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1 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
és de guerre germaniques, le gouvernement italien, il est vrai, avait pris , dès la première heure, dans les villes les plus
aphies, publié récemment par la Gazette des Beaux-Arts 5, les mesures prises pour sauvegarder les œuvres d’art de la ville des
à Milan ont été déménagées. Depuis, de semblables précautions ont été prises à Florence : les statues de la Loggia dei Lanzi o
elais, est le grand maître ès arts et des mesures de toute sorte sont prises pour améliorer les conditions matérielles de la v
assurant d’un coup tous les combattants. Voilà d’excellentes mesures. Prises il y a un an, elles auraient probablement empêché
ès l’instant que les troupes qui les occupaient ne les laissaient pas prendre … Mais c’est toujours à la mentalité un peu simpli
tait le dernier effort qu’on réclamait d’eux et que, le plateau étant pris , la guerre serait finie. L’ennemi était admirable
rands ordonnateurs de cette nouvelle straf-expédition, comptaient les prendre à coup sûr, une fois la brèche ouverte, d’un ou p
e de s’emparer d’une hauteur voisine. Toutes les dispositions étaient prises en vue de l’attaque. Garibaldi allait donner dans
accepter une diversion en Albanie avec un corps de 3.000 volontaires, prirent simplement leur poste de combat dans les Alpes, c
Lorsqu’ils s’avancent pour se battre, les hommes crient, gesticulent, prennent la pose héroïque ; les officiers se découvrent po
turalisation des immigrés italiens, au cas où le gouvernement italien prendrait pour politique de l’empêcher. Si ces colonies dev
n, aux lignes tourmentées et aux déchirures profondes, que la lutte a pris un caractère tragique par la violence et l’obstin
asquées par les rideaux de montagnes. Le recul que ces opérations ont pris aujourd’hui dans le temps est assez grand pour en
uvrage permanent, dont la mission était d’interdire à l’adversaire de prendre à revers les hauteurs de la Meletta. Le Longara e
oupes italiennes, qui barraient le Val Gardena et se trouvaient ainsi prises en tête et en queue par l’ennemi, à se retirer. L
loppement, en suivant la Piave plus au sud. Le 20 elles réussissent à prendre pied sur le Tomba et le Monfenera, les deux ramea
tie du théâtre de la lutte, Mais le 4, d’autres troupes autrichiennes prennent l’offensive sur le plateau des Sept-Communes. Un
Oui, mais qui nous prouve que M. Giolitti ne désire pas voir l’Italie prendre l’initiative de celle paix générale qu’en ce mome
ous répond : Paris, le 17 février 1918. Cher Monsieur Vallette, J’ai pris connaissance de la longue lettre que vient de vou
’ai point recherché les responsabilités d’une façon unilatérale. J’ai pris la peine de lire les deux très intéressants artic
e Cantù. Une cousine du Kaiser à Rome Malgré toutes les mesures prises en Italie à l’égard des sujets ennemis, une cousi
ges précieux qui s’y trouvaient encore, malgré les sages dispositions prises précédemment, et qu’il était encore possible de t
agne n’ont pas été corrigés par la mésaventure du fameux von Bode qui prit pour une œuvre de Léonard un buste en cire du xix
oulut pas avouer son erreur. Les Allemands n’avoueront pas qu’ils ont pris une médiocre copie pour une œuvre authentique du
quafrescaio, c’est-à-dire marchand de rafraîchissements ; en 1745, il prit enfin le nom de Caffè del Veneziano. Selva, dans
plutôt par suite de son trop de prudence, en un point il s’est laissé prendre en flagrant délit d’insinuation malveillante. C’e
luencer. J’estime que les peuples comme les individus ont le droit de prendre par eux-mêmes leurs déterminations. Je ne suis pa
ourut de douleur, bien que Vasari dise qu’il mourut d’un échauffement pris pendant la fusion. Alexandre Leopardi vénitien, q
nt des détails sur la situation militaire de ce côté ; mais en allant prendre son poste de combat, il eut un nouvel accident ;
dus malveillants. Il m’a suffi de lui répondre pour que M. Mesnil ait pris des airs de grand persécuté, criant à la calomnie
droit de le faire ceux qui souffrent, qui sont dans la tranchée, qui prennent leur part du grand martyre. Mais on n’a pas le dr
se donner pour chef un kaiser. Charles de Lorraine n’aurait qu’à s’en prendre à lui-même ; il s’est jeté au cou de Guillaume po
t compter sur une majorité sûre. C’est donc une force organisée qui a pris grande importance dans la vie politique italienne
tion qui est d’accord avec l’ennemi, une organisation allemande qui a pris un faux nom italien, a fonctionné comme pompe asp
politique qu’il fallait défendre. Lorsque le Messaggero essaie de le prendre au mot, et de lui faire avouer que le moment est
il appartient au groupe de ces anciens neutralistes qui ont nettement pris leur parti des nécessités actuelles : et le peupl
en une période de mièvrerie pure et de décadence profonde. On n’a pas pris garde que les critiques qui avaient formulé cette
Milan Anselme rassembla la fleur de la noblesse lombarde l’incitant à prendre la croix et à crier : Ultreja ! Aujourd’hui Gabri
re vénitien de l’école du Giorgione. Sorti de cet enseignement, il se prit à imiter Raphaël, si bien que certaines de ses œu
un ermitage voisin, il voit une image de la Vierge toute rongée, et, pris d’une émotion subite, il repeint amoureusement la
rès de Rome, écrivait l’officieuse feuille viennoise, n’était, à tout prendre , qu’une comédie ; il faut pourtant en politique n
s à la passe étroite Plus de neuf mille Allemands. Les chiens avaient pris la montagne ; Mais ils furent jetés à bas Par les
nit par lui promettre qu’il serait pardonné au soldat dont elle avait pris momentanément la place. Tome CXXVIII, numéro
trois ans, elle parlait de la « position centrale que l’Italie devait prendre vis-à-vis des nationalités soumises à l’Autriche-
-Hongrie » (n° du 11 avril). D’autres journaux regrettaient qu’on eût pris si tard cette décision de s’entendre avec les You
uinaire, de même que ce petit juif de Hongrie qui fut à la guerre et, pris d’un grand enthousiasme, marcha de l’avant et au
hes de Casimiri détruisent les légendes qui montraient Palestrina aux prises avec la faim et vivant uniquement d’eau fraîche e
conquête ne s’est jamais spécialisée dans le métier des armes, mais a pris part à la vie du pays, collaborant à la formation
seulement la liberté, mais la vie des citoyens. Le peuple innocent et pris au dépourvu se trouva placé tout à coup sous le r
, cette Autriche, toujours soutenue par l’Allemagne, ne rêverait qu’à prendre sa revanche. Que feraient alors, nous le demandon
s petits sabots, y consent, mais seulement à condition que Flammen ne prenne possession de la toile que plus tard, lorsque ser
tion de la jeune fille, il renonce à son acquisition et, se bornant à prendre copie de la Madone, décide de rester à cet effet
ir si, avant la réouverture des classes, le Ministre à l’intention de prendre des mesures pour que soient éliminés les livres q
nir de suite contre les bacilles infectieux, des mesures doivent être prises avant la réouverture des classes. Il n’est pas, e
cci, directeur des Beaux-Arts d’Italie, sur les masures de protection prises dans les différentes villes du royaume, et sont i
2 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
ue passe au second plan, point d’histoire non plus : de simples notes prises au jour le jour, pleines de vie, de pittoresque,
t trop rapide, Verdi fit recommencer le morceau. L’orchestre alors le prit d’une lenteur démesurée. Le musicien, qui n’était
de trop gros appétits et ne cachent pas leur appréhension de les voir prendre en Méditerranée orientale une situation considéra
u reste ne songe à négliger les ambitions de nos alliés, à ne pas les prendre en considération, encore moins à les repousser en
n plus la forme de la concurrence économique. Les nations qui sauront prendre au lendemain de la guerre les meilleures position
, ce que nous venons de dire des Italiens et de l’Adriatique pourrait prendre quelque valeur aux yeux de nos alliés, et nous ne
le-même défaut2. Certes il serait illusoire d’espérer que nos ennemis prissent , au lendemain de leur défaite, celle attitude dev
ue le songe avait plus de valeur que la réalité ? Vous laisserez-vous prendre à la rude fascination de l’esprit germanique ? Ce
dre à la rude fascination de l’esprit germanique ? Certes, Arminius a pris un essor formidable, dans les cinquante dernières
r notre âme à sa vie intérieure et la mettre en face de l’action, aux prises avec la vie ; si nous devons lui demander non seu
ors de notre âme, mais l’ambiance dans laquelle nous vivons doit nous prendre et nous retenir par sa séduction, comme dans le p
premier reconstruit l’Univers pour une fin désintéressée, l’autre en prend des éléments pour atteindre un but déterminé qui
lité. — Les formes qui constituent notre reconstruction de l’objet ne prennent pas leur vie dans l’imagination ou dans la cultur
et la sensibilité, car, à mon avis, l’intelligence était en train de prendre une part trop exclusive et j’estime cela très nui
et les plus claires. En voulant combiner, en outre, l’espace visuel, pris à part, avec l’espace tactile, pris à part, on au
biner, en outre, l’espace visuel, pris à part, avec l’espace tactile, pris à part, on aurait 5 dimensions ; si on voulait y
e ordinaire n’ont jamais satisfait entièrement le désir du peintre de prendre possession du réel, et qu’il a eu toujours l’intu
, elles perdraient toute leur vitalité et leur valeur universelle, et prendraient la valeur descriptive de simples échantillons de
de nos réactions violentes d’il y a 7 ou 8 ans. Cette tendance semble prendre comme point de départ ce qui constitue justement
Machiavel », publié en même temps que l’Italie avançait en Albanie et prenait siège dans Jannina la Grecque, pourrait porter qu
nt toujours honorables, et seront loués de chacun. Car le vulgaire se prend toujours aux apparences, et ne juge que par l’évé
réer après la guerre une Université à Nice. Cette grande ville, qui a pris un développement rapide depuis vingt ans, est sen
ctoire. Souhaitons que les appétits de chacun de ses participants aux prises avec la formule traîtresse de la Paix sans annexi
les méthodes de combattre, des nouveaux procédés. La guerre moderne a pris des formes inattendues, dit l’auteur ; elle prése
rs des lois traditionnelles sur l’emploi des différentes armes ; elle prend des apparences étranges et réclame des tactiques
les armées avec des réseaux de fils de fer. La guerre de tranchées a pris naissance dans l’immobilité des deux adversaires,
servent à la fois à troubler l’eau et à faire croire que le bâtiment pris en chasse a été atteint par les projectiles et co
bannière de sa société. Maintenant qu’il est mort la municipalité va prendre possession de la bannière et de la caisse sociale
our le préserver du climat russe. Après huit ans de séjour en Russie, pris de nostalgie, Paesiello entreprit de revenir dans
oute à cela des extraits plus ou moins étendus de seulement 47 autres prises au hasard. M. Romain Rolland : La Vie de Michel-A
si cependant il voulait de l’argent comme tu me l’écris, il faudrait prendre celui de Florence, parce qu’ici je ne peux rien e
it, m’arriver une chose qui me perdrait. Pourtant je vous encourage à prendre patience pendant quelques mois, jusqu’à ce que je
l’écrire, et si d’ici quelque temps il ne change de conduite ou s’il prend à la maison ne fût-ce qu’un fétu ou fait une chos
iendrait mieux. Si tu y trouvais quelque chose de sûr, il faudrait le prendre et ne pas regarder à deux cents écus. Au sujet de
de marbres. Je suis si pressé à Rome pour mon travail34 qu’il me faut prendre de toute manière un parti. Voici ce que j’ai déci
e idée avec le Cardinal, et de me répondre bientôt pour que je puisse prendre un parti. Si cela ne s’arrange pas, je retournera
de me faire rendre raison de la façon suivante : le terrain que j’ai pris ne me suffit pas pour ce dont j’ai besoin, et le
ire donner une autre parcelle qui me dédommagerait de ce qu’ils m’ont pris en trop sur ce que j’ai acheté. S’ils avaient à m
aite en Italie. Depuis que j’ai écrit, les hommes de Pietrasanta, qui prennent à la carrière une certaine quantité de marbre dep
oi qui l’envoyais à la forge ! Il m’a servi comme tu le vois. Il faut prendre patience, je serai à Florence pour les fêtes et c
dats et même les officiers après une longue abstinence, ne sont pas à prendre avec des pincettes. Les troupes débarquent cepend
tice et de concorde de notre Révolution ; qu’il s’y soit, souvent mal pris et se soit donné les pires apparences, cela n’emp
, c’est-à-dire dans le même groupe de maisons. Conducere équivalait à prendre en location et locare à donner en location, d’où
es : Dans son bref du 28 octobre 1914, moins de deux mois après avoir pris possession de la tiare pontificale, bref adressé
senter les sacrifices auxquels ont dû se soumettre certaines régions. Prenons l’exemple du Midi italien, de ces provinces des P
ée qu’on s’en pouvait faire. Le dévouement à la lutte nationale les a pris tout entiers, alors qu’ils ne s’étaient intéressé
quefois par le Ministre des Affaires Étrangères. Les députés semblent prendre intérêt à la discussion de ces déclarations et à
inistère de guerre » était menacé. Non pas qu’ils eussent l’espoir de prendre sa place ; ils sentaient très bien que l’opinion
ement faire arriver au pouvoir quelques-uns des hommes n’ayant jamais pris nettement position et capables de se montrer plei
ncipaux ministres du ministère Orlando72 ? Et M. Orlando n’a-t-il pas pris comme sous-secrétaire d’État à l’intérieur M. Val
émocratie allemande. L’intervention américaine ne les a pas davantage pris au dépourvu. Une caricature de l’Avanti représent
l’aurait voulu ; influence heureusement contrebalancée par celle que prend de plus en plus le grand quotidien libéral milana
accusation, lancée par les journaux qui avaient voulu l’intervention, prit corps le jour où on découvrit qu’un des directeur
. À ce grief s’en ajoutait un autre, également grave : on n’avait pas pris de mesures assez énergiques pour enrayer la crise
nt de vue politique. Les socialistes « officiels » avaient violemment pris à partie le ministre Bissolati, coupable d’avoir
s la presse ; — et le même calme. Les divers partis ont tout de suite pris position. Dans les journaux milanais et romains,
peu près à mi-distance de l’un à l’autre ; cette aile se trouvait aux prises avec des forces italiennes, retranchées entre les
ande partie de professionnels ou de vétérans, que des troupes fussent prises d’une panique irraisonnée. Je crois qu’il a toujo
3 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
comme s’ils étaient de simples « chiffons de papier ». L’Italie avait pris des engagements, elle était liée par sa signature
devoir national et des obligations que lui créaient les traités. Elle prit la décision de rester neutre, et cette décision,
ance de cause, il faudra reconnaître que, dans un conflit qui met aux prises les puissances militaires les plus formidables du
agir sans elle, la tenir dans l’ignorance de ce qui se tramait, et la prendre à un moment où elle ne pourrait se tourner contre
de leur pays. Il reste entendu que, le jour où l’Italie jugera devoir prendre sa part de cette guerre, il n’y aura, des Alpes à
un ennemi, n’offrent aucune garantie. À l’heure actuelle, l’Allemagne prend grand soin de dissimuler sa haine pour l’alliée d
urner ses sympathies ailleurs que vers les Alliés, serait entraînée à prendre une part active à la guerre en Orient, pour être
re. La vie du pays les exclut. Après avoir défoncé des forteresses et pris des villes, ils sont arrivés sur le seuil de l’in
ermina un certain flottement dans la mobilisation des idées. On était pris à l’improviste. Que dire ? que penser ? Instincts
conflit. Il y eut de ci de là de fausses manœuvres. On vit un journal prendre le parti de l’Autriche et revirer 24 heures après
taient nombreux et influents : on ne pouvait douter de l’attitude que prendraient des journaux comme le Secolo, des hommes comme Pr
nfluencer par personne, elle connaît le monde, elle est majeure. Elle prend l’attitude crâne de l’adolescent qui entre dans l
talie que l’activité éditoriale est la plus grande. C’est le Nord qui prend d’ailleurs à la guerre l’intérêt le plus vif et q
l’intérêt commun de ces deux nations est de s’opposer à ce qu’un État prenne sur les autres une hégémonie politique en Europe,
devenue officiellement l’amie de la France, les Français ne sauraient prendre de mauvaise part que les Italiens leur signalent
pas la faculté de saisir la psychologie des peuples qui l’entourent. Prenez ses auteurs de voyages et vous verrez avec quelle
e qui arrivera après la guerre. Si en politique il est nécessaire de prendre dès aujourd’hui ses précautions contre l’exploita
le qu’il y a à la maintenir en ce moment, où il arrive aisément qu’on prenne pour un manque de patriotisme ce rappel des valeu
pide que je connaisse, à Guglielmo Ferrero, qui, dans le Secolo, s’en prend à Hegel et retrace l’histoire de l’Hégélianisme e
e de loin — c’est-à-dire sous des couleurs romanesques et exagérées — prend un caractère si exclusif qu’il les empêche de rie
iment de guerre et non d’industrie politique. Il faut donc que chacun prenne ses positions comme le lui imposent la logique et
n en Grèce et a perdu son temps en négociations dilatoires au lieu de prendre des mesures en vue d’une action que les circonsta
dire… Autre lettre, même accent : Cher frère, aujourd’hui Dandolo a pris l’habit militaire. Si tu l’avais vu pleurer, il f
ans refuge, souffrant la faim. Une mère jette ce cri poignant : « On prend toutes mes chairs » (tous mes enfants). Il y a de
4 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
lus de jour. Pour ce faire, nous pensons que le meilleur moyen est de prendre le récit ligne à ligne, de faire comparaître l’in
uement. En 1591, Charles de Guise, enfermé au château de Tours, avait pris jour, le 15 août, avec Claude de la Chastre et av
n lit ». Remarque. — Tout individu enfermé pour une longue détention prend pour premier soin de se faire un calendrier ; pui
ave que très peu de temps, aussitôt qu’au péril de mes jours j’aurais pris le parti de faire cesser ma détention. Je savais
Casanova s’empare du verrou un beau matin : Dès que je fus seul, je pris le morceau de marbre noir, et je reconnus bientôt
ne fois de plus la complicité ; mais ce qui vise Casanova, et le fait prendre en flagrant délit de mensonge, c’est la phrase su
toit couvert de lames de plomb glissantes, sur lequel il ne pourrait prendre pied ! C’est se jouer beaucoup de la crédulité du
thode déjà démontrée impossible. Ils se consultent sur « les moyens à prendre pour entrer dans la lucarne et pénétrer dans le g
llaient, et chacun sait que le plâtre, une fois délayé, se solidifie, prend , comme disent les hommes du métier, et que, pour
nd, on aurait le droit de compter 2 mètres. Nous nous contenterons de prendre pour mesure la plus petite longueur de toutes les
jusqu’à la poitrine, ne se soutenant que par ses deux coudes ; il est pris d’une crampe dont, immobile, il attend la fin, et
mouvements qu’il décrit. Ensuite, c’est que, dès que son parti était pris d’émotionner son lecteur par des situations drama
moine m’aidait autant qu’il pouvait avec le gros poinçon que j’avais pris sur le bureau. Objection. — Casanova qui, en fo
sonne qui me poussât, comme j’avais poussé le moine, je lui dis de me prendre à bras-le-corps et de m’attirer à lui sans s’arrê
s avons à opposer au récit de l’auteur, après l’avoir, à chaque page, pris en flagrant délit de mensonge, après avoir prouvé
e. Pendant son voyage en France, il avait été initié à Lyon, et avait pris les grades de compagnon et de maître à Paris. Dan
nce réside dans le grade de Maître et que les grades qu’on lui a fait prendre plug tard ne sont que des grades de parade… Toute
les détails heure par heure, sans qu’il ait tenu un Journal. Il a dû prendre cette habitude de bonne heure. Son gardien lui pe
yons cette suite d’hypothèses. L’hypothèse géologique, d’abord. Si je prends au pied de la lettre cette hypothèse, l’Empire Ro
o Franco Barreto est plus scrupuleux, mais pas beaucoup plus ; Dryden prend les proues et les poupes pour les navires eux-mêm
dstein, où le vieux coureur de femmes, l’aventurier cosmopolite avait pris sa retraite, où il vécut quatorze années consécut
a lutte qui s’y passe, ou bien, comme dans les portraits de Severini, prennent l’aspect de simples mosaïques de tons clairs amén
e nos jours ; au fur et à mesure de leur développement, la richesse y prenait de plus en plus l’importance prédominante et les
orieux représentants, rien ne les tourmenta autant que de ne pas être pris au sérieux par le reste de l’Europe, et quand ils
urante que la discipline y fait défaut et que les études n’y sont pas prises au sérieux. L’absence de discipline imposée que l
r davantage à son sujet le monde d’affairistes qui, depuis dix ans, a pris de plus en plus le dessus en Italie et dont le mi
ds de littérature ». Ce sont eux que les étrangers de culture moyenne prennent pour les représentants de l’Italie intellectuelle
rudition… Ici elle est parfaite, neuve, puisée là où il faut aller la prendre , aux pures sources italiennes. Mais comment celui
spécial, qui ont pu lui apprendre à juger nos sentiments. Nous avons pris nos Rois dans une famille rude, énergique, milita
uis ce moment, Charlotte eut un redoublement de fièvre ; le délire la prit le 24, son agonie commença le lendemain soir, et,
ous dit-il, mais c’est que, lorsque Philippe V bâtit sa citadelle, il prit sans façon les terrains appartenant à de grandes
mais qui, en somme, devait lui paraître chose futile. Renseignements pris dans la ville, nous apprîmes que Peralada est une
al Rampolla. En réalité, le cardinal Sarto était très connu, on avait pris de lui une idée simple et forte, et c’est ce qui
p arranger cela. Nous nous rendîmes aussitôt chez le fondeur. Rapi le prit dans un coin et lui parla. Très simplement et pas
es Laudes. L’Italie contemporaine, au contraire de la France, n’a pas pris un superbe essor sur une défaite, mais sur une vi
n cette théorie. L’incendie des musées et des bibliothèques n’est pas pris au sérieux par lui plus qu’il ne convient. C’est
ernières œuvres comme de la première ; mais, quelque plaisir que nous prenions à rendre hommage — et nous n’y avons jamais manqu
r à les renouveler. Nous sommes fixés à cet égard et n’avons-nous pas pris des mesures en conséquence ? Cela doit-il nous em
nuit et jour il y brûle un grand nombre de bougies. Si bien que l’on prend M. Canudo pour le grand-prêtre d’une religion nou
it pas un mot qui témoigne de sentiments patriotiques, ils m’ont tous pris pour un nationaliste français, ce qui paraîtra in
toute notre ville. Allons, vite, sacrifions au dieu ; peut-être nous prendra-t -il en pitié ; peut-être consentira-t-il à ne pas
rait pas cachée de toute part, et recouverte. Mais surtout l’épisode, pris dans son entier, n’aurait pas de sens : pour enco
Ayant longé à l’aller la rive africaine, n’est-il pas à croire qu’il prendra au retour par les côtes d’Europe ? Le poète montr
ignorions ici la dernière page de l’histoire. Sans hésiter, comptant prendre langue plus loin, nous franchissons le môle de 25
s émotion que, le lendemain de notre première visite au Château, nous prenions tous les deux une barque à l’autre extrémité de l
nt toujours pitoyables aux désespérés… j’embrasse tes genoux, ô roi ! prends pitié, je suis ton suppliant.” Il dit et le ruiss
t du nageur, et qui, évidemment prolongé sous la vague, lui permet de prendre pied plus loin du rivage, malgré le vent et la ho
t. Et s’étant elles-mêmes lavées et parfumées d’huile luisante, elles prennent leur repas sur le bord du ruisseau. Et les vêteme
plus habilles, qui les ont recognües, pour en mesdire. La plupart ne prennent l’aller que pour le venir. Ils voyagent couverts
de là, en particulier, la sympathie pour la disposition mentale à ne prendre des choses et des êtres que ce qu’on en peut aisé
d’être compris dans chacune de ses parties à quelque endroit qu’on le prenne , bien plus, à l’agrément de faire pressentir ce q
 ; il devança ce temps par sa théorie historique du fétichisme, qui a pris aujourd’hui le pas sur celle des contemporains ;
lus remarquables par des éléments originaux dont les contemporains ne prirent jamais l’intuition, ni le créateur la conscience 
éateur ne révèle point sa propre personnalité, auxquels il se borne à prendre sans leur rien donner, moins d’ailleurs pour lui-
doute à cause des vertus de la lumière, la nature méditerranéenne ne prend toute sa valeur que lorsque l’air est doux. Il su
re, à l’Italie, qui n’est pour ainsi dire qu’un bras de terre, et qui prend dans cette disposition spéciale deux caractères r
ar là, l’universalisme, des Italiens. Socialement, chaque individu ne prend toute sa valeur et tout son charme qu’en développ
llaient, et chacun sait que le plâtre, une fois délayé, se solidifie, prend , comme disent les hommes du métier, et que, pour
s’empare du verrou un beau matin : « Dès que je fus seul, dit-il, je pris le morceau de marbre noir, et je reconnus bientôt
servait d’un tel vocabulaire qu’il fallait y laisser sa raison ou en prendre son parti. Moi, j’en ai pris mon parti sagement,
’il fallait y laisser sa raison ou en prendre son parti. Moi, j’en ai pris mon parti sagement, médisant que ces gens-là fini
tions naturelles ; et dans une seule demi-journée de lecture, il peut prendre connaissance des résultats obtenus par tel ou tel
listes, ils peuvent se tromper sur la valeur des auteurs. Ils peuvent prendre leurs documents chez de simples vulgarisateurs qu
, Vénus et Vulcain, peuplées de ces charmants enfants dont le peintre prenait les modèles dans sa nombreuse famille : la Manne,
ueuse défroque du romantisme sur une charpente vraiment humaine qu’il prend le lecteur au piège de ses reflets chatoyants ; c
e fallait, je mis mon chapeau, je fermai ma porte et j’allai dîner et prendre une glace sur la place Saint-Ferdinand. Le lendem
r en tournant simplement un bouton de porte. Mais, en ce moment, tout prenait pour moi une valeur, et je regardais avec violenc
. Et si je ne la voyais point, ce n’est pas surtout parce que j’étais pris entièrement par l’idée que la fête de Piedigrotta
aintif gibier, mis tout à coup en méfiance, ne dresse les oreilles et prenne la fuite. Elle était vraiment très belle. Elle se
pût rêver. Je la contemplais avec émotion. D’un geste gracieux, elle prenait à pleines mains une poignée de ses beaux cheveux,
e heure, je la revis. Et le soin quotidien que cette superbe créature prenait d’une aussi modeste existence me touchait. C’étai
le-même était sortie, et je ne restais pas longtemps dehors ; j’étais pris d’inquiétude. J’avais peur de la manquer et de n’
mpter chaque jour ?… J’en étais là, malheureux et troublé, et n’osant prendre une résolution, quand, un matin que je l’observai
e que la réciproque. De temps en temps, pour allumer une cigarette et prendre un livre sur ma commode, je me levais, je jetais
à un moment où je savais qu’elle n’était jamais à la maison, j’allais prendre une glace sur la place Saint-Ferdinand, dans l’es
i, mais je ne pus m’endormir, car je pensais à la manière dont je m’y prendrais pour jeter ma lettre, afin qu’elle ne tombât poin
aisait non de la tête ; mais je ne l’écoutais pas. Pour m’exercer, je pris des œillets dans un vase, et je les lui lançai, l
s’accoutumer à l’idée que je n’étais pas un touriste, mais cela avait pris quelque temps, car jamais encore auparavant la pe
je vis Psyché. J’interrogeai son visage avec anxiété. Elle essaya de prendre un air sévère et fronça les sourcils. Mais je dis
assa pas mon papier, mais je pensai qu’elle serait bien obligée de le prendre tout à l’heure, afin qu’il ne fût pas trouvé par
dre tout à l’heure, afin qu’il ne fût pas trouvé par une servante. Je pris ainsi l’habitude de lui écrire tous les jours, et
, j’allai dîner et user ma soirée au Pausilippe. Puis je m’attardai à prendre des glaces à la Villa, et je ne regagnai mon appa
j’eus un éclair ; eh, oui ! parbleu, voilà comment il me fallait m’y prendre  !… Je plaçai ma planche sur le rebord de la fenêt
le ! lui dis-je avec émotion, et je voulus, comme tout à l’heure, lui prendre la main. Mais maintenant qu’elle était un peu rev
j’étais devenu fou ; elle ne pouvait imaginer de quelle façon je m’y prendrais pour arriver jusqu’à elle. Et puis, la nuit, elle
Sainte Vierge ! Il va se tuer ! Comme son récit l’avait émue, je pus prendre sa main sans qu’elle se défendît, et je la baisai
e se mit à parler français d’une voix chaude et avec un accent qui me prirent entièrement. Elle m’apprit qui elle était, elle é
errière son carreau, quand je travaillais le matin. À cet aveu, je la pris dans mes bras avec transport, je la baisai sur le
être n’avait pas été d’abord fermée, et que je n’eusse pas cru devoir prendre toutes ces précautions, peut-être ne serais-je pa
ra avec tendresse, et je sentis tout mon cœur s’élancer vers elle. Je pris un peu de repos dans l’après-midi. Et quand la nu
vait l’entendre aussi de l’intérieur de la maison. Je me levai, je la pris dans mes bras et je la rapportai sur le lit. Elle
creuset de vingt siècles d’humanité. Les grandes images du passé ont pris des aspects neufs et vivants, donnant aux poètes
oulais faire percevoir clairement la place que l’Anthologie futuriste prend immédiatement dans cette littérature. Je ne sais
e admirablement au sujet de l’esprit du « Boulevard », esprit, à tout prendre , asservi au goût du jour et pour cela même essent
5 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
cerclant le soulèvent au sommet d’une pyramide d’âmes, dont les côtés prennent tons les attributs de la haine et de l’amour, M. 
dans la péninsule. En l’hypothèse d’un conflit européen, l’Italie ne prendrait point parti pour l’Autriche. Et ainsi la politiqu
l’horreur prolongée finit par inspirer du dégoût, et les journaux s’y prennent de sorte qu’en moins de huit jours nous en sommes
les sentir. Pour en éprouver quelque émotion, ils sont obligés de les prendre par les petits côtés. M. DEL. — Vous croyez donc
démocratique étant passée là, ce beau palais a été morcelé, qui en a pris une part, qui une autre ; celui-ci a conservé le
anouis sous la grossièreté barbare, où l’art et l’amour divin avaient pris toute la place dans le cœur des hommes. Aujourd’h
s les arts par suite d’un amour exagéré de certaines de leurs parties prises séparément, et spécialement de la couleur. Les g
durant une longue période. Toutes les mesures imaginables avaient été prises en vue d’empêcher l’établissement d’un pouvoir ce
ne faisait point de distinction entre le métier et l’art : l’ouvrier prenait plaisir au travail de ses mains et tâchait de don
e avait à souffrir. Elle se faisait par des mercenaires que les États prenaient à leur solde, une coutume que tous les historiens
es, sans avoir reçu une instruction étendue, et dès lors complètement prises par la maternité, elles ne partageaient point la
, qui reparaissent au jour, attestent la beauté et la grandeur. On la prend pour modèle ; il semble que l’on renoue une tradi
source de leurs créations ; de la vie qui s’agitait autour d’eux, ils prenaient la plus pure essence et en développaient une vie
nement de travaux, d’aventures, de tentatives, qui, suivant les âges, prennent telle ou telle forme : et tantôt les peuples guer
aux confins du Congo et de l’Ouganda et où il semble bien que le Nil prend sa source, était certes une entreprise laborieuse
homme-automobile. » Moyens pratiques d’atteindre à cet état nouveau, pris au hasard dans le Guide moral de l’Énerguménisme
ait le jour à un animal d’une espèce nouvelle, qui n’aurait plus qu’à prendre en justes noces un mille-pattes femelle pour proc
s, parmi les plus belles. Ils le firent en son honneur, et le peintre prit de chacune la plus noble partie et acheva son che
nté : « J’ai jugé les fesses de trois beautés. D’elles-mêmes m’ayant pris pour arbitre, elles me montrèrent à nu leur corps
r laquelle des trois a les plus belles cuisses, et c’est moi qu’elles prirent pour juge, debout et nues comme les fameuses dées
ent, écrivent et se confessent dans notre langue ; mais soudain Paris prend l’initiative des révolutions politiques : les ari
industries sportives, on loue la confiance que la nation s’applique à prendre peu en peu en soi, on s’enthousiasme pour le relè
 712-720 [718]. Tout le monde lettré connaît M. F.-T. Marinetti, et a pris plaisir à rencontrer ce jeune homme élégant, arde
n appris, — rien encore appris. L’immédiat et constant plaisir qu’ils prenaient à considérer la surface colorée des choses ne leu
, certes, autant que très stérile, jouée par une grave revue moderne, prend ainsi l’aspect moins plaisant d’un ouvrage qui pr
ance de tout son être dont il fait cet aveu : Je pensais bien que je prendrais ici une bonne leçon, mais je ne me doutais pas qu
ette mélancolie, la campagne de Rome, sous la plume de Chateaubriand, prend un aspect nouveau. Il était nécessaire que ces ch
e l’École des Hautes Études. Mais il est à craindre qu’il ne leur ait pris aussi le morbus monographicus et c’est de ce morb
delà de ce premier volume et d’un second, celui-là aussi sur un sujet pris et traité à part, la guerre des Albigeois. L’ense
uchaire d’écrire les autres volumes ; mais le pli monographique était pris , et l’on a composé de la sorte cinq ou six monogr
on de thèmes, s’appuie sur une érudition consciencieuse, dont on peut prendre idée par certains fragments publiés avec tout leu
nzio est toute une image de feu, dont les flammes souples et immenses prennent des formes chevalines, et les crépitements sont d
Il semble bien en effet qu’à l’époque où le curé de Meudon venait de prendre ses grades en l’université de Montpellier Avignon
ence, comme le prélude de fêtes qui ne devaient point finir. J’avais pris la résolution de ne plus vous écrire, disait le s
Rochefort37, où se trouva une belle société de dames. Le plaisir que prit Son Excellence fut tel que les gentilshommes de s
avorite, piémontaise et pyrrhique, plut tant au jeune prince qu’il ne prit pas de repos. Il dansa presque continuellement le
Ce soir-là je fis le mascaron parfait, si bien que Son Excellence me prit pour compagnon. Il m’a dit qu’il espérait vous tr
quitter ce paradis terrestre. On lui a dit que, sans le plaisir qu’il prend à lire ses lettres, son maître le ferait venir au
retourné le chercher. À tous ceux qui vont le voir il dit qu’il a été pris pour un autre. Nous lui avons fait porter dans sa
n navire, si bien qu’on eût dit un dauphin ballotté par la Fortune, a pris la résolution de quitter ce pays pour un climat p
es Garganello et je servirai de modèle. Quant à la vie mondaine, nous prendrons pour exemple le sage Salomon. Honni soit qui mal
oue, la grande ville universitaire ! Alexandre Farnèse y va-t-il pour prendre ses grades en droit canon ? Et notre homme de rir
8. Ce n’est pas sa faute s’il n’écrit pas plus souvent ; il faut s’en prendre à l’extravagance des temps et à la sottise des pr
mariée et s’appelle Mademoiselle de Tresques71 ; l’autre est encore à prendre . Il y avait plus de trente équipages et tout cela
moiselle de Tresques marraine. Après la cérémonie, seigneurs et dames prirent tous en chœur le chemin de la maison de Verclos,
nt couvertes d’une buée admirable ! Buvons frais, devisons d’amour et prenons aux cheveux le bonheur qui passe ! C’est Garganel
vignon, venait de se déclarer calviniste. Le 30 mai 1562 il avait été pris à Viviers et conduit au château de Mondragon. Mai
tants toute l’humanité — Gestes, marches, repos, attitudes et poses — Prenait pour lui l’aspect amplifié des choses. Il regagna
     Que l’on apprit enfin    Que le travail, dans la chapelle, avait pris fin              Et que l’œuvre était bonne. La l
a lassitude s’accentua quand, dans la cour de la gare, il dut agir et prendre le fiacre 14, dont le cocher, parmi tant d’autres
il ne vit rien de son visage. Tout aussitôt il s’ennuya et l’envie le prit , lui aussi, de quitter la salle. Il demanda une c
qui avait une mine à préférer autre chose que de tenir le chandelier, prit congé, non sans lui avoir donné les dernières ins
à ceux qu’aimait Virgile… Totila et Bélisaire, quittant la barque, prirent le sentier qui, le long du bief d’un moulin rusti
s le parvis duquel Carducci salua la patrie antique ! Avec regret, il prit congé de Jupiter Clitumnien et, reprenant le sent
-il pas des manchettes évasées et un veston d’une coupe britannique), prit doucement le mouchoir des mains de son hôte, et l
vitre sale, cette jolie demoiselle dévêtue ? Une pudeur enfantine le prit soudain ; il se détourna lentement et s’en alla t
n colonel du corps de Vandamme, qui s’était battu à Ligny, puis avait pris part à l’incroyable mésaventure de Grouchy ; neve
es récits de 1815. Plus tard, il avait eu la bonne fortune de pouvoir prendre copie de nombreuses notes que le général Guéheneu
nsidérable qu’il n’était besoin pour exécuter le plan de l’Empereur : prendre les Prussiens à revers sur les coteaux de Brye et
uvé dans une position fort difficile : le vieux Blücher eût été ainsi pris à son propre piège. Il aurait cruellement expié s
ecteurs. La section italienne, en ce Salon, s’est défendue des partis pris d’écoles ; elle est très éclectique. C’est peut-ê
, figurant à s’y méprendre des personnes respectables, devant quoi il prend plaisir (idée si anglaise, et protestante !) à se
péninsule, aussi nombreuses que chez les autres peuples intellectuels pris ensemble. Car la force de la pensée italienne est
au-delà comme en deçà des Alpes, il appartient à cette minorité qui a pris devant la vie une attitude guerrière que les évén
tion en Corse en 1558 et mourut, le 6 mars 1564, d’un refroidissement pris à la bataille de Dreux. 35. Cecco est un diminut
6 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
rce de séduction, se cache un profond mystère. Après que le peintre a pris si fidèlement à la nature tous les détails qui se
ible qu’on est porté à penser que les mots en liberté sont destinés à prendre la place de toutes les anciennes manières d’écrir
se guère à l’héroïsme de notre père Adam, quand il consentit que Dieu prît une côte pour en former la femme. Emerson. Je n’a
gnis de la mauvaise qualité des tabacs et des allumettes italiens. Je prenais plaisir à exaspérer, ainsi, Antonio. Il arpentait
a face ! L’émotion, un instant, détendit ses traits. Il rougit, comme pris en faute. J’ai causé avec lui. J’avoue qu’il m’es
pour ces jeunes gens ! Je n’ai aucune sympathie pour les artistes. Je pris naturellement la défense de mes hôtes, et rappela
n’aime pas les Ceschini, et vous… Comme elle ne répondait pas, il la prit par l’épaule. — Ils me sont indifférents ; laisse
a belle allure, les deux mains à la rame, la tête nue, le torse bien pris dans sa tunique blanche, la taille serrée par la
lle de cet homme me parurent tragiques. Nous étions silencieux. Je me pris à rêver, tout en crayonnant ; et, machinalement,
e fatal ! Les moindres événements auxquels j’ai été mêlé ont toujours pris un tour romanesque ou comique. N’est-ce pas, Lows
pour cela que je rêve, avoua-t-il à Wellseley dans le fumoir où nous prenions le café, je rêve beaucoup trop. Je n’ai pas, comm
condottiere, je vous le jure ! Je suis un malheureux ! Mais les rêves prennent ici de l’ampleur, au milieu de ces palais où se s
st-il intéressant ? — Anodin. Elle posa le volume sur la table. Il le prit , le feuilleta, et haussant les épaules : — Des st
ur à Padoue, j’ai vu mes Giotto. Le printemps est sans événements. Je prends , chaque jour, mon café au Florian, avec Mondella.
— Mes amis, dit-il à Morga et à Lowsky, voici notre ami Beppo. Morga prit la parole : — On nous apprend que ton maître cher
ntôt à deux, avec des évolutions extrêmement harmonieuses, le danseur prend les mains de sa danseuse, les levant en l’air et
Shakespeare, et M. Édouard Dujardin, l’auteur de Marthe et Marie, ont pris la direction de la Comédie Royale. Ils ont fait l
elle se trouvait le nom de Peruggia. (Néanmoins, tandis que la Sûreté prenait consciencieusement les empreintes digitales de to
éternelle ». Deux êtres se cherchent, se fuient, se tourmentent et se prennent , sans jamais s’appartenir complètement, parce que
examina Aurora, puis s’approcha d’elle : — Permettez, Madame. Il lui prit la main gauche, la souleva, et la laissa retomber
 Il est fâcheux qu’ils ne soient plus là, répliqua Antonio. Wellseley prit congé. Peu après, Stella-Lucente accompagna Nina
tie des spectateurs le regardait en riant. Tout à coup, il sortit : —  Prends par le grand canal, Beppo.   De l’Erberia, monte
e souper, j’offris mon bras à Miss Florence April ; et Lady Dolingson prit celui de Wellseley. Il ne parvint pas à s’intéres
re en bois dédoré. Il dîna avec moi et se retira vers neuf heures. Il prit une gondole. — Au grand canal, dit-il. Devant le
t parce que je pense pouvoir mieux vous servir. J’ai, d’ailleurs, été pris au dépourvu. Voici tout ce qui est arrivé : Le le
avait deux lettres : une pour lui, une pour la signora Aurora. Il les prit toutes deux, et entra dans la salle à manger pour
ux, l’endroit où je t’emmène. » J’obéis. Nous allâmes à la gare. Il a pris des billets pour où ? Dieu peut répondre. Vers ci
-elle. Beppo m’a écrit que, quoi qu’il arrivât, je devais venir, ici, prendre des ordres. Elle essuya ses yeux. — C’est Beppo q
é. Antonio priait la femme de Beppo (son ancienne maîtresse) de venir prendre le corps de son mari. Il spécifiait que les Stell
errogeai encore ; et, alors, je m’aperçus qu’elle était folle ! Je la pris dans mes bras, je lui demandai pardon en sanglota
tincelle de loques, de burnous ; des boutiques peintes dans la clarté prennent des joies d’émaux autour de l’allure blanche des
histoire plus nette et plus certaine. Mais sans doute ne faut-il pas prendre au pied de la lettre la réflexion de M. de Bury e
qu’une hypothèse erronée trouve crédit près de quelques-uns que j’ai pris la liberté de vous adresser ces lignes. Veuillez
t. Il ne s’agit pas seulement de quelques faits empruntés. Stendhal a pris à Carpani la forme même des lettres, les référenc
courbes d’étoffes, de la nuit qui vient, du soleil qui tombe, où il a pris un reflet blême et chaud à la magie des choses. [
hements, sont dus à une cause très naturelle. D’abord, il ne faut pas prendre pour points de départ, ni pour éléments de compar
uisse, je me servirais de la même argumentation. Puisque Laforgue est pris à partie par la plupart des Casanoviens, j’ai eu
dans son coffre-fort. En attendant qu’elle consente à nous en laisser prendre copie, ou qu’elle se détermine à les publier elle
des objets, au moment même où son esprit sera ému par l’intérêt qu’il prend à l’action et par la délicatesse de la poésie ; e
pour la musique, selon les principes de Quinault. Il avait d’ailleurs pris part à la querelle des Bouffons (1753), en écriva
e mettre l’exposition en action, de traiter des sujets simples, et de prendre pour modèle les tragiques grecs, et surtout Eurip
éro 411, 1er août 1914, p. 595-602 [596-598]. La Revue France-Italie prend , à partir du premier numéro de sa seconde année,
ulière. Nous pouvons le détester et le fuir ; mais tous, au moment de prendre une plume et d’aligner des signes sur le papier,
naturelle pureté, sans thèmes, sans programmes. C’est d’Annunzio qui prend une chose quelconque et qui l’écrit. C’est un spe
7 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
Dieu ; ils dansèrent et chantèrent leurs plaintes. La nature ennemie prit alors clairement devant l’esprit de la foule le n
s passions et ses troubles. Il crut ainsi conquérir sa conscience. Il prit en réalité une individualité. Mais il cessa d’êtr
. L’inconscience et l’impulsion, sources de satisfactions immédiates, prirent la place de l’instinct indomptable, maître des so
es par la logique souveraine de l’homme qui sait vouloir. Et le chœur prit chez Euripide cette attitude grotesque et étrangè
Volonté, du libre arbitre, apportée par le nouvel héroïsme religieux, prit vite les expressions de cette déconcertante morti
rsonne, dominatrice ou dominée. Le protagoniste, la dramatis-persona, prend ainsi l’âme d’une race, devient le héros, logique
a reproduction des mœurs ou des chocs de corps qui se rencontrent, se prennent et se repoussent, s’abîment dans la vie ou dans l
littérature avec quelque triste et banal épisode de la vie collective pris dans tout ce qu’elle a de plus éphémère : la vie
 Nous suivons depuis longtemps M. Gebhart et nous serions fâché qu’il prît ombrage d’une appréciation donnée en toute franch
ité d’art n’impose à l’artiste une attitude semblable à d’autres déjà prises . Le titre et l’inspiration goethiens de ce volume
cilité d’assimilation néanmoins autoriserait quelque doute et, à tout prendre , alors que M. Dauriac cite Gluck, Haydn, Mozart e
e refoulée. XI Je vis Goethe en sa vigne ; il me dit : Viens et prends . Je tremblai de désir et pâlis dans l’ivresse De
s l’étude de leur vie ancestrale. J’ai dit ailleurs comme cette étude prend en Italie la valeur d’un culte. Les sacerdotes so
nt devenus ses traducteurs. MM. Angelo Sodini et Pasquale de Luca ont pris la tâche de faire connaître le dernier poète du m
e Titien, ainsi que dans certains portraits… « Si j’avais le choix je prendrais un tableau du Corrège avant tout, des dessins de
lles demandent de les délivrer. Victorieux, le condottiere à son tour prend la place du tyran ; les cités rappellent le seign
Or, c’est M. Michotte lui-même qui présenta Wagner au maëstro, et il prit quelques notes pendant que s’entretenaient les de
inct, des lois de la Justice humaine. Le frère de celle qu’il s’était pris à aimer avait tué un homme dans un magnifique due
te des lagunes, son camarade avait crié à l’homme qui devait mourir : Prends ton fusil, et vise ! Et le jeune homme avait atte
des conjurés, s’affermit insensiblement, et il put, au mois de juin, prendre une position prépondérante dans la question vital
’hommes relativement restreint ». C’est ainsi que Lucius Antonius put prendre le parti de la bourgeoisie terrienne, que menaçai
e partout, le pouvoir est aux mains de la vieillesse, qui songerait à prendre ombrage de Cassandrino. le pouvoir est aux mains
brage de Cassandrino. le pouvoir est aux mains de la… Qui songerait à prendre ombrage de Cassandrino ? (Page 332). La pauvre
1830 aimeront passionnément la liberté, mais sans savoir comment s’y prendre pour l’établir. Ils feront d’abord, comme il est
rième édition : J’aurais dû supprimer les Articles danse à Naples et prendre 30 pages à la fin du volume de la première éditio
orique très réel, mais ne pourra plus changer l’aspect que le Saint a pris devant nos esprits mûris par la douleur humaine d
t être facilement généralisée à des phalanges d’esprits modernes, aux prises avec les mêmes impératifs de l’heure qu’ils subir
nt eu le temps de s’éloigner et les corps de ceux dont le moulage fut pris par les cendres étaient en infime quantité. Beauc
r et montre quelle fut son influence. On sait qu’Andrea de Cione, qui prit le nom le son maître l’orfèvre Verrocchio, naquit
ntes attaques de M. Gauthiez contre on sait quelle École empêchent de prendre son livre tout à fait au sérieux. Je n’en veux do
re Gauthiez se figure-t-il par hasard qu’il suffit à deux peintres de prendre les mêmes modèles pour que leurs œuvres se ressem
L’enquête sur le Vers libre, poursuivie par la somptueuse Poesia, prend de plus en plus des proportions très intéressante
elques années après, il se gardera d’un aveu aussi peu nécessaire. Ne prenons pourtant pas trop au sérieux cette réclame prémat
pouvaient le compromettre. Et si, le livre une fois paru, il se sent pris d’affection pour cet enfant qui lui a coûté tant
parut, Beyle s’ingénie pour le faire vendre. Il montre, au soin qu’il prend de la réclame, d’excellentes dispositions commerc
s les motifs qui firent achever en quelques mois un livre qu’il avait pris l’habitude de ne pas finir. La nécessité le fit a
stingué, tempérament névropathique, deux bonnes conditions pour qu’il prît en horripilation, puis en haine furieuse, quand s
dehors, à créer de la richesse, pour se nourrir dignement. Il faut en prendre son parti. Cette terre d’art, de paysages incompa
ne s’explique que par des complaisances infinies. Lorsque M. Sonnino prit le pouvoir, on lui prédit une chute rapide. Ce n’
milieu où le type se meut devient non nécessaire, devient extérieur, prend un aspect de simple décoration. Et par cela même,
ronzino (sans doute le Christ du Musée des Offices). Il avait d’abord pris ce tableau pour une œuvre du Guercino (qu’il appe
8 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
e château de Chamage. Il est facile de se rendre compte. Il suffit de prendre le LIVRE DES ORDONNANCES des Maîtres peintres, sc
mission de soigner le cheval. Mais l’atelier l’intéressa, l’envie le prit de peindre. Tassi consentit, et de domestique il
uand il se fut fatigué des transtévérines du Tassi, le Lorrain, ayant pris goût aux pinceaux et à la palette, chercha un aut
auts blancs (British Museum), avec l’opposition violente des bois qui prennent lourdement la moitié de la feuille, et, d’autre p
ain pour la paix universelle finit par devenir assommant, cette revue prend décidément une attitude boérophile et anglophobe.
tout à l’heure, il sied de rappeler ici que le Marzocco de Florence a pris occasion de cette renaissance tolstoïenne pour ch
es du genre de celle que j’ai citée surabondent dans ses œuvres. J’en prends quelques-unes au hasard dans le tas : « Dire qu’
quelques mesures de police que tous les États pourraient, selon lui, prendre de commun accord contre les anarchistes : « La ph
té. Sous ce rapport, Lombroso n’est certes pas un médiocre : l’erreur prend chez lui des proportions énormes, il se trompe d’
ste et son œuvre par quelques mots concis, de sorte que son volume en prend l’apparence d’un guide intelligent et sûr. Voilà
èrent, accompagnées d’une longue suite d’étincelles, sur le bûcher. —  Prends -la — hurla Bicornide à Cypris, en faisant tournoy
Tysandre, immobile et engourdie, les yeux fixés sur l’amphore vide. —  Prends la torche, prends-la, — répétèrent les autres, ta
et engourdie, les yeux fixés sur l’amphore vide. — Prends la torche, prends -la, — répétèrent les autres, tandis que les tison
et tomber lourdement sur la plage, où une vague la recouvrit, vint la prendre et l’emporta au loin parmi les flots en courroux.
maître avait l’enthousiasme durable, il le prouva bien lorsqu’il eut pris rang parmi les disciples du vaillant Savonarole.
âché, celles-là, mais très expressif (XII) ; Troie en ruines, Nimroud pris de furie, au pied de la Tour de Babel, Saül percé
s rayons d’amour », et c’est le délicieux motif XXVIII qu’on pourrait prendre pour une ébauche de fresque. Alors, à travers la
d’une manière compréhensible par des galbes flamboyants, Botticelli a pris le parti d’écrire au-dessous le nom des âmes qu’e
fatigués de lutter, beaucoup d’artistes même, peu à peu, s’y laissent prendre . » Si l’opposition des artistes a triomphé jusqu
français du dix-huitième siècle, leur esprit vit encore en lui. Il a pris de leurs doctrines pratiques tout ce qu’un Italie
ines pratiques tout ce qu’un Italien d’un esprit supérieur pouvait en prendre  : un matérialisme politique complet, quelques sys
naturel du prince l’a emporté. Il a conservé le ministre, mais il n’a pris de lui que ce qu’il devait en prendre : une sagac
conservé le ministre, mais il n’a pris de lui que ce qu’il devait en prendre  : une sagacité merveilleuse pour les affaires, un
Quoi donc ? Un grand acteur ?! Je ne sais pas si M. Marcel Prévost a pris la peine de relire Il Fuoco pour tâcher de résoud
arrivant pas à désarmer ces vingt énergumènes de l’Extrême Gauche, on prit le parti de fermer la Chambre et de faire des éle
son confrère publiée par la Nuova Antologia. Si M. d’Annunzio daigne prendre en considération les conseils du poète polonais,
rnier avis de Boucher à propos de Raphaël et de Michel-Ange : « Si tu prends ces gens-là au sérieux, tu es un garçon f…. ! »
es de cyprès et de lauriers, —de même, au dehors, le moindre incident prend du relief dans la lente pulsation romaine : Ce mo
elque occupation aux gens de la police… tout cela doit bien aussi lui prendre quelque temps… Enfin, voici le premier envoi : «
ce n’a pas été sans peine. Parmi ces desseins, il y a quelques traits pris au papier verni sur des tableaux antiques, que M.
l faut laisser au génie un peu de liberté. » Le voici maintenant aux prises avec Cortone. « Octobre 1758. « … Le sieur Flago
. Tout est fondu, tout est fini ; il est temps que le sieur Fragonard prenne confiance en ses talens et que, travaillant avec
uil55 qui devait être l’ami elle protecteur d’Hubert Robert qui avait pris , avec Fragonard, la tête de l’Académie lorsque Sa
du Parlement, en gravant les Vaches à la fontaine de Le Prince. Puis, pris soudain de dégoût pour toutes ces vilenies et tou
, Horace et Isabelle roucoulent, sous le berceau Francisquine est aux prises avec le Matamore, et le Docteur surgit, tout de n
9 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
nt des cris de joie et ils se communiquent leurs trouvailles. Ils ont pris un nom : les Casanovistes, comme il y a des Molié
t le vers), c’est une création de Beato Angelico. Casanova, vous avez pris une habitude répugnante, c’est de nous faire entr
lletti. Mais, je vois que vous avez quitté l’air ennuyé que vous avez pris quand je vous ai enlevé à votre promenade entre v
sont indignés contre vous en criant à l’indélicatesse. Eh bien ! j’ai pris courageusement votre défense, j’ai dit bien haut 
e de 25 pieds, c’est 4 mètres tout simplement, mais alors la question prend une tournure étrange, inattendue ; c’est ce ridic
ment belle, et radieuse. Par sa façon de se donner à moi, j’avais été pris jusqu’au fond. Aucune incertitude, un élan inflex
que nous ressentions l’un pour l’autre était inépuisable, qu’elle ne prendrait jamais fin, que rien ne pourrait l’atteindre. Mai
dant, j’en étais au café. J’allumai une cigarette, tandis que Carrera prenait , à la napolitaine, des poses de plus en plus nonc
pas ?… S’il n’y avait eu aucun subterfuge dans la scène d’hier ?… Je pris ma canne et mon chapeau et me précipitai… J’avais
canne et mon chapeau et me précipitai… J’avais retrouvé Carrera, nous prenions ensemble une glace à l’étroite terrasse du Café,
et courtoise d’un homme du monde. Peu à peu, une grande gêne m’avait pris  ; je m’attendais à présent à ce que le propos cha
m’avait été faite, et demandant la permission de revenir bientôt, je pris congé, saluant le marquis, et baisant respectueus
vait encore à dissimuler ; le roman subsistait. Et d’ailleurs, quoi ! prenons les choses du mieux. Le marquis a raison, il a ch
iage. Qu’en penseraient mes parents ? Ils avaient, depuis beau temps, pris le parti de me considérer comme un fou et de ne p
e fallut lui faire l’aveu que je n’étais Gardanne que par ma mère. Il prit la chose mieux que je n’osais l’espérer. Cet homm
le sublime du soleil couchant sur la mer, Lina devenait pâle, elle me prenait la main. Et, levant sur moi ses beaux yeux que la
maintenant troubler nos joies ! Nous retournâmes à Naples. Je voulais prendre congé du marquis avant que d’emmener ma femme en
en fait d’analyse psychologique, ne peut fournir que des observations prises en lui-même, la fatigue détermine l’effort vers u
celui dont Musset a dit qu’il entraîne les mondes dans leurs orbites, prend dans Goethe une allure suffisamment sublime pour
e8, de textes odysséens rapprochés et coordonnés, d’ailleurs toujours pris au pied de la lettre, nous avons naguère fait jai
ages, que le fait d’être honorés par l’Église chrétienne fait souvent prendre l’un pour l’autre. Une Madeleine est cette pénite
ivait-il lui-même, qu’après mon départ pour l’éternel repos quelqu’un prendra mes vieilles frusques et que tous mes carnets ser
des Mattei, et qui fut ensuite achetée par un riche Anglais dont elle prit le nom. Elle avait un très beau portique de style
gnes de leurs académies et à marcher avec les précautions que doivent prendre les femmes qui sentent craquer leurs vêtements pa
rsonnelle, et je la livre à M. Lucas-Dubreton en lui souhaitant de la prendre exactement pour telle, c’est-à-dire sans trop de
es heures », a fait des remarques intéressantes. « Ce que Machiavel a pris à Borgia de plus certain, c’est ce sens de la déf
Elle est le produit de sa vie, de son caractère et de sa carrière aux prises avec les événements. M. Lucas-Dubreton a dégagé c
et quelle ligne ont-ils suivie ? » Or, en 1559, les Guerres d’Italie prennent fin. Ce sont donc les causes de cette fin que M. 
t, Montjoie ! me forcent à m’arrêter devant les Alpes italiennes et à prendre congé des lecteurs de cette chronique. Pendant ce
érature française parnassienne, symboliste et enfin vers-libriste — a pris l’élan de son lyrisme. Ces débuts du plus grand p
ds, et put forcer les portes Dardanelles ! Ci-gît Antonio Veniero qui prit Durazzo et quantité d’îles ! Ci-gît Michele Moros
ero qui prit Durazzo et quantité d’îles ! Ci-gît Michele Morosini qui prit Vicence et Bellune ! Ci-gît Orsino, comte de Peti
qui prit Vicence et Bellune ! Ci-gît Orsino, comte de Petigliano, qui prit Brescello, Guastalla, Rovigo, Mantoue, Feltre, et
t neveu de Doges, qui mourut, étant encore au collège, non sans avoir pris la petite fleur de ses deux cousines — Angélique,
leurs, et que son mari, les yeux au ciel, comptait les astres, elle a pris , dans son sac d’or, ses ciseaux à ongles et, sous
es tempes… Partez vite !… Il n’est allé qu’à Padoue, en auto… Il a dû prendre , à Mestre, pour rentrer, le train de deux heures…
ville, la tête haute, en rangs serrés. Le Gouvernement italien avait pris soin de leurs personnes. Il les fit embarquer sur
ouvelles. On le crut perdu et le gouvernement consterné s’apprêtait à prendre le deuil de ses marins, lorsqu’un jour on le vit
s puisée dès le berceau est trop vive pour permettre à leurs idées de prendre une autre voie à la suite de prêches et d’oraison
ords et sommes décidés à les respecter ; or, les Italiens auraient pu prendre ombrage du maintien de la mission catholique fran
ligieuses étaient françaises ; mais les sœurs italiennes et maltaises prennent leur place et dans peu de temps sans doute l’infl
les. Il convient d’examiner maintenant les mesures originales qu’il a prises en ce qui concerne l’utilisation des indigènes co
é de s’incliner devant ses avis. Ses collègues seuls ont la charge de prendre des décisions importantes. « Nous avons déjà beau
nécessaire, dans l’intérêt de la santé publique, que le gouvernement prît des mesures pour enrayer le fléau. Aussi rassembl
consolider leurs abris et disparurent. D’autres nomades revinrent et prirent leur place et le gouvernement décida alors d’étab
n bruit pareil à celui de la grêle dans nos climats. À la longue il a pris des teintes grises et jaunes et de loin se confon
major, plusieurs compagnies tiennent garnison. Certains officiers ont pris séjour ici depuis quelques mois déjà et un capita
plus de 100 kilomètres autour de la ville. Le résident d’Azizié avait pris place près du chauffeur. J’étais dans la voiture
mes académiques, de la poésie érudite et livresque :                   Prends l’éloquence et tords-lui le cou, diraient-ils vol
n de commun avec la religion, les prélats de la Sacrée Congrégation à prendre cette mesure. Avec un tel diable, — même en terre
étails de cette existence parisienne de Casanova. Ces détails peuvent prendre ainsi, sous le rapport de l’histoire des mœurs, u
i mérite l’honneur d’être connue et appréciée à l’étranger. La mort a pris beaucoup d’écrivains de la vieille génération (Ca
le Partage de Midi et l’Art poétique. Mais la Voce, bien qu’elle ait pris au sérieux son rôle, qui est d’informer les Itali
eoise. Un autre mouvement, beaucoup plus révolutionnaire et génial, a pris sa place dans l’attention de la jeunesse : le mou
utre et, le soir, Attilia apportant le repas de son mari et venant me prendre pour me coucher devait me chercher longtemps en s
à ses jupes. À la porte du couvent, elle se souvint d’avoir oublié de prendre la dent arrachée. Elle revint au parloir et, aprè
stantes et sèches. Il indiqua une chaise à ma mère, qui s’assit et me prit sur ses genoux. Lui-même se plaça dans un fauteui
onsieur lui tendit une enveloppe en disant : — En ce cas, vous pouvez prendre connaissance de cette lettre. « Mais Attilia écla
sur Je point de tomber. Lorsque le train fut de nouveau en marche, je pris la main de mon père et lui demandai : — Où est ma
te lecture, il semble que les portraits et les tableaux de nos musées prennent un aspect nouveau, vivent d’une nouvelle vie.
10 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
it d’Exiles à M. de Louvois, le 11 mars 1682, les précautions qu’il a prises à l’endroit de ses deux prisonniers : Pour le de
besoin aux prisonniers sur une table qui est là, et mon lieutenant le prend et le porte. Personne ne leur parle que moi, mon
chacun des adversaires tous les saints et toutes les madones étaient pris à témoins de l’ignominie, de la bassesse, des vic
rues populeuses de Naples sont incessantes, et presque toujours elles prennent naissance des enfants. Il y a des nuées d’enfants
engeances éclatantes. Chacun est d’une loquacité intarissable, et les prises de bec durent souvent fort longtemps. Je me rappe
ropos de la pêcherie, un fait curieux. Il partait en voyage, et avait pris pour se rendre à la gare une carozzella. Le cheva
au miracle, s’agenouillant et rendant grâces au ciel. Mon ami voulait prendre son train. A genoux, d’abord, à genoux !… Il arri
’affreuses broches en lave du Vésuve. Hein, c’est joli, cela ?… Il en prend une entre le pouce et l’index, et la tournant et
qu’un consommateur lisait son journal, s’approcher tout doucement. Il prend la tasse sur la table, y verse le fond de la peti
sion l’emporte, elle la trouve. » Ainsi que Montaigne encore, elle se prend comme type d’humanité, et, s’écartant de la doctr
chée, mais n’importe, je le renverrai. » Il partit pour Londres. Elle prit la fièvre, le chagrin la minait à vue d’œil. Le c
que l’on croyait morte ; par une rencontre de circonstances fortuites prenaient corps en moi les souvenirs les plus beaux d’un pe
vons réunis, tous trois, dans l’atelier de Carlo et nous décidons d’y prendre notre repas. Je cours acheter de la mortadelle et
ducats des riches marchands et des étreintes des jeunes hommes, nous prîmes la résolution de la mystifier.   Nous l’invitons
, dans le pavillon que décore l’étendard de Saint-Marc. Les Sénateurs prennent possession de leurs sièges, protégés par un voile
aquèrent. En moins d’une semaine, ses joues se creusèrent et ses yeux prirent un éclat singulier. Je lui amenai mon docteur. Il
. * — Laissez-vous faire. Giorgio me posa un bandeau sur les yeux, me prit par la main, me conduisit au milieu de son atelie
s. * Quand il eut quitté l’atelier de Messer Zuan Bellini, Barbarelli prit l’habitude de recevoir fréquemment ses amis, dans
lui dit ce dernier…, sans cela, je révèle comment tu voles un ami… —  Prends un ducat et va-t’en ! — Non… et tais-toi, car voi
er : Giorgio Barbarelli ravissait au feu ses couleurs !   — Il aurait pris des couleurs à la lune et à la nuit, dis-je à Pal
et je dus élever jusqu’à lui mes neveux qui voulaient l’embrasser. Il prit la route de Castelfranco, mais brusquement, il to
affolée. — Tiens, répliqua Ridolfi en lui lançant un sac rempli d’or, prends ces ducats prélevés sur les revenus particuliers
que tu désirais revoir ton pays, quand tu nous as quittés à Maser. Tu pris la route qui y mène, puis, tu te ravisas et desce
La République les accepte, car les événements intérieurs de l’Italie prenaient mauvaise tournure. Les Français sont enfermés dan
és ternes ; quand je ne saurai plus traduire les nobles attitudes que prennent , naturellement, les corps dont les membres sont b
ver leur esprit. Barbarelli, Ridolfi et tous ces artistes, légèrement pris de vin, prononcèrent alors, sur les femmes, des d
ndit Antonio. — Elle possède, et au plus haut point les vertus que tu prises chez une femme, compléta Ridolfi… — Nous te la fe
ices ; et comme Laura Bon, être de plus de générosité que de finesse, prenait toujours au tragique ces sautes d’un sentiment qu
prophétique, cette notion de l’art complet et définitif avant l’heure prennent l’évidence de la certitude. » C’est de ce joyau q
e réponse, mon maître ! Certainement, vous voilà amoureux. Giorgio se prit à rire et se déclara encore loin de l’âge où un h
arut et s’écria d’une voix terrible : — Qui donc oserait encore me la prendre  ? Ses doigts serraient le manche d’un poignard. —
Il essaya de se mettre debout et pleura comme un enfant : — Ils m’ont pris son corps, gémissait-il… Où est-il ? Seigneur et
rai mieux ici que là-bas ! — Maintenant, j’ai sommeil. Revenez demain prendre de mes nouvelles ou assister à mon départ… J’ai t
me, tu lanceras les plus basses injures à la tête de la compagnie… Tu prendras les façons d’un amant jaloux et hors de lui… Tu n
e mystère de ma vie me semblaient longs comme des années. Ensuite, je prenais des chemins détournés et, craignant d’être suivi,
ement de mon caractère. La maladresse de mon emportement m’affola. Je pris à part l’apprenti, qui n’était autre que Lorenzo.
le nôtre… et le nôtre était, cependant, plus complet… Un soir, je me pris à vanter les vertus d’Eleonera, chez Andrea di Co
elai, à mon secours, les forces du cœur : haine, mépris. Je songeai à prendre une autre maîtresse… J’avais affirmé, bien souven
ente que j’acceptai et te jurai de t’aider à conserver la Maurina. Je pris pour maîtresse Alexandra Vellani et, quand je la
serait écrasée, je te le jure, comme une figue contre un mur… Elle se prit à rire et je la rouai de coups. Je la haïssais……
e se débarrasser d’elle, les hôteliers me livrèrent la Maurina. Je la pris en croupe. Elle noua ses bras autour de mon col…
des soldats défendant leur drapeau foudroyé. — Giorgio vous quitte et prend congé de vous… gais compagnons, bons frères, arti
…………………………………                             Chaque jour mes tempes sont prises par une fièvre nouvelle. Est-ce une honte, si ma
rce qu’elle a beaucoup aimé…29. Elle se rappelle encore l’arbre qu’on prit pour en faire la croix, lorsque Guddène, un des z
Et tu auras le diadème royal, la pourpre de Sidon et ta fièvre. » Il prit le sindon vide où Joseph et Nicodème avaient posé
ance. Déjà Sébastien ne voit plus le ciel ; les anges sont loin. Il a pris dans sa main le globe d’or, les chants de louange
les épaules l’Agneau mystique, le Bon Pasteur. Alors le Saint se sent pris plus ardemment de la volupté de mourir : Les lau
omme de la tragédie antique : Ô Archer, Archer sans merci, et tu les prends , et tu les prends ! Je sais. Je traîne à mes épau
e antique : Ô Archer, Archer sans merci, et tu les prends, et tu les prends  ! Je sais. Je traîne à mes épaules une grappe lo
de Ferrare après la mort de son grand-père Azzo VII, en 1264, et qui prit le nom de gubernator et rector generalis et perpe
tenace, fille d’ErcoIe II, Lucrèce, pour que le rêve de Jules II pût prendre corps et que le cardinal Piero Aldobrandini prît
e de Jules II pût prendre corps et que le cardinal Piero Aldobrandini prît possession de Ferrare au nom du pape Clément VIII
ers palais tombèrent en ruines. Les trésors, amassés par les marquis, prirent le chemin de Rome et la ville fut plongée dans le
cée, à coups de manuel, dans un milieu d’appellations nouvelles… » Il prend des notes en feuilletant le dictionnaire, et ces
intellectuelles, poursuivi depuis des années par M. Enrico Corradini, prend aujourd’hui dans la péninsule une forme nette, ou
canisme du travail ; et, brusquement, vers l’époque des Sévères, elle prend en quelque sorte toute la place. C’est à elle qu’
de fortune et des insurrections désastreuses. Mais lorsqu’ils eurent pris contact avec la Grèce et l’Orient, ils bannirent
culture, à l’élevage et aux industries domestiques qui, grâce à eux, prirent une extension de plus en plus marquée. L’évolutio
ome, qui aimaient à assigner à des personnages en vue des initiatives prises , en fait, par des collectivités. On a abandonné l
dur, mal payé, que les empereurs adoptent de multiples précautions et prennent des dispositions draconiennes. Valens et Valentin
t à la plus vivante restitution historique. Le plaisir passionné qu’y prit manifestement l’écrivain induit à excuser son ext
artir pour Tortone, en Piémont ; et moi je fus obligé de me guérir et prendre en même temps du repos, dont j’avais grand besoin
veloppé dans une couverture. Il est plus que probable qu’il a ensuite pris à la gare d’Orsay le rapide de 7 h 50, où est mon
ne renommée universelle, — tandis qu’un député comme M. Delmas, ayant pris part, au mépris de la loi, au brocantage du buste
phie. Les procédés actuels sont assez perfectionnés pour qu’on puisse prendre l’image fidèle d’un tableau en n’importe quelle l
vateur. On ne peut qu’approuver ces sages précautions. Mais un arrêté pris le même jour par le ministre, et encore aggravé d
naires : nous voulons la santé et la longévité des chefs-d’œuvre. Or, prenez le programme de l’école du Louvre, vous n’y trouv
nées qui vécurent avec le soleil ; les solennelles et petites paroles prises aux brouillards des vallées informes ; ou qui, en
les débris, entassés sur les très sombres pentes intérieures, furent prises à tous les antres, à toutes les racines pétrifiée
rie. Des mesures plus sérieuses sont celles qui viennent enfin d’être prises pour l’accrochage des tableaux ; désormais, grâce
e faut pas se dissimuler l’importance de plus en plus grande que vont prendre , à une époque d’alcoolisme et de névroses général
hoisi par M. Orsi pour son Histoire moderne de l’Italie, 1750, semble pris un peu haut. L’Italie était alors ce qu’elle rede
ique de l’affaire (M. Pinon ne sort à peu près pas des Balkans, où il prend généralement son point de vue pour noter « les as
11 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
e sont-elles faites on n’en tient plus compte, mais, au contraire, on prend souvent plaisir à les détruire ». C’est pourquoi
s de soleil et de vin, de mauvaise envie et d’infamie… Ils veulent me prendre , moi, créature de Christ, moi, malheureuse qui ne
lamer la femme. Ils veulent abattre la porte. Devant le danger, Aligi prend la croix de cire, la croix bénite du foyer, la cr
Tu ne peux pas m’adresser une question. Mais je te dirai que je veux prendre la brebis dans une corde pour l’entraîner où plus
donner une ivresse qui calme les angoisses atroces de sa mort. Candia prend la tête de son fils, la presse d’une main sur sa
ci entre Lazaro et Aligi, quelques accents sophocléens de Mila, etc., prennent l’aspect de fautes graves, car une idée, ou la né
sifal, a pu donner au catholicisme une tragédie où véritablement il a pris tout le sens et toute la musicalité du chœur méta
teur plus qu’elles ne l’émeuvent. On dirait que Gabriele d’Annunzio a pris plaisir, cette fois, à accumuler les horreurs, et
te d’Aligi serait criminelle. Si, d’ailleurs, ce père vigoureux s’est pris de haine pour son fils, c’est qu’il brûle de poss
rêta. Antine descendit en se baissant, sauta, repoussa la portière et prit une valise que lui tendait le voiturier. Il était
r du jeu lui devenait cruel. Un jour, il prétendit que Minnai l’avait pris en traître et il le roua de coups, en lui criant
i aussi à la fête, avait précédé les deux jeunes gens. Zio Pera avait pris ses dispositions en conséquence ; il n’en accueil
comme deux portefaix. Le visage blanc et les vêtements blancs d’Elia prenaient une teinte poudreuse très prononcée ; le ruban ro
e bandit se découvrit : à la lueur tranquille du cierge sa jolie tête prit une grâce féminine. Antine ouvrit le Livre au has
tu me comprends… — Bien ; je comprends, mais fais ce que je te dis. «  Prends mon ennemi selon ta justice, que sa maison soit p
e ciel se montra très haut, bleu tendre, couleur de perle ; le fleuve prit une transparence glauque de voile ou de cristal ;
tanca était toute couverte d’une verdure tendre ; les eaux du fleuve prenaient une douce transparence bleue. Le sureau commençai
ieur le curé, qu’il importait d’en informer Votre Révérence. Veuillez prendre avec les parents de Costantino Nurroi les mesures
s sa fuite, Antine écrivit, annonçant qu’il se faisait soldat. « J’ai pris un engagement de cinq ans, disait-il, et de la so
de quelque utilité de définir le théâtre poétique, comment mieux s’y prendrait -on qu’en l’appelant « la Poésie de la Vie en acti
des contempteurs du théâtre en vers et flétri la parodie qui, à tout prendre , est un hommage que la laideur rend à la beauté…
ndamne à ne point regarder les hommes et les passions de son temps et prend pour modèle, non la nature, mais les modèles de s
nous souhaitons, tout en reproduisant dans ses grandes lignes et sans prendre souci d’Aristote, la forme et la solide construct
tats. Dans ce Théâtre d’Art, aux multiples faces, le théâtre poétique prendra une grande place : je parle du théâtre en vers, t
plus faux. Mme Eleonora Duse ne méprise aucun des moyens qui peuvent prendre un public. Ses gestes sont aussi expressifs que l
me relief les dernières caractéristiques et les tendances finales que prit , dans son effort définitif et dans son triomphe,
mours de Cassandre, de Marie, de Francine, etc. Quelquefois aussi ils prenaient des titres qui donnaient davantage à penser, comm
nde d’Evirallin à Elvire15. Cependant Lamartine paraît avoir hésité à prendre le titre de Méditations 16. Je relève, en effet,
Lamartine choisit ce dernier et laissa l’autre… à Victor Hugo qui le prit , en 1856, sans se douter qu’il avait autrefois te
avait autrefois tenté Lamartine, et qui ne l’aurait certainement pas pris si les Méditations ne lui en avaient donné l’idée
dénombrer dans un rayon de miel les fleurs multiples dont l’abeille a pris le suc et l’arôme ? Eh bien, c’est à peine si l’o
ison funèbre en vers ? III À présent, voyons ce que Lamartine a pris à Manzoni. Je n’aime pas beaucoup les rapprocheme
ouve rien non plus, Lamartine, à dater de son voyage en Italie, ayant pris l’habitude de mêler à sa prose des expressions it
ne l’étudia-t-il qu’au point de vue de la forme, et tout ce qu’il lui prit fut la division de son poème par couplets39. Que
our son compte la tradition critique classique. Lorsque le romantisme prit sa cape et son épée pour bouleverser les Académie
lza publient la traduction de Little Men de Louise Alcott. Ce livre a pris le titre italien Piccoli Uomini (Petits Hommes),
e siècle sur le bout du doigt, mais je doute que ce soit là qu’il ait pris le nom d’Elvire qui, du reste, a été porté par pl
as pas quitté. Mlle Charles étant morte le 18 décembre 1817, si l’on prenait cette stance au pied de la lettre il s’ensuivrait
i encore ? que le Lac, qui est de 1817, contienne une strophe ou deux prises au Golfe de Naples, de Pierre Lebrun, qui est de
12 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
ie de son manteau de pourpre royal, jailliront ses désirs secrets qui prendront corps autour d’elle, révélant l’intimité de sa rê
ec l’enlacement harmonieux de leurs mains. À la Vénus de Cléomène, je prendrai la suavité du rythme certain des nombres, car, se
ls lui faisaient faire ne le satisfaisait. Il vendit quelques études, prit un atelier et s’affranchit. D’abord, répugnant à
ur sans engagement, autre recherche de plein air. Le cabotin raté est pris un soir, dans la rue, lamentable, éreinté, loquet
exécuter un monument funéraire. Voilà, du coup, l’impressionnisme aux prises avec l’Art Décoratif. Comment s’en tirer sans sac
aisses, ici la Juive, là l’Ivrogne, et plus loin la Concierge. Il les prend à bras, et, toujours suivi de la foule, les repla
onnée en impression de portail ; — le Sportman, homme de belle santé, pris en plein soleil sur un champ de courses, insolemm
ux d’amour et à des pluies de fleurs tout le spectacle intellectuel ? Prenez un lys et mettez-vous à la tête du cortège : nous
lgarisé en Italie quelques belles phrases ? À quoi donc, depuis qu’il prit sa retraite, s’occupa M. de Vogüé, sinon à vulgar
une des illusions de la conscience, et, sans les précautions que nous prenons pour le mesurer, il passerait toujours identique
13 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
après nature, soit encore cet âcre sentiment d’humour qui quelquefois prend un aspect tragique ou aboutit au genre macabre. «
urs et caves, leur face était pâle, et tellement amaigrie que la peau prenait la forme des os… Leurs yeux semblaient des bagues
de Nicolas V à Léon X, par goût providentiel ou par génie politique, prirent la tête du mouvement. Au privilège du Tacite on l
du giron ecclésial. Toutefois un nouveau personnage entre en scène et prend une place sans cesse agrandie, le savant, philoso
es textes ; et pour satisfaire son impérieux besoin de certitude il a pris la troisième voie qui mène à la vérité : l’expéri
ire de Palmieri, qui prétend que les âmes humaines sont celles qui ne prirent point partie à la rébellion de Lucifer et restère
é, trouvant misérables et vaines les disputes des scripturaires, il a pris le ciel à témoin, le ciel astronomique et la terr
voirs et que, loin d’émanciper, elle engage et soumet. Un homme libre prend son point d’appui en lui-même et s’offre en point
une lucidité singulière que le grand élément de la souffrance humaine prend naissance entre le désir et l’espoir et nous fait
xpression que les théologiens, aveugles et sourds hors de leur bible, prenaient autrefois pour confondre les hétérodoxies. Le dés
our la diffusion. Lorsqu’il se compare au dernier venu à la foire qui prend les objets dédaignés par les autres et met sur eu
aux juifs à s’immiscer dans la confiance des chrétiens studieux et à prendre comme kabbalistes un prestige qu’ils n’auraient p
dieux et à prendre comme kabbalistes un prestige qu’ils n’auraient pu prendre en qualité de rabbins. Chose confondante, il se t
sprit ne peut pénétrer dans le monde élémentaire sans un corps. Où le prendra-t -il ? Un corps aérien resterait soumis à la pénétr
a condition de notre plus noble plaisir. § La philosophie du Vinci ne prend pas seulement son intérêt de son génie et de sa d
rtitude entre l’affirmation religieuse et la critique expérimentale : pris entre deux fanatismes, la Révélation, qui veut co
i, sauf pour certaines femmes laissées dans l’ombre par galanterie, a pris le soin de toujours nommer ses personnages, avec
s fait s’entretuer comme on se dit bonjour. Dans les trois cas, c’est prendre bien au sérieux ce qui ne l’est guère, et toutes
apprêt. N’était la perfection de leur jeu et de leur diction, on les prendrait plutôt pour des paysans en train de divertir à fa
-sociétaires auraient bien dû venir voit leurs confrères siciliens et prendre d’eux une leçon d’aisance et de simplicité dramat
A été à Rome : le pape lui tendant la main pour la baiser, Lannes la prit et la serra fortement. » Plus loin, il nous conte
-t-elle son excuse dans un pressentiment de cette catastrophe ? Taine prit quelques notes. Il jugea ici « le buste trop cour
errocchio. Lorsque celui-ci mourut, quelques années plus tard, Andrea prit son nom, sans doute parce qu’il méritait de conse
es savants envoyés pour représenter l’Église grecque, il y en eut qui prirent de l’influence sur l’opinion. Les érudits Giorgio
lais ducal de Ferrare, il n’avait pu souffrir d’y passer inaperçu. Il prit en haine le luxe, les richesses par lesquels tant
e opinion. Pourquoi, au surplus, aurait-il changé ? Comment aurait-il pris intérêt aux aspects modernes de gouvernement, d’o
il faudrait avoir expliqué, et le lyrisme a horreur des explications. Prenez les plus grands poèmes : je songe à certaines par
son cou l’auréole s’attachera Et quand il sera vêtu de blanc, Je lui prendrai la main, et j’irai avec lui Aux sources profondes
te coterie. Après avoir exposé en 1849 et en 1850, écœuré d’avoir été pris à partie violemment, entre autres par une attaque
ption de cette œuvre (bien que personne encore ne s’en fût avisé), et prenait la défense des bonnes mœurs littéraires anglaises
Destinée, qui en comporte quarante-deux. Contrairement aux habitudes prises dans Shakespeare par les poètes anglais, la forme
la vie collective simplement patriotique ou vastement humaine, et ne prirent pas d’assaut les nuées fabuleuses de l’inspiratio
ent reconnaissables. Ce qui autrefois constituait des « genres » doit prendre aujourd’hui le nom indéfini de « fleuve d’inspira
es. Un groupe d’écrivains, de lettrés et d’artistes italiens vient de prendre l’initiative de commémorer publiquement le nom de
ut-être aussi ne fait-il pas tout à fait le métier pour lequel on l’a pris . Le roi lui demande des travaux d’orfèvrerie, des
tua d’orgueil, d’orgueil généreux, sanguin, exubérant, qui s’y laisse prendre , — pas toujours. Bien que l’humeur à l’excès glor
depuis fort longtemps ce fier ironiste et savant sceptique, duquel je pris ici même l’agréable succession de chroniqueur. M.
’Évangile Éternel qu’on ne connaît que par sa condamnation, destiné à prendre la place du Nouveau Testament dès l’année 1260 !
r d’hommes ne fait pas le tri des poissons, suivant leur qualité : il prend tous ceux qu’il peut atteindre et ses filets doiv
ent la crainte de la guerre et des catastrophes quelle amène qui fait prendre en patience les associations politiques imparfait
te et la portée de ses brocards : fondateur de l’anticléricalisme, il prit le grand public à témoin de la dégénérescence des
int, dans le nombre de ses adeptes, par les études qu’il exigeait, ne prit le public à témoin, sous la forme basse du comiqu
prélats, tortura les cardinaux, les mutilant et coupant le doigt pour prendre l’anneau. Luther marié fut bon époux et oncques n
es pillages, sorte de feux attribués à ses soldats outre la solde, il prenait si réellement le parti du peuple que celui-ci le
son point de vue dans un fait d’histoire, d’art ou de sociologie, de prendre toujours parti pour le pouvoir d’arrêt et jamais
e peintre Pisanello avait subi le même sort à la même époque. Antonio prend lui-même le nom de Pisanello, et il doit donc se
ombre de circonstances concrètes, à l’occasion desquelles Nietzsche a pris parti de la façon la plus nette contre le pouvoir
meure donc qu’en prenant parti pour la Renaissance Nietzsche encore a pris parti en faveur du pouvoir d’impulsion, si l’on e
espéré Auguste, l’ancienne tradition nationale, l’armée commença d’y prendre cet esprit prétorien qui allait s’affirmer dès le
pirée de Boccace, du moins quant au décor et aux personnages, met aux prises deux adorateurs d’une même beauté ; un poète plat
t que troubler et émouvoir le cœur de la dame, c’est le second qui en prendra possession. Tome LXXV, numéro 276, 16 décembr
e sublime que de se consacrer corps et âme à créer des chefs-d’œuvre. Prenez bien garde que la Beauté doit avoir sa place dans
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
Italie : Monsieur, dit-il, j’ai vu la part que vous avez bien voulu prendre au déplaisir qu’éprouve M. Boucher en voyant son
t assujettis ; 2° les connaissances que les architectes ont besoin de prendre en ce pays consistent à ramasser dans un portefeu
fils à l’Académie, lui donnera lieu de connaître le plaisir que vous prenez à lui faire du bien. Je suis, etc. COCHIN. Ce 1er
À son retour, son mérite commença à se faire jour et Cochin se sentit pris pour lui de la plus vive sympathie. […] Lettre
15 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
dicat, non, un comité contenant des « personnalités en évidence » ait pris sa cause en main, que le chef de l’État et une pa
r de la réclame qui les avait primitivement mal disposés, ils se sont pris à réfléchir, et à écouter sans parti pris, avec i
le retour d’un voyage, qui dure depuis le mois de novembre et qui ne prendra fin qu’en avril. Le livre dont je parle peut fair
e, l’arbre de sinistre augure de Virgile et d’Ovide… Lionel la laissa prendre le voile chez les Clarisses. Elle devait, en outr
ment tumultueux saluait la Gioconda, à Palerme. Ici les étudiants ont pris parti contre d’Annunzio, non pas au nom de l’art,
s, aux écrivains innovateurs des noms génériques qu’il ne faut jamais prendre à la lettre. Ainsi l’expression ridicule, Décaden
ement exprimé par son génie particulier. » Voilà ce que M. de Roberto prend pour le programme d’un drame populaire. Il faut b
de la vie florentine passaient sur la blanche surface d’un mur, ayant pris dans le passage je ne sais quel air plus doux et
sions purement terrestres une espèce de sentiment mystique ; il avait pris comme emblème le mûrier, symbole, par son efflore
sements exquis ; Léonard devint un dessinateur fameux de spectacles ; prendre les choses telles qu’elles se présentaient à lui,
hait à l’illusion, sur l’atmosphère sombre qui les faisait ressortir. Prendre un caractère comme il le trouvait, et en faire dé
particulièrement dans la grâce abstraite des lignes qui les bornent. Prenons quelques-uns de ces dessins et considérons-les un
crâne, mince et fin, comme un coquillage de la mer, usé par le vent. Prenons encore une autre tête, aussi pleine de sentiment,
sur la chair humaine. Nerveuses, électrisées, défaillantes, toujours prises de quelque faiblesse inexplicable, elles semblent
e Christ non comme la pâle Hostie de l’autel, mais comme un homme qui prend congé de ses amis. Cinq ans après, le jeune Rapha
comprenaient pas plus que les apôtres ne comprenaient le Christ ; ils prenaient ses paroles au pied de la lettre, matérialisaient
homme. Et c’est pour cela que la foule ne peut lui pardonner d’avoir pris sur elle un si grand ascendant, c’est pour cela q
« voyage idéal », celui qui vous plonge d’extase en extase, qui vous prend follement les yeux et le cœur. M. Jean Schopfer,
s pas expliquer complètement par-là l’ascendant rapide que Savonarole prit sur le peuple florentin. Il est bien certain de t
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
regagner un avantage qu’il s’imagine avoir perdu ; et la conversation prend facilement l’allure d’une polémique un peu aiguë.
l’Arioste, il semble que Casanova n’ait d’autre préoccupation que de prendre son interlocuteur en défaut, comme d’ailleurs il
et c’est très rarement, un sûr moyen de séduction. Goldoni s’y trouva pris et sut exploiter ingénieusement cette admiration
e que nous nous trompions tous deux. » Sur cette ingénieuse répartie prend fin la longue entrevue dont Casanova a tenu à nou
lice, un homme qui souffrait et s’ennuyait. C’est ainsi que s’y était pris Boufflers, qui le charma ; ainsi avait fait cet a
vers de onze syllabes, tantôt puissant, tantôt souple et insidieux, y prend tous les aspects rythmiques de la prosodie italie
e sont pas dans la grande stylisation d’un poème en prose, elles sont prises directement dans la vie, toutes palpitantes. Elle
17 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
maître est allé en Égypte et y a travaillé pour le sultan. Il aurait pris des Orientaux cette écriture allant de droite à g
la pitié de ses contemporains ou de la postérité. Non, il avait même pris ses précautions pour ne pas être martyr ; et on n
une touffe de fleurs bizarres et de feuilles épineuses, qui semblent prendre racines dans le cerveau d’une cadavérique petite
admise comme possible, par maints excellents érudits qui n’ont jamais pris la peine d’examiner eux-mêmes la question. Elle f
res, on fit de divers côtés des enquêtes sur Casanova, et personne ne prit jamais la peine, ou n’obtint la permission de fai
87 et 1889. Mais quand disparut le Livre, en 1889, le Casanova inédit prit fin, et n’a jamais, autant que je puis le savoir,
trente ans. Presque tout le reste était de l’écriture de Casanova. Je pris d’abord les plus petits manuscrits, parmi lesquel
us générales ; ou bien commencent par des considérations générales et prennent fin avec la mention d’un fait particulier. Ainsi,
rs tentatives de préface, dans lesquelles on voit la préface actuelle prendre graduellement forme. L’un de ces brouillons est i
 ! Mariuccia rit de mon admiration ; mais elle veut l’augmenter. Elle prend sur elle de soulever lentement la couverture, et
rs ouvrages fort estimés. J’eus avec lui un échange de lettres qui ne prit fin qu’à sa mort, il y a quatre ans, en 1792. »
arole, quand ils écrivent sur eux-mêmes, et le monde a fort répugné à prendre Casanova tel qu’il se représente. Un a particuliè
ux et si tôt enlevé, il faut pourtant, ne fût-ce qu’une minute, avoir pris contact avec quelque feuillet du début, et pourta
uvait imaginer, à l’heure de ses débuts, quel artiste de génie devait prendre son essor vers la montagne : les virtualités d’un
ontre en quelque sorte ce qu’évoque le clocher avant même qu’on y ait pris garde, à ce clocher. L’Angelus de Millet montre s
à cette apparence sinistrement anatomique d’un cordon ombilical qu’il prendra dans la version lunaire. On peut considérer cette
ct où le péché s’embranche, il le découvre dans le moment où la femme prend pour elle-même conscience de sa beauté. Dès qu’el
s le parti pris qui manque, ici. Mais ce parti, l’auteur, avant de le prendre , consulta trop de personnes, entre celles, du res
récit de cette visite en Hollande et les réflexions sur l’utilité de prendre ce passeport. 4. Bernardin de Saint-Pierre. 5.
18 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
r s’en tenir à la modération et au respect d’autrui ; des engagements pris par les petits royaumes d’en face peuvent lui don
a réalité de vision. Il y a des talents dans lesquels le raisonnement prend la plus grande partie, d’autres dans lesquels la
qualité de l’objet, et comme tel ne peut pas non plus être abstrait. Prenons par exemple la vitesse d’une automobile. L’idée i
e réalité statique, car même un cadavre sur lequel nos yeux se posent prend immédiatement la vitalité que notre pensée lui im
ion de la forme pure de Schiller. Avec les impressionnistes, le sujet prenait une importance relative ; avec les cubistes, le s
de toutes les denrées de première nécessité. Les mesures qui ont été prises l’ont été trop tardivement et sont mal appliquées
s, la Stampa, le socialiste Avanti, le catholique Osservatore romano, prirent immédiatement le parti de la Tribuna. Le journal
uvernement et pour orienter son action dans le sens des délibérations prises en septembre à Zimmerwald. (L’Avanti du 31 octobr
ernier, avoir ébranlé la situation. Les bruits de crise ministérielle prirent plus de consistance. L’annonce, à cette époque, d
le Conseil des Alliés qui vient de se tenir à Londres. Des décisions prises à Londres, on attend en effet un plan d’ensemble
ement italien décida, pour soulager les Russes pressés en Pologne, de prendre immédiatement l’offensive malgré la frontière qui
ssion violente de la Serbie, que la Péninsule, en dernière analyse, a pris les armes. Le problème de l’Adriatique, qui est l
inhach et son orchestre de Cologne. Cette fois, les Allemands avaient pris leurs précautions. Quand ils constatèrent l’abste
sociale de la génération précédente ? D’abord, le sentiment national prend racine sur le bien-être individuel, non sur la mi
; la monnaie de singe ou l’apprêt de notre politesse nous accoutume à prendre une « attitude » et, au théâtre, cette attitude e
le, tandis que je pense, tandis que j’écris, sang et douleur d’hommes pris dans ce tourbillon. Que deviennent les résultats,
quel autre. Elle ne peut lui donner ni lumière ni réconfort. Elle le prend par une main, comme l’on fait pour un aveugle qui
lanche, s’étaient rassemblés dans un dépôt pour revêtir l’uniforme et prendre les armes, cette foule se dirigeait en silence, m
te, de hauts faits de guerre et dont peut se réjouir l’ennemi. Encore prend -il pour cible les restes du château de Lizzana, o
aiser : il devient l’amant de la mère et de la miss de son élève : il prend la dernière après la mêlée d’une des dernières ma
es. Les grands tubes qui précipitent des colonnes d’eau alpestre pour prendre à l’atmosphère 1 électricité motrice. Les grands
fait pape et pape de la vélocité futuriste, d’autres futuristes s’en prennent à la science et donnent en plein dans l’absurde.
. […] Les photographies italiennes également ont l’intérêt des choses prises au moment où l’actualité s’y attache, avec leurs
s, je ne sais où : une petite barque se balance, au lointain, qui les prendra un jour, fatigués ou tristes d’avoir vécu parmi l
haine, ce que nous considérons comme notre puissance, et ce que nous prenons pour de la grandeur, parce que notre orgueil s’en
éjà de l’histoire ! » Et les doctes d’affecter un air important et de prendre à témoin les traditions qui justifient nos pères,
a porté sa contribution à tous les ordres de la pensée ; ce qu’elle a pris , elle l’a développé et modifié. Elle a produit au
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVIII »
elle m’aime. Yesterday and today she has had pleasure. Elle venait de prendre du café avec moi dans une arrière-boutique solita
rible de beauté surnaturelle. On eût dit un être supérieur, qui avait pris la beauté parce que ce déguisement lui convenait
café : au bout d’un quart d’heure, elle a repassé : nous sommes allés prendre du café et enfin, après deux heures de promenade,
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
le crédit de ses lecteurs par une ingénieuse déclaration ; quand il a pris congé de Voltaire, avant de se mettre en route po
e montre pour la première fois n’est pas encore rebutée. Aussi a-t-il pris peu à peu l’habitude de s’exhiber à travers toute
rs reprises, avec une fougue bien divertissante ; le lendemain, il le prend amicalement par le bras et l’emmène promener dans
erait-ce que pour contrarier son hôte, sur lequel il a une revanche à prendre , ne l’oublions pas, Casanova s’empresserait de co
inquisiteurs d’État étaient le produit le plus contestable, Casanova prend feu contre les critiques imprudents : il ne peut
e au rôle de muet.” Et, voyant que le sujet ne me plaisait pas, il me prit par le bras et me mena dans son jardin14. » Le su
us de vingt ans après la publication du Dictionnaire philosophique, a pris plaisir à retrouver dans ce livre qu’il a certain
gueur politique, et, par là, les pouvoirs d’Auguste eurent tendance à prendre un caractère absolu que, constitutionnellement, i
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
écorer ainsi les appartements. À Naples, comme à Paris, quand la cour prenait le deuil, tout le monde, jusques aux artisans, se
le font en criant, à tue-tête. (Très vrai.) Les plus petits artisans prennent du café qui, là comme en France, a remplacé l’usa
Les meilleures sociétés se réunissaient aux loges des théâtres. On y prend des glaces, on écoute un air ou deux, et l’on s’o
22 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
ntenant qu’il y a Séparation, et n’était que cette lutte éternelle va prendre des formes nouvelles, on s’est déjà demandé si, e
e ne serait pas là de l’histoire des religions ? Et quand un Giglioli prend pour texte les objets de son musée, passe en revu
té l’objet de sa ferveur, un amateur de la Tosca ou de Paillasse n’en prendra pas moins son billet. Peut-être sa curiosité sera
eût soupçonné qu’ici encore cet artiste dépourvu de scrupules avait u pris son bien où il l’avait trouvé », tout en déguisan
ion du cahier du comte », son ami, et imprimé entre guillemets, était pris dans le vol. XV de The Edinburgh Review, de même
ué ses personnages de façon charmante ; dès que le drame s’engage, il prend volontiers des poses redondantes et cède à une él
tes11, avec les autres œuvres de la collection Victor Gau. À côté ont pris place […] une fine étude de Corot, la Piazzetta,
sir parmi ses tableaux les peintures qu’elle voudra, à condition d’en prendre au moins les trois quarts. On trouve dans la list
est fait homme l’anthropomorphisme va de soi : mais le Saint-Esprit a pris une forme égyptienne, c’est un oiseau, une colomb
Flavio. Malgré la morgue de ce jeune prince, elle réussit à lui faire prendre patience, le conduit au mariage et meurt ensuite
uelque surprise. Ce n’est point de sa faute si cette fois la surprise prit un peu les allures d’une mystification, et on ne
eauté, car elle a entraîné dans sa mort l’être aimé. Le fait-divers a pris une signification « lyrique », dans le sens que B
ces infortunés comme une sorte de génie familier et bienveillant, qui prend cette figure humble pour garder la maison de tout
rçu. Nous revînmes tout silencieux le long des rues désertes, et nous prîmes au hasard un large escalier qui nous offrit de la
e, par M. Ch. Chauvet. […] Il reste à mentionner des vues et édifices pris hors de France, en Italie, surtout : porte et égl
es les étapes sont marquées par des romans. Enfin le poète lui-même a pris le chemin qui mène de Rome-la-Magnifique non pas
Corrado Brando peut dire à son ami : Je suis prêt pour mon but, pour prendre sur moi ce qu’il y a de pire sur la terre, décidé
ments ; des nuages passaient comme des chevelures, dans lesquelles se prenaient des étoiles… » De tout l’ensemble de cette évocat
tous, intensivement, hors du temps. Et tous, et l’écrivain même, sont pris dans la souvenance de la race, sans cesse. Dante
voix d’un muezzin est de couleur violette, ça ne me choque pas ; j’en prends mon parti lorsque je me trouve devant le tableau
amant, qui par jalousie la balafre. Elle veut le sauver, mais il est pris , condamné. Pour le voir de temps en temps, pour q
dont la matière elle-même est esthétiquement pauvre. Mais si un poète prend comme protagoniste idéal la nature elle-même, au
actions un théâtre. Chaque fois qu’une de ses nombreuses admiratrices prenait pour dix mille francs d’actions, il consentait à
ainsi, à côté des pleureuses de Santa Maria della Vita, qui semblent prises de coliques en regardant le cadavre du Christ ; d
i voulaient aller vers la Vie (avec un grand V). Depuis M. Weyl ayant pris pseudonyme d’un héros d’Anatole France a rédigé,
unique. Avec quelle nonchalance il vante l’indulgence et conseille de prendre le plaisir qui passe. Couronne-toi de rose, ne t’
étaient des peintres, nous sommes des gens de lettres. S’ils étaient pris par la couleur, nous le sommes par la littérature
Colisée, le Saint-Père et la Vénus capitoline. Être à Rome, et aller prendre son sorbet au bord de la mer, qui, du million de
entation en vise à nous amuser plutôt qu’à nous moraliser. On en peut prendre son parti. Et puis MM. Cooper et Duquesne sont de
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
s éveiller les soupçons de l’inquisiteur. Libre aux universitaires de prendre encore ce manuel de cryptographie pour un art poé
toscan et papienses les habitants de Pavie. Pour M. Labitte, « Dante prend sa langue splendide à tous les patois italiens qu
bent en rage au seul nom d’empereur et les décrétalistes aussi. Dante prend l’un après l’autre les arguments du Saint-Siège,
mpérance et des mesures ; et la méfiance qu’on dédie aux doctrinaires prend sa raison dans l’imperfection humaine qui pousse
x : et leurs compatriotes l’ont bien senti qui depuis des siècles ont pris l’habitude d’appeler chacun d’eux leur « Angelico
té de son esprit il se soit trouvé las, et que le découragement l’ait pris , et qu’une immense tristesse se soit gravée sur s
e crains aussi que lorsqu’il parle des Florentins, M. de Wyzewa n’ait pris trop aisément la contrepartie des idées de M. Ber
24 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
t d’y fourrer lui-même son nez. Un soir, une foule anonyme et artiste prit crânement d’assaut la palissade qui défendait enc
faire luire le feu sacré très haut. Pour atteindre ce noble but, il a pris Venise-Anadyomène comme théâtre, Venise où toute
Casanova a le mérite d’être presque un précurseur, a pu, je crois, en prendre connaissance chez eux. Il faudrait obtenir de pou
, en prendre connaissance chez eux. Il faudrait obtenir de pouvoir en prendre copie. Voilà une tâche toute trouvée pour la Soci
téressant et de bien à lui. Signe caractéristique : Tullio Giordana a pris part, en 1897, à une expédition au secours de la
e suffira à démontrer l’importance que la représentation du Nerone va prendre en Italie. M. le duc Visconti di Modrone, qui dep
ides et maladroites imitations depuis trois siècles nous avaient fait prendre en horreur. — Aussi bien, le souvenir de Tibère p
vague soupçon qu’il y a des milliers et des milliers de lecteurs qui prennent un plaisir fou aux aventures mi-religieuses mi-po
mbre des chapelles, tout d’un coup revient à la réalité : les visions prennent une forme visible… Et il écrit des pages pleines
iques proprement dits, et par l’allure libertaire que le Gouvernement prend toutes les fois qu’il a peur de sombrer quelques
25 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
et rien de plus : « Haleka-Luccas, ayant lui-même terminé son dessin, prit un pinceau et se mit à colorier. Je lui demandai
et fort juste résumé de l’actuelle histoire littéraire, qui nous fera prendre patience jusqu’à l’apparition des Modernes Byzant
, plus vrai que pour nous — mais n’importe, vous ne leur ferez jamais prendre des lanternes pour des étoiles. Si peu qu’ils sac
la moitié du public européen, grâce aux chroniques des journaux, est pris , lui aussi, plus ou moins profondément, de la mêm
, et, au reflet des auréoles, mieux qu’au soleil des carrefours, elle prenait des entournures d’or. Là, le mendiant chrétien, —
manes, qu’on nous permette de développer ce tableau des religions aux prises , sous les couleurs de deux autres époques analogu
r l’intermédiaire de Charlemagne, dans la nuit de l’Occident, où elle prit son véritable caractère mystique, durant les doul
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
ainsi dire manqué pour se traduire en vastes mouvements collectifs et prendre forme dans les doctrines et dans les rites. Il y
t de caractère religieux de création et de formation des consciences, prises dans la totalité de leur vie. Dans l’apparente di
l’aspiration à cette réalité conçue comme amour et intelligence, ont pris le dessus sur la terreur qu’on trouve à l’origine
œuvres d’une portée plus universelle : car, par le fait même qu’elle prend son origine dans la vie, l’œuvre d’observation en
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
rédéric Charpin. Il est incontestable que les études religieuses ont pris , durant ces dernières années, un développement ex
précisent. On voit se former des écoles nouvelles. Le débat religieux prend plus de netteté et de vigueur. Il se produit, au
le peuple romain, se voyait poussé, par un entourage ultramontain, à prendre Rome, à détruire le gouvernement républicain de M
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
pénètre dans une chambre où la Charpillon était précisément occupée à prendre un bain ; mise en scène admirablement préparée et
au lit et y resta plusieurs jours, sans vouloir recevoir personne ni prendre connaissance des lettres qui lui parvenaient. Deu
prétendait faire. L’accord est conclu ; toutes les dispositions sont prises  ; et voici enfin Casanova maître de la fille. On
re que la fille est à l’agonie. Désespéré, torturé par le remords, il prend la résolution de se tuer. Il allait se jeter dans
29 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
e, le public, toujours un peu bête lorsqu’il est au théâtre, pourrait prendre une pièce de D’Annunzio pour un bazar d’antiquité
nes filles avec un œillet rouge, et depuis lors la vieille comtesse a pris en horreur la fleur innocente. En causant avec la
M. Ferrero appartienne à un parti politique ; son talent ne peut pas prendre tout l’essor qu’on devine, comme raccourci et tou
la Martinique les curieux renseignements suivants. L’anticléricalisme prend des formes diverses selon le degré de culture (ja
is parfaitement qu’ils ne pèseront d’aucun poids dans les décisions à prendre … si, toutefois, on change quelque chose, ce qui e
rs une grande consolation de voir de belles coppies dont le trait est pris sur les originaux… A l’esgard des meubles, je ne
uelque pensée que j’ay, eu esgard au service du Roy, pour lequel vous prenez , Monseigneur, tant d’intérest. J’auray donc, s’il
honneur et le plaisir que j’ay d’estre icy sous vostre protection, de prendre la liberté de vous remontrer, très respectueuseme
sa réponse à d’Antin, sur ce trait : « … Gagnons quelques batailles, prenons quelques villes de considération : l’on viendra a
mpréhensifs, cherchent à justifier une admiration qui ne sait plus où prendre les sûres références de la vraie Tradition et que
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
ar bariolé du sinistre orgueil de quelques-uns. L’amour patriotique a pris chez Carducci tous les attributs de la haine. Sa
et conspué par les jeunes, détesté par les prêtres toujours, Carducci prit , il y a déjà longtemps, la place suprême qu’il oc
et éternelle jalousie. Le Poète affirme sa puissance. Son expression prend nettement la forme de son esprit. Il écrit son ve
re plus calme ou plus heureuse la vieillesse du chantre national sont prises . Le poète est dans toute sa gloire italienne, et
œuvre, de prose et de poésie. Déjà des jeunes penseurs s’efforcent de prendre devant l’Italie l’attitude du maître devenu silen
31 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
sant habile et astucieux. Tromper à ce point la postérité, nous faire prendre jusqu’à la fin des siècles pour « le témoin indig
. — Étude sur l’Argent de M. Zola, par Giuseppe Depanis : le critique prend à ce livre un intérêt qui nous étonne ; il suffir
nt ! Sur l’Égée Souriaient les belles îles épandues. * Ah ! la Parque prit son vol. De montagne en montagne Pleura la lyre d
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXIX »
ngée dans l’apathie de l’ennui et, à propos de bottes, ne voulait pas prendre sa leçon ce matin ; je l’ai portée à la prendre p
ottes, ne voulait pas prendre sa leçon ce matin ; je l’ai portée à la prendre par des plaisanteries ; chanter devant moi, et de
33 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
st au cours et surtout vers la fin du xvie  siècle que la sensibilité prit nettement conscience de l’harmonie. L’événement é
e traiter le latin avec familiarité. Ainsi se forma le français. Cela prit une tournure décisive au moment des invasions ger
e d’incomplet, d’inachevé si l’on pense à celui qui l’a accomplie. Il prit trop d’intérêt à lui-même, et pas assez au monde
-Aurèle, apportée de Saint-Jean-de-Latran. Un second escalier contigu prend à gauche, et s’élève en s’écartant jusqu’à la vie
uméro 179, novembre 1904, p. 289-315. De charitables esprits ont déjà pris soin de nous prévenir que la prose ou les vers de
ravailler plus que ça… Prenez garde à la tristesse. C’est un vice, on prend plaisir à être chagrin, et quand le chagrin est p
es femmes, qu’une bouche ardente suce infatigablement sa vie ; il est pris de haine pour l’image dont « aucun voile d’amour
ne d’être citée : G. DE MAUPASSANT (pp. 190-191). Levesque, ayant pris une chaise, lui demanda : — Alors vous v’nez de l
Une fausse manœuvre provoque un accident : l’un des marins a le bras pris , immobilisé et violemment serré entre le lourd câ
promenade à la campagne, où elle s’offrit à lui, où lui ne sut pas la prendre . Pareillement, dans la Veglia funebre, le prêtre
ces menus incidents que l’ignorance et la sottise grossissent, et qui prennent au village les proportions d’un drame, G. d’Annun
34 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
pourquoi — n’est donc plus ici qu’un épisode ; même l’intérêt ne nous prend qu’aux détails de son histoire posthume ; au réci
liptique reste au grand poète. Les amis de Cavallotti se proposant de prendre leur revanche, projettent maintenant de planter s
in de là s’élève aussi sur cette place un monument à Garibaldi, on se prend à souhaiter que les admirateurs de Cavallotti ren
arusi d’une usine occupant treize cents ouvriers. Deux de ces enfants prirent des lampes et servirent de guides aux visiteurs.
t extraordinaire. Ma foi, Somellini sera reçu au petit bonheur ; lui, prend le carrosse de M. Colbert et s’en va sur le chemi
là au travail, décidé à frapper un grand coup. La cour du Louvre doit prendre la forme d’une croix grecque ; ce que Lescot et P
quand ils l’achevèrent. Les murateurs furent fort étonnés et ils s’en prirent à la gelée, qui avait tout gâté, comme si c’était
assemblèrent pour hâter le départ du Bernin et empêcher que son œuvre prît corps, cela est fort intéressant, mais dépasserai
35 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
de Chiappini dans cette substitution, — elle prétendit, disons-nous, prendre , dans la maison d’Orléans, le rang que Louis-Phil
patriotes, et dans des hexamètres et des pentamètres bien tournés, il prend devant eux une attitude de critique impitoyable e
36 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
», et du peuple, « admirable réserve sociale », mais qui n’a « jamais pris conscience de ses droits ». Et, par ailleurs, la
eproduction du vrai et à la justesse du mouvement. Avec lui la figure prend corps isolément, le groupe se détache bien du fon
37 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
ples avides qui la préparent sans cesse et ne la vivent point, ils la prennent telle qu’elle leur vient et ils en jouissent. »
es agneaux et les chevrettes. François, que le peuple vint consulter, prit son bâton et entra dans la forêt. Il rencontra le
range et géniale. M. Oliva se borne à résumer Zarathustra ; son style prend alors une allure très vive ; mais en comparaison
38 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
Je me suis approché ; à peine m’a-t-il vu, il a fermé son livre, m’a pris le bras et s’est mis à me dire : « Je connais dep
crépuscule. Celui qui ne put pas aimer…… Depuis que Don Juan a pris femme, il est presque impossible de le rencontrer
tu connaissais alors. Tu comprends mon envie de savoir et d’écouter. Prends -moi de nouveau pour compagnon, jusqu’à ce que tu
39 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIX »
noir et majestueux de Vinci convenait surtout à cette scène. Bossi a pris un coloris illuminé de partout. Il est sûr que, d
40 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXV »
s auraient été bien sots et bien peu de leur pays s’ils n’avaient pas pris ce parti. Aussi la religion est-elle une supersti
41 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVI »
herché à l’amadouer par des prévenances gracieuses. Cela a assez bien pris . But the husband a fait devant moi des reproches
42 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
ez-vous pour 10 heures. Mais le coquin de perruquier chez lequel j’ai pris une chambre s’est avisé de suivre A. jusqu’à sa n
43 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIII »
hiesa. À moitié chemin pour Saint-Ambroise, j’ai quitté la voiture et pris la portantine. Vous savez le reste. Me voici, à 4
44 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
ue mon amour pour elle. Je ne savais pas trop ce que je faisais. J’ai pris le chocolat avec elle, nous nous sommes allés pro
45 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 233, 1er mars 1907 »
lien qui réclame Trieste. Quand on veut Strasbourg ou Trieste, on les prend , si on peut, mais il est inutile de formuler en v
46 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 »
ion religieuse positive. Mais, une fois créée, celle-ci se solidifie, prend des contours rigides, s’immobilise et se ferme, p
47 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
nte en donna un exemplaire qui passe pour estimable. M. Rapisardi l’a pris sur un ton moins élevé, se bornant à rimer, trop
48 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
èrent les 322 tableaux restants, puis, plus tard, en 1872, 141 autres pris sur ceux qu’avait conservés le Louvre. Cette disp
49 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
y a une foule de vérités historiques et esthétiques qui doivent être prises en considération. Au surplus, d’Annunzio s’y révè
50 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
Le troisième traité est consacré au second amour. « Mon second amour prit naissance dans la miséricordieuse figure d’une da
51 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
avait alors quinze ans. Voici trois faits des plus marquants. — J’ai pris ceux-là on comprend pourquoi : « tout le monde ét
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