erficiellement au Kaiser ou au Tzar, ou à tel ou tel autre personnage
politique
, niais plutôt de relever et d’analyser les grande
r, il suffit de se reporter à la veille de la guerre. Par suite d’une
politique
que nous n’avons pas à discuter, l’Italie était a
t à l’Allemagne et ce serait faire injure à l’intelligence des hommes
politiques
italiens que de supposer qu’ils pussent commettre
ent le moins se défendre. La France se débattait dans des dissensions
politiques
regrettables ; l’Angleterre était à la veille de
t harcelée de grèves et d’émeutes. D’autre part, les dirigeants de la
politique
agressive, à Vienne et à Berlin, avaient assez de
la Sicile, qu’une seule acclamation. Toutefois, le souci de l’avenir
politique
, économique et historique de l’Italie impose aux
alie qui, par sa situation au cœur de la Méditerranée, doit avoir une
politique
très avisée vers l’Orient et les îles de la mer É
sans parti, sur les faiseurs d’affaires qui corrompaient l’atmosphère
politique
italienne, provoquèrent le dégoût et l’hostilité
é par les quotidiens. Cet incident est exclusivement du domaine de la
politique
intérieure. La démission du ministère Salandra fu
’influence paralysante de Giolitti, qui depuis quinze ans dominait la
politique
italienne : extraordinairement puissant au sein d
si à donner satisfaction à tant de gens qu’il passait pour un profond
politique
. Papini, dans un de ses plus brillants articles,
vie publique en Italie : le roi, excellent numismate, considérait la
politique
comme une spécialité à l’égal de la numismatique
plète à cet égard dans la science de Giolitti, qui est apparemment en
politique
un numismate de premier ordre. Dans ces condition
ne génération, s’est dédoublée récemment et publie à Rome une édition
politique
dont j’ai sous les yeux les premiers numéros. Son
un « libérisme » économique et préconise une purification des milieux
politiques
dont l’atmosphère morale est très corrompue depui
depuis que l’influence de Giolitti y prédomine. En ce qui concerne la
politique
extérieure, la Voce se préoccupe surtout de créer
est de s’opposer à ce qu’un État prenne sur les autres une hégémonie
politique
en Europe, de faire de la Méditerranée et de l’Ad
ope, si, par hégémonie, l’on n’entend pas exclusivement une hégémonie
politique
au sens littéral du mot, mais une situation privi
s. Un article de Giulio Provenzal dans le premier numéro de l’édition
politique
de la Voce précise les nouveaux rapports de l’Ita
un numéro spécial qui s’inspire des idées de purification des milieux
politiques
auxquelles je faisais allusion tantôt. Les divers
e la revue y exposent d’une façon très brillante les caractères de la
politique
giolittienne et la crise suprême qui a amené la c
s exclusivement parlementaires. En effet, si l’on veut étudier la vie
politique
italienne de ces trente dernières années, on n’y
ra l’histoire des années qui en Italie ont précédé la crise morale et
politique
actuelle, on découvrira, dans tous les camps poli
rise morale et politique actuelle, on découvrira, dans tous les camps
politiques
et sociaux, l’œuvre de diverses élites désireuses
1915). […] Octobre-décembre 1914. Roberto Cessi : Émile Gaudin et la
politique
française à Constantinople en 1792. Dans les deux
ions, à ses idéalités. Ainsi d’une force sociale dérive une faiblesse
politique
, et, ignorant ce que les autres veulent et pensen
fait plus de mal à la cause française que tous les malentendus d’une
politique
d’agression. Ce manque d’instruction, cette supe
evons penser dès maintenant à ce qui arrivera après la guerre. Si en
politique
il est nécessaire de prendre dès aujourd’hui ses
el ou des effets mécaniques de victoires militaires ou de révolutions
politiques
, mais des œuvres de la pensée qui continue son tr
: employer les concepts scientifiques à soutenir telle où telle thèse
politique
contingente, à défendre ou à attaquer tel ou tel
tient une grande place en dépit des préoccupations souveraines de la
politique
, offrent un double intérêt. D’abord, elles nous m
re dans des moments comme ceux-ci que de faire des professions de foi
politiques
, qui n’ont d’autre résultat que d’accroître la ha
pas à la guerre comme tels, mais comme instruments des organisations
politiques
respectives ». C’est ce que sent le bon peuple, q
e de Quinto Tosatti : Guerre de civilisations ? publié dans l’édition
politique
de la Voce. L’auteur pose nettement le problème s
usieurs reprises des exemples. Il me reste à signaler, dans l’édition
politique
de la Voce, un curieux article de Tullio Colucci
e Paris pour créer cet hellénisme dont les journalistes et les hommes
politiques
de France ont usé sans modération pour molester l
ouvenirs… Aujourd’hui il s’agit vraiment de guerre et non d’industrie
politique
. Il faut donc que chacun prenne ses positions com
offre de l’île de Chypre à la Grèce n’est que le produit ingénu d’une
politique
tardigrade de compromis, qui peut mener à l’affai
ui le porte à défendre l’autonomie de la Belgique. Mais une semblable
politique
conduirait logiquement au démembrement de l’Empir
ages que l’Allemagne allait retirer au triple point de vue militaire,
politique
et commercial de la conquête de la Serbie et de l
l’Empire (janvier-mars 1915). […] Roberto Cessi : Émile Gaudin et la
politique
française à Constantinople en 1792 (suite et fin)
les paupières. […] Tome CXIV, numéro 427, 1er avril 1916 La
Politique
intérieure de l’Italie et la Guerre Marcel Rouf
ontribué à alimenter le trouble de l’opinion en émettant sur l’action
politique
et militaire du gouvernement de la péninsule des
et soulevé un important débat qui a troublé pendant quelque temps la
politique
italienne, sans l’éclairer d’ailleurs. Le Popolo
roches que l’opinion, jugeant sur les apparences seules, adresse à la
politique
italienne pour son rôle militaire et diplomatique
leur sang. Une inflexible fermeté à couper court à toutes les menées
politiques
et économiques. Le Gouvernement de M. Salandra a-
er la victoire d’ensemble ? Ainsi, les obscurités persistantes de la
politique
du ministère Salandra-Sonnino, que, par respect p
Mais on ne bouleverse pas ainsi, du jour au lendemain, les habitudes
politiques
d’une grande nation. Les rapprochements internati
ennes contre la France et l’Angleterre, a créé des liens économiques,
politiques
et moraux si puissants qu’ils enchaînent encore a
st si noblement, mais à demi seulement, libérée. Tout le secret de lu
politique
actuelle des gouvernants italiens réside dans l’é
t d’une douloureuse injustice et de l’ignorance de la vraie situation
politique
. L’Italie est le seul pays de l’Entente libérale
fatale. M. Giolitti et les socialistes « officiels » au service de la
politique
austro-allemande mirent un moment le ministère en
e et Trieste. M. Giolitti, avec la finesse qui caractérise les hommes
politiques
italiens, comprit immédiatement qu’il jouait son
fier un compétiteur certain des rivages nord de l’Adriatique ? Pauvre
politique
, qui ne veut pas voir ou qui veut cacher que Trie
e, nombreux, eux aussi, et ardents, assombrit toute la fin de l’année
politique
italienne 1915. L’Idea Nationale et le Popolo rom
es neutralistes unis représentent une partie importante des effectifs
politiques
italiens. Le premier groupe est constitué par les
parti socialiste officiel était d’accord pour attaquer violemment la
politique
extérieure, intérieure et financière du gouvernem
. Il peut la ressaisir au moment qu’il choisira. Un des dangers de la
politique
italienne, c’est qu’elle se combine surtout dans
t victorieux. MM. Salandra et Sonnino, s’ils maintenaient la tactique
politique
qu’ils avaient adoptée, étaient honnis par leurs
quer la besogne antipatriotique accomplie par les neutralistes, et la
politique
injuste à leur égard et aveugle pratiquée par les
nue était au prix de ce silence et de ce vague. Les difficultés de la
politique
intérieure de l’Italie suffisent amplement à expl
oble haine contre les barbares. Il faut l’affirmer : il n’y a dans la
politique
du gouvernement ni réticences, ni arrière-pensée.
l’on fasse un rapprochement entre ce vibrant rapport et la situation
politique
intérieure du pays que nous avons décrite, que l’
la veille, l’adhésion du cabinet de Rome à l’Entente ; et pourtant la
politique
que suivirent MM. Salandra et Sonnino était en re
e suivirent MM. Salandra et Sonnino était en relation étroite avec la
politique
orientale des Empires du Centre. Lorsqu’on étudie
si la chancellerie de Vienne fût parvenue à ses fins. Les théoriciens
politiques
italiens avaient toujours soutenu cette conclusio
nni Cena. Tome CXV, numéro 429, 1er mai 1916, p. 171-177. Les causes
politiques
qui ont amené l’Italie à la guerre sont assez con
esse peu gaie : ses vingt ans coïncidaient avec la pire période de la
politique
italienne ; les exploiteurs du nouveau régime cou
ans l’Europe de 1914, les forces, les faiblesses, les ressources, les
politiques
, les besoins, les idées, les passions ; et l’inte
clef du monde », « L’équilibre moral de l’Europe » et son « Équilibre
politique
», « Tragédie d’orgueil »). Citons encore l’impor
houiller et métallurgique. Oui, et il faudrait ajouter que l’intérêt
politique
est non moins immense, et d’une constance impress
Giolitti parut alors bien mesquine ! Il s’agissait bien de finasserie
politique
! Le sentiment public en éprouva certainement un
exceptionnellement tragique, où la connaissance raisonnée des causes
politiques
et sociales qui ont amené la plus terrible des Gu
5. On commence — que tardivement ! — à nouer les liens d’une alliance
politique
et économique entre la France et l’Italie, allian
où Albert Pingaud a tracé avec clarté et sérénité l’histoire de notre
politique
extérieure pendant les périodes les plus troublée
France est le creuset de toutes les expériences morales, sociales, et
politiques
— bonnes et mauvaises, — mais nous savons aussi q
ion allemande dans l’ordre spirituel comme dans l’ordre économique et
politique
, d’approfondir la tradition latine et de soutenir
sur l’enseignement et surtout dans la vie économique et dans l’action
politique
. Il faudrait un économiste doublé d’un puissant r
éfaste à l’initiative italienne et surtout dangereuse pour son action
politique
. L’émancipation ne devrait pas être trop difficil
ur leur histoire a sonné le triste impératif : ne plus ultra ». « La
politique
allemande — écrivait-il encore — est toute fondée
s allemandes de l’Autriche, car l’Autriche allemande et slave fait la
politique
que l’Allemagne lui ordonne. 3° La neutralité ser
où la franchise, l’audace, la témérité en Christ eussent été de bonne
politique
pour l’Église, c’était celle-ci. Mais il y eût fa
empêchés par le non expedit, prennent part depuis des années à la vie
politique
. Il est notoire que Pie X avait prêté à M. Giolit
n voici les questions principales : L’État italien a-t-il des motifs
politiques
pour estimer dangereuse, comme il l’estima en 189
lui restituerait-elle sous une autre forme le caractère de Souverain
politique
? Les réponses ont paru dans plusieurs numéros d
les classes cultivées — soit assez au courant des complications de la
politique
européenne, pour se rendre compte d’une façon exa
à des peuples de langue et de culture différentes l’histoire de notre
politique
, le plus clairement et le plus succinctement poss
a guerre actuelle, M. G. Maugain donne un exposé clair et utile de la
politique
italienne au début de la guerre. Avec impartialit
sentiment a été, dans ce cas, pleinement d’accord avec les nécessités
politiques
. Henri Charriaut et Amici-Grossi : L’Italie en
n excellent livre. Il a pour titre : L’Italie en armes. Peu ou pas de
politique
transcendante, la curiosité du reporter qui saisi
à ce grand facteur de l’histoire : l’esprit public. Bien des profonds
politiques
et d’ennuyeux philosophes ont omis de nous signal
ec une insistance de mauvais aloi, l’indécision morale, religieuse ou
politique
de certains de ses héros : il est si facile d’app
evoir avec d’autres éléments ; et s’il est besoin d’une tradition, en
politique
, d’un passé qui projette ses lueurs sur nos idées
légitime en soi une telle appréciation de l’histoire et de la réalité
politique
. Il est certain que la contemplation de l’infini
, ne cessent de le mettre en cause, de le critiquer sur ses ambitions
politiques
, sur son orgueil, etc. J’ai essayé d’interroger u
ain les exprime et les fasse valoir. Mais il y a encore les questions
politiques
et sociales que certains écrivains mettent au-des
u en 1907, il précisait déjà avec vigueur et netteté l’idéal moral et
politique
dont les écrivains ou les artistes italiens devra
nisée par Nietzsche ? En art et en littérature peut-être, mais non en
politique
, puisque M. Corradini s’avoue impérialiste avec o
dmiré profondément le peuple japonais : il a étudié le sens de la vie
politique
de ce petit peuple et loué sans réserves son arde
émonie esthétique et plus pratique, plus réaliste, dans ses tendances
politiques
. Dans le périodique qu’il avait fondé en 1908, Il
n qu’une nation n’arrive à avoir quelque importance intellectuelle et
politique
qu’à la condition de puiser toujours plus de vita
ans la Méditerranée occidentale, doit consacrer un jour les destinées
politiques
de l’Italie, et c’est à les réaliser promptement,
iser promptement, ces destinées, que travaillent en commun soldats et
politiques
. Doctrines et actions, l’œuvre des quatre écrivai
s la Russie de Moussorgski et de Stravinski. Jusque dans les théories
politiques
les plus en vogue, on peut observer ces substitut
t ce travail, nous voyons aussi la religion mêlée à de grandes luttes
politiques
et sociales. Dans toutes les nations européennes,
ier pour l’émancipation de classe, la rébellion contre toute autorité
politique
, la diminution — qui va presque jusqu’à l’annulat
e monstrueux, envahit la vie dans toutes ses manifestations actives :
politique
, économie sociale, enseignement. La révolte est d
nt où les peuples se mettent à lutter pour se libérer des oppressions
politiques
et sociales. Sans qu’on puisse en tirer une idée
que le maintien du Pape à Rome devint un des objets principaux de sa
politique
. Telle fut l’origine de la politique ultramontain
t un des objets principaux de sa politique. Telle fut l’origine de la
politique
ultramontaine du second Empire. Tandis qu’en Ital
, plein d’idées absolutistes, réfractaire à tout tempérament, à toute
politique
modérée qui eût pu, pour plus tard, faire espérer
un principe de contradiction, et cette cause a contribué à fausser la
politique
du second Empire. Cependant, pas plus que Rome n’
italienne. Elles sont multiples, mais d’ordre exclusivement moral et
politique
. Ce qui s’est passé fin octobre sur l’Isonzo rest
nom contraire celles qui s’attirent, est également vraie dans l’ordre
politique
et économique. Il est bien évident, par exemple,
s immigrés italiens, au cas où le gouvernement italien prendrait pour
politique
de l’empêcher. Si ces colonies devaient rester ré
à 1859. Il était interdit d’y imprimer quoi que ce fût qui traitât de
politique
ou de religion, mais ce que l’on avait réussi à i
bruit formidable et provoqua l’interdiction contre tous les ouvrages
politiques
. Mais cette interdiction ne put avoir d’effet rét
’on désigne le fait initial qui a provoqué la retraite d’octobre), la
politique
italienne a été dominée par une idée : consolider
iccotti. Deux cents députés se déclaraient décidés à soutenir la même
politique
: continuer énergiquement la guerre, et empêcher
rt courant antiministériel. Le Corriere della Sera, dont l’importance
politique
a encore grandi au cours des derniers mois, fut p
urer le danger. Nous sommes au dernier carrefour de notre lamentable
politique
intérieure. Ou nous le dépassons, en suivant tous
e des menées défaitistes en Italie, esquissa une comparaison entre la
politique
de Caillaux et celle de M. Giolitti, il y eut de
u même ; et c’était peut-être la preuve qu’il ne désapprouvait pas la
politique
du gouvernement… Une fois que le Ministère Orland
ier la valeur des divers courants de l’opinion publique en matière de
politique
extérieure. Ces courants se manifestèrent netteme
zzini, le jugeant meilleur et plus sensé que celui de bien des hommes
politiques
passés maîtres dans l’art des combinaisons diplom
gouvernements d’Autriche et d’Allemagne. Il faut en finir avec cette
politique
, et « avoir une intelligence claire et une volont
causes de la retraite italienne sont « d’ordre exclusivement moral et
politique
» n’a à opposer que des racontars provenant évide
e a porté surtout au front, à Rome, à Milan, à Gênes, sur les milieux
politiques
et journalistiques. Je tiens même certains des fa
s causes des revers italiens étaient « d’ordre exclusivement moral et
politique
» — a recours à des personnalités. Il dit que Mes
t intéressante, parce qu’elle fait apercevoir toutes les questions de
politique
internationale sous différents angles. — Remarque
rop bon marché de leur juste haine, de leur patriotisme, de leur sens
politique
. Les Hongrois eux-mêmes, quand ils seront désinto
est donc une force organisée qui a pris grande importance dans la vie
politique
italienne. Dans le pays, les députés et sénateurs
ête haute, sûr d’avoir défendu pendant les quatre années de guerre la
politique
qu’il fallait défendre. Lorsque le Messaggero ess
e parler de complète union sacrée dans un pays où tout un grand parti
politique
observe la plus absolue réserve pour tout ce qui
« résistance morale » est d’ailleurs d’avoir une habile et prévoyante
politique
économique. Aussi le problème alimentaire est-il
diminuer le nombre ; rendre l’État présent partout où, en matière de
politique
alimentaire, l’initiative privée se montre au-des
ative privée se montre au-dessous de sa tâche ». Comme sur le terrain
politique
, la propagande se fait donc sur le terrain économ
s et même dans les Bourses de travail. « C’est une nouvelle mentalité
politique
, écrivit alors l’Idea Nationale ; elle se différe
aîne l’approbation des producteurs et des ouvriers. » Cet éloge de la
politique
de M. Nitti est mérité, car, parmi les hommes d’É
é. Il a parlé dans de nombreuses réunions, il a causé avec des hommes
politiques
, et son ardeur à agir n’a point été stérile. Son
voilà à la Nouvelle-Calédonie. Quand il en revint, commence cette vie
politique
triomphale qui en fait le candidat de presque tou
pour assassinat, il est condamné à 25 ans de réclusion, condamnation
politique
qui provoqua tant de protestations qu’après six a
l est conquis par la paix sereine de la cathédrale. L’agitation de la
politique
socialiste lui apparaît vulgaire et fausse et il
nnoise, n’était, à tout prendre, qu’une comédie ; il faut pourtant en
politique
ne pas déprécier l’importance d’habiles comédies.
êté par les volontaires de la Bohême sur « l’autel de la patrie ». La
politique
que Giuseppe Mazzini avait défendue — l’alliance
yougoslave ; et s’il y a encore bien des gens hostiles à l’idée d’une
politique
slavophile, c’est qu’ils n’ont aucune confiance d
urs de ces derniers mois. Pendant longtemps, presque tous les organes
politiques
d’Italie avaient été à peu près d’accord sur la s
t les Croates ; le petit groupe de l’Unità et le Secolo défendant une
politique
d’accord avec les Yougoslaves — même au prix de s
on voulait faire des concessions assez importantes. Plusieurs hommes
politiques
comprenaient que, pour faire disparaître les hési
onale elle-même insistait sur la portée de ces réunions. Défendant la
politique
qu’elle avait suivie depuis trois ans, elle parla
s si tard cette décision de s’entendre avec les Yougoslaves : « Si la
politique
de l’Italie avait été guidée par la logique, le C
autre chose qu’une victoire militaire ; c’est également une victoire
politique
, qui complète heureusement le travail des premier
on constante de l’Italie, le but de ses ministres, le fondement de sa
politique
… Ces sophismes ont conditionné l’histoire politi
fondement de sa politique… Ces sophismes ont conditionné l’histoire
politique
de l’Italie depuis près d’un demi-siècle et quand
lié contre l’Allemagne et qui inspireront demain la nouvelle assiette
politique
et économique de l’Europe. C’est ainsi — pour ne
ont valu à l’Angleterre des crises d’une extrême violence, des luttes
politiques
et des guerres séculaires. Malgré cela, il ne s’y
d’une liberté réciproque. Le Moyen-Âge, si pénétré de l’idée d’unité
politique
, n’avait jamais entrevu l’autre idée, si essentie
peu débarrassée de ses préjugés marchands, et elle est passée, de la
politique
de protectionnisme au régime de la porte ouverte,
nelles et les vertus de l’âme anglaise. Si on veut enchaîner l’avenir
politique
d’un peuple, qui a fait lui-même son histoire, au
politique d’un peuple, qui a fait lui-même son histoire, aux résidus
politiques
d’une guerre qui fait partie de cette histoire mê
ie l’individu à l’État centralisateur, qui subordonne l’économie à la
politique
, — source de dissensions ; qui multiplie l’ingére
laquelle prirent part tous les journaux italiens. Il s’agissait de la
politique
du gouvernement italien à l’égard des nationalité
a, a affirmé la concorde et la pleine solidarité du ministère dans la
politique
étrangère, intérieure et militaire. » Nul plus q
pagne de la presse italienne, ne se réjouira de la voir aboutir à une
politique
nette et claire dont profitera toute l’Entente et
rité, mais à nous-mêmes. Elle éclaire certains points obscurs dans la
politique
de guerre des Alliés, et le proverbe a bien raiso
la paix. C’est dire que les Yougoslaves ne veulent à aucun prix d’une
politique
austrophile. Ils l’ont d’ailleurs montré en chass
nt d’ailleurs montré en chassant de leurs rangs les très rares hommes
politiques
, comme M. Susterchitch, qui rêvaient de réaliser
e, on le voit, ont fort bien saisi que les différends suscités par la
politique
des Machiavels de Vienne ne peuvent servir que le
ngers, parmi lesquels le peintre Flammen. Exilé de France pour raison
politique
, cet artiste au nom bien français vient travaille
il più civile è quello dei popoli germanici), qui dominent en matière
politique
et commerciale, ainsi que par leur « activité pro
emporaine, « la Terza Italia » : caractères du pays et de l’habitant,
politique
générale, relations franco-italiennes, et les évé
du printemps de 1915. Sur la situation et le rôle de l’Italie dans la
politique
européenne durant les années qui précédèrent, la
s latines, analyse un mémoire lu à l’Académie des sciences morales et
politiques
de la Société royale de Naples ayant pour titre :
és ethniques peuvent d’ailleurs se trouver en lutte avec les intérêts
politiques
et économiques, perdant ainsi toute efficacité. D
t, immédiat et rapide, de conquérir la gloire militaire, la puissance
politique
et la suprématie économique. Les raisons politiqu
aire, la puissance politique et la suprématie économique. Les raisons
politiques
de graves dissensions internationales ne manquaie
s des objectifs différents, et surtout aurait consolidé, élargi cette
politique
et cette économie mondiales qui, par l’œuvre de l
s profondément enracinées dans l’âme allemande. Passons aux facteurs
politiques
. Colajanni croit pouvoir affirmer que le princip
rincipe des nationalités forme le nœud de deux sur les trois tensions
politiques
qui suscitèrent la guerre : la tension franco-all
pour la domination maritime et l’hégémonie européenne. Et la réalité
politique
apparaît à Colajanni celle-ci : ambition de l’Aut
nt tous les autres facteurs : ethniques, démographiques, économiques,
politiques
, psychologiques. Le facteur immanent qui a fait l
uit par un homme qui possède bien la question — les détails de la vie
politique
italienne, l’activité des partis et la longue pér
près avoir étudié avec une grande perspicacité les bouleversements de
politique
intérieure et extérieure, la politique giolittien
icacité les bouleversements de politique intérieure et extérieure, la
politique
giolittienne, l’auteur examine les deux graves pr
de jolies pages sous le titre : En Italie pendant la guerre ! Ici, la
politique
passe au second plan, point d’histoire non plus :
st peut-être le meilleur de ses livres. On a de lui aussi des poésies
politiques
(il était franc-maçon et blocard) et aristophanes
André Duboscq. Tome CXX, numéro 452, 16 avril 1917, p. 609-616. La
politique
extérieure de l’Italie est liée dorénavant à la n
lus aisément que les continents, les mers se prêtent aux orientations
politiques
et économiques des peuples ; il n’est sur leur su
tous sens. C’est ainsi que certaines d’entre elles ont pu servir des
politiques
d’expansion lointaine vers des buts différemment
ent orientés. L’Adriatique, par exemple, a servi deux grands courants
politiques
et économiques : l’un vertical, celui de la Répub
gions, dans les riches territoires de l’est qu’arrose le Danube. Deux
politiques
, qui rappellent de loin les deux d’autrefois, tro
se heurte naturellement à celle des Slaves. Quelle que soit la forme
politique
qu’obtiennent après la guerre les différents élém
ns peut aussi nous regarder. Ceux des Italiens qui s’en tiennent à la
politique
que nous avons appelée la politique verticale fon
s Italiens qui s’en tiennent à la politique que nous avons appelée la
politique
verticale font remarquer à leurs compatriotes qu’
entera cette fois sous la forme économique. Nous ajouterons que cette
politique
de garanties sur la côte orientale de l’Adriatiqu
res de l’ouest à l’est qui serait l’équivalent de style moderne de la
politique
horizontale de Rome. On peut penser que la politi
le moderne de la politique horizontale de Rome. On peut penser que la
politique
mondiale de l’avenir revêtira de plus en plus la
-576]. Ceux qui n’admettent pas en Italie les audaces et les libertés
politiques
des futuristes commencent à sentir qu’il faut, po
dicis. Machiavel républicain, qui avait lutté et souffert pour sa foi
politique
, n’hésitait pas à souhaiter un prince pour comman
e règle, sous des voiles plus ou moins épais, à la diplomatie et à la
politique
du monde entier et qui s’étalent à cette heure av
ans y être contraints, ni provoqués, c’est pour reconstituer le monde
politique
sur des assises nouvelles et solides. « Aucun peu
ts pratiques, comme l’utilisation de la houille blanche et l’économie
politique
appliquée au tourisme. À défaut d’Université, il
a générosité de tous. Qui perd son âme la sauve, dit l’Évangile ; des
politiques
d’esprit étroit ont souvent reproché à Napoléon I
-256 [232-234]. […] Moins que l’histoire et moins que la religion, la
politique
, c’est-à-dire l’histoire prochaine et contemporai
que11, ni les Italiens ne méconnaissent que le premier principe de la
politique
balkanique à laquelle ils seront attachés aussi b
étrange, où les hommes sont presque toujours saouls de vin fort et de
politique
révolutionnaire et les femmes des victimes bavard
entiment était que l’on ne devait pas en sortir70. » Les questions de
politique
internationale, la menace directe de la tyrannie
ous voulons aussi qu’elle donne à l’Italie une autre conception de la
politique
intérieure. De ce renouveau nous attendons la sol
ptique. Or, le voici devenu maintenant un catégorique défenseur de la
politique
du front unique et mué en véritable apôtre. Conva
s obstacles les plus imprévus, il sut réunir autour de lui des hommes
politiques
de toute nuance, depuis le républicain Eugenio Ch
nt pas assez de force pour jouer un rôle important. À vrai dire, la «
politique
de guerre » n’a jamais été sérieusement menacée p
’étaient ses partisans qui au Parlement se chargeaient de soutenir sa
politique
. Il donnait rarement signe de vie. Cependant il é
s impossible de redonner vigueur aux conceptions « terre à terre » de
politique
intérieure qui avaient été le fondement de sa for
rimer publiquement son opinion. M. Giolitti évolue habilement vers la
politique
qu’il a d’abord essayé de faire échouer ; et les
vec beaucoup d’habileté. Nul d’après lui n’avait songé à défendre une
politique
de neutralité à tout prix. « S’il y avait eu une
tre qu’à la condition d’un complet renoncement ; et cela, aucun homme
politique
éminent ni ne l’a voulu ni ne l’a proposé. » Une
t été en toute sincérité neutralistes se sont ralliés rapidement à la
politique
du « Ministère de guerre », il est resté bien des
tit groupe de dirigeants cantonnés dans leur souverain mépris pour la
politique
de guerre. La plupart ont songé à leurs intérêts
car ne sont vraiment agissants que les journaux qui suivent une ligne
politique
déterminée, et non ceux qui exposent à leurs lect
« éditoriaux » qui dans son journal analysent les grands problèmes de
politique
internationale. Parti du socialisme qui l’avait f
mine les questions avec une hauteur de vues et un sens des situations
politiques
qui le met au premier rang parmi les publicistes
Levant. » Les nationalistes sont en même temps partisans d’une ample
politique
industrielle. L’avenir se ressentira beaucoup de
des années précédentes, occupé qu’il était à des luttes mesquines de
politique
intérieure. Lui avoir redonné aussi le sens de sa
si bien d’ailleurs que celles des chefs de l’opposition. La situation
politique
était en effet extrêmement embrouillée ; et il fa
ors président du Conseil, avait eu, disait-on, pendant longtemps, une
politique
trop ondoyante et trop souple à l’égard des ancie
it-il le 4 septembre 1917, a une théorie de gouvernement qui, pour la
politique
intérieure d’un pays en guerre, n’est pas dissemb
ccardo Bianchi ?… Il y avait malaise dans le pays et dans les milieux
politiques
. De là, le paradoxal développement des séances de
. En sorte que la situation était extrêmement confuse au point de vue
politique
. Les socialistes « officiels » avaient violemment
triotisme de M. Boselli, mais faisant l’éloge de M. Orlando. La crise
politique
, qui résultait de ces séances souvent chaotiques,
encore en Italie pour le bien de son pays… Si nous passons des hommes
politiques
aux théoriciens, aux philosophes qui, avant la dé
5 novembre 1917). Pour les « socialistes officiels », l’adhésion à la
politique
de défense nationale a été détournée et incohéren
adei sont décidés à ne pas les écouter, à faire trêve aux discussions
politiques
, et à soutenir le gouvernement. Ils n’ont pourtan
Le pouvait-elle ? Grande puissance mêlée depuis longtemps à la grande
politique
européenne, elle devait être fatalement entraînée
bien d’autres choses à dire. L’Allemagne manque de sens ou de talent
politique
, constate-t-il ; mais elle a celui de l’intrigue,
ord entre le triumvir et la reine d’Égypte une association d’intérêts
politiques
. On vient de voir en quoi ils consistaient pour A
té inventée « pour cacher une lutte beaucoup plus sérieuse d’intérêts
politiques
». Du traité de Brindes jusqu’à l’accord de Taren
son collègue. » Les conséquences de ce retour furent essentiellement
politiques
. Elles apparaissent comme le développement d’un p
mière rencontre avec Cléopâtre ; d’un plan conçu, en tant qu’héritier
politique
de César, par un homme qui pouvait à bon droit s’
omain, ni, dans l’événement même, comme général, dont les conceptions
politiques
influencèrent désastreusement la tactique. Il est
ion de l’héritage du monde, se trouve en présence d’un grand problème
politique
et social, dont M. Ferrero a indiqué les principa
toujours curieuse. § Avant d’en venir aux discussions littéraires ou
politiques
qui le passionnaient particulièrement lorsqu’il a
l ne s’agit plus de Venise, sur toute autre question d’histoire ou de
politique
, il sortira plus volontiers de sa réserve. À prop
ions, comme on lui laisse ses guinguettes17. »« Jusqu’à quel point la
politique
permet-elle qu’on ruine la superstition ? Cette q
erne Rome et lui-même ; ayant tous les côtés prosaïques de la sagesse
politique
sans rien de l’ampleur de vues que cette sagesse
’Orientaux. Aussi versés qu’ils fussent l’un et l’autre dans le droit
politique
romain, ils ne purent point ne pas se ressentir d
monarque véritable que devenait là, par l’effet (favorisé) des mœurs
politiques
de l’Orient, le chef de l’état romain, — mais à u
ns qui militaient en faveur du maintien de ce type dans le personnage
politique
d’Auguste. De ce point de vue, que distinguons-no
orien, textes en mains, nous le montre travaillant à raviver la force
politique
de l’ancienne aristocratie, ceci au détriment du
t plus que jamais, en face de l’orientalisme envahissant, des devoirs
politiques
à remplir. Son œuvre législative porte, entre tou
entre les mains de Pompée, et ceci pour sa propre sauvegarde, par une
politique
qu’on ne saurait qualifier d’anti-sénatoriale (il
qu’il s’agissait de combattre César). Mais le Sénat manqua de vigueur
politique
, et, par là, les pouvoirs d’Auguste eurent tendan
re un accord avec eux ». Cette sorte d’abdication du Sénat en fait de
politique
extérieure, dans une circonstance de première imp
s du principat d’Auguste, une des formes les plus subtiles du pouvoir
politique
à Rome, sorte de transaction entre la conception
. Après Dante, ou peut-être avant, le grand amour de Carducci fut la
politique
. Une bonne partie de son œuvre se compose de poés
fut la politique. Une bonne partie de son œuvre se compose de poésies
politiques
, et de politique nationaliste. Il est irrédentist
Une bonne partie de son œuvre se compose de poésies politiques, et de
politique
nationaliste. Il est irrédentiste : il veut Trent
expliqué, attaqué, célébré, acclamé, insulté et commémoré. Les partis
politiques
se sont plus d’une fois bombardés avec quelques-u
uvait être augmentée. Carducci fut moins hautain. Aussi la popularité
politique
entre-t-elle pour beaucoup dans sa gloire. Éch
e toute la noblesse même lorsque les courants les plus effrénés de la
politique
, de la morale ou de la religion, s’acharnent à la
vague, de cette unité, par un culte de patrie, supérieur à toutes les
politiques
éphémères : un culte national, capable de planer
ouva là son expression. L’idéal de Rome sans le Pape enflamma le cœur
politique
de la péninsule et, sept années plus tard, les po
térieure en élargit la signification et le charme. Les préoccupations
politiques
semblent assoupies dans les douces angoisses de l
, qui, pendant à peu près un demi-siècle, ont transformé la situation
politique
et puis l’esprit même du pays nouvellement consti
e peuple nouveau-né fût en tout digne d’aspirer, après sa renaissance
politique
, à sa renaissance esthétique. Le rêve était préma
commençaient, à peine fauchés par la mort, à disparaître des horizons
politiques
de l’Italie. Mais l’enfant nouveau, qui n’héritai
ergies occultes, étrangères, alors même qu’il les exprimait, à la vie
politique
et esthétique de tous. Il représente aussi le deu
aguette du farouche censeur. Il voulut entrer dans la mêlée de la vie
politique
. Il rêva de devenir le nouveau poète national. Ma
ofonde des races précèdent toujours les mutations et les combinaisons
politiques
, la race méditerranéenne se redresse avec orgueil
onnu sous le pseudonyme de Rastignac, a fait représenter des pages de
politique
contemporaine dramatisée sous le titre : la Flott
d Médicis, n’eut droit à ce surnom glorieux. N’aurait il point été un
politique
hardi et un souverain fastueux, Laurent ne mérite
dante de toute suggestion de la mode. Le séjour à Rome, dans le monde
politique
, journalistique et littéraire lui donnera, j’espè
t de nouvelles éparpillés çà et là dans les journaux hebdomadaires et
politiques
, j’ai dû changer d’opinion. Miraggio, quoique tro
jeunes ont eu l’honneur de rentrer en Italie par la voie des journaux
politiques
, qui, en les traduisant, y ajoutaient des express
ations d’art. André Mellerio : Rome, la question d’art et la question
politique
, Henri Floury, 2 fr. 50 Yvanhoé Rambosson. To
Dans une plaquette fournie sur Rome, la question d’art et la question
politique
, M. André Mellerio, esprit sagace et critique ave
aient pour la Ville éternelle les conséquences des divers changements
politiques
possibles. Un profitable appendice groupe un cert
thie très marquée. J’ai entendu, encore dernièrement, quelques hommes
politiques
, — (voit-on assez que je vis, à Rome, dans les co
ans les coulisses du monde parlementaire ?) — j’ai entendu des hommes
politiques
rappeler les vers de Remigio Zena avec un plaisir
avec son élégance habituelle, nous fait regretter que le journalisme
politique
absorbe trop souvent cet écrivain souple, fantast
it. Celui-ci a un double intérêt ; il présente un tableau suivi de la
politique
piémontaise, pendant la période si intéressante q
commun qu’on ne peut pas jouer, faute de la permission de l’autorité
politique
. J’ignore profondément ce que cette autorité, si
l’indifférence que la même autorité déploie vis-à-vis des événements
politiques
proprement dits, et par l’allure libertaire que l
tandis que les huées de la foule montent et le désarroi de ces hommes
politiques
devient de plus en plus clair et significatif. En
er de trouver injustes ceux qui, poussés peut-être par des sympathies
politiques
(qui devraient toujours demeurer étrangères aux j
a montre, épouvantée par une charge de police, dans une manifestation
politique
, ou bien mise tout à coup en fuite par une averse
les papes, de Nicolas V à Léon X, par goût providentiel ou par génie
politique
, prirent la tête du mouvement. Au privilège du Ta
e, comme dit Bossuet, qui opéra de si grands changements dans l’ordre
politique
, ne tient aucune place dans l’ordre cérébral. Mar
devient légitime que par l’œuvre et l’étude, sert à une foule et à la
politique
. La liberté en pensée ou en acte suppose une ment
férante et tyrannique, et qui est tombée dans les sales rouages de la
politique
, nous ne savons à qui nous fier. L’égalité des de
sme italien se retrouve, tel quel, dans le barreau et sa prolongation
politique
, dans la presse avec ses conditions vénales. Le m
ndu à la France son rang en Europe, en reprenant les traditions de la
politique
conservatrice. — En ce qui concerne l’Allemagne p
ce. — En ce qui concerne l’Allemagne particulièrement, cette dernière
politique
en eût empêché l’unité, dit M. Bainville, en s’op
ais et monarchique, — M. Bainville résume heureusement de la sorte la
politique
conservatrice de Louis-Philippe (politique très i
eureusement de la sorte la politique conservatrice de Louis-Philippe (
politique
très injustement calomniée, dit-il) : « L’Autrich
out pour nous), c’est quand des historiens qui servaient des rancunes
politiques
, les Suétone, les Tacite, les ont ramassées pour
des gens dont la rancune corsait cet usage en le transportant dans la
politique
. C’est là l’opinion que nous avons pu entendre fo
le Tyrol, qu’il faut placer l’axe, pour ainsi dire, de la formidable
politique
extérieure de Richelieu, notamment de sa politiqu
, de la formidable politique extérieure de Richelieu, notamment de sa
politique
antiespagnole. Par cette vallée seule pouvait s’o
flanc, s’engager à fond dans la Guerre de Trente Ans. C’est sur cette
politique
de Richelieu avec la Maison de Savoie, politique
Ans. C’est sur cette politique de Richelieu avec la Maison de Savoie,
politique
assez connue dans ses grandes lignes, mais restée
a mauvaise volonté, aujourd’hui évidente, contraria singulièrement la
politique
de Richelieu en Piémont. Sous Mazarin, les nouvel
8. Son père, ancien conservateur du musée de Naples, poète violemment
politique
et satirique, avait dû fuir sa patrie en 1821, et
bas assouvissements, le nœud et le but de toute préoccupation d’ordre
politique
. Jamais il n’est revenu sur cette première opinio
de colère patriotique. Il subit le charme irrésistible de la passion
politique
, ainsi que les autres grands écrivains de son pay
poétique d’Homère en créant la Tragédie. Dans Saül, toute la passion
politique
d’Alfieri devient cependant pure poésie, le poète
chose qui donne une idée, suggestive et piquante, de l’insignifiance
politique
où Venise en était venue à la fin du xviiie sièc
des premiers États de la Péninsule, et, selon les fluctuations de la
politique
européenne, elle se voyait sollicitée plus ou moi
ait vouloir renouveler avec elle, en ce qui concernait l’Autriche, la
politique
de Richelieu avec le Duc de Savoie. Tout ceci, pa
une brusque oscillation, que provoqua trop facilement la tracassière
politique
extérieure inaugurée par le Directoire (demande à
montré de la façon la plus définitive, et, de ses antiques traditions
politiques
, le Sénat ne fut même pas capable de retenir la d
facile, ce ruisseau trouble, où le lyrisme se noie fatalement dans la
politique
. Mais il faut être reconnaissant à M. d’Annunzio
ée ? » E. Rodocanachi : Boccace, poète, conteur, moraliste, homme
politique
, 1 vol. in-8° illustré de 6 planches hors texte,
orien de Boccace et l’étudie comme poète, conteur, moraliste et homme
politique
, nous dit que la passion de Dante pour Béatrice l
poètes des pays italiens, qui demeurent si différents malgré l’unité
politique
. L’esprit florentin du Quattrocento a été celui d
onsacra cette publication avec d’autres au rapprochement spirituel et
politique
des deux peuples dits latins. M. Fausto Torref
her parmi les révolutionnaires et range son œuvre dans les événements
politiques
. Selon l’ordre des faits, aucun n’eut des conséqu
ge, grand troubadour, merveilleux intuitif de la psychologie et de la
politique
et avec un génie sublime pratiquait la vraie humi
ace du livre de Hutten sur la Donation de Constantin ; il obéit à une
politique
transcendantale. À lui sont dédiées la bible poly
tastrophes quelle amène qui fait prendre en patience les associations
politiques
imparfaites qui existent de nos jours. M. Faguet
et de passions se trouvent ainsi lésés ! Il appartient à l’annaliste
politique
de faire la véritable histoire du protestantisme.
type d’ambition spirituelle, Luther n’a qu’un pendant dans l’ambition
politique
, César Borgia. Le condottiere rêvait l’unité ital
t pas siffler l’arquebuse, ils seront mille fois plus méchants. » La
politique
de César Borgia était plus démocratique ; ses man
llant de passions a une vision étonnante de la psychologie et un sens
politique
des événements tout à fait surprenant : et, chose
ait pour son compte, sous l’influence de l’infâme Philippe le Bel, la
politique
gibeline ou césarienne, déjà deux fois fatale à B
astueuses et de plaisirs, plus que par l’ensemble de ses vicissitudes
politiques
internationales, et des actes du gouvernement. »
récie la Renaissance au point de vue de sa signification dans l’ordre
politique
, social, religieux, et M. Dumur, en reconnaissant
ne point pousser, avec de trop grandes allures, dans cet Orient, une
politique
dont le point de départ, Actium, pour être except
riche province, et avec cela dépourvue, depuis César, de toute force
politique
et militaire propres (œuvre autrement pressante à
ifié la formation d’une bureaucratie cosmopolite,… la fin du monopole
politique
possédé jusqu’alors par Rome, les grandes famille
illes de l’aristocratie sénatoriale, etc. Tels étaient les principes
politiques
et les objets qui se rattachaient à la guerre de
oir, c’est la chose du monde qu’on peut le moins dire ! Toute vigueur
politique
avait disparu de l’aristocratie sénatoriale ; la
r leur richesse, et, pour le reste, puisqu’il n’y avait plus de force
politique
dans le sénat et dans l’aristocratie, s’en remett
u’Auguste s’en doutât, un acheminement de plus vers les futurs usages
politiques
de l’empire proprement dit : en effet, on avait d
côté de ces effets sociologiques immédiats, sous le rapport du droit
politique
, ces formules signifiaient la res publica, le pop
lmo Ferrero nous a fait de la sorte pleinement comprendre la destinée
politique
d’Auguste, le rôle de celui-ci dans le Grand Empi
me un seul grand cœur, dans une exaltation collective et profonde. La
politique
de la Comédie, ou les passions de la Tragédie, ne
r couronner solennellement enfin l’édifice bizarre bâti sur son unité
politique
. Dans son effort vers un art vraiment national, d
es, par sa diplomatie, la France est une des grandes paissances de la
politique
mondiale. L’argent d’ailleurs, dans le plus grand
uttes. Enfin, partout, dans le monde intellectuel comme dans le monde
politique
, les forces conservatrices et les forces révoluti
istocratie et la démocratie, l’intelligence et l’argent, la puissance
politique
et le raffinement des mœurs, le plaisir et l’acti
es acteurs du drame du point de vue a posteriori d’une transformation
politique
. Si la République, si les institutions qu’elle re
les hommes s’aperçoivent très souvent des transformations sociales et
politiques
seulement beaucoup de temps après qu’elles ont eu
t toujours portés à considérer toute chose existante, surtout dans la
politique
, comme indispensable. Remarque essentielle, qui
41 et vous aurez quelques-uns des éléments typiques de cette terrible
politique
d’Antoine, qui, assez longtemps embryonnaire, fin
point pour tout. Octave, à côté de lui, jeune homme hasardeux, génie
politique
embryonnaire, n’a guère encore d’autre mérite que
terribles, ceux-là, à qui rien ne manquait pour opérer une révolution
politique
. Le rôle des triumvirs consista essentiellement à
ri fut de rugir contre les préjugés et de finir par s’y soumettre. En
politique
il ne conçut jamais l’immense bienfait d’une… qui
ités identiques les événements qui remuaient contemporainement la vie
politique
et intellectuelle de la France et de l’Italie, et
-légat qui fait des horreurs dans les environs de Bologne. Assassinat
politique
de Besini, le chef des espions de Modène. Un poig
le milieu de l’année 1814, des déboires d’ambition et des répugnances
politiques
s’étaient unis pour dégoûter Beyle de Paris. « Ro
passe par l’esprit, tout ce qu’il fait, tout ce qu’il voit, ses idées
politiques
, son mépris pour les Bourbons, le récit de ses vo
, tout mêlés encore de notes biographiques, voyages, bonnes fortunes,
politique
, argent. C’est qu’en vérité l’ambition et l’amour
nseignements caractéristiques. Nous entrevoyons de furieuses passions
politiques
se déchaînant sous le couvert de cette lamentable
ne sorte de galvanisation générale des initiatives, et une corruption
politique
, qui descend de proche en proche à travers les co
’Italie nouvelle, comme il fut jadis le creuset même de la rénovation
politique
ou le noyau de l’unification. En organisant tout
r des oppositions régionales, d’autant plus acerbes et tenaces que la
politique
, en Italie plus que partout ailleurs n’est guère
Midi qui perpétue dans la Péninsule le curieux et ignominieux système
politique
, qui évolua peu à peu de Depretis à Giolitti, san
i au militarisme, ni aux arrérages de la dette. Tout le mystère de la
politique
italienne, si inintelligible souvent, si énigmati
fraction républicaine, il n’y a pas, au-delà des Alpes, de groupement
politique
digne de ce nom. Des Giolittistes aux Sonninistes
sti de la ville principale. Et voilà comment le Midi paralyse l’essor
politique
du Nord, et comment le royaume de Naples, plié de
qu’on ne saurait prévoir, — la libération économique, intellectuelle,
politique
, sociale de la Péninsule. Les Piémontais et les L
rôle, et son avenir est limité. Ou bien les comités de la démocratie
politique
se confondront avec ceux de la démocratie sociale
adoptée, ne prévaudra que par l’effort prolétarien, et la révolution
politique
ne remportera plus qu’avec la révolution sociale.
la découverte économique de la Gaule ; la famille d’Auguste, son rôle
politique
et ses dissensions ; la succession de Tibère ; en
ie tient une si grande place, sont donc plutôt républicaines, au sens
politique
et romain du mot. Tel est le point de départ du g
ganisation du pouvoir suprême n’était que la moitié du grave problème
politique
qui se posait alors devant Rome : À côté du prob
mpire, sans distinction de nationalité ni de race, la fin du monopole
politique
possédé jusqu’alors par Rome, les grandes famille
), cette aristocratie n’était plus en état de fournir le grand effort
politique
qu’on lui demandait. Elle rappelle un peu, à cet
là, et non point d’une simple affectation hypocrite. Malgré son génie
politique
, la tâche était formidable, démesurée, et il est
assez pour avoir voulu, en se retirant, éviter d’instituer un système
politique
où se trouvait un germe morbide : Il y avait, da
, p. 268-272. Ouf ! On peut enfin respirer un peu, après huit mois de
politique
militante, acharnée, et en attendant les autres m
mois, où la lutte ne sera pas moins tapageuse et entêtée. La bataille
politique
, chez nous, est devenue une mêlée aux coups furie
x, aux armes empoisonnées ; depuis huit mois que je dirige un journal
politique
, j’ai trois procès en vue, et la pépinière se rem
Comme je considère l’art comme tout à fait indépendant des conditions
politiques
et sociales du pays où il fleurit, je ne veux pas
La presente vita italiana, par Ercole Vidari, est une œuvre de haute
politique
, inspirée elle aussi par les circonstances actuel
n talent plus idéaliste que pratique, un écrivain en dehors de la vie
politique
vécue. Cela ne gâte rien ; ce qui est plus grave,
zio compte non seulement dans le monde littéraire, mais dans le monde
politique
aussi. Une interprétation malheureuse des personn
impartial (on en trouve, de temps en temps !), sans aucune prévention
politique
, a goûté la tragédie, a salué avec enthousiasme M
tradictions voulues ne sont pas trop favorables au poète. Comme homme
politique
on ne connaît de lui que son discours électoral :
enfin, que ce discours, rien de plus invraisemblable que les théories
politiques
du grand écrivain. Ses électeurs en tremblent enc
par oubli d’eux-mêmes, ou parce qu’ils mettaient les fins morales ou
politiques
au-dessus des fins de l’art ; chez lui, cette cul
ne double force. Personne n’avait jamais porté si loin l’indifférence
politique
; sa philosophie avait toujours été de « fuir dev
fluctuations de leur fortune. Et cependant voilà que dans la société
politique
de Rome il venait d’être soupçonné d’avoir des sy
véritable nation qui, un jour, nécessairement, acquerra une existence
politique
. Un autre coin, le nord de la Nouvelle-Angleterre
les ducs les tenaient-ils en suspicion. Ce furent surtout des motifs
politiques
qui agirent sur la cour de Rome lorsque, sous Pau
9. Savonarole paraissait à ses adversaires dangereux au point de vue
politique
et économique bien plus qu’au point de vue religi
Florentins de rester les alliés de la France, ce qui contrecarrait sa
politique
. — Les marchands florentins, particulièrement ceu
ce Valcarenghi est un type, dans son genre. Il fonde un grand journal
politique
ou il écrit un grand roman comme on boirait un ve
ut à bout, des interviews, des critiques littéraires, des discussions
politiques
, des morceaux de romans, des impressions, des des
teindre le faîte de la gloire. D’excellents articles d’économie et de
politique
qui paraissent dans la Nuova Antologia il ne sied
un ramassis de faits inexacts ou purement inventés, de considérations
politiques
absurdes ou mensongères, d’informations provenant
que leur lecture, arrachant une minute M. Barrès à ses préoccupations
politiques
, il retrouvât, pour plaider la défense de Venise,
un Italien d’un esprit supérieur pouvait en prendre : un matérialisme
politique
complet, quelques systèmes d’économie administrat
s privées les plus charmantes, mais tout ce qu’il gardait d’influence
politique
était employé contre la France. » Le ministre de
utait avec un bien curieux pressentiment : “Partout où les influences
politiques
et diplomatiques des autres puissances se trouven
embre 1900, p. 810-817. Les dernières manifestations littéraires et
politiques
de M. Gabriel d’Annunzio Les dernières manife
M. Gabriel d’Annunzio Les dernières manifestations littéraires et
politiques
de M. d’Annunzio ont un tel fond d’étrangeté qu’u
it de loin que M. d’Annunzio avait joué sur une mauvaise carte sa vie
politique
. § Le Président du Conseil des Ministres n’arriva
nécessité. Il est impossible de passer sous silence que ces articles
politiques
de M. d’Annunzio étaient trop longs ; on ne badin
as trop comment l’auteur du Fuoco pourra mettre d’accord ses malheurs
politiques
et littéraires avec ses Théories sur la joie. Il
t coup sur coup le Fuoco, le passage à l’Extrême Gauche, les articles
politiques
, les indiscrétions amoureuses, la défaite finale
sans aucun doute, et complètement, de sa double culbute littéraire et
politique
La Monarchie populaire On s’approchait du R
ment que la police italienne, accusée si souvent de trop s’occuper de
politique
, n’avait aucune idée de cet anarchiste ; tous le
crains qu’on ne se dispose à nous servir encore toute cette gélatine
politique
dont les esprits clairs et fermes sont rassasiés,
ce soit et arrêter la soif d’or des avides. Je doute également que la
politique
de grossièreté qui semble avoir envahi l’Italie c
zio des beaux jours, lorsqu’il n’était que poète et artiste et que la
politique
ne l’avait pas encore empoisonné. Du haut de cett
it pas moins pour faire oublier son dernier roman et les mésaventures
politiques
que j’ai racontées dans le Mercure de septembre.
de Rome n’aient pas craint de placer, au milieu des platitudes de la
politique
quotidienne ces spécimens de haute littérature.
de Frédéric Nietzsche. Cette Nuova Antologia donne trop de place à la
politique
et à l’économie politique ; il est difficile déso
te Nuova Antologia donne trop de place à la politique et à l’économie
politique
; il est difficile désormais d’y pouvoir lire que
a Revue va gagner de cette manière une grande influence dans le monde
politique
, mais elle perd d’autant dans le monde des intell
de la Revue à quelque homme de lettres, en se réservant la direction
politique
; quatre yeux voient mieux que deux, en général.
dini a abandonné la direction du Marzocco pour entrer dans un journal
politique
. 4. L’Homme de génie. Introduction à la 6e édit
euse. M. Panzacchi demeure un artiste de premier ordre en dépit de la
politique
, qui a réclamé sa présence à la Chambre. Il a ce
tranquille ! Les mots ne coûtent rien, et, après tout, la littérature
politique
de M. Ferrero n’a été jusqu’à présent qu’un défil
re toute signification. À la prochaine crise, et on sait si une crise
politique
se fait attendre en Italie et ailleurs, Felice Ca
chacun pour soi ou contre soi toute une presse, toute une classe ? La
politique
n’est désormais, — et quand donc a-t-elle été aut
Toutefois, il faut être juste : de belles pages marquent la carrière
politique
de Cavallotti. En 1860, à dix-huit ans, il était
e. Trois dates, trois actes de bravoure. Tout le reste rentre dans la
politique
intérieure de l’Italie et manque de cette calme l
vu parmi ses adversaires les plus acharnés. C’est pourquoi son œuvre
politique
ne lui survivra pas ; il l’a mortellement blessée
Il Secolo et Don Chisciotte, l’un à Milan, l’autre à Rome, de lettres
politiques
hérissées de pointes, de sarcasmes et de déclamat
ment préparé le retour de Crispi au pouvoir. Du reste, quant au flair
politique
de Cavallotti, il est permis de douter. Ce vétéra
osait capables, il avait des tendresses fraternelles. Ce mirage de la
politique
vertueuse avait fini par offusquer complètement l
’il croyait nuisible ou pour révéler des commérages d’antichambre. Sa
politique
aigrissait les caractères les plus paisibles, grâ
ularité par sa manière personnelle d’envisager certaines questions de
politique
intérieure. Au demeurant, il y avait entre Macola
n marchant par une voie parfaitement opposée et dans un but social et
politique
décidément contraire à celui de M. Ferrero, prése
le produit de son époque, dont il refléta tout le mouvement moral et
politique
. Le lettré studieux, tout épris de la grandeur de
ui-même en butte aux attaques des modérés, autant dans le champ de la
politique
que dans celui de la littérature. En ces dernière
o il lavoro sarà lieto ? Quando securo sarà l’amore ? § Si la partie
politique
est la plus saillante dans l’œuvre de Carducci, e
nt le poète du combat, l’amoureux enthousiaste de toutes les libertés
politiques
, religieuses et morales. À côté du citoyen, l’hom
également supérieur dans la violence et dans la tendresse. Ses ïambes
politiques
ont la vigueur des vers de Victor Hugo et de Barb
logia, a compris qu’il ne pouvait pas mettre d’accord ses occupations
politiques
avec les soins infinis qu’une Revue exige tous le
ent le mouvement entier des arts, des lettres, de la science et de la
politique
. Ces modifications profondes n’ont pas manqué de
re d’Occident. Il faut déplorer que M. Ferrero appartienne à un parti
politique
; son talent ne peut pas prendre tout l’essor qu’
t de continuer son œuvre, même si un peu ombragée par des préventions
politiques
, lesquelles, au demeurant, laissent toujours le t
t précis et d’abstrait quintessentiel. Il en a tenté l’application en
politique
; c’est pourquoi il se retire de la lutte. En app
interwiever M. Delcassé et à s’occuper des plus inutiles problèmes de
politique
internationale. Heureusement, M. Ojetti supporte
ques français. Après 1895, M. Silvagni a été emporté lui aussi par la
politique
et le journalisme quotidien, deux machines à para
et par les historiens qui ne pouvaient pas se soustraire aux passions
politiques
de leur temps. Dans la conduite de son travail, l
nstruire ce monde, de peindre dans ces souverains méprisés les hommes
politiques
qui, à travers les bassesses des sens et les foli
les folies de la toute-puissance, poursuivaient un dessein social et
politique
grandiose. Sous ce point de vue, l’œuvre de M. Si
adémies des Inscriptions et Belles-lettres et des Sciences morales et
politiques
. 4. Il va de soi que des observations aussi gén
up. À part l’Espagne et le Portugal, que la pauvreté même de leur vie
politique
et industrielle préserve, depuis des années, de t
ujourd’hui, et qui font la substance même — si l’on peut dire — de la
politique
courante, sont d’origine peu lointaine : avant la
e M. Isvolski, le ministre des Affaires étrangères de Pétersbourg, la
politique
gouvernementale russe se contenterait de demander
oseph, dans sa vieillesse avancée, a-t-il voulu modifier la condition
politique
des Bosniaques et des Herzégoviniens ? C’est moin
iplomatique dont il est la caractéristique saisissante et précise. La
politique
austro-hongroise a compromis la paix et, d’autre
rbation mondiale : le militarisme allemand. Toute la conception de la
politique
germanique reposait sur la double notion d’une Au
es États Slaves des Balkans, que la force des choses réunit contre la
politique
du baron d’Æhrenthal, immobiliseraient les forces
opéen, l’Italie ne prendrait point parti pour l’Autriche. Et ainsi la
politique
bismarckienne s’est définitivement effondrée. Le
s, il affirme exclusivement religieuse et indépendante des mouvements
politiques
d’Anvers et de Londres, peuvent servir à quelques
nt la sympathie générale et endormirent la conscience populaire. Leur
politique
repose sur une connaissance profonde du caractère
ination terrible capable de les entraîner loin de toute réalité, fins
politiques
et marchands habiles, sceptiques et superstitieux
is à l’abri de hasards provenant de causes naturelles ou d’événements
politiques
; comme je l’ai dit déjà, les fils ne pouvaient c
. La valeur des titres du monte commune variait avec les fluctuations
politiques
et l’on jouait déjà à la hausse et à la baisse. L
blesse, ce qui est vrai si l’on se place au point de vue étroit de la
politique
, mais faux si l’on considère l’ensemble de la civ
e son pouvoir, soumettre les contrées voisines, jouer un rôle dans la
politique
italienne. Les Florentins se passionnaient à ces
que se trouvèrent réunies chez quelques personnalités en qui le génie
politique
des Florentins culmina : la plus éminente d’entre
ses domaines. Il emploie l’excommunication et l’interdit dans un but
politique
et vend des indulgences et des dignités ecclésias
it point apercevoir : l’impression confuse que nous laisse l’histoire
politique
de Florence se dissipe dès que nous considérons l
vait initié, au moment de la guerre russo-japonaise, à maints détails
politiques
intéressants. Aujourd’hui nous le retrouvons, s’é
notre langue ; mais soudain Paris prend l’initiative des révolutions
politiques
: les aristocraties, ruinées et disgraciées, lui
d’anémie morale — dans certains milieux trop en vue, — d’ignorantisme
politique
et par suite d’impuissance parlementaire, à une é
et donc de rapacité, le gros effort de la France vers un nouvel ordre
politique
plus stable et plus impartial que l’ancien régime
ruire une littérature nationale, aspirant à réaliser, après son unité
politique
, une sorte d’unité artistique. « L’Italie, dit Je
ommerce, de l’expansion de notre mentalité persécutée par la calomnie
politique
et luthérienne, de l’élaboration d’une morale pou
utte du sacerdoce et de l’empire, entre la guerre des Albigeois et la
politique
avec Philippe-Auguste, qu’il n’est pas non plus i
Albigeois, rivalité de la papauté et de l’empire, quatrième croisade,
politique
à l’égard des royautés vassales, concile du Latra
is pas du tout à la nécessité de demeurer honnête pour devenir un bon
politique
, un grand conquérant ou un écrivain de génie, seu
, de temps en temps seulement, ont été repris par le déplorable démon
politique
de Carducci, et ont chanté quelques événements na
l’histoire des mouvements universels de l’âme, autant que l’histoire
politique
, s’enrichit en ce moment, plus que partout ailleu
J’ai parlé du roman le Bal, de M. Alfredo Baccelli. La personnalité
politique
de ce remarquable écrivain peut servir au jeu fac
brève et claire histoire d’un homme synthétique, représentant d’idées
politiques
avancées, qui, tout en s’élevant sur l’ensemble d
de tout le mouvement romantique et épique qui aboutit à l’unification
politique
de l’Italie, pendant le xixe siècle. Les évocati
ux dernières élections. L’histoire nous dira si c’est un bien pour la
politique
italienne ; mais en attendant, cela ne me paraît
re une tragédie et un drame, qui n’ont pas de communes intentions, ni
politiques
, ni artistiques. M. Oliva, surtout, n’a pas voulu
Confalonieri Mais si nous voulons jouir avec passion d’événements
politiques
terribles, il nous faut suivre M. Alessandro D’An
oritaire, tient dans l’histoire des conspirations pour la renaissance
politique
italienne la part la plus importante. Entouré d’e
suit le Comte Confalonieri dans toutes ses aventures et mésaventures
politiques
, dans ses exils, dans les prisons du Spielberg, j
le un trésor de science et d’argent… Sans doute l’automobilisme et la
politique
anti-cléricale séduiront plus le public français
En Italie les différentes régions sont des mondes différents. L’unité
politique
italienne s’efforce d’en étouffer toutes les aspi
ais comme en ce moment l’Italie, affaiblie et attristée par son unité
politique
sans cohésion réelle, n’a été plus désireuse de r
lement. L’historien explique par-là les vicissitudes des institutions
politiques
de Rome, les rapports que les faits sociaux, — y
n nous présente le tableau d’« un club de nobles, de dilettanti de la
politique
, d’hommes d’affaires, d’avocats ambitieux, de let
e contre Antiochus le Grand, et même avant : initiative indépendante,
politique
personnelle à l’égard des rois vaincus, importanc
dernier siècle de la République ». Le créateur de la guerre et de la
politique
personnelles, directes, césariennes, substituées
ennes, substituées à l’action lente et plus ou moins timide des corps
politiques
et des généraux commissionnés, c’est lui. Pompée
en se plaçant, pour ainsi dire, au centre de Rome et de ses intérêts
politiques
et financiers, en cherchant à découvrir les relat
ns militaires accomplies par César et les événements intérieurs de la
politique
romaine ». Si jamais guerre fut « la force qui, à
es jurés d’une instruction générale plus haute, et d’une indépendance
politique
plus sûre. Ceci fait, je ne vois pas pourquoi on
z raison. Mais il n’a pas appliqué cette initiative personnelle à une
politique
d’expansion, mais à la politique intérieure. Syll
é cette initiative personnelle à une politique d’expansion, mais à la
politique
intérieure. Sylla a été un anti-impérialiste. Il
anti-impérialiste. Il a continué, en ceci, la vieille tradition de la
politique
aristocratique, qui, depuis Scipion l’Africain, f
avec cette vieille tradition du parti aristocratique et commence une
politique
d’expansion ouvertement agressive. Jusqu’alors la
mence une politique d’expansion ouvertement agressive. Jusqu’alors la
politique
romaine avait attendu passivement les occasions d
rchées. Et c’est Lucullus qui a donné, le premier, ce grand élan à la
politique
de Rome. » Tome LVIII, numéro 202, 15 novemb
e la guerre de tarifs où s’entêtaient les deux États et les relations
politiques
si incertaines qu’on avait pu, à diverses reprise
cusaient les Italiens d’ingratitude ne se rendaient pas compte que la
politique
de Napoléon III à l’égard de l’Italie et du Saint
s Solférino et à tout jamais, en dépit de toute circonstance, d’autre
politique
que la politique d’action de grâces. Par contre l
tout jamais, en dépit de toute circonstance, d’autre politique que la
politique
d’action de grâces. Par contre les Italiens prêta
’ouvrage de M. Billot, qui est une véritable histoire diplomatique et
politique
de l’Italie pendant ces années, détaille en parti
ésastre eut pour l’Italie des conséquences heureuses. Il mit fin à la
politique
de conquêtes coloniales, et le changement de mini
e sa femme, qui venait lui faire ses derniers adieux. Les prisonniers
politiques
de 1834, Marrast, Guinard, Cavaignac, détenus à S
er sa montre ; bien des membres de l’Académie des sciences morales et
politiques
n’ont touché un marteau ni regardé travailler un
l’on réfléchit à l’époque où se sont passés les événements, aux idées
politiques
et religieuses des gouvernants de Venise, au syst
idées politiques et religieuses des gouvernants de Venise, au système
politique
de tous les États de l’Europe avec le pouvoir san
ion de 1789. En tout cas, la Maçonnerie, où il est interdit de parler
politique
ou religion, peut être considérée, au xviiie siè
tout le mépris de ses concitoyens. Casanova a voulu sauver l’honneur
politique
de Bragadin ; il n’a pas voulu, en disant la véri
tion qu’on ne les utilise pas trop tôt pour des hypothèses d’histoire
politique
, et aussi, d’une façon générale, qu’on les emploi
e se préoccupaient point. Ils réclamaient pour eux-mêmes des libertés
politiques
et n’avaient cure des questions économiques qui s
rations d’artisans et de marchands, ils ne voyaient dans les conflits
politiques
que des luttes pour des idées, des droits, des pr
plus graves du caractère italien, ils s’adonnèrent sans retenue à une
politique
de mégalomanes. Ils ne cessèrent de rêver une Ita
que misère et tristesse. Il eût été si aisé pourtant de pratiquer une
politique
de recueillement, de diriger toute son activité v
traîneurs de sabre, aux usurpateurs du pouvoir, aux charlatans de la
politique
qu’aux artistes de génie ou aux vrais savants. Et
contagion morale ? Il n’y avait pas, à proprement parler, de passion
politique
en jeu ; seuls les catholiques fanatiques avaient
prétention de civiliser les Arabes, affichée par les partisans de la
politique
coloniale, ils pressentent ce qu’on leur demande
Veut-on un portrait de Dante au moment de son accession à la carrière
politique
, comme « membre du Conseil spécial du capitaine d
r dédain. Ce sont toujours ceux-là qui font les frais des convulsions
politiques
. Comme homme, d’ailleurs, il était orgueilleux, e
aliennes, qui utilisaient l’homme docte, habitué aux affaires et à la
politique
. Les Polenta de Ravenne le chargèrent même d’une
aujourd’hui) du De Monarchiâ universali dans la grande controverse «
politique
» du Moyen-Âge, la controverse du Pape et de l’Em
tholique imbu d’un idéal d’humilité ultra-franciscaine, mais celle du
politique
, du Florentin molesté et finalement exproprié par
, chez Dante, l’émotion du pèlerin du grand Jubilé ; fixons la nuance
politique
de sa haine du pape : et restons-en là. Pas plus
oie aux bureaucrates, mais de celui, encore plus véhément, des luttes
politiques
. M. Monicelli a été en effet pendant quelques ann
voir, de sorte que le Pouvoir ne cherche pas à lui déférer les causes
politiques
par peur de la Justice populaire du Jury : exempl
p, mais du Casanova sérieux, penseur, philosophe, épicurien, prophète
politique
. Casanova, voyageant pour s’instruire, ayant vu t
nale qui s’est réalisée et qui montre la profondeur de ses réflexions
politiques
? Casanova est parti avec l’intention de s’arrête
qui vous ronge. L’éditeur français, qui seul nous donne ce jugement
politique
, va nous faire encore retrouver l’épicurien expri
dans le Conclave, au lendemain d’un pontificat jugé par d’aucuns trop
politique
et trop souple. Cette simplicité et cette force m
Italie », qui est née de la victoire représentée par son unification
politique
il y a cinquante ans, a passé à travers une pério
, tout aussi susceptibles que les nôtres d’obéir à des raisons que la
politique
a pu influencer. Les uns et les autres ne sont-il
, en France, à incriminer nos voisins. Au contraire, pour des raisons
politiques
aisées à comprendre, ils trouvent avantage à de c
isées à comprendre, ils trouvent avantage à de certaines combinaisons
politiques
internationales auxquelles ils se sont liés. Les
omment se ferait-il que, sous Crispi et Humbert Ier les condamnations
politiques
pleuvaient, tandis qu’elles ont considérablement
encore, à savoir que le rôle que les rois jouent aujourd’hui dans la
politique
est des plus effacés et que n’importe quel grand
e faire, ou de le faire mal, et il s’est adonné entièrement à l’étude
politique
du milieu. Politiquement, il a exercé et il exerc
même, une inclination à l’éloquence plutôt qu’au lyrisme ; de là, en
politique
, la tendance à attendre du gouvernement tous les
vements sociaux qu’il a donné lieu à l’usage, presque à la règle, des
politiques
, de ne point invoquer les vrais mobiles de leurs
. F. Abbots […] Tome XCIX, numéro 365, 1er septembre 1912 La
Politique
des dépouilles et l’Anarchie diplomatique [extrai
4 [392-393]. Revue historique, juillet-août 1912. J. Calmette : « La
Politique
espagnole dans l’affaire des barons napolitains (
en : amour, amitié, communauté de métier ou de lutte sociale, passion
politique
, liens inavouables, etc. La loi qui préside à la
n symbolisme individuel. Voici l’argot des professions et des groupes
politiques
. Enfin, dans le dernier chapitre, l’auteur examin
roïque ou sentimental du xviie siècle cornélien ou racinien, le dieu
politique
du xixe siècle de Hugo. L’inquiétude mystique co
que le parti des noirs ou gibelin est celui de l’empire. Abordons la
politique
de Dante avec une estimation déjà précise de ses
ne lira ce lourd document, doublement ennuyeux parce qu’il traite de
politique
et qui est fait de centons ecclésiastiques tirés
gorie de gens qui connaissent les coulisses et les dessous du théâtre
politique
, les programmes et les théories ne sont en réalit
lle ressemblance entre le Vatican et Monaco. Au-dessus des évocations
politiques
, la théocratie se détache par l’ampleur et la bea
oses de ce monde : je doute qu’il ait conçu une pareille insanité. La
politique
de Dante découle de sa croyance, il aime l’empere
de cette république. Dans une dernière partie est exposée la science
politique
en Italie avant Machiavel. Cette science avait d’
César Borgia notamment, réalisme qui, appliqué étroitement à l’art du
Politique
, est l’essence du machiavélisme. M. Charles Benoi
livre est le bienvenu. — Ajoutez que M. Charles Benoist est un homme
politique
distingué, une des têtes perspicaces du personnel
ogrès de l’association dans les relations extérieures, économiques ou
politiques
, apparaît toujours plus comme un fait de conscien
nces ambiantes, à se passionner pour une cause altruiste (religieuse,
politique
, nationale ou mondiale) que l’occasion fait surgi
n, et lui explique que, violemment indigné par la lecture des Annales
politiques
et littéraires du dimanche précédent, il voulait
xe . L’unité morale allemande était beaucoup plus avancée que l’unité
politique
, après les tourmentes successives de la révolutio
pprocher, et parfois même de penser librement ; d’autre part la forme
politique
elle-même de ces petits États ne pouvant justifie
e et l’effet de l’orgueil qu’il présenta toujours. En Italie, l’unité
politique
est une chose réalisée ; l’unité intellectuelle e
Jules III ne fit pas de lui un cardinal, ce fut pour des raisons plus
politiques
que morales : « Celui qui écrivit tant d’ouvrages
e d’or pourrait servir à désigner tout autre maître des hommes, guide
politique
ou chef militaire : volonté de Jules César ou du
vel, malgré sa « disgrâce » et bien qu’à l’occasion « pleurard » (par
politique
), n’avait rien de ce qu’il fallait, heureusement
u, Machiavel révoqué, le livre assemble bien les éléments d’un statut
politique
et administratif ; seulement, tout, désormais, y
J’ai marché dans Florence. Histoire. Lucien Romier : Les Origines
politiques
des Guerres de Religion. I : Henri II et l’Italie
jusqu’ici sur le terrain confessionnel, moral, et non sur le terrain
politique
, n’avait pas toujours saisi les faits réels, M. L
rmi quels événements et selon quelles causes s’est achevée la période
politique
qui précéda les guerres de religion ? Quels furen
rtie offerte aujourd’hui au public, la portée du titre : Les Origines
politiques
des Guerres de Religion. Cette première partie, q
Charles-Quint et à la trêve de Vaucelles, est donc une histoire de la
politique
italienne du successeur de François Ier, dans sa
s Ier, dans sa lutte contre Charles-Quint durant cette période. Cette
politique
, — qui elle-même a ses causes dans les rivalités
ienne (conséquence de l’influence des Guises). Ce développement de la
politique
royale en Italie (M. Romier en a montré les œuvre
on peut voir déjà comment le Roi de France fut amené pour des raisons
politiques
(auxquelles nous ne pouvons nous empêcher, jusqu’
ostalgique et tendre comme un sonnet d’Albert Samain ! Géographie
politique
. Ernest Lémonon : L’Italie économique et sociale
fluences subies par le mouvement économique, notamment les influences
politiques
; elle favorise d’ailleurs l’expression des idées
dernières ressources. Écrasée de charges militaires, engagée dans une
politique
impérialiste au-dessus de ses forces, elle ne peu
e petite rue voisine de la Banque d’Italie. Là toute l’administration
politique
et judiciaire de l’ex-vilayet a son séjour. Au mi
par les fonctionnaires ottomans. Les Italiens, nouveaux venus dans la
politique
coloniale de l’Afrique, devaient agir avec tact e
liberté. Il semble que toute l’Italie, éprise du charme nouveau de sa
politique
africaine, ait trouvé dans sa colonie la guérison
Italie destinée à faire connaître exactement, en France, le mouvement
politique
, économique, social, littéraire et artistique de
my. Tome CIV, numéro 388, 16 août 1913, p. 808-813 [813]. Combien la
politique
internationale, dans le bassin méditerranéen, s’e
itieux qui ont fait des nouvelles, des romans, du théâtre, des essais
politiques
ou littéraires pour se hausser au-dessus de leur
s’est occupée aussi, et avec ardeur et compétence, de philosophie, de
politique
, de questions pratiques. La Voce a entrepris plus
ondance, ses œuvres inconnues, poétiques, économiques, mathématiques,
politiques
; ses talents divers se révèlent à nous pour nous
contemporain, qui semble se dégager de plus en plus de ses attributs
politiques
, pour toucher plus profondément les âmes inquiète
encore à ce moment la capitale de la papauté, et nulle préoccupation
politique
ne venait déranger les rêveries de l’auteur ; tab
e M. Roccatagliata-Ceccardi oublie sa passion patriotique, sa passion
politique
, sa passion historique, lorsqu’il « ne se souvien
e jours après Pâques. Augustin Barbarigo était doge. Il continuait la
politique
de son prédécesseur et oncle Marc. Nous vivions e
victorieuses traverser ses états, s’emparer de Naples où, en parfait
politique
, Charles VIII distribua grâces et fiefs, dépouill
ir le loisir nécessaire à de nouveaux plans : et ce fut, en effet, la
politique
superbe qui isola la Hollande et l’Espagne, neutr
voie n’avait pas encore inauguré, à l’égard du Grand Roi, la terrible
politique
de Victor-Amédée II. Le traité de Rivoli (1631) l
oie avec Louis XIV ; et un tel épisode fait comprendre à merveille la
politique
de revanche, violente et rusée, du successeur de
et l’introduction qui les complète. Louis Matte : Crimes et Procès
politiques
sous Louis XIV ; Société française d’imprimerie e
des trois études dont se compose son livre intitulé Crimes et Procès
politiques
sous Louis XIV. De récentes conclusions notables,
rairement à la Maffia sicilienne, qui a eu des visées et des attaches
politiques
. Tome XC, numéro 332, 16 avril 1911 Les
est un sujet curieux entre tous. Cette folie de Charles VI, événement
politique
et social d’une importance aussi grande que lamen
malheurs. Au drame de l’épouvante publique se superposa une tragédie
politique
, — celle-ci empruntant à celui-là un de ses resso
e Hardi et de Jean sans Peur, de ces fils de France que les fatalités
politiques
et géographiques de leur immense apanage de l’Est
iences, ni aux arts, ni à l’industrie. Le Romain est né pour l’action
politique
et guerrière ; si les circonstances ne s’y prêten
ciences de la vie intense et des intrigues amoureuses, financières et
politiques
— en Italie et en Europe. La Campagne Romaine, qu
seulement sur la vie morale des peuples, mais aussi sur les affaires
politiques
et économiques des États européens qu’on sentait
core une question coloniale placée au premier plan des préoccupations
politiques
quotidiennes ! — Or, le groupe italien s’accroît
érimée disait que cette convention serait sans doute observée par les
politiques
du Vatican, sinon par le Souverain Pontife « qui
culte, puis comme une mutualité, elle a joué un rôle dans les luttes
politiques
, avant de devenir un des rouages capitaux de la p
t soumise à des règles plus dures et moins flexibles ; jamais système
politique
ne fut plus absorbant, plus vexatoire, plus tyran
et qui éprouvaient le besoin de se grouper, alors même que tout droit
politique
leur était refusé. Les témoignages anciens attrib
de lutte à la plèbe, qui poursuivait le nivellement des prérogatives
politiques
. On doit supposer qu’ils ne furent pas étrangers
r, décida que les naviculaires seraient soustraits à toute obligation
politique
, s’ils possédaient un navire d’une contenance de
pose des sanctions ; aussitôt le syndicat des gardiens intervient, la
politique
s’en mêle, tout s’arrange, mais l’autorité supéri
on Hymne latin, Hymnus in Romam, consacré aux fêtes du Cinquantenaire
politique
italien. Dans les Poèmes italiques, le poète évoq
ont une partie toute récente se montre au moins préoccupée d’un idéal
politique
nationaliste, ou de quelque autre rare idée génér
ité italienne sous l’hégémonie de la maison de Savoie, ce grand drame
politique
est complètement exposé. M. Orsi a rappelé avec s
volontiers du post-scriptum pour mettre au point ses consultations de
politique
internationale, données un peu au jour le jour, a
employer une autre image, aux pièces spéciales de la grande mécanique
politique
qui se meut vaille que vaille dans l’Orient, nous
3, que toutes les doctrines et croyances philosophiques, religieuses,
politiques
, satisfont au fond des sentiments ; que ce sont l
reprochent de faire trop de reportage international pour les journaux
politiques
; mais les journalistes ne peuvent pas oublier qu
Gli uomini rossi est une satire de ces républicains qui, comme parti
politique
en Italie, ne comptent plus et qui ont été surpas
magne. Dans le roman, la fille d’un révolutionnaire, sourde à l’idéal
politique
, s’enfuit avec le fils d’un comte, d’un des plus
zino ; ses vaines tentatives pour tirer de l’assassinat quelque parti
politique
; l’élection de Cosme Ier, et la triste odyssée f
précisément pour le connétable de Bourbon, dont la difficile destinée
politique
ne se trouve que trop étroitement doublée par sa
œuvres modernes, achats perpétrés en vue de récompenser des services
politiques
, de satisfaire aux exigences d’amitiés illustres
ne de luttes et d’espérances hardies, qui se publie sous sa direction
politique
et littéraire, l’absorbe. Je vais donc ici suivre
italiennes à Rome — profanation de la ville Éternelle et affirmation
politique
de ce que les faciles engouements appellent : l’u
révolte et d’appel du groupe d’écrivains qui, entrés d’aplomb dans la
politique
de la nation, s’adressent à toutes les forces du
iasme, reconnaissant son influence, en art, en littérature et même en
politique
. […] Tome X, numéro 52, avril 1894 Les L
le ? « Il a fait l’objet de 333 articles dans la presse religieuse et
politique
de la France et de l’Europe », nous annonce M. Sa
nseignement officiel, des grands courants d’idées et des remaniements
politiques
italiens au xixe siècle, puis des interactions e
que déjà dans ce temps-là les belles intellectuelles faisaient de la
politique
. Histoire. Memento [extrait] Edmond Barthèle
é technique. D’autre part, dans l’histoire navale de Venise, toute la
politique
étrangère doit former une partie intégrale. Sur c
de sa gloire ; et, en sa qualité de nation rajeunie par un renouveau
politique
total, elle se doit de préciser devant le monde l
ration des Rovetta ne finit pas avec lui. Il a décrit la vie sociale,
politique
, il a évoqué le 1848 italien, il s’est attaqué to
alité et la sentimentalité s’accommodent mal, malgré tout, de l’union
politique
de la nation. Entre le Piémont et la Sicile, il e
par l’admirable affirmation du cornélien Alfieri, avant l’unification
politique
. L’ensemble de ce théâtre, aujourd’hui comme autr
lévation de l’Italien demeure le fait saillant, est vide de tout acte
politique
sérieux. Mais il revient à M. Fernand Hayem le mé
différente, il réalise une esthétique diverse, il présente une autre
politique
. Les premiers éclats de sa voix sonnent âpres et
ion spéculative de l’histoire dans la puissante architecture de Lutte
politique
; il ne trouve personne qui fasse attention à lui
on » de la place Colonne, un certain enthousiasme en faveur des hôtes
politiques
du Campidoglio, et l’on vit même à ce propos un c
s de Turenne dont la présence est utile aux siens. On attend ce grand
politique
ce soir. Il me paraît probable qu’il n’arrive que
ni jour ni nuit. 1813.) [Hier, 23, croyant suivre les conseils d’une
politique
sage et plein d’un transport d’amour qui agitait
ts d’aspiration et de culture, malgré toute l’illusion unitaire de la
politique
nationale. M. Domenico Oliva remarque aussi que l
Corradini, polémiste ardent et homme d’idées, rêve d’une organisation
politique
nationaliste en Italie, en lutte ouverte avec le
Cézanne. Mais Vincenzo Peruggia est un traditionaliste qui n’a pas de
politique
. Il n’a donc aucun moyen pour discerner entre les
efs-d’œuvre. Idéaliste pur, il n’a pas lu les catéchismes où l’action
politique
est la sœur du rêve des marchands d’esclaves. Il
. […] France-Italie (1er janvier) : — M. J. Luchaire : « Conceptions
politiques
dans la dernière république florentine. » — M. H.
e tsar et un roi de France quelconque serait assez effrayante pour la
politique
de Berlin. Mais ceci n’est que du rêve. Ces dern
de Cramer-Klett, qui a intimement connu l’illustre représentant de la
politique
de Léon XIII, donne sur sa vie de nombreux détail
s moral des Hellènes du littoral asiatique, ne se méprenne pas sur sa
politique
. Elle procède par intimidation. Réussira-t-elle ?
e l’art, une d’histoire moderne, une de géographie anthropologique et
politique
. On instituera le « lectorat » avec des lecteurs
883-884. Cette année, la grande saison de la curiosité sera brève. La
politique
ne s’insinue-t-elle pas partout ? Et partout où e
tumes du théâtre lyrique exige impérieusement, tout comme une réforme
politique
et morale, un ensemble de circonstances favorable
a science, la critique, la philosophie, la recherche historique et la
politique
combattent la théologie, le dogme, le culte et l’
leur, et qu’il y aura la mort. Lorsque je réfléchis aux événements de
politique
religieuse sur lesquels vous rappelez mon attenti
née l’Italie renaissante. Il faut croire, toutefois, que le caractère
politique
de certaines parties de son œuvre l’emporte sur l
cience victorieux. Il a atteint le But. De M. Alfredo Baccelli, homme
politique
et poète, que le public français connaît par ses
non spéculatif dans sa forte intelligence se rencontre avec ses dons
politiques
, comme ce fut le cas, en une plus grande mesure,
ent sur la mort de Carducci. Après l’exaltation presque exclusivement
politique
de l’œuvre de Carducci, où la conscience national
des monuments arabes. Mais né d’une volonté royale et d’une intention
politique
, cet art ne devint jamais un art national et, mal
ment possible. Si l’on doutait encore de l’intervention occulte de la
politique
au sujet de Paillasses, la conduite de M. de Resz
lutteur. Aventurier, fort instruit, sans doute cabbaliste, agitateur
politique
affairé, joueur, « né pour le beau sexe », comme
de Casanova ; il supprima des passages qui, au point de vue moral ou
politique
, lui semblèrent trop libres, il changea les noms
la première, tenant d’Athènes le génie plastique et de Rome le génie
politique
, où le dogme évangélique se soit, de forme et d’a
▲