Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 La
question
religieuse. Enquête internationale [I] Tome LX
ication, dans tous les pays, d’ouvrages de tout premier ordre sur les
questions
religieuses ; c’est la création ou l’extension de
uropéennes, et l’on pourrait presque dire dans toutes les nations, la
question
religieuse est passée au premier plan. Nous voyon
France, les opinions d’un certain nombre de nos contemporains sur la
question
suivante : Assistons-nous à une dissolution ou à
alliance franco-italo-autrichienne, en 1869 et en 1870, essai que la
question
romaine fit, d’après les apparences, échouer. M.
n à ces velléités (1867). Notre corps expéditionnaire occupa Rome. La
question
Romaine en était donc au même point qu’au début,
ant que cela fût possible), faisait volte-face, le 25 juillet, sur la
question
romaine. Résolu d’abord à payer du retrait des tr
CXIX, numéro 447, 1er février 1917, p. 520-524 [522]. La réponse à la
question
que se pose M. Charles de Saint-Cyr : Pourquoi l’
à l’état de tension entre l’Autriche-Hongrie et la Serbie ; et si les
questions
de nationalité, dans une Europe disposée désormai
nes, faisant considérer la guerre comme le seul moyen de résoudre les
questions
restées jusqu’alors insolubles. Le principe des n
et c’est un plaisir d’être instruit par un homme qui possède bien la
question
— les détails de la vie politique italienne, l’ac
ie entrecoupée de souvenirs de guerre et de France, où il est surtout
question
des chiens illustres du poète. Il aime beaucoup l
a être demain pour elle l’Adriatique. D’aucuns peuvent penser que ces
questions
sont exclusivement italiennes et qu’il vaut mieux
tes d’Asie Mineure, dans la région même d’Adalia dont il vient d’être
question
, voyait d’un mauvais œil les nouveaux venus. Les
s réticences, qui ne peuvent que compromettre le succès de tous ? Les
questions
d’Orient qui dériveront de la liquidation de la g
nérale que dans celui de nos propres rapports avec le monde slave, la
question
dont nous parlons peut aussi nous regarder. Ceux
t de judicieux ou de risqué. Et puisqu’ils diffèrent d’opinion sur la
question
de l’Adriatique, il nous est sans doute permis de
II), quelque opinion qu’un catholique français puisse avoir sur cette
question
, il suffit de savoir qu’elle y épuisa, en faveur
draient des assises communes dans lesquelles, à propos de chacune des
questions
envisagées du point de vue d’une Fédération, se d
u Muséum expose les grands problèmes de la vie. Au premier abord, les
questions
traitées dans ce nouveau livre paraissent assez d
um, y est actuellement, et doit visiter le détroit de Messine. Il est
question
d’internationaliser ce laboratoire après la guerr
de celle-ci. L’affaire Donizetti, on le voit, n’est rien moins qu’une
question
artistique ; ce n’est qu’une tentative très licit
ps et participent de ces deux vies-forces. Ici apparaît de nouveau la
question
de l’objectivisme et du subjectivisme que les phi
en sûr qu’on n’a pas été le jouet de ses nerfs et du hasard. » Cette
question
de la composition et architecture du tableau est
fixes réglant la construction de nos tableaux, car cela aussi est une
question
de qualité ; cependant des accords, des affinités
visible et l’invisible… Désormais nous sommes tous d’accord sur cette
question
, mais il s’agit de trouver une définition le plus
l vient d’être nommé commendatore… Une Université à Nice Il est
question
de créer après la guerre une Université à Nice. C
même est en jeu. Tome CXXIII, numéro 461, 1er septembre 1917
Questions
coloniales. Giuseppe Piazza : La Nostra pace colo
ales, la tristesse des querelles qui déchirent l’Alliance, — c’est la
question
des rivages adriatiques contestés entre Italiens
it écarté des vérités de la doctrine chrétienne. » Dans l’article en
question
, je relève la phrase suivante : En somme les gen
rovinces le sentiment était que l’on ne devait pas en sortir70. » Les
questions
de politique internationale, la menace directe de
érieure. De ce renouveau nous attendons la solution de la douloureuse
question
méridionale : nous ne sommes pas exigeants : nous
iquer. Alors qu’en France les députés sont intervenus dans toutes les
questions
de la défense nationale, en Italie ils n’ont pu s
durée de la guerre, et les sacrifices qu’elle impose. Mais dès que la
question
était nettement posée en séance plénière, il n’y
915, ce qui provoqua des « luttes excessives », ce fut uniquement une
question
d’opportunité : les uns voulaient agir plus tôt,
ocialistes officiels ». Leur « cas » a été déjà étudié ; quand il fut
question
, au début de 1917, de convoquer un congrès des so
els », ceux-ci annulèrent ce programme, pour ne faire étudier que des
questions
historiques, scientifiques ou sociales, sans rapp
il en a rapporté une grande admiration pour l’Angleterre. Sur toutes
questions
ou militaires ou diplomatiques, il a des vues net
positif dans ses prémisses comme dans ses conclusions, il examine les
questions
avec une hauteur de vues et un sens des situation
ode moderne, par Julien Luchaire et Jean Alazard (1re partie). […]
Questions
militaires et maritimes. La Manœuvre de l’Isonzo
frappés, les Italiens se permettaient de discuter sur telle ou telle
question
concernant la guerre, aujourd’hui ils ne discuten
erves formulées dans certains journaux, nous répondrons par une seule
question
. L’Italie invitée en 1913, comme l’ont révélé les
ajesté britannique. Tome CXXIV, numéro 468, 16 décembre 1917
Questions
militaires et maritimes. Sur les lignes de la Pia
ne pouvons répondre par l’affirmative ni à l’une ni à l’autre de ces
questions
. Les journaux annoncent que le général Fayolle, n
de Michel-Ange. 66. Saint Mathias, successeur de Judas. 67. Il est
question
ici de Charles d’Anjou, frère de saint Louis, qui
Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 La
question
religieuse. Enquête internationale [VI] Tome L
abanca. Professeur d’histoire religieuse à l’Université de Rome La
question
posée dans votre lettre s’impose à nous au milieu
critique, les cléricaux et les libéraux, l’Église et l’État. Voici la
question
que vous posez : « Assistons-nous à une dissoluti
e réponds qu’ici n’est pas de mise l’aut, aut de la logique. Dans les
questions
historiques et pratiques, aut s’applique souvent
a beau temps que l’Italie serait intervenue dans l’imbroglio. Mais la
question
n’a pas la simplicité que lui prêtent les impatie
eux compte, même par le recours aux armes. Mais ce n’est pas la seule
question
qui préoccupe ceux qui, à cette heure tragique, s
nement qui pèse, avec une stricte logique, le pour et le contre de la
question
. Qu’y a-t-il à perdre et qu’y a-t-il à gagner ? U
qu’on leur porterait. Pas un instant ils ne songent à se poser cette
question
préalable : y a-t-il lieu de nous envier ? Beauco
itique intelligente exercée par des hommes compétents, à propos d’une
question
dont la portée sociale dépasse de beaucoup les ap
d’ordre sentimental ne pèsent guère dès qu’il s’agit de délibérer de
questions
d’intérêt public. Et en réalité l’on aurait eu un
t ? Il y a une guerre comme cela ? Mais pourquoi ? À quelle fin ? Ces
questions
n’étaient pas sans embarrasser le voyageur italie
faction de quelques aspirations nationales. C’était là le fond de la
question
: les Italiens était en majorité favorables à la
uscules à deux sous, rédigés par des écrivains de talent, traitent de
questions
relatives à la guerre, à l’histoire moderne de l’
où l’Italie a-t-elle le droit d’étendre ses frontières ? Telle est la
question
controversée. Faut-il s’en tenir à un concept pur
nifeste en des articles témoignant d’une connaissance approfondie des
questions
traitées. On a vu même dans ces derniers mois naî
onisme entre l’Angleterre et l’Allemagne domine le conflit actuel. La
question
en jeu depuis quelques armées est l’hégémonie de
ôle qu’on lui attribue souvent de notre côté ? C’est à cette dernière
question
que répond dans la Riforma sociale Robert Michels
Guerre, cette condition, que l’objet de la science historique est une
question
de psychologie. À l’étranger. Italie Jacques
die des Plébiscites. L’auteur montre ce que les plébiscites, dans les
questions
d’annexions de territoire, ont en réalité d’illus
e et veut s’affirmer et se compléter. L’« irrédentisme » n’est qu’une
question
secondaire ; même s’il n’existait pas, l’Italie a
voir afin d’essayer de les résoudre préventivement. Ce ne sera pas la
question
de l’égalité des droits et des salaires entre ouv
les syndicats français, mais, ce qui pourrait en faire, ce serait la
question
de la naturalisation des immigrés italiens, au ca
utrichiens en Italie. Tome CXXV, numéro 472, 16 février 1918
Questions
militaires et maritimes. Sur le front du Trentin
d’invasion plus à l’ouest l’exposerait à trop d’aléas ? Telle est la
question
angoissante qui se pose encore actuellement. Mais
ittoresque d’Udine, ancienne ville vénitienne comme Palma dont il est
question
plus loin — et qui vit les généraux de la Révolut
es qu’elle baigne ». Et ainsi devaient renaître les polémiques sur la
question
des rapports italo-slaves. Le problème dalmate ét
rmettait la censure, qui était impitoyable dès qu’il s’agissait de la
question
yougoslave. Or, au cours du mois de janvier, on a
ec cette précision et cette netteté que donnent la connaissance de la
question
et la compétence dans la matière : on n’y trouve
Dwelshauwers (Mesnil), qui est Belge, me permette de lui poser trois
questions
fort simples : Oui ou non, approuve-t-il l’Italie
f que M. Piérard a écrit ces choses qui n’avaient rien à voir avec la
question
. Que veut-il dire par là ? Je l’engage à avoir le
rticulièrement intéressante, parce qu’elle fait apercevoir toutes les
questions
de politique internationale sous différents angle
sonne. Et c’est la même préoccupation qui le porte à me poser « trois
questions
tort simples » qui n’ont encore une fois absolume
uveau quelques instants avec les lecteurs du Mercure de France de ces
questions
italiennes et belges dont je les ai entretenus so
. La violation de la neutralité belge n’a rien à y voir : il n’en est
question
ni dans le livre vert, ni dans le traité de Londr
sque M. Orlando est allé en février à Paris et à Londres résoudre les
questions
les plus urgentes pour l’avenir de l’Italie, il s
a vie de la nation en guerre devient une nécessité absolue ; dans les
questions
de subsistance son représentant doit intervenir «
dans toutes les feuilles ou revues qui s’occupent de Yougoslavie. Les
questions
se mirent à pleuvoir. Pourquoi le journal n’écrit
un Néron inédit. Tome CXXVIII, numéro 482, 16 juillet 1918
Questions
militaires et maritimes [extrait] Jean Norel.
la force du mouvement serbo-croate. Notre rôle n’est pas d’étudier la
question
, et de dire qui a raison. Nous en avons déjà parl
ienne. Et si les Polonais s’y joignaient, ce n’en était que mieux. La
question
de l’Adriatique étant celle qui divisait le plus
l. Les travaux du Congrès furent consacrés aussi peu que possible aux
questions
territoriales. « Le règlement des problèmes trop
dans les attributions du Congrès », l’essentiel était de résoudre la
question
du droit des peuples. M. Trumbitch déclara « inut
ïstes… Car je pense qu’il ne convient pas de se cristalliser dans les
questions
préjudicielles au sujet de la façon d’être, alors
les ouvriers qui travaillaient à la construction du chemin de fer en
question
. Mais, d’après ce qu’on sait, leurs facultés d’ad
ce. Telle est toute l’explication du phénomène. La « Realpolitik » en
question
, nous en trouvons le programme in nuce dans la fa
ement des Tchèques, mais aussi des Yougoslaves, qui considèrent leurs
questions
nationales non pas comme des questions d’ordre in
oslaves, qui considèrent leurs questions nationales non pas comme des
questions
d’ordre intérieur que le gouvernement peut régler
férences tenues en commun, les points principaux de la solution de la
question
nationale dans les régions de l’Adriatique, afin
s responsabilités afférentes. On demande une réponse écrite. À cette
question
faisait suite un article, où on lisait ceci : Le
ait : Le Sècolo XIX s’associe à ces justes considérations. Devant la
question
de l’honorable Medici, les responsables ne peuven
XIX du 6 septembre, avec une rectification — qui ne change rien à la
question
— de l’éditeur Enrico Bemporad au n° du 13 septem
sans intérêt pour les socialistes officiels. Lorsqu’ils examinent la
question
d’Alsace-Lorraine, ils le font uniquement du poin
ur. « La lutte pour l’Alsace-Lorraine n’est, d’après l’Avanti, qu’une
question
de fer et de charbon » (n° du 7 mars 1918). 14.
s’impose ; c’est une lueur de l’Éternel devant notre infirmité. Deux
questions
ont été longtemps agitées (lesquelles ne semblent
e quelque œuvre de génie pouvant s’égaler à cette réalisation ? Cette
question
— à l’appui de toutes les théories apprises dès l
vivifie, dit le grand apôtre : parole vérifiée clairement dans cette
question
du Beau. N’y a-t-il pas eu — avant la Renaissance
ité ; cette dernière appréciation peut sembler hasardée lorsqu’il est
question
de Verdi, mais j ai toujours pensé que chez ce ma
elacroix rapportées par les récentes publications de ses agendas : La
question
du Beau se réduit à peu près à ceci : Qu’aimez-vo
ils peuvent communiquer aux leurs et à leurs amis. Aujourd’hui, si la
question
de l’antique s’est déplacée, elle n’en a pas moin
Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 La
question
religieuse. Enquête internationale [V] Tome LX
nt comme jadis, toutes les nations, n’est pas, à mon avis, une simple
question
de caste, ou pour mieux dire un mouvement puremen
Rivista Popolare di Politica, Lettere e Scienze sociali (Rome) La
question
posée est des plus ardues. Je pense qu’on ne peut
Italie. » […] Ouvrages sur la guerre actuelle. Charles Vellay : La
Question
de l’Adriatique, Librairie Chapelot, 1 fr. Char
Tome CXIII, numéro 421, 1er janvier 1916, p. 155-166 [164-165]. La
Question
de l’Adriatique, qu’étudie M. Charles Vellay dans
s à cette heure des problèmes autrichiens, mais bien et nettement des
questions
allemandes ! Ainsi, en canalisant haines et entho
re della Sera, prolongeait le malentendu et l’équivoque en plaçant la
question
italienne uniquement sur le terrain de la constit
Salandra au Capitole, ni M. Orlando à Palerme n’osèrent effleurer la
question
de la guerre à l’Allemagne. M. Barzilai se conten
vatore, en revanche, opéra selon la formule ancienne, il n’était plus
question
de jouer, mais tout bonnement de chanter, et Mme
oment de la rupture de la Paix d’Amiens ; de même, pour la France, la
question
de Belgique est liée à celle de ses frontières na
que « clef du monde ». N’est-il pas vrai que cette petite revue de la
question
belge comporte sa philosophie ? Vraiment, il est
ales qui ont amené la plus terrible des Guerres est véritablement une
question
de conscience, une obligation civique. À l’étr
la France s’appellent Magenta et Solférino, oui, mais aussi Mentana (
question
romaine), Tunis et Bizerte (canons pointés sur la
mme les convictions religieuses, les avis sont fort divisés sur cette
question
, particulièrement en Italie. Un sénateur, M. Vall
journaux catholiques ne manquent jamais d’y insister. En Italie, les
questions
pour ou contre ont été largement débattues et les
de la Paix était demandée par les Empires centraux afin de rouvrir la
Question
Romaine et de toucher à la loi italienne de la li
otta, a ouvert une enquête sur le sujet qui nous occupe. En voici les
questions
principales : L’État italien a-t-il des motifs p
précisément celui qui seul aurait des motifs pour ne pas soulever la
Question
Romaine, afin de ne pas entraver l’œuvre de pacif
Renato Serra. C’était, alors qu’allait surgir pour toute l’Italie la
question
de participer au conflit européen, un contempteur
hantise ? La vie réelle, les croyances qu’elle trouble, le doute, la
question
d’un au-delà, c’est toute l’œuvre de Fogazzaro. V
epuis le début du conflit qui épuise lentement les races d’Europe, la
question
religieuse a été souvent discutée un peu partout.
as-tu pas donné toute ton âme ? Elle arrivait maintenant, la terrible
question
! Devait-elle ou ne devait-elle pas répondre ? En
u’un écrivain les exprime et les fasse valoir. Mais il y a encore les
questions
politiques et sociales que certains écrivains met
es goûts de l’aristocratie vénitienne et bolonaise. Il y avait là une
question
de coterie dans laquelle Albergati s’est toujours
it-on pas que c’est de Casanova qu’il s’agit ici et que la réponse en
question
arrive fort à propos après l’entretien qui nous e
e voudrait lui faire subir ; il reste sur la défensive et esquive les
questions
avec une prudence très remarquable. Est-ce une at
e pas avoir faite. Quand il ne s’agit plus de Venise, sur toute autre
question
d’histoire ou de politique, il sortira plus volon
el point la politique permet-elle qu’on ruine la superstition ? Cette
question
est très épineuse ; c’est demander jusqu’à quel p
ment de ce que l’histoire contiendrait ici de plus certain ? C’est la
question
qu’on se posera, c’est sur ce point que portera l
gi. Revue de la littérature française de Belgique depuis 1870. Il est
question
de Charles de Coster, Octave Pirmez, Camille Lemo
toute sa vie. C’est là son côté génial. En dehors de cela il y a deux
questions
qui nous intéressent : Comment les Mémoires sont-
ux personnes qui leur sont recommandées. M. Gustave Kahn, qui dans la
question
Casanova a le mérite d’être presque un précurseur
avons pas toujours. Publications d’art. André Mellerio : Rome, la
question
d’art et la question politique, Henri Floury, 2 f
Publications d’art. André Mellerio : Rome, la question d’art et la
question
politique, Henri Floury, 2 fr. 50 Yvanhoé Ramb
tobre 1901, p. 241-246 [242]. Dans une plaquette fournie sur Rome, la
question
d’art et la question politique, M. André Mellerio
6 [242]. Dans une plaquette fournie sur Rome, la question d’art et la
question
politique, M. André Mellerio, esprit sagace et cr
ertain nombre de documents sur la législation italienne vis-à-vis des
questions
d’art. Lettres italiennes Luciano Zùccoli.
« Francesca da Rimini », de M. G. d’Annunzio. […] Les Journaux. La
Question
du Masque de fer (l’Éclair, 15 décembre) R. de
Tome LXXXIX, numéro 325, 1er janvier 1911, p. 178-182 [178-180]. La
question
du Masque de fer est-elle définitivement résolue
de Saint-Paul. Son enterrement a coûté quarante livres. Élucidée la
question
Matthioli, la légende du Masque de fer, qui n’a p
t comme médecin et comme libre savant, épris toujours des plus graves
questions
physiques et sentimentales que soutiennent les pr
i métamorphosèrent ses traits, mais une sorte de colère. Malgré nos
questions
, c’est là tout ce que nous pûmes savoir. Nous avi
hui « ne plaira peut-être sûrement point à celle de demain ». […]
Questions
militaires et maritimes. Ed. Gachot : La Troisièm
une fois encore : — Avec quoi peins-tu ? Chacun lui adressa la même
question
, quand il exposa ce chef-d’œuvre, à la foire. Pei
ns d’écrire », l’auteur de la Petite Suite italienne s’est proposé la
question
et il y a répondu en empruntant à Goethe une phra
3 fr. 50 Incidemment soulevée au cours de l’ouvrage précédent, la
question
du « Masque de fer » est exposée en son état actu
s Pregnani, selon M. Barnes), et ceci aux dates qui importent dans la
question
du Masque de fer. Mais il y avait, aux mêmes date
de l’italien par Mme Jean Carrère ; Juven, 3 fr. 50 Puisqu’il est
question
de la Maison de Savoie dans cette chronique-ci, d
e connaître certaines vues à Victor-Emmanuel, en ce qui concernait la
question
romaine et la conduite du roi de Piémont envers l
ai d’excuser ma colère et lui demandai pourquoi il m’avait posé cette
question
. — Si vous m’aviez avoué : « Oui, je cherche la M
écarlate et une ceinture d’or… — Jamais elle ne m’adressa la moindre
question
à ce sujet. Nous aurions dû nous en épouvanter, s
ies principales mises en cours, depuis Vico jusqu’à nos jours, sur la
question
de la plèbe romaine) ; […] Philosophie. Memen
acieux encore, tels que ce canal de Rome à la mer, dont il est encore
question
de nos jours. Le beau livre de Mr Orbaan reconstr
ices à cause de sa foi. Le Saint répond noblement et avec calme. À la
question
de César qui lui demande quel dieu il veut choisi
mai) M. Georges Maurevert revient dans l’Éclaireur de Nice sur la
question
des imitations ou petits emprunts de M. d’Annunzi
ue de Verceil. Le poète note même la rime : « haut conseil ». […]
Questions
coloniales. Memento [extrait] Carl Siger [Charl
nd M. Lagrosillière, député de la Martinique, souleva à la Chambre la
question
des concessions accordées en Tunisie à des parlem
s concessions accordées en Tunisie à des parlementaires. — Encore une
question
coloniale placée au premier plan des préoccupatio
extra-légal au XVe siècle M. Maurice Lauzel tâche à résoudre cette
question
: « Qu’est-ce que la Camorra ? » dans un fort cur
n purement intellectuel et Io plan confusément sentimental de la même
question
. Le patriotisme n’est en réalité que l’aspect exo
se serait-il constitué ? Les historiens ont longuement débattu cette
question
, qui n’est point tranchée. De même, ils n’ont pu
s éveillée, le mérite de la Joconde, sa disparition du Louvre est une
question
étrangère à la peinture. On aurait volé un Canale
en témoignent, nous pouvons demander aux œuvres d’art la réponse aux
questions
que nous nous sommes posées sur les préoccupation
le corset Mona Lisa. Et personne ne paraît se douter qu’il n’est plus
question
de la Joconde, mais d’une guenon nommée Lisa, car
d’ailleurs, que l’auteur la prévoie. La position de l’Italie dans la
question
d’Orient est résumée en une page (p. 232) où le n
généralement son point de vue pour noter « les aspects nouveaux de la
question
d’Orient »), l’auteur a, çà et là, et notamment a
r les côtes de la Turquie d’Europe, est un des nouveaux aspects de la
question
d’Orient. Laissons-le se mettre au point pour sai
imables de fonctionner d’accord. Cela, estime M. Pinon, résoudrait la
question
balkanique, tant du côté de la Turquie, « boutée
elle.et l’activité pratique ou volitive. Peut-être n’est-ce là qu’une
question
d’étiquette ; car M. B. Croce fait rentrer dans l
très complète qui n’oublie aucun des travaux les plus récents sur la
question
. […] Archéologie, voyages. Memento [extrait]
18. Au sujet de la diffusion du culte d’Adonis, dont il sera encore
question
plus loin, voyez le précieux petit livre de M. Sa
lent : ce qui est étonnant, il faut l’avouer, parce que pour juger la
question
il est nécessaire d’avoir une connaissance parfai
démico-linguistiques que ses critiques n’arrivent qu’à la surface des
questions
d’art ; la langue, pour eux, c’est le style : la
es, quelques-unes assez bêtes. Il reste toujours à dire que sur cette
question
colossale des instincts et des sentiments personn
e extraire un principe. Dernièrement, Cavallotti s’était attaché à la
question
morale avec la ténacité d’un homme qui a trouvé e
ie parlementaire se sont écoulés sans rien créer de durable ; même la
question
morale a fini par une bulle de savon, après un dé
isqua l’impopularité par sa manière personnelle d’envisager certaines
questions
de politique intérieure. Au demeurant, il y avait
seule aurait pu suffire à son œuvre. Il nous entretient pêle-mêle de
questions
littéraires, de la pathologie, de la criminalité,
péennes, à l’art primitif, à la physiologie du métier des armes, à la
question
sexuelle, etc., ses vues sont claires, maintes fo
ence a toujours eu d’étroites relations avec l’Italie, mais c’est une
question
de savoir si elle a été plus influencée par l’Ita
et succincte de ce que l’érudition a su découvrir ou préciser sur la
question
. Tome LII, numéro 178, octobre 1904 Les
ébat stérile en cherchant querelle à un écrivain dont les emprunts en
question
ont fort peu engagé la probité littéraire et null
assant sont particulièrement nombreux ; ce livre pose précisément une
question
de milieu assez piquante : il nous est donné comm
ceux dont il avait un instant compromis le bonheur ? Telles sont les
questions
que se pose Maupassant, particulièrement dans l’A
enne comme lieutenant du Saint-Siège, ce choix qui faillit rouvrir la
question
de l’héritage des princes normands, fut bien, com
t du Magnifique, ne lui laisse qu’un maigre patrimoine ; et, dans les
questions
d’intérêt qui divisent perpétuellement avec tant
s compréhensif, sa connaissance exceptionnelle de l’état actuel de la
question
en Italie même, — de la sensation italienne. On a
déblaiements modernes et nous ne sommes pas très certains que, toute
question
d’archéologie à part, le pittoresque, la poésie e
nts historiques et les musées ! Or, il me semble qu’il y a dans cette
question
de l’accroissement des musées un point qui n’a pa
ré de P. S. Shelley. Dans ces pages, il dit que le socialisme est une
question
sévère et terrifiante, et non pas un bibelot pour
i cette théorie. Le même Carducci, d’ailleurs, n’effleurait-il pas la
question
sociale, quand il préconisait les triomphes de l’
seulement réfléchir. C’est peut-être traiter bien sommairement d’une
question
qui, croyons-nous, est autrement complexe. La der
sait bien que c’est impossible, il se moque, en vérité, il déplace la
question
. Pour Bragadin, j’ai dit soupçons, et pas moi seu
l, les morts comme les vivants, di Giacomo peut-être. Il n’y a pas de
question
Bragadin, qu’on le laisse tranquille, il y a la q
n’y a pas de question Bragadin, qu’on le laisse tranquille, il y a la
question
Casanova, qui reste entière et je l’ai à dessein
rtigineuse de 25 pieds, c’est 4 mètres tout simplement, mais alors la
question
prend une tournure étrange, inattendue ; c’est ce
urait à citer presque à chaque page ; le chap. xvii est consacré à la
question
des Berbères ; l’auteur a vu en Tripolitaine d’in
istent encore les mêmes différences qu’Edmond About signalait dans la
Question
Romaine ; ces différences sont suffisantes pour c
ra de détrôner le romantique et insupportable Don Juan. Échos. La
question
des langues et les progrès de l’italien en Suisse
est un ciel qui donne comme un autre la lumière du jour (il n’est pas
question
de ténèbres), mais sous lequel on ne peut s’orien
t environ deux mille lampes et bustes d’Astarté en terre cuite. Et la
question
se pose de savoir si Perséphoneia ne se placerait
éplorées. Le plus curieux, c’est que la famille, de haut lignage, en
question
n’a pas crié, justement parce qu’elle a senti que
pas toujours saisi les faits réels, M. Lucien Romier s’est posé deux
questions
principales : « Parmi quels événements et selon q
emps. Qu’il nous suffise d’en avoir indiqué rapidement l’économie.
Questions
militaires et maritimes Jean Norel. Tome CIII,
cule, due à la plume d’un ancien officier de marine et consacrée à la
question
de la Maîtrise de l’Adriatique, est curieuse par
la précision et de l’intelligence avec lesquelles ils répondent à nos
questions
. Quel est le plus grand événement de l’histoire d
rospérité évidente ? Les auteurs les plus compétents ont traité cette
question
et abouti à des conclusions différentes. Au point
eptentrionale dans un même essor de prospérité et de civilisation.
Questions
militaires et maritimes. Memento [extrait] Jean
tre que d’appeler l’attention d’un certain nombre de personnes sur la
question
franco-italienne et de grouper des bonnes volonté
le voir plus haut) et Gibraltar, Gibraltar qui domine actuellement la
question
de Tanger et même des côtes méditerranéennes du M
froid. Froid est le mot : car je crois, dis-je, qu’il s’y mêlait une
question
de climat. En effet, l’étude de ces premiers chap
n un article intitulé Deux Portraits du Louvre, ce qui concerne cette
question
. Après nous avoir rappelé que ces fresques, peint
fait une trouvaille, une seule, il a identifié Caton M., dont il est
question
au chapitre iii des Mémoires et dont il publie de
aussi, et avec ardeur et compétence, de philosophie, de politique, de
questions
pratiques. La Voce a entrepris plus d’une campagn
r, de mettre au point. Elle s’est spécialisée dans toutes les grandes
questions
de culture qui touchent à la vie quotidienne et à
e le Leonardo avait déjà engagée et poursuivie, et n’a pas oublié les
questions
artistiques et littéraires pures. Elle a révélé t
orts pour réparer le désordre dont ils étaient cause. Il n’était plus
question
de jugement ni de condamnation, lorsque, dans un
Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 La
question
religieuse. Enquête internationale [III] Tome
s ? Historiquement parlant, il n’est pas possible de répondre à cette
question
. Parce que, étant donné et non concédé qu’une évo
ure rebelle à ces sens, comme l’essence de Dieu et de l’âme et autres
questions
similaires, sur lesquelles toujours on dispute et
» Cet esprit si audacieux se rencontre avec le catéchisme qui à cette
question
: « Quel est le devoir du chrétien ? », répond :
re la foi. La Paix mentale régnerait si le clerc se récusait dans les
questions
naturelles, si le raisonneur ne touchait pas au s
éum se lève et dit : « Messieurs, il n’y a pas de mystère ! » À cette
question
: « Qu’est-ce qu’un élément ? » le Codex atlantic
ndant aucune méthode ne vaut qui ne donne un procédé de certitude aux
questions
spirituelles, qui sont légitimes et, pour beaucou
. Une note de M. Octave Uzanne, dans l’Intermédiaire, met au point la
question
des manuscrits de Casanova : On est surpris d’en
Armand Baschet, qui se trouvait à Venise, fut incité à travailler la
question
de l’authenticité des Mémoires par une note inter
véritable histoire en inventoriant ces saletés, c’est autre chose.
Questions
militaires et maritimes. A. Chuquet : Le Journal
u talent musical, Archiv für anatomie und physiologie [extrait] La
question
de la localisation dans des régions spéciales du
les et les plus élevées de la vie animale. Nous touchons là à une des
questions
les plus importantes et les plus discutées de la
e germen. Certains biologistes ont donné une réponse négative à cette
question
. Dans le soma, une des parties les plus instables
es peintres, le plus peintre des poètes. » Ce n’est point résoudre la
question
, mais l’éluder. Elle serait d’importance essentie
qu’il est impossible de s’en tenir à l’Écriture et aux Pères. Les 349
questions
principales et les 3 500 questions secondaires d’
à l’Écriture et aux Pères. Les 349 questions principales et les 3 500
questions
secondaires d’Alexandre de Halès rentrent dans la
et, en cela, il est hérétique. En face d’un pape de bonnes mœurs, la
question
se résoudrait d’elle-même : en face de Borgia ell
. Tome LXXV, numéro 270, 16 septembre 1908 Les patries et la
question
sociale [extrait] J. Novicow. Tome LXXV, numér
ique, il n’aurait pas économisé à l’Église la plus petite hérésie. La
question
des indulgences ne mérite pas même la discussion
« Lettres familières de Jérôme Aléandre » (intérêt varié, humanisme,
questions
religieuses, histoire du xvie siècle). […] Le
re de M. Dumur publiée dans les Échos du dernier Mercure ramène à une
question
de faits la controverse sur les idées de Nietzsch
ure très complète et, pour certaines, d’excellentes reproductions.
Questions
militaires et maritimes. Ed. Gachot : Le Siège de
rti pour le pour voir d’impulsion contre le pouvoir d’arrêt. Reste la
question
de la Renaissance. M. Dumur apporte sur ce point
ème non moins important des instruments à employer pour gouverner. La
question
était de savoir si l’empire serait gouverné, comm
or Hugo soit plus normal que Verlaine, ou moins exceptionnel ? Il est
question
dans le même volume de Barrès, d’Anatole France :
rtout des esprits (et je le crois) capables de se passionner pour une
question
où rien de plus grave n’est en jeu que ceci : y a
ue aucune date, et en a modifié toutes les anecdotes. Les différentes
questions
ainsi soulevées sont dès lors devenues, l’une apr
vraisemblable que tout autre point de la légende. Car il n’y est pas
question
du travail sérieux d’un homme, mais de l’essai d’
nticipation sur l’Allemagne moderne, par exemple, que ce débat sur la
question
de prééminence entre la sculpture et la peinture3
France sous une forme exotique. À l’égard de la mort de Léonard, deux
questions
restent entières, après bien des recherches arché
airement si net, si résolu, était vague et chancelant dès qu’il était
question
du caractère merveilleux, miraculeux de sa missio
II était admirateur de Savonarole comme l’avait été Jules II : il fut
question
sous son règne (1592-1605) de la canonisation de
naissance, contre un autre enfant, un garçon, le fils du Chiappini en
question
, né vers le même temps. Cette fille, baptisée Mar
Philippe). Ce sont les pages les plus agréables à lire, et puisque la
question
Chiappini nous a valu ce tableau de la société du
des essais sous le litre collectif : Vita Moderna degli Italiani. Les
questions
les plus générales qui intéressent la péninsule y
M. Dauriac a su noter le « romantisme » de Rossini. Il a raison, à la
question
qu’il pose : « Rossini est donc un moissonneur et
nciens nos façons de voir après coup. César disparu, pensons-nous, la
question
se posait de savoir si la République allait être
t il put, au mois de juin, prendre une position prépondérante dans la
question
vitale de la distribution des provinces entre les
s, etc. Les autres lois promulguées par Antoine se rattachent à cette
question
capitale de la distribution des provinces dans un
ocument de psychologie historique, mais ne prit garde à la formidable
question
pratique de son temps : la question militaire. To
ais ne prit garde à la formidable question pratique de son temps : la
question
militaire. Tout désormais dépendait des armées, d
écrite à propos de la récente entente franco-italienne. Mais c’est la
question
marocaine qui préoccupe surtout M. René Pinon, et
e, il semble renoncer à continuer son ouvrage ; il l’oublie. Il n’est
question
qu’une fois, en 1813, de l’Histoire de la Peintur
estinés à l’Histoire de la Peinture, il n’est jamais, cette année-là,
question
de peinture. Encore une fois, l’auteur s’est lass
à employer pour gouverner. Et c’était ici qu’était le fond même de la
question
, dont dépendait la constitution intime de l’État
question, dont dépendait la constitution intime de l’État romain. La
question
était de savoir si l’empire serait gouverné, comm
moyenne qui votait dans les comices. Telle est, selon M. Ferrero, la
question
qu’il appartenait à Auguste de résoudre au lendem
manents. À l’inverse, comme on l’a fort justement affirmé, il y a une
question
ou une crise d’Orient, depuis l’année où les Turc
inimitiés pour les Austro-Hongrois se sont réveillées avec fracas. La
question
balkanique prime désormais celle du Trentin et de
’Art. » M. de Rinaldis pose tout d’abord, et résout en la posant, la
question
qui sépare stérilement en deux camps la critique
nt adjoint un collaborateur, M. Enrico Insabato, occupé à résoudre la
question
d’Orient. Les deux auteurs croient pouvoir nous d
sition. L’enquête de la revue Cœnobium portait, on le sait, sur trois
questions
. À tout écrivain, tout penseur, de quelque domain
it à chacune la parole qu’elle attend et la parole qui convient ».
Questions
morales et religieuses. Dom Bruno Destrée (O. S.
sous la signature J. Brivois : Je croyais réglée depuis longtemps la
question
de publication des Mémoires de Casanova, lorsque,
le temps, attribués à Beyle. Mais ceci ne répond pas tout à fait à la
question
. Musées et collections Auguste Marguillier.
9, p. 727-730 [729-730]. M. A. Paupe répond dans l’Intermédiaire à la
question
Stendhal et Casanova : L’attribution des Mémoire
ude qu’un casanovien passionné, M. Octave Uzanne, a consacrée à cette
question
dans l’Ermitage, n° du 15 août 1906, pp. 80-90 ;
plus fou qui se soit écrit sur les débuts de la royauté française. La
question
, si complexe et parfois si mal posée, de la fonda
Croisade fut la grande pensée du règne d’Innocent III : il n’est pas
question
de cette « grande pensée » dans les trois tomes p
époque d’une modification importante du régime intérieur de Rome.
Questions
coloniales. Memento [extrait] Carl Siger [Charl
a vie galante : La Montfaucon a eu un fils ; du baptême il n’est pas
question
encore. La Philippine52 et la Baptistine sont com
u’au cours de leurs premières entrevues il ne fut entre eux nullement
question
de la réalité des choses, dont la principale étai
chette, 20 francs. Tome LXXXI, numéro 295, 1er octobre 1909
Questions
militaires et maritimes. Général Albert Pollio :
re. La lettre du générai de Brack fut rendue publique en 1835. Sur la
question
Grouchy, le général Pollio apporte une suggestion
personnage ? 44. Le prieur de Lombardie, Carlo Sforza, dont il a été
question
plus haut. 45. Giovanni-Angelo Papio, de Salern
Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 La
question
religieuse. Enquête internationale [II] Tome L
nité. Bien qu’il nie avoir aucune religion, il dit à ce propos : « La
question
est là : ou Dieu est avec moi, ou il n’existe pas
M. Sem Benelli, malgré le nom de son protagoniste, ne vise point à la
question
sociale ; il aurait été trop aisé d’émouvoir le p
es et les plus caractéristiques dans chaque nation. Selon M. Pica, la
question
de savoir si « oui ou non, il existe un style vér
it faire ce que lui dicte son imagination.” » Telles sont, sur cette
question
si importante, l’évolution artistique, les opinio
à ressembler à Monsieur Tel ou Tel Autre ? Pour ma part, je trouve la
question
excessivement oiseuse : le public a toujours le d
ns. Toujours est-il que, sous le coup de ces discussions, la pièce en
question
n’eut pas de juges éclairés, et je pense que l’au
llents érudits qui n’ont jamais pris la peine d’examiner eux-mêmes la
question
. Elle fut d’ailleurs réduite à néant par une séri
va ; du marquis Albergati, auteur, acteur et excentrique, dont il est
question
dans les Mémoires, du marquis Mosca, « homme de l
d’habiles reproches sur la brutalité de ses procédés : Il n’est pas
question
de marchander ; il s’agit seulement de savoir si
ord, et nous tenons à insister sur ce point, elle ne met nullement en
question
l’originalité d’un artiste aussi probe et aussi p
e forme des ouvertures que pouvait faire l’instrument dont il est ici
question
, s’il avait eu du coup et fût emmanché. Mais l’au
s anciennes ; voilà pourquoi je pense aussi que Virgile étant, sur la
question
de la marine antique, l’écrivain qu’on peut consu
mais l’esthétique scientifique dit oui ; il n’y a peut-être là qu’une
question
de mise au point, une nouvelle trouvaille de styl
lamaient pour eux-mêmes des libertés politiques et n’avaient cure des
questions
économiques qui seules étaient d’un intérêt direc
misère qui l’empêche de réaliser ses possibilités : la solution de la
question
sociale par la collaboration des classes n’est qu
5]. L’Almanach du Cœnobium de 1912 est consacré à une enquête sur la
question
religieuse. Cette enquête est instructive. Elle c
leur découverte par Armand Baschet n’éclairait jusqu’à l’évidence une
question
encore pendante pour les Casanovistes, celle de l
coup d’habitants d’Auteuil ont eu l’occasion d’y regarder et il n’est
question
que de cela dans les cafés du quartier, en autobu
que se termine l’émouvant épisode, et dans le poème, il ne sera plus
question
des Phéaciens. Évidemment pour le roi, entre le p
les de l’Odyssée, est trop connue, et surtout trop en dehors de toute
question
topographique, pour qu’il soit à propos d’en cont
dans l’Amérique du Sud et en Tunisie. Des pages encore traitent de la
question
« irrédentiste », c’est-à-dire de Trieste et de l
n genre permette au critique cantonné sur ce terrain de répondre à la
question
. Il faut constater un fait comparatif, dont on ne
ne s’est-il pas reformé au moyen-âge ? Nous l’ignorons, ou plutôt, la
question
ne se pose pas. En effet, ce qui doit susciter l’
est certain que tous les gens qui se servent de la vieille syntaxe en
question
ne peuvent pas s’élever à une pareille hauteur !
p plus grande de se mettre rapidement au courant de l’état actuel des
questions
fondamentales qui se traitent dans les divisions
imentateur. En théoricien donc, M. Rignano aborde l’étude des grandes
questions
biologiques et sociologiques. En ce qui concerne
grandes questions biologiques et sociologiques. En ce qui concerne la
question
du vitalisme, il adopte une solution intermédiair
’autres d’un réel intérêt artistique ou historique et que souvent des
questions
de mode ont fait écarter : telles des peintures d
ere et à l’avvocato. Je préférais, naturellement, ne lui poser aucune
question
touchant la maison d’en face ; il était inutile d
as. J’allai m’asseoir à ma place, dans le cabinet. Mais il était bien
question
des Survivances, à présent ?… Une femme ! Elle de
culé ! Elle s’était entièrement emparée de ma pensée. Il n’était plus
question
des Survivances. Mes notes étaient toujours là, s
t parvenir à le refermer. 2. Voy. Mercure de France, n° 349. 3. Une
question
indiscrète : Pourquoi, si près de l’Aventin, le P
c Charles, complètement subjugué. Entre deux divertissements, il sera
question
de l’alliance anglaise, des garanties à exiger de
la peste s’enfermera pour peindre six tableaux où il croit qu’il sera
question
d’Ulysse et de la tendre Chryseïs, de Cléopâtre e
. Vous ne trouverez en tête d’aucun de ses livres un énoncé net de la
question
. Il se contente d’un titre : l’Homme de génie, l’
ent principal que donne l’auteur pour justifier sa volte-face dans la
question
des rapports entre le génie et la folie : dans l’
aisonner ; enfin, étant donnée l’insuffisance de son intelligence, la
question
de probité scientifique ne peut être soulevée à s
, fait surgir des contradicteurs, attiré vivement l’attention sur des
questions
d’une grande importance sociale. Lombroso a été l
t il se trouvait encerclé par les jeunes femmes, acharnées dans leurs
questions
. Orphée resta un moment à écouter la voix mugissa
l ne s’attendait pas à vos méchancetés. Vous n’avez pas répondu à ses
questions
. — Il n’a pas répondu aux miennes, repartit Stéro
ar il ne trouvait pas où poser sa candidature. Il ne pouvait pas être
question
d’Ortona a Mare, son premier collège, car ici mêm
lui qui projette sa lumière sur Florence ; le jour où il résoudra la
question
ce sera sans doute en ce dernier sens. Poussé par
copier : les gens qui s’y promènent, comme mon ami et moi. Certes, la
question
d’art ainsi posée montre un but singulièrement él
appelli Très amusante, cette brochure, la Lira domestica. Il y est
question
des « Décadents, dont le pontife est Paul Verlain
est jetée dans la mer par un large geste parabolique ? Simple petite
question
de psychologie littéraire. Enrico Corradini :
d’habitude, assis sur le rivage, et le médecin lui ayant fait quelque
question
sur les véritables raisons de la campagne de Russ
contrainte. — Voilà un mois, répondis-je, que l’on me pose cette même
question
, partout où ces Ceschini sont reçus, Je partage l
vous le courage de vous tuer ? demande- t-il à brûle-pourpoint. Cette
question
l’étonne. Pourquoi l’a-t-il posée ? Il l’ignore.
son modèle. Ils échangeaient alors des paroles indifférentes sur des
questions
d’art, mais ils s’apercevaient que leurs voix tre
es nouvelles concernant les musées ; et l’entretien se tourna vers la
question
d’art. Antonio eut, pour Wellseley, quelques phra
o est le premier travail important qui ait paru en français sur cette
question
. Tome CIX, numéro 406, 16 mai 1914 Les N
rastaient fort avec sa courtoisie et son habileté traditionnelles. La
question
du Dodécanèse, c’est-à-dire de sa mainmise tempor
s plus ignorer. » L’Italie victorieuse a dressé, devant l’Europe, la
question
de la Méditerranée Orientale. Elle y revendique d
oupable… et récidiviste. Que l’on n’aille pas s’imaginer qu’une sotte
question
de nationalité me préoccupe tant soit peu, dans l
e réhabilitation de l’illustre et fécond librettiste Metastasio, « la
question
du drame lyrique n’a laissé indifférent aucun des
nça ou esquissa l’opéra, puis le céda à Salieri ; il ne fut nullement
question
de Calzabigi qui, de son côté, faisait musiquer s
de prévoir le jour où des savants même non officiels s’occuperont de
questions
de cet ordre. Tout au plus y voit-on paraître que
ariano, qui a écrit une douzaine de gros volumes sur toutes sortes de
questions
religieuses, surtout sur les rapports du christia
rmeront, les revues payantes accepteront des articles. D’ailleurs, la
question
religieuse d’actualité, la lutte entre l’État et
bien celle de la sculpture acquise par lui. Il ne peut donc plus être
question
maintenant que d’un seul buste ; seulement, tandi
ge de M. Duhem. À propos du problème des deux infinis, à propos de la
question
de la pluralité des mondes, à propos des origines
acquis le Musée de Berlin 12. En dépit de toutes les controverses, la
question
de l’authenticité n’a pas fait un pas. De nombreu
plus ou moins empreints de la sérénité scientifique désirable en ces
questions
(les plus sérieuses de ces enquêtes ont été menée
ue. Du reste, l’auteur avoue ignorer la partie la plus complexe de la
question
, c’est-à-dire, son côté technique. D’autre part,
é littéraire ravive l’aventure Sand-Musset-Pagello. Lettres éperdues,
questions
passionnantes ! « Aimèrent-ils ? N’aimèrent-ils p
rd de Vinci le précurseur et le maître de l’évolution occidentale.
Questions
juridiques. Memento [extrait] José Théry. Tome
ignant à s’entretenir librement dans leur langue maternelle. Il n’est
question
du serpent de la Genèse et de l’ânesse de Balaam
emburghere Imperatori ? Le gibelin nous avertit que eli est un mot de
question
ou de réponse, c’est-à-dire de reconnaissance. Da
e Farina ; Giovanni Episcopo, par Gabriele d’Annunzio. […] Revue des
Questions
historiques (janvier-mai). M. Beurlier disserte s
e chez nous. Mais quel ne fut pas mon étonnement à voir qu’il y était
question
du Théâtre Libre, du Théâtre d’Art, et que ces su
s faire ? LAZARO Ce que je veux faire ! Tu ne peux pas m’adresser une
question
. Mais je te dirai que je veux prendre la brebis d
la carrière d’Antine. Et toutes les fois qu’ils revenaient sur cette
question
, le séminariste éprouvait la même impression de g
le regardèrent avec une curiosité avide, et lui posèrent beaucoup de
questions
délicates : mais lui, tout superstitieux qu’il fû
— répondit le vieux avec un calme parfait, en fixant sur le fusil en
question
le regard de son œil bleu. — Ça n’a pas réussi. —
eignements faciles à ceux qui se contentent, le plus souvent, sur une
question
, d’un article de dictionnaire, et son essai est l
ique, que M. Romualdo Giani procure par son étude une grande joie. La
question
, qui peut se résumer dans le dilemme : « Mélodram
litique de Rome. » Tome LVIII, numéro 202, 15 novembre 1905
Questions
morales et religieuses. Monsign. Antonio Briganti
vait probablement voulu désigner ce docteur par le martyr dont il est
question
dans les vers que voici : Que de pleurs ont coul
rtinozzi, de Livourne. Elle réplique en promettant une étude de cette
question
— dangereuse, et veut bien faire remarquer qu’il
Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 La
question
religieuse. Enquête internationale [IV] Tome L
e Granvelle, fut accusé de complicité avec les hérétiques et subit la
question
des mitaines de bois dont il était inventeur et q
é de la Villa Médicis. Je traiterai quelque jour, à mon tour, cette «
question
», fort intéressante, et que je crois posséder qu
de d’affirmer rien, mais je dis : il est possible, et j’ajoute que la
question
mériterait l’examen des spécialistes, des compéte
il y a plus que de la prudence, il y a une gêne très réelle dans les
questions
qu’il pose à Casanova sur le poète du duc de Parm
idoirie, et M. Ojetti a profité de sa victoire pour soulever aussi la
question
de l’idéalisme en art. « L’art, dit-il, n’est pas
▲