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1 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
par un puissant enchanteur, le profanateur, le copiste qui regarde le portrait de Lisa Gioconda cesse bientôt de le voir et se l
ercure de France. Je tenterai d’esquisser ici même un de ces jours le portrait de l’antiphilosophe Papini. Dans l’Almanach purga
. J’ai parlé de vous à Stella-Lucente. — M’autorisera-t-il à faire le portrait de sa femme ? — Je l’espère ! Je lui décrivis la
tout au plus. — Je vous écoute… — Je serais très heureux de faire le portrait de Mme Stella-Lucente. Wellseley demanda cela abs
use, je vous présente M. Wellseley, un peintre qui désire faire votre portrait . Monsieur est un ami d’Aldramino. J’espère que vo
êtes persuadé, cher Alcibiade, que je vous ai tracé du personnage un portrait bien noir ! Mais, ce sont bien là ses manières. J
trois quarts des gens ! Il vous a accordé, immédiatement, de faire le portrait de sa femme et cela vous émerveille ! Je connais
temps, un plaisir étrange : il joue avec sa jalousie. Faire faire le portrait de sa femme est contre tous ses principes. Il a r
Antonio avait annoncé, et devant la Ceschini, qu’il avait commandé le portrait de sa femme à mon ami Wellseley. Quant à ce derni
sault-Coudray, Antonio avait annoncé que Wellseley allait peindre son portrait . Elle avait, tout aussitôt, essayé de rendre conf
, par lequel Antonio le priait, fort poliment ma foi, de commencer le portrait de sa femme. Voici le récit de cette première séa
? Elle répondit : — Non ! — Est-ce uniquement le désir de faire votre portrait qui l’a poussé à… Il n’acheva pas sa phrase. Auro
es qu’avait formulés Antonio au sujet de Wellseley l’intriguèrent. Ce portrait , n’était-il qu’un prétexte pour se rapprocher d’e
uyez-vous ? Hier vous ne m’avez pas reçue. — Antonio fait peindre mon portrait . Nina ôta son étole de fourrure, remonta sa voile
a voilette. Un rire mauvais écarta ses lèvres sur ses dents : — Votre portrait  ! Elle examina Aurora des pieds à la tête, lentem
ortrait ! Elle examina Aurora des pieds à la tête, lentement. — Votre portrait  ! s’écria-t-elle. Comme s’ils n’étaient pas morts
re ses sentiments, ses rêves : Qu’espérer d’un passant qui fera votre portrait comme il ferait le mien ! Je vous parais exagérer
ire que vous soyez au courant de certaines choses. Voici : je fais le portrait d’une grande dame vénitienne. — L’image de vos so
, sans le voir, lui ! C’est intolérable. Aussi, j’exécute, là-bas, un portrait quelconque. C’est ici, délivré de cette présence,
la toile. Et moi, Enea Aldramino, vénitien, habitué à contempler les portraits des vieux maîtres, je demeurai ébloui, et comme h
ntonio ! N’oubliez pas Nina Ceschini. Nul n’ignore que vous faites le portrait d’Aurora, et pendant qu’Antonio en parle comme d’
— Mais si mon désir était impérieux ? Comme elle se dirigeait vers le portrait , Wellseley l’ôta du chevalet : — Madame, je préfé
’incliner. — J’ignorais qu’un tel mystère entourât la confection d’un portrait  ! J’ai eu tort d’insister puisqu’il n’y a que vou
range, vraiment, que vous n’ayez jamais eu la curiosité de voir votre portrait  ? Ne désirez-vous pas le connaître, hein ? — Pas
portait une toilette identique à celle qu’elle avait adoptée pour son portrait , mais les épaules étaient plus nues. Elle faisait
es forêts. Au-dessus de ce groupe, souriaient, dans leurs cadres, des portraits d’ancêtres. — A-t-elle de la ligne, cette famille
a à venir nous y retrouver ! Adieu, à ce soir ! Il la mena devant son portrait . — C’est mon âme, ma vie que vous avez prise, s’é
que vous portiez est la copie de celle que vous avez adoptée pour le portrait qu’un peintre anglais est en train de faire, n’es
réussi, ma foi ; je dois le reconnaître. Elle sourit, et songea à son portrait véritable. — À propos de peinture, reprit Ugo, je
. Il contenait la boîte de couleurs de Wellseley, son chevalet, et le portrait d’Aurora crevé d’un coup de poing. — Qu’est-ce qu
emps, il demeura à Venise, soit chez moi, soit aux Zattere, devant le portrait d’Aurora. Je lui répétais les sottises qui se déb
entrebâilla la porte de la salle où Wellseley avait peint, jadis, le portrait d’Aurora. Dans le grand fauteuil, Aurora était as
e de Léon XIII, donne sur sa vie de nombreux détails inédits. Un beau portrait du cardinal, œuvre de Philippe Laszlo, accompagne
s spéciales. Elle avait déjà donné l’an dernier, on s’en souvient, un Portrait de conventionnel attribué à David, que nous ne so
par Desiderio da Settignano ; des Madones de l’école florentine ; des portraits en bas-relief de l’école lombarde ; les statues e
s, un charmant tondo de Ghirlandajo, une Vierge au livre de Luini, un Portrait de Bianca Maria Sforza par Ambrogio de Predis, et
ortrait de Bianca Maria Sforza par Ambrogio de Predis, et deux autres portraits , formant diptyque, attribués à Mainardi ; dans le
été, et qui nous fait en grand seigneur les honneurs de sa galerie de portraits , unique au monde. Le Chevalier Gluck et sa « 
r. Les Revues. La Revue d’Italie (fusion avec France-Italie) : un portrait de M. G. d’Annunzio, par M. Renato Serra Charle
(1er juillet) contient, sous ce titre : « le Dernier d’Annunzio », un portrait exceptionnellement bien venu de l’admirable auteu
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 250, 15 novembre 1907 »
eut-être pu retenir quelqu’un des merveilleux Rembrandt qu’étaient le Portrait de Titus, le Portrait d’un savant, le Christ et l
elqu’un des merveilleux Rembrandt qu’étaient le Portrait de Titus, le Portrait d’un savant, le Christ et la Samaritaine, ou le s
lo et des Guardi […] M. Pierpont-Morgan a acquis plus d’un million le Portrait de Giovanna Tornabuoni. […]
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
car on les sifflerait si on les comprenait8 ». Voilà textuellement le portrait que Casanova fait d’Albergati ; encore, comme Vol
ourd’hui, avec ce premier tome sur Auguste, une importante partie. Ce portrait d’Auguste est bien tel que le faisait prévoir l’e
plus que lui, a la science insidieuse des moyens à longue portée. Ce portrait de despote cauteleux, maniant avec une adresse co
dangereux glaive à deux tranchants de la puissance césarienne, un tel portrait , celui de la tradition, était généralement adopté
de l’histoire de Rome. Eh bien ! l’originalité paradoxale du nouveau portrait d’Auguste, du portrait signé Ferrero, c’est… sa m
Eh bien ! l’originalité paradoxale du nouveau portrait d’Auguste, du portrait signé Ferrero, c’est… sa modestie même, voulue ;
ginaux et mis en ordre méthodique, avec une introduction par Péladan. Portrait de Léonard de Vinci et XXXI facsimilés de dessins
4 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
crois le pastel de La Tour, le tableau de Lancret et surtout l’exquis portrait ovale de Carle Vanloo, la Sylvia eut un peu de vo
ort depuis quelques jours, découvre dans le tiroir d’un secrétaire le portrait d’une femme masquée, qui appartenaient (tous les
re le portrait d’une femme masquée, qui appartenaient (tous les deux, portrait et femme) au mari de Cecilia. (Je me suis toujour
imprudents ; est-ce qu’il est nécessaire de cacher dans un tiroir le portrait d’une femme qu’on peut posséder en original tant
ême jour pour fouiller avec un prétexte dans le tiroir et enlever son portrait à elle ; mais, comme on vient de le voir, le port
et enlever son portrait à elle ; mais, comme on vient de le voir, le portrait lui est échappé et il tombe plus tard dans les ma
r devant cet épisode malheureux. Elle prie sa mère de jeter au feu le portrait , pour qu’aucun nuage ne puisse ternir l’image de
t presque de beauté, dont les musées et les collections possèdent des portraits si savants et si précis, qui mourut aveugle, héla
et comme sa physionomie en adaptant, par une tendance naturelle, les portraits mêmes à un type uniforme et en altérant les trait
siner des figures idéales… On ne pourrait pas connaître l’auteur d’un portrait si l’on ne voyait ce que nous appelons l’air de f
d’elle en quelque sorte une œuvre encore singulièrement émouvante, le portrait de son âme. Tel n’est pas le cas. Les circonstanc
de Murillo, des enfants et des moutons du même ; deux très admirables portraits d’Holbein… L’esquisse du Corrège dont je parlais,
5 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
d’être dispersé comprenait le reste des tableaux, parmi lesquels les portraits de famille, puis des faïences, des meubles, des l
areté des productions, fut payé 95.000 francs. Parmi les tableaux, un portrait du graveur Marc-Antoine attribuée à Raphaël, fut
r Marc-Antoine attribuée à Raphaël, fut vendu 112.875 francs, et deux portraits de Mrs Hope et de Mrs Charles Hope, par Lawrence,
, on peut le répéter, — et même de l’enthousiasme. Il donne aussi des portraits curieux, des silhouettes heureusement tracées, la
lle œuvre, d’autant plus que l’aristocratique musicien semble être un portrait de Philippe II ; le Neues Wiener Journal 8 se pla
ks, soit, au total, 16 millions de francs. […] Citons encore : […] un portrait d’homme par le Tintoret, 230.000 ; un autre par M
rie nationale d’Art moderne de Rome. On y verra de Girolamo Induno un Portrait de Garibaldi et les Derniers moments d’Anita qui
on livre n’est pas seulement, comme on pourrait croire, un recueil de portraits . Certes, M. Jules Destrée peint avec talent MM. S
le cri redouté de l’aigle autrichienne : Eja, eja, eja, alalà ! Un Portrait de l’Arétin Jusqu’en 1531, année où le pape Cl
que et l’opinion publique mettaient au compte de Raphaël, tels que le portrait de la Foscarina, le Joueur de violon et le Baptis
ome, dans la Résurrection de Lazare de la National Gallery et dans le portrait d’André Doria. Portraitiste excellent, il a laiss
dré Doria. Portraitiste excellent, il a laissé comme chefs-d’œuvre le portrait de Vittoria Colonna de Naples et celui de Pierre
dans la vie de Sébastien del Piombo : Il tira vers le même temps le portrait de M. Pierre Arétin et le fit si bien qu’outre la
en sur ces noirs qu’elle ne serait pas mieux au vif et au naturel. Ce portrait a en main un rameau de laurier et une charte où e
ngénieux concitoyen et n’en recevant pas moins de lui. Vers 1845, ce portrait fut recouvert d’un vernis à voiturier, une affreu
du côté des deux amants ; quand la copie est terminée et qu’aussi le portrait de Lodoletta est achevé, Flammen reçoit l’annonce
orielle di novo conio, qu’on vient de rééditer. Ce nouveau recueil de portraits et de contes florentins est peut-être meilleur qu
hesne sur la transformation des universités françaises. Échos. Un portrait de saint François Mercure. Tome CXXX, numéro 
nes et qui apprendront avec joie que l’on a ainsi retrouvé un nouveau portrait de saint François. Ces peintures étaient cachées
dus. Outre ces fresques du xiie  siècle, on en a du xive  : c’est le portrait de saint François qui se dresse en haut sur la pa
visage maigre, le menton subtil, le regard vif et tranquille. Dans ce portrait , qui diffère de ceux qui sont déjà connus, il fau
re de ceux qui sont déjà connus, il faut voir sans doute le plus beau portrait du Saint. Il répond à la description de saint Fra
t et de profondeur dans l’expression qu’on ne peut lui comparer ni le portrait de Subiaco, ni ceux de Cimabue, de Margaritone, d
6 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
é à Verdi : études sur le musicien, sur l’homme, autographes inédits, portraits caricatures ; puis des articles tels que le Type
nouvelle acquisition : une peinture, école italienne du xve  siècle, portrait de jeune femme attribué à Vittore Pisano, peintre
t fort rares : le Louvre ne possédait de lui que quelques dessins. Ce portrait semble représenter l’une des deux femmes de Lione
7 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
férences ; les jugements, toujours motivés, sont précis et sûrs ; les portraits , agréables et ressemblants. Le reste du volume n’
et de San Fermo à Vérone, un saint Georges à la National Gallery, un portrait de femme au Louvre, sur lequel je vais revenir, e
au symbolique venu de Ferrare, elle répond par cet autre symbole, son portrait , — ce petit panneau peint qui est là dans cette s
ne indifférence hautaine, un mépris souverain des formes communes. Ce portrait , dans la seconde édition, est devenu, pour ainsi
scinant est toujours l’épithète qui le décrit. Il ne nous reste aucun portrait de sa jeunesse ; mais tout nous porte à croire qu
celle de la personnalité humaine, et il devint surtout un peintre de portraits , de figures rendues avec un art qu’on n’avait jam
urieux observateur, à un inventeur si ingénieux. Aussi peignit-il les portraits des maîtresses de Ludovic, Lucretia Crevelli et C
erani la poétesse, de Ludovic lui-même et de la duchesse Béatrice. Le portrait de Cecilia Galerani est perdu, mais on a identifi
ovic reste encore dans la Bibliothèque Ambroise. En face est placé le portrait de Béatrice d’Est, en qui Léonard semble avoir su
i se joue sur toute l’œuvre de Léonard. D’ailleurs, ce tableau est un portrait . Depuis sa jeunesse, nous voyons cette image se d
ns la maison d’Il Giocondo. Que cette peinture soit de la nature d’un portrait , le fait est attesté par la légende qui veut qu’o
sfigurait à ses yeux, car M. Barbiera, qui a pu voir plusieurs de ses portraits , nous affirme qu’elle n’avait rien de commun avec
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVII »
Je vois les Studij ou le Musée. Pauvre en tableaux, mais des statues ( portraits ) pour la plupart belles par le naturel. Celle de
à cheval. Ridicule de dames romaines, déjà âgées, faisant faire leur portrait en Vénus. Comme l’a remarqué Strombek, toutes les
9 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
à se ressembler : si bien que la Transfiguration de San Salvatore, le Portrait de Madrid, la Nymphe de Vienne, toute l’extraordi
ntoret est plus grand caractériste, et pour très beaux que soient les portraits du premier, ils n’ont pas toujours l’extraordinai
tique français va un peu loin lorsqu’il écrit qu’il suffit de voir le portrait de Verrocchio tel qu’il est gravé dans les vieill
haël responsable des croûtes de la grande galerie du Louvre comme les portraits de deux hommes ; mais le trop vanté Balthazar Cas
l’art ancien et moderne, M. Prosper Dorbec termine ses études sur le Portrait pendant la Révolution et M. C. Bayet commence un
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
ait précéder son ouvrage d’une préface qui nous donne de Catherine le portrait le plus attachant. Elle ne possède ni la veine d
choix des lettres. Elles sont d’une lecture des plus attachantes. Un portrait de Catherine de Sienne d’après Sodoma sert de fro
mern, l’écrivain italien E. A. Butti, dont elle reproduit un fort bon portrait . […] Lettres italiennes Ricciotto Canudo.
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
ance. Sans doute élève lui-même de Gentile da Fabriano dont il fit un portrait de profil aujourd’hui perdu, il fut à Ferrare le
physionomie, par la clarté de la présentation, supérieure à un petit portrait comme celui que Jacopo peignit dans sa Madone du
rand des trois Vivarini. Influencé par Antonello de Messine, dont les portraits de la collection Trivulce et du Louvre sont unive
12 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
utèrent. Que reste-t-il ? Quelques fresques à demi effacées, quelques portraits aux Offices, deux têtes et deux ébauches à la Nat
geste charmant, les deux cents ducats d’or dans la tasse d’argent… Le portrait que le Borghèse nous en a laissé est aujourd’hui
laissa le loisir d’accomplir sa promesse, en l’obligeant à faire son portrait , celui de Battista Sforza, sa femme, et leur Trio
t perdu un œil dans un tournoi ; au revers, se trouve le Triomphe. Le portrait de Battista Sforza a la même ordonnance. Voici ce
ormais inconnues et immémorables pour lui. Il en arrive à déchirer le portrait de sa femme dont le jeune André lui avait fait ca
627 [625]. The Saturday Review (19 février). — […] un article sur le Portrait d’Amerigo Vespucci par Ghirlandajo, récemment déc
séparés ; ils détruisent tout ce qui reste de leurs amours, jusqu’aux portraits de Saveria. Puis, ils vont braver leur passion ;
e toute l’histoire de la péninsule de 1815 à 1870. Un grand nombre de portraits , de reproductions de monuments en augmentent l’at
okman (juillet). — […] une étude sur Fogazzaro par Helen Zimmern, des portraits de Stevenson, George Moore, d’après Manet, Herman
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
nsi que le fait de M. de Wyzewa, tenir pour un chef-d’œuvre absolu du portrait le Castiglione de Raphaël au Louvre. Si l’œuvre a
eint que difficilement à la qualité d’un Sébastien del Piombo, et les portraits d’Ingres valent mieux. Une œuvre de lui indique d
sentir la désagréable impression d’une dissonance complète. Autant le portrait de compositeur est d’un saisissant relief, autant
14 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
e et extrême acuité. S’étant tiré des ennuis de caserne avec quelques portraits d’officiers, il avait vingt-trois ans, quand on l
de ses propres œuvres : Le célèbre collectionneur Rouart commande son portrait à Rosso. Degas, lui-même, rarement prodigue d’élo
d’un logement et d’un atelier au boulevard Voltaire. Rosso exécute le portrait  ; puis met un frein à sa veine de production. On
les Parques du British Museum, et, dans l’art romain, certains fermes portraits tels que le Vitellius — non point le beau garçon
nistre, généraux. Oh ! ce Baratieri à la tête en poire ! Ayant vu son portrait , on pouvait écrire d’avance l’histoire de l’armée
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
ères les plus fortes furent réservées à deux peintures du Titien : le Portrait d’un seigneur vénitien monta à 119 000 fr., le De
artolomeo Veneto. Une autre enchère importante, 21 500 fr., alla à un Portrait de jeune fille, par Bernardino Luini, d’un sentim
16 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
nd elle s’est mariée et elle vous avait renvoyé les vôtres avec votre portrait . Vous ne l’avez pas fait, et ce n’est pas gentil.
nés par des tritons à travers les flots. Au mur, était pendu un grand portrait de Ferdinand IV, le roi Nasone, sans doute donné
me on sait, plusieurs morceaux de grande valeur, notamment le célèbre Portrait de Mahomet II peint par Gentile Bellini lors de s
République de lui envoyer un peintre fort habile5 (malheureusement ce portrait a été, depuis, fortement repeint) ; puis, l’Adora
de Gaudenzio Ferrari, des Madones de Bonsignori et de Boccaccino, des Portraits par Moroni et par Moretto da Brescia, une Adorati
 375, 1er février 1913, p. 598-604 [598-600, 600]. Antoine Hekler : Portraits antiques, Hachette, 40 fr. Le très beau volume
ette, 40 fr. Le très beau volume publié par la librairie Hachette, Portraits antiques, — recueil de planches donnant les princ
norifiques, mais selon un type encore idéal, et l’un des plus anciens portraits qui nous soient connus est celui de Périclès. D’a
es hommes que sous leur angle de beauté, si l’on peut ainsi dire ; le portrait du vieux poète Anacréon est tout conventionnel ai
l’hermès double d’Hérodote et de Thucydide du musée de Naples, et le portrait devient réaliste, toujours avec une tendance à l’
’époque impériale ne seront plus que les Romains de la décadence. Les portraits de femmes expriment la droiture, mais aussi l’int
ncêtres. — Il est du reste curieux d’étudier cette série nombreuse de portraits — encore que beaucoup demeurent anonymes — et d’e
é de précision brutale qui illumine l’esprit : non la maxime, mais le portrait … » D’ailleurs, « si le Prince a enseigné Machiave
dernier numéro du Bulletin du Metropolitan Museum, en reproduisant le portrait du défunt, mort le 31 mars dernier, rend un homma
ouple, la gorge ronde ; et, cependant, Pietro Longhi n’a pas fait son portrait … Bernis, en un tendre acrostiche, n’a pas célébré
 Florence Nightingale », par Mme Dora Melegari. Les Journaux. Deux portraits du Louvre (La Liberté, 9 août) R. de Bury [Remy
Étienne Charles a résumé dans La Liberté, en un article intitulé Deux Portraits du Louvre, ce qui concerne cette question. Après
ir, Florence fut en fête. Botticelli et Ghirlandajo firent d’elle des portraits qui sont célébrés, et Niccolo Fiorentino modela s
tes seront néanmoins enchantés de trouver dans ce volume une série de portraits des correspondantes de Casanova d’après des docum
ge d’or, je veux dire un renouveau si complet de tous nos sens que le portrait d’une danseuse dansera réellement au milieu de so
Visages, M. Robert de la Sizeranne excelle à évoquer, devant certains portraits de personnages illustres, l’âme de la vie des mod
s qui remplirent leur vie. Cette fois, c’est À Florence et au Louvre ( Portraits célèbres de la Renaissance italienne) (Paris, Hac
io et qui sont aujourd’hui au Louvre ; Balthazar Castiglione, dont le portrait par Raphaël occupe aujourd’hui au Louvre la place
ales de son temps. Vus ensuite après cette lecture, il semble que les portraits et les tableaux de nos musées prennent un aspect
17 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
’a traduits pour la première fois M. Péladan. Voici donc, dit-il, le portrait intérieur de Léonard par lui-même, voici comme il
onviction d’avoir trouvé sa vraie voie. Aussi sa deuxième estampe, un portrait de Paul Verlaine, malgré quelques légères insuffi
Il se montre, par exemple, psychologue clairvoyant, dans une série de portraits de gens de lettres, peintres, musiciens, philosop
« À remarquer, dans cette “manière” particulièrement subjective, les portraits de Dostoiewski, de Stendhal, de Schumann et surto
tiques, et possède encore un très curieux talent de portraitiste (son portrait d’Anatole France). Il faudrait s’arrêter un peu p
s d’autrui ne veulent pas me laisser l’honneur des miens (131).” » Le portrait qu’il trace des érudits de la cour de Milan révèl
on s’exprimera par l’étude passionnée de l’œuvre divine. Soit dans le portrait des Uffizi, soit dans la sanguine de Windsor, le
es au sujet de celles-ci sont à rapprocher de celles de Stendhal. Ses portraits , en touches rapides, pressées, aideront à complét
lege d’Oxford), Bonifazio (Diane et Actéon, même galerie), Giorgione ( Portrait d’homme et Adoration des bergers, de la collectio
pas moins remarquables. Celui de 1906 offrait, entre autres, […] des portraits de Titien, de Velazquez, etc. — En 1905, c’étaien
raits de Titien, de Velazquez, etc. — En 1905, c’étaient […] de beaux portraits de Bronzino, Giorgione, Palma le vieux, Antonio M
les enfants. Il travaillait. Il cherchait sans relâche. Nous avons un portrait de lui gravé dans les vieilles éditions de Vasari
ns les vieilles éditions de Vasari et on croit le reconnaître dans un portrait d’homme de Lorenzo di Credi, conservé au Musée de
e, comme gage de ses généreuses intentions pour l’avenir, l’admirable Portrait de Rembrandt dont nous avons parlé à cette même p
usieurs mois d’un nouveau chef-d’œuvre. C’en est un, vraiment, que ce portrait d’un patricien représenté à mi-jambes, tête nue,
orceau : il suffit de rappeler tels détails de ses fresques, comme le portrait de S. Maria Maggiore à Spello, comme le portrait
s fresques, comme le portrait de S. Maria Maggiore à Spello, comme le portrait d’Alexandre VI de l’appartement Borgia ; le portr
Spello, comme le portrait d’Alexandre VI de l’appartement Borgia ; le portrait de jeune homme du musée de Dresde est d’une ferme
ela ne doit pas d’ailleurs faire négliger le mérite de ses admirables portraits , comme ceux du Vieillard avec un enfant du Louvre
emble, et mis en ordre méthodique, avec une introduction par Péladan. Portrait de Léonard de Vinci et XXXI facsimilés de dessins
18 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
n. M. Thomas Whitburn, conservateur honoraire du Musée historique des portraits , à Guildford, déclara sur l’honneur avoir vu Luca
semblance que présente le visage avec un joli et très caractéristique portrait d’inconnu de l’école vénitienne aujourd’hui conse
eintre est reproduit en entier et l’on peut admirer successivement le portrait de jeune homme de Budapest, la Vierge dans la pra
rûle, le département des peintures vient d’exposer, dans la salle des portraits d’artistes réservée à ces installations temporair
au fur et à mesure de leur entrée. Les deux perles sont le délicieux Portrait d’enfant en prière, de l’école française du xve  
161]. […] Aussi les peintres font, imprudemment beaucoup, leur propre portrait . Ô la cruelle ressemblance de MM. Béraud et Guill
personnellement, il affiche la recherche… […] M. Cappiello, dans son portrait d’Henri de Régnier, a bien dit, et par des moyens
sculpteur et dessinateur Edme Bouchardon. La même revue reproduit le portrait d’un Membre de confrérie napolitaine de M. Émile
ent [avec leurs conducteurs immobiles comme des statues. On ferait le portrait à la course d’un homme en carrosse. Un modèle ne
de Jacopo de Barbarj, bien connue des visiteurs de cette galerie, le Portrait de femme attribué à Léonard, le Christ chez Marth
Longhi ne soit pas grand physionomiste, il a laissé pourtant quelques portraits  : l’effort qu’il y a fait n’est pas négligeable ;
me Alessandro Longhi, de la faveur de la famille Pisani et il fit les portraits de plusieurs de ses membres ; par une coïncidence
qui veut à toute force être un peintre de mœurs, réussit fort bien le portrait . Il est un peu prolixe et l’accumulation des trai
eries les carrefours de Venise. On se la représente assez, d’après le portrait que le poète se plaît à tracer d’elle. Petite et
19 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
a vérité qui se fait attendre. Peut-être nous donnera-t-on un jour le portrait véritable de Dante Gabriel Rossetti, portrait qui
donnera-t-on un jour le portrait véritable de Dante Gabriel Rossetti, portrait qui sera certainement aussi intéressant que les m
ner d’être quelqu’un ; mais voici que M. Beltramelli nous en donne un portrait si fin, si spirituel, en décelant la bonhomie de
t je me rappelle l’avoir annoncé ici il y a un an. Les dessins et les portraits sont de M. Majani, un artiste bolonais que les Pa
la Curie romaine et des réformes qu’Innocent III sut y apporter. Deux portraits sont placés en tête du volume, dont le plus expre
faut, en ouvrant ce livre, ou en le refermant, jeter les yeux sur le portrait de Charles de Bourbon, non pas sur le portrait de
jeter les yeux sur le portrait de Charles de Bourbon, non pas sur le portrait de parade (fort mauvais) placé en tête du volume,
e parade (fort mauvais) placé en tête du volume, mais sur l’autre, le portrait si expressif dans la manière admirable de l’école
20 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
tudes sociales habilement torchées à des gens qui nous retournent des portraits individuels supérieurement peints et, par polites
r Laurent de Médicis M. André Lebey a mis en tête de son Essai le portrait de Laurent de Médicis par Vasari. Sur un siège au
nelle qu’il nous donne. Son livre, qui commence fort justement par un portrait peint, est aussi un portrait écrit, portrait minu
ivre, qui commence fort justement par un portrait peint, est aussi un portrait écrit, portrait minutieux et complexe, d’une touc
ce fort justement par un portrait peint, est aussi un portrait écrit, portrait minutieux et complexe, d’une touche très intellig
21 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
e la curiosité, surtout parmi les œuvres des primitifs, la beauté des portraits vénitiens suffisait pour retenir longuement le vi
in d’être à dédaigner. Mais j’ai hâte d’en venir aux trois admirables portraits des Madruzzo, celui du prince-évêque de Trente, l
en œuvres du Titien, rien au Louvre n’eût fait double emploi avec le portrait du Cardinal, et que nous sommes pour Moroni extrê
our Moroni extrêmement pauvres, puisque nous ne possédons que le beau Portrait de vieillard de la galerie du bord de l’eau, accr
encombrent les cimaises. « L’an 1541, raconte Vasari, Titien fit le portrait de Don Diego de Mendoza, ambassadeur de Charles-Q
itien commença de faire ce qui est devenu à la mode, c’est-à-dire des portraits en pied. C’est de cette façon qu’il peignit celui
te façon qu’il peignit celui du Cardinal de Trente, alors jeune. » Ce portrait était resté à Trente avec ceux de Moroni ; c’est
nt à la famille Salvadori pour M. Stillmann. Comme l’écrit Vasari, le portrait de Cristoforo Madruzzo fut commencé peu après le
upposer que la toile ne fut achevée complètement qu’à Trente même. Le portrait de Cristoforo Madruzzo est l’une des œuvres les p
à noter aussi la Vierge avec deux donateurs, de Lorenzo Lotto, et le portrait de poète florentin Giovanni della Casa, par son a
e Rouveyre a suivi l’exemple de Zeuxis, car chacun de ses terrifiants portraits est bien une synthèse. Voilà comment toutes ces f
ires révèlent surtout la mentalité des questionneurs. Car s’il y a un portrait littéraire, une « confession », dans toutes ces p
Gozzoli, qui le montre sous l’influence de Fra Angelico ; un charmant portrait d’une princesse Sforza enfant, par Bernardino dei
le Pietà attribuée à Cranach ; parmi les peintures modernes, un grand portrait en pied du roi d’Angleterre Georges IV par Lawren
e grandes compositions mythologiques, historiques ou religieuses, des portraits , des études d’animaux, de nombreux motifs de scul
re Octave, l’enfant du siècle. J’étais encore sous l’impression de ce portrait quand je sortis. On criait les journaux du soir,
[…] Pages vibrantes de M. Herman Bang sur Eleonora Duse, avec un beau portrait . […] Lettres italiennes Ricciotto Canudo.
rimani, qui a le sens de la grande décoration, M. Conconi et son beau portrait de Carducci. Musées et collections. Memento bi
onde et ajoute une hypothèse nouvelle à celles qu’a déjà suscitées ce portrait . Suivant lui, le sourire qui flotte sur les lèvre
22 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
e corridor en corridor : partout il y avait des tableaux, partout des portraits de Wallenstein ou des toiles représentant des bat
blanchi à la chaux. Dans le coin d’une des fenêtres est pendu un beau portrait gravé de Casanova. Après que j’eus visité tout le
e tétée par son biquet, sur un fond de sol, sans ciel ? Non, c’est un portrait , au même titre que le meilleur de Segantini, celu
de Segantini, celui si caractéristique, dit « de la dame de Berlin ». Portrait de bêtes, il est vrai, mais portrait quand même.
e, dit « de la dame de Berlin ». Portrait de bêtes, il est vrai, mais portrait quand même. Cette chèvre et ce chevreau, entre to
s et tous chevreaux, sont aussi inoubliables qu’entre tous les autres portraits de Lenbach, par exemple, Dœllinger ou Gladstone.
signifie que pourtant Segantini n’a pas vu là l’occasion d’un simple portrait de petit bétail. Aussi, revenez à l’expression de
23 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
es camarades : — J’ai envie de caresser cette femme et de peindre son portrait . Elle est si belle. — Ton ami ne serait peut-être
mes. Je rencontrai Giorgio en compagnie de jeunes peintres, devant le portrait que Bellini offrait à l’admiration de tous. Le ta
ing [extrait] M. Ernest Tissot nous donne une seconde série de ses portraits de femmes : Nouvelles Princesses de lettres. Voic
milles patriciennes lui commandaient des Madones, des coffres et des: portraits  ; Mais il ne pressait pas pour les exécuter. Il t
fance.   Quand il nous quitta, il dit à ma sœur : — Je peindrai votre portrait , Madame et je l’intitulerai « le Bonheur ». Il sa
réa, dans son ensemble aussi bien que dans ses détails, le prouve. Un portrait ne donne qu’une face, un profil, un dos… Le marbr
iers, Giorgio ne toucha que fort rarement ses pinceaux. Il réussit le portrait de mon beau-frère, en costume de général. Ma sœur
oir sa ceinture bien garnie, il acheva rapidement, pour les Rugger un portrait et deux coffres.   Pendant les fêtes, se déroula
es camarades et me parla avec enthousiasme de Titian : — Il a fait le portrait de Gregorio et de Lucia Vecelli, son père et sa m
acheva pour eux, tout en travaillant à ses fresques, des coffres, des portraits et consacra une série de tableaux à l’histoire de
mands, et Giorgio Barbarelli, en vertu de sa célébrité, peignirent le portrait du doge Leonardo Lorédan. On ne peut voir loyalem
e peinte, le sculpteur ayant dû se contenter, comme modèle, du triple portrait peint par Philippe de Champaigne, aujourd’hui à l
arigo, les d’Anna, les Calerghi l’encouragèrent en lui commandant des portraits . Ces succès l’enivraient comme une vengeance. Il
La très excellente Catherine Cornaro l’appela à Azolo. Il peignit son portrait , dirigea des concerts, des mascarades, et alors q
le travail me devint une nécessité. Je peignis une Sainte Famille, le portrait d’un Chevalier de Malte et un Christ dont la face
les Rubens, les Murillo, les Goya. […] De Titien, Vénus et Adonis, le portrait d’Alphonse Ier d’Este, duc de Ferrare, le portrai
énus et Adonis, le portrait d’Alphonse Ier d’Este, duc de Ferrare, le portrait équestre de si grande allure de Charles-Quint à l
e marbre et le bronze, ces aspects qu’aucun sculpteur n’y avait vue : portraits de la vieillesse et de la misère physique, d’une
u savant, dont seul était capable Léonard. Ce n’est pas assurément un portrait , quoi qu’en dise Vasari, surtout pas un portrait
st pas assurément un portrait, quoi qu’en dise Vasari, surtout pas un portrait ressemblant, mais une combinaison, sur un masque,
adictoires. On a dit que la figure était masculine, on y a même vu un portrait d’homme. Ce n’est ni un homme ni une femme, mais
orateurs, on vient, pour nous consoler, d’installer dans la salle des portraits d’artistes où sont montrées les nouvelles acquisi
672 [670]. M. le Dr Emile Schæffer, qui a découvert à Côme le premier portrait authentique de Lucrèce Borgia, vient d’en donner
24 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
u ras du front dans quelques œuvres du musée et, ce qui est pire, des portraits . Une femme du Parmesan et un saint Michel de l’éc
erme et de la certitude de modelé d’un visage peint par Giovanni. Les Portraits de deux jeunes hommes qui passèrent fréquemment p
ort lui soit légère. C’est un aboutissement en effet que marquent les portraits de jeunes hommes : celui auquel arrive un discipl
M. de Vandeuil pour que Bellini entrât enfin réellement au Louvre. Le portrait d’homme qui est mis au catalogue tous le nom de G
eut-être que l’Antonello, mais cependant de grand caractère. Un autre portrait attribué précisément à ce Vincenzo Catena que cer
excellente étude. M. Berenson donne à Bartolommeo Veneto un charmant portrait de jeune femme (n° 1673) en robe rouge, d’un fair
e, d’un faire un peu sec et du reste très différent de l’exécution du portrait d’homme du musée de Douai que le même auteur attr
ues vont même jusqu’à retirer à ce dernier, au profit du Vénitien, le portrait de Georges d’Amboise. À la fin de sa vie Bartolom
rt Merrill, des poèmes d’auteurs italiens et anglais, — et, aussi, un portrait de Mme la Comtesse de Noailles. Échos Mercur
e de langue, je crois bien que personne ne s’en serait aperçu. 21. Portraits contemporains, t. I, p. 335. 22. Corresp., t. I
offert en manuscrit à M. Alexandre n’était autre que celui-là. 27. Portraits contemp., t. I, p. 285. 28. Corresp., t. I, p. 
 : « M. de Fontanes lisait d’une voix universitaire ! » (Souvenirs et portraits , t. III.) 43. Corresp., t. III, p. 344. 44. Il
25 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
aptes à l’art. Ils lui donnèrent pourtant une empreinte nouvelle : le portrait . Ce peuple avait coutume de promener aux pompes f
portrait. Ce peuple avait coutume de promener aux pompes funèbres les portraits de la famille, de là ce développement. Les Étrusq
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIX »
rocacini. Copie de la Madeleine du Corrège, qui me semble jolie. Beau portrait du pape, en petit, de Titien, dit-on. Relief d’un
27 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
i, directeur des galeries de Florence, enrichit les Offices de 11 000  portraits d’artistes, en estampes, gravures, eaux-fortes, e
uel que soit l’intérêt que présentent ses œuvres de jeunesse comme le portrait de jeune homme d’Hampton Court, c’est plus encore
’Hampton Court, c’est plus encore dans ses dernières toiles comme les portraits d’hommes du musée Brera qu’il faut le reconnaître
se d’Henner, dont je n’aurais pas à parler ici, — malgré que certains portraits reproduits, tel celui de M. Glavé, soient beaux c
traits reproduits, tel celui de M. Glavé, soient beaux comme de beaux portraits anciens — si quelques lettres du peintre alsacien
raie ; elle égale même quelquefois le Titien, ainsi que dans certains portraits … « Si j’avais le choix je prendrais un tableau du
Corrège avant tout, des dessins de Raphaël, et je voudrais avoir mon portrait peint par Velazquez. Il est plus simple que Rembr
dé de larges crevasses par où la pluie devait pénétrer à flots. « Les portraits que nous connaissons de Beethoven rendent assez b
28 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ographe Buguet, qui vendait à des clients entichés de spiritisme leur portrait accompagné de l’âme d’une personne chérie évoquée
n roman satirique de son ennemi, l’abbé Chiari, celui-ci, faisant son portrait sous le nom supposé de Vanesio, disait de lui : «
t le tableau, indique la lutte qui s’y passe, ou bien, comme dans les portraits de Severini, prennent l’aspect de simples mosaïqu
point, une nouvelle trouvaille de style à rechercher. Leur manière de portrait psychique, où le modèle n’est point présenté tel
essions de physionomie du modèle patiemment regardé, cette méthode du portrait est-elle viable ? Sans doute non. C’est trop de p
te non. C’est trop de précision pour une arabesque, pas assez pour un portrait . Mais sans admettre ni toutes les théories ni tou
d’Italie. Au premier étage, sur les « épines » qui, dans la salle des portraits d’artistes, servent à exposer les nouvelles acqui
nes la flamme d’un désir encore timide mais déjà un peu pervers ; ses portraits de mères, d’adolescentes ou de mondaines inconsci
est si peu rédigée en façon de thème ou de dissertation ! Veut-on un portrait de Dante au moment de son accession à la carrière
s belles possibilités d’en sortir, il reste dans cette littérature de portraits , paysages et natures mortes, de tableaux portatif
tisme et de la franc-maçonnerie au xviiie  siècle. Dix-huit gravures, portraits , vues ou fac-similé de documents augmentent l’int
. 894-896 [896]. […] les plus plus belles pages de l’arétin. Avec un portrait . Notice de Guillaume Apollinaire. Vol. in-18, 3,5
…] l’école italienne par des œuvres de Giovanni Bellini (un magistral Portrait d’homme), du Pérugin, de Raphaël (Vierge avec l’E
te qui se trouvait dans un grand chandelier de bois sculpté devant le portrait d’une Madone, encadré d’or. Sa petite flamme se m
29 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
es d’une plantureuse milanaise ; puis, le même modèle en Vierge et un portrait d’homme assez mou. Et encore, oubliés dans mon én
lent l’enveloppement de gazes légères du Printemps de Botticelli ; un portrait noir du Pontormo ; une Vierge de Carlo Dolci à la
éraire est beaucoup plus grande qu’on ne le croit généralement. » Un portrait fidèle en tous points, n’est-il pas vrai ? Charla
» Voilà quel était le premier ministre. Lamartine a tracé de lui un portrait très ressemblant : » “Le comte Fossombroni, dit-
30 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
me, symbolisme, idéalisme, etc. Au lieu d’ébaucher des croquis et des portraits , M. Capuana fait de la critique proprement dite,
31 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
numéro 33, septembre 1892, p. 92-93 [92]. Acquisitions nouvelles : Un portrait de Jules II, bas-relief bronze attribué à Francia
32 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
n Peintre ambulant par Frans Hals, et, dans notre école française, un Portrait de Charles IX, un grand tableau de Greuze, un dél
, un Portrait de Charles IX, un grand tableau de Greuze, un délicieux portrait de la Princesse de Condé par Hubert Drouais, un d
tion du Christ de Luca Signorelli, deux Vues de Venise par Guardi, un Portrait de gentilhomme par Van Dyck, un buste de jeune ho
33 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
aluera, en revenant sur ses pas, à l’entrée de la salle Brangwyn, les portraits , offerts par de généreux donateurs, des deux gran
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