ne œuvre distinguée. Le style est bien un peu lâché, ou, du moins, la
phrase
est trop uniforme et trop calquée sur la phrase f
ché, ou, du moins, la phrase est trop uniforme et trop calquée sur la
phrase
française — la phrase courante et type des Bourge
phrase est trop uniforme et trop calquée sur la phrase française — la
phrase
courante et type des Bourget et des Maupassant —
moderne mot pour mot et « mot sous mot », on obtiendrait toujours une
phrase
française, mais une phrase courante, une phrase b
ot sous mot », on obtiendrait toujours une phrase française, mais une
phrase
courante, une phrase banale. 1. L’Innocente,
iendrait toujours une phrase française, mais une phrase courante, une
phrase
banale. 1. L’Innocente, par Gabriele d’Annun
r le monde civilisé, et c’est par loyauté que l’Italie fait sienne la
phrase
anglaise : Honesty is the best policy. Pour ces d
int de littérature en chambre, point d’enthousiasme à froid, point de
phrases
grandiloquentes et vagues dont le son offusque le
parlait. Le vent glacé éparpillait ses paroles, mais des lambeaux de
phrases
arrivaient à mes oreilles ; — Regardez… maisons d
e abondante explication historique, il a dû s’arrêter au milieu d’une
phrase
, faute de termes grecs qui pussent lui permettre
r numéro du Mercure la signification et la portée de cette crise. Une
phrase
lapidaire qui suit un article de Prezzolini en ca
tout le volume je n’ai pas découvert une seule exagération, une seule
phrase
vide, une seule fausse note. Par le temps qui cou
nale d’Italia, dont la grande presse française n’a reproduit que deux
phrases
qui, détachées du contexte, dénaturent la pensée
sociologiques les plus divers, non sans dévoiler le vide de bien des
phrases
et le néant de bien des illusions dont s’étaient
nt ambiguë, dénuée de clarté, pleine de circonlocutions, encombrée de
phrases
qui disent et ne disent point. Mais au moins déno
re aujourd’hui, après seize mois de guerre, qu’en dépit de toutes les
phrases
ronflantes la force prime le droit dans notre mon
Félix, elles ne prouvent que mon amour pour Mme P.. Il y a une seule
phrase
qui a pu paraître ambiguë à l’aimable Angela. Mai
ela. Mais je compte la lui faire relire et lui faire avouer que cette
phrase
ne prouve encore que mon amour pour elle. Je ne s
isloquer et de rompre une fois pour toutes la vieille structure de la
phrase
et les remparts surannés de la syntaxe usuelle. I
ué sa grimace, quand tu lui as reparlé de Wellseley ? Je parie… Cette
phrase
fut coupée par le retour de Stella-Lucente. — Vot
le désir de faire votre portrait qui l’a poussé à… Il n’acheva pas sa
phrase
. Aurora le considérait sans colère, mais avec un
l. Ce que vous supposez n’est pas ! Je vous en donne ma parole. Cette
phrase
prononcée d’une voix ferme et loyale, il se dirig
l, navré de voir l’immense émotion qui l’exaltait se traduire par une
phrase
aussi commune. — Mon heure préférée, répondit Aur
u’il n’y avait personne.. Mais elle insiste. Il n’avait pas achevé sa
phrase
, que Nina apparut. — Enfin, je vous rencontre, Au
Elle répondit comme une enfant : — Parce qu’elle a l’air méchant ! La
phrase
que Nina lui avait murmurée à l’oreille, une nuit
tourna vers la question d’art. Antonio eut, pour Wellseley, quelques
phrases
aimables. Il réussit à les débiter sans le fronce
si que je ne dois pas être jalouse… Ils eurent l’impression que cette
phrase
détruisait leur passé, mettait à nu les fibres de
nua : — Parce que je crois à ce qu’elle renferme ! Il lui souffla ces
phrases
à la face : — Parce que je veux le marquer avec u
Beppo qui est mort ! Voici la lettre. Antonio apprenait, en quelques
phrases
que Beppo avait été tué par une charge de plomb r
cheveux pliée dans un feuillet de livre et où était griffonnée cette
phrase
: « Adio ! adio ! adio ! » — Voilà, dit Wellseley
cence du monde ! « Merci, mon père ! » Il répéta plusieurs fois cette
phrase
. Il l’achevait avec un petit rire de vieillard. D
rononça votre nom, monsieur Wellseley. Et, depuis, toujours les mêmes
phrases
reviennent à sa bouche. Elle va et vient dans la
, la nuit, avec la lampe… chut… ! écoutez… Un violon joua la première
phrase
d’un andante. Mes yeux rencontrèrent ceux de Well
réviser, de supprimer ou d’atténuer à sa guise les descriptions, les
phrases
, les mots par trop obscènes, d’embellir le style,
autres. Mais Jean Laforgue, grâce à la toilette dont il a revêtu les
phrases
difformes de Casanova, leur multipliant les éléga
ment, à côté de lui. Il y a outrance d’humilité, dans cette dernière
phrase
de M. Renato Serra. Aussi, est-ce l’une des grâce
s envois d’argent de M. de Bragadin. En octobre 1767, on trouve cette
phrase
dans les Mémoires : Mon frère m’avait remis plus
Casanova, et le fait prendre en flagrant délit de mensonge, c’est la
phrase
suivante, après que le moine arrivé sur le plafon
e de leur pays ; mais, pour qui sait lire entre les lignes, voici une
phrase
du travail de d’Ancona qui en dit beaucoup dans s
e par la main même de l’auteur. » Eh ! mais, monsieur d’Ancona, cette
phrase
peut bien se traduire par un seul mot : Bragadin.
inion, malgré votre voyage dans le Palais des Doges ? Voici une autre
phrase
, un peu plus explicite, de l’abbé Fulin qui vise
’aux Inquisiteurs d’État, il y en avait des motifs. C’est la dernière
phrase
de la lettre de Ballerini qui nous a permis d’écr
ntre, mais encore un conteur, ne l’oublions pas, et terminons par une
phrase
de ce conteur inimitable. En attendant, partout
té de son souffle lyrique, Carducci enveloppait étroitement, avec ses
phrases
et ses rythmes, l’esprit de ses contemporains. Le
térêt et les appétits qui triomphèrent, mais on les entoura de belles
phrases
pour leur conserver l’apparence de l’héroïsme, de
un remanipulateur, si spirituel qu’il soit, au point, par son tour de
phrase
, d’avoir pu donner le change dans une telle mesur
serait fait couper le cou sous la Convention. Aussi trouve-t-on cette
phrase
après sa mission en Hollande, pour laquelle il to
out l’homme ? Comment un éditeur a-t-il laissé perdre une aussi jolie
phrase
? Voici maintenant pour le Casanova gourmand, pou
ravailler, comme l’a fait le professeur d’Ancona. C’est d’abord cette
phrase
, au moment de son arrestation : On ouvre ma mall
nt ni l’orgueil espagnol, on me les rendra avec ma liberté. Ces deux
phrases
précieuses montrent bien, comme nous l’avons dit
qu’il va de lui-même au-devant de l’incrédulité du lecteur par cette
phrase
: « Ce récit est vrai de tout point et pourrait ê
faits de l’année 1768 nous frappa, de même que nous avait frappé une
phrase
du même genre pour des faits de l’année 1767, où
un coin et lui parla. Très simplement et pas longtemps, deux ou trois
phrases
. Mais celles-ci probablement, étaient tout à fait
ée et qui a pu faire écrire à un homme tel que le Prince de Ligne des
phrases
comme celle-ci : J’ai connu Casanova homme célèb
d’août14. Néanmoins, fidèle à son titre, qu’il n’oublie pas, voici la
phrase
qui termine le chapitre XIV, l’avant-dernier. Nou
t ils entourent, suppliants, l’autel du roi Poséidon. C’est sur cette
phrase
que se termine l’émouvant épisode, et dans le poè
vécu est une perpétuelle illustration de son poème. » On trouve cette
phrase
d’Ampère en épigraphe à la courte préface de Mme
i forge, toutes les fois que la nécessité le réclame, des mots et des
phrases
intentionnellement maintenus dans l’ombre, car so
e de la pièce officielle serre encore bien plus près le mot à mot des
phrases
de Casanova ; car, dans l’édition Garnier, il y a
paraît obligatoire, puisque, dit-il, on a pardonné à Théophraste ses
phrases
d’Érèse, à Tite-Live sa palavinité, à Algarotti l
Albergati et Casanova, une véritable polémique ; voici, en effet, la
phrase
énigmatique que nous y relevons : « Il est vrai q
st lui, cette fois, qui est le philosophe, et non Voltaire. Certaines
phrases
de l’article Superstition dans le Dictionnaire ph
rie de M. Guido Bosio, qui (Gazetta Letteraria) rédige sur Wagner des
phrases
à résumer ainsi : « Wagner était un dégénéré supé
niment plus expressif : nous en avons un exemple dans Othello avec la
phrase
du « Baiser », dont la réapparition à la fin du I
r nous jugeons qu’il y a un plagiat bien plus répugnant que celui des
phrases
, c’est le plagiat des formes intellectuelles. Nat
c un crime si turpide que d’avoir vulgarisé en Italie quelques belles
phrases
? À quoi donc, depuis qu’il prit sa retraite, s’o
un peu de timidité dans l’éloge et quelques distractions, comme cette
phrase
incompréhensible : « è una poesia fatta di polver
re. La Stampa du 21 janvier lui consacra un article qui contenait ces
phrases
extrêmement perfides : Le Conseil des ministres
n’y transparaît qu’à travers un ton d’une extrême modestie. Sous les
phrases
très simples, très militaires, sans effet, on déc
t souvent à profit l’ignorance des Allemands et ajoutent au texte des
phrases
qui mettent le public belge en joie. Quant aux ci
uerre européenne. D’autre part, le prince de Bülow avait prononcé les
phrases
célèbres ; pleines de grâces teutoniques, sur les
iférée ». Et ce n’est pas à propos du Habsbourg qu’il cite la superbe
phrase
du prophète : « Ecce, constitui te hodie super ge
magnifiquement colorée, combien d’odes sur la résurrection latine, de
phrases
et de mots odieusement vieux et faux… Et dans le
D’abord, j’ai horreur d’un rythme trop marqué dans la succession des
phrases
. Ensuite, je trouve la langue italienne assez har
rons-le, démentir ses détracteurs ; s’il chante encore d’harmonieuses
phrases
après la guerre, il saura bien en chanter aussi q
atitude d’une destinée », déclare Tito Bassi, et il absout, par cette
phrase
d’une cynique naïveté, de la plus touchante des e
e le cou à l’éloquence. Verbiage pour verbiage, je préfère encore les
phrases
sonores de certains de nos journalistes ou de nos
scours qu’il prononça, voici trois mois, à Montecitorio contenait une
phrase
qui exerça sur l’esprit des masses ouvrières de T
», s’écria-t-il alors. M. Treves a beau expliquer aujourd’hui que sa
phrase
avait une portée générale, universelle, et ne s’a
M. Mesnil l’occasion d’apprendre que Basile n’a jamais prononcé cette
phrase
. Un mot pour finir. M. Mesnil écrit : « Je ne sui
e Piranèse, était chez nous célèbre, mais fort mal connu. De quelques
phrases
de Théophile Gautier, interprétant l’œuvre du maî
s escaliers, les piliers, les retraits des Prisons, M. Focillon a une
phrase
heureuse. L’œuvre de Piranesi est pareille à une
de contrastes entre le Nord et le Sud, de décadence latine, dans des
phrases
dans le genre de celle-ci : « Qu’importe, si, en
urs des enfants belges ? Il ne s’agit point, ici, de quelques simples
phrases
. Il s’agit de l’indice de la pire des anarchies,
t Baillet, en 1686, dans ses Jugements des Savants, à commettre cette
phrase
amusante : « Dante Alighieri, ou Alghieri, Floren
nymiques, sans nulle arrière-pensée de tendancieux chauvinisme, et la
phrase
ci-dessus n’entend pas affilier Dante à la lignée
’ai lu dans le carnet d’un pieux écrivain, mort en bienheureux, cette
phrase
: » “Une seule injustice commise à Jérusalem a c
té indirectes et de pure hypothèse. On sait qu’il ne proféra point la
phrase
de mélodrame : E pur si muove. Il dédaigne d’insi
e lancé inopinément dans l’obscurité. Elle interprète parfaitement la
phrase
qui la lui a suggérée : “La muraille de sa chambr
lable. J’ai pu comparer maints passages et j’ai rarement trouvé trois
phrases
consécutives qui n’aient pas été touchées. Herr B
ondante se désigne par : Votre petite amie, ou elle termine par cette
phrase
, demi sourire, demi reproche : « Bonsoir et dorme
ues. 1. En français dans le texte. 2. Citation incomplète ; la
phrase
se termine par ce vers : Non donna di provincia,
ns l’erreur de cet homme extraordinaire, je viens d’écrire 4 pages de
phrases
plates. Cimbal était à la banque Borome avec moi
u départ de Milan, précisée dans le Journal, à la page 407, par cette
phrase
: “Je partis de Milan à 1 h. 1/2 le 22 septembre
précis. Ne détruiraient-ils pas la légende que permet de former cette
phrase
de Beyle, plus émouvante qu’une biographie : « G
oint aux manches fendues, serré par une corde d’or ? Tiens ! il a une
phrase
écrite sous la doublure de son capuchon… — C’est
fougueusement, sans hâte, soulignant par des intonations chaudes les
phrases
qui devaient évoquer, dans son esprit, des vision
ire à nos femmes un enfant aussi beau que celui-là ! Je rapportai ces
phrases
à Giorgio. — Sois heureux, ton nom est connu dans
ritage. Parmi les rires et les chansons, jaillissait toujours la même
phrase
: — Qui nous dira avec quoi peint Barbarelli ? —
iminua en rien la notoriété du Giorgione. On commençait à répéter ses
phrases
et ses discours, on en tirait des théories dont i
évère regardait-il ses propres peintures, pour prononcer de pareilles
phrases
. La toile qu’il me montra, le lendemain, restera,
M’approuves-tu ? lui demanda Ridolfi… Je devine à ton silence que mes
phrases
éloquentes te séduisent. Comme je t’aime, Titian,
s poètes. Giorgio embrassa la Vellani : — Je brûle sur les lèvres des
phrases
insensées, dit-il. — J’échangerais ma beauté cont
’est proposé la question et il y a répondu en empruntant à Goethe une
phrase
du Voyage en Italie, plus conforme à sa vraie pen
… — Depuis une heure… c’est la peste… Sans me permettre d’ajouter une
phrase
, il murmura : — Si vous avez peur, partez… Mais q
chevaux de Saint-Marc et le grand Canal… Quel châtiment ! » Voilà les
phrases
qui harcelaient mes oreilles et me rendirent hont
peut-être… ceux qui ont enlevé la Maurina… Avant qu’il eût achevé sa
phrase
, la tenture s’écarta et un homme de haute stature
… tu me délivreras… Tu as entendu cette femme prononcer de semblables
phrases
, Giorgio… toi qui as eu ton existence d’homme lib
gémissait comme un petit enfant… et elle est morte sans articuler une
phrase
… — Qui t’a indiqué notre retraite ? — Lorenzo. *
o… (Plusieurs feuillets manquent, et le manuscrit reprend sur cette
phrase
:) … Mais il est impossible de dresser la liste
Canope et boivent du vin dans des calices de lotus. » Oh ! la jolie
phrase
, combien fluide, sonore, évocatrice ! La voici tr
er 1876 : Rome, hôtel de Londres, place d’Espagne. Je jure que toutes
phrases
tragiques et de jalousie sur A… étaient écrites s
employés par masses ou en solistes, l’italianisme fâcheux de certaine
phrase
(noli me tangere…), l’impersonnalité de l’inspira
nt plus encore qu’en artiste. Pour lui, comme pour Palestrina, chaque
phrase
de musique doit correspondre à une phrase du text
mme pour Palestrina, chaque phrase de musique doit correspondre à une
phrase
du texte sacré, il ne cherche pas à écrire des mo
en cette matière, M. Ferrero rappelle M. Henry Bérenger. Variétés.
Phrases
sur l’Art Remy de Gourmont. Tome XXXI, numéro
pteurs du public déclarent faits pour lui ; et, très à découvert, les
phrases
de désespérante banalité, aux harmonies flétries,
ée, qui sortait enfin victorieuse, comme emportée sur les ailes d’une
phrase
au vol large. Il commentait la Vita Nuova : quand
la volonté de Machiavel, duquel d’ailleurs l’auteur témoigne, en une
phrase
, une juste admiration. L’ordonnance même du livre
cier, « a vécu ». Quelques photographies portaient comme légendes des
phrases
du roman. Tome LX, numéro 212, 15 avril 1906
es assez souvent, parfois elles ne font que compléter ou embellir une
phrase
, remplacer un mot par un synonyme, une locution p
u style. Mais très souvent elles portent une lumière nouvelle sur une
phrase
, qu’elles renforcent par un mot explicatif, par u
remarques qui intéressent le style, ou qui précisent la pensée d’une
phrase
parfois en la modifiant, sont les plus nombreuses
expriment une satisfaction de la pensée de Stendhal, ou ajoutent une
phrase
pour la compléter, ou notent an changement à appo
ectif du jeune savant. Et ils revivent par ci et par là dans quelques
phrases
heureuses, qui soulignant des traits de la scienc
toresque, transcription de décors, se trouve rejeté dans les coins de
phrase
ou de pages. Il ne développe pas le décor, mais l
e phrase ou de pages. Il ne développe pas le décor, mais les quelques
phrases
où il a coutume de l’indiquer sont si complètes q
e de son siècle ». Or, dans la préface de l’édition Asse se trouve la
phrase
suivante : « Cet Italien était d’une salacité qui
rs une sorte de technicité obscène qui se voile, cérémonieusement, de
phrases
singulièrement savantes, car l’impuissance génési
as trop simple, au contraire ? Pourquoi cet étalage extraordinaire de
phrases
, d’images et de tableaux autour d’un poète aimant
ude de pensée de son œuvre. Selon sa fine et juste expression, chaque
phrase
de Gourmont contient une idée et chaque période c
ignant pas de se répéter. Ses lettres peuvent se résumer en une seule
phrase
courte, elle ne sait dire que celle-là : Je vous
i un auteur qui composerait un roman par lettres pourrait trouver une
phrase
plus heureuse, plus délicate que celle-ci : — Bo
; ou, si je répondais, je m’arrêtais parfois tout net au milieu d’une
phrase
, et sans m’inquiéter de mon interlocuteur, je rep
qué, je le considérai en me demandant s’il n’y avait point dans cette
phrase
quelque intention de querelle. Ma foi, non. Aucun
a fille se mit au piano et commença de le jouer. Elle chanta quelques
phrases
. Je remarquai que sa voix était ferme : nous n’ét
e la race, à tel point qu’il en imite la tournure et l’agencement des
phrases
, et la sonorité, aujourd’hui rare, ou, comme on d
angue simple et pleine, élégante et nerveuse, se cristallise dans des
phrases
qui étincellent et réchauffent. M. Maurras n’a pa
tremblants d’effroi s’étend une funeste nuit55. Qu’y a-t-il sous ces
phrases
imprévues et mystérieuses ? Une conception étrang
les mœurs sont déplorables et plus les hypocrisies se compliquent des
phrases
d’une inutile décence. On peut bien se permettre
s d’Afrique voisins de la Sicile, et Crispi avait synthétisé dans une
phrase
répétée souvent les visées péninsulaires sur la p
ence. Du moins, peut-on dire que ce dédain des vaines idéologies, des
phrases
trop bien faites76, de l’art pour l’art, est une
ation qui veut être à la fois la Grèce et l’Italie modernes. Ah ! les
phrases
, les phrases, qu’elles ont causé de sottises en n
t être à la fois la Grèce et l’Italie modernes. Ah ! les phrases, les
phrases
, qu’elles ont causé de sottises en notre pays2. »
ecteur l’atmosphère dont s’imprégna le traducteur. Sauf deux ou trois
phrases
elle est pédantesque et inutile. Il était superfl
ilieu ou la fin ne passe par aucun des cinq sens ». Il y a dans cette
phrase
plus de bois vert que sur les bûchers de l’inquis
t voilà pourquoi le Syllabus de Pie X ne vaut pas cette simple petite
phrase
: « Un principe étant donné, il est nécessaire qu
ande, et peut-être impunément Léonard aurait imprimé cette redoutable
phrase
: « Les règles de l’expérience qui sont les modes
n et le psychologue, la bonne Lorraine est un miracle vivant : chaque
phrase
de ses répliques rayonne de clarté, de mesure, de
èle en évidence et en beauté, surtout dans la partie où il discute la
phrase
de Maeterlinck qui déclarait avoir écrit Ariane e
même quand ils racontent une histoire vraie, ces artistes parlent une
phrase
cadencée et qui, aux motifs traditionnels de l’ar
uiconque vous verra ou entendra loue le Père céleste » ! Cette simple
phrase
contient la vraie réforme. L’amour trouve la véri
produit, ne sera qu’une opinion individuelle sans écho populaire. Les
phrases
du Vinci forment la charte du positivisme initial
leur vie, moments comparables à des points d’orgue en musique, où une
phrase
s’arrête, se prolonge dans l’attente d’une éclosi
À l’instant je lis dans une toute récente préface de catalogue cette
phrase
, citée de Fromentin : « Prétendre se distinguer p
ntée par des professeurs aux calculs mathématiques trop précis et aux
phrases
trop sonores, tel M. Adolfo Venturi, la critique
vers une vie plus pure et plus harmonique… ». Qu’on nous épargne des
phrases
où le rôle moralisateur de l’art est considéré «
lus par l’étourdissante fantaisie de sa verve caustique, mais par des
phrases
musicales où perce un sentiment très vif des char
italiens, le poète voit une sorte de petit dictionnaire, où quelques
phrases
, qu’il est nécessaires que l’émigrant apprenne, l
ans une gerbe étincelante. Un paysan, du pays de Virgile, apprend les
phrases
qui seront comme ses timides coups de crécelle, d
uait toute l’exaltation de sa littérature, tandis qu’il les louait en
phrases
hésitantes empruntées aux odes mythologiques. Leu
st ainsi que M. Zuccoli a pu concevoir des contes brefs, rapides, aux
phrases
composées du moindre nombre de mots, des mots les
ins passages des poèmes de M. Buzzi semblent, par le rythme et par la
phrase
, de véritables traductions du français. C’est que
ure, et les quelques cadences antiques qui résolvent plusieurs de ses
phrases
, le choix des mots et des agglomérations de mots,
, pour rappeler, avec les mêmes mots, des états d’âmes identiques. La
phrase
qui a servi à composer un paysage, un état de l’a
» De tout l’ensemble de cette évocation nocturne qui finit sur cette
phrase
: « C’était comme une nuit connue, qui revenait d
en leur temps, les Chants de Maldoror, où nous avons découvert cette
phrase
exquise dans son ingénuité : « Phallus déraciné,
s bras d’où pendent des haillons ! » M’est avis, Messieurs, que cette
phrase
, copiée au hasard dans un livre où il s’en trouve
ssant écrivain méconnu. Et aujourd’hui M. de Frenzi peut écrire cette
phrase
qui s’impose à la réflexion de tous les lettrés :
faire le sceptique, détournait adroitement, avec malice, le sens des
phrases
les plus innocentes d’Antine qu’il mettait souven
oreilles. L’autre relut posément, traduisit même en patois certaines
phrases
; Zio Félix enlevait et remettait ses lunettes, d
t aussi la flèche qui se plante dans toutes les mémoires, et c’est la
phrase
musicale qui chante sur toutes les lèvres. Le thé
d’obscurité dans deux ou trois passages, et une ou deux tournures de
phrases
trop directement empruntées du latin32. Je suis
cinquante mille francs par an… Et je trouve quelque effronterie à la
phrase
qu’Émile Zola répétait souvent à M. Reinach : “L’
l y ait à la fois des moitiés de vers du même Léonard et des bouts de
phrase
de La Harpe et de Chateaubriand ; que le Vallon s
ations où la rondeur du cantabile, la carrure trop « musicale » de la
phrase
isolent un personnage du drame qui l’entoure et,
iats. Que G. d’Annunzio ait traduit quelques paragraphes et plusieurs
phrases
de G. de Maupassant, sans les accompagner d’inest
objet tangible, tout phénomène physique apparaissent, à travers leurs
phrases
, plus réels que la réalité ; et quant à la préten
nt de la syntaxe ; il s’efforce de rompre les allures routinières des
phrases
italiennes : on ressent dans ces tentatives l’inf
le bonheur du peuple… La fraternité universelle ne doit plus être une
phrase
creuse, mais une réalité… Si nous sommes unis, la
e la doctrine chrétienne. » Dans l’article en question, je relève la
phrase
suivante : En somme les gens qui interprétaient
ssées. C’est à quoi ses doctrines n’ont rien à voir. En lisant cette
phrase
, je n’ai pu m’empêcher de me répéter à moi-même l
que, — et par suite son auteur — autorise M. Henry Cochin à écrire la
phrase
citée ci-dessus, c’est ce dont je fais juge les l
iers de cadavres pour conclure sur les formes d’un viscère ? » Cette
phrase
est un exemple frappant de la manière de raisonne
nces tout à fait spécieuses. C’est là une habitude de son esprit. Les
phrases
du genre de celle que j’ai citée surabondent dans
e d’idées qui a passé par la tête de Lombroso lorsqu’il a écrit cette
phrase
. Je crois qu’il est donné à peu de personnes d’at
dement, son attention a été attirée de ci de là par des mots, par une
phrase
, où il voyait une confirmation de son idée fixe.
ait plus rien à me dire ; mais au lieu de se taire, il fabriquait des
phrases
et récitait des poésies horriblement longues. Qu’
au ban des poètes italiens ; la Critica sociale l’exécute en quelques
phrases
ironiques. Enfin une brochure anonyme, La Guerra
▲