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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
Lettres sur la Russie et j’en suis fort contrarié [en italien dans le texte ] ; car, si je les avais lues, j’en aurais parlé d
ublic. » Là encore, il y a une coïncidence fort intéressante entre le texte de la Correspondance et celui des Mémoires : que
t que la santé de Voltaire était à cette époque fort ébranlée. Or, le texte de Casanova n’est pas du tout en contradiction av
raconte ses visites chez Voltaire. Sans doute, il faudra faire sur le texte , sur les détails et le ton du dialogue, les réser
Bologne lui demandent le récit de son évasion. On sent, à travers le texte des Mémoires, que Casanova n’est pas insensible a
e rien pour défendre son ami, ou du moins cela n’apparaît pas dans le texte des Mémoires ; il serait sans doute naïf d’être s
contenter de signaler, en l’absence d’un document plus précis et d’un texte plus explicite. § Cet entretien sur ses amis d’It
point de vue purement conservateur. À chaque instant, son historien, textes en mains, nous le montre travaillant à raviver la
le subordonner ? » Échos. Publications du « Mercure de France » : Textes choisis de Léonard de Vinci Mercure. Tome LXX
Mercure. Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907, p. 573-576 [575]. Textes choisis de Léonard de Vinci. Pensées, Théories, P
2 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
XXI, numéro 253, 1er janvier 1908 Art ancien. Léonard de Vinci : Textes choisis (Mercure) Tristan Leclère [Tristan Klin
maintenant connaître l’essentiel de la pensée du Vinci en lisant les textes choisis qu’a traduits pour la première fois M. Pé
t et s’intéresseront à l’art moderne doivent et devront consulter. Le texte critique y est accompagné de belles reproductions
os… Leurs yeux semblaient des bagues sans pierre… » C’est ce terrible texte que M. Martini a voulu illustrer. — D’autres dess
sance nous a légué de si belles images qu’elles ont fait négliger ses textes  : nous l’avons contemplée, nous ne l’avons pas lu
el, comme celle de Cromwell. Il a joué le personnage du moine ivre de textes avec une telle arrogance que l’esprit occidental
ccidental s’est détourné à jamais de l’interprétation facultative des textes  ; et pour satisfaire son impérieux besoin de cert
les pères grecs ; Nicolas V étudie également la Bible et les anciens textes  ; Platine découvre dans le genus du Christ la qua
pelle la science ; il sort de la bibliothèque où il se nourrissait de textes , et il interroge la nature. Sa religion s’exprime
ard répond : « La Vérité c’est la vie. » Il pourrait s’autoriser d’un texte sacré qui le justifierait. Saint Jean, dans sa pa
orte de séparer l’homme qui étudie la Création de celui qui mâche des textes . À peu de choses près, deux moines qui se battent
les théologiens envahissant le domaine scientifique et opposant leurs textes à l’expérience ; les rationalistes franchissant a
et contient de l’autre les arguties logiciennes. Il n’y a pas d’autre texte sacré que la création. C’est en lui et autour de
son disciple du pédant comme du théologue : pour lui, il n’y a qu’un texte , l’homme et son ambiance phénoménale ; ce qu’on a
ation, nous dédaignons l’expérience et Galilée doit se soumettre à un texte juif mal entendu où les miracles se forment des f
n’admet d’autre critère que l’expérience et refuse toute autorité aux textes . Le champ expérimental ne s’étend pas jusqu’au do
r nous éblouit ! § Le lecteur a dû éprouver un étonnement extrême aux textes si rationalistes du peintre mystérieux entre tous
place aux bibliothèques en matière de philologie, d’ethnologie et de textes comparés. Le rationalisme, plus coupable que l’Ég
Assurément Botticelli est l’un des peintres assez connus pour que le texte puisse au besoin se passer de l’image. Et ici le
us pour que le texte puisse au besoin se passer de l’image. Et ici le texte emprunte une valeur particulière au talent remarq
à commenter la philosophie platonicienne et à traduire en italien les textes grecs. Ces nouveautés suscitaient un grand enthou
t toute sa vie. M. Marcel Reymond me paraît avoir mieux interprété le texte de Vasari12 : Verrocchio ne laissait à personne l
Silvain. L’attitude verbale de Saül ne suit pas toujours la pensée du texte italien. Le roi, tourmenté par le dualisme de sa
ome LXXIII, numéro 264, 16 juin 1908, p. 763-768 [765-766]. Nombre de textes de Léonard laissent l’impression que ce grand esp
importantes ou aux hypothèses les plus ingénieuses de la science. Tel texte , sur la combustion, fait penser à Lavoisier ; tel
mer océane emplit le corps terrestre d’innombrables veines d’eau. » ( Textes choisis, p. 45.) Et p. 263, parlant de la cigogne
s ne comportent. Comme le remarque M. Remy de Gourmont, « les anciens textes relatifs aux sciences sont très difficiles à lire
est offert aujourd’hui. Ces planches sont accompagnées de la suite du texte critique — lui-même illustré — rédigé par M. Karl
moraliste, homme politique, 1 vol. in-8° illustré de 6 planches hors texte , 7 fr. 50. Hachette Boccace, qui écrivit une V
e fragment de notes fort intéressantes, vrai commentaire perpétuel du texte sous les rapports historique et archéologique. Ce
fructueuse des décorations florentines. Car, en dépit du silence des textes , on peut croire, ou plutôt on doit croire qu’il c
espond à l’expérience. La seconde provient d’une nouvelle lecture des textes  ; philologique ou archéologique, elle n’est sédit
ion par les œuvres et en promulguant l’égalité des esprits devant les textes sacrés renverse l’édifice ecclésial et aussi la b
ation qu’il faut lire la pensée divine. Là, aucune interpolation : le texte est bien authentique. De la contemplation des cré
en du prédicateur. Il ne quitte point la Bible et ne veut pas d’autre texte et cela le met déjà en contradiction avec la cult
est le dernier. L’humanité religieusement a vécu d’images plus que de textes , et malgré le changement prodigieux amené par l’i
à la théologie, puis s’incorporer à elle. Le catholicisme ayant pour textes sacrés deux livres de langue morte, l’un hébreu e
es hérésies semble close puisque l’activité spirituelle abandonne les textes sacrés pour d’autres, souvent profanes. Les homme
88). On demeure stupéfait devant l’idée de la libre interprétation de textes aussi anciens et qui exigent pour être abordés ta
tisme. Le terrain des combats semble théologique ; on se mitraille de textes et la Bible invoquée des deux côtés semble l’enje
siens ! » quoique rien ne démontre qu’elle ait été prononcée ; et ce texte de Luther ne figure nulle part ou dans des ouvrag
t dire, et nier la donation de Constantin comme traduire librement le texte hébreu. Ce fut donc la Papauté qui émancipa la pe
c’est que désormais la Bible ne fournira plus à aucune communion les textes d’une polémique ; l’hérésie théologique, si elle
Nietzsche dont je n’ai garde de contester la signification. Mais ces textes ont trait à l’opinion de Nietzsche sur un point s
rdre politique, social, religieux, et M. Dumur, en reconnaissant à ce texte un caractère hautement dionysien, lui attribue la
par une autre face de son talent, à Daumier. 3. Léonard de Vinci : Textes choisis : pensées, théories et préceptes, Fables
octrine de Dante (Sansot). 28. Voy. Mercure de France, n° 269. 29. Textes choisis de Léonard de Vinci, § 214 et § 132. 30.
3 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
mmun. Adnesse m’a hautement reproché de ne m’être pas reporté à votre texte original. Il a parfaitement raison. Voilà encore
soit de lui ! Quand on se mêle d’écrire l’histoire, on se reporte aux textes originaux et non à des copistes maladroits ou à d
je n’ai pas eu la tentation de lire puisque moi, Français, j’avais le texte original français. Ce n’est pas à son invite, ign
e Casanova l’avait insérée textuellement. Je n’ai donc pas choisi mon texte comme vous le supposez — le mien a été altéré, j’
, en souhaitant que les érudits italiens parvinssent « à éclaircir un texte très agréable à la vérité, mais rempli d’allusion
ult. Tome CI, numéro 376, 16 février 1913, p. 673-703. Ici même8, de textes odysséens rapprochés et coordonnés, d’ailleurs to
érie des résultats si nets. Tout d’abord nous extrairons avec soin du texte tous les passages, tous les mots, pouvant se rapp
rientations, prenant avec les sites des libertés grandes, donnant aux textes des interprétations dans lesquelles l’imagination
je le répète, je m’efforcerai d’être toujours et partout l’esclave du texte tout entier. Ce premier travail conduira à des de
her de ses mains. I. La côte des Laistrygons A) Les données du texte Il y a six jours et six nuits, sans interrupti
une gatte ; 90 A une certaine distance de tout cela, distance que le texte ne permet pas de préciser, jaillit une fontaine A
paraît ne présenter aucun sens utilisable, je crois avoir extrait du texte tout ce qui est susceptible d’une valeur topograp
ocs éboulés, qui au-dessus s’étagent sur les rives, sont, d’après son texte et ses photographies, des roches granitiques, don
’origine européenne. II. La terre de Circé A) Les données du texte 1° Écrasé par l’affreux désastre, Ulysse oubli
épithète de nature ; 4° Elle est plate : « elle gît basse25 », dit le texte dans une, expression énergique. Voilà un trait bi
en face de dix-huit indications qui ressortent toutes de la lettre du texte , et composent un ensemble de haute valeur laissan
appréciables et suffisant aux exigences, d’ailleurs modérées, de nos textes . Nous venons de parler du poggio alla Quercia : «
s (pas de la stèle) nous dressons sa rame bien faite44. Eh bien ! ce texte , qui paraît étranger à la topographie, n’est pas
un demi-kilomètre de long. Pianosa répond donc, trait pour trait, au texte homérique ; elle présente non seulement les carac
d’être des hommes ! III. Le Pays des Morts A) Les données du texte L’île de Circé, maintenant Pianosa, a partie l
ues heures après. 1° Parlons d’abord des Cimmériens. Ce sont, dit le texte , des hommes enveloppés de ténèbres et de brumes :
dical K. m. r. exprime l’idée d’obscur, de ténébreux. À ce nom, notre texte accole une épithète qui pourrait n’avoir pas de r
as de rapport avec les ténèbres imaginaires du pays : ce sont, dit le texte , des gens « en proie à la terreur, tremblants d’e
i des eaux du fleuve principal64. Voici donc, dégagée de la lettre du texte pour l’Océan et les Morts, une série d’indication
fait dans les conditions de distance et d’orientation requises par le texte . La vitesse de la barque odysséenne est ici celle
abord, de l’endroit où il vient de débarquer, Ulysse doit, d’après le texte , longer au moins quelque temps la rive marine ava
e constitue une des régions les plus malsaines de l’île ; les amis du texte seraient déjà mal venus à se plaindre. Mais, dans
t ensuite errer sur la prairie à sa gauche. Toutes les indications du texte sont remplies à la lettre. De plus, le site, plei
e, Sienne, Rome, Naples, Innsbruck, Vienne-en-Autriche, ont livré des textes grâce auxquels M. Lucien Romier a pu raconter les
répétition, à laquelle l’auteur n’assistait pas, on pratiqua dans le texte une jolie coupure dont M. d’Annunzio peut remerci
ire dans le récit de ses aventures. À plusieurs endroits, il cite des textes . Il ajoute même généralement : « Au moment où j’é
il brûlées ou bien, pour le besoin de son œuvre, avait-il inventé des textes qui n’ont jamais existé ? À part les lettres de M
e, mais des érudits de la plus rare valeur et du meilleur esprit. Les textes des nombreux papiers de Casanova, dont les origin
ur y échanger nos idées, y fomenter des controverses, y découvrir des textes , y rechercher des éclaircissements de personnages
de personnages des Mémoires ou y discuter de la curieuse diversité de textes de certaines éditions, celles de Garnier ou de Ro
cien (l’hébreu dit aia) que reproduit par allitération l’αἰαίη de nos textes , île ou rivage de l’aia ; l’un et l’autre signifi
4 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
enfin de tous les petits conteurs italiens, sans oublier l’excellent texte , que l’on peut considérer comme définitif, des Di
in-18, sur hollande, composé en caractères elzéviriens et donnant le texte entier en regard de la traduction française : Les
ge d’or. Traduit en français pour la première fois par Antony Méray . Texte latin en regard. Paris, Isidore Liseux, 5, rue Sc
quais. Il est à croire que les traductions ont été faites sur le même texte . M. Pélagaud, sans plus de références, indique l’
ntes et somno mollior berba . Voici d’ailleurs, choisi parmi tous les textes que je pourrais vous citer — non compris les sonn
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Introduction] »
llection de M. Auguste Cordier, à qui nous laissons la parole : « Le texte est de la main d’un copiste, très incorrect, avec
tendhal, ajoutées en 1813, augmentent considérablement les 8 pages du texte de l’édition du Journal, et forment environ cinqu
6 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
s’arrête pas à si peu. Il dit purement et simplement, sans le moindre texte à l’appui, que la « Sécession » s’accomplit, non
ui sait voir et comprendre, familier des choses d’art comme des vieux textes , — des faits qui constituent en somme la trame de
rançais, pas plus que ses rivaux étrangers, n’a intimement compris le texte de son auteur. À propos des termes nautiques de V
et d’affaires, d’intérêt et de plaisirs ; de chercher, à travers ces textes jusqu’ici inédits, à repérer des passages des Mém
pour se convaincre que la manière des Allemands, qui encombrent leurs textes de notes et de citations d’auteurs dont ils n’ont
qui manie avec habileté et talent la langue et la prosodie, serre le texte de très près et a su rendre, grâce à des alliance
. On sait que les premiers éditeurs de Leipsick, au lieu de donner le texte même du manuscrit, crurent devoir le faire retouc
r français ? Nous pensons que cette édition se rapproche davantage du texte primitif, et doit être préférée, non seulement à
de l’écrivain, elle nécessite d’autant plus l’apparition du véritable texte de ce dernier, car cet Italien écrivait le frança
ent dans les deux éditions. C’était pourtant chose à conserver que le texte exact des lettres de cet original, dont on ferait
ils l’eussent été à un éditeur français. Nous aurions aujourd’hui le texte authentique sur lequel il n’y aurait pas à épilog
avantage. Le volume est près de finir, il n’y a plus que 100 pages de texte . Or, à la page 341 il relate des faits à l’âge de
à partir des environs de Naples. 6° Or voici que précisément un autre texte du poème appelle très vivement notre attention su
nts qui leur faisaient la vie dure, étant plus puissants qu’eux ». Ce texte renferme évidemment une indication précieuse, mai
crits, à côté l’un de l’autre, sur la carte d’Italie. D’obscur, notre texte devient lumineux : Cumes la Campanienne21 se plac
s îles Parthénopéennes. 8° Qu’ils se soient réfugiés dans une île, le texte en fournit deux preuves directes. « Grâces aux di
te roche isolée, abrupte et de quarante-vingt-onze mètres de haut, un texte évocateur de Thucydide vous chante dans la mémoir
ale. C’est dans ce cap même, et non ailleurs, que la géographie et le texte combinés nous imposent de retrouver le profil ind
faible soit-il. Entre ses rives encaissées, que demande d’ailleurs le texte , elle aura plus d’eau courante qu’il n’en faut po
six kilomètres environ, n’a rien d’invraisemblable. Comme le veut le texte , la route traverse aujourd’hui encore les travaux
ville moderne. 8° Les autres indications topographiques à extraire du texte au sujet de la ville se ramènent aux points suiva
longtemps rasé par la vague38.   En résumé, toutes les indications du texte concernant la ville d’Alcinoos se retrouvent dans
propos, nous ne nous expliquons pas pour quel motif, de tabler sur le texte plus que suspect des Mémoires édités par la maiso
surprenant que M. Guède ne s’en soit pas douté. Plus loin, citant ce texte des Mémoires : Ne sachant que devenir, je grimpa
tenant examiner quelques points de la discussion où la divergence des textes est relativement peu importante. Trouvaille du m
s, d’insister. § Escalade du toit du Palais Ducal (Mercure, p. 48) — Texte des Mémoires : À genoux et à quatre pattes, j’em
’autres documents pleins d’intérêt qui accompagnent sa traduction, le texte de la sentence prononcée contre l’infortuné geôli
ux de myope inspiré. » Cela doit être beaucoup plus beau dans le vrai texte . Mais M. R. Rolland est-il sûr que cela ne soit p
ion Rozez, et croyais avoir découvert le nom de la sage-femme. Or, le texte de la pièce officielle serre encore bien plus prè
Bellini au Louvre (Gazette des Beaux-Arts, mai 1912, av. reprod. hors texte ). 16. Voir Ph. Champault, Phéniciens et Grecs en
et notamment p. 336, 378, 391, 407, 446, 482, 488, 540, 546. 20. Le texte · de Scylax, dans son état actuel, porte quatre jo
ent cette étude et les recherches qu’elle résume supposent une foi au texte qui n’est plus guère de mode. Comment l’auteur y
ve H. de Tourville. En traitant par les procédés de cette méthode les textes odysséens relatifs aux Phéaciens, on constate qu’
anova et son temps, Paris, Mercure de France, 1911. 62. En citant le texte de Casanova, nous conservons son orthographe, sa
7 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
 Marescotti publie une reproduction de cette statue, accompagnée d’un texte dont je préfère ne point parler, puisqu’il me suf
Brisset repousse dédaigneusement ce mot à mot pour illustrer son beau texte de « … à l’ombre desquels mes tristes pensées tro
a Revue donne des illustrations charmantes en noir et en couleur ; le texte , plus qu’humouristique, est gai et débonnaire. Co
ces premières livraisons de la Revue n’ont pas encore répondu, par le texte , au type envisagé par ses fondateurs. Nous attend
llustration d’un livre, soit que l’illustrateur s’attache à suivre le texte de près, soit qu’il préfère l’interpréter libreme
fane et de l’antique au moderne, vagabondant, musardant à travers les textes , et ramenant tout en somme à son art. Il tira qua
equel a été gouaché. Ils sont très supérieurs à ceux des gravures. Le texte du poème se lit sur le recto des feuilles, le côt
ir « fleischseite ». Et le recueil est disposé de telle manière qu’un texte et son illustration correspondante se trouvent to
onner suite à ce projet32. Les places réservées à ces lettres dans le texte sont restées vides. Dans son amour, sa piété pour
valeur de nuances, et l’on oublie facilement en les regardant loin du texte inspirateur qu’il leur manque le souffle dantesqu
Ils démontrent, avec l’éloquence du génie, que rien ne pare mieux un texte que la composition ordonnée comme une décoration
erso de la Table du chant XXXII du Paradis, se trouve un facsimile du texte manuscrit du chant XXXI. Une notice accompagne l’
8 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
oms de certaines personnes ou remplaça ces noms par des initiales. Ce texte , ainsi révisé, fut aussi publié en douze volumes 
on Brockhaus. Cette édition, bien qu’elle soit loin de représenter le texte exact, est la seule qui fasse autorité et les réf
Elle venait presque tous les jours lui faire une belle visite  ; le texte imprimé dit : Cependant, chaque jour, Thérèse ve
de raison, formé le projet d’allier Dieu avec le diable ; et, dans le texte , on lit : qui, comme de raison, avait saintement
ir les chapitres IV et V à leur place quand l’édition tant désirée du texte intégral sera publiée. Un autre manuscrit que j’a
ire de la ville de Blois. Quand les Casanovistes pourront-ils lire le texte exact des Mémoires ? Tant de bonnes volontés pour
lorations entre elle et nous intervenues. 1. En français dans le texte . 2. Citation incomplète ; la phrase se termine
9 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
reproductions, par centaines, donnent une idée exacte de l’œuvre ; le texte est dû au plus érudit des amoureux du passé vénit
s s’appliquent encore à la présenter sous un aspect qui soit digne du texte . La publication des Promenades dans Rome, avec la
ir d’habits somptueux. M. Hofmiller a visité la Rome actuelle avec le texte de Stendhal à la main et il fait d’intéressantes
es livres semblables ne se bornent pas à des compilations érudites de textes et de références, mais qu’ils cherchent à évoquer
s dernières années de sa longue existence à corriger et à rajeunir le texte de ses œuvres. Que l’on songe que cette fille d’a
le édition des Essais ? Ce travail l’occupa longtemps. Elle publia un texte augmenté de nombreux passages inédits. L’habitude
hes de la Grèce et de Rome, des traités de science, sans m’occuper du texte , uniquement pour toucher du papier consistant et
s, 1 vol. in-18, 3 fr. 50, « Mercure de France » En rapprochant le texte des Mémoires de Casanova d’autres documents connu
t être exactement rapportées par Casanova. Mais, comme on le sait, le texte de ces Mémoires est tronqué : le manuscrit origin
duction d’une traduction allemande, ne contenant que des fragments du texte original, ou bien l’adaptation faite par un certa
a critique ne doivent pas négliger, il importe que nous possédions un texte exempt de toute tache et de toute fantaisie. Ce q
er à vivre da grande (en grand homme). On trouvera dans ce volume le texte intégral de tous les carnets de route de Stendhal
Elles sont accompagnées, comme nous l’avons déjà dit, d’un volume de texte dû à la plume érudite de M. Karl Voll, conservate
e érudite de M. Karl Voll, conservateur de la Pinacothèque de Munich, texte illustré lui-même de reproductions des tableaux m
de la mère à ses enfants torturés, au premier acte ? Qu’on relise le texte de d’Annunzio, et puis qu’on lise dans le Manuscr
lie, quelques-uns des meilleurs contes du vieil écrivain allemand. Le texte est d’une lecture facile et les images, qui sont
dans cette même livraison et dans la précédente la reproduction hors texte de la Madone de Neroccio di Bartolommeo dont nous
ritta da Antonio Nibby, 1 vol. grand in-8° de 402 p., 9 gravures hors texte . Rome, 1839. « Stendhal a lu ce livre avec grande
rchéologiques propres à féconder leur bouillante imagination. Mais le texte du savant allemand est d’une lecture assez diffic
lorsque ce sont justement les Humanistes qui opèrent la recension des textes , ou qui publient des éditions critiques, non seul
ns critiques, non seulement de l’œuvre platonicienne, mais encore des textes sacrés ?… Ici se rattache la large discussion de
l’époque de la Renaissance (G. Van Oest, 132 p., in-4, 60 planches h.  texte , 15 fr.) Tristan Leclère [Tristan Klingsor]. T
er lieu par M. Waltzing. 20. Mes citations sont toutes empruntées au texte publié par l’Illustration théâtrale, 27 mai 1911,
10 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
nscience. Les auteurs, comme dit M. Salomon Reinach, ont arrangé leur texte avec adresse. C’est bien la description d’une exc
l intercala quelques réflexions, souvenirs et pensées personnelles au texte italien, ajoutant avec une belle désinvolture : «
rd, aura l’honneur d’avoir produit la première édition annotée sur le texte italien de la Divina Commedia, qui aura paru en A
t de Gênes. » […] Tome CX, numéro 411, 1er août 1914 Le vrai texte des Mémoires de Casanova J. Pollio. Tome CX, n
ce » les éditions Paulin, Rozez et Garnier, « fidèles copies, pour le texte du moins, de l’édition en français préparée sur l
es bizarres de la rédaction originelle des Mémoires, la diversité des textes imprimés, les hypothèses contradictoires des comm
identiques. C’est à partir du chapitre suivant que la bifurcation des textes est manifeste, et que le libellé des sommaires ch
ître à Bruxelles les quatre derniers volumes des Mémoires, d’après le texte français soumis à Jean Laforgue, revu, corrigé, t
français, bouc émissaire chargé de tous les péchés qui défigurent le texte casanovien. Pourquoi cette inégalité dans les poi
ans le cas dont il s’agit. La traduction serait-elle espagnole, et le texte eût-il été retouché par un Luxembourgeois ou un S
tructives, divertissantes et précieuses. Cela ne remplacera jamais le texte autographe, hé ! je le sais de reste…, mais à quo
hure par le chevalier de Chastellux, en 1773. Il ne paraît pas que le texte italien ait été publié avant 1762, l’année même d
11 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
s élégants un choix de cette bizarre littérature, mais il faudrait le texte  ; ce latin a son charme que ne peut rendre nulle
rendre nulle transposition. Nous croyons d’ailleurs qu’il se prépare, texte et traduction en prose littérale, une petite Anth
12 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
unément d’une tragédie dans une autre, sans souci de la diversité des textes . S’il se sert des formes de danse, il les renouve
se bornant à mettre en ordre des matériaux, à réunir et commenter des textes , on laisse au moins entendre qu’on n’a pas eu le
n qu’elles ne seront pas perdues ; qu’on tirera parti des études, des textes et des notes qui composent ce lourd volume ; peut
étiques dont celui de Pétrarque demeura le plus célèbre, et à côté du texte de sa harangue publié intégralement, nous trouvon
udition ; mais cela permet mieux de lire, dans le sentiment voulu, ce texte où le savoir se dérobe sous l’art. Cet art ne ser
blement le point de vue. M. Lebey, réunissant et rapprochant tous les textes connus, conclut au doute. La trahison, dans les i
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
ompétence vraiment rares en ce temps-là, une connaissance directe des textes qu’il contrôlait ou fortifiait, toutes les fois q
et dans le Dictionnaire philosophique. La comparaison entre les deux textes est très curieuse et constitue, nous semble-t-il,
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 »
s, les prêtres mêmes — comme, par exemple, Loisy, — en soumettant les textes à une critique scientifique, sapent (sans le voul
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
Brockhaus, de Leipzig, s’est enfin décidée à publier intégralement le texte original des Mémoires de Casanova. Cette édition
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
, avec une préface de L. Bistolfi, et d’admirables reproductions hors texte , Coll. Lattes, Turin. — Avv. Raimondo Canudo : Il
17 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
ristote, également mal connus par les traditions et par des bribes de textes incorrects, de traductions libres, — Boèce, philo
n bleu, en vert, en violet, qui ne sont pas moins spirituelles que le texte  ; elles ont la finesse et l’inattendu des images
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
aussé de fleurons dorés, contient la première traduction italienne du texte pâli des Discours. Cette traduction, qui suit ave
19 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
M. Sonnino sut rompre l’alliance avec l’Allemagne et l’Autriche : les textes cités sont d’un grand intérêt. M. Jules Destrée n
Sainte-Marie-Majeure, où, selon la tradition, et maintenant selon un texte  : Ioannem da Palestrina est enregistré parmi les
de publier un clair résumé sur le Teatro Greco, puisé directement aux textes anciens. La grande collection des Scrittori d’Ita
uité, étudiés, non plus à la façon purement formelle et « critique de textes  » des éditeurs de Teubner et de leurs épigones, m
t, à la fin d’août 1918, le ministériel Giornale d’Italia publiait le texte de l’interrogation suivante, émanant du député Me
l’enseignement génois écrivait, dans le même n° du Sècolo XIX : Les textes de géographie de Mori et de Graziani, qui exalten
ive probablement d’un Aldiger ou Aliger20 », — était ancienne ! Et ce texte , toujours selon M. Begey, était encore en usage,
20 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
alestrina, chaque phrase de musique doit correspondre à une phrase du texte sacré, il ne cherche pas à écrire des morceaux, i
o. Cela se passe ici, en Italie, en Russie, partout ; ici, puisque le texte réfuté analysait dans le Mercure 2 la Littérature
les usages, les habitudes de l’époque qui étaient évidemment dans le texte original de Brockhaus, conservés dans la traducti
des vœux pour que les Brockhaus se décident à nous donner un jour le texte exact et intégral de cette merveille. » Tome 
21 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
pas là de l’histoire des religions ? Et quand un Giglioli prend pour texte les objets de son musée, passe en revue les croya
trée le volume a jadis obtenu le succès le plus légitime. Mais ici le texte seul suffit à retenir le lecteur. Dire que le liv
s dans ses notes manuscrites, n’y sont pas étudiées seulement dans le texte parfois très bref et sans originalité apparente o
ur, sont de jeunes hommes en tunique qui illustreraient exactement un texte d’Hésiode. La chasteté des premiers chrétiens écœ
vre chez un vainqueur de sa ville natale. Elle y commente de nombreux textes tout en protégeant sa jeune fille adoptive contre
’autre part a reproduit, inséré, — sans crier gare — dans son nouveau texte jusqu’à des chapitres entiers du précédent volume
erhauses ; 2 vol. in-folio, de 55 et 56 planches, avec 22 et 15 p. de texte ill. ; 30 couronnes chacun), et le choix en a été
22 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
Nous inaugurons, en ce fascicule, la publication d’œuvres inédites, texte et traduction, des principaux poètes étrangers co
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
ce choix dont Mme Annette Kolb a eu l’heureuse idée. L’aménagement du texte , toutes les dispositions typographiques sont d’un
24 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
les et de Palerme, et surtout de Venise, de Florence et de Rome. — Le texte présente un tableau d’ensemble de l’Italie de nos
main et la Voie Sacrée, dessins et restitutions de M. F. Hoffbauer et texte de M. l’abbé Thédenat, ouvrage de grand luxe et d
ir étudiés d’abord dans les traductions de Letourneur et puis dans le texte original. On lisait beaucoup en France les écriva
ptation de ce sonnet de Pétrarque25, mais combien large et dégagée du texte italien ! C’est ainsi que J. du Bellay traduisait
uve une à son goût, il la note, il s’en empare, il l’enchâsse dans un texte qui lui est propre, et c’est à peine si, dans le
illiers d’autres. Et voilà comment, à vouloir serrer de trop près les textes , chez un poète aussi peu précis que Lamartine, on
irait vraiment que pour eux elle consiste uniquement à rapprocher des textes , à passer au crible tous les vers d’un poète, pou
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
uvrirait que sa propre imagination. La grille qu’il faut appliquer au texte , c’est le littéral ; il faut lire en soulignant e
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
ont l’effet ne pouvait être douteux. Nous renvoyons ici le lecteur au texte des Mémoires. Il y verra comment Casanova, dupé u
27 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
t augmentée d’un plan qui faisait faute au premier tirage. Le nouveau texte est précédé d’une notice donnant la description d
la tradition de ces airs « populaires », pas plus que le souvenir du texte y attaché jadis, fût périmée absolument dans les
rès particulier, qui illustre avec richesse d’images et excellence de texte la Sardaigne, dans ses plus occultes paysages. — 
la Peinture, telle qu’elle devait être publiée cinq ans plus tard. Le texte est d’une autre main que celle de Stendhal : c’es
lioré. Ce n’était plus une première ébauche, ce n’était pas encore un texte définitif. Et comme ce livre, dont l’histoire est
Angelina Pietragrua. 22. Dans l’œuvre imprimée de Stendhal, un seul texte , assez obscur, permettait jusqu’ici de retrouver
28 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
on personnelle, et crie ce que bon lui semble, en patois, oubliant le texte et les strictes convenances de la scène. Cette fo
’est la beauté en général de l’illustration, des planches tirées hors texte , le soin avec lequel le livre a été présenté et q
ose française, qui se développe sous des titres italiens et à côté de textes italiens, donne en réalité une impression assez c
 286, 16 mai 1909, p. 372-376. Étant de ceux qui se plaisent dans les textes surannés, je relisais, l’autre après-midi, la cin
primitive. — D’excellentes photographies viennent appuyer du reste le texte de ce livre, qui est plutôt une dissertation qu’u
ume de M. Pierre de Bouchaud, toute cette confusion se résoudre en ce texte concis, lapidaire, ajoutant, ce qui ne gâte rien,
usation de plagiat est tombée d’elle-même par la simple production du texte originel ; il fut, en effet, reconnu que de nombr
e de Jarente, veuve d’Antoine Rolland, seigneur de Réauville. 43. Le texte porte bozzuto. Or Annibal Bozzuti était alors arc
29 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
s » où elles paraissent susceptibles de contribuer à l’élucidation du texte  ? Les Revues. La Quinzaine [les Odi navali de
fait dresser les cheveux, perd connaissance ; cependant, ajoute notre texte , il n’hésite jamais à recommencer l’opération si,
30 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
ou les conclusions devraient se jeter à corps perdu dans l’océan des textes et des documents qui ont rapport à cette époque.
pour M. Hymans et le petit volume sur Bruges et Bruges et Ypres ; le texte de Venise, par M. Pierre Gusman, donne une impres
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
recèle d’œuvres remarquables, et l’on arrive aussi à donner comme le texte d’une monographie de ce genre ce qui n’en devrait
32 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
tre mettent souvent à profit l’ignorance des Allemands et ajoutent au texte des phrases qui mettent le public belge en joie.
grecques étaient traduites de l’allemand. Les lycéens étudiaient les textes classiques dans des éditions allemandes ; le dang
ouvera dans le n° déjà cité des Musées de France la reproduction hors texte de quatre de ces peintures. 3. V. sur ce point l
33 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
nt renoncé à l’expliquer. Michel-Ange s’était contenté de traduire ce texte presque mot à mot sans toujours bien comprendre l
alien. Nous avons pensé qu’il serait intéressant de comparer les deux textes et nous empruntons les citations à l’excellente t
à l’excellente traduction de Perrault publiée par Firmin-Didot. 44. Texte de Vitruve : « L’ordonnance, la disposition, l’eu
34 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
sprit, humaniste, secrétaire apostolique, voyageur à la recherche des textes antiques, polémiste acerbe et prieur des Arts à F
35 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
du peu de latin qu’ils ont appris dans leur jeunesse, à déchiffrer un texte italien, les achètent, car ils y ont découvert un
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