me tend la main en me disant : « Adieu ! à ce soir. » Le soir, même
scène
. En vain Casanova promet les cent guinées, en vai
ù la Charpillon était précisément occupée à prendre un bain ; mise en
scène
admirablement préparée et dont l’effet ne pouvait
te, après une satisfaction tout illusoire. Cinq ou six jours après la
scène
du bain, alors qu’il réussissait à éviter la bell
dire sans proférer une parole. Ce n’était pas un jeu ; mais c’est la
scène
du bain qui se répète avec quelques variantes. Pe
e coiffeur qui ne se contentait pas de lui mettre des papillotes. Une
scène
effroyable s’ensuivit : bris de meubles et de vai
a maîtrise personnelle demeure également indiscutable dans la mise en
scène
, l’intérêt continu du récit, l’adaptation des per
te énervée tient en haleine le lecteur pendant plus de cent pages. La
scène
de la séduction, la première visite de l’amant ch
s tentatives et les premières promesses, les défaites successives, la
scène
du lit, celle de la grille, où le Morenito joue l
ont en seconde soirée Le Chien du Jardinier, de Lope de Vega (mise en
scène
de M. Gual) et une reconstitution intégrale de La
rs-tins, destinée à cacher le souffleur et les musiciens, séparait la
scène
du parterre tapissé de gazon. De l’autre côté de
séparait la scène du parterre tapissé de gazon. De l’autre côté de la
scène
, des cyprès taillés aux ciseaux formaient le corr
n cri et virent Mme de Ponticello jaillir de l’un des portiques de la
scène
et s’arrêter, interdite, en deçà de la haie de la
t décidément au-dessous de la moyenne la plus discrète. Vous voyez la
scène
d’ici. Nous étions au bord de la mer, près de Pis
t connus. Ce qui est invention ne pouvait pas trouver place parmi ces
scènes
que l’histoire et la légende nous racontèrent mil
ays. Grâce aux soins scrupuleux de D’Annunzio et de Duse, la mise en
scène
était parfaite ; le gros public trouva en ces dét
éraires de l’œuvre : le second acte, qui présente au premier plan une
scène
d’amour entre Paolo et Francesca, et au second un
rendre une pièce de D’Annunzio pour un bazar d’antiquités. La mise en
scène
de la Francesca a joué un trop grand rôle dans l’
e forme littéraire. D’Annunzio, Corradini, Butti, travaillent pour la
scène
; Fogazzaro même, qui paraissait indifférent à ce
son dernier roman Il Fuoco, il ne semble viser qu’aux triomphes de la
scène
et, à ce qu’on dit, il prépare une nouvelle tragé
s artistes les plus célèbres, qui ose se permettre en fait de mise en
scène
tous les caprices et tout le luxe dont son imagin
eusement de rentrer chez soi avant l’aube. Peu à peu, le goût pour la
scène
l’emporta ; ses pièces commencèrent à réveiller l
ent des autres. La physionomie de ce personnage résulte à travers les
scènes
vives et réelles qui donnent à la pièce une allur
fait parler aux héros de Francesca da Rimini ! La pièce a été mise en
scène
avec beaucoup d’intelligence. Elle a été jouée av
illées avec une empreinte aristocratique d’art, on rencontre quelques
scènes
négligées, que la hâte et l’insouciance gâtèrent.
pu jouer au Teatro Valle de Rome, à cause de plusieurs difficultés de
scène
. Le drame de M. Corradini qui encadre en cinq act
t intérêt devient extraordinaire lorsqu’on voit enfin paraître sur la
scène
les femmes des Césars, si funestement ambitieuses
Lyona, qui est un yacht) nous transporte dans un monde assez irréel :
scènes
d’amour, de trahison et de crimes au bord d’un ya
e tragédie, dont la donnée est si curieuse, ne soit pas vivante, à la
scène
. Certes, la composition en est harmonieuse, et la
M. d’Annunzio, et l’on peut, dans la tragédie antique, citer maintes
scènes
troublées et violentes. La Ville morte eut certai
it chevalier le frère de sa maîtresse, Antonio dei Atti. Ah, la jolie
scène
!… La cour du palais est pleine des nobles et des
nstater que rarement un personnage a su disparaître si à propos de la
scène
, à l’heure même où son rôle allait perdre toute s
é fine et un talent plein de goût, n’était pas complet : une suite de
scènes
charmantes qui manquaient d’un fort lien ; l’épin
adini a su choisir des couleurs riantes, pleines de lumières, pour la
scène
entre Ercole et Saveria ; il y a des traits singu
beaucoup de succès ; la reconstitution a été d’ailleurs parfaite ; la
scène
était fixe et en relief ; les personnages portaie
e Mimi et de Rodolphe qui en est le vrai sujet, remplit à peine trois
scènes
, et le reste, cadre disproportionné à cette minia
teur du second acte et de la moitié du troisième, c’est le metteur en
scène
extraordinairement habile qu’est M. A. Carré. Tou
amour. Les meilleures pages de sa partition se rapportent à elle : la
scène
dernière du premier acte, où les deux amoureux «
t, et fît à la musique une place, fût-elle restreinte. Bizet, dans la
scène
des Arènes, de Carmen, d’Indy dans la Fête du Cha
e spectacle est varié ; aux bouffonneries succèdent avec symétrie les
scènes
sentimentales dont certaines sont empreintes d’un
s voyages, j’ai vu fusiller, pendre, lyncher, massacrer ; j’ai vu des
scènes
horribles en tout genre et des morts de toute esp
chi de détails élégants, notamment pour ce qui a rapport à la mise en
scène
, soignée jusqu’au scrupule, — vient de réaliser à
monieuse ; le public, plus juste, à rendu hommage à la maîtrise de la
scène
et à l’intention hautement originale. On ne peut
vie, la mesure, le dessin des personnages, le développement sobre des
scènes
y sont complets ; c’est un bon roman, audacieux e
envisagé que comme un opéra, et on l’imaginait dans les décors de la
scène
, à travers les beautés d’une musique puissamment
icile, en lisant la Tragédie, de me soustraire au pressentiment de la
scène
et de la musique. Sans doute, la vision telle que
d’être, ses mérites, son but : ici le poète, libre des entraves de la
scène
, suivait son inspiration dramatique et traçait d’
n profondément les cendres de sa mère assassinée, jusqu’à la dernière
scène
, où, en jouant le rôle d’Oreste, il s’oublie et a
odes qui se nouent au brouhaha de la grande vie romaine, une dernière
scène
se passe dans un petit couvent aux environs de la
milieu, mérites qu’il faut reconnaître à l’auteur. Dès les premières
scènes
, les personnages montrent leur physionomie : nous
joutent rien, et l’abdication gâte l’effet sobre et poignant de cette
scène
très belle et d’une puissance dramatique rare. Ri
mble en avoir perçu. S’il y eut bien de l’indécence, ce fut aussi une
scène
noblement tragique, que celle où l’ex-doge Ludovi
telle émotion qu’il tomba sans connaissance. Je cherche en vain cette
scène
aux dernières pages du livre. Cette minute suprêm
atre tableaux de la Salle des sept mètres au Louvre, représentant des
scènes
de la vie de la Vierge et du Christ, artiste popu
lonaise. Contemporain d’Altichiero, maître Wilhelm ne conçoit pas des
scènes
grandioses, des groupements subordonnés à l’harmo
l’artiste de son chemin est ici présenté à rebours. L’auteur place la
scène
dans un milieu d’artistes lyriques, de musiciens,
pirituelle et hardie qui a remporté un succès éclatant sur toutes les
scènes
d’Italie, notamment à Rome et à Milan. L’auteur l
, à l’arrangement amusant, une longue histoire en plusieurs actes aux
scènes
naïves et franches, — un second plus magistral, o
imité l’allure caricaturale des brigands d’opérettes qui arrivent en
scène
d’un air sinistre en roulant de gros yeux et fais
mpossible ; offre-t-il, au contraire, une succession ininterrompue de
scènes
animées, d’épisodes dramatiques, il entraîne l’ar
e de Landini29. Les dix-neuf estampes que l’on possède présentent des
scènes
impressionnantes, dont quelques-unes très animées
our Dante, Botticelli s ordonna certainement de reproduire toutes les
scènes
des drames qui se déroulent dans la Divine Comédi
en placé ses figures et leurs doubles, si bien, relié entre elles les
scènes
de chaque acte, qu’il a évité tout ce qui, dans l
succèdent, on est retenu par l’ingénieuse présentation de la mise en
scène
et par le caractère humain du drame. Ce sont les
les attitudes de Dante et de Virgile suffisent pour communiquer à la
scène
un parfum de vérité. Le motif XII représente la v
damnés se devine à la seule indication des têtes, émane l’horreur des
scènes
de carnage ; devant le suivant, on ressent la mêm
le infortunée des âmes qui se livrèrent aux pires dépravations. Cette
scène
, uniquement composée de figures isolées, présente
s ont été modelées en brun comme pour servir de carton ; celles de la
scène
suivante, second tableau du même acte, sont au tr
u’étreignent et châtient des reptiles (XXIV et XXV)38 ; et toutes ces
scènes
présentent des groupes extraordinairement animés.
nt par les anges aux ailes verdoyantes (VIII) a fourni le sujet d’une
scène
animée40, et c’est un petit tableau d’une immense
l’œuvre de Callot ou de quelque autre chantre de l’humaine misère des
scènes
d’où suinte plus de tristesse, des types inspiran
écrivent d’augustes paraboles dans le motif XXIX. Quant à la dernière
scène
achevée, elle a, quoique allégorique, le charme d
t le désarroi des grands dignitaires, ces ordres sans un but… Quelles
scènes
, quelles révélations pour un jeune Prince brusque
s œuvres, par le faire, la pensée et la divination. Parfois aussi, la
scène
se modernise : on a parlé de Fiorilli et de la Co
t le public le plus défiant, car, savamment placés après une série de
scènes
piquantes, légères et spirituelles, ils ne pouvai
o et Giovanni Pascoli : Odi Tandis que M. Butti revient donc à la
scène
avec tant de vigueur et de succès, une autre flor
d’accord et s’échauffèrent aisément au même degré d’enthousiasme. La
scène
la plus forte de cette véritable comédie, où Casa
’étaient mis en tête de représenter Alzire, n’avaient point, dans les
scènes
pathétiques de la tragédie, témoigné, au gré de l
, et leur reprocha durement de ne pas verser de larmes véritables. La
scène
de l’Arioste est la seule qui marque une entente
ge éclatant, mais tardif, on sent à chaque ligne le souvenir de cette
scène
; et il a soin de citer, comme l’un des morceaux
e. Un jeune musicien, M. Ildebrando da Parma, a composé la musique de
scène
de l’œuvre, musique chantée de planus cantus, qui
tier est un chef-d’œuvre ; le monologue de Desdémone, l’Ave Maria, la
scène
d’Othello, portent l’empreinte d’un grand musicie
Othello est une œuvre marquée d’unité. J’en trouve la preuve dans la
scène
II de l’acte III entre Othello et Desdémone, comm
ieu te tienne en joie, ô maître de mon âme, et dans plusieurs autres
scènes
qui sont développées suivant le modèle symétrique
n à la fin du IVe acte provoque une très intense émotion : La mise en
scène
est fastueuse. L’interprétation est bonne. M. Sal
national, du sort de ses héros, du sort de ses dieux. « Et il orna la
scène
de fort belles décorations », dit Aristote. La vo
’aristocrate Périclès, regardait en souriant les autels, le trône, la
scène
du théâtre magnifique qui couvrait de ses marbres
science égoïste et brutale, allait envahir les autels, le trône et la
scène
, allait s’étaler dans sa toute-puissante arroganc
le toutes ses volontés et toutes ses terreurs, il faut réunir quelque
scène
de Hamlet et quelque scène de Faust. Pour précise
outes ses terreurs, il faut réunir quelque scène de Hamlet et quelque
scène
de Faust. Pour préciser mes données, je me sers a
clame la mort5. La musique de Wagner a su la première dévoiler sur la
scène
, par l’enchevêtrement de ses thèmes conducteurs,
et satisfaisant, pour la mort de l’esprit simplement simiesque de nos
scènes
, et pour la résurrection de l’esprit théâtral, il
e l’individu. Tout le théâtre doit abolir ses divisions mécaniques en
scènes
, qui obligent l’auteur à inventer les plus sots m
eur à inventer les plus sots moyens, pour qu’il y ait toujours sur la
scène
au moins une personne qui agisse. Le théâtre nouv
ifférencient point de ceux de la Révolution. Mais chaque armée a sa «
scène
de mœurs », comme chaque saison a sa mode. La rue
Antonio da Fabriano, avec sa Mort de la madone au milieu des apôtres,
scène
touchante voisine de celles inventées par notre g
e si elle s’efforce d’imiter Ibsen ; cependant la compréhension de la
scène
, l’invention sentimentale et la puissance de cert
e bonne et qui a bec et ongles. Cicéron, heureux de reparaître sur la
scène
laissée vide par César, ne voit dans Marc Antoine
uteur, et ne nous gâtait ainsi toute émotion. Cependant il y a là des
scènes
fortes et sûres. Et la vanité arrogante de l’inte
et Léonard avaient perdues, qualités d’illustrateur et d’inventeur de
scènes
délicieuses. S’il avait à cela joint le dessin de
alleria Rusticana, que son auteur devait transporter plus tard sur la
scène
et à laquelle la musique de Mascagni valut une po
la même époque des traductions du norvégien Ibsen, notamment quelques
scènes
des Prétendants à la Couronne ! Verga me remercia
et par la profondeur de la matière intellectuelle et expressive de la
scène
, gagnent quelques pieds du terrain que la silhoue
pplaudissements d’un théâtre. Il a gardé pour tout ce qui touche à la
scène
les enivrements d’un collégien. Tout autre succès
Gabriel d’Annunzio. 2. Vitruve aussi nous parle des trois genres de
scènes
, au point de vue purement décoratif, avec des col
de vue purement décoratif, avec des colonnes, statues, etc., pour la
scène
tragique des maisons particulières et des édifice
a montagne, qui dort à côté de la grotte, du pâtre. Il lui raconte la
scène
de l’étrangère poursuivie et son geste pour la ch
à la tragédie grecque : les chœurs du premier et du dernier acte, la
scène
entre Créon et Hémon, d’Antigone, se déroulant ic
, par la force des choses épanouies, devient le pâtre-artiste ; ni la
scène
d’amour qui suit avec cette superbe puissance ver
es angoisses. Certes, la colère jalouse de Silvia donne matière à des
scènes
assez dramatiques, mais qui, il faut l’avouer, ne
utalité presque animale. Il y a, dans la Fille de Jorio, une suite de
scènes
violentes qui, parfois, ne sont pas sans vigueur.
nunzio sait éteindre une lampe avec beaucoup d’adresse. Les dernières
scènes
du second acte sont d’une force réelle. Le dénoue
le séminariste. Ainsi, peu après son arrivée, il fut témoin de cette
scène
. Plusieurs vaches du troupeau étaient dévorées de
la le surlendemain, le soir, au bord du fleuve. Antine assistait à la
scène
. La nuit était à peine tombée : la lune nouvelle
itions, dirigées par l’auteur, sont quasi secrètes. Nul étranger à la
scène
n’y peut assister. Cette tragédie au titre évangé
différentes, plus élancées, avec les colonnes de style corinthien. La
scène
sera entièrement construite en pierre, comme cell
degli eroï, Gabriele d’Annunzio, transportât sa volonté d’art sur la
scène
et il est logique que les jeunes poètes qui se so
nge, c’est un homme sans descendance. Les poètes ont donc escaladé la
scène
et demandé le secours du comédien diseur de vers,
rchent — les jeunes poussant les vieux — contre les accapareurs de la
scène
, faiseurs de théâtre, mercanti, oiseaux de proie,
vit les personnages les plus divers. Il ne semble pas qu’elle soit en
scène
; on la dirait chez elle ou chez des amis qu’elle
mainte leçon profitable. On remarquait un soin particulier de mise en
scène
mouvementée, la mimique intelligente et libre des
riand de profondeurs psychologiques et d’atmosphères musicales sur la
scène
; le succès de librairie est dû aux qualités très
s, un jeune homme de vingt ans, qui paraît admirablement doué pour la
scène
tragique et qui adore l’œuvre de son père. Mario
rs que j’ai compris bien des dessous du grand drame, bien des petites
scènes
de la grande comédie. « Cette année, en causant,
traditionnelle des Italiens, ne bouleverse pas leur conception de la
scène
lyrique, et, demeurant foncièrement mélodique, ch
ogrès : la dilatation d’estomac. Elle devient telle qu’elle amène des
scènes
d’anthropophagie. (On sait d’ailleurs que ce vice
ulie, peut-être, en effet, Lamartine aurait-il songé à lui dans cette
scène
; mais comme il mourut longtemps après elle, il n
53. Signalé à M. Louis Sonolet, auteur d’un essai sur le Prêtre à la
scène
, dans l’Art du Théâtre (n° d’octobre) — où l’on t
tome IV des Mémoires, et il mérite, tant par l’agrément de la mise en
scène
que par l’intérêt des propos échangés, de piquer
circonstances et le caractère du personnage ; mais dans l’ensemble la
scène
est exacte et rien ne peut en altérer la valeur h
e humeur s’exhale en réflexions à peine polies. Il faut lire toute la
scène
, qui est des plus divertissantes. En vérité, à ce
de Voltaire. Un jour, ayant besoin de renseignements pour la mise en
scène
de Sémiramis, il se hasarde à consulter l’auteur
rre et les éclairs ; on sent, à travers sa réponse, que le metteur en
scène
, l’impresario, est plus flatté encore que le poèt
et l’esponton de Casanova, je suis bon prince, je vous cède toute la
scène
sur le toit ; il l’a escaladé malgré sa façon abs
u de marbre, bases de tout le récit, disparaissent, et, avec eux, les
scènes
du toit, les feuilles de plomb mises à l’envers,
se dépouillait de l’ombre ; la vie me ressaisissait. Tout de suite la
scène
de cette nuit s’était représentée à mon esprit, e
s, que je ne doutai plus. Je n’avais point rêvé. Cette extraordinaire
scène
s’était bien déroulée ainsi, cette nuit. Je me le
avait dit son père ?… Oui, que lui avait-il dit ?… Car enfin toute la
scène
de cette nuit était invraisemblable ; à présent q
t et ne m’y trouvât pas ?… S’il n’y avait eu aucun subterfuge dans la
scène
d’hier ?… Je pris ma canne et mon chapeau et me p
urpris à moitié nu dans la chambre de sa fille. Mais, apparemment, la
scène
de l’autre nuit ne comptait plus ; elle était abo
n dans la période active de son amour mystique pour le Christ par une
scène
que nous retrouvons dans Goethe comme préparation
qui rattachaient les magiciennes à leur culte païen. L’une et l’autre
scène
, qui se terminent d’une façon symétrique, ici par
en retrouve le flamboiement de ses amours primitives dans la dernière
scène
qui le remet en contact avec la cohorte de ses am
aires et méconnus, de E. A. Butti fut celui de s’être efforcé, sur la
scène
italienne si pauvre, vers quelques « représentati
. Avec Flammes dans l’Ombre, il présenta aux Italiens l’ébauche d’une
scène
où tous les droits humains, de la chair et de la
cherche à décrire une particularité de la rive par une naïve mise en
scène
, comme en imaginent volontiers les montagnards ou
long de la pente, n’y a-t-il pas là toute la partie occidentale de la
scène
homérique ? De plus, indépendamment de la convent
intéressent par des détails que les smaltes précisent avec éclat. Une
scène
, la Résurrection de Lazare, la frappe parce que,
pparut d’une qualité artistique qu’on rencontre bien rarement sur des
scènes
plus vastes et diversement subventionnées. To
ématique », par M. Vito Volterra ; […] Les Horizons (février). — Une
scène
du « Michel-Ange » de Fr. Hebbel. […] La Revue h
tre des Champs-Élysées à l’art du bel canto. Les pensionnaires de nos
scènes
lyriques subventionnées ne pourraient que tirer p
e M. Romagnoli est sur le point de doter l’Italie de quelques grandes
scènes
de plein-air — à l’instar du « Plein-Air » frança
que les spectateurs n’auront point à l’applaudir. C’est le metteur en
scène
, M. Meyerhold. Il s’est déjà fait en Russie une t
s petits chapitres, — une minute, — à l’ombre d’une rose. XXI. Une
scène
À quoi bon mentir ? Je t’ai vue… je vous ai vu
« Je croy, dit-elle par la bouche d’une des dames qu’elle a mises en
scène
, je croy qu’il n’y a nul de vous qui n’aît leu le
haleureux éloges. On contempla bien rarement en l’endroit une mise en
scène
aussi soignée à toutes sortes d’égards. Ces Joyau
x de la Madone, inspiré par un fait-divers, reste un fait-divers à la
scène
. Néanmoins avec son intrigue heurtée et sa brusqu
as d’aller voir et c’est sur lui surtout que repose la pièce. Mise en
scène
, décors, interprétation, sujet et livret même, à
e femme, pâles tous les deux, les écoutaient, non sans impatience. La
scène
monta bientôt à un diapason si élevé, si effrayan
is l’émotion avait été si forte que Severini s’évanouit. Devant cette
scène
sublime d’amour conjugal, les futuristes assemblé
nombreuses marionnettes de grandeur naturelle qui s’agitaient sur la
scène
; mais je ne compris rien à l’intrigue de la pièc
e de morts les uns après les autres ; puis, devenue plus intense, des
scènes
entières avec leur décor infernal. Mais à aucun m
sentiellement un dessinateur, et en conséquence il choisit figures et
scènes
d’une telle spontanéité de plastique et d’une tel
grâce parisienne de ces petites femmes en miniature ! Ces nombreuses
scènes
doivent sans doute être comptées parmi les plus b
ouvement cinématographique. « Enfin, l’humoriste se révèle dans cette
scène
vivante et mouvementée du Bon Marché, avec ses co
le fastidieuse, pétulante et exigeante de femmes ; — dans cette autre
scène
des Folies-Bergère, où un étranger se trouve enve
d’un funèbre tragique, et atteint le paroxysme de l’atroce dans cette
scène
d’assassinat en une bourgeoise chambre à coucher,
a su — (comme il nous le fait voir dans cette exquise série d’intimes
scènes
musicales ; le Violon, le Piano, le Trombone, le
sort pas du giron ecclésial. Toutefois un nouveau personnage entre en
scène
et prend une place sans cesse agrandie, le savant
541-544 [541-542, 544]. Théâtre de l’Œuvre : Malia (Le Maléfice),
scène
sicilienne en trois actes, de M. L. Capuana (9 ja
l nous offre, la grande couleur locale qu’on y trouve. On voit sur la
scène
un personnage de jeune paysanne hystérique qui se
le dans de tels rôles, — c’est d’un agrément restreint, tout comme la
scène
finale, entre deux amants rivaux, dont l’un, s’ar
’avoue que, pour moi, je n’ai pu m’empêcher de détourner la tête à la
scène
de l’égorgement, spectacle aussi loin de mon goût
onstituer un événement. À Lodi, Desaix évoque, en quelques lignes, la
scène
du fameux passage de l’Adda. Désireux de s’instru
’envers du théâtre de Victor Hugo, sur la préparation et la mise à la
scène
de ses œuvres. […] Le drame de Victor Hugo avait
elle-même demeure traditionnelle et ne se libère que dans les petites
scènes
de la prédelle. Le dernier des Ferrari, Gaudenzio
portables et presque invisibles. Stéphane Mallarmé prétendait que les
scènes
des Sorcières, devraient être jouées devant le ri
la nouvelle que l’adaptation d’une tragédie d’Alfieri présentait des
scènes
, des personnages, des situations, auxquels l’étra
au conflit des antagonistes, si n’est qu’elle sert de prétexte à une
scène
de vague jalousie de la part de Michol, une scène
t de prétexte à une scène de vague jalousie de la part de Michol, une
scène
qui dépasse absolument le cadre de la tragédie or
e qui dépasse absolument le cadre de la tragédie originaire. Et cette
scène
, inutile et par cela même peu émouvante, dérange
inutile, ou elle ne sert qu’à amoindrir le caractère de Michol par la
scène
de la jalousie. Et M. Poizat lui-même a été peut-
as. On peut, ainsi qu’on le fait pour Shakespeare, retrancher pour la
scène
moderne quelques passages, quelques scènes ; on n
espeare, retrancher pour la scène moderne quelques passages, quelques
scènes
; on ne doit rien ajouter, et on ne doit pas surt
tique admirable de M. Pizzetti. Il a créé pour la Nave une musique de
scène
toute particulière, une polyphonie vocale très no
oque : description topographique des lieux (complétée par les notes),
scènes
de mœurs, etc., etc., tout y est. » C’est donc le
[extrait] […] Le Tasse est le deuxième peintre italien porté à la
scène
par un auteur français. Léonard de Vinci, a, en e
ousaine mémoire, il réussit sans peine à ce soin superflu. La mise en
scène
de Paillasse est l’une des plus adroites qu’il ai
rise jusqu’où il a développé ses incomparables facultés de metteur en
scène
, M. Albert Carré dorénavant peut imposer ce qu’il
u’à Monteverdi, de qui l’émouvant Orfeo, traduit et tout prêt pour la
scène
, est, bigrement plus neuf aujourd’hui même que Ph
ainsi pardonner en devenant l’éducateur au moins intermittent que nos
scènes
lyriques subventionnées ont à coup sûr le devoir
de la tolérance dont jouissaient les Juifs à la Ville autant qu’à la
scène
était, dans l’esprit philosophique qui se dévelop
dantes et cède à une éloquence théâtrale un peu trop facile, mais des
scènes
encore sont solides, âpres, impressionnantes ; on
ra, il terrifie l’orchestre, le mâte, le muselle ; il tyrannise et la
scène
et la salle. Tout tremble sous sa poigne et ses c
Si tu voyais l’église du San Popolero, tu ne l’oublierais jamais. La
scène
où Jésus lave les pieds de ses apôtres, représent
pleurent. Ne savoir pas dessiner est un supplice continuel devant ces
scènes
que l’on voudrait faire comprendre à ceux qui ne
uses faiblesses de l’œuvre ? Qu’importe la faiblesse littéraire de la
scène
où Isabelle danse, car l’évocation de l’écrivain
s pour se reposer dans la peinture de petites toiles représentant des
scènes
de la vie familière. Nous ne sommes pas très rich
ridional — est d’un consciencieux journaliste. Je noterai surtout les
scènes
de pillage qui désolèrent Messine ; les pressenti
Les considérations épisodiques se suivent, selon les nécessités de la
scène
. On voit la ficelle, les épisodes sont plaqués, c
reste de la pièce, c’est-à-dire au deuxième acte. Ensuite, c’est une
scène
dans la boutique de la repasseuse, où deux sergen
liers à M. Nozière. Je ne doute point de lui voir un jour porter à la
scène
la Felicia d’Andréa de Nerciat ou quelque récit d
c’est une entité littéraire, c’est le décor obligatoire de certaines
scènes
, l’accompagnement de certains actes, le leitmotiv
vera de la vision de Venise que juste ce qui convient pour situer les
scènes
de son œuvre, mais on observera la réunion sur la
ne langue somptueuse et imagée, même trop recherchée çà et là pour la
scène
, trop « livresque », et peut-être certaines scène
ée çà et là pour la scène, trop « livresque », et peut-être certaines
scènes
ou monologues gagneraient-ils en naturel et en in
allet comique de la Reine, de Baltazar de Beaujoyeulx pour la mise en
scène
, de Gérard de Beaulieu et Jacques Salmon pour la
-être l’idée de remonter jusqu’à Rameau. La comparaison des œuvres la
scène
serait seule instructive, et elle est devenue néc
immuable justesse expressive de l’inspiration qu’on découvre dans la
scène
très analogue de Castor et Pollux, par exemple, o
Parques du même ouvrage et les Champs-Élysées de Castor et Pollux aux
scènes
similaires d’Orphée. Enfin, il faudrait tout comp
endue de nouvelles. Les jeunes et les vieux ont le regard fixé sur la
scène
; on dirait que la lumière ne vient plus du Nord,
quel public devra-t-il s’adresser ? Savez-vous combien l’on compte de
scènes
italiennes qui décident du succès d’une comédie o
aples, Gênes, Florence, Bologne, Palerme et Trieste. Il y a aussi des
scènes
de second ordre, mais qui ont des traditions et d
r par bien des traits à Mailloche et à Chicot que Maupassant a mis en
scène
dans la nouvelle intitulée : l’Âne (recueil de Mi
ant l’assassinat, et qui s’intercale là un peu comme, dans Hamlet, la
scène
des Comédiens. Ce spécimen de la comédie italienn
Et maintenant, Lecteur bénévole, écoute ma chronique : * La première
scène
est au palais Stella-Lucente, après un dîner que
l devant vous… Et, prévenant une demande d’Antonio, il lui raconta la
scène
qui venait de se passer entre Nina et lui. Le rir
jours les vraies dispositions de son esprit. Il décrivit, ensuite, la
scène
qui s’était déroulée, dans l’après-midi, entre le
hambre. Oui, elle ne paraissait pas souffrir. Jamais je n’entendis de
scènes
. Cela dura jusqu’à la mort d’Antonio. Les fièvres
ieur et, vraiment, parfait. Le spectacle, décors, lumières et mise en
scène
, fut d’une qualité artistique à quoi on ne s’atte
comparaison, et à tous points de vue, ne soit guère en faveur de nos
scènes
subventionnées. Art. Le Salon de la Société Na
se délectent, par goût de dépravation, à la description vulgaire des
scènes
d’animalité humaine, et donnent en pâture à leur
, aux attitudes et aux mouvements des chanteurs et enfin à la mise en
scène
. C’est une illusion absurde de beaucoup de chante
e en Aulide, tous sujets qui, à l’époque gluckiste, paraîtront sur la
scène
de l’Opéra de Paris, Dans les critiques qu’il fai
n’est pas douteux que, du chœur nombreux, du ballet, de la [mise en]
scène
, magistralement unie à la poésie et à la musique,
tragiques grecs, et surtout Euripide ;, de varier les caractères des
scènes
, les mètres des vers, afin de permettre au musici
avart, plaisantent assez spirituellement la Lettre du bailli. De la
scène
lyrique Quinault n’est plus le roi. Lisez ma Poét
Mondonville, écrivait Coquéau en 1779. Il admira cet enchaînement de
scènes
, ces successions variées de formes musicales qui
d’où sont datées un certain nombre de ses lettres, lors de la mise en
scène
d’Alceste à Bologne, en 1778. Il fut ensuite à Na
lle époque. Des officiers, des journalistes italiens m’ont décrit les
scènes
impressionnantes dont ils furent témoins au momen
is qu’il y ait quelque chose de changé en Italie, on le voit dans les
scènes
de la rue, dans l’attitude des foules ou des poli
rre. — Nous arrivons à ses tableaux du « front de l’Isonzo » avec des
scènes
typiques comme la procession du matériel, des mun
choses vues, et où se succèdent de larges tableaux aussi bien que des
scènes
familières. C’est la Terre qui tonne (Artois, Ita
et j’ai ensuite traduit les deux admirables livres de Luigi Barzini :
Scènes
de la grande Guerre, qui contiennent les plus bel
par les « virtuoses » du chant ou du ballet qui se succédèrent sur la
scène
du Nuovo pendant le xviiie siècle ; la Archieri,
anini, la Pasta, la Boccabadati, la Ungher se firent applaudir sur la
scène
du Nuovo qui bientôt devint il Verdi. Le dernier
le caractère était loin d’égaler en splendeur tragique la nôtre, les
scènes
lyriques italiennes retentissaient des puissantes
tte technique triomphe. Il en est de même au troisième, dans toute la
scène
de la venue soudaine et de la mort de l’héroïne.
roisième acte et, enfin, l’entrée inopinée de Lodoletta, ainsi que la
scène
mortuaire, si doucement soulignée par le quartett
lus tard on a d’autres figures de Saints, une crucifixion et quelques
scènes
de la Nativité, parmi lesquelles une crèche qui e
qui est certainement une des plus anciennes représentations de cette
scène
. Il y a aussi des fresques du xve et du xvie si
ement adapté aux dimensions du local, il n’est pas jusqu’à la mise en
scène
, où l’on ne dût constater une ambition visible à
démie Nationale de Musique, pour tout ce qui se rapporte à la mise en
scène
. C’est un petit commencement ; il ne faut pas déc
n auteur dramatique que des éléments insuffisants. Je ne vois pas les
scènes
à faire. La partie anecdotique sur le Dante est i
des polémiques ont éclaté. Un auteur a-t-il le droit de porter sur la
scène
des hommes en vue ? Un acteur peut-il se déguiser
par d’évidents dons naturels. La direction de M. Messager, la mise en
scène
de M. Carré, les décors de Jusseaume sont ce qu’i
ableau, tant il en occupe la majeure partie, et tout autre peintre de
scènes
paysannes, M. Jules Breton, par exemple, se serai
us attarder à l’analyse de qualités plastiques et à un don de mise en
scène
, de coupe du motif, qui ravissent les statuaires.
re que l’on trouvera surtout dans ce livre, parmi des églogues ou des
scènes
de pèlerinages. Rome était encore à ce moment la
une lutte amusante qui se termine par la victoire des bambins. Cette
scène
arracha un mélancolique sourire à Giorgio, et lui
gger un portrait et deux coffres. Pendant les fêtes, se déroula une
scène
assez comique. La voici telle que Barbarelli me l
voulu exprimer ? demandai-je. — Rien, Seigneur. J’ai assisté à cette
scène
derrière le maître-autel de l’Église, à Castelfra
an Silvestro. Il composa et peignit en camaïeu et en clair-obscur des
scènes
champêtres où se révéla, dans toute sa splendeur
l’influence qu’exerçait Giorgio sur ses contemporains. Il acheva des
scènes
bibliques : un jugement de Salomon ; des épisodes
d les paysages qui forment les fonds de mes toiles ou le cadre de mes
scènes
pastorales ne jetteront plus sur elles l’air… l’a
Elle y trouva sa cousine Bianca. Les deux malheureuses se firent une
scène
terrible qui fut interrompue par la brusque appar
a que jamais il n’abandonnerait son maître et s’adossa au mur. Quelle
scène
tragique ! On n’entendait, dans cette pièce magni
oula aux pieds. Piétro intervint et roua de coups son adversaire. Des
scènes
semblables se renouvelèrent souvent. La Maurina n
t l’étreignant, sous les regards amusés de l’eunuque… Sans répit, ces
scènes
hideuses sortaient de ma mémoire… sans diminuer m
to… puisqu’elle ne t’a pas appartenu… Jamais je n’avais assisté à une
scène
plus tragique et plus belle. Morto s’était assis
Le deuxième acte, la Chambre Magique, que, pour rappeler la mise en
scène
des mystères, le poète appelle la seconde mansion
sprit, la flèche empennée est le Fils qui donna son sang37. C’est une
scène
émouvante que la lutte entre le condamné et ses b
œuvre de d’Annunzio avec son souffle dantesque est à faire éclater la
scène
: nul depuis les Grecs n’avait osé lui demander t
re n’est pas médiéval du tout. Où trouvera-t-on dans les mystères des
scènes
d’une intensité pareille aux supplications de la
s de la poésie rhétoricienne. Il faut bien l’avouer, il n’y a pas une
scène
chez eux qui vaille une des fresques de d’Annunzi
ier vers a son origine incontestablement fixée : c’est le début de la
scène
i de l’acte III d’Il Pastor Fido, de Guarini, je
urs, « la volonté » de créer une tragédie de race. On le voit dans la
scène
la plus poignante, celle où Flamme pousse Marrudo
intérieure très chrétienne. Là où Fogazzaro échafaudait ses mises en
scène
de sacristies rebelles, M. Vincenzo Gerace dresse
on leur a accordé des défenseurs. Voici le résultat de cette mise en
scène
: les deux gardiens du Salon Carré mis en cause o
, p. 39. 33. Acte III, p. 41. 34. Voyez mon Histoire de la mise en
scène
dans le théâtre religieux du moyen-âge, Paris, Ch
pas louer M. Astruc d’avoir eu la belle audace de porter l’œuvre à la
scène
. 41. Nouvelles acquisitions françaises Ms 1051 f
n école, apparut nettement le métier de librettiste, commença sur nos
scènes
lyriques le règne de ces mercantis cyniques et ro
pements ou évolutions de masses et les moindres détails de la mise en
scène
dénonçaient la gaillarde origine avec une convict
ent chez nous la routine des pseudo-fonctionnaires que notre première
scène
lyrique hospitalise. Ensuite, il n’est guère niab
esauts, des hoquets. Il aurait mieux valu qu’il ne tolérât point à la
scène
quatrième du second acte, une coupure aussi super
é adjure, de passer sous silence les choristes et M. Noté. La mise en
scène
de meure toulousaine. M. Rouché devrait bien remo
uccesseurs. Il a froidement égorgé la vache à lait des « loges sur la
scène
», et voici qu’il implante et prodigue les répéti
t avec peine à rendre un style (il y a une lettre de Catherine sur la
scène
) d’inspiration furieuse, haletant, presque frénét
out obtenir, dans l’existence militante où elle se voue désormais… »
Scène
inouïe ; fulguration d’amour, brûlant comme une é
dante, aux héritiers d’un auteur qui a fait gagner des millions à nos
scènes
lyriques et à nos éditeurs de musique ? On peut ê
parfois un peu cherchée, — toutefois qu’ils évoquent intensément les
scènes
vécues, les épisodes de l’expédition. C’est à Lem
ux Milanais avec la Norma et, durant le premier acte, fut rappelée en
scène
seize fois et cela, selon la plus ancienne tradit
dans un digne silence », M. Giolitti. Et on voit celui-ci rentrer en
scène
avec un télégramme ardemment patriotique, adressé
fier l’un à l’autre ! Rosso imagine de reproduire simplement certaine
scène
vue de ses propres yeux : une jeune fille ayant r
s, groupés au hasard d’une rencontre dans une voiture publique, cette
scène
unique traduite en un style sévère et ferme, exéc
jets aussi différents l’un de l’autre que la mort dudit Orphée et des
scènes
de jeu dans les villes d’hiver. Il y a peut-être
aume Tell, par contre, ne jouissait que d’un décor usé, d’une mise en
scène
dont le toulousain pompiérisme reportait à quinze
du Couronnement de Poppée, que nous connûmes, il n’y a guère, sur la
scène
du Théâtre des Arts. Bref, le plus captivant de l
t dans la coulisse, pour, à tel autre moment climatérique, rentrer en
scène
et reprendre officiellement le pouvoir. Ceci étai
ue les pièces de théâtre et jusqu’aux acteurs français parcourent nos
scènes
; nous savons que le théâtre et de roman ne suffi
e de lettres ne percevait pas autre chose que la matérialité de cette
scène
. Derrière lui et autour de lui : le vide, le vide
ot que nous dirions si nous étions maîtres de l’amener à la fin de la
scène
que nous devons prévoir ? Tito Bassi n’est ni un
grandes nations latines. Les techniciens allemands entrèrent donc en
scène
, même les techniciens de la culture : professeurs
ctuelle. Luigi Barzini : En Belgique et en France (1915), suite des «
Scènes
de la Grande Guerre », traduction de Jacques Mesn
ture en est peut-être moins immédiatement saisissable que celle des «
Scènes
de guerre » précédemment parues. Mais aussi l’his
Vinci. Le genre noir et majestueux de Vinci convenait surtout à cette
scène
. Bossi a pris un coloris illuminé de partout. Il
e avait un éclat tellement surnaturel, en cette nuit, que seule cette
scène
y semblait possible. Un poète eût pu tirer de cet
échirés, mutilés ; malades, ont défilé devant eux. Puis a commencé la
scène
la plus stupide que je sache : Deux pauvres diabl
pour l’esclave, de l’autoritaire pour l’inférieur. Enfin, après cette
scène
d’inquisition médicale, on les a laissés aller av
ystères, qui demandaient une trop bruyante préparation et une mise en
scène
trop compliquée, tels que le Jugement dernier et
emble, en patois, oubliant le texte et les strictes convenances de la
scène
. Cette foule considérable n’est préparée que par
’humour caustique et énorme : Ubu Roi, se sont traînées avec peine de
scène
en scène sans toucher ni même rejoindre un instan
austique et énorme : Ubu Roi, se sont traînées avec peine de scène en
scène
sans toucher ni même rejoindre un instant l’atten
e Beuron, qui ont représenté au mont Cassin, en grandes fresques, les
scènes
principales de la vie de saint Benoît. Comme eux
de lutter, par la naïveté du coloris, avec les archaïques peintres de
scènes
mystiques. Il est amant de la nature, à l’exemple
ist sur fond d’or du Siennois Simone Martini ; de curieux Lorenzetti (
Scènes
de la vie de saint Étienne) ; un beau triptyque,
retto Nuzi, daté de 1365 ; un grand panneau avec prédelle offrant des
Scènes
de la vie de la Vierge, œuvre capitale de la jeun
e du mythe d’où ils naquirent, ce qui nous est révélé dès la première
scène
de l’œuvre, où se lamentent les mères des héros t
l n’y a plus dans cette étude aucun trait pittoresque, aucune mise en
scène
, aucun décor, toute parure qui eût été vaine aprè
n française : Les Bains de Bade au xve siècle, par Pogge, Florentin,
scène
de mœurs de l’âge d’or. Traduit en français pour
histoire mélancolique où il y a de jolies pages. Les nouvelles et la
scène
symbolique réunies sous le titre de In hora morti
, et, dit-il, « je découvris bientôt que Goldoni était un génie de la
scène
auquel le monde des lettres anglais n’avait jusqu
gèrent autant que les écrivains anglais, bien qu’il ait écrit pour la
scène
française. » Poussé par M. Chatfield-Taylor, le D
euse. Je me suis même assoupi un moment et j’ai rêvé. Je revivais une
scène
à laquelle j’ai souvent assisté à Florence : une
impressions, ils les retrouveront dans toute leur intensité dans les
Scènes
de la Grande Guerre vues par Luigi Barzini. Le pr
e, dont, au cours d’une analyse aimable, il traduit un fragment de la
scène
du second acte, entre Paul Dartigny, Lucie et la
viie siècle, l’idée du triomphe prévaut dans l’interprétation de la
scène
du Crucifiement, idée païenne quant à ses résulta
raiment dire de tout son œuvre théâtral : « Ai-je voulu parler sur la
scène
du masque fidèle de l’homme éphémère ? Est-il néc
. PISANI . PICTORIS . et une date, — et tout en haut, éclairant cette
scène
, un mince croissant de lune… Jamais poète ne fit
ème degré, impression nulle. D’Annunzio n’a pas voulu admettre que la
scène
a des exigences spéciales, et il y reste littérat
arquait l’Avanti, le journal des socialistes, — il se présenta sur la
scène
, « tout luisant, du crâne à la pointe des bottine
ui livra la République Vénitienne à Bonaparte, il se passa une de ces
scènes
si fréquentes alors, et que l’emphase des discour
d’omettre cet épisode ; c’est la vie entière du poète qu’il remet en
scène
, depuis la fuite en Espagne tout enfant, sous le
nes auparavant. Qu’un dramaturge tire de circonstances semblables une
scène
à effet sur le théâtre, rien de mieux ; qu’un rom
on temps, tableaux admirablement dessinés, de personnages bien mis en
scène
et bien vivants sous sa plume, tous décrits et no
la chapelle et les appartements de la villa de quantité de fresques :
scènes
bibliques ou religieuses (notamment le délicieux
ement de sainte Catherine par les anges), compositions mythologiques,
scènes
de la vie réelle, etc. Ce merveilleux ensemble dé
n ombre, de plus de vie, d’explications intimes, qu’en leur éclat des
scènes
plus illustres : la région domestique des impress
t un trait et chaque pensée un livre. Or, pour mettre ses acteurs en
scène
, Casanova avait pendant 20 ans couru l’Europe, et
n très spéciale de mettre, dans sa tempête, tous les vents du ciel en
scène
: il avait besoin de faire entendre que, tirée ai
elques pas à faire pour paraître devant la vierge aux bras blancs. La
scène
qui suit, une des plus belles de l’Odyssée, est t
n donner, moins d’ailleurs pour lui-même qu’en faveur des héros de la
scène
— tel un prince qui prélève des impôts sur la plè
personnalité définitive. Pendant vingt ans, Verdi régna ainsi sur les
scènes
lyriques sans cesser de produire un instant, mais
lair d’un sourire ironique, la réflexion, le clin d’œil du metteur en
scène
. Littérature. Bibliographie Verlainienne. Con
temps le fatiguera ; il tombera dans la peinture, sans équivoque, des
scènes
modernes — sans en lire le hautain caractère de d
ammé de son pathos esthétique, et monta résolument à la tribune de la
scène
et de l’hyposcène, et devint presque exclusivemen
mple dévotion d’honnêtes artisans, ne doutant point de la réalité des
scènes
religieuses qu’ils se chargeaient de représenter
l ne me comprenait pas. Le son des mots qui évoquait en moi toute une
scène
, les associations d’idées d’un parfum, d’un nom,
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