je feignis l’amour à la perfection, et j’imitai tous les gestes, les
sourires
, les regards, les paroles, les expressions dont l
les rapides bonnes fortunes. Sous le masque de ma légende se cache le
sourire
amer de celui qui fut aimé et ne réussit pas à ai
n propre compte : « Sous le masque de ma légende, il y a peut-être un
sourire
, un sourire amer, mais dans mon cœur il n’y a que
pte : « Sous le masque de ma légende, il y a peut-être un sourire, un
sourire
amer, mais dans mon cœur il n’y a que l’angoisse
tacles qui à moi, au contraire, me donnaient envie de me moquer ou de
sourire
. Sa tête était encore toute remplie de ce romanti
toute une époque avec tendresse, avec cette tendresse de l’enfant qui
sourit
à un rêve composé de toutes les légendes éparses
lle tend toute notre volonté de conquête : l’Empereur. Et Charlemagne
sourit
à la mélancolie du fils de Frédéric. Et le poète
-nous. M. Marinetti, avec ses airs de révolté, ne peut que nous faire
sourire
. Sa doctrine est profondément bourgeoise, suranné
On se demande : est-ce encore un pamphlet contre d’Annunzio ? Et l’on
sourit
. Mais le poète ajoute sérieusement, en petits gra
st sûr ! parbleu, M. Doumic n’est pas un homme léger. Même pour faire
sourire
les jolies bouches de ses jolies auditrices, il n
égulières. En l’examinant mieux, on découvrait de la finesse dans son
sourire
et du feu dans son regard… Sans être éclairé dans
ran, « ce brave et digne homme de votre trempe » ? L’ombre de Pagello
sourit
finement et m’ouvrit Une Histoire d’amour, à la d
corps de l’adolescent en souriant aux étoiles : Elle vous
sourit
, Ô étoiles, sur l’entrée de la Nuit, Phèdre l’ino
is je la vois derrière ta figure, je l’épie dans tes yeux et dans ton
sourire
, je sens sa forme entre tes bras. Alors sur l’éni
ive de sa poésie, faite d’une ironie triste, d’une tristesse qui veut
sourire
, comme lorsqu’il dit : Il me demande en entendan
des « curiosités » bizarres. Son âme de brocanteur s’épanouit dans un
sourire
; ce que voyant, la bonne, qui avait une mine à p
risa d’escompter une aubaine, alors que son cœur battait d’amour ! Le
sourire
effacé de la statuette lui promettait tant de bon
pensez-vous qu’elle y tienne beaucoup, cette famille ? L’homme eut un
sourire
dont l’expression énigmatique échappa à Bélisaire
es sur ses pieds délicieux, sa tête encadrée d’un geste émouvant, son
sourire
perdu, et les méplats de sa chair verte, suggesti
outes, de pareilles jambes minces, dans une attitude archaïque… Et le
sourire
effacé de chacune d’elles promettait le même et i
cet amour pour lequel Bélisaire eût fait des folies ! Ah ! les trente
sourires
de ces trente demoiselles vertes en rang d’oignon
partir successivement, pour la boutique du brocanteur ! Ces horribles
sourires
de chef-d’œuvre à bon marché narguaient le jeune
se nouvelle à celles qu’a déjà suscitées ce portrait. Suivant lui, le
sourire
qui flotte sur les lèvres de Mona Lisa ne recèle
onard aurait essayé de la distraire de sa mélancolie et d’éveiller un
sourire
sur ses lèvres en travaillant, comme en témoigne
i et d’espérance il lui advint de réprimander un enfant trop prompt à
sourire
et quand, quinze ans après, il retrouve le discip
oir alors peut-être découragé ; assez tôt les lèvres désapprennent le
sourire
, quand la cruauté des hommes enfonce dans les cœu
te et vaine tradition lyrique de « l’éternité de Rome ». Mais il sait
sourire
dignement du grotesque du petit monarque italien.
cci di Calboli dont M. Jules Claretie vient de préfacer les Larmes et
Sourires
de l’émigration italienne (1909). 19. L’Art et
e noieront dans la douceur de la chair des roses : sur ses lèvres, le
sourire
aura le trouble presque pâmé, comme le cœur ouver
vouée M. Gaston Deschamps, écrivain léger et dont les jugements font
sourire
. Ce critique n’a aucune autorité parmi nous, car
isi Pico sera utile. Quelques-unes de ses « sources » pourtant feront
sourire
, Larousse, Bouillet, et même Paul Albert et Demog
ons chapitres d’histoire littéraire, et qui pourrait nous empêcher de
sourire
à ouïr Verlaine dénommé « le chef de l’Ecole déca
cette minute, j’ai un frisson. Tout à coup son bras s’abaissa ; et il
sourit
: — Bell’uomo ! dit-il. Cela m’ennuie de vous tue
sion de lui présenter son ami le vicomte de Gardanne. M. di Baiano me
sourit
fort gracieusement et me tendit la main. Il s’ass
ré sur elle. Et pour ce qui me regardait, cet homme du monde au léger
sourire
, aux propos d’une si fine politesse, ne méditait
ffreux bandit pour me faire disparaître de la surface de la terre. Je
souriais
maintenant de mes inventions de la matinée. Le cr
ccueillir les plus jolis rêves. IX Le matin, en m’éveillant, je
souriais
à la vie. Je me mis à la fenêtre, tout enchanté d
s… Mais une portière s’était soulevée, et le marquis apparaissait, un
sourire
bienveillant sur les lèvres, la main tendue. Deux
m’inclinai donc, jouant mon rôle de mon mieux, et avec, comme lui, un
sourire
d’homme du monde sur les lèvres, et en remerciant
la société, l’approuvant, lui venait donner son assentiment, avec ses
sourires
mondains et ses propos médiocres. Nous nous aimio
s quelque maison amie. Toutes les expressions de son visage, tous ses
sourires
, comme toutes les nuances de sa voix, maintenant
cates, tendres, roses, pudiques. Nous naviguions dans le ciel et nous
souriions
d’extase et de félicité… Ma souple et gracieuse L
institutions, il n’a pour les défauts et les péchés des hommes qu’un
sourire
indulgent de philosophe. Les ouvrages de M. Chled
ns, de la chair et de la pensée, se trouvent exaltés. Et lorsqu’il ne
sourit
pas amèrement avec des satires telles que le Géan
spères. Lorsque je passerai dans tes murs, les enfants, Si je leur ai
souri
, bondiront, triomphants. Reproduisant mon geste,
’Enchanteresse, toute blanche, là-bas, au bout du voyage, et qui vous
sourit
du seuil de la mer… Vous ne songez qu’aux palais
esque sans accent. Et ses yeux, soudain, ont cherché mes yeux. Elle a
souri
. Puis, très vite, elle s’en est allée. III. Un
ourir doucement, bien sage, bien calme et avec, aux lèvres, un gentil
sourire
… De quoi aurait-elle eu peur ? Le ciel l’attendai
a l’amusait ! La nuque au dossier du fauteuil, les yeux mi-clos, elle
souriait
, surprise et ravie. — Vos baisers, soupirait-elle
ages roses ! XVI. L’épisode de Paolo et de Francesca Bravant le
sourire
du lift et des caméristes, je m’étais, au sortir
outes les splendeurs du monde ! Vous avez vu le temple illustre où le
sourire
d’Athéna Polias dort, éternel, dans l’ombre des c
presque indifférence de ses gardiens actuels. C’est eux qui l’ont, le
sourire
! On a parlé des privautés du duc de Morny ! Un a
ie et la culture. Mais il n’ignore pas que les Muses gardent quelques
sourires
pour ses humbles travaux. Il sait les limites de
olitaine et de non moins amusants cortèges où on était tout étonné de
sourire
franchement d’un réalisme plus ingénu que caricat
ntaigne et Ronsard, qui sont inimitables et qui le resteront ? » Elle
souriait
, ajoute le critique, de ces gens qui corrigent le
sont pauvres ; dis-moi pourquoi c’est lui que je veux, lui qui ment,
sourit
et trompe ? Je te dis ces paroles allant par les
es paroles allant par les jardins, par la colline ; et de loin la mer
sourit
parmi les myrthes et les oliviers, tandis qu’une
paroles ardentes qu’elle chante ne lui troublent le cœur : mais elle
sourit
, si pure, que je pleure si je pense à ce que je f
document, rédiger une biographie plus complète du Giorgione. Ceux qui
sourient
de la partialité de Vasari ne seront pas étonnés
r, soit la nuit. Carlo est naïf. J’avais bien remarqué que Barbara me
souriait
sans motif, mais, n’ayant jamais été l’amant d’un
aints peintres et sculpteurs. Barbara lui adresse des œillades et des
sourires
, Emilia lui répond et lui demande un rendez-vous,
autres armes que la gentillesse et la grâce. Je devinai sa pensée, au
sourire
avec lequel il me remercia de mes exhortations. A
ne d’étonner les sociétés les plus illustres. Aussi, Angelo R… fit-il
sourire
en affirmant avec condescendance que le jeune Bar
eure est venue de faire tomber le masque impénétrable dont l’ironique
sourire
cachait une figure d’humanité profonde et vraie.
ucles brunes, les lignes des joues, la suavité des yeux, le charme du
sourire
. Il me procure les rêveries qui empêchent de trop
mine par la victoire des bambins. Cette scène arracha un mélancolique
sourire
à Giorgio, et lui évoqua, sans doute, Castelfranc
musa, mais que je condamnai. Ils n’estimaient d’elles que leur corps,
souriaient
de leur intelligence ou en déploraient l’inutilit
agnait jusqu’à la porte et nous nous tenions longuement enlacés… Elle
souriait
, elle était heureuse et, quand je parvenais à vai
le comprends : elle l’a voulu… c’est une femme qui, d’un regard, d’un
sourire
, transforme un lâche en héros, un timide en assas
t la mélancolie des nostalgies qui ne s’avouent pas. M. Guido Gozzano
sourit
avec une tristesse des plus touchantes. Il aime t
afarde, démesurément large, n’est pas belle, et, sans l’énigme de son
sourire
, serait presque répulsive. Les yeux sont en contr
baine ? N’est-il pas à craindre plutôt que Celle dont le « mystérieux
sourire
» a suscité un tel débordement de littérature mêl
utes vulgaires, communes, canailles. …………………………………………………………………………. Le
sourire
de la Joconde est une expression inexacte et cons
acrée. J’ai devant moi la grande photographie de Braun, la Joconde ne
sourit
pas, des lèvres du moins. La bouche est la plus f
plus fermée qui ait jamais été peinte. Voyez, au contraire, comme le
sourire
du Saint-Jean se trouve caractérisé, comme il rem
e, mais immobile. Mettez la main sur les yeux, et cette impression de
sourire
disparaîtra radicalement. Le regard sourit, lui,
x, et cette impression de sourire disparaîtra radicalement. Le regard
sourit
, lui, comme celui des chats, mais dans un sens to
des chats, mais dans un sens tout à fait différent de l’ordinaire, il
sourit
à une pensée et non au spectateur à qui elle oppo
t, à Giseh, d’avoir retrouvé, sur la face colossale du Sphinx ce même
sourire
du regard de la Lise : étonnement un peu superfic
ux qui seraient curieux de déchiffrer scientifiquement l’énigme de ce
sourire
et du charme ambigu de la Joconde, fille de l’int
ité, qui, pour regarder la vie avec des yeux sceptiques, avec un égal
sourire
de tous les instants, ne se révèle pas moins asse
à ma voix. Ah ! le triomphe de son « ennemi » ne lui déplut pas et il
sourit
en murmurant quelques mots.
janvier 1914, p. 401-406. La Joconde (Le Figaro, 3 janvier) Le
sourire
de la Joconde a fait surgir toute une littérature
rait de l’inouï et du fabuleux. Mais c’est surtout l’expression et le
sourire
qui sont étranges. Quand on s’arrête devant ces f
ires, les beaux phraseurs ont pu jaspiner à loisir sur l’Énigme de ce
sourire
. Ont-ils jamais compris que ce mystère réside tou
que ce mystère réside tout entier dans le désaccord de la bouche qui
sourit
et des yeux incomplets, aux paupières glacialemen
e numéro de Comœdia, une Joconde avec des sourcils et qui a perdu son
sourire
. Mais il se trouve ainsi que le véritable créateu
Mais il se trouve ainsi que le véritable créateur de cet énigmatique
sourire
, qui inquiéta tant de générations d’esthètes, fut
de frapper à mort l’Empire Russe. Je visai au cœur, mais — l’empereur
sourit
avec amertume — lo presi nel culo. » Voici des a
sachant méprisé, il exigeait qu’elle lui expliquât les causes de ses
sourires
ou de ses tristesses. Il lui jetait, aussi, bruta
chez lui, dans une chapelle vouée au culte de l’Idéal ! Et Wellseley
souriait
en caressant sa large barbe d’or ! * Obéissant à
a laissa retomber sur les genoux de la jeune femme, que ce manège fit
sourire
. Le bras se posa avec plus de naturel et de molle
ommencer le nocturne qu’il achevait. — Ce nocturne, fit-elle, avec un
sourire
plus délicat qu’une expression de mélancolie, ce
abandonné, pour un jour ou deux, ses forêts. Au-dessus de ce groupe,
souriaient
, dans leurs cadres, des portraits d’ancêtres. — A
ce tableau, il est fort réussi, ma foi ; je dois le reconnaître. Elle
sourit
, et songea à son portrait véritable. — À propos d
Frappé, en effet, à trente ans, au moment où la vie et la gloire lui
souriaient
, d’une attaque de paralysie, causée par ses excès
is » (66). Léonard ne mentionne l’Ancien Testament que deux fois pour
sourire
du temps et des mesures spécifiés à propos du dél
peintre mystérieux entre tous, de celui qui a donné à ses bouches le
sourire
du grand sphinx, à ses yeux des escarbouclements
n vient nous parler de « la ronde orgiaque des empereurs », cela fait
sourire
. Cela fait fort bien d’ailleurs sur la couverture
vivre est une tâche écrasante. C’est un pessimiste. Il ne fait guère
sourire
que les enfants. Le mouvement, dans ses œuvres, e
e saurait égarer, comme le guerdon suprême dont l’accueil final et le
sourire
récompensent les meilleurs et les plus grands. Le
elle, emplie Du fort envol égal des anges. Ses yeux priaient, et elle
sourit
. (Je vis son sourire.) Mais bientôt leur sentie
nvol égal des anges. Ses yeux priaient, et elle sourit. (Je vis son
sourire
.) Mais bientôt leur sentier Fut vague dans les sp
intes des doigts ressemblent au travers à des fleurs roses : Vos yeux
sourient
le calme. Le pâturage étincelle et s’obscurcit So
sée de la Mort, — Ah, Vie ! et ne dois-je avoir de toi à la fin Aucun
sourire
qui me salue, et nul enfant que celui-ci ? Vois
vis comica, que l’Anglais offrit largement à ses personnages. Saül ne
sourit
jamais. Il n’a jamais l’emportement sombrement jo
ai besoin de soldats ! » Il n’a pas le vague espoir de Macbeth, ou le
sourire
amer du philosophant Hamlet. Saül est une âme en
. Mauclair : « Le Salon des Artistes Français. » — M. E. Pilon : « Le
Sourire
de Paris : les Fenêtres fleuries. » Échos. Lé
te et vaillant compagnon était un homme trivial à force de vanité. On
sourit
de ses vantardises continuelles : « Il est le plu
aires sa silhouette très fine, très noble, très triste même malgré le
sourire
perpétuel des lèvres aristocratiques, ou à cause
gré le sourire perpétuel des lèvres aristocratiques, ou à cause de ce
sourire
indéfinissable des ironistes qui sont presque tou
n est venu plus léger : Ce monde où le poète est comme un étranger Te
sourit
: laisse là les ennuis de la veille ; Chasse l’af
s salons parisiens, où l’on traite des belles-lettres avec un éternel
sourire
, et où l’on songe beaucoup à la croix qu’on aura
résenté comme un ambassadeur auprès d’un souverain tout-puissant : un
sourire
, un mot aimable, voire une boutade de Voltaire, é
et complaisant, promenant à travers l’Europe galante la grâce de son
sourire
perpétuel et de ses manières élégantes. Sans dout
i-même qu’une splendide erreur ? « C’est dans l’absolu divin que doit
sourire
la trinité de sa Joconde, de son Christ et de son
itoyen, l’homme point en lui, l’homme qui aime le beau, la nature, le
sourire
des vierges, le soleil, l’azur, la mer, les moiss
Ainsi se succèdent dans ses strophes les paysages et les marines, le
sourire
du printemps et la mélancolie rêveuse de l’automn
cia Bigo. Du Sodoma, c’est une Pietà superbe ; de Luini, une femme au
sourire
franc, au regard profond, à la chevelure étoilée
s égaux : il peut les mépriser, il peut regarder leurs œuvres avec un
sourire
indulgent, comme les produits d’imaginations mala
voix mélodieuse, continuaient à le regarder, hébétées, avec un vague
sourire
d’espérance. Ce fut Stérope la plus hardie : s’av
ommet de la falaise. — Vous vouliez des baisers ? — reprit-il avec un
sourire
calme.— Où sont donc vos hommes des bois, les Fau
moi retourner à la plage. — Il ne me voit pas, murmura-t-elle avec un
sourire
désolé. — Laissons-le retourner à la plage. Heurt
goûté l’amour, Orphée ? Dis. As-tu quelquefois goûté l’amour ? Orphée
sourit
et répondit non d’un signe de tête. Mais ses yeux
re ; et quand elle se trouva devant Stazia, celle-ci hocha la tête et
sourit
d’un air de dédain, puis elle se retourna vers Or
is il est probable que M. d’Annunzio aurait continué sa route avec ce
sourire
olympien qui est l’empreinte indéniable du génie,
’absurde, sa vie et sa croyance. Quelle leçon et comme cela apprend à
sourire
des gens qui s’apitoient confortablement sur la m
es de la presse sceptique. Rien n’est parfait : la tragédie même fait
sourire
, en ces temps de malveillance ! Les manuscrits
de jeunesse en fleur rayonne une blanche lumière. Et la mère vient et
sourit
au bonheur charmant de ses filles. Aligi, le frèr
attentivement le mouvement des lèvres, répondit « non » par signe et
sourit
malicieusement, tout content d’avoir vu ce que so
œufs et du lard, qu’une balle vous traverse la calebasse ! Zio Félix
souriait
toujours ; il tira sa tabatière de corne que ferm
i. Alors le brave homme et l’enfant s’abandonnèrent à leur joie : ils
sourirent
, se penchèrent sur le mur, sifflèrent, commencère
nvahis d’une joie profonde. Zio Félix surtout se sentait heureux : il
souriait
sans savoir pourquoi, il pensait au jour où Antin
Et puis, à dire vrai, je crois qu’il n’en a pas… Antine eut un léger
sourire
: il croyait, au contraire, qu’en ce moment son p
Méfie-toi, mon petit lis, crois-en Zio Pera. Elia le laissa dire. Un
sourire
vague, triste, errait sur ses lèvres encore fraîc
mine tragique ou sublime pour répondre aux bravos déchaînés, avec un
sourire
étalant les dents blanches ou bien la bouche en c
ns l’éclosion d’une rose, dans la décomposition d’un cadavre, dans le
sourire
d’un enfant et dans le hurlement d’une tigresse e
it forcer son talent ; c’est de toute évidence. Rarement toutefois le
sourire
fut plus obstinément réfractaire à l’invitation d
la photographie du sculpteur Lucas : « yeux vides et sans expression,
sourire
qui n’est qu’une fade grimace, oreille affreuse,
ses ailes : étranger à la vie organique, sa bouche ne connaît que le
sourire
et la parole, il n’a pas d’âge, et, sauf sa subor
tre jugé. Je comprends la puissance de ces représentations dont l’Art
sourit
. Ce qui est resté le plus profondément gravé dans
une enfant irritable et désarmée aussitôt, incapable de feindre ; ses
sourires
, ses colères, tout est spontané, tout est vrai co
aviateur qui allait mourir en triomphant. Un héros anglo-saxon aurait
souri
de dédain. Le héros latin avait accepté l’offrand
ret : tout est mis en évidence par son pinceau précis et coloré : les
sourires
, les regards, les manières, les cajoleries, les m
poque les hallucine tellement qu’ils n’ont plus osé railler et que le
sourire
s’est figé tout de suite sur les lèvres de leurs
t jamais le droit d’émettre le moindre jugement esthétique sans faire
sourire
les véritables intellectuels, ont protesté au nom
malheureux qui n’ont su plaire que trop tard, quand presque tous les
sourires
étaient déjà distribués. Si, au lieu de Sagesse (
’eussent frappé dans son enfance au-delà de la mesure ordinaire : les
sourires
des femmes et le mouvement des grandes eaux. Et p
désert la chair brune et délicate et les cheveux de femme, et dont le
sourire
énigmatique nous fait saisir quelque chose qui dé
ns du plus vieux maître d’autrefois, comme à son principe initial, le
sourire
insondable, toujours accompagné de quelque chose
ce singulier gentilhomme de grands chemins qui parcourut l’Europe le
sourire
aux lèvres et « la canne à la main ». Art. Le
vorables et à l’habileté d’un ministre dont le masque de bourgeois au
sourire
fourbe apparaît toujours derrière le visage d’une
e n’est plus là de l’imagination, mais une chose vraie et vivante. On
sourit
devant ces ruses de femmes déjouées par la roueri
ons montrer que c’est là, sur cette terre de délices, au milieu des «
sourires
infinis de la vague » tyrrhénienne, qu’Homère a p
dans les trous creusés par les dents voraces des temps, l’éclair d’un
sourire
ironique, la réflexion, le clin d’œil du metteur
uissante et précise, est digne d’un poète philosophe nouveau qui peut
sourire
de tous les bavardages des journalistes, de leurs
es nymphes, des petites Dianes adorables. En elles, tout est grâce et
sourire
; le visage malicieux est aimable, les mines sont
adorais. Il me semblait que j’étais assis dans sa chambre, qu’elle me
souriait
d’un air de contentement plein de promesses, et q
de temporiser… Quand elle parut, je lui souris ; elle répondit à mon
sourire
, puis elle rougit et disparut… Maintenant, chaque
nant, chaque matin, je m’asseyais sur le bord de ma fenêtre et je lui
souriais
. Au bout de quelques jours, elle fit, en me voyan
sais : « C’est elle, c’est ma belle Psyché, celle qui chaque matin me
sourit
! » Près du pont de Chiaia, comme le trottoir est
ne, elle ne songea même plus à me faire la mine. Elle recommença à me
sourire
, et il me sembla que ses yeux étaient à son insu
ivait un mot que je prononçais d’une façon qui l’amusait ; alors elle
souriait
délicieusement. Elle avait retrouvé ses esprits.
truosi, n’est pas fâché, en sortant de ces deux livres, « de jouir de
sourires
et qui ne sont pas sur des lèvres de succubes ou
aine il n’existe aucun degré ! VIII. — Dans ses yeux et dans son doux
sourire
, l’âme, comme sur deux balcons, se montre, bien q
que lui coûtèrent les boucles, Casanova vit s’éclairer d’un charmant
sourire
des lèvres et des yeux qui l’intéressaient ; il a
e sacrifice s’accomplit au quatrième acte, tandis qu’Olga triomphe et
sourit
au bon génie de l’adultère… Il n’y a pas besoin d
signe par : Votre petite amie, ou elle termine par cette phrase, demi
sourire
, demi reproche : « Bonsoir et dormez mieux que mo
étreinte par lui, expectore des fleurs ; puis une autre grande femme
sourit
, la robe parée des mêmes fleurs ; ensuite trois g
n effort du cerveau, c’est-à-dire une puissante matrone qui aurait le
sourire
de l’Antinoüs. Plus on pénètre dans cette intimit
recueil de nouvelles qui ont le pouvoir d’amuser, de vous arracher un
sourire
, de vous faire admirer en M. Ojetti un observateu
rmis à la France, qui date du temps de Louis XI, d’avoir pour elle le
sourire
indulgent d’une aïeule. Tome CXI, numéro 415,
aucoup plus long que moi-même ! s’est écrié le vieillard, avec un bon
sourire
plein de philosophie. Quant à moi, il y a deux an
février 1906, p. 340-343. Gênes I L’aube fraîche d’avril a
souri
sur les monts Et scintille en saphirs aux arêtes
aise tout entière, l’âme délicieusement fautive de ce bon vieux temps
sourit
et gronde dans ces pages, écrites, comme l’auteur
cts humains qu’il compose pour nous dans son style léger et fort ; il
sourit
assez amèrement même, et au fond de son élégante
eloppent, en rythmes doucement brisés, des sentiments de tendresse où
sourient
de charmantes images. M. Alberto Tarchiani se rév
s comme ce professeur désabusé qui aime l’amour et qui cache, sous le
sourire
chrétien, un détachement si profond et désespéré
it, et je sais que son activité, en ce moment, a le don de vous faire
sourire
. Vous voyez toujours le romancier à travers l’avi
les clartés de la nature. C’est peut-être (M. de Régnier voulut-il en
sourire
ou s’en défendre), c’est peut-être ce Tito Bassi,
avait éveillé ses sens, la caresse des mains, le regard qui parle, le
sourire
qui promet les lèvres, les lèvres qui promettent
nfants ignares, quand nous le croyons plus calme et plus confiant, un
sourire
amer et farouche plie ses lèvres, dès qu’il pense
ée et, en somme, « massenétisée ». Les fugues du Requiem suggèrent le
sourire
. Ailleurs, dans Othello et même dans l’éblouissan
s toutes ses délices, cette chose insaisissable, impalpable, lumière,
sourire
, poésie qui est la Grâce, Kharis, comme les Grecs
ouver le régime juste qui convient à ces terres slaves « nées sous le
sourire
de l’Italie », suivant la charmante expression du
entraîne avec lui Attilio, et dans un de ces élans qui peuvent faire
sourire
ceux qui sont en dehors de la folie amoureuse, le
t souvent jusqu’à la poésie. Il y a dans Cicognani un observateur qui
sourit
pour cacher un moraliste qui voudrait éclater et
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