ingénu et sublime qui ne sache s’inspirer que de la Nature et que de lui-même et se risque à n’exploiter qu’un filon vierge ?
Il vient de quitter, dans les marches allemandes sauvages et montueuses, pays de vignerons et de bûcherons, un village isolé, Pieve di Cadore : il en laissera le Bois dans la montagne (Offices de Florence) et les rudes Moissonneurs du Louvre. […] Ce crépuscule ajoute à l’antithèse puissante de cette femme, toute lumière sur les frondaisons alourdies, de cette femme enrobe de satin blanc, les cheveux égayés de jasmins, qui rêve, l’œil fixe et profond, accoudée sur le marbre où jouent des nymphes et des papillons… À l’autre extrémité de la fontaine où se mire le bambin, cette autre femme, toute splendeur dans sa nudité aux lignes harmonieuses, c’est la réalité merveilleuse qui tient de l’insaisissable toutes les perfections, c’est humanisée, chaude de sang, de soleil et de passion, la Déesse… Et cette figure-là, vous l’avez vue, au Louvre, dans le Salon Carré : c’est la femme du grand Giorgio, celle du Concert champêtre de Barbarelli… Ce Titien-là, avec l’énigme de son ordonnance, le vouloir, à jamais caché, qu’il exprime sûrement, et que nous ne déchiffrerons jamais, vaut à lui seul les millions que l’Italie, — pauvre, mais toujours artiste, — va donner pour acquérir la galerie entière. […] Le Louvre ne possède aucune œuvre de Piero della Francesca.
Les nouvelles salles du Luxembourg [extrait] Comme son collègue du département de la sculpture au Louvre, dont nous avons dit dans notre dernière chronique les heureuses initiatives, l’actif conservateur du Musée du Luxembourg s’ingénie à nous dédommager de son mieux de l’absence des œuvres que nous allions jadis chercher dans ses galeries, et aux salles nouvelles, consacrées à l’école belge, à Brangwyn et à l’école anglaise, qu’il avait ouvertes depuis la guerre, il vient d’adjoindre quatre autres salles, l’une en l’honneur des artistes de notre autre alliée l’Italie, deux autres à la gloire de nos maîtres dessinateurs, et la dernière consacrée à l’œuvre peint, dessiné ou gravé d’un des meilleurs artistes de ce temps : Auguste Lepère. […] C’est ainsi que le célèbre retable de San Zeno, de Vérone, dont le morceau central de la predella est encore au Louvre, ayant été morcelé, le musée provincial de Tours en reçut un premier fragment, la Résurrection, en 1703 ; trois ans plus tard, l’État envoyait un second morceau, le Christ au jardin des Oliviers, en échange duquel le musée tourangeau avait dû envoyer… un Chasseur buvant de Luca Giordano, — lequel d’ailleurs ne lui était jamais parvenu. […] En 1815, on ne sait comment, le Calvaire du Louvre, la Résurrection et le Christ aux Oliviers de Tours, furent « oubliés » dans les restitutions.
Le duc, très lié avec l’impératrice Eugénie, le lui propose pour le Louvre : il en demande un million.
C’est, d’abord le legs fait au Louvre par le grand amateur, russe de naissance mais parisien d’élection, le baron de Schlichting, mort en août 1914, de toutes ses collections, magnifique ensemble d’une valeur, de plusieurs millions, comprenant d’admirables meubles du xviiie siècle, une grande statue en marbre de Mercure par Pajou, une autre, également en marbre, de jeune homme attribuée par les uns à Sansovino, par d’autres à Michel-Ange jeune, et de nombreuses peintures entre lesquelles il faut citer des œuvres de Giovanni Bellini, de Titien, du Sodoma, de Léonard de Vinci, un Ixion de Rubens, un Peintre ambulant par Frans Hals, et, dans notre école française, un Portrait de Charles IX, un grand tableau de Greuze, un délicieux portrait de la Princesse de Condé par Hubert Drouais, un de Mme de Pompadour par Boucher, etc. […] Pierpont-Morgan n’oubliait pas le Musée de New York si souvent enrichi par son père — notamment lors de la donation de l’admirable collection de sculptures décoratives françaises du Moyen-Âge, de la Renaissance et du xviiie siècle acquise de Georges Hoentschel en 1906, — et il lui a fait don de trois œuvres hors pair : la Madone de Raphaël, provenant du couvent de Saint-Antoine à Pérouse, dite « Madone d’un million » à cause du prix, extraordinaire pour l’époque, qu’en avait demandé son possesseur, le roi de Naples, lorsqu’il la proposa au Louvre à la veille de la guerre de 1870, et que Pierpont-Morgan avait acquise il y a une dizaine d’années ; puis une Mise au tombeau et une Pietà avec des donateurs (Pons de Gontaut, et son frère Armand, évêque de Sarlat), sculptures françaises du commencement du xvie siècle4.
C’est surtout au musée de Naples, en effet, qu’il faut étudier les objets artistiques de Pompéï, bijoux et ustensiles, terres cuites, marbres, bronzes ; au Louvre nous possédons grâce à M. de Rothschild l’inestimable trésor de Boscoréale dont les pièces d’argenterie d’un goût si sûr constituent un des joyaux de notre musée national. […] C’est dans cette quiétude ordinaire de leur nonchalante Venise, dans une sorte de sérénité ambiante qu’il leur fut loisible de reproduire cette vue du Rialto qu’on retrouve aujourd’hui à Florence, ces Santa Maria della Salute et ces Grand Canal tout de paisible harmonie qui figurent au Musée Correr, à la Galerie Liechtenstein ou dans la Collection Wallace ; ces douze Vues de Venise qui sont à Naples, cette merveilleuse Place Saint-Marc et cette exquise Piazzetta qui se rencontrent à Vienne, ce Palais Ducal dont s’honore le Louvre et tant d’autres visions des canaux, de l’Arsenal, du Quai des Esclavons, de l’École de San Rocco, du Canale Reggio, de San Pietro de Castello dont les spécimens sont répartis à Windsor, dans les galeries du château royal, à la National Gallery de Londres, à Modène, à Bergame, à Naples, à Grenoble, à Berlin et dans nombre de collections et galeries privées.
Personne n’a poussé aussi loin l’expression spirituelle, et si quelques-uns se dépitent de ne plus voir en lui l’occultiste traditionnel, qu’ils aillent au Louvre affronter le regard du Saint Jean à mi-corps, son chef-d’œuvre.