n M. d’Annunzio. Le roman ne relève pas d’une autre esthétique que le
poème
; le roman originel fut en vers : c’est l’Odyssée
evalerie ; les premiers romans français étaient, nul ne l’ignore, des
poèmes
, et ce n’est qu’assez tard qu’on les transposa en
endra : à qui voudrait-on faire croire que Don Quichotte n’est pas un
poème
, que Pantagruel n’est pas un poème, que Stello n’
ire que Don Quichotte n’est pas un poème, que Pantagruel n’est pas un
poème
, que Stello n’est pas un poème, que Salammbô n’es
un poème, que Pantagruel n’est pas un poème, que Stello n’est pas un
poème
, que Salammbô n’est pas un poème ? Le roman est u
as un poème, que Stello n’est pas un poème, que Salammbô n’est pas un
poème
? Le roman est un poème ; tout roman qui n’est pa
n’est pas un poème, que Salammbô n’est pas un poème ? Le roman est un
poème
; tout roman qui n’est pas un poème n’existe pas.
st pas un poème ? Le roman est un poème ; tout roman qui n’est pas un
poème
n’existe pas. Naïvement, intuitivement, les ancie
phorismes en classant sous la même rubrique, sous la même lettre, les
poèmes
et les romans ; ils distinguèrent seulement la pr
nt close pour quelques lustres, on nous permette de nous amuser à des
poèmes
. L’Innocente 1 de M. d’Annunzio, du moins, est un
oèmes. L’Innocente 1 de M. d’Annunzio, du moins, est une tentative de
poème
, où la vie nous apparaît doucement ou douloureuse
t en lui un rival, lui fit une guerre cruelle, et voilà qu’après, des
poèmes
tels que Giobbe et Lucifero (admirés de certains)
tains), il justifie par cette Atlantide l’attitude de ses ennemis. Ce
poème
devait être, selon l’auteur lui-même, une « satir
me, une « satire lyrique » des mœurs contemporaines ; un tel genre de
poème
n’est pas inconnu dans la littérature italienne,
ois, les Fleurs du mal. On ne connaissait encore, en italien, que les
Poèmes
en prose que Ragusa Moleti avait traduits, puis i
me Le dernier volume de M. Giovanni Cena, Homo, constitue un large
poème
, conçu en une série de petits tableaux, réalisé e
nt, le pessimisme présent et l’optimisme immanent, forme le rythme du
Poème
, qui met l’Homme dans ses âges, dans ses continge
rant double d’une grande mélancolie et d’un grand espoir, que tout le
poème
semble s’étendre dans une nuée claire, dans un vo
noni et Cie. Lugano Un autre poète, M. Francesco Chiesa, publie un
poème
, Calliope, aussi en sonnets, mais dans une vision
une vision architecturale serrée et parfaite, qui en fait le premier
poème
de la plus récente poésie italienne, conçu avec l
s tempêtes demeurent, ô Temple, et ils sont tes énormes pierres. Le
poème
se déroule dans une triple et admirable chaîne de
on essence éternelle, dans sa puissance centrale et rayonnante. Et le
poème
, d’une si haute envergure est d’un symbolisme ple
ns chaque attitude de l’étre, forment le charme et l’envergure de ces
poèmes
. Fausto Maria Martini : Panem nostrum. Cromo-T
étant poésie, peuvent ne pas être expliqués. Au surplus, ce sont des
poèmes
d’un verbe trop recherché, trop inutilement reche
la forme habillant trop le vide d’une poésie symboliste. Mais dans le
poème
Légende du Prince Siddharte, qui est une sorte de
es, mais où il y a une certaine émotion, comme celle contenue dans le
poème
Âmes sous verre, qui peut nous intéresser à ces â
du Cantique des Cantiques. Le recueil se complète par quelques petits
poèmes
d’une émotion un peu ancienne, mais d’une forme c
nge de critiques et d’écrivains lit et commente tous les ans le vieux
poème
de l’Occident. Paris aura ses « lectures de Dante
esthétique et morale de la vision dantesque (Audition du Ier chant du
poème
). — II. La hiérarchie et la plastique des passion
s, Théo Varlet, M. et G. Nervat, et de M. Florian Parmentier, dont le
poème
est « impulsionniste ». Art ancien. Les Ferra
d Poète méditerranéen et gothique, par l’interprétation méthodique du
Poème
qui est l’Évangile moral de la race méditerranéen
des vieilles ballades populaires ; il étudie dans François Villon les
poèmes
de la vieille France, et c’est surtout l’Italie p
système, il connaissait, évoquait, déclamait à merveille le souverain
poème
, la famille entière brûlait avec lui d’un enthous
ations dantesques ; il a traduit la Vie nouvelle ; un de ses premiers
poèmes
décrit les jours d’exil que Dante passa à Vérone
tableaux constituent une illustration de ses idées poétiques, ou ses
poèmes
un développement littéraire de ses intentions pic
iquant mutuellement… Chez lui, le tableau continuellement engendra le
poème
, et inversement ». Si bien que nous le voyons sou
tous les temps et de tous les pays, estime la première nécessité d’un
poème
, à savoir : qu’il doit constituer, avant tout, un
éprenant sur la nature essentiellement mélodique et incantatoire d’un
poème
, auront à la lecture ou à l’audition objecté de b
qué, et le lyrisme a horreur des explications. Prenez les plus grands
poèmes
: je songe à certaines parties du Paradis Perdu,
’action ou du développement des caractères ; cela n’appartient pas au
poème
. Sans doute pourrait-on citer les Géorgiques par
de trouver un sujet au tableau qu’on leur montre, ou de comprendre un
poème
. Cette exigence provient sans doute d’une habitud
la musique adoucit les mœurs ; un tableau est un précepte moral ; un
poème
doit être éducateur. Certains ont réagi ; on comm
ballades primitives. Quoiqu’il ne donne le nom de ballades qu’à trois
poèmes
: Rose-Mary, le Navire Blanc, la Tragédie du Roi,
ce, la Cité de Troie, le Séjour d’Eden, Stratton-Water. Dans tous ces
poèmes
, quelque épisode d’histoire ou de légende se trou
aru, pour la première fois, en 1870, dans le recueil alors intitulé :
Poèmes
, par Dante-Gabriel Rossetti. Ils dataient de l’ad
trophes on possède plusieurs leçons successivement rejetées. Tous les
poèmes
de Rossetti ont supporté un traitement analogue,
es produisait. Inconnu de la foule, Rossetti était célèbre. Quant aux
poèmes
, il en donnait lecture, simplement, et, dit-on, a
ien définis et reconnaissables dans tout le prestige caressant de ses
poèmes
les plus beaux. C’est une femme de taille élancée
en partie détruit. Rossetti le compléta, l’amenda, y ajouta quelques
poèmes
nouveaux, et c’est ainsi qu’il parut, enfin, en 1
at de l’œuvre, que dans un de ses tableaux : Retrouvé, dans un de ses
poèmes
, Jenny, où fiévreusement s’évoquent les réflexion
vraies, d’un rythme aussi précis, de l’achèvement aussi parfait d’un
poème
. De Rossetti c’est le souci unique ; l’art seul l
mplète, en deux volumes, le premier intitulé : Ballades et Sonnets et
Poèmes
le second. Ce second volume contient la magnifiqu
a crée, l’explique, la soutient et la perpétue par-delà le trépas. Le
poème
se partage en deux sections : Adolescence et Chan
universel du mot ; ses tragédies sont très puissantes, de véritables
poèmes
de haine généreuse et de colère patriotique. Il s
sa, Liriche. Nuova Antologia, Rome J’ai déjà écrit ici même sur un
poème
vaste et beau, Calliope, de M. Francesco Chiesa.
semblable à la pierre, il est la pierre. Le lyrisme grandiose de ces
poèmes
s’exprime ainsi dans une terza rima absolument da
en irritant le lecteur qui ne cherche que la poésie dans un livre de
poèmes
, et non les expressions de la pitié d’autrui, c’e
mer sera le plus souvent un public d’oisifs et de désœuvrés. Tous ses
poèmes
se ressentiront des goûts de ce public. M. Bompar
assez grand théâtre. » Cela n’empêchera pas que, s’ils font de beaux
poèmes
, chacun les saura et les récitera ! Gloire plus b
était montré, jusqu’ici, seulement peintre et critique d’art. Le long
poème
Venere Agreste, qui vient de paraître, le révèle
r des œuvres nouvelles ses titres sûrs à une gloire très durable. Son
poème
de la Vénus des Champs a une importance certaine,
lieri, en choisissant l’octave, en écrivant dans cette forme son long
poème
, s’est placé donc volontairement, ou sentimentale
es Dieux s’en vont, d’Annunzio reste, Sansot En même temps que son
poème
, la Ville charnelle, M. F. T. Marinetti publie un
4]. Voici des vers de M. Jules Romains, extraits du Commencement d’un
poème
paru dans Poesia (juillet), qui sont très représe
débiles, — du moins, M. Jules Romains est-il capable de construire un
poème
, de l’orner de fortes images et d’y exprimer une
it aucun vide sur le plan spirituel : elle était donc inutile. Les
Poèmes
. F.-T. Marinetti : La Ville sensuelle, E. Sansot,
ges musiques à quoi nos oreilles sont plus accoutumées. C’est un long
poème
encore que la Ville Charnelle, tumultueux et frén
és de cuivre et de goudron… L’odeur chaude de la chair émane de ces
poèmes
violents et que des moralistes timides estimeraie
ochain numéro. Au moins, le fascicule d’août contient-il un très beau
poème
de Mme Lucie Delarue-Mardrus : « Discours pour un
, admirablement ordonnées, comme le premier jet, en prose, d’un grand
poème
. Il y a là, en vérité, la matière d’un poème, du
et, en prose, d’un grand poème. Il y a là, en vérité, la matière d’un
poème
, du Poème de Venise. Et M. Morasso nous présente
se, d’un grand poème. Il y a là, en vérité, la matière d’un poème, du
Poème
de Venise. Et M. Morasso nous présente une œuvre
es, des nations, de l’histoire ». Puis M. Morasso chante un véritable
poème
de la dentelle, un poème à peine gâté par quelque
toire ». Puis M. Morasso chante un véritable poème de la dentelle, un
poème
à peine gâté par quelques discussions, fort intér
emploie pas moins de 18 pages de la revue. Elle contient pourtant des
poèmes
de MM. Jean Richepin, E. Schuré, Cocteau-Gaubert,
ro 275, 1er décembre 1908, p. 531-537 [537]. […] Poesia (octobre). —
Poèmes
de MM. Saint-Georges de Bouhélier, Léo Larguier,
Paul Hubert, Foulon de Vaulx, Jean Balde, de Mme Marie Dauguet et un
poème
en prose, « Pensées-Pierreries », de Mme Cæcilia
tendres pages de M. Charles-Louis Philippe Sur les maladies ; un beau
poème
classique où la rêverie de M. Jean Schlumberger p
iste une version complète et meilleure, ainsi que de plusieurs autres
poèmes
de Rossetti, dans un joli livre, sur les Prérapha
udyard Kipling, Alma Tadema, Hélène Vacaresco, Fred. Bowles. Tous les
poèmes
publiés par Poesia doivent être dits et analysés
holique demeurait fermé à son âme hellénique. Et maintenant, dans les
Poèmes
conviviales, au-delà de sa vague sentimentalité h
rdé dans le monde Me regarde, me demande : Qui suis-je ? Et dans les
poèmes
qui suivent Exiodes, le Poète des ilotes, dévoile
sie de nos désirs universels et du mystère de la vie, trouvent en ces
Poèmes
la plus haute expression que leur ait donnée la p
ie, qui sont d’un vrai poète. C’est surtout, en effet, comme suite de
poèmes
que vaut la Gioconda. Les musiciens italiens se p
e de la Gioconda n’est pas sans rappeler la manière de Semiramide. Le
poème
sur les marbres de Carrare et le poème sur la lum
r la manière de Semiramide. Le poème sur les marbres de Carrare et le
poème
sur la lumière de l’Égypte sont d’un lyrisme écla
répandue, profonde, donne une vie rare à chaque mot. Et dans certains
poèmes
, comme dans celui du « Petit Oiseau du Froid », l
e son mysticisme, en dehors de toute religion. Parfois, comme dans le
poème
Il Ciocco (La Bûche), après avoir décrit la douce
à celle de la terre de la famille, de l’homme qui raccompagne. Et le
poème
lumineux se clôt comme il avait commencé, sur des
ecueil, le Poète évoque la vision de la mort de son père. Il écrit un
poème
où l’Ombre de celui-ci voit apparaître l’Ombre de
elui qui, orphelin affamé, est devenu peut-être grand et immortel. Ce
poème
en terza rima, qui clôt le livre, est d’une sombr
s semble parfois fort ennuyeux. Aussi, dans les notes qui suivent les
Poèmes
, s’attarde-t-il à remercier une foule d’honorable
t douce surprise de lire à la fin des Canti di Castelvecchio quelques
poèmes
d’une poétesse inconnue : sa sœur adorée Maria. C
o quelques poèmes d’une poétesse inconnue : sa sœur adorée Maria. Ces
poèmes
vraiment exquis, d’un sentiment, d’une tendresse
, qui a beaucoup contribué, par des conférences et des récitations de
poèmes
, à répandre en Italie la littérature symboliste,
, E. Schuré, Marinetti, C. Mauclair, Catulle Mendès, E. Moschino ; un
poème
en prose de M. de Régnier et un fragment de prose
Bowles et de Laurence Alma Tadema. Le fascicule de Mars ouvre sur un
poème
de F. Mistral et il contient une ballade de M. Pa
d’Arc de M. Clovis Hugues, quatre romances de M. Stuart Merrill, des
poèmes
d’auteurs italiens et anglais, — et, aussi, un po
cités de l’heure y apparaît. Une mâle et tendre sensibilité anime ces
poèmes
de forme régulière, au style sobre, soumis à la d
ans ma dernière chronique, et M. Sem Benelli, qui vient de publier un
poème
: Un fils des temps (Un figlio dei tempi), en son
’art. Ce tempérament de penseur est celui que nous retrouvons dans ce
poème
: Un fils des temps, où la vie d’un homme, depuis
ale dans la leur comme le parfum de l’encens s’exhale dans le feu. Le
poème
est le cycle d’une vie, vie devenue parfaite, dès
e elle tue tout individu. De Profundis clamavi ad te est un très beau
poème
en prose, c’est le cri de détresse et d’espérance
liens et français. On y voit de purs sonnets de M. Catulle Mendès, un
poème
de M. Marinetti, le Sarcophage de M. F. Vielé-Gri
é-Griffin, une Élégie d’Automne de M. Saint-Georges de Bouhélier, des
poèmes
de MM. G. Pascoli, F. Chiesa, A. Colautti, E. Mos
trefois qui nous était inconnu. Et l’impression que nous laissent ces
poèmes
publiés est vraiment celle de l’effort d’un poète
Neo-latini. Feuille bi-mensuelle. — G. A. Cesareo : Le Consolatrici,
poèmes
. Remo Sandron. Milan. — Luigi Orsini : I Canti de
poèmes. Remo Sandron. Milan. — Luigi Orsini : I Canti delle Stagioni.
Poèmes
. Libr. Ed. Lombarda. Milan. — A. Silvio Novaro :
Libr. Ed. Lombarda. Milan. — A. Silvio Novaro : La Casa del Signore.
Poèmes
. — Ottone Schanzer : Astrea, Vision mystique, en
stique, en un acte, en vers. — Fr. Pastonchi : Sul limite dell’Ombra.
Poèmes
. Renzo Streglio. Turin. — Alfredo Galletti : L’Op
core du Bellay a-t-il gardé religieusement le cadre et la symétrie du
poème
original, tandis que Lamartine qui, pour ses comp
de vue de la forme, et tout ce qu’il lui prit fut la division de son
poème
par couplets39. Que s’il paraît avoir emprunté si
anguzza-Lojosa, Palerme-Rome. — Giuseppe de’ Paoli : Solitaria Fonte,
Poème
, La Nave, Gênes. — G. Salvemini : Il pensiero rel
ccasion d’analyser sur le vif la part d’« ésotérisme » contenue en un
poème
de même famille que le sien : — « L’œuvre a été
et ne purent pas être oubliées. Sa lecture nous émeut comme celle du
poème
exquis d’une âme tendre et douloureuse. Stendh
tral : Mirella, Mario Chini tr., Fr. Treves, Milan. — P.-B. Shelley :
Poèmes
, Roberto Ascoli tr., Fr. Treves., Milan Les éd
ireille, le chef-d’œuvre mistralien, faite par M. Mario Chini, et des
Poèmes
de P.-B. Shelley, faite par M. Robert Ascoli.
i, roman, Remo Sandron, éd., Milan. — Romolo Quaglino : Cibela Madre,
poèmes
, Remo Sandron éd., Milan. — Romolo Quaglino : I M
Simboli, Remo Sandron, éd., Milan. — Francesco Rocchi : Pace d’Olivi,
poèmes
, Giovanni Fraioli, éd., Arpino. — Lao-Tse : Il Li
z bien pour déployer toutes mes ailes et me remettre dans mon Clovis (
poème
qu’il avait commencé dès 1813 et qu’il abandonna,
entatives et essais épiques ». Ce sont, dis-je, des chants d’un grand
poème
épique où l’âme italienne se retrouvera peut-être
oème épique où l’âme italienne se retrouvera peut-être, des chants du
poème
de sa race que l’Italie attend encore. La concept
alent, M. Marradi, l’ont fait, M. d’Annunzio a écrit un grand et beau
poème
, Laus Vitae, où il chante en poète, très subtilem
. Et il ne chante pas la gloire ancienne, mais l’âme ancienne. Et son
poème
, si exubérant de beauté et aussi de graves défaut
ntement dans les esprits, aussi lentement que celui de la Laus Vitae,
poème
qu’on ne lit pas, mais qu’on lira, qu’on ne compr
Canzone del Carroccio. Dans la Canzone dell’Olifante, l’ordonnance du
poème
change, la poésie devient plus subtile, l’évocati
ace un jongleur qui chante la chanson de Roland ! Le premier chant du
poème
chrétien, où l’Empereur à la barbe fleurie menait
la Méditerranée à la Manche et à l’Océan ? Il est certain que peu de
poèmes
, et non seulement modernes, sont plus émouvants q
M. G. P. Lucini sur l’œuvre de M. Louis Le Cardonnel ; — ensuite, des
poèmes
, de la prose, à profusion, choisis avec un bienve
M. G. B. Siragusa du Liber ad honorem Augusti, de Pietro de Eboli, un
poème
satyrique du Moyen-Âge, consacré à l’Empereur Hen
eurs du paradis, songe avec mélancolie à son exil et souhaite que son
poème
lui rouvre les portes de Florence. Lui qui vient
Giacosa, les romans de M. Butti, les drames de M. Roberto Bracco, les
poèmes
de Mme Adda Negri, les essais de M. Ferrero, — no
omme élégant, ardent et charmant. Sa Conquête des Étoiles est un long
poème
touffu, plein d’obscurités où percent parfois de
M. Enrico Cavacchioli publie les Grenouilles Bleues, un recueil de
poèmes
. Ce poète est sans doute un des plus forts parmi
on de son énigme lyrique, la clé du songe qui lui fit écrire tous ces
poèmes
. Il annonce la mort du grand Poète, le grand Croq
C’est une attachante et sympathique figure que celle de l’auteur des
Poèmes
symboliques et religieux, groupés sous ce titre :
et qui ne regrette rien du monde, la page suivante où, dans un de ses
Poèmes
légendaires, consacré à nous décrire la conversio
ns, et c’est en mémoire d’elle qu’il a écrit un de ses plus délicieux
poèmes
, Frère Pusillanime. Souvent, bien souvent, quand
ais de pouvoir m’étendre plus longuement sur Dom Bruno Destrée et ses
Poèmes
légendaires, symboliques et religieux. Mais j’en
Fra Angelico […] Tome LXXX, numéro 290, 16 juillet 1909 Les
Poèmes
. Corrado Zacchetti : Livret de chants. Metastasio
que lui fit M. Louis le Cardonnel en lui dédiant un de ses plus beaux
poèmes
, le Vent dans la Nuit, M. Corrado Zacchetti s’exc
nt des pays méditerranéens. Et si l’on en excepte, en Italie, le beau
poème
tragique de M. E.-A. Butti, le Château du Rêve, s
anichelli, Bologne Entre une tragédie de d’Annunzio et un livre de
poème
de Pascoli, le public italien a à peine le temps
quelque sorte exaspérée et toujours surprenante, de l’auteur du grand
poème
incompris de la Laus Vitae semble fatiguer les es
sent les Primi Poemetti de et passionné disciple de Virgile. D’autres
poèmes
reproduisent des figures singulières de la vie ch
s dans du bronze antique, creux, mais extrêmement sonore. Et d’autres
poèmes
révèlent de plus près l’âme du chantre, tout agit
re entraîné dans le courant redoutable de l’émigration. Il composa un
poème
curieux, qui, malheureusement, est exprimé dans u
dant : toujours pour quelque chose la saison est bonne. L’idée de ce
poème
était sans doute fort jolie, fort généreuse surto
e italienne a accumulé ces dernières années un nombre considérable de
poèmes
pour mère de famille. Quelques-unes, comme la com
entier des Séductions, en chants égaux, en terza rima, est un unique
poème
consacré à l’âme et à la chair de celle qui va se
ité, par la même aspiration à une vie puissamment « seule ». Dans les
Poèmes
d’Orgueil, Mme de Saint-Point écrit : Qu’elle ex
a devancière. Elle sait être ironique et même fière. Et dans de longs
poèmes
, où les rythmes se chevauchent fiévreusement et t
endent à l’exaltation spirituelle très belle de la fin, comme dans le
poème
Per Via (Dans la rue), Mlle Térésah révèle cette
e l’essor d’une jeunesse intéressante. M. Federico de Maria publie un
poème
, la Légende de la Vie, où se révèle l’esprit d’un
une surprenante sobriété et un relief très sûr. La partie centrale du
poème
, consacrée à « l’Histoire et à la Vie », contient
consacrée à « l’Histoire et à la Vie », contient quelques chants d’un
poème
métaphysique de la création, absolument inattendu
na, au moyen-âge, ses premiers rythmes à la langue italienne. Dans le
poème
le Chaos, le poète dit : Alors le vieux Dieu pen
rranéens à la manière de Nietzsche, aurait signé quelques vers de ces
poèmes
. Et si parfois l’inspiration est pauvre et l’expr
s l’inspiration est pauvre et l’expression vulgaire souvent, dans des
poèmes
« graves », qui coupent le volume avec une harmon
1er septembre 1909 Les Revues. La Nouvelle Revue française : Un
poème
d’Émile Verhaeren sur Michel-Ange Intérim. Tom
te comme Émile Verhaeren et lui fournir l’occasion de publier un beau
poème
de plus (la Nouvelle Revue française, 1er août) :
Peut-être que oui, peut-être que non, et M. P. Buzzi a tenté un vaste
poème
psychologique en prose avec Vers l’exil. En atten
italienne. […] Tome LXXXII, numéro 298, 16 novembre 1909 Les
Poèmes
. Corrado Zacchetti : Le Disciple, Rome, Typograph
t de vers, justement louangé par M. Louis Le Cardonnel, et ce nouveau
poème
, le Disciple, qui ne nous vient plus d’Assise, ma
ntiques du quinzième siècle et dans sa langue natals publié nombre de
poèmes
que l’on peut supposer excellents à juger de ceux
échaîné et révolutionnaire d’il y a quinze ans. Certains passages des
poèmes
de M. Buzzi semblent, par le rythme et par la phr
e, gagne en puissance, en noblesse et en signification. En lisant les
poèmes
libres de M. Buzzi, qui évoquent pour nous les de
e et mépriser ouvertement le poète révolutionnaire. Mais la force des
poèmes
s’impose. L’émotion qui en prolonge et en brise l
d’un jiu-jitzeur. Cependant le poète pèche souvent per excessum. Son
poème
Aux Critiques est d’une inspiration basse et froi
. Ensuite, Eros, paru sous un nom féminin : Gina d’Arco, contient des
poèmes
simples, tendrement amoureux, qui semblent écrits
rogation, et il se renouvelle ainsi plusieurs fois dans le cours d’un
poème
, donnant une impression de violente originalité r
istiblement émue. Cette interrogation constante scande le rythme d’un
poème
d’une manière toujours inattendue, résonne souven
des jeunes poètes, de tous ceux qu’il a voulu rallier en écrivant le
poème
: Ouvrons les vitres, qui peut être une voix d’ap
oète était tombée sur un livre, ce livre ne pouvait nullement être un
poème
d’Homère, mais qu’il s’agissait d’un manuscrit de
est fait : l’Italie nouvelle a ses rythmes littéraires nouveaux. Les
poèmes
de Rime Nuove (1861-1887) marquent en grande part
née, et qui amoindrit considérablement, assez souvent, l’émotion d’un
poème
, en l’abîmant dans un excès de pathétique, démocr
oètes, que dans les rythmes de leur langue originaire. La plupart des
poèmes
de Carducci, très beaux en italien, perdraient da
able. Mais chez Hugo, — ainsi que chez Leconte de Lisle, le poète des
Poèmes
barbares, avec lequel Carducci présente des analo
thologie a révélé un poète de vingt ans, M. Giosuè Bersi, auteur d’un
poème
: le Sang, dont le style, serré sonore et pur, et
témoigne d’un organisme poétique duquel il faut beaucoup attendre. Le
poème
de M. Borsi nous fait penser à l’Intégralisme pro
ine, que pourtant elle contient. Le roman conçu ainsi à la manière du
poème
embrasse une étendue de vie toujours beaucoup plu
de la Révolution. M. Ercole Rivalta a écrit un très beau et très fort
poème
dramatique : David (V. Piva. Ed. Rome). M. R. Bra
en de commun avec les alexandrins. Un nouvel orage éclate à propos du
poème
burlesque, le Macaronicon, de Merlin Cocci : Casa
ble au commun des lecteurs, est cependant très inférieur au véritable
Poème
épique. Il en est des écrits comme des hommes. Le
rlando furioso, et déclara excommuniés ceux qui diraient du mal de ce
poème
. Je ne veux pas encourir l’excommunication. » Et
éditeur de Carducci, à Bologne, vient de publier le dernier volume de
poèmes
de M. Giuseppe Lipparini. Ce recueil, Poemi e Ele
eur superficiel ou lourdement traditionaliste. Dans Un Inceste, vaste
poème
en prose d’art et d’amour, il crée vraiment le «
ne femme et de la Victime ne sont pas dans la grande stylisation d’un
poème
en prose, elles sont prises directement dans la v
rdre nouveau, les Giambi ed Epodi et les Rime nuove, c’est-à-dire des
poèmes
publiés durant une période de vingt-cinq ans. Ver
ullement être comparé à l’accueil que reçurent, hors de l’Italie, les
poèmes
de G. Carducci. Les revues et les feuilles quotid
tie de son œuvre a, psychologiquement, une portée générale ; mais les
poèmes
qui ont le plus de relief, et qui trouvèrent le p
nt le plus de relief, et qui trouvèrent le plus d’écho, sont bien des
poèmes
profondément, foncièrement italiens : de l’Italie
moins vrai qu’il y a là un assez grave obstacle à la diffusion de ses
poèmes
. Carducci appartient à l’aristocratie de l’art. S
ui a affirmé aussi que depuis la Divine Comédie l’Italie n’a eu aucun
poème
de « vie totale » aussi parfait que son recueil L
, et qu’il est d’autant plus noble qu’il est plus apte à concevoir le
poème
comme poème ? » D’Annunzio peut faire répéter à
st d’autant plus noble qu’il est plus apte à concevoir le poème comme
poème
? » D’Annunzio peut faire répéter à un de ses pe
d’avance par un art mystérieux qui est celui de la Destinée. Ce noble
poème
humain a tenté M. André Lebey, qui en a rendu la
endant, tout le bien et tout le mal qu’on peut imaginer. Son essai de
poème
, Orpheus, qu’il publia en plaquette chez un édite
blia en plaquette chez un éditeur obscur, m’a fait désirer de lire le
poème
, puisque, selon mon avis qui n’est pas isolé, il
iens, et qui arrache à la lyre du poète les vers les plus délicats du
poème
. Et, opiniâtre comme le remords avec lequel elle
e M. Boïto n’a eu qu’une vision de poète, et qu’il faut demander à ce
poème
ce qu’il peut et doit nous donner : la poésie, av
la pénétration de son jugement, cependant ses romans, ses contes, ses
poèmes
, son théâtre, prouvent qu’il peut cultiver égalem
et pleine de saveur. » En conclusion, M. Zuccoli appelle Lilith « le
poème
capricieux d’un artiste extrêmement singulier ».
ubliés par M. Claudel, sous ce titre, L’Arbre. Ayant analysé les cinq
poèmes
dont le plus célèbre est Tête-d’Or, M. Zuccoli te
en et un avocat de premier ordre, mais notre littérature lui doit des
poèmes
, des comédies, des études admirables ; et ces Mém
oésie française contemporaine, M. F. T. Marinetti a lu et analysé des
poèmes
de Baudelaire, Verlaine, Mallarmé, José Maria de
des dessins symboliques harmonieux et riches de Giuseppe Cellini. Le
poème
se compose de 8400 vers divisés en vingt et un ch
et un vers. Mes lecteurs français peuvent se passer d’une analyse du
poème
: il a une allure puissante, superbe et originale
ir le monde catholique, et en effet une tempête se déchaîna autour du
poème
et de son auteur. Après le scandale Butti, nous a
la poésie. Son recueil Canti di Castelvecchio rassemble une série de
poèmes
inspirés par la campagne et par la vie des humble
aît si bien et où est son royaume ; dans ce recueil dont je parle, un
poème
(le Bûcher) est absolument admirable et il rester
être fut-il écrit sous sa dictée. Il y avait aussi quelques copies de
poèmes
italiens et latins non tracés de sa main ; puis p
espace. Ce que Segantini a voulu créer ici, c’est encore une fois un
poème
de tournoyante lumière et de chaleur, fixer les d
l’amour séparable de l’idée de famille, et les préludes idylliques du
poème
humain l’intéressent moins que la poignante épopé
tie dans un Nirvânah de neiges et de glaces », il faut l’imputer à un
poème
bouddhique dont on lui procura la traduction ital
puissant, Goethe, réalisa une tragédie gigantesque, où, comme dans le
poème
de Dante, se trouve un résumé de toute la pensée
possibilité héroïque de l’Occident de son temps. Or Goethe écrivit un
poème
superbe, dans lequel une vision de vie, rapide et
uge des religions et de la vie de l’âme. Il a créé Brand, merveilleux
poème
de l’homme qui se reconnaît impuissant à réaliser
ribaldina… M. Severino Ferrari eut l’honneur d’inspirer à Carducci un
poème
de délicieuse fraternité. Et il poursuivit son ch
ico, demeure comme un témoignage de sa culture et de sa force. De son
poème
Prométhée, comme de l’autre Kokodé, des strophes
tre, alourdie par la traduction latine que M. Cesare de Titta fit des
poèmes
romains de M. d’Annunzio. Lorsque ce volume parut
os romain », celui qui, dans les romans et dans ses autres volumes de
poèmes
, se montre toujours identique dans une identique
terrompt pour quelque temps la publication de ses Nouvelles ou de ses
Poèmes
lyriques des Romagnes ; il écrit avec tout son gr
ollalto fait paraître à la librairie Roux et Viarengo (Turin) un gros
poème
pathétique : Dei fugium. Échos Mercure. To
ntis » sert admirablement à la vulgarisation de la Divine Comédie, le
Poème
National. À Florence la Société Léonardo inaugure
enne… Cependant quelques bons livres ont paru dernièrement, romans et
poèmes
, d’écrivains connus et inconnus, qui répètent les
ue, le grand Cantique d’une jeunesse, qui compose ce vaste et profond
poème
en prose, s’éleva dans un hymne d’amour. La douce
dre ; après l’évocation historique qui est en même temps un très beau
poème
de M. Émile Gebhart ; après les travaux de recons
cardi : Per una Nave di Battaglia. Ode. La Patria (18 juin). Rome. Ce
poème
puissant du jeune auteur de Alma Mater a été part
courant d’art français social, il faut compter que d’Annunzio par des
poèmes
tout modernes, comme son Ode à Garibaldi, ouvre e
e vers, écrit, certes, par de très jeunes poètes, qui ont réuni leurs
poèmes
probablement en unissant aussi leurs ressources p
ile, puisqu’il révèle deux personnalités intéressantes de poètes. Les
poèmes
de M. Sergio Corazzini développent, en rythmes do
otagoniste de sa pièce malheureuse et en exprime l’âme tragique en un
poème
profondément psychologique, qui serait vraiment m
de mirliton que M. Augé de Lassus se plut à décorer ici du titre de «
poème
», avec la transparente ambition de finement, oh
les. En revanche, Phryné fut un peu moins favorisée. La maladresse du
poème
contribua pour beaucoup sans doute à certain conv
hommage à l’épopée de sa race en en reprenant l’esprit dans son large
poème
du Roi Enzio, mais il a approché son expression,
traduction allemande tout au moins, consacrés à l’épopée finnique. Le
poème
du « pays de Kalev » ou du « pays des rochers »,
retrouve peu à peu dans la Divine Comédie, on s’est arrêté à quelques
poèmes
, à quelques versions précédentes, dont les profes
Dante arrêtèrent par l’écriture. M. Ottolenghi étudie de très près le
poème
Keter Malchut, Couronne de royauté, de Gabirol. I
nique, synthèse de celle de tout son temps, et qu’on retrouve dans le
poème
dantesque. Ce n’est pas ici la place pour une ana
ption diabolique, et vile par conséquent. On dirait qu’il n’y a qu’un
poème
, qu’un roman et qu’un drame, à voir l’amour rempl
, inconnu Caloandre. Il ne l’a pas lu ou n’a rien compris à ce vieux
poème
byzantin plus ou moins bien rajeuni, mais d’une i
rs d’Armide, il faudra les atteintes de l’âge bien plus encore que le
poème
de Quinault. Cet impudent caméléon, qui s’accommo
nt, particulièrement depuis trente ans, de mauvais romans, de mauvais
poèmes
, de mauvaises pièces, ourdis sur les dernières tr
ernières arrivées. Voici un exemple assez complet de cet art, dans un
poème
dédié par la poétesse à son mari. La sensibilité
la même conquête des espaces et des airs. Mais dans cet incomparable
poème
en prose de notre modernité, le premier « poème d
dans cet incomparable poème en prose de notre modernité, le premier «
poème
de l’aviation », que d’Annunzio consacre au triom
enne elle-même. M. Paolieri, dont j’ai signalé, ici même un admirable
poème
champêtre, la Venere Agreste, est un des plus imp
urora, Éd. de l’Auteur, Rome. — Corrado Corradino : La Buona novella,
poème
, Treves, Milan. Enrico Corradini : La patria lont
Nolhac. […] Tome LXXXVIII, numéro 324, 16 décembre 1910 Les
Poèmes
. Pierre Jean Jouve : Les Muses romaines et floren
aître d’élection un juste tribut d’hommages et quand il composera des
poèmes
d’un accent plus personnel, il pourra ne pas reni
col lapis, Ricciardi, Naples De même, M. Marino Morelli, dans ses
poèmes
Scritte col lapis (écrites au crayon), se montre
ur la mort, tous ces chapitres parfaits, qui composent comme le grand
poème
fantastique (et précis) de la mort d’une ville, d
la péninsule. Son livre restera non seulement comme le document et le
poème
de la catastrophe horrible et belle, mais comme u
s. Le poète avait esquissé un sujet semblable dans un précédent court
poème
, mais ce nouvel inferno est plus ambitieux ; il v
e représenter lui et ses chanoines, douze cochons et un bœuf. Les
Poèmes
. Luca Rialcio : Poèmes apolliniens ; Bernard Gras
s chanoines, douze cochons et un bœuf. Les Poèmes. Luca Rialcio :
Poèmes
apolliniens ; Bernard Grasset, 3,50 Pierre Quil
1911, p. 138-142 [141-142]. Alfred de Vigny avait médité d’écrire un
poème
où serait exprimée la douleur sublime d’un dieu é
de la Nécessité : Nous serons au delà des temps et de la mort. Les
poèmes
de M. Luca Rialcio ne sont dénués ni d’harmonie n
Le lendemain, la Maurina et le Génois avaient quitté la ville. Les
Poèmes
. Émile Henriot : Petite suite italienne ; Dorbon
tes d’un parc abandonné ? Non, selon M. Émile Henriot, en ce poignant
poème
la Flamme et les Cendres, où le décor tenait si p
nnaires. C’est un symbole et une indication. L’esprit et la forme des
poèmes
qui composent les livres futuristes répondent à l
), c’est la qualité, le caractère même des images « futuristes ». Les
poèmes
de M. Corrado Govoni semblent inspirés de ceux de
me, qui se souvient de Baudelaire, qui n’est pas sans connaître les «
poèmes
obscènes » de Verlaine, et qui remplace les valeu
teur puissant. Et l’énergie lyrique de ces poètes est telle que leurs
poèmes
sont énergiques et entraînants, et que MM. Paolo
ce. Mais, en revanche, quelle large, quelle sûre poésie, dans tout le
poème
de M. Govoni ! Et combien ce « poète nouveau » l’
tion, paru à Paris en 1904. On sait que la vigueur et l’élan de ces «
poèmes
lyriques » signalèrent le jeune poète à la double
s âmes « communes » est si sereine et si tendrement souriante que ses
poèmes
s’imposent à notre sensibilité exaspérée, comme u
la personnalité du poète se montre dans toute sa force, et plusieurs
poèmes
nous empoignent, par la mélodie du rythme et par
e et par le sentiment profond des images, comme, par exemple, le beau
poème
l’Abîme. Amedeo Tosti : Nemesi carducciana. So
attaches politiques. Tome XC, numéro 332, 16 avril 1911 Les
Poèmes
. Jean Schlumberger : Épigrammes Romaines ; Biblio
e. C’est peu. On dit que le poète a lu beaucoup avant de composer son
poème
. On parle de quinze cents volumes. Qu’importe cel
t il y a de viandes et d’haleines (p. 41)… Il est vrai que la fin du
poème
n’est pas de Flaubert : e sappi tu quel che man
« Baudelaire a imité de Longfellow (mais en prévenant le lecteur) un
poème
qu’il a intitulé le Calumet de paix. Ce Calumet e
11, p. 844-852 [848-849, 851]. Revue hebdomadaire : fragments d’un
poème
de M. J.-L. Vaudoyer M. Jean-Louis Vaudoyer do
M. Jean-Louis Vaudoyer donne à la Revue hebdomadaire (8 juillet) des
poèmes
d’un art achevé : Album d’Italie. Nous détachons
plet sur la femme dans la littérature italienne. Il est accompagné de
poèmes
de Dante, Pétrarque, Michel-Ange, Vittoria Colonn
t Boccace. Faut-il rappeler l’ésotérisme de la Vita Nova, de certains
poèmes
de Pétrarque, et la première chaire de littératur
i : Un Laurent de Médicis n’aura plus la même obscurité (de certains
poèmes
de l’étranger), car son inspiration philosophique
guement discuté l’Humanisme de ce grand poète vivant, à propos de ses
poèmes
latins. Une discussion semblable, absurde et ridi
nt qu’en italien. Il vient de livrer au public, en même temps que des
poèmes
italiens, Poemi italici, son Hymne latin, Hymnus
mam, consacré aux fêtes du Cinquantenaire politique italien. Dans les
Poèmes
italiques, le poète évoque la figure d’un des plu
ns une recherche toute pensive, et lorsque la dernière affirmation du
poème
éclate, nous croyons « voir » une vérité qui nous
s tous les livres de l’un ou de l’autre. Leur fraternité se montre en
poèmes
qu’ils s’écrivent mutuellement, et qui sont presq
ilien Mario Rapisardi, l’ancien antagoniste de Carducci. L’auteur des
poèmes
Giobbe, Lucifero, et de tant d’autres, garde jusq
F.-T. Marinetti : La Momie sanglante, « Verde et Azuro », Milan Un
poème
noir et pourpre du plus bel effet décoratif. Sous
re précision, la vie du musicien et le caractère de son art. Enfin le
poème
était traduit en français. Le résultat fut mervei
t une nombreuse assistance. Après sa causerie, M. Marinetti a dit des
poèmes
de Verlaine, Baudelaire, Kahn, Tailhade, Maeterli
le de l’Ouverture beethovenienne, d’où devait résulter plus tard le «
Poème
symphonique » de Liszt et ses conséquences pour l
e beaucoup. L’un, Giovanni Cena, publiait, il y a cinq ou six ans, un
poème
, Madre, de haut mérite ; puis il se taisait tout
même où il écrivait ces vers, un autre écrivain, rendu célèbre par un
poème
qui lui valait un procès pour atteinte aux bonnes
’étreinte prochaine où se perdra une fois de plus leur désir, dans le
poème
musical de Tristan et Yseult ; c’est la fatalité
oyens de la volonté et de la force. Un poète : Adolfo de Bosis, un
poème
: Amori ac Silentio sacrum Et au milieu des e
ion à l’absurde de la grande sérénité humaine, ferme le cercle de ses
poèmes
, où maints aspects de l’âme contemporaine sont no
cuteur plein de finesse et de tact. Il a fait du « libretto » un vrai
poème
, d’une naïveté limpide et exquise : lorsqu’on pen
rinetti vient de faire à Milan, avec un grand succès, des lectures de
poèmes
de Baudelaire, Verlaine, Mallarmé, Gustave Kahn,
-799]. Étudier une légende illustrée par quelques vers d’un admirable
poème
; chercher ce qu’elle contient d’histoire ; recon
par A.-G. Corrieri. Tome XLIV, numéro 154, octobre 1902 Les
Poèmes
. F.-T. Marinetti : La Conquête des Étoiles, « La
jeunes hommes qui aient la patience et l’audace de construire un long
poème
pour leur œuvre de début. M. F.-T. Marinetti ne s
s flûtes élégiaques et La Conquête des Étoiles est tout simplement un
poème
épique : depuis René Ghil, qui s’imposait, dès so
tes. Le dénombrement des guerriers ou des vaisseaux, ce sera, dans le
poème
de M. Marinetti, le dénombrement des vagues, des
isse du Musée de Pesth, où cette fois il a vraiment rendu l’idyllique
poème
; c’est à peine indiqué, le pourpre léger des arb
coup les traductions en prose qui donnent la juste mesure de ce qu’un
poème
contient de véritable poésie. Les beautés de la f
i, après un silence remarquable rentre dans la vie extérieure par ces
poèmes
et par des conférences sur Dante. Girolamo Rovett
minente. À la prochaine fois le compte rendu des romans, nouvelles et
poèmes
. Tome XXXIV, numéro 124, 1er avril 1900
on, poète et voleur, peignit ses deux qualités opposées dans ses deux
poèmes
(deux testaments), et dans son Jargon ou Jobelin,
héâtral. Il est enfin des livres qu’on ne peut illustrer, ce sont les
poèmes
. On devrait toujours se borner à les parer de déc
, à l’Énéide, et surtout à la Divine Comédie ? Certes, entre tous les
poèmes
, celui de Dante apparaît comme le plus impossible
té gouaché. Ils sont très supérieurs à ceux des gravures. Le texte du
poème
se lit sur le recto des feuilles, le côté poil «
ta sous toutes ses formes. Mais, pour créer des dessins où revécût le
poème
, des pages émouvantes et anagogiques, il eût fall
nsacrer, chacun selon ses dons, à l’interprétation d’un des livres du
Poème
sacré, et réjouissons-nous de ce que les dessins
lectuelle, a froissé plus de lecteurs qu’on ne peut croire ; c’est le
poème
de la mégalomanie littéraire ; M. d’Annunzio y ap
éressants pour des lecteurs français, et qui d’ailleurs pour tous ces
poèmes
de D’Annunzio et de Pascoli me mèneraient bien lo
cco de Florence, qui a eu ces mois une vogue extraordinaire grâce aux
poèmes
de Pascoli, continue sa marche avec la sûreté d’u
ut. Au bout de cinquante ans et souvent moins, la valeur émotive d’un
poème
ou d’un tableau est usée ; ce n’est qu’en suite d
ogno. Il Marzocco (25 juillet). — Étude, par Diego Garoglio, sur les
Poèmes
de Giovanni Pascoli, le plus beau recueil de vers
ent à la vie privée du grand poète de la douleur. On parle aussi d’un
poème
satirique trouvé parmi les papiers : il va sans d
en les mystifiant. Il imagina de faire un choix parmi les plus beaux
poèmes
de Henri Heine et d’Alfred de Musset, qu’il tritu
Jos. Étienne Jouy, dit de Jouy, en avait paisiblement confectionné un
poème
de sept cents vers, destinable à la Comédie-Franç
quand on écrit qu’il « imagina de faire un choix parmi les plus beaux
poèmes
de Henri Heine et d’Alfred de Musset, qu’il tritu
meilleur est sans contredit les Canti di Melitta (1910). Ce sont les
poèmes
d’une petite courtisane fictive de la Grèce ancie
de sa vie. Il avait déjà donné à Lacerba et à La Voce de très courts
poèmes
, d’allure étrange et nonchalante, qui avaient att
cité. Le Porto Sepolto (Udine, 1916) contient une vingtaine de petits
poèmes
qui sont parmi les meilleurs de la dernière génér
Annunzio : Patria ai Veneti tutto l’Adriatico. Échos. La Gazèle,
poème
oriental Mercure [Guillaume Apollinaire]. Tome
sait que les poètes orientaux aimaient la rime au point de bâtir des
poèmes
entiers sur une rime. Aussi est-ce un curieux, si
ée. Dans les derniers temps il donnait à la Riviera Ligure des petits
poèmes
en prose (Frantumi) et de spirituelles revues de
ittérateur. Autrefois il a offert à l’admiration des connaisseurs des
poèmes
presque parfaits au point de vue de la technique.
sympathie attentive, vient de réunir dans Orchestrine la fleur de ses
poèmes
lyriques en prose. Onofri a figuré parmi les théo
sse verbale tellement savante qu’elle peut sembler primesautière. Ces
poèmes
, très courts et souvent ramassés autour d’une ima
dans Fuochi di Bengala, publie des fragments de journal intime et des
poèmes
en prose qui se ressentent beaucoup de Baudelaire
es et sarcasmes d’Henri Heine, le surhomme de Nietzsche, comme sur un
poème
épique consacré à Bismarck par une célébrité de H
je vous envoie mon applaudissement fraternel », conçut de ces larges
poèmes
, de ces immenses fresques qui décorent les cathéd
nous sommes, de même on a renoncé aux grandes fresques poétiques, aux
poèmes
largement, longuement conçus et réalisés, pour ex
de Rome, là où les Romains les avaient laissées. L’autre écrivait les
poèmes
Palingenèse, Lucifer, Prométhée, l’Atlantide, s’e
a chanté les grands événements de sa patrie. Il a écrit un très vaste
poème
, les Laudes du Ciel, de la Terre, de la Mer et de
’homme et de la légende totale de son Pays. M. d’Annunzio a écrit des
poèmes
vibrants, lorsque Verdi mourut, lorsqu’un jeune r
virtuelle : c’était un thème à invocations lyriques, un beau motif de
poème
, non une réalité. Le Peuple revenait souvent dans
Florence et dans les campagnes toscanes, pas à pas, en se chantant le
Poème
, qu’il sait par cœur et qui, pour lui, sourd, en
. 665-672 [668-669]. On connaît le Ça ira de Giosuè Carducci, superbe
poème
plein de fougue qui chante l’enthousiasme de la F
able, frais et printanier. Les études critiques sur Dante, les grands
poèmes
latins de ce lauréat des concours d’Amsterdam, se
i l’on rapproche les traits de leur physionomie sociale épars dans le
poème
, on voit apparaître un type d’ailleurs connu : ce
onque. 2° Mais la Méditerranée est vaste ; heureusement un épisode du
poème
vient de prime abord restreindre le champ de nos
C’est sur cette phrase que se termine l’émouvant épisode, et dans le
poème
, il ne sera plus question des Phéaciens. Évidemme
ens. 5° Or voici que, interprété à la lettre, un double itinéraire du
poème
nous conduit bien clairement dans la partie nord
des environs de Naples. 6° Or voici que précisément un autre texte du
poème
appelle très vivement notre attention sur les ale
n volcanisme répondent à merveille aux indications qu’a pu fournir le
poème
. 14° Or le nom d’Ischia lui-même mérite toute not
s, qui veut capter la présence féerique de la lumière. Vus comme des
poèmes
lumineux exécutés avec le souci de rendre toutes
ans les lieux où Dante a vécu est une perpétuelle illustration de son
poème
. » On trouve cette phrase d’Ampère en épigraphe à
que j’avais consacrées dans ma dernière chronique à sa traduction des
poèmes
de M. d’Annunzio. M. Hérelle passe pour un trop e
t, à ce que M. d’Annunzio trouve maintenant parfait le recueil de ses
poèmes
publié en français par les soins de M. Hérelle, d
contient la Nuit de Noël, consacrée à l’entreprise tripolitaine, des
poèmes
de jeunesse et des poèmes familiaux pleins de cet
consacrée à l’entreprise tripolitaine, des poèmes de jeunesse et des
poèmes
familiaux pleins de cet « intimisme » particulier
orger pendant que la poitrine s’essouffle. Mais l’âme lyrique que les
poèmes
respirent se veut géante, et elle s’affirme neuve
d’apostrophes, trop de cris sans suites, retentissent certes dans les
poèmes
futuristes, et les font sonner faux. Mais toutes
ra l’acque, Puttaneggiar coi regi a lui fu vista ; vaut seul un long
poème
. Mais laissons de côté l’esthétique pour les idée
je ne sache pas qu’elle ait jamais songé à condamner en bloc tout le
poème
dantesque. Non, reconnaissons-le : Dante est rigo
CXXVII, numéro 480, 16 juin 1918, p. 757-768 [766-767, 767-768]. Un
poème
latin à la gloire des marins d’Italie Il a été
ent dans le port de Trieste torpiller le cuirassé autrichien Wien. Le
poème
débute par l’évocation des gloires romaines égalé
tibus ausi. Puis le père Rocci en vient au haut fait de Rizzo. Et le
poème
se termine par le récit du retour des vainqueurs.
idale Cibidal, Venzone Deuscheldorf. Ce dernier nom vaut seul un long
poème
, car quoi de plus italien que l’histoire de cette
res du Nord était en lui presque spontané. Il avait publié en 1901 le
poème
dramatique Nerone, dont il a laissé — dit-on — la
publier une édition de grand luxe de ses Carmina, c’est-à-dire de ces
poèmes
latins qui lui ont valu plusieurs fois le prix d’
des fragments de quelques vers. Car il n’y a presque jamais dans ces
poèmes
une véritable unité d’inspiration qui soit donnée
e, Milan, Treves M. Federico Tozzi a beaucoup progressé depuis son
poème
sur Sienne qui s’appelait La città della Vergine.
appelait La città della Vergine. Il nous donne aujourd’hui des petits
poèmes
en prose, Bestie, où l’on peut admirer souvent le
de Claude Monet, le peuple ne peut comprendre, artistiquement, ni un
poème
ni un tableau, parce que le peuple n’est pas dési
c’est le désintéressement. Pour le peuple, tout est dans le sujet du
poème
ou du tableau ; pour « l’intellectuel », tout est
ri de bravoure que profère dans la fumée l’homme à panache ; dans les
poèmes
, c’est l’anecdote encore et le sentiment : la poé
bscurité ; il destinait à tous, non seulement ce drame rêvé, mais ses
poèmes
et d’abord ses chroniques et ses conférences, si
tout ce qu’il touche, — don comme de fée : Hérodiade est peut-être le
poème
le plus pur, le plus transparent de la langue fra
rique de la Renaissance : La Bohème, comédie lyrique en quatre actes,
poème
et musique de R. Leoncavallo Pierre de Brévill
. Son petit livre Il mio Carso (Éditions de la Voce, Florence) est le
poème
en prose de la région où se développe notre plus
approprié des pages entières du mystique belge. Il laisse, dit-on, un
poème
inachevé sur les papillons. Guido da Verona
Emilio Settinelli (Milano, Studio Editoriale Lombardo) sont de petits
poèmes
en prose qui contiennent par ci par là des trouva
della Primavera (Firenze, La Voce), renferme peut-être ses meilleurs
poèmes
. Mais Govoni réclame une chronique pour lui seul
mais très sûr et vivant. Il nous offre maintenant un petit recueil de
poèmes
en prose Doni della Terra (Milano, Studio Editori
é à la Lirica de Rome et à la Voce de Florence, mais on attendait ces
poèmes
pour le juger. Cardarelli est le chef, avec MM. B
quand cette méditation et ce rêve ont trouvé leur expression dans un
poème
, il laisse planer librement sa pensée sur les cho
nt pour cadre de ce tableau la légendaire Italie, la mère de tous les
poèmes
, l’auteur l’a rendu encore plus parfait, plus cla
politiques se sont plus d’une fois bombardés avec quelques-uns de ses
poèmes
; d’autres sont étudiés par les lettrés comme des
-147 [146-147]. Poesia (juillet-août-septembre) publie parmi tant de
poèmes
excellents, meilleurs et pires, des Epigrammes de
en soi, mais pour l’intégration d’un dogme scientifique-religieux. Le
Poème
est son acte de foi. Son utilité sociale fiance l
Gherardini. Livres nouveaux annoncés par les revues italiennes : Eva,
poème
d’Antonio Fogazzaro (Milan, Chiesa et Guindani) ;
aut-Empire, toujours debout dans sa sévérité latine, tout le solennel
poème
de marbre que le déferlement des invasions n’avai
rdinal Rampolla. » […] France-Italie (1er mars) : — Carlo Litani : «
Poèmes
en prose. » — M. A. Maurel : « 15 jours à Venise.
, forme, comme dans tous les poètes, l’unique et vraie matière de ses
poèmes
. On ne rencontre chez lui aucun des thèmes compli
irmé surtout dans des récits en vers. La Fiancée de Chypre et Thécla,
poème
en neuf chants, sont écrits le premier en octaves
lysées : Saison anglo-américaine de Grand Opéra : l’Amore dei tre Re,
poème
de M. Sem Benelli, musique de M. Italo Montemezzi
c des ornements inutiles superflus et je crus qu’elle devait être (au
poème
) ce que sont à un dessin correct, et bien agencé,
s louis-quatorziens29.Néanmoins, après avoir examiné quelques-uns des
poèmes
de Quinault, Calzabigi conclut que le plan dont i
en Italie), et bientôt s’esquissa une première collaboration, avec le
poème
d’Orfeo ed Euridice. Poète et musicien étaient fa
acer l’ancien, le catholicisme romain. Un auteur qui prétend que tout
poème
a quatre sens est un farceur, un fou ou Dante. D’
tte de Stein pour aller passer deux ans en Italie. Là il écrivit deux
poèmes
, deux élégies à propos d’un jeune garçon qu’il av
us tard, dans son « divan oriental », il se laissa aller à écrire des
poèmes
que les uranistes revendiquent comme une œuvre un
éro 376, 16 février 1913, p. 837-843 [842]. Le Divan (janvier) : — «
Poèmes
d’Italie », par M. J. Semaize. […] Lettres ang
uis saint Augustin, et essaie de démontrer les tendances mystiques du
poème
par ses analogies avec les œuvres des contemporai
il y a plus de vingt ans, eut un retentissement si considérable. Les
poèmes
livrés aujourd’hui à la publicité affirment un vé
n, en veine d’écrire, compose plus volontiers un essai critique qu’un
poème
, et se montre plus soucieux de s’imposer au publi
t, il s’est retiré sur les bords de la Méditerranée, où il prépare un
poème
didactique sur les papillons. Sergio Corazzini a
est mort très jeune) et son œuvre se résume dans un petit recueil de
poèmes
. Il avait publié de son vivant le Piccolo Libro I
médie, rangée parmi les chefs-d’œuvre de l’esprit humain, est le seul
poème
épique de l’ère chrétienne. Mais l’admiration se
, mais rien que cela, a été vu par les auteurs de tragicomédies et de
poèmes
. Un séducteur pittoresque, un cavalier fantaisist
i. » Avec la science de l’harmonie des lignes, j’aurai chanté tout le
poème
de la Primavera lorsqu’elle arrive sur la terre d
yriques sur les oranges, les myrtes, et aussi sur l’eau, qui sont des
poèmes
exquis. À la Renaissance, la Ville morte a été bi
la défaite des « passéistes ». « La guerre actuelle est le plus beau
poème
futuriste qui ait apparu jusqu’ici », s’écrie Mar
▲