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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
eilleurs et de ses plus jeunes poètes. M. Antonio Cippico a publié sa traduction , remarquable à tous les points de vue, du Roi Lea
e trouve même qu’elle se révèle avec une netteté merveilleuse dans la traduction de M. Antonio Cippico. Ce jeune poète, tout en do
littérature de son pays des œuvres originales, sait l’enrichir de ces traductions d’Eschyle, de Nietzsche, de Shakespeare, qui sont
sposition, et même de nouvelle création, plus que de pures et simples traductions . I discorsi di Gotamo Bouddho, tr. K. E. Neum
phie et de science, et c’est dans une de ses collections qu’a paru la traduction de la Physique de l’Amour, de M. Remy de Gourmont
elié en parchemin et rehaussé de fleurons dorés, contient la première traduction italienne du texte pâli des Discours. Cette tradu
nt la première traduction italienne du texte pâli des Discours. Cette traduction , qui suit avec une savante et efficace souplesse
n. Memento M. Fausto Mario Martini, duquel vient de paraître la traduction italienne de Bruges-la-morte, publie un livre de
2 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
896, l’Ermitage publiait, sous la signature de M. Élysée Pélagaud, la traduction d’une lettre de Pogge, contenant la description d
endu compte qu’un autre l’avait traduite avant lui, et cette première traduction n’est nullement à dédaigner. Après un tirage rest
en caractères elzéviriens et donnant le texte entier en regard de la traduction française : Les Bains de Bade au xve  siècle, par
trouvait d’une façon courante sur les quais. Il est à croire que les traductions ont été faites sur le même texte. M. Pélagaud, sa
de Jérôme de Prague, De Hieronimi hæretici obitu et supplicio ». Une traduction de cette seconde lettre a également été publiée p
rmante dont M. Antony Méray avait, il y a vingt ans, fait précéder sa traduction de la lettre de Pogge sur les Bains de Bade.
s de la vie du petit pauvre de Jésus-Christ, saint François d’Assise, traduction d’Arnold Goffin, Bruxelles, Société Belge de Libr
mme un ami parmi les hommes. Cet apologue est admirable. Il semble la traduction de faits véritables : François, aux environs du c
s il n’avait atteint à cette élégance, à cette souplesse de forme. Sa traduction de la tragédie Danton et Robespierre a une valeur
iable, et on la lit avec plaisir, sans ces brusques sursauts, que les traductions donnent en général aux amateurs de style. Ce n’es
3 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
u t. III pour 1793 de son Nekrolog, paru à Gotha de 1791 à 1806 et la traduction de l’allemand des Anecdotes sur W. G. Mozart (Par
ment le beau développement sur Alfieri, p. 194-205, donné comme une «  traduction du cahier du comte », son ami, et imprimé entre g
achette, 40 fr.) La librairie Hachette vient de faire paraître une traduction du très bel et fort important ouvrage de MM. G. L
fr.) Dans des proportions plus modestes, la nouvelle et excellente traduction de Vasari, que M. de Wyzewa publie par fragments,
Canudo. Tome LXXXIII, numéro 304, 16 février 1910, p. 743-748. Une traduction de l’Épopée Chrétienne : La Chanson de Roland, G.
Castello La littérature italienne vient de « s’enrichir » de deux traductions d’un intérêt et d’une importance remarquables. Le
ttératures et des philosophies étrangères, utilisent généralement les traductions françaises, manquaient jusqu’ici d’une traduction
t généralement les traductions françaises, manquaient jusqu’ici d’une traduction complète et intégrale de la Chanson de Roland com
iques plus qu’harmoniques, de la langue italienne. L’importance d’une traduction de la Chanson de Roland n’est pas à démontrer. To
sant naturel des études romanistes du xixe  siècle. Des tentatives de traduction avaient été faites. Le chef-d’œuvre qu’on a appel
s parfaitement conçues en laisses. M. Moschetti avait donné aussi une traduction assez copieuse de la chanson. Celle de M. Passeri
la Chanson de Roland de ces halètements et de ces cliquetis, dont la traduction de M. Passerini fait absolument défaut. En un mot
a traduction de M. Passerini fait absolument défaut. En un mot, cette traduction est trop « policée », et, par cela même, elle rap
t noble, pour que les lettrés s’en réjouissent. Des petites taches de traduction disparaissent dans l’ensemble. M. Passerini tradu
sens de l’épopée y est gardé, autant que nous le retrouvons dans les traductions françaises de la Chanson que Clédat ou Fabre nous
françaises de la Chanson que Clédat ou Fabre nous ont données. Une traduction de l’Épopée Finnique : Kalevala, Iginio Cocchi. t
e aussi très grande. On connaît les travaux de M. Comparetti, dans la traduction allemande tout au moins, consacrés à l’épopée fin
e moderne Lönröt, était presque inconnu en Italie Nous avons les deux traductions successives de Léouzon-Leduc, qui, déjà en 1845 e
créateurs de systèmes, à Naples et à Florence, par des études et des traductions fort nombreuses, répandent en Italie le sens de l
ce : Ce qui est vivant et ce qui est mort de la philosophie de Hegel, trad. par Henri Buriot, Giard et Brière, in-8, 15 fr.
ien, même alors que telles strophes te sont que de pures et simples «  traductions  ». Cette sorte de contact direct avec le passé ly
. 150-153 [151-152, 153]. Léonard de Vinci : Traité de la Peinture, traduction nouvelle par Péladan (Delagrave, 7 fr. 50) Com
ation esthétique. Aussi n’a-t-il pu résister au désir de joindre à sa traduction du Traité de la Peinture, de Léonard de Vinci, un
rt à l’expression, mais simplement dans la mesure où il concourt à la traduction des formes ; le trait, dans une œuvre d’Holbein p
 : les Plus Beaux Jours, comédie en 3 actes, de M. Giannino Traversi, traduction de Mlle Darsenne (18 octobre) André Fontainas.
4 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
our les deux libraires et pour les chroniqueurs qui voient double. La traduction Sorrèze est plus nette. La traduction Persky plus
oniqueurs qui voient double. La traduction Sorrèze est plus nette. La traduction Persky plus élégante, plus, oserais-je dire, mode
imitifs du théâtre italien, il comprendra La Mandragore de Machiavel ( traduction P***) et Bilora, parade dramatique empruntée à l’
514]. Latins : La Mandragore, comédie en cinq actes, de Machiavel, traduction de Périès (5 avril) Ce fut sans doute pour se
. Latins : Bilora, parade dramatique en un acte, d’Angelo Beolco, traduction de MM. Luciano Zuccoli et Ephrem Vincent (5 avril
, numéro 149, mai 1902, p. 541-546 [545-546]. […] Die Insel (mars) : traduction , par M. von Oppeln-Bronikowski, de l’admirable no
défaut, mais l’expression ; je dirai tout net : on n’y trouve pas la traduction littéraire de l’ensemble prodigieux de tableaux e
da Rimini, drame en cinq actes, dont un prologue, de Marion Crawford, traduction de M. Marcel Schwob (22 avril) A.-Ferdinand Her
s depuis la fin du treizième siècle jusqu’au dix-septième siècle. Les traductions sont en une langue agréablement archaïque, où le
art international : Le Triomphe, pièce en 4 actes, de Roberto Bracco, traduction de MM. Sansot-Orland et Roger Le Brun A.-Ferdin
5 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
rbitrairement et bêtement. Il employait des mots troncables. Voici la traduction de quelques quatrains de l’Almanach : Boucher,
ques années un très beau livre sur la Savoie, dont il va paraître une traduction adaptée à Chambéry. Son nouvel ouvrage sur le Pié
e premier ouvrage de Stendhal, dans ce livre qui n’est souvent qu’une traduction . Mais il nous expliquera d’abord pourquoi ce prem
dhal a donnée à Quérard en 1841 ou 1842. Il ne voulait publier qu’une traduction du livre de Carpani ; ce fut Didot. son éditeur,
livre de Carpani ; ce fut Didot. son éditeur, qui lui objecta qu’une traduction de l’italien ne trouverait pas de lecteur. C’est
? » M. Romain Rolland a pesé ce qui appartient à Stendhal dans cette traduction  : les « nuances de critique ou d’admiration perso
plus vif intérêt de voir et ouïr ainsi, sans la gêne et le déchet des traductions traîtresses, die Meistersinger von Nürnberg, Tris
et américains. Longfellow et Norton ont contribué largement par leurs traductions à placer les États-Unis dans une position honorab
a, parmi lesquels se trouvaient les insignes Mémoires. Il confia leur traduction en allemand et leur « arrangement » à Wilhelm von
, elle n’en est pas moins à consulter, pour vérifier des variantes de traduction et pour y recueillir une repartie de quelque vale
ême original entre les mains ; il résulta que Schütz conserva dans sa traduction plusieurs passages que Laforgue avait éliminés, l
ition Paulin, à partir du premier chapitre du tome IX, où commence la traduction non moins littérale de l’édition allemande de Bro
ui n’était qu’une retraduction française, réduite et édulcorée, de la traduction allemande de Schütz, on peut hardiment déclarer q
t ici, forcément, et jusqu’à la fin de l’ouvrage, le traducteur de la traduction de Schütz… Or, c’est Paulin que suivra Rozez en 1
t Ravà sont obligés de convenir, avec leur loyauté habituelle, que la traduction de Schütz n’est point préférable à la « manipulat
ationalité me préoccupe tant soit peu, dans le cas dont il s’agit. La traduction serait-elle espagnole, et le texte eût-il été ret
e mélange, une soudure invisible de la rédaction de Laforgue et de la traduction retraduite de Schütz, soit l’édition Brockhaus co
; et lorsque le chevalier de Chastellux, en 1773, publia une nouvelle traduction de l’Essai, suivie de ces deux opéras, il ne manq
ait été publié avant 1762, l’année même de l’Orfeo. Ce serait donc la traduction du Mercure qui l’aurait fait connaître d’abord.
yant été donné, à l’Opéra de Paris, en 1774. 26. Essai sur l’opéra ( trad. Chastellux, Paris, 1773), p. 120, note 1. Cf. Gri
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
ob Burckhardt : La Civilisation en Italie au temps de la Renaissance, trad. M. Schmitt, 2 vol. Paris, Plon, 7 fr. On sait
monde, par une réédition portative, les deux volumes de l’excellente traduction de la Cultur im Zeitalter der Renaissance que M. 
 Lux éditeur, Rome. — La maison Ars Regia, de Milan, fait paraître la traduction italienne de l’œuvre si remarquable de W. William
7 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
ro 121, 1er janvier 1900, p. 189-197 [197]. Maintenant à signaler les traductions parues des romans suivants : Résurrection, par le
iovanni Verga. Publications d’art. Marescotti : Erreur Judiciaire ( trad. par Henri Charrel), Golio, Milan Yvanhoé Rambo
a suite d’études qu’il va préparer sur la haute société italienne. Traductions Chez l’éditeur Barbèra, de Florence, vient de
l’éditeur Barbèra, de Florence, vient de paraître en deux volumes la traduction italienne, par Mme Emma Boghen-Conigliani, de les
(ou a été) trop connue en France pour que je puisse m’y arrêter : la traduction , très élégante, décèle chez Conigliani l’habitude
nerveuses, tendres et déliées. Les sonnets de Pétrarque à Laure, traduction nouvelle avec introduction et notes, par Fernand
in et Cie, 3.50) Il me semblait doux de demeurer en Italie avec la traduction des Sonnets de Pétrarque à Laure, par Fernand Bri
de la préface je tombe sur ces lignes : « Je ne suis point l’ami des traductions en vers, mais j’aime beaucoup les traductions en
ne suis point l’ami des traductions en vers, mais j’aime beaucoup les traductions en prose qui donnent la juste mesure de ce qu’un
roire que ce dussent être là les raison ? de nos préférences pour les traductions en prose ! Pour nous qui pensons qu’il suffit d’ê
mmander aux bons littérateurs qui nous mettent en défiance contre les traductions trop littérales. Lettres italiennes Lucian
le éclata entre les éditeurs. M. Sienkievicz ayant autorisé une seule traduction de ses œuvres par M. Verdinois, il a fait saisir
de ses œuvres par M. Verdinois, il a fait saisir les éditions et les traductions publiées sans approbation de l’auteur. Le tort es
, p. 559-566 [566]. Ont paru : […] Scipio Sighele : Co stoleti amirà. Trad. de l’italien par A. Prochazka (ibid.). […] Éch
près, soit qu’il préfère l’interpréter librement. Trop littérale, une traduction risque de ressembler à quelque copie d’après phot
n escouade aux sons d’une trompette « insolente et fétide », selon la traduction courtoise du chevalier Artaud de Montor37. Même i
8 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
— Giacomo Leopardi : Choix d’œuvres en prose (Dialogues et Pensées), trad. par Mario Turiello, Perrin. Échos. La Ruine d
uvre : La Gioconda, tragédie en quatre actes, de Gabriele d’Annunzio, traduction de M. Georges Hérelle (21 janvier) A.-Ferdinand
de Jorio, tragédie pastorale en trois actes, de Gabriele d’Annunzio, traduction de M. Georges Hérelle (8 février) A.-Ferdinand
no (G. Murat. 1815.) Bocca. Rome. — Ludovic Arioste : Roland furieux. Trad. Hector Lacoche. 2 vol. Boyveau et Chevillet. Pari
es. M. Sem Benelli a débuté en traduisant l’Œdipe-Roi de Sophocle. Sa traduction est remarquable et fut remarquée. Ce baptême trag
a su révéler à son âme attentive. F. Nietzsche : La Gaya Scienza, Trad. Antonio Cippico. Turin. Fr. Bocca Si M. Giusep
langue allemande et par la précieuse beauté de son style italien. La traduction toute récente de la Gaya Scienza est vraiment une
nglais qu’il possédait à fond pour les avoir étudiés d’abord dans les traductions de Letourneur et puis dans le texte original. On
r ond’ al ciel meda è gita, Losciando in terra la ma bella spoglia. Traduction littérale : Vallée qui de mes lamentations es p
rouve, en effet, que le canevas en prose de cette Méditation soit une traduction ou une adaptation d’un poète italien, et nous ver
s historique. La littérature à l’usage des enfants en Italie : une traduction de Little Men. R. Carabba, Ed. Lanciano De la
st court et étrange… M. et Mme Ciro et Michelina Trabalza publient la traduction de Little Men de Louise Alcott. Ce livre a pris l
que nos Socialistes affirment voir, sans lunettes, dans l’avenir, et traduction grossière de l’Appétit supra-terrestre par quoi n
rs Roux et Viarengo, de Turin, viennent de faire paraître la première traduction intégrale italienne de Rome de Stendhal. La belle
t très réel intérêt pour les esthètes néo-romains. A Paris, a paru la traduction du Roland furieux, par M. Hector Lacoche. En plus
alités personnelles de poète, d’excellent poète. Je signale aussi les traductions italiennes très heureuses de Mireille, le chef-d’
anni Fraioli, éd., Arpino. — Lao-Tse : Il Libro del la via, G. Evans, trad. , Fr. Bocca, éd., Turin. — Fr. Nietzsche : Così pa
usieurs princesses espagnoles ; à moins qu’il n’y ait vu une heureuse traduction du nom d’Evirallin. Chez Lamartine comme chez la
9 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
ant que les critiques, en conviant des talents d’élite à une tâche de traduction souvent malaisée ; en s’imposant, en somme, à l’a
ducci qui les abordera. Il vient de le proclamer dans sa préface à la traduction par Sanfelice du Prométhée délivré de P. S. Shell
scholiers. L’Ami, pièce en un acte, de M. Marco Praga (M. A. Thalasso trad. ) Gaston Danville. Tome XIII, numéro 63, mars 
10 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
Dryden prend les proues et les poupes pour les navires eux-mêmes ; la traduction allemande de John Voss laisse autant à désirer qu
ieur, votre très humble serviteur. GIUSEPPE FIORENTINO. Échos. Une traduction en vers français du « Ça ira » de Carducci Merc
792, la colère révolutionnaire du peuple et la bataille de Valmy. Une traduction en vers français, due à un écrivain italien disti
de l’auteur. L’ouvrage avait été édité à Londres en italien. Voici la traduction du frontispice : Le Tribut du cœur, poésies de L
c’est que Cyclope et Hypéreia, évidemment grecs, sont, eux aussi, des traductions du phénicien essayées au temps d’Homère, mais non
avoir. Au surplus, remarquons que le nom actuel lava (torrent) est la traduction aussi littérale que possible de potamos. Pas plus
émouvoir… les grands éditeurs qui la publient. On vient de donner la traduction d’un autre roman, Dans le Désert, aussi infécond
ermitage de l’Alverne dont on peut lire une belle description dans la traduction par Téodor de Wyzewa des Pèlerinages franciscains
’ils quittèrent Liège pour se fixer en Flandre, où leur nom subit une traduction demeurée dans la germanisation de la particule. Q
a Revue critique des Idées et des Livres (10 juin). — Fragments d’une traduction de l’Enfer de Dante, par M. L’Espinasse-Mongenet.
ée dans le dernier numéro du Mercure de France, qu’il ne goûte pas ma traduction des Poésies de G. d’Annunzio. C’est son droit. Il
me a été plus indulgent, puisqu’il m’écrivait (en français) : « Votre traduction me ravit… Vous avez pu faire ce prodige (de donne
serait plus sensible, si je croyais le mériter. Mais au contraire mes traductions des œuvres de G. d’Annunzio sont littérales, et,
ettait bout à bout toutes les coupures faites dans dix volumes de mes traductions , elles ne donneraient pas ensemble dix pages. Veu
numéro 365, 1er septembre 1912, p. 89-99. Dans la Préface de sa belle traduction en italien60 de l’ouvrage de J. Casanova intitulé
é, parmi tant d’autres documents pleins d’intérêt qui accompagnent sa traduction , le texte de la sentence prononcée contre l’infor
illeurs, eu même temps qu’une très captivante et presque très moderne traduction de la beauté féminine presque modelée sur la toil
otes critiques que j’avais consacrées dans ma dernière chronique à sa traduction des poèmes de M. d’Annunzio. M. Hérelle passe pou
à M. Hérelle, la librairie ne s’est enrichie que d’une très mauvaise traduction , celle de Forse che si forse che no, due originai
ibre penseur, un écrivain catholique. M. Teodor de Wyzewa a publié la traduction de son Saint François d’Assise et de ses Pèlerina
et je ne crois pas qu’aucune œuvre scandinave ait jamais atteint, en traduction française, un aussi grand nombre d’éditions. Il e
e Livre de la route, dont M. Teodor de Wyzewa vient de nous donner la traduction , récit d’un voyage qui a conduit l’auteur en Ombr
s écrivains qui le lisent dans sa langue originale : à peine quelques traductions de pièces célèbres des Fêtes galantes et de la Bo
a. Laterza, Bari. — Corrado Ricci : Pintoricchio. Bartelli, Pérouse. Traductions  : Pétrone : Satyricon, Umberto Limentani, tr. For
a vaste campagne », épithète d’Hypéreia dans Homère, est une sorte de traduction de « campanienne ». 22. Cette traduction a d’abo
ns Homère, est une sorte de traduction de « campanienne ». 22. Cette traduction a d’abord été proposée par M. Bérard. 23. Trad.
e ». 22. Cette traduction a d’abord été proposée par M. Bérard. 23. Trad. Leconte de Lisle. 24. Pline, Hist. nat., III, 88
ent où on l’a remonté à bord du voilier, a perdu connaissance ». 31. Traduction Leconte de Lisle, avec des modifications. 32. In
illes souches sur la hauteur de la rive gauche, le Paradisiello. 35. Traduction Leconte de Lisle modifiée. 36. Ce faubourg sur l
evue de l’Université de Bruxelles », mai 1911. 54. Goethe, Mémoires, trad. Carlowitz, 1885, deuxième partie, p. 284. 55. Go
11 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
connus par les traditions et par des bribes de textes incorrects, de traductions libres, — Boèce, philosophe mitoyen, mi-platonici
re un recueil de contes pour les enfants vraiment délicieux, dont une traduction française serait tout indiquée ; deux ou trois ro
Ce volume nous est parvenu orné d’une dédicace bizarre dont voici la traduction  : « Au Mercure de France , qui tente de galvanise
rve toujours sa candeur et sa modestie… » — La même revue annonce une traduction italienne des Cenci de Shelley. Tome VI, numé
12 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
jouait avec ses amis ses propres pièces, des comédies de Goldoni, des traductions de Voltaire. Un jour, ayant besoin de renseigneme
font échange de tragédies et de comédies, de pièces originales et de traductions  ; ils se permettent aussi des présents moins poét
il m’a envoyé le théâtre de Goldoni, des saucissons de Bologne et la traduction de mon Tancrède10. » Casanova avait de détester
Il est vrai que, pour du plaisir, vous venez de m’en donner par votre traduction , et par votre bonne réponse à ce Ca… 11. » Ne jur
13 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
es accessoires et n’en conserver que ce qui ferait défaut à la fidèle traduction des valeurs observées. L’Exposition Universelle d
à des idées préconçues et ne peuvent que gâter la limpide et franche traduction . Et quelle navrance pour l’artiste animé de cette
fective : celle qu’a donnée le cerveau à la conception. Préméditer la traduction des valeurs en construisant, voilà tout le fin de
ne mais Histoire littéraire d’Italie, et n’est le plus souvent qu’une traduction de Tiraboschi. L’auteur semble avoir voulu être e
14 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
skin, 2 s., Macmillan. — Frederic Harrison : John Ruskin (1819-1900), trad. par Louis Baraduc, 3,50, Mercure de France. […] —
K. Johnston, 3 fr., Hachette. — John Ruskin : Les Pierres de Venise, trad. par Mme M.-P. Crémieux, 12 fr., H. Laurens. — Joh
 Crémieux, 12 fr., H. Laurens. — John Ruskin : Les Matins à Florence, trad. par L. Nypels, 6 fr., H. Laurens.   Celui que l’o
littérature anglaise au xixe  siècle, en même temps que paraissent en traductions françaises les Sept Lampes de l’Architecture et l
euse suavité ; et il nous donna, de quelques-unes de ses poésies, des traductions très heureuses dans un essai, aujourd’hui presque
tement de l’auteur, lancées par des éditeurs peu scrupuleux. C’est la traduction française d’un de ces volumes qui a paru dernière
itimes. Général Albert Pollio : Waterloo, avec de nouveaux documents, trad. de l’italien par le général Goiran. Ch. Lavauzell
M. Roberto Bracco : Ce soir « les Huguenots », nouvelle à la Boccace ( trad. de l’italien par M. J. D. de Hill). […] Lettre
s de M. Buzzi semblent, par le rythme et par la phrase, de véritables traductions du français. C’est que chez les poètes au talent
in, faisant suivre sa très intelligente et très savante préface de sa traduction de quelques morceaux magistralement choisis. L’ou
édition à cent exemplaires, sur laquelle furent faites d’ailleurs les traductions anglaise et allemande, ont été nouvellement tradu
ation éclairée et méthodique de I’Arétin, en nous donnant la première traduction de la Tragédie du Divin, et une traduction des Co
n nous donnant la première traduction de la Tragédie du Divin, et une traduction des Comédies plus satisfaisante que celle du Bibl
celui-ci à traduire et à faire représenter cette pièce, attaquait la traduction de cette même Salomé publiée en 1902, à Rome, par
graphie Lux, accusant en outre M. Vannicola de plagiat, cette seconde traduction , selon lui, n’étant qu’une contrefaçon de celle d
nu que de nombreux passages non traduits par Rocca figuraient dans la traduction Vannicola, dont la supériorité de forme et de fid
en outre manifeste. Cependant, les droits de M. Bideri, éditeur de la traduction Rocca, paraissaient bien établis, non seulement p
s héritiers du poète anglais lui reconnaissaient le droit exclusif de traduction , publication et représentation de Salomé pour l’I
econnu que, pour l’Italie, il n’existait plus aucun droit exclusif de traduction pour la Salomé d’Oscar Wilde. Ce jugement aura d’
 V et Grégoire XIII. 30. Sauf, quelques exceptions, nous donnons la traduction intégrale des lettres de Garganello. Il a fallu p
15 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
ignant des commentaires sans équivoque, « Le joujou Patriotisme ». La traduction est élégante et d’une langue très fine. Cette exp
augurons, en ce fascicule, la publication d’œuvres inédites, texte et traduction , des principaux poètes étrangers contemporains :
16 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
ble fils indomptable des forêts vierges de sa Calabre. Son recueil de traductions précises et belles du grec et du latin, qu’il app
uvelle édition, richement décorée, vient de paraître, alourdie par la traduction latine que M. Cesare de Titta fit des poèmes roma
quels les deux écrivains ont accordé leurs soins. L’importance de ces traductions est indéniable. Dans les grands moments d’angoiss
, Sogni pagani, Rome Les livres littéraires de documentation et de traduction occupent une très large partie de la production i
gothique. Mais il ne figure ni dans les éditions abrégées, ni dans la traduction française qui vient d’être donnée des Pierres de
tre donnée des Pierres de Venise par Mme Mathilde P. Crémieux : cette traduction , tout à fait remarquable par l’élégance et la cla
s entier, et dans laquelle nous donnions presque à la même époque des traductions du norvégien Ibsen, notamment quelques scènes des
ll’ Universo ; G. Lo Forte tr., R. Sandron, Milan Dans une savante traduction et dans une édition des plus soignées, M. Giacomo
tait modeste : il ne s’agissait que de faire, du fatras de Lanzi, une traduction abrégée à l’usage des Français. Stendhal pensait
aujourd’hui, l’avait fait mettre au net, et le corrigeait. La modeste traduction de Lanzi n’avait pas été abandonnée, loin de là ;
Ou bien, après avoir commencé, comme nous l’avons vu, par une simple traduction , l’avoir continuée, beaucoup grâce au prestige et
à poursuivre, de critique en critique, d’historien en historien, ses traductions et ses rapprochements, et, un beau jour, s’était-
eux pour la vérité que Stendhal n’ait pas gardé ce titre si honnête : Traduction de Vasari, Lanzi et Mengs. 23. Il n’avait même
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
rt des poèmes de Carducci, très beaux en italien, perdraient dans une traduction trop de leur puissance, car, en général, il n’y a
ion de rythmes et à toute métamorphose de tonalité, c’est-à-dire à la traduction . On ne pourrait les traduire avec une réelle effi
s lointaines. Quelques odes de Carducci ont la saveur immédiate d’une traduction de quelques odes d’Horace. Le mouvement y est pre
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
anière, doit s’entendre de penser autant que de parler. L’oil a eu la traduction de la Bible, c’est-à-dire la mise en critique des
l’historien, celles précisément de Filippo Lippi et Botticelli. Cette traduction forme le premier volume d’une de ces petites séri
mythe pèrse, soit par l’Histoire de Hyde (Oxford, 1760), soit par la traduction de l’Avesta de Anquetil Duperron (1771), soit dan
19 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
oires mutilées, 3 tragédies (la Gioconda, la Ville morte, la Gloire), trad. par G. Hérelle : Calmann-Lévy, 3 fr. 50 Georges
ses omissions et modifications et il publia, volume par volume, cette traduction de 1822 à 1828 sous le titre de : Aus den memoire
la avec Voltaire, parce que celui-ci lui avait dit franchement que sa traduction de l’Écossaise n’était pas bonne. Il est piquant
taine longueur et plus ou moins terminés : voici les manuscrits d’une traduction de l’Iliade, in ottava rima, publiée à Venise (17
ces », il faut l’imputer à un poème bouddhique dont on lui procura la traduction italienne de M. Illica, alors que ses composition
rêver nuit d’hiver plus fantastique et plus froide… Vint ensuite une traduction rosâtre et bleuâtre, à la crue lumière matinale,
éâtre Victor-Hugo : les Masques, drame en un acte, de Roberto Bracco, traduction de M. Lécuyer (6 novembre) A.-Ferdinand Herold.
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIX »
n’est pas une raison décisive. (7 novembre.) J’ai encore besoin d’une traduction pour plusieurs peintres. Les Carraches, par exemp
21 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
 XLIX, numéro 169, janvier 1904 Les Romans. G. Rovetta : Loulou, trad. par Albert Lécuyer, Calmann-Lévy, 3 fr. 50 Rach
s, le voyage en Palestine de Matilde Serao, au Pays de Jésus, dans la traduction excellente de Mme Jean Darcy, et qui est peut-êtr
omplète d’un de ces mêmes conteurs, Morlini, qui écrivit en latin. La traduction , qui doit être exacte, puisque M. Caussy est un e
ue nous pensons au grand ouvrage de Fr. Hurter3, dont nous avons deux traductions françaises, celle de Saint-Chéron et Haiber (1828
Allemagne. Nous ignorons s’il a été réimprimé depuis. Quant aux deux traductions françaises, elles sont aussi assez rares. Si l’on
our l’Avare et l’École des Maris, est ici restitué d’après cette même traduction en vieux français de Pierre de Larivey. — Enfin,
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
érir. Voici le passage de Cesarotti. Voir les notes de Monti dans ses traductions de Perse. La préface de Cesarotti est bonne ; j’y
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
génie qu’elle ait produit ». Le lendemain, il envoyait à Casanova une traduction en vers qu’il avait faite de quelques stances de
uvons, dans le Dictionnaire philosophique plusieurs extraits de cette traduction  ; Voltaire les donne pour l’œuvre d’un « auteur i
24 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
s’en apercevrait davantage avec un Chaliapine en Rigoletto et sans la traduction de Duprez, qui est d’une bêtise odieuse. Verdi eu
s talents de son fanciullino. » Miss Phelps donne en vers anglais des Traductions très heureuses du fanciullino. […] Échos Mer
n a publié un très petit nombre dans le Cabinet de l’Amateur. Dans la traduction des Vite de Vasari par Leclanché On retrouve les
duit que 50 intégralement, et pour celles adressées à Vasari donne la traduction de Leclanché. Il ajoute à cela des extraits plus
celles-ci sont très courts et relativement peu nombreux. La nouvelle traduction que nous donnons ici d’un certain nombre de lettr
nquent pas de grâce et de fantaisie, mais ils ne donnent pas, dans la traduction , la certitude d’une originalité extraordinaire.
…………………………………… J’arrête ici la citation en italien pour en donner la traduction entière : De Pierre qu’exigeait jadis le divin m
rs que certains de ces vers — ceux dont nous avons donné plus haut la traduction  — sont en majeure partie mis à l’index par la fam
parer les deux textes et nous empruntons les citations à l’excellente traduction de Perrault publiée par Firmin-Didot. 44. Texte
25 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
des Süddeutsche Monatshefte, quelques réflexions sur l’inutilité des traductions et sur la nécessité de publier en Allemagne de be
95-399 [398]. […] Carlo Cafiero : Abrégé du « Capital » de Karl Marx, traduction James Guillaume, P. V. Stock, 1,50. On sait combi
p. 608-613 [612]. La librairie Plon a publié, de Mme Jean Carrère, la traduction d’un des ouvrages du savant allemand Gregorovius,
Terra fremente, consciencieusement traduite par M. T. P. Landi. Cette traduction du livre du grand journaliste-poète, consacré à l
s Mémoires. Les éditions que nous possédons en France sont ou bien la traduction d’une traduction allemande, ne contenant que des
ditions que nous possédons en France sont ou bien la traduction d’une traduction allemande, ne contenant que des fragments du text
il demande lui aussi, tout comme son ministre, qu’on ne mette pas les traductions exactes des auteurs grecs entre les mains des pot
le contour ; Giorgione le premier se rend compte que le dessin est la traduction de la forme tout entière ; il voit le volume des
sités d’Italie, un des premiers érudits de la Péninsule ; en voici la traduction  : « La demande que vous me transmettez vient just
bevi trovar l’ambrosia et il nettare vermiglio. C’est, en effet, la traduction d’un distique de Baudelaire. Et dans tout ce qu
ris Les éditeurs parisiens continuent à publier un grand nombre de traductions d’écrivains italiens actuels. Je remarque, dans l
235-260 (y compris 2 p. blanches). Le Récit est-il de Stendhal ? La traduction de la chronique est-elle de Stendhal ? Les notes
pour toute son œuvre. Dans l’Hymne à Rome, dont il donne lui-même une traduction italienne en regard, le poète est vraiment au-des
-585, 587]. Pietro Orsi : Histoire de l’Italie moderne (1750-1910). Traduction de Henri Bergmann. Armand Colin, 5 fr. M. Henr
Henri Bergmann. Armand Colin, 5 fr. M. Henri Bergmann a donné une traduction française de l’Histoire de l’Italie moderne, de M
26 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
avaient qu’il n’y avait que deux brigades pour leur résister (voir la traduction de cet article dans le Journal du Peuple du 15 dé
é à l’hôpital, il composa avant de mourir quelques vers dont voici la traduction  : Comme prix de ma longue chanson Je ne désirais
le du Nieuwe Rotterdamsche Courant mentionnant qu’on en trouverait la traduction dans le Journal du Peuple, du 15 décembre 1917, M
l ? » Non, M. Piérard, il n’y a rien, absolument rien à insinuer : la traduction de l’extrait du journal hollandais se trouve, dan
es sociétés humaines. Illemo Camelli : Du socialisme au sacerdoce ( traduction et préface de Maurice Vaussard), Perrin, 3 fr. 50
Fate, che il mondo risuone Nel gridar Venzon, Venzone ! Et voilà la traduction des deux strophes les plus caractéristiques de l’
eves Un helléniste révolutionnaire qui nous a donné une excellente traduction d’Aristophane et un très amusant pamphlet contre
27 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
que le premier ouvrage littéraire qui ait paru sous son nom soit une traduction universellement admirée : les Premiers Poètes ita
remiers Poètes italiens depuis Ciullo d’Acalmo jusqu’à Dante, avec la traduction de la Vie Nouvelle de Dante. Ce livre fut plus ta
récieusement mesuré et brisé par intervalles, échappe à tout essai de traduction avouable ; la mystérieuse atmosphère qui l’envelo
ats entrelacs d’harmonie nette et subtile. J’en donne ici un essai de traduction nouvelle : LA DAMOISELLE ÉLUE La damoiselle élu
ui forme son œuvre la plus typique et plus significative. Un essai de traduction française, par Mme Clémence Couve, en fut publié,
Amour, les Amours d’Ovide, et le Jugement de Pâris. On s’est servi de traductions de la fin du xviiie  siècle, dues à Renouard, le
mer et le Remède d’amour n’avaient jamais été traduits en France. Ces traductions n’ont peut-être pas la précision, l’exactitude qu
. Gailly de Taurines a revu, — il ne nous dit pas si c’est dans cette traduction , — et publié à part la portion de ces Mémoires qu
ès de François Ier. M. Ch. Gailly de Taurines a de plus accompagné la traduction nouvelle de ce fragment de notes fort intéressant
co, de Giovanni Papini, et M. Albert Verwey écrit une Préface à cette traduction . Échos. Nietzsche et M. Louis Dumur [extrait]
28 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
angue de Dante et de Boccace se répande et qu’on puisse se passer des traductions . Il est en effet plus facile de bien traduire un
 1898, p. 569-576 [574-575]. M. François Descotes donne « d’après une traduction inédite » des extraits des Odi navali composées p
72 ; et E. Zeller, La légende de saint Pierre premier évêque de Rome, trad. Marchand, 1876. 6. Pour le bien prouver, M. Pucc
29 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
en langue étrangère sont publiés, et dans leur forme originale, et en traduction française. De l’ensemble de cette enquête, il est
contexte, dénaturent la pensée de l’auteur, mais dont on peut lire la traduction intégrale dans la Bataille syndicaliste du 9 juin
introduction pour The « Paradise » of Dante Alighieri, expérience de traduction littérale en vers tentée par Mr Charles Lancelot
30 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
op long de vous coûter. Il a été traduit, rhabillé en français sur la traduction , écourté, expurgé, moralisé !!! J’ai lu une éditi
cle, j’ai appris que mon nom avait été prononcé dans la préface de la traduction de Salvatore di Giacomo que, naturellement, je n’
Maurras a donné une vibrante évocation de Dante, pour la préface à la traduction nouvelle de la Divine Comédie faite par Mme Espin
ais aussi avec les noms connus du grand aède : Scoglio Colombo est la traduction de laïs-trygoniè (la roche colombière) 20. Port d
itiques que nous avons attribués à ce dernier vocable : Lamos est une traduction plus phénicienne que grecque du vocable italiote
ez curieusement, une des difficultés éprouvées par M. Thayer a été la traduction exacte des lettres de Cavour, car, « bien qu’il é
ail et qui, je puis le dire en passant, s’est fait une spécialité des traductions en anglais de Balzac, Daudet et George Sand. Il s
IV, numéro 388, 16 août 1913, p. 873-879 [879]. Citons encore […] une traduction assez médiocre par William Davids du livre du pro
ple, et surtout l’édition qui fut originairement publiée en allemand, traduction de G. de Schutz, et qui parut de 1822 à 1828. Peu
e cap Circeo était fréquenté par les éperviers ; le grec κικρη est la traduction d’un vocable phénicien (l’hébreu dit aia) que rep
31 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
lle transposition. Nous croyons d’ailleurs qu’il se prépare, texte et traduction en prose littérale, une petite Anthologie goliard
32 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
nous apporte, traduites en leur entier, les célèbres Facéties. Cette traduction nouvelle est précédée d’une intéressante vie du P
ogazzaro et plusieurs aujourd’hui oubliés déjà, mais on attendait les traductions françaises des romans de d’Annunzio pour s’aperce
33 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
nt entendu mille fois ce nom allemand, et qui, probablement, sans les traductions françaises du Mercure, se seraient bornés à appre
ent évidemment dans le texte original de Brockhaus, conservés dans la traduction allemande, et maintenus dans la retraduction fran
rte de nouveaux documents sans rien changer à l’esprit de l’œuvre (la trad. franç. de Gust. Gruyer a été faite sur la 1re édi
34 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
o 427, 1er avril 1916, p. 522-527 [524]. De haute valeur aussi est la traduction de la Divine Comédie par le Professeur Henry John
occupe la chaire des langues modernes au collège Bowdoin en Maine. La traduction est très fidèle et artistique en même temps. « Le
ressenti si Mme Croiza ne l’avait chantée en italien. En dépit d’une traduction secourable, il n’est pas très commode de compatir
lgique et en France (1915), suite des « Scènes de la Grande Guerre », traduction de Jacques Mesnil, Payot, 3 fr. 50 André Fontai
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