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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
critique et gazetier ; le chapitre sur la musique, le chapitre sur la peinture  ; les trois chapitres sur le théâtre vénitien : l
3. M. Lionello Venturi vient de faire paraître sur les Origines de la peinture vénitienne un important ouvrage analogue à ceux d
t pour l’étude d’un peintre. La reproduction excellente de nombreuses peintures facilite encore cette étude. L’école primitive vé
son côté terminé sa fresque au même Palais des doges avant 1419. Ces peintures ont disparu ; quelques critiques pourtant ont vou
artiments et de bon miniaturiste il devient ainsi un rénovateur de la peinture , en apportant un soin nouveau à la reproduction d
oute d’ailleurs que Jean d’Allemagne n’ait la plus grande part en ces peintures  ; outre qu’il signe en premier, il donne aux figu
du dessin de la Madone centrale, la vivacité des couleurs en font une peinture de premier ordre. Un Quirizio da Murano, non plus
nifique des plans dans des œuvres comme sa Sainte-Claire. Sa première peinture connue est la Madone de Montefiorentino ; celle d
2 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
iothèque ambrosienne, Musée de Brera, où revit toute l’histoire de la peinture italienne, et précieux surtout pour l’étude de l’
pages de son livre d’appréciations trop souvent acerbes sur certaines peintures des collections milanaises et dont l’esprit exces
uis vingt siècles. Voici des maisons de patriciens encore revêtues de peintures et de mosaïques ; des cabarets, des boutiques ; l
uivalent à l’objurgation bien connue : Défense de déposer… Près d’une peinture représentant un homme accroupi, on peut lire : R
lle marque en outre le point de départ d’une nouvelle floraison de la peinture florentine qui abandonne le cadre narratif de la
tableau : ce que voyant, le Verrocchio aurait désormais renoncé à la peinture . Vasari s’est sur le dernier point contredit lui-
ant que le Verrocchio ne se reposait jamais, travaillant tantôt à des peintures , tantôt à des sculptures ; de plus, comment le ma
la quarantième année et que ce n’est qu’à ce moment qu’il se mit à la peinture et à la sculpture, on accordera que son œuvre, to
e Léonard, son nom eût été l’un des plus grands dans l’histoire de la peinture . Ne l’ayant pu faire il reste au second plan, mai
26, 15 novembre 1906 Comment Stendhal écrivit son Histoire de la Peinture en Italie Paul Arbelet. Tome LXIV, numéro 226
quelque petite rue sombre du vieux Milan, que naquit l’Histoire de la Peinture en Italie. L’« idée folle » en passa « par la têt
stant de loisir, — et en lisant le livre de Lanzi, — l’Histoire de la Peinture se ressentira de cette double influence qui prési
ctobre 181115. « Messieurs, « J’ai composé en 2 volumes l’hist. de la peinture en Italie depuis la renaissance de l’art vers la
dans son journal : … J’allai à Brera… Je trouvai de l’intérêt à une peinture de Giotto et à un tableau d’André Mantegna, à cau
perdre mon temps… Mais… j’acquerrais des connaissances véritables en peinture and probably money sufficient for a second tour t
ues registres, couleur vert pomme, qu’il destine à son Histoire de la Peinture . J’ai vu 14 de ces volumes ; ils contiennent enco
zelles, la vue du Vésuve, etc., 2° Le caractère des habitants ; 3° La peinture et les autres arts du dessin ; 4° La musique. Pou
erniers moyens, j’avais besoin d’étudier ces arts, et d’avoir pour la peinture un indicateur fait par moi, afin que les sentimen
de l’histoire de la musique de………, et un autre extrait de celle de la peinture , qui formeront mon vade-mecum si jamais je retour
s sécheresses d’une ambition déçue. Travailler à cette histoire de la peinture , traduire un auteur italien, c’était revoir l’Ita
mentalisme, que Beyle se mit à composer avec verve son Histoire de la Peinture . Ici, comme partout dans la vie de Stendhal, c’es
es Souv. d’égot.), qui avait déjà fait 12 volumes de l’Histoire de la Peinture , et ces volumes, perdus par lui en Russie, n’étai
insi que le volume XII contient une grande partie de l’Histoire de la Peinture , telle qu’elle devait être publiée cinq ans plus
à se souder et à s’amalgamer, s’ébauchait une histoire complète de la peinture italienne. Mais qu’était tout cela pour Beyle ? A
dhal aurait-il réalisé son premier projet, et publié l’Histoire de la Peinture à la fin de 1812. Dans sa hâte d’achever, il n’av
l’oublie. Il n’est question qu’une fois, en 1813, de l’Histoire de la Peinture  : Beyle est à Milan, et, au milieu de ses amours,
as les cahiers verts ; ainsi je ne puis travailler à l’Histoire de la Peinture . (Journal, p. 442.) Mais ce n’est qu’un souvenir
rès tant d’années d’âpre travail commandé, qui d’abord le ramena à la Peinture . Ni ambition littéraire, semble-t-il, ni goût par
4, on trouve déjà quelques pages de l’Introduction à l’Histoire de la Peinture . Il tâchait aussi de consoler, par le travail, qu
uelques vagues regrets d’ambition déçue. Au milieu du manuscrit de la peinture , je trouve cette note, du 17 août : Pour que je
la Scala, il y songeait encore, et il note quelques réflexions sur la peinture qui lui étaient « passées par la tête » en écouta
naction non accoutumée venaient de ramener Beyle à son Histoire de la Peinture . Pourtant cette première ardeur au travail sans d
naïveté, il voulut se distraire de ses craintes. Et l’Histoire de la Peinture , qui l’avait autrefois aidé à se souvenir d’elle,
e trompe en chemin. Mais dans ces cahiers destinés à l’Histoire de la Peinture , il n’est jamais, cette année-là, question de pei
Histoire de la Peinture, il n’est jamais, cette année-là, question de peinture . Encore une fois, l’auteur s’est lassé, l’ouvrage
n aucun temps pour le patient travail de la fin. Cette Histoire de la Peinture  lui avait à peu près donné tout ce qu’il en pouva
qu’elle ne vît jamais le jour. Et voici qu’en 1816, l’Histoire de la Peinture entre tout à coup dans une phase décisive. Beyle
même de porter son nom. Aussi32 ne signera-t-il pas l’Histoire de la Peinture en Italie. Elle ne portera que ces initiales myst
— plutôt que de mourir de faim, dit-il. Le succès de l’Histoire de la Peinture reste presque son seul espoir. Elle doit lui perm
C’est un gagne-pain. Et voici pourquoi, apparemment, l’Histoire de la Peinture parut enfin en 1817, après six ans de gestation,
plaires. (Souv. d’égot., p. 253.) À peine les 1 000 exemplaires de la Peinture enfin lancés, ce sera le tour des journaux. Stend
nt que le bouilli. Y a-t-il rien de plus bête ? § Ceux qui ont lu la Peinture en Italie s’étonneront moins de ses étrangetés, d
gondole, en rêvant de musique, de gloire ou d’amour. L’Histoire de la Peinture fit la campagne de Russie, et y laissa quelques m
n auteur. Il ne faut donc pas s’étonner si l’histoire du livre sur la peinture a, tel qu’un roman mal fait, ses incohérences et
r, est Fulvie et la Guerre agraire en Italie. 10. L’historien de la peinture italienne venait de passer deux mois en Italie ;
que les musées, étudié le caractère italien plus que la musique et la peinture , et aimé Angelina Pietragrua plus que l’art et la
: en sculpture, ce fut le tombeau de Marie-Christine, par Canova ; en peinture , le « Tableau des Limbes », du Bronzino (sans dou
plus tard, il formait le projet d’écrire lui-même une Histoire de la Peinture en Italie. 11. Inédit. 12. Je respecte l’ortho
bien l’italien ? 13. Auteur, très estimé alors, d’une Histoire de la peinture italienne, qui, plus tard, fut plusieurs fois tra
Ce sera à peu près la bibliographie définitive de son Histoire de la Peinture . 18. Inédit. 19. Il écrit ainsi parfois son nom
’ici de retrouver à peu près la date de naissance de l’Histoire de la Peinture , il se trouve dans une lettre à sa sœur, du 8 déc
3 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
de concierges, de cireurs de bottes qui se mettent du « métier de la Peinture  » ? On ne saurait assez les exécrer. Le malheur e
l’Illustration. L’idée d’un peintre ne doit-elle pas avant tout être peinture , et peinture surtout plus que littérature ! Goya,
on. L’idée d’un peintre ne doit-elle pas avant tout être peinture, et peinture surtout plus que littérature ! Goya, Rembrandt, D
aître de deux choses opposées. Or, sans dire que la littérature et la peinture n’ont aucune connexion, je puis au moins dire, sa
aire restera purement littéraire il y aura désaccord entre elle et la peinture , car chacun de ces arts se compose d’éléments dif
remier coup que cela, très pictural en poésie, ne peut rien donner en peinture , et qu’un visage peint par un bon peintre lui ser
age peint par un bon peintre lui sera toujours préférable en tant que peinture  ? 2. Et voilà cependant ce que vous apprennent t
4 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
e de l’art, bibliophilie. Arsène Alexandre : Histoire populaire de la Peinture  : École Italienne, illustrée de 250 gravures, in-
ux, ni d’ailleurs au peuple, que s’adresse l’Histoire populaire de la peinture , aujourd’hui achevée par un tome explicatif des é
res. Le public sera étonné d’apprendre que la Transfiguration est une peinture déplorable ; mais il faudrait peut-être étonner d
on admettait leurs principes, il faudrait se résigner à réinventer la peinture tous les siècles ! » Et même deux fois par siècle
de ressentir franchement la beauté des anciennes pages, écritures ou peintures . Au Louvre, les admirations des étrangers (qui se
nt pour le public que des boutiques de curiosités. Une histoire de la peinture doit donc servir à donner à quelques-uns la raiso
aint Pierre, sa Descente de Croix sont parmi les grandes choses de la peinture ancienne — et je dis ancienne parce qu’on y voit
ntations, il est plus analytique. Tandis que M. Ojetti a considéré la peinture , même en dehors de la peinture, comme la manifest
e. Tandis que M. Ojetti a considéré la peinture, même en dehors de la peinture , comme la manifestation d’une pensée générale, d’
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
dans les musées ; où les églises contiennent des œuvres nombreuses de peinture et de sculpture, — en somme, les vestiges estimés
(Frédéric Gittler) M. Teodor de Wyzewa est un ami des poètes de la peinture . Il n’a pas essayé, dans ses Maîtres italiens d’a
1451 dans le cloître de l’église S. Maria in Castello à Gênes. Peu de peintures sont dotées d’un charme si profond et si pénétran
icile de continuer à mettre Raphaël au rang des génies suprêmes de la peinture , Vinci, Titien, Vélasquez ou Rembrandt. Mement
e fascicule de Siena monumentale contient de belles reproductions des peintures du Palais public : celles de la salle de la Paix
o Lorenzetti sur la commande du Conseil des Neuf. Tous les sujets des peintures de la salle sont d’ailleurs empruntés aux choses
en sorte qu’il ne reste réellement aujourd’hui que des fragments des peintures primitives. Échos Mercure. Tome LXVI, numé
6 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
ale, sur la géologie soient des plus curieux, c’est quand il parle de peinture que malgré tout Vinci nous intéresse le plus vive
e peintre réplique qu’il envisage le même objet dans la science de la peinture , savoir : invention et mesure : invention de la m
ose la plus merveilleuse et la plus subtile qu’il était possible à la peinture de réaliser, de ce Paris, considéré comme la vill
is le suffrage de notre roi François Ier, il partage l’éponymat de la peinture avec deux pairs seulement, Michel-Ange et Raphaël
l’enseignement qu’il donna en son académie de Milan, où, à propos de peinture , il traitait de toutes les sciences, suivant sa d
comme à Milan, plus recherché encore pour sa conversation que pour sa peinture , il vécut entouré de fervents disciples et de dom
. L’artiste reste derrière l’observateur et sa description semble une peinture . « Les muscles, qui peuvent remuer les membres, s
e universel. Avec quelle indignation il se plaint que de son temps la peinture ne figurait pas au nombre des arts libéraux, elle
ace ou leur degré de culture, s’élève à la philosophie morale, par la peinture des passions. Il conclut que son tenant est le ne
maître, telles les mathématiques. Les sciences inimitables, comme la peinture , ne s’enseignent pas à celui que la nature n’a pa
venteur, il la découvre et la montre clairement en ses œuvres ; et la peinture pourrait s’appeler la démonstration ou l’inventio
our n’importe qui, comme la médecine ou le barreau. « Ô merveilleuse peinture , tu conserves les périssables beautés ; elles dur
Comme Léonard adopta l’expérimentalisme par conviction, il adopta la peinture comme expression, parce qu’il la considérait inco
aible de celles qu’il exprima, ne mérite pas de discussion. En soi la peinture est aussi inférieure que la musique ; et aucun ar
r, dont on fait indûment l’honneur à Rembrandt, posa les bornes de la peinture et aussi la première assise de la méthode moderne
léfice) est un drame réaliste, qui ne tire tout son intérêt que de la peinture de mœurs qu’il nous offre, la grande couleur loca
s siècles xiiie , xive et xve (avec 60 reproductions de sculptures, peintures , miniatures, gravures et mélodies), Bemporad, Flo
ir Martin Conway, en vue de la publication en belles héliogravures de peintures ou d’œuvres d’art inédites ou peu connues, conser
la villa Paradiso. Est-ce tout, enfin ? Non. Il reste les galeries de peinture dont Gênes possède des collections admirables, où
l étudie tout. On a apporté secrètement de Flandre les procédés de la peinture à l’huile. Le farouche Andrea del Castagno a essa
de son élève, aurait jeté ses pinceaux et renoncé pour toujours à la peinture . Les faits contredisent cette anecdote. D’après l
i lui-même, Verrocchio « ne se reposa jamais, s’occupant tantôt à des peintures tantôt à des sculptures, afin d’éviter par là le
tachée à la perspective et à la géométrie dans leurs rapports avec la peinture , même goût prononcé pour la musique, même penchan
08, p. 544‑546. L’entrée au Louvre il y a quelque temps déjà des deux peintures représentant la Nativité de saint Jean-Baptiste e
premier. En 1480 on le trouve à Gênes, mentionné à propos de diverses peintures . En 1504 il est revenu à Verceil ainsi qu’en fait
triptyque de Chieri commandé en 1503 par la famille Tana. Mais cette peinture diffère sensiblement d’une Madone de la pinacothè
toute la contrée, à Feletto, à Avigliana, à Moncalieri, à Turin, ses peintures abondent. Le père Bruzza a d’ailleurs découvert j
un Titien [extrait] 1er mai 1908 152-159 153 […] Un autre tableau, peinture de l’école vénitienne à son apogée et pour laquel
r les habituelles considérations d’ordre économique, à s’adonner à la peinture comme à un métier qui pourrait devenir lucratif,
oppe évoque avec une précision délicate et presque décrit l’admirable peinture , et fait songer, d’autre part, à quelques-unes de
ne connaissance intime de l’Italie artistique, de l’histoire et de la peinture italiennes. « Je voudrais citer, par exemple, les
us offre de précieuses observations sur les tendances nouvelles de la peinture dite mystique ; sur la peinture italienne en géné
ons sur les tendances nouvelles de la peinture dite mystique ; sur la peinture italienne en général et la floraison surprenante
romenades dans Rome, de Rome, Naples et Florence, de l’Histoire de la peinture en Italie, et de tant d’autres ouvrages où vibre
uméro 268, 16 août 1908, p.  719‑723 [719-722]. Louis Hourticq : La Peinture des origines au XVIe siècle (H. Laurens) Je n’
du résumé qu’a lui-même fait M. Hourticq de nos connaissances sur la Peinture des origines au xvie  siècle : je me bornerai à d
e sujet. Voici du reste un exemple de la manière de M. Hourticq : La peinture italienne par excellence est la fresque, et les c
t dresser de belles architectures aux lignes savantes et précises. La peinture italienne, d’ailleurs, s’accommode aisément de ce
onne assez de noblesse pour remplacer la poésie disparue des vieilles peintures  ; en copiant la nature, ils conservent une manièr
ux dessins de l’artiste, des eaux-fortes de ses deux fils d’après ses peintures , une collection de photographies de ses œuvres, e
7 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
bon ton d’en faire étalage, comme ils témoignent de leur goût pour la peinture en se montrant chaque année au Vernissage tandis
taliens et français. Il a, par exemple, une étude : Max Klinger et la peinture trop ambitieuse, dont on ne saurait dire s’il fau
e Greuze (ou quelque niaiserie de cet ordre) ; mais celui qui aime la peinture désire que les Greuze soient retournés contre le
le expériences. Des critiques modernes, ne pensant qu’au Traité de la peinture , que, cent ans après, un Français, Raphaël de Fre
d’immortaliser les effets les plus subtils et les plus délicats de la peinture , il leur apparut comme le sorcier ou le magicien
hercher un résultat impossible, faire quelque chose que l’art, que la peinture ne peut jamais faire. Souvent l’expression de la
ticisme ténébreux se mêle à un mystère calme et plein de grâce, et la peinture plaît à l’œil en même temps qu’elle satisfait l’â
lièrement l’essai pensif de Goethe sur les tristes destinées de cette peinture . La mort en couches de la duchesse Béatrice fut s
t pu être moins durable. Dans l’espace d’une cinquantaine d’années la peinture était tombée en ruines. Et aujourd’hui nous somme
usiasme qui eût été plus naturel dans les temps reculés, où de bonnes peintures passaient encore pour tenir du miracle ; pendant
oire sacrée, non pour eux-mêmes, ni pour les rendre simplement par la peinture , mais comme d’un langage symbolique pour ses fant
affaibli de la lumière sous-marine. Elle est peut-être de toutes les peintures anciennes celle que le temps a le moins altérée4.
cchio, elle se retrouve enfin dans la maison d’Il Giocondo. Que cette peinture soit de la nature d’un portrait, le fait est atte
s « États-Unis des Îles Ioniennes », en 1815. Le livre débute par une peinture des mœurs corfiotes sous l’indolente, formaliste
s, au vrai sens du mot, ils sont pitoyables. Nous ne pouvons juger la peinture de Marcel, mais Schaunard, à moins qu’il n’ait ét
8 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
lle lumière, quel beau parti pris, quelle fraîcheur… La belle pâte de peinture , l’agréable et heureuse disposition, le beau choi
nifesta la plus grande surprise. Je compris que la nouveauté de cette peinture le déconcertait. Nous n’étions pas habitués à voi
l s’apprêtait à discuter lorsque Barbarelli continua : — On soumit ma peinture à un prêtre et à un administrateur des greniers m
ère, ils ajoutaient la parfaite connaissance des nouveaux procédés de peinture , qu’Antonello de Messine était allé chercher, en
faut faire autre chose. Et il retourna la Madone contre le mur. — Ma peinture éclatera, bientôt, comme une colère longtemps rép
le marbre et pour l’art… les femmes sont créées par la vie et pour la peinture . Il faut de la mollesse et de la lourdeur aux cha
u-frère Mantegna… il lui citait Scarpaccia qui a terminé d’admirables peintures pour Sant’ Orsola  Mais Titian est têtu, il sait
le ? — Personne. — Je l’ai créé. Je pensai : « Et tu as créé aussi la peinture  ! » — Croyez-vous que Bellini puisse m’apprendre
meura rêveur, auprès de cette composition extraordinaire. Ceux que la peinture intéressait songeaient, déjà, à se la disputer et
et envoyé des messagers. On m’offre jusqu’à trente ducats, pour cette peinture . — Le prix est admirable. Accepte. — Non. — Pourq
le, cependant les apprentis de Bellini se déclaraient partisans de sa peinture . On l’entourait comme on entoure un homme riche d
heureux, Seigneur, vous qui aimiez la guerre autant que moi j’aime la peinture … ? — Ne parlons plus de la guerre… mais de ta pei
moi j’aime la peinture… ? — Ne parlons plus de la guerre… mais de ta peinture … Qu’as-tu fait, ces deux dernières années… ? — Je
— Qui a posé pour la Madone ? — La fille du paysan qui m’enseigna la peinture en arrangeant son étalage. Elle est mariée. L’enf
telle perfection… * De quel œil trop sévère regardait-il ses propres peintures , pour prononcer de pareilles phrases. La toile qu
ne… Mais pourquoi me demandez-vous cela, Seigneur ? — J’ai cru que ta peinture représentait, par une allégorie, les trois âges d
ais-tu tes pleurs, en entendant tes camarades décrire la beauté d’une peinture ou d’une femme ?… — Je préférerais mourir, Seigne
i. * J’avais la certitude que ce discours nous vaudrait quelque belle peinture . Je ne me trompai point. Peu après, Giorgio convi
ont les arts ne sont que la copie. Pour goûter les architectures, les peintures , les sculptures et les livres, il est nécessaire
en visitant l’Italie, que le but pratique d’écrire son Histoire de la peinture . Ce livre, il ne le composa qu’en des heures vide
s, nous l’avons dit, enrichir, ces temps derniers, le département des peintures du Musée du Louvre. Il ne s’agit de rien moins qu
e de décoration et s’en tenir à la maçonnerie, on s’adressa, pour les peintures et les sculptures, à des artistes vénitiens. Barb
dans ses bras ! Jamais elle ne manifestait le désir de connaître mes peintures . Un soir, comme nous nous promenions en gondole d
lo, je me montrai d’une exubérance qui me permit d’exécuter de belles peintures . Je ne vous parle pas des fêtes que j’organisai,
Ne vous désolez pas ! Ne m’oubliez pas. — Quand vous aurez achevé une peinture resplendissante de beauté… lorsque la beauté palp
cet art admirable ; c’est lui qui leur a montré ce que devait être la peinture  ; comment il faut modérer les chairs, choisir les
utement que Giorgio est le porte-flambeau de son art, le maître de la peinture  ? Qu’a-t-il à redouter ? La fortune et la supréma
vie  siècle, M. Jean de Foville les médailleurs et M. André Pératé la peinture à la fin du xve  siècle et au commencement du xvi
à son style le plus puissant et le plus large ; le temps enfin où la peinture s’enrichit des œuvres de Léonard et Raphaël, en q
t à la fois parler excellemment de l’architecture de Ravenne et de la peinture de Venise. Les chapitres consacrés à Giorgione et
ntreprise par l’éditeur Fr. Hanfstaengl, de Munich, sur La Galerie de peinture du Prado à Madrid (Die Gemælde-Galerie des Prado
x présidents de la Société, il offrait au Louvre une charmante petite peinture siennoise, et il faisait acheter par les Amis du
et candide de l’école siennoise n’était représentée que par de rares peintures . Chronique de Bruxelles. Une grande première d
sacré au grand maître vénitien contient la reproduction de toutes ses peintures connues ; c’est donc un recueil extrêmement préci
e l’Impératrice, et aujourd’hui il est venu chez nous. Il s’occupe de peinture . Après cette visite, nous sortons. Oh ! la laide
s suscité le même émoi. Est-ce un miracle d’art ou n’est-ce que de la peinture très habile ? J’ai toujours trouvé la Joconde plu
rtrait d’homme. Ce n’est ni un homme ni une femme, mais un exemple de peinture analytique, un problème de psychologie picturale
la Joconde, sa disparition du Louvre est une question étrangère à la peinture . On aurait volé un Canaletto, ce qui ne serait pa
i n’y sont entrés qu’une fois. Voilà les gens compétents à la fois en peinture et en administration. Laissons-les faire. Les
claves d’Auguste chez M. (?), vu encore ses (?). Vu un même col. avec peintures , vu le cirque de Romulus. Les Cariere sont-elles
et, après s’être débarrassé du cadre et de la glace qui recouvrait la peinture , a pu, favorisé par un concours de circonstances
ais jamais dans son entier, toutes les salles autres que celles de la peinture et des antiques n’étant visibles que certains jou
r régénérer son pays, lequel pays est trop hospitalier à son avis. En peinture , Bella Sguardo prétend faire apparaître sur la jo
tes sur les musées d’Italie. M. Grandgeorge est un enthousiaste de la peinture et dans ses voyages s’inquiète surtout des exposi
, d’un Guido Reni et d’un Philippe de Champaigne, la série des belles peintures de Mantegna, de Lorenzo Costa et du Pérugin, qui
ille de Tours d’autres échanges pour faire rentrer au Louvre ces deux peintures qui n’auraient jamais dû en sortir. Quand donc co
’arrivée, une seule ligne qui soit dans le tableau du départ. » Cette peinture , qui ainsi expliquée paraît avant tout sentimenta
nu à Paris et il est lui-même au courant des tendances de la nouvelle peinture française autant que quiconque en France. Les fut
ciser quel est, parmi les élèves de Van der Weyden, l’auteur de cette peinture . Puis il montre comment le sens de la composition
n’a jamais eu lieu entre nous, et — surtout — que mon opinion sur sa peinture et la peinture de ses amis a toujours été et rest
lieu entre nous, et — surtout — que mon opinion sur sa peinture et la peinture de ses amis a toujours été et reste exactement ce
V. Mercure de France, 16 mars 1911, p. 428. 61. Le Musée de Tours. Peintures , dessins, sculptures, meubles, etc. Introd. et ca
9 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
fflot. Avec des moyens médiocres, il voulait néanmoins s’essayer à la peinture , mais ne réunissait pas les qualités requises pou
ue ces derniers ont une copie à faire pour le Roy ou en marbre ou une peinture qui leur consomme leur quatrième année ; tribut a
ses dispositions éclatantes pour le dessin ne le conduisent pas à la peinture d’histoire. Et dans le cas où il ne se rencontrer
10 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
art qui jusqu’à présent avait été quelque peu négligé au profit de la peinture . Échos. Le Sottisier universel [extrait] Mer
vre [extrait] En attendant que le Louvre brûle, le département des peintures vient d’exposer, dans la salle des portraits d’ar
ational Gallery de Londres le droit de choisir parmi ses tableaux les peintures qu’elle voudra, à condition d’en prendre au moins
e… » Boronali s’exprimait ainsi : « Posons les grands principes de la peinture de demain. Sa formule est l’Excessivisme… L’excès
e chevalet, une toile à peindre à l’état de neuf. En ma présence, des peintures de couleur bleue, verte, jaune et rouge ont été d
ernard ; je ne parlerais pourtant pas ici de cette belle et puissante peinture si elle n’était significative de l’importance que
rent l’église, les murs nus, les cours pleines d’herbes sauvages, les peintures à fresque demeurées visibles à peine, les portes
aient en parlant bas. Elles passaient et repassaient alors devant une peinture à fresque qui représente la Mort en capuchon, et
sté dans les vieux murs où quelques fresques des premiers temps de la peinture n’ont pu survivre aux ans et à l’humidité. Crat
                                                 D. N.   Moelus. Les peintures de cette église sont remarquablement belles. On n
ur l’architecture et la décoration d’influence française en Italie », peintures du xve  siècle au prieuré de Saint-Ours d’Aoste,
de ses tableaux historiques et mythologiques pour se reposer dans la peinture de petites toiles représentant des scènes de la v
assez grande perfection d’art pour mériter le nom de « Goldoni de la peinture  ». Telle est, ou à peu près, l’appréciation de M
es peintres de 1737 à 1773. En 1763 il fut président de l’Académie de peinture fondée par la famille Pisani et qui fut fermée de
qui fut fermée deux ans après ; dès 1766 il appartint à l’Académie de peinture créée par le Sénat : à cette occasion, il offrit
t ou une jeune dame à son rouet. Et vraiment en ce dernier cas, si la peinture est exquise, le crayon ne l’est-il pas plus encor
sue de la séance d’où son amant sortira condamné. On appelle cela une peinture de mœurs, c’en est une et, pour ceux qui en aimen
ouvent extraordinaire des œuvres d’art qu’elles recèlent. Sculptures, peintures , monuments funéraires s’y montrent à chaque pas,
a pour clore le livre de M. P. de Bouchaud une très bonne étude de la peinture locale, du xiie au xviiie  siècle. Les Théâtr
oésie) et l’Architecture (et ses complémentaires : la Sculpture et la Peinture ), qui répondent aux deux catégories théoriques :
re 1910, p. 150-153 [151-152, 153]. Léonard de Vinci : Traité de la Peinture , traduction nouvelle par Péladan (Delagrave, 7 fr
-t-il pu résister au désir de joindre à sa traduction du Traité de la Peinture , de Léonard de Vinci, un commentaire « perpétuel 
res ; par une coïncidence notable, il fut élu membre de l’Académie de peinture le même jour que Francesco Guardi, le 12 septembr
11 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
é dans aucun conservatoire. Art moderne. Société internationale de Peinture et de Sculpture [extrait] André Fontainas. Tom
d’art de l’école vénitienne ; c’est une énumération de peintres et de peintures  ; mais si Venise est un des plus beaux musées de
d’approuver son conseil aux jeunes femmes du monde de se livrer à la peinture et de mettre l’atelier à la mode. Nous avons asse
Gazette des Beaux-Arts (1er mai). — Excellentes vues générales sur la peinture moderne à propos des Salons, par M. Henry Marcel.
r M. Henry Marcel. M. Adolfo Venturi, avec sa rare connaissance de la peinture italienne, commence à développer dans un premier
confrère y étudie Santi comme peintre et comme architecte, décrit les peintures du Vatican et les tapisseries exécutées d’après d
illes gens et d’en tirer de belles copies, tant d’architecture que de peinture et de sculpture. » Premièrement, Monseigneur, pou
s architectes que tout ce que l’on voit dans Rome. » A l’esgard de la peinture , les lieux où sont les belles choses qui ont acqu
patent pour la poésie et l’architecture. Cela est vrai aussi pour la peinture et la statuaire. Un instant vient où les générati
es, tout ici, en vérité, dénonce bien ce premier des maîtres, cette «  peinture qui fait oublier tout ce qui n’est pas elle et do
12 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
rès intéressante, de M. Celega ; une étude de M. A.-G. Bianchi sur la peinture abyssinienne. C’est à l’exposition de Palerme que
tout l’idéal de cet artiste étrange. M. Bianchi remarque que toute la peinture abyssinienne se ressemble prodigieusement ; il y
hair ; le dragon, vert. Ce saint George ressemble encore beaucoup aux peintures que l’on voit sur les vases étrusques ; il a une
faire au théâtre une tentative pareille à celle des préraphaélites en peinture , pourra seulement, et si l’on veut, divertir un i
’Iconoclastie ruinait, en Orient, l’influence des ordres monastiques. Peinture ou mosaïque, les Icônes étaient presque toujours
13 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
petto, beaucoup de corollaires de mes principes, que, par exemple, la peinture des caractères et le vis comica manquent entièrem
nd à esprit mercantile. Aisance et naturel de Milanese. Oratoire avec peinture du petit marchand. Promenade à la villa du Comte
14 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
ratoire San Bernardino à Sienne (1518) comptent parmi les plus belles peintures murales du commencement du xvie  siècle : les rep
ints de vue historiques, d’événements arrivés vraiment à l’auteur, de peintures de la société de son temps, tableaux admirablemen
pas. De même que depuis quelques centaines d’années, on a éloigné la peinture du mur immobile et toujours quelque peu solennel,
éperdue, dont seules les novices sont susceptibles. Qu’on imagine une peinture séraphique de Fra Angelico, le « Beato », l’artis
er la théorie des peintres futuristes italiens et d’y confronter leur peinture . Je pense au prochain article me faire l’écho des
listes. Les Futuristes sont très instruits des derniers efforts de la peinture contemporaine. Ils ont trouvé des guides à Paris,
reille émotion, et pareil empressement à venir ressentir devant de la peinture audacieuse les saintes colères académiques. Cette
deux ordres de raisons. D’abord les futuristes abordent hardiment la peinture littéraire et la plus complexe, deuxièmement leur
rdiment la peinture littéraire et la plus complexe, deuxièmement leur peinture ne considère ni les corps comme opaques, ni les p
tage ; puis de ce que jusqu’aujourd’hui on n’a pas encore envisagé la peinture comme devant donner des impressions simultanées d
es, servent à exposer les nouvelles acquisitions du département de la peinture , on vient d’accrocher trois dessins que M. Bonnat
de Monza. Une légende extrêmement romanesque s’attache à ce cycle de peintures  : Luini, accusé à la cour de Milan du meurtre du
ont d’yeux que pour les monuments, pour les ruines, pour les vieilles peintures et pour le cadre merveilleux qui rehausse ces che
ome XCVI, numéro 354, 16 mars 1912, p. 408-411 [409-410]. À propos de peinture , il sera plus séant de signaler la belle étude de
M. Saponaro (Libero Ausonio), Rosolacci, est également consacré à la peinture de genre, du genre paysan. L’amour, thème perpétu
. L’intérêt vrai des Mémoires n’est pas dans ces récits, mais dans la peinture de toute une époque admirablement représentée et
sont pas, pourtant, tous de l’espèce qu’on eût pu souhaiter. […] À la peinture , il faut signaler avant tout une des plus heureus
le Louvre ; Mme Mary Logan écrit avec raison15 que c’est là « une des peintures les plus importantes qui, depuis plusieurs années
e de Corot : La Trinité-des-Monts vue de l’Académie de France à Rome, peinture sobre et fine, toute baignée de lumière, qui figu
— et nous n’y avons jamais manqué — à l’activité du conservateur des peintures et aux décisions heureuses du Conseil des Musées,
ienne cathédrale, et au-dessous une crypte mystérieuse avec de nobles peintures datant peut-être de l’occupation angevine ; mais
et natures mortes, de tableaux portatifs, qui répond assez bien à la peinture qu’on nous sert habituellement ; mais qui n’a auc
lait qu’une terreur superstitieuse47. Il est digne de remarque que la peinture de paysages inventée en Wallonie, contrée aux hor
spondance entre l’état du sentiment du paysage chez les maîtres de la peinture et dans le public ? S’il est difficile de reconna
Peut-on, à certaines époques, aimer un paysage peint comme on aime la peinture de l’avarice, sans aimer l’avarice elle-même ? L’
minent pas toujours ensemble. Le sentiment maternel a inspiré dans la peinture une foule d’œuvres délicieuses ou sublimes. Dans
parlé de la Mère, le dernier ignore son magique royaume. Tandis qu’en peinture la représentation du sentiment maternel dérive de
assez pour pleurer devant la Nuit de Noël du Corrège, ce poète de la peinture  ; enfin ses Lettres d’Italie (1730 et 1740) reste
, meubles Renaissance, tapisseries, […] surtout des sculptures et des peintures italiennes où brillent les noms de Donatello, de
t ses fresques de l’Angelico, Santa Maria Novella, si riche en belles peintures , — enfin la Galerie des Offices, avec ses innombr
e Soulier indique avec précision quel fut le rôle du Tintoret dans la peinture vénitienne, comment les recherches d’une techniqu
aussi, serait classé beaucoup plus haut si on le connaissait, si ses peintures de la Farnésine, à Rome, étaient visibles, s’il n
st, à propos d’une exposition régionale, une his­toire complète de la peinture aux xve et xvie  siècles en ce coin de terre ; o
ue et que souvent des questions de mode ont fait écarter : telles des peintures de cette école bolonaise autrefois trop vantée, a
ôme déshonoré par les restaurateurs, mais qui garde ses tombeaux, les peintures curieuses de la crypte, — la salle basse à cinq n
marchent, exaltés ou extasiés, et créent les mouvements récents de la peinture , de la musique et de la prosodie nouvelles. Nulle
15 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
du diocèse de Tours signale aussi le danger du salpêtre qui ronge les peintures murales du château de Loches, dues à la main de L
du château de Loches, dues à la main de Ludovic. « Ces très curieuses peintures murales, dit-il, sont progressivement rongées par
16 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
montée de ce fleuve rapide du temps le fatiguera ; il tombera dans la peinture , sans équivoque, des scènes modernes — sans en li
éoccuper de la beauté ; ils transportèrent d’abord les statues et les peintures de Syracuse, de Capoue, de Corinthe, de Carthage.
érance pour les proscrits, les Muses pour les poètes, Mercure pour la peinture , le Paradis pour les gens d’église, et pendant le
17 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
tique ; le littérateur s’est amusé à décrire en détail bon nombre des peintures qu’il a pu admirer et il nous fait visiter avec l
u goût, toutes les merveilles d’un art spirituel : l’Architecture, la Peinture , la Musique, la Poésie. Ah ! tout cela qui veut s
t vers la hauteur, soit dans la proportion, soit dans le style, et la peinture par la profondeur, soit dans la perspective linéa
splendide, des Tiepolo et des Guardi, tous de qualité. Si, parmi les peintures exposées à la galerie Trotti, quelques-unes ne dé
r longuement le visiteur. Avant eux, il faut d’ailleurs signaler deux peintures attribuées à l’atelier de Botticelli, la Madone d
a famille Concina et la Vierge à la Grenade. Seule la première de ces peintures soutient cette attribution, et sans la défaillanc
tout cas, accuse le type familier à l’artiste, et cette partie de la peinture n’est pas indigne de lui. La Vierge à la Grenade
lenteur habituelle, lorsqu’il s’agissait de livrer définitivement une peinture , Titien, après avoir sans doute brossé la tête et
lles au lieu de les envoyer en Amérique, est à lui seul très riche de peintures de Giovanni Battista Moroni, puisqu’il possède en
e la description des richesses du musée (il comprend actuellement 700  peintures , 200 sculptures et 2 000 dessins), où les princi­
sure fait aussi un harmoniste du soleil, enseignerait le mieux quelle peinture correspond à la nature mi-européenne, mi-africain
t trop usée. » Pourtant les jugements nouveaux qu’il a portés sur les peintures et la sculpture des Musées nous ont délivré à jam
s, n’a traversé la belle jeunesse de Dom Destrée, épris uniquement de peinture , de musique et de poésie. Mais, au milieu d’un de
une soixantaine de tableaux de l’ancienne galerie, plus de deux cents peintures , toutes remarquables, provenant les unes du Latra
ar le Barroccio ; une admirable Pietà attribuée à Cranach ; parmi les peintures modernes, un grand portrait en pied du roi d’Angl
livre de dessins, si précieux pour la connaissance des origines de la peinture vénitienne, fut acquis en 1884 par le Louvre grâc
gt-cinq cartes semblables (à 12 heller : 12 cent, 1/2) consacrées aux peintures anciennes de la collection d’un célèbre amateur e
e illustré, rédigé par M. Gustave Gruyer, consacré à la collection de peintures , dessins, eaux-fortes, sculptures et objets d’art
lication, parvenue ainsi à la moitié de son programme : La Galerie de peinture du musée du Prado, à Madrid. […] Viennent ensuite
une dissertation qu’un historique, et reproduisent de très nombreuses peintures et différents sites et monuments d’Assise. Mem
musiciens et les écrivains ont eu plus de chance que les peintres. La peinture italienne seule, sous le nom de divisionnisme, a
ouver de nouveaux accents d’éloquence, des beautés d’expression et de peinture et de sentiments d’affection et de solidarité hum
la Renaissance. M. Gaston Migeon y étudie la céramique en Italie ; la peinture est passée en revue par M. A. Pératé, qui nous fa
18 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 238, 15 mai 1907 »
 siècle, fut ensuite répartie entre le Louvre, qui ne retint que 313  peintures , le musée de Cluny, où furent envoyées 12 toiles,
années, on a annoncé la “découverte” dans un musée de province d’une peinture italienne signée ou datée qui, vérification faite
19 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
vel (18, rue Tronchet) du 15 janvier au 1er février. On y verra de la peinture , des dessins et des dessins colorés. L’exposition
nsée lui imprime. Ensuite, il n’existe pas d’art statique, puisqu’une peinture digne de ce nom est toujours un organisme vivant,
ective. Évidemment, s’il y avait équilibre dans cette concurrence, la peinture serait statique, c’est-à-dire sans vie, et alors
au mouvement des formes humaines, fut appelée par le peintre Dufy : «  peinture unanimiste ». À ce moment-là j’ignorais la signif
ai trouvé dans ce nouveau point de contact entre la littérature et la peinture qu’une confirmation et une certitude. Ce mouvemen
s uns à Sansovino, par d’autres à Michel-Ange jeune, et de nombreuses peintures entre lesquelles il faut citer des œuvres de Giov
t du colossal d’un peuple de parvenus. « Qui parle au xxe  siècle de peinture allemande, de musique allemande, de poésie allema
orte d’ailleurs : l’œuvre est belle, elle est émouvante, elle est une peinture exacte des passions, et elle suffit à notre joie
qu’il la sent. C’est son droit. — Hé bien, moi, j’en ai assez, de ses peintures . Je les trouve d’ailleurs inexactes. Si vous vous
 — sont absolument indemnes de toute infiltration germanique. Dans la peinture , — à part quelques velléités scandinaves et séces
e que nous en savons ; il ne nous apporte rien de nouveau, quoique sa peinture soit fortement évocatrice. Mais d’autres chapitre
cité des Musées de France la reproduction hors texte de quatre de ces peintures . 3. V. sur ce point la savante discussion de M. 
20 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
e sur l’œuvre du Vinci. Taine cherche à comprendre l’attrait de cette peinture , à se rendre compte du « procédé » ; Gautier et H
donnèrent leur adhésion au mouvement et publièrent le manifeste de la peinture futuriste qui fut bientôt suivi par des expositio
frisées. Il était né à Paris, y avait étudié les belles-lettres et la peinture , et n’était jamais retourné en Angleterre, sa pat
e et blond, ne parlant que par monosyllabes. Il aimait la musique, la peinture , et les États républicains. Quand ils eurent ache
its des vieux maîtres, je demeurai ébloui, et comme hébété, devant la peinture de mon ami. Les mains et le visage, entièrement t
ne cheminée vénitienne aux armes des Micheli, un plafond décoré d’une peinture allégorique provenant aussi de Venise, accompagne
aître. Elle sourit, et songea à son portrait véritable. — À propos de peinture , reprit Ugo, je vous garde, cet après-midi. Vous
le premier peintre du monde. Jamais on n’a rien fait de plus beau en peinture , ni en quelque art que ce soit. Je voudrais tenir
mplète de cette princière donation ; elle ne comprend pas moins de 51  peintures , parmi lesquelles des œuvres de Fra Angelico, Ant
plus incontestables chefs-d’œuvre de Raphaël et un des sommets de la peinture . Coppée, en le qualifiant d’« œuvre totale, absol
07, 1er juin 1914, p. 633-639 [638]. Chez Vollard une grande série de peintures de M. Franc-Lamy sur Venise et la Côte d’Azur d’u
énitienne, le tombeau d’un membre de la famille Emo ; puis, parmi les peintures , un charmant tondo de Ghirlandajo, une Vierge au
mot substitué, pas une virgule déplacée, pas de voile de gaze sur les peintures libidineuses — n’auraient jamais rencontré l’accu
qu’elle offre à l’imagination une matière riche et attrayante pour la peinture . L’action est donc dans le drame la chose princip
21 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
e j’aime dans le livre de M. André Lebey, outre ses qualités de forte peinture historique, c’est la façon dont il est écrit et c
nzio en littérature, Scarfoglio dans le journalisme, Michetti dans la peinture . M. Pantini vit la plupart du temps à Florence, e
ise Saint-Marc, les fresques de Tiepolo au palais Labia (Venise), des peintures murales et des portes de palais à Milan ; de M. J
vec leurs édifices demeurés debout, des œuvres de la statuaire, de la peinture , des arts mineurs, souvent si nombreuses qu’on ne
linquant ? Il faudrait ajouter quelques mots sur les reproductions de peinture et sculpture données par M. Müntz. Elles sont lég
22 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
enir tragique des Malatesta. — Mais on parle peut-être un peu trop de peinture dans les livres de M. Gabriel Faure, et il y a to
unis simplement par une réciproque estime et voisinant bien. […] Des peintures de M. Bucci saisissent par leur rapide vérité, pa
és ravaudeurs. Leur art est près de mourir, peu à peu remplacé par la peinture à fresque. Ils le sentent. L’enthousiasme a déser
s, et celles du suave Masolino ; le palais Ricardi, avec les exquises peintures de Benozzo Gozzoli ; les Innocenti, avec les méda
e la sculpture florentine, comme la galerie de l’Académie l’est de la peinture  ; le palais Pitti, où les Florentins, les Vénitie
conservées, qui avaient été murées derrière une paroi de briques. Ces peintures seront restaurées par le professeur Luigi Cavenag
ois cent millions de francs, il faut citer particulièrement : […] des peintures de Raphaël (entre autres la Madone Colonna, achet
on ne le croit du xviiie français on a été aussi très ignorant de la peinture du xixe italien et des plus récents efforts. Le
inexplicable de la célèbre toile du Vinci ? Cette transposition de la peinture en chair, de la personnification vivante d’une fe
Ses meilleures pages ainsi sont sur les choses d’art, beaucoup sur la peinture de la grande épopée italienne. — Mais à propos de
oup sur la peinture de la grande épopée italienne. — Mais à propos de peinture , il indique aussi les méfaits des restaurateurs d
1882 et transportées au Louvre, l’auteur fait une description de ces peintures et nous donne sur les deux personnages ces précis
li, et Rogier van der Weyden. Du premier le musée ne possédait qu’une peinture vraiment authentique : la petite prédelle de la N
des machines) et les salons d’aviation bien supérieurs aux salons de peinture . Je ne pense pas qu’il puisse devenir fou, perdre
vec bonheur de la liberté de l’art, et du but où tendait le sien : la peinture de la vie, sans souci d’édifier ni de corrompre,
, « né d’un père allemand et d’une mère italienne », cultive aussi la peinture , la poésie, et « s’adonne à la philosophie par am
nçais, les batailles victorieuses pour la sculpture de M. Rosso et la peinture impressionniste française, dont elle a organisé,
nce artistique de nos compatriotes en faisant connaître et admirer la peinture française moderne, de Courbet jusqu’aux cubistes
e Wyzewa, dont nous avons encore d’excellentes pages sur Sienne et la peinture siennoise, indique enfin de quelle façon bizarre
neuse, dictant au Pérugin, à Mantegna et à Lorenzo Costa le thème des peintures destinées à décorer son Studio et qui sont aujour
23 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
les panneaux de ses chariots ; et ce Pierrequin Fautrel, qui fit les peintures de son mausolée en l’église des Carmes, et qui ce
ant, du Titien. C’est une des très rares grandes choses qui soient en peinture . L’homme qui a fait cela a à peine trente ans. Il
lent résumé de l’histoire de l’architecture, de la sculpture et de la peinture en Italie. L’auteur a su caractériser chaque arti
habiles gens du monde, avoit résolu l’établissement d’une académie de peinture , sculpture et architecture dans la ville de Rome,
nt en haut lieu du travail des pensionnaires. Natoire qui est dans la peinture à fresque jusqu’au cou, répond : « Quand ils sort
ait composée pour l’ambassadeur de Malte : « le goust qu’il a pour la peinture fait que j’ay l’honneur de le voir assez souvent,
et les autres villes où il y aura de belles choses. Cet amateur de la peinture rendra service à cet artiste qui travaille avec s
 » Ce voyage-là, nous le retrouverons clans les fragments choisis de peintures et tableaux d’italie, gravés au lavis par saint-n
d’un intérêt à peu près nul ; tout a été sacrifié, semble-t-il, à la peinture , à la sculpture, à l’illustration et à l’ameublem
sage de l’époque, et dont on rencontre de fréquents exemples dans les peintures d’autel de l’Ombrie et de la Marche d’Ancône : c’
24 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
s’improvisa sculpteur. Ce fut une révélation, une ivresse. Jamais la peinture ne lui avait donné telles satisfactions. L’impéné
r, fouiller, creuser, qui comporte de vrais plans, nets et palpables. Peinture  ? Sculpture ? Il n’y a qu’un art, toujours même e
t ; il n’y a pas moyen de le regarder autrement que dans son jour. La peinture n’a qu’un point de vue ; elle est exclusive et de
25 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
la bataille de Saint-Quentin où ils furent faits prisonniers, et deux peintures d’un Mantegna (Judith tenant la tête d’Holopherne
vendue en bloc à un consortium de marchands, et la plus belle de ces peintures , un Cavalier avec une dame buvant, passa en 1901
c et les plus beaux tableaux des galeries publiques) ; enlèvement des peintures des plafonds au palais des Doges et à la Scuola d
a l’abondance des charrettes siciliennes portant sur les panneaux des peintures de sujets divers. Il se trouva dépasser Palmanova
l démontre que si la faiblesse, à ce moment-là, de l’école romaine de peinture , la plus regardée par les Français en cours de vo
M. Pierre Arétin et le fit si bien qu’outre la ressemblance c’est une peinture la plus charmante qui soit, car on y voit la diff
lui, un beau pour la vertu et l’autre laid pour le vice ; c’est cette peinture que M. Pierre donna à sa patrie, et ses concitoye
ien français vient travailler en Hollande et, à la vue de cette belle peinture antique, demande à l’acheter. Antonio, pour pouvo
que l’on a ainsi retrouvé un nouveau portrait de saint François. Ces peintures étaient cachées sous une couche de chaux dans la
la petite église des Saints Jean et Paul, déjà connue pour une belle peinture dans la crypte souterraine, oratoire primitif en
26 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXVII »
it une permission que je vins chercher. Je trouvai de l’intérêt à une peinture de Giotto et à un tableau d’André Manteigne, beca
27 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
ne de ce sujet sa formule définitive. Fait neuf dans l’histoire de la peinture alpestre, nous avons beau nous trouver dans l’Alp
e œuvre de peintre, mais bien aussi de poète. Un admirable morceau de peinture encore, cette tête de paysanne buvant au creux de
le peintre qui ne saurait rien apprendre de plus, le peintre dont la peinture doit sans conteste s’assimiler à celles des plus
on nous la présente comme difficile et pas davantage qu’on taxe cette peinture de littéraire : ce sont, balancées à l’air glacia
de mort jusqu’à ce qu’elle l’ait expié par une nouvelle vie. Mais la peinture doit se passer d’explication, dira-t-on. On l’a d
l’a dit très souvent ; il n’en est pas moins vrai qu’il n’y a pas une peinture au monde qui n’ait eu son explication, à commence
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXVI »
lupart sont tendus en étoffes de soie. Ce goût fit tomber celui de la peinture  ; mais aujourd’hui, celles qu’on a trouvées à Pom
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 229, 1er janvier 1907 »
Dans le but d’en faciliter l’étude, le roi d’Italie a décidé que ces peintures , provenant de la villa Pelucca, près de Monza, se
30 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 240, 15 juin 1907 »
vres italiennes. Les enchères les plus fortes furent réservées à deux peintures du Titien : le Portrait d’un seigneur vénitien mo
31 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
rise individuelle ». Tome CXXI, numéro 455, 1er juin 1917 La Peinture d’avant-garde Gino Severini. Tome CXXI, numéro
ar un sens purement plastique, par un désir de faire uniquement de la peinture . La précision, le rythme, la brutalité des machin
perspective, nous touchons à la base même de notre art. En effet, la peinture est un art de construction, et la perspective est
uleur, élément fixe. Je crois qu’il est dans la tradition de toute la peinture de tenir compte de la qualité moléculaire, matéri
res qu’on appelle « d’avant-garde » et dont le but est de faire de la peinture , tout court. Car l’époque des réactions en « isme
ance tout à fait impersonnelle, créée par un dilettante notoire de la peinture . Celui-ci voudrait supprimer totalement l’individ
, qui est, comme j’ai lâché de le démontrer, l’esthétique de toute la peinture , constitue le seul chemin qui puisse conduire l’a
ons de nobles aventures. Mais la saveur du livre réside toute dans la peinture des caractères et des milieux de cette ville étra
plus souple et déliée, mais qui n’a rien perdu de sa verdeur. Telles peintures de rues, de campagnes et de types qu’on peut glan
32 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
il 1893, p. 382-384 [383]. […] Au Louvre : nouvelle acquisition : une peinture , école italienne du xve  siècle, portrait de jeun
33 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
L’école vénitienne au Louvre Le Louvre si abondamment pourvu de peintures de la décadence italienne est pourtant pauvre en
issement des plans, l’insuffisance de modelé, ne laissent à une telle peinture qu’un charme facile, dans lequel Paul Mantz voula
ple c’est très probablement Cariani. La qualité assez ordinaire de sa peinture se sent d’autant mieux que le voisinage de l’admi
sujet est très neuf dans l’histoire de l’art et que Ridolfi cite une peinture aujourd’hui perdue de Giorgione où l’on voyait « 
te écrivant peu après à Taddeo Albano pour lui demander d’acquérir la peinture d’un effet de nuit. Mais le marchand ne put s’acq
lle n’était pas aussi parfaite que celle que vous voudriez. Une autre peinture de nuit a encore été faite par le Zorzo pour un c
s le pays, et d’après ce qu’on m’a assuré, ni l’une ni l’autre de ces peintures ne sont à vendre pour aucun prix, parce que les p
ses premiers travaux. Je ne sais ce qu’est devenue la seconde de ces peintures et l’on n’a conservé de la dernière qu’une gravur
34 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
présenté avec la Muse derrière lui. Je n’ai jamais pu regarder cette peinture , écrivais-je jadis dans la Revue Bleue, sans ress
35 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
cet impressionnisme parfois grossier que certains confondent avec la peinture de la vie. Il possède, cela est indéniable, le se
36 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
Rome et au retour à Florence. La deuxième partie débute par la forte peinture de Florence sous le duc Alexandre, après l’éphémè
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