vers le gouffre de Psyché, vers la recherche à jamais inassouvie des
voix
éternelles de l’âme. Cette poésie nous apparaît a
l’épouse, de la nouvelle sœur. Ce chœur gazouillant est résumé par la
voix
d’Ornella, la sœur cadette, véritable coryphée de
re dans les cris des moissonneurs qui réclament à la porte et dans la
voix
pitoyable de la suppliante assise au foyer. La ma
laisse entraîner par la fureur des chœurs auxquels sa mère ajoute une
voix
terrible. Il détache de l’inconnue enchanteresse
soit rendu à sa mère, à son épouse désolée. Mila lui dit ; Ta douce
voix
tremble. Dans la plaie le couteau qui tremble fai
lamme est belle ! la flamme est belle ! Seule Ornella lui envoie une
voix
de sympathie : Mila, Mila, sœur en Jésus, J’embr
créer l’atmosphère accablante où notre âme effrayée doit entendre la
voix
des fatalités et pressentir les catastrophes. Et,
e, où le drame est fait d’ombres, mais où la tragédie est une superbe
voix
collective de crainte, de haine et de mort. L
t à le comprendre au mouvement de ses lèvres, — mais il entendait une
voix
intérieure répondre à toutes ses paroles, et cett
entendait une voix intérieure répondre à toutes ses paroles, et cette
voix
intérieure chantait et priait à la fois, rendant
et priait à la fois, rendant grâce au Seigneur. Puis, il entendit la
voix
d’Antine qui montait du fleuve. Lui aussi chantai
dit la voix d’Antine qui montait du fleuve. Lui aussi chantait, et sa
voix
, pour Zio Félix, semblait emplir de vie et de joi
était bien sali ; son visage était plus pâle qu’à l’ordinaire, et sa
voix
rauque ; mais il avait l’air contrit de sa débauc
sur les fleurs de la colline toscane, avec ton père à ton côté… » Sa
voix
, un peu fatiguée, usée, creuse, se perdait dans l
i de la fenêtre et la tête tournée vers l’intérieur de la chambre. Sa
voix
vibrait, un peu émue, dans le silence toujours pl
ieux de nuit odorante et tranquille. — Pardonne-moi, — dit Elia d’une
voix
changée, — je t’ai offensé. Mais tu ne m’aimes pa
; et Antine, se tournant vers Elia et vers le domestique, cria d’une
voix
impatiente. — Sortez donc ! Elia et Zio Pera sort
ête sans cornes ! Zio Félix se taisait ; mais au fond de son cœur une
voix
lui criait en écho : — Je le tuerais, je lui fera
de mal en pis. Les yeux de Zio Félix brillaient comme du verre et une
voix
criait en lui : — Et si le Seigneur ne me venge p
re de l’eau, le susurrement des joncs remués par la brise. C’était la
voix
perlée d’une sirène qui appelait ; enchanteresse,
un public. Ses gestes sont aussi expressifs que les intonations de sa
voix
. Elle ne dit pas seulement ses rôles, elle les mi
out, on constatait la qualité, l’ensemble et la souplesse nuancée des
voix
de choristes subalternes que nous ne pouvons guèr
a Giovane Italia. Garibaldi y connut la mission de sa vie, et, par la
voix
prophétique de Mazzini, comprit qu’il était le co
tomba, se releva, pour tomber encore une dernière fois, jamais, à la
voix
de mille autres, ma muse ne mêla sa voix. Vierge
dernière fois, jamais, à la voix de mille autres, ma muse ne mêla sa
voix
. Vierge des louanges serviles et des lâches inju
insule qui eut la gloire de faire chanter à ses chantres aux subtiles
voix
la messe au pape Marcel de Palestrina, et de retr
à éclater, entendent, avec effarement, monter du fond d’eux-mêmes les
voix
de leurs victimes. Dès lors, contenants et conten
puis plus d’un an le Maître illustre l’avait promis au public, par la
voix
des complaisantes interviews dites indiscrètes. L
x Carducci, tandis que M. Pascoli fait entendre de temps en temps des
voix
un peu trop plaintives de sa lyre cependant si or
on amour est exprimé dans un langage hiératique. Et je me rappelle sa
voix
émue et sa figure transfigurée, lorsque, en allan
leurs contemporains « des accents inconnus à la terre ». Ce sont deux
voix
du ciel qui se répondent comme deux échos à trave
t entendu la première fois, il disait : « M. de Fontanes lisait d’une
voix
universitaire ! » (Souvenirs et portraits, t. III
force-t-il de donner du naturel à son interrogatoire. Le timbre de sa
voix
dénote un sentiment de gêne et de contrainte. — V
Paolo. Je gage qu’il est son amant. Il est bel homme, il a une belle
voix
, de beaux yeux… — Il est bien gras, objectai-je.
romener par la ville. * Le grand canal avait son aspect nocturne. Les
voix
, les accompagnements d’orchestre glissaient dans
elle ! Il articulait le nom des palais avec des frémissements dans la
voix
: Dario, Morosini, Lorédan, Rezzonico, Foscari… V
uilleta, et haussant les épaules : — Des stupidités ! Il ajouta d’une
voix
sinistrement enjouée : — Eh bien ! que pensez-vou
e d’Andrea del Sarto ! — C’est exact, répondit Wellseley. — Et quelle
voix
terrible ! Il improvisa alors un dithyrambe en l’
e voix terrible ! Il improvisa alors un dithyrambe en l’honneur de la
voix
et des allures de la Ceschini. Cet enthousiasme s
ur le front, et lui murmura avec des caresses, et des menaces dans la
voix
: — Pourquoi me fuyez-vous ? Hier vous ne m’avez
mystère sur vos traits, pendant que vous écoutiez les sérénades et la
voix
de l’amour ! Souvenez-vous de mes paroles ! Si An
rtiste ! Si je parvenais à noter les mélodies qu’éveillent en moi une
voix
de femme dans la nuit, les vagues, les fleurs, j’
n’est pas ! Je vous en donne ma parole. Cette phrase prononcée d’une
voix
ferme et loyale, il se dirigea vers le chevalet t
nationale du pays dont Pie X fut le patriarche. Et c’est ainsi que la
voix
du Souverain-Pontife lui-même vient de réveiller
oi indissolublement unis l’un à l’autre. Wellseley l’interrogea d’une
voix
si douce et si profonde qu’elle murmura : — J’ai
ifférentes sur des questions d’art, mais ils s’apercevaient que leurs
voix
tremblaient, et que leurs regards étaient graves.
avait d’autres hommes dans la pièce, et que l’harmonie n’était pas la
voix
des parfums. Et ces hommes^ elle ne savait pas qu
de : les Dolingson, les Aranguez ; et, dans une loge, la Ceschini. Sa
voix
, qu’il avait essayé de rendre enjouée, devint âpr
héla un sandolo. — Au Rialto ! dit-il. Plus une embarcation, plus une
voix
. Dans l’impressionnante et fiévreuse nuit, pas d’
des wagons, scandé par les soubresauts des ressorts, accompagnait sa
voix
rauque. — Pourquoi ? Vous demandez pourquoi je vo
is il balbutia : — Vous aviez un ami, un peintre, oui, un peintre… Sa
voix
chevrotait. Était-ce le trouble, la vieillesse ?
elle. Ses yeux étaient hagards. Je ne me rappelais plus le son de sa
voix
. Un de nos vieux serviteurs mourut, elle l’apprit
a pris dans mes bras, je lui demandai pardon en sanglotant ; et d’une
voix
lointaine elle murmura : « Si ce soir une écharpe
igante des Anglais : ils donnent à chaque période le ton et le son de
voix
qui convient le mieux à la nature du sentiment qu
able, pour faire parade dans un long passage de l’agilité de sa belle
voix
, ou pour attendre que l’orchestre donnât le temps
ns, de nuances variées, pour ainsi dire, à l’infini, qu’on donne à la
voix
en déclamant. La musique, sur des vers quelconque
déclamation, les suspensions, la lenteur, la rapidité, les sons de la
voix
tantôt chargés, tantôt affoiblis et négligés, don
ur crue de l’aube ; on pense à l’autre, qui parle en Thucydide, d’une
voix
claire, durcie par l’intelligence de l’expérience
et presque d’outrecuidance juvénile. Il croit, évidemment, avoir une
voix
de jeune coq incomparable, ce qui est loin de la
Nations. Je remarque que ces jeunes gens modernes qui tremblent à la
voix
du canon, au son d’une trompette, ne représentent
e. Peu s’en fallut que Stazia, Maïa et Cypris ne vinssent tomber sans
voix
sur leurs compagnes, avec l’écume aux lèvres et l
e du marbre. — Ne tentons pas Orphée, qui domine les vents et dont la
voix
calme la mer, dit en riant Maïa avec sa grande bo
g, Orphée monta et apparut au milieu d’elles. Parfois, dans la grande
voix
de la mer, il y avait une voix plus faible, un éc
ilieu d’elles. Parfois, dans la grande voix de la mer, il y avait une
voix
plus faible, un éclat de rires menaçants et sarca
om, répondit Stazia ; j’aime à l’entendre prononcer par ta bouche. La
voix
d’Orphée résonnait, en effet, comme une musique d
enjoué. Mais il n’obtint aucune réponse. Les femmes, charmées par sa
voix
mélodieuse, continuaient à le regarder, hébétées,
t les Bacchantes, pour qui te réserves-tu ? Du groupe des femmes, les
voix
partaient en chœur ; et la voix d’Orphée qui donn
serves-tu ? Du groupe des femmes, les voix partaient en chœur ; et la
voix
d’Orphée qui donnait les réponses paraissait être
, acharnées dans leurs questions. Orphée resta un moment à écouter la
voix
mugissante de la mer secouée par l’ouragan qui ch
— Il est pire que vaincu, il redoute le combat, affirmèrent plusieurs
voix
. — Maintenant il est tard. L’aube se lève. Ne le
rd. Dans le silence qui suivit pour attendre la réponse d’Orphée, une
voix
s’éleva soudain : — Laissez-le aller, disait Bico
onnier. ! — Pourquoi ne parles-tu pas, Orphée ? demanda Bicornide, la
voix
agitée par la frayeur. Demande à partir, humilie-
z-vous reçu le don de chanter ? Vos continuelles orgies ont rendu vos
voix
rauques, et vous ne connaissez rien autre qu’une
éveille ma lyre pour apaiser vos menaces ? poursuivit Orphée avec une
voix
harmonieuse pleine de superbes frémissements. — Ê
vait balancée comme une plume et précipitée du haut de la falaise. La
voix
de Stérope retentit encore parmi les clameurs : —
oces par la douceur de son chant, et nous sommes restées sourdes à sa
voix
qui nous implorait. Un Dieu, notre Dieu l’a aveug
… De même, voilà une grande actrice, qui a la figure, les allures, la
voix
, les mains d’une grande actrice, et ce n’est pas
ure florentine, que le jour des élections il réussit à grappiller 600
voix
; il est bien vrai que son adversaire en compta l
rêve. À l’Italie moderne, un tel poète ne pouvait manquer. Il fut la
voix
grandiose et vibrante de l’âme nationale. Et c’es
te, et s’écria amèrement que, pendant que l’Italie demandait à grande
voix
Rome, on lui avait donné Byzance ! Il n’épargna p
ées, où les poètes et les belles s’en vont errant, dans un murmure de
voix
paisibles. Ainsi se succèdent dans ses strophes l
ans l’ennui stérile de toutes les choses de ce monde. C’est encore la
voix
de Satan, non la conception diabolique de l’Églis
étincelantes couleurs de pétales, en profondes odeurs de calices. Les
voix
les plus inconscientes, les aspirations les plus
1879 d’abord, puis solennellement en 1882, un enfant fit entendre sa
voix
qui résumait toutes les voix du Maître, et, tout
ement en 1882, un enfant fit entendre sa voix qui résumait toutes les
voix
du Maître, et, tout en les imitant, les continuai
léments qui, de tous les pays méditerranéens en réveil, élèvent leurs
voix
de renaissance, et que, comme autrefois à Athènes
après une journée tellement remplie de rêves, et tant remuée par les
voix
des collectivités qui tour à tour l’enveloppaient
sion sera terminée et peut-être le bon Dieu me rappellera à lui. » La
voix
du Démon, à ce moment, se fit un peu mélancolique
as de sursauts et de frissons à la vue d’un cher visage, au son d’une
voix
chère. Mes sens s’éveillèrent, mais mon cœur rest
x séducteur se tut alors et l’autre vieillard commença à parler d’une
voix
lointaine : « Ce que tu as dit est peut-être vrai
erra plus fort. « Pourquoi veux-tu me quitter — dit-il de son odieuse
voix
mélodramatique — pourquoi veux-tu me laisser enco
entis son bras qui m’étreignait avec violence et j’entendis encore sa
voix
qui me disait avec des sanglots : « Non, tu ne pa
Arioste « comme une belle prose cadencée, qu’il animait du son de la
voix
, du mouvement des yeux et en modulant ses intonat
pour faire succéder aux effets du pathétique ceux de la terreur : sa
voix
éloquente exprime la fureur de Roland avec autant
cience artistique nationale, paraît-il. Leurs trompes, plutôt que des
voix
rauques et lugubres, jouent des airs de musique,
systématique du goût, entre Paris et ses colonies intellectuelles. La
voix
autorisée de M. Domenico Oliva, dans cette lutte
, février 1894, p. 116. Tu parles ; et cédant à la molle brise de ta
voix
L’âme s’abandonne Sur les ondes caressantes de to
rchestral sous le fallacieux prétexte de donner plus d’importance aux
voix
, quelques airs de bravoure d’un bel italianisme,
rétation est bonne. M. Saléza a du feu et de l’intelligence ; mais la
voix
manque d’ampleur, se fatigue vite et tend à baiss
de. On ne comprend pas les nègres en arrivant aux colonies, mais leur
voix
ressemble à une haleine d’oiseau. — J’ai entendu
essemble à une haleine d’oiseau. — J’ai entendu à Turin seulement une
voix
céleste d’église. Dieu respirait en elle. » Cette
e cette belle Rome ? la trace rêvée, qu’il y a laissée de ses pas, sa
voix
si jeune alors, si douce toujours si éternellemen
che à découvert dans le clocher à jour (Campanile), ce qui ôte à leur
voix
le mystère de l’invisible, et le secret de l’appe
udité. Au-dessus se donnait alors une leçon de chant d’église, et les
voix
les plus éclatantes nous retinrent sans me rappel
s retinrent sans me rappeler pourtant le charme mélancolique de cette
voix
entendue à la cathédrale de Turin, qui me fit ple
ue que j’adore quelque conformité avec mes tristes étonnements. — Les
voix
du peuple, si touchantes dans le Béarn, si solenn
ici presque aussi communes et aussi criardes qu’à Lyon ; le pays des
voix
fausses et grossières — à quelques belles excepti
ne saurais me faire au son des cloches, qui déchirent l’air comme la
voix
des femmes en Italie. Elles semblent en fureur qu
re chanter, mais parler, c’est à fuir. Est-ce par cette raison que la
voix
douce et pure, la diction limpide et les intonati
pour connaître entièrement Mlle Marchioni33. 6 septembre. Toutes les
voix
maigres des cloches de Milan déchirent en ce mome
la passion triste, colérique ou amoureuse, l’Italien dort. Jamais sa
voix
ne murmure dans le souvenir. La romance, qui nous
r Hugo, mais il est à son aise dans le désordre. S’il constate que la
voix
d’un muezzin est de couleur violette, ça ne me ch
e diverse, il présente une autre politique. Les premiers éclats de sa
voix
sonnent âpres et violents, comme des défis. — Il
n, je pense à la Toscane ; Où partout monte un chœur léger d’allègres
voix
; Pays où, librement, l’âme s’élance et plane, Ci
le soir plein d’échos. Attachés à mes pas en escortes fidèles, À ma
voix
, de nouveau liés, les bruns garçons, Un moment la
-il se mouvoir, serré dans ses liens comme un Christ. Il criait d’une
voix
étranglée : “Carabiniers ! carabiniers !…” » Tel
t pas. Alors ils étaient retournés à leur table. Et, tandis que d’une
voix
effrayante, tout près d’eux, elles continuaient à
he une fiasque minuscule. Toute la journée, le marchand annonce d’une
voix
monotone « o’ muonac ’mbriacone », le moine grand
s’approche, et c’est un tintamarre de tambours accompagné de l’aigre
voix
du fifre : quatre garçons, vêtus de costumes bari
vague sommeil de la génération contemporaine de d’Annunzio. Et si les
voix
profondes ne se font pas encore entendre, on peut
e loin la mer sourit parmi les myrthes et les oliviers, tandis qu’une
voix
fraîche entonne au-delà des buissons une chanso
cahiers ? Je le renseignai. — Savez-vous ce que c’est ? dit-il, d’une
voix
exaltée. — Non… — La vie du Giorgione ! — Du Gior
La belle assurance de ce garçon nous amusait. Il parlait haut, d’une
voix
décidée et ne paraissait nullement intimidé par l
naissance. Il semblait impossible que ce garçon de haute taille, à la
voix
nette, au regard impérieux, ne fût âgé que de qui
le poussa dehors, par les épaules : — Va au diable, Giorgiaccio ! Une
voix
de femme répondit : — Tu es dans l’erreur, maître
aisirs, ce qui me surprenait fort, car j’étais son élève. Soudain, la
voix
de Carlo s’éleva : — Barbara… Barbara… es-tu là ?
ion pour les belles rimes qu’il chantait. Il aurait eu cet air, cette
voix
chaleureuse, les mêmes gestes brusques ou très do
Je ne me souviens pas de la somme qu’il proposa. — Vous hésitez ?… La
voix
de Angelo R… tremblait un peu. Le courage lui fai
et à prier ! » Ses mains ébauchent des gestes onctueux. Elle parle à
voix
douce, marche à petits pas tranquilles, s’habille
il évasivement. — J’aurais bien voulu cependant entendre le son de sa
voix
, dit un très jeune homme ; elle n’a pas ouvert la
ambre que des flambeaux éclairaient, Giorgio apparut et s’écria d’une
voix
terrible : — Qui donc oserait encore me la prendr
e ne connais que la peste et elle ne s’attaque pas aux peintres… — Ta
voix
tremble, Ridolfi, cœur d’or, cervelle folle ! — B
Elle eut pour gardien un Turc très noir et très gras qui possédait la
voix
d’une vierge à l’âge de la puberté et, en guise d
ble. — Je suis prête ! Hélas ! un impérieux orgueil me paralysa et la
voix
fut plus puissante que celle de l’amour. J’entend
rivée. Le seuil franchi, j’avais l’impression, dès que j’entendais sa
voix
, de sortir d’une caverne et de respirer l’air des
ant sur le luth, cette pensée : « La Maurina t’attend », donnait à ma
voix
une ardeur qui me troublait moi-même. Ah ! j’étai
bines jumelles Et lorsqu’entre les crocs tu gémis, j’y réponds Par la
voix
de mes flots dans les gueules des ponts. Au bor
ent dans ses racines. Les esclaves eux-mêmes se mettent à écouter les
voix
et songent à la délivrance. Un besoin intense de
ngueurs » magnifiques qu’il a fallu supprimer à la représentation. La
voix
d’Érigone, l’amante de Dionysos et qui est sous l
la voyante ont une haute signification : Je suis une
voix
, seigneur, et mon cri se leva avant le jour pour
urmure des sources avec le hennissement des licornes se mêlent à leur
voix
… » Page 17 des Élégies romaines : L’hanno in c
o Conti peut apparaître comme une de ces innombrables et fastidieuses
voix
italiennes qui chantent des litanies d’un culte d
étiques, ce sont des chants vibrant d’une si haute joie d’art, que sa
voix
nous blesse même par sa chaleur profonde. Une ten
aux, heureux de reconquérir la liberté de leurs mouvements et de leur
voix
; et cette précoce grâce parisienne de ces petite
bré. Quant à savoir si un esprit peut parler, il suffit de définir la
voix
« mouvement d’air frotté dans un corps dense ». D
ment d’air frotté dans un corps dense ». Demandera-t-on si l’esprit a
voix
articulée et si on peut l’entendre ? « Ô mathémat
athématiciens, faites lumière sur cette erreur, il ne peut y avoir de
voix
là où il n’y a pas de mouvement, ni de percussion
en toute liberté à ses crises, le corps tordu, les yeux révulsés, la
voix
rauque et sifflante. Si bien que cela soit rendu,
Et du doge a rompu le pacte nuptial. Le long des corridors une
voix
se lamente ; Venise ! tu n’es plus la cité triom
re sur la sensibilité générale, il fut un homme en Italie qui leva sa
voix
avec un dédain furieux, dantesque. Carducci mépri
qu’il appela avec une extrême justesse Edmond des Langueurs. Mais la
voix
de Carducci se perdit dans le tumulte sourd des s
au fond de l’abîme ; et soudain Elle parla à travers l’air calme. Sa
voix
était comme la voix que les étoiles Avaient lorsq
; et soudain Elle parla à travers l’air calme. Sa voix était comme la
voix
que les étoiles Avaient lorsque ensemble elles ch
re, Moi-même, ainsi me reposant, Les chants que je chante ici ; et sa
voix
S’arrêtant, apaisée et lente Trouvera à chaque pa
arition, sa manière s’était élargie, son lyrisme faisait entendre une
voix
plus anxieuse et plus pénétrante, qui touchait au
e la fin qu’on ne saurait éviter et écouter en son cœur s’éveiller la
voix
, quand tout mirage s’est évanoui, de la suprême e
ues, à Orange, à Cauterets ou ailleurs. M. Ildebrando Pizzetti est la
voix
écoutée, sonore, savante de tous ces esprits frat
façonner sa pensée d’une certaine manière. De même qu’il arrangera sa
voix
, son costume, ses attitudes pour plaire au public
plus belle que celle d’être lu en public par de jeunes personnes aux
voix
parfois désagréables. Ils auront plus que de rapi
anterai les amours des chevaux et des taureaux Pasiphaéens lunés, les
voix
des cerfs dans les vallons, les mugissements long
n’éprouve plus le besoin de rien. Je sens, dans la pluie, encore, ma
voix
qui me fait peur, et je pense que je suis tombé,
ta Musicale Italiana, Bocca, Turin M. Fausto Torrefranco élève une
voix
d’un sarcasme quelque peu douloureux contre les a
uer à la parole la puissance de changer les hommes en anges et que la
voix
d’un moine transformerait réellement la Florence
t quoi, était-il donc prophète ? Voici le fantôme blanc. Il baisse la
voix
. Il a la lampe, ne la vois-tu pas ? et il frotte
rallier en écrivant le poème : Ouvrons les vitres, qui peut être une
voix
d’appel pour tous les poètes de notre race : La
aissés par les jeunes poètes, tandis que s’évanouissent les dernières
voix
des rhéteurs qui péroraient sur la mort de Carduc
ougis, et je terminai mon récit en donnant un peu d’enthousiasme à ma
voix
. Ah ! le triomphe de son « ennemi » ne lui déplut
’un quatuor, qui, le plus souvent, se borne à doubler inutilement les
voix
, la constante monotonie des cuivres employés par
eant, et composait couramment des poésies latines : elle chantait « à
voix
de syrène » et ne pouvait paraître sans qu’aussit
des années, pour ceux qui l’entouraient, il sembla comme écouter une
voix
qui ne parlait qu’à lui seul. C’est ainsi qu’il a
croire que jusqu’à cette époque avait rayonné autour de lui, dans sa
voix
et dans son extérieur, quelque charme assez fort
. Ce fut la petite ville de San Gimignano qui s’émut la première à sa
voix
. Il prêcha ensuite avec un succès croissant de 14
resque toujours. Un des rares moments où il lui rend ses droits et la
voix
, c’est lorsque Musette est invitée à chanter quel
pense — pour les artistes qui se sont donnés de tout cœur et de toute
voix
à leurs rôles — et aussi pour l’auteur dont il es
ccupera pas. Les anges ni les animaux ne parlent. Les pies imitent la
voix
de l’homme, qui seul est doué de la parole. Tandi
am que pour arriver à atteindre les pies (les pieux) imitateurs de la
voix
humaine et de l’homme raisonnable. Or, la raison
donne tort à l’instrument dont ils veulent se servir. Boèce élève la
voix
contre ceux qui dédaignaient le latin de Rome pou
ord est général entre les esprits libres. La presse italienne, par la
voix
de ses représentants les plus éminents, aura cont
a guerre. — De la guerre ? a repris le vieux gentilhomme, d’un ton de
voix
étonné et quelque peu effrayé. Mais de quelle gue
Et répondant au reproche qui lui a été fait de ne pas avoir élevé la
voix
« pour enflammer les âmes à l’heure solennelle de
sée humaine et l’union secrète de ses meilleurs représentants ». À sa
voix
fait écho celle de Wilhelm Herzog, qui, dans le F
paix sociale, tous les journaux de la concorde. À part quelques rares
voix
dispersées, rien ne manque à l’harmonie vraiment
Dianæ de Conrad Celtes, on rencontre un « chœur de Nymphes » à quatre
voix
, composé d’une succession d’accords parfaits basé
déclamation, les suspensions, la lenteur, la rapidité, les sons de la
voix
tantôt chargés, tantôt affaiblis et négligés dont
nt-garde du monde. Au milieu de ces forces, s’élève tout d’un coup la
voix
d’un maître du passé, que l’autorité de Carducci
ttérature, peut produire une impression bizarre ; l’impression qu’une
voix
sereine et forte, dominant par la noblesse de sa
ection aux inquiétudes d’un moment historique. L’Italie attendait une
voix
généreuse et impétueuse capable d’exalter ses esp
de Florence et de quelque poète, M. Adolfo de Bosis fait entendre la
voix
triste et noble de ses lyriques : Amori ac silent
déjà loin d’ici, sur une route morne, en larmes, et m’appelant d’une
voix
désolée. À cette pensée, devenu furieux, je donna
mmença de le jouer. Elle chanta quelques phrases. Je remarquai que sa
voix
était ferme : nous n’étions plus émus ni les uns
ions de son visage, tous ses sourires, comme toutes les nuances de sa
voix
, maintenant je les savais. Elle m’avait ravi de m
ilencieusement, leur disent que tout passe, étouffant soudainement la
voix
heureuse de leurs âmes. Ainsi, plus d’une fois, q
de beauté, un chœur d’ombres harmonieuses se levait. J’entendais des
voix
s’élever au-dessus d’une cité blanche immense. Je
le avoir vécu au temps d’Urbain VIII ou d’Innocent X, et on écoute sa
voix
avec le même intérêt avec lequel on aurait suivi
ieu, où un berger rentrant interpelle un berger sortant qui entend sa
voix
(un homme vigilant gagnerait leurs deux salaires
Antiphatès le dévore. Puis il pousse un cri à travers la ville. À sa
voix
, les puissants Laistrygons accourent, de ci de là
d homme, une fin, une péroraison, où s’ajoute, au chœur précédent des
voix
sombres, un buccin héroïque. La longueur de ce co
coles anciennes, J’entendais retentir, antiques et chrétiennes, Mille
voix
, s’accordant dans un son fraternel : Car, ô Flore
nti dans mon cœur se lever ton grand Lys. Les orgues résonnaient, les
voix
étaient unies, Vers tes voûtes montaient de jeune
Le barman est venu. — Combien vous dois-je ? lui a-t-elle demandé, à
voix
très haute, en français, presque sans accent. Et
u silence, au clair de lune… j’écoute les campaniles chanter, de leur
voix
narquoise, les heures qui nous séparent… Que ne v
ur et amoureux sincère, canaille et pieux à la Vierge. Avec une belle
voix
de salon dépourvue de médium, Mlle Andrée Vally,
on classique, païenne, renaissance, qui nous opprimait. Leur filet de
voix
est mince, mais il représente quelque chose de no
olonne au centre du lieu où l’on se trouvait. Il commença ainsi d’une
voix
tonnante : « Le mariage… » Aussitôt il tomba en v
choses d’amour, l’a certainement occupée. J’ai écrit la portée de sa
voix
pour lui envoyer de la musique de Mozart. J’ai ti
e pâle, debout, avec un seul visage », et il écoute et il exprime les
voix
de la guerre, non celles qui éclatent en Afrique,
etti, nous l’a signifié l’autre jour, avec de terribles roulements de
voix
précurseurs de catastrophes, — nos bibliothèques
et qui tend à s’élever sans cesse, et dont les inflexions mêmes de la
voix
rendent les nuances de la pensée. Peut-être ainsi
, et cette différence était toute à l’avantage de la France : ici des
voix
s’étaient élevées pour combattre l’injustice, et
ide d’enchâsseurs de mots à l’instar de d’Annunzio ! À peine quelques
voix
s’élevèrent-elles faiblement ; la plupart des gen
que l’on voit et que l’on entend partout, ceux qui emplissent de leur
voix
les lieux publics, ce sont, comme chez nous, les
e le chœur tapageur et dédaignable des politiciens, d’où s’élevait la
voix
courroucée, mi-politique, mi-lyrique, d’un seul p
n il a chanté les événements héroïques et douloureux de sa patrie, sa
voix
n’a jamais cessé de rappeler les vibrations immen
ature, quand il nous montre les flots de l’Océan Indien soulevés à la
voix
des Futuristes et s’en allant engloutir, contre l
x d’Ulysse sont rompus, et son cœur est accablé… Sans haleine et sans
voix
, il tombe brisé dans le lit du ruisseau, et une v
est-à-dire une région cultivée. Nos gens approchent : à une portée de
voix
de la ville, Nausicaa, voulant qu’Ulysse attende
ent constituée depuis les temps les plus lointains n’attendait qu’une
voix
forte et nette pour reprendre la conscience plein
eurs d’enfant, des aboiements de chiens, des appels, toutes sortes de
voix
qui allaient tout à l’heure devenir plus languiss
hantaient, des oiseaux gazouillaient, et dans l’air pur du matin, les
voix
des marchands de légumes, criant leurs marchandis
é qui m’enveloppait. J’entendis à ma gauche un profond soupir, et une
voix
étouffée murmura : « Madone ! » Je me tournai de
Elle avait retrouvé ses esprits. Elle se mit à parler français d’une
voix
chaude et avec un accent qui me prirent entièreme
couvrit le visage de ses deux mains, et je l’entendis murmurer d’une
voix
affreuse : « Immacolata mia, je me suis damnée !
à lui seul d’un potager, qui lui parut toujours si petit ! Voilà des
voix
, des expressions, diverses, différentes, que pour
dans des chanteurs. Le plus jeune pouvait avoir dix ans, il avait une
voix
criarde de fillette et faisait solo, tandis qu’un
veaux ne l’intimidaient pas ; on sentait, à la manière dont allait sa
voix
, qu’il était entraîné par un plaisir secret ; et
is il était si bien à son bonheur de faire des accords et de fuser sa
voix
qu’il lui répondait de la tête, sans s’arrêter ni
e-cinq personnages masculins et dix femmes. Mais les chœurs aussi ont
voix
au chapitre, car dans les grands moments de tumul
s resurgit dans ces pages, à la manière du dieu Pan. « J’ai écouté la
voix
de Faunus — déclare l’auteur — et j’en ai tiré qu
épris de son chant, une langoureuse et berçante chanson d’amour : sa
voix
juvénile retentissait un instant entre les deux r
d’enfant jaillissait, imprévu et rapide, et toutes ces rumeurs et ces
voix
montaient vers Jean, adoucies et bercées par la p
é d’amour, devant l’autel, et de nouveau, il crut entendre les calmes
voix
des moines, psalmodiant leur office. Reportant en
puisse sans péché quitter ce corps terrestre. Ô ciel, j’entends leur
voix
séraphique et leur prière. Seigneur, recevez mon
chérie par le poète comme la contrepartie idéale de Phèdre, comme la
voix
insupportable parce qu’immuable du sort antique :
diamo ? demanda le cocher au tournant de la Grande Poste. Cette douce
voix
italienne, ce qu’elle pouvait agacer Bélisaire !
récits où l’on croit entendre se prolonger encore la vibration de la
voix
, un peu brisée, des acteurs du drame. À première
oire même avec la célébrité, le droit d’élever pour toute la suite sa
voix
sur le marché. Ni la tisane morale et néo-catholi
mptuosités propre aux époques plus récentes, Venise lui a parlé d’une
voix
authentique et spontanée, Venise apparaît et se m
ffrant à boire à la comtesse, se trahisse. L’aveugle, en entendant la
voix
de l’homme haï, en écoutant de nouveau ses menace
dispersé ; il n’a pas noté, comme d’autres, avec émoi et surprise, la
voix
brève des premières flûtes élégiaques et La Conqu
Les uns aux autres ils se lançaient des projectiles à grand bruit. La
voix
des combattants montait jusqu’aux astres, clameur
aurait certes plus que le nécessaire pour le faire admirablement. Sa
voix
est belle, en particulier dans l’aigu, d’une soup
fois terrible de l’Excommunication ? Le nouveau Pape parle, écrit. Sa
voix
n’est pas celle des prophètes d’Israël, ni celle,
st ébloui ; une prison peut retentir des plus douces rumeurs quand la
voix
des traditions séculaires arrive jusqu’à celui qu
beaucoup ! Il releva son esprit, une ombre de sévérité rentra dans sa
voix
. — Et alors, — dit-il, — pourquoi ne m’as-tu pas
s le résultat, quand tous les roquets de la censure donneraient de la
voix
sur lui, est justement ce qui doit inquiéter le m
rt italien, où toute l’Europe s’est désaltérée, et s’ils écoutent des
voix
étrangères, ils tendent l’oreille vers la France
est monotone. Et puis, de toutes parts, les récits écrits ou de vive
voix
se sont multipliés ; nous connaissons tout de cet
elles innombrables du maître ; ceux-là aussi ont tenu à ajouter leurs
voix
de protestation. Des journalistes, qui en général
Pétrarque, et là il s’asseyait et se taisait À écouter son saint à la
voix
acerbe. Ah ! regrets ! il revoyait les eaux de
d’Anne : dès l’ouverture du rideau, elle a su, par le son même de la
voix
, pour ainsi dire, suggérer qu’elle était aveugle
oberto forme l’illustre triade littéraire de la Sicile, lève enfin la
voix
en faveur de ce pays pittoresque et méconnu ; dan
ante en artiste de premier ordre, à M. Maréchal qui fait entendre une
voix
de ténor au timbre exquis, à MM. Fugère, Bouvet e
rtes admirablement, et M. Huberty déploya, en Walter, la plus superbe
voix
de basse qu’oncques j’aie entendue à l’Opéra. Mai
ir composer qu’exalté par l’action, dramatique. S’il écrivit pour des
voix
exercées, il est invraisemblable que Verdi ait vo
plein de vie, parfait de naturel et de justesse, sans préjudice d’une
voix
expressive et prenante que favorisait mal le rôle
ton mariage, tu me dis qu’auparavant tu veux venir me parler de vive
voix
. À cause de ma maison j’ai beaucoup de mal et de
e vous serez bientôt ici, je pourrai vous faire cette réponse de vive
voix
, plus explicitement, et vous parler en détails de
? Il ne dit que ces mots : Approche, et suis ton guide ; Et quand la
voix
du sort eut au rang d’un perfide Élevé Mathias66,
on seulement par des considérants clairs et précis, mais aussi par la
voix
d’orateurs allant de ville en ville commenter les
chanteur de la chapelle Sixtine, Testore, mourut, le peuple dont sa «
voix
blanche » faisait les délices voulut honorer sa m
seul qui soit digne de vivre. La peur peut vaincre un homme, mais la
voix
du devoir fait vaincre la peur. Ris, on rira avec
irent fumer le cigare et la pipe, sa crainte de parler de peur que sa
voix
ne révélât son sexe. Enfin elle s’enhardit jusqu’
traditions de ses humanistes. Et, au milieu de ce bouleversement, les
voix
de professeurs italiens d’anthropologie s’élevère
t l’association des forces nationales et de celles des colonies, à la
voix
puissante de la guerre. La Nation, toujours unie
ns sœurs qui combattent ensemble… Le 20, j’ai eu la joie de donner ma
voix
au Sénat pour la belle guerre. Quel spectacle sub
ment nuancées. Ne lui demandons pas de l’archéologie ; écoutons-en la
voix
et soyons-lui reconnaissants du langage prestigie
e sa majesté surnaturelle va le faire repentir, il n’écoutera plus la
voix
de l’amour et de la jeunesse. Et alors, tandis qu
de M. Leoncavallo pour utiliser les derniers débris de ce qui fut sa
voix
. Il s’en ouvrit aussitôt à son directeur qui fail
64, août 1903, p. 468-474 [471]. Et du Sud aussi répond à ces grandes
voix
qui, du Septentrion, de l’Est et du Couchant, se
le implore et poursuit vainement l’abri d’inaccessibles paupières. La
voix
est puissante et belle. Le temps et l’étude ne pe
asque empruntés ; avec ce masque d’airain trop sonore pour de petites
voix
, qui semblent gémir comme le vent contre une mais
s cette même salle à présent nue et vide Les murs vibrent encor de la
Voix
qui décide Les Guelfes de Toscane à suivre un fie
nes jumelles, Et lorsque entre tes crocs tu gémis, j’y réponds Par la
voix
de mes flots dans les gueules des ponts. IV
otre ombre allonger. Que j’y dorme oublié des Heures envieuses ! Leur
voix
presse au départ et me nomme étranger. Heures, je
de cavernes, des yeux qui, quoique petits, semblaient vous percer. La
voix
était douce et tant soit peu voilée. « Quand nous
holique : il embauchait les ténors et les ballerines, veillait sur la
voix
des uns, sur les jambes et la vertu des autres. S
enait à travers la vie parisienne sa gloire fugitive et contait d’une
voix
toujours enthousiaste les humbles souvenirs dont
▲