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1 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
 87-91 [88]. Sous le titre de Piccoli aforismi M. Francesco Accinelli traduit en italien les Petits aphorismes de Louis Dumur.
agréables Élégies romaines 2, œuvre d’un poète sûr et précieux. J’en traduis ceci : Midi : « C’était un silence affreux et lu
uana. La Vita Moderna nous apprend, que M. Riccardo Sonzogno vient de traduire , pour la première fois, les Fleurs du mal. On ne
t encore, en italien, que les Poèmes en prose que Ragusa Moleti avait traduits , puis imités. Il ne faudrait pas croire que les p
esse. Et quel style ! un perpétuel décalque du français : on pourrait traduire en français l’italien moderne mot pour mot et « m
2 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
] Tome XXI, numéro 87, mars 1897 Roman. E.-A. Butti : L’Âme, traduit de l’italien par J. de Casamassimi, in-18, Ollend
Rachilde. Tome XXI, numéro 87, mars 1897, p. 595-599 [597]. L’Âme, traduit de l’italien (A. Butti, par Casamassimi). Une his
qu’il donnait, sinon comme inédite, du moins comme n’ayant jamais été traduite . Il y a lieu de s’étonner, quand il s’agit de Pog
u de cette lettre de Pogge se serait rendu compte qu’un autre l’avait traduite avant lui, et cette première traduction n’est nul
e au xve  siècle, par Pogge, Florentin, scène de mœurs de l’âge d’or. Traduit en français pour la première fois par Antony Méra
uvres de Pogge où j’ai découvert cette lettre, très peu connue et non traduite en français, est un incunable à longues lignes :
et, quoique les œuvres du malheureux philosophe ne soient pas encore traduites en italien, les vulgarisateurs de ses idées se mu
e. M. Casimiro Varese est, d’ailleurs, un spécialiste du genre ; il a traduit autrefois Bürger, Goethe, Klopstock, Grillparzer,
de faire renaître la tragédie ; et l’auteur de l’Enfant de volupté a traduit pour son théâtre, en prose rythmique, l’Agamemnon
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
l’emporte ; pour sa facilité, elle peut revendiquer tout ce qui a été traduit et Arturi regis pulcherrimæ ambages ; la langue d
chacun peut le lire en sa littéralité ; j’essayerai maintenant de le traduire , de lui attribuer son véritable sens. Le lecteur
Avant la prévarication, les discours commencent par à gaudio, il faut traduire ou par Gault, d’où vint Gothique, et ensuite Goli
révéler la pensée de Dante ; le titre déjà emprunté à Platon (Convito traduit le mot Symposion) nous avertit de l’importance du
aurait dépassé son mandat. Car les Canzones ne veulent pas qu’on les traduise . Que chacun le sache : nulle œuvre harmonisée (do
e trouble les opinions reçues depuis Vasari, et il vient à nouveau de traduire deux des Vies des peintres de l’historien, celles
4 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
le miracle. À parcourir ces jolies pages où la voyageuse s’efforça de traduire par des mots si proches l’intime émoi de son être
, avril 1904, p. 179-191 [190-191]. Grazia Deledda : Elias Portolu, traduit par G. Hérelle, Calmann Lévy, 3 fr. 50 Une jeu
r vive et passionnée qui rend vivante la moindre action de ses héros. Traduit par G. Hérelle de l’italien. F.-T. Marinetti :
, la vie du musicien et le caractère de son art. Enfin le poème était traduit en français. Le résultat fut merveilleux. Ce publ
des Manuscrits de Léonard de Vinci, conservés en France, nouvellement traduits et ordonnés. La première édition de cet ouvrage e
ique », le dommage est souvent plus profond. La mélodie de ces airs y traduit musicalement des « étals d’âme » successifs mais
ux qui se renseignent dans les pays qu’ils traversent, savent voir et traduire clairement des impressions, — qui rapportent de l
es imitations, des démarquages ou des plagiats. Que G. d’Annunzio ait traduit quelques paragraphes et plusieurs phrases de G. d
ieurs ; avec un vocabulaire essentiellement matériel, ils excellent à traduire d’une façon concrète les passions, les sentiments
à la nouvelle de Maupassant. Les Novelle della Pescara n’ont pas été traduites en français dans leur ensemble. Nous aurions pu m
être racontés. Fernand Caussy : Les Nouvelles de Girolamo Morlini, traduites du latin, Sansot M. Fernand Caussy nous donne,
d’où est sorti du moins ce superbe morceau de prose, l’« Apologie » ( traduite par M. Gauthiez) ; enfin le retour fatidique en I
appelait du nom dantesque et fastueux : Il Convito, que l’on pourrait traduire  : Le Festin. Elle réunissait « un vivant faisceau
ur des cœurs », mort sur les rivages de l’Italie, enseveli à Rome, il traduisit dans la plus pure langue italienne l’âme du poète
5 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
Tome X, numéro 50, février 1894 Fantaisie Giosué Carducci. Traduit de l’italien par Victor Barrucand. Tome X, numé
Rorate scyphi desuper Et nubes pluant mustum. M. Corrado Corradini a traduit en vers élégants un choix de cette bizarre littér
héologien », et M. Léon Tolstoï lui a demandé l’autorisation de faire traduire son ouvrage en russe. Après cela, que restait-il
tes les qualités saisissantes de l’art auquel ils s’adressent pour la traduire . Or, nous voyons avec peine les jeunes peintres s
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
points de vue, du Roi Lear de Shakespeare. M. Antonio Cippico, qui a traduit l’année dernière en collaboration avec M. Tito Ma
vers à la prose, selon les mouvements de l’âme des personnages. On a traduit indifféremment en prose Shakespeare. On n’a pas v
Dans une note, M. Antonio Cippico déclare nettement qu’on ne doit pas traduire Shakespeare autrement qu’en une succession de pro
7 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
re pas. Canaletto, discrètement, aime et connaît bien sa ville, il en traduit avec une ferveur et une sensibilité tendres la co
ea, de Calderon, avec le concours de M. de Max ; Bilora, de Ruzzante, traduit du vénitien par L. Zuccoli et Ephrem Vincent ; Le
ente, et Frey Luiz de Souza, d’Alméida de Garrett, œuvres portugaises traduites par Ephrem Vincent et par Maxime Formont ; Les Ré
Résurrection des dieux (ou Léonard de Vinci), par Dmitri Merejkowski, traduit par M. Persky, et Léonard de Vinci (ou la Résurre
sky, et Léonard de Vinci (ou la Résurrection des dieux), par le même, traduit par J. Sorrèze. Ceci me semble une effroyable pla
dramatique empruntée à l’œuvre du Vénitien Angelo Beolco (Ruzzante), traduite par MM. Luciano Zuccoli et Ephrem Vincent. Pour t
II, numéro 150, juin 1902, p. 750-760 [760]. M. Albert Lécuyer, qui a traduit « Alleluia » du même auteur, nous donne aujourd’h
Francesca da Rimini, Marion Crawford. Le drame qu’il a écrit, et qu’a traduit à la perfection M. Marcel Schwob, est fort intére
il nous déplaît qu’il use de l’onomatopée, alors qu’il est capable de traduire par le langage humain les appels stridents des va
d’honneur est tenue par Matteo Bandello, évêque d’Agen, dont M. Ernst traduit trois contes. — D’un format élégant et commode le
8 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
r. L’unité de l’Art ne tient-elle pas en cette définition : saisir et traduire les valeurs ? Velasquez, Rembrandt n’ont-ils pas
ceau, que des à peu près d’expressions, — qui eussent plus fidèlement traduit leurs visions s’ils ne se fussent butés contre un
hasard d’une rencontre dans une voiture publique, cette scène unique traduite en un style sévère et ferme, exécutée grandeur na
ur d’une forme pour en concevoir l’impression ; et quand il s’agit de traduire cette impression, en toute intensité, on ne peut
e nom du traducteur. Mais c’était peut-être en français qu’il fallait traduire , puisque le français est bien décidément, aujourd
9 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
à l’Étranger, et qu’on ne connaît de cette littérature que les œuvres traduites  ; de là, une incertitude à la juger, et quelquefo
puisse se passer des traductions. Il est en effet plus facile de bien traduire un auteur, que de bien le choisir parmi ceux qui
uire un auteur, que de bien le choisir parmi ceux qui méritent d’être traduits . Memento F. de Roberto, Gli Amori (Milano,
ire d’Amerigo Vespucci, on a joué à Florence le Plutus d’Aristophane, traduit et par malheur forcément expurgé par M. Augusto F
ois, pourquoi on a confié les rôles à des étudiants, la comédie étant traduite en bon et sonore italien. Toujours est-il que les
ro 103, juillet 1898, p. 227-233 [229]. L’Automate, par B. A. Butti, traduit de l’italien par M. Lécuyer. L’histoire d’un homm
guerre avec le Négus Théodoros ; mais déjà en 1770, James Bruce avait traduit les Annales Abyssines qui sont probablement le fa
électricités et leur mode d’emploi. Memento. — […] L’Ode Alchimique, traduit de l’italien […]. Tome XXVIII, numéro 108, dé
10 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
5 mars 1905 Les Tentations. Nouvelle sarde [I] Grazia Deledda, traduit de l’italien par E. Albertini et E. Maynial. Tom
Les Tentations. Nouvelle sarde (Suite) [II]8 Grazia Deledda, traduit de l’italien par E. Albertini et E. Maynial. Tom
ne voulait pas encore en croire ses oreilles. L’autre relut posément, traduisit même en patois certaines phrases ; Zio Félix enle
es meilleures revues et dans les journaux de la Péninsule, M. Cippico traduit Nietzsche et en fait une exégèse profonde. Il y e
ssian dont il rapporta en France divers airs notés, que Pope, dont il traduisit l’Essai sur l’Homme, et que Dryden et Gray, dont
ne sorte de culte ? Peut-être. En tout cas il est hors de doute qu’il traduisait dès 1808, en même temps que Pope, Dryden, Addison
ctures. S’il ne lisait plus depuis quelque temps, s’il avait cessé de traduire à sa façon, en vers ou en prose, Ossian et Young,
e ancêtre21. » La vérité, c’est que Lamartine lisait Pétrarque et le traduisit dix ans avant de publier les Méditations. Au mois
moins d’élasticité de l’air22. Or, veut-on savoir comment Lamartine traduisait alors les sonnets du poète italien ? Le petit Pét
bien large et dégagée du texte italien ! C’est ainsi que J. du Bellay traduisait les sonnets qu’il transportait ensuite dans l’Oli
r des fragments de Dryden et d’autres. » Le 30 septembre 1810 : « Je traduis de l’anglais : quelques Nuits de Young et la supe
e, où Ossian régnait sur l’imagination de la France. Baour-Lormian le traduisait en vers sonores pour les camps de l’empereur. J’é
, de quelques strophes de cet auteur, qu’il avait essayé autrefois de traduire en vers avec l’aide de son maître de langue, je c
u Bellay, librairie Sansot, 1905. 26. Ce n’est pas le seul qu’il ait traduit ou adapté. Je lis dans les Souvenirs de Charles A
tine lui avait donné, entre autres manuscrits, un sonnet de Pétrarque traduit à Brugg en 1824. Or, à la page 22 du tome II du p
une cure aux eaux de Schinznach (Argovie). J’en conclus que le sonnet traduit de Pétrarque qu’il avait offert en manuscrit à M.
11 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
Cie), 3.50 Ce titre mi-partie ruskinien, mi-partie journalistique, traduirait assez bien l’esprit du livre, si d’abord l’ouvrag
», pour que toute la beauté d’un vers chavire et sombre comme si l’on traduisait  : « la tempête souffle », ce ne fut pas sans quel
eurs italiens pourraient à leur tour exiger la saisie de leurs œuvres traduites en russe et en polonais à leur insu. Les grands é
ro 129, 1er septembre 1900 La Mort d’Orphée Luciano Zùccoli. Traduit de l’italien par M. Lécuyer. Tome XXXV, numéro 1
tifs curieux qu’un bel imaginatif du crayon sera toujours tenté de le traduire en images malgré les innombrables dangers de l’en
il n’ait pu le réaliser. Il n’appartenait pas à ce peintre délicat de traduire par le pinceau les colorations farouches et les l
tituée et son géant dont on ignore l’exacte signification. En voulant traduire tout cela (XXXII), Botticelli, malgré sa virtuosi
E. A. Butti, qu’on connaît en France par ses romans (l’Automate, traduit par M. Lécuyer, l’Âme, traduit par M. J. di Casam
en France par ses romans (l’Automate, traduit par M. Lécuyer, l’Âme, traduit par M. J. di Casamassimi, etc.), vient d’accompli
00 Philosophie. La philosophie de H. Taine, par G. Barzellotti, traduit de l’italien par Aug. Dietrich : 1 vol. in-8, de
la 6e édition, p. xxiii de l’édition française (Alcan, 1889). 5. Je traduis littéralement de l’italien, au risque d’écrire de
(précaution nécessaire, car la chose paraît à peine croyable), que je traduis littéralement et que je reproduis l’envoi de la B
as. Barcelone, 1896. 21. Loc. cit., p. 121. Je répète encore que je traduis littéralement. 22. Notamment par Mendel, par Hir
12 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
e pour l’œuvre d’un « auteur inconnu », qui aurait « imité plutôt que traduit  ». Mais comme l’un des morceaux qu’il cite est pr
e la fureur de Roland avec autant de souplesse que son désespoir ; il traduit l’horreur des éléments déchaînés, la lutte suprêm
é et un romancier subtil et élégant. Quelques livres de M. Lipparini, traduits par M. Hector Lacoche, le traducteur du Roland fu
13 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
déjà ravi, c’est peut-être à la vue glorieuse de ce port heureux ? Il traduit maintenant par sa musique la joie générale de ceu
3,50, Mercure de France. […] — John Ruskin : Le Repos de Saint-Marc, traduit par K. Johnston, 3 fr., Hachette. — John Ruskin :
re dans la belle monographie de Mr Frédéric Harrison, très fidèlement traduite par M. Louis Baraduc, une critique claire et préc
ervent encore un grand sens du caractère, si Melioli sait de son côté traduire excellemment les volumes, la plupart des autres t
va la donner à Mme Sibilla Aleramo dont M. Pierre-Paul Plan vient de traduire Une femme, livre féministe sobre, fort, angoissan
t l’objet de si bouillante préoccupation14, ne devraient-ils pas être traduits à Milan ou à Naples ? Mais parmi les maîtres même
re cent, dans sa Ballade des Gnomes la nuit de la Saint-Pierre. Je ne traduis pas ce distique, intraduisible. Chacun peut se re
rendre d’eux le mode d’expression le plus parfait, le plus réel, pour traduire sa propre vision. Comme à côté de celle de Goethe
ure, à l’exemple de Ruskin, dont il fut épris autrefois. Il excelle à traduire les frissons, les nuances, les fraîcheurs d’une e
lques savoureuses descriptions de paysages et qu’il se laisse aller à traduire sa joie de vivre, non plus par l’étourdissante fa
saires que l’émigrant apprenne, l’émeuvent profondément. Il lit ceci, traduit en plusieurs langues : Je suis italien — je cherc
reste d’un grand intérêt pour l’étude de l’art italien à l’époque et traduit les principaux épisodes de la légende primitive.
nnant que les romans et les contes de M. Zuccoli ne soient pas encore traduits et publiés en France. Il est étonnant aussi que l
s qui ne veulent voir en lui que le politicien. Cependant ses livres, traduits en plusieurs langues, témoignent d’une tendance d
é du poète semble avoir erré sur toutes les routes de l’esprit : il a traduit les plus beaux vers de Shelley, de Tennyson et de
naire vient de combler en partie cette lacune. Les Sonnets Luxurieux, traduits seulement dans l’édition à cent exemplaires, sur
’ailleurs les traductions anglaise et allemande, ont été nouvellement traduits par M. Apollinaire. Il faut le louer d’avoir comp
iciste Rocca, et dans lequel l’auteur de Salomé autorisait celui-ci à traduire et à faire représenter cette pièce, attaquait la
xte originel ; il fut, en effet, reconnu que de nombreux passages non traduits par Rocca figuraient dans la traduction Vannicola
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
ace particulièrement importante de M. B. Croce. M. Alfredo Gargiulo a traduit et préfacé la Critique du Jugement de Kant. M. Gi
n italienne de l’œuvre si remarquable de W. Williamson, admirablement traduite par M. E. Ferraris : la Legge Suprema. — M. Gugli
15 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
sont faits de précision dans le rêve et de clarté dans une vision qui traduise non les profondes et belles vérités d’un mythe do
urs compatriotes. Les deux volumes : l’Amore (Love and Mr. Lewisham), traduit par M. Angelo Sodini, et I Predoni del Mare, trad
d Mr. Lewisham), traduit par M. Angelo Sodini, et I Predoni del Mare, traduit par M. Pasquale de Luca, sont les derniers de la
rer fervemment. En ce qui me concerne, je fus le premier, je crois, à traduire en français deux des plus beaux contes du romanci
ses d’une ambition déçue. Travailler à cette histoire de la peinture, traduire un auteur italien, c’était revoir l’Italie dans s
i-même la langue que parlait Angelina ; même à l’ennuyeuse besogne de traduire un livre ennuyeux, se mêlaient des pensées d’amou
été abandonnée, loin de là ; mais d’autres auteurs aussi avaient été traduits , et démarqués. Beyle, plein d’un zèle admirable,
en œuvre tous les volumes achetés à Milan, il avait compilé, comparé, traduit , résumé, mélangé, et déjà, par morceaux épars, ma
Non Coupable ! Mémoires de Linda Murri, publiés par L. Di San Giusto, traduits par Mme J. H. Desmaret ; Juven Edmond Barthèlem
Histoire de la peinture italienne, qui, plus tard, fut plusieurs fois traduite en France et en Angleterre. 14. Je rétablis tant
e mal ce passage peu lisible, et dont le sens serait : « J’ai pensé à traduire Lanzi (il a 1900 pages), et à faire de cela un vo
l’italien que je me le figurais. Pour me remettre à cette langue, je traduis , en abrégeant, l’histoire de l’école de Florence…
t deviner que ce livre, qu’il ne nomme pas, c’est Lanzi, et que, s’il traduit d’abord l’histoire de l’école de Florence, c’est
16 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
e l’essentiel de la pensée du Vinci en lisant les textes choisis qu’a traduits pour la première fois M. Péladan. Voici donc, di
férence que M. Chahine a plutôt cherché, dans ses figures de femme, à traduire l’expression canaille et effrontée des filles du
plification puérile contredit aux documents. Fra Ambrogio, camaldule, traduit en même temps Diogène Laërce et les pères grecs ;
Œuvre : […] Acquitté, pièce en un acte de M. Camillo Antona-Traversi, traduite de l’italien par M. Lécuyer (20 février). […]
Platon. Il passa sa vie à commenter la philosophie platonicienne et à traduire en italien les textes grecs. Ces nouveautés susci
noblement dit les trop pathétiques sonnets de Ça ira, vigoureusement traduits par M. Jean de Bonnefon, et le plâtre du poète a
publie de bons et de mauvais livres de documentation italienne. On y traduit des livres médiocres et on remplit d’eux le feuil
s plus gros succès de librairies de l’Italie, puisque son livre Cœur, traduit même en japonais, a atteint, et je crois dépassé,
ne : la plupart de ses tableaux sont des évocations dantesques ; il a traduit la Vie nouvelle ; un de ses premiers poèmes décri
a République. l’Art d’aimer et le Remède d’amour n’avaient jamais été traduits en France. Ces traductions n’ont peut-être pas la
-690 [687‑688]. On sait que les Mémoires de Benvenuto Cellini ont été traduits en français par Léopold Léclanché, en 1847. M. Ch
dernier roman, L’Amore di Loredana, qu’il faut souhaiter voir bientôt traduit en français, est une fresque de la vie des Véniti
sial et aussi la base nécessaire de toute communion. L’hébraïsant qui traduit le troisième mot de la Genèse « bara » par « sépa
lussent l’Évangile et les Épîtres de saint Paul et que l’Écriture fût traduite dans toutes les langues. » On sait que Paul III e
es protestants ont tâché de faire croire que la Bible n’avait pas été traduite en langue vulgaire avant le saxon. Panzer compte
rivilège et on put tout dire, et nier la donation de Constantin comme traduire librement le texte hébreu. Ce fut donc la Papauté
ns De Beweging (fascicules de juillet et d’août), […] Elise Gosschalk traduit en partie Il Pilota cieco, de Giovanni Papini, et
: Textes choisis : pensées, théories et préceptes, Fables et Facéties traduits pour la première fois dans leur ensemble, et mis
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
rale et formelle ; et le terrain lui a pour ainsi dire manqué pour se traduire en vastes mouvements collectifs et prendre forme
les, plongeant dans le mystère, y puisant l’amour, la force, la vie à traduire en action. M. Vilfredo Pareto. Professeur à l’
18 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
ué, entre autres choses les croyants est notamment ce passage, que je traduis à la lettre : « La croix du Galiléen aux cheveux
3 Casanova à Dux. Un chapitre d’histoire inédit Arthur Symons. Traduit de l’anglais par Henry D.-Davray. Tome XLVIII, n
été imprimé. Herr Brockhaus, après avoir acquis le manuscrit, le fit traduire en allemand par Wilhelm Schütz, mais avec de nomb
se ; de l’Icosameron, curieux livre publié en 1787, prétendant être «  traduit de l’Anglais » mais, en réalité, ouvrage original
an and Hall publiaient deux volumes de passages choisis des Mémoires, traduits excellemment par une dame qui a préféré garder l’
l’Alpe, Segantini arrive à son dessin filamenteux, c’est uniment pour traduire la nouvelle facture de ses tableaux, dont ses des
lé, averti sans initiative, qui a tout vu et qui se souvient de tout, traduit en langue généralement compréhensible les façons
19 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
e volonté, n’osa jamais aller si loin ni à droite, ni à gauche. Ayant traduit Aristote et commenté Platon, il lui restait pour
Daudet ne s’est trompé qu’une fois, avec l’Évangéliste. » Il faudrait traduire encore ses considérations sur Jules Sandeau, qu’i
me la Mort, de Mme Rachilde, dont, au cours d’une analyse aimable, il traduit un fragment de la scène du second acte, entre Pau
20 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
sous escorte à la Kommandantur à Bruxelles. Je ne puis m’empêcher de traduire un fragment du récit des péripéties de ce voyage
st plus juste que de telles revendications. D’autres vœux de l’Italie traduits par M. Provenzal ont trait à l’expansion colonial
on puisse faire d’un auteur. Mais je n’insiste point ; l’ouvrage sera traduit et le public français en jugera bientôt par lui-m
nt cerner d’un trait et mettre à part. Elles sont insuffisantes, pour traduire la pensée des gouvernements, de l’Allemagne d’abo
activement l’Italie à participer à la guerre aux côtés de la France, traduit la belle lettre envoyée du front par un institute
21 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
singulières aventures qu’il serait trop long de vous coûter. Il a été traduit , rhabillé en français sur la traduction, écourté,
uvé des lecteurs bénévoles en Allemagne : je suis sûr que ces œuvres, traduites en français, auraient acquis à leur auteur de nom
un seuil que les poètes cherchent à atteindre, et leur pessimisme ne traduit souvent que l’impuissance de leurs efforts pour y
e Lysistrate) ; mais quand même la statuaire grecque, qui cherchait à traduire le caractère individuel, inclinait aussi à rappro
point présenté, cette année, de ces coins du Paris populaire dont il traduit si bien l’esprit et le bouillonnement. […] Le
permet pas de préciser, jaillit une fontaine Artakiè ; ce qui peut se traduire par fontaine de l’Ours15 ; 10° La région comporte
M. Ottolenghi n’en est pas moins très curieux et il mériterait d’être traduit . Les Revues. Memento [extrait] Charles-Henry
ittérature. Lettres de femmes à Casanova, recueillies par Aldo Ravà, traduites de l’italien par Édouard Maynial, 1 vol. in-8, 5 
ionnaire de rimes… je cherche, dans Mac-Ferson, quelque triste lied à traduire … je m’accoude à ma fenêtre… je parle de vous à la
ertains de ses compatriotes, un peu de nervosité, d’impatience qui se traduisaient par des plaintes : « Nous piétinons. Nous sommes
d’un démagogue chez qui l’amour de l’humanité — qui, à l’occasion, se traduisait par des sentences de mort — n’allait pas avec cel
dans les mœurs. Des œuvres de Boccace, dont le Décameron, avaient été traduites dès 1414 par Laurent de Premierfaict, et les cont
Piero Jahier a fait connaître parmi nous l’œuvre de Paul Claudel et a traduit le Partage de Midi et l’Art poétique. Mais la Voc
evoir dernièrement de ses amis la lettre recommandée suivante, que je traduis  : Très cher Soffici, Nous t’écrivons très préocc
les extraits de poésie de Buzzi, Marinetti et Palazzeschi, habilement traduits par Harold Monro, et le manifeste futuriste, on p
sœur et à l’Empereur ? Non pas, s’il vous plaît, mieux que cela ! Je traduis la seconde : « Ici, à Portoferraio, en 1802, fut
14 et suiv. 56. Od., X, 189-194. 57. Od., X, 509. On a également traduit « un rivage pouvant être creusé », c’est à-dire u
22 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
ser par le luxe des éditions qu’ils lui consacrent. Non seulement ils traduisent avec soin son œuvre tout entière, ils s’appliquen
re national. Mais comme il n’est tel que par le souvenir, et qu’il ne traduit pas en rythmes des attitudes psychiques nouvelles
’un pays des montagnes Apuanes. Là il écrit des livres d’histoire, il traduit les annales du Génois Caffaro. Là il s’exalte et
entie devant une catastrophe terrible jusqu’à la beauté, vient d’être traduit et publié dans des conditions particulièrement to
vient de paraître sous le titre la Terra fremente, consciencieusement traduite par M. T. P. Landi. Cette traduction du livre du
oix exaltée. — Non… — La vie du Giorgione ! — Du Giorgione ? — Oui… —  Traduisez -moi cela, Aldramino, je vous en prie, traduisez !
Giorgione ? — Oui… — Traduisez-moi cela, Aldramino, je vous en prie, traduisez  ! Le Giorgione ! Nous étions comme deux enfants.
s du Giorgione. La curiosité fut la plus forte. Le soir même, Enéa me traduisit ce document.   Pas de désillusions ! Tu étais bie
t fort instructive. C’est une des raisons qui m’ont décidé à la faire traduire . Elle a en outre le mérite de présenter un tablea
divine lumière du soleil des nudités ternes ; quand je ne saurai plus traduire les nobles attitudes que prennent, naturellement,
uction de la forme tout entière ; il voit le volume des choses et les traduit par la valeur et le modelé ; son œuvre acquiert a
ondations des dernières écoles littéraires françaises. M. Marinetti a traduit lui-même en italien son volume Destruction, paru
dences, apparaît curieuse et encore une fois indéniable dans ce livre traduit par son auteur. M. Marinetti chantait en français
e la Camorra, les règlements de l’« honorable société » — qui ont été traduits en italien par le Dr de Blazio9 — cachent les opé
uin). — […] « Hautes et basses classes en Italie », par W. S. Landor, traduit de l’anglais par M. Valery Larbaud. Tome XCII
alter Savage Landor : Hautes et Basses Classes en Italie (fragments), traduit par Valery Larbaud, 1,50, V. Beaumont M. Valer
a les soixante dernières pages de l’œuvre de Landor. Le fragment qu’a traduit M. Valery Larbaud forme un récit complet. Il repr
Le), chronique du seizième siècle, extraite des Archives de Naples et traduite littéralement de l’italien par M. J… C… O. ; préc
ambara, Gaspara Stampa, Léopardi, de Mlles Guglielminetti et Térésah, traduits par l’auteur. Il comble totalement une lacune que
Sienne. La vision y est originale et superbe. Voici quelques strophes traduites par Mme J. Demarès de Hill : Marie, Marie de Ma
n, tandis que Monna (contraction de Madonna) est un terme qui peut se traduire à peu près par Madame. Tome XCIV, numéro 347
23 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
re unique ! dit-il, navré de voir l’immense émotion qui l’exaltait se traduire par une phrase aussi commune. — Mon heure préféré
tastiques qui rappellent les plus jolies tankas japonaises. Si on les traduit , on a l’impression qu’il n’y avait rien : tout le
s plus haut. Il résulta de la double édition Brockhaus : l’allemande, traduite sur l’original français par le professeur de Hall
le d’employer. Il fit tout simplement comme Tournachon-Molin : il fit traduire de l’allemand en français, d’après la version de
urent tous les deux le manuscrit de Casanova entre leurs mains : l’un traduisit du mieux qu’il put, expurgea et supprima, n’ajout
ui déplurent peut-être à ce dernier ou lui semblèrent indignes d’être traduites . Ce n’est pas tout. Laforgue et Schütz ont lu le
de tel, et ne reconnaît pas encore ce pouvoir « à la bonne musique de traduire non seulement les paroles, mais l’âme cachée qui
ent en Italie, mais encore en Angleterre et en Allemagne, où elle fut traduite , comme en France. Pour Napoli-Signorelli, qui écr
ibraire ? M. Lehec nous l’assure. 8. Les sept premiers tomes ont été traduits par M. Jung ; les sept derniers l’ont été par Aub
p. 379-380. 20. R. Rolland. 21. Écrits de musiciens, p. 380. 22. Traduit en français, l’Essai d’Algarotti fut publié une p
24 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
ée. Son histoire tient en quatre paroles (en italien), qui se peuvent traduire en français par : « Il est mort à trente ans. » C
euples latins se ralentirent. Alors qu’Espagnols, Français, Italiens, traduisaient fébrilement toutes les publications allemandes, s
vrage : La Guerre moderne, sur terre, dans les airs et sous les eaux, traduit de l’italien par Jacques Mesnil. C’est, en quelqu
présentent, les lettres de Michel-Ange n’ont jamais été intégralement traduites en français. Alors que, dès leur apparition, ses
 Boyer d’Agen (Œuvre littéraire de Michel-Ange), sur 495 lettres n’en traduit que 50 intégralement, et pour celles adressées à
us ? Lisez le cœur et non la lettre, parce que « la plume ne peut pas traduire exactement la bonne intention ». J’ai à m’excuser
GNIOLO BUONARROTI, Vieux souvenir d’un feu qui n’a pas été reconnu. Traduit de l’italien par m. C. martin. Ouvrages sur
ers et tout ce qui ressemble à la logique ordinaire : il s’efforce de traduire ses sensations directes devant les choses avec un
’entre eux ont renoncé à l’expliquer. Michel-Ange s’était contenté de traduire ce texte presque mot à mot sans toujours bien com
natio est modica membrorurn operis commoditas, etc… » que Michel-Ange traduit  : « L’ordinazione è una piccola comodità de membr
25 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
anisme » en 1888. Des fragments de ses articles de propagande ont été traduits par H. Jordan dans le présent volume : il se décl
sens, son esthétique réside surtout dans sa vitesse et il s’ingénie à traduire , en un chapitre, cette estetica della velocità .
ue. Il pourrait remonter jusqu’à Monteverdi, de qui l’émouvant Orfeo, traduit et tout prêt pour la scène, est, bigrement plus n
ropre Italienische Reise, dont Stendhal donnait les passages qu’il en traduisait comme lui ayant été contés par une Marchesina ! L
ites taches de traduction disparaissent dans l’ensemble. M. Passerini traduit par exemple « Ce cor a longue haleine » par « Que
levala, Iginio Cocchi. tr. Soc. T. Ed. Coop. Florence Le Kalevala, traduit par M. Iginio Cocchi, a une importance littéraire
ces détails et je préfère remercier M. Péladan du soin qu’il a mis à traduire les notes du maître et à les présenter dans un or
337-340 [339]. Sans doute, la comédie de M. Giannino Antona-Traversi, traduite par Mlle Darsenne, les Plus Beaux Jours, recèle q
p. 698-703 [702]. […] E. Cicotti : Le Déclin de l’Esclavage antique, traduit par G. Platon. Rivière, 10 fr. Étude érudite, mai
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 »
résence d’une évolution de l’esprit religieux qui, comme toujours, se traduit en une dissolution de la religion. Et la vive rés
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
ntre le libéralisme ; dans tout l’Orient, des conflits de race qui se traduisent le plus souvent par des conflits d’Église ; en Ex
28 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
ans, bons ou mauvais, et les chefs-d’œuvre de toutes les littératures traduits dans sa langue si claire et accueillante, la libr
n mauvais goût repoussant. Les grammaires latines et grecques étaient traduites de l’allemand. Les lycéens étudiaient les textes
sule était l’Isonzo ; et un P. D. Fischer, par exemple, dans un livre traduit et très estimé en Italie, d’ailleurs remarquable,
s conscient et qui cherche : il s’est appliqué, ces derniers temps, à traduire des pièces anglaises (Gregory, Yeats, Synge) mais
e à l’épanouissement de leur sensibilité. La figure de Daniele Cortis traduit assez bien les traits principaux d’un homme comme
ique et en France (1915), — tel est le titre donné au second recueil, traduit par M. Jacques Mesnil, des chroniques de guerre d
29 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
jets où nous ne pouvons la suivre en détail, nous a fait l’honneur de traduire presque intégralement, en y joignant des commenta
30 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
l’érudition de votre correspondant, ni la patience qu’il a montrée à traduire en alexandrins les rudes hendécasyllabes de l’Ali
un amour adultère Et livrait sa pudeur aux princes de la terre, pour traduire le : Quando colei, che siede sopra l’acque, Putt
’oppose un article du correspondant en Hongrie de ce journal, article traduit dans le Journal du Peuple, du 15 décembre 1917. L
pressions. Il y a plus : j’ai fait connaître ici même et j’ai ensuite traduit les deux admirables livres de Luigi Barzini : Scè
st arrivée à l’âme de la nation, tous les partis, sans hésitation, la traduisent en acte. C’est ainsi qu’est née spontanément l’as
ublia dans son n° 244, 4 septembre 1918 et qui, trop longue pour être traduite ici intégralement, contenait les passages suivant
31 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
e l’auteur. » Eh ! mais, monsieur d’Ancona, cette phrase peut bien se traduire par un seul mot : Bragadin. Pourquoi n’avez-vous
tel del Monte, Sabine et Ombrie, — font suite à un précédent ouvrage, traduit de même par M. Jean Carrère : Rome et ses Environ
mpris Pascoli. M. Henry Bérenger l’a mieux saisi. En Allemagne, on le traduit avec une certaine ferveur. Mais la renommée de Pa
oins M. Giuseppe Fiorentino ou « Joseph Florentin » (je crois pouvoir traduire ce nom ou plutôt ce titre), s’il n’a pas été beau
l’excellent livre de Karl Federn sur le procès Murri, livre qui a été traduit en italien et en français. Que ces gens aient pu
avec étonnement que l’apparition du volume de Poésies de d’Annunzio, traduit par M. Hérelle, n’a rien apporté, en France, à la
bleau de cet écrivain, doit être cherchée dans les déplacements d’air traduits auditivement, la distinction des couleurs s’aboli
l. Lettres scandinaves. Johannes Jœrgensen : Le Livre de la route, traduit par Teodor de Wyzewa, Perrin [extrait] P.-G. La
pas au nombre des écrivains danois que l’on songerait tout d’abord à traduire , si l’on consultait seulement leur mérite poétiqu
ler une page d’entre celles inspirées par Rome même, en voici une qui traduit avec une singulière fortune un aspect général de
volume Il Canto dei Motori, de M. Luciano Folgore, un nom qui peut se traduire par Lucien (de luce, lumière) Foudre, est du tout
32 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
e le bon Poggio Bracciolini, dont M. Pierre des Brandes nous apporte, traduites en leur entier, les célèbres Facéties. Cette trad
cette divine autobiographie de Benvenuto Cellini que Goethe admira et traduisit . La vità di Benvenuto Cellini, i Trattati della O
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
orphose de tonalité, c’est-à-dire à la traduction. On ne pourrait les traduire avec une réelle efficacité qu’en provençal, de mê
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
Id. 23 mars ; mort Id. Trois nouvelles Giovanni Papini ( Traduit de l’italien par Mme F. Luchaire-Dauriac). Tome 
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
e Léonard de Vinci. Pensées, Théories, Préceptes, Fables et Facéties, traduits dans leur ensemble pour la première fois d’après
36 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
oires ont été primitivement édités par Brockhaus. Cette édition a été traduite en allemand, et c’est sur l’allemand qu’a été ret
MÉMOIRES du vénitien J. Casanova de Seingalt Publiés en Allemagne et traduits par M. Aubert de Vitry Traducteur des Mémoires de
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