est pas esthétiquement parfait, ni d’une pensée très profonde ni d’un
style
très noble, est cependant un des documents les pl
, et soit encore retenu dans les liens très lourds du classicisme, le
style
, le mouvement, l’humour, parfois même trop vulgai
inité, dans un effort de redevenir ce que la mère opulente fut, et le
style
n’a plus ce ton railleur qui souvent rendait de l
e de vingt ans, M. Giosuè Bersi, auteur d’un poème : le Sang, dont le
style
, serré sonore et pur, et la volonté subtile d’une
des éléments de réalisation empruntés à la poésie et à la musique. Le
style
y est imagé et rythmique. L’écrivain est toujours
’esprit de l’auteur donnerait un congé définitif à la Philosophie. Le
style
de ce livre, comme de tous les travaux de M. Papi
l, révèle un esprit critique mûr, aigu en même temps que réfléchi. Le
style
de ces deux écrivains — et j’entends par style no
temps que réfléchi. Le style de ces deux écrivains — et j’entends par
style
non seulement le contour verbal de la pensée, mai
gazzaro n’est pas un génie complet : il y a des défaillances dans son
style
et il a cédé, pour des vues pittoresques, à la fâ
format de carnet), M. Ugo Ojetti publie deux nouvelles, écrites en un
style
élégant, simple et net. Ce sont des histoires d’a
de la critique ; je ne peux me rappeler une seule brusquerie dans son
style
ou dans ses jugements ; de cette manière, il ne c
hie étrange et géniale. M. Oliva se borne à résumer Zarathustra ; son
style
prend alors une allure très vive ; mais en compar
re, il s’en trouverait bien. Il ne sait entraîner, ni par la magie du
style
, ni par la force de l’idée ; il est bien loin, pa
par exemple l’indépendance du jugement. M. Pica a peut-être moins de
style
et moins d’attrait littéraire que M. Ojetti ; il
ques sursauts, que les traductions donnent en général aux amateurs de
style
. Ce n’est pas le cas de s’arrêter à la tragédie e
Sonate à Kreuzer ; cette influence, du moins, ne s’est pas étendue au
style
, qui ne manque ni d’art ni de charme dans sa simp
psychologie pour qu’on puisse le tenir pour une œuvre distinguée. Le
style
est bien un peu lâché, ou, du moins, la phrase es
ions des autres peuples ; à l’incapacité se joint la paresse. Et quel
style
! un perpétuel décalque du français : on pourrait
ntes comme un enseignement et une promesse assez sûre de renouveau du
style
littéraire national. D’Annunzio, en transposant t
silences de la ville très romantique, certaines cadences même de son
style
, remémorent les visions ardentes du Feu. Le style
adences même de son style, remémorent les visions ardentes du Feu. Le
style
de ces évocations de paysages héroïques, entrevus
raient pas sans valeur, mais que tout cela est anecdotique ! Puis, un
style
fort médiocre, sans être cependant absolument imp
e, avec parfois, sur la vie de son saint, de jolis détails rédigés en
style
gris. La moitié du livre est remplie de laborieus
us dire qu’il y a des règles que l’on ne peut outrepasser : au nom du
style
, tout est permis, car le style c’est l’homme, et
e l’on ne peut outrepasser : au nom du style, tout est permis, car le
style
c’est l’homme, et c’est l’homme que nous voulons
i et chez nous, pour la rectitude de sa pensée, pour le charme de son
style
, pour la hardiesse aussi avec laquelle il défend,
(idem) Ora e sempre, par Adolfo Albertazzi, un bon roman, qui en
style
nerveux, rapide, quelquefois trop sec, nous prése
t transparente, à la pointe d’argent sur vélin), et la médaille, d’un
style
et d’une beauté incomparables, dont je ne sais d’
Beauté Éternelle, des mœurs anciennes, et d’autres choses simples en
style
prodigieux ; rien de moins électoral, enfin, que
conséquent, toute sa saveur de mystère, malgré l’aisance naturelle du
style
. Science sociale. Le militarisme et la Sociét
splendissant. Au milieu de toute la finesse et la complication de son
style
lombard, ces caractères ne l’ont jamais quitté. I
pour les métiers de la Flandre. Il y portait à la perfection le vieux
style
de la miniature florentine, en mettant avec minut
t précisément parce qu’il ne faisait que réaliser la perfection de ce
style
que ce tableau fit se développer en Léonard certa
ant son séjour à Florence, avait après tout la légèreté de cet ancien
style
. Il fallait que son art, s’il devait être quelque
ait réussi à faire jusque-là, c’était de se rendre maître de ce vieux
style
florentin, avec sa sensibilité naïve et bornée. M
aphaël la peignit à Florence, au réfectoire de Saint-Onofrio, dans un
style
doux et solennel, mais encore avec toute l’incorp
ièmes diminuées. Parodie que tout cela, peut être, parodie du mauvais
style
italien et des ariosos de café-concert ; mais alo
umentale de la Piazza Termini quatre superbes Naïades en bronze, d’un
style
libre et puissant. Les Naïades étant toutes nues,
é Lebey, qui en a rendu la beauté plastique et intellectuelle dans un
style
souple et coloré. M. Lebey a intitulé Essai cette
e, roman de M. de Frenzi ne décèle la jeunesse de l’auteur que par le
style
trop tourmenté ; mais l’expérience de la vie, la
Rhin et de Belgique, en Angleterre, qu’il faut étudier les églises du
style
gothique ; à Sienne où on l’employa, il est dépay
tte préoccupation, M. Giustino Ferri a une personnalité robuste et un
style
à lui. Il Capolavoro raconte les aventures d’un
n dirait, selon le mot de Voltaire, qu’il a “le diable au corps”, son
style
, qui semblait avoir emprunté aux tourbillons dant
us directement de Nietzsche, et même pour certaines particularités de
style
. La doctrine du grand philosophe n’est point pass
se dans le chant du salut, de l’amour et de la vertu. Pour réussir en
style
convenable, il faut un art constant et être versé
ouillée de quelque passion. J’entreprends le présent ouvrage, avec un
style
plus haut et plus grave, pour me donner une autor
ento, tandis que tous les peintres s’empressaient à imiter le nouveau
style
de Léonard de Vinci, un autre « homme de Dieu »,
déal de perfection sans cesse en mouvement. Et il n’y a pas jusqu’aux
styles
des deux maîtres qui, au terme de leur longue lut
t qu’à la surface des questions d’art ; la langue, pour eux, c’est le
style
: la forme c’est l’idée ; mais vis-à-vis de l’idé
fier trop. Avec ce dernier livre, il nous permet d’admirer encore son
style
nerveux, brillant, riche de comparaisons et d’ima
ge que peu à peu M. Fogazzaro nous ait conduits au catholicisme vieux
style
; il y a du danger là-dessous, pour l’Italie ; l’
t des plus applaudis, à qui cet Italien pourrait donner des leçons de
style
. Mais cette composition régulière et ce style lyr
it donner des leçons de style. Mais cette composition régulière et ce
style
lyrique conviennent-ils à des personnages aussi c
aventures, jusqu’à ses derniers jours ; et bien que, je le répète, le
style
de M. Annovi soit loin de toute forme recherchée,
onnêtes imbéciles. D’autre part, les intempérances habituelles de son
style
, l’exagération journalière des dangers qu’il voya
encontre dans une voiture publique, cette scène unique traduite en un
style
sévère et ferme, exécutée grandeur nature avec un
o da Core n’est que le premier tome de la série ; il est dédié, en un
style
dont nous ne pouvons respecter la forme lapidaire
est peut-être, en date, notre premier écrivain « européen » (nouveau
style
). Quelle influence n’a-t-il pas subie ? M. d’Annu
mmêlés par un romancier qui connaît son métier, écrit proprement d’un
style
calme, apte à rendre les nuances, d’une observati
e et une sérénité apaisée. Cette tête s’apparente strictement, par le
style
de l’ensemble et par certains détails (telle l’ex
sur Messine : une ville entourée d’un seul palais (côté port) dans le
style
royal de Louis XIV ; palais rapiécé, noir par pla
hoix. En second lieu, parce qu’elle pourrait obstruer la recherche du
style
et gêner la pensée, que l’on peut occuper plus ha
e pilastres, de portes et d’architraves ; alors que les églises, d’un
style
plutôt gothique, qu’elle enserre s’élancent au-de
r l’élancement vers la hauteur, soit dans la proportion, soit dans le
style
, et la peinture par la profondeur, soit dans la p
, chaque fois, l’auteur emploie les ressources de sa pensée et de son
style
à l’exposé et à la défense de théories et de prin
très étendus et là même où l’on ne s’occupe pas le moins du monde des
styles
en Architecture ». L’idée dominante de Ruskin fut
faits de l’entreprise. Sa préface est sans doute trop longue, mais le
style
en est alerte et clair, et elle se développe ving
e dans un langage trop recherché, qui rappelle certaines attitudes de
style
d’annunzien et qui contraste avec la simplicité b
’écrire en français, n’entendait rien à une œuvre d’imagination et de
style
, et qu’il avait fallu un habile homme pour mettre
endhal, ou plutôt Beyle, dont l’esprit, le caractère, les idées et le
style
se retrouvent, à chaque page, dans les Mémoires i
e partie, prise en soi, est remarquable de clarté, de précision et de
style
, et ceci s’applique, autant que jamais, à ces deu
on et l’expression, surtout depuis quelques années. Les recherches de
style
si heureuses, accomplies par le poète, ne viennen
a personnalité ne s’accuse pas encore dans les expressions et dans le
style
, et que sa poésie soit plus éloquente qu’imagée,
re image réfléchie, encadrée sous les linteaux successifs du plus pur
style
baroque. Il s’avança, l’âme résolue, mais le pas
par la fureur simiesque de l’imitation, dans la conception et dans le
style
, s’est enfin repliée sur elle-même et demeure dan
ossède admirablement l’art du récit. La précision mathématique de son
style
l’aide à dérouler rapidement et sûrement l’action
vie mystérieusement passionnée de la Ligurie palpite étrangement. Le
style
de M. de Rubris, très personnel, noble et touchan
uent aujourd’hui d’un « type de culture » national, c’est-à-dire d’un
style
unique et national de la vision du monde dans tou
ations des protagonistes de la longue révolution se déroulent dans un
style
élégant, précis et extrêmement nourri. L’édition
ltiple de Michel Brenet, bien loin d’être rébarbative, s’énonce en un
style
élégant, sobre ou chaleureux qui charme dès les p
ucoup plus complexe de la femme de la Renaissance. Malheureusement le
style
de M. Isidoro Del Lungo révèle l’illustre profess
tte clarté, cette netteté rude et riche qui rappelle immédiatement le
style
et la volonté de Machiavel, duquel d’ailleurs l’a
eintre de s’improviser statuaire dans sa vieillesse ; qui proclama le
style
, l’originalité, le frisson nouveau apportés par l
oman sur Saint François d’Assise (San Francisco d’Assisi), et dans un
style
simple et poétique, avec une science et une consc
orsqu’il observe les aspects humains qu’il compose pour nous dans son
style
léger et fort ; il sourit assez amèrement même, e
e une boutade ; dans ce sens, elles ne relèvent que du limæ labor, du
style
. Mais très souvent elles portent une lumière nouv
arge ces mots : l’Edimbourg Review . Les remarques qui intéressent le
style
, ou qui précisent la pensée d’une phrase parfois
s qu’on ait construits. En Italie, quelques critiques adressent à son
style
des reproches peut-être justes. Mais la belle con
telle ou telle théorie. Mais c’est un manuel excellent écrit dans un
style
clair, et tous ceux qui aiment Venise — ils sont
ons. Son étude sur le Palais ducal bâti successivement dans les trois
styles
qui furent appliqués à Venise, le byzantin, le go
te traduction, tout à fait remarquable par l’élégance et la clarté du
style
, fera mieux connaître en France l’esthéticien ang
e sait, pour un chapitre perdu de la Chartreuse. Quelques ouvriers de
style
lui reprocheront peut-être cette verve magnifique
Et il ajoute, comme une excuse : Il est vrai que je me suis formé le
style
. C’est donc toujours pour des causes extérieures
it en proie à Metternich d’un côté et à Gregorio XVI de l’autre. D’un
style
sobre et vif, Angelo Brofferio peint les temps où
qui, dans l’Européen, lurent la Madonne du Pêcher auront une idée du
style
et du ton avec lequel Mr. Maurice Hewlett narre c
re à Mr. Maurice Hewlett quelques reproches ; surtout à propos de son
style
. Il est indéniable qu’il est parfois maniéré et r
perplexe. » Cependant, s’il est difficile d’affirmer qu’il existe un
style
nouveau d’architecture, il est indéniable qu’il s
n. Selon M. Pica, la question de savoir si « oui ou non, il existe un
style
véritablement moderne, d’un caractère bien distin
es, les uns rêvant un patrimoine commun d’art, une fusion de tous les
styles
et de toutes les sources d’inspiration ; les autr
à revoir le manuscrit original. Ce Jean Laforgue, selon ses idées du
style
élégant, corrigea le français vigoureux, bien qu’
t à chaque page reconnaître « l’esprit, le caractère, les idées et le
style
». Cette théorie, aussi absurde et aussi peu étab
nce historique et à marquer ses limites. » Et encore, ce qui est d’un
style
admirable : « La France a participé, vers l’Est,
l l’est surtout par le défaut de cette homogénéité de sentiment et de
style
, de cette immuable justesse expressive de l’inspi
fier à l’Idée qui hante leur cerveau. Le roman est carré, solide ; le
style
bref et sobre ; personne ne dirait qu’il s’agit d
ade classique, mais prévoyait comme encadrement deux édifices du même
style
s’avançant sur les côtés de la place. Les ancienn
evenus un peu trop intermittents dans la littérature d’érudition : le
style
, la couleur, le don de vie, et, pour tout dire, l
rd’hui. Mais le roman, qui contient des merveilles de narration et de
style
, n’est fait que de celle psychologie pathétique e
. Ces morceaux inédits, haut témoignage de talent, de sentiment et de
style
, œuvre de belle construction et d’harmonieuses pr
ture avec la violence d’un forcené. Dans sa langue parfaite, dans son
style
tour à tour nerveux, sec, sanglotant et ondoyant,
aphorismes sur le progrès que M. Bonghi suffirait à émettre, enfin un
style
qui tourne trop prompt au badinage attendri, ce s
ettre, enfin un style qui tourne trop prompt au badinage attendri, ce
style
qui entache de snobisme les créations de Dickens.
r ailleurs les mêmes habitudes. Ainsi s’exprime Daru, en son sérieux
style
empire qui porte le roi de habit brodé du haut fo
e et savoureuse aidant, à chaque page, aux trouvailles de plume, — le
style
de ce livre ignore un peu trop (j’entends bien qu
partie de tout le mouvement contemporain qui est à la recherche d’un
style
. Il rajeunit des styles antiques. Son style est u
ement contemporain qui est à la recherche d’un style. Il rajeunit des
styles
antiques. Son style est une synthèse des païens e
i est à la recherche d’un style. Il rajeunit des styles antiques. Son
style
est une synthèse des païens et des chrétiens, des
ence ; c’est un point d’arrêt, ce n’est pas une promesse d’avenir. Le
style
, c’est-à-dire la simplicité synthétique des perso
dissertations qui les ont précédées. Ces dissertations sont d’un beau
style
; elles sont éloquentes, quelque peu emphatiques
on mortelle peuplée d’images ensoleillées ; c’est la beauté hardie du
style
, l’élégance toute nouvelle de sa langue, et, surt
s les arcades seront différentes, plus élancées, avec les colonnes de
style
corinthien. La scène sera entièrement construite
ne mâle et tendre sensibilité anime ces poèmes de forme régulière, au
style
sobre, soumis à la discipline d’un art très sûr e
connaissance de la langue allemande et par la précieuse beauté de son
style
italien. La traduction toute récente de la Gaya S
, son ode est parfaite. Il n’y manque rien de tout ce qui est pensée,
style
et sentiment ; il n’y manque qu’une plume plus ri
lassique il demeura par l’entente de la composition autant que par le
style
, quoique le sentiment de la nature et l’expressio
ive naturellement à celui qui, dans la fougue pleine d’envergure d’un
style
tout fait de poésie et de précision, résuma presq
C’est son dernier acte, ni stérile ni fécond, et tout à fait « vieux
style
» comme les autres qu’il a accomplis. Tout est vi
to italiano d’arti grafiche. 11. Montesquieu, — il a frappé, dans un
style
admirable, quelques inscriptions, quelques devise
lides, âpres, impressionnantes ; on regrette qu’il n’ait pas usé d’un
style
parfois plus pondéré, plus simple, plus émouvant.
bas-reliefs sont remplis de figures admirables où l’originalité et le
style
se combinent, avec une variété incroyable : nos s
s, mais il s’évertuera d’assimiler le ton, le caractère pompeux et le
style
oratoire de la « tragédie mise en musique » régna
aiblesse dans la conception et de l’invertébré dans l’expression. Son
style
était cependant nerveux et parfois émouvant ; la
éclatantes qui tournent au plafond. Le tombeau en marbre blanc, d’un
style
sage et sans sculpture, élevé sur des gradins ; e
nt des figures, des bras, des jambes. La chaire en marbre blanc, d’un
style
byzantin comme le maître autel, s’élève sur le to
e, il y a une vingtaine d’années, grâce à la séduction qu’exerçait le
style
du poète nouveau et de ceux qui l’imitaient. Mais
i reste des années passées dans la composition de ses tragédies où le
style
archaïque lui fut cher. L’apport nouveau de cette
l’élite puisse résumer dans le mot : Ordre, et exprimer par le mot :
Style
. Les Romans. F. T. Marinetti : Mafarka le futu
ature réaliste n’est-il point celui du dédain pour toute fioriture du
style
, pour toute stylisation du langage, en un mot pou
ce. Il porte dans les sujets les plus badins la plus grande pureté de
style
. Summa lasciva, summa verba ! Aujourd’hui M. Nozi
olution spirituelle du protagoniste l’auteur accorde à la science. Le
style
n’en est point littéraire. La pensée n’en est poi
urieux de littérature étrangère un auteur très fort — comme on dit en
style
de journal — j’aurai vraiment atteint le but que
; la forme est merveilleuse par la clarté des images, la ciselure du
style
, la franche saveur d’italianité de la langue ; qu
ne-le-Rond, lequel est du temps du pape Théodore Ier, mort en 649. Le
style
de cet ouvrage est bien byzantin. Le Christ, dont
d’une page qu’en partant il éprouve le besoin d’écrire dans son même
style
emphatique ? Et cela au moment d’aller jouer sa v
ent à sa formation, est éminemment variable dans sa trame et dans son
style
, les grandes lignes en sont toujours les mêmes, c
t que le divin Pierre Arétin était la règle de tous et la balance du
style
. Archéologie, voyages Charles Merki. Tome
e et Parme se trouve Borgo San Donnino, encore avec une cathédrale de
style
roman, puis le pont sur le Taro. Parme est la vil
ans très amusants, un fourmilier étrange serré en une volute de grand
style
; ces admirables amusements, je les préfère pour
capable d’atteindre à un système, ce poète incapable d’atteindre à un
style
, aura donné à son pays les œuvres littéraires les
e conformer, en italien, aux règles de construction, d’expression, de
style
, du xvie siècle florentin, le siècle de Machiave
riche d’indications « musicales » neuves et inattendues. La magie du
style
d’annunzien nous présente un Cola di Rienzo tel q
r l’art latin de la biographie ». Il veut être un « portraitiste » de
style
ancien, car « entre l’historien et le biographe g
innovatrice donc, chez l’écrivain ; seulement, sa psychologie et son
style
ont dans ce livre une énergie prodigieuse. Le liv
n de Rome est évoquée dans tout le volume avec une semblable magie du
style
. M. d’Annunzio se conforme même au principe histo
he Anglais dont elle prit le nom. Elle avait un très beau portique de
style
ogival tertiaire avec des entablements et des cor
nte ans, alors que les artistes du Bosphore s’efforçaient d’allier le
style
islamique aux ornements lourds et contournés de l
taines par des fenêtres et des portes donnant sur une grande cour. Le
style
et l’arrangement des salles d’études sont les mêm
ant pour les rendre aptes à l’expression d’idées nouvelles ; c’est un
style
moins classique, moins pur que celui de la Renais
rque, par M. Camille Spiess, un farouche ennemi de l’Islam qui, en un
style
hermétique et au cours d’une double série d’antit
grandes dames de Naples répondaient ainsi, sur du grand papier et en
style
officiel, aux lettres aimables qu’on leur écrivai
hier à A. une lettre d’amant malheureux pleine de délicatesse et d’un
style
ferme. Elle était dans le genre de Duclos et n’au
futuristes, en continuant l’esthétique de l’impressionnisme jusqu’au
style
, proclament la nécessité du sujet, et du sujet mo
ant de cet article, nous l’exprimons plastiquement par un symbolisme (
style
du Naturalisme plastique) qui est parallèle au sy
du Naturalisme plastique) qui est parallèle au symbolisme littéraire (
style
du Naturalisme littéraire) que nous surpassons. M
es ardents Romagnols qui, appelés, partirent pour la guerre avec lui.
Style
personnel, fait de tâtonnements et d’approximatio
isolatrices. Le colosse allemand ne lui en impose nullement. Dans un
style
brillant et quelquefois insolent de gamin florent
t quelquefois trop spirituel d’il y a dix ans. La pensée est mûre, le
style
adapté. Il se défend de haïr l’Allemagne : la con
, par un roman autobiographique, Duccio da Bontà, dont on remarqua le
style
légèrement archaïque, mais très sûr et vivant. Il
soi peut être insignifiant et la forme être cependant très belle. Le
style
de M. d’Annunzio, et cette langue magnifique qu’i
a un exemple bien frappant dans les A. ? Cesarotti continue, mais son
style
tombe dans le commun… « L’Ardenza all’oposta chi
resses de maison qualifient de « charmant causeur ». Il écrit dans un
style
de conversation de salon des débuts du Second Emp
na peut bien avoir enseigné à son adolescent élève. Pas plus trace de
style
, non plus, que de métier. D’un bout à l’autre, il
ition de Mme Emma Ciardi, Le Jardin des Muses ; un paysage d’un large
style
de M. Carcano, Campagne d’Asiago, et surtout l’ém
de parade. Il poursuit des pensées mystérieuses et subtiles avec son
style
suranné qui est bien grossier dans sa richesse mê
t un courant d’affaires de l’ouest à l’est qui serait l’équivalent de
style
moderne de la politique horizontale de Rome. On p
atherine, plongée dans une extase que parvient avec peine à rendre un
style
(il y a une lettre de Catherine sur la scène) d’i
llusion prépare une époque d’art réalisant enfin l’universalité et le
style
. Naturellement nous sommes loin d’établir des con
Je me suis ingénié, autant que je l’ai pu, à imiter la manière et le
style
de Figiovanni63 dans tous les détails, parce qu’i
efforts pour conquérir une maîtrise d’écriture sienne, en dehors des
styles
usuels. Dans Campo di Grano et dans Trasfigurazio
rétentions d’écrivain, mais il parle bref et écrit brièvement dans un
style
dépouillé de toute rhétorique. On sait qu’il dict
d’un être mythique. La même incertitude plane sur l’époque et sur le
style
de la statue : tandis que M. Klein la rattache à
la noblesse du visage sous le bonnet phrygien ! Si la culture est le
style
, quel type parfait de culture que le pêcheur napo
de la plus belle culture qui ait jamais été et dont il garde tout le
style
extérieur, lequel n’est plus chez lui qu’un stigm
actère au moins, celui du souci de la langue, une certaine volonté de
style
, rend l’effort en quelque sorte significatif. Dep
Leonardo, de Hermès, vient de mourir à l’âge de vingt-quatre ans. Son
style
de poète et de conteur était précis et noble. Il
le. Il faut bien reconnaître que les deux artistes ont une parenté de
style
et d’inspiration. Il y a longtemps que François R
de ceux qui y croyaient ! Ce n’est pas à un tel initiateur, avec son
style
rocailleux et recroquevillé, que Léonard aurait d
’exprime dans la plénitude de ses moyens d’expression. Sa langue, son
style
, ne dérivent d’aucun des deux poètes « majeurs »
n semence idéale dans les esprits de ceux qui suivent. Au surplus, le
style
d’Aurelio Ugolini, très influencé par les classiq
qui s’y trouvent ont pour excuse l’âge où vous écriviez, le genre de
style
, l’idiome, la légèreté du sujet et celle des lect
ielles dont elle dépend n’ont pas peu contribué à constituer le grand
style
italien. La fresque rend un certain idéalisme obl
s dans les archives obscures de ses tristesses crépusculaires. Par le
style
, rapide, sec, essentiel, par les raccourcis psych
l’art. « Venise — déclara M. Morasso — c’est un monde à soi, avec un
style
propre à côté du monde commun… Venise, c’est le v
Styx ; un conte de M. T.-E. Lascaris : les Jardins d’Ihraïn, dont le
style
n’est pas sans saveur. Si j’ai réservé l’article
ropres sentiments l’expression de ceux des autres… » Les habitudes de
style
sont les manifestations du caractère individuel,
uis les fresques disséminées dans diverses chapelles, le tout dans un
style
extrêmement pur qui garde un parfum du grand sièc
cle. Les traductions sont en une langue agréablement archaïque, où le
style
des vieilles chroniques se mêle à une simplicité
liefs du xve et du xvie siècle, des antiques et notamment un torse,
style
et marbre grecs, parfaitement beaux, des dessins
nner à Marie de Gournay le titre de « mère du féminisme moderne ». Le
style
de ces essais a son intérêt aussi : Mlle de Gourn
la vieille demoiselle, d’accommoder les vers de son maître au nouveau
style
. « Et de faict, écrit-il, elle eut la hardiesse d
tion faite par un certain Jean Laforgue, qui fut chargé de châtrer le
style
de Casanova. Si donc, conclut M. Maynial, Si, co
n les écouta. Grâce à son esprit avide, il s’assimila rapidement leur
style
, comme le prouve la série de tableaux religieux q
une forme voilée, que l’œuvre de Fogazzaro est tarée par l’absence du
style
, de la beauté. On parle volontiers en France de g
: le charme irrésistible de la beauté. Qu’est-ce qu’un écrivain sans
style
? Figurons-nous M. Barrès ou M. Maurras, écrivant
, sous le ciseau de Michel-Ange, la sculpture italienne parvint à son
style
le plus puissant et le plus large ; le temps enfi
transmuer », sans toutefois en élever d’autres, ne fut-ce que par le
style
, à une hauteur vraiment poétique. Ainsi, M. Corra
e, de ses contemporains. La langue italienne y est très ferme, et son
style
garde, dans la transposition, toute sa robustesse
l nous étonne, ce n’est que juste assez pour donner la sensation d’un
style
, d’une personnalité, jamais pour nous rappeler l’
its français. Si l’auteur n’a pas le talent poétique, les qualités de
style
d’un Klaczko, il l’emporte sur son prédécesseur p
ante pour toute espèce de lecteurs ; pour les profanes, parce que son
style
clair et précis la leur fera comprendre facilemen
Italie, pour me servir d’une expression dantesque, saint François. Le
style
de M. Pascoli est toujours celui du poète qui se
une longue audition musicale. L’ode Aux Eaux ardentes est courte, le
style
en est sobre ; la forme d’une limpidité que la po
description de Paul Mantz n’avait pas exagéré la beauté : grandeur du
style
, recherche aiguë du caractère expressif, science
i en Italie, sur le succès de ses livres et même sur la valeur de son
style
, qu’il ne peut pas se permettre d’apprécier exact
ort inférieur à la Pluralité des mondes de Fontenelle et qu’enfin son
style
, rempli de gallicismes, est « pitoyable », « inso
de l’œuvre shakespearienne s’y affirme et éclate, et la langue et le
style
du jeune poète italien sont admirables. Dans une
-être là qu’une question de mise au point, une nouvelle trouvaille de
style
à rechercher. Leur manière de portrait psychique,
a. La qualité d’un esprit : je veux dire, ici, la qualité acquise, le
style
infusé. Quant à l’âme, … quant à cette âme prodig
ais, puisés dans Maupassant comme dans Daudet ou dans Zola, créait ce
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assez particulier, mi-descriptif et mi-psychologi
de la nouvelle, mais elle arrive par des moyens d’écriture, si non de
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, très nobles, à représenter des états d’âme et de
d’être une nation et de le savoir, d’un pays capable donc d’avoir un
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dépensée et de sentiment collectif et unique, et
centre, pour ainsi dire- de son unité indiscriminable ; tandis que le
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italien, gouverné dans sa forme par la rotondité
nzo, le pourtour du maître-autel, un cloître ; au Dôme, le portail en
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flamboyant. On montre encore des tombeaux, comme
périls. La description saisissante qu’il en a donnée en 1788, dans ce
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coloré qui lui est propre, ne contient, en somme,
u s’affine et bientôt se mûrit, s’élève, sa langue s’assouplit et son
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s’épure. À la fin, la métamorphose est profonde e
Chacun de ces artistes eut sa méthode particulière, chacun garda son
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propre… ils sont pour ainsi dire tous dominés par
ertaine tenue correcte et froide, qui s’exprime, chez le Tasse par le
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épique, et chez Manzoni par un style réaliste, na
s’exprime, chez le Tasse par le style épique, et chez Manzoni par un
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réaliste, naturaliste et psychologique, avant que
thème de magnifique compréhension première de toute la vie. Certes le
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futuriste, si l’on peut s’exprimer ainsi, est tro
nce, clarté de la composition, propriété de l’expression, vivacité du
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, tout concourt à captiver le lecteur et à fixer d
alia irredenta » : le Trentin, Trieste, l’Istrie, la côte dalmate. Le
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des monuments, dont de belles reproductions illus
en attendant que surgissent après la guerre un nouvel art, un nouveau
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, une nouvelle science, une nouvelle philosophie,
la beauté, et qui n’est que la régularité, de ce qu’ils appellent le
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et qui n’est qu’une mécanique stylisation, de ce
ositives jouissances que la truculence du détail ou le charme réel du
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. L’historien et le lettré peuvent escompter quelq
descriptions, les phrases, les mots par trop obscènes, d’embellir le
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, farci d’italianismes, par une tournure plus litt
et donnent en pâture à leur solitaire intumescence certains livres de
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ordurier, cachés derrière les autres. Mais Jean L
esforges et d’Andréa de Nerciat… Suis-je injuste quand je déprécie le
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français de Casanova ? Il est bien mauvais, n’en
a pas fait passer dans ses paroles ces moments de son cœur, et si son
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n’est pas en conséquence de diverses couleurs, co
e d’Annunzio est fini, lorsqu’on le voit exhiber un vieil exercice de
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, comme la Vita di Cola, qui nous ramène à une épo
éments nombreux, esthétiques et scéniques, de cette tragédie de grand
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sont superbement harmonisés. Le vers fondamental
, à la non-critique, à la vulgarité des sentiments, à la platitude du
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. C’est un des moyens d’abrutissement les plus pui
eurs » sont un produit du journalisme dont ils ont les procédés et le
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: la lecture de leurs livres ne réclame ni plus d
de la propre main de Botticelli, tant ils portent l’empreinte de son
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, tant ils manifestent sa science de décorateur et
r malheur, il n’a pas toujours écrit les expressions faciales avec le
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désirable. Même plusieurs faces choquent par leur
héories pas assez nouvelles sur l’amour avant et après le mariage. Le
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est très peu soigné : il faut donc attendre une œ
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