ome XXII, numéro 88, avril 1897, p. 185-187. En mars 1896, l’Ermitage
publiait
, sous la signature de M. Élysée Pélagaud, la trad
t supplicio ». Une traduction de cette seconde lettre a également été
publiée
par l’Ermitage (avril 1890). Bien que cette édit
aractère microscopique, gravurettes, format de carnet), M. Ugo Ojetti
publie
deux nouvelles, écrites en un style élégant, simp
héroïque. Cette vie, il faut la chercher dans le livre admirable que
publia
, il y a trois ans, M. Paul Sabatier3. Bien que de
ne me paraît pas un mal pour sa carrière d’homme de lettres. M. Oliva
publie
, — ou mieux, publiait, — au Corriere della Sera d
mal pour sa carrière d’homme de lettres. M. Oliva publie, — ou mieux,
publiait
, — au Corriere della Sera de Milan des articles s
tes de plus en plus rares ; et on dirait que le volume qu’il vient de
publier
chez l’éditeur G. Marco de Milan a surtout pour b
arer le recueil de M. Ojetti avec celui que M. Vittorio Pica vient de
publier
sur le même sujet, chez l’éditeur Pierro, de Napl
ant de M. Casimiro Varese. La Maison éditrice Galli de Milan vient de
publier
sa Vita e Scritti di Roberto Hamerling e la sua t
e Treves de Milan, en continuant ses traditions de bon goût, vient de
publier
un volume qui a pour titre ce nom cher aux italie
e des hommes.” M. Péladan conclut en ces termes ; « Richter, qui a
publié
de nombreux extraits des manuscrits de Léonard, p
erselle (Vox Urbis, Kal Maüs) On lit dans Vox Urbis, journal latin
publié
à Rome : « Latinorum conventus Romæ die XVI Apri
n’eut pas de juges éclairés, et je pense que l’auteur a bien fait de
publier
son drame à la Librairie Nationale à Milan. On pe
ittéraires, elle n’y arrive qu’à moitié. Le roman que Sfinge vient de
publier
chez Treves de Milan est faux dans ses conclusion
helm Schütz, mais avec de nombreuses omissions et modifications et il
publia
, volume par volume, cette traduction de 1822 à 18
emplaça ces noms par des initiales. Ce texte, ainsi révisé, fut aussi
publié
en douze volumes : les deux premiers, en 1826, le
es de l’authenticité des Mémoires de Jacques Casanova de Seingalt, et
publiés
en janvier, février, avril et mai 1881 dans le Li
tenant certaines, d’abord, que Casanova écrivit lui-même les Mémoires
publiés
sous son nom bien que non pas textuellement sous
s’était procuré des copies de fragments de ces manuscrits, qui furent
publiés
par lui dans le Livre en 1887 et 1889. Mais quand
ux et c’est d’après ce manuscrit que furent imprimés les deux volumes
publiés
. La bibliothèque fait partie du musée qui occupe
: voici les manuscrits d’une traduction de l’Iliade, in ottava rima,
publiée
à Venise (1770-78) ; de l’Histoire de Venise ; de
(1770-78) ; de l’Histoire de Venise ; de l’Icosameron, curieux livre
publié
en 1787, prétendant être « traduit de l’Anglais »
est la première esquisse de la plus fameuse partie des Mémoires, fut
publié
à Leipzig, en 1788 ; l’ayant lu à la Bibliothèque
et V à leur place quand l’édition tant désirée du texte intégral sera
publiée
. Un autre manuscrit que j’ai trouvé raconte de fa
téraire. Érudit de premier ordre, instruit au suprême degré, il avait
publié
plusieurs ouvrages fort estimés. J’eus avec lui u
pas mentionnés. Les seules lettres de cette collection qui aient été
publiées
sont celles du prince de Ligne et du comte Kœnig.
traordinaire de sujets, outre les mémoires et les divers livres qu’il
publia
au cours de ces années-là. Nous le voyons jetant
. L’article de M. Arthur Symons, sur les papiers inédits de Casanova,
publié
dans le dernier numéro du Mercure, a provoqué de
’ici nul n’a prouvé avoir connu cet extrait avant M. Symons, ni avoir
publié
les curieux fragments qu’il en donne. Les « Casan
n ; le second, de tout ce qui est écrit en français. M. d’Ancona doit
publier
l’ensemble de ces papiers, et M. Uzanne, qui se p
Uzanne. Dès 1886, M. Gustave Kahn, qui, lui aussi, était allé à Dux,
publia
dans La Vogue quelques-uns des manuscrits examiné
tome Ier de La Vogue, pages 100 et suiv., parut le Précis de ma vie,
publié
complètement pour la première fois. Tome Ier, p.
iographie fort bien faite des ouvrages de Casanova et de ce qui a été
publié
sur lui. La bibliographie complète comporte 78 nu
rable étude sur Casanova, et récemment, les éditeurs Chapman and Hall
publiaient
deux volumes de passages choisis des Mémoires, tr
e exact des Mémoires ? Tant de bonnes volontés pourraient s’unir pour
publier
enfin les Mémoires conformes au manuscrit que dét
Université de Berlin. Tous les essais écrits en langue étrangère sont
publiés
, et dans leur forme originale, et en traduction f
prouvent en plus un véritable plaisir esthétique. Les correspondances
publiées
par certains grands journaux sont, en leur genre,
lé le mois dernier les belles impressions de guerre que Luigi Barzini
publie
dans le Corriere della Sera. La série d’articles
es. À côté des impressions vécues de Barzini, le Corriere della Sera
publie
d’intéressantes « Chroniques économiques de la gu
tout, donnent une idée bien fausse et bien incomplète de la guerre au
publie
français, qui a heureusement d’autres sources d’i
tion. Que pouvons-nous montrer de comparable à ces Problemi italiani,
publiés
par l’éditeur Rava de Milan sous la direction d’U
plus originales de la jeune génération, s’est dédoublée récemment et
publie
à Rome une édition politique dont j’ai sous les y
r et de narrateur de M. Barzini2. Parmi les nombreux récits de guerre
publiés
jusqu’ici je n’en connais aucun qui approche par
des Deux-Siciles : Lettres inédites au marquis de Gallo (1789-1806),
publiées
et annotées par M. le Commandant Weil (suite). […
go Angeli dans un article intitulé les Académiciens devant la guerre,
publié
par le Giornale d’Italia. M. Angeli signale l’ext
es. La guerre menaçait, la guerre avait éclaté, et Croce continuait à
publier
tranquillement dans sa revue, la Critica, des étu
e redoublèrent. Dans un article intitulé le Rôle de la Philosophie et
publié
dans le Marzocco, M. Gargano prétendit que le dev
Allemands. À la suite de la protestation de la Tribuna, M. Salandra a
publié
une circulaire engageant les censeurs à modérer l
des intérêts. Quand on supprime l’expression de sa pensée, l’Avanti !
publie
comme article de fond quelqu’une des « petites fl
été aussi bouleversé que lui. À son avis, si j’en crois une interview
publiée
par le Giornale d’Italia du 4 septembre, on ne tr
ns un excellent article de Quinto Tosatti : Guerre de civilisations ?
publié
dans l’édition politique de la Voce. L’auteur pos
rde la réalité en face, dans la péninsule. Dans un article très clair
publié
par l’Avanti !, le député socialiste Arnaldo Lucc
n de l’esprit et des méthodes de ce militarisme dans la vie civile, a
publié
un vigoureux article : In difesa di Romain Rollan
evue italienne bien connue, dirigée à Naples par M. Riccardo Forster,
publiera
régulièrement à partir de ce mois (janvier) des a
l’espoir de pouvoir y revenir plus tard. Ainsi, M. Anastasi vient de
publier
un roman. Il Ministro, qui marque pour l’auteur u
éceler les intentions d’une étude purement psychologique. M. Garlanda
publie
un Guglielmo Shakespeare, poeta e uomo, qui est u
s, nous renonçons volontiers à la connaître. Mais il y a les Mémoires
publiés
. Cette publication est tronquée et il faut absolu
uxe discret qu’elle a mis à éditer le Casanova de M. Ottmann, qui est
publié
hors commerce. Lettres italiennes. Les « Très-
nce puissante et féconde, Giulio de Frenzi est maintenant en train de
publier
une série de profils littéraires italiens avec le
s de la vie l’ont empêché de se résumer en un livre puissant : il n’a
publié
que des plaquettes, qui, dans le mouvement fébril
t tout le mal qu’on peut imaginer. Son essai de poème, Orpheus, qu’il
publia
en plaquette chez un éditeur obscur, m’a fait dés
ttendue. § Heureusement, voici que la Maison Treves de Milan vient de
publier
le Nerone. Jusqu’à il y a quelques mois, personne
ture est déjà recherchée par les Revues les plus importantes. Flegrea
publiait
dernièrement de lui une étude excellente sur Remb
t soigneusement l’ignorer : sous son pseudonyme de Remigio Zena, il a
publié
un recueil de vers curieusement originaux, Le Pel
rice Nationale de Rome, sous la direction de M. G. de Rossi, vient de
publier
avec son élégance habituelle, nous fait regretter
di Benvenuto Cellini La même Société Éditrice Nationale vient de
publier
en un fort et beau volume cette divine autobiogra
li, mais cette fois dans le Marzocco, qui étudie le recueil de drames
publiés
par M. Claudel, sous ce titre, L’Arbre. Ayant ana
ville, a exposé dans un article illustré de curieuses photographies,
publié
récemment par la Gazette des Beaux-Arts 5, les me
déjà été relevée en France. L’assertion un peu spéciale que vous avez
publiée
sur Dante surprendrait peu favorablement les litt
à brûle-pourpoint : « Vous a-t-on dit comment nous avons été trahis ?
Publiez
-le, répétez-le partout en France. » L’un d’eux sa
rut la note du Pape parlant de l’inutile strage, du massacre inutile,
publia
un article de commentaires se terminant par cet a
cents ouvrages en soixante ans. Et ce ne fut pas un précoce, car s’il
publie
son premier écrit après la trentaine, c’est de 18
blie son premier écrit après la trentaine, c’est de 1859 à 1861 qu’il
publia
son chef-d’œuvre : Savonarole. Il appartenait à l
enfant élevé en couveuse. C’est, du moins, ce qui ressort d’un récit
publié
dans Le Jugement des savants sur les principaux o
e connu sous le nom d’Index du concile de Trente (Index tridentinus),
publié
en exécution de la bulle de Pie IV, datée du 24 m
f spirituel : M. E. Aroux, catholique ultramontain, dans son ouvrage,
publié
en 1853, Dante hérétique, révolutionnaire et soci
711-727 [720-722]. Sur les choses de la guerre actuelle, Paul Adam a
publié
un volume d’impressions, — abondant et même proli
oir offert le premier exemplaire au grand-duc. Plus tard, Barbera osa
publier
une nouvelle édition de l’Histoire du concile de
un article de M. Louis Piérard, intitulé « l’Italie à l’épreuve » et,
publié
en tête du numéro du 16 janvier du Mercure de Fra
e l’article : L’Italie à l’épreuve que vous m’avait fait l’honneur de
publier
dans votre numéro du 16 janvier. Votre correspond
ux ? Hier, M. d’Arsac, ancien rédacteur en chef au Soir de Bruxelles,
publiait
dans la Victoire, à propos de l’arrestation de La
éro 475, 1er avril 1918, p. 557-562 [559]. […] Le Corriere della Sera
publie
une information à lui envoyée de Londres, qui mon
nte condamnation infligée au colonel Repington pour les indiscrétions
publiées
dans le Morning Post appelle l’attention sur une
re de son collaborateur principal qui, sous le nom de « Achilleius »,
publiait
dans chaque numéro, à la place d’honneur, un form
741 [737-738]. Du front italien, j’ai à signaler encore le récit qu’a
publié
M. Éric Allatini : Savoia, la Guerre des Cimes, q
s causes de cette retraite stupéfiante, vous m’avez fait l’honneur de
publier
, dans votre numéro du 16 janvier, un article où j
s ont avancé qu’il était incapable de donner forme aux théories qu’il
publia
. M. Focillon est d’avis que la rédaction put être
Hic Roma quondam, hic nos nunc et semper. Citons encore La Vittoria,
publiée
par les volontaires bergamasques, L’Elmetto, La B
tre de chapelle de l’archibasilique de Saint-Jean-de-Latran, vient de
publier
de nouveaux documents biographiques sur le prince
de fonder, L’Idea Latina (n° 1, juillet 1918), M. Giacomo di Belsito
publie
un article réconfortant sur L’Entente Intellectue
ntini, telle qu’elle s’exprime, et de façon si crue, dans ses écrits,
publiés
par sa fille Bianca, particulièrement dans une le
n exemple — que l’illustre économiste et sociologue Vilfredo Pareto a
publié
dans le fascicule du 31 juillet dernier de la trè
n enfant recherché par la reine d’Italie Les journaux italiens ont
publié
l’avis suivant : Sa Majesté la Reine sera très r
ibretti qu’il a composés pour Verdi et autres maëstri. Il avait aussi
publié
dans sa jeunesse deux petits livres de vers (Libr
aux rêveries bizarres du Nord était en lui presque spontané. Il avait
publié
en 1901 le poème dramatique Nerone, dont il a lai
nos écrivains, Gabriele d’Annunzio, est tout adonné à la guerre. Il a
publié
seulement, ces derniers temps, deux brochures : L
mort, est déjà en train de devenir un de nos classiques. On vient de
publier
une édition de grand luxe de ses Carmina, c’est-à
a même chose des Novelle d’ambo i sessi, de M. Alfredo Panzini, qui a
publié
aussi une nouvelle édition de son Dizionario Mode
c plaisir ces mélanges posthumes (contes et souvenirs) qu’on vient de
publier
sous le titre L’Altare del Passato. L. E. Mors
hlet contre la philologie allemande (Minerva e lo Scimmione) vient de
publier
un clair résumé sur le Teatro Greco, puisé direct
de MM. Salvemini, Momigliano, Della Seta et Alessandro Levi, qu’on a
publiés
ces derniers mois, sont très sérieux et témoignen
» ? Cependant, à la fin d’août 1918, le ministériel Giornale d’Italia
publiait
le texte de l’interrogation suivante, émanant du
e, un professeur génois adressait au journal une lettre, que celui-ci
publia
dans son n° 244, 4 septembre 1918 et qui, trop lo
n de ses meilleurs et de ses plus jeunes poètes. M. Antonio Cippico a
publié
sa traduction, remarquable à tous les points de v
des plus importantes d’Europe. C’est la maison Laterza, de Bari. Elle
publie
des collections diverses de philosophie et de sci
re nell’opera di G. Pascoli. V. Muglia. Messine M. Luigi Cucinotta
publie
une étude sur la Poésie de la Douleur et du Foyer
duquel vient de paraître la traduction italienne de Bruges-la-morte,
publie
un livre de vers : le Piccole morte, qui le place
mo di Nietzsche. Gênes. Rivista Ligure. — F. Novati et Rodolfo Renier
publient
une étude, qui est la plus complète jusqu’ici, su
temps au temps. L’année même de la mort de Guyau, en 1888, M. Bergson
publiait
ses aperçus sur l’intensité des états psychologiq
Collection des philosophes classiques modernes. Cette collection est
publiée
avec les soins de MM. B. Croce et G. Gentile. Ell
tement spiritualiste et sévèrement rationnaliste. M. Paolo Savj-Lopez
publie
dans la même collection quelques études de lyriqu
e innovatrice, réunis autour du périodique romain la Vita Letteraria,
publie
des volumes de vers et de prose, où la pensée la
nti, et admirateur posthume de Pétrarque. M. Sicardi cite une lettre,
publiée
pour la première fois par M. A. Zardo, écrite par
a Scuola Italiana de Gênes et le Corriere delle Puglie de Bari en ont
publié
déjà des fragments. Dans la Scuola Italiana, nous
même moins — que le théâtre fuégien ou congolais, la Scena Illustrata
publie
des études sur le théâtre chez les anciens et les
numéro 40, avril 1893, p. 381-382 [382]. […] La Gazzetta Letteraria a
publié
récemment une fort bonne étude, avec documents no
sont et probablement seront d’une grande médiocrité. La même revue a
publié
un article à signaler pour son incohérence. C’est
bre) C’est ce qu’écrit M. Léon Werth en une mordante fantaisie que
publie
Gil-Blas : Le Voleur de la Joconde. « Il ne falla
or poétique français de Baudelaire jusqu’à Claudel, et qui avait déjà
publié
, en français, la Conquête des Étoiles et Destruct
ioni, Carrà, Russolo et Balla donnèrent leur adhésion au mouvement et
publièrent
le manifeste de la peinture futuriste qui fut bie
des manifestations bruyantes. Plus tard le musicien Balilla Pratella
publia
son manifeste de la musique futuriste ; Russolo i
nger aussi les alliés ne manquent pas. Dans cette même année, Lacerba
publia
l’Antitradition Futuriste de Guillaume Apollinair
orains. J’en parlerai longuement, chacun à leur tour, aussitôt qu’ils
publieront
leurs œuvres nouvelles. Les mots en liberté et
que Marinetti, Buzzi, Cangiullo, Boccioni, Carrà et Soffici ont déjà
publiés
nous forcent à reconnaître que, en dépit de leur
Tome CVII, numéro 401, 1er mars 1914, p. 184-186 [184-185] Le Matin
publie
quelques pages inédites de François Coppée. Ce so
des Deux-Siciles : Lettres inédites au marquis de Gallo (1789-1806),
publiées
et annotées par M. le Commandant Weil (suite). […
1er avril 1914, p. 587-592 [590]. On se rappelle que Miss Cangiani a
publié
il y a quelques années un très beau livre sur la
ons. La livraison de novembre 1913 du Bulletin officiel de ce musée a
publié
, avec des vues des salles qui renfermaient cette
poésie l’a capté dans son adolescence et le retiendra toujours. Il a
publié
son premier livre à vingt ans (I Cavalli bianchi,
est sans doute le roman le plus fantasque et extraordinaire qu’on ait
publié
dans notre langue. Il s’agit d’un homme de fumée
e même que Stendhal a donnée à Quérard en 1841 ou 1842. Il ne voulait
publier
qu’une traduction du livre de Carpani ; ce fut Di
cument précieux, qui n’a pas été sans susciter des polémiques. Il est
publié
par Constable, sous ce titre : Italy in North Afr
des Deux-Siciles : Lettres inédites au marquis de Gallo (1789-1806),
publiées
et annotées par M. le commandant Weil (suite). […
frères de 1880 ne sont pas autre chose que la copie des douze volumes
publiés
par Brockhaus dans l’espace de douze ans, quatre
ts, depuis, par E. Flammarion, — ne sont que la copie des dix volumes
publiés
par Paulin dans l’espace de quatre ans : huit en
r « arrangement » à Wilhelm von Schütz, professeur à Halle, et il les
publia
à Leipzig, de 1822 à 1828, après en avoir extrait
sque je possède le manuscrit français de Casanova, pourquoi ne pas le
publier
tout de suite, paralysant du coup toute concurren
ctua la vente dès 1833, persuadé que la suite ne tarderait pas à être
publiée
, et qu’il pourrait écouler sous son nom l’édition
res qui manquait à son édition, c’est-à-dire les tomes IX et X, qu’il
publia
en 1837, complétant ses huit volumes parus en 183
1763), et Greppi était un banquier de Milan, dont les descendants ont
publié
une curieuse correspondance relative à la Révolut
nsente à nous en laisser prendre copie, ou qu’elle se détermine à les
publier
elle-même in extenso, tels qu’ils sortirent de l’
e bailli du Roullet ; et lorsque le chevalier de Chastellux, en 1773,
publia
une nouvelle traduction de l’Essai, suivie de ces
une longue dissertation, l’éloge de l’illustre poète impérial dont il
publiait
les œuvres et, chemin faisant, tout en payant son
enne vers 1772. Dans une Riposta (de Calzabigi lui-même, semble-t-il)
publiée
en 1790, à Venise, et adressée à Arteaga, on lit
rant les livrets des Danaïdes de Salieri et du Renaud de Sacchini, il
publiait
, en 1776, une brochure anonyme, les Drames-Opéra,
Marcel. — G. Charpentier, éditeur ; Paris, 1881. 11. Comment furent
publiés
les Mémoires de Casanova, article du journal Il M
Gluck se trouvait à Copenhague, en 1749, où vivait Scheibe. Celui-ci
publia
son Critischer Musikus, à Hambourg, de 1737 à 174
musiciens, p. 380. 22. Traduit en français, l’Essai d’Algarotti fut
publié
une première fois, dans le Mercure de France, en
de Chastellux, en 1773. Il ne paraît pas que le texte italien ait été
publié
avant 1762, l’année même de l’Orfeo. Ce serait do
ité des lettrés et des artistes. La Société provinciale d’éditions va
publier
en un volume in-8 des Extraits des Manuscrits de
méro 174, juin 1904, p. 819-827 [821-822]. Depuis vingt ans, il a été
publié
sur Dante Gabriel Rossetti une énorme quantité de
que sans signification générale, les nouvelles qu’Ugo Ojetti vient de
publier
sous ce titre : Il cavallo di Troia. L’auteur est
me des écrivains dont on peut attendre beaucoup. L’un, Giovanni Cena,
publiait
, il y a cinq ou six ans, un poème, Madre, de haut
ité. Mais, jeune encore, il sut se soustraire au danger de lire et de
publier
simplement les manuscrits des autres, et voilà qu
temps pour revenir à sa Romagne, qu’il connaît intas et incate, et il
publie
d’un coup un roman, Gli uomini rossi (Les Hommes
e est parti de cette Revue, et j’en suis fier. Giulio Orsini vient de
publier
ses vers en volume, avec le titre : Fra terra ed
ctor-Emmanuel de Rome : M. Gnoli, ayant à se plaindre de la critique,
publiait
depuis trois ans ses poésies sous le nom du dit G
recueil le plus complet et le plus substantiel de documents qu’on ait
publié
encore sur la colline célèbre, ses monuments, leu
plan de Legerio conservé au British Museum (1552), la série des plans
publiés
à Rome par E. Rocchi (Le Piante di Roma, 1903) le
Pétrarque demeura le plus célèbre, et à côté du texte de sa harangue
publié
intégralement, nous trouvons mentionné qu’un brev
portefeuille a été perdu. La trouvaille mystérieuse de maître Chicot,
publiée
par un de ses ennemis qui l’a épié, fait peser su
r reproduit et imprimé des documents d’archives, à en avoir établi et
publié
le double typographique (ce qui est considérable,
’ailleurs été bien déterminée qu’à une date récente ; dans un ouvrage
publié
en 1835, Rome au siècle d’Auguste, par L. Charles
enezia, feuille quotidienne de luttes et d’espérances hardies, qui se
publie
sous sa direction politique et littéraire, l’abso
an, un des plus grands et des plus actifs éditeurs d’Italie, vient de
publier
des morceaux inédits du très célèbre roman de Man
t fort dans le roman dont Manzoni à grand’peine précisa les contours.
Publiés
et lus séparément, ils forment un nouveau roman e
les premiers jours de janvier, à Milan sous le titre : Poesia ; elle
publiera
tous les mois des vers inédits des meilleurs poèt
Kipling, Alma Tadema, Hélène Vacaresco, Fred. Bowles. Tous les poèmes
publiés
par Poesia doivent être dits et analysés par M. F
’avait d’ailleurs pas même été proposé. L’éditeur Zanichelli vient de
publier
en volume les Proses, de Carducci. Ce recueil, d’
ro de cette publication, accueillie avec tant de faveur à l’étranger,
publie
une réponse de M. G. Papini à un positiviste des
llemment M. Ugo Monneret de Villars dans le beau livre qu’il vient de
publier
sur le peintre10, après MM. Angelo Conti et H. Co
Memento M. Orazio Roggiero, le distingué numismate qui avait déjà
publié
une savante monographie sur la Monnaie des marqui
érudits comme M. l’abbé F. G. Frutaz le font pour Aoste : après avoir
publié
dans les Atti della societa di Archeologia e bell
inventaires du château de Verrès et de son mobilier, il se propose de
publier
ceux d’Issogne. Ce sera là un document précieux q
qui le fait paraître original et fort. M. Giovanni Cena, un jeune, a
publié
dernièrement dans la Nuova Antologia quelques son
gtième siècle de notre ère, on rencontre des éditeurs pour acheter et
publier
la chose, des théâtres pour la jouer et des dilet
’ai parlé dans ma dernière chronique, et M. Sem Benelli, qui vient de
publier
un poème : Un fils des temps (Un figlio dei tempi
qui nous était inconnu. Et l’impression que nous laissent ces poèmes
publiés
est vraiment celle de l’effort d’un poète d’autre
en lui un grand poète. Cependant il y a quatre sonnets, dans ceux que
publie
Il Campo, qui sont d’une force et d’une spontanéi
rage dont l’éminent historien italien, M. Guglielmo Ferrero, vient de
publier
, dans notre langue, le deuxième volume. Paru vers
méro 196, 15 août 1905, p. 599-603 [600-601]. M. Pierre de Bouchaud a
publié
chez Lemerre un petit volume sur Naples, son site
ient étaient d’un genre nouveau, il était tout aussi naturel qu’il le
publiât
sous un titre moins général et surtout plus carac
allé chercher des abonnés à Londres12 pour une revue qu’il rêvait de
publier
à Paris avec Joubert, Fontanes connaissait Young
c’est que Lamartine lisait Pétrarque et le traduisit dix ans avant de
publier
les Méditations. Au mois de septembre 1810, il lu
s de vers que lord Byron, M. de Lamartine et M. Casimir Delavigne ont
publiées
sur le même sujet nous paraissent bien inférieure
d’autres le soin de pénétrer les raisons pour lesquelles Lamartine ne
publia
le Crucifix qu’en 182336. IV En somme, la p
de Naples : Le journal Il Giorno , que dirige Mme Mathilde Serao,
publie
un article de M. Alberto Lumbroso, l’écrivain bie
ain bien connu, à propos de la récente Histoire de l’affaire Dreyfus,
publiée
par M. Joseph Reinach. M. Lumbroso écrit : « Vers
a modernisation de la critique italienne, M. Giuseppe Antonio Borgese
publie
son intéressant volume sur la Storia della Critic
le chemin est court et étrange… M. et Mme Ciro et Michelina Trabalza
publient
la traduction de Little Men de Louise Alcott. Ce
itif et un géorgique d’une force subtile et personnelle, qui vient de
publier
un beau livre : I Canti delle Stagioni (Les Chant
M. Mohr et Antongini). Elle a pour directeur M. Ettore Moschino. Elle
publie
dans tous ses numéros un article de Gabriel d’Ann
mois de mai 1820. On n’a pas oublié les belles stances que Lamartine
publia
sous ce titre dans les premières Méditations. Ces
en 2 volumes in-32, reliés en maroquin couleur feuille morte, qui fut
publiée
en 1809-10 à Londres par G. Boschini, da Torchj d
» (Corresp., t. II, p. 238.) 40. Lettre à M. de M., du 19 mars 1823,
publiée
dans Racine et Shakespeare, de Stendhal. 41. C’
passant par sa lyre ! M. Raoul Rosières, dans un article retentissant
publié
par la Revue bleue le 8 août 1891, s’est efforcé
n’aie plus une lueur d’espoir de ce côté, je n’essaierai pas de rien
publier
. La réputation de poète est la pire de toutes aux
cherie qui lui valut, pendant un temps, la notoriété. Jeune poète, il
publiait
des vers qui avaient le sort de beaucoup de vers
èmes de Henri Heine et d’Alfred de Musset, qu’il tritura, amalgama et
publia
sous le pseudonyme de Lorenzo Stecchetti. Lui-mêm
rence, dans une première étude « sur les causes de fa guerre », qu’il
publie
dans la Revue des nations latines, analyse un mém
èmes de Henri Heine et d’Alfred de Musset, qu’il tritura, amalgama et
publia
sous le pseudonyme de Lorenzo Stecchetti ». Guerr
les moralistes) qui n’ajoutent rien à son renom mourant. On vient de
publier
sur sa vie et son œuvre un volume dû à un groupe
a place de « poète national » qu’il ambitionne depuis longtemps. Il a
publié
à cet effet, après son discours de Quarto, des Pr
droit après trente-cinq ans de labeur acharné et fortuné. Il vient de
publier
un petit livre en trois tomes qui s’appelle La Le
ébordants de sensualité tendre. Malheureusement M. Pierre Louÿs avait
publié
ses Chansons de Bilitis en 1894… Mario Puccini
t surpassé, dans cette direction, par M. Baldini. M. Puccini vient de
publier
un nouveau livre : Piccolo Mastro Spirituale (Mil
méridionales. M. Aldo Mieli montre un courage surprenant. Il vient de
publier
le premier volume d’une histoire générale des sci
lus curieux de relire aujourd’hui un article très péremptoire qu’elle
publiait
dans le Matin, le 21 septembre 1906, à une époque
ant la pensée allemande, les Français connaissaient à peine ce qui se
publiait
en Italie ou en Espagne ; Espagnols et Italiens n
légié. Les nouvelles archives annuaires et périodiques devraient donc
publier
moins et choisir mieux, et contenir, à côté de re
etin signé de lui, qui porte le titre de « Wilson contre Machiavel »,
publié
en même temps que l’Italie avançait en Albanie et
, 1er septembre 1917, p. 137-151 [147-149]. De M. Luigi Barzini, on a
publié
encore un curieux ouvrage : La Guerre moderne, su
valore ; sous le pseudonyme anagrammatique du capitaine Oudanc, il a
publié
ses souvenirs d’officier de zouaves pendant la re
qui lui furent personnellement adressées. Gaye, dans le Carteggio, en
publie
quelques autres ; mais ce n’est qu’en 1875 que pa
utres ; mais ce n’est qu’en 1875 que parut le premier recueil sérieux
publié
par M. Milanesi, à l’occasion du centenaire du gr
ussi qu’à rendre la consigne plus sévère encore. En France, Piot en a
publié
un très petit nombre dans le Cabinet de l’Amateur
de collaborer assidûment au journal irrédentiste L’Independente et de
publier
des recueils de vers comme les Odi Adriatiche, qu
cisme qui n’était pas sans charme. À la veille de la guerre, il avait
publié
les Discorsi Militari (Firenze, La Voce, 1915), c
umour dans ses romans et dans ses contes. Il Sole del Sabato, qu’il a
publié
l’année dernière, est peut-être son chef-d’œuvre
manque pas de ressources ; M. Antonio Bruno, dans Fuochi di Bengala,
publie
des fragments de journal intime et des poèmes en
i M. Gherardo Marone, avec l’aide de M. Harukichi Shimoi, vient de
publier
un choix de poètes japonais modernes (Akiko Yosan
it trop d’adjectifs, et rédigea son premier bulletin que les journaux
publient
toujours avec la mention : Signé Cadorna, en ital
382]. L’article que, sous ce titre, M. Henry Cochin, ancien député, a
publié
dans le Correspondant du 25 avril dernier, articl
ttérature de combattants qu’en France. Rien de comparable à ce qu’ont
publié
Henri Barbusse, Adrien Bertrand, Maurice Genevoix
ait trop insister sur l’importance « d’impressions » de ce genre qui,
publiées
dans tous les journaux de la péninsule, habituent
alie de ces précieux commentaires sur les opérations militaires qu’il
publiait
dans les premiers mois de la guerre européenne ?
qui vaut la peine d’être signalé, que tous les journaux italiens ont
publié
en français. AUX OFFICIERS des Armées Françaises
t nous empruntons les citations à l’excellente traduction de Perrault
publiée
par Firmin-Didot. 44. Texte de Vitruve : « L’ord
X, numéro 50, février 1894, p. 184-189 [185]. […] La Tavola Rotunda a
publié
un numéro double tout entier consacré à M. Gabrie
51, mars 1894, p. 284-285 [285]. […] L’Idea Liberale du 4 février a
publié
un article des plus importants et des plus intére
biographies et notamment par une très bonne étude sur saint François
publiée
par Mme Arvède Barine dans une Revue des Deux-Mon
des Revues (15 juillet), Mlle Paula Lombroso, la fille du professeur,
publie
un article sur la Cérébration inconsciente dans l
érature française dans ses dernières manifestations, M. F. Accinelli,
publie
dans Il Vero, de Savone, une excellente tradition
l-Ange, 7 fr. 50 (Hachette) La collection des Classiques de l’Art,
publiée
en France par la maison Hachette et qui a débuté
numéro 278, 16 janvier 1909, p. 325-331 [331]. […] Poesia (novembre)
publie
des vers de M. Frederico de Maria et un article d
is : La Conscienza dell’Arte, Perrella, Naples M. Aldo de Rinaldis
publie
dans son livre la Conscience de l’Art une longue
t récemment par l’œuvre de M. Paul Sabatier à Assise. M. Felice Tocco
publie
un volume de Studi Francescani qui apporte des ma
intégrale de ses ouvrages. Emporium (décembre). M. Guido Marangoni y
publie
un article sur l’architecte Camille Boïto, restau
l’histoire de Rome, par M. G. Ferrero. […] Poesia (décembre-janvier)
publie
l’Objet aimé, pastorale en 1 acte, d’Alfred Jarry
-janvier) publie l’Objet aimé, pastorale en 1 acte, d’Alfred Jarry et
publiera
les œuvres posthumes de cet écrivain. […] La Pha
de fossiles, dont suit la liste. » Cette liste serait trop longue à
publier
. Avertissons seulement M. Marinetti qu’il y figur
amis et de ses biographes. En 1843, — il avait vingt-quatre ans, — il
publia
son premier volume des Modem Painters, dans leque
anne eut donné son étude sur Ruskin et la Religion de la Beauté. On a
publié
, depuis, les études de H. J. Brunhes sur Ruskin e
numéro 283, 1er avril 1909, p. 511-518 [518]. Poesia (février-mars)
publie
sous ce titre : « L’émotion nouvelle. Propos de f
t rectifiée et complétée par les découvertes d’archives de M. Biadego
publiées
dans les Atti del R. Istituto veneto di scienze,
. Nous ne sachons pas que dans la péninsule on ait, en quelques mois,
publié
tant d’aussi attentifs et bienveillants livres de
valeur de Ferrero, parce qu’il fut imbu de la supériorité allemande,
publier
ces aveugles Europa Giovane et Militarismo — dont
flegmatisme « inhumain » de son esthétique d’art-pour-art n’ait rien
publié
sur Messine encore toute fumante de la ruée marin
é. Au point de vue strictement livresque, les cent dix-sept réponses,
publiées
dans leur rédaction originaire bilingue, c’est-à-
i : Le Ranocchie turchine, « Poesia », Milan M. Enrico Cavacchioli
publie
les Grenouilles Bleues, un recueil de poèmes. Ce
Socialisme. Rassegna Contemporanea (mars, Rome). M. Giorgio Arcoleo
publie
une rapide étude sur Swift, « le grand humoriste
dans le tome IX de l’Édition des Œuvres complètes d’Alfred de Musset
publiée
par Garnier frères, s. d. (1908), je lus en note,
fidèlement : « Casanova de Steingalt (1725-1803) de Venise, Mémoires
publiés
en français en 1726-1832, par Henry Beyle (Stenda
ù il l’a lu ? Je le sais : c’est dans un article de Francisque Sarcey
publié
, par une délicate attention, au lendemain même de
, et ceci s’applique, autant que jamais, à ces deux dernières séries.
Publié
tout entier sans notes, l’ouvrage, dans la mesure
tion consciencieuse, dont on peut prendre idée par certains fragments
publiés
avec tout leur appareil documentaire dans les rev
16 août 1909, p. 717-722 [722]. […] — Les Amis des monuments d’Italie
publient
: Sienne monumentale ; l’abbaye d’Ischia ; Sienne
Frédéric Nietzsche et Karl Hillebrand [extrait] […] M. O. Crusius
publie
dans les Süddeutsche Monatshefte (août) les quelq
moignent de l’essor d’une jeunesse intéressante. M. Federico de Maria
publie
un poème, la Légende de la Vie, où se révèle l’es
ter un grand poète comme Émile Verhaeren et lui fournir l’occasion de
publier
un beau poème de plus (la Nouvelle Revue français
ns l’art primitif italiens, Van Oest, à Bruxelles M. Arnold Goffin
publie
, à la librairie Van Oest, un curieux ouvrage sur
s romans et les contes de M. Zuccoli ne soient pas encore traduits et
publiés
en France. Il est étonnant aussi que l’œuvre d’an
ir. M. Ojetti écrit des romans élégants et intéressants, et M. Bracco
publie
des nouvelles gaies ou pathétiques en deux volume
ise, édité des cantiques du quinzième siècle et dans sa langue natals
publié
nombre de poèmes que l’on peut supposer excellent
99, 1er décembre 1909, p. 539-540. Le tome III de l’Histoire de l’Art
publiée
sous la direction de M. André Michel nous ramène
ance toute particulière. Memento Giordano Bruno : Il Candelajo (
publié
par M. Vincenzo Spampanato), Laterza, Bari. — Ant
représenter cette pièce, attaquait la traduction de cette même Salomé
publiée
en 1902, à Rome, par M. G. Vannicola à la typogra
la Charpente, Sous le fardeau. 16. À elle seule la librairie Alcan a
publié
6 volumes de Lombroso, un de Mantegazza, les Exer
ue. 18. Revue du 1er janvier 1909. La Revue a tout particulièrement
publié
les travaux des sociologues italiens, Cesare, Pao
particuliers, par exemple le Journal de route du capitaine Robineaux,
publié
récemment (Plon). 87. M. H. Houssaye, après la p
le mérite d’être tout frais et encore peu connu. Dans ses Souvenirs,
publiés
tout dernièrement par le comte Marc de Germiny, l
oussaye lui-même, qui cite fréquemment les Souvenirs de cet officier,
publiés
en 1867, ne paraît pas cependant avoir eu connais
ivre de souvenirs rédige un demi-siècle plus tard. Cette lettre a été
publiée
dans le Carnet de la Sabretache (1895, p. 493).
uveau, les Giambi ed Epodi et les Rime nuove, c’est-à-dire des poèmes
publiés
durant une période de vingt-cinq ans. Vers les ci
spade, E il canto, ala d’incendio, divora i boschi e va. Les poésies
publiées
par Carducci dans ces dernières années, Piemonte,
luxe et de belle littérature que, sous la direction de M. d’Annunzio,
publie
à Rome l’éditeur Adolfo de Bosis ; elle paraîtra
sceau du Convito, et ornée de riches planches d’art. M. d’Annunzio y
publie
un nouveau roman, Les Vierges aux rochers, avec c
fervent pour toutes les plus nobles formes de l’art, se proposent de
publier
leurs œuvres en un recueil imprimé avec cette élé
de France étaient ridicules ? » M. Duquesne, parent des Naundorff, a
publié
, sous le pseudonyme de Paul Dumont, un ouvrage de
Egisto Cagnoni et Cie. Lugano Un autre poète, M. Francesco Chiesa,
publie
un poème, Calliope, aussi en sonnets, mais dans u
vent à une réalisation satisfaisante. De son côté, M. Luigi Siciliani
publie
Corona, où, au nom des Grands classiques méditerr
et les « Premiers Principes » (S. Lattes, Turin). — M. Antonino Anile
publie
une nouvelle édition de son intéressant recueil d
500 lire de Poesia vient d’échoir à un grand poète. M. Paolo Buzzi va
publier
prochainement un « roman poétique ». Échos. Vo
ouchaud : Étapes italiennes, Sansot, 1 fr. M. Pierre de Bouchaud a
publié
chez Sansot Étapes Italiennes, notes sur les mosa
les condamnés se mettaient à faire de la littérature… Ce livre a été
publié
par les soins de Mme Luigi di S. Giusto. Toutefoi
Bracalone et qui ajoute des charmes à sa vaste renommée. Mme Yolanda
publie
un livre de nouvelles pleines toujours de subtile
; l’Archivista, par M. Pietro Taddei. — L’éditeur Cogliati, de Milan,
publie
, de M. A. Grasselli : In Sardegna, volume d’un in
r mai 1906, p. 129-132 [131-132]. La Revue de l’art ancien et moderne
publie
un article de M. S. Rocheblave sur la Jeunesse d’
r avec cette simplicité et cette sincérité ? La Revue de l’art ancien
publie
également des études sur la sculpture italienne d
tes, et l’autre a confirmé la bonne renommée de son nom. M. Ciro Alvi
publie
un roman sur Saint François d’Assise (San Francis
elle, à la gloire posthume du Poète calabrais mort de misère, dont il
publiera
ensuite la Trilogie très connue. Dans la même col
r le troisième volume (édition française) de l’Histoire romaine qu’il
publie
sous le titre de Grandeur et Décadence de Rome. P
devra aussi tenir compte des modifications et des ajoutages que nous
publions
». Stendhal était en Italie au moment où Chateaub
fut un des premiers adhérents à la fondation de la Société en 1902, a
publié
un article, où, en termes indignés, quoique avec
écrivain des plus jeunes et des plus féconds, M. Giuseppe Lipparini,
publie
dans un fort volume une série d’études critiques
es continuent sur le dernier roman de l’heureux auteur italien, il se
publie
à Florence un numéro spécial sur « la Questione F
filosofico di G. Leopardi ; Le Monnier, Florence M. Pasquale Gatti
publie
un Exposé du Système philosophique de Giacomo Léo
traduction et dans une édition des plus soignées, M. Giacomo Lo Forte
publie
la Place de l’Homme dans l’Univers, de Wallace. L
œuvre achevée, « en deux volumes » ; déjà il prévoit la date où il la
publiera
: « la fin de 1812 ». Son charlatanisme n’est pas
grande partie de l’Histoire de la Peinture, telle qu’elle devait être
publiée
cinq ans plus tard. Le texte est d’une autre main
que tant de travail ne pouvait être perdu, et qu’il fallait finir et
publier
ce livre à moitié fait ? Rien absolument ne nous
Sans elle peut-être Stendhal aurait-il réalisé son premier projet, et
publié
l’Histoire de la Peinture à la fin de 1812. Dans
». Il préfère être grand lui-même. Ce demi-mépris pour le livre qu’il
publie
, ce détachement d’un homme supérieur à son œuvre,
utation littéraire, ce n’est point pour se créer auteur, que Stendhal
publie
son livre. Et le simple amusement de courir la ch
stoire. Comtesse Bonmartini : Non Coupable ! Mémoires de Linda Murri,
publiés
par L. Di San Giusto, traduits par Mme J. H. Desm
s que la malheureuse comtesse Bonmartini (récemment graciée) vient de
publier
, toute l’affaire se dégage avec un aspect indiscu
occasion de revenir avec plus de détail là-dessus, lorsque M. Ferrero
publiera
son prochain volume sur Auguste, volume dont son
d’après cette lettre que Beyle songe, le 8 décembre, plus que le 4, à
publier
un livre. Au contraire, on voit déjà poindre le d
us avancé, comme on peut voir par l’intéressant livre que viennent de
publier
L.-H. Jordan et Baldassare Labanca, sur l’Étude d
histoire fort embrouillée2. Au mois de mai dernier ce buste avait été
publié
dans le Burlington Magazine par l’éditeur de cett
e de porter un jugement critique uniquement d’après les photographies
publiées
par l’Annuaire et le Bulletin du Musée de Berlin.
, Paris, 1817). Quand Stendhal, qui venait, dans son premier ouvrage,
publié
, comme on sait, sous le pseudonyme, si savoureuse
, consacré aux recherches historiques et, dès 1881, P. Molmenti avait
publié
une première monographie sur Carpaccio. Nul mieux
chette, 10 fr.) En même temps que le Carpaccio, la maison Hachette
publiait
un de ces recueils de reproductions dont le goût
oses d’art. Aussi serait-il à souhaiter que les éditeurs qui ont déjà
publié
des recueils analogues pour Dürer et Michel-Ange
tes, la nouvelle et excellente traduction de Vasari, que M. de Wyzewa
publie
par fragments, est encore un heureux prétexte à i
Memento [extrait] Dans l’Art et les Artistes, M. Gabriel Mourey
publie
un excellent article sur les Annonciations et nou
alement commentée tout récemment. Aujourd’hui, M. Raffaele Ottolenghi
publie
son ouvrage sur un Précurseur qui ne fut pas seul
in-8°, 15 fr. Les Études sur Léonard de Vinci, dont M. P. Duhem a
publié
il y a quelques mois une seconde série, tirent du
ndrai donc aujourd’hui très brièvement pour signaler parmi les études
publiées
en français par Cœnobium, durant la troisième ann
Georges Moore, par M. Federico Olivero […]. […] The Atlantic Monthly
publie
la suite des « Lettres japonaises » de Lafcadio H
ite revue Der Cicerone 13, et la Kunstchronik 14 de Leipzig), ont été
publiés
par toutes les revues d’art allemandes sans appor
t accomplie en présence d’un huissier, dont voici l’hilarant constat,
publié
par Fantasio : « … Nous nous sommes transporté au
e à l’arbre montant à la fenêtre de ma chambre. Platane. » Les pages,
publiées
ici, occupent les feuillets 54 à 83. Une vignette
1785, après une courte maladie, ainsi que cela résulte des documents
publiés
par M. Aldo Ravà. Pietro Longhi, avant de passer
ita musicale dello Spirito, Boca, Turin M. R. Torrefranca vient de
publier
une œuvre sur la Vie musicale de l’Esprit. Depuis
in de croyance eu un bonheur ultra-terrestre. M. Cosimo Noto vient de
publier
Giulio Nelli ou l’Atavisme dans la Foi socialiste
Tome LXXXVII, numéro 320, 16 octobre 1910, p. 721-727 [725-726]. On
publia
, l’an dernier, à Leipzig, une nouvelle édition de
leue (1er octobre) : Stendhal : « Introduction au voyage en Italie »,
publiée
par M. Paul Arbelet. […] Lettres anglaises. Me
e 1910, p. 341-344 [344]. Dans la Raccolta vinciana, M. Corrado Ricci
publie
une note sur Pietro de Bagnara, qui travailla de
un savant connaisseur. M. J. von Schlosser, qui, en 1901, avait déjà
publié
un bel album des principaux objets d’art de ces c
Musées royaux (Jarhrbuch der kön. preuzsischen Kunstsammlungen) avait
publié
, dans son 4e fasc. de 1909, p. 303, une étude dét
lioteca di Scienze Moderne). L’article sur Alfieri jugé par Stendhal,
publié
originairement dans le n° Alfieriano (octobre 190
menti : Tiepolo (Hachette, 30 fr.) Chaque année la maison Hachette
publie
un de ces magnifiques livres d’art qui font sa re
ues réflexions sur l’inutilité des traductions et sur la nécessité de
publier
en Allemagne de belles éditions françaises des éc
io Fogazzaro, Leila, Baldini-Castoldi, Milan M. Fogazzaro vient de
publier
un nouveau roman, Leila. Il s’agit encore une foi
e les poètes cèdent volontiers aux savants, et ceux-ci aux poètes, on
publie
une œuvre posthume d’un curieux intérêt : l’Anima
des lettres de Florence, qui consacre un volume à Marie de Gournay et
publie
l’Égalité des hommes et des femmes, et le Grief d
il, elle eut la hardiesse de mettre les mains sur celles-cy et de les
publier
mesme avec quelques œuvres, précédées d’un averti
la nouvelle édition des Essais ? Ce travail l’occupa longtemps. Elle
publia
un texte augmenté de nombreux passages inédits. L
, numéro 327, 1er février 1911, p. 608-613 [612]. La librairie Plon a
publié
, de Mme Jean Carrère, la traduction d’un des ouvr
e de Paris : un inédit de Stendhal La Revue de Paris (1er janvier)
publie
des fragments d’un Journal d’Italie de Stendhal
t une catastrophe terrible jusqu’à la beauté, vient d’être traduit et
publié
dans des conditions particulièrement touchantes e
avoir un joli nom, ne pèsera plus lourd dans la balance, et, quand on
publiera
Frescobaldi, ce sera une stupéfaction qu’il ait p
évrier 1911, p. 866-871 [869-870]. Coup sur coup, Mr Stephen Phillips
publie
deux volumes de vers. L’un, Pietro of Siena, est
, m’interrompit : — Non… Je ne vous approuve pas… Si j’étais vous, je
publierais
ce manuscrit… tout bonnement… mais je serais navr
dai à Enéa de me laisser réfléchir… Et je me décide, aujourd’hui, à
publier
, telle que je l’ai trouvée, entre des cartes astr
texte de ces Mémoires est tronqué : le manuscrit original n’a pas été
publié
une seule fois textuellement, et « toutes les ver
t pas dans l’intention de servir les intérêts du spiritisme qu’il l’a
publié
, mais pour montrer qu’aussitôt sorti du champ de
nt les Îles dans la mer. Littérature. Stendhal : Journal d’Italie,
publié
par Paul Arbelet, 1 vol. in-18, 3 fr. 50, Calmann
Tome XC, numéro 330, 16 mars 1911, p. 377-381 [377-381]. M. Arbelet
publie
aujourd’hui un nouveau volume de Stendhal : Journ
rquis de Saint-Maurice : Lettres sur la Cour de Louis XIV, 1667-1670,
publiées
avec une introduction et des notes par Jean Lemoi
Italie (A. Colin, in-4°, 10 fr.) Le tome IV de l’Histoire de l’Art
publiée
sous la direction de M. André Michel est consacré
l’appel violent des couvertures. En même temps que M. Corrado Govoni
publie
ses Poesie elettriche, M. F.-T. Marinetti publie
ue M. Corrado Govoni publie ses Poesie elettriche, M. F.-T. Marinetti
publie
Distruzione. La liste des poètes futuristes s’all
Morello, Goffredo Bellone), etc., et que M. Amedeo Tosti croit devoir
publier
tout un livre, Nemesi carducciana, sur un aspect
de Croisières en Adriatique et Méditerranée, Mme de la Rochecantin a
publié
un volume agréable d’impressions de route à bord
re les plus beaux tableaux des collections privées anglaises vient de
publier
pour 1910 son septième portefeuille d’estampes12.
ome XCI, numéro 335, 1er juin 1911, p. 629-633 [632-633]. M. H. Monin
publie
dans la Dépêche de curieuses notes inédites de Mi
rouva aux éditeurs polonais, d’habitude si timides quand il s’agit de
publier
des livres chers, que les ouvrages sérieux et imp
ottiere avec la Duse vieillie, et l’exhibition de ses lettres d’amour
publiées
en 1908 dans les journaux italiens ne lui a pas a
torique en 7 tableaux, de M. Ivan Gilkin, le poète dont vous venez de
publier
l’admirable Nuit. Cette représentation aura lieu
ion : « Qu’est-ce que la Camorra ? » dans un fort curieux travail que
publie
La Revue (1er juillet). Nous lui empruntons les a
, Hérelle tr., Hachette, Paris Les éditeurs parisiens continuent à
publier
un grand nombre de traductions d’écrivains italie
gravures, Hachette, 12 fr.) La collection des Classiques de l’Art
publiée
en France par la maison Hachette vient de s’enric
Valery Larbaud, 1,50, V. Beaumont M. Valery Larbaud a entrepris de
publier
une « Nouvelle Collection Britannique » et il déb
Auguste Cordier et par celui-ci à M. Stryienski. M. Adolphe Paupe en
publie
, dans l’Amateur d’autographes, le catalogue descr
de cet écrivain, telle qu’elle l’exprima dans une sorte de manifeste
publié
par le Figaro sur le Théâtre de la Femme, c’est q
justement les Humanistes qui opèrent la recension des textes, ou qui
publient
des éditions critiques, non seulement de l’œuvre
iales que sous le titre l’Italie contemporaine M. Henri Joly vient de
publier
. L’Italie est, après l’Allemagne, et peut-être mê
ons, nous apprend la notice placée en tête du beau catalogue illustré
publié
à cette occasion par M. Paul Vitry, à qui la vill
e de voir. Cependant, l’on a pu relever, dans des documents récemment
publiés
sur Crispi, certains indices d’intrigues « muratt
1911, p. 644-649 [647-648]. La luxueuse Zeitschrift für Bücherfreunde
publie
dans deux fascicules (n° 7 et n° 8) des documents
éditeur. Que seraient devenus les célèbres Mémoires s’ils avaient été
publiés
en pleine Révolution et ne devons-nous pas nous f
our louer l’extrême finesse de la note que M. Guillaume Apollinaire a
publiée
sur les Futuristes dans le Mercure du 15 novembre
is, 1850, p. 119-125. Communication de M. Marcel Canat. 14. Prologue
publié
par l’Illustration du 20 mai 1911, p. 404. 15. P
juin 1911. Le ms. 12539 du fonds français est apparenté au manuscrit
publié
par Rabut qui est aussi entré récemment à la Nati
u par M. Waltzing. 20. Mes citations sont toutes empruntées au texte
publié
par l’Illustration théâtrale, 27 mai 1911, celui
le procédé du créateur. Il lit le nom de ce personnage dans une liste
publiée
par Jubinal, Mystères inédits du xv siècle, t. II
e étude du Dr F. Helme, dans le Temps du 16 septembre. 58. Interview
publiée
par le Temps (n° du 4 septembre). 59. N° du 29 s
Schneider, après un travail qui fut très goûté sur l’Ombrie, vient de
publier
à propos de Rome, je dirais volontiers : c’est un
Deux érudits de valeur, MM. Paul Perdrizet et René Jean, viennent de
publier
un travail très précieux sur la Galerie Campana e
i ont présidé à cette oeuvre néfaste ne se sont pas donné la peine de
publier
des états de répartition avec renvois au catalogu
and homme vint jamais au monde. » Et depuis que M. Gabriel Séailles a
publié
sa remarquable étude non seulement sur l’artiste,
salut et la diffusion des ouvrages, ces cahiers inestimables ont été
publiés
en fac-similés. M. Ravaisson commença en 1880 à d
irs sur Nietzsche, encore inédit, mais dont quelques extraits ont été
publiés
, raconte qu’étant à Sorrente, où séjournait le ph
te interrogative parue précisément dans l’Intermédiaire vers 1867. Il
publia
, sur ma demande, dans le Livre (année 1881), 4 ar
partage ; ceux écrits en italiens furent le lot de M. d’Ancona. J’en
publiai
une grande partie dans ma Revue le Livre en 1887
: L’Estuario delle Ombre, C. Trinchera, Messine M. Giuseppe Rino
publie
L’Estuario delle ombre (L’Estuaire des ombres). C
. de Poesia, Milan Aux mêmes éditions de Poesia, M. Emilio Zanette
publie
son étude critique sur M. Giovanni Pascoli. Le gr
ues mois, le 15 juillet dernier, La Revue (Ancienne Revue des Revues)
publia
une longue étude de M. Niceforo : la Race des Pau
ourra s’étonner du feu que je te porte, Et qui me blâmera de l’avoir
publié
? Bien qu’aux pierres jamais ne loge la Pitié,
o 257, 1er mars 1908, p. 134-140 [135-136]. Le Journal de Desaix, que
publie
M. A. Chuquet, a trait au voyage que le général f
er mars 1908, p. 159-166 [165] […] L’Arundel Club de Londres vient de
publier
son quatrième portefeuille annuel. Cette Société
ourmont]. Tome LXXII, numéro 258, 16 mars 1908, p. 343-344 [341]. On
publie
la troisième ou quatrième édition définitive des
de Notre-Dame par l’imposition blanchâtre d’un mauvais Goldoni. On y
publie
de bons et de mauvais livres de documentation ita
allu de peu qu’un grand nombre aient disparu sans pouvoir jamais être
publiés
! Rossetti vivait à l’écart de tout groupement, i
ive. Un essai de traduction française, par Mme Clémence Couve, en fut
publié
, en 1887, chez l’éditeur Lemerre. C’est la Maison
ie, E. Sansot et Cie, 3 fr. Chez Sansot et Cie, M. Gabriel Faure a
publié
Heures d’Ombrie, un délicieux volume d’impression
méro 264, 16 juin 1908, p. 702-707 [707]. […] La librairie Hachette a
publié
une réédition très augmentée et remaniée du curie
eux ouvrage, Psicologia e Spiritismo, — le professeur Enrico Morselli
publie
le compte-rendu détaillé de vingt-huit séances do
nes a revu, — il ne nous dit pas si c’est dans cette traduction, — et
publié
à part la portion de ces Mémoires qui s’étend de
ce travail, écrit avec soin et goût, est un des plus précieux manuels
publiés
jusqu’ici sur ce sujet. Voici du reste un exemple
e Toute autre est l’inspiration lyrique de M. Peppino Carnesi, qui
publie
I Canti dell’Agonia. Le vers libre de ce poète co
rennent. M. Fausto Torrefranco, ainsi que M. Ildebrando Pizzetti, qui
publie
dans la même Revue une très importante étude sur
En même temps que son poème, la Ville charnelle, M. F. T. Marinetti
publie
un livre de critique : Les Dieux s’en vont, d’Ann
x, mais, avec une charité plus forte que le souci de sa gloire, il ne
publie
pas sa découverte, il juge qu’étant prématurée el
mbre 1908, p. 359-368 [359-360]. Cher Monsieur, La lettre de M. Dumur
publiée
dans les Échos du dernier Mercure ramène à une qu
, auteur déjà d’un important ouvrage sur la Villa Impériale de Tibur,
publie
sur le même sujet la Villa d’Hadrien, près de Tiv
rt qui s’intitule Monashefte für Kunstwissenschaft (septembre) et qui
publie
une « édition pour la France » rédigée par M. Mey
méro 274, 16 novembre 1908, p. 328-334 [334]0 […] Poesia (septembre)
publie
la suite du courrier personnel de son directeur e
asari, et s’est en réalité appelé Antonio. Les documents retrouvés et
publiés
dans les Atti del R. Instituto veneto di scienze,
à nouveau en 1445 et 1446. Ces documents, joints à ceux précédemment
publiés
par M. Venturi, vont permettre de reconstituer à
s, et il est à souhaiter qu’un nouvel ouvrage d’ensemble soit bientôt
publié
sur l’artiste. Échos. Nietzsche et la Renaissa
poète italien. La presse quotidienne a annoncé l’opuscule, comme elle
publie
l’adresse du lapidaire qui achète au plus haut pr
s personnes dans la gêne. Quelques revues désintéressées ont pourtant
publié
le titre de cet ouvrage et commenté sa matière av
ans un joli livre, sur les Préraphaélites et l’Art décoratif anglais,
publié
à Bruxelles en 1894, par M. Olivier-Georges Destr
e, un poète de talent, guère sorti encore des limbes, M. Rapisardi, a
publié
une contrepartie de l’ode de Carducci, intitulée
donyme de Mario Zocaro, dont la maison Franchini, de Vérone, vient de
publier
les Poesie scelte. La Cronaca d’Arte résume, en
me italien — ou, selon la manière de dire de là-bas, du vérisme. Il a
publié
Giacinta, un roman brutal et palpitant que l’on a
l’Innocente : « Comme œuvre d’art pure, c’est un des meilleurs livres
publiés
en Italie ; la forme est merveilleuse par la clar
iée de M. Rod et le manuel d’anthropologie préhistorique que M. Rosny
publia
(en collaboration avec Louis Figuier et Camille F
te, avec son Giobbe, éveillait la curiosité et la contradiction. Il a
publié
, depuis, bien des vers, sans atteindre à la céléb
ier 1902, p. 280-284 [284]. Sous ce titre, la revue italienne Flegrea
publiait
dernièrement, en français, un remarquable article
spectateurs. J’ai lu ce drame dans une livraison de La Lettura qui le
publiait
il y a quelques mois ; on dirait que cette œuvre
81. Ugo Ojetti : Le vie del peccato Mon ami Ugo Ojetti vient de
publier
un recueil de nouvelles : Les Voies du péché, qui
pour la première fois dans ces humbles chroniques, M. Silvagni a déjà
publié
en 1895 un tableau historique complet sur Napoléo
revues, la Rassegna Internazionale (dont une des dernières livraisons
publiait
ce charmant lever de rideau de Giannino Antona-Tr
éro 154, octobre 1902, p. 199-204 [199-201]. Les poètes, d’ordinaire,
publient
d’abord de petites chansons en de minces plaquett
prit pour en faire une Carmélite ; or le récit de sa conversion, déjà
publié
par Laplace, a les mêmes accents réalistes qu’En
es et réfléchies. Sa méditation gagne à son isolement. Aujourd’hui il
publie
un volume : Le Sentiment de l’art et sa formation
était intéressé aux choses de l’art et à leur histoire, et avait déjà
publié
d’intéressantes monographies dans la Revue d’Alsa
Vatican ; travailleur acharné, il ne parut tout d’abord pas pressé de
publier
, mais on put apprécier le résultat de ses patient
ue vous prétendiez pourtant avoir données à une jeune fille, et les a
publiées
. Ce rusé Ravà a intitulé sa publication : Lettres
a vie écrit une seule lettre de femme. Ravà, dans son ouvrage, a donc
publié
, en réalité, plutôt des lettres écrites à vous pa
il y a vingt ans, et, ne me doutant pas qu’il m’arriverait un jour de
publier
, l’ai donnée, pensant avoir l’évasion dans les Mé
e-Caroline, reine de Naples et de Sicile, avec le marquis de Gallo »,
publiée
par le commandant Weil et le marquis de Somma-Cir
éro 374, 16 janvier 1913, p. 393-402 [395-396]. L’Olivier (décembre)
publie
ces deux beaux sonnets inédits du poète Louis Le
Hekler : Portraits antiques, Hachette, 40 fr. Le très beau volume
publié
par la librairie Hachette, Portraits antiques, —
ite et vaine « Académie de la Crusca » florentine, qui l’autorisent à
publier
son livre. Mais que de force, que de poésie sugge
de Marie-Caroline, reine des Deux-Siciles, avec le marquis de Gallo,
publiée
et annotée par M. le Commandant Weil. […] Les
ent le Louvre et le British Museum. Les dessins du Louvre avaient été
publiés
les premiers, — quoique le volume portât le n° 11
379, 1er avril 1913, p. 658-661 [660]. La revue italienne, la Voce, a
publié
, il n’y a pas longtemps, quelques curieux renseig
ements sur un livre bien singulier. C’est le Dizionario psyco-mystico
publié
par M. Nigro-Lico (Bologne, Soc. lib. Mareggiani,
ement et de façon inexplicable parle billet de rupture que Casanova a
publié
lui-même dans ses Mémoires. Mais ce billet, on es
éparée pour le recevoir. Son volume de vers Canto Novo (il avait déjà
publié
à seize ans un volume Primo Vere) l’imposa à l’ad
ette exposition comme du beau livre aux nombreuses reproductions qu’a
publié
récemment M. Ghiglia, se dégage un bon artiste, s
ne nous fait là aucune révélation. Le Mercure de France a signalé et
publié
en partie ces lettres il y a bientôt dix ans. Dan
iocre. Carducci racontait que l’ambition de sa quinzième année fut de
publier
un sonnet dans un Almanach poétique, et à dix-hui
les partis, des témoins qui m’ont donné la clef de certains faits non
publiés
encore et des éclaircissements sur des événements
hiques et théologiques sur lesquelles se base la Divine Comédie et il
publie
, à présent, en un substantiel volume, les données
, analysé déjà ici même à propos d’une édition française qui en a été
publiée
, mérite cependant qu’on s’y arrête encore un mome
aton M., dont il est question au chapitre iii des Mémoires et dont il
publie
des lettres datées de Vienne en 1789. On conviend
la vie de Louis I, duc d’Orléans, et de Valentine Visconti, sa femme,
publiées
par M. F. Graves, Honoré Champion, 7 fr. 50 [extr
étiqueté par lui : Casanova à Paris, du fatras posthume primitivement
publié
en 10 volumes à « Leipsick ». Se souvient-on que
urs célèbres, premier ouvrage de la collection Le Trésor du Tourisme,
publiée
sous la direction de M. Christian Beck : Le Piémo
Je mets de côté les isolés, dont je parlerai au fur et mesure qu’ils
publieront
quelque chose de remarquable, et je me bornerai à
une) et son œuvre se résume dans un petit recueil de poèmes. Il avait
publié
de son vivant le Piccolo Libro Inutile, que ses a
Cubisme, édité par la Voce, a été enlevé en quelques semaines). Il a
publié
aussi un excellent essai sur Rimbaud, qu’on pourr
même en France. M. Prezzolini, l’actif directeur de la Voce, vient de
publier
(chez Treves, à Milan) un gros livre, très rensei
de Casanova, dont les originaux se trouvent à Dux sont, tour à tour,
publiés
, annotés pour la plus grande gloire de notre aven
ou de Rozez, par exemple, et surtout l’édition qui fut originairement
publiée
en allemand, traduction de G. de Schutz, et qui p
ess le mérite d’avoir été bon prophète, puisque, dans cette brochure,
publiée
avant le conflit balkanique, il prédisait et appe
Mercure de France du 16 octobre 1907. M. Charles Benoist n’a-t-il pas
publié
la suite de cette œuvre ? 76. Il y a quelques an
uite de cette œuvre ? 76. Il y a quelques années, M. Giovanni Papini
publia
dans le Leonardo un article sur la nécessité de m
ps qu’il faisait son Cours du Collège de France, M. Guglielmo Ferrero
publiait
le t. IV de son histoire romaine : Antoine et Clé
janvier 1907, p. 143-147 [146-147]. Poesia (juillet-août-septembre)
publie
parmi tant de poèmes excellents, meilleurs et pir
a même collection, celle des Maîtres de l’Art, M. L. Gielli, vient de
publier
un ouvrage sur Giovann-Antonio Bazzi, dit le Sodo
s lors déjà arrangée ainsi qu’il devait l’écrire en 1788, quand il la
publia
, et il n’y a certainement rien changé. A-t-il pén
onnu, qui s’est particulièrement occupé de Luini, M. Luca Beltrami, a
publié
une jolie et savante brochure5 qui retrace en dét
choses les plus simples et que des écrivains qui passent pour sérieux
publient
des articles à seule fin de prouver que la Tripol
it et, d’autre part, il suffit de jeter un coup d’œil sur les travaux
publiés
par les jeunes gens pour se convaincre que la man
g cesserait de couler ; les boutiques restaient fermées, les services
publies
étaient interrompus ; à Milan, les journaux mêmes
o ed altri saggi. G. Laterza. Bari. — V. Gioberti : Nuova protologia (
publiée
par G. Gentile). G. Laterza. Bari. — G. B. Vico :
a. Bari. — G. B. Vico : L’Autobiografia, il carteggio e poesie varie (
publiés
par B. Croce). G. Laterza. Bari. Échos. À pro
s quelque chose ? Je pense, Monsieur, que vous aurez la courtoisie de
publier
cette réponse à M. Mesnil, qui, estimant qu’il n’
eur dont la somme de travail étonne quand on a en mains le livre qu’a
publié
, sur son œuvre son ami le Dr Dufay. Une fois sa r
nfrères, a-t-il été poli : je dirai tantôt quelques mots de sa lettre
publiée
dans le Mercure du 1er avril. Mais je tiens à att
s recherches d’archives sur l’histoire de l’art, recherches dont j’ai
publié
les résultats dans une revue florentine ! Mais ce
t un recueil de poésies inconnues sur la mort de Louis XVI, dont il a
publié
quelques curieux fragments dans le journal littér
ns de l’empereur Joseph II, dédiées à Monsieur le Duc de Choiseul, et
publiées
à Londres par l’auteur après la mort de Louis XVI
es pays lointains, et qu’on appelle : émigration, l’écrivain toscan a
publié
ce volume le Vouloir de l’Italie, qui contient l’
rtante. La partie la plus intéressante est la suivante, où l’écrivain
publie
des impressions et des aperçus fort nombreux sur
édiocre et braillarde continue à émouvoir… les grands éditeurs qui la
publient
. On vient de donner la traduction d’un autre roma
infécond que les précédents, de Mme Grazia Deledda. Et l’on vient de
publier
le Songe d’une nuit d’amour, de la directrice d’u
avoir avec M. Gabriel d’Annunzio ? Le 24 mai, les journaux quotidiens
publiaient
l’information suivante : Une grande première lit
urement symbolique. Croyez, etc… Quelques jours plus tard, le Figaro
publiait
une note résumant une lettre de M. d’Annunzio où
e maternelle, l’anglais ; douée d’un esprit élevé et poétique, elle a
publié
plusieurs ouvrages. « C’est, écrit-elle, au mois
Deux-Siciles : « Lettres inédites au marquis de Gallo (1789-1806) »,
publiées
par M. le commandant Weil (suite). […] Les Rev
Monsieur le Directeur, M. Ricciotto Canudo fait savoir, par une note
publiée
dans le dernier numéro du Mercure de France, qu’i
pondre à cette invite, un peu malicieuse, semble-t-il, que M. Guède a
publié
dans le Mercure des 1er et 16 janvier dernier, de
on de la Fuite imprimée à Prague sous la surveillance de Casanova, et
publiée
à Leipsick en 1788. C’est la seule qui puisse êtr
e n’est pas vrai. (Notons qu’Andreoli vivait encore lorsque Casanova
publiait
son récit en 1788.) Ainsi que l’événement l’a pro
que M. d’Annunzio trouve maintenant parfait le recueil de ses poèmes
publié
en français par les soins de M. Hérelle, dont il
tante et libre penseur, un écrivain catholique. M. Teodor de Wyzewa a
publié
la traduction de son Saint François d’Assise et d
iration catholique de M. Johannes Jœrgensen, avant sa conversion, fut
publié
en 1895. C’est le Livre de la route, dont M. Teod
des Deux-Siciles : Lettres inédites au marquis de Gallo (1789-1806),
publiées
et annotées par M. le commandant Weil (suite). […
end cependant et partage l’idéal des poètes de Milan. M. Oreste Raule
publie
une Tearchia, des vers sacrés, en terza-rima, don
s 1848, année où je lus les Mémoires pour la première fois ? Quand je
publiai
ma trouvaille, en 1894, je n’avais encore lu que
ui sont d’une notation beaucoup plus facile. 40. Montaigne, Journal,
publié
par Louis Lautrey, 1909, p. 164. 41. Montaigne,
étant atténuées, la Tribuna, journal fortement teinté dé neutralisme,
publia
le 10 septembre un article anonyme que l’on sut b
à l’ombre, on fomente la discorde. Le Giornale d’Italia du 9 décembre
publie
en effet, en éditorial, un « Appel aux honnêtes g
imitations de son grand ami de famille, Giosuè Carducci. Quand il les
publia
, il les intitula en latin Scruta obsoleta (défroq
eptembre 1916, p. 329-333 [329-330]. M. Gabriel Faure a toujours aimé
publier
des volumes où il n’y a pas beaucoup de papier. C
nemi. Son Esame di Coscienza d’un letterato (Milano, Treves), qui fut
publié
pour la première fois dans la Voce, avant la décl
temps la littérature française l’attirait de plus en plus ; il avait
publié
un Remerciement pour une ballade de Paul Fort ; i
nzini est de beaucoup plus âgé — il est né en 1864 — et il a beaucoup
publié
, mais il a été découvert par la critique seulemen
en 1895 avec un petit livre sur l’évolution de Carducci ; depuis il a
publié
des recueils de nouvelles (Piccole Storie del Mon
rre par pierre, à l’ennemi. Il Mio Carso (Firenze, La Voce) dont on a
publié
une deuxième édition après sa mort, était une esp
us et monochrome, il est le plus grand de nos poètes naturistes. Il a
publié
aussi un curieux album de Rarefazioni (Milano, Po
t Nicola Moscardelli qui, après la Veglia et l’Abbeveratoio, vient de
publier
son troisième recueil de poésies (Tatuaggi, Firen
omme point de mire de leur propagande contre les Alliés. Ils ont même
publié
un timbre commémoratif de la guerre, sur lequel e
2-740 [732]. La section photographique de guerre de l’armée italienne
publie
un album d’un puissant intérêt documentaire intit
te discussion de M. Salomon Reinach dans le Courrier de l’art antique
publié
dans le numéro de juin 1916 de la Gazette des Bea
pini : Il Pilota cieco, R. Ricciardo, Naples Le même éditeur qui a
publié
le livre de M. Angelo Conti, Ricciardi, de Naples
Memento M. Gaetano de Sanctis, professeur à la Faculté de Turin, a
publié
à la Bibliothèque des Sciences Modernes de Bocca
plu à étudier l’amour en philosophe et en artiste. Il y a deux ans il
publiait
un gros volume, l’Amore (Milan, Galli édit.), que
nnaisseur. Mais avec les paralipomènes, que la maison Treves vient de
publier
, l’auteur continue ses causeries philosophiques s
veut, et Manzoni avait la simplicité du génie. M. Fogazzaro vient de
publier
ses poésies (Poesie Scelte, Milan, Galli edit.),
vant de partir pour l’Égypte dans un voyage d’études et d’agrément, a
publié
son roman, Il Vecchio (Milan, Galli). Je crois qu
par y rester. La cause était futile, sans doute : une dépêche de Rome
publiée
dans la Gazzetta di Venezia, que le comte Macola
zzettino Rosa, est demeuré célèbre pour les articles que Cavallotti y
publiait
en 1867 en attaquant tout et tous, en faisait un
et avec un enthousiasme quasiment inutile, selon qu’il appert du tome
publié
chez Flammarion : Douze ans en Abyssinie, souveni
dociles à ces idées, avaient en outre, par l’examen des ouvrages déjà
publiés
, confirmé encore leurs hostiles préventions ; une
torio Bersezio, parfaitement négligeables. Rééditions de vieux contes
publiés
jadis, bien jadis, dans les journaux littéraires.
vénitien J. Casanova de Seingalt Extraits de ses mémoires originaux
publiés
en Allemagne par G. de Schutz PARIS Tournachon-M
oral), l’avertissement se termine par un : N. B. — Un onzième volume,
publié
en Allemagne depuis l’impression de cet avis, nou
urait pas encore les Mémoires de Casanova puisque Brockhaus, avant de
publier
ce manuscrit, l’avait fait retoucher par le profe
uova ediz. Florence. Le Monnier, 1887-88. Dans cette nouvelle édition
publiée
plus de vingt-cinq ans après la 1re, l’A. a simpl
. On trouvera un résumé de ces documents (dont les principaux ont été
publiés
Alex. Gherardi (Nuovi e studi intorno a Gir. Savo
(frère de S. Botticelli), dont on a retrouvé récemment des fragments (
publiés
par P. Villari et E. Casanova : Scelta dì perdich
cle qu’on rendit au dernier toute la faveur qu’il méritait. Lorsqu’il
publia
cet Essai sur la poésie épique, qu’il présente co
le Dictionnaire philosophique : « Il est très vrai que le pape Léon X
publia
une bulle en faveur de l’Orlando furioso, et décl
t L’éditeur Zanichelli, l’éditeur de Carducci, à Bologne, vient de
publier
le dernier volume de poèmes de M. Giuseppe Lippar
reur Judiciaire, bien que son exécution remonte à 1891. M. Marescotti
publie
une reproduction de cette statue, accompagnée d’u
Gourmont, dont les Revues artistiques et littéraires françaises qu’il
publie
trop rarement dans Flegrea ont une personnalité e
es par M. Verdinois, il a fait saisir les éditions et les traductions
publiées
sans approbation de l’auteur. Le tort est de son
la question des rapports entre le génie et la folie : dans l’édition
publiée
en 1889, il se range parmi ceux qui soutiennent q
a belle Vie de Saint François d’Assise que M. Sabatier a eu l’idée de
publier
les pièces d’un procès (de canonisation) dont tou
borieusement conquis par trente ans d’un dur labeur. Lamartine, ayant
publié
les Méditations, désira voir l’Italie ; on le nom
t l’interprète de ce sentiment général avec une lettre à son confrère
publiée
par la Nuova Antologia. Si M. d’Annunzio daigne p
Annunzio. Quant à Giovanni Pascoli, son Hymne funèbre au roi Humbert,
publié
dans le Marzocco de Florence, est une vision haut
Mario Morasso qui, objectant à quelques observations que E. A. Butti
publiait
dans la Nuova Antologia de Rome, expose avec prof
naît le Journal de Stendhal, exhumé de la Bibliothèque de Grenoble et
publié
en 1888 par M. Casimir Stryienski, avec une préfa
pour venir en aide à « un poète qui souffre », et dont le journal qui
publia
l’appel généreux ne dit point le nom, on a réuni
éro 246, 15 septembre 1907, p. 175-179 [178]. […] M. Joseph Hofmiller
publie
une étude sur l’abbé Galiani. Dans une note il se
766-768 [767] La maison Brockhaus, de Leipzig, s’est enfin décidée à
publier
intégralement le texte original des Mémoires de C
07, p. 326-330 [326-327] La collection des « Villes d’art célèbres »,
publiée
par la librairie Laurens, s’est augmentée d’un vo
rtie en français, doit paraître tous les deux mois. Le premier numéro
publié
aux derniers jours de 1906 contient un exposé du
, il nous a semblé qu’il serait d’un haut intérêt de réunir, pour les
publier
dans le Mercure de France, les opinions d’un cert
argé de la correspondance parisienne. — La Gazetta Letteraria (Turin)
publie
un article sur le Régime moderne, de M. Taine. […
s de la peinture vénitienne un important ouvrage analogue à ceux déjà
publiés
par M. Fierens-Gevaert sur les primitifs flamands
n, antérieurement et postérieurement à 1901, que les deux psychiatres
publient
dans le dernier numéro (15 avril) des Archives d’
r à l’Italie la naissance d’un autre grand poète. Gabriele d’Annunzio
publiait
son Canto Novo. Les vieux soldats gouvernaient en
crivait un jour à Algarotti : Mais si notre excellent auteur Voulait
publier
sur nos belles Des mémoires un peu fidèles, Il pl
s la Fraternité du 13 février courant, une poésie, Baise-Main, que je
publiai
voilà six ans dans le Réveil du Quartier Latin (N
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