ontres. § Le tome VI des Mémoires contient, entre autres épisodes, le
récit
du séjour que Casanova fit à Londres en 1763. Cet
le quitta mon bras, et je ne pus la rejoindre de toute la nuit. À ce
récit
, Casanova, qui ignorait jusque-là de semblables d
ait plus qu’un mauvais souvenir et le plaisir de la vengeance dont le
récit
occupe la fin du tome VI des Mémoires. § Nous ne
et le Pantin. Lorsque Casanova, lorsque Don Mateo Diaz commencent le
récit
de leur singulière infortune et content leur prem
aventure qu’un autre avait réellement vécue. Chose étrange : des deux
récits
, celui de Casanova sans doute est le seul qui soi
re également indiscutable dans la mise en scène, l’intérêt continu du
récit
, l’adaptation des personnages au décor, toute la
r y voir Voltaire ou, plus exactement, pour s’y faire voir de lui. Le
récit
de cette entrevue, — car c’est véritablement une
Henry et de tous ceux qui ont confronté avec la vérité historique les
récits
touffus du célèbre aventurier vénitien, semblent
ns dû exposer un peu longuement, se trouvent en accord absolu avec le
récit
de Casanova. Les premiers mots que Voltaire lui a
Bernis, le ministre Choiseul, l’électeur de Bologne lui demandent le
récit
de son évasion. On sent, à travers le texte des M
Aussitôt que nous fûmes sortis de table, il me pria de commencer mon
récit
. J’étais animé, et pendant deux longues heures j’
régé de ses aventures, le Vénitien piqué répond que tout l’intérêt du
récit
est dans les détails et qu’il se flatte d’obtenir
r comment il s’était enfui des Plombs, il s’excuse sur la longueur du
récit
de ne pouvoir la satisfaire et remet à un autre j
. Pour ce faire, nous pensons que le meilleur moyen est de prendre le
récit
ligne à ligne, de faire comparaître l’intéressé d
de Benvenuto Cellini, du château Saint-Ange. Il n’y a à opposer à son
récit
que la faconde et les exagérations évidemment men
ton qui mérite d’être discutée ; car cet instrument, dans la suite du
récit
, va jouer le rôle capital, passer dans d’autres m
u’à demander cette inutilité. Non, le marbre était nécessaire dans le
récit
pour affiler l’esponton, l’un était la conséquenc
rme quelconque ; il doit donc être sur ses gardes. Or, la suite de ce
récit
nous montrera comment il se conduit malgré cet av
moyen très compliqué, qui forme une des pages les plus émouvantes du
récit
, et qui laisse le lecteur terrifié et haletant su
échelle courte à l’usage de son gâcheur. Mais, prenant à la lettre le
récit
de l’écrivain, il l’avait jugée assez longue pour
Le narrateur accentue encore la situation, déjà si émouvante, de son
récit
, par les manœuvres multiples et pleines de péril
isselait. Arrivé à la fin des objections que nous avons à opposer au
récit
de l’auteur, après l’avoir, à chaque page, pris e
z pas d’avoir parlé, mais accusez d’Ancona qui m’a mis au défi. De ce
récit
admirable, la Fuite des Plombs, si émotionnant, s
s une raison pour mettre en suspicion l’exactitude de tant et tant de
récits
casanoviens. Cette opinion, dans sa rigueur abso
s deux parts qui, bien que mêlées intimement et avec habileté dans le
récit
, doivent être bien séparées par le critique : l’u
me si brusquement ; l’autre part, toute d’imagination, faite avec des
récits
exagérés à plaisir, de la faconde, des gasconnade
l il brode, il exagère avec un merveilleux talent, afin de rendre son
récit
piquant et intéressant. Il sait corser son intrig
-même. Or, c’est dans le côté imagination que doit être rangé tout le
récit
de l’évasion, lequel, en prenant l’opinion de Ful
dramatiques sont véritablement impossibles à admettre, il dit : « Ce
récit
, recueilli sur les pièces du procès pour les prin
ction du Palais Ducal des arguments qui le font croire à la vérité du
récit
de l’auteur, les objections suivantes : 1° La por
mon évasion l’avait été, car il me fallait deux heures pour faire mon
récit
, lors même que je ne brodais sur rien. Cet aveu
dais sur rien. Cet aveu charmant de l’auteur est précisément tout le
récit
, et il est à retenir. Tome XCV, numéro 351,
Théophile Gautier, plus touchante et son apparition dans le cours des
récits
de l’aventurier constitue un des plus extraordina
eux ; mais, en même temps, un scepticisme très amer serpente dans les
récits
et révèle une colère humaine qui veut se cacher,
sensibilité touchante quoique monotone, et le personnage principal du
récit
semble être vraiment la Romagne superbe, farouche
teur sont plus vives et plus modernes dans leurs termes ; la forme du
récit
dans l’édition Garnier est certainement plus lour
er en chaise de poste, nous donne de lui cette réflexion qui coupe le
récit
. Oh ! ma belle et chère France, où tout dans ce
st là du bon et de l’excellent Casanova, autrement intéressant que le
récit
de ses fredaines. Son livre fourmille de ces pens
ite franchies en France ? Nous serions tenté de le croire, puisque le
récit
, quoique absurde, est, quant aux faits, le même d
nt omis dans l’édition Rozez. II Casanova, dans le cours de son
récit
, francise très souvent les noms propres de famill
ui-même au-devant de l’incrédulité du lecteur par cette phrase : « Ce
récit
est vrai de tout point et pourrait être attesté,
aits de l’année 1767, où l’auteur, afin de prouver la véracité de son
récit
, invite le lecteur à chercher le nom d’une femme
e sa maîtresse à Casanova, qui l’amène à Paris. Voici, maintenant, le
récit
: Je la portai chez la sage-femme, car elle étai
é de l’hospice, donne Lacrosse. Nous avons donc, maintenant, outre le
récit
textuel et mot à mot de Casanova, le nom du curé
pouvions lui écrire. Nous le fîmes dans une ample lettre relatant le
récit
de Casanova, mais omettant toujours le jugement p
beaucoup plus sérieux. L’intérêt vrai des Mémoires n’est pas dans ces
récits
, mais dans la peinture de toute une époque admira
r d’avoir altéré la, vérité, ou inventé, et par là suspecter tous ses
récits
, antérieurs. A-t-il pensé qu’un siècle après il p
ans de sa vie en un seul volume, comment s’en serait-il tiré pour le
récit
d’une vie particulièrement difficile à conter ? C
ocale, un peu comme des pièces à conviction, la vie et le crédit d’un
récit
légendaire, l’antiquité ne s’intéressait au paysa
que Casanova a puisé les péripéties les plus impressionnantes de son
récit
dans son imagination ? Jusqu’ici, au docteur Guèd
tait Casanova, ne pouvait évidemment avoir laissé se glisser dans son
récit
— vrai ou fictif — une énormité dont serait incap
échelle courte à l’usage de son gâcheur. Mais prenant à la lettre le
récit
de l’écrivain, il l’avait jugée assez longue pour
ton qui mérite d’être discutée ; car cet instrument, dans la suite du
récit
, va jouer le rôle capital, passer dans d’autres m
u’à demander cette inutilité. Non, le marbre était nécessaire dans le
récit
pour affiler l’esponton, l’un était la conséquenc
rai. (Notons qu’Andreoli vivait encore lorsque Casanova publiait son
récit
en 1788.) Ainsi que l’événement l’a prouvé, cet A
ant — ou en relisant — tranquillement, et sans prévention, ce curieux
récit
. Jam satis est… … verbum non amplius addam aura
a route, dont M. Teodor de Wyzewa vient de nous donner la traduction,
récit
d’un voyage qui a conduit l’auteur en Ombrie. L’a
rien que : Sainte Vierge ! Sainte Vierge ! Il va se tuer ! Comme son
récit
l’avait émue, je pus prendre sa main sans qu’elle
ductions quelconques de Mme Henry Gréville un ouvrage comparable à ce
récit
tout vibrant d’émotion contenue, d’une langue cla
au point d’interrompre l’exécution par ses applaudissements, après le
récit
de « la messagère » annonçant à Orphée la mort d’
s sensations de l’odorat, la notation des parfums tiennent dans leurs
récits
une grande place. Pour les exprimer, ils ont renc
a… — Ah ! Turlendana !…… Vous êtes d’ici ? — D’ici. Dans les deux
récits
, le dernier mari éprouve le besoin de montrer par
nt à la merci de ses compagnons. G. d’Annunzio s’est aussi souvenu du
récit
de Maupassant dans une autre de ses nouvelles, l’
ui, s’il avait osé comprendre. Le souvenir qui fait tout l’intérêt du
récit
, la promenade en tête à tête de l’homme timide et
’homme sont identiques, dans les deux nouvelles ; chez d’Annunzio, le
récit
, que nous avons ramené aux citations intéressante
re fragile, qui était né de sa chair et de sa volupté. À ce moment du
récit
, les deux romanciers arrivent à la même émouvante
Et voici quelle est, chez les deux écrivains, la brève conclusion de
récit
: G. DE MAUPASSANT (p. 223). Et il s’enfonça d
que les deux écrivains se sont plus d’une fois rencontrés ; mais les
récits
de d’Annunzio ne font pas oublier les anecdotes n
ur italien, l’histoire, qui a peut-être un fonds de vérité, semble le
récit
d’un fait-divers. Shakespeare en a fait une histo
ac de Rome, — le tableau des événements. La discussion abonde dans le
récit
, comme le comportait un tel sujet. Le livre aurai
la joie de supprimer la tache et l’obstacle, il tue l’Innocent. Si le
récit
de si peu d’événements emplit près de quatre cent
Remy de Gourmont]. Tome VIII, numéro 40, mai 1893, p. 80-88 [82]. Le
récit
qui donne son titre au volume est un agréable pet
leur verbiage télégraphique une belle tragédie. Vous souvenez-vous du
récit
de la mort du vieux Pline par son neveu ? M. DEL.
la mort du vieux Pline par son neveu ? M. DEL. — Oui. C’est beau. Le
récit
ennoblit encore la catastrophe. C’est une impress
e à eux, il nous est donné de découvrir ces tréfonds de la vie que le
récit
des événements ne nous fait point apercevoir : l’
un des plus curieux problèmes de la géographie du continent noir. Le
récit
que donne le Dr Filippo de Filippi d’après les do
ants et l’Enfer de M. Henry Barbusse, proses rares et fortes, sur les
récits
délicats et pénétrants de M. Jean Viollis, sur le
et ses tournées d’européen triomphateur fournissaient la matière d’un
récit
pittoresque, que M. Prod’homme étaya d’une docum
ion qu’on vient de lire permet de saisir sa manière, il excelle à ces
récits
de légende et il s’y montre visiblement le frère
-Débauché, tombant dans les bras de Smith-le Bon jeune homme. Dans ce
récit
arrangé de son aventure de Venise, Musset s’est m
profondément remué, comme le public athénien le fut peut-être par le
récit
d’Hippolyte s’élançant sur ses coursiers. Dans un
traditions fastueuses de la cour romaine. Au temps où se place notre
récit
, c’est-à-dire, vers le milieu du xvie siècle, le
aux bras de quelque amant. De ces confidences intimes, de ces libres
récits
pleins de détails savoureux sur la société avigno
mal ; je ne sais où reposer dans ce Palais. Et il continuait par le
récit
fort leste de ses exploits amoureux et des craint
aque jour, de celles qu’il aime. Et ce sont, sous sa plume endiablée,
récits
truculents de festins pantagruéliques, histoires
les pauvres gens, mais pour les bêtes, pour les plantes ; on sait le
récit
délicieux des Trois Compagnons, le mariage mystiq
ndant du Grand État-major de Soult, sa jeunesse avait été nourrie des
récits
de 1815. Plus tard, il avait eu la bonne fortune
préciations magistrales, elle a l’accent, le ton, la saveur enfin des
récits
où l’on croit entendre se prolonger encore la vib
te. Il a ce sens particulier, en quelque sorte exclusif, absolu, du «
récit
», que la littérature moderne, entraînée par les
eton, pour laisser toute la place à ses recherches introspectives. Le
récit
est caractérisé par un thème simple, une fable ne
Le « conte » de toutes les littératures offre le paradigme parfait du
récit
; mais le conte a été remplacé par la « nouvelle
conséquences aux prémisses. M. Zuccoli possède admirablement l’art du
récit
. La précision mathématique de son style l’aide à
la Romagne. Mme Deledda avait impressionné le public italien par ses
récits
de Sardaigne, avant de se faire, de cette terre à
ne précise ni le temps ni les lieux. Et cependant, par le seul ton du
récit
, il sait nous faire vivre continuellement dans ce
ndantur à Bruxelles. Je ne puis m’empêcher de traduire un fragment du
récit
des péripéties de ce voyage fantastique, car il d
rait-on, héberge plus d’Allemands que de Belges. Tout le long de son
récit
, Barzini souligne finement l’inconscience du mili
importance moins considérable dans la lutte même. Qui ne lit que des
récits
du front ne connaît que des épisodes du conflit.
res de ses supérieurs, cruautés impitoyables et systématiques dont le
récit
laissait incrédule une partie du public. Haines h
ndirectement à la guerre. On y trouve des études techniques à côté de
récits
de correspondants de journaux. Une autre collecti
ités d’observateur et de narrateur de M. Barzini2. Parmi les nombreux
récits
de guerre publiés jusqu’ici je n’en connais aucun
, du peuple italien : on le voit, au cours de ces pages, s’exalter au
récit
des souffrances du peuple belge et accueillir ses
apparaître dans votre réfutation de l’histoire d’Amelot. Vos premiers
récits
sont charmants de vérité et de naturel. Ces polis
-on fait porter assez, de responsabilités ! C’est surtout à propos du
récit
fantastique de votre évasion que le tumulte était
chise dans vos Mémoires. — Ce défaut vous a amené parfois à faire des
récits
impossibles à croire, des malentendus, comme dit
même eu sa crampe ; je vous cède toute la page la plus pathétique du
récit
, la pièce la mieux montée et la plus brillante du
qui tiennent une plume ou la lancette du médecin, ce ne sont plus les
récits
d’Alexandre Dumas, Paul Féval et autres romancier
possibles, alors l’esponton et le morceau de marbre, bases de tout le
récit
, disparaissent, et, avec eux, les scènes du toit,
nd faîte ; et c’est précisément le passage le plus fantastique de son
récit
, le plus impossible de ses actes. Fulin dit : pou
étend que je suis le seul Casanoviste qui mette en doute la vérité du
récit
de l’évasion ; les lettres que je reçois depuis h
s vous pour parler une dernière fois des Plombs de Venise. Dans votre
récit
, je crois tout de votre captivité et pas un mot d
on écoute sa voix avec le même intérêt avec lequel on aurait suivi le
récit
d’un grand seigneur de la cour papale qui serait
p. 371-378 [378]. Ernest Daudet, Tragédies et Comédies de l’Histoire,
récits
des temps révolutionnaires d’après des documents
ien, le regard torve, enfoncé sous l’orbite, etc. — Pour ceux que les
récits
d’histoire et les considérations générales n’inté
ard. — On sait aussi, par les publications précédentes, le charme des
récits
et les délicates impressions qu’apportent les liv
me, dans les villes, autre chose à voir que des tableaux. Pourtant le
récit
est d’un bel enthousiasme. L’auteur semble toujou
e vestibule et le commencement des funèbres régions ; et, en fait, le
récit
paraît bien sous-entendre que la navigation océan
La romancière s’étend sur les événements d’abord pour mouvementer son
récit
et surtout pour voiler son ignorance quasi totale
Venise, Bologne, Florence surtout, qui tient une grande place dans le
récit
, — des aspects de la ville, la cathédrale, les éd
rier nous apparaît quelque peu différente de celle que nous laisse le
récit
de ses aventures, si nous la reconstituons d’aprè
me vainement les lettres que Casanova a cru devoir reproduire dans le
récit
de ses aventures. À plusieurs endroits, il cite d
e. Toutefois, je l’entendis un jour parler de ses jeunes années et ce
récit
d’un pérégrin m’a paru assez saisissant et assez
ents, qui moururent peu d’années après mon départ. » Ayant achevé son
récit
, Giovanni Moroni resta longtemps rêveur. J’essaya
d’un pays, et il mêle agréablement la description des édifices et les
récits
du passé ; les pierres des monuments nous permett
l’Italie à ses visiteurs et consignées dans les carnets de route, les
récits
de voyage, voire dans les romans. — Parmi les pag
, conçu avec l’unité d’idée et de réalisation particulière aux grands
récits
qui demeurent. La vision de M. Francesco Chiesa e
t découvrir le pourquoi de mes paroles. Je rougis, et je terminai mon
récit
en donnant un peu d’enthousiasme à ma voix. Ah !
et quand, dans Othello ou Julius Caesar, Shakespeare dramatisait les
récits
de Cintio, ou de Plutarque, il est d’ores et déjà
es des joculatorès, des jongleurs profanes et mystiques, aimaient les
récits
de l’aventure du grand Roland, et les poètes, en
viste, telle qu’élaborée par l’amusant magazine Fantasio. En voici le
récit
fait dans l’Éclair par M. Sérieyx : Un communiqu
celui-ci, en son hybridité troublante, transparaît à chaque page d’un
récit
qui semble s’attacher exclusivement à la carrière
elle n’avait point encore abordé25. Sous forme de lettre ou de simple
récit
, elle nous donne, comme en une suite de petits ta
sûr. Elles nous sont donc une garantie de véracité pour l’ensemble du
récit
. Comme dans les autres albums de Marceline, on re
e dis pas la plus intéressante — est de M. J. Bard ; elle précède son
récit
. Il semblerait qu’elle lui ait servi.de modèle po
ts que l’on y fait passer. J’aime mieux douter que croire à un pareil
récit
. Les clochers des églises sont ici sépares de l’é
mérite de le remplir. Je ne sais quoi de triste me serra le cœur à ce
récit
de notre bon hôte et nous disposa à l’entrée impo
toute la gloire. Qui put lire sans un sanglot d’émotion supérieure le
récit
de la rencontre de Stanley et de Savorgnan de Bra
es éléments « musicaux », qu’il répand par-ci par-là dans le cours du
récit
. Quelques images mêmes sont franchement musicales
i de Manou nous semble pleine de significations, après avoir suivi ce
récit
. « Ceux qui ne possèdent point de champs, mais qu
r un jour porter à la scène la Felicia d’Andréa de Nerciat ou quelque
récit
de Nogaret, de Gudin, de Baculard d’Arnaud ou de
s, sans tous ces défauts qui rendent ordinairement insupportables les
récits
de voyage. L’Italie, Rome, Florence, Venise, et t
ils sont plus intéressants que Gil Blas ou Monte Cristo, qu’aucun des
récits
de voyages imaginaires, d’exploits ou de mascarad
t homme, dont on ne se souvient maintenant que parce qu’il a écrit le
récit
de sa propre vie, était de cette rare espèce d’au
par les continuelles modifications de Jean Laforgue, à la vivacité du
récit
tout entier est incalculable. J’ai pu comparer ma
ire qui eut un certain retentissement à l’époque et dont on trouve un
récit
dans, une lettre adressée par l’abbé Taruffi au d
1766. Dans la Nuova Antologia (vol. 67, p. 412) d’Ancona, à propos du
récit
de l’abbé Taruffi, il relève ce qu’il considère c
on donna di provincia, ma bordello ! 3. Voir Mémoires, V, 2.38, le
récit
de cette visite en Hollande et les réflexions sur
t d’une voix étranglée : “Carabiniers ! carabiniers !…” » Tel est le
récit
que je lisais, il n’y a pas longtemps, dans un jo
ivant le caprice du souvenir, ce que j’ai vu là-bas de surprenant. Le
récit
de journal, qui décrit le cortège formé par l’avo
s et aux rats de bibliothèques. Tout ce que vous mettrez autour de ce
récit
naturel ne servira qu’à une seule chose : à prouv
s équivalents les expressions intraduisibles et coupé en chapitres ce
récit
qui, sous sa forme originale, ne présente ni blan
comme un frontispice, au début de cette histoire, dont je reprends le
récit
: Donc, nous admirions, chez Zuccatto des proje
tre la bonne foi, la sincérité presque complète et l’authenticité des
récits
du célèbre aventurier. C’est ainsi que, dans son
itée par son dieu est exprimée par ce prêtre chauve ! Il écoutera des
récits
d’actions criminelles ou héroïques avec le même c
endhal. Le plus intéressant est le journal milanais qui nous donne le
récit
complet de ses amours avec Angela Pietragrua. Apr
’elle ne mentait pas. Mes cris de rage interrompirent fréquemment son
récit
. Quand elle l’eut achevé, elle me regarda simplem
na. Il me suivait, la renseignait et ses rapports correspondaient aux
récits
que je faisais de l’emploi de mon temps. La Mauri
s êtres d’une élite et d’une race souffrent, ne sont en vérité que le
récit
romanesque de quelques personnages choisis au mil
émotion et une agréable ironie. Qu’on ne cherche dans ces notes ni le
récit
d’aventures romantiques ni des détails de mœurs ;
ation de M. d’Annunzio elle-même, ces pièces ont leur source dans les
récits
attribués à saint Ambroise (seconde moitié du ive
de Sébastien, qui devait tant occuper l’imagination des peintres, le
récit
est très bref. L’empereur fait venir Sébastien et
ieuses reliques, qui y furent transportées en grande pompe en 828. Ce
récit
, les mystères qui nous ont été conservés le suive
çu sa pièce. Au premier examen, on verra combien il a peu conservé du
récit
original : Sébastien est un chef de cohorte, il e
[811]. Zénobie, reine de Palmyre, est vaincue par le César Aurélien.
Récit
du combat et description somptueuse du triomphe o
lieu ambiant évoqué, de l’époque entière où fleurit son héros, et son
récit
alerte, élégant et précis aboutit à la plus vivan
’œuvre de Landor. Le fragment qu’a traduit M. Valery Larbaud forme un
récit
complet. Il représente la dixième partie de l’ouv
Jacob, éditeur des Soirées de Walter Scott ; 3° le couvent de Baïano,
récit
81-122 ; 4° Chronique, 123-234 (y compris 4 pages
s 4 pages d’index) ; 5° Notes, 235-260 (y compris 2 p. blanches). Le
Récit
est-il de Stendhal ? La traduction de la chroniqu
éjour de Stendhal à Naples, ce journal se trouvera ainsi complété. Le
récit
du voyage suit pas à pas les cahiers 32 et 33 du
atives facultés au-delà de leur vouloir, mêlé à leurs fables, à leurs
récits
, à leurs leçons un peu du bienfaisant poison d’un
lesque dont la peur et le plaisir tirent les fils ; et son méthodique
récit
, très clair, avec une progression très bien compr
’il se préparait à écrire lorsqu’il mourut : « Pour moi, écrit-il, le
récit
de ces procès et de ces supplices me fournit pour
s et biographes du pauvre Shelley semblent avoir ignoré. Il y a là un
récit
vécu des funérailles, qui contient des passages d
» Outre l’autorité du témoin, ce qui ajoute à la vraisemblance de ce
récit
, c’est que ce seraient précisément ces détails-là
opre verve, d’autant plus abondante que sa « matière » est riche. Les
récits
illustrés par lui sur les parois de l’appartement
ormes après en avoir ressenti la profonde émotion. Les octaves de son
récit
se déroulent amples et précis, dénouant noblement
lorentin le retient dans son immensité calme. Et ce n’est pas pour un
récit
de romantisme épique qu’il a choisi, tel l’Ariost
e qu’il a choisi, tel l’Arioste, la strophe italienne fondamentale du
récit
, l’octave. Il ne l’a pas choisie non plus en la m
la manière de l’Isotteo de M. d’Annunzio. La Vénus des Champs est un
récit
florentin plein de cette sensualité des Fêtes de
populaire et en même temps la plus pure, la plus définitive des longs
récits
. Elle n’a pas l’angoisse sans cesse renouvelée, c
é luxurieuse. Une vision de l’amour de toute la terre est celle de ce
récit
. Le poète dit : Je chanterai les amours des chev
ipéties de cette lutte tragique. Sans doute a-t-il voulu garder à son
récit
la concision sèche d’un rapport militaire. On pou
t l’idée fondamentale qu’il présente. Le deuxième volume continue ces
récits
abondants et pleins de notations précieuses où pa
remier enfant élevé en couveuse. C’est, du moins, ce qui ressort d’un
récit
publié dans Le Jugement des savants sur les princ
ts, les blessés, les malades, ils étaient réduits à 1500 hommes. — Le
récit
indique cependant les honneurs rendus à la dépoui
de Felicsan, etc… On peut suivre avec intérêt cet itinéraire, mais le
récit
de Paul Adam abonde aussi en descriptions et cons
’a su me répondre sur aucun point et n’a pu ni prouver la véracité du
récit
absurde montrant les soldats italiens et autrichi
orrespondant ne diminuerait en rien la probabilité de véracité de son
récit
: un journaliste germanophile aurait eu plutôt te
18, p. 730-741 [737-738]. Du front italien, j’ai à signaler encore le
récit
qu’a publié M. Éric Allatini : Savoia, la Guerre
e Rocci en vient au haut fait de Rizzo. Et le poème se termine par le
récit
du retour des vainqueurs. Ceux qui entendent et g
seulement, ces derniers temps, deux brochures : La Beffa di Buccari,
récit
d’un hardi exploit de nos marins sur la côte de l
gnani est un véritable écrivain et un humoriste de premier ordre. Ses
récits
, ses souvenirs sont vifs, primesautiers et, bien
de franchise dont il tire quelque fierté. Il s’excuse à la fin de son
récit
d’avoir été quelquefois dur, injuste et malveilla
affreuse nuit d’hiver, au milieu de péripéties divertissantes dont le
récit
est à lire. Pour plaire à Voltaire, à cette époqu
on que l’on sent personnelle et neuve. Quoique la forme soit celle du
récit
, de la confession, l’auteur est resté dans le ton
[589-591]. Malgré ce qu’il y a de mièvre et d’enfantin en ces petits
récits
, et peut-être pour cela, les Fioretti ont gardé l
ommunique peu à peu au lecteur. Rien de cela avec M. André Lebey. Son
récit
est constamment rapide et passionné. On sent que
es nouvelles, Le Greche, et son roman, L’occhio del lago, et un petit
récit
, La fiamma e l’ombra, recommandent son nom comme
es événements qu’ils retracent et plaisent par l’alerte simplicité du
récit
. Très jeune encore, le comte de Reiset fut nommé
à ce que nous concevons d’habitude comme un livre de voyage, soit le
récit
plus ou moins pittoresque d’une traversée et de s
nnes depuis la déclaration de guerre jusqu’à la prise de Gorizia. Ses
récits
sont clairs, précis, et ils donnent une haute idé
é depuis qu’elle est sur « le sentier de la guerre ». L’auteur de ces
récits
s’intéresse d’ailleurs à nombre de choses qui res
d’Orient (Dardanelles, Salonique 1915-1916) qui n’est pas du reste un
récit
suivi de la campagne, mais bien une suite de tabl
assez loin de la ville, près d’un campement de comitadjis, — dont le
récit
évoque la sauvagerie, la rudesse nomade. Puis l’e
’autres épisodes : la mort d’un village ; la messe des Trépassés ; le
récit
d’une attaque en montagne ; des choses sur les tr
— le retour laborieux et tragique vers la mer, épisode sur lequel le
récit
s’étend plus longuement et qui est d’ailleurs la
roman autobiographique : Ettore Spiombino, de M. Giovanni Zuccarini,
récit
gauche et débraillé des aventures louches d’un ra
Genevoix ou René Benjamin ; quelques lettres des tranchées, quelques
récits
comme celui d’Ambrosini et rien d’autre à signale
éparatoires, à partir du Sforza. Le gros œuvre du livre se compose du
récit
, très étudié, des relations de Machiavel avec Cés
e temps, mais la réussite complète en était, je crois, impossible. Un
récit
, si long et si détaillé qu’il soit, ne suffit pas
l’intérêt ne nous prend qu’aux détails de son histoire posthume ; au
récit
de son invention par le pape Pascal qui la retrou
sous les Antonius n’a pu être pleinement apprécié qu’à la suite d’un
récit
rétrospectif ». Avec nombre d’ecclésiastiques, do
même écrit sur les Régicides une étude maintenant classique. C’est le
récit
et les résultats de cette visite accompagnés des
ne vaut que par la qualité de l’héroïne, sur laquelle la suite de mon
récit
édifiera le lecteur. Je sentis que j’avais, effec
fort poliment ma foi, de commencer le portrait de sa femme. Voici le
récit
de cette première séance. — J’arrive donc à deux
es duels. Il mettait un tel enthousiasme ; une telle passion dans ces
récits
inventés, ou certainement arrangés, qu’ils en dev
retrouver la « Joconde ». Il est inutile de refaire ici en détail le
récit
, abondamment conté par les journaux, de ce miracu
out ce qui s’était passé entre Aurora et lui. Quand il eut achevé son
récit
, je m’écriai : — Insensés ! Il fallait fuir sur-l
rait] […] L’idéalisme de Paul Heyse s’est affirmé surtout dans des
récits
en vers. La Fiancée de Chypre et Thécla, poème en
dition Michel Lévy, page 194.) 1. Cellini nous fait lui-même le
récit
d’un joyeux festin où il habilla en femme son élè
oivent être chaudement recommandés. Le premier tome débute par quatre
récits
tirés des « cent vieilles nouvelles », puis ce so
n pleine beauté, le Christ reprit pour en faire une Carmélite ; or le
récit
de sa conversion, déjà publié par Laplace, a les
es. « Pour en revenir à la tentation, je répète, mon cher ami, que le
récit
biblique est effrontément falsifié. Je n’ai jamai
ges, qui sont rarement autre chose que des impressions hâtives ou des
récits
de promenades. À travers les vieilles cités autre
coin du boulevard des Italiens. La Revue Générale (avril) contient un
récit
de cette entrevue dont, à l’époque, la chronique
exprimé toute la Sicile en son œuvre, une Sicile bien loin des pâles
récits
cosmopolites où de jeunes pâtres à la Théocrite v
ce qu’il voit, ses idées politiques, son mépris pour les Bourbons, le
récit
de ses voyages et de ses bonnes fortunes vénitien
t leur nouvelle génération (celle qui était née vers 1890) nourrie de
récits
héroïques. Elle lisait sur les bancs des lycées l
ique sentimental, d’humaniste moderne et d’humoriste tendre, dans les
récits
décousus et charmants de ses voyages capricieux d
faits dont la répétition est monotone. Et puis, de toutes parts, les
récits
écrits ou de vive voix se sont multipliés ; nous
mentaire même du poète, mais il ne faut pas ajouter trop de foi à ses
récits
qui sont presque toujours romancés. Qu’il ait rep
des mémoires du général Baratieri et l’impression qui résulte de son
récit
est que ce général fut plus malheureux que coupab
ompagnent les amours de Casanova, à un tel point que, par moments, le
récit
devient inintelligible, quand on y rencontre la n
architectures sages et plates, au premier plan la mise en œuvre d’un
récit
antique, d’une page de la Bible, et, au fond, l’h
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