ée de sa naissance me semblent absolument indifférents. Son œuvre, sa
vie
, et le grand rythme occulte, qui à un tournant de
rattache à la plante, la tige, ne révèle point l’énorme secret de la
vie
qui en elle transforme la sève en étincelantes co
ais la continue en la maintenant dans l’exaltation, ainsi que pour la
vie
antique occidentale le firent Pindare et Horace.
e, il juge, il condamne. Le rôle de Carducci pendant presque toute sa
vie
a été celui d’un accusateur. Le caractère essenti
solide et féconde. Puisque la péninsule avait renouvelé le sens de sa
vie
, en réunissant ses États dans une seule nation, i
arducci faisait appel à la grandeur, réelle ou conventionnelle, de la
vie
antique. Carducci s’est acharné à la besogne. Les
e. Carducci s’est acharné à la besogne. Les splendeurs éteintes de la
vie
italienne rayonnaient occultement dans son esprit
ur à toute contingence. Sans peur, sans pitié, ayant comme manière de
vie
le Dédain, et comme dogme spirituel la Volonté, f
ci prit, il y a déjà longtemps, la place suprême qu’il occupe dans la
vie
spirituelle de l’Italie. Lorsque celle-ci sortit
veille, devinrent les maîtres de tous les pouvoirs du nouvel État. La
vie
esthétique de l’Italie avait été naturellement as
ine du poète. Un souffle d’intimité calme, une poussée harmonieuse de
vie
intérieure en élargit la signification et le char
erza rima, devient sombre et saisissante : Oh, combien, ensuite, ma
vie
, froide, Et combien obscure et triste, elle est p
are, Carducci fait un nouveau bond, et atteint le but définitif de sa
vie
de poète. Tout son organisme poétique arrive au d
anciens. Il exalte le vin, et, aux plus harmonieuses puissances de la
vie
, il donne les noms, les attributs divers que les
une, l’abstraction du patriotisme de la rue, l’absorption de toute la
vie
italienne dans l’idée abstraite de Rome ; l’autre
ant à peu près un siècle ne peut pas atteindre la forme suprême de la
vie
collective, une renaissance esthétique, avant d’a
s, ensuite elle aspirera à atteindre et atteindra sa forme suprême de
vie
. Cependant le cri de Carducci secoua les esprits,
mesurément ; au nom de sa belle bravoure épique, il imposa à toute la
vie
de la nation la laideur de sa passion unilatérale
eux soldats furent de piètres politiciens. Ceux qui avaient jeté leur
vie
dans le sang, en s’enflammant aux chants très pat
emps, ou les froids soucis, je sens sur ma tête ; je sens, ô Hébé, la
vie
hellénique affluer tranquille dans mes veines. Et
acré sa renommée mondiale. Il est entré dans une zone lumineuse de la
vie
d’une nation, où un homme est élevé aux sommets h
s énergies occultes, étrangères, alors même qu’il les exprimait, à la
vie
politique et esthétique de tous. Il représente au
tous. Il représente aussi le deuxième pôle de l’ellipse idéale de la
vie
italienne au xixe siècle, dont le premier pôle e
devenu silencieux. Gabriel d’Annunzio avait voulu, à un moment de sa
vie
, hériter de la baguette du farouche censeur. Il v
la baguette du farouche censeur. Il voulut entrer dans la mêlée de la
vie
politique. Il rêva de devenir le nouveau poète na
e du bassin méditerranéen, composèrent une couronne de gloire pour la
vie
millénaire des races gréco-judaïco-latines, et po
rfaite harmonie montreront encore au monde la puissance joyeuse de la
vie
, se compose déjà peu à peu, dans notre inconscien
incipes philosophiques qui sont à la base de toutes mes visions de la
vie
, et par conséquent de l’art. Mais à plus d’un tit
serré sonore et pur, et la volonté subtile d’une compréhension de la
vie
tout entière, dans une esthétique qui est vivifié
nspire et l’anime. L’écrivain ne cède pas à l’émotion d’un fait de la
vie
, observé ou imaginé, mais il est ému originaireme
ervé ou imaginé, mais il est ému originairement, par une vision de la
vie
, c’est-à-dire par une généralisation lyrique d’un
t. Le roman conçu ainsi à la manière du poème embrasse une étendue de
vie
toujours beaucoup plus vaste que tout autre roman
ain se bornerait à représenter seulement quelques complications de la
vie
humaine, et mettrait, comme but idéal à toute gén
ar la formidable poussée de désirs individuels et collectifs de notre
vie
contemporaine, et, tout en suivant le protagonist
ne, et, tout en suivant le protagoniste, qui n’est plus qu’un nœud de
vie
se déplaçant dans un espace très grand, l’espace
ou ennemie, du temps dans lequel les protagonistes vivent toute leur
vie
exubérante, dans trois étapes fatales : Vers l’Éc
t vivre. Il se plie sous le choc de deux amours qui à un moment de sa
vie
tumultueuse et complexe tourmentaient son âme pro
iers chapitres et un appendice. Les premiers chapitres recomposent la
vie
du duc de Chartres à l’époque de son mariage avec
mis d’enfance, à David Strauss, déjà célèbre par la publication de sa
Vie
de Jésus, au poète Mœrike, à tous ces braves gens
embres beaux l’homme se relève, et qu’il exalte sa terrestre forme de
vie
que le soleil gouverne, et que plus haute il la r
ue les siècles chrétiens ont assujettie aux désordres terrifiés de la
vie
intérieure. Contre l’image perpétuelle, tyranniqu
ge perpétuelle, tyrannique de la mort, contre le sens sceptique de la
vie
qui passe, il voudrait que les hommes se lèvent d
n nous. La violence brutale est sur nous. Tout instant est suprême. Ô
Vie
, brûle ! » Plus que dans ce sentiment exaspéré d
suprême. Ô Vie, brûle ! » Plus que dans ce sentiment exaspéré de la
vie
qui passe, de la mort qui dure, l’art du poète es
ue : la Cathédrale, la Demeure des Rois, la Ville, elle synthétise la
vie
séculaire de l’Occident, depuis l’avènement chrét
chrétien jusqu’à celui, encore obscur, encore crépusculaire, de notre
vie
moderne : depuis le signe éternel d’angoisse et d
travers les demeures des Rois de l’époque de fer, la Renaissance. La
vie
moderne — dit le poète dans sa lumineuse préface
rin M. Guido Gozzano, dans son recueil La Via del Refugio, voit la
vie
avec un esprit d’une charmante indépendance, et d
i, le poète de l’Ode a una nave di battaglia. Guido Gozzano chante sa
vie
extérieure, il évoque les choses simples d’un pas
extérieure, il évoque les choses simples d’un passé non lointain, la
vie
de ses aïeux, la mélancolie des choses simples, d
ute une sensibilité, sinon toute une mentalité, qui, pour regarder la
vie
avec des yeux sceptiques, avec un égal sourire de
trop pathétique. Ainsi, le sonnet Heure de grâce, où le poète voit la
vie
avec des yeux si étonnés qu’il croit la découvrir
ouveler nos visions et nos sensations pour aimer et pour reprendre la
vie
d’un amour nouveau, sincère, domine tous ces jeun
pour s’extérioriser en beauté, montre la nouveauté de sa vision de la
vie
. Son œuvre, l’Incubo Velato, a été couronnée par
uglielminetti, dans ses Vergini Folli, chante librement l’amour de la
vie
, faisant à la jeune littérature italienne un appo
tore Sacerdote, l’auteur d’un volume récent, très remarquable, sur la
Vie
de Herbert Spencer et les « Premiers Principes »
livre d’une femme qui a été jusqu’ici et qui demeure inconnue, sur la
vie
de Nietzsche à Sorrente, où, comme Musset, Wagner
celle d’un enfant, — mais d’un enfant qui aurait connu l’ardeur de la
vie
et la douceur du rêve. » — C’est en effet le livr
ait l’importance de l’ouvrage, exposait, avec une sobre précision, la
vie
du musicien et le caractère de son art. Enfin le
arce que le climat demeurait le même, parce que le sol, père de toute
vie
, demeurait immuable. La population de la Gaule av
p d’éléments nouveaux sont entrés par là dans sa substance et dans sa
vie
. » C’est cette pression constante du continent q
quité. C’est par l’est que la civilisation est entrée en Gaule. « Une
vie
circule à travers l’Europe centrale. Il est donc
raît en avoir aussi possédé, au suprême degré, un parfait égoïsme. Sa
vie
et ses actes dénoncent plus de sens pratique avis
a chasteté. Gabriele d’Annunzio, le grand Prêtre de la Joie, passe sa
vie
sur le papier ; moi, qui ne prêche rien, j’ai tou
uoiqu’on pût appeler couramment de ce titre les quatorze fragments de
vie
générale qu’il rassemble dans son livre. J’y retr
e : morte dans l’opinion des artistes, elle vit pourtant de la lourde
vie
végétative des vieilles institutions d’État. La S
pleins de mansuétude, lui continuèrent cette sinécure, si bien que sa
vie
durant il resta gardien d’une bête qui n’existait
de monuments dans ce volume tiennent peu de place et c’est surtout la
vie
présente, les idées, l’état social qui ont retenu
la ! On la réclame en France ; il semble que sans décentralisation la
vie
intellectuelle soit impossible. Apprenons, par l’
u’il ait plus d’une fois choisi des sujets traités par l’auteur d’Une
Vie
, cela atteste entre ces deux tempéraments d’artis
t à celui de d’Annunzio : « c’est un faune un peu triste, revenu à la
vie
primitive », écrit J. Lemaître, « un taureau tris
à la volupté féconde éparse dans les bois et dans les campagnes, à la
vie
continue, irrésistible et silencieuse qui jaillit
du monde retentissent dans son cœur mortel, les germes de toutes les
vies
bouillonnent dans sa vie humaine : quand il s’éte
s son cœur mortel, les germes de toutes les vies bouillonnent dans sa
vie
humaine : quand il s’étend au fond de sa barque,
caractère brutal de ses premières œuvres, débordantes de santé et de
vie
. Il y a une similitude frappante entre les débuts
distingué, a voulu faire de lui une sorte d’associé intelligent de sa
vie
: mais au jeu d’amour qu’il a entrepris avec elle
ond qui précipite mon esprit vers les plus superbes apparitions de la
vie
. Je suis né, moi, pour faire des statues… » Avec
es créatures de chair, mais rien de plus : on ne voit pas bien quelle
vie
morale, quelle valeur intellectuelle elles peuven
re les bras des femmes, qu’une bouche ardente suce infatigablement sa
vie
; il est pris de haine pour l’image dont « aucun
é nouvelle ? » Et la même conclusion s’impose aux deux écrivains : la
vie
n’a plus aucun sens, elle est intolérable, du mom
choix très habile de circonstances extérieures, de menus faits de la
vie
, d’incidents significatifs qui nous font comprend
llucinations qu’il aimait. L’eau tient aussi une grande place dans la
vie
et l’œuvre de d’Annunzio : l’homme qu’une passion
u, où il vécut une longue enfance sans contrainte d’aucune sorte : sa
vie
avec les pêcheurs, ses promenades en mer, ses cou
ain, pour ses romans, cherche au moins l’inspiration du décor dans la
vie
mondaine qu’il mène avec conviction. On le voit s
attend le retour du poète qui, dans le Bon Message, lui promettait sa
vie
et qui ne se soucie plus de venir réveiller les c
race, ont-ils trouvé dans des traits de mœurs, dans des habitudes de
vie
, dans des superstitions analogues, des sujets d’i
mer » dont parlait Pindare, ont souvent porté leur observation sur la
vie
des marins et des pêcheurs : ils y retrouvaient q
ctement, quelles situations comiques ou tragiques pouvait créer cette
vie
nomade qui soustrait l’homme à toutes les contrai
made qui soustrait l’homme à toutes les contraintes habituelles de la
vie
civilisée, à ses habitudes, à ses affections natu
peu de tous les souvenirs dont il a vécu ; loin de lui, sans lui, la
vie
des siens continue ; loin d’eux, il faut recommen
la vie des siens continue ; loin d’eux, il faut recommencer une autre
vie
, et les liens qui lui étaient le plus nécessaires
s, inattendues qu’un caprice d’un jour peut faire peser sur toute une
vie
humaine, les souvenirs, les regrets qui envahisse
leur intérêt les avait contraints d’écarter très loin de leur propre
vie
. Quel sort peut attendre un être dont la seule fa
s. Elle se résigna, « revint chez elle et vécut auprès de son mari la
vie
de toutes les épouses » ; des années passèrent. M
’ivresse, qui est son fils ; et l’âme dolente qui a sacrifié toute sa
vie
au rêve orgueilleux de sa maternité se brise dans
s ne réussissent qu’à affermir l’opinion établie contre lui. Toute sa
vie
est désormais bouleversée par ce simple événement
mpérament. C’est parce que les mêmes choses les intéressaient dans la
vie
, c’est parce que les mêmes thèmes leur étaient su
quelquefois tragiques, quelquefois comiques, toujours belles comme la
vie
. Ces notes critiques représentes cependant un tra
té, que nous saurons tout à l’heure. Ce Lorenzino de Médicis, dont la
vie
échoua par trop de complexité, est, en raison de
le d’enthousiasme ; qualités et excellences qui, parmi l’âcreté d’une
vie
manquée, vont s’exagérant, s’exaspérant et se tra
-sens outrancier, assez de misère réelle et imaginaire, un élément de
vie
suffisamment grisant et dissolvant, pour explique
érables chefs de statues antiques à Rome, équipée scandaleuse dont la
vie
de Lorenzino, assez tranquille jusque-là auprès d
sa triple rencontre, aux suites diverses mais toutes fatales pour la
vie
de Lorenzino, du jeune, tendre et touchant Franço
Barozza, un tardif rayon de bonheur erra un instant sur cette sombre
vie
, avant le coup de couteau final des sicaires de C
nts dans la littérature d’érudition : le style, la couleur, le don de
vie
, et, pour tout dire, la manifestation vigoureuse
s de l’érudition paperassière » et parvient aux simplifications de la
vie
perçue. Son aptitude scientifique, dans cet ordre
e tourne et le retourne, multiplie les traits, et cependant, signe de
vie
, l’impression ainsi communiquée va toujours se si
pour « faire l’ange », persister dans ceci à toute provocation de la
vie
, ne pas se secouer à temps, c’est être assuré d’ê
e, réciproquement. Il y a une sorte de gageure du malheur, dans cette
vie
hautaine et tragique, fausse ? faussée ? jamais b
limatérique et le plus aigu de cette situation coïncide juste avec la
vie
et le caractère de Charles de Bourbon. (Il fallut
I, numéro 180, décembre 1904 Publications d’art. Les Arts de la
Vie
Yvanhoé Rambosson. Tome LII, numéro 180, déce
LII, numéro 180, décembre 1904, p. 790-797 [792-794]. Les Arts de la
Vie
(octobre). — Numéro entièrement consacré à l’Enqu
ie et d’une pure beauté littéraire. Il y a là la substance même d’une
vie
d’artiste offrant à ses contemporains le prisme d
humain qui doit servir à mieux faire entendre à tous la raison de la
Vie
: « Nos compréhensions tardives sont faites des
part de notre activité. Mais nous devons la vérité, selon notre vraie
vie
, à ceux qui nous entourent et, certes, en pensant
déclare que ce n’est pas par le Prix de Rome que je recommencerais ma
vie
. J’ai accompli tous les exercices qui y préparent
ntes comme les derniers restes d’une forêt disparue, ont vraiment une
vie
souple de plantes et, sur les murailles où elles
aturelle. Productrice d’enthousiasme, certes, Rome nous envahit de sa
vie
passée ; il nous paraît légitime qu’elle ait conq
ans la lutte confuse, mais fraternelle, de la vie quotidienne ?… « La
vie
présente a toujours été la source d’inspiration d
dans l’incohérence, les plus belles et les plus fécondes années de la
vie
humaine ? Je connais par mon expérience personnel
de camarades, les obscurs comme les plus enviés, le désastre de leur
vie
et l’unanimité de leur reproche. Que ces souffran
années le développement lent, pénible, mais plein de promesses, de la
vie
littéraire d’outre-monts. Aujourd’hui, M. Zuccoli
l’absorbe. Je vais donc ici suivre à sa place le développement de la
vie
littéraire italienne. Et je commence par recherch
auté et de synthèse esthétique tout vibrant d’hellénisme. Et toute la
vie
de la Péninsule, dans l’activité de ses marchés,
ivit alors un roman historique, « Les Fiancés », où il sut résumer la
vie
italienne (et non l’âme italienne) du xviie sièc
cipe même de son amour pour les hommes, pour la nature, pour toute la
vie
. Cet amour le force à regarder de loin le tourbil
et des peintres célèbres. M. de Bosis, écœuré par le spectacle de la
vie
ordinaire et anti-esthétique des écrivains, des a
domine, un grand regret pour toutes les choses belles rêvées, que la
vie
a laissées dans le rêve, que le rêve a cachées da
stiques. Cette tristesse d’une âme contemporaine vibrante de toute la
vie
et de toutes les inquiétudes modernes, rêveuse de
Quelle haine le Poète jette-t-il dans un blasphème vengeur contre la
vie
? Le Poète ne souffre d’aucun mal, il ne fait à l
geur contre la vie ? Le Poète ne souffre d’aucun mal, il ne fait à la
vie
aucun reproche. Tous les maux de l’« homme crépus
uveaux sont dans son cœur sans un nom précis. Tous les reproches à la
vie
sont contenus dans l’affirmation d’une inébranlab
nde lointain, à la lutte sans merci, aux vicissitudes disparues de la
vie
des hommes. Toute sa lyrique est faite de tristes
prit éperdument épris de grandiose, et en transposant la vision de la
vie
toujours un octave ou deux au-dessus de ce qu’il
compatriotes, et leur inspira le désir tyrannique de « styliser » la
vie
en l’exagérant continuellement et volontairement
ure comme le styliste-type de la langue italienne renouvelée. Mais la
vie
spirituelle italienne se continue en dehors de lu
e lui. Les préoccupations très modernes, parfois très profondes de la
vie
intérieure et de la vie sociale, passionnent la m
s très modernes, parfois très profondes de la vie intérieure et de la
vie
sociale, passionnent la multitude des esprits jeu
e borne au plaisir de les conter, au profit de quelques évocations de
vie
moderne, qui rarement atteignent la valeur d’une
et semble pouvoir créer en Italie une intéressante littérature de la
vie
intérieure. Un de ces trois livres est dû à un éc
le frère idéal du protagoniste du Feu ? A-t-il vraiment joué dans la
vie
de d’Annunzio le rôle parfait que le frère idéal
t laide par moments. Mais la particulière conception esthétique de la
vie
, qui forme l’originalité, sinon l’étrangeté, de M
ironnante ». La vision entièrement, et profondément, subjective de la
vie
est parfaitement comprise par M. Angelo Conti. Il
t parfaitement comprise par M. Angelo Conti. Il comprend aussi que la
vie
n’est que le jeu perpétuel des aspirations et des
complètement au point de vue psychique, il doit pouvoir considérer sa
vie
en deux phases bien distinctes, dont la première
trouble sur la suivante ; il a dû réunir dans la première étape de sa
vie
toutes ses faiblesses, pour mieux les haïr, et gr
mplacable qui dure entre les deux forces, celle qui évoque et crée la
vie
et celle qui administre la mort », Spencer procla
son amour, ni celle de sa réputation attaquée pendant un moment de sa
vie
avec une terrible violence, ne peuvent ébranler s
enthousiaste et clair où l’auteur suit son « héros » pendant toute sa
vie
: il est enrichi de nombreuses reproductions et d
i seul toute l’ivresse. Il put fixer une telle impulsion de fureur de
vie
, que le sens orgiastique des hommes, fort de lui-
umaine, défièrent les dieux et l’impériosité occulte et suprême de la
vie
. Les hommes, éloignés de l’ivresse du dieu captif
omme l’exaltation de toutes ses forces réunies en un seul faisceau de
vie
, en un seul flambeau de désir et de puissance, l’
pitié, qualité féminine et vile, avait détruit le sens héroïque de la
vie
. Euripide, qui faisait couler des larmes, fut app
as obéir à la Volonté du Père. Il agissait de par sa conception de la
vie
et selon les lois de sa personnelle nécessité. Et
que de la Tragédie était perdu. Ainsi, lorsque Shakespeare regarda la
vie
avec son terrible regard de souffrant qui connaît
temps. Or Goethe écrivit un poème superbe, dans lequel une vision de
vie
, rapide et synthétique, est exprimée sous des nué
héros de l’Occident au xixe siècle. Il comprit toute la vanité de la
vie
et la stupidité de la mort. Il se lança d’un bond
ant les caractères des trois manifestations émotives suscitées par la
vie
et par l’art. La Tragédie n’est pas, comme le vul
e croire2.Le pathétique est dû au choc violent et désharmonieux d’une
vie
, individuelle ou collective, lorsque ce choc se p
des dramatis-personæ, et toute l’action, qui comprend des milliers de
vies
, ou quelque « vérité » éternelle dans sa catastas
sives et farouches, lamentables devant les deux immenses pivots de la
vie
occidentale : la volonté d’amour et la peur de la
ar la guerre : miracle du sang et de la destruction qui renouvelle la
vie
. Or, la nécessité de la vengeance est l’âme de l’
Fatum n’était qu’un prétexte à justifier toute leur féroce volonté de
vie
, comme la volonté du Seigneur des Chrétiens ne fu
eptèrent donc la Comédie qui reproduisait toute l’extériorité de leur
vie
superficielle, de leurs rapports d’individu à ind
s qui se rencontrent, se prennent et se repoussent, s’abîment dans la
vie
ou dans la mort. La souveraineté de l’Inconscient
s luttant, souffrant, dans le crépuscule rouge des religions et de la
vie
de l’âme. Il a créé Brand, merveilleux poème de l
de l’art, de l’art pur et orgueilleux, qui connaît son rôle devant la
vie
universelle, la vie des instincts, et devant « l’
ur et orgueilleux, qui connaît son rôle devant la vie universelle, la
vie
des instincts, et devant « l’évolution humaine »
ire. Chacune de ses pièces est une oraison en faveur d’un principe de
vie
, et une critique cinglante de toute la mort qui,
parmi des cris de bataille dans celle que nous appelons la mer de la
vie
. La superbe ivresse d’Edgar-Allan Poe fut toute f
. Nous retrouvons chez Maeterlinck la pauvre créature fouettée par la
vie
comme Maleine, Ophélie ou Juliette ; la fureur ja
étiques et rares, d’où l’homme se lance résolument vers la joie et la
vie
ou vers la douleur et la mort, il s’est servi tec
ces drames immobiles. Avec la réalisation contemporaine d’un acte de
vie
si intense obtenu par le minimum du mouvement, da
du mouvement, dans son drame simple, Maurice Maeterlinck a ouvert une
vie
nouvelle et large à notre subtilité psychique. Le
ale dans l’ensemble d’harmonies ou de désharmonies qui constituent la
vie
d’un homme et d’un monde. Il faut que le dramatur
qu’agir ainsi. Et les personnes du drame seront tellement grosses de
vie
que leurs gestes seront lents et synthétiques. En
aveugle et folle et partant sublime, à travers tous les champs de la
vie
, les harmonies et les désharmonies particulières
à faire de la littérature avec quelque triste et banal épisode de la
vie
collective pris dans tout ce qu’elle a de plus ép
e la vie collective pris dans tout ce qu’elle a de plus éphémère : la
vie
de l’individu. — Le dramaturge-poète, celui qui f
pirations qui sont les plus éloignées de la surface tempétueuse de la
vie
, celles qui trament, presque dans l’occulte, c’es
ui, en représentant en images les événements et les aspirations de la
vie
d’une multitude grossièrement engouée, influença
cosmogonie et morale, c’est-à-dire religion. La représentation de la
vie
humaine dans ses plus belles significations de so
véritable découverte. On y conserve, malgré les transformations de la
vie
moderne, de vieilles églises curieuses comme Sain
urs inconnues de la folie, l’autre dans la plus farouche misère. Leur
vie
, en tout dissemblable, nous présente aujourd’hui
sonnels de chaque artiste. La folie et la misère guettent toujours la
vie
d’un poète libre, d’un artiste épris uniquement d
ne vague réunion d’esprits ardents, noblement désintéressés devant la
vie
et violemment passionnés devant leur art, les « G
ée, comme de l’autre Kokodé, des strophes resteront. Et en réalité sa
vie
n’a pas été plus vaine que celle de maints poètes
inale et philosophique à ses extraordinaires facultés d’esthète, à la
vie
de belle et cohérente élégance italienne qu’il s’
es qui séparent le Nord et le Midi de l’Italie, ceux de la Sicile, la
vie
des paysans méridionaux, le socialisme, l’éducati
i peuplent la péninsule. Lorsque l’unité italienne, nivelant toute la
vie
particulière et intéressante des régions au même
, simple dans la fable, mais se compliquant naturellement de toute la
vie
d’un peuple. Mme Deledda ne possède pas les quali
e nomme étranger. Heures, je vous veux perdre à lentement songer ! Ma
vie
est engluée à vos senteurs, Yeuses ! XIV Hé
rement le souci amoureux et éclairé des Italiens dans l’étude de leur
vie
ancestrale. J’ai dit ailleurs comme cette étude p
Dans son effort vers un art vraiment national, dont les principes de
vie
seraient engendrés par une multitude d’artistes,
ssant d’un éclat particulier, tout rayonnant d’une volonté féconde de
vie
, d’une profonde joie de vivre, et qui connut les
mporad, Florence De M. Gaetano Imbert paraît un beau volume sur la
Vie
Florentine au xviie siècle. Le volume est illust
ue, impitoyablement savante, de la société telle qu’elle est, de « la
vie
telle qu’elle est, de l’homme tel qu’il est », se
, de l’homme tel qu’il est », selon l’aspiration même de l’auteur. La
vie
y est étudiée par un sociologue vraiment philosop
qui dans le monde moderne a créé presque tous les raffinements de la
vie
, depuis la cuisine jusqu’à la mode. Mais, au cont
autour de moi toutes les forces de l’histoire ; j’avais le sens de la
vie
complète des nations ; il me semblait arriver ave
intervenaient, de lui assurer une rente assez large pour le mettre sa
vie
durant à l’abri de tout besoin. Cette proposition
mpagnon, qui soit en même temps un guide idéal dans les chemins de sa
vie
assoiffée de savoir, il forme de tous ses désirs
grande et plus parfaite, au milieu des hommes, et au-delà même de la
vie
des hommes. Oméro, le vieux vagabond, fort comme
vont vers la guerre et de ceux qui vont vers l’amour. Leur volonté de
vie
est tellement intense que rien n’arrêtera la fata
ne ami, Duccio della Bella. Et celui-ci connut mille morts, connut la
vie
de la capitale, les déboires et les révoltes, le
d’une femme, la fille de l’homme tué, qui ne pardonnait pas. Toute la
vie
se concentrait dans l’Urbe, pour entraîner dans l
joie, Duccio della Bella, le jeune homme qui avait voulu connaître la
vie
, qui était parti avec son rêve pour vivre avec in
della Bella finit par l’amour, Oméro, le vagabond, le chemineau de la
vie
, quitta le couple heureux, car, dit-il, sa missio
commune, vers Rome. Elles deviennent des éléments dramatiques dans la
vie
complexe de la métropole. Mais elles portent dans
nscience assez sûres du temps du divin Poète Catholique, il évoque la
vie
de plaisirs du jeune homme, et l’ascension sublim
Vérité), de M. Giulio de Frenzi, contient au contraire une vision de
vie
contemporaine, qu’une philosophie alerte et clair
rfection de beauté que les mœurs rapaces et toutes les vilenies de la
vie
commune abîment toujours. En vérité, au fond de t
ceux-là, manqués, bâtards qu’il nous faut à présent, sous peine de la
vie
, clore. Histoire. G. Ferrero : Grandeur et Déc
re révolution romaine que M. Ferrero restitue, en un tableau plein de
vie
, au moment où la signification psychologique et p
heureusement en second, Cassius, l’énergique épicurien, qui trouve la
vie
bonne et qui a bec et ongles. Cicéron, heureux de
vre de plus en plus la très grande portée. C’est par eux que toute la
vie
extérieure, tous les aspects des choses et toutes
l’écrivain. Toute tentative d’expansion « objective » est vaine ; la
vie
montre son unité, son harmonie infaillible et glo
tique, c’est-à-dire la compréhension particulière, personnelle, de la
vie
, était toujours en éveil chez Stendhal ; par cela
ibilités identiques les événements qui remuaient contemporainement la
vie
politique et intellectuelle de la France et de l’
Elle est ainsi conçue : Fragments refusés par l’imprimerie
Vie
de Pie VI de Pie VII
i cela s’appelle Miettes ? Est-ce que ce sont les menus détails de la
vie
honnête qui retiennent l’héroïne sur le sentier d
erbis sanctissimi patris nostri Francisci, qu’on appelle la « seconde
vie
» écrite par lui « est peut-être le chef-d’œuvre
le moine Thomas aurait voulu arranger définitivement en composant une
vie
de saint François sur commande, jubente dimono et
après l’énorme documentation sur laquelle M. Paul Sabatier a bâti sa
Vie
de saint François, et qu’il a puisée autant dans
nt créé. Il est indestructible, car il fut le Précurseur-Poète, et la
vie
des Poètes est faite de rêves, et les rêves n’ont
la figure idéale de la personne qu’il doit éterniser. En composant la
vie
de saint François sur les anecdotes de la vie des
rniser. En composant la vie de saint François sur les anecdotes de la
vie
des autres héros de l’Église, il nous témoigne qu
ue scientifique porte surtout sur les personnages littéraires dont la
vie
peut être facilement généralisée à des phalanges
aire de l’art scientifique, ce qui veut dire : voir et représenter la
vie
à travers la plus incertaine des certitudes, la m
emande qu’à s’effacer pour la gloire de l’homme auquel elle a voué sa
vie
. Le troisième personnage est le grand anneau de c
août 1906, p. 593-597 [593-596]. H. Thédenat : Pompéï, I. Histoire,
Vie
privée ; II. Vie publique ; collection des « Vill
-597 [593-596]. H. Thédenat : Pompéï, I. Histoire, Vie privée ; II.
Vie
publique ; collection des « Villes d’art célèbres
st possible d’étudier les dispositions anciennes, où l’on retrouve la
vie
au jour le jour, les habitudes, les professions,
l’orfèvre Verrocchio, naquit en 1435 à Florence, où il passa toute sa
vie
jusqu’au jour où il fut appelé à Venise en 1483 p
prendrait toujours. Quel avantage ce fut pour Léonard de commencer sa
vie
en sachant tout ce qu’avait appris Verrocchio ! C
chant tout ce qu’avait appris Verrocchio ! Ce ne fut pas trop de deux
vies
successives pour atteindre à l’idéal de la Cène,
s plus vaste d’un état général des esprits. Ne pouvant pas résumer la
vie
dans une vision immense, ils renvoient exactement
puissant talent arrive à retrouver dans une attitude quelconque de la
vie
, la signification éternelle que même le plus bana
tion est parfaite. M. Pasquale Gatti a dû vivre quelques heures de la
vie
de Léopardi. Il a dû reconnaître dans quelques si
n être malheureux, perpétuellement blessé par le spectacle même de la
vie
, apparaît comme une sérénité, comme une sagesse.
L’Histoire a révélé au poète la stérilité douloureuse de l’effort. La
vie
se perpétue en s’anéantissant sans cesse. Cette p
mière assez brutale sur la plupart des acceptions sentimentales de la
vie
de son temps et du nôtre, mais tout le système lé
n s’en vient à un rendez-vous d’amour. À son retour, il retrouvait sa
vie
prosaïque, un pays qui lui semblait laid, les séc
er avec verve son Histoire de la Peinture. Ici, comme partout dans la
vie
de Stendhal, c’est une bonne fortune qui explique
t aussi mondain, élégant, et homme à la mode, qu’à cette époque de sa
vie
, — qu’il menait de front plusieurs intrigues très
s. Il cherche une occupation pour fuir l’ennui, le grand effroi de sa
vie
, et se rappelle alors l’œuvre abandonnée : … Ce
de circonstances tout extérieures vînt lui donner une seconde fois la
vie
. Le livre, commencé jadis dans la fantaisie désœu
nous en connaissons, il lui restait seulement à faire la moitié de la
vie
de Michel-Ange. Mais cette collection de morceaux
dont l’histoire est si agitée, devait subir le contrecoup de toute la
vie
de Stendhal, il lui arriva vers ce moment de chan
en. Tout autre succès littéraire lui semblerait froid et insipide. Sa
vie
entière, il a travaillé à une comédie, dont les é
comment Raphaël a touché les cœurs », car « il est petit de passer sa
vie
à dire comment les autres ont été grands 33 ». Il
les révolutions et les guerres eurent une singulière influence sur la
vie
de ce livre ; ils l’arrêtèrent et le remirent en
st capricieuse, et le jouet du hasard, à l’image de Stendhal et de sa
vie
. Et, comme il convient, on y trouve des noms de f
Europe, qui offre un phénomène analogue à celui de l’Italie. Toute la
vie
industrielle est absorbée chez elle par Bilbao, B
férences de tempérament et de conception sont la condition même de la
vie
, de la poussée, du cheminement continu. L’uniform
nes officielles et de la corruption publique. Pour qu’elle vive d’une
vie
nouvelle, il faut que la Péninsule soit purgée de
auration qui ne pouvait réussir qu’à demi rempliront toute la seconde
vie
d’Octave et seront la tragique rançon de sa fortu
ique, vers la compréhension hautainement douloureuse et joyeuse de la
vie
en particulier et de l’Être en général. Cette ten
plus noble, bien plus hautaine attitude devant les persécutions de la
vie
et devant lui-même. L’être vraiment supérieur est
n autre homme possède, parce qu’il juge que son rêve vaut plus que la
vie
de sa victime. Un banquier en faillite aurait pu
ux, une auberge de mort, une gaine de corruption et il ne conserve sa
vie
que par la mort d’autres créatures”, mais il proc
“Comme une journée bien remplie nous prépare un paisible sommeil, une
vie
bien employée donne une douce mort.” Il ne suppor
je dois te porter, ensuite parce que tu sais abréger ou prolonger la
vie
des hommes.” M. Péladan conclut en ces termes ;
ité d’être héroïques, nous ne sommes plus des héros ; nous vivons une
vie
apparemment plus paisible, quoiqu’on ait soigneus
l’amour, la jeune fille s’aperçoit bientôt que Massimo occupe dans sa
vie
une place énorme ; et lorsque, sans aucun espoir
t, les hommes, les passions et la société, selon le dernier mot de la
vie
parisienne. Cela veut dire qu’il se rend impossib
e le jette brusquement, trouve son oasis, l’amour pour son enfant. La
vie
et la mort de cet enfant sont presque tout le rom
onde, de l’avenir ; il reprendra sa femme, il traversera avec elle la
vie
lourde et inutile, parce qu’il faut bien vivre d’
m’attends à de belles et fortes choses de lui : il est résolu dans sa
vie
, sincère dans son œuvre, indépendant et presque f
des déclamations larmoyantes. Au contraire, l’auteur a choisi, de la
vie
du chef socialiste, les épisodes passionnels, et
isément cet amour mystérieux avec mademoiselle Donniges, qui coûta la
vie
à Ferdinand Lassalle. On retrouve dans la pièce c
illustres en bon nombre d’autres villes ont parlé copieusement de la
vie
et de l’œuvre de Zola, pour se trouver tous d’acc
dit, pour rester d’accord, à mon tour, avec tous ces historiens de la
vie
d’hier ; mais je trouve un plaisir infini dans la
ites villes qui vécurent au moyen âge et pendant la Renaissance d’une
vie
si intense, si ardente ! Elles ont gardé presque
ire avec tolérance, nous n’en demandons pas davantage. Donnez-nous la
vie
, rien que la vie, la vie toute nue et toute froid
e, nous n’en demandons pas davantage. Donnez-nous la vie, rien que la
vie
, la vie toute nue et toute froide, monsieur le bo
n’en demandons pas davantage. Donnez-nous la vie, rien que la vie, la
vie
toute nue et toute froide, monsieur le bourreau.
: on rejette presque tout l’ensemble des faits qui se rattachent à la
vie
du Dante. On ne savait déjà pas grand’chose, main
chio rassemble une série de poèmes inspirés par la campagne et par la
vie
des humbles qui peuplent les villages de la Tosca
umière, en quête de mots vifs et descriptifs. Il sait exploiter cette
vie
naïve, il goûte les rythmes populaires, il étudie
tre poésie. Cette vision profonde de l’univers, de ses avatars, de la
vie
et de la mort, est digne de Shelley. Tome XL
que nous possédions sur le xviiie siècle ; ils sont l’histoire d’une
vie
unique, d’une personnalité unique, une des plus g
its à leur imitation. Ils racontent l’histoire d’un homme qui aima la
vie
passionnément et pour elle-même ; pour qui la fem
se souvient maintenant que parce qu’il a écrit le récit de sa propre
vie
, était de cette rare espèce d’autobiographe qui n
x, en Bohême, le 4 juin 1798. Durant les soixante-treize années de sa
vie
il voyagea, comme nous l’apprennent ses Mémoires,
caire à Dux. Il accepta, et passa les quatorze dernières années de sa
vie
à Dux, où il rédigea ses Mémoires. Casanova mouru
éditeur Brockhaus, de Leipzig, un manuscrit intitulé : Histoire de ma
vie
jusqu’à l’an 1797, tout entier de la main de Casa
te ans, on sut que Casanova vécut les quatorze dernières années de sa
vie
à Dux, qu’il y écrivit ses Mémoires et qu’il y mo
ordeaux et Bayonne3. Occasionnellement, on jette un coup d’œil sur sa
vie
journalière à Dux, comme dans cette note, griffon
prosélytes d’impiété, n’a pas bonté, étant réduit à l’extrémité de la
vie
, de demander les sacrements, et de mettre sur son
3 Xbre 1793, jour dédié à sainte Lucie, mémorable dans ma trop longue
vie
». Un énorme paquet, contenant des cryptogrammes,
oisième Préface. Il y a aussi un bref et caractéristique Précis de ma
vie
, daté du 17 novembre 1797. Certaines de ces pages
de chair ronde, et presque imperceptible. Ce fut le seul moment de ma
vie
dans lequel j’ai connu avec évidence la véritable
e datée de Varsovie, 19 mars 1766, et citée par Ernesto Masi, dans sa
Vie
d’Albergati, Bologne, 1878. Un manuscrit de la ma
de Manon Baletti et que c’est à elle qu’il est fait allusion dans le
VIe
volume des Mémoires. Nous y lisons (page 60) comm
missives, promettant qu’elle « les conservera religieusement toute sa
vie
». « Ces lettres étaient au nombre de plus de deu
ata à son tour, en une quarantaine de lettres, toute l’histoire de sa
vie
. « Si elle meurt avant moi, j’ajouterai ces lettr
ze ans est aussi prodigieuse que l’activité qu’il dépensa à vivre une
vie
multiforme et inénarrable. Comme dans la vie tout
u’il dépensa à vivre une vie multiforme et inénarrable. Comme dans la
vie
tout ce qui vivait l’intéressa, de même, dans sa
directions ses facultés qu’il se retourne pour jeter un regard sur sa
vie
passée et la revivre dans sa mémoire tout en narr
ns le tome Ier de La Vogue, pages 100 et suiv., parut le Précis de ma
vie
, publié complètement pour la première fois. Tome
s de l’Alpe et de la beauté morale aussi bien que physique de la dure
vie
de tout ce qui vit là-haut, l’homme et l’arbuste,
château des idées. À l’heure même où le poète inspiré des Anges de la
vie
et des Mauvaises mères s’en allait, sans s’en dou
t la couleur et le grain de la carnation, mais comme la chaleur et la
vie
de l’haleine ; il y a dans ces yeux la résignatio
iaux qui stylisent en beauté les plus humbles acteurs de la plus rude
vie
… Tout y est ennobli par cette facture même ; et l
anés que leur race… Tout ici déborde de santé et a la fraîcheur et la
vie
chantante des torrents de montagne. De nouveau ce
us haut qu’il faille reprendre. Parmi les plus belles œuvres selon la
vie
que le maître avait produites pendant l’heureuse
upation domine peu à peu toutes ses pensées. Il sait qu’il a coûté la
vie
à sa mère, qu’elle ne s’est jamais remise de lui
e de lui avoir donné le jour, et partout autour de lui il surprend la
vie
naissant de la mort. N’est-ce pas la maternité qu
comme l’Ave Maria ? Bientôt le thème de la Madone, de la Mère, de la
Vie
va rejaillir sous une autre forme. Le simple mond
iemment aux mêmes endroits, voici qu’il épie les menus mystères de la
vie
qui renaît, et qu’il a tout le loisir d’y réfléch
nchevêtrement de pensées auxquelles s’adonne Segantini : l’Ange de la
vie
. Extérieurement, ces représentations sont comme a
umain l’intéressent moins que la poignante épopée de la lutte pour la
vie
qui en est la suite, moins que le drame final don
Foi réconfort de la Douleur parlent si éloquemment. Dans l’Ange de la
vie
, la mère réchauffant le petit rejeton toujours pr
n purgatoire dantesque, que suggérait à Segantini le décor même de sa
vie
, les luxurieuses et les infanticides, toutes cell
l’éternel mythe de la nature, tour à tour mère et marâtre, donnant la
vie
et la mort, et captive de son crime de mort jusqu
de son crime de mort jusqu’à ce qu’elle l’ait expié par une nouvelle
vie
. Mais la peinture doit se passer d’explication, d
image des dolentes apparitions qu’amène la bise sifflante, l’arbre de
vie
— sur lequel séjournait autrefois l’Ange de la vi
flante, l’arbre de vie — sur lequel séjournait autrefois l’Ange de la
vie
, — le nœud de serpents noirs de ses ombres rabatt
èse totale des hivers alpestres de Segantini. Et ce nouvel Ange de la
vie
, endeuillé de tous les voiles noirs des remords e
éâtre de clarté, d’amour et d’enchantement. L’Amour à la fontaine de
vie
n’est pas une réédition du thème qui a préoccupé
vons passé, presque sans nous y arrêter, sur le sol de la Fontaine de
vie
qui, tout entier, est une merveille ? Et maintena
res. On sait le reste : il s’attelle au triptyque de la Nature, de la
Vie
et de la Mort… Et la mort l’y attend et le happe…
rait être envisagé, en attendant que les Albanais sachent vivre d’une
vie
indépendante et pacifique. Tome CXIII, numéro
oici l’argument : 1° Origine physique de l’émotion esthétique ; 2° la
vie
fragmentaire, ultrarapide et prismatique, milieu
ve au contenu variable de l’intelligence et aux transformations de la
vie
extérieure, n’est pas immuable. Les grands événem
la vapeur et la découverte du magnétisme, cette force initiale de la
vie
, la vie intellectuelle et sociale entre dans une
ur et la découverte du magnétisme, cette force initiale de la vie, la
vie
intellectuelle et sociale entre dans une ère nouv
surtout pour les personnes « instruites », c’est qu’à cette nouvelle
vie
intellectuelle et sociale puissent correspondre u
au et l’expression de cette idée ne peuvent qu’être relatives à notre
vie
intellectuelle et sociale et par conséquent à not
us apprennent à regarder les phénomènes dans leur finalité qui est la
vie
, et nous expliquent cette vie selon les lois cosm
hénomènes dans leur finalité qui est la vie, et nous expliquent cette
vie
selon les lois cosmiques, physiques et chimiques
se, mais l’effet, la finalité, et nous rattachons cette finalité à la
vie
universelle. L’artiste, en s’ajoutant à la nature
que, en accord avec cet idéalisme qui a ses racines profondes dans la
vie
de la matière, nous la trouvons, à son commenceme
érale à voir le monde extérieur selon un nouvel idéalisme basé sur la
vie
de la matière, et à exprimer cet idéalisme par un
t notre intelligence perçoivent et dirigent ces forces constituant la
vie
de l’objet. La tendance qui caractérise les peint
lle d’exprimer une synthèse de ses forces combinées ; c’est-à-dire la
vie
ou mouvement de l’objet à son maximum d’intensité
e, est une continuité. Analyser cette continuité signifierait tuer la
vie
de l’objet, arrêter son mouvement, le diviser en
f. Mais ce mouvement scientifique n’est pas le dynamisme universel ou
vie
. On a souvent confondu ces deux mouvements : le m
omme constitue, comme je disais plus haut, son mouvement universel ou
vie
. Cette opération de l’esprit est une analyse qual
it revenir au sujet, est dans notre psychologie une conséquence de la
vie
moderne, et une conviction éthique. Mais cela n’i
currence continuelle de formes et de couleurs établit un mouvement ou
vie
subjective. Évidemment, s’il y avait équilibre da
ans cette concurrence, la peinture serait statique, c’est-à-dire sans
vie
, et alors inexistante. Ce n’est pas le cas de Pic
forme pour la forme ». Cela implique une compréhension païenne de la
vie
, parallèle à la contemplation de la forme pure de
état d’émotion-création par une œuvre moderne frémissante de la même
vie
que nous vivons. L’artiste d’aujourd’hui n’est pa
, le rêveur païen ou chrétien ; il doit avant tout vivre, et c’est sa
vie
physique, la vie de tout l’Univers, qu’il renferm
ou chrétien ; il doit avant tout vivre, et c’est sa vie physique, la
vie
de tout l’Univers, qu’il renferme dans son œuvre.
, nous nous exprimons par des formes synthétiques inspirées par notre
vie
spirituelle ou intellectuelle plutôt que par la r
ue totalement disparu. Notre Universalité dérive du sens direct de la
vie
que nous possédons par la science et la philosoph
eux termes de la comparaison : Danseuse-mer, renfermant le maximum de
vie
universelle. L’analogie n’est pas une généralisat
ne nécessité ce qui n’est peut-être qu’une direction. Cependant notre
vie
intensive et extensive exigeant de plus en plus d
autonomes des grandes étendues de l’Univers. Nous avons déjà dans la
vie
extérieure des mots réduits de moitié ou fondus a
quoi les troupes débarquées en Albanie n’ont-elles pas donné signe de
vie
? Pourquoi ne met-on pas en pratique notre adhési
sournoise campagne de ceux qui gémissent sur le renchérissement de la
vie
, sur l’incapacité du gouvernement à arrêter la sp
deux pays et de la mainmise incroyable de l’activité allemande sur la
vie
nationale. Ainsi des centres comme Gênes, des rég
disparate que la précédente. Moins sentimentale, moins penchée sur sa
vie
intérieure, plus sportive, plus robuste, elle a u
douleur et une obscure conscience à la disparition de tant de chères
vies
et au bouleversement des richesses et des idées d
impatience de marcher l’étreint, d’agir lui-même, de participer à la
vie
de la nation, peut-être mieux, de sa région où il
derne. Et tant pis si l’esthète est troublé par des manifestations de
vie
un peu tumultueuses. Je me rappelle la surprise i
par le seul fait de renseigner avec continuité et impartialité sur la
vie
intellectuelle et matérielle des deux pays. T
été prépondérante et oppressive sur l’enseignement et surtout dans la
vie
économique et dans l’action politique. Il faudrai
sienne. Il se mêle en journaliste (il correspondait à La Stampa) à la
vie
allemande durant deux années des plus importantes
ant empêchés par le non expedit, prennent part depuis des années à la
vie
politique. Il est notoire que Pie X avait prêté à
son œuvre la plus importante, l’œuvre compréhensive et décisive de sa
vie
, écrite après de longs mois de méditation, sur so
et de luxe au soleil du printemps, qui est toujours le même ?… Et la
vie
continue, attachée à ces mêmes ruines, enfoncée d
serons ceux qui auront manqué leur destinée. Entre mille millions de
vies
, il y avait une minute qui nous destinée ; et nou
sation que la guerre ne changera rien aux choses essentielles : cette
vie
, cette terre sont immobiles, les civilisations on
icile et provisoire que la balle autrichienne qui le tua fut, dans sa
vie
si pure, la seule conclusion digne de sa douleur.
abstraction philosophique et psychologique. Il analyse et raisonne sa
vie
intérieure moment par moment : il accouple volont
as de politique transcendante, la curiosité du reporter qui saisit la
vie
, le pittoresque des tableaux, le trait, l’anecdot
ouleux que traversa l’Italie à l’heure de la décision suprême. La
Vie
anecdotique Guillaume Apollinaire. Tome CXVII,
’il ne considère que ses « manifestes » sont l’œuvre importante de sa
vie
. Il y excelle, en effet. Et s’il lui plaît, qu’il
notones, tranquilles, pédestres, manquant d’imprévu et viles. Dans la
vie
citadine, il manque l’atmosphère de danger, la ta
icieuses, démontables et désagréables. Nous voulons les voir vivre la
vie
magique et caméléontique, crouler et renaître, ch
res, esthétiques ou autres, qui ont présidé au développement de notre
vie
intellectuelle, n’auraient-elles plus aucun pouvo
arrive même d’attribuer à une nouvelle conception des faits ou de la
vie
ce qui est simplement l’effet d’un contraste entr
ilitaire, et cela se comprend, son œuvre étant toute en reflets de la
vie
intérieure sur le miroir terni du réel. Il est de
uleur, l’expérience de l’anxiété sont des nécessités intérieures ; la
vie
n’aurait aucun intérêt pour eux si les doutes et
ne signification plus haute aux harmonies ou aux dissonances de notre
vie
intérieure : d’ailleurs n’est-ce pas une plus gra
rouver en présence de l’infini, s’il veut le sonder, ou en face de la
vie
, s’il veut en approfondir le sens. Ce qui est moi
e ? Il savait de quelles splendeurs rayonnent de telles âmes quand la
vie
les contraint à l’humiliation de soi, il leur a d
es plus douloureux dont un esprit religieux ait connu la hantise ? La
vie
réelle, les croyances qu’elle trouble, le doute,
e ; ils agissent, ils commandent ou obéissent suivant la loi de cette
vie
terrestre, obsédante par ses contrastes, mais on
de songe et de mélancolie ; ils le subissent dans l’action, mais leur
vie
intérieure sait le parer de voiles à larges plis
sante du soir, toutes ces images éveillent dans les profondeurs de la
vie
intérieure des vibrations multiples, et c’est à e
t alors que nous comprenons mieux, parce que nous la vivons moins, la
vie
telle qu’elle est ; cette solitude permet aux esp
deux êtres les plus belles significations : l’amour, reflet que notre
vie
intérieure projette sur la réalité comme pour en
ts. — C’est une réaliste. Entre deux êtres aussi différents, par leur
vie
intérieure, que Luisa et Franco, le heurt devait
al ? Peut-être, suivant un mystique ; mais Luisa ne le pense pas : la
vie
est plus belle, pour qui en cherche le sens, que
caractère de ses deux personnages, la différence qui existe entre la
vie
agissante et la vie contemplative. Et, sans doute
ux personnages, la différence qui existe entre la vie agissante et la
vie
contemplative. Et, sans doute, a-t-il voulu démon
que son influence sur ceux d’entre nous qui n’aiment pas seulement la
vie
telle qu’elle est, et voudraient qu’elle fût plus
talien d’aujourd’hui ressent de profond ou de subtil au contact de la
vie
. Il y a trop de couleur dans le langage de d’Annu
primé une manière de penser et d’agir qui ne ressemble nullement à la
vie
moderne, et aux sentiments qu’elle nous inspire.
derne, et aux sentiments qu’elle nous inspire. M. d’Annunzio peint la
vie
moderne telle qu’il la sent. C’est son droit. — H
tresse se tordrait, — ou elle s’inquiéterait de votre état mental. La
vie
moderne ne comporte pas le ridicule à toute heure
it admiré profondément le peuple japonais : il a étudié le sens de la
vie
politique de ce petit peuple et loué sans réserve
ntretenir les nations et les hommes dans un coupable optimisme ! « La
vie
des peuples, écrit-il, est un drame et non pas un
outes les classes. Le mépris de la mort est le plus grand facteur de
vie
, dit M. Enrico Corradini, — à une condition, c’e
riait, après la mort de ses deux fils tués dans une bataille : « Leur
vie
n’était rien en comparaison du but à atteindre »,
ècles futurs. Voilà où est la vertu de l’homme, et la puissance de la
vie
apparaît seulement en ces vastes constructions d’
t acte de courage et son résultat, Tito cherche à la combler toute sa
vie
. C’est son effort à la fois inutile et si noble q
Tome CXVIII, numéro 443, 1er décembre 1916, p. 528-534 [534]. […] La
Vie
(novembre) : « Ode à l’Italie », par Louis Mandin
s Italiens, des Orientaux, n’eut d’allemand que certains traits de sa
vie
extérieure et la symbolique du Faust ; l’autre, j
certaine influence sur l’opinion publique. Donc, si nous examinons la
vie
intellectuelle italienne durant la période la plu
éroïques de volonté tenace, active, avaient fait le sacrifice de leur
vie
pour refouler l’ennemi, et ceux qui, patients, on
ent panthéiste très spontané, qui vibre harmonieusement avec toute la
vie
de la nature, et s’émeut au centre même de la vie
ement avec toute la vie de la nature, et s’émeut au centre même de la
vie
, devant les visions isochrones de l’âme humaine,
prime au contraire dans une prosodie rapide, libre, vigoureuse, où la
vie
humaine et la vie végétale se fondent joyeusement
dans une prosodie rapide, libre, vigoureuse, où la vie humaine et la
vie
végétale se fondent joyeusement dans la vision de
umaine et la vie végétale se fondent joyeusement dans la vision de la
vie
universelle. Le volume des Poesie edite e inedite
. Ici il n’y a pas d’affirmations trop grandes sur la solennité de la
vie
, ni de négations trop radicales sur la vanité des
e des contrastes, des analogies, des innombrables parallélismes de la
vie
, qui à nos esprits de transition, nouvellement ou
vous-mêmes, Bénie soit votre Mémoire ! À nous, fils, maintenant Notre
vie
: nous voulons être nous-mêmes ! Annibale Pas
seulement un exégète aigu, et en tous points digne de l’apôtre de la
vie
« la plus intensive et la plus extensive », mais
ns le cœur même de la philosophie. Car la philosophie doit vivre deux
vies
: la vie du sentiment et la vie de la raison. Ave
même de la philosophie. Car la philosophie doit vivre deux vies : la
vie
du sentiment et la vie de la raison. Avec Guyau d
. Car la philosophie doit vivre deux vies : la vie du sentiment et la
vie
de la raison. Avec Guyau devait commencer une rév
’où s’élève toute une vision métaphysique, esthétique et morale de la
vie
, tandis que l’autre, le penseur, n’est pas un cré
Léon Dorez pense en effet que Pétrarque est mort en travaillant à sa
Vie
de Cicéron, qui devait faire partie des Vies des
mort en travaillant à sa Vie de Cicéron, qui devait faire partie des
Vies
des Illustres. Une pièce de la Bibliothèque Natio
un martyr de son art. Frappé, en effet, à trente ans, au moment où la
vie
et la gloire lui souriaient, d’une attaque de par
ans et plus, en effet, l’artiste sommeille dans l’inconscience d’une
vie
entièrement végétative ; mais, peu à peu, son int
ue muet, a réussi à donner, pendant encore une vingtaine d’années, la
vie
de l’art à plusieurs milliers de dessins, plus be
s doivent sans doute être comptées parmi les plus belles œuvres de la
vie
parisienne, présentée dans son perpétuel mouvemen
ilège du Tacite on lit « que les grands écrivains sont la règle de la
vie
, la consolation du malheur et que la protection d
ui ignore celles de la science. Léonard répond : « La Vérité c’est la
vie
. » Il pourrait s’autoriser d’un texte sacré qui l
qui le justifierait. Saint Jean, dans sa page maîtresse, a dit : « La
vie
est la lumière des hommes. » Mais il a eu la tête
je dois te porter, ensuite parce que tu sais abréger ou prolonger la
vie
aux hommes (4), enfin parce que tu leur vends tou
: « Connaître Dieu, l’aimer, le servir et par ces moyens acquérir la
vie
éternelle. » Il nous donne à ce propos une belle
esprit comme l’air entoure notre corps et comme aussi nécessaire à la
vie
de nos facultés que l’atmosphère à celle de nos o
(200). » Aussi ne comprend-il pas qu’on veuille analyser l’âme et la
vie
: et cela lui ôte confiance dans les anciens en v
ar la voie la plus brève » (220). — « Dans la chose morte reste de la
vie
désagrégée, qui, absorbée par les estomacs des vi
sagrégée, qui, absorbée par les estomacs des vivants, redevient de la
vie
sensitive, et intellective. » L’expérience comme
te de l’ambition. « À ceux qui ne se contentent pas du bénéfice de la
vie
ni de la beauté du monde, il est imposé pour chât
é du monde, il est imposé pour châtiment qu’ils ne comprennent pas la
vie
et restent insensibles à l’utilité et à la beauté
éonardesque revient, toujours plus affirmatif : « Qui n’estime pas la
vie
ne la mérite pas. » Il a vu avec une lucidité sin
émence le fait pâtir sans cesse dans l’espoir de ne plus pâtir, et la
vie
lui échappe au moment où il espère jouir des bien
n’accomplis-tu pas une œuvre qui te donne, après le trépas, un air de
vie
parfaite, toi qui, vivant, deviens, par le sommei
ur qui la fin ne justifie pas le moyen, qui professe le respect de la
vie
sous toutes ses formes et le dédain des richesses
tu jugeras que c’est un crime de la détruire. Quel attentat d’ôter la
vie
à l’homme dont la composition se révèle à toi com
onstruit et ni par colère, ni par malignité, lu ne détruiras sa belle
vie
. Car c’est de mauvais gré, crois-le, que l’âme qu
ncienne sur la mort violente. Il estime, à plusieurs endroits, qu’une
vie
bien employée est toujours assez longue et rend l
rence ; on pourrait profiter du moment d’accalmie pour ordonner notre
vie
spirituelle et contenir chaque autorité dans sa r
stinct des animaux. La Divinité créatrice, l’immortalité de l’âme, la
vie
future, sa sanction paradisiaque ou infernale son
restiges de Klingsor. Un jour cette activité entrera comme un flot de
vie
dans le temple endormi et l’effort humain ramèner
uvre qui soulèvera la jalousie romaine ? Ce sage, sur le déclin de sa
vie
, a-t-il abdiqué sa splendide autonomie pour s’end
ffirmant la véracité de l’homme invraisemblable dont l’Histoire de la
vie
apparaît supérieure à tous les romans d’imaginati
périeure à tous les romans d’imagination, précisément parce que cette
vie
fut vécue et brûlée à tous les feux de la Saint-J
à notre émotion intellectuelle ou sentimentale, souvent aussi ont une
vie
particulière, une vie en soi, gracieuse et émouva
ectuelle ou sentimentale, souvent aussi ont une vie particulière, une
vie
en soi, gracieuse et émouvante comme dans les bon
. Dornstetter tr., Giard et Brière. — A. Beltramelli : Au seuil de la
vie
, Henry L. de Péréra, Hachette. — G. Urbani : Il R
ai passé devant toi jadis indifférent Ô Maître ! Ô Titien, plein de
vie
et de force, Mais ton Assomption, dans sa guirla
, d’un souffle puissant, anime, ici, les toiles, Prête, en outre, la
vie
au marbre avec éclat. Poète ! à Saint-Julien,
! J’eusse aimé vivre là quand naturellement L’Art coulait de la
vie
et quand le sentiment Du Beau dorait les cœurs
Que le réveil disperse en soudaine fumée !… XVII C’est la
vie
; elle nous abuse incessamment, Hélas ! et qu’avo
regretté Virgile Josz dans ses travaux sur les artistes français. La
vie
florentine sous les Médicis trouve en M. Gebhart
hal, et peut-être le plus curieux au point de vue de ses idées sur la
vie
et sur les mœurs. A-t-on remarqué que ces mœurs s
s de climat et de race ? Mais on comprend l’amour de Stendhal pour la
vie
que l’on menait à Milan, et, en lisant ce beau li
une substantielle introduction qui est une étude très complète de la
vie
et du caractère de Desaix. Cette belle figure de
s les croyons quand ils disent que tout s’y effrite et meurt. Tant de
vie
dans ce cavalier de bronze et un air si terrible
ale de Prato. Son dessin a de la souplesse. Mais, dans le cours de sa
vie
troublée, il n’a guère eu le temps d’étudier. Lor
, entretenir une lampe allumée devant le buste de Platon. Il passa sa
vie
à commenter la philosophie platonicienne et à tra
l finira par le Colleone. III Nous ne savons presque rien de sa
vie
. Il vécut à Florence et fit un voyage à Venise en
uissant dans l’art de donner à la pierre, au métal, l’apparence de la
vie
. Il représente une humanité qui connaît la souffr
était raide, conventionnel et banal. Verrocchio est plus complet. La
vie
lui semble à la fois dure et belle. Elle est un s
faut que le bronze ou le marbre s’animent et donnent l’illusion de la
vie
. Étudier la nature, modeler scrupuleusement ses f
à un seul genre de travail ». Il continue à peindre pendant toute sa
vie
. M. Marcel Reymond me paraît avoir mieux interpré
ntraire, sait que l’art est perfectible dans ses moyens d’exprimer la
vie
, la beauté. Eugène Müntz, que nous avons vu si in
anière son influence. Si nous ne savons presque rien de précis sur sa
vie
, nous pouvons, grâce à Vasari, essayer d’imaginer
fêtes du palais des Médicis. Sans doute, il n’était point sauvage. La
vie
lui plaisait par ses formes et par ses couleurs.
r en tous ces Francesco qu’un seul artiste, de lui prêter fort longue
vie
. Eusebio Ferrari nous est mieux connu. Son père B
azie son immense fresque en vingt-et-un compartiments représentant la
vie
du Christ. Dès lors il avait perdu tous les carac
rincipales qualités fut celle d’être, pendant la période virile de sa
vie
, un homme plein de dédain pour tout apparat offic
e la race méditerranéenne. Paris s’intéresse aux manifestations de la
vie
italienne. On applaudit dans la capitale moderne
ire de M. Robert Ardigò, « le plus illustre positiviste italien ». La
vie
de M. Robert Ardigò est très belle. Et il en impo
ncore si mystérieuse que le cerveau exerce sur tout l’organisme et la
vie
végétative. On doit à M. Ceni, professeur à l’Uni
préside aux manifestations les plus nobles et les plus élevées de la
vie
animale. Nous touchons là à une des questions les
aliens depuis Ciullo d’Acalmo jusqu’à Dante, avec la traduction de la
Vie
Nouvelle de Dante. Ce livre fut plus tard réimpri
e, avait dû fuir sa patrie en 1821, et, après avoir mené la misérable
vie
du proscrit à Malte et en Angleterre, s’était mar
actuelle. À cette conception étrange il ramenait toute chose dans sa
vie
; sans cesse il en parlait, et, comme, en dépit d
part de ses tableaux sont des évocations dantesques ; il a traduit la
Vie
nouvelle ; un de ses premiers poèmes décrit les j
Can Grande della Scala, et son œuvre la plus marquante, la Maison de
vie
, c’est, dit un critique, la Vie nouvelle continué
œuvre la plus marquante, la Maison de vie, c’est, dit un critique, la
Vie
nouvelle continuée. En dehors de cette initiation
ne pleure, Et ne parlez jamais de ceci. Que ce soit comme ce fut ! La
Vie
touchant des lèvres à l’Immortalité. Mais le ry
ce du divin poète, elle apparaît, dans toutes les circonstances de la
vie
humaine, comme l’unique inspiratrice, émanation d
découvraient quelque tare ou quelque défaillance. Pour parfaire cette
vie
tranquille et heureuse, il avait épousé en 1860,
’Athenæum, les calomnies perfides. Mais le coup était porté, toute sa
vie
Rossetti le ressentit, encore que le pamphlétaire
e, en fut publié, en 1887, chez l’éditeur Lemerre. C’est la Maison de
Vie
, dont quelques parties avaient été montrées en 18
suaves de la poésie grecque et de la poésie italienne. La Maison de
Vie
, c’est, à proprement parler, la Maison d’Amour. O
e, c’est, à proprement parler, la Maison d’Amour. Ou plutôt, Amour et
Vie
se confondent ; l’Amour est le secret de la Vie,
. Ou plutôt, Amour et Vie se confondent ; l’Amour est le secret de la
Vie
, il la crée, l’explique, la soutient et la perpét
t resserré ce serait une sorte de fétiche. » Le plan de la Maison de
Vie
n’est point délibérément établi. C’est un comment
ort est survenue et a brisé la coupe où se buvait toute la joie de la
vie
. La crainte et la tristesse ont tout envahi, jusq
ceci dans un seul doux gonflement du sein, Ce qui est la fleur de la
vie
: — quelle chose étrange ! Quelle chose étrange
-née. Aujourd’hui la Mort me paraît un petit enfant Que, lassée, la
Vie
, sa mère, sur mon genou A posé pour qu’il devienn
es, Et où je boirai dans le creux de ta main ? SONNET Et toi, ô
Vie
, dame de toute béatitude, Avec qui, quand notre p
aiser Tandis qu’aux vents nous jetions toute pensée de la Mort, — Ah,
Vie
! et ne dois-je avoir de toi à la fin Aucun souri
son frère, de quelques amis, le dimanche de Pâques, 9 avril 1882. Sa
vie
se dresse comme un témoignage rare de dévouement
e sur les coteaux. Sous l’influence de saint François, c’est toute la
vie
en effet qui entre dans le domaine de l’art et le
indomptable de son grand talent se butèrent aux écueils rouges de la
vie
collective simplement patriotique ou vastement hu
t ne prirent pas d’assaut les nuées fabuleuses de l’inspiration où la
vie
réelle devient abstraction, rêve éternel : là où
sité religieuse profonde qui le pousse à exalter David, symbole de la
vie
qui se renouvelle, et sa fierté individuelle ébra
c’est un grand damné dans un monde rouge d’impitoyable damnation : sa
vie
intérieure. Voilà donc la figure très complexe qu
, il est vraiment leur chair, leur sang, l’expression absolue de leur
vie
intérieure exaltée. On ne peut pas changer le ryt
le de Michol », ce qui lui a « permis d’introduire des tableaux de la
vie
du désert et des insertions du Cantique des Canti
? Bonaparte, alors dans les circonstances « les plus austères » de sa
vie
(Mémorial), d’ailleurs encore un peu jacobin, dut
réateurs modernes, de Rodin à Debussy et à Maeterlinck même, toute la
vie
, exprimée dans n’importe quelle forme de l’art, e
l’art est dans la stylisation de ce qu’on est convenu d’appeler la «
vie
réelle ». Par ces deux dogmes, que la conscience
ragique, où la passion humaine est écrasée sous le poids énorme de la
vie
, et devient un lourd rocher. Les éléments psychiq
pas. La Poésie, l’Art, sont en dehors des contingences réelles de la
vie
ou de la mort. Il ne faut jamais profaner l’expre
III, numéro 264, 16 juin 1908, p. 715-722 [717-718, 721]. Roman et
Vie
: renseignements nouveaux sur l’incinération de S
enseignements nouveaux sur l’incinération de Shelley Dans Roman et
Vie
(15 mai), M. P. d’Ampreville rapporte sous ce tit
6 planches hors texte, 7 fr. 50. Hachette Boccace, qui écrivit une
Vie
de Dante, ne fit que recueillir les témoignages d
s la belle monographie qu’il lui a consacrée ne le dissimule pas. La
vie
ajoute tous les jours à l’art d’un maître comme l
résenter, sinon d’animer une pensée neuve, un sentiment nouveau de la
vie
des choses et des choses de l’âme, M. Paolieri de
ondes voluptés qui serpentent dans les ondes. Et il conçoit toute la
vie
de la nature comme un immense amour, et les épiso
ute la vie de la nature comme un immense amour, et les épisodes de la
vie
des paysans comme les épisodes de la bonne guerre
ue nouvelle, poétique et musicale, qui est inspirée par un sens de la
vie
totale profond, nouveau, sexuel et géorgique, et
e de passion. Ô tourbillon d’une passion, je reviens comme ivre à la
vie
! je n’éprouve plus ni faim ni sommeil. Je n’épro
par l’évocation des petits milieux où le grand souffle tragique de la
vie
tourbillonne et passe, M. Zuccoli est un conteur
aut souhaiter voir bientôt traduit en français, est une fresque de la
vie
des Vénitiens de Venise, une fresque pleine d’int
sion, pour qu’il ait la force de s’éloigner d’elle et de reprendre la
vie
pour laquelle il était destiné. Leo G. Sera :
. Leo G. Sera est un critique philosophe. Sa critique s’exerce sur la
vie
, et sur la trame mystérieuse de la pensée contemp
is réunis sous le titre Sulle tracce della vita (Sur les traces de la
vie
), il expose une conception de la vie basée sur le
della vita (Sur les traces de la vie), il expose une conception de la
vie
basée sur le caractère des espèces idéales et mat
y a conflit plutôt qu’hérésie. Ces heurts inévitables résultent de la
vie
spirituelle, comme d’une fatalité : et les méchan
riture enseigne l’existence de Dieu, elle ne définit ni l’être, ni la
vie
; il conclut qu’il est impossible de s’en tenir à
and des sommistes. Il y aurait un magnifique discours à écrire sur la
vie
du dogme : nous considérons trop la révélation co
une existence plus divine que la nôtre, vous qui avez sacrifié votre
vie
pour la liberté de vos concitoyens afin de mainte
illet), qui sont très représentatifs du beau talent de l’auteur de la
Vie
unanime. S’il méconnaît des règles qu’on peut tro
ermera trois des œuvres les plus célèbres de Segantini : les panneaux
Vie
et Mort du Triptyque des Alpes, et le tableau Les
l n’eût rien fait qu’une restitution esthétique et, passant sa courte
vie
à écrire une somme théologique, il n’aurait pas é
, on reconnaîtra seulement une théorie du cloître transportée dans la
vie
et y produisant l’absurde. Le contemplatif peut,
Préfère toujours une autre volonté à la tienne. » Cela s’entend de la
vie
claustrale : ce précepte, jeté dans le monde, ent
rogne : l’intolérance jaillit à chaque ligne ; le diable joue dans sa
vie
un personnage vraiment anachronique ; sa critique
ntacte son imagination presque excessive. Ainsi, il a pu animer d’une
vie
semblable à la vie des hommes, la Ville d’Orient,
ion presque excessive. Ainsi, il a pu animer d’une vie semblable à la
vie
des hommes, la Ville d’Orient, luxurieuse dans le
ir. L’immobilité des plantes et des pierres se transforme au moins en
vie
animale ; rien qui ne palpite, ne souffre ni ne j
décomposition, l’aplatissement et l’aliénation extraordinaires de la
vie
religieuse, au lieu de les faire palpiter de joie
ous les hommes sentent le besoin impérieux à quelques moments de leur
vie
, moments comparables à des points d’orgue en musi
l prêterait à la lagune avec ses scintillements, toute l’apparence de
vie
qu’il imposerait à ces palais en violant leurs po
celui d’un théâtre où la lutte, entre l’extériorité tourmentée de la
vie
ordinaire et les aspirations les plus hautes de l
urmentée de la vie ordinaire et les aspirations les plus hautes de la
vie
spirituelle, serait noblement représentée en des
it dans la disposition des rythmes, une spiritualisation totale de la
vie
. M. Bruno Villanova d’Ardenghi pourrait jouer un
s à quiconque voulait enchanter les femmes et mener dans le monde une
vie
inimitable. Il fut en quelque sorte le Jules Vern
ment, en Sorbonne. Reproche-t-on à M. Gabriele d’Annunzio d’aimer la
vie
éclatante, d’agir avec lyrisme, d’étonner un peu
une religion, dont nous sommes les dévots, les fanatiques. C’est une
vie
sublime que de se consacrer corps et âme à créer
d. L’œuvre d’un artiste convaincra toujours mieux que l’exemple de sa
vie
? Sans doute. Mais l’œuvre de Gabriele d’Annunzio
cienne, concentrant son inspiration dans le grand point d’orgue de la
vie
médiévale italienne : la fin d’un Empire. Puisque
e à chanter devant le peuple et devant le monde un autre aspect de la
vie
intérieure de son pays, un aspect qui n’est pas h
jusqu’à nous. Le poète, qui a choisi un moment caractéristique de la
vie
de son pays, une conclusion qui est un commenceme
aucoup. À part l’Espagne et le Portugal, que la pauvreté même de leur
vie
politique et industrielle préserve, depuis des an
bien plus que lui-même, puisqu’elles sont plus durables que sa propre
vie
, puisqu’elles sont une image de son esprit, de so
in qui en enroule le fil autour des troncs dans la grande forêt de la
vie
instinctive. Le romantisme donc ne doit être cons
ée sanglante ; à l’aurore, la confiance renaît, et Naples, enivrée de
vie
et de lumière, etc. — Gabriel Hanotaux, Le Journa
80, 16 février 1909, p. 648-665. Qui veut pénétrer au sein même de la
vie
des Florentins de la Renaissance doit se dégager
bonhomie qui les rendaient accessibles à tous, et la simplicité d’une
vie
bourgeoise. C’étaient déjà des princes, et Lauren
et qui sont l’indice de la fermentation intérieure d’où surgit toute
vie
créatrice. Ils avaient le sentiment de leur commu
que paternellement, dirai-je. On n’avait point idée alors du genre de
vie
, si fréquent de nos jours, du rentier qui, au moy
le plus souvent même habitent des contrées qu’il n’a jamais vues. La
vie
oisive, qui est la règle pour le capitaliste mode
ement avec leur famille du métier qu’ils exerçaient. C’est qu’à toute
vie
humaine on attribuait une valeur ; on ne jugeait
vie humaine on attribuait une valeur ; on ne jugeait pas alors que la
vie
d’un homme ne compte pas par elle-même et qu’elle
avage moderne. Rien de semblable dans la physionomie d’ensemble de la
vie
florentine. Seul le sort de certains métiers en s
ressenti par la généralité, un besoin d’imprégner de beauté toute la
vie
. À ce besoin satisfaisait une foule d’artisans-ar
les famines étaient fréquentes à cette époque, et elles rendaient la
vie
humaine bien plus incertaine qu’elle n’est aujour
nce, son autorité sur ses citoyens. Je n’ai parlé jusqu’ici que de la
vie
publique des Florentins, et pour cause : elle ten
le tenait dans leurs préoccupations une place bien plus grande que la
vie
domestique. Aujourd’hui encore les Italiens viven
orentins ne faisaient aucun luxe et même les plus riches menaient une
vie
simple. Et cette simplicité contrastait d’une man
complètement prises par la maternité, elles ne partageaient point la
vie
des hommes et ne pouvaient comme eux développer e
frais à la fois, tout vibrant de germes fécondants, tout palpitant de
vie
en fermentation. Elle est saturée de désir, le dé
sent partout la tension des énergies en lutte. Les hommes veulent la
vie
terrestre avec ses bonheurs et ses infortunes, se
ophiques ultérieures et préparent toute une conception nouvelle de la
vie
. Il faut juger la Renaissance par son action et p
ce qu’ils portent en eux, vivent sans se demander le pourquoi de leur
vie
, et ne dépensent point en méditations ou en rêver
t moine par foi religieuse, par amour de la divinité, par désir d’une
vie
plus pure. Saint François est mort depuis deux si
ir avec la libération de l’esprit humain : l’on reconnaissait dans la
vie
antique la voie pendant longtemps abandonnée et r
de le souiller, avaient inspiré le mépris, et évoquaient l’idée d’une
vie
plus saine, plus large, plus abondante, d’une vie
uaient l’idée d’une vie plus saine, plus large, plus abondante, d’une
vie
où la misère, la laideur et la saleté n’étaient p
appartenaient qu’ils trouvaient la source de leurs créations ; de la
vie
qui s’agitait autour d’eux, ils prenaient la plus
our d’eux, ils prenaient la plus pure essence et en développaient une
vie
supérieure. Ils nous ont transmis tout ce que leu
trice. Grâce à eux, il nous est donné de découvrir ces tréfonds de la
vie
que le récit des événements ne nous fait point ap
plus ardents, il semble que toute la nature célèbre le triomphe de la
vie
resurgie. La mort même a perdu son aspect effraya
omique n’était toujours que la résultante de quelques banalités de la
vie
réelle ingénieusement groupées et mises en valeur
qui jouait son rôle depuis quinze ans. Humble et insignifiant dans la
vie
de tous les jours, cet homme était, paraît-il, me
niment accroître leurs propres besoins, changer continuellement, leur
vie
durant, leurs habitudes personnelles, surtout qua
et l’un des plus grands. La puissance d’établissement des formes, la
vie
de la physionomie, une incomparable largeur de fa
une symphonie, s’applique à surprendre le rythme de l’évolution de la
vie
. Archéologie, voyages. Prince L.-Amédée de Sav
héroïque et se montrer plus indulgents envers elle lorsque, dans une
vie
paisible, elle se laisse aller toute au bonheur d
s, de la grâce ; mise à mort d’Isadora Duncan. — Réglementation de la
vie
explosive (forme supérieure de l’existence) ; vit
’évaluer les effets. Infatigable dans son enthousiasme, il fît, de sa
vie
et de son œuvre, un véritable apostolat, combatta
de pierre ou feuille d’arbre, un enseignement pour la conduite de la
vie
, s’allie à l’observation des lois génératrices de
ce gothique. L’architecture est pour lui la suprême réalisation de la
vie
et des vertus qui la rendent excellente ; une tel
isation de la vie et des vertus qui la rendent excellente ; une telle
vie
n’est possible qu’aux âges de foi, ce que démontr
: il y voyait surtout l’antithèse du monde moderne, une époque où la
vie
était simple et austère et où l’amour de l’art ét
par M. Louis Baraduc, une critique claire et précise de cet idéal de
Vie
Nouvelle conçu par Ruskin. Cette biographie court
out travail humain, de tout édifice, dépend du degré de bonheur de la
vie
de l’ouvrier. C’est là, en réalité, la note prédo
tendons une active vénération pour un idéal suprême dominant toute la
vie
. Ce n’est point là une idée neuve, car, ainsi que
torique et matérielle de l’intime réaction qu’exerce un noble type de
vie
publique et privée sur le caractère des monuments
souvent la mort. L’homme, séparé du parfait bien, ne peut jouir de la
vie
, n’étant pas maître de lui-même. Aussitôt que le
cesse en éveil et même d’improvisation, qui seul rend la vérité de la
vie
si complexe où tout ne peut être encore mesuré pa
gation on élargira son terrain d’enquête littéraire, on connaîtra une
vie
plus complexe, seule fortifiante, seule belle. Il
que l’éventuelle génialité d’un interprète illustre, mais défunt, la
vie
de celui- ci, son caractère et son étrange aspect
où le contemplateur s’absorbera, pour s’élever, pour se séparer de la
vie
immédiate, pour se concentrer avec les plus profo
é chacun à rechercher et à reconnaître en lui-même les extrêmes de sa
vie
intellectuelle. On s’est borné au contraire à dem
dants ont dressé des listes, ont catalogué, mais non caractérisé leur
vie
intellectuelle. Par cela même, pour montrer l’int
ison et le sentiment et les enlèvera tous deux sur ses ailes vers une
vie
plus pure et plus harmonique… ». Qu’on nous éparg
esthétique individuel créé par une immobilisation individuelle de la
vie
, par une représentation typique de la non-mort. Q
lli. Mais toute l’éloquence de Faunus converge à réveiller dans notre
vie
moderne le sens de la simplicité ancienne, de la
ion classique. » Il trouve au contact de cette ville une plénitude de
vie
et de pensée, un renouvellement, une renaissance
ur se fassent sentir les conséquences morales de ce que m’a appris la
vie
dans un monde plus vaste. Car, à côté du sens art
oethe, dans les ruines de Rome, n’ait voulu trouver que le sens de la
vie
. Il n’a pas senti la mélancolie et l’impression d
ernelle vitalité des choses qui se perpétuent en se transformant : la
vie
est inépuisable. Cette richesse de la vie lui app
ent en se transformant : la vie est inépuisable. Cette richesse de la
vie
lui apprend à rejeter des « idées titanesques » q
ose qu’on ne peut imaginer ailleurs : c’est le plaisir de savourer la
vie
pour la vie, sans aucune jouissance accessoire. L
peut imaginer ailleurs : c’est le plaisir de savourer la vie pour la
vie
, sans aucune jouissance accessoire. Le grand plai
igieuses. Dom Bruno Destrée (O. S. B.) : Au milieu du chemin de notre
vie
; Bloud et Cie Louis Le Cardonnel. Tome LXXIX
es et religieux, groupés sous ce titre : Au Milieu du chemin de notre
vie
. Avant de se soumettre au joug, plus suave que pe
n d’une autre fille de saint Benoît, la grande moniale Gertrude. Leur
vie
tout entière, ainsi coulée avec eurythmie, dans l
qui s’offrait à sa vue, Jean resta rêveur, songeant à tout ce que la
vie
lui offrait de gloire et de bonheur dans cette vi
é, quelques mois auparavant, assassiné, alors que, pour lui aussi, la
vie
s’annonçait souriante et pleine de promesses ; et
et constant bonheur que les fils de saint Benoît trouvaient dans leur
vie
d’adoration et de prière. Il comprit alors que sa
aient dans leur vie d’adoration et de prière. Il comprit alors que sa
vie
passée, toute cette journée, et cette incomparabl
tinée à lui révéler sa vocation, et qu’il n’était point de plus noble
vie
que celle de ces contemplatifs, méditant pour les
ïque, assoiffée d’amour et de dévouement, le choix qui décidait de sa
vie
fut fait sur-le-champ. Et c’est pourquoi, retrave
n Gualbert Visdomini, il a entendu, lui aussi, retentir l’appel à une
vie
plus haute. La longue citation qu’on vient de lir
nté au mont Cassin, en grandes fresques, les scènes principales de la
vie
de saint Benoît. Comme eux il aime les teintes tr
dans son admirable essai sur la Mission de saint Benoît, trouve à la
vie
des bénédictins primitifs quelque chose de virgil
remiers compagnons de saint François d’Assise, dont le nom retrace la
vie
, Frère Humble, Frère Ange, et Frère Pacifique. Co
et Frère Pacifique. Combien souvent leur souvenir m’est revenu, leur
vie
cachée en Dieu, leur pureté de cœur, leur pauvret
d’or du Siennois Simone Martini ; de curieux Lorenzetti (Scènes de la
vie
de saint Étienne) ; un beau triptyque, La Vierge
até de 1365 ; un grand panneau avec prédelle offrant des Scènes de la
vie
de la Vierge, œuvre capitale de la jeunesse de Be
où se révèlent non moins un excellent observateur et traducteur de la
vie
(témoin entre autres ses animaux) et un fervent a
eorge Sand : Certes l’homme que tu as choisi ne peut avoir changé ta
vie
qu’en bien. C’est une noble créature, bonne et si
le théâtre poétique, avec des emprunts faits à certains aspects de la
vie
de Florence pendant la Renaissance. Mais M. Sem B
numéro 291, 1er août 1909 Les indiscrétions de Garganello, ou la
vie
galante en Avignon au XVIe siècle Charles Samar
r avec elle pour la beauté du climat, le charme et la commodité de la
vie
. Assise au bord de son fleuve magnifique, derrièr
mais elle me sert de couverture pour mon lit et certes je lui dois la
vie
… Mais je ne puis être à vous plus longtemps. Quel
Nous serons tous des Garganello et je servirai de modèle. Quant à la
vie
mondaine, nous prendrons pour exemple le sage Sal
e de la société féminine et détaille complaisamment les charmes de la
vie
galante : La Montfaucon a eu un fils ; du baptêm
allé avec elle en partie de plaisir. Heureux ceux qui jouissent de la
vie
sans avoir d’inquiétude ! La présidente Panizza59
a guerre nous arrive d’où la paix nous devrait venir, jouissons de la
vie
et des plaisirs, au diable les soucis et laissons
ns cherché dans ces lettres, ce ne sont pas des renseignements sur la
vie
d’un Garganello ; c’est l’Avignon de son temps où
st l’Avignon de son temps où le désir d’épuiser les jouissances de la
vie
semblait fouetté par la peur instinctive des boul
volumes nous trouvons dans cas pages quelques curieux détails sur la
vie
de Nietzsche. En 1874, Hillebrand se proposait de
e Virgile. D’autres poèmes reproduisent des figures singulières de la
vie
champêtre, des figures de vieillards qui résument
ésie avec l’esthétique des fleurs en aquarelles. Assez libres dans la
vie
en général, mais timides et moralistes per defect
pour mère de famille. Quelques-unes, comme la comtesse Lara, dont la
vie
belle d’amoureuse fut brisée par un galant assass
ne véhémence qui acquiert sa vigueur dans une vision très nette de la
vie
, et sans enthousiasme, sans regret, avec une cons
tincts. Elle sait chanter sa volonté de joie, elle sait aspirer à une
vie
joyeuse et féconde, où les attributs du cerveau n
uts du sexe, et les uns et les autres expliqueront harmonieusement la
vie
. Elle sait penser ainsi à la rivale supposée : E
le par le même dédain de toute banalité, par la même aspiration à une
vie
puissamment « seule ». Dans les Poèmes d’Orgueil,
intéressante. M. Federico de Maria publie un poème, la Légende de la
Vie
, où se révèle l’esprit d’un maître de demain. Dan
ès sûr. La partie centrale du poème, consacrée à « l’Histoire et à la
Vie
», contient quelques chants d’un poème métaphysiq
s le monde que j’allume je veux me dissoudre : qu’il naisse de moi la
vie
; toute belle et terrible forme, qu’elle monte en
depuis trop longtemps morts et piétinés par l’activité stupide de la
vie
… la vie quotidienne avec sa gravité bourgeoise, i
ent jusqu’au retour du long voyage qu’il avait entrepris. Elle dit sa
vie
lamentable, seule dans cette chambre verrouillée,
ne gaieté presque enfantine à la mélancolie que lui causait sa triste
vie
de prisonnière. Mais elle savait surtout, tendre
usqu’à son auberge, rêvant à la place que tiendrait désormais dans sa
vie
la petite déesse. Sur son bureau, sous ses yeux,
s, avec l’optimisme de ses vingt-cinq ans, il conclut : « Ainsi va la
vie
! Après tout, nous sommes quittes. » Il ajouta ce
avait fait de ce sujet passionnant l’étude des dernières années de sa
vie
, après avoir été à même de recueillir pendant la
comme on l’a dit, poète à vingt ans, il est conteur pendant toute sa
vie
. Cependant, la littérature contemporaine italienn
e prémisses, à l’instar d’une chaîne qui se déroule, à l’instar de la
vie
. Le « conte » de toutes les littératures offre le
e par le tableau représentatif d’un état de l’âme, par une tranche de
vie
minutieusement étudiée dans quelques attitudes, e
de vie minutieusement étudiée dans quelques attitudes, et non par la
vie
intégrale des personnages, par un instantané enfi
esse dans le premier chapitre comme une circonstance quelconque de la
vie
de l’acheteur. Ce n’est que peu à peu que cette m
n par ses récits de Sardaigne, avant de se faire, de cette terre à la
vie
curieuse et passionnée, un moyen d’exploitation l
firmée, écrit maintenant un recueil de nouvelles, Nos Mémoires, où la
vie
mystérieusement passionnée de la Ligurie palpite
inante, compose un être étrange, une femme, qui sort du mystère de sa
vie
vagabonde et pauvre, pour s’épanouir dans l’amour
zzaro, et Je meurs où je m’attache, de Mme Grazia Deledda, et Vive la
Vie
! de Mme Mathilde Sérao !… Tome LXXXII, numé
e, l’un des écrivains qui peuvent le mieux nous faire connaître cette
vie
si pou connue et souvent épique des Républiques i
n deçà des Alpes, il appartient à cette minorité qui a pris devant la
vie
une attitude guerrière que les événements ne déme
ance : la renaissance d’un lyrisme fait d’une exacte conscience de la
vie
. qui n’est que haine, et qu’on ne maîtrise et ne
urs, ses conférences, ses polémiques pendant les longues années de la
vie
italienne conduite par des soldats garibaldiens d
ce besoin impérieux qui de temps en temps pousse les peuples, dont la
vie
collective devient de plus en plus complexe et de
puis lors la poésie de M. Pascoli s’est développée dans le sens d’une
vie
active, profonde de pensées et de nostalgie, et d
légende et de la poésie de nos désirs universels et du mystère de la
vie
, trouvent en ces Poèmes la plus haute expression
az. Si en Italie Milan et Turin sont aujourd’hui les centres de la
vie
théâtrale et des grands éditeurs, Florence présen
système nouveau de la pensée, elle nous intéresse comme une force de
vie
, un peu trop exubérante mais pleine de promesses.
é de réaliser en un symbole rythmé, en une action faite de poésie, la
vie
du peuple des Abruzzes, présentée dans quelques p
l’action populaire, les prétextes choisis par le poète pour nouer des
vies
dans l’amour et les dénouer dans la mort. Le cath
les épanouissements de l’âme collective, qui entraînent une action de
vie
vers le couronnement mortel d’une vengeance, et p
ne, aux passions gigantesques, aux amours éperdues de la terre, de la
vie
et du rêve. Dans la maison de Lazaro di Royo quel
e dénouer, et que de la montagne il doit se précipiter sur toutes les
vies
étonnées, en les engloutissant dans ses flots mor
lit dans un miracle. Un breuvage impalpable comme une flamme lance la
vie
du jeune homme vers la vie de l’accusée. Aligi la
uvage impalpable comme une flamme lance la vie du jeune homme vers la
vie
de l’accusée. Aligi laisse tomber son bâton en pl
verrai jusqu’à l’heure du trépas Et encore je le verrai dans l’autre
vie
… Les moissonneurs ont tiré à la courte paille le
est sur la montagne, car il est pâtre, car toutes les affinités de sa
vie
et toutes les possibilités de sa mort l’attirent
che. Aligi est un être malade, faible, visionnaire. Il est loin de la
vie
, perdu dans ses rêves sans fin. Il est dans ces l
ou de l’art, le criminel ou le génial. Aligi en est là. Et devant sa
vie
réalisée dans l’épanouissement de ses instincts,
e ses soucis de pâtre et avec sa hache, dans le tronc qui vibre de la
vie
de ses mains où son cœur palpite, il découvre les
il me semblait que mon sommeil durait et que mon troupeau broutait ma
vie
. Ainsi l’amour a uni les deux êtres que le desti
orce contraire et active contre la force qui entraîne l’homme vers la
vie
ou vers la mort. Elle n’a pas, comme Sylvia, l’as
fice de Sylvia, malgré tout, Lucio retournait vers son art et vers la
vie
. IV Cette imprécision poétique et philosoph
u’après un long apprentissage littéraire à réaliser la synthèse de la
vie
présente et de la subtilisation artistique, qu’es
e, il commença à raconter des anecdotes, des épisodes plaisants de sa
vie
au séminaire. — Monseigneur m’aime beaucoup, Mons
nêtre, un peu dégoûté de tout et de tous. Combien était préférable la
vie
du séminaire, un peu trop méthodique, mais propre
e. Lui aussi chantait, et sa voix, pour Zio Félix, semblait emplir de
vie
et de joie toute la tanca, animant le silence lum
i que la veille. Zio Félix le regardait, enchanté. Alors commença une
vie
heureuse pour les Nurroi et pour tous ceux qui le
s’attardait à la bergerie, racontant les merveilles de la ville et la
vie
du séminaire à Tanu et au gardien des chevaux. À
lheureux, parce que l’horizon lunaire lui donnait un désir violent de
vie
, une nostalgie passionnée de choses jamais vues,
ce dans un coin désert de la tanca. Don Elia continua à mener joyeuse
vie
, passant les journées avec Minnai et Antine, se b
par crainte de Dieu, le brave homme aurait maudit le patron, pour la
vie
désordonnée qu’il faisait mener à Antine. Toutes
ge à ses enfants. Mais la jeunesse, il faut en jouir : à quoi sert la
vie
, sans cela ? Après tout, il faut être idiot pour
a, lui paraissait naturel et vrai. Ah ! oui, ce devrait être cela, la
vie
, et non pas son existence sotte et mesquine. Ah !
uvre diable, un homme aux souliers crevés. Ah ! oui, c’était cela, la
vie
, c’était cela, le mystère entrevu dans les brouil
it toujours plus pâle, et ses lèvres étaient de cendre. Il sentait la
vie
s’en aller de lui ; il ne se faisait pas d’illusi
: — Je le tuerais, je lui ferais sortir les boyaux par la bouche… Une
vie
terrible commença pour lui. Il sentait que si Eli
pendant la vengeance était l’unique chose qui le retenait encore à la
vie
: tout le reste n’existait plus. La vue de Minnai
pour se sentir trembler et ne plus voir clair. Jamais, dans toute sa
vie
, il n’avait éprouvé pareille chose. C’était un fe
esque désespérées. Il sentait la nostalgie de son pays et de sa douce
vie
passée : voici qu’était venu le temps qu’il avait
profit du Vénitien, le portrait de Georges d’Amboise. À la fin de sa
vie
Bartolommeo rechercha la finesse allemande et pei
me Bellini ou Carpaccio se comportaient à l’égard de la réalité de la
vie
. » L’ouvrage de M. Monneret de Villars semble d’a
à un document précieux qui nous renseignera de manière précise sur la
vie
familiale des seigneurs de Challant, les maîtres
ans génie, ne peuvent plus satisfaire cette formidable volonté, cette
vie
pensive et glorieuse, dont Carducci, le seul homm
aître, trouve l’atténuation de sa cruauté dans la fatalité même de la
vie
. J’ai voulu la signaler ici, car je considère com
toujours la poésie de Pascoli ; elle en rythme toute la pensée. « La
vie
— dit le poète dans sa préface — sans la pensée d
mporaine. Une sensualité sexuelle, mais répandue, profonde, donne une
vie
rare à chaque mot. Et dans certains poèmes, comme
Ammonitori (les Avertisseurs) regarde quelques grands problèmes de la
vie
et les exprime dans des sonnets aux rythmes plein
es restitutions de M. Hoffbauer qui sont l’illustration vivante de la
vie
ancienne et fournissent de pittoresques décors te
t l’écho sonore des passions et des pensées, les poètes magnifient la
vie
, après avoir scellé sa réconciliation avec le rêv
tre qu’est-ce autre chose qu’une représentation conventionnelle de la
vie
et s’il était de quelque utilité de définir le th
ue, comment mieux s’y prendrait-on qu’en l’appelant « la Poésie de la
Vie
en action ». Il était logique que le poète des La
e, préférée, continue à le poursuivre de son bruit frais. Eh bien, la
vie
de Paul Souchon, cette vie entre toutes exemplair
poursuivre de son bruit frais. Eh bien, la vie de Paul Souchon, cette
vie
entre toutes exemplaire et féconde, comme l’eau d
Beauté de Paris ; nous lirons le Soleil natal. Un amour serein de la
vie
et des félicités de l’heure y apparaît. Une mâle
: C’est là que dans la paix, frères, nous bâtirons le temple de la
vie
… Puis répudiant le pessimisme chrétien, P. Sou
humaine. La tragédie dès lors cesse d’être la vraie interprète de la
vie
, elle est le classique poncif qu’ont à jamais dis
upportables ; mais, quand ils jouent bien, ils donnent aux pièces une
vie
singulière. Tome LV, numéro 191, 1er juin 190
s appétits conscients, elle veut tout dominer. Elle réunit toutes les
vies
qui l’entourent dans un nœud qu’elle tient dans s
st celui que nous retrouvons dans ce poème : Un fils des temps, où la
vie
d’un homme, depuis son enfance, se détache de l’o
parfum de l’encens s’exhale dans le feu. Le poème est le cycle d’une
vie
, vie devenue parfaite, dès que l’homme sait suivr
um de l’encens s’exhale dans le feu. Le poème est le cycle d’une vie,
vie
devenue parfaite, dès que l’homme sait suivre son
iccardo Forster évoque au contraire une large et sereine vision de la
vie
dans ses sonnets d’une forme classique très pure.
eur force dans la Giovane Italia. Garibaldi y connut la mission de sa
vie
, et, par la voix prophétique de Mazzini, comprit
républicain dans le profond de lui-même. Il se traça un programme de
vie
et il eut un idéal ; selon les lois inflexibles d
losophie et de certitude ; d’autres chantent comme de tout temps leur
vie
amoureuse, mais ce ne sont pas les meilleurs ; d’
avait lu l’Air natal, le Lit de mort, le Bannissement, le Retour à la
vie
, les épîtres à Ducis, Royer-Collard et Maine de B
bien en vous les formes usitées, Non, hélas ! en moi, qui loin d’une
vie
si heureuse Suis devenu la proie d’une douleur in
e. Voyez plutôt : « J’étais, dit Lamartine, et je suis resté toute ma
vie
un amateur de poésie plus qu’un poète de métier48
peu près ce qu’il voulait et que l’argent fut le bourreau de toute sa
vie
. Remontez maintenant jusqu’au seizième siècle et
seizième siècle et feuilletez le livre aussi court que glorieux de la
vie
de Joachim du Bellay. Vous le verrez, lui aussi,
es socialistes — de ceux qui, comme Tarde, expliquent le délit par la
vie
sociale que de ceux qui, comme Lombroso, en font
son élan, en se compliquant (comme il le fait dans Claude Debussy) de
vie
humaine intérieure et profonde. M. Romualdo Giani
orgueilleux ou difformes qui enfiévrèrent de leur propre déchéance la
vie
grecque, que le rationalisme d’un côté et le plus
s changé et il est appelé, aujourd’hui comme autrefois, à vivre de la
vie
surnaturelle. Certes la civilisation présente est
leur temps. Elle a toujours le secret des paroles qui conduisent à la
vie
éternelle et de celles qui assurent la félicité d
uisent à la vie éternelle et de celles qui assurent la félicité de la
vie
présente. Elle encourage la vraie liberté née de
e hurlement d’une tigresse en rut !… Quand je parais, le rythme de la
vie
s’accélère frénétiquement, et la Destruction hâte
. Il gagna contre toute vraisemblance, mais sa victoire coûta plus de
vies
à la France que le désastre d’Adoua n’en coûta à
corde. Il est des écrivains qui, seulement pour avoir écrit dans leur
vie
quelques pages remarquables, sont reconnus Maître
tout comme l’Église, le renie. Il Santo est une banale parodie de la
vie
de saint François d’Assise. Et cette profanation
destruction méthodique de leurs chefs religieux. La douce harmonie de
vie
de ce lointain dominateur est transposée dans les
Cet homme pense que l’Église doit être sauvée par la puissance de la
vie
simple, chaste, purifiée de toute laideur mondain
c’est un grand amour de la nature, et quelque joyeux optimisme de la
vie
. Cet amour de la nature, chez quelques-uns, est u
de ce qui passe pour suavement faire retour, ni la joie d’ajouter la
vie
à la vie, de réveiller, après un crépuscule, le
i passe pour suavement faire retour, ni la joie d’ajouter la vie à la
vie
, de réveiller, après un crépuscule, le jour !
n Ed., Milan M. Romolo Quaglino est un poète qui voit largement la
vie
dans la perspective hellénique comprise d’une faç
on comme celles des Ottomans ou des Arabes, c’était là mon être : une
vie
tour à tour poétique, religieuse, héroïque ou rie
ipidité de Phryné prêtait au rubicond Paillasse comme un simulacre de
vie
. Au fond, cela n’y change rien. On se demande en
tion dont notre sœur latine submerge nos affiches. Paillasse après la
Vie
de Bohême, la Cavalleria, la Tosca, Butterfly, c’
ne en Autriche sur le célèbre compositeur Joseph Haydn, suivies d’une
vie
de Mozart, etc. (Paris, 1814, in-8°) de plagier e
Cartaro | contrada S. Margherita num. 1118 | 1812 ainsi que — pour la
Vie
de Mozart — la notice de F. Schlichtegroll au t.
) M. J.-C. Broussolle n’envisage pas tant l’art comme miroir de la
vie
que comme un auxiliaire de la foi. Son livre, l’A
Filippino Lippi et Lorenzo di Credi de l’autre. G. Lafenestre : La
Vie
et l’œuvre de Titien (Hachette, 3 fr. 50) La r
a Vie et l’œuvre de Titien (Hachette, 3 fr. 50) La réédition de la
Vie
et l’œuvre de Titien, par M. Georges Lafenestre,
me. L’ange n’a point de sexe, il a celui de ses ailes : étranger à la
vie
organique, sa bouche ne connaît que le sourire et
nuyer ferme dans les jardins de la villa Moriani. Heureusement que la
vie
est de plus en plus un voyage et que les automobi
Tome LXXXV, numéro 311, 1er juin 1910, p. 549-553 [553]. […] Dans la
Vie
intellectuelle, une lettre de Rome de Charles Van
sement occupée à s’enrichir et à s’élever dans le plan matériel de la
vie
contemporaine des peuples, pour que l’effort des
préciser devant le monde les caractéristiques idéales de sa nouvelle
vie
. Mais tout en donnant à la Poésie d’Annunzio et P
ture. La génération des Rovetta ne finit pas avec lui. Il a décrit la
vie
sociale, politique, il a évoqué le 1848 italien,
x mois après, à son fils, qui lui demandait quelques détails sur leur
vie
, elle répondait « Il tombe depuis trois jours des
album, resté inédit, qui, s’il ne nous apporte rien de nouveau sur la
vie
de Marceline, nous montre son talent dans le genr
ns se mouvoir, et que son vœu l’y retiendrait six heures encore. — Sa
vie
semblait suspendue, et rien sur la terre ne devai
terre ne devait l’autoriser à rompre sa pénitence, ni un danger de sa
vie
, ni un danger de celle des autres. En cela surtou
ce moment un air mélancolique, et je ne me croyais plus trop de cette
vie
, quand on me rappela de l’intérieur de l’église o
eux côtés du tombeau de San Ambrosio, dans le chœur souterrain, où la
vie
entière de ce saint est retracée dans un nombre i
s un nombre infini de fresques d’un intérêt, d’une fraîcheur et d’une
vie
indicibles. Le maître autel de l’église contient
fleura, quand je cherchai, je l’avoue, et pour la première fois de ma
vie
, à voir en face une personne qui cherchait à se c
e LXXXVI, numéro 313, 1er juillet 1910 Gabriele d’Annunzio et la
vie
moderne Ricciotto Canudo. Tome LXXXVI, numéro
XXXVI, numéro 313, 1er juillet 1910, p. 51-65. Glorifions en nous la
Vie
belle ! Seulement dans la plénitude est la Vie. S
Glorifions en nous la Vie belle ! Seulement dans la plénitude est la
Vie
. Seulement dans la liberté l’âme est entière. Tou
toutes les mains travaillent à orner le monde, Glorifions en nous la
Vie
belle !
ête” — ainsi que ses ministres le déclarent à la Chambre, — traîne sa
vie
bourgeoise et assure son “invulnérabilité par la
jeunesse avertie et digne. « Une nouvelle civilisation, une nouvelle
vie
, des cieux nouveaux ! Où est le poète qui pourra
st l’individu d’une race, et il a la conscience d’en porter en lui la
vie
très ancienne et toute la gloire. Qui put lire sa
llard où frémit, occulte, toute la convoitise, toute la ferveur de la
vie
contemporaine. L’écrivain en précise à peine les
a voulu renouveler sans doute la matière de ses représentations de la
vie
contemporaine. Il revient au roman après une long
hos esthétique » de d’Annunzio est constant dans son œuvre et dans sa
vie
. Ici encore l’écrivain s’attarde trop dans la rév
là, dans la maison solitaire, où l’horreur, l’amour, la terreur de la
vie
passée, est toute palpitante dans le silence, com
réature de rêve, qui rappelle celles de Maeterlinck. Elle a devant la
vie
la vague sagesse des pauses, des arrêts prolongés
a vague et tendre et mortelle sagesse des êtres frêles qui adorent la
vie
, toute, sans que leur adoration puisse se précise
sses de la virginité, sont vraiment les plus grandes amoureuses de la
vie
. Leur amour est indéfini comme l’infini où elles
ans la folie, c’est-à-dire dans une de ces visions de la mort dans la
vie
, qui renouvellent sans cesse dans le cœur des hom
r l’amant. L’aventure de l’aviateur n’est que celle d’une heure de sa
vie
. Pendant cette heure, elle met contre les images
estin toujours obscur enraciné dans la chair. « Le roman traite de la
vie
, représente la vie — a dit Novalis. Le romancier
ur enraciné dans la chair. « Le roman traite de la vie, représente la
vie
— a dit Novalis. Le romancier ne serait qu’un mim
e défaut de ce roman est dans le fait que l’exubérance héroïque de la
vie
moderne n’est pas essentielle. Ce n’est point ell
e extérieure. Car, en vérité, leur fatalité est nouée autour de leurs
vies
ultra-sensibles par le passé atavique, par le mys
eurs vies ultra-sensibles par le passé atavique, par le mystère de la
vie
qui survit à la Reggia avec toutes les énigmes de
’énergie humaine moderne, Gabriele d’Annunzio a composé une vision de
vie
et de mort. Il n’a pas pu fondre les éléments dis
de vie et de mort. Il n’a pas pu fondre les éléments disparates de la
vie
avec ceux qui devaient à la fois en briser quelqu
ec une volonté nouvelle, celle enthousiaste d’une glorification de la
vie
moderne. Son instinct esthétique très sûr nous fa
erfection musicale de la mécanique, âme du monde moderne, évoquant la
vie
des cylindres qui doivent être harmonisés, et mon
io Crespi l’Espagnol : c’était la voie ouverte au futur peintre de la
vie
vénitienne du xviiie siècle. Car Crespi, comme l
oser dans la peinture de petites toiles représentant des scènes de la
vie
familière. Nous ne sommes pas très riches en rens
dans les rues mêlé à la foule variée et pittoresque, participant à la
vie
vénitienne du xviiie siècle, dont il est le chro
ante années il put poursuivre l’exécution de son œuvre délicieuse. Sa
vie
s’écoula sans incidents. À l’encontre de tant d’a
ette absence d’aventures explique qu’on ne trouve pas de traces de sa
vie
dans les documents du temps. Ou rencontre seuleme
la synthèse symbolique de ses masques régionaux, semble reprendre une
vie
nouvelle, ou plutôt réapparaître et triompher, sa
littérature dialectale est forcément populaire. Elle est basée sur la
vie
des classes qui ne s’élèvent pas à ce tout premie
uelle qui est celui du langage. Si l’on veut les surprendre dans leur
vie
intime, et exprimer celle-ci par leur langue, on
r la langue, forge et renouvelle chaque jour. La représentation de la
vie
d’un peuple au moyen de son patois manque de véri
de l’honneur, qui domine vraiment d’une manière toute particulière la
vie
des fils de l’île, et qui, en Occident, n’est com
ure, et superficiellement émouvante, donne une impression générale de
vie
populaire touffue et grouillante assez pittoresqu
On voit la ficelle, les épisodes sont plaqués, choisis dans ce que la
vie
napolitaine a de plus banal. Tout d’un coup on ap
très belle évocation, mélancolique et joyeuse, simple et riche, de la
vie
des champs. Le « pateracchio » est la solution he
assés maîtres. Il ne faudrait pas oublier que la représentation de la
vie
populaire n’a de droits originaires qu’à la coméd
écrivains qui se consacrent à la représentation pure et simple de la
vie
populaire ne peuvent nous donner que des œuvres d
d Hayem (dont il faut regretter la mort prématurée). Bien étudiée, la
vie
de Concini montre effectivement, tout au moins, c
ne ressemble plus guère au Fernand Weyl qui collaborait à l’Art et la
Vie
, au temps où une certaine jeunesse professait un
coup en cette saison-là dans les cénacles qui voulaient aller vers la
Vie
(avec un grand V). Depuis M. Weyl ayant pris pseu
cience de plus en plus nette d’une mission idéale à accomplir dans la
vie
renouvelée de sa nation, Alfredo Oriani, homme de
la morale, a toujours ému quelques esprits dignes. Vers la fin de sa
vie
, ceux-ci forcèrent les regards d’un plus large no
a grande renommée n’a pas rendu moins amère la dernière période de sa
vie
. Les princes aussi, jouets insignifiants de la mo
toute la foule, lui refusèrent leur attention. Peu d’anecdotes de la
vie
des grands esprits nous émeuvent et nous révolten
devait lui apporter la plus grande, et peut-être la seule, joie de sa
vie
. Mais les puissants, princes ou ministres, « amis
o, Boca, Turin M. R. Torrefranca vient de publier une œuvre sur la
Vie
musicale de l’Esprit. Depuis quelques siècles, la
les hommes ne sont pas nés pour construire des machines, mais que la
vie
intellectuelle repose sur la poésie… On n’avait p
lien Ortis, ce livre se révèle moderne dans la large part que dans la
vie
et dans l’évolution spirituelle du protagoniste l
magnifièrent, — et c’est une preuve de la prodigieuse richesse de sa
vie
intérieure. En tout cas, jamais comme aujourd’hui
moment en contemplant la destruction, « à sentir plus profondément la
vie
par la vision de tant de beautés qui s’en vont à
de l’Europe, ville à part entre toutes, sera évidemment le cadre pour
vies
exceptionnelles, pour aventures en marge de l’exi
timents, s’élève au-dessus du vulgaire. Ce sera le refuge des hors la
vie
, des hors la loi sentimentale, ce sera l’asile sa
n sera d’accord avec lui pour désirer connaître cette merveille où la
vie
est décuplée en face de la mort triomphante. Cett
bruit… » Ainsi ce ne sont pas des excitations morbides à jouir de la
vie
qu’y va chercher Henri de Régnier, mais une saine
oyant du romantisme, ni les évocations d’un passé opprimant, c’est la
vie
perçue harmonieusement dans la magnifique lumière
ue Maupassant nous faisait frissonner : aller quérir le mystère de la
vie
, même en plein soleil, en pleine lucidité d’obser
e la Chapelle-Sixtine, M. Pierre Jouve « embrassa d’un seul regard sa
vie
nouvelle et son esprit désormais réglé par lui-mê
inévitable puisque la figure des vivants change à chaque jour de leur
vie
il y a néanmoins bien des traits qui ne seront pl
repris une autre, véritable apostolat, dont il a déjà, au matin de sa
vie
, réglé toutes les étapes. Par la musique il veut
telli Treves) Leopardi, par F. de Roberto. J’ai presque risqué la
vie
, il y a deux mois, dans une polémique furieuse en
ri un talent plus idéaliste que pratique, un écrivain en dehors de la
vie
politique vécue. Cela ne gâte rien ; ce qui est p
esque dans le monde entier, M. Zoccoli esquisse d’une main franche la
vie
de l’écrivain, puis développe sa philosophie, c’e
articulier aux créateurs de son époque. Et les dures conditions de la
vie
font que ce n’est que tard, très tard, qu’il comm
ent rebuter facilement, que n’abattent les habituelles rancœurs de la
vie
. Et de fait, il va très haut et très loin, sans q
n-Battista Alberti et comme le Francesca, au cours de son aventureuse
vie
d’artiste, échouer et rester à Rimini, où étaient
e baigner, prendre l’air pur de la Liberté devant des flots bleus, la
vie
monotone des galériens s’écoule au seul bruit des
contraire, le programme d’un drame ésotérique, tout en allusions à la
vie
, où les idées seraient suggérées et non exprimées
-606. Homo minister et interpres naturae. La première édition de la
vie
de Léonard de Vinci par Vasari différait quelque
énies, que Vinci nous fascine, ou peut-être aussi nous déconcerte. Sa
vie
est une série de soudaines révoltes, avec des pér
s œuvres se pressent dans quelques années tourmentées du déclin de sa
vie
; cependant, il est si obsédé par son génie qu’il
» constitue, avec les anecdotes bien connues qui l’entourent, une des
vies
les plus brillantes de Vasari. Les écrivains les
t parfois intervenir pour soutenir les résultats de cette analyse. Sa
vie
se divise en trois périodes ; il passa trente ans
ant du reflet de quelque splendeur lointaine les voies communes de la
vie
; des années de patience avaient tellement affiné
ui, ainsi qu’à travers une vitre claire, les figures brillantes de la
vie
florentine passaient sur la blanche surface d’un
e homme ; cette image s’y fixa de telle façon que pour le reste de sa
vie
il ne s’en affranchit jamais ; et lorsqu’il l’ent
ges qui hantent un vignoble italien évoquent le tableau complet de la
vie
d’un enfant dans un village toscan, moitié châtea
ouver, non pas le secret d’un élixir qui prolongerait indéfiniment la
vie
naturelle de l’homme, mais plutôt le moyen d’immo
ir que vaguement ; le mystère qui ne se lève jamais tout entier de la
vie
de Léonard est ici plus profond que partout aille
s profond que partout ailleurs. Mais il est certain qu’il y a dans sa
vie
une époque où il avait presque cessé d’être artis
les fleurs exotiques de sentiment qui s’y épanouissaient. C’était une
vie
de péchés brillants et d’amusements exquis ; Léon
ses idées, ses sensations et son désir de beauté, voilà la clef de la
vie
de Léonard à Milan, avec son inquiétude, ses reto
tachements aux contemporains, hommes ou femmes, qui ont pu remplir sa
vie
à Milan, celui-là seul nous est rapporté ; et, en
lités mystiques, et voilà qu’elle restaurait non pas la réalité de la
vie
, mais ces ombres transparentes, esprits sans chai
ant les jours de sa bonne fortune à Milan. Les dernières années de la
vie
de Léonard sont plus ou moins vagabondes. Durant
années de la vie de Léonard sont plus ou moins vagabondes. Durant sa
vie
brillante à la cour il n’avait rien économisé, et
antes et colorées des paupières et des mains. La représentation d’une
vie
éternelle ramassant en elle-même dix mille expéri
e le résultat et le résumé de toutes les forces de la pensée et de la
vie
. Or, Donna Lisa pourrait être présentée comme la
argent qui semblaient animés. L’hésitation qui l’avait hanté toute sa
vie
, et l’avait rendu semblable à un homme sous le ch
taliens pour qui Mathilde paraît avoir ressenti, jusqu’à la fin de sa
vie
, une sympathie toute particulière ? Que ne ressem
able ! Ces réflexions viennent spontanément l’esprit de qui étudie la
vie
du prédicateur dominicain Savonarole et recherche
elques années au point de l’amener à changer complètement de genre de
vie
demeure, même pour nous, fascinant et mystérieux.
ifié par l’image de ses péchés, il eut soif de pénitence, et renia sa
vie
antérieure, brilla les instruments de ses plaisir
nstante s’imposait à la cité, et tout dans le gouvernement et dans la
vie
publique se faisait sous son inspiration. Le nomb
Une chaire de médecine au xve siècle, il nous trace un tableau de la
vie
universitaire et de l’état de la médecine au moye
er de leurs soucis, ils mènent tous ce que les bourgeois appellent la
vie
d’artistes. Comme tels, au vrai sens du mot, ils
les principes du vérisme, c’est-à-dire qu’il s’efforce de peindre la
vie
réelle ; or, dans la vie réelle, la musique, en t
, c’est-à-dire qu’il s’efforce de peindre la vie réelle ; or, dans la
vie
réelle, la musique, en tant que musique, existe b
er dans la ronde épileptique de personnages dont l’outrance semble la
vie
normale. Ils sentent bien que la musique est sacr
Italie une semblable influence ? C’est douteux. Bien des faits de sa
vie
demeurent du reste psychologiquement inexpliqués.
téressant à plus d’un titre. On y trouve une sorte de raccourci de la
vie
de Savonarole interprétée dans un sens mystique.
ix unique de 9,000 fr. ; ce qui serait une fiche de consolation si la
vie
de l’homme n’était constituée d’un si petit nombr
, qui n’ont pas le temps de s’arrêter aux problèmes métaphysiques, la
vie
et la lutte quotidienne les pressant jour par jou
(L’Esteta) les terribles conséquences de l’esthétique appliquée à la
vie
. M. Zoppis a des qualités littéraires non commune
e, d’une touche très intelligente et très libre, avec, pour fond à la
vie
de l’homme, la vie du temps en sa variété et son
s intelligente et très libre, avec, pour fond à la vie de l’homme, la
vie
du temps en sa variété et son pittoresque, en ses
rnement d’une époque et la couronne d’un temps, mais participent à la
vie
commune d’un État. Ce que j’aime dans le livre de
ins dramatique et moins apparent. Elles sont rares, du reste, car une
vie
comme celle du Magnifique semble disposée d’avanc
s Facéties. Cette traduction nouvelle est précédée d’une intéressante
vie
du Pogge. Nous le voyons tour à tour bel esprit,
hie complète et raisonnée des œuvres de Jacques Casanova. Raconter la
vie
du grand amoureux vénitien était infiniment moins
sans cesse, l’aventure qu’il ne cesse de trouver remplissait toute sa
vie
. C’est là son côté génial. En dehors de cela il y
de l’auteur que par le style trop tourmenté ; mais l’expérience de la
vie
, la mesure, le dessin des personnages, le dévelop
uvelles, Antica Madre, dont il peut être content, car sa vision de la
vie
est sincère, subjective, indépendante de toute su
que je lui dise que jusqu’à ce qu’il ait éprouvé le dramatique de la
vie
vécue, jusqu’à ce qu’il ait senti, lui le premier
u’il ait senti, lui le premier, les frissons, tous les frissons d’une
vie
de bataille, il lui sera bien difficile de nous d
ssé. Celui qui, sans aller au secours d’aucun peuple, vit toujours la
vie
la plus étrangement mouvementée, c’est M. Ceccard
dans les journaux sous une lyrique étincelante. Les difficultés de la
vie
l’ont empêché de se résumer en un livre puissant
evait le considérer comme un de ses enfants, quoique, durant toute sa
vie
, elle ne s’en souciât que médiocrement. Pâtre dan
ient le grand peintre qu’il fut. On connaît fort peu de choses sur la
vie
de Segantini et M. Fred nous en a rapporté tout c
de toute école et des préoccupations exclusivement propagandistes. La
vie
fourmillante et infatigable du monde catholique à
ame de l’Apostolo, Marco Cybo, se développe sourdement sur ce fond de
vie
fiévreuse. Marco Cybo est un apôtre discret et il
ef, après une série d’épisodes qui se nouent au brouhaha de la grande
vie
romaine, une dernière scène se passe dans un peti
le jeune homme aux méditations mystiques et pour lui offrir toute une
vie
de jeune et dévouée passion. Il va tomber sous l’
plus dangereuses, elle lui échappe des mains et se jette à la grande
vie
d’aventures. C’est très curieux le caractère du g
ma à son tour la France. Les Traités ne sont pas si populaires que la
Vie
, et ils méritent d’être connus à fond, car ils éc
une fort belle étude sur Barbey d’Aurevilly. Après avoir esquissé la
vie
littéraire du grand écrivain, analysé ses œuvres,
t assez spirituel pour ne pas se stalactiser sur cette aventure de sa
vie
littéraire, mais cependant le travail important e
ucchi, histoire navrante qu’il raconte lui-même, tableau fidèle de la
vie
du prolétariat et des malentendus qui règnent ent
lui revient à la mémoire et il retombe dans l’hésitation de toute sa
vie
. Il retient les ministres et les officiers et, de
ême plus d’un lettré qui file son cocon dans ses in-folio et passe sa
vie
à déchiffrer des parchemins à grand renfort de bé
instruit, très lettré, très voltairien, a pratiqué la cabale toute sa
vie
. Bien qu’affirmant vingt fois dans son livre son
telle date, tel saint, revenant périodiquement, a été marqué dans sa
vie
par quelque fait important et décisif, ayant une
uelque fait important et décisif, ayant une influence capitale sur sa
vie
. Il a fait de la cabale dans sa prison, pour savo
la forme d’un enfant nouveau-né, auquel en mourant elle donnerait la
vie
. C’est la cabale qui lui a donné ce port de refug
ction qu’il aurait eue pour son fils. Cette affection a duré toute la
vie
entre ces deux hommes qui ne devaient pas se revo
ds de l’homme chargé pourrait faire courber les montants et mettre la
vie
de l’homme en danger. À mesure que l’ouvrier maço
entrer dans tous ses discours ; Londres et Paris étaient la loi de sa
vie
, de son habillement et de ses études, autant dire
endus pour de grosses sommes d’argent par ce plébéien, qui passait sa
vie
au milieu des patriciens Bragadin, Dandolo et Bar
i a fait prendre plug tard ne sont que des grades de parade… Toute sa
vie
et pendant ses voyages, en tout pays, on le voit
ragadin à ce sujet. On peut affirmer que, pendant tout le reste de sa
vie
, fidèle gardien de l’honneur de celui dont il n’a
ts, il ne s’est confié à personne touchant ce mystérieux détail de la
vie
, et que la vérité est restée un secret entre lui
personnage idéal, découvrent de singuliers documents. Les uns sur la
vie
de l’aventurier, postérieurs à celle qu’il a décr
. Nous réservons pour un autre article l’étude de cette portion de la
vie
de l’aventurier. Mais voici que vient maintenant
ique, puisqu’il se base sur les sentiments généraux, héroïques, de la
vie
collective, fut renforcé, au xixe siècle, par de
Bologne et celui de la Faculté de Catane, s’étaient donné, devant la
vie
, une attitude de fierté très farouche, que tous l
prudente, avec le palladium sur l’affût, Je te vois marcher vers ta
vie
nouvelle. En faisant de ton silence de la vigueur
able de les exalter de la sorte, est un pays qui peut espérer. La
Vie
anecdotique. Virgilius Nauticus Guillaume Apo
depuis plus de vingt ans, l’intéressante copie et que mes travaux, ma
vie
errante, ma curiosité peut-être trop éclectique m
courtisane dite « la Charpillon », qui, pour la première fois dans la
vie
de l’irrésistible séducteur, fit sentir au héros,
oup, qui vient d’eux-mêmes, avec beaucoup de fougue et d’éclat. La
Vie
anecdotique. À l’exposition des peintres futurist
par l’escalier (à la mode futuriste amalgamés dans l’ensemble) et la
vie
de toute cette foule. Ici il faut comprendre que
te Catherine par les anges), compositions mythologiques, scènes de la
vie
réelle, etc. Ce merveilleux ensemble décoratif fu
dises. Ces survivances du passé sont excessivement nombreuses dans la
vie
italienne ; nous en pouvons noter dans tous les d
en Italie, aux yeux du voyageur, le passé écrase le présent, dans la
vie
même du peuple, il le paralyse trop souvent aussi
s travailleurs qui produisent journellement l’aliment nécessaire à la
vie
de tous pour un salaire souvent dérisoire et ont
ctuels. Garibaldi est en effet le héros populaire par excellence : sa
vie
est romanesque, son âme simple, presque enfantine
peuple, accessibles tous deux à ces émotions fécondantes que donne la
vie
dans ses expressions les plus fortes et les plus
e leur a-t-on conservé leur autonomie ! On n’a pu créer à Rome qu’une
vie
factice. Rome est remplie d’employés, de prêtres
arrive si souvent, les meilleurs et les plus généreux donnèrent leur
vie
pour le triomphe des arrivistes et des brasseurs
rtile s’ouvrait à leur activité ! Que de problèmes urgents offrait la
vie
italienne ! Sous beaucoup de rapports, le pays de
e liberté que l’on chercherait en vain dans les autres domaines de la
vie
sociale ; les dirigeants, confiants dans la toute
rsité de Bologne, j’ai rencontré bon nombre de jeunes gens menant une
vie
simple et sobre et se dédiant tout entiers à la s
ses agents provocateurs, renforcés, s’il le faut, de gens de mauvaise
vie
prêts à tout faire pour de l’argent, pour entraîn
de familiarité entre les classes, elle est nettement marquée dans la
vie
, dans les usages et même dans la langue : tout vr
villes les moins ouvertes aux idées révolutionnaires ; on y voyait la
vie
sociale s’arrêter brusquement, comme dans un orga
ience de lui-même : il lui suffisait de cesser le travail pour que la
vie
de la société entière fût paralysée, et il venait
entre les murs de leurs laboratoires, mais restent en contact avec la
vie
ambiante et essayent d’éveiller chez le plus gran
, 1er avril 1912 Histoire. Pierre-Gauthiez : Dante. Essai sur sa
Vie
d’après l’Œuvre et les Documents. Henri Laurens,
ôté toute une région non officielle, grosse, en son ombre, de plus de
vie
, d’explications intimes, qu’en leur éclat des scè
us mortuaires. « Ces campagnes, où il passa la meilleure part de sa
vie
, c’est là que survivent les noms de la plus vieil
nse poète Dante, le héros Dante. Au demeurant, l’homme Dante, dans sa
vie
de citoyen et de magistrat, se silhouette à peu p
vre maligne, le 14 septembre 1321. En somme, ces années, — quoique la
vie
de Dante fût assurément celle désormais d’un homm
rosaïque et plastique Florence ne cessera plus de se tenir ferme à la
vie
, à l’art, à la réalité. Son œuvre est sauvée par
emporte et conduit Dante à travers et par-delà tous les orages de la
vie
. Son premier élan franchit et mesure la sphère de
l’énergie psychique et à la théologie, à la morale de la nature, à la
vie
et à l’esthétique des abîmes. J’y reviendrai, de
e des Plombs, que Casanova ne se bornait pas à tenir un journal de sa
vie
, notes sommaires, mais que, pour que l’officier t
ne, le titre d’étranger est une offense. Tous ces détails, pleins de
vie
, sont omis dans l’édition Rozez. II Casanov
de ce jeune Italien, joueur, escroc, débauché, qu’on voit au IIe, Ve,
VIe
volumes. Casanova, l’appelle Croce, Della Croce,
Pie X ; puis aussi les bonheurs de carrière qui commencèrent dans sa
vie
vers la quarantième année, le déterrèrent de sa c
nts primitifs et éternels de l’homme, Pascoli ne devait considérer la
vie
que comme un chant très doux, d’attente et de rep
la catastrophe fut plus vaste, elle redemande âprement son droit à la
vie
, s’y efforce héroïquement ; puis, vient une pério
oraison dans le monde des arts, qui est le représentant suprême de la
vie
d’une race, elle produisait un art d’imitation et
frir en douceur, toute la bonté des promesses et des souvenirs, de la
vie
merveilleuse et de la mort immanente, telles que
e tous les horizons de la mort, qui vont vers tous les horizons de la
vie
, répétant, automates du Destin immuable, les gest
le de sa rentrée à Venise, bien que le manuscrit porte Histoire de ma
vie
jusqu’à l’année 1797. Certains ont pensé que Giac
t bien pu se laisser aller à écrire sur le Comte de Waldstein, sur la
vie
au château de Dux, où il était bibliothécaire, su
evenait une obligation ; peu d’intérêt pour les faits avouables de sa
vie
, et révolte contre les autres qu’il cachait avec
objectera-t-on, que la couverture du manuscrit portait Histoire de ma
vie
jusqu’à l’année 1797. — Qu’on ne cherche pas. Le
lui-même. Casanova écrit de très bonne foi son titre : HISTOIRE DE MA
VIE
jusqu’à l’an 1797. et il se met au travail. L’édi
797. et il se met au travail. L’édition de Garnier a VIII volumes. Au
VIe
volume (il a 552 pages) il écrit à la page 484.
. Nous sommes en 1774. Comment il aurait pu faire tenir 24 ans de sa
vie
en un seul volume, comment s’en serait-il tiré po
ie en un seul volume, comment s’en serait-il tiré pour le récit d’une
vie
particulièrement difficile à conter ? C’est ce qu
etc. PIERRE DAUZE. Tome XCVII, numéro 359, 1er juin 1912 La
Vie
anecdotique. La Chambre de M. Canudo Guillaume
a vaste campagne, auprès, des Cyclopes violents qui leur faisaient la
vie
dure, étant plus puissants qu’eux ». Ce texte ren
us comprenons enfin ; rien n’est impressionnant comme cet exode de la
vie
qui s’est enfuie d’elle-même… Après une herse, vo
alisme d’une caserne à côté d’une prison, ajoutent à l’illusion de la
vie
! Est-ce donc hier qu’une malédiction a frappé la
deur de ces horizons ? Cette vieille cité que nous croyions pleine de
vie
encore, n’est-ce pas pour nous rapprocher d’eux q
de projeter quelques lueurs nouvelles sur la Divine Comédie et sur la
vie
du Divin Poète. Memento [extrait] […] The
te. Ces belles œuvres sont d’un magnifique mouvement, d’une admirable
vie
païenne et d’une libre richesse décorative. Tiepo
remarquer surtout chez les « jeunes », parmi les derniers éclos à la
vie
intellectuelle du pays. Les attitudes littéraires
n d’envergure. J’entends par là qu’il est un des rares auteurs que la
vie
touche et impressionne assez profondément pour qu
es pensées. M. Rivalta semble s’efforcer vers de larges visions de la
vie
passée et de la vie présente. Quelques-unes de se
ta semble s’efforcer vers de larges visions de la vie passée et de la
vie
présente. Quelques-unes de ses œuvres théâtrales,
endances tragiques très neuves. Dans l’Escalade, l’écrivain décrit la
vie
présente, la vie complète et incomplète qui nous
s très neuves. Dans l’Escalade, l’écrivain décrit la vie présente, la
vie
complète et incomplète qui nous environne, nous r
plus démesurément grand, le fait avec l’esquif. Le besoin de vivre sa
vie
, et de la vie en soi, est le fatum indéniable de
ent grand, le fait avec l’esquif. Le besoin de vivre sa vie, et de la
vie
en soi, est le fatum indéniable de cet exemplaire
x foyers du cercle en mouvement, du cercle écrasé, de l’ellipse de la
vie
individuelle et collective. Toute la vie sociale,
e écrasé, de l’ellipse de la vie individuelle et collective. Toute la
vie
sociale, aujourd’hui comme toujours, n’est qu’une
iation du grand thème double imposé à l’homme depuis les débuts de sa
vie
sociale. Mais l’Or est représenté à présent par l
, ses héros sont ballottés entre leurs désirs et les nécessités de la
vie
», dit la « prière d’insérer ». C’est l’éternelle
Cours d’Amour » dont la législation compliquée réglementait toute la
vie
amoureuse. De là, enfin, la forme du langage : ta
les opérations de la conscience, qui nous livre la tension même de la
vie
mentale de l’orateur, et ne s’éclaire pour nous q
d’un débile mental, on doit cependant admettre que l’ignorance de la
vie
du temps si marquée chez Claude Gelée ne permet d
s personnages, en permettant ainsi à son compagnon l’expression de la
vie
des ports, en lui offrant l’exemple de cet air hi
uent, aux yeux du naturaliste qui démêle la communauté des lois de la
vie
sans sacrifier l’originalité de leurs objets, à m
ation de la personne des peintres paysagistes, de leur esprit, par la
vie
journalière à leurs côtés. Sans doute, le peintre
t par leur précision locale, un peu comme des pièces à conviction, la
vie
et le crédit d’un récit légendaire, l’antiquité n
té du paysage. Une étroite intimité, renouvelée à plus d’un âge de la
vie
, avec la nature méditerranéenne, permet de distin
ou égocentrique, l’individu considère les diverses disciplines de la
vie
extérieure à lui-même comme des suppléments, qu’i
endait ses bras vers la mer bienfaisante, sonde à l’extrême cap de la
vie
, dans le furtif orient du bonheur, on ne sait que
rte, au sein de la classification des facultés, à l’affectivité, à la
vie
des sentiments, ont (fort vraisemblablement) mis
: La Fresque de Pompéi, Plon, 3,50 Ces contes sont à la fois de la
vie
brutale et de l’imagination intense. Une femme fa
ds de l’homme chargé pourrait faire courber les montants et mettre la
vie
de l’homme en danger. À mesure que l’ouvrier maço
à fermer les yeux ; mais c’est tout, je ne vais pas plus loin, car ma
vie
est en jeu. « Je ne vous prête pas d’outils parce
se refuse à faire appel à un quid mystérieux ; il se demande « si la
vie
ne serait pas due à quelque forme spéciale d’éner
ans la biblio-iconographie de son ouvrage. L’auteur suit pas à pas la
vie
du célèbre thaumaturge — dans ses différents voya
Marc Haven ait complètement réussi à dissiper les obscurités dont la
vie
de Cagliostro — je ne parle pas ici de son origin
nt sans arrière-pensée. » Ce qui veut dire qu’on ne sait rien sur la
vie
de Bazzi surnommé le Sodoma, sauf ce qu’en dit Va
és assez fortes. M. Hauvette n’ajoute rien à ce que l’on savait de la
vie
du peintre, rejette de l’œuvre du Sodoma certaine
désir de se soustraire à cette vision lyrique et douce. « Admirable
vie
, dit M. Pichon, unique peut-être, vouée à la sain
la sainteté fleurit en art, où l’art se parfume de sainteté… Oui, sa
vie
était belle et son œuvre féconde et ses derniers
uleur de son rêve. D’ailleurs cette ignorance où l’on se trouve de la
vie
du grand artiste de la renaissance italienne n’es
s revues et les périodiques gais ne s’arrêtent pas de s’occuper de sa
vie
, d’un autre côté il est difficile aux littérateur
t, plus qu’à la mort, les deux vers qui sont le thème intérieur de sa
vie
, vécue avec tant de plénitude, et où il parle de
tra il tedio de la vita e la paura de la morte, entre l’ennui de la
vie
, et la peur de la mort. Son âme oscille de la sor
rand chrétien, et qui se nommait Adolphe Bermont. Entre l’ennui de la
vie
, et la peur de la mort… Le poète ne retrouve pas
e est précédé d’un court avant-propos de sa sœur Marie. On connaît la
vie
étrangement, mélancoliquement paisible, du frère
apte, ni destinée. Jusqu’à il y a quelques semaines, j’avais, dans la
vie
, ma mission — et combien douce ! et, parce que do
après la mort du poète l’hostilité qu’il endura si fièrement toute sa
vie
. Mais ils auraient pu choisir, au moins, pour le
un boulevard », il était désemparé, ne pouvant ni revenir à sa simple
vie
d’autrefois, ni supporter sa vie nouvelle. Il che
é, ne pouvant ni revenir à sa simple vie d’autrefois, ni supporter sa
vie
nouvelle. Il cherchait « une charrue assez forte
r pour sympathiser avec vous. C’est cette simplicité supérieure de la
vie
qui en révèle les quelques plans, et pourtant les
rique tout entier. Verdi ne l’a pas dépassée. Cet art bouillonnant de
vie
, rutilant comme de soleil jusque dans l’expressio
pas avec dédain, de les chicaner et de nous chicaner au sujet de leur
vie
, ce qui est, à coup sûr, plus facile et plus amus
est contraire chez les deux hommes, le caractère, la conception de la
vie
et la vie elle-même, l’enthousiasme et l’orgueil,
ire chez les deux hommes, le caractère, la conception de la vie et la
vie
elle-même, l’enthousiasme et l’orgueil, la facult
ver « la vérité psychologique » de ce fils de la Renaissance, dont la
vie
fut plus belle, plus émouvante et plus profonde q
rop désirer, sans jamais avoir l’illusion que ce que les hommes et la
vie
lui donneraient pourrait le satisfaire. Il se sen
rtant » pour la littérature italienne que ne le fut le Tasse, dont la
vie
fut pourtant si complètement intéressante. Luc
altation de l’âme derne, de la vision moderne, toute combative, de la
vie
, de l’énergie nationale et humaine qui se veut su
e est contenu dans les premiers vers du premier chant : la Cellule.
Vie
, effort herculéen De l’infini, Contre le silence,
fort herculéen De l’infini, Contre le silence, contre les ténèbres.
Vie
, échine géante Qui comme Atlas Régis le rocher du
le calme qui enveloppe d’ombres Les mouvements et les espérances… «
Vie
, effort herculéen de l’infini, contre le silence,
ontre les ténèbres… » Cette lyrique et philosophique définition de la
vie
, puissante et précise, est digne d’un poète philo
range force ce thème de magnifique compréhension première de toute la
vie
. Certes le style futuriste, si l’on peut s’exprim
Edwim Frankfurter, Lausanne Tout autre, aussi est la vision de la
vie
, noble, sobre, élégante et profonde, de M. Girola
lise la statue du pape dont M. Henry Cochin nous retrace sobrement la
vie
. — C’est en effet bientôt le drame, les démêlés d
t, j’étais prévenu de la place qu’elle devait ensuite occuper dans ma
vie
?… Il arrive que, rencontrant pour la première fo
distraitement les notes de mon ouvrage : Survivances antiques dans la
vie
napolitaine moderne, et souvent je levais les yeu
lle et malicieuse ; tête adorable sur laquelle tous les reflets de la
vie
, toutes les expressions de la rêverie, de la pass
e, sans doute. Elle devait rêver, elle aussi, beaucoup, longtemps… La
vie
devait lui apparaître comme à une enfant, toute p
êts, fruits, murmures de sources, oiseaux, chansons. Je songeais à la
vie
d’une jeune fille, et je mesurais l’immense bonhe
st toi ! Ah ! te voilà ! toi que j’attendais ! toi, mon roi ! toi, ma
vie
!… » Tout ce que je voyais d’elle me touchait. Un
aque jour de la voir, derrière mon volet, et que cela était devenu ma
vie
. Un soir, dans une heure plus lucide, j’avais dis
ù l’amour m’emportait, toutes les forces de moi-même, le centre de ma
vie
, se questionnait avec anxiété. Mais, à Naples, co
ivaux. Ne la voyant que chez elle, il m’était difficile d’imaginer sa
vie
au dehors ; j’étais porté à lui attribuer une exi
j’occuperais, petit à petit sa pensée, je ferais un peu partie de sa
vie
. Ensuite, le hasard veuille que nous nous rencont
se mettre au lit elle persistât à laisser sa fenêtre ouverte. Mais ma
vie
devait lui paraître singulière ; sans doute, se d
un projet. Je ne savais plus rien de mon existence à venir ; toute ma
vie
était entre ses mains ; je ne désirais que de con
enaient à présent. Je réfléchissais à cette aventure, au hasard de la
vie
. Si sa fenêtre n’avait pas été d’abord fermée, et
On se renouvelle, ou bien l’on renaît. Le formidable « ouragan de la
vie
», qui bouleversa et sublima le cœur héroïque de
d’âmes. Il s’y acharne depuis des années. Il compose et distribue sa
vie
comme les chants d’une épopée. On le bafoue, on s
tenu à présenter un tableau, tout à fait réduit à l’essentiel, de la
vie
littéraire italienne des derniers temps, c’est qu
… contre moi… allez-vous donc bondir ? Et le sentiment général de la
vie
des autres, une sorte de « sensibilité collective
e, mauvais, sarcastique, cruel, M. Aldo Palazzeschi évoque toutes les
vies
multiples des êtres et des choses sinistres, auto
es. Elles possèdent toute béatitude ; ce qui comprend une félicité de
vie
active et une autre vie contemplative. Si nous in
e béatitude ; ce qui comprend une félicité de vie active et une autre
vie
contemplative. Si nous inférons que Dieu a pu cré
e aussi de celles qui ont figure humaine et souffle de bétail !… « Ma
vie
intime n’est autre chose qu’un penser. » IX. — E
stupide, la plus vile, la plus damnable, c’est de croire qu’après la
vie
présente il n’y en a point d’autre. Si notre espé
ction serait pire que celle de nul animal, car beaucoup sacrifient la
vie
terrestre à la vie future. XI. — Dante a lu Boëce
ue celle de nul animal, car beaucoup sacrifient la vie terrestre à la
vie
future. XI. — Dante a lu Boëce dans la tristesse
ssance elle vous a aimés, préparant et ordonnant votre entrée dans la
vie
. Ensuite, elle est venue à vous pour vous diriger
III. — Le fondement de la majesté impériale, c’est la nécessité de la
vie
civile. L’état a besoin d’un pilote, comme un vai
ence. IX. — L’autorité impériale a été créée pour la perfection de la
vie
humaine, comme guide et régulatrice de nos actes
ripatéticiens : « Quiconque va cherchant sa béatitude suprême dans la
vie
active ne l’y trouvera pas ; même dans le cercle
cé. On peut même dans le mariage (orthodoxie) se convertir à la bonne
vie
religieuse (secrète), car Dieu n’exige en nous qu
s. Oh ! malheureux et ingratement-nés, vous qui préférez sortir de la
vie
sous le nom d’Hortensius plutôt que sous celui de
la culture scientifique moderne de l’autre ; et de là aussi entre la
vie
religieuse, avant tout extérieure et rituelle, et
e de recherche anxieuse d’un nouvel équilibre entre la religion et la
vie
, et non de dissolution de celle-là. Et de cela, à
r l’esprit qui ne peut orienter que vers elle les fins suprêmes de la
vie
et de l’activité consciente. Dans la vie sociale,
elle les fins suprêmes de la vie et de l’activité consciente. Dans la
vie
sociale, la démocratie, déjà considérée comme un
tion et de formation des consciences, prises dans la totalité de leur
vie
. Dans l’apparente dissolution, laquelle n’est rée
dans une conception rationnelle, claire et sûre de l’univers et de la
vie
. Et l’idée religieuse évolue, nécessairement, d’u
formules, plongeant dans le mystère, y puisant l’amour, la force, la
vie
à traduire en action. M. Vilfredo Pareto. Prof
, idée fixe, en tuant un grand personnage, d’accomplir, au prix de la
vie
, une action d’éclat profitable à l’humanité, orgu
rnement : il a même à ce sujet une certaine philosophie et dit : « La
vie
est brève. Fugit irreparabile tempus. » Mais il s
ifient selon un mode unique, et leur art est ainsi aussi varié que la
vie
. Les autres, au contraire, les académiques, négli
universelle : car, par le fait même qu’elle prend son origine dans la
vie
, l’œuvre d’observation en conserve forcément et b
76 [175]. […] Le romancier n’a garde d’omettre cet épisode ; c’est la
vie
entière du poète qu’il remet en scène, depuis la
’en va. Le héros de ce livre, Vittore Rodia, au lieu de se plier à la
vie
, voudrait plier la vie à ses principes ; c’est un
livre, Vittore Rodia, au lieu de se plier à la vie, voudrait plier la
vie
à ses principes ; c’est un logicien qui s’indigne
en soi n’est qu’une vanité, et d’ordonner ainsi une conception de la
vie
plus harmonieuse et plus pure. C’est un idéaliste
ola : Naples — Pompéi — Raguse. Sur les Napolitains : « Ils aiment la
vie
. À l’opposé des peuples avides qui la préparent s
re 1897 Romania, folklore. I Fioretti. Les Petites Fleurs de la
vie
du petit pauvre de Jésus-Christ, saint François d
: un homme mettait d’accord, jusqu’à l’extrême, jusqu’à l’absurde, sa
vie
et sa croyance. Quelle leçon et comme cela appren
de pillage, car, disait-il, s’ils avaient de quoi manger et passer la
vie
, ils ne songeraient point à se faire voleurs. C’e
i parfaitement retraduits par M. Arnold Goffin, on ne trouvera que la
vie
légendaire de François d’Assise et de ses discipl
de ses disciples ; elle est charmante, mais bien moins belle que leur
vie
réelle, qui ne fut pas seulement de rêves et d’ex
d’extases, mais de luttes même sociales et de charité héroïque. Cette
vie
, il faut la chercher dans le livre admirable que
ivin. Un biographe très sévère ne relèverait pas une tache dans cette
vie
si commentée, pourtant, et si souvent travestie.
gèrement désappointé. Il fallait dire quelque chose de l’homme, de sa
vie
, de ses œuvres. On sait qu’entre la vie de Frédér
elque chose de l’homme, de sa vie, de ses œuvres. On sait qu’entre la
vie
de Frédéric Nietzsche et ses théories il n’y a pa
rédéric Nietzsche et ses théories il n’y a pas trop de cohérence ; sa
vie
était pure, simple, dévouée, amoureuse ; sa philo
ion presque sans borne, qu’il justifie, d’ailleurs, en considérant sa
vie
, son œuvre, les jugements qu’on a portés sur lui
e Robert Hamerling est scrupuleuse, minutieuse, abondante. Quoique la
vie
du grand poète autrichien n’offre pas d’aventures
71. Lettera che rifrisce la qualità delle Cortigiane di Venetia. 3.
Vie
de Saint François d’Assise, Paris, librairie Fisc
vous apporte les dernières nouvelles de la terre où vous trouviez la
vie
si bonne et où nous avons tant vécu ensemble pend
de femmes. Cette sempiternelle écriveuse de Mme de Sévigné n’a de sa
vie
écrit une seule lettre de femme. Ravà, dans son o
u présent ! Allons, en avez-vous rencontré deux semblables dans votre
vie
amoureuse ? — Je vous aime, aimez-moi. — Je ne p
plus fort. Quand nous cherchions à débrouiller les mystères de votre
vie
, il était à peu près convenu qu’on travaillerait
e de plomb qui est en avant de la mansarde ; mais il préfère jouer sa
vie
, en cherchant, trouvant, traînant, introduisant c
bsurde, il a trouvé l’échelle, l’a traînée, introduite au péril de sa
vie
, il a même eu sa crampe ; je vous cède toute la p
e dans son même style emphatique ? Et cela au moment d’aller jouer sa
vie
dans une semblable entreprise ! Si poseur et ergo
evue ? J’étais si attiré vers vous, vous m’aviez été si utile dans la
vie
, j’avais puisé dans votre philosophie tant de leç
mme, la tendresse et la reconnaissance pour ceux qui nous ont fait la
vie
heureuse, le souvenir du service rendu ; ce qui e
univers, ma Psyché existait ; que le reste, tous les hommes, toute la
vie
, s’était écarté autant de mon esprit que les plus
Alors seulement, je ne sentais plus que je l’attendais, que toute ma
vie
s’élançait vers elle, et qu’elle n’était pas là,
plus, nous serions entièrement l’un à l’autre ; nous passerions notre
vie
au milieu d’un Eden, dans le ravissement et la co
-même ? J’allais la compromettre irrémédiablement, j’allais briser sa
vie
. Avais-je le droit de le faire ?… J’avais plus d’
eu, je reprenais conscience, ma pensée se dépouillait de l’ombre ; la
vie
me ressaisissait. Tout de suite la scène de cette
ntenant vide pour toujours. Celle qui faisait mon bonheur et toute ma
vie
roulait peut-être déjà loin d’ici, sur une route
ais jusqu’au restaurant ; et peut-être la marche, l’air de la rue, la
vie
autour de moi m’apporteraient-ils quelque idée, u
et du bourdonnement de ruches joyeuses qui sortaient des maisons. La
vie
n’était plus qu’insouciance et clarté. Et quand j
ussi vite que je m’en étais échappé tout à l’heure. On eût dit que la
vie
avait abandonné cette maison. Sa fenêtre, qui mai
plus jolis rêves. IX Le matin, en m’éveillant, je souriais à la
vie
. Je me mis à la fenêtre, tout enchanté du soleil
ienveillant sur les lèvres, la main tendue. Deux petits fox pleins de
vie
le suivaient, qui se mirent à sauter sur moi, en
ns, nous possédions un merveilleux secret ; il y avait entre nos deux
vies
un lien clandestin et inouï. Nous allions révéler
belle ? Après tout, se marier ce n’était point tellement absurde. La
vie
de garçon est si souvent fâcheuse. Posséder une m
n’était pas moins bon. Pourquoi donc alors le regretter ?… Passer ma
vie
avec elle, n’était-ce pas tout ce que je souhaita
ils sont bavards et moqueurs, tout occupés du dehors, et passant leur
vie
à se conter les uns sur les autres mille petites
oyage, je conserve un souvenir inoubliable. Je n’imagine pas qu’autre
vie
que la mienne ait connu des minutes plus pleines,
s portiques. Et l’admirable paysage candide s’animait. Elle redonnait
vie
à la fontaine Aréthuse et au fleuve Anapo. Et sur
l’attention de M. Chledowski, ce n’est pas tant l’art lui-même que la
vie
, l’atmosphère ambiante où naît une œuvre d’art, l
our papale qui serait surgi du fond de sa tombe, souriant et plein de
vie
, pour nous raconter les choses dont magna pars fu
he à sortir du cadre étroit des limites de son milieu, à perpétuer sa
vie
en la liant indissolublement à quelque force éter
able du couple, tant qu’il restera dans les conditions adéquates à la
vie
matérielle et aux lois de la pesanteur. Hélène, a
e et aux lois de la pesanteur. Hélène, ainsi doublement attachée à la
vie
de la terre, continuera à pouvoir donner à Faust
pe matérielle s’anéantit. Ainsi, comme le dit Hélène, « le lien de la
vie
et de l’amour est déchiré », et, comme son fils,
is comme sexe que pouvait l’être celui d’une ombre, et marque dans la
vie
du héros de d’Annunzio un épisode aussi important
zio un épisode aussi important que la disparition d’Euphorion dans la
vie
de Faust. Dans les deux cas, c’est le fait surnat
du sexe pour ne se rattacher qu’à la beauté. Est-ce une honte, Si ma
vie
brûle pour l’amour De l’Amour …………………………………………. (
…. (P. 32.) Amour, que je sois assouvie ! Seigneur Amour, voici ma
vie
. (La Sainte, p. 35.) Des profondeurs, des profo
au moral dans l’effort de civilisation que Faust tente à la fin de sa
vie
, mais la beauté est une chose tellement païenne q
é, pour ramener Faust dans les voies de la rédemption, de terminer sa
vie
par un retour à la bonté. Saint Sébastien n’est j
écrit une notice critique qui nous apporte quelques précisions sur la
vie
et sur l’œuvre de ce Pierre, dit l’Arétin, qui, «
ite, plus tard les bas commérages de l’Histoire Auguste, retracent la
vie
et le destin. Mais surtout, pour qui sait rapproc
arfois amusé, est le plus souvent tragique, M. Bugatti saisit dans la
vie
animale le pittoresque, le rare et disons même le
ardes, s’acharne depuis des siècles à imposer son droit héroïque à la
vie
, il eut de sa race l’orgueil individualiste étroi
cru à la non-croyance, et d’avoir cherché pendant tout le reste de sa
vie
les sources désaltérantes d’un mysticisme qui s’é
uelle, très milanaise, de ses regards, jetés, en s’en moquant, sur la
vie
, n’ont pu le sauver. Il s’est abîmé au fond du go
du Rhin. « Toute fierté est donc vaine, écrivait-il ; le Monde et la
Vie
ne finissent certainement pas là où commence l’ig
de pauvre. « Ni convoi funèbre, ni discours, ni fleurs. Silence ! Ma
vie
fut douleur. Je prie Dieu que ma mort soit paix.
t des faits complexes et dans les plus efficaces accointances avec la
vie
publique ; le second ne le représente que dans le
té. La biographie de Cola di Rienzo abonde en de semblables pages. La
vie
du Tribun romain est représentée avec une opulenc
à la Carlyle ou à l’Emerson. Il y a un peu de tout cela dans cette «
Vie
». Il y a surtout le désir de se rapprocher des g
a main le signe de la croix là où il était sur le point de laisser la
vie
, il embrassa le signe fait ; ôta le capuchon somb
tête sauta. Au jet véhément du sang, on connut la puissance de cette
vie
… La geste du Tribun de Rome est évoquée dans tou
st, dans l’esprit de l’écrivain, le premier d’une série consacrée aux
Vies
d’hommes illustres et d’hommes obscurs, pourquoi
scagni, ces maestri par lui si honnis jadis. Mais quel dommage que la
Vie
de Cola di Rienzo n’ait pas sollicité autrefois s
brairie Nationale Toute autre d’esprit, de forme, de vigueur et de
vie
, est l’évocation de Dante que M. Charles Maurras
et la Province — pour pouvoir vérifier dans l’immense spectacle de la
vie
sociale les différences, et y connaître les inuti
eur de Rome, Grégoire, qu’on surnomma le Grand (540-604), embrassa la
vie
religieuse. C’était à l’époque où la capitale de
e. À tous ceux qui s’inspirent d’un haut idéal, dans l’art et dans la
vie
, idéal défini par l’ambition de la race qui veut
unter ce chef-d’œuvre au répertoire de la Schola, pour lui rendre une
vie
nouvelle et en vulgariser la beauté. Les décors e
’un charme tout particulier… Lionello aimait à jouir pleinement de la
vie
. Son esthétique raffinée le portait vers les chos
trer des faucons de chasse, des léopards et des singes, à célébrer la
vie
heureuse des villageois, à représenter des combat
ur reproduit des estampes sorties de ces premières presses. […] La
Vie
anecdotique. Un livre invraisemblable Guillaume
chrétiens schismatiques de l’Égypte et de l’Abyssinie. Ils mènent une
vie
austère, mais souvent très autoritaire. « Phlégét
its plus notoires, servent admirablement à compléter le tableau de la
vie
du xviiie siècle ». M. Aldo Ravà nous apporte un
fet : rien de moins que… la désystématisation, dans les détails de la
vie
même, du monstre — après coup ! — du monstre, a p
sement, c’est là le tout, cependant. Il faut restituer à Machiavel sa
vie
; il faut restituer à sa vie ses idées. Idées d’u
endant. Il faut restituer à Machiavel sa vie ; il faut restituer à sa
vie
ses idées. Idées d’un vivant profond et douloureu
. Idées d’un vivant profond et douloureux ; explicables par ce que la
vie
a de plus obscur, de plus menaçant, ah ! oui, et
artient à Machiavel en un sens très intime. Elle est le produit de sa
vie
, de son caractère et de sa carrière aux prises av
enu « le roman de l’Italie mourante », le livre affirme le droit à la
vie
« en dehors de toute préoccupation métaphysique »
n-air — à l’instar du « Plein-Air » français d’il y a dix ans. La
Vie
anecdotique. Une répétition de « La Pisanelle »
de Max ou au simple figurant. Il parvient ainsi à donner beaucoup de
vie
aux attitudes scéniques. Pendant que j’assistais
départ. Mais voilà, il y a le point de départ. Si les reflets ont une
vie
composée et interpénétrable, en est-il de même de
et contournés de l’époque Louis-Philippe. Elle sert aux besoins de la
vie
de ce quartier important de la cité. Les femmes a
vendredi matin. On se préparait à fêter le Sabbat. De toute part une
vie
intense, qui nous console du silence arabe. Ses h
le seul moyen de s’emparer de l’ex-vilayet, sans grandes dépenses de
vies
humaines. Tous les jours, les chefs de territoire
t si peu dans l’habitude d’un peuple qui ne cherche point à rendre la
vie
aux choses qui se trouvent sur le seuil de la mor
indocilité, et qu’il n’était point nécessaire de lui faire perdre la
vie
, on l’envoyait à Tripoli. C’était pour lui l’exil
oisser les convictions religieuses qui pénètrent tous les actes de la
vie
civile des indigènes et à établir des lois réguli
issue du code Napoléon à des Mahométans qui ont une conception de la
vie
si différente de la nôtre. En Italie, par exemple
t compris que dans ces pays, où la foi religieuse est à la base de la
vie
et accompagne l’homme dans toute son existence po
ir ou comme prolongatrice de la race, elle ne joue aucun rôle dans la
vie
sociale, les sœurs qui voulaient instruire les pe
e gouvernement italien a déjà satisfait aux besoins primordiaux de la
vie
administrative et intellectuelle de l’État coloni
eût jamais songé. En effet, des hommes qui gagnaient péniblement leur
vie
en effectuant des labeurs parfois durs et qui, bi
é de réaliser avec un budget minime. » Dans ces pays musulmans, où la
vie
de la cité se continue fort avant dans le soir, i
re de leur demeure nomade. La tente. C’est là que se passe toute leur
vie
. Cet abri entend les premiers vagissements de l’e
uines romaines, villes, fermes fortifiées et châteaux, indique qu’une
vie
intense régnait dans ces lieux aujourd’hui triste
éthodes de culture, il est possible que dans ces contrées désolées la
vie
reparaisse. L’humus semble prêt à produire de bel
emplant, dans la distance infinie des siècles, l’actualité même de la
vie
, ressuscitée ! Le plaisir, la magie, dont on ne s
scientifique, elle est là, flagrante. Le vaste oubli se dissipe et la
vie
de nouveau se lève en sa jeunesse, comme avant le
n donnant, sous forme d’éloge funèbre, avec maints détails précis, la
vie
d’une matrone à l’époque agitée du second triumvi
venirs) ; « la Sorcellerie et les Sorcières chez les Romains » ; « la
Vie
de garnison et la religion des soldats dans l’Emp
les a une fois regardées. Qui sont ces personnages ? Quelle fut leur
vie
, joyeuse ou tragique ? M. Robert de la Sizeranne
mes des Tornabuoni. En 1488, la naissance d’un second enfant coûta la
vie
à la « Bella Vanna » ; elle avait vingt ans. Poli
e, les matières précieuses, la beauté décorative, de faire jaillir la
vie
au détriment de l’austérité. Si l’art de la Contr
te eût été encore appelé pour l’embellir. La plus grande partie de la
vie
du Bernin a été consacrée à ce prodigieux effort.
pièces justificatives aux assertions formulées dans l’Histoire de sa
vie
: È cosa urta, écrivait-il, che dopo il mio pas
même quand on n’a pas le sou !) Le pauvre Trismat promène avec lui sa
vie
intérieure, une belle hallucination poétique le t
re 1913, p. 388-398 [389, 394-395]. Quelques pièces relatives à la
vie
de Louis I, duc d’Orléans, et de Valentine Viscon
la liberté de l’art, et du but où tendait le sien : la peinture de la
vie
, sans souci d’édifier ni de corrompre, une esthét
si simple n’est funeste que si l’artiste n’a point d’amour pour cette
vie
qu’il se propose de peindre. Ce n’est pas le cas
; c’est pourquoi nous reconnaissons sur son œuvre les couleurs de la
vie
. Il est sans doute inutile de rendre un hommage
ésignées de ces sceptiques faux naïfs, de ces ratés de l’art et de la
vie
. Ces poètes ont lu Laforgue et Jammes et surtout
urtout à créer un nouvel état d’esprit dans toutes les branches de la
vie
italienne. Elle voulait exercer une fonction de c
randes questions de culture qui touchent à la vie quotidienne et à la
vie
sociale : problème du Midi ; réforme de l’instruc
crivain très remarquable et qu’on n’avait pas assez estimé pendant sa
vie
: Alfredo Oriani, romancier, historien, penseur.
ce ; Disfatta ; Gelosia, romans (Bari, Laterza, 1913, 3 vol.). La
Vie
anecdotique. Futurisme Guillaume Apollinaire.
[Autre changement d’écriture.] Mélancolie, nymphe gentille Ma
vie
Je te consacre. Zanella, abbé de Vicence,
as de son mari qui, héroïquement, fit le geste de vendre chèrement sa
vie
pour défendre contre des amis sans pitié sa compa
F.-S. Flint, celle-ci fort bien informée des choses de France. La
Vie
anecdotique. Le tribunal futuriste Guillaume Ap
ca, qu’illustre une profusion de reproductions photographiques. La
Vie
anecdotique. Giovanni Moroni Guillaume Apollina
s un coin avec Maldino. Ce personnage tenait une grande place dans ma
vie
. C’était un pantin peint en vert, en jaune, en bl
quer, devant certains portraits de personnages illustres, l’âme de la
vie
des modèles, à soulever, pour ainsi dire, le masq
visage réel, animé des sentiments et des passions qui remplirent leur
vie
. Cette fois, c’est À Florence et au Louvre (Portr
leaux de nos musées prennent un aspect nouveau, vivent d’une nouvelle
vie
. Tome CVI, numéro 396, 16 décembre 1913
e une matière superbe à traiter non moins dans les livres que dans la
vie
; on en parle depuis des siècles et le thème n’es
nnages de roman ; je peux croire qu’il y a là quelque événement de la
vie
réelle, revécu dans le cerveau et à travers le te
ur que, dans la Ville morte, il n’y ait plus personne qui aspire à la
vie
? Car Blanchemarie n’aime pas Mycènes ni sa campa
étoffes assez joliment réussi. Les chairs sont pesantes partout, sans
vie
et sans accent. Art ancien. La Madone de Piero
entraîne vers un idéal ascétique tout particulier qui influera sur la
vie
publique et différenciera si profondément Pérouse
te acquisition, L’homme et l’œuvre sont considérables : il remplit sa
vie
d’un labeur superbe, avec la fougue de ces magnif
e poison subtil, et, entouré par des images de jeunesse, d’avenir, de
vie
, il sent partout la Mort, la Mort, la Mort ! Ce s
dre Zeno ; il a compris le mystère, il se sent fort, il trouve que la
vie
est partout, puisqu’elle n’est que le changement
nous donne des renseignements sur sa famille, sur ses travaux, sur sa
vie
intime, sur ses douloureuses aventures, jusqu’à s
d’ailleurs, ne considérait la littérature que comme un épisode de sa
vie
d’action. Un duel, un procès, un discours à la Ch
ient et blessaient ses adversaires. On peut donc penser que, si cette
vie
encore pleine de sève n’eût pas été tragiquement
s coreligionnaires. Entré à la Chambre en 1873, ses vingt-cinq ans de
vie
parlementaire se sont écoulés sans rien créer de
rruccio Macola n’a pas encore quarante ans, mais son expérience de la
vie
publique lui ouvrit de bonne heure les portes du
, la fondation de l’Église chrétienne qui est notre mère, et enfin la
vie
d’une sainte que nous vénérons sur les autels ».
é romaine que nous annonçait le titre, et où nous pensions trouver la
vie
des premiers chrétiens selon les écrits si nombre
Comme le titre du livre nous le révèle, l’auteur tâche d’insuffler la
vie
à des aspirations nouvelles, encore vagues, encor
erge, c’est donc un jeune homme, Attilio Palagonia, qui entre dans la
vie
par la porte tout ouverte de la grande passion. P
habileté de psychologue consommé, M. Corradini suit la naissance à la
vie
sentimentale et l’essor du jeune homme : il en fa
le, violent et doux, puéril et impérieux. Mais, en le plaçant dans la
vie
ardente et mouvementée des hommes de lettres et d
l’amour sauvage pour Saveria représente peut-être le dernier motif de
vie
, survient tout à coup. Comme en pleine idylle, M.
il est encore maître de soi et désireux de vivre ; Ercole paye de la
vie
son illusion de liberté… Le roman de M. Corradini
é à Saint Pierre Orséolo, doge de Venise du xe siècle, qui acheva sa
vie
dans un monastère bénédictin des Pyrénées. J.
é à voir comment elle va disparaître. Musique. Opéra-Comique : La
Vie
de Bohème, drame lyrique de MM. Giacosa et Illica
lle. Tome XXVII, numéro 103, juillet 1898, p. 270-278 [270-278]. La
Vie
de Bohème, de MM. Giacosa, Illica et du maestro P
nisme parfois grossier que certains confondent avec la peinture de la
vie
. Il possède, cela est indéniable, le sens du mouv
ent du nôtre, cet art auquel le climat ensoleillé du midi qui fait la
vie
facile et tout en dehors, qui excuse la crudité d
piquante opposition. Ce succès s’explique de lui-même. À entendre la
Vie
de Bohème on ne se fatigue pas ; c’est bien la pa
nt et vraiment particulier. Après avoir ri, on peut aussi pleurer. La
Vie
de Bohème s’adresse donc à des spectateurs trop n
pas travailler et, contrairement à l’homme, elle ne vit pleinement sa
vie
que si elle ne travaille pas. C’est à ne rien fai
e un beau chiffre, d’ailleurs ; mais les Abyssins paraissent avoir la
vie
dure. Le fer rouge, qu’ils emploient dans les bro
qui vient de traverser les graves et belles provinces de France, à la
vie
si intense, si particulière et si nouvelle pour l
désire qu’elle soit utile à autrui. Les fleurs ne réveillent pas à la
vie
l’âme du défunt qu’elles recouvrent ; plantez une
ants en restituant au monde quelques coupes de ce vin qui a réjoui ma
vie
. » Tome CXIX, numéro 446, 16 janvier 1917
t les chefs-d’œuvre, la plupart incompris ou inexécutables presque sa
vie
durant, ont fait depuis « la gloire et la fortune
nstruit par un homme qui possède bien la question — les détails de la
vie
politique italienne, l’activité des partis et la
stoire non plus : de simples notes prises au jour le jour, pleines de
vie
, de pittoresque, d’anecdotes actuelles et rétrosp
interprètes, Mlle Arné se signala, en Madeleine, par un jeu plein de
vie
, parfait de naturel et de justesse, sans préjudic
Trivulzio. Deux statuettes du prestigieux notateur des types et de la
vie
populaire de son pays, Gemito, et une série de mé
) qui n’ajoutent rien à son renom mourant. On vient de publier sur sa
vie
et son œuvre un volume dû à un groupe de littérat
au vrai sens du mot, mais il n’a pas oublié le plus grand amour de sa
vie
. Il avait déjà donné à Lacerba et à La Voce de tr
il retrace, avec une érudition étonnante, l’histoire de l’idée de la
vie
comme rêve et illusion à travers les littératures
dée centrale est que le royaume de Dieu, promis par le Christ, est la
vie
elle-même, dans toute sa plénitude : son dernier
ge les idées de l’Italie. D’autres moyens qui touchent davantage à la
vie
administrative, judiciaire et municipale des vill
eaucoup de leur valeur, se trouvaient gâtées de bien des manières. La
vie
avait ce qu’il fallait pour être douce et large,
coloré comme une chronique et précis comme un document. Aux jours de
vie
mauvaise, jours de foi tout de même, ces êtres s’
vaise, jours de foi tout de même, ces êtres s’en différencient, de la
vie
, en tranchant, par le renoncement, certains liens
e, c’est, pourquoi est-ce ? c’est pour mieux lui porter secours, à la
vie
, pour mieux les sauver, ces êtres et ces choses d
la rosée, — suffit pour effacer les flétrissures les plus âpres de la
vie
. Spontanément, les pauvres contemporains de Cathe
ualisé, Natures de feu. Il y a là-dessus une page prodigieuse dans la
vie
de Catherine. Un jeune homme condamné à la décapi
us retremper l’âme hésitante et inquiète, l’âme qui a trop vécu de sa
vie
intérieure, qui a cru que le songe avait plus de
n’ont point failli à leurs antiques légendes et qu’ils sont, dans la
vie
moderne, à la hauteur de leurs destinées, mais qu
pays, sinon celui de France ? Si nous devons arracher notre âme à sa
vie
intérieure et la mettre en face de l’action, aux
a vie intérieure et la mettre en face de l’action, aux prises avec la
vie
; si nous devons lui demander non seulement sa pe
ue le besoin de la beauté s’impose aux formes les plus austères de la
vie
, et que règne dans tout son enchantement, dans to
alent l’éminent directeur du Muséum expose les grands problèmes de la
vie
. Au premier abord, les questions traitées dans ce
é façonnés en quelque sorte par le milieu extérieur ; leurs genres de
vie
ont été imposés par les conditions du milieu, et
t ou ont vécu. Il cherche à s’imaginer quelles sont les conditions de
vie
à la surface de la planète Mars, et à reconstitue
surface de la planète Mars, et à reconstituer ainsi les conditions de
vie
à travers les âges géologiques. Un des milieux ac
ve au contenu variable de l’intelligence et aux transformations de la
vie
extérieure, n’est pas immuable. Les grands événem
nquérir avec tous les moyens le sens du réel, de s’identifier avec la
vie
par toutes les fibres de notre corps est à la bas
i le rôle de l’artiste était de donner une apparence, un simulacre de
vie
réelle, son but serait manqué d’avance. Toute réa
ajoute à la vitalité intégrale de ces différentes matières une autre
vie
ou action, ou mouvement. Le procédé de constructi
éléments pour atteindre un but déterminé qui est sa raison d’être. La
vie
ou action que le constructeur donne à la matière
que le constructeur donne à la matière ne sera jamais une synthèse de
vie
indépendante, et la machine ne vivra jamais la vi
is une synthèse de vie indépendante, et la machine ne vivra jamais la
vie
autonome de l’œuvre d’art. Les deux inventions ne
logie de l’artiste, dont la vraie fin, affirme Guyau, est de créer la
vie
, la réalité ; mais, par une « sorte d’avortement
sa manière », c’est-à-dire, qu’il reconstruit l’Univers en créant une
vie
à soi, vie représentative qui est le côté essenti
», c’est-à-dire, qu’il reconstruit l’Univers en créant une vie à soi,
vie
représentative qui est le côté essentiel qualitat
eprésentative qui est le côté essentiel qualitatif, et éternel, de la
vie
réelle. § Intelligence et sensibilité. — Les for
qui constituent notre reconstruction de l’objet ne prennent pas leur
vie
dans l’imagination ou dans la culture, mais dans
aversions ; en d’autres termes ils ont un mouvement propre qui est la
vie
ou rythme de l’objet4. Il s’agit de sentir ce mou
de nous est le carrefour où se croisent et se compénètrent toutes les
vies
de l’univers en même temps que de nous-même part
rt une vie-force qui se répand en expansion centrifuge. Et plus cette
vie
, centrifuge ou force expansive, est puissante et
a connaissance, mais participe des deux ; elle est pour ainsi dire la
vie
même, ou la matière pensée dans son action et cha
ndeurs, entre une quantité de matière et une autre, et l’étincelle de
vie
que les peintres ont toujours cherchée n’est réal
un prince pour commander. Machiavel, honnête homme, fonctionnaire de
vie
modeste, écrivain érudit et de haute inspiration,
isée contre l’action de l’adversaire ; puis de curieux tableaux de la
vie
à bord d’un sous-marin, les trucs de la guerre so
non seulement du caractère de ce merveilleux génie, mais aussi de la
vie
italienne à son époque. Vasari, dans la Vie de Mi
x génie, mais aussi de la vie italienne à son époque. Vasari, dans la
Vie
de Michel-Ange, insère seulement les lettres qui
endus de seulement 47 autres prises au hasard. M. Romain Rolland : La
Vie
de Michel-Ange, a eu beaucoup plus souvent recour
par des extraits trop hâtivement choisis et forcément incomplets, la
vie
familière et intime du grand maître florentin.
que j’ai acheté, je l’ai acheté pour que ce soit à vous durant votre
vie
; si vous n’aviez pas été là, je ne l’aurais pas
e j’en aurai. N’ayez pas peur, car ce n’est pas de cela que dépend la
vie
. Rien d’autre. Avisez-moi comme je vous l’ai dit
res à Settignano, et que cette femme en a la jouissance pour toute sa
vie
, de sorte qu’elle y restera jusqu’à sa mort. Si C
té écrasé et est mort sur le coup ; moi-même je risquai d’y perdre la
vie
. L’autre colonne était presque ébauchée. J’y ai t
tre lettre, il me semble, au contraire, que vous avez eu mille autres
vies
en ce monde. Quant à moi, je ne me croirais pas n
ourmenté, avec un mélange d’aigreur et de tendresse, maltraité par la
vie
, il n’a pu donner sa mesure ni comme penseur ni c
obligés ; mais l’ensemble est morne et sans relief, fatigant et sans
vie
. La langue est assez pure et sobre, mais avec des
illé des aventures louches d’un raté avec des appels emphatiques à la
vie
des champs, ou bien Il Figlio Inquieto, de M. Sal
o Inquieto, de M. Salvatore Gotta, narration touffue et inégale de la
vie
d’un jeune homme sensible et sensuel dans les mil
uvelles, en effet, sont des anecdotes, émouvantes ou amusantes, de la
vie
florentine contemporaine racontées dans un toscan
sait, sans fortes secousses, de l’état de paix à l’état de guerre. La
vie
du pays n’en souffrait pas au même degré que cell
ées (c’était un peu la faute du climat) à plus de nonchalance dans la
vie
militaire. Or, l’expérience de deux années de gue
se chargeaient de soutenir sa politique. Il donnait rarement signe de
vie
. Cependant il était et il est encore très puissan
es de chacun. Les journaux romains ont aussi une grande place dans la
vie
de la nation, surtout dans le sud et le centre de
compatriotes en leur donnant des illusions sur la dure réalité de la
vie
et de l’histoire… Heureusement les derniers résid
exions formelles, pour s’attacher à la grande idée fondamentale de la
vie
et de l’amour : il ne se renie pas lui-même et il
nt ses armes et celles de la France en 1859, retrouve son souffle, sa
vie
, sa liberté. Échos. Les officiers français en
ntendu, et par intuition, de cette hypothèse. Car les cubistes, de la
vie
ou mouvement de l’objet, tendaient à exprimer de
ion, ou poids ; tandis que les futuristes, tout en voulant donner une
vie
totale, n’exprimèrent que la force d’expansion ou
perversité, de suprême sagesse, indifférente à tous les détails de la
vie
et de la mort du bétail humain, d’amour de la vie
s les détails de la vie et de la mort du bétail humain, d’amour de la
vie
et de volonté à tout moment plus forte que le sor
ardente qu’était sa cour milanaise, où toute l’étonnante « poussée de
vie
» de la Renaissance pouvait éclore avec joie, où
ulièrement debout « par-delà le bien et le mal », amant effréné de la
vie
sous toutes ses formes et pour toutes ses jouissa
son esprit chercheur devançant tout son temps, et qui passait dans la
vie
en laissant une traînée de parfums et de joie, tr
Dans cette cour voluptueuse, fastueuse, somptueuse, où l’amour de la
vie
et de la domination exaspéraient tous les esprits
de la Léonardi Vinci Academia. Et les circonstances extérieures de la
vie
milanaise, ainsi que les mouvements mêmes de l’es
t un caractère spirituel plein d’intérêt réel. M. Esengrini évoque la
vie
du Bouddha, la conscience de la douleur de Çakya-
’Anthropologie de Florence, où les attitudes les plus complexes de la
vie
humaine sont établies en quelques catégories simp
s, les personnages bizarres sont légion. Il y a ici une végétation de
vie
humaine prodigieuse, mais ce n’est pas un jardin
gnerie. Un camelot, du premier Janvier à la Saint-Sylvestre, gagne va
vie
en vendant une petite poupée articulée représenta
oles, de glorifier la semence, la reproduction et la continuité de la
vie
. Ils étaient destinés, tout simplement, à écarter
d’alliance du philosophe. Il était intéressant, en nous racontant sa
vie
studieuse, de nous donner les meilleurs fragments
vieux papiers, et corrigées de sa dernière main ». Colletet, dans sa
Vie
de Pierre de Ronsard, nous a révélé cette entrepr
ti di Melitta, il l’évoque aussi à la manière de Pierre Louÿs, car la
vie
et l’angoisse et les joies de l’hétaïre Melitta r
it chanter ainsi à Aphrodite sa jalousie : Plusieurs donneraient la
vie
pour moi qui sont pauvres ; dis-moi pourquoi c’es
grave, sans trop se soucier de la forme poétique, pas plus que de la
vie
qui bouillonne et tourbillonne autour de lui. M.
iqueur et l’évocateur d’un des plus formidables bouleversements de la
vie
universelle contemporaine, lègue ainsi son œuvre
es dispositions assez tristes, mécontent de lui-même et maudissant sa
vie
trop mondaine dont les devoirs multiples l’oblige
. — Savez-vous ce que c’est ? dit-il, d’une voix exaltée. — Non… — La
vie
du Giorgione ! — Du Giorgione ? — Oui… — Traduise
e comme personnage principal, ne me serait-il pas facile d’évoquer la
vie
de Venise, à la Renaissance, de vanter sa splende
ublier, telle que je l’ai trouvée, entre des cartes astronomiques, la
vie
de Giorgio Barbarelli. * Le cahier a 180 pages. I
le passage qu’il consacre à Morto da Feltre, dans son ouvrage sur les
vies
des peintres et sculpteurs illustres. Il aurait p
lli mentait et qu’il essayait de rendre plus profond le mystère de sa
vie
en nous trompant sur la date de sa naissance. Il
uvre avec le suc des plantes, mon Giorgione peignit, pendant toute sa
vie
, avec du soleil mêlé à ses couleurs. Il a su trou
ssi débordante et glorieuse que le Giorgione. Il frémissait devant la
vie
et la beauté, comme un capitaine qui livre sa pre
sont condamnés, par la mesquinerie de leur intelligence, à mener une
vie
inutile. Ils n’ont d’autres mérites que celui de
de ce mélange, naissait une couleur… ou plutôt non, ce qui donnait la
vie
à la couleur. La grande Galère pourpre, les gondo
Giorgione est un artiste inspiré qui, en s’asseyant au banquet de la
vie
, eut pour serviteurs la gloire et l’amour ! Il es
dis que les relations que je lui avais procurées lui permettaient une
vie
agréable. Daniel l’avait invité souvent chez lui,
uniquement par le marbre et pour l’art… les femmes sont créées par la
vie
et pour la peinture. Il faut de la mollesse et de
ime d’un dieu épris d’une femme et qui ne lui peut faire le don de sa
vie
, puisque le destin le fait immortel, et dans tout
pour altérer, par ignorance, timidité ou parti pris, l’odyssée d’une
vie
si riche et si précieuse ». Suit l’histoire attri
un adaptateur, c’est la parole même du subtil et galant Vénitien ; sa
vie
, dans un carnaval perpétuel, n’aura été qu’un lon
l perpétuel, n’aura été qu’un long travestissement ; l’histoire de sa
vie
ne doit pas s’envelopper plus longtemps du même m
t diriger un concert chez des familles illustres, car, au début de sa
vie
, on l’appréciait principalement comme musicien. I
Il employa son orgueil à garder, pour lui seul, les désespoirs de sa
vie
. Comme auprès de Giorgio, Titian semble lourd !
— Quel artifice as-tu employé pour arracher ainsi les secrets, de la
vie
? — Aucun, Seigneur ! — Avec quoi peins-tu ? — Av
des charbons ! Et cela démontre que les plus petits événements de la
vie
renferment une leçon ; qu’il ne suffit pas, pour
t ! Une fête fraternelle, où les arts et les choses excellentes de la
vie
furent célébrées, termina la dispute. * Durant le
e-toi, mon garçon, mes os se recolleront bientôt… et je reprendrai ma
vie
. — Serez-vous heureux, Seigneur, vous qui aimiez
représentait, par une allégorie, les trois âges de l’homme… — Non. La
vie
m’a offert ce spectacle… — Et, sans t’en douter,
es font ressortir les chairs des déesses nues. * À cette époque de sa
vie
, Giorgio connut véritablement le bonheur. On le r
ette ponctualité — dont il se départit, dans la suite — sa raison, sa
vie
régulière en faisaient une personnalité important
œuvres du génie inspiré, mais qu’ils sont impuissants à insuffler la
vie
!… J’ai appris aussi à distinguer les qualités né
eigneurs nous engagent à partager leur félicité. Ils affirment que la
vie
est belle, simple. — Elle l’est, en effet. — Gior
Maser, les palais et les canaux de Venise… Alexandra répondit : — La
vie
me plairait s’il n’y avait pas la maladie, la vie
cise où se mêlent aux souvenirs illustres les plus menues joies de la
vie
: J’aime pour moi ces arcades, Ce dôme vert, ce
intervalles de ses rendez-vous. C’est ainsi qu’il faut comprendre la
vie
, dont les arts ne sont que la copie. Pour goûter
elles de l’amour. L’amour fut pour Stendhal l’unique occupation de sa
vie
, et c’est cette perpétuelle culture de sa sensibi
moyen de bonheur : — Ton affaire est-elle de vivre ou de décrire ta
vie
? Tu ne dois faire de journal qu’autant que cela
Louis XIV. Enlevé, enfermé à Pignerol en 1679, il resta emprisonné sa
vie
durant. Il aurait été finalement transféré à la B
avait à côté une rivale non moins belle et plus avisée. Et c’est une
vie
intime assez curieuse que celle de ce roi juponni
endances affectives, propose une solution du problème finaliste de la
vie
en attribuant à la matière organisée une propriét
to da Feltre. Morto8 était un homme dont l’intelligence étrange et la
vie
aventureuse séduisaient Giorgione. Il avait habit
— Mais dangereuses… — Indiquez-moi donc, puisque vous tenez tant à ma
vie
, qui je peux aimer… sans la risquer ? On dressait
ermée par les mains, les yeux fixés sur le cadavre. On eût dit que sa
vie
dépendait de ce regard acharné. Je me reculai et
Elle meurt dans les flammes, comme les aromates, celle qui embauma ma
vie
! — As-tu prévenu des docteurs ? interrogea Ridol
Dès que je vis la Maurina, je sentis qu’elle serait le tourment de ma
vie
, ma passion adorable, mon unique maîtresse ! C’ét
ue je réclamais d’elle… et je songeais à la mort, à l’inutilité de la
vie
, du travail, de la gloire. Les sens de mon esprit
ants dépensés à maîtriser mon anxiété et à maintenir le mystère de ma
vie
me semblaient longs comme des années. Ensuite, je
r d’elle, me la rendaient plus précieuse. Je vivais ! Je vivais mille
vies
, en un jour ! Mes heures s’écoulaient, dans cette
isent les peintres. Je lui répondais de mon mieux. Elle me raconta sa
vie
: — Giorgio a honte de moi, me dit-elle. Je senta
la comparaison, âme de toute poésie, aux organismes surchargés de la
vie
contemporaine, l’abstraction lyrique de quelques
s choses très simples. L’autre est celle, néoclassique, qui revoit la
vie
comme la tradition lyrique le veut. La prosodie d
subtils ». Des images violentes, et le tourment de la plénitude de la
vie
, d’un côté ; d’un autre côté, des images tendres,
e : La misérable appelle et l’attend et se meurt. Aie pitié ! Car la
vie
est par elle maudite : Tant lui sont pleins d’hor
Funérailles de ma jeunesse ! » Il savait bien qu’il vivrait toute sa
vie
sur l’enthousiasme de ces heures, et qu’on ne ret
hez elle un contrecoup d’érotisme adultère. Aujourd’hui, en lisant la
vie
de Valentine de Milan, de cette belle, douce et r
h, le très libéral homme de lettres anglo-américain, « dont la longue
vie
fut consacrée à la vérité, à la justice, à la lib
s tempes sont prises par une fièvre nouvelle. Est-ce une honte, si ma
vie
brûle pour l’amour de l’Amour ?… LE SAINT
is pas mes pleurs. Toutes les eaux du monde étaient amères de moi. La
vie
semblait dissoute dans les fleuves de mes paupièr
rds comme d’un fer rouge et à n’avoir comme délice que l’espoir de la
Vie
éternelle et le gage de sa Rédemption. Il y a tou
e tremble de vieillesse et de maladie ! Mieulx me vauldroit perdre la
vie
que de voir mourir mes enfans ! Las ! n’aviez vou
à la mort, et ses filles, qui la retiennent à la foi ancienne et à la
vie
. C’est beau comme de la tragédie antique : Ô Arc
u les prends ! Je sais. Je traîne à mes épaules une grappe lourde de
vies
condamnées. Elles crient déjà comme des victimes
nts. Et quand les cinq filles supplient leur mère de les laisser à la
vie
et que l’une dit : — Tu voi
apportent dans leurs mains et dans leurs yeux toutes les images de la
vie
belle. » LA PREMIÈRE Par les bandelettes qui ser
erreur du temps semble détruite et que se manifeste cette unité de la
vie
vers laquelle tend l’effort de mon art. » Arc
le qui, pendant deux siècles, fut le foyer d’art et de sciences de la
vie
intense et des intrigues amoureuses, financières
auteur, s’efforçait à ce point de mettre la main non seulement sur la
vie
morale des peuples, mais aussi sur les affaires p
prononcer correctement les paroles : « … en mangeant le doux fruit de
vie
». Elle s’évertuait en vain sans réussir à mieux
ur nouvelle, parce qu’elle manquait de l’idée fixe indispensable à la
vie
d’une collectivité dont parle Stirner. L’idée fix
envergure, M. Giovanni Saragat (Toga-Rasa), s’est inspiré aussi de la
vie
du peuple sarde. La Sardaigne, qui fit la fortune
pellent « letteratura amena ». Mais l’ensemble de ces descriptions de
vie
sarde est assez plaisant et composé avec un certa
scellanea Carducciana. C’est un volume consacré à des souvenirs de la
vie
et de l’œuvre de Carducci. M. Benedetto Croce, da
léments spirituels d’une nation qui réclamait son droit héroïque à la
vie
, et qui put se constituer et vivre. M. Lumbroso,
t un principe actif qui donnait de la force à ses sentiments et de la
vie
à ses discours. Tout pape eût personnifié ce qu’i
e lui ont servi qu’à le conduire vers les spectacles changeants de la
vie
. C’est de la vie qu’il tire, pour les fixer dans
u’à le conduire vers les spectacles changeants de la vie. C’est de la
vie
qu’il tire, pour les fixer dans le marbre et le b
uteur nous parle aussi des créateurs de ces œuvres, nous raconte leur
vie
, les suivant pas à pas dans leur carrière artisti
nt les institutions. L’artisanat libre, atteint au plus profond de sa
vie
par les transformations économiques elles-mêmes,
at aux attributions multiples et gigantesques, qui concentre toute la
vie
du monde impérial. Comment subvenir aux besoins d
vexatoire, plus tyrannique en ses ingérences. Le citoyen n’a plus de
vie
propre. Il est rivé à perpétuité à sa chaîne ; il
ut d’autant plus incité à créer des groupements professionnels que la
vie
était plus malaisée, et qu’il était plus urgent d
cités provinciales, des énumérations qui attestent l’expansion de la
vie
corporative, signalant les musiciens de Casinum,
celle d’avant les bombes où l’on aimait à vivre pour les grâces de la
vie
sans en chercher les tares, pour toutes les lumiè
a littérature ce que Fogazzaro ne sut y apporter, un souci réel de la
vie
intérieure très chrétienne. Là où Fogazzaro échaf
vrir et de contempler en soi une expression totale et éternelle de la
vie
. Les paroles de Giordano Bruno : « notre doctrine
Golgotha, Une femme qu’il aima, et dont il fut aimé, disparaît de sa
vie
, en souriant vers d’autres destinées. Une autre,
ement sonore des eaux. Il le porte à travers les mille douleurs de la
vie
, ou à travers les labyrinthes de l’art, de la pen
a pour soi, tandis que contraste sur l’âme égarée l’aspiration à une
vie
universelle, et l’abjection qui fermente en moi.
ment, est plein d’un esprit de liberté et de foi, d’amour total de la
vie
charnelle et animique, très moderne. Enrico Th
t à la fois de l’œuvre de Mantegna et de l’histoire de l’art ? La
Vie
anecdotique Guillaume Apollinaire. Tome XCIV,
ins sentimentaux ne sont pas forcément tournés vers l’action, vers la
vie
extérieure ; ils constituent une vie intérieure e
t tournés vers l’action, vers la vie extérieure ; ils constituent une
vie
intérieure et profonde qui n’est pas forcément su
les hommes doués d’une sensibilité profonde et qui ont par suite une
vie
intérieure intense sont rarement des actifs et de
ontaires. Exemples : un Benjamin Constant, un Amiel. Non seulement la
vie
sentimentale a sa nature propre ; mais elle agit
ature propre ; mais elle agit puissamment sur les autres formes de la
vie
psychique. On a soutenu cette thèse63, que toutes
s (n° 7 et n° 8) des documents inédits sur les Dernières années de la
vie
de Casanova, dus à la plume de M. Gustave Gugitz
. La Connoissance de cet homme aimable et rare fera époque dans Votre
vie
. Faites lui politesse et amitié. Quod ipsi facies
, 16 décembre 1911, p. 800-804 [802]. Une fougueuse restitution de la
vie
d’un peintre par l’étude de ses œuvres où domine
zy Orwicz : Nad Arnem (trois tableaux dramatiques en vers tirés de la
vie
de Jules Slowacki à Florence), Gebethner Wolff. [
330. 8. Le passage suivant se retrouve presque textuellement dans la
vie
de Morto da Feltre rédigée par Vasari. 9. Dans s
oixante ans, l’homme se plaît à regarder les jours déjà écoulés de sa
vie
. On rassemble les feuilles éparses, et l’on dress
t c’est bien l’âme de la nation qui passe dans ses strophes : dans la
vie
qu’elle vécut à travers le passé, autant que dans
es : dans la vie qu’elle vécut à travers le passé, autant que dans la
vie
qu’elle traverse aujourd’hui. Car à côté de l’int
u poète s’attendrit à ces spectacles : l’amertume qui lui vient de la
vie
, le désenchantement né de l’envolée de tant d’esp
e plus significatives par l’unité et la solidité de la conception. La
vie
a été abreuvée de tristesse par la religion chrét
onuments de l’art antique qui étaient dédiés à la glorification de la
vie
, du plaisir, de la beauté. Depuis, un lourd cauch
a joie, les attraits éternels de la nature ont droit au partage de la
vie
de l’homme, laquelle doit se passer dans l’action
azzi, dit « il Sodoma », fut appelé dans un couvent pour y peindre la
vie
de saint Benoît. Or, comme il peignait, il faisai
détraqués, de toqués qui foisonnent dans la société contemporaine, la
vie
sociale serait souvent troublée de manière profon
et suivi de la référence : Journal de Stendhal, Souvenirs d’Égotisme,
Vie
de Henri Brulard, Correspondance inédite, Notice
olomb. Id. Id. 1801 janvier Castel-Franco. Not. Colomb.
Vie
de garnison Id. — Vérone. Journal Id. avril
ovembre 1907, p. 93-109. Le Démon m’a dit…… I Dans toute ma
vie
je n’ai parlé au Démon que cinq fois, mais de tou
ques graines de cet arbre s’en sont échappées et sont déjà pleines de
vie
. Il s’agit de les rechercher parmi vos forêts, de
toire et je mourrai peut-être avant que l’on découvre le secret de ma
vie
. J’ai été quelquefois dans les théâtres où l’on r
de m’endormir j’essayais d’imaginer, de décider ce que devait être ma
vie
! Jamais il n’y eut d’enfant plus doux et plus pu
stant, ma radicale impuissance d’aimer. « C’est alors que commença ma
vie
légendaire, celle qui a fait de moi le type du li
s pas le courage de me résigner. Je voulus encore et pendant toute ma
vie
tenter le sort. J’espérai que peut-être, à l’impr
ainsi, dans la continuelle diversité et le perpétuel changement, une
vie
autrement riche que celle de mes juges et de mes
, vivant avec toi, t’écoutant me raconter ce que tu as récolté de tes
vies
de ces dernières années. Je suis comme tu étais a
ors que commença pour moi une des périodes les plus singulières de ma
vie
, déjà si différente de celle des autres hommes. J
, son inexpérience da monde, son ignorance profonde des secrets de la
vie
, qui au début m’amusaient, finirent par me fatigu
les Mémoires de Casanova : ces confidences longues et précises d’une
vie
toute de fantaisie et d’intrigue semblent faites
cit du séjour que Casanova fit à Londres en 1763. Cette période de sa
vie
marqua, comme il le constate lui-même avec une am
ou de ses mauvaises fortunes. § Elle était connue, à ce moment de sa
vie
, sous le nom de la Charpillon, qu’elle avait rend
content leur première rencontre avec la femme qui devait ravager leur
vie
, tous les deux font, en termes différents, une ré
embre 1797, il me semble pouvoir compter sur environ quatre années de
vie
, lesquelles se passeront bien vite, selon l’axiom
, où la mauvaise saison commence. Ce fut là le mien… Je date de là ma
vie
actuelle, ma ruine morale, ma déchéance et tout c
qu’aux néo-classiques, dont on lui impose quelquefois la société. La
vie
prodigieuse des sens, les jeux variés du corps, l
de pure imagination, mais à toute œuvre qui reflète avec précision la
vie
multiforme d’une époque ou d’un homme. À ce titre
homme et cinq enfants : le feu d’Anne Padoue et de Jean Gellée… Et la
vie
résignée de ces vilains, si pareille, si semblabl
e que celle des voisins miséreux qui se terrent à l’entour, la petite
vie
sans une parole, sans un cri, sans une larme pour
rs de marbre des demeures féeriques ; au dehors l’or et le sang de la
vie
même, cette joie, si bellement libre, sonore et h
uit par une toile, lui amène la protection du pape. Et c’est fini. Sa
vie
commence, peu intéressante, pour s’écouler, monot
s, Urbain VIII, Innocent X, Alexandre VII, Clément IX, Innocent XI, —
vie
calme, enviée, fortunée, au cours de laquelle il
ire, mais combien rarement, d’un heureux croquis à la plume. Voilà sa
vie
. De cette Rome encore prestigieuse du Belvédère à
ges sur du fer découpé, pour raccorder les charmilles de Marly… Et la
vie
lui aura refusé, à l’heure voulue, le viatique né
et un grand diable à la belle allure, à la verve endiablée, aimant la
vie
de plaisir autant que le travail, ardent et éléga
peu dissipé… Vous allez retrouver toute cette jeunesse et toute cette
vie
du Titien, contée là sur cette toile : au fond, d
t) solitaires qui vous promenez en causant, où est (celle qui est) ma
vie
, où est (celle qui est) ma mort ? Pourquoi n’est-
Gabriele d’Annunzio, qui, après un silence remarquable rentre dans la
vie
extérieure par ces poèmes et par des conférences
prêche un art au fond moral et universel, avec un but et une leçon de
vie
. Comme le directeur et les rédacteurs d’il y a un
dans tous les milieux où s’active ce que l’on nomme aujourd’hui « la
vie
publique ». D’où provient la célébrité de Lombros
est en rien comparable, psychologiquement parlant, à un attentat à la
vie
humaine par exemple ; d’autre part, une foule de
criminels en face du supplice. Dans son Grand Testament il dépeint la
vie
des prostituées et se dépeint lui-même comme entr
ne action, qu’il demeure sur place, qu’il croupit dans son marais, la
vie
durant. Mais qu’importe ! on lui déclare qu’il es
ment de l’organisme social, et on les mettra in pace le reste de leur
vie
en quelque endroit bien séparé du monde. On éparg
me devant être surtout franciscaine. C’est après avoir écrit sa belle
Vie
de Saint François d’Assise que M. Sabatier a eu l
ine, et apporta les amphores. Pour ces femmes exténuées, une nouvelle
vie
semblait découler de ces outres : elles tendaient
la poitrine haute, le ventre petit, les flancs vierges ; si riche de
vie
qu’Orphée cligna les yeux comme devant une trop v
, « ce qui lui occasionna une perte de temps considérable qui jeta sa
vie
dans une infinité de désordres ». Non content d’i
implorant ses prières (VI) rappellent par leur grouillement plein de
vie
, par leur harmonie agitée, certains bas-reliefs d
fièvre de son mouvement même, elles restent de véritables sources de
vie
. Et ces cités élues nous sont toutes proches de q
lication s’impose, du moins vis-à-vis de ceux qui ne vivent pas de la
vie
publique italienne. Voici, en abrégé, une liste d
a Nietzsche, il fait part à ses lecteurs des aventures qui égaient sa
vie
; peu à peu, grâce à l’indulgence que ses admirat
voyait de loin que M. d’Annunzio avait joué sur une mauvaise carte sa
vie
politique. § Le Président du Conseil des Ministre
ions des Raphaël et des Carraches. » Ceci est tout à l’honneur de la
vie
saine de travail fructueux et de bonheur paisible
de Paris et de sa fièvre !… Comme tout est matière à gazette dans la
vie
uniforme de la cité qui s’ennuie en ses murs trop
i fut plus intime, plus décisive. C’est auprès de lui, vivant la même
vie
sous le même toit, travaillant à ses côtés, qu’il
orsque Saint-Non arriva à Rome. Depuis l’abbé de Choisy, qui passa sa
vie
habillé en femme, jusqu’au moins joyeux abbé Terr
l’abbé. Cette villégiature sera l’épisode le plus considérable de la
vie
artistique de Fragonard. Banal en apparence, cet
s […]. La sanguine, c’est le fusain gai. Elle jette sur le papier une
vie
intense : c’est du sang, du feu ou seulement la t
es véritables ont été réduits par l’inclémence et la difficulté de la
vie
, il eut l’inestimable fortune de joindre ces noti
rtagée, — peut-être parce que les exposants, encore debout et bien en
vie
, étaient aptes à réclamer leur place, — et si l’o
drame ; bon parce qu’il n’a aucun intérêt à être méchant ; adorant la
vie
et le plaisir, notamment sous la forme souple et
vagées par lui ; et il a, secousse suprême, la révélation de toute sa
vie
fausse et égoïste, devant le cadavre de sa mère,
me de Malebranche, mais à peu près… Et maintenant, allez apprendre la
vie
au théâtre ! Gabriele d’Annunzio et Giovanni P
vigueur et de succès, une autre floraison littéraire nous réjouit. La
vie
italienne qui semble s’épanouir d’un élan nouveau
eur de la République auprès du Saint-Siège et auteur de la Cité de la
vie
. Ce poète-diplomate, que séduisait l’erreur du gr
du Christ dans le désert le Châtiment de Nathan et d’Abiron, et cette
Vie
de Moïse qu’illumine le délicieux épisode, des fi
d’ailleurs, usé de ce système, à l’instar de ses devanciers, dans la
Vie
de Moïse et la Tentation de Jésus. Il y a presque
251, 1er décembre 1907, p. 430-450. Le 20 août 1760, le hasard de sa
vie
aventureuse ramenait Jacques Casanova à Genève ;
liaison, compta certainement parmi les heures les plus cruelles de sa
vie
, qui ne s’embarrasse pourtant pas, d’ordinaire, d
ules. Le théâtre de Goldoni passionnait Voltaire à cette époque de sa
vie
: il fait le sujet des longues lettres qu’il écha
ueilleusement, et cette année 1760, qui est la trente-cinquième de sa
vie
, marque l’apogée de sa carrière. Son évasion hors
ène, qui est des plus divertissantes. En vérité, à cette époque de sa
vie
, Casanova nous fait songer au naïf tambourinaire
songer au naïf tambourinaire d’A. Daudet, qui promenait à travers la
vie
parisienne sa gloire fugitive et contait d’une vo
— Voici, monsieur de Voltaire, lui dis-je, le plus beau moment de ma
vie
. Il y a vingt ans que je suis votre élève, et mon
rs avide de succès, désireux de se faire voir et de séduire, usant sa
vie
en plaisirs faciles, prodigue, enjoué et complais
et de délicatesse que Casanova ; il ne subit pas, comme lui, toute sa
vie
, les tares indélébiles d’une naissance médiocre e
e édition de l’Essai sur les mœurs est de 1756 ; à cette époque de sa
vie
, Voltaire n’est pas moins passionné pour l’histoi
usion ; Casanova lui-même n’insiste pas sur cet épisode capital de sa
vie
; et nous savons cependant quelle importance il l
eut se permettre à Rome ; poussant le sentiment des difficultés de la
vie
jusqu’au doute quant à la puissance romaine et ju
ue étendit sur tout l’Orient… à l’ornement du carnaval où s’acheva la
vie
de la « cité joyeuse » ? M. Philippe Monnier a, s
ns les chapitres : les trois chapitres de psychologie générale : « La
Vie
légère » ; « les Fêtes, le Carnaval, la Villégiat
est « fini de rire », quand arrive Bonaparte, le dur jeune homme à la
vie
de privations et d’efforts, « maigre, impérieux,
e. Il rappelle en son livre non seulement tout ce qui est connu de la
vie
des premiers Vénitiens, mais encore il catalogue
de la Salle des sept mètres au Louvre, représentant des scènes de la
vie
de la Vierge et du Christ, artiste populaire, hab
ortance. Le mystérieux Antonio da Negroponte, dont on ignore toute la
vie
et dont on ne connaît qu’une œuvre, mais d’une ex
à compartiments. Avant de quitter Venise, il avait eu d’ailleurs une
vie
assez mouvementée ; en 1467, il avait été condamn
lagune. Ce qui manque le plus à ses tableaux, c’est un passage de la
vie
, non tumultueuse dans ses fêtes comme au Louvre e
mais de ce qui toujours a constitué à Venise et y constitue encore la
vie
véritable, le frémissement, la palpitation de la
idables. D’Annunzio est italien jusqu’à la moelle des os, et toute la
vie
italienne factieuse, vindicative, farouche, impit
gné la réclame, les querelles des littérateurs, les mesquinités de la
vie
publique, le bruit de la foule, les admirations d
ssants ; il a vécu et il vit libre, seul, et son travail est toute sa
vie
. Que de tout cela la gloire soit un jour sortie,
Chopin, par Angiolo Orvieto Georges Sand dans l’Histoire de ma
vie
écrivait à propos de Chopin : « un jour viendra o
tte idée hardie d’exposer en quatre actes les points culminants de la
vie
du grand Polonais (Pologne, 1826, Paris, 1837, Ma
-Bronikowski, de l’admirable nouvelle de Henri de Régnier : La Courte
Vie
du Vénitien Balthasar Aldramin. […] Lettres it
a présence de l’homme qui l’a traitée si indignement pendant toute la
vie
. Mais le docteur est pressé ; il fait signe à Bus
de en situations dramatiques, présente en des raccourcis audacieux la
vie
de cet homme dans ses phases principales, en conf
icéron, Pompée, ont un relief puissant ; le monde romain fourmille de
vie
et d’action. Ce livre est le fruit de plusieurs a
Tome XLIII, numéro 151, juillet 1902, p. 277-281. Ugo Ojetti : Le
vie
del peccato Mon ami Ugo Ojetti vient de publi
ultés de scène. Le drame de M. Corradini qui encadre en cinq actes la
vie
du grand conquérant romain, depuis le passage du
a, o mores ! de Cicéron ; ce qui m’importe le plus, c’est de vivre la
vie
qu’on me présente et de frémir aux passions des p
e decadenza di Roma par Guglielmo Ferrero, qui traite lui aussi de la
vie
et des entreprises de Jules César ; je reviendrai
s son livre initial, tout un programme de travail qui peut emplir une
vie
d’homme, une telle aventure n’avait pas été tenté
et la variété des épisodes. Les personnages formidables vivent d’une
vie
énorme et monstrueuse. L’antique Poseidôn, terrib
préoccupations vaniteuses, égoïstes, et s’élèvent au pur amour de la
vie
et de la beauté. C’est alors que les grandes sign
apparenté à celui du dogme lui-même, à l’interprétation divine de la
vie
, un reflet de Dieu et non pas une dépendance de l
femme « délicieuse », l’enfant « ravissant », cette fleur enfin de la
vie
humaine qui devant Raphaël, devant le Corrège, mê
yeux extraordinairement larges, abîmes où semble se résorber toute la
vie
; l’attitude nonchalante, et lyrique pourtant, d’
ut à ce succès d’émotion l’une des satisfactions les meilleures de sa
vie
. Après tant d’années écoulées, il en conserve enc
t et se ressemblent. M. Domenico Oliva remarque de son côté que si la
vie
intellectuelle italienne était centralisée dans u
e, de toute grossièreté inutile et point esthétique des détails de la
vie
réelle ; elle évoque l’image byzantine et catholi
lle est la force voilée de l’histoire qui détruit les barrières de la
vie
réelle, et abîme les dramatis personœ de tout dra
artie pantelante d’elle-même, l’enfant. Elle s’en va pour réaliser sa
vie
selon ses possibilités, qui sont celles d’une int
iste romaine. Là elles reconnaissent leur valeur et vivent leur vraie
vie
. Amédée, de La Victime, de Sfinge, rencontre auss
le le fut de sa famille. Elle chasse le nouvel intrus, et continue sa
vie
de liberté et de labeur, avec son fils, pour elle
a pensée, sans jamais connaître de déceptions, car elle a ce dogme de
vie
: sans regret et sans espoir. Les protagonistes d
tylisation d’un poème en prose, elles sont prises directement dans la
vie
, toutes palpitantes. Elles affirment trop haut la
rouvé. D’abord, elles ont fort peu de chair ; car la chair exprime la
vie
animale et indique la nourriture abondante. Tout
r toutes ses lignes le visage parle et pense ; rien n’est laissé à la
vie
intellectuelle. Par la même raison, la couleur es
il élargit autant que possible l’œil, organe de l’expression et de la
vie
, en lui ajoutant ses alentours. Très souvent, dan
cessité de rendre avec la plus grande liberté, rapidité et énergie la
vie
multiple et mêlée de l’homme moderne, qui vit et
un riche réseau de sensations inédites et raffinées, inspirées par la
vie
plus violente, qui se croisent et s’entremêlent,
u’en arrière dans la marche anxieuse du lyrisme contemporain1. La
Vie
anecdotique. L’Almanacco purgativo Guillaume Ap
archi, avec lequel il revenait volontiers sur les circonstances de sa
vie
aventureuse. Un matin, ils parlaient comme d’habi
e, mais avec le dernier des Stella- Lucente… Durant une semaine, la
vie
fut très calme, chez moi. Mes hôtes ne se rencont
rendre confidentiel leur premier entretien, en l’interrogeant sur sa
vie
, sur Antonio : « Êtes-vous heureuse avec lui ? Mo
ns ses veines. Il y coule plus épais, car il n’est pas purifié par la
vie
active de ses ancêtres ; cette vie que continue à
s, car il n’est pas purifié par la vie active de ses ancêtres ; cette
vie
que continue à mener le vieil Ugo, son père, dans
s livres documentés sur la Ciudad de los Dux, montre comment, dans la
vie
élégante de Venise, où l’aristocratie et le peupl
el effort vers des conceptions plus saines et plus harmonieuses de sa
vie
. Échos. Les argots du Jura et des Alpes Merc
dieu, à ce soir ! Il la mena devant son portrait. — C’est mon âme, ma
vie
que vous avez prise, s’écria-t-elle. Un rayon de
vre. Ah ! ah ! tu ne t’attendais pas à lui voir jouer un rôle dans ta
vie
, à celui-là ! As-tu prié longtemps à San-Trovaso
, je ne te torturerai point par l’espérance ! Je veux que tu voies ta
vie
, comme elle sera désormais, dévastée par moi ! Tu
n du jour où nous avons enlevé Aurora. Car nous l’avons arrachée à la
vie
! J’ai été le complice de cet acte ! Ah ! ce sera
avoir un rôle dans une aventure romanesque, Lowsky gagne largement sa
vie
, en donnant des concerts. Il est presque aussi ma
. La Madone de Raphaël est le plus sublime tableau que j’aie vu de ma
vie
. Resté longtemps devant, écrasé par l’admiration.
es pages, affirmait qu’on n’était poète que si on avait gardé dans la
vie
le fanciullino (le petit enfant) que chacun de no
même de ses amusements ; dans ses sensations plus sincères devant la
vie
. Il est l’homme qui collectionne sans honte et sa
ême et, dans le fond, aussi corrompu qu’il le faut pour comprendre la
vie
. C’est surtout un enfant qui a déserté les écoles
inetti, Buzzi et Folgore — qui ont tiré leur inspiration de la grande
vie
mécanique contemporaine. Mais, comme je l’ai dit
de culture, mais de nature. Comme tous les vrais poètes, il donne une
vie
nouvelle à tout ce qu’il touche. Bien d’autres, a
velle à tout ce qu’il touche. Bien d’autres, avant lui, ont évoqué la
vie
des cloîtres et les sœurs silencieuses habillées
nu l’illustre représentant de la politique de Léon XIII, donne sur sa
vie
de nombreux détails inédits. Un beau portrait du
Tome CIX, numéro 405, 1er mai 1914 Littérature. Stendhal :
Vies
de Haydn, de Mozart et de Métastase, 1 vol. in-8°
[149-152]. Voici le second volume des œuvres complètes de Stendhal :
Vie
de Haydn, de Mozart et de Métastase. Pour cette r
ai passés en Italie sans femmes, sous ce climat, à cette époque de la
vie
, et sans préjugés, m’ont probablement donné cette
. Était-ce chez Stendhal une sorte de bovarysme, il se crut, toute sa
vie
, un musicien manqué « que les circonstances contr
ires ont tourné vers la littérature » : « Le hasard, écrit-il dans la
Vie
de Henri Brulard, a fait que j’ai cherché à noter
our être exclusivement musicien. Mais, continue M. Romain Rolland, la
vie
de Haydn a donné lieu à une longue controverse. O
près avoir refait sérieusement l’enquête et comparé les Haydine et la
vie
de Haydn, M. Romain Rolland écrit : « Quoi qu’il
s-Alexandre-César Bombet, s’écrie : que me laissez-vous à moi pour ma
vie
de Haydn ? Rien. Vous vous appropriez mes convers
vante ; les vieilles pierres y sont évoquées surtout comme cadre à la
vie
actuelle et les gens y vivent réellement. […] M.
fer damasquiné d’or, des plats de Deruta et de Faenza, etc. […] La
Vie
anecdotique. Alberto Savinio Guillaume Apollina
, qui s’entendent si bien en tout ce qui constitue les aisances de la
vie
. Après avoir ordonné un bon dîner, je fis préveni
n Cellini, entré au service, non pas du Roi très Chrétien, mais d’une
vie
avide et inquiète. Il travaille l’or, l’argent, l
cantilisme qui le pousse à l’indiscrétion volontaire, calculée, de sa
vie
bruyante et des bavardages de son œuvre. M. Serra
va nous donner le volume de ses plus beaux vers, ou l’histoire de sa
vie
plus vraie ? Ou peut-être rien. L’unique chose qu
, trois bronzes hors de pair : un buste vénitien ou lombard, plein de
vie
et de robustesse, où l’on veut voir une effigie d
ement de Léopold, ce qui lui permit de terminer assez paisiblement sa
vie
. 36. Dans les Entretiens sur le Fils naturel (17
au dénigrement, qui est notre maladie, à nous. En ce volume, c’est la
vie
de Bellini qui est racontée. Comme documentation,
infrangible. Tome XI, numéro 55, juillet 1894 Les Livres.
Vie
de saint François d’Assise, par Paul Sabatier (Fi
cé au public que M. Sabatier s’était proposé d’écrire un pendant à la
Vie
de Jésus de Renan, le pape a envoyé sa bénédictio
uvrage en russe. Après cela, que restait-il à dire en l’honneur de la
Vie
de saint François d’Assise, qui a atteint, dit-on
avail consciencieux, une compilation bien faite, avec parfois, sur la
vie
de son saint, de jolis détails rédigés en style g
de toutes les théories apprises dès l’enfance et rabâchées durant la
vie
entière — paraissait des plus embarrassantes aux
ttre, l’harmonie absolue ne nous devant être révélée qu’au-delà de la
vie
d’ici ? Or, ces choses ne sont point en dehors de
ligiosité occupe la position la plus élevée : elle est au faîte de la
vie
psychologique, laquelle, partant de la capacité d
ndent dans un peuple, quand, aux heures solennelles de l’histoire, la
vie
sociale est obscurcie par le nuage d’une indicibl
li. Et nous arrivons à la Renaissance, qui fut une période agitée, de
vie
forte, effervescente et poursuivit avant tout la
e et poursuivit avant tout la joie de vivre, d’exister, d’encadrer sa
vie
et d’en jouir, avec les Loges de Jean d’Udine et
le culte de la beauté ; le cadre du bonheur, avec la Farnésine et la
vie
première avec la Villa d’Este à Tivoli. — Toutefo
ute sorte sont prises pour améliorer les conditions matérielles de la
vie
du soldat. Dans le Popolo d’Italia, Mussolini a e
ois, ce qui équivalait à 84 lires italiennes. Mais en ce temps-là, la
vie
était à bon marché en Toscane, on y dînait fort b
en qu’il fût chevalier de l’ordre Mauritien et eût mené longtemps une
vie
brillante. Ses farces, ses épigrammes sont célèbr
e Sansovino, 71.500 ; un vase en bronze de Riccio, 68.000 […]. La
Vie
anecdotique. Un faux Titien au musée de Berlin
; chacun d’eux s’intéresse spécialement au peuple dont il partage la
vie
et s’efforce de comprendre son point de vue : de
sistant et trompeur. Agréez, je vous prie, etc. LOUIS PIÉRARD. La
Vie
anecdotique. Petites annonces [extrait] Guilla
dont on ne pouvait espérer, lorsqu’il fut constitué, qu’il aurait la
vie
si dure. Opposé à « l’Unione parlementare », le F
. C’est donc une force organisée qui a pris grande importance dans la
vie
politique italienne. Dans le pays, les députés et
: la mainmise du gouvernement sur tous les produits nécessaires à la
vie
de la nation en guerre devient une nécessité abso
on comme à celles de Franck Brangwyn. Comme tous les artistes dont la
vie
n’est pas universellement connue, Piranesi avait
e toute une flore, parmi le paradoxe du végétal, parmi l’effort de la
vie
renaissante. Ces ruines, il les a ressuscitées da
is dans toute son essence et toute son étendue. Pour bien retracer la
vie
et fixer l’importance d’un artiste, il n’est poin
des pages intéressantes et justes sur l’Italie du xviiie siècle, sa
vie
intellectuelle, son art, ses travaux d’érudition.
de Campanie, éprise du passé romain dont elle cherche à restituer la
vie
réelle. Il défend des artistes tels que les Ricci
enise du xviiie , de la force, de la joie de vivre, un besoin même de
vie
violente et aventureuse, des heures méditatives e
le voilà à la Nouvelle-Calédonie. Quand il en revint, commence cette
vie
politique triomphale qui en fait le candidat de p
le n’était pas inférieure à son courage physique. Les souvenirs de sa
vie
aventureuse n’étaient pas, comme on pense, dénués
n grand Italien, le professeur Domenico Fiscali. Vasari écrit dans la
vie
de Sébastien del Piombo : Il tira vers le même t
uvert d’un vernis à voiturier, une affreuse mixture qui lui ôta toute
vie
et toute expression, le rendit opaque et ne laiss
français ?) et ce chemin parcouru est étrange. À l’origine, il y a la
Vie
de Jésus de Renan. « De quoi Dieu ne se sert-il p
nous offrir. Nous voulons désormais gouverner nous-mêmes toute notre
vie
nationale. » Cette idée fut reprise, en effet, et
spirituelle, a-t-il dit, c’est que cette guerre nous a fait vivre une
vie
si intense que les mois ont la valeur historique
t résulté que les Italiens s’adaptent mieux que toute autre race à la
vie
dans les climats tropicaux. En effet, dans une ré
tableau que la profession où les deux sexes atteignent la plus longue
vie
est celle d’oisifs. On s’en doutait un peu. La pr
se une société d’individus parfaits, ont réglé le développement de la
vie
anglaise au cours du xixe siècle : l’une reflète
, qui est l’âme de la démocratie, exprime les tendances idéales de la
vie
moderne ; l’une seconde l’indépendance des person
’a puisé qu’en lui-même et dans la mer qui l’encercle ses éléments de
vie
. L’Angleterre s’est laissée influencer par les co
st jamais spécialisée dans le métier des armes, mais a pris part à la
vie
du pays, collaborant à la formation de l’idéal mo
ibres et animés de l’esprit individualiste, vivent chacun leur propre
vie
, suivent leurs intérêts particuliers, disposés, à
, dans des solitudes désolées. C’est de l’histoire, et c’est aussi la
vie
de tous les jours, en dépit de toute® les contrad
llemand ou la logique des peuples latins observent sans cesse dans la
vie
anglaise, et qui ne sont que produits subjectifs
gir des autorités militaires visait non seulement la liberté, mais la
vie
des citoyens. Le peuple innocent et pris au dépou
û remporter son arme bien ébréchée ! Mon cher ami, j’ai perdu dans ma
vie
des personnes idolâtrées. La douleur a survécu à
la haïssait, lui aussi, car il était la plus puissante expression de
vie
que l’on pouvait imaginer. Il la haïssait comme l
Sole del Sabato. C’est une délicate histoire d’amour au milieu de la
vie
d’une petite ville de province et la ville est pr
ans deux volumes de Conversazioni Critiche, où il y a parfois plus de
vie
et de vérité que dans son système. E. Romagnol
e de K. Marx nous a laissé une bonne monographie de M. Olgiati sur la
vie
et le système de l’auteur du Capital (Milan, Vita
pertes font réfléchir les Italiens qui ont le sens de la valeur de la
vie
humaine. Une offensive dans les montagnes du Tren
ères lumières apparaissaient dans les maisons demeurées intactes. Une
vie
quiète, résignée, humble, tenace, montrait de-ci
nnaires, nul n’y prend garde. Une indifférence féroce les entoure. La
vie
du pays les exclut. Après avoir défoncé des forte
r une industrie nationale des couleurs artificielles. Pour assurer la
vie
de la société à fonder, il fallait que les indust
a fois des catholiques, des socialistes militants et ces amants de la
vie
paisible que leurs adversaires traitent avec mépr
ajeure. Elle prend l’attitude crâne de l’adolescent qui entre dans la
vie
et éprouve pour la première fois la plénitude de
de la guerre, notait tout l’étendue de l’influence de Giolitti sur la
vie
publique en Italie : le roi, excellent numismate,
non de l’ensemble de la nation. Grâce à cette longue préparation, la
vie
italienne a conservé à peu près sa physionomie ha
e vue économique et une influence prépondérante dans l’ensemble de la
vie
sociale. Dès que les autres nations ont constaté
fins exclusivement parlementaires. En effet, si l’on veut étudier la
vie
politique italienne de ces trente dernières année
inach. Le peuple français, qui est un observateur si pénétrant de la
vie
et de la société et qui a donné au monde Molière
tir » au point de célébrer aujourd’hui ce qu’ils avaient maudit leur
vie
durant. Aussi est-ce avec joie que j’ai lu la let
la victoire fait mieux de s’efforcer de s’appliquer aux tâches de la
vie
ordinaire et normale, comme l’ont fait et le font
d’espionnage privé et de dénonciations anonymes qui empoisonnaient la
vie
au moyen-âge ; l’autre contre les « embusqués »,
l’introduction de l’esprit et des méthodes de ce militarisme dans la
vie
civile, a publié un vigoureux article : In difesa
é aussi que depuis la Divine Comédie l’Italie n’a eu aucun poème de «
vie
totale » aussi parfait que son recueil Laus Vitæ.
bondées. » Il parle aussi de la nécessité de la mort, pour que cette
vie
héroïque, qui n’a pas pu se réaliser, soit fécond
ibrement sur l’âme de son temps et s’égrène en semences sanglantes de
vie
nouvelle, ainsi que la Préface le veut. Il meurt
lité, elle se révolte en réalité contre une laideur, présentée par la
vie
ou représentée par l’art. Gabriel d’Annunzio semb
— raisonnement dont la naïveté a quelque charme ; M. Cipolla narre la
vie
et l’œuvre d’un poète populaire, le curé don Piet
ux qui n’ont pas d’espoir en le Seigneur et méprisent et négligent sa
vie
. Mais toi, prie le Seigneur, et il guérira tes pé
de filiation. Diotime, la Domina d’Hermas, la Monique évoquée dans la
Vie
heureuse de saint Augustin, la Philosophie telle
actuelle ! Elle n’est soumise à aucune des obligations qui mangent la
vie
du mâle… Elle est libre comme le moineau, — et au
il n’y eut telle profusion d’idoles, tant de cultes particuliers. La
vie
nationale, comme près de cesser, voulait se défin
que des Catacombes. Mais il s’agissait alors d’une secte et non de la
vie
générale. 7. Nous passons ici sous silence une d
en l’autre. Le Souverain Pontife le conduit, par la révélation, à la
vie
éternelle, l’empereur lui donne la félicité tempo
pieds des convives les parcelles du festin, en pensant à la misérable
vie
de ceux que j’ai laissés en arrière, je réserve p
l a concouru à ma génération intellectuelle, et m’a introduit dans la
vie
de la science qui est la suprême perfection. Ce n
ions reçues depuis Vasari, et il vient à nouveau de traduire deux des
Vies
des peintres de l’historien, celles précisément d
ilosophique de Léopardi, qui considérait le Mal comme la raison de la
vie
, et exaltait Ahriman comme principe du mouvementé
morire. (Comme une journée bien se passe au doux dormir, ainsi une
vie
bien se consume au doux mourir.) La Critica soci
che vengono giù ? « … Es-tu celle qui aspire à plus d’intensité de
vie
, qui évoque la danse des Heures vers son ultime j
res Ombres déménagent du ciel il semble que se double La joie de leur
vie
, et sonnent des éclats Gais de trilles et un frou
l’expression d’un visage, et la difformité, rancœur quotidienne de la
vie
, disparaît dans ce nouvel Éden. Où est l’homme, o
hasse passionnée aux idées et aux impressions. Impressions ? Toute sa
vie
ne tiendra-t-elle pas dans ce mot ? Dès les premi
e, le reste ne doit-il pas se déduire naturellement ? Tout un plan de
vie
artistique découle de cette première affirmation.
res sollicitations d’une tradition facile et vaine, — d’avoir aimé la
vie
et ses réalités pures au point d’assujettir tous
avril 1896, p. 127-129 [127-128]. Il n’y a un peu de plaisir dans la
vie
qu’à dire presque ce que l’on pense ; c’est un pl
la pensée scientifique et avec une plus rationnelle conception de la
vie
morale. En fait, d’un côté, la science, qui à cet
e à toutes ces métamorphoses en détermination d’une philosophie de la
vie
; philosophie potentielle et cinétique. — Peut-êt
n en formes humaines. Un chant de chair, de matériel amour, de jeune
vie
et de suprême harmonie, ce maître tableau que sem
es dialectes, comme il est naturel de l’attendre d’un peuple plein de
vie
, pour lequel la religion n’est pas un frein, mais
st nécessaire, qui est fort peu de chose, et ils passent doucement la
vie
. Ils ont fourni à Montesquieu l’occasion de dire
t enfin entreprenons la grimpée la plus pénible que j’aie faite en ma
vie
. Il faut se presser beaucoup moins et n’avoir pas
agrua, alors comtesse Simonetta. « Cette partie si intéressante de la
vie
de Stendhal, effleurée seulement dans les 32e et
ent l’emprise du passé. Liée intimement, comme nous l’avons dit, à la
vie
publique, elle plonge toutes ses racines dans les
e réaliser l’insaisissable idéal, de fournir à l’esprit religieux une
vie
pleine et adéquate au moyen de représentations in
cente 1 de M. d’Annunzio, du moins, est une tentative de poème, où la
vie
nous apparaît doucement ou douloureusement lyriqu
ors des lois communes, et qui, comme un polype monstrueux, envahit la
vie
dans toutes ses manifestations actives : politiqu
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