ème ciel. IV. — Voici la succession des cieux : Lune, Mercure, Vénus,
Soleil
, Mars, Jupiter, Saturne, étoiles et le cristallin
oile soir et matin, comme la science par la parole et par l’écrit. Le
soleil
et l’arithmétique servent à tous et l’œil ne peut
e idiome terrestre. V. — Dissertation symbolique sur la révolution du
Soleil
: « Ô ineffable sagesse, régulatrice universelle,
dans l’histoire, puisqu’elle n’a jamais pu élever un temple au grand
soleil
, mystique d’une essence spéciale, puisqu’il invoq
t un philosophe, il ne dirait pas que son commentaire sera un nouveau
soleil
destiné à remplacer l’ancien, le catholicisme rom
x l’homme se relève, et qu’il exalte sa terrestre forme de vie que le
soleil
gouverne, et que plus haute il la rende à ses fil
les attitudes du philosophe devant la nature merveilleuse des pays du
soleil
, de ces « pays méditerranéens », qu’il voulut ché
rande, sur la mer, assis sur un rocher à pic. C’était vers coucher du
soleil
. Il me rencontrait si souvent qu’il me reconnut t
ontraient à la pointe Santa Fortunata, toute rouge dans le coucher de
soleil
. Il dit : « Par là venaient les Sarrasins pour pi
rs la joie. C’est la Saint-Jean, le jour où, selon les Phéniciens, le
soleil
au paroxysme de son amour embrasse la Terre. Ces
emble cerner d’une auréole sinistre le jeune homme qui ne voit pas le
soleil
, qui n’entend pas le chant ensoleillé, et qui lai
noces. Chacune porte sur la tête une corbeille remplie de blé, or et
soleil
; au milieu du blé, symbole de l’abondance, est u
ix et les souhaits de l’abondance. Alors, par la porte ouverte sur le
soleil
, entre le souffle de l’Infini, la volonté de la m
sont plusieurs, ils ont tous la faux. Ils sont fous, ils sont fous de
soleil
et de vin, de mauvaise envie et d’infamie… Ils ve
e, hurle contre la porte fermée. Les moissonneurs, ivres de vin et de
soleil
, fous de mauvaise envie et d’infamie, s’abattent
x contre le mystère de la porte close. Ils veulent la belle proie. Le
soleil
et le vin, les deux feux immenses des terres méri
eté du foyer contre l’opprobre des contacts impurs et atroces sous le
soleil
flamboyant, sur le champ à peine moissonné… Alors
e la croix sur le seuil et ouvre la porte aux hommes ivres de vin, de
soleil
, de mauvaise envie et d’infamie… Et la houle form
aient sa venue, appuyés au mur de la tanca, qui dominait la route. Le
soleil
était couché. L’étrange et vaste paysage s’endorm
gement dans la sauvagerie de ce paysage sarde. Aux premiers rayons du
soleil
, les chaumes parurent se changer en grand tapis d
s poulains s’ébattaient, hennissant, frémissant, la croupe luisant au
soleil
; et leurs yeux reflétaient la splendeur jaune de
Et Antine continua à s’ennuyer, à s’assombrir. Il se levait quand le
soleil
était déjà haut, et passait presque toute la jour
ient à l’ombre courte des maquis et des murs. Seulement au coucher du
soleil
le souffle frais du fleuve montait et se répandai
e nuit, il plut, et le fleuve grossit, trouble, livide. Mais quand le
soleil
reparut un charme indicible s’étendit sur la tanc
ssait avec ses feuilles pointues lavées par la pluie, étincelantes au
soleil
; mais la menthe fleurissait encore et mettait so
’à la chapelle de saint Costantino, posée sur les monts où le soir le
soleil
disparaissait comme un énorme diamant. — Saint Co
se baigner ? — pensa-t-il, déçu. Tout à l’heure l’eau sera froide. Le
soleil
était couché ; la splendeur du ciel rouge orangé
l atteint les hauteurs d’une véritable inspiration cosmique et dit au
soleil
: Ô Soleil, tu n’es pas éternel — ni seul ! — e
s hauteurs d’une véritable inspiration cosmique et dit au soleil : Ô
Soleil
, tu n’es pas éternel — ni seul ! — et aux nébule
s est d’une grande beauté : La terre fumait : elle levait contre les
soleils
couchants des profils frissonnants et, dans des e
oir contemplé, sans chagrin, les splendeurs augustes de la Nature, le
soleil
qui se répand partout, les astres, l’eau, les nua
êtres au profil jupitérien. Les yeux fermés il voit dans son sang le
soleil
. Aussi son idéalisme a-t-il horreur du mystère e
i le caractère de ce poète et la beauté de son œuvre. Il est, sous le
soleil
méditerranéen, des petites villes champêtres et o
étiques, les Élégies parisiennes, la Beauté de Paris ; nous lirons le
Soleil
natal. Un amour serein de la vie et des félicités
ombés d’une bouche humaine, éclaire, embrase, embellit tout, comme le
soleil
qui luit dans les cieux, et soulève les âmes les
de ce merveilleux enfant du Seigneur que Dante salua en le nommant :
Soleil
, a été accomplie par un des plus fervents néo-cat
tiennent plus ou moins de réminiscences, que, par exemple, l’Hymne au
Soleil
soit imité de Léonard, que, dans l’Isolement, il
le sa jeunesse lorsqu’il s’éloigna du charme des vierges dansantes au
soleil
du printemps, lorsqu’il ouvrit son âme aux ardeur
lui, l’homme qui aime le beau, la nature, le sourire des vierges, le
soleil
, l’azur, la mer, les moissons flottantes dans les
sir, de la beauté. Depuis, un lourd cauchemar a hanté les esprits. Le
soleil
a été banni des temples chrétiens : le Dieu cruci
les offices secrets ou les occultes messes mystiques : c’est en plein
soleil
qu’ils cultiveront, voulant en boire et faire boi
l’apothéose d’un Paris transfiguré et glorifié, saisi, au coucher du
soleil
, à l’heure de cette lente invasion des rues et de
, cette humble forme d’art, qui, même dans sa gloire éphémère (car le
soleil
la décolore, la pluie la mouille et la macule, le
l ne vaudra par lui-même, et l’individu prouvera sa dignité, comme le
soleil
, par son éclat et sa chaleur. Une pareille énonci
losophe italien a découvert la théologie naturelle. Pour le Vinci, le
Soleil
est un vicaire de Jésus-Christ beaucoup moins con
pour blâmer ceux que veulent louer et adorer les hommes plutôt que le
Soleil
, ne voyant pas, dans l’univers, un corps aussi ma
euve qui n’est pas géométrique, Épicure de méconnaître la grandeur du
Soleil
: il ne critique que des observations, parce que
ontraient à la pointe Santa Fortunata, toute rouge dans le coucher du
soleil
. Elle lui demanda s’il pensait rester à Sorrente.
-il dû tomber en admiration devant ce pêcheur napolitain, dressant au
soleil
, sur la proue de sa barquerolle, son jeune torse
raiment stupide pour s’intéresser à un feu follet qui passe, quand le
soleil
chaque jour nous éblouit ! § Le lecteur a dû épro
i fait demeurer l’âme dans la prison du corps, sans trop de peine. Le
soleil
ne luit que pour montrer à l’œil de l’homme cette
us sage formule de ses libertés. Après lui, il n’y a plus de place au
soleil
de Dieu pour aucune inquisition ni de Torquemada,
lumière indistincte : ciel encore brûlé par le
soleil
disparu… Corrado Govoni : Gli Aborti, Taddei-
onne en aumône, semblables à un dimanche en province, semblables à un
soleil
hivernal qui éclaire du vin sur le seuil d’une po
passé revit dans ma mémoire ; La place de Saint-Marc éclate en plein
soleil
, Et j’hésite un instant à fouler tant de gloire.
appliquée à l’extérieur des édifices et, dit M. de Foville, « sous le
soleil
de ce climat, ces trompe-l’œil ne semblent plus d
i haut que, regardant de là vers le bas, À peine pouvait-elle voir le
soleil
. C’est dans le Ciel, à travers L’Éther, comme u
arla, comme Les étoiles quand elles chantent dans leurs sphères. Le
soleil
était, alors, disparu ; la lune annelée Était par
e le verre d’un sablier. Au profond des croissances visitées par le
soleil
la libellule Est suspendue comme un fil bleu lâch
mes devant tant de souvenirs de beauté et de force épars sur l’île du
soleil
. Dans quelques sonnets, réunis sous le titre Sone
n fais pas, je suis convaincu d’être plus menteur qu’un Parthe, et le
soleil
n’est pas levé encore que je demande mon pupitre,
à l’aube, comme vers une bataille : Il arriva le premier. Contre le
soleil
il se leva, la grande tête droite, et le tumulte
re 1908, p. 253-273 [253-257, 262, 266-273]. Nue, la vérité, comme le
soleil
cru, devient invincible puisqu’elle aveugle. Vêtu
fesser : aux notes de son édition du Nouveau Testament, il dit : « Le
soleil
illumine le monde, pourquoi n’en serait-il pas de
semblable à la vie des hommes, la Ville d’Orient, luxurieuse dans le
soleil
et sous la lune et les étoiles, qui dresse vers l
près mystiques, la Levrette du firmament, les Perdrix impossibles, le
Soleil
moraliste dialogueront et ce sera pour dire l’ant
marmonnent et se lamentent comme des mendiantes lasses ; le henné du
soleil
roussit la chevelure des étoiles ; les routes tra
asseoir les fillettes du port, Dont le teint est fardé d’embrun et de
soleil
Et le corps assoupli par l’audace du vent. Des gr
amment aux parapets D’où l’on voyait déjà, sur l’horizon grisâtre, Le
soleil
émergeant s’embrouiller aux mâtures Parmi la rous
à ses tableaux d’épouvante un peu de la couleur et de l’éclat que le
soleil
de la Riviera devait jeter sur le charnier gênois
de nuit, puisque ses protagonistes méprisèrent « le mouvement que le
soleil
prêterait à la lagune avec ses scintillements, to
eauté ! Laisse tomber les jours, puisque tu les fécondes ; Laisse les
soleils
fuir, laisse mourir les mondes. Je te dirai cela,
a monture, vous pouvez renoncer à savoir l’heure autrement que par le
soleil
; si je donne à un charpentier un fer de hache sa
iolent et superbe ; c’était un fruit poussé au bord de la mer sous un
soleil
de feu ; c’était le sentiment royal, effréné, qui
terrasse, menaient leur existence quotidienne, le ciel était pur, le
soleil
rayonnant : mais tout cela me paraissait triste e
e réfléchissais donc, assis devant ma fenêtre, tandis que l’ardeur du
soleil
décroissait peu à peu. Cependant, cinq heures app
aux arbres de la Villa Nationale étaient enveloppés par les rayons du
soleil
baissant. J’étais nerveux et je cherchais à le ca
llant, je souriais à la vie. Je me mis à la fenêtre, tout enchanté du
soleil
et des colombes dans l’azur. Mon naturel, avec so
e. Je me sentais l’âme légère. J’eusse envoyé des baisers au rayon de
soleil
qui glissait dans ma chambre, teignant toutes les
étendus sur quelque promontoire, contemplant le spectacle sublime du
soleil
couchant sur la mer, Lina devenait pâle, elle me
s promenades, des ascensions dans la montagne. Nous marchions sous le
soleil
, joyeux de ses chauds rayons qui nous épousaient.
croisaient dans le sentier. Nous montions, nous avions chaud, le rude
soleil
nous caressait, nous sentions sous nos pieds avec
gardaient de loin, stupéfiés ; les tas de chanvre resplendissaient au
soleil
d’août, au sommet des piques des cordiers. Le sil
ébarque Ulysse se trouve en un point de l’île « où sont les levers du
Soleil
et la maison de l’Aurore31 ». La première express
de radeau flottant qu’elle me fit un soir de novembre 1904, après le
soleil
couché, lorsque, du haut des collines de Marina d
île, cet ensemble est à la lettre tourné vers l’aurore et le lever du
soleil
. Les marins antiques préférant les plages à échou
« Tout le jour, la nef voyage sur la mer ; jusqu’après le coucher du
soleil
, et l’heure où les chemins s’emplissent de ténèbr
e le monde entier de ses eaux tumultueuses, et qui, à l’endroit où le
Soleil
se couche dans ses ondes, baigne les régions habi
le texte, des hommes enveloppés de ténèbres et de brumes : jamais le
soleil
ne les éclaire de ses brillants rayons, ni quand
de l’Occident, celles qui baigne le fleuve Océan, ne voient jamais le
soleil
. En ces régions déshéritées, la trajectoire de l’
e de l’astre passe au-dessous de l’horizon, elle est souterraine ; le
soleil
s’emploie à éclairer non pas les Vivants, mais le
bien montré auparavant : Trois fois, pour Ulysse et son équipage, le
soleil
s’est couché sur l’horizon de Circé, et trois foi
savons où est le Nord, où est l’aurore, ni où disparaît sous terre le
soleil
, ni où il s’élève au plus haut. Que faire en un p
uestion de ténèbres), mais sous lequel on ne peut s’orienter ; car le
soleil
lui-même reste invisible. On approche de l’Océan,
désert, une roche stérile, la bannière d’Italie y devrait flotter au
soleil
, au vent, à la tempête, avec cette devise : De ce
récieuse que partout ailleurs dans ces pays brûlés par les ardeurs du
soleil
. Les Turcs constructeurs de fontaines ont beaucou
éens, s’étend la cité indigène aux rues resserrées et fraîches, où le
soleil
trouve à peine l’espace nécessaire pour promener
la pratique de la guerre coloniale, les aguerrir contre le climat, le
soleil
, parfois aussi contre le manque d’eau. À l’heure
is, non loin des portes de Tripoli, un campement de Bédouins. Sous un
soleil
de plomb, au milieu de la chaude atmosphère de l’
ie de bersagliers. Ils marchent gaiement, presque en ordre, malgré le
soleil
accablant. Leur but est Gargarech, lieu illustré
acas, des cris, des foules, toute une jungle d’effervescences sous le
soleil
, sous ce soleil ! Heureux qui pourrait garder, da
des foules, toute une jungle d’effervescences sous le soleil, sous ce
soleil
! Heureux qui pourrait garder, dans sa fraîcheur
rits, ça ne le décourage pas trop. Il aime les roses, les couchers de
soleil
ensanglantés, l’Homme qui marche de Rodin (dont l
e dansera réellement au milieu de son cadre et que chaque fois que le
soleil
se couchera, du pont des Arts nous verrons tout P
énéalogie géographique de Circé, « sœur d’Aiétès, et comme lui née du
Soleil
qui éclaire les vivants et de Persé, fille de l’O
u’a la noblesse de promener un carrosse une heure avant le coucher du
soleil
sur le rivage de Chiaga et de Margelina. (Existe
p de voitures. L’été on va au Mole ou à Pausilipe avant le coucher du
soleil
.
la nature que ce qu’impriment à Paris des gens qui n’ont jamais vu le
soleil
de Naples réfléchi dans cette mer charmante. Le g
paraître à pied. Ainsi ceux qui n’ont pas de voiture attendent que le
soleil
soit couché pour sortir sans que leur vanité ait
février 1909, p. 452-462. 25 juillet 1896. — Dès le matin, lever du
soleil
sur Messine : une ville entourée d’un seul palais
oète eût pu tirer de cette évocation une description magnifique. § Le
Soleil
s’est peu à peu levé, et Messine nous est apparue
et terrible. § 26 juillet. — De loin nous avons assisté au lever du
soleil
sur Naples. On vante beaucoup cette vue et ce spe
ettre à la parole de ses concitoyens, s’ils n’avaient pas de biens au
soleil
. L’estimation était faite d’une manière très favo
a et une vue de San Simeone il Piccolo avec des maisons roses dans le
soleil
dénotant une grande finesse de vision et un senti
e terrienne, le sicilien Capuana, poète païen de la force du désir au
soleil
, G. Verga, rude et fataliste, Mme Deledda, tendre
nt le goût inné des Latins pour la mesure fait aussi un harmoniste du
soleil
, enseignerait le mieux quelle peinture correspond
s barbares !… Pourquoi ces créatures voyagent-elles ? Arrivé comme le
soleil
se couchait, j’ai trouvé toute la population alla
anche, je compris cela à merveille. Il faisait un temps admirable, un
soleil
d’or, un ciel bleu pâle, presque blanc, comme nou
re… Le seul droit réclamé par ce peuple, c’est le droit à sa place au
soleil
: ce droit-là, il en jouit, et ne le cédera pas.
l’autre côté des monts, chaque jour il vit se lever plus éclatant le
soleil
de la gloire pour son ancienne amie et son génére
dans le sexe maternel, apaisant la monstrueuse luxure de la fille du
Soleil
et de l’Océanide, agite les membres douloureux de
l y a ici au Palais beaucoup de chambrières avec lesquelles, quand le
soleil
était dans la constellation du Lion et celle du P
femmes ne laissent point d’y être belles sous les rayons tièdes d’un
soleil
adouci quand, se promenant à leur bras, on se pen
ptistine sont comme un couple de juments de Barbarie, belles comme le
soleil
. La Bruyère53 embellit aussi ; vraiment elle sera
au bord du Rhône miroitant, Avignon se pâme sous l’ardente caresse du
soleil
caniculaire. Gloire aux frais ombrages de Barbent
ascoli, le poète des campagnes et des hommes puissants et simples, du
soleil
, des montagnes bleues et des eaux tranquilles, éc
s) vers des appels immenses de la mer, vers l’existence exubérante de
soleil
et de rêve, sans espoirs et sans attentes, comme
La Sixtine est obscure, et ses murs mal construits : Le plus roux des
soleils
n’en chasse point la nuit ! À quoi bon s’acharner
paisible, sur les belles pierres cuites de la dominante Rocca que le
soleil
couchant tiédissait, malgré la saison avancée ? É
Bélisaire attendri. « Aujourd’hui, du moins, ils pourraient jouir du
soleil
et s’aimer librement à la lumière du jour et en p
deux amants montèrent en voiture. Quoiqu’on fût au mois d’octobre, le
soleil
dardait ses rayons sur la glèbe dont les sillons
lac minuscule et charmant. Derrière de hauts et tendres peupliers, le
soleil
perçait avec rage les ramures grêles ; hostile à
’un moulin rustique, conduit au petit temple que dorait chaudement le
soleil
déjà sur son déclin. Son fronton triangulaire sou
Emmanuele. Quand le jour baissait dans la vieille rue provinciale, le
soleil
oblique dorait un instant les méplats de ses épau
revint admirer la Déesse et la voir se dorer et vivre à la lumière du
soleil
couchant. À la contempler, il oubliait l’heure. L
passe et repasse En montre au ciel la couleur. — Ce matin l’ardent
soleil
Forçait à cligner les yeux Et mettait dans l’eau,
lambe comme une torche… § Il est charmant de sortir le matin quand le
soleil
n’est pas encore chaud, et d’errer à l’aventure d
pèce de gens dont les mœurs sont celles des êtres habitués à vivre au
soleil
. Après déjeuner, de grosses femmes dorment assise
philosophie tendre, dont les amertumes se sucrent de tout le miel du
soleil
de là-bas, préside aux gestes dramatiques de ce m
suc des plantes, mon Giorgione peignit, pendant toute sa vie, avec du
soleil
mêlé à ses couleurs. Il a su trouver, dans des ca
, tant son contentement m’amusait. Le ciel était magnifique autour du
soleil
. Les mosaïques, les marbres et les colonnes étinc
place Saint-Marc, où s’ouvrait la foire. Je m’y rendis au coucher du
soleil
. Les boutiques étaient nombreuses et bien achalan
aient d’une draperie verte le tableau que je contemplais. Un rayon de
soleil
le coupait obliquement, au moment où j’arrivais s
cia avait, elle aussi, une chair semblable à du marbre chauffé par le
soleil
. Quand je la rencontre, dans la rue, j’imagine se
en m’enlevant mes plaisirs ! Je mourrai certainement loin de mes deux
soleils
! Lucia, Alexandra ! Giorgio vous attend. Approch
Après avoir rendu compte de ma mission, je me dirigeai, au coucher du
soleil
, vers le Rialto. J’allais franchir le pont lorsqu
Venise, Seigneur. J’aurais été navré de ne pas admirer ce coucher de
soleil
, avec vous. L’air chargé de poussières d’or enric
se trouva, pendant un instant, en travers du canal et illuminé par le
soleil
. Puis, les avirons le poussèrent à quai. — Regard
s deux compères : Giorgio attendit, pour se mettre au travail, que le
soleil
inondât l’atelier. Ensuite, il exposa ses toiles
aux, un fragment de chair nue, il sortit en le laissant sécher par le
soleil
. Titian et son complice examinèrent alors les hui
r… et utiliser, comme couleurs, les flammes des charbons et celles du
soleil
. — Palma, comment sais-tu cela ? — Vous me soupço
llir par des reflets d’or sombre ? Elles les lavent et les sèchent au
soleil
, pendant de longues heures. Ne les avez-vous jama
travaillait joyeusement, en pleine lumière, aidé par son apprenti le
soleil
. Parfois, il descendait sur la place pour juger l
je le serai, certainement, lorsque j’offrirai à la divine lumière du
soleil
des nudités ternes ; quand je ne saurai plus trad
ardins ? Avec quelle nonchalance cette fleur ne s’offre-t-elle pas au
soleil
en se penchant sur une fontaine ! Aussi, avec que
femmes ! comme elles brillent, sur la pelouse bordée par un chemin de
soleil
où s’avancent un berger et ses chèvres ! Rires et
de M. Henri de Régnier ; à preuve, ce sonnet : LA CHARMILLE Que le
soleil
rayonne ou que l’autan gémisse, Malgré le midi ru
m’apprêtais à quitter Venise, lorsqu’un soir, peu après le coucher du
soleil
, Lorenzo, l’apprenti préféré de Barbarelli, se pr
as des escaliers. Elle me conduisit dans sa chambre, s’endormit et le
soleil
dora son corps… Ce ne fut ni l’orgueil d’une vict
choses naturelles… la beauté telle que la décriraient les arbres, le
soleil
, les fleurs, les eaux vivantes, les enfants et le
; comment il faut modérer les chairs, choisir les paysages ; faire du
soleil
, une couleur ! Il leur a tout appris t il est mor
1911, p. 355-359 [358-359]. En se promenant dans ces pays baignés de
soleil
, l’auteur a découvert que la France pourrait bien
de la « perfide Albion », qui semble bien posséder comme l’empire du
Soleil
Levant une odeur spéciale ; puis il donne des asp
es Princes et bien d’autres », il est devenu au Châtelet un misérable
soleil
avec des rayons tremblants en papier doré. C’est
: — Il est si doux de voir la lumière, de voir le
soleil
! est-ce qu’on ne pense pas, cette fois, à la pl
egardaient passer les vaisseaux sur le canal, un jour de jeûnes et de
soleil
… » que l’on retrouve, fort gentiment rimé, mais
ncens. Par les mourants juillets, du haut du Janicule, Alors que le
soleil
décroît sur les gazons, Suivre d’un long regard c
Tramontane très froide, un peu de goutte. « Premier froid de l’année.
Soleil
superbe. Projets de voyage à Sabiaco et à Tieli.
and, à coup sûr, qu’il n’est « illustre », Paolo Uccello, à côté du «
Soleil
» auroral d’Italie, pour me servir d’une expressi
ndit sur les glaciers énormes, dans les hyménées qui vécurent avec le
soleil
; les solennelles et petites paroles prises aux b
el et secret, dit-il, de cet abîme que ne viola point la flamme des
soleils
ou l’éclair des pioches, dans cette ronde énorme
e par l’étude de ses œuvres où domine l’amour de la couleur, fille du
soleil
. Le Barbarelli, enfant et favori de Venise, est m
u des marbres anciens qui semblent s’être dorés, en mûrissant sous le
soleil
, comme de beaux fruits. Les arbres et la prairie
fets de plein air : une Servante riant et une Vieille Femme campée au
Soleil
. Une autre étude est, je crois, antérieure : La M
l’Enfant Juif, la Rieuse, l’Enfant Malade et l’Impression d’Enfant au
Soleil
, D’abord, l’Âge d’Or : une jeune fille enlève de
ssion de portail ; — le Sportman, homme de belle santé, pris en plein
soleil
sur un champ de courses, insolemment campé, le gi
é, le gibus provoquant, le veston tendu, fouetté d’air vif, trempé de
soleil
; — l’Enfant au sein, vorace, animalement absorbé
mme une tortue dans sa carapace. Chevalier de la lune et chevalier du
soleil
ont perdu leur prestige pour des générations lect
d’un tableau exposé au Salon des Indépendants sous le titre : « Et le
soleil
s’endormit sur l’Adriatique… » Boronali s’exprima
a déclivité penchante des collines Fiesole étend ses clos parfumés au
soleil
, et moi je regardais le soir de cornaline sonner
et. Mon premier soin en arrivant à Milan est de courir à la poste. Le
soleil
, la poussière me donnait soif d’une lettre de mon
et par une large route entièrement découverte, nous étions brûlés de
soleil
et chacun ressemblait à un tas de poussière mouva
tte triste différence, c’est la misère, hideuse et pâle aussi sous le
soleil
dont elle parvient à corrompre les doux rayons. D
d’un peuple serré, chantant, criant, courant dans la poussière et le
soleil
, et la foule, qui s’ouvrait pour laisser passer l
de flambeaux luttant avec une triste impuissance contre les rayons du
soleil
dans sa force. Des femmes, des hommes, des enfant
leurs cris charmants, d’autres jouaient du violon et du piano, et le
soleil
colorait en se couchant tous les anges du frontis
courûmes à moitié, toujours poursuivis du Dôme, noyé dans les feux du
soleil
couchant, et nous redescendîmes à la porte de Rom
prends mon parti lorsque je me trouve devant le tableau des Chiens du
Soleil
. Mafarka se battant à côté de son frère Magamal,
vision charmante d’une Venise amoureuse, jeune et gaie sous un ardent
soleil
, une vraie ville d’Italie pour un amour de vingt
l’intense chaleur du jour, c’est le décor du ciel qui flamboie : « Du
soleil
en fusion, de l’or partout, en bigarrures, en moi
définitive griserie… » Qui donc s’acharnait à dénier tout pouvoir au
soleil
italien ! Sa magie ne s’exerce-t-elle pas encore
faisait frissonner : aller quérir le mystère de la vie, même en plein
soleil
, en pleine lucidité d’observation. L’auteur du Da
pour la vivacité de leurs mouvements, aux lézards qui s’évertuent au
soleil
sur les marches des escaliers de marbre. Il dével
ur la plage crépusculaire, parmi le fracas des violons, le coucher du
soleil
et l’horreur des Casinos, partie des myriades d’A
Mistral. (Redresse-toi, race latine, sous le manteau du
Soleil
! Le raisin brun bout dans la cuve, le vin de Die
r lui-même, le pauvre poète fait un dard d’or, et le lance contre le
soleil
; il regarde comment il s’élève, comment il brill
forgé son dard, qui s’appelle : Fureur, et il l’a lancé non contre le
soleil
lointain et indifférent, mais contre la poitrine
Quirite, en revenant, regardait en haut la ville carrée, éclairée de
soleil
, et il murmurait un chant lent saturnien) ; Fiè
le distribuerai à pleines corbeilles. Il sera la lumière nouvelle, le
soleil
nouveau qui se lèvera, tandis que le soleil ordin
a la lumière nouvelle, le soleil nouveau qui se lèvera, tandis que le
soleil
ordinaire va se coucher, il épandra la lumière à
il épandra la lumière à ceux qui sont dans les ténèbres, parce que le
soleil
accoutumé leur refuse sa lumière. S’il est quelqu
lienne, mais la religion qui va se lever, tandis que le catholicisme (
soleil
ordinaire) se couchera. Archéologie, voyages.
oître d’arbres le lac rayonnait, Sacré, attendant la victime promise.
Soleil
, tu étais vraiment au centre du ciel, quand Je te
etc., le tout orné d’invocations à Darwin, à la Justice, à la Loi, au
Soleil
, à Trieste, etc. Journaux et revues [extrait]
, la populace se dilatait là, et, au reflet des auréoles, mieux qu’au
soleil
des carrefours, elle prenait des entournures d’or
lottait, à peine d’hier, la blonde langueur des vieilles religions du
Soleil
. Et brusquement, voici que c’était la nuit, la nu
es. Ce n’était plus le fracas de la Rome païenne. Du dehors, du grand
soleil
, ne venait pas le rugissement des lions déchirant
t les anciens confesseurs en leur tunique de fantôme. Ce fut comme un
soleil
revenant visiter l’ombre qui le couva. Mais dans
n cœur et s’ouvraient dans les pampres roux, dans l’opulence rouge du
Soleil
d’automne. Chaque grain de raisin contenait une g
nstigateur : la soif inapaisable de l’Argolide, trop enflammée par le
soleil
et par l’extraordinaire richesse de ses entraille
, Vers les cités qu’on rêve et les jardins féconds. Déjà souffle au
soleil
une plus molle haleine, Le Printemps étincelle, e
nes-Moroses, Albâtres, cipolins, porphyres, marbres roses Qu’avive le
soleil
de reflets violets, Debout au bord du golfe, où
ain s’est amolli, Une brise légère a dissipé la brume, Et, vivante au
soleil
, la ville ancienne exhume Ses orgueilleux rempart
l’âme patricienne Des ancêtres couchés dans leur gloire ancienne… Le
soleil
s’est éteint sur les bois automnaux, Le soleil
gloire ancienne… Le soleil s’est éteint sur les bois automnaux, Le
soleil
agonise aux vitres ; les meneaux Tombent en poudr
celui de la « maladie du siècle ». Campanella, l’auteur de la Cité du
soleil
, fut un representative man, selon la parole d’Eme
l, la ville grouillante, vivante, chantante, riche en guenilles et en
soleil
, largement assise à côté de son volcan, telle une
par la douleur humaine des six siècles qui ont suivi l’avènement du «
Soleil
» du Moyen-Âge, selon le mot de Dante. Le poète R
ne surent le concevoir. Nous nous rapprochons de Dante qui l’appela «
Soleil
». Le mensonge de Celano était même nécessaire, c
cience des relativités. Nous savons que, retenus entre la terre et le
soleil
, toutes nos conceptions de ce qui est en dehors d
se inéluctablement à notre mentalité. Et nous nous arrêtons devant le
soleil
, comme devant le terminus, la borne extrême que n
s le climat seul, la splendeur d’une nature luxuriante, l’ardeur d’un
soleil
rarement voilé, qui ont entretenu cette mollesse,
ui ont sondé, avec anxiété les ténèbres et aussi la pleine lumière du
soleil
. Vous n’êtes pas seul avec un livre qui vous raco
che aux mœurs des courtisanes, si votre Théophile Gautier a dit : Au
soleil
tirant sans vergogne Le drap de la blonde qui dor
pauvre qui mourut sur la cendre en se faisant chanter le Cantique du
Soleil
Laudato sie, mi signore, cum tucte le tue creatu
une fleur étonnante. Qu’elle était belle et harmonieusement douce au
soleil
! J’ai tâché d’en donner une transcription en for
t un désir impatient vous saisit de retourner là-bas… la nostalgie du
soleil
et la lassitude de nos trop modernes capitales.
urnoyante lumière et de chaleur, fixer les derniers feux au zénith du
soleil
disparu derrière une terre déjà drapée d’un peu d
en place. Mais nous savons déjà, par d’autres œuvres, que le feu des
soleils
couchants est une gloire d’entre toutes celles de
de maîtrise parfaite où, en plein labeur interrompu sous l’accablant
soleil
de midi, une soif presque animale s’étanche, ceci
l’a décrit à la Revue des Deux-Mondes. Dans tout le rayonnement d’un
soleil
couchant reflété par le lac, une barque presque d
c’est d’une grandeur admirable ; presque tout l’espace appartient au
soleil
et à son embrasement dans le ciel et dans son ref
s choses, était avide d’éther, de ciel et de lumière, — un œil que le
soleil
fascinait étrangement, surtout aux heures magique
entrée magnifique, à la mélodie de plusieurs instruments, costumé en
soleil
, dans « une lueur capable d’espoiter la veuë la p
res aux ombres bleues où, durant le midi, les troupeaux s’abritent du
soleil
; ou la rivière avec la note farouche d’un train
rlent les bords : dans un lointain très reculé, la grande équation du
soleil
dans le ciel se pose, magistralement ; autour du
isissable toutes les perfections, c’est humanisée, chaude de sang, de
soleil
et de passion, la Déesse… Et cette figure-là, vou
M. Louis Pille sur le Temple de la Victoire à Athènes et le Temple du
Soleil
à Rome, jardins Colonna ; et c’est à peu près tou
figurée très heureusement par la tête du Divin Sauveur au centre d’un
soleil
. Enfin, quelques lueurs, plus lumineuses que cell
ndication, la promesse d’où va germer l’enchantement et la joie, — le
soleil
d’Italie aidant, et aussi des hasards heureux, à
éclosion de son génie ; mais ce sera plus encore à la nature même, au
soleil
, à la lumière particulière du merveilleux pays, a
eures, belle vue du Vésuve, dont les contours étaient éclairés par le
soleil
qui se levait derrière les deux monts. Celui qui
lac de Varèse et un mille plus haut celui d’Arona, le lac Majeur. Le
soleil
se levait environné de vapeurs. Les coteaux infér
sans routes. Il dit encore : Ainsi, divine Italie, sous ton juste
Soleil
, ou dans les ténèbres, aguerrie Et prudente, avec
eureux de leur santé, se complaisant près des eaux courantes, sous le
soleil
qui les chauffe et les fait vermeilles, qui allum
tri de limon, s’agite le couchant ; les coteaux d’un rayon modeste de
soleil
vont recevoir la gloire. Tome XCVI, numéro 3
et fastidieux, a été particulièrement aimé par la jeunesse éclose au
soleil
des réalisations il y a quelque dix ans. Ceux qui
ertilité est extraordinaire. Des pluies suffisamment abondantes et le
soleil
napolitain mettent en œuvre cette richesse du sol
inte Caruso vers l’ouest, la double ligne disparaît sous la vague. Le
soleil
achevait alors de se coucher, et la brume du soir
s sur le bord du ruisseau. Et les vêtements sèchent à la splendeur du
soleil
. « ·Après que Nausicaa et les servantes eurent ma
l, que de champs fertiles, que de collines inondées par les rayons du
soleil
, que de forêts inoffensives et utiles, que de bos
i ne l’a pas dépassée. Cet art bouillonnant de vie, rutilant comme de
soleil
jusque dans l’expression douloureuse, est bien le
e toilette et un vieux fauteuil. (En Italie, le confortable, c’est le
soleil
qui l’apporte.) Mais la hauteur du plafond et la
. Nous étions au mois de juillet, à six heures du soir, les rayons du
soleil
avaient déjà cessé de brûler la colline ; elle ét
ts, ce matin, jouaient. Aux balcons pendaient des draps, que le grand
soleil
rendait éblouissants. On entendait des servantes
nom, parce qu’elle ressemblait à la Psyché du musée — les fanfares du
soleil
me tiraient dehors. J’eusse voulu quelquefois me
e jeune fille n’est plus charmante que la jeune fille napolitaine. Le
soleil
, là-bas, tandis qu’il mûrît les fruits les plus r
ner dans ce paysage si beau, au pied des jardins du Pausilippe que le
soleil
dore, en face des montagnes de Sorrente et de Cap
on, qui exalte les poètes. M. Luciano Folgore chante : Sur la mer le
soleil
, avec ses armées flamboyantes, met en déroute les
des navires, et ils élèvent leurs bras maigres, vers la face rouge du
soleil
. Ou bien, avec M. Marinetti, c’est l’apothéose d
de brouillards, quand mon esprit sera réveillé par quelque rayon d’un
soleil
vivifiant, peut-être, dis-je, confierai-je tout c
usé de le porter plus loin. Elles se seraient fondues et déplumées au
soleil
noir de ces prunelles. Arsène Houssaye est peut-
enfante la mienne ! Morga était heureux. L’atelier des Zattere que le
soleil
inondait, et dont les fenêtres étaient ornées de
si elle était suivie. C’était un matin d’une limpidité admirable. Le
soleil
dorait les Fondamenta. La lagune gris bleu reflét
’est mon âme, ma vie que vous avez prise, s’écria-t-elle. Un rayon de
soleil
s’étendit comme un vernis d’or sur le tableau. —
souvent, sur la lagune morte, en revenant de Torcello, au coucher du
soleil
. Les gonds de la porte grincèrent. Aurora se reto
qu’une de ces feuilles volantes avait volé vers la mer : « Coucher du
soleil
vu de la passerelle. Lever de la lune ; mer de bo
villes d’Italie, très pittoresques, palais rouges, arcades rongées de
soleil
, aspects de Venise, de Sienne, choisis parmi ceux
ble de densité bleu sombre ; sur les maisons, près du canal, un jeune
soleil
s’essaie à dorer les surfaces, jouant sur les ang
du large, du frisson, des courbes d’étoffes, de la nuit qui vient, du
soleil
qui tombe, où il a pris un reflet blême et chaud
rire à Jules II : « Je suis attaché à toi comme les rayons le sont au
soleil
. » Et Ludovic, prisonnier au château de Loches, s
e de qui avait passé la lumière sereine et les illusions éthérées des
soleils
couchants d’Italie ; c’était celui que l’on connu
ne. On peut encore voir cet ange à Florence ; c’est comme un rayon de
soleil
dans l’antique tableau, froid et laborieux. Mais
, il les aurait suivies dans les rues de Florence jusqu’au coucher du
soleil
: il nous a laissé quelques-unes de ces esquisses
, où la ciselure des bords court de droite à gauche comme un rayon de
soleil
. Michel-Ange avait vingt-sept ans ; Léonard en av
ré les efforts de l’artiste, c’est Giovanni Bellini avec déjà tout le
soleil
de l’école vénitienne, c’est le Pérugin, enfin c’
ie, en Sicile. Il n’est que trop vrai que nous ayons sur cette île du
soleil
quelques préventions défavorables ; même les Ital
ement la légende, il la réduit à des proportions qui mettent l’île du
soleil
sur le pied de tout autre pays, où l’on vole et l
dans le calme ces impressionnantes et éloquentes notations. Aller du
soleil
d’Italie à la fougue du maître d’Amsterdam, de la
e la société italienne, grâce sans doute à son habitude d’attendre le
soleil
pour aller se coucher, et il savait les rendre av
es fenêtres et acquérir des stores pour protéger ses chefs-d’œuvre du
soleil
. « Mais non, on aime bien mieux laisser la foule
es fonctionnaires français, d’où il assiste au lever et au coucher du
soleil
. Puis il ajoute, et cela donne un bien curieux ap
ton parler Et vogue vers d’étranges plages. Vogue en une tiédeur de
soleil
occidental Riant aux céruléennes solitudes : Entr
irait-elle qu’à plonger en une ombre mauvaise des œuvres qui, loin du
soleil
, auraient pu nous sembler de suffisants phares sa
e Sainte-Agnès, des colombes volettent en se jouant. Du firmament, un
soleil
jeune et magnifique comme l’adolescence de l’anné
, les trompettes du Jugement dernier de l’Italie qui veut sa place au
soleil
de l’art contemporain ! L’Italie est fatiguée de
ux, sera tendre, brillante, nouvelle, pleine de silence et de luxe au
soleil
du printemps, qui est toujours le même ?… Et la v
produites par la vue du beau et de la nature : les paysages dorés de
soleil
, un lac paisible où dorment des reflets, une sour
tait le petit cimetière de Castello, tandis qu’elle-même jouirait du
soleil
, de l’amour ! Luisa ne voit que cette circonstan
’étend au fond de sa barque, livré aux caprices de la mer, offrant au
soleil
ses membres nus, il sent de son corps gigantesque
ives, pleines surtout de vieilles pierres et de tableaux, de coups de
soleil
et de ruelles ombreuses, de nature et de légendes
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