ontenait une goutte de sang du Dieu. Les hommes en enflammaient leurs
rêves
, ils plaignaient le sort du grand captif et se to
té de la vie et la stupidité de la mort. Il se lança d’un bond sur le
rêve
, comme un félin qui s’aplatit pour bondir plus ha
tes n’ont pas pu créer une Poésie. L’Urbs était trop ardente dans son
rêve
impétueux de conquête et trop glorieuse de son ma
t individualiste. Chaque Romain était Rome, et couvait en lui seul le
rêve
d’un empire. Aussi Rome n’eut-elle pas d’aristocr
être hindou, car les Hindous manquaient de force pour se détacher du
rêve
, se relever de l’absorption pour entrer dans l’ac
erveilleux poème de l’homme qui se reconnaît impuissant à réaliser un
rêve
plus vaste que les limites de son horizon. Cepend
illoux du peuple, hué par une folle, tel le symbole vain de son grand
rêve
stérile. Dans tous ses héros et ses héroïnes, Ibs
inck accomplit un remarquable effort, avec ses puissantes qualités de
rêve
plus que de recherche. Les visions qu’il a réalis
lité psychique. Le théâtre de l’Avenir recherchera là sa puissance de
rêve
, ses qualités anoblissantes par le rêve, à côté d
echerchera là sa puissance de rêve, ses qualités anoblissantes par le
rêve
, à côté du Drame Héroïque à la Wagner. Malheureus
abriel d’Annunzio sous l’influence de Maeterlinck fit tout d’abord un
rêve
terrible de folie et de sang. Il écrivit le Songe
théâtre de d’Annunzio se confina tout simplement dans les domaines du
rêve
. Ensuite, il fut dominé par une pensée centrale,
n tragique revient s’appesantir sur les âmes imprudentes. Et le frère
rêve
l’inceste ; et, pour ne pas accomplir cette volon
dus. Nos besoins dramatiques nouveaux sont faits de précision dans le
rêve
et de clarté dans une vision qui traduise non les
Les toits épars contre le vent qui les assiège, Vers les cités qu’on
rêve
et les jardins féconds. Déjà souffle au soleil
est de printemps fleurie Et, pure sous le ciel, la mer de Ligurie Qui
rêve
en souriant jusqu’au Phare lointain, Enfouissan
ier construit S’allonge entre la Tour et le vieux Baptistère. Et le
rêve
, surgi devant la face austère Des monuments de ma
conçoit un drame contemporain. Il enveloppe ce drame des voiles d’un
Rêve
, qui semble vivant et présent par la vertu du Sou
ort. Sur toutes les routes, ils doivent traîner la domination de leur
rêve
de liberté. Ils connaissent la nécessité qui impo
eune homme qui avait voulu connaître la vie, qui était parti avec son
rêve
pour vivre avec intensité et avec liberté. Et par
campagnes italiennes, où la tradition de la force, de la valeur et du
rêve
, est sacrée comme une loi divine, comme un culte.
gré la malpropreté si stupide de ses rues et les……, toute l’Europe ne
rêve
que Paris. vexations de sa police (Page 67, en
me. Le type de cette jeune femme, pas très jeune, pas très belle, qui
rêve
d’une extase infinie et ne sait pas s’y résoudre
: le Moyen-Âge ? Réalité ou légende, saint François est celui que nos
rêves
ont créé. Il est indestructible, car il fut le Pr
le, car il fut le Précurseur-Poète, et la vie des Poètes est faite de
rêves
, et les rêves n’ont rien à craindre du scalpel de
le Précurseur-Poète, et la vie des Poètes est faite de rêves, et les
rêves
n’ont rien à craindre du scalpel de l’anatomie hi
, l’Enfant de volupté, le Feu apparaissent comme les réalisations des
rêves
d’un fort beau cerveau, très moderne, très inform
ques. Les quelques jeunes poètes qui poursuivent au-delà des Alpes un
rêve
de renaissance théâtrale par la hauteur et par la
vers le naturalisme et vers le psychologisme, M. Giacosa jeune fit un
rêve
moyen-âgeux très pur, et écrivit sa célèbre Parti
it pu, avec la même psychologie, créer un autre fantôme dans un antre
rêve
d’art. Ce manque d’« absolu » dans la manifestati
in de posséder ce qu’un autre homme possède, parce qu’il juge que son
rêve
vaut plus que la vie de sa victime. Un banquier e
remière victime, et aurait pu trouver un autre homme épris d’un autre
rêve
qui aurait agi de la sorte, et ainsi de suite. Ce
met calme de la pensée philosophique et d’une philosophie éprise d’un
rêve
de fraternité humaine de paix, d’amour presque pa
igines lointaines de sa culture gréco-latine. Il s’est plongé dans le
rêve
hellénique, qui est l’expression la plus complète
ssions gigantesques, aux amours éperdues de la terre, de la vie et du
rêve
. Dans la maison de Lazaro di Royo quelqu’un chant
scure et toute faite de craintes vagues, noyées dans un mysticisme de
rêve
, d’où se détache, comme une nécessité évidente, c
ssé par les injonctions peureuses et farouches des femmes, arrête son
rêve
sur la brebis galeuse, fait un geste vers elle po
terrible. Il détache de l’inconnue enchanteresse ses yeux remplis de
rêve
. Cette femme est le feu central des grandes flamm
son fils avant l’entrée de l’étrangère et dans sa longue attitude de
rêve
devant celle-ci, pressent le drame. Or, il arrive
teau et sa hache il taille dans un tronc d’arbre la figuration de son
rêve
. Tout le trouble de son âme de somnambule, au hau
re malade, faible, visionnaire. Il est loin de la vie, perdu dans ses
rêves
sans fin. Il est dans ces limites vagues de l’âme
ond sommeil. Elle ne voit rien, elle n’entend rien, elle est comme en
rêve
, et répète les paroles prophétiques que son fils
sur sa poitrine et de l’autre le fait boire ; déjà, dans son état de
rêve
, elle disait les paroles de la Passion de Marie,
Annunzio est de ces derniers. En tant que dramaturge, il est parti du
rêve
esthétique et cruel des Songes, a tenté la tragéd
La ligne argentée de la tanca s’évaporait à l’horizon dans un lac de
rêve
, et ce fond vaporeux absorbait les regards et l’i
le lui perce le jarret ! — Malin comme un vieux renard, mais ce qu’il
rêve
ne réussira pas. Pendant son voyage, et au pays,
les bouquets de leurs roses amères, là-bas était la paix, l’oubli, le
rêve
longuement poursuivi. Les oiseaux de marais, cach
se, qui endormait toute douleur, tout souvenir, tout remords, dans un
rêve
profond et clair comme les eaux du fleuve. Elia a
ense solitude de celui qui a voulu se créer un monde modelé selon son
rêve
… Au vérisme des anciens maîtres il substitue son
oètes magnifient la vie, après avoir scellé sa réconciliation avec le
rêve
, ils ont compris que c’était l’instinct du poète
ie dramatique. Son imagination claire et qui ne s’embarrasse point de
rêves
fumeux, sa tendance à tout simplifier, son aversi
le vent ; et ce frisselis mélodique évoque en mon cœur nostalgique un
rêve
ébauché autrefois. Un grand frisson énamouré co
c’est-à-dire à une nation qui politiquement n’existait pas, son grand
rêve
d’unité dans l’action. Mazzini fut le créateur et
érablement. Et si sa plus grande faute est de ne pas avoir compris le
rêve
fédéraliste que Gioberti présentait gauchement à
de la poudre se lève, Le frappe avec un sceptre… il s’éveille, et le
rêve
Tombe devant la vérité. Manzoni (strophe VII). A
ationalisme qu’aujourd’hui nous détruisons enfin par l’orgueil de nos
rêves
métaphysiques nouveaux. M. Romualdo Giani, avec u
ujours insupportablement ennuyeuse, car elle n’a plus la puissance de
rêve
des doutes légendaires, et s’égare dans un pédant
compris que l’éducation de l’enfance doit être faite par les voies du
rêve
et de l’art, par les visites aux musées et par le
rs par le grand romancier, dont la préoccupation catholique hante les
rêves
et déforme l’art. Le roman vient de paraître, et
âme plus neuve, une force plus fervente, une promesse de puissance de
rêve
et d’expression, qui soit par cela même une prome
une fois le véritable état des choses, et nous montre surtout que le
rêve
de renaissance théâtrale, poursuivi à Paris avec
évoque l’image byzantine et catholique de la naissance de Venise. Le
rêve
ne se révèle pas en un langage de paroles, il est
omprises, car M. Enrico Corradini, polémiste ardent et homme d’idées,
rêve
d’une organisation politique nationaliste en Ital
éelle, et abîme les dramatis personœ de tout drame historique dans un
rêve
de mort et de gloire. C’est dans ce rêve perpétue
out drame historique dans un rêve de mort et de gloire. C’est dans ce
rêve
perpétuellement renouvelé à tous les carrefours d
mais d’un enfant qui aurait connu l’ardeur de la vie et la douceur du
rêve
. » — C’est en effet le livre d’une croyante qui s
pour le cruellement forcer à se rendormir sans la réalisation de son
rêve
. Ce sont là jeux de poète. Musique. L’Orfeo
nt de sa nuque au nimbe de ses cheveux… » André Sperelli convalescent
rêve
de baiser les belles mains qui égrènent au piano
souvenirs de sa passion déclinante, et refait avec une autre femme le
rêve
d’amour que ces mêmes mélodies berçaient autrefoi
de de l’inconnu et le besoin d’expliquer ce qui échappe aux sens : le
rêve
où se noie l’esprit, pour se libérer de la souffr
ussade de vieux célibataire sans famille, sans amis, sans affections,
rêve
du bonheur qu’il a manqué par lâcheté ou par indé
e, qui est son fils ; et l’âme dolente qui a sacrifié toute sa vie au
rêve
orgueilleux de sa maternité se brise dans l’effon
suite. Les Poètes comme d’Annunzio, Pascoli, de Bosis, poursuivent un
rêve
de beauté et de synthèse esthétique tout vibrant
ition, avec des esprits nouveaux, des compréhensions plus larges, des
rêves
plus hardis, des forces plus complexes que celles
i, dans sa lourde incohérence, se heurte à toute esthétique et à tout
rêve
d’esthète. Il y a à peu près dix ans, en janvier
la Poésie. Toute la mélancolie de l’Esthète cherchant à réaliser son
rêve
toujours lointain est dans un prélude. Une grande
t pour toutes les choses belles rêvées, que la vie a laissées dans le
rêve
, que le rêve a cachées dans le plus profond de se
les choses belles rêvées, que la vie a laissées dans le rêve, que le
rêve
a cachées dans le plus profond de ses voiles myst
t ces arbres ébranchés et ces roses… Et la bleue et rose apothéose de
rêve
de l’Angélico… Seule, la Vierge du Ghirlandajo, e
M. d’Annunzio, le premier pas vers son théâtre tragique d’Albano ; un
rêve
encore lointain, pour lequel travaillent et le po
le vieillard, c’est Alexandre Zeno, qui, arrivé à ses derniers jours,
rêve
les joies terrestres les plus belles et les plus
andre sur son lit, le visage calme, comme apaisé dans un sommeil sans
rêves
; l’enfant l’appelle en vain, et il lui touche la
t déjà désillusionné ; avide de beauté il n’a eu que la beauté de ses
rêves
incomparables… Il ne fut pas moins grand que malh
ocialistes ne se soucient guère de la république, qui pour eux est un
rêve
déjà trop insignifiant, et ils se seraient gardés
our la dernière fois scintiller dans le golfe où Gênes resplendit (un
rêve
fit scintiller autre chose en son âme héroïque) ;
du Militarismo : une confiance aveugle dans un avenir, que M. Morasso
rêve
et souhaite comme le triomphe de l’individualisme
s par jour, Paris serait Belleville ou Charonne : c’est sans doute le
rêve
socialiste, ce n’est pas le mien. Quant aux femme
c’est affaire « au grand mareschal des logis ». Mais, la façade qu’il
rêve
s’élèvera, l’effroyable et lourde façade d’une pl
nt noyés dans une vapeur violette, apparaissent comme une création du
Rêve
à travers la gaze noire du Sommeil ? De quelle pl
gineux abîmes où l’on va tomber, où l’on tombe, les abîmes infinis du
rêve
. Comme si un cercle eût été tracé là par un puiss
r, il n’a pas lu les catéchismes où l’action politique est la sœur du
rêve
des marchands d’esclaves. Il ne sait pas quels so
a s’ennuyait, il s’ennuyait même énormément. — C’est pour cela que je
rêve
, avoua-t-il à Wellseley dans le fumoir où nous pr
e, avoua-t-il à Wellseley dans le fumoir où nous prenions le café, je
rêve
beaucoup trop. Je n’ai pas, comme Lowsky, l’ambit
des millionnaires chez Paillard ou à Armenonville. — Ça dépend ! — Je
rêve
trop, moi ! Ici à Venise, c’est tout naturel. Je
d’un condottiere, je vous le jure ! Je suis un malheureux ! Mais les
rêves
prennent ici de l’ampleur, au milieu de ces palai
e cette parole, et sur sa face l’émotion de son cœur arrêté. Oui, mes
rêves
ont ici toute leur allure ! Ils ne sont pas emmur
n, avec sa chair ! Il est nécessaire de connaître ses sentiments, ses
rêves
: Qu’espérer d’un passant qui fera votre portrait
eureux que Pietro Morga, John-Arthur Wellseley peint la figure de ses
rêves
! Il l’installera chez lui, dans une chapelle vou
e aventure ? — Je suis à vous. — Une aventure romanesque… — C’est mon
rêve
. — Périlleuse, peut-être. — Dieu vous entende ! —
Lui auriez-vous raconté les vôtres ? Les aventures de votre cœur, ses
rêves
, ses désillusions ! Elle me regarde avec des yeux
mon nom prononcé, comme dans une hallucination. — L’hallucination du
rêve
qui vous possédait ! En m’apercevant, la réalité
elle. Mais elle ne fut bientôt plus qu’une pauvre créature domptée. —
Rêve
! maintenant. Rêve, murmura-t-il. Je te permets d
fut bientôt plus qu’une pauvre créature domptée. — Rêve ! maintenant.
Rêve
, murmura-t-il. Je te permets de songer à qui tu v
ter le scandale ou le drame. Elle se réveilla, ragaillardie par les
rêves
vengeurs de la nuit. Elle fit dire à Stella-Lucen
uellement ! Je ne te laisse qu’une liberté : celle des pensées et des
rêves
. * La disparition des Stella-Lucente intrigua la
là, le palais Stella-Lucente ! Est-ce que je suis fou ? Est-ce que je
rêve
! Enea, regardez… Les deux fenêtres de la chambre
ndant, et compose des mélodies. Je le crois heureux. Il a réalisé son
rêve
: avoir un rôle dans une aventure romanesque, Low
assez effrayante pour la politique de Berlin. Mais ceci n’est que du
rêve
. Ces dernières lignes sont assez intuitives, pui
que du rêve. Ces dernières lignes sont assez intuitives, puisque le
rêve
s’est réalisé ; mais ce qu’il faut retenir c’est
derrière les arbres ; les vieilles bigotes qui font naître en lui les
rêves
bizarres et lascifs ; les fontaines qui vont mour
érateurs, — aux jeunes, notamment, qui n’oublient pas leur fardeau de
rêves
superbes sur le seuil du journalisme quotidien !…
nt avec cette passivité curieuse du temps, et rejetant son idéal, son
rêve
, bien au-delà des communes barrières. Quand on co
les arts mécaniques d’aujourd’hui ; pour lui c’étaient plutôt là des
rêves
, émis par un cerveau fatigué et toujours en trava
périmentait avec des couleurs, essayant, par une étrange variation du
rêve
de l’alchimiste, de trouver, non pas le secret d’
l’herbe devenue fine comme une chevelure. C’est le paysage non pas du
rêve
ou de l’imagination, mais des endroits bien retir
oyons cette image se développer peu à peu dans les productions de ses
rêves
; s’il n’y avait pas de témoignage historique pré
ature de sa pensée ? Par quelles étranges affinités la personne et le
rêve
ont-ils pu se développer si éloignés et si rappro
e de Piombino, chaque lieu de son séjour paraissant agité comme en un
rêve
fiévreux. Il lui restait à faire un autre grand t
ce qu’il attachait à la possession de ces Îles. Toujours hanté de son
rêve
turc, il y voyait autant de cailloux où poser le
e frontispice posthume d’une œuvre qui est le traité de la logique du
rêve
. Les Journaux. Stendhal et Mathilde Dembowsky
ables désirs, est resté trop professoral : il nous a rogné la part du
rêve
. Tome XXXII, numéro 120, 1er décembre 1899
acable énergie l’état-major, limité dans son action, endigué dans ses
rêves
, ont mené la guerre sur un front qui, de tous les
peut-être excessive. Une vitalité exubérante lui interdit autant les
rêves
sociaux que les doutes intérieurs et la fait asse
s ou de la vie ce qui est simplement l’effet d’un contraste entre nos
rêves
d’hier et la réalité d’aujourd’hui. Ils se mépren
saient de se connaître ; ils mettent dans leurs passions et dans leur
rêves
un peu de cet infini qui les domine et les épouva
r une meilleure leçon d’énergie à un mystique exalté seulement par le
rêve
et qui oublie la nécessité de l’action afin de mi
Leopardi il aime à se perdre dans sa contemplation. Il médite, et il
rêve
, et puis, ensuite, quand cette méditation et ce r
Il médite, et il rêve, et puis, ensuite, quand cette méditation et ce
rêve
ont trouvé leur expression dans un poème, il lais
sa pensée sur les choses et sur les êtres, et tout cela, « l’ombre du
rêve
et l’ombre de la chose », tout cela forme la plus
e soumission à la patrie. Aussi avec quelle véhémence accuse-t-il les
rêves
pacifistes d’entretenir les nations et les hommes
e, aimant son pays avec une ferveur passionnée, il sentait fleurir un
rêve
de domination dans son esprit discipliné par l’id
, le labeur qui réconforte et qui libère. Il a consacré à formuler ce
rêve
les pages les plus fortes que je connaisse. Le rê
cré à formuler ce rêve les pages les plus fortes que je connaisse. Le
rêve
de M. Corradini, depuis l’intervention, s’est enc
iental auquel aujourd’hui l’Italie, encouragée par les nationalistes,
rêve
avec enthousiasme. L’impérialisme méditerranéen,
te histoire pourrait aussi s’appeler : la merveilleuse psychologie du
rêve
mise en regard de la piteuse réalisation de l’act
ce qui doit inquiéter le moins un homme bâti pour être habité par le
rêve
. Si Tito Bassi, vêtu de pourpre comme César, s’ét
er qui eut l’imprudence de donner un corps, sinon des cadavres, à son
rêve
dans lequel il aurait pu si somptueusement se dra
ignification d’une méthode. Concorder dans l’unité générale, c’est le
rêve
. — Leibnitz, qui eut la passion de l’unité et de
eligieux. Le Poème est son acte de foi. Son utilité sociale fiance le
rêve
, besoin passionnel, avec la réalité, constatation
nçoit jamais le coït normal et fécond, patriotique ; les amours qu’il
rêve
et qu’il fait paraître dans ses œuvres sont de pu
ravoure d’un bel italianisme, tels que le : Tout m’abandonne… Adieu,
rêves
de gloire, un certain finale du IIIe acte qui no
cond acte notamment contient d’admirables pages parmi lesquelles le «
rêve
de Cassio », supérieurement chanté par Maurel. Le
librement. Plus que le duc de Valentinois, épris lui aussi d’un grand
rêve
de domination impériale, âpre dans les plaisirs,
aient tous les esprits, Léonard put réaliser une grande partie de ses
rêves
grandioses. Peintre sacré et peintre profane, ord
vers la Beauté ! Je n’imagine pas de meilleure aventure, Et je ne
rêve
pas d’une autre éternité, Bellini ! que de vivre
plus forte. Qu’importe si le fruit de mon espoir avorte, Et si mon
rêve
heureux ne fleurit qu’à moitié ? Ne pourrai-je
s l’ont amaigri. Dans sa cellule, il écrit des canzoni exaltés où son
rêve
de destruction se précise : « Ô Dieu ! s’il était
oème, et inversement ». Si bien que nous le voyons souvent peindre un
rêve
poétique, transcrire en vers maint tableau de lui
es vers sont construits dans son imagination ; ce sont des jardins de
rêve
, pleins de douces lumières qui coulent sur les pe
l’intéresse, tout ce qui n’est pas purement l’art lui répugne : il ne
rêve
jamais d’améliorer l’humanité, de lui ouvrir le s
ées fabuleuses de l’inspiration où la vie réelle devient abstraction,
rêve
éternel : là où Eschyle « stylisa » la matière po
in, après les avoir nouvellement découverts, M. Chiesa peut écrire ce
rêve
étrange de la pierre, Minute tragique, où la pass
sse : un chrétien même fervent ne cesse point d’être un pécheur. Quel
rêve
ont donc fait ceux qui se figurèrent que l’homme
re à pacifier l’état intellectuel. Chaque esprit, sans abandonner son
rêve
, tâche de le christianiser et Cecco d’Ascoli tire
rist roi de Florence et changea les mœurs. Ce fut la réalisation d’un
rêve
: on n’entendait que des chœurs spirituels, les d
rgies ordinaires d’action, et en éveille d’autres, extraordinaires de
rêve
. Enfin, c’est la même transformation dionysiaque,
s formes : elle est tonte romantique. Elle garde donc en puissance le
rêve
dont tous les hommes sentent le besoin impérieux
dans Arles la Souveraine, et en mille points ailleurs, possèdent ce «
rêve
potentiel », mais à Venise il est pour ainsi dire
figuration des âges morts, et qui par cela même à l’homme qui vit de
rêve
, comme la plupart vivent de calculs, offrent l’ab
l’Italie. Venise continue d’accueillir les phalanges des quêteurs de
rêve
, exaltant en eux, par le déploiement savant de se
Venise ne peut pas répandre sur un esprit gigantesque le bonheur d’un
rêve
prolongé. Mais elle lui offre un lieu de repos su
mphe sur un esprit, Venise est la souveraine absolue, sa paissance de
rêve
étant composée non seulement par l’orgueil humain
ssé là le fameux plan de César et d’Antoine, la conquête de la Perse,
rêve
de tous les ambitieux qui, ces deux derniers du m
Tome CI, numéro 373, 1er janvier 1913, p. 93-121. VI Ce fut un
rêve
. Toutes les nuits, j’allais trouver Lina, et nous
rase, et sans m’inquiéter de mon interlocuteur, je repartais dans mon
rêve
. Le matin, je ne bougeais pas de chez moi ; je po
s plus impatient. Les plus insignifiants détails me jetaient dans des
rêves
infinis ; tout, pour moi, devenait l’occasion d’u
ment faire ? Comment vivre ensemble, ensemble toujours, comme dans un
rêve
?… L’épouser ! Impossible. Elle ne s’y trompait p
ut se lever. On eût dit que quelqu’un marchait. J’entendais, comme en
rêve
. Puis des craquements se succédèrent, des marches
si cela s’était passé réellement ou en songe. C’était fou… c’était un
rêve
… Oui, j’avais rêvé cela ! Mais en promenant machi
e mettre au lit, la tête calmée, et prête à accueillir les plus jolis
rêves
. IX Le matin, en m’éveillant, je souriais à
nvoyai un baiser à tout cela, un baiser au passé. Adieu ! Adieu ! mon
rêve
! adieu, ma folie !… Cependant, dès que je fus en
ujours je voyais si près et qui était loin et hors de portée comme un
rêve
. Quelles minutes celles où, libres enfin de nous-
n avec une force renouvelée ! Oui ! quelles journées de lumière et de
rêve
! Quels souvenirs embaumés pour m’y réfugier main
es chaudes lèvres vivantes, je baisais l’antique beauté morte dont le
rêve
nostalgique fait trembler encore notre pensée. Ca
fermi, on suivra la trace marquée par l’auteur de l’Âme. On suivra le
rêve
éperdu du dramaturge épris de la grande leçon tra
dique, il ne fera point grâce à la mollesse, à la dispersion, au vain
rêve
, à la fausse sensiblerie : mais le sentiment fort
, qui fut appelé le premier des hommes modernes, et qui n’eut d’autre
rêve
que d’errer, « d’errer à travers toutes les caste
léger du fardeau que j’enlève Aux hommes, travaillés par leur orageux
rêve
. Je leur dirai : laissez tomber ce joug pesant, G
nt la table des magazines. Je m’amusais à parler seul, comme quand on
rêve
. Je disais : « Une dame est là, en face de moi… u
et bourrasque, son chemin éternel, et ses yeux, dardés sur son grand
rêve
, ne voient même pas les pigeons qui, tout le jour
re, devaient retrouver l’occasion de lutter encore pour la défense du
rêve
islamique dont la Tripolitaine avait vu le déclin
r ses fruits. Tripoli peu connue était pour beaucoup comme un pays de
rêve
où le travail devait recevoir la juste rémunérati
manque un peu ici : la chaleur, et surtout, — tel est proprement mon
rêve
présent, — j’y aurais le bonheur de suivre des «
irer, après sa renaissance politique, à sa renaissance esthétique. Le
rêve
était prématuré, naturellement. Un organisme coll
n nœud de vie se déplaçant dans un espace très grand, l’espace de ses
rêves
, il peut évoquer, toujours autour d’un homme ou d
mer, était un jouet. Avec lui, après une journée tellement remplie de
rêves
, et tant remuée par les voix des collectivités qu
ère descendue de l’Olympe, surgissaient en visions ces créatures d’un
Rêve
. Le rayonnement animique de l’œuvre de Botticelli
s autres, pour que l’ombre et le mystère soient propices aux êtres du
Rêve
que je vais évoquer. Il faut Ie parfum d’amour de
t prouvé et ne le sera jamais. Si des dogmes autrefois nourriciers du
rêve
sont usés, vieillis, l’esprit toujours jeune est
émédiablement : celui qui est devant elle n’a rien de commun avec son
rêve
; elle a aimé un homme qui n’existait pas, et auj
muet et tendre de Massimo n’a pas été sans effet : en sortant de son
rêve
maladif, en rentrant dans la réalité de l’amour,
e parlez plus : je suis toute à vous !… » C’en est fait de l’amour du
rêve
: l’amour réel, tendresse et sensualité, dévoueme
. Le moment, d’ailleurs, était favorable à ce mélange de vérité et de
rêve
, parce que les maîtres des deux écoles commençaie
llesse est indépendant du lieu que j’habite. Quand je ne dors pas, je
rêve
, et quand je suis las de rêver, je broie du noir
ni ; de longs dialogues tels que : le Philosophe et le Théologien, et
Rêve
: Dieu-Moi ; il y a le Songe d’un Quart d’Heure d
oque avec tendresse, avec cette tendresse de l’enfant qui sourit à un
rêve
composé de toutes les légendes éparses dans le ra
n héros loin des événements, au centre des évocations, au centre d’un
rêve
de langueurs et de mort. Le roi prisonnier des Bo
Le roi Enzo représente l’Empire vaincu — l’Empire qui fut ensuite le
rêve
désespéré de Dante. Il représente aussi le dernie
a rapproche (plutôt qu’il ne crée une séparation), elle avait fait le
rêve
de créer, dans les Balkans, un grand marché pour
n d’ensemble de l’époque. Il semble que l’homme se réveille d’un long
rêve
pénible qui l’avait tenu oppressé sous l’angoisse
feu aux bibliothèques pour délivrer l’humanité de « ces calvaires de
rêves
crucifiés, ces registres d’élans, brisés » ; de t
ses ancêtres avaient vécu, illustres et puissants. Mais troublant ses
rêves
de bonheur, le souvenir des discordes et des crim
e, en Italie, le beau poème tragique de M. E.-A. Butti, le Château du
Rêve
, sur lequel je reviendrai, et les nobles tentativ
ppels immenses de la mer, vers l’existence exubérante de soleil et de
rêve
, sans espoirs et sans attentes, comme un marin f
à son étreinte. Encore exalté par la promenade de la veille et par le
rêve
éveillé de la nuit, Bélisaire s’en fut errer aux
spérer en elle toutes ses possibilités, de se créer une atmosphère de
rêve
où la réalité de sa stérilité se noierait dans le
dins nulle feuille Ne bouge. Ô soir émouvant ! Suivant chacun notre
rêve
, Soudain nous ne parlons plus. Mais dans nos deux
taire, toute sensibilité démagogique, sont dédaignés par le poète. Un
rêve
impérialiste incomparable gonfle les poitrines de
et sa beauté le long des côtes de la Provence et de la Ligurie. Là il
rêve
et il crée. Son énergie, nourrie de solitude, lui
de l’intelligence. Que comptes-tu faire, maintenant ? — Accomplir mon
rêve
. — Quel rêve ? — Peindre à fresque — et décorer V
ence. Que comptes-tu faire, maintenant ? — Accomplir mon rêve. — Quel
rêve
? — Peindre à fresque — et décorer Venise. * Il e
u’il me donne ! Je serai fou, lorsque, poursuivi par le souvenir d’un
rêve
plastique, je me dirai : « Il ne faut pas le raco
étendre, de discourir, de boire sous leurs rameaux ! » — Tu peins nos
rêves
de bonheur, s’écria Bordone. Tes seigneurs nous e
e de celui qui se tait ! Ne me tente pas, ô pâle suivante !… Pour ton
rêve
, pour le rêve que je te donnai, Je ne suis pas ce
se tait ! Ne me tente pas, ô pâle suivante !… Pour ton rêve, pour le
rêve
que je te donnai, Je ne suis pas celui-là, celui-
endormir sa plainte par un murmure de gloire, mais il s’associe à son
rêve
désespéré : ………………… Les fils, ô farouche, sont m
vieux Montmartre : « Des Polonais pauvres, aux yeux d’angoisse et de
rêve
, se sont assis sur le bord du trottoir, et ils ma
politique et guerrière ; si les circonstances ne s’y prêtent pas, il
rêve
. L’industrie a toujours été médiocre à Rome ; aus
t le génie de son immortel aïeul. Mais nous ne sommes pas au bout. Le
rêve
du poète peut monter plus haut encore. On déploie
la vraie valeur mystique qu’a voulue l’auteur, par contre tant de ces
rêves
perdent à être concrétisés. Au deuxième acte, au
femme vindicative et tenace, fille d’ErcoIe II, Lucrèce, pour que le
rêve
de Jules II pût prendre corps et que le cardinal
ur propre penchant pour l’art et la science. C’est en poursuivant son
rêve
de grandeur et du pouvoir absolu que Jules II fai
t, on vole : « Comment ne pas être artiste en face de ces horizons de
rêve
où la beauté le dispute au grandiose ? » et on es
lle était pour eux le but intangible vers lequel tendaient tous leurs
rêves
, leur idéal, leurs possibilités d’amour, leur amo
ines ! Que de cadavres tu devras rouler, et de pays et d’hommes et de
rêves
, avant que tu arrives au terme auquel tu tends, à
e « homme de Dieu », Ambrogio Borgognone, obstinément plongé dans son
rêve
mystique figuré sur des murs d’églises ou de couv
sicale », leur effort à entourer les figures d’une fine atmosphère de
rêve
et de poésie ! Paradoxe encore, je veux le croire
e (où M. Zola, avec peu de bonheur, s’instruisit et s’édifia pour son
Rêve
). Là, que cela soit fini et que, l’ère du roman i
ou à l’admiration envers l’Être qui lui apporte la réalisation de son
rêve
ou l’apaisement de ses douleurs. Et quand, par un
Que moi je te reste. Si l’orage déracine les domaines Du
rêve
, et la misère s’installe Là où ton désir élevait
arges, des maisons basses et en granit ; la plus belle cathédrale des
rêves
d’Adrienne et des églises du ive siècle, encombr
rs la ville avec une telle rapidité que je crus passer au milieu d’un
rêve
dont les ailes m’éventaient. Ici, la voie est tra
es et d’ornements d’or. Nous le suivîmes longtemps des yeux, comme un
rêve
qui nous tient dans la stupeur, et nous rentrâmes
te sagesse et le courage exalté de notre race. « Toutes les forces du
rêve
gonflaient le cœur des terrestres tournés vers l’
de sa sœur Isabelle pour Paolo, elle se tue. Vana est une créature de
rêve
, qui rappelle celles de Maeterlinck. Elle a devan
isément de cette logique implacable qui nous étreint dans ce décor de
rêve
, sous ce ciel de lumière et de joie. Le regard de
cette femme enrobe de satin blanc, les cheveux égayés de jasmins, qui
rêve
, l’œil fixe et profond, accoudée sur le marbre où
: il ne la voit pas, subjugué qu’il est par ses idées délirantes. Ses
rêves
fous l’obsèdent, il n’est plus capable de saisir
les têtes des femmes avec une nouvelle violence ; c’étaient comme des
rêves
de grande destruction, comme des aspirations à un
s femmes se turent. Et à l’instant où elles caressaient de monstrueux
rêves
de sang, Orphée monta et apparut au milieu d’elle
bondance qui dépasse l’imagination. Toutes, vous êtes belles comme un
rêve
… Il se tut un instant : le fracas de la mer l’emp
sé, aux artistes, qui ont édifié sur le monde un lieu conforme à leur
rêve
. Je vous prie de croire, etc. ÉMILE BERNARD.
mmet solitaire, Semblable à une faux sur une grande enclume, Tout est
rêve
. La lande originaire Vers le rêve propage ses o
sur une grande enclume, Tout est rêve. La lande originaire Vers le
rêve
propage ses ondes Nues, ainsi que le désert sans
ases pour leur conserver l’apparence de l’héroïsme, de l’idéal, et du
rêve
généreux. Mais combien le résultat final était lo
n de la question sociale par la collaboration des classes n’est qu’un
rêve
d’esprits ingénus et débonnaires. Dans leur lutte
nchée par un éclair qui la fait paraître plus bleue. Nulle part ou ne
rêve
ainsi, dans un air plus surnaturel, en des solitu
a pas de raison pour ne point l’admettre. Laissons-le couleur de son
rêve
. D’ailleurs cette ignorance où l’on se trouve de
raisonnable, c’est-à-dire libre de cœur, sinon libre d’allures, quel
rêve
que ce tableau de la renaissance italienne vécu p
mour savoureux comme un beau fruit d’été ?…Une jeune fille, pleine de
rêves
, souriante, et frêle, et crédule ?… Voilà donc la
me distraire un peu d’elle. Or, les rues de Naples ne portent pas au
rêve
, elles apprennent le vrai ; elles enseignent aux
tait ma belle Psyché serait bien vain. Cette nuit-là, je fis de jolis
rêves
; je me levai le lendemain, plus léger que depuis
’air. Quand ma Psyché parut, toute fraîche, charmante, belle comme un
rêve
, je lui envoyai des baisers. Puis je lui montrai
rdi, Manzoni, avaient été séduits, ou fatalement poussés, par le même
rêve
. Comme eux, les lyriques de l’Italie, devenue nat
ccentuent. Le sens intimiste même n’est pas étranger aux rythmeurs de
rêves
titaniques. Mes yeux, mes yeux, regardez l’horiz
ite ville, le soir ; une fenêtre où se colle le front d’une femme qui
rêve
, ou prie… « Es-tu celle qui demande la paix noct
les satisfont pas. D’Annunzio demeure isolé, enfermé dans ses grands
rêves
tragiques ; l’esprit littéraire italien, fatigué
es six sœurs Anguissola, qui traversent la Renaissance comme un clair
rêve
de féminité supérieure. Quelle captivante figure
de l’espace, Et ruisselant à rebours pour remonter leur lit ; Et mon
Rêve
reconnut avec effroi L’énorme face spongieuse de
lus grand soin, et le conflit qu’il provoque entre ses besoins et ses
rêves
, conflit dont il est la première victime, donne m
euse et emportée, à l’amertume qu’inspire la réalité si différente du
rêve
. À l’Italie moderne, un tel poète ne pouvait manq
ais bien moins belle que leur vie réelle, qui ne fut pas seulement de
rêves
et d’extases, mais de luttes même sociales et de
pathie de race et de tempérament pour les Français, tradition latine,
rêves
unitaires, désirs d’expansion, ambitions impérial
urs successeurs, tous ceux qui dès leur enfance avaient été bercés de
rêves
irrédentistes et désiraient la guerre contre l’en
la Philosophie telle que la voit Boèce, Béatrice, — autant d’êtres de
rêve
ou d’idéalisation appartenant à la mystérieuse fa
e, avec une érudition étonnante, l’histoire de l’idée de la vie comme
rêve
et illusion à travers les littératures et les phi
la générosité. Si vous voulez que nous vivions, désormais, sans aucun
rêve
, nous pourrons y consentir, et nous et tous les n
aux nécessités qui ont décidé sa création. En un mot, ce n’est pas le
rêve
; mais, comme l’a laissé entendre l’un de ceux qu
contra Gherardo Perini, « le plus ancien de ses amants idéaux, de ses
rêves
vivants… ». 56. Francesco Fattucci, chapelain d
er refuge, un palais de marbre et d’or, en pleine Venise, la ville du
rêve
où les doges, dédaigneux du vulgaire possible, ch
on ami l’attend et quand la triste réalité s’offre à elle, au lieu du
rêve
caressé de nouvelles félicités, l’épuisement de t
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