t l’Homme dans ses âges, dans ses contingences, dans ses symboles. La
vision
anthropomorphe s’élève peu à peu, de l’individu à
te est tout entier, et souvent tout vibrant de belle énergie, dans la
vision
de l’homme dans l’univers, de la femme dans l’hum
co Chiesa, publie un poème, Calliope, aussi en sonnets, mais dans une
vision
architecturale serrée et parfaite, qui en fait le
ée et de réalisation particulière aux grands récits qui demeurent. La
vision
de M. Francesco Chiesa est en tout remarquable. E
s dont j’ai parlé plus haut. Un irrésistible besoin de renouveler nos
visions
et nos sensations pour aimer et pour reprendre la
mes parfaits pour s’extérioriser en beauté, montre la nouveauté de sa
vision
de la vie. Son œuvre, l’Incubo Velato, a été cour
e très pure. Ici, encore, c’est une volonté de rythmes adéquats à des
visions
nouvelles ; c’est une recherche qui aboutit souve
i la veine d’un François d’Assise, ni l’envolée d’un Ekkehard, ni les
visions
lumineuses d’un Jacob Boehme. Dans la contemplati
la vie de la nature, et s’émeut au centre même de la vie, devant les
visions
isochrones de l’âme humaine, de l’âme de la terre
, où la vie humaine et la vie végétale se fondent joyeusement dans la
vision
de la vie universelle. Le volume des Poesie edite
e sceptique ; elle témoigne de l’âme neuve de ce poète dominée par la
vision
précise des contrastes, des analogies, des innomb
basé sur une ou quelques données très simples, d’où s’élève toute une
vision
métaphysique, esthétique et morale de la vie, tan
rait la mort de Pétrarque, et qui a perpétué, de siècle en siècle, la
vision
du poète mort dans la solitude de son cabinet de
tiraient quelques rayons de ses splendeurs. Si sa parole rythmait des
visions
oubliées de la grandeur de Rome, c’était pour mie
à donner à la culture des générations qui l’entouraient une nouvelle
vision
des classiques de la littérature. Un à un, il ava
s la poésie du monde, car l’esprit intime, le souffle animateur de la
vision
et de la réalisation des Odes Barbares, plus enco
erre, le fait étouffer de joie dans la souvenance, d’angoisse dans la
vision
présente. Les dieux antiques qu’il évoque sont ce
st dans les principes philosophiques qui sont à la base de toutes mes
visions
de la vie, et par conséquent de l’art. Mais à plu
e la vie, observé ou imaginé, mais il est ému originairement, par une
vision
de la vie, c’est-à-dire par une généralisation ly
polémiste spirituel et extrêmement intelligent. Malheureusement, ses
visions
critiques souvent ne vont pas au-delà des faculté
me assez divers, choisis dans l’humanité. Parfois, l’expression de la
vision
de M. Papini trahit l’originalité de sa pensée. A
e succès. M. Enrico Corradini a révélé, dans une Charlotte Corday, sa
vision
, personnelle et hautaine, de la Révolution. M. Er
st M. Giovanni Pascoli. Une tragique douleur de famille, une terrible
vision
de sang et de mort, fit poète Giovanni Pascoli. S
t de mort, fit poète Giovanni Pascoli. Sa douleur s’épanouit dans des
visions
de la nature simple des champs, où sous le calme
igne calme et silencieux vers les portes d’Hadès, il y a la plus pure
vision
du Héros grec ; et non seulement du Péliade Achil
ans sa maison pleine de printemps, il se révèle en visionnaire, et sa
vision
est obscure et toute faite de craintes vagues, no
, par l’amour sombre d’Aligi. Cet amour, né dans un éclair, devant la
vision
de l’ange muet, jettera une grande ombre sur le d
ur la chasser et la jeter à la fureur des moissonneurs envieux, et la
vision
de l’ange muet qui pleurait derrière la femme et
’Annunzio se dégage une terrible philosophie, ou, mieux, une terrible
vision
philosophique, qui surprend nos sens : la vision
mieux, une terrible vision philosophique, qui surprend nos sens : la
vision
de la femme. D’Annunzio comme Rodin fait reposer
ourment, et fatalité implacable de la mort. Par la constance de cette
vision
, grand thème conducteur de toute son œuvre, d’Ann
ques la lassitude du drame, les faiblesses de la logique du drame. La
vision
de l’Ange muet qui arrête la fureur d’Aligi contr
e l’eau qui reflétait le ciel gris-perle. À quoi pensait-il ? Quelles
visions
traversaient ces yeux puis qui n’avaient jamais p
leus et souriants de son innocent Minnai. Était-ce une réalité ou une
vision
? Il ne le sut pas ; mais à peine les eût-il vus
e M. Ugo Monneret de Villars sur Giorgione Mais la nouveauté de la
vision
de Giorgione avait à jamais donné à l’art vénitie
de la pensée, qui s’en va. La poésie de Pascoli, douloureuse dans sa
vision
, hardie et riche dans ses expressions, nous rappe
nd poète n’est pas uniquement la fusion extrêmement harmonieuse de sa
vision
mortelle peuplée d’images ensoleillées ; c’est la
façon presque métaphysique, il sait revenir à lui-même, et réduire la
vision
du monde à celle de la terre de la famille, de l’
te entre les deux mains. À la fin de son recueil, le Poète évoque la
vision
de la mort de son père. Il écrit un poème où l’Om
et de celle qui fut assassinée : Gigliola. Cette jeune fille, par sa
vision
vague des choses qui ne sont plus et des choses q
onale M. Riccardo Forster évoque au contraire une large et sereine
vision
de la vie dans ses sonnets d’une forme classique
urmurer un secret à l’air irisé. Ô verger de Mélancolie, verger des
visions
astrales, bercez ma pauvre âme attendrie et mon c
phalange orchestrale. Souvent ces vers suscitent dans le lecteur des
visions
plastiques et colorées, rouges et noires, qui fon
Fr. Treves, Milan Un poète romantique nous entraîne loin, dans la
vision
rétrospective de l’âme poétique italienne. Carduc
vio Novaro : La Casa del Signore. Poèmes. — Ottone Schanzer : Astrea,
Vision
mystique, en un acte, en vers. — Fr. Pastonchi :
L’horreur passait comme la nuit ! ( Suit l’admirable
vision
qui remplit les strophes XX, XXI, XXII et XXIII.
mauvais goût du public, en immobilisant son admiration dans l’unique
vision
de l’opéra. Ceux-ci ne veulent pas encore compren
entière liberté y sera rendue au Pontife. Il s’attarde à cette belle
vision
de la Ville-éternelle restituée au Pape et de Flo
ent de son temps. Or Goethe écrivit un poème superbe, dans lequel une
vision
de vie, rapide et synthétique, est exprimée sous
ous échapperait, si quelques grands poètes ne rêvaient pas de grandes
visions
sociales, des drames immobiles d’âmes, des drames
te héroïque, son théâtre est suprêmement décourageant. Mais, dans ses
visions
synthétiques, comme dans ses plus menus détails,
fort, avec ses puissantes qualités de rêve plus que de recherche. Les
visions
qu’il a réalisées en œuvre d’art sont confuses, i
La superbe ivresse d’Edgar-Allan Poe fut toute frémissante devant des
visions
semblables. Et Maeterlinck rappelle Edgar Poe en
gédie Héroïque avec Francesca da Rimini. Tout son théâtre est fait de
visions
hautainement poétiques, où il s’éloigne des extér
désharmonies particulières à l’heure commune qu’il vit, exprimera en
visions
toutes les vérités conquises, comme le musicien l
s nouveaux sont faits de précision dans le rêve et de clarté dans une
vision
qui traduise non les profondes et belles vérités
o développe ce thème en distiques sonores, où vit en beaux rythmes sa
vision
de Rome. Or, le défaut principal de ce recueil es
monde. Le Poète avait rythmé cette immense exaltation vers 1890. Sa
vision
était trop drapée. Cependant, dans la générale pl
ur, comme j’ai eu l’occasion de le montrer ici même. Mme Deledda a la
vision
et l’expression moins vastes et moins poétiques.
un précieux document qui fait vivante et belle devant nos esprits la
vision
de la femme florentine, telle que nous l’imaginon
ociales. — La Città Terrena, de M. Giuseppe Cimbali, est une sorte de
vision
complexe, logique, impitoyablement savante, de la
versé un pays. Duccio della Bella partit avec son vieux compagnon. La
vision
du duel auquel il avait assisté avait fait encore
une homme, et l’ascension sublime de l’Apôtre. Le roman est toute une
vision
mystique et passionnée, représentée avec beaucoup
La Joyeuse Vérité), de M. Giulio de Frenzi, contient au contraire une
vision
de vie contemporaine, qu’une philosophie alerte e
tte unité nous surprend parce qu’elle ne nous est pas imposée par une
vision
facilement saisissable que d’infinis détails anim
inue ceux qu’un autre a commencé de creuser, et l’on réalise ainsi la
vision
de Pascal, qui considère l’humanité comme n’étant
nt à Vienne, ce Palais Ducal dont s’honore le Louvre et tant d’autres
visions
des canaux, de l’Arsenal, du Quai des Esclavons,
’ait jamais lu une ligne du grand écrivain italien. Cette analogie de
vision
et de sensibilité contribua pour beaucoup sans do
d’un état général des esprits. Ne pouvant pas résumer la vie dans une
vision
immense, ils renvoient exactement l’unique rayon
is hommes l’un sur l’autre ne font pas un géant. Une série de petites
visions
ne fait pas une grande vision. Les œuvres de ces
ont pas un géant. Une série de petites visions ne fait pas une grande
vision
. Les œuvres de ces êtres heureux, que le public c
devant le soleil, comme devant le terminus, la borne extrême que nos
visions
originaires peuvent toucher. Mais le livre de Wal
e dans son esprit éperdument épris de grandiose, et en transposant la
vision
de la vie toujours un octave ou deux au-dessus de
très romantique, certaines cadences même de son style, remémorent les
visions
ardentes du Feu. Le style de ces évocations de pa
tion et la révélation de ce qui vit dans la nature environnante ». La
vision
entièrement, et profondément, subjective de la vi
la possibilité des recherches malpropres, la puissance du vilain, la
vision
nette des petits côtés pratiques des choses laide
mparés et opposés et il s’en est fait une idée particulière. C’est sa
vision
personnelle qu’il nous donne. Son livre, qui comm
recueil de nouvelles, Antica Madre, dont il peut être content, car sa
vision
de la vie est sincère, subjective, indépendante d
straire au pressentiment de la scène et de la musique. Sans doute, la
vision
telle que M. Boïto nous la donne, la vision de ce
a musique. Sans doute, la vision telle que M. Boïto nous la donne, la
vision
de ces personnages et de ce monde, de cette heure
enfin la volupté et la mort. On voit bien que M. Boïto n’a eu qu’une
vision
de poète, et qu’il faut demander à ce poème ce qu
ome, de ce monde qui donna tant de peine à M. Zola, lequel en eut une
vision
étrangement puérile, — est le décor du roman de R
la pénombre des chapelles, tout d’un coup revient à la réalité : les
visions
prennent une forme visible… Et il écrit des pages
ntes, dont les professeurs parlent beaucoup. La plus étonnante de ces
visions
était celle du Songe d’Enfer, peu admise encore p
Sodome. En art, ce cuistre est homosexuel et son œil déforme la pure
vision
en image lascive, conception diabolique, et vile
nce et celle d’un héros qui peut passer, pour une princesse, reste la
vision
la plus belle et la plus pure de l’espèce humaine
e clarté qui semblent des synonymes élégants de l’impuissance dans la
vision
, de la faiblesse dans la conception et de l’inver
aut de son atavisme admirable, lui donnaient la nostalgie des grandes
visions
, des paysages d’orages, des orages de la nature e
i éternellement puissante sur moi, je ne demanderais à Rome que cette
vision
: je ne l’aurai pas22. » Ne s’est-elle pas évité
mour. Isabelle s’anéantit dans la folie, c’est-à-dire dans une de ces
visions
de la mort dans la vie, qui renouvellent sans ces
sme pour l’énergie humaine moderne, Gabriele d’Annunzio a composé une
vision
de vie et de mort. Il n’a pas pu fondre les éléme
D’autres auraient pu ne pas s’arrêter, et demeurer uniquement, en une
vision
toute romantique, qui date, où l’on peut remarque
ur me fait voir réellement une existence folle, arrive à me donner la
vision
de l’extravagant, moi je ne lui en demande pas pl
esprit, il continue, point écouté, à dire sa parole. Et tandis que sa
vision
du monde et des âmes devient toujours plus doulou
ulier. Il est indifférent qu’un artiste soit porté à l’arrêter en une
vision
de forme, ou de couleur, ou à l’évoquer par des s
ontemplant la destruction, « à sentir plus profondément la vie par la
vision
de tant de beautés qui s’en vont à la mort ». C’e
e pour savoir s’ils vivent encore et comment ils vivent. Épouvantable
vision
! Jean Lorrain crie qu’il est empoisonné et reche
ntal de notre génération, mais qui nous apportent de ce spectacle une
vision
autrement originale. Ils sacrifient à la mode, si
vec ses yeux, et il reste que Sainte-Marie des Fleurs nous fournit la
vision
charmante d’une Venise amoureuse, jeune et gaie s
ur de Clartés n’est pas le seul écrivain de nos jours qui apporte une
vision
vénitienne différente du leitmotiv des snobs. Deu
rd qui aime à chercher le mystère des choses le poursuit derrière une
vision
très nette, presque brutale du présent. C’est le
enant, beaucoup plus lourde, bien que minutieusement observée, est la
vision
vénitienne que grava Abel Hermant au début d’un d
pêche qu’il sait camper des types contemporains. On ne trouvera de la
vision
de Venise que juste ce qui convient pour situer l
oquent dans leur malheur, dont le lyrisme de la race s’émeut, la même
vision
, celle vers laquelle tend toute notre volonté de
tructions industrielles. La lumière, la mer, voilà le charme de cette
vision
; mais est-il besoin de venir à Naples pour cela
ue des manifestations suprêmes de ceux-ci. M. de Rinaldis applique sa
vision
théorique à la discussion de la critique d’art it
elle, toute la critique, se basera essentiellement sans doute sur une
vision
précise et vaste à la fois de la conscience de l’
sionnément, et la pensée qu’il est à jamais éloigné d’elle trouble la
vision
dont il a empli sa grande âme tragique. Et l’on c
dans le souvenir des générations futures : idéal purement humain. La
vision
des béatitudes éternelles goûtées dans un éternel
e d’un long rêve pénible qui l’avait tenu oppressé sous l’angoisse de
visions
terrifiantes : il fait grand jour, le ciel est li
ntempler, à palper ces marbres vivants qui faisaient naître en eux la
vision
d’un âge où des hommes vigoureux et bien faits dé
avec des maisons roses dans le soleil dénotant une grande finesse de
vision
et un sentiment rare de coloriste. Si j’ajoute en
dont l’Europe put admirer dans l’ampleur d’une exposition cyclique la
vision
spacieuse, grandiose et tendre à l’exposition de
e d’expression le plus parfait, le plus réel, pour traduire sa propre
vision
. Comme à côté de celle de Goethe, la conception q
s’est pas reflétée en lui, c’est lui qui a projeté sur Rome sa propre
vision
romantique. Cette page de Renan le fera comprendr
ue, Georges-Olivier Destrée fut un esthète délicat, épris des idéales
visions
, évoquées pour notre enchantement par les pinceau
vie passée, toute cette journée, et cette incomparable et séduisante
vision
de Florence n’avaient été qu’une épreuve destinée
sinant sur des fonds clairs. Il est toutefois moins hiératique et ses
visions
ont presque toujours le charme ingénu qui nous sé
ée de fières images épiques, qui porte à travers le monde la dernière
vision
tragique de M. Gabriel d’Annunzio, semble devoir
ait ailleurs, en deçà des Alpes, en France ou en Allemagne. La grande
vision
hellénique, toute modernement profonde, d’un autr
volonté orgueilleuse, et la nature lui apparaît en synthèse, dans une
vision
très complexe, où les aspects de la légende et de
ui de celui de Pascoli, en est complété et le complète. Les dernières
visions
ancestrales de d’Annunzio sont entièrement dégagé
— j’ai faim — j’ai froid. Le poète voit là le drame de l’exilé, et la
vision
du nombre incalculable de ces exilés lui semble g
lyrisme de Pascoli présente trop souvent cette disproportion entre la
vision
et l’expression, surtout depuis quelques années.
a poésie géorgique et les qualités plus rudes, plus puissantes, de sa
vision
hellénique. Il faut souhaiter que le poète retrou
, mais son amour, avec une véhémence qui acquiert sa vigueur dans une
vision
très nette de la vie, et sans enthousiasme, sans
oraine, sont de la très belle et très juste philosophie de l’art. Les
visions
du passé, des grandes conquêtes et des grands con
attentes, comme un marin ferme au timon, sombrement absorbé dans sa
vision
surhumaine, sachant que c’est une fatigue vaine,
de la nuit, Tour à tour glorieux et mécontent de lui, Car aucune des
visions
qu’il avait eues Ne s’était, à ses yeux, apaisée
égionaux. M. Verga ou M. F. de Roberto ou M. Capuana, ont exprimé une
vision
, très poignante toujours chez M. Verga, de la vue
culture » national, c’est-à-dire d’un style unique et national de la
vision
du monde dans toutes ses manifestations et ses ex
ofonde et la plus belle tragédie, certes, du théâtre contemporain. La
vision
est d’une singulière beauté, car elle est dans l’
’action dans une atmosphère de musique héroïque et sensuelle, d’où la
vision
de Venise surgit, tel un triomphe de flammes sur
reconnu tel dans Charlotte Corday, et n’ont pas admis l’œuvre, où une
vision
tragique hautaine et nouvelle de la créature révo
ut surtout regretter qu’il nous soit présenté un Carducci vu dans une
vision
historique semblable à celle désormais scolastiqu
» — Et, à cette évocation de l’art du « bel canto », surgit toute une
vision
rossinienne. Et, quand Caccini lui-même, dans sa
se fait-il alors que des paysages normands s’évoquent parfois dans la
vision
de l’écrivain italien, que des types du pays de C
femme fait songer à un fruit mûr : « Il y avait dans cette odeur une
vision
de fruits mûrs, de miel, de chevelures, de belles
’un menuet, et plus tard l’obsession du menuet troublera ses nuits de
visions
sensuelles. Chez Maupassant, Olivier Bertin, écou
r au bord des îlots l’apaisement du doute et l’espérance du néant. La
vision
de l’Adriatique, toujours associée à l’image d’un
ge d’un souvenir trop fidèle, il n’en est pas dont les tendances, les
visions
et les habitudes d’artiste répondent mieux que ce
les ensembles, est fort difficile à obtenir dans la haute région des
visions
historiques. Voici un livre digne entre tous de l
intéressant. Sa langue est pure et riche, son âme est tranquille, sa
vision
est grossièrement pathétique, mais pleine de just
à travers l’écheveau des fils qui portent la pensée des hommes… » La
vision
de notre activité collective, génératrice de nouv
, tandis que, sous une lumière descendue de l’Olympe, surgissaient en
visions
ces créatures d’un Rêve. Le rayonnement animique
ot ? Dès les premiers croquis de si libre allure et de si personnelle
vision
, la famille gronda. Non seulement Medardo ne sera
à peu près d’expressions, — qui eussent plus fidèlement traduit leurs
visions
s’ils ne se fussent butés contre une surface plan
nunzio vont toujours aux purs artistes, à ceux qui ont le sens et une
vision
originale de la beauté. Il admire les livres d’An
temps et de tout pays. Et ce n’est pas seulement par réaction que les
Visions
du Bouddha, de M. Gian-Andrea Esengrini, nous par
que la vie du Bouddha, la conscience de la douleur de Çakya-Mouni, sa
vision
de la régénérescence, sa lutte contre les tentati
es écrivains classés parmi les meilleurs des concurrents ont plus des
visions
littéraires générales, inspirées par les autres l
de l’âme en communion heureuse avec la nature, ou de quelques grandes
visions
collectives et métaphysiques : il ne suit ces deu
me est plus que chez tout autre inattaquable, est un poète doux, à la
vision
calme, à l’évocation tendre. Ses muscles ne tremb
t profonde apothéose, d’autant plus belle qu’elle est plus simple. La
vision
de Reggio et de Messine détruites, celle de la ba
ations chaudes les phrases qui devaient évoquer, dans son esprit, des
visions
. Et, quand on lui demanda s’il avait été ému par
andeur d’âme ! Et je ne les prononce plus sans être environné par des
visions
funèbres ! * L’école des Bellini est située parmi
me le seraient tous les hommes, sans le péché d’Adam. Tu apportes les
visions
du paradis terrestre… — Je n’ai parcouru d’autre
entiment et d’expression, déjà connue et classée. L’originalité de la
vision
même en est toujours un peu amoindrie. Cependant,
ue du Grand Florentin ; […]. Archéologie, voyages. S. de Callias :
Visions
Cosmopolites, Maurice Bauche, 5, rue des Filles-S
at de longues études que la simple intuition d’un voyant, elle est la
vision
d’un savant. Elle est la vision de celui qui, aut
le intuition d’un voyant, elle est la vision d’un savant. Elle est la
vision
de celui qui, autant par l’artifice de sa science
sque Guddène, un des zélateurs, approche un flambeau de son front. Sa
vision
sainte disparaît ; elle revoit ses fautes : Arédr
our pour qu’il revive sept fois plus ardent38. Saint Sébastien a une
vision
. Les trois femmes agenouillées, qui évidemment ra
tableau s’élargit, devient l’entrechoquement de deux mondes, de deux
visions
, qui finissent par s’unir en une apothéose. Or
et qui tournent sur un fond de toile bleue, auprès de la prodigieuse
vision
qu’évoquent, en une admirable langue, les rubriqu
’apparition de la Fille malade des fièvres, du linceul déroulé, de la
vision
des astres dans la Chambre Magique, de la tentati
t-Point a donné, dans une vue d’ensemble aussi vaste que profonde, la
vision
de l’œuvre lyrique accompli par la femme italienn
» Dans ses importantes exégèses, M. Paul Vulliaud, pour soutenir sa
vision
de l’œuvre littéraire et philosophique d’un temps
e et le culte de la langue latine. M. Pascoli voit et entend dans une
vision
formidable, où bruissent des échos de guerres et
, et omnes horrebant spatiis vestigia dissita tantis… Puis c’est la
vision
de la ténébreuse naissance chrétienne, puis celle
ogique présente, comme une sorte de Messie d’une singulière pureté de
vision
et d’expression. Ainsi, lorsque, dans son nouveau
uotidienne et bestiale brutalité. La même « valeur de poésie », de la
vision
et de l’expression, enthousiasme M. Angelo Conti
ate, nous croyons « voir » une vérité qui nous serait donnée dans une
vision
quelque peu extatique, suscitée en nous par une l
s de Marie de Magdala, de Thérèse d’Avila, de Catherine de Sienne. La
vision
y est originale et superbe. Voici quelques stroph
nd poète est, par définition, un grand visionnaire. La grandeur de la
vision
peut être dans la profondeur et dans la subtilité
est appelé romantique. C’est un art faible, parce que l’étendue de la
vision
l’emporta sur la profondeur de l’âme individuelle
inspiration à celle de tous les grands poètes est la puissance de la
vision
, la multiplicité lyrique des groupements des être
e haine, un fouet à la main, et les Odes Barbares, où il reprenait la
vision
lyrique et épique du monde et de Rome, là où les
La postérité ratifiera sans doute cette victoire. Malgré ses grandes
visions
, l’art de Rapisardi a exactement les bornes spiri
par la mort de son plus grand poète, dont l’unité et l’étendue de la
vision
doivent faire oublier le sentimentalisme humanita
ellénique, nous montre quel poète complet se manifeste l’auteur de la
Vision
du Dante, du Dernier chant de Leopardi, du Songe
l’esprit d’association ; patientes et peu éclairées, elles n’ont une
vision
précise de leur situation que dans les moments de
Fragonard, les Laurent, race fameuse par la belle spontanéité de leur
vision
, par l’expression des élégances d’un monde de joi
peintre et surtout aquafortiste d’une très grande habileté, avec des
visions
de Paris étonnamment grouillantes, d’une vérité s
romanesque soit-il, paraît presque trop court. Il en est de certaines
visions
comme de certains songes : elles sont plus sensue
ng des fils d’acier tendus par le poète entre sa douce réalité et ses
visions
mélancoliques de la joie du monde. C’est que tout
laquelle, somme toute, on peut aisément s’habituer. Mais la constante
vision
de la mort tragique avait creusé dans son génie u
ea aux Chansons du Roi Enzo. Les deux poètes arrivaient ensemble à la
vision
précise et large d’un lyrisme « national », à ryt
n des peuples néo-latins. Et là encore le poète a mis comme fond à sa
vision
l’immensité de la nature mère, l’évocation de la
éressant. M. Corradini a poursuivi, de son côté, sans défaillance, sa
vision
d’une nation vraiment consciente, d’une patrie di
té émue quelques pensées. M. Rivalta semble s’efforcer vers de larges
visions
de la vie passée et de la vie présente. Quelques-
ent d’embrasser d’un regard plus de plans que nulle part ailleurs. La
vision
de M. de Montaigne se trouvait donc le mieux du m
nent au commentaire pénétrant de l’excellent écrivain pour donner une
vision
des plus évocatrices des richesses d’art de l’adm
mathématiciens ; il ne fait pas d’expériences, mais il cherche « une
vision
toujours plus synthétique de la masse confuse de
ure l’artiste ;on n’a d’ailleurs aucun désir de se soustraire à cette
vision
lyrique et douce. « Admirable vie, dit M. Pichon
t d’études aussi certain que la cohue de documents sans valeur, et de
visions
confuses, grossières, malveillantes, erronées, co
en et de l’esprit chrétien rêvée par Beethoven à l’heure où il eut la
vision
de la Xe Symphonie qu’il n’écrivit pas, a été che
uement » compris, est vérifiée par l’exaltation de l’âme derne, de la
vision
moderne, toute combative, de la vie, de l’énergie
l lampadario, Edwim Frankfurter, Lausanne Tout autre, aussi est la
vision
de la vie, noble, sobre, élégante et profonde, de
uloureuse, creusée d’orgueil, créatrice des Titans et de Dieux. Toute
vision
s’est ainsi hautainement humanisée. Et il est éto
asé mais non vaincu, qui ait été donné jusqu’ici. Avec une netteté de
vision
et une force de pénétration psychologique admirab
ste de capitaux à l’étranger, Barzini évoque d’une façon poignante la
vision
de Bruxelles vivant malgré tout dans une foi inéb
re par une détermination de notre volonté, après discussion, avec une
vision
parfaite de la gravité de la tâche et des difficu
iser dans plus d’une revue de la péninsule, témoigne de la netteté de
vision
des Italiens. Il est certain que l’antagonisme en
ion, par l’intensité du sentiment, par la beauté et la grandeur de la
vision
, des pages où l’auteur décrit les champs de batai
ment à une tournée Cook. Dans ces conditions il fallait la netteté de
vision
et la puissance d’imagination d’un Luigi Barzini
ntre autres, me semble un petit chef-d’œuvre pour l’originalité de la
vision
, pour la puissance de la forme, et elle justifie
ietro Vannucci à Raphaël, dont le génie ignore complètement l’austère
vision
du maître de Borgo-san-Sepolcro. La madone de Fra
ines de ses fresques, des figures même sont lumineuses : l’ange de la
Vision
de Constantin. Ses œuvres, si nombreuses qu’elles
des morts auxquels il était interdit de donner la sépulture. On a la
vision
sanglante des vieilles guerres asiatiques. On se
eurs, italiens de la bonne veine, français non encore appauvris, à la
vision
nette et au cerveau fort. François Ier avait appe
des excellences de la forme, dont nous sommes avides ; mais il a une
vision
nette de la réalité et une bonne méthode d’exposi
e et expose toute la méthode de Nietzsche, de manière à en offrir une
vision
complète et sûre. Les Italiens qui ont entendu mi
adre étroit ces divinations d’une humanité trop large pour lui, cette
vision
trop étendue du monde qui s’ouvre, faite seulemen
i hantaient l’âme du peuple. Il suscitait de terribles et vengeresses
visions
: il vaticinait au nom d’un Dieu sévère que la co
e reflet de cette Jérusalem céleste dont l’éclat idéal emplissait ses
visions
. Il se trompait : ce n’étaient point ses idées ni
ainement visionnaire, mais il ne savait quelle portée attribuer à ses
visions
; devait-il leur donner une signification puremen
nement est, je crois, exceptionnel. Sans doute certains défauts de La
Vision
du Dante s’en trouvent éclairés : l’abus du chrom
r je me refuse à croire que Fogazzaro aurait encore aujourd’hui celle
vision
d’art, si plate et si dure. Voici en quelques mot
i flottèrent un instant Sur les ténèbres submergeantes. Et, dans une
vision
dernière, apparaît, sur le dos sombre de la mer,
en là d’abord la gravité majestueuse qui désigne essentiellement leur
vision
. On affirme volontiers, on a répété à satiété que
t de temps à autre sa manière facile et débonnaire s’efface devant la
vision
d’une patrie, au souvenir de ce que l’Italie atte
lument admirable et il restera dans l’histoire de notre poésie. Cette
vision
profonde de l’univers, de ses avatars, de la vie
r des cornes. On ne voyait ni leurs mains ni leurs avant-bras. Quelle
vision
! Quel prestige ! Mariuccia rit de mon admiration
ux donner le sentiment de l’altitude d’une part ; et, de l’autre, une
vision
du ciel neuve après tant de maîtres dont les ciel
ec une alumelle. Prétendez-vous que ce soit plus intelligible que les
visions
de Segantini ? Voici tout d’abord le tableau noct
n et d’autres qui ne savent se détacher complètement de la réalité de
vision
. Il y a des talents dans lesquels le raisonnement
notre vie spirituelle ou intellectuelle plutôt que par la réalité de
vision
. Nous différons d’eux en ce point capital : l’Uni
icisme religieux dont la guerre est en train de nous gratifier, cette
vision
claire, réaliste, irréligieuse du monde que nous
ds politiques et d’ennuyeux philosophes ont omis de nous signaler des
visions
, des nuances, des indications que M. Serge Basset
tre vie intellectuelle, n’auraient-elles plus aucun pouvoir sur notre
vision
actuelle du réel ? D’ailleurs, de ces influences
cal par une pareille hantise, il n’est point réduit au silence par la
vision
de l’illimité, non, — puisqu’il a la prière… Au c
ssant du plus lointain passé, projection moderne de la Rome ancienne,
vision
radieuse rêvant au bord des mers qui chantent ; c
ur y subit tout le temps la mainmise du coloriste et du styliste ; la
vision
nette et sincère de la réalité y est voilée par u
et le sentir directement, sans un commentaire qui n’est jamais qu’une
vision
, c’est-à-dire une coloration individuelle. Il bor
. Nulle part il ne touche au surnaturel : car nous n’en avons que des
visions
et si nous les adoptons, c’est plutôt par une con
eté que nous autres Allemands ressentons si bien en Italie. » — Cette
vision
de Nietzsche devant le golfe de Naples est sugges
eprennent, avec une joie neuve, avec une vivacité neuve, les joyeuses
visions
florentines de la nature. M. F.-T. Marinetti, dan
iterranéen. L’ordonnance architecturale et esthétique et morale de la
vision
dantesque (Audition du Ier chant du poème). — II.
la volupté délicate et gracieuse dont il revêt, en les évoquant, les
visions
diverses de la figure féminine. Les penseurs du M
air en rut, de la campagne luxuriante, de l’animalité luxurieuse. Une
vision
de l’amour de toute la terre est celle de ce réci
s champêtres de l’amour, des moissons, des vendanges, de la mort. Ses
visions
sont toujours comme des fresques originales, bien
de Bora offre un autre aspect : cet homme bouillant de passions a une
vision
étonnante de la psychologie et un sens politique
« la Mort tient le volant », dans une folie de vitesse pareille à la
vision
du Surmâle, quand Alfred Jarry imagina l’effrénée
lle d’une critique précise et géométrique des faits et des choses. La
vision
de M. Morasso est d’une très grande justesse. Il
discuter ici l’analogie que Gabriel d’Annunzio a découverte entre sa
vision
tragique et l’ancienne. Elle est réelle à plus d’
ures magiques de ses deux manifestations les plus violentes. Et cette
vision
particulière, accidentelle, presque monstrueuse,
ux glauques et brillants d’une étrange flamme semblaient refléter des
visions
infinies. — Peut-être pas pour longtemps encore,
ves protégés, —lueurs de Vrai éternel qui augmenteront l’acuité de sa
vision
et sourdront maintenant sous sa pâte. Dans ce rép
funèbre au roi Humbert, publié dans le Marzocco de Florence, est une
vision
hautement tragique et humaine des derniers instan
tragique et humaine des derniers instants du souverain assassiné, une
vision
rendue avec un tel emportement de rythmes, qu’ell
es mots va ainsi : confessés, absous, communiés. 25. Dante avait une
vision
d’artiste et il n’est pas inutile de rappeler que
ouvellement intérieur et profond. Elle vivotait encore aux dépens des
visions
les plus archaïques et n’avait pas même la force
ou un bouffon ? Je suis un malheureux ! ma cervelle est un repaire de
visions
d’un autre âge ! Mon cœur est déchiré par des sen
e révolution une fois gravi, on se trouve en présence d’une lumineuse
vision
(malheureusement un peu trop dans l’ombre) : c’es
aint-Marc. — À quoi songe-t-elle ainsi ? Dans un éclair, Antonio a la
vision
exacte de l’âme d’Aurora. Il est terrifié. Il veu
couleurs. J’ai moins goûté le Triptyque, de Marco d’Oggionno ; et la
Vision
de Sainte Anne, de Tiepolo, m’a laissé à peu près
er. M. Kleinberger paya 87 000 fr., sur estimation de 100 000 fr., la
Vision
de Sainte Anne, de Tiepolo, et 24 000 sur estimat
ela ! il rêva. C’est qu’alors on était en des temps de croyance et de
vision
, en des temps de guerres terribles et de paix exq
es des sanctuaires de Byblos. L’idée du supplice ombrait si peu cette
vision
, que souvent, dans les représentations du Crucifi
’ai plus vu que le vieillard, et moi, vieux, mais heureux, j’ai eu la
vision
de votre vieillesse si triste à Dux. Je me suis a
ai que celui qu’examine l’esprit froid ? Pour chacun, c’est sa propre
vision
la seule réelle… Ni Lina, ni moi, ne possédions p
375, 1er février 1913, p. 579-583 [583]. Réédition très luxueuse des
visions
de la ville des doges par Henri de Régnier, qui s
le à la France. Dans sa conscience nouvelle de grande nation, dans sa
vision
d’une Europe où l’Italie apparaît désormais comme
é, aucun, depuis le commencement de cette lutte, n’eut une plus noble
vision
de sa beauté, aucun ne se confia à elle plus enti
e, et ils semblent déjà fatigués de leurs petits sentiments, de leurs
visions
mesquines et doucereuses. Ils manquent d’âme et d
me mettre des œillères : elle m’a engagé au contraire à acquérir une
vision
plus large et plus précise de l’immense cataclysm
s peu à peu, maison par maison, et non selon un plan déterminé ou une
vision
d’art convenue, mais pour économiser le terrain o
ne sera jamais le vôtre, et que la germanisation de l’univers est une
vision
de l’orgueil tudesque, mais rien de plus. Mais qu
ssable et infinie, elle n’appartient intégralement ni à la réalité de
vision
ni à celle de la connaissance, mais participe des
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