ace, Gabriel d’Annunzio s’efforce de justifier l’unité absolue de son personnage , par un langage pratique plein de beauté. « Je cr

r le poème comme poème ? » D’Annunzio peut faire répéter à un de ses personnages le mot de Novalis : « La poésie est le réel absol

lus que l’amour, la volonté poétique de d’Annunzio est trahie par les personnages , qui ne savent pas « inventer leur vertu » pour v

ienne, qui mêle le vers à la prose, selon les mouvements de l’âme des personnages . On a traduit indifféremment en prose Shakespeare

accorder aux différentes expressions du sentiment humain. Lorsque les personnages s’élèvent à des manifestations très nobles, très

ils peuvent s’exprimer, ils ont le talent de présenter une idée ou un personnage quelconque. C’est, à sa première vue, une démonst

tout lecteur est en droit d’attendre. Je peux croire qu’il s’agit de personnages de roman ; je peux croire qu’il y a là quelque év

anger là-dessous, pour l’Italie ; l’odeur d’encens nous offense ; les personnages de M. Fogazzaro sont trop enclins à la sacristie 

puis longtemps. Dans la ville même des Atrides, Mycènes, il anime des personnages contemporains, et, reprenant la composition austè

cette composition régulière et ce style lyrique conviennent-ils à des personnages aussi complexes que ceux de la Ville morte ? La r

t de Léonard ; et comment garder une attitude constamment calme à des personnages tourmentés de sentiments contradictoires ? D’aill

égende d’Io. Auprès d’elle, Mlle Blanche Dufrêne a bien interprété le personnage de Blanchemarie ; elle a été dramatique, et a su,

nant quand même. Il y a beaucoup d’action dans ses compositions ; ses personnages , qu’il modelait en terre et revêtissait d’étoffes

ila ; il le compare à Jules César, en concluant que celui-ci était un personnage respectable (voilà un compliment assez curieux po

squin, gauche et tragique, ce pauvre vieillard ; M. Ojetti a vécu son personnage . Peu à peu, par cette réaction naturelle des pens

imple dans son exposition, mais efficace et communicatif. Il suit son personnage pas à pas, il nous donne des renseignements sur s

ste, mais il faudrait être assez païen pour constater que rarement un personnage a su disparaître si à propos de la scène, à l’heu

excès de violence, s’abandonnait à un excès de douceur, imaginant des personnages naïfs et poétiques, pèlerins égarés d’un monde ir

on a été d’ailleurs parfaite ; la scène était fixe et en relief ; les personnages portaient les masques grecs. Je ne comprends pas

incarnation non encore démodée, assure-t-on, de l’Infâme capital. Ces personnages nous sont montrés constamment, quoique purement é

déniable, le sens du mouvement, mais cette bousculade perpétuelle des personnages , des thèmes, des tonalités et des instruments où

taille et les coups de feu réclamaient toute l’attention, et ces deux personnages sur l’avant-scène paraissaient des intrus dont le

nazionale constitue désormais, à Rome, un centre intellectuel, où les personnages d’élite ne manquent pas de s’arrêter à leur passa

igue est assez curieuse et non sans gaieté. Mais c’est surtout par le personnage de frère Timothée que vaut La Mandragore : ce moi

très puissant effet. Les mots vrais y abondent, et les sentiments des personnages y sont très fortement observes. Il s’en faut de p

de l’amour, du talent, du dévouement des autres. La physionomie de ce personnage résulte à travers les scènes vives et réelles qui

aolo, Giovanni, tels qu’il nous les montre, ne sont pas de ces vagues personnages qui ne débitent que de pâles métaphores, inutiles

euse, et toujours imprudente. Paolo est un amoureux farouche. Mais le personnage que Marion Crawford a le plus curieusement dessin

réaliser, la tentation était grande de multiplier les tableaux et les personnages  ; il a eu l’art d’y résister, et Francesca da Rim

t pas le courage — peut-être pas la force — de la franchise. D’autres personnages bien intéressants nous sont présentés par M. Four

dire que le défaut de cette tragédie historique est la froideur. Les personnages , parfaitement stylés, n’offrent probablement à la

c’est de vivre la vie qu’on me présente et de frémir aux passions des personnages qu’on me fait défiler sous les yeux. Si je ne sav

d’ailleurs à soi-même par le tumulte et la variété des épisodes. Les personnages formidables vivent d’une vie énorme et monstrueus

t s’historie de mèches brunes et blondes. Il y a dans ces deux petits personnages ailés quelque effort vers la grâce et voire la jo

élément plastique, la composition, aussi l’existence individuelle des personnages , en dehors et au-dessus de l’idée qu’ils devraien

a point là davantage de divinité, malgré l’aspect très noble des deux personnages et leur double auréole. Au contraire, chez le Fla

est heureux, et Le Triomphe vaut la peine d’être connu. Le principal personnage en est, physiologiquement et moralement, étudié a

la pièce de M. Butti élaguée de tous ses détails et de bon nombre de personnages . C’est cette pièce qui, représentée il y a quelqu

de l’homme, la vie du temps en sa variété et son pittoresque, en ses personnages nombreux et singuliers. La figure principale n’en

rop tourmenté ; mais l’expérience de la vie, la mesure, le dessin des personnages , le développement sobre des scènes y sont complet

s doute, la vision telle que M. Boïto nous la donne, la vision de ces personnages et de ce monde, de cette heure vague, de ces jour

tife, étant exclusivement réservé aux souverains régnants, les autres personnages devaient se contenter d’une chaise à dossier bas

rennent un plaisir fou aux aventures mi-religieuses mi-politiques des personnages du roman de M. Fogazzaro. Il doit y avoir tout un

l’arrivée au pouvoir de Cavour, et en outre il contient, tant sur les personnages de cette période que sur quelques princes antérie

espoirs sur le bruit irrévérencieux que la découverte successive des personnages vrais produit autour d’une œuvre ; tapage d’un jo

ites qu’il faut reconnaître à l’auteur. Dès les premières scènes, les personnages montrent leur physionomie : nous avons parlé du R

l retient les ministres et les officiers et, devant sa famille et ces personnages réunis par une même douleur, le Roi Othon III de

le est un trait que rien ne justifie et qui fausse le caractère de ce personnage , jusqu’ici remarquable et, par certains côtés, sy

la simple lecture d’un drame qui devrait être joué et vivifié par les personnages , trompe mon œil ; d’ailleurs, en matière de criti

poison des plus efficaces, ou il finira par faire parler français ses personnages romains. Dans Miraggio, M. Lucio d’Ambra racontai

n. Le roman de M. Lucio d’Ambra est dédié à M. Hugues le Roux, et ses personnages lisent les livres de MM. Margueritte, admirent Ve

qui coûta la vie à Ferdinand Lassalle. On retrouve dans la pièce ces personnages , Mlle Hélène Donniges, son fiancé Janko Rakovitz

es facultés précieuses de psychologue. La pièce est bien taillée, les personnages peints d’une main heureuse et sans hésitations ;

Reszké suffirait à convaincre le plus incrédule. Chargé d’incarner le personnage sympathique du drame, le noble ténor a cru devoir

es) il a développé un drame passionnel dans un milieu littéraire. Ses personnages sont des hommes de lettres italiens bien connus ;

Il n’y a pas besoin d’insister pour faire comprendre que cette pièce, personnages à part, est suffisamment scabreuse et discutable

ablement fraîche et amusante, les détails sont souvent délicieux, les personnages envisagés avec un humour caractéristique. Il ne s

avait déjà examiné une centaine des allusions que fait Casanova à des personnages bien connus, démontrant la parfaite exactitude de

la préface du Dr Guède : « En 1899, la lecture d’articles sur un des personnages des Mémoires de Casanova, que je travaillais depu

en mains, comme casanoviste, ses notes nombreuses et inédites sur le personnage , M. Ch. Henry, que des préoccupations scientifiqu

age violâtre et celui en tournesol de clarté chair, immédiatement les personnages se haussent et ne sont plus réduits à l’humilité

raine, de celle que seule nous pouvons accepter sous ce nom. Mais ses personnages aussi se retrouvent étonnés et affaiblis devant l

uement d’une série de petits tableaux, desquels toute l’existence des personnages se dévoile jusqu’à la -catastrophe, et entre lesq

. Il s’approche ainsi des conceptions collectives eschyléennes, où le personnage était une collectivité, unanime dans la douleur e

e chez ceux-ci, et comme chez d’Annunzio même dans la Ville Morte, un personnage , le personnage principal et gigantesque du drame.

et comme chez d’Annunzio même dans la Ville Morte, un personnage, le personnage principal et gigantesque du drame. La nature dans

vient digne de la tragédie qui s’y déroule, si l’on voit le véritable personnage du drame, Dionysos instigateur : la soif inapaisa

du chœur soit dans le milieu et dans la nature environnante d’où les personnages se détachent pour agir devant l’âme des spectateu

détachent pour agir devant l’âme des spectateurs. Et il faut que les personnages se révèlent devant l’âme des spectateurs plus que

dain le « Secentismo ». M. Francesco Picco réunit dans son volume les personnages les plus divers et les plus caractéristiques du g

e daignerait pas de rire de lui (Page 324). Vous conviendrez que ce personnage n’est pas mal inventé pour un pays gouverné par u

n des plus féconds de l’espèce, étudie pêle-mêle, dans un volume, les personnages principaux de l’œuvre de M. d’Annunzio, d’Eugène

assez heureux, car cette critique scientifique porte surtout sur les personnages littéraires dont la vie peut être facilement géné

cer pour la gloire de l’homme auquel elle a voué sa vie. Le troisième personnage est le grand anneau de conjonction entre les deux

ndiquer sont si complètes que son œuvre en est toute parfumée. Et les personnages qu’il y met sont parmi les plus puissants qu’on a

it la dédicace. Enfin il dresse avec grand soin une liste de tous les personnages influents à qui l’on enverra son livre ; pour pré

ce point, c’est qu’elle fut propre entre toutes, par la condition des personnages , à passionner et à agiter la société italienne. C

son côté, sans d’ailleurs trop de science ni de subtilité, contre le personnage principal de la pièce et contre son créateur. Le

reste froid et il a tout le temps de discuter inconsciemment avec le personnage qu’il a devant les yeux, il a tout le temps de se

ante, et c’est pour cela que le public a protesté en s’en prenant aux personnages du drame. Mais il est absolument hors de propos d

versant la vieille Naples si étrange et si pittoresque : les éminents personnages dont j’ai parlé ont démissionné, ayant achevé leu

’Annunzio est donc véritablement une tragédie catholique ; les autres personnages , les véritables personnages du drame, les protago

ment une tragédie catholique ; les autres personnages, les véritables personnages du drame, les protagonistes de l’action tragique,

lique du drame, ne suffit pas à déterminer la fatalité catholique des personnages . Ce chœur, qui n’est pas grec, forme avec les ext

façon déterministe, je dirais presque métaphysique, la raison de ses personnages . On ne doit pas, par exemple, faire intervenir un

de ses personnages. On ne doit pas, par exemple, faire intervenir un personnage (Lazaro) comme une avalanche, uniquement pour pré

oète se sert d’une langue particulière, d’un italien méridional ; les personnages sont donc placés dans un milieu trop précis pour

de Maeterlinck. Et pourtant, quoique dans un milieu précis, tous ces personnages restent imprécis dans l’humanité. On attend en va

omesse d’avenir. Le style, c’est-à-dire la simplicité synthétique des personnages qui se meuvent dans leur plus simple élément et s

Renaissance est analyse et décoration. Partant, chez d’Annunzio, les personnages sont parfois unis dans un cercle dramatique, mais

[622-623]. On garde de la Gioconda une assez étrange impression. Les personnages que Gabriele d’Annunzio s’est plu à décrire dans

lus sublimes ou se déshonoreront par les crimes les plus curieux. Des personnages qui, même aux heures de violence, ne se reconnais

ton qu’il prête à leurs discours, on sent qu’il prend au sérieux ses personnages . Il les croit tous très malheureux, il s’imagine

aire une œuvre simple, à présenter, dans une action rudimentaire, des personnages durs et frustes. Et ne serait-ce pas, après tout,

le veut, est d’une extrême subtilité. Et il en va de même des autres personnages . Seul, peut-être, Lazaro di Roio est sauvage avec

onter la Fille de Jorio. Mme Suzanne Després a été fort belle dans le personnage de Mila di Codra ; M. Saillard a joué Aligi avec

suivent les Poèmes, s’attarde-t-il à remercier une foule d’honorables personnages qui ont eu surtout l’honneur de lui inspirer quel

ns aucun effort, avec une aisance parfaite, Mme Eleonora Duse vit les personnages les plus divers. Il ne semble pas qu’elle soit en

ieu. Le cadre est toujours le même pays sauvage et puisant. L’âme des personnages est toujours la même. Mais les manifestations de

ersité maladive se retrouve d’ailleurs dans la mimique exubérante des personnages , qu’il dessine avec une sûreté si dégagée… « Ce q

n de Constantin, ne sort pas du giron ecclésial. Toutefois un nouveau personnage entre en scène et prend une place sans cesse agra

entre dans le domaine temporel, comme celle de Cromwell. Il a joué le personnage du moine ivre de textes avec une telle arrogance

âme forme le corps. Cette idée provient d’une remarque de métier. Les personnages d’un peintre ont entre eux un air de famille et r

ie des mondes. Le Vinci a laissé des fables qui ont les éléments pour personnages et où il développe le même thème de la dissociati

stique voit en lui-même, une version d’immortalité qui transporte les personnages du passible à l’impassible au même sens que l’Égl

es dans l’ombre par galanterie, a pris le soin de toujours nommer ses personnages , avec une indépendance et souvent un courage qui

fre, la grande couleur locale qu’on y trouve. On voit sur la scène un personnage de jeune paysanne hystérique qui se livre en tout

es rapides, pressées, aideront à compléter la physionomie de certains personnages . Il écrit sur Lannes : « Brave des braves, jeune,

ère de Florence, la Décollation de saint Jean-Baptiste 10. Encore les personnages qui le composent se trouvent-ils tous à peu près

e sait donner une finesse qui nous touche mieux que celle des sveltes personnages de Botticelli, dont les visages cependant sont am

i assez malfamé de Richelieu, à l’ambassadeur Particelli d’Hémery. Ce personnage fut de bonne heure calomnié dans son rôle d’ambas

page tend son casque. L’allure pleine d’orgueil et de mâle énergie du personnage , où certains ont voulu voir Alphonse d’Este, duc

que l’adaptation d’une tragédie d’Alfieri présentait des scènes, des personnages , des situations, auxquels l’étrange poète piémont

s soulagements de la vis comica, que l’Anglais offrit largement à ses personnages . Saül ne sourit jamais. Il n’a jamais l’emporteme

que sorte, ou tout au moins sans modifier sensiblement l’âme même des personnages et la signification de leurs attitudes tragiques.

oderne considère définitivement comme un drame de passion à plusieurs personnages et non plus comme un monologue prophétique, se dé

dit très bien que Maria ne devait pas seulement jouer pour Boccace le personnage de Laure, mais aussi celui de Béatrice « puisque

me et une femme nus, d’une vérité brutale ; à la même date, les mêmes personnages , dans la fresque de Masaccio au Carmine de Floren

École d’Athènes se font face et se reflètent mutuellement. Combien de personnages passeraient d’une fresque à l’autre, sans en alté

et littéraire ne ressuscite pas sans montrer ses institutions et ses personnages  ; la comparaison historique en étendant l’horizon

s pages pour justifier. Léon X entre Bibiena et Bembo ne tient pas le personnage sacerdotal, tel que le veut l’exigence légitime :

l’intolérance jaillit à chaque ligne ; le diable joue dans sa vie un personnage vraiment anachronique ; sa critique du catholicis

eux divers de l’ombre et de la lumière, de la lune et des étoiles les personnages de ce qu’il appelle des « Petits drames de lumièr

Dixième journée, inspirée de Boccace, du moins quant au décor et aux personnages , met aux prises deux adorateurs d’une même beauté

enise de Véronèse ? Il va passer. Ici encore la magie du décor et des personnages lui est indifférente. Ni les canaux bleus, ni les

allot était particulièrement difficile. Callot est maintenant un gros personnage  : il y a beau temps qu’il est revenu, lui aussi,

u fond, l’horizon très reculé des montagnes, basses sous le ciel. Les personnages , aux gestes malheureux, sont lourds, épais, noirs

litante, l’obligation internationale de signaler les déplacements des personnages les plus dangereux, l’envoi aux manicômes de tous

n abonde-t-il en pages psychologiques, la bonne représentation de ses personnages devient presque impossible ; offre-t-il, au contr

is excessive, des effigies de ses protagonistes et de quelques autres personnages dans la même page33. C’était compliquer la besogn

ébauches, ont le charme de croquis enlevés d’un trait preste. Maints personnages exhibent des têtes significatives, mais c’est sur

de créer du monstrueux. C’est encore et surtout par l’arrangement des personnages et des masses qu’intéressent les compositions du

femmes symbolisant les vertus. D’autres vieillards vénérables et des personnages diadémés de fleurs ferment la marche. La tête de

ur, Botticelli a triomphé toutes les fois qu’il a dû grouper quelques personnages ou mettre en place des légions, équilibrer des li

e secrétaire de la légation, de 1826 à 1828. « Il avait affaire à un personnage fort curieux, le comte Vittorio Fossombroni, cons

nce la confiance absolue dans son peuple, comme si ce peuple était un personnage bien connu, toujours le même, indissoluble, sans

ls ne pouvaient manquer de produire une impression profonde. Tous les personnages , assez nombreux, ont leur physionomie. M. Butti e

p. 307. 31. On a l’ébauche du motif XXXII qui devait représenter les personnages vus sur les feuilles de la rose mystique, la mili

S. Bernard, chargé de faire connaître au poète les principaux de ces personnages . 32. Botticelli (Sandro di Mariano Filipepi) véc

ser derrière la personne posant, par un procédé particulier, un autre personnage très vivant, dont on devinait les linéaments du v

es par l’écrivain est au moins douteuse, qu’il ne fait pas mention de personnages avec lesquels certaines pièces trouvées par lui é

tures de la société de son temps, tableaux admirablement dessinés, de personnages bien mis en scène et bien vivants sous sa plume,

utre phrase, un peu plus explicite, de l’abbé Fulin qui vise déjà les personnages . Le critique lisait son travail Jacques Casanova

royait que non seulement c’était un roman, mais que l’auteur était un personnage idéal, découvrent de singuliers documents. Les un

Casanova et qui est le plus capable de l’expliquer. Il a réuni sur le personnage un dossier considérable qu’il se décidera peut-êt

un jour à distiller. Ce serait important. Je range Casanova parmi les personnages pierre de touche. Selon qu’on se plaît ou non ave

ans l’inépuisable Dépêche. On y trouvera, je pense, la preuve que les personnages des Mémoires sont bien des personnages historique

a, je pense, la preuve que les personnages des Mémoires sont bien des personnages historiques : Casanova laissa au château de Dux,

de femmes encapuchonnées, le mouvement vigoureux, ardent de tous ces personnages . Devant la Danse du Pan-Pan à Monico, il est impo

hôteliers, guides, cochers, marchands de curiosités ou de souvenirs, personnages d’une honnêteté très relative, obséquieux et peu

r le triomphe des arrivistes et des brasseurs d’affaires, de tous ces personnages louches qui apparaissent à l’heure du triomphe et

i les plus faciles à composer, car il existe un véritable « musée des personnages  » où la littérature des amours provinciales a gro

: Aia Madama, La Scolastica Editrice, Ostiglia Nous retrouvons ces personnages dans le recueil Aia Madama de M. Tommaso Monicell

révèle mal, dans ce sens, au milieu des contingences qui remuent les personnages de ses nouvelles. Une poésie large et sûre, émue

n véritable poète, à la sensibilité touchante quoique monotone, et le personnage principal du récit semble être vraiment la Romagn

ais c’est votre affaire. Je laisse donc à leur coupole respective les personnages dont parle à ce propos M. Mesnil : M. France à la

us nombreux dans l’édition française ; y trouvent place aussi plus de personnages qu’on ne rencontre pas dans l’édition belge. On s

qu’elles peignaient si bien la puissance intellectuelle du singulier personnage qu’est Casanova. Nous nous proposons d’étudier ic

nom de Ricla dans l’édition Garnier qui, en plus, fait apparaître un personnage nouveau dont nous n’avons pas encore prononcé le

et il le retrouvera », avait dit la pauvre Charlotte. Connaissant le personnage , nous n’avons pas à nous préoccuper si le drôle y

tait pas possible d’y retrouver trace du passage de l’aventurier, des personnages dont il cite les noms et de son emprisonnement da

n dans la tour et le rôle du comte de Ricla. Quand nous arrivâmes aux personnages auxquels le voyageur avait été présenté, se trouv

Roman nous offre un témoignage significatif bien que complexe dans le personnage d’Alissa comme Précieuse (la Porte Étroite) ; de

ns lesquels on voit partout l’ombre du spectateur s’étendre entre les personnages et leurs actes ; de là, dans les beaux-arts, plus

sentiment gradué sur les physionomies, voilà la tête de son principal personnage  ? Nous ignorons si le silence de ces deux grands

ns la campagne romaine, le Poussin, en prêtant à celui-ci le goût des personnages , en permettant ainsi à son compagnon l’expression

lièrement, de ses surfaces. Tandis que l’attitude conventionnelle des personnages — d’une convention qui recouvre, bien plutôt qu’e

e Vinci (je choisis ce nom, pour ne pas les humilier… et parce que ce personnage compliqué a fait la Joconde en série). D’ailleurs

la plus inattendue, deux figures humaines des plus opposées, deux des personnages les plus contraires de la littérature italienne,

octobre 1912, p. 879-884 [882]. […] Autres recherches de grâce : les personnages lestes et colorés de comédie italienne de Brunell

ées à la même famille, était admirable. La Passion compte trente-cinq personnages masculins et dix femmes. Mais les chœurs aussi on

où l’artiste a mis à nouveau tous ses dons de caractériste. Tous ces personnages sont accompagnés de leur chien familier, et c’est

science absolue du clair-obscur y sont réunies. J’ignore quel est le personnage représenté, sans doute un ami du Cardinal del Mon

a toile du musée de Rouen, le délicieux Château dans un parc avec ses personnages comme seul Guardi sait les traiter, nous sommes s

déborder par l’immigration des miséreux d’Italie. On y constate en le personnage d’Emmanuel, type moyen de notre ouvrier, avec ses

dos, Mariéton, — l’auteur qui, certes, a le mieux analysé et pesé les personnages du roman de Venise, — murmurait, ou à peu près :

e renouvelle son imprécation contre Aphrodite. Car c’est Aphrodite le personnage principal de la tragédie, l’aspect du Destin, « V

que, par la mâle rigueur de ses héros, mais dans sa tragédie les deux personnages dominent également. Il les représente avec la mêm

vant la mort et dans la mort. Les épisodes multiples racontés par les personnages sont du plus haut lyrisme. Le public italien en a

e place notre récit, c’est-à-dire, vers le milieu du xvie  siècle, le personnage qui portait le titre et exerçait les pouvoirs de

grandes et les petites nouvelles, quelles fêtes s’y donnaient, quels personnages de marque on y recevait, si un tel brûlait toujou

te à Mlle de Lers, tout heureuse de l’honneur que lui fait un si haut personnage . Ce fut toute une affaire que de mettre le cardi

chercha par la ville, chez Javon49, chez Brancas50, tous deux grands personnages . Enfin notre Portugais dénicha un manteau bordé d

à Mantoue comme à Paris, un homme heureux ou même simplement un grand personnage . Petruccio fait des vers, mais il semble avoir tr

ne qui vit l’Ancien chercher dans l’âme de ses paysages, l’âme de ses personnages , frémit en vain autour du pauvre paysan courbé su

s l’art primitif italiens. C’est une excellente étude de l’époque, du personnage et des œuvres très nombreuses qu’il s’est trouvé

ment étudiée dans quelques attitudes, et non par la vie intégrale des personnages , par un instantané enfin — et la plupart des roma

t et sûrement l’action psychique qu’il veut montrer, et chacun de ses personnages passe devant nous sévèrement habillé de sa « véri

anité moderne : la bourgeoisie industrielle et riche. Dans Farfui, le personnage central est un enfant. Celui-ci existe avant sa n

d’indulgence. Il n’était pas facile de retrouver les noms de tous les personnages , souvent fort obscurs, qui ont été plus ou moins

zuti était alors archevêque d’Avignon. N’est-ce pas une allusion à ce personnage  ? 44. Le prieur de Lombardie, Carlo Sforza, dont

e, quelquefois trop sec, nous présente une histoire passionnelle. Les personnages bien dessinés ; les positions claires et logiques

uerriers asiatiques et ces orientaux, exécutés évidemment d’après les personnages de la suite : rien n’est plus curieux que ces fou

u. Ses tragédies, on ne les voit pas ; on les entend raconter par les personnages , et quoique ces personnages parlent souvent une l

voit pas ; on les entend raconter par les personnages, et quoique ces personnages parlent souvent une langue admirable, ils n’arriv

ais dans le monde politique aussi. Une interprétation malheureuse des personnages de la Gloria, qu’on a crue une tragédie à clef, a

s faits et la conclusion des incidents dans lesquels apparaissent les personnages . Rozez donne des histoires ridicules qui semblent

n donne un à Musette, et disperse notre attention sur tous les autres personnages non moins célèbres du roman : Phémie, Schaunard,

ort d’analyse, ils se laissent entraîner dans la ronde épileptique de personnages dont l’outrance semble la vie normale. Ils senten

tue sa rivale. Dans un ier  acte pittoresque, M. Nicodemi a situé ses personnages de façon charmante ; dès que le drame s’engage, i

Farnesine, certes il est plus beau que ses modèles, plus beau que ses personnages , parce qu’il est androgyne. Il a la douceur des t

oire des costumes romains, avec une série de groupes en cire, anciens personnages habillés suivant les données fournies par l’arché

ment, de folie et de mort. Le sens ambigu de l’œuvre est sur tous les personnages , sur tous ces agonistes, indomptables, mais dompt

logique, reste dans une zone intermédiaire, décrivant les actions des personnages choisis, en en donnant les explications. Une autr

roman, d’Annunzio cherche moins que jamais à nous « représenter » un personnage  ; il ne fait qu’évoquer des forces humaines en lu

eils bonds ? » Mafarka m’a produit l’effet des Chants de Maldoror, le personnage qui joue du piano les doigts gantés de sang. Ça n

r Teodoro Correr d’Alessandro Longhi lui-même : ce sont des études de personnages , de vêtements, de détails caractéristiques, et pl

 : si la composition chez Pietro Longhi est toujours parfaite, si les personnages sont admirablement groupés dans les attitudes les

iffeur ; là le maître de danse qui montre un pas ; ailleurs encore un personnage masqué, un cavalier, un médecin, une vieille dame

. Quelque chose du caractère même de tous les Siciliens était dans ce personnage de Malia, de M. Capuana, qui s’élançait, plus qu’

er et que le sourire s’est figé tout de suite sur les lèvres de leurs personnages . Un seul a pu se moquer, sans cesser d’être ému,

n que, dans ces vingt minutes de dialogue, il a fait exprimer par ses personnages tout ce que nos contemporains peuvent dire, peuve

, un amour gradué et humain. « Le climat de Venise, s’exclame un des personnages , mais il est excellent. Le mal qu’on en dit est f

et de contraste, d’accord entre le caractère des timbres et celui des personnages . Il faut même ajouter que, déjà, dans le dialogue

s au « réformateur de l’opéra », Le chevalier Gluck, en somme, fut un personnage assez compliqué2. Il jouissait d’une âme ardente,

ur du cantabile, la carrure trop « musicale » de la phrase isolent un personnage du drame qui l’entoure et, malgré les velléités —

ettant eu vain les beaux jours où tout en elle dormait. Le profil des personnages est sûr et exact ; la psychologie des âmes et de

es nouvelles de la Pescara ont pour cadre la province de Chieti, pour personnages de grands seigneurs, des bourgeois, des paysans o

piètres amoureuses, Maupassant fait dire assez joliment à l’un de ses personnages  : « Ma femme est charmante, provocante, seulement

se heurte à l’incrédulité hostile du village entier. Alors, comme le personnage de Maupassant, la vieille s’en va de tous côtés,

ement compromis par l’exaspération de la fièvre théâtrale, et que les personnages des fictions romantiques sont de plus en plus bou

les et cordiales. Il observe avec soin et fait parfaitement vivre ses personnages  ; si ses procédés sont quelquefois un peu factice

nsidère désormais tel qu’un chef-d’œuvre ; elle est puissante, et les personnages y atteignent des proportions plus grandes que nat

it.) La révolution de Thermidor y tient la plus grande place, mais le personnage de Robespierre y joue un rôle scrupuleusement his

du sénateur Fogazzaro ne semble rencontrer que de l’indifférence. Les personnages de l’écrivain sont toujours les mêmes. Ils porten

xercer sur quelques esprits, nous montre davantage la faiblesse de ce personnage irréel et inintéressant. Nous ne saurions nous ém

fécondité. Ici, les estropiés, les infirmes, les êtres difformes, les personnages bizarres sont légion. Il y a ici une végétation d

la chevelure blonde, de gros bouquets de fleurs en papier, des petits personnages pour les crèches de Noël, des flambeaux et lumina

ce, et cela d’une façon frappante, c’est la réalité psychologique des personnages  ; on croirait que le poète imagine des situations

le poète imagine des situations et qu’il y fait arriver d’emblée des personnages . C’est évidemment abusif : les situations devraie

if : les situations devraient résulter plutôt des faits et gestes des personnages , de leurs passions, de leurs conflits, mais c’est

e présent de mon ami m’agitait fortement.) En prenant Giorgione comme personnage principal, ne me serait-il pas facile d’évoquer l

uperbes conceptions du génie. Je ne me lassai pas d’admirer ces trois personnages vus à mi-corps. Toute la paix de l’âme continuell

ion, je crois, de reproduire, en fresques, ces compositions, dont les personnages auraient certainement gagné à être représentés da

in. L’autre est nue. Le bras droit s’appuie contre la margelle où des personnages nus et un cheval parfait sont sculptés en bas-rel

, je me dirai : « Il ne faut pas le raconter avec des couleurs et des personnages , car il ne signifie rien ! » — Certes, bons camar

u piédestal de la colonne où le saint est attaché, les bustes de deux personnages  : l’archer qui vient de le percer de flèches, et

race souffrent, ne sont en vérité que le récit romanesque de quelques personnages choisis au milieu des foules médiocres, d’où tent

se d’Orléans, Plon-Nourrit, 7 fr. 50 Les uns après les autres, les personnages de la Cour de Charles VI tentent nos modernes his

s que dans les anciens mystères, qui ne sont qu’un conte illustré par personnages ou plutôt encore une succession de tableaux, cett

mystère, un pieux mystère du xve  siècle. Il s’est plu à donner à ses personnages , non les costumes de leurs temps, mais ceux du mo

peu sommaires, des annalistes de Rome, qui aimaient à assigner à des personnages en vue des initiatives prises, en fait, par des c

cette tragédie est toute abstraite en sa fadeur grandiloquente ; ses personnages sont des pantins en baudruche ; son intrigue édul

e, un Castor et Pollux, un Ganymède, etc.), et une série de bustes de personnages princiers par Léon Leoni et Pompeo Leoni. Au mome

te œuvre, valant surtout par la profonde composition psychologique du personnage principal et la restitution vivante et pittoresqu

crime pour échapper à l’emprise d’un fou, d’un autre chef, un de ces personnages doués d’un sensorium extraordinaire, celui qu’il

27. Ici on saisit au vif le procédé du créateur. Il lit le nom de ce personnage dans une liste publiée par Jubinal, Mystères inéd

ieusement ; il y a une seule manière de faire tout le nécessaire d’un personnage . Tous les yeux, et non seulement des figures huma

re les fantômes de Banco et du roi de Danemark lorsqu’elle imagina le personnage voilé de Madame la Mort. Sans doute, Maeterlinck

hé, elle est singulièrement fausse, car on ne dit la messe ni à aucun personnage , ni à aucun saint, ni même à la Vierge. Le petit

es que comportent la nature même des circonstances et le caractère du personnage  ; mais dans l’ensemble la scène est exacte et rie

marques d’intérêt que son étrange destinée éveille chez d’aussi hauts personnages  : « Je m’engageai, dit-il, à faire ma narration a

intes raisons qui militaient en faveur du maintien de ce type dans le personnage politique d’Auguste. De ce point de vue, que dist

sentimental et presque spirituel. Généralement, la psychologie de ses personnages est juste quoique assez superficielle ; si ces pe

n une idéalisation, est-elle nécessaire ?) réalisée par M. Boito, les personnages ont changé d’allures au point qu’on croit assiste

vous nous aviez laissés. Ils s’ingénient à trouver les noms vrais des personnages dont vous ne donnez que les initiales ou que, par

le roi Nasone, sans doute donné par ce prince à quelque Baiano, haut personnage de sa cour. Des statues de marbre et des plantes

quis de Sade. M. Apollinaire apprendra à beaucoup que l’Arétin fut un personnage , ami du Titien et de Michel-Ange : Dans le palai

rité, mais rempli d’allusions à des événements, à des coutumes, à des personnages dont le public n’a pas idée aujourd’hui ». Toutef

ore que beaucoup demeurent anonymes — et d’en rapprocher le geste des personnages , — par exemple les Empereurs, presque tous des fo

ers préfère les secondes aux premières. Car le hiératisme de tous ces personnages aux mouvements inachevés et aux visages extatique

culture intellectuelle qu’à sa vitalité d’amoureuse. Elle regarde ces personnages et les voit confusément. Sur les fonds d’or, ils

rnal auquel Dante fait allusion. « Madeleine, nom… appartenant à deux personnages , que le fait d’être honorés par l’Église chrétien

ndir la connaissance de tant de petites anecdotes qui, rapprochées de personnages plus importants et de faits plus notoires, serven

imulé autant de ficelles qu’il en faut pour entortiller le public. Un personnage mérite une mention spéciale, parce que les specta

riste de ces figures, quand on les a une fois regardées. Qui sont ces personnages  ? Quelle fut leur vie, joyeuse ou tragique ? M. R

teur fait une description de ces peintures et nous donne sur les deux personnages ces précisions. La fresque de gauche représente G

overses, y découvrir des textes, y rechercher des éclaircissements de personnages des Mémoires ou y discuter de la curieuse diversi

endu le domaine du goût. J’ai connu naguère un nommé Giovanni Moroni, personnage sans grande culture. Il était employé dans un éta

s las de tous les jeux, je me réfugiais dans un coin avec Maldino. Ce personnage tenait une grande place dans ma vie. C’était un p

obert de la Sizeranne excelle à évoquer, devant certains portraits de personnages illustres, l’âme de la vie des modèles, à souleve

de causeries. Le charme du livre est surtout dans la psychologie des personnages , dans les pensées qui échappent à l’écrivain et à

taphore à la rigueur d’un syllogisme. Le monde est une prison, dit un personnage de Goethe : sans doute, mais une prison merveille

ons faire du monde une solitude propice à nos rêveries, — et certains personnages de Fogazzaro y parviennent plus d’une fois ; — no

gazzaro, on le voit, a nettement défini, par le caractère de ses deux personnages , la différence qui existe entre la vie agissante

es uns les autres, à cause du « petit acte » que vous savez, tous ces personnages qui mettent du raffinement et presque de l’enthou

, pourrait se résumer ainsi, en un dialogue entre les deux principaux personnages  : « Je ne sais que faire de mon temps, dirait le

’avouer leur amour ou d’exprimer leur jalousie qu’ont certains de ses personnages  ! C’est précieux et surchargé. Si le roman italie

le de trois colonnes, et paraissait disposer des confidences de hauts personnages militaires. Il était un enragé partisan de la thé

ns, à côté des Italiens irrédimés — n’étaient pour la plupart que des personnages peu considérables. Quand, cependant, d’anciens mi

rre, de hautes autorités chez eux, que si certains même étaient des «  personnages peu considérables », ils représentent néanmoins e

souvent élégant et soigné, d’orchestration, la déclamation des divers personnages . Mais ceux-ci se réduisent à deux : « Elle » et «

omagne, mais il faut avouer que M. Moretti est plus heureux quand ses personnages vivent dans le cadre plus étroit de la nouvelle.

pontifie ; le prêtre Elouard veut défendre le prélat. Sous les trois personnages on lit : Reinaldus — Saint Thomas M. — Adurdus.

ent un tel état de choses ? Jusqu’à présent aucun, parmi les nombreux personnages , qui ont adopté ces ouvrages, n’a osé les défendr

ribuant superficiellement au Kaiser ou au Tzar, ou à tel ou tel autre personnage politique, niais plutôt de relever et d’analyser

er absolument l’existence d’une nouvelle guerre européenne ». Ce rare personnage , M. T. de Wyzewa l’a découvert dans un livre de M

ant la présente guerre, et nous le présente ainsi dans le Temps : Ce personnage à peine croyable était un vieux gentilhomme campa

la sainteté en ce qui concernait leurs difficiles affaires. De grands personnages appelèrent la vierge, des gouvernements l’écoutèr

icable et tragiquement banal. Les héros trop fardés sont toujours des personnages des classes riches, ils ont des attitudes outrées

omment ne point comprendre l’absurdité de faire parler longuement des personnages dont on voit remuer les lèvres sans entendre les

ons morales et humanitaires, de cas de conscience où se débattent des personnages , descendants directs des héros d’Ibsen ; il est l

de de cet exploit n’est pas assez adroite pour s’attacher le grossier personnage qui oublie bientôt son caprice et la délaisse. So

ur le rôle du Pape, auquel on aurait pu souhaiter sans doute un autre personnage . Plus loin, il parle à nouveau de l’Allemagne rec

celle qu’on fait pour des gens heureux et délicats ou pour des grands personnages dont les fonctions sont de gouverner l’État. Il f

onque est fils ou neveu de quelque homme puissant, fût-il lui-même un personnage de rien. Moi je déclare vil un homme méchant qui

ou mondiale) que l’occasion fait surgir, idée fixe, en tuant un grand personnage , d’accomplir, au prix de la vie, une action d’écl

e dans la mise en scène, l’intérêt continu du récit, l’adaptation des personnages au décor, toute la partie proprement descriptive

fférents ; laissez-moi dormir, par pitié !… — Je n’aime pas ces trois personnages , ce mari stupide, oui stupide ; ce Tebaldo vulgai

criai : — Vous êtes persuadé, cher Alcibiade, que je vous ai tracé du personnage un portrait bien noir ! Mais, ce sont bien là ses

i remet devant nos yeux, sous d’autres noms et d’autres costumes, des personnages toujours amusants de la comédie italienne. Les ve

quables. L’une est d’une facture large et vigoureuse ; toutefois, les personnages manquent de « muscles » ; ils sont trop « gras »

, ne se faisait pas faute de la lui reconnaître13. Certes, ce curieux personnage doit en avoir sa part, mais les idées qu’il a émi

’une pièce avec chant (Singspiel), à faire attention au caractère des personnages , aux attitudes et aux mouvements des chanteurs et

a transformation. Le républicain dédaigneux et inflexible saluait les personnages de la monarchie, qui, en un pays constitutionnel,

lle sans relâche jusqu’à achèvement. Cet alignement admirable de cinq personnages , groupés au hasard d’une rencontre dans une voitu