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1 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
qu’ils sont nos contemporains et qu’ils en arrivent à agir comme les rois homériques, sont des êtres d’exception ? Je consi
poète du peuple et de la République dans les fonctions de ministre du Roi  ? Les journalistes à la danse pyrrhique pouvaient
es journalistes à la danse pyrrhique pouvaient le sommer de renverser Roi et royaume d’un seul coup de main. Le duel avec l
Quinzaine) : « Armée d’Italie ! » Au nom de l’Italie, de Dieu et du Roi , dans notre foi catholique, Simon de Saint-Bon es
rand Amiral en ce jour est mort…. » Au nom de l’Italie, de Dieu et du Roi , ayant défait les forces ennemies, coulé à pic da
asiatiques. On se rappelle l’Assyrie et l’Égypte ancienne, avec leurs rois féroces ; et Ramsès III assistant au dénombrement
e, Louis XIV fit mander à Rome le Cavalier pour achever l’œuvre11. Le roi en était au goût du colossal, de l’emphatique et
harge de Ratabon. Il écrit au Bernin pour lui transmettre le désir du roi d’avoir un dessin pour l’achèvement du Louvre, ce
décide à venir à Paris. Et c’est ici que cela devient intéressant. Le roi avait, parmi ses maîtres d’hôtel, un certain Paul
Le 1er juin 1665, un laquais de Colbert va le chercher de la part du roi , et lui dire, ainsi qu’il l’a écrit, que « le roi
rcher de la part du roi, et lui dire, ainsi qu’il l’a écrit, que « le roi m’avait choisi pour aller recevoir le cavalier Be
’ambassadeur extraordinaire de Malte, qui arrive le lendemain, que le roi traite et qu’il est seul à Saint-Germain pour cet
gnie. De quoi croyez-vous que ces deux gaillards causent, l’envoyé du roi , l’ami du Poussin, l’homme de goût, et le « divin
u’il se lève et lui parle au lit ; le jour de la Fête-Dieu il voit le roi à Saint-Germain, à qui il dit : « J’ai vu, sire,
route de Rome à Paris ; mais, il faut faire pour un roi de France, un roi d’aujourd’hui, de plus grandes et magnifiques cho
pendant son projet est prêt, et on va poser la première pierre que le roi scellera. Auparavant, il gratte du canif dans les
fort extraordinaire qu’il gelât en hyver. » Enfin, le 17 octobre, le roi descend dans les fondations creusées au Louvre ;
r lui présente la truelle et le bassin d’argent où est le mortier, le roi scelle la pierre qui recouvre la médaille de Vari
. Mais ici, il faut encore lire Chantelou : « La cérémonie finie, le roi s’en est allé. Le Cavalier et le signor Mathie qu
e du Cavalier. Après cette contestation, il y en eut d’autres, car le roi ayant fait largesse, de cent pistoles, en pièces
à Rome, il déclarait à Beneditti qu’il avait reçu plus en six mois du roi qu’en vingt ans des papes : ce qui ne l’avait pas
2 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
er, l’unique luxe. Je voudrais qu’il fût l’apanage des pauvres et des rois . En France, il n’y a plus ni pauvres ni rois, il
anage des pauvres et des rois. En France, il n’y a plus ni pauvres ni rois , il y a des socialistes et des commissaires de po
a. En 1802, il quitte la galerie Colonna pour celle de Ferdinand Ier, roi des Deux-Siciles, et devient ensuite la propriété
et la lègue à son fils François II. Lors de la révolution de 1860, le roi l’emporte avec lui à Gaëte, puis en Espagne. Les
ns d’entrer dans la Compagnie de Jésus, pour s’adonner entièrement au Roi des Cieux, et il déploie une énergie et une activ
l’opinion trop sévère sans doute et que la carrière du prince devenu roi devait démentir, puisque M. de Reiset conclut sur
pas absolument dépourvu de sens commun et parce qu’on ne voit pas le roi marcher la tête en bas, les pieds en haut, suivi
jourd’hui. Le roi de Nirvanie, Othon III, appartient à celle élite de rois philosophes qui constituent un danger quotidien p
gne à l’aide, c’est-à-dire avec la permission de l’extrême gauche. Ce roi moderne, bon et faible, rêveur et paresseux, voit
ènes, les personnages montrent leur physionomie : nous avons parlé du Roi , mais cette douce Princesse Béatrice, cette vaill
ant, mais cette fois frémissante d’enthousiasme : on désire saluer le roi et sa famille pour leur témoigner ces sentiments
ts de gratitude qui gonflent le cœur du peuple. Du haut du balcon, le Roi , la Reine, les Princes se montrent à la foule. Le
ministres, les grands dignitaires, les Princes, la Reine entourent le Roi pour qu’il donne l’ordre de cette action sévère q
ession s’impose, terrible comme le crime qu’on vient de commettre. Le Roi semble pencher lui aussi en ce sens : oui, qu’on
ent de jeter le deuil parmi ses fidèles. Le drame psychologique de ce Roi supérieur et absurde atteint son apogée avec la b
3 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
riers et ses architectes. Après Ferry, et Thiébaut, et Raoul, René II roi de Sicile, le « seigneur Roy », choie les peintre
ctise avec Condé pour s’en séparer immédiatement, veut se faire élire roi des Romains, perd, reprend et reperd son duché, s
. C’est le cas d’Ulysse remettant Chryséïs à son père, de David sacré roi par Samuel, du Débarquement de Cléopâtre à Tarse,
. … Avoir fait cela en plein xviie  siècle, alors que les peintres du roi , cherchant « des effets de nature », peignaient d
les vaniteux, le silence, — je suis assez indulgent pour annoncer aux Rois et aux peuples que M. Brusa a donné le titre de F
fêtes, les cérémonies, les inaugurations ne peuvent plus se passer du roi , ni le roi des fêtes et des inaugurations, pour b
cérémonies, les inaugurations ne peuvent plus se passer du roi, ni le roi des fêtes et des inaugurations, pour bêtes et vul
ur bêtes et vulgaires qu’elles soient. Une société quelconque prie le Roi de lui concéder son haut patronage ; l’habitude v
ie le Roi de lui concéder son haut patronage ; l’habitude veut que le Roi en devienne patron, bienfaiteur et parrain. Parmi
s d’employés, la popularité semble le but suprême de la Monarchie… Le Roi donnant une poignée de main à l’ouvrier : quelle
et, le soir de l’assassinat, ils étaient à Rome ; sans doute, mais le Roi , à Monza, s’inspirait de leur absurdité fondament
À cette fête, l’anarchie était la souveraine absolue ; à vingt pas du Roi , deux ou trois jeunes canailles en parlaient en r
toute volée ; la monomanie démocratique avait enfin sa victime, et le Roi n’était plus qu’un cadavre. L’assassin avait acco
t mourait, personne au Ministère ne savait où le Prince Royal, devenu Roi à son tour par ce coup de foudre, pouvait se trou
archie ; et cependant quel abîme entre les hommages et les faits ; ce Roi livré à lui-même, assassiné au milieu de la popul
e Roi livré à lui-même, assassiné au milieu de la populace, cet autre Roi qui voyage on ne sait où, ces télégrammes qui ref
réponse que Lépicié, remplissant les fonctions de premier peintre du roi , lui adressa : « Monsieur, en conséquence de vos
peintres, des quatre sculpteurs et des architectes pensionnés par le roi  : copies des tableaux jugés les plus beaux, des s
, aux Saints-Apôtres, à la coupole du Dôme, aux plafonds du palais du roi … Puis, au retour, Bologne et les maîtres des Serv
peux donc laisser libre cours à mon admiration pour l’Ode au nouveau roi , l’Ode pour la mort d’un destructeur (c’est Nietz
uver une place dans votre cabinet. » Et le directeur des Bâtiments du roi écrit en marge son appréciation : « Coussi, couss
4 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
dent tour à tour le service de s’enterrer. Il paraît que, jusques aux rois français, les gens du pays aimaient à se vêtir d’
des glaces. — Un usage qui a survécu au bouleversement amené par les rois français est celui qu’a la noblesse de promener u
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
re y vont fort vite et cela sur un pavé qui fait frémir. Le Palais du Roi a l’air bien, on dit la liste civile fort riche.
ps Mme Miller. Il a su s’amuser, chose assez rare parmi messieurs les Rois (1812).
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
s forgerons de la Renaissance, les superbes Humanistes, son masque de roi mécontent, méprisant et tyrannique. Léonard n’eut
es murs de son cachot, en occupant en artiste ses lugubres loisirs de roi , prisonnier et à jamais dompté. La fourbe méchanc
7 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
joie ! Croix blanche de Savoie, que Dieu te sauve, et qu’il sauve le roi  ! » Dio ti salvi, o cara insegna, Nostro amore
isait les triomphes de l’avenir, qui ne seront plus les triomphes des rois , mais les triomphes du peuple sur l’âge noir de l
jamais fait avant eux, et que ne firent jamais depuis, ni princes, ni rois , ni empereurs. » (Les Médicis, édition Michel Lé
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
omme il fait encore. Ceux qui le cultivent l’emportent en honneur sur roi , marquis, cardinal, et sur les autres grands. Car
du c. VII du l. II donne : Amour, donne désir, donne, vertu, done re ( roi ), joie, salut, sécurité, défense. Si un professeu
toute récente. Cet hymne devait commencer par la strophe suivante : Roi des choses, auteur du monde, méchanceté cachée, s
lheurs et maître du mouvement… On se rappelle l’invocation à Satan «  roi du festin » qui commence l’Hymne de Carducci : À
9 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
IV. Matthioli, ministre du duc, avait feint d’entrer dans les vues du roi  ; en sous-main, il faisait changer de sentiment à
rmais « du prisonnier » que dans le journal de Dujonca, lieutenant du roi à la Bastille : Jeudi 18 septembre 1698, à trois
du petit jeune homme blond me rappelle d’autres cortèges. Celui d’un roi fou, comme au temps passé, que je vis passer un j
Une haine tenace l’anime, à coup sûr, contre la France et contre son roi (Charles VIII) et cette haine lui permit de mettr
asséna ; la seconde est la conquête du royaume de Naples au profit du roi de comédie, que fut Joseph. Masséna était bien le
1498). Son successeur Louis XII devient notre allié et se fait nommer Roi des Deux-Siciles, de Milan et de Jérusalem. Sforz
s et son étoile, Louis XII fait valoir ses droits sur Naples, dont le roi capitule. Au même moment, les Turcs refusent les
alères. L’Espagne et le Portugal envoient des navires, tandis que les rois de Hongrie et de Pologne attaquent par terre. Ben
. La Maison de Savoie n’avait pas encore inauguré, à l’égard du Grand Roi , la terrible politique de Victor-Amédée II. Le tr
dominé cette existence d’une actrice belle et célèbre, la passion du roi , quoique exigeante, despotique, semble avoir été
t plus avisée. Et c’est une vie intime assez curieuse que celle de ce roi juponnier, qui ne laissait à sa femme que la ress
ravaux d’E. Jarry et de M. de Circourt sur le duc d’Orléans, frère du roi , l’on a eu ceux, naguère appréciés ici même10, de
penser qu’une femme comme Isabeau ne se comprend que par la folie du Roi , laquelle eut chez elle un contrecoup d’érotisme
Saint-Pol ou du Louvre. Cette époque devint folle de la folie de son roi . La maladie du roi apparut comme l’effet d’un sor
uvre. Cette époque devint folle de la folie de son roi. La maladie du roi apparut comme l’effet d’un sortilège, et il s’ens
ologique. Et ce fut Valentine de Milan la sorcière qui avait rendu le Roi fou ! Voilà qui montre bien le détraquement de ce
e de France. De plus, elle avait une influence heureuse sur le pauvre roi . N’importe, l’opinion qui fît d’elle une sorcière
Louis d’Orléans, devint, on l’a vu, la sorcière qui avait envoûté le roi . Éloignée de la Cour là-dessus, le Duc de Bourgog
tout à son aise faire servir à ses ambitions l’imbécillité mentale du roi . « L’exil de Valentine, constate M. Émile Collas,
illiez d’avoir assez à faire et souffrir, disait un contemporain : le roi n’est pas en son bon sens et est folz, et monseig
en fusion. Un nouveau Signe est dans l’espace, Un royaume trouve son roi , Le jour tremble. La nuit s’efface23. Et cela en
, suivant une tradition plusieurs fois séculaire, annoncé la venue du Roi des Rois : Jam redit et Virgo, redeunt Saturnia
t une tradition plusieurs fois séculaire, annoncé la venue du Roi des Rois  : Jam redit et Virgo, redeunt Saturnia regna Jam
démons. Je vaincrai la pierre et l’airain. J’abattrai la porte. Et le roi de gloire entrera26. Les affranchis rappellent e
Celui, celui que tu nommes l’esclave rouge, le monarque d’un jour, le roi sanglant, je l’ai choisi de toute mon âme, au-del
qui peut-être quintuplait ses succès, il dit les prouesses intimes du roi  : le paragraphe a disparu. Espérait-on cacher à l
res, moins catégoriques, l’imputent à Tullius Hostilius, le troisième roi (672 à 648). La première version, celle de Plutar
pièces proviennent, pour la plupart, des collections formées par les rois d’Espagne Charles-Quint, Philippe II, Philippe V,
d avait pu prévoir qu’un jour sa Lise serait enlevée du palais de nos rois , il n’aurait pas fait autre chose, pour nous cons
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
ète. Se développant dans un tryptique : la Cathédrale, la Demeure des Rois , la Ville, elle synthétise la vie séculaire de l’
u brouillard animique de la Ville moderne, à travers les demeures des Rois de l’époque de fer, la Renaissance. La vie moder
11 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
èle Melzi, le novum organum épars dans ses notes ? Le pensionnaire du roi très chrétien répugne-t-il à laisser une œuvre qu
llades qu’à trois poèmes : Rose-Mary, le Navire Blanc, la Tragédie du Roi , il faut, dit l’excellent critique, M. Benson, ra
ète s’élève jusqu’à l’évocation d’un « type » humain : Saül. Le vieux roi nous apparaît dans toute son angoisse, nouant et
sse et à sa puissance encore nécessaire. La signification tragique du roi antique se concentre ainsi pour le poète italien
la chaîne ininterrompue de son délire, qui entraîne implacablement le roi vers l’épée sur laquelle enfin il se jette pour s
dans son extraordinaire rapidité. Les deux mouvements de l’esprit du roi , entre les griffes des deux démons du Bien et du
flottant comme un pur symbole plus que comme un homme réel, autour du roi délirant. On le voit tour à tour armé du glaive e
évocation plastique de l’éternelle poésie, jusqu’à la catastrophe du roi . Et entre l’âme tourmentée de Saül (le Passé) et
ications théocratiques superflues. Et Abner, le mauvais conseiller du roi , l’ennemi de David, n’est plus ici le soldat fier
e verbale de Saül ne suit pas toujours la pensée du texte italien. Le roi , tourmenté par le dualisme de sa faveur tyranniqu
catastrophe de la tragédie sur la mort solitaire, terrible, du grand roi qui se jeta sur son épée. Lorsqu’il tombe, les Ph
t et en secouant leurs flambeaux incendiaires, se précipitent vers le roi mort. C’était tout. Mais M. Poizat, qui a voulu a
ur en faire son drame, fait venir ici David, qui devant le cadavre du roi se souvient d’être poète, reprend sa lyre, et cha
ses, et à Jean-Charles Poncelin, « ancien ecclésiastique et avocat du roi , qui avait fondé une maison de librairie, à la ve
n ; à lui, Benvenuto, on les a offertes spontanément. » Il adresse au roi « de grandes paroles, admirablement humbles et ha
ussi ne fait-il pas tout à fait le métier pour lequel on l’a pris. Le roi lui demande des travaux d’orfèvrerie, des ciselur
cit florentin plein de cette sensualité des Fêtes de mai, où le grand Roi poète, un Médicis, chantait des chansons au peupl
de Charles VIII comme des libérateurs. Il fit proclamer Jésus-Christ roi de Florence et changea les mœurs. Ce fut la réali
12 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
io a écrit des poèmes vibrants, lorsque Verdi mourut, lorsqu’un jeune roi monta sur le trône ensanglanté de l’Italie, lorsq
es des statues de Garibaldi et de Victor-Emmanuel. Mais tandis que le roi aux jambes courtes, au torse bedonnant, aux moust
qui ont pu lui apprendre à juger nos sentiments. Nous avons pris nos Rois dans une famille rude, énergique, militaire, ni d
les rêveries ni les sentimentalités niaises. Tous font bloc autour du Roi actuel, on vient de le voir après l’attentat, tou
s assez généreux pour savoir faire quelques sacrifices nécessaires au roi , à l’État et à eux-mêmes. On peut deviner ce que
cachet, malgré les corvées, la misère du peuple et le bon plaisir du roi et des ministres. Chère France ! qu’es-tu devenue
us tyrannique de tous les souverains ! Tu n’as plus le bon plaisir du roi , c’est vrai, mais tu as les caprices populaires,
ertificat délivré le 20 octobre 1767 par J.-B. Dorival, conseiller du roi et commissaire au Châtelet. Si quelqu’un est tent
 bis. — De l’ordonnance de nous, Jean-Baptiste Dorival, conseiller du roi , commissaire enquêteur examinateur au Châtelet de
rectement du comte de Peralada, qui servit si bien Philippe II que ce roi le déclara comte par la Grâce de Dieu. Ce fut la
la conclusion : « L’œuvre sociale et administrative accomplie par les rois de Sardaigne au xviiie  siècle reste méritoire et
ils s’appelaient : cardinal Acquaviva, marquis d’Argens, Auguste III roi de Pologne, Baffo le poète, Balletti, Mario, Beno
ontaine, et pouvait dire avec le charlatan : ……… avant l’affaire, Le roi , l’âne ou moi nous mourrons. — J’avais écrit cet
vec le plus grand sérieux que tous les Italiens « font bloc autour du Roi actuel, parce que c’est un mâle, parce qu’il tien
ieux manuels d’histoire ignorent encore, à savoir que le rôle que les rois jouent aujourd’hui dans la politique est des plus
ble bien n’avoir été jamais compris, et il faut le prouver. Alcinoos, roi des Phéaciens, a fait reconduire Ulysse à Ithaque
le poème, il ne sera plus question des Phéaciens. Évidemment pour le roi , entre le phénomène qui vient de se produire et c
u vent ; et dans son esprit, il supplie ainsi : “Entends ma prière, ô roi  ! je viens à toi, je te désire avec ardeur… Les d
eux sont toujours pitoyables aux désespérés… j’embrasse tes genoux, ô roi  ! prends pitié, je suis ton suppliant.” Il dit et
s pénètre jusqu’au palais d’Alcinoos ; 7° Quand on descend de chez le roi , c’est au sud que l’on peut s’embarquer le plus c
ant toujours de matériaux meubles, il est clair que l’îlot redouté du roi a été depuis longtemps rasé par la vague38.   En
la terrible bataille de Courtrai, n’a rien qui puisse surprendre. Le roi faux-monnayeur se couvre d’opprobre avec le scand
Ah ! toi ! c’est toi ! Ah ! te voilà ! toi que j’attendais ! toi, mon roi  ! toi, ma vie !… » Tout ce que je voyais d’elle m
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIII »
de voyageur, L.) qu’ils font une espèce de corps et qu’ils élisent un Roi qui est toujours pensionné par le gouvernement. I
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXII »
Il y a 30 ans, tout le monde portait l’épée, jusqu’aux laquais : les rois français ont fait tomber cet usage, qu’on commenç
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXII »
de Versailles. Plus grand pour un particulier que Versailles pour un roi , mais aussi sec pour le cœur que Versailles. De l
16 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
entre des évocations, au centre d’un rêve de langueurs et de mort. Le roi prisonnier des Bolonais, le roi vaincu, est le de
d’un rêve de langueurs et de mort. Le roi prisonnier des Bolonais, le roi vaincu, est le dernier roi de la dynastie de Soua
e mort. Le roi prisonnier des Bolonais, le roi vaincu, est le dernier roi de la dynastie de Souabe, qui féconda l’Italie me
assonancées, se complètent et se transforment dans le cœur triste du roi , et s’adaptent étrangement aux événements qu’il a
6]. […] Et puis, il est possible que l’exemple que vient de donner le roi des Belges soit imité. Ce souverain, homme d’affa
a vite ! Mais Son Éminence ne vient toujours pas. Elle est auprès du roi très chrétien, Henri II, en compagnie de son frèr
e lettre qu’on trouve est du 11 novembre 1557. C’était l’époque où le roi catholique Philippe II, vainqueur, trois mois aup
1er août 1909, p. 540-549 [545, 548-549]. Vente des collections du roi des Belges [extrait] […] C’est, ensuite, de l’
lus séduisants parmi les peintres italiens, et le célèbre Cortège des Rois Mages, dans l’oratoire des Médicis à Florence, co
ne, passa, après la destruction de l’exarchat, sous la domination des rois lombards et fut finalement restituée au Saint-Siè
vité républicaine qui poursuivent avec fidélité l’œuvre des meilleurs rois , des grands ministres et des généraux de l’Ancien
Savoie, comte de Tende, sénéchal de Provence et lieutenant-général du roi dans cette province. On l’appelait aussi comte de
de Pardaillan, seigneur de La Mothe-Gondrin, chevalier de l’ordre du roi , lieutenant du duc de Guise en Dauphiné, avait ét
17 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
, où elle garde la Fatalité implacable couchée sur les dépouilles des rois tragiques. Plein de ce sentiment presque parfait
qu’il s’est composée, les jeunes auraient pu aujourd’hui le couronner roi , car l’autre roi, le vrai, le petit monarque mili
sée, les jeunes auraient pu aujourd’hui le couronner roi, car l’autre roi , le vrai, le petit monarque militaire, est trop p
s la volonté de l’Italie n’est pas d’être guelfe ou gibeline sous des rois  ; elle veut être indépendante et libre. « Son der
exandre VI, ou, pour sauver la ville qui vient de proclamer Jésus son roi , transgresser la loi généreuse et livrer au bourr
ls qui ont plus de peur de perdre leur place, que le moindre préfet ? rois (Page 32). En France, depuis la Société de la…
le mécanisme de la liberté. de la barrière de Pantin (Page 233). Le roi sort effrayé de voir des cheveux sans poudre. On
à Bologne, comme partout, beaucoup de maisons nouvelles. la peur des rois , qui retombe en tyrannie sur la tête des peuples
a présence… Histoire de la tête du Gal [général] Murat que le R. F. [ roi Ferdinand] ne reconnaît pas. J’ai à penser à ce s
18 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
ième tableau de la légende de sainte Ursule sons la figure du fils du roi des Huns et ils attirent l’attention sur la resse
boccaccienne de l’histoire de Flor et Blancheflor, les aventures des Rois de France, Reali di Francia, retenaient l’attenti
l a noté de délicieux paysages et su écrire, par exemple à propos des Rois Normands et de la civilisation composite de la Si
e les feux d’artifice se succèdent hors Milan, partout où s’arrête le Roi qui vient à petits pas se faire couronner, Le cam
immense dans le grand théâtre de la Canobiana, attenant au Palais du Roi . Une galerie supérieure joint au Palais ce théâtr
upériorité », le comble de caresses et d’attention. Hélas ! pour être roi on n’en est moins autant qu’un autre expose à por
est la maîtresse de son bouffon. Un même destin réunit Joconde et le Roi . Mais à l’encontre du Sultan des Mille nuits et U
ont qu’à se résigner à l’être. Assagis et philosophant, Joconde et le Roi , désormais sans jalousie ni passion, rentreront c
plus sensé. » Il répond : « Patience ! Je vous chanterai un jour les rois et les grands de la terre, si je comprends jamais
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
que le Tout-Puissant agit justement en le précipitant du Ciel, car un roi ne peut permettre qu’il y ait autour de lui des ê
de Dieu. Oh ! la douce, si douce chose que n’être pas compris de ces rois du parterre ! Pas même Molière, qui pourtant étai
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
I aurait bien voulu renvoyer en quelque sorte dos à dos le pape et le roi . On sait que Mentana mit fin à ces velléités (186
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
de soldats ! » se précipite tout d’un coup dans la prose, lorsque le roi crie sa colère dans un gros rire amer. M. Antonio
22 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
voudrait vivre en paix, dans ses rizières ou sous ses orangers, sans roi , sans bersagliers, sans caporaux, avec seulement
sol, mais de l’obéissance aux dangereux caprices de médiocres tyrans, roi , ministre, généraux. Oh ! ce Baratieri à la tête
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
udes. Ainsi s’exprime Daru, en son sérieux style empire qui porte le roi de habit brodé du haut fonctionnaire, au tome VII
24 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
ce portrait a été, depuis, fortement repeint) ; puis, l’Adoration des Rois Mages du même artiste, Le Départ de sainte Ursule
de mouvements de foule sensiblement comparables, soit dans la cour du roi , qui s’agite autour de Méphisto, soit dans la tou
à ces lions de M. Bugatti, qui se souviennent trop des frises où les rois d’Assur les perçaient de flèches ; Bugatti est su
pour nous montrer l’homme médiéval, passionné et superbe, esclave et roi de sa chair comme de son esprit, dans tout le pat
s. De ci, de là, quelque figure de prophète ou d’évangéliste, quelque roi mage, coiffé de la tiare aux gemmes resplendissan
s qu’elle suscita en Italie : l’une dont les Farnèse, protégés par le Roi contre le Saint-Siège, furent les bénéficiaires ;
ge, furent les bénéficiaires ; l’autre provoquée par la protection du Roi sur Sienne (conséquence de l’influence des Guises
ublique. Lorsqu’on songe que de farouches révolutionnaires, après des rois soi-disant négligents, ont su respecter la beauté
ent lieu. Elle ne m’intéressait qu’à partir des Guerres puniques. Les Rois Brutus, Lucrèce, Clélie, Horatius Coclès, Porsenn
omme Morgane, mais douce aux enfants et de cœur tendre. Ces fêtes des rois mages, pendant lesquelles je mangeais tant de dra
25 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
es ». Plus tard, quand il fut illustre, il fut prévenu un jour que le roi lui donnerait audience. Il s’y rendit, se demanda
ience. Il s’y rendit, se demandant ce que le monarque lui voulait. Le roi le reçut familièrement dans son cabinet de travai
ui demanda quel était cet étui qui dépassait la poche. « Un cadeau du roi , répondit Villari, sans doute un livre précieux. 
rd’hui tout entier autour du gouvernement, de son Parlement et de son roi . Il y avait, avant le 25 octobre, là-bas en Sicil
gleterre par Alonso de Cardenas pour le roi Philippe IV à la vente du roi décapité Charles Ier. Il fut payé 165 livres ster
. Arrigo Boïto était mort ; il était midi. Aussitôt on télégraphia au roi , à la reine mère, au président du Conseil et aux
26 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
de reconnaissance nationale, attribue une rente viagère au Poète. Le roi a voulu rendre à Carducci l’hommage pécuniaire qu
a voulu rendre à Carducci l’hommage pécuniaire que son grand-père le roi Victor-Emmanuel II avait rendu à Manzoni. Mais no
ard, le lâche, le déshonneur de la famille ! Que toutes les balles du Roi lui percent le cœur. — Il aurait commencé mainten
jours puiser de belles forces pour de belles victoires. Après lui, un roi et un statisticien piémontais ont apporté à l’Ita
avant : initiative indépendante, politique personnelle à l’égard des rois vaincus, importance croissante du côté financier
VII). Ce siècle dont l’écume entraînait dans sa course Les mœurs, les rois , les dieux… refoulé vers sa source,              
27 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
elle Manon lui annonçait son mariage avec « M. Blondel, architecte du roi et membre de son académie ». Elle retourne à Casa
t qu’elle est monténégrine et jolie. Qu’ils y aient ajouté leur petit roi et son grand plumet, je n’ai rien à en dire ici ;
pauvres animaux domestiques endurent pour nous, qui nous appelons les rois de la création et n’en sommes que les bourreaux,
28 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
me occulte conserve une violence des temps barbares, des temps où les rois faisaient tuer les esclaves qui osaient lever leu
sonnements de la plus stricte logique à se jeter sous l’automobile du roi , dans l’espoir de faire un geste suprême qui soit
qui en subsistent dans la ville actuelle. L’époque barbare, celle des Rois et de la République n’ont pour ainsi dire rien la
29 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
gens qui auraient pu lui plaire. — Il recevait, d’ailleurs, comme un roi . Il savait faire admirer, sans forfanterie aucune
sos justement expressifs. On n’est pas obsédé, dans l’Amour des trois Rois , par ces mélodies romanceuses et rémunératrices d
phatique, débutant ainsi : « Georges de Corse à Georges d’Angleterre, roi . » Voilà mon Rousse de Cosse casanovien immédiate
ent la Lettre du bailli. De la scène lyrique Quinault n’est plus le roi . Lisez ma Poétique, Vous direz comme moi. Nous n’
gieux artistes, à la façon d’un Cellini, entré au service, non pas du Roi très Chrétien, mais d’une vie avide et inquiète.
30 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
re union sacrée. Nul doute que le sincère désir du gouvernement et du roi n’eût été de donner à l’action italienne toute l’
égrales. Un se souvient dans quelles circonstances le gouvernement du roi se rangea militairement aux côtés de la France, d
anlable confiance dans l’avenir. S’inspirant de l’exemple de S. M. le Roi , premier entre tous en toute occasion guerrière,
plus verbale que plastique, des états d’âmes pour une sculpture cette rois plus neuve et plus plastique, dont il avait trouv
31 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
t-il à sa mère, de la dépense et du bien que fait Voltaire. Il est le roi et le père du pays qu’il habile, il fait le bonhe
32 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
remonter Rigoletto à sa façon. L’ouvrage le mérite tout autant que le Roi s’amuse. Ce n’est pas plus profond, mais non moin
es comme dans notre Occident ou pour détruire des tyrannies de petits rois qui ne cherchaient qu’à dévorer leurs sujets comm
partage, et devint à la fois Et la terreur du monde, et l’arbitre des rois  ! On sait que le passage ci-dessus, presque tout
. M. Cochin me paraît être dans la circonstance plus royaliste que le roi , en interprétant à sa façon les pensées contenues
ur demande des sacrifices ; le Parlement s’adressant à la nation ; le Roi parlant un langage de sobre patriotisme ; et le n
33 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
historique de l’Italie impose aux ministres qui gouvernent, comme au roi qui règne, une prudence, une réserve circonspecte
étendue de l’influence de Giolitti sur la vie publique en Italie : le roi , excellent numismate, considérait la politique co
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
onnel, jouent souvent, non sans grotesque, le rôle tout décoratif des rois . Ainsi, malgré toutes les passions que son irrédu
35 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
ans l’antiquité grecque et romaine. Cela commence avec Alexandre, aux rois de Macédoine ; ensuite furent adorés les Ptolémée
36 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
uis, il est nécessaire d’ajouter que l’Art ne s’arrête pas là, car le roi de l’anachronisme s’appelait Shakespeare. Comme e
37 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
nu en quelque sorte à ses yeux la cathédrale de Reims où lui, presque roi déjà en son pays, recevrait le sacre définitif.
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