précisément ce lyrisme un peu brumeux que j’aime en M. d’Annunzio. Le
roman
ne relève pas d’une autre esthétique que le poème
nzio. Le roman ne relève pas d’une autre esthétique que le poème ; le
roman
originel fut en vers : c’est l’Odyssée, roman d’a
tique que le poème ; le roman originel fut en vers : c’est l’Odyssée,
roman
d’aventures, c’est l’Énéide, roman de chevalerie
nel fut en vers : c’est l’Odyssée, roman d’aventures, c’est l’Énéide,
roman
de chevalerie ; les premiers romans français étai
roman d’aventures, c’est l’Énéide, roman de chevalerie ; les premiers
romans
français étaient, nul ne l’ignore, des poèmes, et
’ignorance croissantes de lecteurs plus nombreux. De cette origine le
roman
garde la possibilité d’une certaine noblesse, et
, que Stello n’est pas un poème, que Salammbô n’est pas un poème ? Le
roman
est un poème ; tout roman qui n’est pas un poème
poème, que Salammbô n’est pas un poème ? Le roman est un poème ; tout
roman
qui n’est pas un poème n’existe pas. Naïvement, i
lassant sous la même rubrique, sous la même lettre, les poèmes et les
romans
; ils distinguèrent seulement la prose du vers pa
mois, ainsi qu’on me l’apprit dans mon enfance. J’attends ensuite le
roman
sur la hiérarchie céleste, fortement documenté pa
t et s’édifia pour son Rêve). Là, que cela soit fini et que, l’ère du
roman
instructif étant close pour quelques lustres, on
un peu rigoureuse. En même temps que ce volume qui sort des limbes le
roman
néo-italien, M. d’Annunzio nous a fait parvenir s
88 [82]. Le récit qui donne son titre au volume est un agréable petit
roman
d’un naturalisme assez discret, avec assez de psy
courante et type des Bourget et des Maupassant — mais enfin ce petit
roman
peut se lire. Il avait été remarqué, déjà, dans l
on disegno di G. A. Sartorio (Naples, Ferdinando Bideri). 2. Elegie
romane
, 1887-1891 (Bologne, Zanichelli).
t la figure de ce pâtre académique se ressentent encore. Livres et
romans
Cette chronique étant prolixe plus que d’ordin
e pouvoir y revenir plus tard. Ainsi, M. Anastasi vient de publier un
roman
. Il Ministro, qui marque pour l’auteur une nouvel
leins de philosophie et de bonté ; et M. Luigi Zoppis raconte dans un
roman
(L’Esteta) les terribles conséquences de l’esthét
de fer-blanc… Tome XXXVIII, numéro 136, 1er avril 1901 Les
Romans
. Gabriele d’Annunzio : Le Feu, Calmann Lévy, 3.50
femme de France, douée de beaucoup d’esprit, ce qu’elle pensait de ce
roman
: « Je voudrais qu’il fût plus simple », m’a-t-el
des Arts à Florence. Le détail de cette destinée est amusant comme un
roman
et il est dommage que Pogge n’ait pas écrit ses m
chement choisi cette voie et qui se préparent à monter le Calvaire du
roman
, de la poésie, du théâtre. Nous, les jeunes, ne p
rd’hui oubliés déjà, mais on attendait les traductions françaises des
romans
de d’Annunzio pour s’apercevoir de son existence
s. Ils ont déjà débuté avec deux livres remarquables : Il Corruttore,
roman
de M. de Frenzi ne décèle la jeunesse de l’auteur
ges, le développement sobre des scènes y sont complets ; c’est un bon
roman
, audacieux et honnête, de cette honnêteté littéra
ecueil de nouvelles et qui est fort important pour la conception d’un
roman
significatif. J’aurai, d’ailleurs, une bonne occa
éfaces… aux livres des autres : plus tard, lorsqu’il fit paraître son
roman
Miraggio, qui venait après quelques pièces et que
om de Lucio d’Ambra me rappelle celui de Tullio Giordana : le premier
roman
de celui-ci avait une préface de celui-là, et dep
jour, Tullio Giordana a marché vite. Ses nouvelles, Le Greche, et son
roman
, L’occhio del lago, et un petit récit, La fiamma
u’il saura s’emparer de cet instrument délicat et précieux qui est le
roman
moderne pour nous raconter quelque chose de bien
t avec les choses véritables de l’antiquité est à peu près celui d’un
roman
historique à l’histoire réelle. M. Weichardt, tou
obablement pourquoi ils m’ont provisoirement conseillé la lecture des
romans
dont je vais parler. Ayant acquis par de longs mo
ux de pouvoir exprimer mon manque absolu d’admiration pour le dernier
roman
de M. Fogazzaro, Piccolo mondo moderno. J’avais à
r roman de M. Fogazzaro, Piccolo mondo moderno. J’avais à peine lu un
roman
français profondément catholique et voici que Pic
hes, scrupuleux et asexuels, qui m’ont donné tant de mal en lisant le
roman
, d’ailleurs admirable, de l’auteur français. J’av
sir fou aux aventures mi-religieuses mi-politiques des personnages du
roman
de M. Fogazzaro. Il doit y avoir tout un monde qu
les qu’à porter autour des flancs un cilice, comme le protagoniste du
roman
français, ou à se brûler le bras à la flamme d’un
brûler le bras à la flamme d’une chandelle, comme le protagoniste du
roman
de M. Fogazzaro, pour échapper aux tentations d’u
it penser à un plateau chinois patiemment historié. Mais en lisant ce
roman
, on irait qu’il faut se faire un cas de conscienc
Zena avec un plaisir qui témoignait de leur admiration. Mais avec le
roman
L’Apostolo, il vient de se placer parmi nos roman
Zola, lequel en eut une vision étrangement puérile, — est le décor du
roman
de Remigio Zena. Celui-ci, qui le connaît bien, c
les théories, d’ailleurs bien dissimulées, qui inspirent ce livre, le
roman
de Remigio Zena ne peut pas être facilement oubli
absorbe trop souvent cet écrivain souple, fantastique, spirituel. Ses
romans
, qui paraissent d’avance dans les feuilletons des
esprit, la sérénité et la pénétration de son jugement, cependant ses
romans
, ses contes, ses poèmes, son théâtre, prouvent qu
Tome XLIX, numéro 169, janvier 1904 Les
Romans
. G. Rovetta : Loulou, trad. par Albert Lécuyer, C
vœu d’un tel pèlerinage. Tome L, numéro 172, avril 1904 Les
Romans
Rachilde. Tome L, numéro 172, avril 1904, p. 1
vis-à-vis de cette production à venir, je ne trouve que deux ou trois
romans
et une floraison inattendue de nouvelles. Les jeu
aquelle je vais revenir. Est-ce pour cela que les jeunes négligent le
roman
, cette forme de littérature superbe, libre, indép
e dans son livre. J’y retrouve tout l’esprit original qui inspire les
romans
de cet écrivain et le but philosophique qu’on n’a
son talent. Le Sette Lampade d’oro seront suivies dans l’année par un
roman
et par un recueil d’œuvres dramatiques, que l’aut
stes ne peuvent pas oublier qu’il a écrit et qu’il va écrire quelques
romans
. Sa position est donc des plus intéressantes, et
t paraissait, dans la nouvelle Bibliothèque de la Nuova Antologia, un
roman
de G. Cena, Gli Ammonitori. C’est l’étude profond
e, peu importe, pour se sacrifier à l’Idée qui hante leur cerveau. Le
roman
est carré, solide ; le style bref et sobre ; pers
sa Romagne, qu’il connaît intas et incate, et il publie d’un coup un
roman
, Gli uomini rossi (Les Hommes rouges) et un recue
un vrai scandale dans les cercles républicains de la Romagne. Dans le
roman
, la fille d’un révolutionnaire, sourde à l’idéal
C. Giorgieri-Contri : Felicità del Sonno Un poète qui revient au
roman
est Cosimo Giorgieri-Contri. Titre du roman : Fel
Un poète qui revient au roman est Cosimo Giorgieri-Contri. Titre du
roman
: Felicità del sonno (le Bonheur du sommeil), et
eri-Contri a déjà écrit, dans sa verte jeunesse, lo Stagno (l’Étang),
roman
qui avait les intempérances caractéristiques de l
st fausse. Aussi les femmes qui occupent une si grande place dans les
romans
de Maupassant et de d’Annunzio sont-elles des cou
, mal satisfait, se confie à une fille docile et simple. La morale du
roman
n’est pas, comme on l’a dit, qu’André Mariolle a
u’il a traversés et où il a placé l’action de ses nouvelles et de ses
romans
, Maupassant a toujours conservé au paysage norman
écise et suggestive d’un terroir dont l’impression domine son premier
roman
tout entier et presque toutes ses nouvelles ; son
er l’idéal d’élégance perverse qu’il a conçu, et l’écrivain, pour ses
romans
, cherche au moins l’inspiration du décor dans la
là que chez la femme vieillie, déjà proche de la mort, à un âge où le
roman
de sa jeunesse n’était plus qu’un très lointain e
urs esthétiques les utiles lauriers de la littérature théâtrale ou du
roman
facile ; mais d’autres, comme M. Antonio Beltrame
teurs d’Italie, vient de publier des morceaux inédits du très célèbre
roman
de Manzoni, Les Fiancés. Ces morceaux contiennent
. Ces morceaux contiennent des épisodes qui détoneraient fort dans le
roman
dont Manzoni à grand’peine précisa les contours.
écisa les contours. Publiés et lus séparément, ils forment un nouveau
roman
en tout digne du grand romantique. Lorsque les Fi
auvres, étaient littérature, étaient tâtonnements sans discipline. Le
roman
historique de l’écossais Walter Scott troubla les
l’écossais Walter Scott troubla les esprits. Manzoni écrivit alors un
roman
historique, « Les Fiancés », où il sut résumer la
ur, de cet art qui en Occident avait eu pour maîtres les Italiens, Le
Roman
de Manzoni fut imposé en étude aux adolescents, à
ude aux adolescents, à l’école ; il l’est encore aujourd’hui. Mais le
roman
, qui contient des merveilles de narration et de s
ce semble un avertissement, dans cette heure solennelle où le sort du
roman
— en Italie, comme partout, d’ailleurs — semble s
: imperioso (impérieux). Il écrivait à propos du héros de son dernier
roman
: « Monsieur Tel descendait d’une famille impérie
lesse d’en tenir compte ; et voilà que dans la seconde édition de son
roman
on lit : « M. Tel descendait d’une famille aristo
st en droit d’attendre. Je peux croire qu’il s’agit de personnages de
roman
; je peux croire qu’il y a là quelque événement d
ne sont pas habituées ; le dédain pour la forme, qui caractérise les
romans
de M. Fogazzaro, et qui, jusqu’à un certain point
recueil de vers lyriques ; ça ne pourra que faire aimer davantage les
romans
de M. Fogazzaro. E. Panzacchi : Rime Novelle
er. G. Rovetta : L’Idolo Je dépêcherai en deux mots le nouveau
roman
, l’Idolo, de M. Rovetta. Cet auteur veut produire
t vertigineusement rapide ; coup sur coup il nous lance à la tête des
romans
, des drames, des nouvelles ; seule la poésie a pu
tir pour l’Égypte dans un voyage d’études et d’agrément, a publié son
roman
, Il Vecchio (Milan, Galli). Je crois que M. Ojett
te, par Maria A. Brunamonti (Città di Castello, S. Lapi). Il Vecchio,
roman
, par Ugo Ojetti (Milan, Galli). L’Esca, roman, pa
, S. Lapi). Il Vecchio, roman, par Ugo Ojetti (Milan, Galli). L’Esca,
roman
, par Ottorino Novi (Milan, Galli). Tome XXVI
sement les détails, sans jamais se distraire de son but. La Gioia, le
roman
qui a précédé celui dont je m’occupe aujourd’hui,
l’action se développe avec une rapidité énergique : en effet, tout le
roman
ne tient que deux cent trente pages, mais savoir
et mystérieuse, mais elle est désormais si commune, j’entends dans le
roman
, qu’il faut vraiment passer dans l’autre camp, ch
désireux de vivre ; Ercole paye de la vie son illusion de liberté… Le
roman
de M. Corradini est tout là : une lutte d’âmes ac
ini e idee del domani (Turin, Flli. Bocca). — G. Trespioli, L’Atteso,
roman
(Parme, R. Pellegrini). — C. Lombroso, In Calabri
, L’Isola del Sole (Catane, Giannotta). — E. Corradini, La Verginità,
roman
; Th. Neal, Studi di litterature e d’arte (Floren
bra (Turin, Roux). Tome XXVII, numéro 103, juillet 1898 Les
Romans
. A. Butti et Lécuyer, L’Automate, « Mercure de Fr
e et musique y sont également superficiels. L’épisode sentimental, le
roman
de Mimi et de Rodolphe qui en est le vrai sujet,
e extraordinairement habile qu’est M. A. Carré. Tout le monde a lu le
roman
de Mürger d’où est tiré ce drame ; les héros en s
meurt en chantant, comme la Traviata, comme toutes nos phtisiques de
roman
qui vont en Italie consulter des musiciens. Celui
st l’amour qui le pousse. Finalement, il me coûte de le dire, tant le
roman
est faussé par ce banal dénouement, Don Quichotti
onnu en France. L’idée seule de ce Don Chisciottino, comme celle d’un
roman
antérieur, Monsieur Moi, montre un écrivain moins
e n’ai jamais senti ni compris l’amour de la patrie » ; dans un autre
roman
, tout de jeunesse, Memorie inutili, il avait anal
ly-Prudhomme, etc. Giovanna Ruta, par A.-S. Novano (Turin, L. Roux),
roman
, un peu à la Verga, où il y a de réelles promesse
martine : poésie d’hier. L’Amante, par Adolfo Maspes (Milan, Galli),
roman
sentimental très recommandé par M. Valcarenghi (C
hi (Cronaca, 10 mai). L’Illusione, par F. de Roberto (Milan, Galli),
roman
d’un naturalisme modéré ; procédés de Flaubert.
des écrivains en quête de documents humains. Dans un de ses derniers
romans
, H. de Régnier nous présentait un type de fervent
endormie dans les cartons de l’érudit Lauvereau… En tout cas, le beau
roman
de H. de Régnier a dû valoir à Casanova toute une
sanova, la brune silhouette de Conchita Perez de Garcia, l’héroïne du
roman
de Pierre Louÿs, la Femme et le Pantin. Lorsque C
le Pantin, et dans les Mémoires de Casanova ; les divers épisodes du
roman
de Pierre Louÿs sont d’excellentes répliques des
fficulté notre observation par la lecture comparée des Mémoires et du
roman
. L’analogie est évidente. Que prouve-t-elle ? Tou
a empruntent de même un intérêt nouveau et une valeur particulière au
roman
qu’ils ont inspiré et que nous avons essayé de ra
rgues de Barbarie futurs… […] Tome XXI, numéro 87, mars 1897
Roman
. E.-A. Butti : L’Âme, traduit de l’italien par J.
vont aux œuvres vulgarisées par les chansons, les complaintes ou les
romans
, la Joconde, le Radeau, Atala ; les musées ne son
ltat n’en est pas moins atteint et la popularité de la plupart de ses
romans
dit combien ils ont été goûtés par le rare public
l’auteur. L’amour est vainqueur de l’action, mais provisoirement. Ce
roman
intéressant, quoique écrit avec une redondance qu
dont on nous permet de donner au public quelques paragraphes : « Ce
roman
intéresse beaucoup les vieux Vénitiens qui, comme
i bei tipi novella critica, par Alberto Cantoni, Florence, Barbèra. —
Roman
où l’on traite : du féminisme littéraire en Europ
l’humble opinion que si M. Capuana revenait à ses travaux ordinaires,
romans
, nouvelles, pièces de théâtre, il s’en trouverait
dits de Lorenzo Vendramin, Paris, Société du Mercure de France, 1897.
Roman
sur une courtisane vénitienne paru en feuilleton
dis qu’on annonce pour les premiers mois de 1903 une belle moisson de
romans
et de nouvelles, de drames et de comédies, il fau
olli : Amor di sogno On n’aurait jamais pensé à écrire en 1850 un
roman
tel que Amor di sogno, Ie dernier succès de libra
comme tout le monde, et des nouvelles honnêtement insignifiantes. Son
roman
a été donc une révélation, que le public a su app
e, dans ce jour tout ensoleillé d’un doux automne italien… Tel est le
roman
de M. Antoniolli, puisqu’il serait impossible de
ails : sur ce canevas délicat et léger il a construit un fort et beau
roman
, qui place l’auteur parmi les jeunes les plus en
Bien divers est le cas de M. Lucio d’Ambra. Est-ce que ce nouveau
roman
, l’Oasis, marque un progrès dans la carrière de c
ouve dans son dernier livre les mérites et les défauts de son premier
roman
, Il Miraggio. M. Lucio d’Ambra est un écrivain pr
u de lui que très peu d’articles qui ne parlent pas d’écrivains et de
romans
parisiens, car il est chez nous, parmi les jeunes
. Félicien Champsaur a dédié à M. Lucio d’Ambra divers chapitres d’un
roman
; il a été quelque chose dans le Comité italo-fra
pour son enfant. La vie et la mort de cet enfant sont presque tout le
roman
de M. Lucio d’Ambra ; il aurait pu donner un chef
ce qu’il faut bien vivre d’une manière quelconque, avec quelqu’un. Le
roman
de M. Lucio d’Ambra est dédié à M. Hugues le Roux
Falce, de M. Calandra, auteur aristocratique, dont je me rappelle un
roman
vraiment remarquable, La Bufera (l’orage) ; et un
dmirent le beau talent de l’auteur de Richard yea and nay. Ces petits
romans
d’Italie sont, en réalité, cinq nouvelles assez l
r : Wayfarers in Italy, cr. 8°, viii-309 p., 12 s. 6 d. Les petits
romans
de Mr. Hewlett font revivre une des plus belles é
jet est bien peu de chose. Sfinge : Dopo la vittoria Parmi les
romans
qui ont vu le jour ces derniers mois, je dois sig
pre avec les conventions littéraires, elle n’y arrive qu’à moitié. Le
roman
que Sfinge vient de publier chez Treves de Milan
enant précipitée… Tome XLVII, numéro 165, septembre 1903 Les
Romans
. Luigi Capuana : Le Marquis de Roccaverdina, Font
r me fortifier l’estomac. Je crois qu’on en trouve de tous faits chez
Roman
. » D’ordinaire, ces notes, bien que suggérées sou
émérité d’enjambement : C’était pour Moi la trame d’un doux
roman
d’amour ! ……………………………………………
les Arnold Bœcklin, eut une enfance extrêmement agitée. On dirait un
roman
de Dickens. Elle a été trop souvent racontée pour
nir littéraire est aussi vif et aussi immuable. Avant la naissance du
roman
proprement dit, avant la transposition florentine
ue les héros idéologiques et sectaires, ou bien les types humains des
romans
de la littérature provençale, impressionnaient le
eux d’Italie, du débris romain, du sarcophage chrétien, mais l’époque
romane
, trop influencée par ces débris, n’atteint pas à
que, et vile par conséquent. On dirait qu’il n’y a qu’un poème, qu’un
roman
et qu’un drame, à voir l’amour remplir, de ses ac
un Léonard. Exception sans doute, moins qu’on ne croirait. […] Les
Romans
. Jean de Foville : Eros, Plon, 3,50 Rachilde.
vers Florence aux yeux de corail et d’émail. 20 janvier 1909. Les
Romans
. Tony Féroé : Mona-Laura, Paul Paclot, 3,50 Rac
310, 16 mai 1910, p. 341-346 [346]. […] La Revue (15 avril). — « Le
roman
policier », par M. A. Niceforo. […] La Grande Re
t nationale. Ils font, particulièrement depuis trente ans, de mauvais
romans
, de mauvais poèmes, de mauvaises pièces, ourdis s
s impurs, Girolamo Rovetta. Cet infatigable fabricant de pièces et de
romans
, qui laisse une vingtaine de romans, une trentain
tigable fabricant de pièces et de romans, qui laisse une vingtaine de
romans
, une trentaine de pièces, ne laisse au fond qu’un
élégances romaines baroques, à l’aviateur Paolo Tarsis de son dernier
roman
, il a suivi un chemin assez significatif dont tou
hemin assez significatif dont toutes les étapes sont marquées par des
romans
. Enfin le poète lui-même a pris le chemin qui mèn
rt violente et inédite le sillon de gloire latine. § Dans son dernier
roman
, d’Annunzio a voulu chanter lyriquement un autre
n de l’énigmatique devise est surtout plus dans la pensée centrale du
roman
que dans sa forme, dans ses expressions, dans l’h
nous apparaissent essentiellement musicales. Le poète atteint dans ce
roman
à une telle maîtrise dans l’exposé, l’esthétique
u’il ne décrit pas. Une autre catégorie d’écrivains, ceux qui font le
roman
dit psychologique, reste dans une zone intermédia
ace des êtres, aux enchevêtrements de leurs actions. Dans son dernier
roman
, d’Annunzio cherche moins que jamais à nous « rep
matière de ses représentations de la vie contemporaine. Il revient au
roman
après une longue pause remplie des harmonies, par
era désormais à vouloir, à agir, à mourir ; et le premier chapitre du
roman
donne assez l’impression du premier mouvement d’u
a devise : peut-être que oui, peut-être que non. Elle donne à tout le
roman
la couleur étrange et invraisemblable de son âme,
n ». Mais il s’éloignera. Car c’est elle la véritable protagoniste du
roman
. Paolo n’est qu’un prétexte, et son rôle d’aviate
lée l’atrocité du destin toujours obscur enraciné dans la chair. « Le
roman
traite de la vie, représente la vie — a dit Noval
rapport au poète. » Ici, sans doute, c’est un poète qui a composé le
roman
, se souvenant de préceptes musicaux ou prosodique
mation de l’ambiguïté qui devient le leitmotif et la signification du
roman
de leur aventure : Peut-être que oui, peut-être q
ana morte, et de celle qu’il aime et qui est folle. § Le défaut de ce
roman
est dans le fait que l’exubérance héroïque de la
pathétiques encore à trouver, encore à chercher, et, dans son dernier
roman
, d’Annunzio s’en rapproche davantage ; s’il est r
e résumer dans le mot : Ordre, et exprimer par le mot : Style. Les
Romans
. F. T. Marinetti : Mafarka le futuriste, Sansot,
ri, une œuvre qui n’est pas d’ailleurs sans analogies avec le célèbre
roman
de Manzoni. M. Augusto Novelli a donné depuis que
Fille de Jorio. Tome LXXXVI, numéro 315, 1er août 1910 Les
Romans
. Ed. de Fréjac : Alviane et César, Louis Michaud,
au xve siècle, mais dont la tour del’Arringo a gardé ses ouvertures
romanes
; St-Pétrone, commencé en 1390 et dont les travau
penseur et d’artiste. Qu’il donne le collier des quatre plus profonds
romans
italiens modernes, Jalousie, la Défaite, Tourbill
fieront ou s’abandonneront mutuellement ; c’est le chapitre final des
romans
bien faits ou les cinquante pages d’essai du jeun
uvert par les ombres protectrices des demi-dieux qu’il évoque. Les
Romans
. Ricciotto Canudo : La Ville sans chef, « Monde i
Du même Capuana vient de paraître chez Pedone-Lauriel, à Palerme, un
roman
, Il Profumo, où se modifie un peu, vers le sens i
ronaca d’Arte (1-2 de la seconde année). M. Valcarenghi y commence un
roman
, Dedizione ; musique, très intéressante, de M. Ce
on la manière de dire de là-bas, du vérisme. Il a publié Giacinta, un
roman
brutal et palpitant que l’on a été jusqu’à compar
x, dont une traduction française serait tout indiquée ; deux ou trois
romans
: Le Parfum, Frisson, aucun n’atteignant la maîtr
« Alphonse Daudet, écrit-il dans un autre chapitre, est le Sardou du
roman
. Presque tous ses travaux sont, pourrait-on dire,
zzetta Letteraria : un bon article de Giuseppe Depapis sur le dernier
roman
de Gabriele d’Annunzio, l’Innocente : « Comme œuv
Vita Moderna (Milan) : une étude de Enrico A. Butti sur deux nouveaux
romans
français. Ce jeune romancier avoue un goût partic
L’éblouissant paradis byzantin fut enclavé dans la grave architecture
romane
. Par rapport aux nations du Levant, Rome était le
entre comme la statue de l’Impudeur. — Vous étiez précoce. […] Les
Romans
. Emilio de Marchi : L’Accusateur imprévu, Hachett
[484]. L’Accusateur imprévu, par Emilio de Marchi, ou le dramatique
roman
du chapeau d’un curé. Admirablement conduite, cet
ttachante et peut bien donner des songes aux assassins qui lisent des
romans
. Il y en a. Lettres italiennes Luciano Zucco
ins, les miens compris. Tome XLI, numéro 147, mars 1902 Les
Romans
. Dimitri Merejkowski : La Résurrection des dieux,
. Dimitri Merejkowski : La Résurrection des dieux, Perrin, 3,50. — Le
Roman
de Léonard de Vinci, Calmann-Lévy, 3,50 Rachild
so, par A. Fogazzaro Il n’y a rien d’étonnant que la production du
roman
en Italie soit depuis quelque temps assez restrei
tions plus larges. Quant à d’Annunzio, après le succès de son dernier
roman
Il Fuoco, il ne semble viser qu’aux triomphes de
a pas manqué d’en profiter largement ; et c’est pourquoi son cycle de
romans
attendra encore peut-être longtemps le jour où so
ns de poésie française. Tome XLII, numéro 150, juin 1902 Les
Romans
. Marco Praga : La Petite Blonde, Calmann Lévy, 3
journalisme semble occuper entièrement ce jeune confrère ; depuis son
roman
Il Vecchio, qui remonte à cinq ou six ans, il n’a
é mûre et une heureuse indépendance de vues et de propos. Quelques
romans
— J’ai à signaler quelques romans assez notabl
e vues et de propos. Quelques romans — J’ai à signaler quelques
romans
assez notables ; Dopo il divorzio (après le divor
iothèque ! Jolanda, une autre autrice bien connue en Italie, tente le
roman
passionnel avec Alle soglie d’eternita (Au seuil
debout entre deux anges musiciens, dans un sanctuaire d’architecture
romane
. — Le catalogue dit : Van Eyck. Il est presque ab
G. Lipparini, Poemi e Elegie, Zanichelli, Bologne. — J. Dornis : Le
Roman
Italien Contemporain, Ollendorff. — Pierre de Bou
épourvu de toute idée générale et de tout sens esthétique, qui est le
Roman
Italien Contemporain de Mme Jean Dornis. Le défau
a Deux femmes, Mmes Sibilla Aleramo et Sfinge, font paraître deux
romans
qui présentent des analogies très grandes, et qui
e femme libre, consciente, maîtresse de sa volonté et de sa force. Le
roman
de Mme Sibilla Aleramo, Une Femme, est un cri pui
té ne sont point nombreuses, paraît-il, les protagonistes de ces deux
romans
aboutissent toutes les deux à la rédaction d’une
a composé avec tant de puissance logique et esthétique dans les deux
romans
parus de sa Trilogie de l’Amour et de la Mort. La
peu équivoque, mâle ou femelle, et il l’introduira dans son prochain
roman
. Des écrivains respectables ne surent pas résiste
la France ? Bien mieux. Nous pouvons l’affirmer, non pas parce que le
roman
français est lu chez nous comme en France, non pa
urs français parcourent nos scènes ; nous savons que le théâtre et de
roman
ne suffisent pas à nous donner le miroir fidèle d
es et supérieurs. Tandis que la librairie française nous envoyait ses
romans
, bons ou mauvais, et les chefs-d’œuvre de toutes
ogene ; Viaggio circolare di un letterato. On lui doit aussi un petit
roman
fantaisiste, entre l’ancien et le moderne, sur So
si profond et désespéré de toutes les réalités du monde. Son dernier
roman
, La Madonna di Mamà (Milano, Treves) retrace l’hi
t de paraître, Mimi Bluette (Milano, Baldini e Castoldi) il a créé le
roman
bilingue, où la narration est en italien et le di
enfui à l’anglaise et s’est enrôlé dans la Légion Étrangère. Dans ce
roman
, auquel le dialogue assez alerte et parisien donn
toriale Lombardo) est assez intéressant comme donnée : la genèse d’un
roman
dans l’esprit d’un artiste, mais il se ressent de
resque un ancien. Il se fit connaître, il y a quelques années, par un
roman
autobiographique, Duccio da Bontà, dont on remarq
la vie les contraint à l’humiliation de soi, il leur a dédié, par le
roman
, des pages émouvantes qui me font penser à des ch
rt pour sa foi, et ce qu’il a mis de meilleur, de plus élevé dans ses
romans
, reflète exactement la noblesse de son esprit, et
estion religieuse a été souvent discutée un peu partout. Dans un beau
roman
, autrement puissant que le Sens de la mort de Pau
ier ? — La manière, et, tout de même, les « sujets ». La lecture d’un
roman
de d’Annunzio est pour moi une douloureuse épreuv
nzio m’ennuient encore plus que les oraisons funèbres de Bossuet. Tel
roman
de Gabriele d’Annunzio, si l’on supprime tous les
nunzio se permettaient d’être « vrais », ils parleraient ainsi, et le
roman
se réduirait à quelques pages, sobres et rapides.
e vaut pas la sobriété de nos écrivains ? Et pensez-vous que, pour le
roman
moderne, et même pour le roman de demain, elle ne
crivains ? Et pensez-vous que, pour le roman moderne, et même pour le
roman
de demain, elle ne sera pas l’expression exacte,
’ont certains de ses personnages ! C’est précieux et surchargé. Si le
roman
italien de l’avenir est influencé par les romans
x et surchargé. Si le roman italien de l’avenir est influencé par les
romans
de M. d’Annunzio, je passerai mes vieux jours à r
est bien ce qu’a tenté, et réalisé, M. d’Annunzio. Je me demande quel
roman
il va tirer de son expérience militaire. D’avance
ie siècle4. Tome CXVIII, numéro 443, 1er décembre 1916 Les
Romans
. Henri de Régnier : L’Illusion héroïque de Tito B
udace de Claude Lorrain et Turner, on ne peut mettre personne. Les
Romans
. Matilde Serao : La conquête de Rome, Ollendorff,
0, p. 189-197 [197]. Maintenant à signaler les traductions parues des
romans
suivants : Résurrection, par le comte Tolstoï ; J
er janvier 1900, p. 281-286. Alfredo Oriani : Vortice Vortice,
roman
, par Alfredo Oriani, un auteur qui, quand l’Itali
s qu’on s’obstine à appeler les jeunes, — a eu ses jours de vogue. Ce
roman
raconte la dernière journée d’un petit bourgeois
fait écraser sous un train, probablement en retard, comme d’habitude.
Roman
minutieux et cruel, avec un sens de minutie psych
s son genre. Il fonde un grand journal politique ou il écrit un grand
roman
comme on boirait un verre d’eau ; et l’un et l’au
ant que pour la forme. G. Anastasi : La Salvezza La Salvezza,
roman
, par Guglielmo Anastasi. — Si je me connaissais e
e, j’aurais probablement des observations à adresser à l’auteur de ce
roman
, que je n’aurais pas supposé si philogine ou gino
u, si inattendu, qu’il s’arrête. Ce chapitre, le dernier, est dans le
roman
de M. Anastasi absolument admirable ; chaleur, co
t surgir et s’approcher l’image d’une Foi nouvelle… Je ne donne de ce
roman
que le squelette, en négligeant une foule de déta
es critiques littéraires, des discussions politiques, des morceaux de
romans
, des impressions, des descriptions, des études de
olamo Rovetta confie à cette même Revue le dernier de ses trois mille
romans
, La Signorina, qui menace d’être intéressant et v
sa marche puissante. Les dernières livraisons s’ornaient d’un nouveau
roman
de Matilde Serao, Suor Giovanna della Croce, dont
représentation est imminente. À la prochaine fois le compte rendu des
romans
, nouvelles et poèmes. Tome XXXIV, numéro 124
elon l’esprit, elle ne sort guère de l’ambiguïté ou du contresens. Un
roman
abonde-t-il en pages psychologiques, la bonne rep
n abrégé, une liste de ces aventures malheureuses : la publication du
roman
Il Fuoco, la polémique avec M. Marcel Prévost, le
s internationaux ne lui marchandaient pas, il est arrivé à ce dernier
roman
, Il Fuoco, où l’amour le plus passionné d’une gra
blème : quelle grande actrice italienne était donc la protagoniste du
roman
? Il y a, je crois, depuis longtemps un problème
re tout pimpant du succès mi-littéraire, mi-scandaleux de son dernier
roman
, vit un jour une vingtaine d’imbéciles qui étaien
s, il va sans dire qu’une risée irrévérencieuse a été l’accueil de ce
roman
si anxieusement attendu ; M. Panzacchi, qui, tout
La Corsa al Piacere E. A. Butti, qu’on connaît en France par ses
romans
(l’Automate, traduit par M. Lécuyer, l’Âme, tradu
talie dont parlent si mal ceux qui ne la connaissent qu’à travers les
romans
… russes ou les articles de la première Ouida qui
fait rare ; il n’en fallait pas moins pour faire oublier son dernier
roman
et les mésaventures politiques que j’ai racontées
où il s’éloigne des extériorisations individualistes brutales de ses
romans
, en même temps que de l’exaltation des héros et d
aysage représente l’effort maximum pour renoncer aux illusions de ses
romans
, où il semble croire à la volonté et à la liberté
échoir à un grand poète. M. Paolo Buzzi va publier prochainement un «
roman
poétique ». Échos. Vols d’œuvres d’art en Ital
de ce recueil est justement le « pathos romain », celui qui, dans les
romans
et dans ses autres volumes de poèmes, se montre t
ulgarisation, contient les plus belles ou les plus célèbres pages des
romans
, nouvelles et autres écrits : les Idolâtres des N
Société du « Mercure de France », Paris. — Grazia Deledda : Cendres,
roman
, G. Hérelle tr. Calmann-Lévy. Paris. — Antonio Be
araissent en français un recueil de nouvelles : Les Tentations, et un
roman
: Cendres. C’est de la littérature régionale. Cet
igieuse, violente, juste et passionnée, de son pays. Dans Cendres, le
roman
se déroule farouche et naïf, simple dans la fable
e, traduit par M. Pasquale de Luca, sont les derniers de la série des
romans
de Wells, série dont la langue italienne compte d
tion italienne… Cependant quelques bons livres ont paru dernièrement,
romans
et poèmes, d’écrivains connus et inconnus, qui ré
lent quelques tendances des jeunes. M. Luigi Capuana fait paraître un
roman
délicieux, un original conte de fée, qu’il appell
Renzo Streglio, Turin. — Chez Calmann-Lévy paraît le beau et profond
roman
: l’Amour triomphe ! de M. E.-A. Butti (M. Lécuye
avril 1906, p. 476-480 [478]. M. Fogazzaro, l’auteur de Il Santo, ce
roman
auquel la condamnation presque unanime de la crit
’enthousiasme des habitants de Subiaco, où il a situé l’action de son
roman
; ils l’ont invité à un grand banquet, à des fête
écu ». Quelques photographies portaient comme légendes des phrases du
roman
. Tome LX, numéro 212, 15 avril 1906 Chro
res, je dirais presque plus nouveaux, des générations qui montent. Le
roman
que je salue comme la réelle et forte affirmation
autre a confirmé la bonne renommée de son nom. M. Ciro Alvi publie un
roman
sur Saint François d’Assise (San Francisco d’Assi
ie de plaisirs du jeune homme, et l’ascension sublime de l’Apôtre. Le
roman
est toute une vision mystique et passionnée, repr
de l’Imprimerie rapide de Tunis, Tunis. — Luigi Bellini, Vana Attesa,
roman
, Torino, Roux et Viarengo, Turin. — Teresa Corrad
s stendhaliennes. Tome LXII, numéro 218, 15 juillet 1906 Les
Romans
. Duchesse di Andria : Miettes, L. Pierre, à Naple
andis que les discussions les plus diverses continuent sur le dernier
roman
de l’heureux auteur italien, il se publie à Flore
fois d’un intérêt au moins aussi considérable. Il est un des pères du
roman
local, du roman de terroir ; mais certainement, p
t au moins aussi considérable. Il est un des pères du roman local, du
roman
de terroir ; mais certainement, plus que personne
e le 4 avril 1830, vers le temps où paraît le Rouge et le Noir. Et le
roman
ne fut peut-être pour lui qu’une sorte de pis-all
onc pas s’étonner si l’histoire du livre sur la peinture a, tel qu’un
roman
mal fait, ses incohérences et ses longueurs. Elle
ue que les Italiens doivent parler, je ne m’étendrai pas sur ces deux
romans
. Leur morale surannée et leur psychologie vieillo
ion d’un milieu de libéraux italiens opprimés par l’Autriche, dans le
roman
de M. Fogazzaro, et les qualités d’émotion pathét
azzaro, et les qualités d’émotion pathétique et sentimentale, dans le
roman
de Mme Sérao. P. Buzzi : L’Exil, « Poesia », M
ément poétique est dans la conception même et dans la construction du
roman
, est dans son architecture et dans ses détails, a
nces innombrables d’amour et de haine, que pourtant elle contient. Le
roman
conçu ainsi à la manière du poème embrasse une ét
brasse une étendue de vie toujours beaucoup plus vaste que tout autre
roman
, où l’écrivain se bornerait à représenter seuleme
la vie de d’Annunzio le rôle parfait que le frère idéal joue dans le
roman
? Toujours est-il que ses évocations de Venise, l
aractéristique : notre temps, et Rome. Le « type » qui domine dans le
roman
Le But est celui d’un grand médecin en butte à se
a phtisie, il s’y arrête, il doit le combler. Les trois parties de ce
roman
, qui est tout développé selon la norme parfaite d
historique sont : […] Venice and the Renaissance, […] Græco-roman and
Roman
Sculpture […]. Lettres hongroises. Memento [ex
aux écrivains et aux officiers galantins. Les propos des émigrés, les
romans
pessimistes des naturalistes, les critiques d’aca
rler d’envahissement. L’Invasion 9, tel est même le titre du dernier
roman
de Louis Bertrand, écrivain vigoureux et colorist
maine et plus délicate que le mâle italien. Le drame ethnique du beau
roman
solide et mouvementé tient dans l’amour contenu e
e, on le discerne à la lecture de l’ouvrage récent de Jean Dornis, le
Roman
italien contemporain 11, qui complète la série de
Fogazzaro, Carducci, ou encore les pièces sociales de M. Giacosa, les
romans
de M. Butti, les drames de M. Roberto Bracco, les
probes études sur la jeune littérature française, par exemple sur les
romans
riches d’une si intense et sobre sensibilité de M
es, sur les récits délicats et pénétrants de M. Jean Viollis, sur les
romans
de M. Gaston Chérau, de M. John-Antoine Nau, de M
e que de générosité romantique. Sitôt leur parution en librairie, les
romans
pathétiques et délicats, d’un lyrisme amoureux de
tre célébré avec enthousiasme par toute la péninsule ? Considérons le
roman
italien contemporain. L’œuvre critique que lui a
e, une leçon et un modèle. Sans doute, à la fin d’une rapide revue du
roman
contemporain d’outre-mont, le lecteur sera-t-il d
e. Je pensais connaître, moi aussi, la psychologie des trois héros du
roman
de Venise, et, faut-il l’avouer, des trois, c’est
— l’auteur qui, certes, a le mieux analysé et pesé les personnages du
roman
de Venise, — murmurait, ou à peu près : « Évidemm
sa bonne fortune. Il avait eu le tort de survivre aux cohéros de son
roman
. On lui démontra d’abord que toute cette histoire
siècle de Pantagruel, de l’Heptaméron et des Dames galantes. Les
Romans
. Valentin Mandelstamm : Le Conte des Maremmes et
let, p. 16, col. 3. Tome LXXX, numéro 292, 16 août 1909 Les
Romans
. Henri Malo : Les Surprises du bachelier Petrucci
us agréables surprises de notre époque littéraire, car il s’agit d’un
roman
sans les données vulgaires du romanesque et d’une
. Tome LXXXI, numéro 296, 16 octobre 1909, p. 738-744. Note sur le
roman
italien contemporain Le marché livresque franç
éâtre vraiment italien, ou en tous cas vraiment intéressant. C’est le
roman
qui a été surtout exporté. Encore faut-il considé
ntégrale des personnages, par un instantané enfin — et la plupart des
romans
modernes de nos plus célèbres romanciers ne sont
s contes de la Compagnia della Leggera il a pu concevoir et écrire un
roman
original et puissant, le roman d’un enfant, qui e
Leggera il a pu concevoir et écrire un roman original et puissant, le
roman
d’un enfant, qui est en même temps le roman d’une
original et puissant, le roman d’un enfant, qui est en même temps le
roman
d’une partie intégrante de l’humanité moderne : l
ue la nature avait déjà réalisée. Ce qui est le plus étonnant dans ce
roman
, c’est la maîtrise absolue des moyens dont le con
ui en ami, et qui, un jour, acculé, le tuera. Il est étonnant que les
romans
et les contes de M. Zuccoli ne soient pas encore
alandra. Alfredo Baccelli : Sull’ombra dei Vinti J’ai parlé du
roman
le Bal, de M. Alfredo Baccelli. La personnalité p
actuels de l’Âme collective, par la psychologie d’un être. Le dernier
roman
de M. Baccelli, Dans l’Ombre des Vaincus, est la
bat réellement contre son propre égoïsme éperdu, et en est écrasé. Le
roman
est conçu en deux parties, dont la division est o
tique, mais personnel et pensif, laissent attendre des œuvres dont le
roman
italien nouveau doit s’enrichir. M. Ojetti écrit
es dont le roman italien nouveau doit s’enrichir. M. Ojetti écrit des
romans
élégants et intéressants, et M. Bracco publie des
tout à fait du cadre mesquin où se placent les vagues recueils sur le
Roman
Italien, le Théâtre Italien, etc., qu’on déverse
’Alterna vicenda, Novelle, Treves, Milan. — Ciro-Alvi : Gloria di Re,
Roman
, Treves, Milan. — Mario Puccini : La Canzone dell
Bertrand, le Sang des races (Ollendorff, éd.). 11. Jean Dornis : le
Roman
italien contemporain, 1908, Ollendorff, éditeur.
, Baldini-Castoldi, Milan M. Fogazzaro vient de publier un nouveau
roman
, Leila. Il s’agit encore une fois d’un roman à th
nt de publier un nouveau roman, Leila. Il s’agit encore une fois d’un
roman
à thèse, et à thèse religieuse. Les discussions q
de quelques individus, plus qu’aux sentiments généraux d’un pays. Les
romans
de M. Fogazzaro n’ont pas de but idéologique. Et
nt pas de but idéologique. Et après l’étonnement causé par un premier
roman
de ce genre, le Santo, la nouvelle production du
, à la manière des exaltations lyriques de l’aviation dans le dernier
roman
de M. d’Annunzio. Dans le Santo, M. Fogazzaro ava
ons nous émouvoir devant les circonstances vulgaires qui composent ce
roman
. Nous pouvons nous étonner qu’on veuille nous int
éments mélodramatiques, mal mélangés, ne peuvent pas composer un beau
roman
, et l’art vraiment trop fatigué, très faible, de
r la profondeur, de la volonté lyrique qui l’anime. Un concours de
romans
L’Italie intellectuelle, qui veut se créer une
athétiques et populaires de M. Sem Benelli, a organisé un concours de
romans
, afin de pousser les jeunes écrivains à produire
ec confiance, sans crainte paralysante des défections éditoriales. Le
roman
italien n’a une réelle importance, jusqu’ici, qu’
leure partie de la production italienne contemporaine. Du concours de
romans
organisé par la « Società degli Autori », il résu
ue régionales ou nationales. Je ne connais jusqu’ici que le schéma du
roman
Per il figlio vostro (Pour votre fils) de M. Giov
s, dont je me réserve de parler lorsqu’il m’aura été donné de lire le
roman
. Les concours artistiques se multiplient en Itali
près, dépourvue de tout intérêt… En effet, le jury de ce concours des
romans
de la Société des Auteurs ne donne pas, dans son
dont la plus belle est celle du Carmine, mais je l’ai décrite dans un
roman
. Il y a la Fête-Dieu ou des Quatre Autels, qui se
la Grèce ! » Tome LXXXIX, numéro 328, 16 février 1911 Les
Romans
. Paul Reboux : La Petite Papacoda Rachilde. T
allais en faire ! N’avais-je pas, entre les mains, les matériaux d’un
roman
admirable ? (Le présent de mon ami m’agitait fort
est pas sans quelque nouveauté quant aux détails : et c’est le double
roman
des favorites, La Vallière et Montespan ; puis le
’a sonné midi. La disparition d’un des plus importants producteurs du
roman
moderne italien n’entraîne rien avec elle. Au sur
illent au jour le jour… Mais le même auteur a écrit Daniel Cortis, un
roman
qui est une belle œuvre de construction, d’évocat
banalisa sa volonté, en l’extériorisant de la sorte, car ses derniers
romans
au lieu d’être l’expression symbolique d’un grand
et savant d’un parti nationaliste italien et auteur d’un remarquable
roman
, la Grande Patrie ; à part aussi quelques jeunes,
est vraiment dommage. Tome XCI, numéro 334, 16 mai 1911 Les
Romans
. Eugène Montfort : En flânant de Messine à Cadix,
termes : « Et se aucuns demandoit por quoi cist livres est escriz en
romans
selonc le langage des François, puisque nos somes
ienne épanouie après la « guerre de l’indépendance », de même que les
romans
des écrivains les plus actuels de l’Italie font r
nombre, Le Chrysanthème rose, de l’exquise Yolanda, et le malheureux
roman
Leila, de Fogazzaro. E. Portal : Antologia Pro
l’avenir qu’Il Galant’uomo était de complexion amoureuse ? […] Les
Romans
. Hubert Pierquin : Tibur, Plon, 3,50 Rachilde.
, dans l’évolution admirable de leur capacité expressive, les langues
romanes
. L’Espagne, fécondée au Moyen-Âge par des apports
uglielminetti. Mme de Saint-Point, poétesse même dans la prose de ses
romans
, ainsi qu’on le sait, le reste dans cette exégèse
mps modernes, le pouvoir spirituel de Rome. Memento Memento. —
Romans
et nouvelles : Edoardo Calandra : La Bufera (nouv
soni, Florence. Tome XCIII, numéro 344, 16 octobre 1911 Les
Romans
. R. Gaston-Charles : Monsieur Charmeret en Italie
i, Naples La littérature spiritualiste s’enrichit, en Italie, d’un
roman
, plein de fautes et de défauts, mais dont la port
stique, enrichit l’effort spiritualiste des générations nouvelles. Le
roman
de M. Vincenzo Gerace tranche nettement sur la li
e… Lorenzo a marché pendant vingt-quatre heures, le temps que dure le
roman
, sur un chemin mou et brûlant. Il ne savait pas q
asard éditorial lui a procurés, paraît-il, nombreux. Dans son nouveau
roman
: Dans le désert, Mme Deledda revient, avec une i
ée, comme elle, à Rome. Le désert, c’est Rome. Les contingences de ce
roman
sont si strictement contingentes qu’il n’y a pas
ès par Madame. Tome XCIV, numéro 347, 1er décembre 1911 Les
Romans
. Ricciotto Canudo : Les Libérés, Fasquelle, 3,50
éninsule a conquis, du coup, une impressionnante primauté. […] Les
Romans
. Albert Erlande : Il Giorgione, B. Grasset, 3,50
neuf. Quelque fantaisie dans les sommaires rédigés selon le goût des
romans
de Walter Scott : « Un ermite sous une futaille »
fleurs roses et ses belles feuilles vertes. Enfin, n’intitulez pas un
roman
le Triomphe de la Mort, cela appartient à Pétrarq
; ou les Vierges aux Rochers, c’est au Léonard ; ni une trilogie, les
Romans
de la Rose : on croirait que vous avez plus d’amb
G. P. Lucini : Gian Pietro da Core, in-16, Milan, C. Chiesa, 3 fr.
Roman
, c’est un roman qui se précède de ce sur-titre :
ian Pietro da Core, in-16, Milan, C. Chiesa, 3 fr. Roman, c’est un
roman
qui se précède de ce sur-titre : « Histoire de l’
ntamaura, romanzo, gr. in-12, Florence, Roberto Paggi Santamaura,
roman
à la fois naturaliste, sentimental et psychologiq
re, vous qui êtes écrivain, dites-moi si un auteur qui composerait un
roman
par lettres pourrait trouver une phrase plus heur
l’idée de Balbi, non pas une création de romancier à joindre à votre
roman
, un être fictif, à existence discutable, sans nom
es : il y avait encore un secret, il y avait encore à dissimuler ; le
roman
subsistait. Et d’ailleurs, quoi ! prenons les cho
ue, qui est la manifestation suprême de la liberté de l’homme. Les
Romans
. Henri de Régnier : Images vénitiennes, Fontemoin
t briques vermeilles, et les aspects du Dôme qui est une belle église
romane
. Mais tout un tiers de la ville, vers le Pô, est
arme se trouve Borgo San Donnino, encore avec une cathédrale de style
roman
, puis le pont sur le Taro. Parme est la ville du
ès l’expression passionnée de, soi-même donnée avec prodigalité à son
roman
l’Automate, paru en français aux éditions du Merc
Tome CII, numéro 377, 1er mars 1913 Les Métiers d’art dans le
roman
contemporain [extrait] Émile Magne. Tome CII,
issance, le premier écrivain qui emprunte au métier d’art un thème de
roman
. C’est dans le cadre polychrome de Venise, ballot
e. Les Maîtres mosaïstes démontrent malheureusement le contraire. Ce
roman
est bâti sur un fait réel. Au xvie siècle, les f
ur la véritable psychologie amoureuse et sentimentale de Casanova. Le
roman
se termine brusquement et de façon inexplicable p
emporain de Phidias. Tome CIII, numéro 381, 1er mai 1913 Les
Romans
. Eugène Montfort : Les Noces folles, B. Grasset,
mme les filles du meilleur monde ont la mauvaise habitude de lire des
romans
pour savoir surtout ce qu’on portera cette année,
rs. Alors, on ne va guère palpiter d’amour chez ces enfants-là et les
romans
nature leur sont aussi étrangers que le pain comp
ne interprétation plus relevée, oui, presque glorifiante. Devenu « le
roman
de l’Italie mourante », le livre affirme le droit
e vous pardonne ! »… elle a répondu : « Je t’adore ! » Ce fut tout un
roman
d’amour, chaste et triste, en trois petits chapit
e de juillet 1912. Tome CIV, numéro 386, 16 juillet 1913 Les
Romans
. Jean de Quirielle : La Joconde retrouvée ! Méric
u patois romain. […] Tome CIV, numéro 388, 16 août 1913 Les
Romans
. Bernard Marcotte : Les Fantaisies bergamasques,
part les lettres de Manon Balletti, qui constituent un charmant petit
roman
et qui nous révèlent en effet Casanova sous un as
(1er août). […] Tome CV, numéro 390, 16 septembre 1913 Les
Romans
. Canudo : Les Transplantés, Fasquelle, 3 fr. 50
des journalistes adroits et ambitieux qui ont fait des nouvelles, des
romans
, du théâtre, des essais politiques ou littéraires
e, Libreria della Voce, 1913, 3 vol.) — Vortice ; Disfatta ; Gelosia,
romans
(Bari, Laterza, 1913, 3 vol.). La Vie anecdot
rêt documentaire. Tome CVI, numéro 394, 16 novembre 1913 Les
Romans
. Gabriel Soulages : L’Idylle vénitienne, G. Crès
gnées dans les carnets de route, les récits de voyage, voire dans les
romans
. — Parmi les pages les plus intéressantes et avan
l. 3. Voy. Mercure de France, n° 372. 4. Des Fiancés, — du titre du
roman
de Manzoni. 5. V. l’article de M. Corrado Ricci
ctait d’en parler la langue le plus souvent qu’il le pouvait. Dans un
roman
satirique de son ennemi, l’abbé Chiari, celui-ci,
olo, à l’apparition des Mémoires croyait que non seulement c’était un
roman
, mais que l’auteur était un personnage idéal, déc
ours des récits de l’aventurier constitue un des plus extraordinaires
romans
des Mémoires, qui ne sont qu’une suite de tableau
gique, qu’il développa ensuite, de la manière que l’on sait, dans ses
romans
. On trouve à présent que la littérature italienne
ontenue dans les écrits de M. Luigi Orsini, dont vient de paraître le
roman
l’Allodola. Mais ici nous nous trouvons en présen
de garde, et probablement il n’existe aucune pièce probante. Les
Romans
. Ferdinand Bac : L’Aventure italienne, Fasquelle,
e. Tome XCVI, numéro 356, 16 avril 1912, p. 810-815 [812]. Est-ce un
roman
, plusieurs romans, des nouvelles ou un journal, d
méro 356, 16 avril 1912, p. 810-815 [812]. Est-ce un roman, plusieurs
romans
, des nouvelles ou un journal, des relations de vo
esse page du livre. Et on dit que l’on passe les descriptions dans un
roman
lorsqu’il vous intéresse ! Ici, c’est la descript
n lorsqu’il vous intéresse ! Ici, c’est la description qui devient le
roman
et qui palpite vraiment de toute une intensité su
es formes de tout l’art moderne. Et si la psychologie de ses premiers
romans
et de ses premières pièces fut trop marquée par l
dent dont nous sommes enfin libérés, son drame sur Jules César et son
roman
Patria lontana, tout en s’efforçant vers la litté
définitivement au Congrès de Florence de l’année dernière. Après son
roman
Patria lontana, où M. Corradini étudiait spéciale
elli e Invernizzi. Rome Je ne sais si M. Ercole Rivalta connaît un
roman
français, de peu louable mémoire consacré à cette
mps, quoiqu’un mot moderne fort laid l’ait baptisée : l’arrivisme. Le
roman
l’Escalade, de M. Rivalta, est tout entier dédié
indéniable de cet exemplaire assez achevé qui est le protagoniste du
roman
. Il se nomme d’abord Giammaria Loperfido, il se n
heure actuelle à des millions d’exemplaires, partout. Le défaut de ce
roman
est dans la chaîne déjà signalée des épisodes. De
lui dans la danse éperdue de leur sexualité, la trouvaille entière du
roman
, le développement de la donnée romanesque, est pa
, qui est en effet un « traducteur assez libre », mais excellent, des
romans
de l’écrivain italien, est un piètre« transposite
éditeurs qui la publient. On vient de donner la traduction d’un autre
roman
, Dans le Désert, aussi infécond que les précédent
toire ;, de là la « gratuité » française de certaines vertus, dont le
Roman
nous offre un témoignage significatif bien que co
s les séparer. […] Tome XCVIII, numéro 364, 16 août 1912 Les
Romans
Rachilde. Tome XCVIII, numéro 364, 16 août 191
mplius addam aurait dit ici l’infatigable citateur d’Horace. Les
Romans
. F.-T. Marinetti : Le Monoplan du Pape, Sansot, 3
Certes, lorsqu’un autre écrivain s’est avisé de donner eu français un
roman
de l’écrivain italien cher à M. Hérelle, la libra
M. d’Annunzio ne connaît pas le repos. Voici, en attendant les autres
romans
et les autres drames promis, un volume sur la Con
en » de l’autre. Tome XCIX, numéro 367, 1er octobre 1912 Les
Romans
. Péladan : Les Amants de Pise, E. Flammarion, 3,5
ledda : Colombie Sparvieri, Treves, Milan Et je signale le nouveau
roman
Colombes et Vautours, de Mme Grazia Deledda, qui
» frivole, régionaliste, après la mauvaise expérience certaine de ses
romans
de psychologie générale. Memento Études :
es efforts de preuves. Foscolo n’eût pas avancé que le livre était un
roman
, et l’auteur un être imaginaire ; le bibliophile
s cathédrales, les chapelles, les couvents ; couvrant les murs de ses
romans
, de ses contes, de ses rêveries ; volant trop hau
s Il Vero, de Savone, une excellente tradition italienne d’Albert, le
roman
de notre collaborateur Louis Dumur. Le même journ
otidiennes n’ont fait connaître de G. d’Annunzio, en général, que les
romans
. Sa poésie, dont le caractère saillant réside plu
et ornée de riches planches d’art. M. d’Annunzio y publie un nouveau
roman
, Les Vierges aux rochers, avec ce motto de Léonar
romancier. » […] Tome CVII, numéro 398, 16 janvier 1914 Les
Romans
. Carolus Didier : Le Lys de Florence, Jules Talla
Rachilde. Tome CVII, numéro 398, 16 janvier 1914, p. 361-368 [367].
Roman
du bon vieux temps où le lecteur aimait à tremble
aillaient, on peut dire, dans une direction parallèle. Leurs livres —
romans
, essais, contes — leur avaient assuré une place à
nnaître l’impression que lui avait produite Wellseley. Elle lisait un
roman
français qu’il lui ôta des mains : — Qui vous a p
était aussi innocent que moi-même. J’ai mieux à faire qu’à narrer les
romans
imaginés par Lady Dolingson et par Miss April ; p
Perelà À cet esprit sarcastique et je m’enfoutiste se rattache son
roman
Il Codice di Perelà (Milano, Edizioni di Poesia,
assez de place pour donner une idée de ce livre qui est sans doute le
roman
le plus fantasque et extraordinaire qu’on ait pub
es Marges qui connaît Naples mieux que personne, à preuve son dernier
roman
, les Noces Folles, et ses impressions de voyage,
-424]. Le Professeur C. H. Grandgent, qui tient la chaire des langues
romanes
à Harvard, aura l’honneur d’avoir produit la prem
ue ou indo-iranienne, une de littérature italienne, une de philologie
romane
, une de philologie moderne non romane, une d’hist
re italienne, une de philologie romane, une de philologie moderne non
romane
, une d’histoire ancienne, une d’archéologie et hi
tes sur l’univers. Dans ce premier recueil, le prosateur énergique du
roman
Gli Ammonitori (les Avertisseurs) regarde quelque
’autres… M. Antonio Fogazzaro vient de lancer, ou de faire lancer, un
roman
: Il Santo (le Saint), qui aura, je crois, très p
e paraître dans le solennel péristyle de la Revue des Deux Mondes. Ce
roman
était très attendu en Italie. Depuis plus d’un an
dont la préoccupation catholique hante les rêves et déforme l’art. Le
roman
vient de paraître, et l’événement a été salué par
l’insuccès éclatant a fait doubler et tripler la vente ordinaire des
romans
de M. Fogazzaro. L’Église renie le nouveau livre.
ans les tonalités populaires d’une créature contemporaine, et dans le
roman
de M. Fogazzaro, saint François d’Assise s’appell
nheureuse. Et comme un écrivain moderne ne saurait point concevoir le
roman
d’une âme sans la lutte des sexes, M. Fogazzaro e
comme les autres qu’il a accomplis. Tout est vieux et faible dans ce
roman
. La construction y est conventionnelle. L’abus qu
Jolanda : Le Indimenticabili, Libr. Ed. Lombarda, Milan Le dernier
roman
de Jolanda, la fine et féconde romancière, semble
catesse de cet écrivain. Le Indimenticabili (Les Inoubliables) est un
roman
d’un sentiment fin et triste ; c’est l’histoire d
M. Robert Ascoli. Memento Giorgio Ofredi : L’Anima delle Carni,
roman
, Remo Sandron, éd., Milan. — Romolo Quaglino : Ci
ui conter tout ce qui nous est arrivé, elle s’en moquerait comme d’un
roman
. Cette idée paraît l’avoir frappée. Elle m’a dit
es qui s’appelle La Leda senza cigno (Milano, Treves). C’est un petit
roman
funèbre où le vieux poète s’efforce de sortir de
’Ultima Crisi (1911), drame, Viottola (1912), contes, Foville (1914),
roman
. Ce dernier marque son arrivée à un art plus sava
italien, — il était passé franchement à la littérature avec un petit
roman
(Il Peccato, Firenze, La Voce, 1913), où sa prose
transporté ses qualités de finesse, de tendresse et d’humour dans ses
romans
et dans ses contes. Il Sole del Sabato, qu’il a p
de contes de M. Moretti, La Bandiera alla Finestra, est au-dessous du
roman
au point de vue de l’art : il se ressent de l’act
Il Figlio Inquieto, Milan, Baldini Castoldi On écrit toujours des
romans
, mais qui ne sont pas, heureusement, des romans d
On écrit toujours des romans, mais qui ne sont pas, heureusement, des
romans
de guerre. Il y a le roman autobiographique : Ett
, mais qui ne sont pas, heureusement, des romans de guerre. Il y a le
roman
autobiographique : Ettore Spiombino, de M. Giovan
ti : Barbogeria, Milan, Studio Editoriale Lombardo Il y a aussi le
roman
fantaisiste : Sam Dunn è morto, de M. Bruno Corra
d’un très moderne thaumaturge qui ne manque pas de verve. Et enfin le
roman
intime : Barbogeria, de M. Carlo Linati, aventure
resque exclusivement de ce point de vue l’étude du rôle d’Antoine. Le
roman
d’amour avec Cléopâtre passe au second plan. Anto
’espèce. Lorsque l’illettré des Rougon-Macquart écrivit la théorie du
roman
expérimental, il ignorait jusqu’au sens des mots
raisemblable dont l’Histoire de la vie apparaît supérieure à tous les
romans
d’imagination, précisément parce que cette vie fu
eulement de faire ressortir l’un par l’autre le clair et le foncé. Le
roman
, l’ogive française, l’ogive arabe, le gothique al
i, Casa Ed. Centrale, Rome. — Felice d’Onufrio : La famiglia Rondani,
roman
, Soc. tip. Ed. Nazionale, Turin. — Nicola Allevat
les Amours Milanaises, où nous retrouvons l’étude de M. Arbelet : le
Roman
de Métilde, dont j’ai déjà parlé ici même. […] On
Tome LXXIII, numéro 264, 16 juin 1908, p. 715-722 [717-718, 721].
Roman
et Vie : renseignements nouveaux sur l’incinérati
t Vie : renseignements nouveaux sur l’incinération de Shelley Dans
Roman
et Vie (15 mai), M. P. d’Ampreville rapporte sous
mystérieux idéal, il l’a incarné dans un type féminin : il a fait un
roman
, et l’on a cru à une autobiographie. Tous les éc
d, et il reste lui-même avec son élégance et son émotion. Son dernier
roman
, L’Amore di Loredana, qu’il faut souhaiter voir b
terza persona, B. Lux, Rome. — E. A. Marescotti : L’Orribile fascino,
Roman
, A. de Mohr, Milan. — Yolanda : Le donne nei poem
des plus ardents admirateurs de la première heure de Carducci, et les
romans
de l’autre, avaient fait leur popularité et inspi
ut imprégné d’art », ce véritable bréviaire du dilettante élégant, ce
roman
dont le héros montait en courses et citait du lat
Comedia. Milan. Soc. Ed. D. Alighieri. — C. Del Balzo ; Gente nuova,
roman
. Turin. Roux et Viarengo. — E. Calandra : A guerr
: Ora e Sempre (idem) Ora e sempre, par Adolfo Albertazzi, un bon
roman
, qui en style nerveux, rapide, quelquefois trop s
t s’y attendre. […] Tome XXXI, numéro 116, 1er août 1899 Les
Romans
. Mathilde Serao : Sentinelles, prenez garde à vou
tout, même au génie, même à l’exception. Il est remarquable qu’en ses
romans
, destinés en apparence au peuple, Victor Hugo ne
notre attention sur tous les autres personnages non moins célèbres du
roman
: Phémie, Schaunard, Marcel, Colline, Rodolphe, B
able. Le sujet en a été partiellement inspiré au poète Forzano par le
roman
bien connu de Ouida : Zoccoletti (Les petits sabo
dont le talent n’égale malheureusement pas la fécondité. Ses derniers
romans
, La Fuga, La Morsa, voudraient être des romans ps
écondité. Ses derniers romans, La Fuga, La Morsa, voudraient être des
romans
psychologiques, philosophiques, profonds, et sa p
s surannées. M. Moretti, Guenda, Milan, Treves Avec son nouveau
roman
, Guenda, Marino Moretti n’a pas égalé Il Sole del
mbardo M. Bruno Corra avait fait beaucoup espérer avec son premier
roman
fantaisiste, Sam Dunn è morto. Mais son nouveau l
Sam Dunn è morto. Mais son nouveau livre, Io ti amo, qu’il appelle le
roman
de l’amour moderne, est une histoire assez banale
tout entière dans le mouvement luthérien et dont il ne reste que des
romans
et des chansons, sans qu’il soit possible de reco
es portugaises. J.-A. d’Oliveira Mascarenhas : O Trovador da Infanta,
roman
; Viuva Tavares Cardoso, Liaboa. — L’églogue [ext
nait aux mots un triple sens. Aussi Dante ne s’occupe que des langues
romanes
, provençal, languedocien et italien. L’identité d
par M. Chatfield-Taylor, le Dr van Steenderen, professeur de langues
romanes
au collège de Lake Forest, près de Chicago, a dre
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