pes de Charles-Quint ; le connétable de Bourbon, tué à l’assaut de la
ville
éternelle ; Sixte-Quint et les papes de la périod
miraculeuse, qui advint sous le pontificat de Grégoire le Grand ; la
ville
était alors ravagée par la peste ; lors d’une pro
[22]. La vraie cause de la tolérance dont jouissaient les Juifs à la
Ville
autant qu’à la scène était, dans l’esprit philoso
resque homme d’État, elle est forcée de vivre chez un vainqueur de sa
ville
natale. Elle y commente de nombreux textes tout e
…]. M. J. Hofmiller intitule « Salade romaine » des impressions de la
ville
éternelle, où se mêlent des réminiscences histori
. Même, la maison qu’elle habite se trouve-t-elle à l’extrémité de la
ville
, près du taudis réservé aux représentations de la
etard de six jours passés à Lyon et Turin. Je ne te parlerai de cette
ville
que dans quelques jours. Un cœur triste corrompt
ent monter dans de fraîches voitures qui nous enlevèrent à travers la
ville
avec une telle rapidité que je crus passer au mil
n fait encore à Orléans, qui offre une triste ressemblance avec cette
ville
dans les résultats de ces habitudes auxquelles la
ler avec toi au Dôme, pour tourner avec toi autour des remparts de la
ville
et de ce dôme retrouvé partout comme le plus beau
rrêter sur ces tristes tableaux que je vois dans le coin sombre d’une
ville
livrée au délire de toutes les fêtes et de toutes
me par miracle en si peu d’instants à moins d’un quart de lieue de la
ville
, est rempli de curieux, de musiques, de bals, de
talie que Tasso a perdu la raison… et toi aussi, pauvre Violet. Cette
ville
, en apparence si déserte, enferme dans un hospice
e édifice sans doute, mais qui remonte peut-être au vie siècle de la
ville
(iie av. J.-C.). Comme beaucoup d’autres édifice
e. Tandis que Canaletto et Guardi retracent l’aspect extérieur de la
ville
, les canaux lumineux, les merveilleuses perspecti
erniers tremblements du sol en Sicile, la destruction de Messine, des
villes
de la Calabre. Ce sont des notes cursives, au jou
e, puis de nouveau en Ombrie, à Pérouse, Assise, Montefalco, dans des
villes
qui furent jadis féodales et guerrières, et des s
’est une scène dans la boutique de la repasseuse, où deux sergents de
ville
viennent chercher du linge. L’un d’eux débite un
910, p. 508-514 [514]. Reçu : […] — Jacques Casanova : La Cour, et la
Ville
sous Louis XV, Introduction et Notes de J. Hervez
. Archéologie, voyages. P. de Bouchaud : Bologne, Collection des «
Villes
d’art célèbres », Laurens, 4 fr. Charles Merki.
Bologne, que présente M. Pierre de Bouchaud dans la collection des «
villes
d’art célèbres », a certes moins de réputation qu
ein-cintre assez heureuse. Avec le xiie siècle, apparaissent dans la
ville
les tours de guet, — qui servaient de refuge dans
s nigauds admirent dans notre rue de Rivoli. — Bologne, qui était une
ville
universitaire, a aussi gardé une curiosité, — les
cole de sculpture bolonais de nombreux artistes travaillèrent dans la
ville
, — y compris notre Jean de Bologne, de Douai, auq
tements que donne son passé ! Je me suis promené, pèlerin, dans ses
villes
Qui voudraient retenir tous les chanteurs errants
ut. Tome LXXXVII, numéro 320, 16 octobre 1910, p. 606-619. Certaines
villes
ont vraiment le privilège de constituer un domain
nos sensibilités particulières. Venise est au nombre de ces dernières
villes
. Depuis qu’on la célèbre dans toutes les langues
, soutenue et vivifiée par le Baedeker, qui vient s’alimenter dans la
ville
unique. Cette foi s’est répandue, s’est exprimée
mot évocateur, comme celui de Byzance, par exemple, — et, demain, la
ville
peut bien être démolie de fond en comble, ses can
s littéraires. Cette transformation en une sorte de mythe d’une belle
ville
d’art paraît assez curieuse et assez caractéristi
s ? § Et, d’abord, pourquoi Venise elle-même ? Pourquoi entre tant de
villes
, pittoresques ou émouvantes, de la vieille Europe
e à nos contemporains dans la cité des doges : l’étrangeté même de la
ville
. Son opulent passé, la variété et la magnificence
de retrouver un passé intact. Somme toute, Venise est aujourd’hui la
ville
la plus originale de l’Europe, la seule grande ci
avernes « colossales ». Un formidable anachronisme, voilà Venise. Une
ville
à part de toutes les autres : retenez bien ce der
rd, mais qui a sa valeur pour un Français : Venise est une des belles
villes
étrangères aisément atteignables, à quelques heur
ure vénitienne reflue des artistes vers l’élite : désormais, voilà la
ville
des doges élue comme décor sentimental de toute u
e la nature de ce décor : Venise, cité la plus originale de l’Europe,
ville
à part entre toutes, sera évidemment le cadre pou
s de l’Adriatique ! Narcisse incomparable penché sur une merveilleuse
ville
d’art comme sur le plus splendide des miroirs, Ma
ont. Jean Lorrain accusait le poison, Louis de Romeuf, dans l’Âme des
villes
, accuse le silence : « Je crois que c’est surtout
que ces psychologues, mais tout aussi exaspérés, d’autres dressent la
ville
unique sur un autel magnifique et l’adorent avec
ont jamais vu la cité sainte l’aperçoivent du fond de leur désir : Ô
ville
d’art subtil de songe et de langueur, Ô ville de
fond de leur désir : Ô ville d’art subtil de songe et de langueur, Ô
ville
de l’amour que nos yeux n’ont pas vue, Mais dont
ur semble qu’ils se trouveront mieux encore devant le spectacle de la
ville
unique. Celle-ci ne souligne-t-elle pas, n’enregi
s, agonie d’un ancien amour qui voudrait retrouver des forces dans la
ville
de la passion et n’aboutit qu’à se consumer plus
’une Venise amoureuse, jeune et gaie sous un ardent soleil, une vraie
ville
d’Italie pour un amour de vingt ans. Rien du pass
usculaire, les marbres de Venise gardaient un reste de lumière, et la
ville
semblait diaphane, comme une chair parsemée de pe
ent un souvenir inoubliable au cœur de ce jeune héros, celui de cette
ville
radieuse où il aperçoit pour la première fois le
n s’étonnait que l’auteur du Bon Plaisir n’eût pas choisi plus tôt la
ville
de Casanova pour cadre d’une de ses délicieuses f
l est excellent. Le mal qu’on en dit est faux. Venise, mais c’est une
ville
hygiénique. L’air de la mer tempéré, lénifié… Pou
ainsi que la voit Marie Dauguet dans son volume des Clartés. C’est la
ville
succombant sous l’intense chaleur du jour, c’est
s le décor vénitien. Entendez bien qu’il n’y a dans le choix de cette
ville
nul apprêt romantique : il n’y a plus de fantômes
le dans le silence angoissant des corridors immenses. Mais dans cette
ville
étrange, l’étrange naît à chaque pas, — et ce n’e
tous les jeunes gens. C’est à la fois, comme dit Maurice Donnay, « la
Ville
pour lunes de miel et pour ruptures » et la cité
ra un besoin de plus en plus grand d’élire comme décor sentimental la
ville
la moins soumise à ce qu’on est convenu d’appeler
rogrès. S’il doit se créer plus tard, selon certains prophètes, des «
villes
de plaisirs » où les esprits vulgaires pourront t
a mer par un chemin de fer électrique nous touche. Croirait-on que la
Ville
Éternelle n’est qu’à un quart d’heure de la plage
co ! » La compagnie belge devait, pour garder ses droits, verser à la
Ville
de Rome, au printemps de cette année, une somme d
ancs déposée quelques mois auparavant fut acquise de plein droit à la
Ville
. Pourquoi a-t-on abandonné l’affaire ? Les uns pa
pain, par exemple, qui montrèrent du talent en édifiant en Égypte une
ville
nouvelle, Héliopolis, créée ex nihilo pour le pla
r un don important fait, il y a plusieurs mois, au Musée de Rouen, sa
ville
natale, par M. Depeaux, et nous regrettons d’arri
ces des demi-dieux qu’il évoque. Les Romans. Ricciotto Canudo : La
Ville
sans chef, « Monde illustré », 3,50 Rachilde.
numéro 324, 16 décembre 1910, p. 681-687 [686]. Nous entrons dans la
Ville
sans chef, dans les enfers de Messine ou de la Mo
d’Adam ? Le latin aurait-il cet honneur, le latin parlé à Pietramala,
ville
amplissima sous ce rapport comme sous beaucoup d’
s brutes croient qu’on a toujours parlé le même langage dans une même
ville
. « L’art de la grammaire, cette inaltérable confo
qu’on rencontre dans toute l’Italie, sans qu’il soit plutôt dans une
ville
que dans une autre, quoiqu’il puisse exhaler plus
à la doctrine. Sans cela, on ne comprendrait pas que le parler de la
ville
éternelle fût turpissimum ; les mœurs dépassant c
pliquer au dialecte florentin ou siennois, mais à l’orthodoxie de ces
villes
. Après nous avoir amusés de citations patoises et
rchéologie, voyages. Roger Peyre : Padoue et Vérone, Collection des «
Villes
d’art célèbres », Laurens, 4 fr. Charles Merki.
I, numéro 234, 15 mars 1907, p. 326-330 [326-327] La collection des «
Villes
d’art célèbres », publiée par la librairie Lauren
es commentaires. Il faut entendre d’abord ce qu’on peut appeler une «
ville
d’art » ; soit un ensemble où l’on discernera l’a
nomment Rouen, Bruges, Venise ou Florence. Mais on appelle encore une
Ville
d’art celle où l’on a beaucoup entassé dans les m
uites. On peut ajouter qu’il y a également deux façons de décrire une
Ville
d’art ; avec la plus facile, on se borne à indiqu
oue et Vérone seraient plutôt à classer dans la seconde catégorie des
villes
d’art et que M. Roger Peyre ayant à choisir au mo
entes et continue honorablement la série des fascicules consacrés aux
villes
italiennes. On peut l’utiliser comme un guide, et
de décorer du nom de Giosuè Carducci l’une des plus belles rues de la
ville
, l’actuelle Via del Torrente en passe de transfor
embre 1907, p. 87-92. Voici une liste, assez fidèle, on l’espère, des
villes
par lesquelles passa Stendhal au cours de son exi
n l’offre aux curieux de documents littéraires. Nota. — Chaque nom de
ville
est précédé, chaque fois qu’on l’a trouvée, de l’
désespérément cette femme, et je parcourus tous les pays, toutes les
villes
du monde, toute la terre, séduisant des fillettes
d’autre maison que celle-là. Revenant du bord de la mer, des grandes
villes
de la côte, j’éprouvais le désir de choses cachée
u noircis par la pluie. Tout cela je savais le trouver dans la petite
ville
où, pendant cinq années, avec des maîtres désabus
ilieu de la plaine, comme une exilée (j’ai toujours cru qu’il y a des
villes
qui, elles aussi, sont exilées de leur véritable
rrivé dans la petite capitale. Bien des années avaient passé, mais la
ville
était restée la même. Dans les mêmes rues étroite
. Quand tu as cru partir définitivement je suis resté ici, dans cette
ville
où le temps ne s’écoule pas, sans bouger, sans ri
i de nouveau pour compagnon, jusqu’à ce que tu partes encore de cette
ville
exilée du monde et du temps. » D’un signe de tête
de, et des douleurs des créatures, tu veux me laisser seul dans cette
ville
si triste, si lentement triste ? » À ces paroles
s lamentations, et m’empêchant, au besoin par la force, de quitter la
ville
. Mon horreur et mon désespoir croissaient d’heure
es, était mort pour toujours… Je sortis avec calme du jardin et de la
ville
. Personne ne m’inquiéta jamais au sujet de cet év
vénement. Et maintenant je vis encore dans le monde, dans les grandes
villes
de la côte, et il me semble que quelque chose me
e et d’en obtenir un succès comptant auprès du public des principales
villes
d’Italie. J’ignore si le rapporteur de la Commiss
re, dernier refuge, un palais de marbre et d’or, en pleine Venise, la
ville
du rêve où les doges, dédaigneux du vulgaire poss
a plus d’air dans le chapitre sur Sienne. On y voit plus au large la
ville
et ses pierres sculptées, cette cathédrale qui re
son travail acclamé à Bologne et immédiatement après dans toutes les
villes
d’Italie. Milan en est fière aujourd’hui, parce q
s du Moyen Âge et de la Renaissance. Il l’a étudié laborieusement par
villes
et par régions. Ses monographies, ses travaux exc
n ses manifestations multiples durant quatre siècles, lorsque tant de
villes
ont été des centres de civilisation et les foyers
s ses explorations de Pise, Sienne, Lucques, et de toutes les petites
villes
de la Toscane : Volterra, Pienze, Arezzo, Fiézole
e pour la France ; il a essayé de ramener l’attention sur des petites
villes
historiques, dédaignées des touristes parce que l
entralisation se sont fait sentir en dirigeant sur la capitale ou les
villes
les plus importantes, la presque totalité des cho
la presque totalité des choses transportables, en Italie, les petites
villes
offrent encore, avec leurs édifices demeurés debo
ravages, conserve d’admirables édifices, jusque dans de très petites
villes
, dans des bourgs et des villages, alors qu’en Ita
omaines à côté de nos cathédrales du nord ? C’est en France, dans les
villes
du Rhin et de Belgique, en Angleterre, qu’il faut
enne, le pittoresque de certaines rues et des aspects de ces vieilles
villes
, comme à Florence le Ponte-Vecchio, l’oratoire d’
u’était l’île à l’époque romaine, — couverte de palais, de villas, de
villes
et de jardins, et dominée par le palais de Tibère
iné de débauches, poursuivi par le souvenir de ses crimes, — et cette
ville
tragique, par sa somptuosité fabuleuse autant que
nt défigurer la Rome artistique et il étudie quelles seraient pour la
Ville
éternelle les conséquences des divers changements
de Rome, de Naples… (voit-on assez que je suis un auteur lu dans les
villes
les plus intellectuelles d’Italie ?) mes amis éta
une dernière scène se passe dans un petit couvent aux environs de la
ville
, où Marco Cybo vient de se réfugier pour ses prat
, s’attachant à M. Charles, lui faisait faire ses commissions pour la
ville
, et en retour le régalait de bons repas supplémen
, numéro 99, mars 1898 Les Théâtres. Renaissance, 21 janvier. La
Ville
morte, tragédie moderne en cinq actes, de M. Gabr
1 [922-925]. Renaissance. 21 janvier : Première représentation de La
Ville
morte, tragédie moderne en cinq actes, de M. Gabr
die moderne en cinq actes, de M. Gabriel d’Annunzio. — En écrivant la
Ville
morte, M. d’Annunzio a fait la tentative dramatiq
matique la plus curieuse que nous ayons vue depuis longtemps. Dans la
ville
même des Atrides, Mycènes, il anime des personnag
bonheur de celui qu’elle chérit. N’est-ce pas enfin pour que, dans la
Ville
morte, il n’y ait plus personne qui aspire à la v
où mûrissent des fruits voluptueux. Si donc les actes des héros de la
Ville
morte rappellent ceux des descendants de Pélops o
nait parce qu’il était un sauvage. Mais, du jour où ils ont habité la
Ville
morte, ces civilisés ont été soumis à l’antique f
Léonard a attiré sur soi et ses amis les vieilles malédictions, et la
Ville
morte a tué celle qui voulait vivre. Il est domma
lle : au reste, il ne faut pas oublier que M. d’Annunzio, écrivant la
Ville
morte directement en français, n’écrivait pas dan
ique conviennent-ils à des personnages aussi complexes que ceux de la
Ville
morte ? La régularité et le lyrisme de la tragédi
la tragédie antique, citer maintes scènes troublées et violentes. La
Ville
morte eut certainement gagné à être moins simplem
tainement gagné à être moins simplement composée. Il n’empêche que la
Ville
morte ne soit digne de la plus haute estime. C’es
des fleurs, la volupté des saveurs et des parfums : et il y a dans la
Ville
morte quelques couplets lyriques sur les oranges,
et aussi sur l’eau, qui sont des poèmes exquis. À la Renaissance, la
Ville
morte a été bien montée et, dans l’ensemble, asse
d et Alexandre avec quelque insuffisance. 22 janvier-1er février : La
Ville
morte. — 24 février : Relâche. Publications d’
la Confrérie du Corpus Domini d’Urbin, le prie de se rendre en cette
ville
, pour y exécuter un tableau d’autel. Francesca vi
’oliviers, de pampres et de roses, dont la terrasse basse dominait la
ville
, d’où on voyait la campagne, blonde de blés mûris
ta par Gabriele d’Annunzio, (Milan, Treves), que, pour le titre de la
Ville
Morte les Parisiens connaissent tant et mieux que
; un rêve encore lointain, pour lequel travaillent et le poète de la
Ville
Morte et des jeunes auteurs enchantés de cette re
ble de Naples, il enrôlait des volontaires et volait au secours de la
ville
malheureuse. Trois dates, trois actes de bravoure
ont probablement le fatras connu sous le nom de Chronique d’Axoum, la
ville
sacrée des Abyssins, bâtie « par les enfants de C
rs qui avaient peuplé de merveilles Rome, Florence, Milan, toutes les
villes
de la péninsule, et qui n’était, au demeurant, qu
, où les échevins le reçoivent en corps et lui offrent le « vin de la
ville
». Toute la route « fut fraische ». Esbaupin écri
s qu’on comprendra. M. Pascoli a créé deux symboles : un homme et une
ville
, le roi Enzo, le malheureux fils du Roi-Poète, et
les coups des troupes angevines, le roi Enzo regarde de sa prison la
ville
de Bologne, dont les tours solennelles et tristes
. Toutes les cloches sonnent dans le ciel, sur le Carroccio. C’est la
ville
qui part : elle part en levant un chant lent, aér
. 25 juillet 1896. — Dès le matin, lever du soleil sur Messine : une
ville
entourée d’un seul palais (côté port) dans le sty
t par endroits, apparaissant plus serrées par d’autres. Un côté de la
ville
— vu du vaisseau que je monte — semble modernisé
s cet heureux climat. Je me suis un instant arrêté à contempler cette
ville
déchue qui fut une des gloires navales du Passé.
son charme. Louange à Dieu que ce soit Messine la première parmi les
villes
que je dois revoir en cette froide contrée qui, h
coutent et qui, comme moi, sont émus. Après ces trois années dans une
ville
orientale, qui n’est plus qu’un palais en ruines,
étonne pas que les coloristes aient été, en général, des habitants de
villes
près de l’eau, voire sur l’eau : Titien, Tintoret
la pierre et tout ce qui est construction à ce qui est construit. La
ville
ne paraît plus être qu’une seule masse, doucement
spectacle. Cependant, pour un voyageur venant d’Orient, l’aspect des
villes
européennes, composées d’une foule de petites boî
que rien ne me semble plus faux. Comment, en effet, oser dire qu’une
ville
surmontée de coupoles blanches, de minarets, de t
achant leur nom à des édifices publics qui ajoutaient de l’éclat à la
ville
: ainsi ils donnaient du travail à un grand nombr
doyait sans cesse, l’on ne se sentait pas étranger l’un à l’autre. La
ville
avait une âme unique de laquelle tous participaie
a pas de vœu plus ardent que de se voir un jour couronner poète en sa
ville
natale, à l’endroit où il a reçu le baptême. Il s
eur vue ; ils pouvaient embrasser d’un regard toute leur patrie, leur
ville
et la campagne environnante, il contado, peuplée
ines de familles étaient aussi féroces à Florence que dans les autres
villes
d’Italie, et, comme en tout temps, les riches exp
et moins meurtrières. La République était riche et la sécurité de la
ville
même ne risquait pas d’être compromise. Elle pouv
e Florence pour gâter les récoltes. Malgré la sécurité relative de la
ville
et du contado, il faut mettre la guerre au nombre
r profit personnel et préféraient dévaster les champs et saccager les
villes
à livrer des batailles rangées : ils formaient de
tre tous les cœurs à Florence, et l’annonce d’une victoire mettait la
ville
entière en fête. Mais le plus souvent les guerres
une cause de victoire, et non la moindre. Fréquemment elle acheta des
villes
. Bien des princes faisaient alliance avec elle pa
ise — une disposition dont il est aisé de se faire une idée, dans les
villes
italiennes, car elle est encore fort en usage. L’
le est encore fort en usage. L’on se rencontrait sans cesse de par la
ville
, l’on causait des événements du jour et les nouve
de terre qui a détruit de fond en comble, le 28 décembre dernier, la
ville
de Messine, avait anéanti toutes les œuvres d’art
aux « Grandes Institutions de France » et aux « Richesses d’art de la
Ville
de Paris », pour ne parler que des séries qui res
tre : ainsi, en Alsace-Lorraine et en Posnanie, elle néglige bien des
villes
qui sollicitèrent son attention, dans d’autres el
ons à celui de 378 millions par an, enrichissant particulièrement les
villes
de Livourne, Gênes7, Florence, Messine8, des prov
ont été pour ainsi dire représentatives de l’accueil que les grandes
villes
de France et de notre Algérie ont réservé depuis
constater dans les campagnes, toujours plus propices que les grandes
villes
à ces alliances, de toute la Côte d’Azur ou du dé
sicilienne ou s’y stylise dans un profil romain attendri. Comme nos
villes
et nos plaines s’ouvraient à l’émigration, nos jo
aimer : ce sont eux qui ont vraiment retrouvé la Rome antique sous la
ville
moderne23 et vivifié notre civilisation de toutes
le secret de l’expression classique. » Il trouve au contact de cette
ville
une plénitude de vie et de pensée, un renouvellem
allant se promener dans l’Arabie déserte à la porte de Rome : quelle
ville
! quels souvenirs ! Mais Chateaubriand a vu Rome
le manière la sensibilité du philosophe réagit au contact de Rome, la
ville
des âmes, disait Veuillot, la ville qui parle à t
phe réagit au contact de Rome, la ville des âmes, disait Veuillot, la
ville
qui parle à toutes les âmes, ajoute M. Gaspard Va
éguliers, comme une plainte mélancolique, s’élevait et planait sur la
ville
, le cri lent, prolongé, des marchands ambulants.
e du fleuve, déversant ses eaux par-dessus un barrage, en amont de la
ville
. Longtemps, longtemps, écoutant tous ces bruits,
t à tout ce que la vie lui offrait de gloire et de bonheur dans cette
ville
, qu’il aimait par-dessus toutes, et dans laquelle
taient la cité, inquiétait son esprit. N’était-ce pas dans cette même
ville
, d’apparence si heureuse et si charmante, que son
LXXIX, numéro 286, 16 mai 1909, p. 346-349 [347-348, 349]. Petites
villes
d’Italie (La Dépêche, 2 avril) [extrait] M. O.
ment dans la Dépêche une promenade qu’il vient de faire à travers les
villes
de l’Émilie et où il n’a négligé ni notre Parme (
ue, au dire de Rabelais, Pantagruel, en son jeune âge, arriva dans la
Ville
Sonnante — ainsi nommait-on Avignon à cause de se
de prendre ses grades en l’université de Montpellier Avignon était la
ville
de l’amour ; par excellence, et, si l’on en croya
siècle, un fort agréable séjour que celui d’Avignon-Cythère. Peu de
villes
, en France et même en Italie, pouvaient rivaliser
ntain où les papes l’avaient choisie pour capitale, Avignon était une
ville
d’opulence. Les richesses qu’y avaient accumulées
jours à Avignon. Mais, il eut le temps de goûter les charmes de cette
ville
au point de désirer un compte exact de ce qui s’y
ansis, tous les cancans, tous les potins, tous les petits riens de la
ville
: Il y a trois jours, la Caderousse38 étant en v
ne sérénade. Tout le jour il est visité par les premières dames de la
ville
. Notre Sutri, effrayé par la tramontane qui le go
e visite. On ne trouvait pas de manteau assez long. On chercha par la
ville
, chez Javon49, chez Brancas50, tous deux grands p
, Il lui est revenu que son maître allait à Padoue. Padoue, la grande
ville
universitaire ! Alexandre Farnèse y va-t-il pour
viteur d’âge. Il y avait alors à Avignon, comme en beaucoup d’autres
villes
, une de ces confréries de Flagellants dont la vog
! Écoutons-le : Monsieur le prince de Salerne a voulu donner à cette
ville
un grand témoignage d’amitié, Il est entré dans l
qu’à vêpres. Dans cette maison s’était réunie toute la noblesse de la
ville
que Monsieur Philippe avait invitée à faire honne
e, Monsieur Philippe marchait en avant, suivi des gentilshommes de la
ville
selon leurs rangs ; puis venaient les violons et
! » Pour comble de malheur n’a-t-on pas vu se glisser jusque dans la
ville
des papes l’hérésie triomphante ? Perrinet Parpai
ue ni connue. Car c’est moi qui raccommode les pots cassés dans cette
ville
; chacun recourt à moi ; je m’entremets pour tout
poses — Prenait pour lui l’aspect amplifié des choses. Il regagna la
ville
au tomber de la nuit, Tour à tour glorieux et méc
moignage de l’affection filiale et reconnaissante qu’il a gardée à sa
ville
natale, vient d’être l’objet d’un excellent catal
, son cœur s’alourdit de tristesse et de répugnance à la vue de cette
ville
pauvrement splendide qu’il allait parcourir. Car
gante valise et sa morne personne. Hostile, il regarda l’entrée de la
ville
et l’activité de la place où, à côté d’une charma
ait encore des officiers, des commis-voyageurs, des jeunes gens de la
ville
, et, sur la table, des fleurs prétentieuses. Le p
il avait retrouvé son bourrichon. Aussi goûtait-il plus bellement la
ville
. Tout imbu, enfin, de sensualité italienne, il at
le marchand de lui en indiquer le chemin. C’était là-bas, dominant la
ville
et la vallée, un grand bâtiment dont la façade n’
était non seulement une des plus pittoresques, mais la plus fine des
villes
d’Ombrie. Hélas ! il ne pouvait sentir ni sa beau
troublé, vraiment. … C’est l’heure où tout se recueille, L’onde, la
ville
et le vent, Dans les jardins nulle feuille Ne bou
prédilection pour Bologne. Après avoir étudié l’art célèbre de cette
ville
dans un élégant ouvrage sur Jean de Bologne, il e
près des montagnes », suivant M. de Bouchaud), Bologne était une des
villes
florissantes de l’Émilie au moment des Invasions
ent le xiiie et le xive siècle. La Papauté, l’Empire et surtout les
villes
rivales intervinrent dans ces querelles, qui comp
rappeler ici que Stendhal a dit quelque part d’Avignon que c’était la
ville
des jolies femmes (Mémoires d’un touriste, Paris,
28. Arch. mun. d’Avignon, registre de délibérations du Conseil de la
ville
, 1540-1550, fol. 31, cité par J. Girard, les État
ustre Seigneur Monseigneur Alexandre, cardinal de Farnez… legat de la
ville
et cité d’Avignon, faicte en icelle le XVIe mars
es fiançailles avec un Français s’était tout de suite répandu dans la
ville
. Je connaissais bien les Napolitains, et je savai
ier 1913, p. 579-583 [583]. Réédition très luxueuse des visions de la
ville
des doges par Henri de Régnier, qui sut trouver,
cts du Dôme qui est une belle église romane. Mais tout un tiers de la
ville
, vers le Pô, est entamé par les démolisseurs ; on
une cathédrale de style roman, puis le pont sur le Taro. Parme est la
ville
du Corrège — sur lequel M. Gabriel Faure donne de
dans les livres de M. Gabriel Faure, et il y a tout de même, dans les
villes
, autre chose à voir que des tableaux. Pourtant le
rente du reste, les souvenirs de son long et laborieux séjour dans sa
ville
florentine. On sait — ou l’on ne sait pas, en Fra
mort de Fra Moriale. Il dit : « Soulever à nouveau je voulais cette
ville
qui est vôtre, ô Romains. Injustement, je meurs.
mes hommes, Antiphatès le dévore. Puis il pousse un cri à travers la
ville
. À sa voix, les puissants Laistrygons accourent,
sont tout à l’heure trouvés sous notre plume. Télépyle n’est pas une
ville
des environs qui restait à découvrir : c’est notr
où Ulysse a tenté de découvrir le pays. Si de là il n’a pas aperçu la
ville
de Lamos, c’est que, à plus de dix kilomètres peu
ue Homère indique au-delà de l’Océan ? Trois choses : le peuple et la
ville
des Cimmériens, le havre de Perséphoneia, et le s
16 mars 1913, p. 264-265. Ô douce Figline, pays du grand Marsile, Ô
ville
heureuse, où tout me redevient facile, Que je res
uilles d’Ostie continuent toujours avec succès et font apparaître une
ville
beaucoup plus vaste qu’on ne le croyait naguère,
et plus doux, Puis je suis revenu dans ma nuit solitaire, Portant, ô
Ville
, en moi, ta joie et ton mystère Je ne te quitte p
e lac, la forêt couronnée d’or, la plaine vêtue de pampres, la petite
ville
blottie sous l’automne, qui se mirent, au passage
tion des peintres futuristes à Paris. Des œuvres comme la Rafle et la
Ville
qui monte dénotaient chez M. Boccioni peintre un
curité de leur couleur grise, rien ne semble changé. « Voyez comme la
ville
est une belle et grande cité italienne », me disa
e, au débarcadère, parmi la foule, j’aperçois, comme dans les grandes
villes
d’Europe, le portier d’un hôtel en redingote gris
des mauvaises odeurs d’huile rance et de friture si particulières aux
villes
arabes. Sur la ruelle qui, de plusieurs mètres, d
ques nous montrent que nous sommes en pays conquis. Tous les noms des
villes
et des provinces d’Italie servent d’enseignes. Vo
ncore peu bâti et n’ont changé en aucune manière la physionomie de la
ville
. Aussi sont-ils obligés parfois de se contenter d
Des boutiques, de grands magasins bordent la chaussée. A l’est de la
ville
, les maisons commencent à devenir plus rares, les
abe s’élève le harah ou ghetto. Il couvre une partie importante de la
ville
, trop exigu cependant pour les quatorze mille isr
s espoirs aux côtés de l’arche sainte. Tripoli est le type même de la
ville
barbaresque à peine modernisée au contact de la c
de France. Je l’ai trouvé dans sa demeure confortable, située dans la
ville
indigène. L’importance de notre consulat est extr
is vigilante, de l’autorité militaire. Un seul journal paraît dans la
ville
: la Nuova Italia, feuille de petit format, mais
ystème de la temporisation et de l’avancement sage et lent hors de la
ville
. Il gagnait le terrain kilomètre par kilomètre su
nds que la Tunisie et l’Algérie réunies, comme on va à l’assaut d’une
ville
européenne. Il est nécessaire de s’établir d’abor
e. Après cent vingt jours de marche, ces soldats ont pu contempler la
ville
de Tripoli, devenue étrangère pour eux et où sans
ientôt ils durent quitter le pays définitivement. Ils traversèrent la
ville
, la tête haute, en rangs serrés. Le Gouvernement
t fort important, puisqu’il dépasse le chiffre de 14 000 âmes dans la
ville
. Il y avait parmi eux des enfants, fils de commer
un autre nom qui, dès l’abord, me renseignait sur sa renommée dans la
ville
. L’aimable directeur, M. Lévy, me fit les honneur
’est certes pas là le contingent de toute la jeunesse israélite de la
ville
. Beaucoup parmi les enfants vont aux écoles itali
e a été difficile. Il fallait développer tout d’abord l’hygiène de la
ville
, lui donner de la lumière, apporter à la voirie p
fort avant dans le soir, il était nécessaire de faire de Tripoli une
ville
claire. Un éclairage à l’acétylène fut l’un des p
tion d’un abattoir provisoire. Aux premiers coups de fusils afflua en
ville
une quantité considérable d’indigènes : arabes, b
la-t-il sur un même espace de terrain ces Barbares, formant ainsi une
ville
de tentes et de baraques ; mais beaucoup parmi ce
aux dans les indigènes. Ceux-ci s’étaient ralliés promptement dans la
ville
et dans l’oasis au nouveau régime et ils n’hésitè
es faillites suivirent. Tripoli, devenue dans son cadre islamique une
ville
européenne, offre-t-elle par ses ressources, par
outi à des conclusions différentes. Au point de vue industriel, cette
ville
, pas plus que toutes les autres cités de l’Afriqu
ndigènes n’ont jamais su tirer parti. La présence de ruines romaines,
villes
, fermes fortifiées et châteaux, indique qu’une vi
Tripoli, il est indispensable que vous parcouriez les environs de la
ville
, que vous visitiez les champs de bataille et les
artier général des Turcs, qui se trouve à plus de 50 kilomètres de la
ville
. L’autorité militaire a la haute direction des ch
our à leurs camarades qui voyagent. Ils demandent des nouvelles de la
ville
et viennent recevoir des lettres ou des paquets.
tes plates qui s’étendent pendant plus de 100 kilomètres autour de la
ville
. Le résident d’Azizié avait pris place près du ch
urtout, qui tient une grande place dans le récit, — des aspects de la
ville
, la cathédrale, les édifices divers — de même qu’
mes tout comme en ce moment, il y a eu des civilisations, des grandes
villes
, des rues avec des fracas, des cris, des foules,
, m’introduisant, par la pensée et par le regard, à l’intérieur de la
Ville
; cherchant à voir les choses comme elles se sera
ot a dû se borner à reproduire en général les parties centrales de la
Ville
, qui sont les plus monumentales, mais qui ne font
me, pour parler d’or, parmi toutes les grisailles de cette somptueuse
ville
où il pleut toujours, été comme hiver, et nous dé
je ne vais pas chercher à le désillusionner. Paris, en sa qualité de
ville
de plaisir, plaît aux étrangers amoureux de bruit
uc d’Orléans d’une somme de 300 000 francs d’or, en dédommagement des
villes
de Gênes et de Savone, 1396 ». […] Casanova à
deux volumes : Poésie ; Coi miei occhi, a chanté les nostalgies de sa
ville
et de sa race — et ses tristesses de mari. Marino
urs de capucines que ces religieux ont coutume d’aller vendre dans la
ville
. Un vieux capucin entra et me bénit tandis que ma
écembre 1913, p. 614-620 [616-617, 619-620]. André Maurel : Petites
villes
d’Italie, 3e série, Hachette, 3,50 De M. André
ndré Maurel, voici le troisième volume de son ouvrage sur les Petites
villes
d’Italie (Abruzzes, Pouilles, Campanie) et qui co
pittoresque, grouillant, plein de masures et d’odeurs sui generis les
villes
de la Grande-Grèce : Locré, Sybaris, Crotone ; Pæ
pages les plus intéressantes et avant les descriptions de pays et de
villes
, on y trouvera des choses précieuses sur les mœur
nos ancêtres, du xvie au xviiie siècle, comprenaient la visite des
villes
anciennes. Ils n’y cherchaient pas des aspects, d
V. Bérard voit-il dans son nom tout autre chose : l’indication d’une
ville
aux larges portes ? 22. Ἄρκτου ἅκρα, dit Ptolém
rciale, j’en oubliais ma colère de n’avoir pu découvrir dans toute la
ville
un hommage à l’Aigle foudroyé ; et m’adressant à
rtant par mes propres moyens la palazzina di Napoleone, qui domine la
ville
. — Ajoutons, pour être impartial, que, depuis 191
les siècles cent fois transformé, subit un dernier avatar. L’Hôtel de
ville
de la capitale italienne va faire de l’immense to
n’est pas, comme chez ceux-ci, et comme chez d’Annunzio même dans la
Ville
Morte, un personnage, le personnage principal et
ots de mâle, rongé par sa haine contre le sexe qui le domine. Dans la
Ville
Morte, la pensée centrale est fournie par la lutt
t les bassins, Et déjà les marins préparent leurs aiguades. Vers la
ville
de marbre et les roses façades, Au gré des regret
re prise au sol du Golgotha Et que la piété des Pisans rapporta De la
ville
tombée aux mains de l’Infidèle ! Terre où pèse
nant le rempart et les palais massifs, Les treize tours debout sur la
ville
en ruine. II Le souffle dur du vent souda
molli, Une brise légère a dissipé la brume, Et, vivante au soleil, la
ville
ancienne exhume Ses orgueilleux remparts qu’assiè
Tome LIX, numéro 207, 1er février 1906, p. 441-444 [442-444]. Les
Villes
d’art célèbres : Pierre Gauthiez : Milan, Laurens
en détail M. Pierre Gauthiez dans un des volumes de la collection des
Villes
d’art célèbres, n’est guère cependant réputée que
r en défiance. Un livre d’art n’est pas un article de journal. Les
Villes
d’art célèbres : Émile Gebhart : Florence, Lauren
etrace la physionomie pittoresque de certains quartiers de l’ancienne
ville
, comme celui du Marché Vieux, aujourd’hui disparu
oire des cours d’eau siennois, depuis l’origine lointaine de la fière
ville
toscane, est vraiment définitive sur ce sujet qu’
», sont remarquablement conçus pour nous faire penser longuement. La
ville
terrestre veut être la contrepartie de la Cité de
ance du critique italien à Naples, en 1893 : « Naples ! écrit-il, la
ville
grouillante, vivante, chantante, riche en guenill
en fut. Tome LXI, numéro 213, 1er mai 1906 Les Journaux. La
ville
synthèse (Figaro, 15 avril) R. de Bury [Remy de
oi tout le monde admet-il, plus ou moins clairement, que Paris est la
ville
unique ? Je l’ai senti, je l’ai compris, cette fo
ris est la ville-synthèse de la civilisation contemporaine ; la seule
ville
complète du monde moderne, parce qu’elle est le c
ie n’a pas, comme en Angleterre, supprimé l’agriculture ; les grandes
villes
ne menacent pas encore de transformer les campagn
endant vingt jours à mes yeux d’historien ? Le spectacle de la grande
ville
, ses boulevards, ses places, ses monuments, ses f
pense-t-il, un rôle du premier ordre serait toujours réservé à cette
ville
, à ce pays, mais ce ne serait plus « la nation co
ro 214, 15 mai 1906 Archéologie, voyages. André Maurel : Petites
villes
d’Italie, Hachette, 3 fr. 50 Charles Merki. To
mai 1906, p. 267-272 [269-270]. Le livre de M. André Maurel, Petites
villes
d’Italie, se présente avec un caractère spécial p
s le rejettent et gardent leur autonomie sous des consuls. Toutefois,
ville
latines ou villes royales, elles se jalousent ent
gardent leur autonomie sous des consuls. Toutefois, ville latines ou
villes
royales, elles se jalousent entre elles, se batte
pelant tantôt le pape, tantôt l’empereur ; la division se met dans la
ville
même, entre les seigneurs appelés du dehors et le
entôt une dynastie, devient seigneur, et c’est au condottiere que les
villes
demandent de les délivrer. Victorieux, le condott
iner son œuvre aux pieds de l’infâme Alexandre VI, ou, pour sauver la
ville
qui vient de proclamer Jésus son roi, transgresse
(Page 132). S’il n’y avait pas d’intrigues et du p…e dans les petites
villes
de Toscane, on y vivrait fort heureux. prétisme
Pompéï, I. Histoire, Vie privée ; II. Vie publique ; collection des «
Villes
d’art célèbres », H. Laurens, 2 vol., 8 fr. C’
tre conventionnel que l’on peut placer Pompéï dans une collection des
Villes
d’art célèbres, car si l’endroit est précieux pou
s de reconstituer les aspects divers aussi bien que l’existence d’une
ville
provinciale à l’époque romaine, il faut également
il ne reste debout que des tronçons de murs et quelques colonnes, la
ville
antique étendue au pied du volcan et qu’il nous a
ces funéraires en bon état. Mais surtout, ce qui fait l’intérêt d’une
ville
comme Pompéï, c’est que les travaux de déblaiemen
ize ans plus tard, la catastrophe qui devait la faire disparaître. La
ville
ancienne, osque et samnite, où bien des maisons e
oulu voir dans le tremblement de terre qui livre à nos recherches une
ville
du premier siècle de notre ère, un événement favo
e que l’air est plus chaud. Ce serait une erreur de s’imaginer que la
ville
la plus populeuse de la Péninsule se soit complèt
environs de Pise, d’Alexandrie et de Vérone. Jusque dans les grandes
villes
, on se méfie de la culture primaire, et à plus fo
es aux chefs des comités locaux, aux maffiosi ou aux camorristi de la
ville
principale. Et voilà comment le Midi paralyse l’e
eminée d’usine, que les campagnes envoyaient leur trop-plein vers les
villes
, que les moyens de communication se multipliaient
’ambassadeur de Venise à Paris, lors de son dernier séjour dans cette
ville
, était un fervent adepte de la fameuse science, e
iples dans la haute société, dès qu’on le voit arrivé dans une grande
ville
. Or, si Casanova traite un peu légèrement la Maço
épidité. Situé tout de l’autre côté de Rome, à quelque distance de la
ville
, près de la voie Nomentane, en dehors des grands
Castel del Monte, le château des Hohenstaufen dans les Pouilles ; les
villes
ombriennes, etc. — À noter enfin que Ravello poss
sations. Mais il faut tout de suite dire que des œuvres telles que la
Ville
qui monte de M. Boccioni, ou la Rafle du même pei
qui ont du talent, ce qui est l’essentiel. Il faut considérer que la
Ville
qui monte, de Boccioni, avec le mouvement furieux
tablir l’ancien horaire d’ouverture des salles, et où des sergents de
ville
sont maintenant adjoints aux gardiens, — nous avo
’atténuer ce vandalisme : le roi d’Italie a généreusement offert à la
ville
de Milan, pour le Musée Brera, les fresques de Mo
rainés par les agences de voyage, qui roulent à la hâte à travers les
villes
et galopent en troupeaux par les musées et par le
équivoque qu’on a qualifié de démocratie le gouvernement de certaines
villes
italiennes au moyen-âge, telle Florence. Ces gouv
ux. D’un bout à l’autre de la péninsule, on rencontre dans toutes les
villes
des statues de Garibaldi et de Victor-Emmanuel. M
de prêtres et d’étrangers ; c’est le siège de deux cours et c’est la
ville
des ruines. À ses portes s’étend la campagne gran
dépit des manifestations provoquées artificiellement dans les grandes
villes
, la guerre n’est pas populaire. Il est toujours a
t dans toute l’Italie, jusqu’aux centres les plus éloignés, jusqu’aux
villes
les moins ouvertes aux idées révolutionnaires ; o
utées sous la direction de Lanciani, de 1879 à 1890. Toute l’ancienne
ville
romaine peut être aujourd’hui reconstituée, bien
poque romaine. On a pu refaire aussi plus exactement l’histoire de la
ville
, liée à celle de ses canalisations : Ostie tomba
elle du collège des Navicularii Misuenses, mariniers de Misua, petite
ville
d’Afrique voisine de Carthage, dont on a retrouvé
d’un minuscule milieu citadin, vienne non seulement du tumulte de la
Ville
Sainte jetée en proie aux bureaucrates, mais de c
s déjà connues, celles de la violence dans l’exclusivité. L’amour des
villes
est, si l’on peut dire, plus policé, dans la litt
s quelques « foyers de culture », créés en puissance dans les grandes
villes
italiennes, et qui ouvrent avec une étonnante act
ent pas les langues étrangères, encore que je ne sache pas une petite
ville
d’Italie où un Français, un Anglais ou un Alleman
ce genre soit éditée et trouve un public de lecteurs dans une petite
ville
des Abruzzes. Le traducteur, qui manie avec habil
ents. Suivent quatre lettres furibondes du détenu aux autorités de la
ville
et du gouvernement. L’un des éditeurs les donne e
ea à rester pour souper avec elle et toute sa famille… Béziers est la
ville
la plus faite pour servir de retraite à un philos
llier : c’est un véritable pays de Cocagne. Enfin Nîmes : C’est une
ville
qui mérite de fixer l’attention d’un étranger ins
tier de la Cité, a été porté à la couche des enfants trouvés de cette
ville
, pour y être nourri et élevé en la manière accout
ement quelconque cadrant avec l’existence de notre aventurier dans la
ville
, il n’y en a pas trace. Restaient les recherches
somme, devait lui paraître chose futile. Renseignements pris dans la
ville
, nous apprîmes que Peralada est une petite ville
nements pris dans la ville, nous apprîmes que Peralada est une petite
ville
qu’on aperçoit dans les terres, de la station de
t plus sensuellement vraies que la réalité même. La description de la
ville
aux prodigieuses tours dont les uns essayent de d
s modeste, je vais indiquer brièvement que Schérie, leur pays et leur
ville
, aussi fantaisiste qu’eux-mêmes pour les modernes
yeux, fouler de nos pieds, et toucher de nos mains. Ce pays et cette
ville
, nous allons les retrouver dans l’île d’Ischia, l
sur un rivage quelconque de la Méditerranée qu’il faut chercher notre
ville
; cela d’ailleurs n’est contesté par aucun de ceu
don, et ensuite le dieu recouvrira d’une immense montagne toute notre
ville
. Allons, vite, sacrifions au dieu ; peut-être nou
à fait désastreux, qui aura pour conséquence de faire disparaître la
ville
. S’il s’agissait de deux particularités du site a
tout d’abord à la pleine valeur du verbe employé, si expressif18 : la
ville
serait plus ou moins cachée dans une direction, e
la Roche Noire. Voilà deux noms géographiques se rapportant à la même
ville
, l’un traduisant l’autre, et qui indiquent tous d
out à fait noires, porte précisément ce qui reste de la très ancienne
ville
d’Ischia, celle qui a donné son nom à toute l’île
’abord la coulée de lave jaillie des Cremate au xive siècle, puis la
ville
moderne d’Ischia transportée sur l’île principale
oresquement accrochée à la roche commande le môle. Nous voici dans la
ville
elle-même, par des rues étroites et tortueuses, b
veillât et vît la vierge aux beaux yeux, et qu’elle le conduisît à la
ville
des Phéaciens. Alors la jeune reine jeta une ball
otons cependant qu’Ulysse demande à la jeune fille de lui indiquer la
ville
des hommes qui habitent cette terre ; en effet à
une région cultivée. Nos gens approchent : à une portée de voix de la
ville
, Nausicaa, voulant qu’Ulysse attende la nuit pour
séparé en deux par un isthme étroit qu’il faut suivre pour aller à la
ville
. Sur la rive du port, avant ou après l’isthme, on
ouble ; toujours sur la même rive, immédiatement en face l’accès à la
ville
, se place l’agora. Si l’on suppose la rive débarr
tirées à terre et l’agora, pour gagner le chemin étroit qui mène à la
ville
. 7° Au temps d’Homère, ce chemin étroit était un
présentable ; du même coup, on reconstituerait des marines devant la
ville
moderne. 8° Les autres indications topographiques
autres indications topographiques à extraire du texte au sujet de la
ville
se ramènent aux points suivants : 1° Les remparts
n vue que l’on ne peut le confondre avec une autre habitation ; 3° La
ville
est donc construite sur une hauteur, et le palais
ent ce ne sont que des citernes, et il n’y a pas d’eaux vives dans la
ville
; car, tout en ayant libre accès aux fontaines ro
ent du sol, est envahie par la mer. Toujours sur l’île principale, la
ville
moderne d’Ischia possède des puits aussi rapproch
a vague38. En résumé, toutes les indications du texte concernant la
ville
d’Alcinoos se retrouvent dans le Nerone et dans s
e dans son nom actuel, et dans le nom actuel de la roche qui porte sa
ville
, le souvenir bien clair de la toponymie homérique
t ce que l’on peut trouver dans le corps du livre : habitants, mœurs,
villes
, fleuves, montagnes, richesses naturelles, église
uisé en un. seul volume ; aussi, cette fois, l’auteur n’étudie que la
ville
en général, qui, par elle-même, forme un admirabl
ogie, voyages. Ernest Lémonon : Naples et son golfe, collection des «
Villes
d’art célèbres », Laurens, 4 fr. Charles Merki.
ples, même en réunissant Naples et son golfe, soit à considérer comme
ville
d’art, — non plus que Dresde dont je parlais le m
comportent beaucoup de désignations arbitraires. Mais c’est tout ; la
ville
a été trop bouleversée ; ses occupants ont été tr
, — celles qui concernent, par exemple, la topographie ancienne de la
ville
, — j’estime qu’il n’aurait pas perdu sa peine.
ngues années, Pascoli et sa sœur ont traîné à travers maintes petites
villes
italiennes, où l’on envoyait « le professeur » Pa
anal. D’abord poète et amant de la nature, puis absorbé par la grande
ville
et bientôt « desséché et flétri comme un arbre su
se « philosopher », qu’on l’aide à ce qu’il puisse s’établir dans une
ville
, « y rester, y devenir maître, sans le souci du b
ortants, on peut les retrouver à Rome et à Milan. Dans cette dernière
ville
, même ne l’habitant pas, ils entourent naturellem
elle étude consacrée au Pape Boniface VIII. — C’est d’abord la petite
ville
d’Anagni, avec ses murailles cyclopéennes ; des v
le de jeunes filles, qui, à cette heure-là, regagnent le centre de la
ville
. C’était un défilé ininterrompu de robes claires
, elle m’assura qu’elle trouverait bien un moyen de nous voir dans la
ville
. Nous nous embrassâmes encore, nous ne pouvions p
ire est des plus compliquée et la diversité de ses paysages et de ses
villes
déroute autant qu’elle séduit. Sans doute, il y a
s par le chevalier Gian Giacomo Poldi-Pezzoli, et légués par lui à la
ville
de Milan (in-16, 112 p., avec 1 planche). 5. I
e Lisle modifiée. 36. Ce faubourg sur l’île principale est devenu la
ville
actuelle. 37. Pour des développements qui ne peu
ier Hope avec les conseils de l’ambassadeur du Royaume-Uni dans cette
ville
, William Hamilton, le mari de la trop fameuse Lad
ent italien, il est vrai, avait pris, dès la première heure, dans les
villes
les plus proches de la frontière, les précautions
nise comme directeur des travaux de protection des monuments de cette
ville
, a exposé dans un article illustré de curieuses p
ux-Arts 5, les mesures prises pour sauvegarder les œuvres d’art de la
ville
des Doges : protection, au moyen de sacs de sable
e encore plus directement, et pour épargner de nouveaux dommages à la
ville
merveilleuse, on a décidé qu’elle ne serait pas d
ué aujourd’hui par les lectures que l’on fait dans toutes les grandes
villes
. En dehors de ces arguments historiques, il est a
que vous les poussiez, qu’on a pu voir promener dans les rues de leur
ville
des généraux enchaînés, que nombre d’officiers on
, qu’après l’arrivée au front de certains éléments de Turin, la seule
ville
avec Pise et Florence qui n’ait jamais donné une
p de Garrigues. Certains d’ailleurs firent des fugues fréquentes à la
ville
, qui avait pour les attirer autre chose que ses a
peintures de sujets divers. Il se trouva dépasser Palmanova, ancienne
ville
forte ; Aquilée dont la cathédrale a été construi
ui avait l’avantage d’un terrain d’attaque plus élevé, puis parle des
villes
italiennes qui ont eu à souffrir déjà de la guerr
indiquer le rôle particulier, n’ait pas été occupé plus fortement. La
ville
d’Asiago se trouvait tout à fait en dehors du sys
quacité habituelle. Il indique ainsi le pittoresque d’Udine, ancienne
ville
vénitienne comme Palma dont il est question plus
aire de la naissance de feu l’éditeur Barbera. Il arriva de Turin, sa
ville
natale, à Florence, le 14 novembre 1840, avec moi
teurs ont suivi les débandés vers les casernes. Il y avait de grandes
villes
comme Turin, Gênes ou, dans les Romagnes, Ravenne
s Habsbourg ; Vienne même, dans cette hypothèse, cesserait d’être une
ville
autrichienne pour devenir une ville international
e hypothèse, cesserait d’être une ville autrichienne pour devenir une
ville
internationale avec un Sénat également composé d’
d. Tome CXXVII, numéro 478, 16 mai 1918, p. 358-362. Les principales
villes
d’Italie ont vu se constituer des « Comités d’ass
s les Congrès de résistance nationale. Il n’est pas douteux qu’en des
villes
un peu « tièdes » comme Florence et Turin, leur a
ut-il organiser la mobilisation agricole comme on a organisé dans les
villes
la mobilisation civile. Il faut « discipliner le
cillon a une phrase heureuse. L’œuvre de Piranesi est pareille à une
ville
étrange, plus vaste que Rome à laquelle il ne se
16 juillet 1918, p. 372-384 [377-378, 378, 379]. Noms allemands aux
villes
du Frioul Les Allemands ont des noms tudesques
du Frioul Les Allemands ont des noms tudesques pour la plupart des
villes
françaises ou belges ; ils en ont aussi pour les
a plupart des villes françaises ou belges ; ils en ont aussi pour les
villes
du Frioul. Udine s’appelle provisoirement Wedten,
dans une cage sur le Capitole une louve qui rappelle l’origine de la
ville
. Morte au commencement de la guerre, la bête symb
du Capitole. Mais celle-ci a été offerte à la commune de Rome par la
ville
de Tarente. Ainsi à Tarente, il y a des loups ! Q
. Il est vrai, que depuis la guerre, la belle Tarente est devenue une
ville
industrielle, un port important de l’arrière, et
ope presque entière en est restée à l’ancien régime. Au moyen-âge les
villes
luttaient entre elles pour la possession d’un fle
t, ne sachant pas l’anglais, il arriverait à se guider dans la grande
ville
. « Nous chercherons un Italien », dit le père Sec
C’est une délicate histoire d’amour au milieu de la vie d’une petite
ville
de province et la ville est presque plus vivante
oire d’amour au milieu de la vie d’une petite ville de province et la
ville
est presque plus vivante que les protagonistes. O
difie, elle impose des horaires à des écoles qu’elle ignore, dans des
villes
dont elle ne connaît pas les coutumes ni les habi
s d’Italie, sur les masures de protection prises dans les différentes
villes
du royaume, et sont illustrées de 146 photographi
nt devant l’Avoyer, les Conseils, les Bannerets et les Soixante de la
ville
de Fribourg… Donc, Claude passa directement de Lo
la palette, chercha un autre maître. Ils n’étaient pas rares dans la
Ville
Éternelle ! À défaut des géants dont l’œuvre sécu
ependant, — pas plus que la continuelle révolte sourde qui agitait la
ville
, agonisante sous le garrot espagnol. Néanmoins le
le nord, et c’est Venise. Que croyez-vous que va produire sur lui la
ville
de Giovanni Bellini et du Giorgione, de Carpaccio
Quand il débarqua à Nancy, il n’était pas beaucoup plus vieux que la
ville
neuve. Enserrée en ses murs réguliers, coupée en
ntenant, le poison romain va faire son œuvre. Claude arrivera dans la
ville
d’Urbain VIII, le 18 octobre 1627, jour de la Sai
rriver à Venise. Voyez-vous ce paysan dans la cité des doges, dans la
ville
dont Commynes, qui ne s’étonnait facilement, dit
en 4 actes par M. Giuseppe Giacosa, qu’on vient de jouer à Milan, la
ville
des baptêmes littéraires italiens. Come le foglie
lace furieuse que dessinent une partie des damnés assemblés devant la
ville
de Dité, dans le motif IX ; les autres semblent a
cée par le « Génie civil ». Il faut avoir visité quelques-unes de ces
villes
du Nord sommeillantes, où c’est un échange de con
cription pour les désintéresser, en achetant le droit de préserver la
ville
! Il est impossible qu’il n’y ait pas un moyen sa
ous disent sournoisement : « En quoi attentons-nous à la beauté de la
ville
? Nous avons déjà ce viaduc qui, entre parenthèse
On le double simplement d’un autre viaduc à route carrossable, et la
ville
y gagne, sans être touchée, des communications av
hamp. Il y a aux origines des peuples et de leur puissance, comme des
villes
et de leur beauté, des causes particulières qu’à
qui, par des travaux devenus aujourd’hui peu difficiles, relierait la
ville
au Lido avec gare plus ou moins invisible, à la p
e fer, avant d’être absolument nécessaire aux agglomérations de cette
ville
nouvelle, facilitera son développement, et ils co
ise, le grand talent qu’il dépensa à en décrire la merveille : « Une
ville
qui, de siècle en siècle, a gardé jusqu’à nous le
se rêveuse repose le cœur de l’homme. » Loin d’être les “mortes”, les
villes
anciennes, toutes jaillissantes de souvenirs dans
aissent guère plus grands que jadis les provinces d’un seul pays, ces
villes
régénératrices ne s’appartiennent plus, elles app
nnunzio a toujours nourri l’illusion mélancolique que Florence, cette
ville
molle, sceptique et parfumée, avait été fondée po
ssement d’une académie de peinture, sculpture et architecture dans la
ville
de Rome, où les fameux ouvrages de Michel-Ange, d
e dans ses premières recherches. Puis, entre deux toiles, sûrement la
ville
le captive. C’est si différent de Paris et de sa
de grandes espérances. » Au printemps de 1760, après avoir visité la
ville
éternelle, Saint-Non décide de pousser plus loin,
oit repartir avec Fragonard. « Il luy fera voir Venise et les autres
villes
où il y aura de belles choses. Cet amateur de la
de l’envoyer à Naples pour voir les belles choses que renferme cette
ville
, avant de commencer leur voyage. Cet amateur port
pas mes yeux : en plein xixe siècle vandale et constitutionnel, une
ville
d’art est un étonnement. J’ai beaucoup questionné
, une ville d’art est un étonnement. J’ai beaucoup questionné dans la
ville
des doges, soucieux de son avenir. J’ai découvert
a façade. Or, pour qui a vu Venise, une des principales beautés de la
ville
consiste en cette teinte ancienne, cette rouille
uis que soit Anglais, soit Allemands, nos administrateurs opèrent, la
ville
tombe sous la pioche des spéculateurs, et journel
étruit le khalig, un canal qui était une des beautés de notre vieille
ville
et qui donnait raison chaque année à des réjouiss
en se trouvait peut-être mal à l’aise et désorienté dans la colossale
ville
qu’il ne quitta guère. Quoiqu’il en soit, l’étude
n’est réellement plus l’œuvre de l’artiste qui écrivait la Gloria, la
Ville
Morte, Francesca da Rimini. Seulement, il croyait
t à Lucques, dans le plus profond sommeil des sens et de l’esprit, la
ville
aidant : et un jeune homme volage, sensuel, égoïs
onnages est sûr et exact ; la psychologie des âmes et de cette petite
ville
de province qui dort et bâille éternellement, rap
les murs du Tabularium surplombent les grandes ruines tragiques de la
Ville
Éternelle. Transformés, remaniés au cours des âge
Montréale ; puis à travers les sites pittoresques, voici des petites
villes
presque ignorées du Moyen-âge, juchées sur des ro
, septembre 1904, p. 799-806 [803]. À la même librairie, la série des
Villes
d’Art célèbres se continue. Rome était un sujet s
ons d’artiste et ses trouvailles d’observateur tiennent à ces petites
villes
d’Étretat, d’Yvetot, de Caudebec et de Canteleu,
es contemplations qui avaient sollicité son âme de poète. Ce sont les
villes
, les palais ou les villes princières qui lui four
ent sollicité son âme de poète. Ce sont les villes, les palais ou les
villes
princières qui lui fournissent un cadre digne des
aine et libre des flots. L’isolement entre le ciel et l’eau, loin des
villes
et des hommes, l’illusion de se détacher de tout,
l’angoisse et le remords ; elle accoucha furtivement, dans une petite
ville
de Provence, entourée des soins affectueux et inq
n observation sur les petites gens et sur les petites aventures de sa
ville
natale, lorsqu’il a voulu étudier quelques-uns de
ia, — disparus, enfouis sous les maisons, les églises, les rues de la
ville
actuelle, et qui ne sont indiqués, çà et là, que
ir au courant6. Émile Bertaux : Rome (L’antiquité), collection des
Villes
d’art célèbres, Laurens, 4 fr. L’ouvrage de M.
iode impériale, et des principaux monuments qui en subsistent dans la
ville
actuelle. L’époque barbare, celle des Rois et de
tructions ne datèrent que de Jules César ; Rome était jusqu’alors une
ville
massive et irrégulière ; les dépressions des coll
jours tout le peuple des Quirites ; c’était une grande place pour une
ville
qui ne comportait que des boyaux de ruelles. Dès
ici. Depuis l’entrée des armées italiennes à Rome — profanation de la
ville
Éternelle et affirmation politique de ce que les
es ou de pierres où chaque âge a maçonné ses vestiges. » Parler de la
Ville
Éternelle n’est donc plus un lieu commun. Voici s
tué non seulement par le décor, mais par l’esprit du moment. C’est la
ville
antique avec les Harmonies du Forum et du Palatin
fouilles d’Herculanum. On attend beaucoup des fouilles de la célèbre
ville
romaine. Dernièrement, le gouvernement italien a
d’un des très nombreux quadriges consacrés à Auguste dans la célèbre
ville
dédiée à Hercule.
e Stendhal à la main et il fait d’intéressantes comparaisons entre la
ville
éternelle d’il y a cent ans et la capitale du roy
discussions, les petits enfants sont d’ailleurs un des charmes de la
ville
. Ils fleurissent de leur chair rose les ruelles o
n est infiniment curieux. Il y a plus de quatre cents églises dans la
ville
. Souvent elles se font face ou elles se touchent.
ie, lesquels, au contraire, toujours ivres, faisaient tumulte dans la
ville
, passaient en carozzelle au grand.galop, s’attabl
ibuée, par décision du Conseil Municipal de Messine, aux écoles de la
ville
renaissante. L’hommage qu’une ville « renée de se
ipal de Messine, aux écoles de la ville renaissante. L’hommage qu’une
ville
« renée de ses cendres » rend ainsi à un poète es
ents de la vie universelle contemporaine, lègue ainsi son œuvre à une
ville
refaite, à une série longue de générations reconn
mposent comme le grand poème fantastique (et précis) de la mort d’une
ville
, deviennent une sorte de livre fondamental de la
la mort d’une ville, deviennent une sorte de livre fondamental de la
ville
nouvellement créée. Et le poète provençal n’appar
les musées et les îles des lagunes. Le soir, après avoir erré dans la
ville
, nous nous reposions à la terrasse du café Floria
oubliait à Asolo les splendeurs de Nicosie. Le Sénat embellissait la
ville
. Patriciens et marchands embellissaient également
dit-on à Daniel… Mais, la bourse bien garnie, Barbarelli parcourt la
ville
, sans doute. Il habitue ses yeux, pleins de paysa
Venez, de grâce, me dit-il, puisque vous me l’avez promis.. Jamais la
ville
ne fut si belle. Debout, à la porte du salon, imp
tre les Ambassadeurs aux robes somptueuses ; le Grand Capitaine de la
ville
vêtu d’écarlate. On acclame la troupe des joueurs
ations, le son des cloches et le vent de la poudre, s’oriente vers la
ville
étincelante et bien faite pour recevoir ces navir
parmi eux des Ottomans, des Français, des Espagnols qui habitent des
villes
florissantes. * Le soir, à 10 heures, Barbarelli
citèrent ma curiosité. Je ne vous parle ni des pavoisements, ni de la
ville
, qui frémissait aux coups de canons et aux carill
a grande Galère pourpre, les gondoles, les barques approchaient de la
ville
transfigurée. Et, je l’avoue, les palais, malgré
s d’or enrichissait les façades. Une atmosphère pourpre montait de la
ville
et n’atteignait pas le ciel, qui restait bleu. Un
mmes furieux. Le lendemain, la Maurina et le Génois avaient quitté la
ville
. Les Poèmes. Émile Henriot : Petite suite ital
çades. Cette horloge au cadran bleu Ce caïman sur sa stèle Et cette
ville
immortelle Et la courbe de ces cieux… Je contem
posa qu’en des heures vides d’amour et pour tromper son ennui. Aucune
ville
, aucun musée de l’Italie ne l’attira qu’autant qu
y a onze ans, j’aimais ce quelque chose parce qu’il appartenait à la
ville
qu’elle habitait. Et Stendhal note toutes les ém
on beau-frère Gilbert, et que celui-ci en ait fait cadeau à la petite
ville
d’Aigueperse, plus florissante alors qu’aujourd’h
st entré en possession : par l’entremise d’un député de la région, la
ville
d’Aigueperse l’a cédé à l’État moyennant la somme
les Impériaux. Jean-Jacques Trivulce, ce damné Lombard, reprend les
villes
conquises, dans le pays de Ferrare, par nos armée
à la porte. Des pas retentirent. — Maître, voici les officiers de la
ville
, dit Lorenzo. Et Giorgio se redressa menaçant, ra
; sans doute Virgile le guida parmi les monuments et les ruines de la
ville
latine, impériale et pontificale ; mais Goethe l’
province. Je l’ai en quelque sorte appris, moi en venant à Paris, la
ville
lumière. Écouter se disputer deux Napolitains, c’
se réaliser les entreprises de ce pape qui transforma l’aspect de la
Ville
Éternelle, avec les monuments qu’il fit édifier e
est en jardins. La population est très faible pour la grandeur de la
ville
: imaginez Paris avec cent mille habitants. La ca
nt mille habitants. La campagne (et quelle campagne !) empiète sur la
ville
. Des troupeaux de chèvres parcourent sans cesse l
rompettes, tous les insignes des grandeurs de la terre. Symbole d’une
ville
déchue, qui fut la maîtresse du monde. Lettre
336, 16 juin 1911, p. 688-709. « Assemblée faicte en la maison de la
ville
et cité de Chalon, le 25e jour du mois de décembr
saint sébastien… « Attendu que, depuis environ six ans en ça, ladicte
ville
n’a esté exempte de la maladie contagieuse appelé
mpte de la maladie contagieuse appelée peste, les habitans de ladicte
ville
, en l’onneur de Dieu et de monsieur saint Sébasti
rate, recouvre la parole et loue le Seigneur. Cromatien, préfet de la
ville
, fait venir chez lui le guérisseur merveilleux, q
rançaises que de lettres italiennes. Il donnera à Sarah Bernhardt une
Ville
morte, version originale de la Città morta. Et en
Les trésors, amassés par les marquis, prirent le chemin de Rome et la
ville
fut plongée dans le silence et l’oubli. Si la Rép
nque de force et d’organisation de la municipalité romaine mettait la
ville
à la merci des Colonna, des Orsini, des Salviati.
tin, Arcs triomphaux, dressés après les hécatombes Des peuples que la
Ville
immole à son destin. Obélisques, sur qui le Tem
udan et Verceil. Conciles. Jean-François Bonhomme, évêque de cette
ville
, y tint un synode en 1575 se résume : Sieur Jea
a fortune en Tunisie ? Seules, les tentent vraiment, nos paysans, les
villes
tentaculaires. Le dernier recensement en donne la
cio di Bartolommeo, qu’on peut abondamment étudier à la Galerie de sa
ville
natale, mais dont le Louvre ne possédait rien jus
luxe, à elle aussi que revient le devoir d’approvisionner les grandes
villes
, de véhiculer les grains, et autres denrées d’ali
blé quotidiennement, et étaient subordonnés à la fois au préfet de la
ville
et au préfet de l’annone. Très considérés aussi é
issaient la chaux, et qui étaient formés en collèges dans quantité de
villes
de province ; les marchands d’huile, qui s’associ
es et des coussins ; les dendrophorii ou négociants en bois. Dans 140
villes
, se révèle l’une au moins de ces trois dernières
s’occupe de peinture. Après cette visite, nous sortons. Oh ! la laide
ville
! quel air impur ! quel mélange déplorable des vi
incio nous avons regardé la coupole de Saint-Pierre et aussi toute la
ville
; je suis contente de la trouver pas trop grande,
u Florence de la Renaissance. Grâce à l’intervention pécuniaire de la
ville
de Bruxelles et au zèle, au talent, à la conscien
Venise. Je ne pouvais en croire mes yeux, en voyant une aussi grande
ville
au milieu de l’eau, sur une mer aussi étendue, vu
plus beau séjour que j’ai passé en Italie, soit pour la beauté de la
ville
qui est bien bâtie, et bien grande, entourée d’un
érouse, Assise, Sienne, avec de jolis paysages, des coins de vieilles
villes
, mais surtout des notes sur les musées d’Italie.
ns ! Et de la fange et de la fange tu soulèveras, entre les ponts des
villes
engourdies. Que de flétrissures, que d’aridités,
avaient dormi dans le palais furent condamnés à porter les lettres en
ville
pendant deux jours. L’un, cependant, qui avait do
atalogue illustré publié à cette occasion par M. Paul Vitry, à qui la
ville
de Tours est en grande partie redevable du nouvel
mble, et nous ne nous lasserons pas de réclamer qu’on négocie avec la
ville
de Tours d’autres échanges pour faire rentrer au
grande dut être la stupéfaction des membres du jury au concours de la
Ville
de Paris lorsqu’ils surent que le lauréat auquel
tableaux de M. Morrice me paraissent seuls rendre quelque chose de la
ville
de la lumière voluptueuse. Il ne faut pas s’arrêt
cela ne pénètre pas. Canaletto, discrètement, aime et connaît bien sa
ville
, il en traduit avec une ferveur et une sensibilit
ation délicate s’est établie. C’est que, pour qui a bien contemplé la
ville
, la crudité des ciels de cobalt, des façades rose
acle à Bruxelles, à Liège, à Amsterdam, et aussi dans les principales
villes
méridionales, « les Latins » donneront en seconde
e pas signaler le joli album relatif à Venise, dans la collection des
Villes
d’art célèbres de la Librairie Laurens. — Ce qui
’ensemble prodigieux de tableaux et de sensations que doit donner une
ville
comme Venise ; le reste est accessoire ; n’import
efforcé, avant tout, de nous créer un itinéraire commode à travers la
ville
et ses environs. Il y a réussi et je ne doute pas
es événements et les hommes, puis une description topographique de la
ville
et de ses environs avec la nomenclature très exac
use à crucifier un cochon ; le jour de Pâques, on chasse à travers la
ville
(Saint-Pierre) un autre cochon, qui est soi-disan
rsque les Allemans passèrent icy près, ils tentèrent d’entrer dans la
ville
, contre leurs parolles, et la canaille, qui est t
x où sont les belles choses qui ont acquis tant de réputation à cette
ville
sont quasi tout ruinés, et de plus fermés aux est
tin, sur ce trait : « … Gagnons quelques batailles, prenons quelques
villes
de considération : l’on viendra au-devant de nous
et beaucoup d’autres messieurs moins illustres en bon nombre d’autres
villes
ont parlé copieusement de la vie et de l’œuvre de
ed du Vésuve, je crois bien, que les légendes s’accordent à placer la
ville
où naquit Polichinelle. Une grippe favorable, en
atharine Hooker. Ceux qui jamais n’y sont allés, ceux qui errèrent de
ville
en ville, de Gênes à Venise et de Milan à Naples,
Hooker. Ceux qui jamais n’y sont allés, ceux qui errèrent de ville en
ville
, de Gênes à Venise et de Milan à Naples, trouvero
ts de voyage. L’Italie, Rome, Florence, Venise, et toutes ces petites
villes
qui vécurent au moyen âge et pendant la Renaissan
d’une jeunesse bien triste le poussèrent à fuir le bruit des grandes
villes
modernes Il était encore enfant lorsque son père
ele d’Annunzio : Les Victoires mutilées, 3 tragédies (la Gioconda, la
Ville
morte, la Gloire), trad. par G. Hérelle : Calmann
volume des Victoires mutilées — lorsqu’on vous les analysait ici : la
Ville
morte, au premier acte énorme, funèbre et vraimen
retourner à Venise après vingt ans de vagabondages. Il revint dans sa
ville
natale, ainsi qu’on le sait d’après des documents
nise, les autres donnant des renseignements sur les immoralités de la
ville
, après qu’il y fut revenu — tout cela de la même
s, mais celui-là ressemblait à un palais royal. Situé au milieu de la
ville
, à la mode bohémienne, il s’ouvre derrière sur de
autre bout de papier Casanova déclare : « Je n’aime pas non plus les
villes
régulières, Turin, Nancy, Lille, Windsor. J’aime
ichiero, que l’Empereur avoit demandé en vain au bibliothécaire de la
ville
de Prague et lorsque je lui ai répondu qu’oui il
resde appartient actuellement à M. Pierre Dufay, bibliothécaire de la
ville
de Blois. Quand les Casanovistes pourront-ils lir
p. 692-697 [695-696]. Nous retrouvons avec plaisir la Collection des
villes
d’art célèbres avec Prague, de M. Léger, et surto
racuse, revenue à son île étroite d’Ortygie, n’est plus qu’une petite
ville
proprette et coquette, dit lui-même l’auteur, où
e découvrent et des ruines nombreuses que recèle le sol de la vieille
ville
afin de l’évoquer au temps de Hiéron II, de Denys
musée cependant offre une admirable collection de monnaies et dans la
ville
, les portails de S. Giovanni et de Santa Lucia, l
t possible à la peinture de réaliser, de ce Paris, considéré comme la
ville
de la joie et de la volupté par excellence, dont
à l’intensité fiévreuse de l’existence tourbillonnante de nos grandes
villes
, à l’inquiétude et à la soif inextinguible de nou
re spirituel, ce qui n’empêchera nullement les Siennois de vouer leur
ville
à la Madone en 1485 et les Florentins de proclame
ite un instant à fouler tant de gloire. II Perdu dans cette
ville
aux figures Je cherche à débrouiller, depuis le
Archéologie, voyages. Jean de Foville : Gênes, Collection des «
Villes
d’art célèbres », Laurens, 4 fr. Charles Merki.
emarquables de la collection consacrée par la librairie Laurens aux «
Villes
d’art célèbres », — et à vrai dire sur un endroit
à rencontrer dans la série. — Gênes en effet est essentiellement une
ville
de trafic, le grand port maritime de l’Italie du
le grand port maritime de l’Italie du Nord ; mais c’est également une
ville
ancienne, où l’on n’a pas trop démoli et dont les
s, parcourir ses palais, ses musées et ses rues ; contrairement à nos
villes
du Nord, aujourd’hui si pauvres en œuvres d’art,
ehors et au dedans. — Il faut ajouter du reste qu’on retrouve dans la
ville
, comme à Vérone et, paraît-il, dans toute l’Itali
de sombres forteresses. Le Pensieroso résume la pensée profonde de la
ville
. À Venise, le Colleone étonne davantage. Les poèt
oètes ont si souvent parlé de cette mollesse orientale où s’endort la
ville
des doges que nous les croyons quand ils disent q
s les archives de Moncalieri la convention passée en 1530 entre cette
ville
et le peintre pour l’exécution d’un double tripty
mit son monogramme avec la date de 1531 et y ajouta les œuvres de la
ville
de Moncalieri. Bien que peignant au xvie siècle,
tiples et pittoresques. C’est d’ailleurs la physionomie moderne de la
ville
qui revient surtout et l’on sent que, bien mieux
oudrais citer, par exemple, les pages qui concernent Pérouse, vieille
ville
guerrière aux petites rues tortueuses, étroites c
, le Cœlius, et d’où la vue embrasse tout le majestueux paysage de la
Ville
Éternelle que l’auteur des Promenades dans Rome a
’en vont, d’Annunzio reste, Sansot En même temps que son poème, la
Ville
charnelle, M. F. T. Marinetti publie un livre de
u mon sang ; Rien qui soit toute la maison, Et rien qui soit toute la
ville
. Les éléments de l’univers restent assis Coude
able auteur de la boucherie de Franckenhausen. Cent mille morts, sept
villes
démantelées, mille monastères rasés, trois cents
rituel : elle était donc inutile. Les Poèmes. F.-T. Marinetti : La
Ville
sensuelle, E. Sansot, 3,50 Pierre Quillard. To
nos oreilles sont plus accoutumées. C’est un long poème encore que la
Ville
Charnelle, tumultueux et frénétique aussi, où par
ve. Ainsi, il a pu animer d’une vie semblable à la vie des hommes, la
Ville
d’Orient, luxurieuse dans le soleil et sous la lu
les. Les sources sous les broussailles sont comme le sexe caché de la
ville
énorme ; les voiles abattues marmonnent et se lam
piquait d’être artiste. C’était à la fois un palais et un musée, une
ville
d’art et une maison de campagne, et il est intére
de M. Mario Morasso est consacré à la glorification de Venise. Cette
ville
tant exaltée, qui souvent nous semble exercer sur
dans sa construction, par le triomphe humain qu’elle représente comme
ville
dans son incomparable originalité, mais aussi dan
retrouvons tous aujourd’hui, nous les retrouverons toujours, dans la
ville
qui renferme le luxe spirituel de ces siècles de
sement riche et émouvante. Domus Aurea célèbre les louanges de cette
ville
. Dans un chapitre — qui est un hymne — sur la chu
Campanile, le « héros disparu », qui était debout « outre que sur la
ville
, sur l’histoire même de Venise », s’élève de l’ém
72, 16 octobre 1908 Archéologie, voyages. André Maurel : Petites
villes
d’Italie, tome II, Hachette, 3 fr. 50 Charles M
llente impression du premier livre de M. André Maurel sur les Petites
villes
d’Italie 30 et je suis heureux d’en présenter auj
plaisir que de parcourir, en dehors des cités à la mode, ces petites
villes
dont le passé fut si grand et où il reste encore
rrès, et les arbousiers, et les pins de Vicomile, puis, plus tard, la
Ville
Éternelle sous la neige au clair de lune, le prem
umulée le long des voies de Rome et sur chaque pavé de la plus petite
ville
. Ce livre d’impressions est un livre de vérité.
mot serait la devise du chef des Hachichins : Tout est permis. De la
ville
ruinée, de Messine, nous arrivent les premiers vo
chent davantage à la vie administrative, judiciaire et municipale des
villes
étrangères peuvent s’ajouter à celui-là et nous c
ns d’Italie, à la fois monotones et abruptes. Furibondes rivalités de
ville
à ville, de quartier à quartier, de famille à fam
lie, à la fois monotones et abruptes. Furibondes rivalités de ville à
ville
, de quartier à quartier, de famille à famille ; é
perdu sa réputation et ses États. » « Quiconque devient maître d’une
ville
accoutumée à jouir de sa liberté et qui ne la dét
question de créer après la guerre une Université à Nice. Cette grande
ville
, qui a pris un développement rapide depuis vingt
crédits moins élevés et soulèverait moins d’objections de la part des
villes
concurrentes. Le général Goiran, maire de Nice, e
alité, qui s’est déjà imposé de gros sacrifices pour les lycées de la
ville
, sont très favorables au projet. De la part de l’
qu’on la répande… Bari et le Barisien Bari, dans les Pouilles,
ville
natale de Ricciotto Canudo, vient d’avoir sa prem
devront être plus ou moins hautes. Il faudra disposer les maisons de
ville
autrement que les propriétés de la campagne, où e
e et les aspects cosmopolites. Le bivouac est établi assez loin de la
ville
, près d’un campement de comitadjis, — dont le réc
— la manière de l’esquiver dans ces pays-là ! — et des tableautins de
villes
assez bien enlevés, celui de Goa la morte surtout
mps qu’un chasseur, après l’avoir rendue grosse, amène dans sa petite
ville
soi-disant pour l’épouser. Mais la victime timide
réside toute dans la peinture des caractères et des milieux de cette
ville
étrange, où les hommes sont presque toujours saou
ture sentimentale d’un dilettante européen exilé au fond d’une petite
ville
sommeillante et vieillotte dont il découvre, au j
dire ignorée, au sommet de la colline où Galilée cachait, loin de la
ville
, ses profondes études. Aujourd’hui, on l’a modern
tent l’uniforme « grigio-verde ». Les étrangers qui venaient dans les
villes
de Piémont ou de Toscane peu de temps après le mo
que commencèrent les restrictions, et que changea la physionomie des
villes
. La crise du charbon eut sa répercussion dans tou
dérants clairs et précis, mais aussi par la voix d’orateurs allant de
ville
en ville commenter les mesures qu’exigeaient les
lairs et précis, mais aussi par la voix d’orateurs allant de ville en
ville
commenter les mesures qu’exigeaient les circonsta
gne. Ce qui se fait en Italie est strictement volontaire. Dans chaque
ville
de quelque importance, des Comités se sont créés,
protection de l’enfance, et aussi la propagande morale76. Toutes, les
villes
d’Italie, petites et grandes, ont soutenu les com
laconique ordre du jour : « Je compte sur l’abnégation de tous. » Les
villes
du centre et du midi ont assisté au douloureux dé
stribution doit être différente, car il faut distribuer une maison de
ville
autrement qu’une maison de campagne, laquelle doi
Temple de l’Art, diadème de la capitale en Toscane. À la porte de la
ville
, j’avais paré mon esprit et mon cœur de leurs joy
c’est assez pour compter à Milan et à Vienne. Par un voyage en cette
ville
, Medardo peut constater que son marchand « tient
avec les impressions d’ensemble fidèlement rapportées, puis court la
ville
à la recherche de ses modèles dispersés, les retr
; et le succès s’annonce et se maintient tel que Rosso, venu dans la
Ville
des Doges avec un très mince viatique et pour séj
uence n’a-t-il pas subie ? M. d’Annunzio prépare un drame intitulé La
Ville
morte, qu’il aurait voulu écrire simultanément en
’un de l’autre que la mort dudit Orphée et des scènes de jeu dans les
villes
d’hiver. Il y a peut-être un lien pourtant entre
excellente, pleine de chaleur. Mercredi, 9 octobre 1811. Je reste en
ville
. (Naples, en 1803, avait, dit-on, 450 mille habit
ristesse. Observé en janvier 1813.) Tolède, Chiaja et la partie de la
ville
du côté de Portici sont uniques au monde. Cela n’
éveloppant dans un tryptique : la Cathédrale, la Demeure des Rois, la
Ville
, elle synthétise la vie séculaire de l’Occident,
par l’homme dans ses cathédrales, jusqu’au brouillard animique de la
Ville
moderne, à travers les demeures des Rois de l’épo
es énergies dans un effort immense, trouve son image parfaite dans la
Ville
… Et il écrit : L’ombre d’un grand siècle aux c
toute valeur à cette formidable tête de pont de l’ennemi et rendu la
ville
inhabitable, autrefois centre de ravitaillement p
sciemment, on le voit aussi bien sur le front que dans les foyers des
villes
et des campagnes où même les femmes montrent non
es, incités en masses par l’Autriche à étouffer l’italianité dans les
villes
vénitiennes de l’Adriatique orientale les vexatio
it ans, il avait frappé le monde littéraire en récitant dans quelques
villes
avec la perfection d’un acteur des vers de lui, d
rnier lieu, s’adressant à la jeunesse cultivée, agitaient les grandes
villes
. Mais ces grands mouvements de l’extérieur ne fur
oderne. Confrontez les centaines de livres que la France consacre aux
villes
artistiques et aux artistes italiens grands et pe
neutre ; il attend la paix, pour s’asseoir deux fois par jour, en une
ville
paisible, autour d’une table de Congrès, entre un
frémissements qui le laissaient prévoir. De toutes les campagnes, des
villes
, des vallées et des monts, une foule interminable
lie, M. Gabriel Faure a voulu revoir, aux terres de la péninsule, les
villes
qu’il aime et qui lui furent si accueillantes, —
n guerre contre les avions autrichiens, de Bassano, si curieuse comme
ville
, et où défilent les troupes italiennes en campagn
le de Trévise et de Conegliano, d’Udine, — une des nombreuses petites
villes
qu’il décrit de coutume. Plus haut c’est Gemona,
tualité s’y attache, avec leurs panoramas de montagnes, leurs vues de
villes
(Grado, Monfalcone). Les troupes de ce côté doive
Tome CXVIII, numéro 441, 1er novembre 1916, p. 181-192 [187]. « Nos
villes
, écrit L’Italia futurista, sont extrêmement monot
la rue avec ses gestes et ses lueurs homicides. Nous voulons que nos
villes
soient des volcans, nous les voulons périlleuses,
igi Barzini : investigations d’un esprit attentif et ardent parmi les
villes
de la Belgique occupée, dans la partie du front f
ont Naples est le théâtre. Depuis deux ans environ, le musée de cette
ville
, sous l’administration de M. Ettore Païs, profess
uit, Antine s’attardait à la bergerie, racontant les merveilles de la
ville
et la vie du séminaire à Tanu et au gardien des c
ne veut pas travailler. Il emprunte aux usuriers et s’en va dans les
villes
prendre du plaisir, et il néglige ses propriétés.
e, dépenser ! On dit que je fais des dettes à cause de mes séjours en
ville
. Ce n’est pas vrai. Tiens, à Cagliari j’ai vécu u
leurs, vous savez, Zio Félix ; et pourtant Cagliari est la plus belle
ville
du monde… Ah, si vous voyiez ! — Qu’est-ce que la
la plus belle ville du monde… Ah, si vous voyiez ! — Qu’est-ce que la
ville
a à faire avec les couleurs ? — dit son compagnon
son compagnon. — Quand on a faim, il ne suffit pas de voir une belle
ville
pour ne plus être pâle. — Et pourtant, voyez, Cag
pensez, Zio Félix ?… — Tu es jaloux, parce que tu ne verras jamais de
ville
! — dit Tanu. Zio Félix écoutait triste et silenc
l’hiver maintenant, — tandis que Tanu racontait les merveilles de la
ville
, le vieillard caressait sa chère espérance. Toute
s des photographies, des cartes en noir et en couleur et des plans de
villes
. De vieux clichés, qu’on aimait quelque fois à re
e ait fait négliger certaines parties comme l’Italie centrale, et des
villes
intéressantes comme Sienne, Assise, Viterbe ; sac
oire romaine reviennent peupler cette solitude et ces décombres de la
ville
éternelle. Son commentaire ainsi était indiqué po
eauté de son œuvre. Il est, sous le soleil méditerranéen, des petites
villes
champêtres et ombragées, dont le nostalgique voya
r comme le centre perpétuel du monde, sans penser que la mort tue les
villes
et les races, comme elle tue tout individu. De Pr
et les entrepreneurs devinrent vite plus nombreux à Rome et dans les
villes
d’Italie, jusqu’à former une classe de capitalist
e, subdivisé par périodes et règnes et qui concerne non point tant la
ville
elle-même du reste que la succession de ses souve
attirait. Certes il était heureux de franchir les Alpes et de voir la
Ville
qui, sous les Papes comme sous les Césars, était
talienne de Rome de Stendhal. La belle œuvre du grand esthéticien des
villes
est illustrée par des reproductions de photograph
ent chez vous… — Comme chez eux ! — L’an dernier ils ont mené dans la
ville
un train d’enfer. — Mes hôtes actuels sont plus c
ici toute leur allure ! Ils ne sont pas emmurés comme dans les autres
villes
! Ils escaladent les balcons avec des échelles de
l’y suivis. Lowsky, Morga et Wellseley préférèrent se promener par la
ville
. * Le grand canal avait son aspect nocturne. Les
zer a montré l’épuration de l’amour que provoque le voisinage de la «
Ville
éternelle ». Deux êtres se cherchent, se fuient,
dialoguent sous un beau ciel et derrière elles tout le panorama de la
ville
blanche se déroule. M. Bucci est un des notateurs
clat coloré, apparaissent des architectures curieuses, des aspects de
villes
d’Italie, très pittoresques, palais rouges, arcad
ion. M. Aldo Palazzeschi est jeune. Il est né à Florence — dans cette
ville
qui a repris depuis dix ou quinze ans son ancien
ses, — s’extasiant sur le Dôme de Saint-Pierre et les fontaines de la
ville
; Montaigne, Voltaire, — qui vient nous dire à pr
s, et ses impressions de voyage, De Cadix à Messine, nous a évoqué sa
ville
favorite avec une verve, un charme et un pittores
et des artistes qui travaillèrent à Venise, depuis les origines de la
ville
jusqu’à l’effondrement des xviie et xviiie sièc
d’art, d’abord exécutées par des artistes byzantins, qui ornèrent la
ville
. Il a étudié la statuaire italienne au cours du M
urtout une étude d’art, — non seulement à Venise, mais dans nombre de
villes
italiennes ou des possessions de la République, O
as la Venise des Cooks, ni même celle des touristes érudits, mais une
ville
vivante et pittoresque sous un ciel admirable. […
ante et pittoresque sous un ciel admirable. […] Parmi les peintres de
ville
, M. Abel-Truchet avec sa Venise en fête. La Venis
dans une vaste galerie. Beaucoup d’amateurs qui passaient dans cette
ville
allaient la visiter sur l’indication du Bædeker.
e Casanova était en garnison à Corfou ; il connaissait à merveille la
ville
et les environs ; l’infatigable M. Gustav Gugitz9
ova à Genève ; il s’y installait à l’auberge des Balances. Dans cette
ville
, et précisément dans cette maison, il retrouvait
à retrouver cette belle sérénité qui est son attitude favorite, à la
ville
. Dès le lendemain de son arrivée à Genève, il oub
l pris peu à peu l’habitude de s’exhiber à travers toutes les grandes
villes
d’Europe, avec une complaisance inlassable et une
utation de galanterie irrésistible et souffrait de retrouver dans les
villes
où il faisait métier de séducteur le souvenir des
d’une « famille noble mais gênée qui habitait un château proche de la
ville
… ». Ce bon Vallardi en avait attribué toutes les
a première médaille, celle de Jean VII Paléologue. Avant, il court de
ville
en ville, de Maison en Maison, peignant ici, port
e médaille, celle de Jean VII Paléologue. Avant, il court de ville en
ville
, de Maison en Maison, peignant ici, portraicturan
onard, et aussi, peut-être, par une circonstance singulière, dans une
ville
lointaine de la France. Car Ludovic fut fait pris
rairies, dans la vallée plaisante de la Masse, au pied des murs de la
ville
d’Amboise, où, surtout dans la saison des chasses
nglais. La langue anglaise, au total, ne représente guère, dans cette
ville
de deux millions d’habitants, que la moitié de la
la population. La grande puissance est l’allemand. Qu’on se figure la
ville
de Munich tout entière enfoncée dans Paris comme
u premier abord les Florentins amoureux de la forme. Ce fut la petite
ville
de San Gimignano qui s’émut la première à sa voix
taient des clercs vagabonds, des clercs ribauds, qui s’en allaient de
ville
en ville, ou d’abbaye en abbaye, récitant à qui l
s clercs vagabonds, des clercs ribauds, qui s’en allaient de ville en
ville
, ou d’abbaye en abbaye, récitant à qui les logeai
éressées de l’Allemagne, à restituer à son ex-alliée du Midi les deux
villes
symboliques que celle-ci réclame : c’est qu’elle
e du pays les exclut. Après avoir défoncé des forteresses et pris des
villes
, ils sont arrivés sur le seuil de l’inconquérable
’insulta, on se cracha au visage, on se gifla éperdument. Les grandes
villes
donnèrent l’exemple et jusqu’aux plus petits vill
ément dans un train omnibus qui l’emmenait lui-même vers cette petite
ville
qu’un éminent journaliste italien — qui cache son
ines. Je ne te parle pas de notre peur le jour où ils ont bombardé la
ville
à quatre heures du matin. Au pont della Zilla les
qui, sous le nom d’hommes sensés, font la base de la société dans les
villes
du Nord de l’Europe. Les gens d’ici sont très ado
des Sforza, à Milan, se souvenant que Segantini était allé dans cette
ville
, à l’âge de quatorze ans, en petit ouvrier vagabo
, vu la grande concurrence (L.). On voit ce qui doit arriver dans une
ville
très peuplée, pleine de célibataires et sous un t
cieuse illusion que j’étais avec elle. [Livia s’ennuie dans la petite
ville
d’Ancône où elle voit peu de monde encore. L’ennu
pays où il faut venir jouir de la nature et à six heures d’une grande
ville
.] Je pars en bateau toujours avec la pluie, mêlée
ir à Saint-Ambroise, à un mille au-delà de Varèse, qui est une petite
ville
, tandis que Saint-Ambroise est un village. Aux 2/
musicale de découvrir les accords et d’harmoniser les silences de la
ville
très romantique, certaines cadences même de son s
d’Arte. — Encore des vers et exquis de Enrico Panzacchi : Une petite
ville
, le soir ; une fenêtre où se colle le front d’une
ouvait dire de lui et de ses actes, ne put supporter qu’on accusât la
ville
de Genève de lui faire mener une existence si mis
ait de tels ministres. La brèche de la Porta-Pia, qui rendit enfin la
ville
éternelle aux Italiens, n’apaisa pas le dédain du
» si chères aux féroces maèstri de la péninsule. Elles traversent les
villes
, réveillant les échos joyeux, les échos du réveil
apitole et l’Aventin, le Quirite, en revenant, regardait en haut la
ville
carrée, éclairée de soleil, et il murmurait un ch
les églises, où ne resplendissaient plus ses Icônes, le vide dans les
villes
, que ne peuplaient plus ses simulacres ; déserts
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