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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 239, 1er juin 1907 »
nouveaux philosophes qui voient dans la fusion de la poésie et de la philosophie l’avenir éclatant des nouvelles affirmations de n
t sur le point d’intersection de deux lignes, dans le cœur même de la philosophie . Car la philosophie doit vivre deux vies : la vie
ersection de deux lignes, dans le cœur même de la philosophie. Car la philosophie doit vivre deux vies : la vie du sentiment et la
ment lumineuse et vigoureuse. Un âge nouveau : protestation contre la philosophie déracinée de l’art, protestation contre l’art inc
ie déracinée de l’art, protestation contre l’art incompatible avec la philosophie … ». Novalis avait déjà affirmé que « la poésie es
ologiques qui demeurent comme une des œuvres les plus profondes de la philosophie contemporaine. Guyau révélait sa puissance de pré
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 241, 1er juillet 1907 »
que cette religion unique de l’avenir ne sera rien autre chose qu’une philosophie , c’est-à-dire une branche de la science qui — en
luttes nombreuses qui se livrent entre la science et la religion, la philosophie et la théologie, le dogme et la critique, les clé
e, liturgique, ecclésiastique ; parce que la science, la critique, la philosophie , la recherche historique et la politique combatte
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
lui-même : « Je découvris un remède à mes larmes, je découvris que la philosophie était la grande chose des livres et des sciences,
ge, m’ont acheminé à l’amour, c’est-à-dire à l’étude de la très noble dame Philosophie  ; ils m’y ont acheminé par les rayons de leur éto
s et j’affirme que la dame dont je m’épris est celle Pythagore nommée Philosophie . Le troisième traité est consacré au second amour
one leur ornementation érotique ; il dit et redit que Béatrice est la philosophie  : et ce n’est pas vrai. Béatrice est une religion
4 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
LXXI, numéro 254, 16 janvier 1908 Un idéalisme expérimental. La philosophie de Léonard de Vinci d’après ses manuscrits [I]3
e échouera Savonarole : l’Occident, saturé de religion, aspirait à la philosophie , par juste instinct de son évolution. Les manuels
ainsi placé en face de l’univers, va faire la preuve de son génie. Sa philosophie désormais s’appelle la science ; il sort de la bi
un effet de notre passionnalité que cette recherche de l’intensité en philosophie  : nous savons cependant que l’erreur habite aux e
emment aucun ouvrage n’égale en tristesse l’histoire impartiale de la philosophie  : elle donne raison à cet Allemand sincère qui pr
’atavisme d’une culture passée. […] Un idéalisme expérimental. La philosophie de Léonard de Vinci d’après ses manuscrits (Suite
goureusement déduite. Léonard écarte de son système la religion et la philosophie proprement dite, puisqu’il n’admet d’autre critèr
es, quels que soient leur race ou leur degré de culture, s’élève à la philosophie morale, par la peinture des passions. Il conclut
seule raison d’être et la condition de notre plus noble plaisir. § La philosophie du Vinci ne prend pas seulement son intérêt de so
fut vécue et brûlée à tous les feux de la Saint-Jean et alimentée de philosophie épicurienne. Depuis lors, de concert avec M. le p
jamais des spécialistes. Ils n’intéressent que par leurs idées, leur philosophie  : la philosophie de Taine, les idées morales de R
alistes. Ils n’intéressent que par leurs idées, leur philosophie : la philosophie de Taine, les idées morales de Ruskin. Ces préocc
mpe allumée devant le buste de Platon. Il passa sa vie à commenter la philosophie platonicienne et à traduire en italien les textes
pays. M. Robert Ardigò est, à l’étranger, l’homme représentatif de la philosophie italienne. Il a éduqué de très nombreux penseurs,
cherches positivistes. Et même en ne l’aimant pas aujourd’hui pour sa philosophie , on doit reconnaître ses grandes qualités de psyc
ntier du bonheur, non plus que d’élucider quelque grand mystère de la philosophie . Après le triomphe de son livre, sans négliger so
quences de caractère pratique et social, que l’on peut tirer de cette philosophie . La croyance vulgaire qui rattache la rénovation
lte d’une comparaison entre les religions ou entre l’orthodoxie et la philosophie et souvent s’inspire d’un pur zèle apologétique.
 ? On croit communément que les théologiens primitifs dédaignèrent la philosophie . Sans s’arrêter à Jean Scott, qui imite la forme
les 3 500 questions secondaires d’Alexandre de Halès rentrent dans la philosophie pure. Vincent de Beauvais, qui mériterait d’être
et muable, et la morale en plusieurs points locale et ethnique. « La philosophie est la connaissance de la vérité, non de toute vé
maniste ? Non. Saint Thomas. On le voit, les scolastiques traitent la philosophie , en philosophes ; et saint Clément dira : « J’app
la philosophie, en philosophes ; et saint Clément dira : « J’appelle philosophie non pas les doctrines des stoïciens, des platonic
de bon dans ces systèmes et c’est ce choix que j’appelle la véritable philosophie . » La Renaissance se trouve donc formulée par l’
. Admirable éclectisme et combien propre à la synthèse ! Théologie et philosophie sont si étroitement mêlées dans les sommes qu’on
Convito, le gibelin cite Boèce et Tullius comme ses initiateurs à la philosophie . Boccace, le même dont les Contes sont si connus,
ursuivons, au milieu de cette église, l’enseignement de la religieuse philosophie de notre Platon. De cette demeure des anges, nous
r ineffable. Marsile réunit les trois formes, croyance, mysticisme et philosophie  ; suivant le choix des citations on le placera pa
gins partout et toujours, il compromettrait son vœu. Nous avons vu la philosophie donner d’abord sa méthode à la théologie, puis s’
construire un poème, de l’orner de fortes images et d’y exprimer une philosophie personnelle : Tout n’est qu’un tas de glaise ;
Il n’y a plus aujourd’hui en présence que l’orthodoxie romaine et la philosophie comparée qui fleurit sous les Médicis. C’est préc
aître en diable ». L’expression suffit à prouver qu’il rejetait toute philosophie . Après l’humanisme qui doit être défini une confl
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 231, 1er février 1907 »
ouvelle, dans la hiérarchie des attributs nouveaux, que la poésie, la philosophie et la science doivent lui assigner. Cependant les
ues qu’il évoque sont ceux que Rome, qui ne créa ni sa religion ni sa philosophie , emprunta aux Grecs, en les transformant selon le
us nos dieux apparaîtront dans la lumière, où la pensée humaine, art, philosophie et science, se sublime dans ses teintes d’aurore
pitre qui dans l’esprit de l’auteur donnerait un congé définitif à la Philosophie . Le style de ce livre, comme de tous les travaux
cet énorme et savant mouvement spiritualiste qui renouvelle toute la philosophie , toute l’esthétique et toute la jeune littérature
6 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
rintemps, et c’est pour cela, peut-être, que toute sa littérature, sa philosophie , son art, contemporains, ne sont encore en grande
l’intérêt fît défaut, mais cela durait depuis bien longtemps). […] Philosophie . Ricciotto Canudo : Le Livre de l’évolution, l’Ho
la vie de l’ouvrier. C’est là, en réalité, la note prédominante de la philosophie de l’art dans Ruskin et le lien qui unit sa philo
minante de la philosophie de l’art dans Ruskin et le lien qui unit sa philosophie de l’art à son évangile social définitif ; elle r
e choisir quarante volumes « types » dans trois séries de livres : de philosophie , de morale, de littérature. Cent dix-sept écrivai
talent d’un créateur (poète ou philosophe, puisque les sommets de la philosophie se perdent dans le ciel de la Poésie), l’autre pa
», ou celles de la civilisation actuelle qui, « sur les décombres des philosophies anciennes, cherche le vrai et qui, au-dessus des
Le seigneur Paul-Antoine Guadagne56, sorti des forêts touffues de la philosophie , vous baise les mains. Le zèle épistolaire de Ga
nnage. Petruccio fait des vers, mais il semble avoir très peu fait de philosophie . Il s’étonne de calamités premières qui n’étonnen
psychologie nouvelle qui seront ensuite codifiés dans des ouvrages de philosophie . Sa force sereine et anxieuse de toutes les volup
, sentie par l’âme contemporaine, sont de la très belle et très juste philosophie de l’art. Les visions du passé, des grandes conqu
térature moderne, entraînée par les courants psychologiques qui de la philosophie et de la science se sont déversés sur elle, sembl
II, numéro 30, 16 décembre 1909, p. 739-746. Note sur le Congrès de Philosophie de Rome. Erminio Troilo : Idee e Ideali del Posit
roilo : Idee e Ideali del Positivismo, Voghera, Rome Le Congrès de Philosophie de Rome, le troisième organisé par la Società Fil
ensée sociologique et historique. Cette confusion toute moderne de la philosophie pure et de la pensée s’exerçant dans tous les dom
, d’examen collectif d’un moment de la pensée. Ce sont les Congrès de Philosophie qui tiennent de nos jours la place des anciennes
t de culture, mais l’aspiration contemporaine à la conciliation de la philosophie avec la science. Novalis avait remarqué que la sé
ophie avec la science. Novalis avait remarqué que la séparation de la philosophie et de la poésie est faite au détriment des deux,
ens kantien du mot, devait porter à une volonté de conciliation entre philosophie et poésie, en même temps qu’entre philosophie et
é de conciliation entre philosophie et poésie, en même temps qu’entre philosophie et science. Cette volonté est déjà suffisamment e
sances spirituelles latines, romaines, les Italiens ne sont point, en philosophie , des créateurs. Mais s’ils manquent aujourd’hui d
et anglo-saxons, si enfin, à l’instar des Romains, ils n’ont pas une philosophie mais des philosophes, il est indéniable que les I
a plus profonde aspiration moderne est celle de la conciliation de la philosophie avec le mysticisme, la création d’une science int
te et neuve volonté de construction religieuse. La conciliation de la philosophie avec la science ne peut que servir partiellement
t éperdument, et où sera en même temps réalisée la conciliation de la philosophie et de la poésie. La revue Cœnobium, qui a posé ce
présenté par M. Troilo, un des plus remarquables représentants de la philosophie positiviste en Italie, contient, de son côté, un
el Positivismo, où le philosophe parle des rapports existant entre la philosophie et. la musique, en se demandant « s’il n’est pas
iate affirmation de puissance de l’Italie philosophique en face de la philosophie mondiale. Mais elles sont assez sérieuses, quoiqu
7 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
e intellectuelle et sociale et par conséquent à notre psychologie. La philosophie en général et surtout la philosophie scientifique
nséquent à notre psychologie. La philosophie en général et surtout la philosophie scientifique, la science en général et surtout ce
uvert des horizons nouveaux à la perception des artistes modernes. La philosophie scientifique et la méthode des découvertes scient
hologie. Toutes les civilisations, toutes les esthétiques, toutes les philosophies n’ont fait que cela, disait justement Remy de Gou
rive du sens direct de la vie que nous possédons par la science et la philosophie scientifique. § Une de mes premières toiles futur
européenne. Ce sont là des pages de tout premier ordre, des pages de philosophie historique. Je ne vois pas le moyen d’user d’autr
t-il pas vrai que cette petite revue de la question belge comporte sa philosophie  ? Vraiment, il est impossible à l’historien de se
l pour lui à ce monde d’étudiants et de dilettantes en philologie, en philosophie et en lettres où se complaisait son existence d’h
e et plébéienne, trop rude et efficace, riche de pathos, et pauvre de philosophie . C’était la rhétorique et le plaqué de tant d’hom
etto Croce le maître des nouvelles générations ; il avait professé sa philosophie et s’en était pénétré. Alors, cette philosophie s
il avait professé sa philosophie et s’en était pénétré. Alors, cette philosophie se serait prostituée comme une femme de la rue, a
glaciales ; et Renato Serra admettait certainement que la place de la philosophie et du Maître était là-haut ; mais les autres, ceu
ieu du sang, et de l’écho des lamentations des blessés, des débris de philosophies et de doctrines, le monde changé et méconnaissabl
oujours debout, et tint le front haut. Cette lamentable victime de la philosophie était un esprit sensible et élevé. Ce que sa situ
grande au point de vue social. Qui osera trouver méprisable une telle philosophie  ? Et qui sait si, là-bas, en luttant contre l’Aut
t d’août, ne songe pas à une conception de l’histoire basée sur cette philosophie  ? Pascoli aime les hommes ; c’est pourquoi sa poé
8 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
Hermas, la Monique évoquée dans la Vie heureuse de saint Augustin, la Philosophie telle que la voit Boèce, Béatrice, — autant d’êtr
durant tout le moyen-âge et son influence sur le développement de la philosophie scolastique proviennent évidemment d’une toute au
r : la conciliation est encore à faire ; ce fut l’œuvre tentée par la philosophie scolastique, — mais Boèce ayant refusé de dire le
e qui, en Italie, indique un grand succès, car en librairie, comme en philosophie , tout ici-bas est relatif. On lui doit encore un
Boethius and the scholastic problem. — Cf. B. Hauréau, Histoire de la philosophie scolastique, t. Ier. 4. Libri e Teatro. Luigi C
9 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
ême précédée d’un piquet de futuristes, célébrant le triomphe de leur philosophie guerrière et la défaite des « passéistes ». « La
que moi-même ! s’est écrié le vieillard, avec un bon sourire plein de philosophie . Quant à moi, il y a deux ans que j’ai définitive
propos d’on ne sait quoi ! Tout commentaire gâterait la merveilleuse philosophie de ces paroles… Lettres américaines. Hobart Ch
e un nouvel art, un nouveau style, une nouvelle science, une nouvelle philosophie , une nouvelle historiographie ; ce nous fut impos
ais nationaliste redoublèrent. Dans un article intitulé le Rôle de la Philosophie et publié dans le Marzocco, M. Gargano prétendit
mporte aujourd’hui et nous ne voulons rien savoir d’autre. — Y a-t-il philosophie plus belle et plus vraie que celle-là ? Et est-il
r cette besogne et je déplore que dans d’autres pays mes collègues en philosophie s’en soient chargés, quand il leur eût mieux conv
ionalistes sectaires de tous les pays. L’élaboration de l’art, de la philosophie , de la science, est la tâche des différentes nati
10 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
a religion se ploie à toutes ces métamorphoses en détermination d’une philosophie de la vie ; philosophie potentielle et cinétique.
utes ces métamorphoses en détermination d’une philosophie de la vie ; philosophie potentielle et cinétique. — Peut-être que Dieu es
11 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
d’esprit qui permet à M. Orvieto de passer tour à tour de l’art à la philosophie la plus abstruse, je le préfère dans son Velo di
i esquisse d’une main franche la vie de l’écrivain, puis développe sa philosophie , c’est-à-dire ses négations, que l’auteur disting
héologie de M. P. Allard recèlent de très remarquables notices sur la Philosophie antique et l’esclavage ; sur les Archives et la B
? Mais l’âme humaine est pleine de mystères, disait mon professeur de philosophie  ; et je suis enclin, pour lui faire plaisir, à cl
péculateur, traitant légèrement les croyances d’autrui, et mettant la philosophie au-dessus du christianisme. Mais on ne peut citer
nnaissances occultes, vivant dans un monde dont il a seul la clef. La philosophie dont la sienne se rapproche le plus est, semble-t
trouver des chemins de traverse et des voies détournées. Pour lui la philosophie devait être quelque chose qui donnât une vitesse
. Personne n’avait jamais porté si loin l’indifférence politique ; sa philosophie avait toujours été de « fuir devant l’orage », il
de voyage, des enthousiasmes pour la France, des réflexions de haute philosophie , des incidents graveleux et cyniques, bien dans l
12 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
x lecteurs d’un journal. L’auteur donne, par exemple, un résumé de la philosophie de Frédéric Nietzsche. Il faut remarquer, en pass
idées se multiplient et dressent un tableau presque complet de cette philosophie étrange et géniale. M. Oliva se borne à résumer Z
rop de cohérence ; sa vie était pure, simple, dévouée, amoureuse ; sa philosophie , égoïste, cruelle, puissante, formidable. M. Oliv
13 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
a douleur, arrivé au sommet calme de la pensée philosophique et d’une philosophie éprise d’un rêve de fraternité humaine de paix, d
t de près dans cette tendance, et d’Annunzio y est arrivé sans aucune philosophie , par de simples affinités esthétiques et extérieu
e lyrisme. Le Leonardo Dans le Leonardo, le seul périodique de philosophie digne d’être lu en Italie, de jeunes philosophes
sitive de son groupe, et quoique la révolte individualiste contre une philosophie mourante ne nous présente pas des caractères phil
ais pourtant de toute l’œuvre de M. d’Annunzio se dégage une terrible philosophie , ou, mieux, une terrible vision philosophique, qu
ise, et il débuta par un livre dont le titre est tout un programme de philosophie scolastique et ecclésiastique : Il Vero nell’ Ord
siastique : Il Vero nell’ Ordine (le Vrai dans l’Ordre). Cependant sa philosophie , surtout celle que son éloquence aristocratique e
xpressions, nous rappelle l’éternité de l’art et la fugacité de toute philosophie , la clarté du fantôme de l’art et le brouillard d
ans son besoin de connaître le sens caché des choses et des actes, la philosophie des événements et des hommes, pour les représente
lles complications esthétiques de la poésie, de plus en plus faite de philosophie et de certitude ; d’autres chantent comme de tout
était le moment où, sous l’impulsion de Lombroso et de ses élèves, la philosophie et la science du droit pénal semblaient se renouv
stèmes ? Quant à l’inconvénient que peut avoir cette conception de la philosophie classique chez les juges, j’avoue ne pas le saisi
a Critica. Naples Dans les Études de littérature, d’histoire et de philosophie (Studi di Letteratura, Storia e Filosofia) que M.
e. Ces idées, que je résume, sont dans l’air ; elles forment toute la philosophie d’une multitude d’esprits qui se croient ou que l
14 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
ce. Les Italiens, qui, pour leur connaissance des littératures et des philosophies étrangères, utilisent généralement les traduction
nde Revue, 10 janvier. Tome LXXXIV, numéro 306, 16 mars 1910 Philosophie Jules de Gaultier. Tome LXXXIV, numéro 306, 16
, l’androgyne, céleste ou terrestre, qui, dans la langue lourde de la philosophie , s’appelle synthèse et qui n’a pas de nom pour l’
upportés notre planète ronde. Il se pose en réformateur, se frotte de philosophie , répond soi-même aux objections, flatte, égratign
s pour toqués, je préfère ceux qui m’amusent à ceux qui me rasent. Philosophie . Benedetto Croce : Ce qui est vivant et ce qui es
osophie. Benedetto Croce : Ce qui est vivant et ce qui est mort de la philosophie de Hegel, trad. par Henri Buriot, Giard et Brière
ge de M. Benedetto Croce : Ce qui est vivant et ce qui est mort de la philosophie de Hegel, dont l’auteur, le représentant le plus
ce a rédigé, au Temps des chroniques d’un humour désenchanté et d’une philosophie souriante et décevante. Critique dramatique sévèr
loin des manifestations par trop bruyantes d’une littérature et d’une philosophie qui se voulaient nouvelles, mais qui subissaient
e Bologne […]. Tome LXXXVIII, numéro 323, 1er décembre 1910 Philosophie . Péladan : La Philosophie de Léonard de Vinci d’a
XXXVIII, numéro 323, 1er décembre 1910 Philosophie. Péladan : La Philosophie de Léonard de Vinci d’après ses manuscrits, Alcan
e 1910, p. 506-511 [510-511]. Plusieurs des chapitres compris dans la Philosophie de Léonard de Vinci d’après ses manuscrits ont pa
a Société et l’Ordre juridique, par Alessandro Levi, professeur de la philosophie du droit à l’Université de Ferrare. O. Doin, édit
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
là. Et de cela, à ce qu’il me semble, il y a deux grandes preuves. En philosophie , la critique des sciences, de leurs méthodes et d
la perpétuité de son internement : il a même à ce sujet une certaine philosophie et dit : « La vie est brève. Fugit irreparabile t
16 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 242, 15 juillet 1907 »
d. Il soigne l’opinion en même temps que son pragmatisme, qui est une philosophie de la volonté, et il nous explique pourquoi il do
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 233, 1er mars 1907 »
iversité de Bologne : « L’Italie, dans la poésie, dans l’art, dans la philosophie , a ressuscité pour l’Europe les idées de l’antiqu
18 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
elle et pourtant vaine de l’homme à expliquer le suprême problème des philosophies , et à scruter l’infini, l’atrophie, la dégénéresc
n d’avant-garde, que se montre toujours, en art ou en littérature, en philosophie ou en sociologie, l’illustre sénateur belge, Edmo
es avait lus, trouva du dramatique, de la rapidité, du comique, de la philosophie , des choses neuves, sublimes, inimitables même) a
é en le mystère de l’Incarnation, à celle qui est devenue l’axe de sa philosophie et le centre de sa morale à lui, l’orphelin d’aut
ent besoin d’avoir pénétré les arcanes du bouddhisme, de connaître la philosophie du Nirvânah, pour goûter ces allégories et les co
19 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
tre l’exposition de ce programme, qui est elle-même une belle page de philosophie générale, — en français : une étude de M. E. Gira
l Savio, une pénétrante étude sur le Bovarysme métaphysique et sur la philosophie de notre collaborateur M. Jules de Gaultier.
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 236, 15 avril 1907 »
igieuses ; c’est la création ou l’extension de revues consacrées à la philosophie religieuse, à l’histoire des religions, à la polé
21 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 247, 1er octobre 1907 »
ui orne comme un cachet mystique le volume, révèle nettement toute la philosophie du poète esthéticien, qui déclare plus loin mépri
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 235, 1er avril 1907 »
t la maison Laterza, de Bari. Elle publie des collections diverses de philosophie et de science, et c’est dans une de ses collectio
23 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
tion cérébrale, la richesse de vos ressources, la profondeur de votre philosophie et votre talent d’écrivain. Il est une petite œuv
vous, vous m’aviez été si utile dans la vie, j’avais puisé dans votre philosophie tant de leçons pour conduire la mienne, j’étais s
es deux siècles successifs on peut retrouver les mêmes malaises. À la philosophie compliquée, impuissante, pessimiste de la fin du
u ait été soumis au catholicisme ou au protestantisme dogmatique ; sa philosophie païenne est essentiellement contraire à l’un et à
(Le Saint, p. 30.) Il sort donc de l’amour païen, comme Faust de la philosophie chrétienne, pour trouver non une doctrine netteme
e se faire à la compagnie des espions et des ruffians, de discuter de philosophie avec Voltaire, de forger d’ingénieuses adulations
de nous en avoir montré, autant qu’il se peut, les complications. Philosophie . G. Matisse : La Pensée répond-elle à une mise en
elque prix. Il se trouve que c’est justement cela, ces dames étant la Philosophie , la Musique, l’Astronomie, la Grammaire, la Rhéto
italienne », cultive aussi la peinture, la poésie, et « s’adonne à la philosophie par amour des hautes pensées ». S’il a tant de co
n Italie : elle s’est occupée aussi, et avec ardeur et compétence, de philosophie , de politique, de questions pratiques. La Voce a
n’avait rien à dire… Tome CVI, numéro 395, 1er décembre 1913 Philosophie . Memento [extrait] Georges Palante. Tome CVI,
24 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
t vers l’avenir, et les raisons en sont multiples. Rome n’a pas eu de Philosophie et ses excellents poètes n’ont pas pu créer une P
es harmonies extérieures, pour qu’elle ait pu créer une religion, une philosophie et un art. Pour les hommes elle ne devait créer q
ligion. La musique, compliquant de science son expression et de haute philosophie ses conceptions, sera la grande manifestation rel
s explorateurs. Wells appartient à cette catégorie de mystiques de la philosophie ou de la science — non du sentiment — qui se mani
Frenzi, contient au contraire une vision de vie contemporaine, qu’une philosophie alerte et claire, une grande sûreté de jugement e
bsolu de sens philosophique chez l’auteur. Si M. Scipio Sighele a une philosophie , elle est surannée et populaire, donc elle n’en e
ls d’Ahriman, diraient les Perses, pour lequel la religion, l’art, la philosophie , ne sont que des bulles d’air dans ses alambics a
25 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
traînent aux innovations18… » Telles sont les vues de Lombroso sur la philosophie de l’histoire ! Ainsi l’homme médiocre est procla
Robert ? Là, fut donnée à Frago, qui n’avait aucune culture, toute la philosophie de son art. Aux brillantes qualités de nature qui
et sainte garde ! Tome XXXVI, numéro 132, 1er décembre 1900 Philosophie . La philosophie de H. Taine, par G. Barzellotti,
Tome XXXVI, numéro 132, 1er décembre 1900 Philosophie. La philosophie de H. Taine, par G. Barzellotti, traduit de l’ita
ui finit, inachevée, avec les Origines de la France contemporaine. La philosophie de Taine, et par là nous entendons le système lat
qu’on la rattache à sa conception de l’histoire. L’idée qui domine la philosophie et la critique de Taine, conclut M. Barzellotti,
26 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
e la science positive physiologiquement contrôlable, l’arrachant à la philosophie pure. Mantegazza voulut toujours rester poète. Et
, et il fait des bêtises communes à tous les amoureux. Seulement, une philosophie tendre, dont les amertumes se sucrent de tout le
e XC, numéro 329, 1er mars 1911, p. 171-177 [175]. La Bibliothèque de Philosophie scientifique s’est enrichie d’un volume qu’on ne
matiques ou plaisantes, afin de me divertir, car il comprenait que ma philosophie et ma résignation étaient parfois sans vertu, con
os cervelles abandonnées, à ce que je vois, et peu entretenues par la philosophie . Transformez-les en bouquets de roses ! Les dieux
ico jusqu’à nos jours, sur la question de la plèbe romaine) ; […] Philosophie . Memento [extrait] Georges Palante. Tome XCI,
ques un peu sévère comme tenue, mais dénotant une belle érudition. Philosophie . Memento [extrait] Georges Palante. Tome XCII,
en l’épuisant, une des thèses les plus passionnantes qu’alimentent la philosophie et la mystagogie de la Renaissance. Il bat en brè
vous apprendra beaucoup de choses, il vous donnera même des leçons de philosophie à l’usage des vieux Messieurs spirituels qui n’on
nt documentée. L’auteur a travaillé dans les archives du Vatican. Philosophie . Benedetto Croce : Philosophie de la Pratique, 1 
illé dans les archives du Vatican. Philosophie. Benedetto Croce : Philosophie de la Pratique, 1 vol. in-8, 7,30, Alcan George
n’admettrait pas la logique affective de M. Le Bon. En effet, dans sa Philosophie de la Pratique, il supprime, un peu arbitrairemen
27 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
aria du 10 février revient sur l’inquiétant iconoclaste et analyse sa philosophie sans dénigrement, mais sans enthousiasme, reconna
28 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
ses C’est un panthéisme emprunté à la conception grecque de Géa, à la philosophie réaliste de Lucrèce, à la poésie bucolique qui no
29 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
ait d’être surtout théorique et d’accomplir dans la morale et dans la philosophie courante bourgeoise, idéaliste — la même révoluti
plus vaste que le fini, puisqu’il le contient. Platon. Il y a dans la philosophie beaucoup de mystères qui ne sont ni dans le ciel
pourquoi plus on en possède plus on s’avoisine à Dieu. Rothschild. En philosophie la chose la plus difficile n’est pas de trouver l
s Lettres. Chaque Faculté comprendra les chaires suivantes : trois de philosophie , une de pédagogie, deux de philologie classique (
avec certaines équivalences admises, spécialement pour la section de philosophie . Pour enseigner dans les Facultés, il faudra pass
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
vres. On sait quelle importance Voltaire attribuait aux lettres, à la philosophie et aux beaux-arts dans le développement historiqu
31 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
ée de la vie comme rêve et illusion à travers les littératures et les philosophies anciennes et modernes, depuis les Chinois jusqu’à
4-315]. Edmond Perrier : À travers le monde vivant, Bibliothèque de Philosophie scientifique, E. Flammarion, 3 fr. 50 Sous ce
et le côté moral, entre l’organisme et ce qu’on appelle l’âme. Toute philosophie tendant à séparer le corps de l’esprit est anti-s
r tout ce qu’on avait le droit d’attendre de lui. Après des essais de philosophie et d’histoire religieuse — il avait appartenu au
32 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
s fort par son manque total de principes généraux, d’esthétique et de philosophie , Carducci détesta le poète sicilien qui n’était q
c le nom du propriétaire de la barque, quelque maxime empruntée à une philosophie sensuelle ». Et M. Jal traite sans ménagement les
ns cesse grandissante les efforts du nationalisme ne peuvent rien. Philosophie . Almanach du Cœnobium de 1912, Lugano, Édition d
té, comme les moyens employés pour sortir de sa prison des Plombs. Philosophie . F. T. Marinetti : Le Futurisme, 1 vol. in-18, 3 
ulée en 1830 par Étienne Geoffroy Saint-Hilaire dans ses Principes de philosophie zoologique, mesurait parfois aussi un balancement
’action de Rousseau a engendré, comme l’a établi Harald Höffding, les philosophies de Kant et de Comte et des successeurs du premier
ifique. E. Rignano : Essais de synthèse scientifique, Bibliothèque de philosophie contemporaine, F. Alcan, 5 francs Georges Bohn.
33 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
s nous offre ses souvenirs (Ricordi d’infanzia e di Scuola) pleins de philosophie et de bonté ; et M. Luigi Zoppis raconte dans un
34 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
censure italienne, et où l’auteur étudie curieusement l’influence des philosophies du Nord sur l’âme des races latines. On souscrit
35 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
stes quelques pages intenses, rares et vraies, d’une noble et logique philosophie et d’une pure beauté littéraire. Il y a là la sub
36 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
MM. Lazzari et Serrati continue imperturbablement ses discussions de philosophie sociale13… Il est donc difficile de parler de com
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