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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
avant tout extérieure et rituelle, et les profondes agitations de la société démocratique contemporaine. Ce déséquilibre expli
les pertes ; 3° La religion est le ciment indispensable de toutes les sociétés humaines, telles que nous les connaissons. Même l
rente selon les différentes classes sociales. Il paraît utile pour la société que les principes religieux soient interprétés di
gion autoritaire est indispensable pour empêcher la dissolution de la société . Il importe peu d’ailleurs que la forme de cette
ns d’individus. » Comme on lui demande un autographe, il écrit : « La société est bien gouvernée quand les citoyens obéissent a
par ce fait que rien ne le révolte comme l’idée d’injustice et que la société a été cruellement injuste vis-à-vis de lui, non s
2 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
lissent sans relâche, le mysticisme déborde de tous les côtés dans la société européenne. Vous le trouvez sous toutes les forme
uve la satisfaction de ses propres tendances, puis on le ferme, et la société poursuit son existence régulière, sans que rien s
vrosés, d’hystériques, de détraqués, de toqués qui foisonnent dans la société contemporaine, la vie sociale serait souvent trou
alades, vous travaillez à maintenir dans un état de santé relative la société moderne. » Amen ! — On se demande un peu, par e
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVII »
ues au monde. Cela n’est pas exagéré ; j’ai vu Naples en dehors de la société . Tout y était mort pour moi. La bonne musique m’e
Vestale, de Fioraventi, et la Camilla, de Paër. Si j’eusse eu ici une société comme celle de Mme Simonetta à Milan, ou de M. La
4 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
nvenance », « de raison » ou « d’argent » sont trop nombreux dans les sociétés actuelles, et l’on ne peut entièrement donner tor
l’enquête du Marzocco peut avoir un contrecoup très favorable sur la société des jeunes hommes de lettres italiens ; ils doive
ravaux. Il Militarismo (Milan, Treves), œuvre contre la guerre et les sociétés militaires, répond à un certain sentiment pacifiq
oléonienne qui compte des œuvres précieuses ; ou, dans un tableau des sociétés militaires, à citer comme une source historique l
, avril. Voyages, archéologie. Dom Guéranger : Sainte Cécile et la société romaine aux deux premiers siècles, V. Retaux, 2 v
la chapelle où il fut déposé. — Il faut ajouter que le tableau de la société romaine que nous annonçait le titre, et où nous p
ans un monde plat, utilitaire, insouciant et mou, serré enfin dans la société moderne, M. Morasso a pour le moment toute l’allu
en un mot : c’est-à-dire que M. Morasso prévoit la dissolution de la société pour l’avantage exclusif de l’individu. S’il est
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
st moins plaisant dans le monde qu’au théâtre : « Il ne brille pas en société , malgré le sarcasme si finement répandu dans ses
éduisant causeur qu’était Voltaire : « Nous passâmes, au milieu de la société , deux heures en propos de tout genre. Voltaire y
tuelle. Puisque les carrières ouvertes à l’activité d’une femme de la société ne sont point nombreuses, paraît-il, les protagon
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
à lire, et puisque la question Chiappini nous a valu ce tableau de la société du Palais-Royal, félicitons-nous qu’elle ait exis
, au poète Mœrike, à tous ces braves gens qui formaient l’élite de la société wurtembergeoise dans la première moitié du siècle
7 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
es. La tyrannie de l’usage populaire de Paris comme celle de la bonne société lui semblaient également intolérables. À quoi bon
ompagnon de la scalza. Je lui appris que, depuis leur organisation en société , Venise devait à ces jeunes gens amoureux de plai
omphante, cette victorieuse allure qui le rendait digne d’étonner les sociétés les plus illustres. Aussi, Angelo R… fit-il souri
peut leur demander, tout au moins pour l’histoire des mœurs et de la société , quelques-unes de ces informations vécues que l’é
les, lui permit d’évoluer à l’aise à travers toutes les classes de la société napolitaine. Cette mauvaise langue de Gouvion Sai
escendant de l’échafaudage, Giorgio s’éloignait seul et évitait toute société , ce qui était contraire à ses mœurs. Il ne réunis
propos du procès de Viterbe. Ce qui n’a pas été dit, c’est que cette société de malfaiteurs est d’origine espagnole et plonge
té écrite par Guendias dans ses « Mystères de l’Inquisition et autres sociétés secrètes d’Espagne ». La « confraternité de la gu
nfraternité de la guardugna » — c’est-à-dire de la rapine — était une société de malfaiteurs, qui existait dès l’année 1487, et
de en 1420. Comme ceux de la Camorra, les règlements de l’« honorable société  » — qui ont été traduits en italien par le Dr de
ces et cédaient plutôt au courant irrésistible qui emportait toute la société italienne des xve et xvie  siècles qu’à leur pro
. Nous lui empruntons les articles ci-dessous du code de la Guardana, société espagnole fondée en 1417, dont la législation est
n n’allait pas jusqu’à lui dénier toute valeur. Il est certain que la société romaine, comme toutes les sociétés antiques, repo
toute valeur. Il est certain que la société romaine, comme toutes les sociétés antiques, reposait sur l’esclavage. La servitude
ionnement de tous les services publics et privés, ils transforment la société urbaine et rurale, italienne, espagnole, gauloise
e l’Empire a remplacé la servitude à l’égard des particuliers. Jamais société ne fut soumise à des règles plus dures et moins f
le système d’après lequel l’État aurait été le créateur bénévole des sociétés professionnelles. Celles-ci, au surplus, se préoc
interdit en Bithynie, ou mieux fit interdire par Pline le Jeune, les sociétés d’artisans. Le permis fut donné, suivant le cas,
ilèges divers. L’égalité n’était point le signe caractéristique de la société impériale, qui offrait les hiérarchies les plus c
tions ne possédaient pas une organisation uniforme. L’homogénéité des sociétés n’était pas d’ordinaire totale, au point de vue p
s. Quant aux femmes, on ignore si l’entrée leur fut accordée dans les sociétés d’hommes. Celles-ci continrent jusqu’à 1 200 et 1
tions professionnelles, quelque rôle énorme qu’elles tinssent dans la société impériale, elles ne sauraient à aucun égard se co
est l’une des manifestations les plus représentatives de cet « art de société  » dont depuis deux cents ans notre génie national
s électoraux. Certes, nul plus que nous ne souhaite l’avènement d’une société où le peuple serait vraiment sensible à la Beauté
et graves ragionamenti des « Orti Oricellari », mais au milieu de la société même, épique et lyrique, violente et ordonnée, sa
8 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
histoire. C’est l’instinct révolutionnaire qui régit le dynamisme des sociétés . Le Destin vengeur est au fond de l’âme des oppri
ociales. Le Destin vigilant et impitoyable se trouve pour lui dans la société  ; il est la persécution invincible et le misonéis
et de volonté rebelle, il a crié son merveilleux blasphème contre la société . L’art d’Henrik Ibsen est Art Oratoire. Chacune d
e qu’on commence à croire aux exploits d’une vaste et peut-être riche société de voleurs. À Sienne, dans l’église de S. Clement
s pathétiques au Seigneur qui est « l’âme immortelle des deux grandes sociétés indestructibles : la famille et la patrie » ! Mai
ologue très en vue, et très moderne dans toutes ses conceptions de la société et des évolutions sociales. — La Città Terrena, d
une sorte de vision complexe, logique, impitoyablement savante, de la société telle qu’elle est, de « la vie telle qu’elle est,
on qui amena dans les salons de Metternich les plus grands noms de la société viennoise. Il y eut également concert. Sur le pro
(Page 67, en note). Le gouvernement s’oppose à l’établissement de la société commanditaire pour prêter des fonds à toutes les
toutes, par la condition des personnages, à passionner et à agiter la société italienne. Ceci se lit entre les lignes du livre
ment amélioré la situation dont on rendait jusque-là responsables les sociétés à monopole ; en vérité, c’est à l’indolence génér
osse part ; et ce sont les députés du Midi, affiliés aux innombrables sociétés qui se partagent les dépouilles de l’État, — ce s
hef de l’État et selon son bon plaisir, dans toutes les classes de la société et dans toutes les nations ; ou s’il continuerait
9 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
le plus vif intérêt la suite d’études qu’il va préparer sur la haute société italienne. Traductions Chez l’éditeur Barbè
aux tendances de notre époque et cherche à dégager les éléments de la société moderne. Lombroso est certainement l’un des homme
mieux aux besoins actuels d’une grande et puissante portion de notre société  ? Tel est le problème que je vais tenter de résou
e personnalise est l’un des traits les plus caractéristiques de notre société bourgeoise. Cette haine se retrouve partout, sous
e Lombroso mérite d’être mis au nombre des plus fermes soutiens de la société . Il ne recule devant aucun moyen, fût-ce le plus
ttre ses théories, n’était que la portion la plus méprisable de notre société s’en est emparée et cherche à en faire un instrum
ve Mirbeau l’a heureusement classé parmi les fantoches de notre belle société à qui son ironie inspire des discours à peine for
, l’année prochaine. Tous les terrains de l’île sont achetés par une “ société ” de ces riches Israélites italiens qui, il faut l
es et des inaugurations, pour bêtes et vulgaires qu’elles soient. Une société quelconque prie le Roi de lui concéder son haut p
atent qui coordonne implicitement tous ses aperçus sur le monde et la société , sur la psychologie, l’histoire et l’art, se ress
et d’une profondeur presque sans égales, à cette idée du devenir des sociétés , puisée dans la métaphysique allemande, mais inte
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
ui s’annonçaient comme amis de la maison, jouaient dans cette aimable société un rôle peu équivoque. Casanova eut le courage et
directement qu’aux néo-classiques, dont on lui impose quelquefois la société . La vie prodigieuse des sens, les jeux variés du
11 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
strie nationale des couleurs artificielles. Pour assurer la vie de la société à fonder, il fallait que les industriels acquéreu
au moins cinq ans tous les colorants dont ils auraient besoin à cette société . En hommes pratiques, la plupart des industriels
lais s’y refusèrent. Ils avaient beaucoup de raisons de croire que la société ne pourrait, fournir des produits de valeur égale
uple français, qui est un observateur si pénétrant de la vie et de la société et qui a donné au monde Molière et Balzac, n’a pa
es derniers temps par deux campagnes intéressantes : l’une contre une société , qui, sous prétexte de zèle civique, et prétendan
12 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIV »
nt raisonnables, qui, sous le nom d’hommes sensés, font la base de la société dans les villes du Nord de l’Europe. Les gens d’i
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVII »
udesse inculte se fait sentir jusque dans les premières classes de la société . Le peuple va armé de couteaux. On lui trouve un
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIII »
urtout près du Marché, où ils s’acquittent des derniers emplois de la société . Tout leur avoir se réduit à une chemise et à un
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
r, on se met à jouer. Il y avait, en 1803, deux clubs. Les meilleures sociétés se réunissaient aux loges des théâtres. On y pren
16 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
tre et de roman ne suffisent pas à nous donner le miroir fidèle d’une société , bien que Zola et Bourget se réclament de l’objec
tés industrielles et commerciales italiennes organisées sous forme de sociétés anonymes. La « Banca Commerciale Italiana » en co
tés anonymes. La « Banca Commerciale Italiana » en contrôlait, de ces sociétés , pour une valeur globale de trois milliards. Elle
t été, à aucune époque de l’histoire, les chefs reconnus de toute une société d’États. Ils n’ont pas agi, par droit propre ou p
. C’est chose faite. Depuis deux mois déjà, nous sommes pourvus d’une société théâtrale italo-française, dont le président est
n même ancêtre, qu’ils sont tous de même nature et parties d’une même société humaine ?… Depuis qu’on a cessé d’observer dans l
, les hontes et les ridicules, dont les pessimistes se détournent, la société lui paraît digne de toutes les rédemptions. C’est
il y a ici-bas deux manières d’envisager la direction morale de toute société  : d’une part, ceux qui agissent afin de justifier
17 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
. Il y avait les trois jeunes Memmo, qu’il cherchait à affilier à une société secrète, et dont la mère s’était plainte de l’inf
d on songe à l’esprit du siècle, à la corruption générale de la haute société dans toute l’Europe, et surtout aux mœurs vénitie
çonnerie et de sa puissance occulte, maintenant que ce n’est plus une société secrète, qu’on lui refuse ou qu’on lui accorde l’
ilité pour former rapidement ces relations si multiples dans la haute société , dès qu’on le voit arrivé dans une grande ville.
oriques, d’événements arrivés vraiment à l’auteur, de peintures de la société de son temps, tableaux admirablement dessinés, de
hique et le rapprochent de ceux qui luttent pour l’instauration d’une société plus équitable. Nulle figure n’était mieux faite
aine instinctive, favorisée aujourd’hui par la tendance nivelante des sociétés modernes et spécialement renforcée en Italie par
ui-même : il lui suffisait de cesser le travail pour que la vie de la société entière fût paralysée, et il venait de s’en rendr
t suprême où la jeunesse se déclare satisfaite de l’obole donnée à la société guerroyante, et se refuse à en donner davantage.
é, mais il se complique d’élégances et de raffinements imposés par la société plus intense, il est moins fort et plus rusé que
gneurs, les ministres, ne se faisait aucune illusion sur l’état de la société de son temps ; ayant travaillé dans les ateliers
tion d’y passer huit jours, et le soir, je soupai à table d’hôte : la société était nombreuse, et je m’amusai à remarquer que l
réplique ; ils appartenaient à ce qu’il y avait de plus élevé dans la société , comme naissance ou situation acquise, ils s’appe
té pour les jeunes homes de notre païs qui y vont, d’autant que cette société les acoustume aux mœurs et langage de leur nation
de la valeur d’un acte la notion de sa conformité aux tendances de la société , aux tabous, aux suggestions, à l’ensemble des ca
’en remplit pas une plus grande dans les jugements de valeur de notre société . Mais il en va tout autrement, à ce dernier égard
jeune garçon, devenu quinquagénaire, fit partager son sentiment à la société de son temps, et à la société de tous les temps q
énaire, fit partager son sentiment à la société de son temps, et à la société de tous les temps qui suivirent. Et si, à vrai di
18 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
nciens, les remarques qu’en observateur clairvoyant il prélève sur la société contemporaine. Ses transpositions sont d’un virtu
n aux magazines qui l’accueillaient. Il combat l’industrialisme et la société moderne, il considère comme son devoir de ramener
ux du Pérugin, du Titien, du Tintoret furent exécutés au milieu d’une société des plus corrompues et au sein d’une sensualité e
i serait plus qu’injuste, — il faut s’empresser à son aide, créer une société de propagation adroite mais hardie, qui supplée e
e méditerranée de rythmes et de couleurs. Les membres parisiens de la société Dante Alighieri, un professeur de faculté comme M
blent ne pas retenir notre attention. À participer à l’initiative des sociétés de propagation on élargira son terrain d’enquête
nces intimes, de ces libres récits pleins de détails savoureux sur la société avignonnaise au milieu du xvie  siècle, les Archi
eux ; le second, chez monsieur de Rochefort37, où se trouva une belle société de dames. Le plaisir que prit Son Excellence fut
es pour leur parler d’amour. Et Garganello fait sa petite revue de la société féminine et détaille complaisamment les charmes d
aussi. Elles doivent rester longtemps et alors il ne manquera pas de société . Lorsque la baronne, qui se trouve en Languedoc,
n ce temps de carnaval la matière ne lui manque-t-elle pas. Une belle société de seigneurs et de dames est arrivée à Avignon, e
is ce qu’il regrette par-dessus tout dans cette terre bénie, c’est la société des dames. Comme elles vont lui manquer ! Comme i
en a vu qui pleuraient même en merveilleux alexandrins. Maintenant la société , composée d’un nombre illimité de Petruccio, étai
19 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
et, au nom de la liberté de la presse, on ne parle jamais de lui. La société des hommes de lettres français devient donc une s
is de lui. La société des hommes de lettres français devient donc une société industrielle, une maison commerciale chargée de r
tion, sous le manteau. Je ne veux pas oublier de féliciter cette même société du luxe discret qu’elle a mis à éditer le Casanov
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
rès nombreux et très compliqués, qu’ils doivent accomplir pour que la société fonctionne bien. Mais il serait téméraire de préd
21 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
la Seiglière de la critique littéraire faisait plaisir. Égaré dans la société nouvelle, il ne la comprenait, ni ne la voyait gu
a femme, en comparaison de l’homme, est scandaleusement libre dans la société actuelle ! Elle n’est soumise à aucune des obliga
22 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
utant de logique et d’éloquence pour le mal que pour le bien et notre société élève cet art infernal au-dessus des autres, l’ho
soudainement d’un rasoir, coupe avec dextérité la gorge à l’autre. La société italienne qui se trouvait dans la salle m’a paru
naturelle et concise dans ses expressions, elle est le langage de la société …, il faut revenir à la langue française quand on
nserver sa clientèle. Quelques ateliers d’orfèvres fournissaient à la société florentine les œuvres d’art qui faisaient son org
nouvelles. L’instruction était répandue dans toutes les classes de la société . Les Grecs fuyant devant les Turcs vainqueurs rév
n et du Drame Musical allemand, semble vraiment égaré au milieu de la société péninsulaire, encore hantée par l’engouement opér
t toutes ces choses. Il est bon de les redire aujourd’hui. Il y a des sociétés qui n’aiment pas assez les lettres ; il y en a d’
ne pèche que par sa confiance dans le « progrès » des individus, des sociétés , des civilisations, mais qui sait voir beaucoup d
pacifisme ne signifie nullement la suppression du mouvement dans les sociétés . Au contraire, la fédération accélérera les mouve
n qui, n’ayant pas vu « l’affreuse convulsion des guerres civiles, la société en dissolution, l’empire sur le point de s’écroul
des répercussions de cette législation sur les diverses classes de la société latine, — l’on a réussi à rendre sensible le gran
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
écondité de l’acte de désharmonie aveugle, qu’on est convenu dans une société d’appeler crime ; dans à autre cas il y a stérili
24 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
« la pourriture impériale », époque de notre art lyrique et de notre société parisienne à laquelle Wagner fut particulièrement
. Au mois de septembre 1913, à la suite d’une campagne de presse, une société financière italienne obtenait de la Sublime Porte
n pratique, immédiate, je conçois que dans chaque pays intéressé, les sociétés , les associations, tous les organismes publics ou
de la même cause. C’est un Barisien bien parisien… La plus petite société du monde La plus petite société du monde offic
n bien parisien… La plus petite société du monde La plus petite société du monde officiellement constituée était celle de
aucune réunion officielle. Il y paraissait portant la bannière de sa société . Maintenant qu’il est mort la municipalité va pre
une centaine de lires qui serviront à la constitution d’une nouvelle société de vétérans de la guerre actuelle. Paesiello e
u principe des nationalités. La Suisse est une image réduite de cette société future des nations qui peut seule mettre un terme
25 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
rveille les agissements des « suspects » et les bénéfices des grandes sociétés industrielles. « Je me suis convaincu, affirma-t-
Et il continua, en constatant les énormes bénéfices encaissés par les sociétés de déchets de coton et de déchets de soie, en dem
qui, l’auteur a raison, a bien son droit de cité dans la science des sociétés humaines. Illemo Camelli : Du socialisme au sa
se. M. Mario Carmenati va se mettre en communication directe avec les sociétés littéraires et scientifiques françaises dans le b
ent antagonistes parce que leur concordance harmonique présuppose une société d’individus parfaits, ont réglé le développement
y est formé aucune caste militaire, parasite des autres classes de la société . La féodalité même qui a suivi la conquête ne s’e
ndividuelle aboutisse au bien-être universel, en évitant ainsi que la société soit partagée en mendiants et en bienfaiteurs, te
26 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
. Je souhaite vraiment qu’il réussisse, selon son vœu, à améliorer la société . Filippo Ermini : La Lirica domestica nelle le
s sur Baudelaire, Verlaine, Villiers, etc., — oui, etc. ; — de telles sociétés feraient plus pour le réveil littéraire des provi
27 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
i religieuse ! Elle savait qu’elle serait déshonorée, que toute cette société hautaine, qui était la sienne, n’oserait, plus pr
nce et clarté. Et quand j’entrai au restaurant, pénétrant parmi cette société aimable et légère, mes noirs soucis étaient déjà
avec elle librement, dans l’exaltation de l’amour, en opposition à la société et aux lois. Je comptais présenter à Lina toutes
e déformer, s’atténuer, se restreindre et n’être plus lui-même, si la société , l’approuvant, lui venait donner son assentiment,
us sentions plus libres que là-bas, où nous aurions retrouvé toute la société . Lina, ma fiancée !… Elle n’était plus ma maîtres
t de son aspect superficiel de correction anglaise, à la mode dans la société de Naples, elle en était tout près, de la nature,
n, caustique et paradoxal, et le plus étrange misanthrope amant de la société , que l’on puisse concevoir. La littérature italie
d’autre rêve que d’errer, « d’errer à travers toutes les castes de la société , de pénétrer dans les cours les plus somptueuses,
é de toute la physiologie, de tout l’esprit d’une civilisation, d’une société  ? Cela est difficile à expliquer, et pourtant c’e
et le plus beau des quartiers de Florence. Elle avait grandi dans la société des humanistes et des peintres. Son fiancé, Loren
s et de villes, on y trouvera des choses précieuses sur les mœurs, la société  : la frugalité, italienne, à laquelle on sacrifie
28 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
es… la poésie de l’homme dans la nature… la poésie de l’homme dans la société … la poésie de l’homme dans sa propre pensée… Ains
qu’on appelle l’indépendance italienne. Il foula aux pieds toutes les sociétés secrètes, toutes les ramifications des carbonaris
’unité dans l’action. Mazzini fut le créateur et le ministre de cette société . Tous les patriotes italiens, ceux qui moururent
t Gerbier. Edward Young surtout avait des lecteurs passionnés dans la société bourgeoise et lettrée. Le comte Claude Thiard de
e. S’il y a donc opposition et conflit, ce n’est pas entre elle et la société moderne, c’est entre elle et les erreurs qui, jet
ne, c’est entre elle et les erreurs qui, jetant le trouble dans cette société , la menacent, à bref délai, d’une complète dissol
lise plus Lamartine ? M. Émile Ollivier, qui préside actuellement la société qui exploite ses œuvres, a réfuté victorieusement
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
é anti-papal se classe comme précurseur de Luther, tout affilié à une société secrète s’appelle franc-maçon. Ce sont là des pro
30 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
cerveau vit à Paris, et il voit tout, les hommes, les passions et la société , selon le dernier mot de la vie parisienne. Cela
e, souriante, aiguë des tracas qui précèdent un mariage dans la haute société  ; un tour de force d’esprit et de nuances, car le
orrain, « bel homme, ayant de l’esprit, le ton et le goût de la bonne société  », qui vint s’installer à Gorizia en 1773, pendan
31 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
Gordon Bennett, le propriétaire du New-York Herald, est entré dans la société par actions qu’on a créée dans ce but. Nous remar
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
le métamorphose religieuse. Les Odes Barbares montrent le désir d’une société qui voulait être païenne pour s’affirmer surtout
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
u’ils ne veulent pas, ne peut être que le langage conventionnel d’une société secrète. Cet idiome arrache les ronces et les épi
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
l’air le remous de son passage et je cherche à jouir de sa précieuse société . La conversation du Démon est la plus profitable
35 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
urgh Review, de même que la discussion, fort longue, sur l’état de la société française avant la Révolution, p. 220-22, et comm
enverra la célèbre statue qu’il possède, la Pietà de Michel-Ange ; la société des anciens marbriers viterbiens prépare une repr
scènes de son œuvre, mais on observera la réunion sur la lagune de la société la plus hétéroclite, la plus amusante et, au deme
rgissent, y passent, s’y donnent rendez-vous ou s’y cachent. La haute société cosmopolite de Venise est ahurissante, et il est
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
t pas son fait. De plus, il voyait en Albergati le poète favori d’une société qui n’était pas la sienne parce qu’elle n’avait p
37 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
l connaissait tous les milieux, les plus hauts et les plus bas, de la société italienne, grâce sans doute à son habitude d’atte
38 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
pensées et des rêves. * La disparition des Stella-Lucente intrigua la société de Venise. On crut à un caprice d’Antonio et de s
-Simon, qui avait le don d’écrire, qui peut être lu dans la meilleure société , et qui nous fait en grand seigneur les honneurs
39 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
vant les fluctuations de leur fortune. Et cependant voilà que dans la société politique de Rome il venait d’être soupçonné d’av
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