critique et gazetier ; le chapitre sur la musique, le chapitre sur la
peinture
; les trois chapitres sur le théâtre vénitien : l
3. M. Lionello Venturi vient de faire paraître sur les Origines de la
peinture
vénitienne un important ouvrage analogue à ceux d
t pour l’étude d’un peintre. La reproduction excellente de nombreuses
peintures
facilite encore cette étude. L’école primitive vé
son côté terminé sa fresque au même Palais des doges avant 1419. Ces
peintures
ont disparu ; quelques critiques pourtant ont vou
artiments et de bon miniaturiste il devient ainsi un rénovateur de la
peinture
, en apportant un soin nouveau à la reproduction d
oute d’ailleurs que Jean d’Allemagne n’ait la plus grande part en ces
peintures
; outre qu’il signe en premier, il donne aux figu
du dessin de la Madone centrale, la vivacité des couleurs en font une
peinture
de premier ordre. Un Quirizio da Murano, non plus
nifique des plans dans des œuvres comme sa Sainte-Claire. Sa première
peinture
connue est la Madone de Montefiorentino ; celle d
iothèque ambrosienne, Musée de Brera, où revit toute l’histoire de la
peinture
italienne, et précieux surtout pour l’étude de l’
pages de son livre d’appréciations trop souvent acerbes sur certaines
peintures
des collections milanaises et dont l’esprit exces
uis vingt siècles. Voici des maisons de patriciens encore revêtues de
peintures
et de mosaïques ; des cabarets, des boutiques ; l
uivalent à l’objurgation bien connue : Défense de déposer… Près d’une
peinture
représentant un homme accroupi, on peut lire : R
lle marque en outre le point de départ d’une nouvelle floraison de la
peinture
florentine qui abandonne le cadre narratif de la
tableau : ce que voyant, le Verrocchio aurait désormais renoncé à la
peinture
. Vasari s’est sur le dernier point contredit lui-
ant que le Verrocchio ne se reposait jamais, travaillant tantôt à des
peintures
, tantôt à des sculptures ; de plus, comment le ma
la quarantième année et que ce n’est qu’à ce moment qu’il se mit à la
peinture
et à la sculpture, on accordera que son œuvre, to
e Léonard, son nom eût été l’un des plus grands dans l’histoire de la
peinture
. Ne l’ayant pu faire il reste au second plan, mai
26, 15 novembre 1906 Comment Stendhal écrivit son Histoire de la
Peinture
en Italie Paul Arbelet. Tome LXIV, numéro 226
quelque petite rue sombre du vieux Milan, que naquit l’Histoire de la
Peinture
en Italie. L’« idée folle » en passa « par la têt
stant de loisir, — et en lisant le livre de Lanzi, — l’Histoire de la
Peinture
se ressentira de cette double influence qui prési
ctobre 181115. « Messieurs, « J’ai composé en 2 volumes l’hist. de la
peinture
en Italie depuis la renaissance de l’art vers la
dans son journal : … J’allai à Brera… Je trouvai de l’intérêt à une
peinture
de Giotto et à un tableau d’André Mantegna, à cau
perdre mon temps… Mais… j’acquerrais des connaissances véritables en
peinture
and probably money sufficient for a second tour t
ues registres, couleur vert pomme, qu’il destine à son Histoire de la
Peinture
. J’ai vu 14 de ces volumes ; ils contiennent enco
zelles, la vue du Vésuve, etc., 2° Le caractère des habitants ; 3° La
peinture
et les autres arts du dessin ; 4° La musique. Pou
erniers moyens, j’avais besoin d’étudier ces arts, et d’avoir pour la
peinture
un indicateur fait par moi, afin que les sentimen
de l’histoire de la musique de………, et un autre extrait de celle de la
peinture
, qui formeront mon vade-mecum si jamais je retour
s sécheresses d’une ambition déçue. Travailler à cette histoire de la
peinture
, traduire un auteur italien, c’était revoir l’Ita
mentalisme, que Beyle se mit à composer avec verve son Histoire de la
Peinture
. Ici, comme partout dans la vie de Stendhal, c’es
es Souv. d’égot.), qui avait déjà fait 12 volumes de l’Histoire de la
Peinture
, et ces volumes, perdus par lui en Russie, n’étai
insi que le volume XII contient une grande partie de l’Histoire de la
Peinture
, telle qu’elle devait être publiée cinq ans plus
à se souder et à s’amalgamer, s’ébauchait une histoire complète de la
peinture
italienne. Mais qu’était tout cela pour Beyle ? A
dhal aurait-il réalisé son premier projet, et publié l’Histoire de la
Peinture
à la fin de 1812. Dans sa hâte d’achever, il n’av
l’oublie. Il n’est question qu’une fois, en 1813, de l’Histoire de la
Peinture
: Beyle est à Milan, et, au milieu de ses amours,
as les cahiers verts ; ainsi je ne puis travailler à l’Histoire de la
Peinture
. (Journal, p. 442.) Mais ce n’est qu’un souvenir
rès tant d’années d’âpre travail commandé, qui d’abord le ramena à la
Peinture
. Ni ambition littéraire, semble-t-il, ni goût par
4, on trouve déjà quelques pages de l’Introduction à l’Histoire de la
Peinture
. Il tâchait aussi de consoler, par le travail, qu
uelques vagues regrets d’ambition déçue. Au milieu du manuscrit de la
peinture
, je trouve cette note, du 17 août : Pour que je
la Scala, il y songeait encore, et il note quelques réflexions sur la
peinture
qui lui étaient « passées par la tête » en écouta
naction non accoutumée venaient de ramener Beyle à son Histoire de la
Peinture
. Pourtant cette première ardeur au travail sans d
naïveté, il voulut se distraire de ses craintes. Et l’Histoire de la
Peinture
, qui l’avait autrefois aidé à se souvenir d’elle,
e trompe en chemin. Mais dans ces cahiers destinés à l’Histoire de la
Peinture
, il n’est jamais, cette année-là, question de pei
Histoire de la Peinture, il n’est jamais, cette année-là, question de
peinture
. Encore une fois, l’auteur s’est lassé, l’ouvrage
n aucun temps pour le patient travail de la fin. Cette Histoire de la
Peinture
lui avait à peu près donné tout ce qu’il en pouva
qu’elle ne vît jamais le jour. Et voici qu’en 1816, l’Histoire de la
Peinture
entre tout à coup dans une phase décisive. Beyle
même de porter son nom. Aussi32 ne signera-t-il pas l’Histoire de la
Peinture
en Italie. Elle ne portera que ces initiales myst
— plutôt que de mourir de faim, dit-il. Le succès de l’Histoire de la
Peinture
reste presque son seul espoir. Elle doit lui perm
C’est un gagne-pain. Et voici pourquoi, apparemment, l’Histoire de la
Peinture
parut enfin en 1817, après six ans de gestation,
plaires. (Souv. d’égot., p. 253.) À peine les 1 000 exemplaires de la
Peinture
enfin lancés, ce sera le tour des journaux. Stend
nt que le bouilli. Y a-t-il rien de plus bête ? § Ceux qui ont lu la
Peinture
en Italie s’étonneront moins de ses étrangetés, d
gondole, en rêvant de musique, de gloire ou d’amour. L’Histoire de la
Peinture
fit la campagne de Russie, et y laissa quelques m
n auteur. Il ne faut donc pas s’étonner si l’histoire du livre sur la
peinture
a, tel qu’un roman mal fait, ses incohérences et
r, est Fulvie et la Guerre agraire en Italie. 10. L’historien de la
peinture
italienne venait de passer deux mois en Italie ;
que les musées, étudié le caractère italien plus que la musique et la
peinture
, et aimé Angelina Pietragrua plus que l’art et la
: en sculpture, ce fut le tombeau de Marie-Christine, par Canova ; en
peinture
, le « Tableau des Limbes », du Bronzino (sans dou
plus tard, il formait le projet d’écrire lui-même une Histoire de la
Peinture
en Italie. 11. Inédit. 12. Je respecte l’ortho
bien l’italien ? 13. Auteur, très estimé alors, d’une Histoire de la
peinture
italienne, qui, plus tard, fut plusieurs fois tra
Ce sera à peu près la bibliographie définitive de son Histoire de la
Peinture
. 18. Inédit. 19. Il écrit ainsi parfois son nom
’ici de retrouver à peu près la date de naissance de l’Histoire de la
Peinture
, il se trouve dans une lettre à sa sœur, du 8 déc
de concierges, de cireurs de bottes qui se mettent du « métier de la
Peinture
» ? On ne saurait assez les exécrer. Le malheur e
l’Illustration. L’idée d’un peintre ne doit-elle pas avant tout être
peinture
, et peinture surtout plus que littérature ! Goya,
on. L’idée d’un peintre ne doit-elle pas avant tout être peinture, et
peinture
surtout plus que littérature ! Goya, Rembrandt, D
aître de deux choses opposées. Or, sans dire que la littérature et la
peinture
n’ont aucune connexion, je puis au moins dire, sa
aire restera purement littéraire il y aura désaccord entre elle et la
peinture
, car chacun de ces arts se compose d’éléments dif
remier coup que cela, très pictural en poésie, ne peut rien donner en
peinture
, et qu’un visage peint par un bon peintre lui ser
age peint par un bon peintre lui sera toujours préférable en tant que
peinture
? 2. Et voilà cependant ce que vous apprennent t
e de l’art, bibliophilie. Arsène Alexandre : Histoire populaire de la
Peinture
: École Italienne, illustrée de 250 gravures, in-
ux, ni d’ailleurs au peuple, que s’adresse l’Histoire populaire de la
peinture
, aujourd’hui achevée par un tome explicatif des é
res. Le public sera étonné d’apprendre que la Transfiguration est une
peinture
déplorable ; mais il faudrait peut-être étonner d
on admettait leurs principes, il faudrait se résigner à réinventer la
peinture
tous les siècles ! » Et même deux fois par siècle
de ressentir franchement la beauté des anciennes pages, écritures ou
peintures
. Au Louvre, les admirations des étrangers (qui se
nt pour le public que des boutiques de curiosités. Une histoire de la
peinture
doit donc servir à donner à quelques-uns la raiso
aint Pierre, sa Descente de Croix sont parmi les grandes choses de la
peinture
ancienne — et je dis ancienne parce qu’on y voit
ntations, il est plus analytique. Tandis que M. Ojetti a considéré la
peinture
, même en dehors de la peinture, comme la manifest
e. Tandis que M. Ojetti a considéré la peinture, même en dehors de la
peinture
, comme la manifestation d’une pensée générale, d’
dans les musées ; où les églises contiennent des œuvres nombreuses de
peinture
et de sculpture, — en somme, les vestiges estimés
(Frédéric Gittler) M. Teodor de Wyzewa est un ami des poètes de la
peinture
. Il n’a pas essayé, dans ses Maîtres italiens d’a
1451 dans le cloître de l’église S. Maria in Castello à Gênes. Peu de
peintures
sont dotées d’un charme si profond et si pénétran
icile de continuer à mettre Raphaël au rang des génies suprêmes de la
peinture
, Vinci, Titien, Vélasquez ou Rembrandt. Mement
e fascicule de Siena monumentale contient de belles reproductions des
peintures
du Palais public : celles de la salle de la Paix
o Lorenzetti sur la commande du Conseil des Neuf. Tous les sujets des
peintures
de la salle sont d’ailleurs empruntés aux choses
en sorte qu’il ne reste réellement aujourd’hui que des fragments des
peintures
primitives. Échos Mercure. Tome LXVI, numé
ale, sur la géologie soient des plus curieux, c’est quand il parle de
peinture
que malgré tout Vinci nous intéresse le plus vive
e peintre réplique qu’il envisage le même objet dans la science de la
peinture
, savoir : invention et mesure : invention de la m
ose la plus merveilleuse et la plus subtile qu’il était possible à la
peinture
de réaliser, de ce Paris, considéré comme la vill
is le suffrage de notre roi François Ier, il partage l’éponymat de la
peinture
avec deux pairs seulement, Michel-Ange et Raphaël
l’enseignement qu’il donna en son académie de Milan, où, à propos de
peinture
, il traitait de toutes les sciences, suivant sa d
comme à Milan, plus recherché encore pour sa conversation que pour sa
peinture
, il vécut entouré de fervents disciples et de dom
. L’artiste reste derrière l’observateur et sa description semble une
peinture
. « Les muscles, qui peuvent remuer les membres, s
e universel. Avec quelle indignation il se plaint que de son temps la
peinture
ne figurait pas au nombre des arts libéraux, elle
ace ou leur degré de culture, s’élève à la philosophie morale, par la
peinture
des passions. Il conclut que son tenant est le ne
maître, telles les mathématiques. Les sciences inimitables, comme la
peinture
, ne s’enseignent pas à celui que la nature n’a pa
venteur, il la découvre et la montre clairement en ses œuvres ; et la
peinture
pourrait s’appeler la démonstration ou l’inventio
our n’importe qui, comme la médecine ou le barreau. « Ô merveilleuse
peinture
, tu conserves les périssables beautés ; elles dur
Comme Léonard adopta l’expérimentalisme par conviction, il adopta la
peinture
comme expression, parce qu’il la considérait inco
aible de celles qu’il exprima, ne mérite pas de discussion. En soi la
peinture
est aussi inférieure que la musique ; et aucun ar
r, dont on fait indûment l’honneur à Rembrandt, posa les bornes de la
peinture
et aussi la première assise de la méthode moderne
léfice) est un drame réaliste, qui ne tire tout son intérêt que de la
peinture
de mœurs qu’il nous offre, la grande couleur loca
s siècles xiiie , xive et xve (avec 60 reproductions de sculptures,
peintures
, miniatures, gravures et mélodies), Bemporad, Flo
ir Martin Conway, en vue de la publication en belles héliogravures de
peintures
ou d’œuvres d’art inédites ou peu connues, conser
la villa Paradiso. Est-ce tout, enfin ? Non. Il reste les galeries de
peinture
dont Gênes possède des collections admirables, où
l étudie tout. On a apporté secrètement de Flandre les procédés de la
peinture
à l’huile. Le farouche Andrea del Castagno a essa
de son élève, aurait jeté ses pinceaux et renoncé pour toujours à la
peinture
. Les faits contredisent cette anecdote. D’après l
i lui-même, Verrocchio « ne se reposa jamais, s’occupant tantôt à des
peintures
tantôt à des sculptures, afin d’éviter par là le
tachée à la perspective et à la géométrie dans leurs rapports avec la
peinture
, même goût prononcé pour la musique, même penchan
08, p. 544‑546. L’entrée au Louvre il y a quelque temps déjà des deux
peintures
représentant la Nativité de saint Jean-Baptiste e
premier. En 1480 on le trouve à Gênes, mentionné à propos de diverses
peintures
. En 1504 il est revenu à Verceil ainsi qu’en fait
triptyque de Chieri commandé en 1503 par la famille Tana. Mais cette
peinture
diffère sensiblement d’une Madone de la pinacothè
toute la contrée, à Feletto, à Avigliana, à Moncalieri, à Turin, ses
peintures
abondent. Le père Bruzza a d’ailleurs découvert j
un Titien [extrait] 1er mai 1908 152-159 153 […] Un autre tableau,
peinture
de l’école vénitienne à son apogée et pour laquel
r les habituelles considérations d’ordre économique, à s’adonner à la
peinture
comme à un métier qui pourrait devenir lucratif,
oppe évoque avec une précision délicate et presque décrit l’admirable
peinture
, et fait songer, d’autre part, à quelques-unes de
ne connaissance intime de l’Italie artistique, de l’histoire et de la
peinture
italiennes. « Je voudrais citer, par exemple, les
us offre de précieuses observations sur les tendances nouvelles de la
peinture
dite mystique ; sur la peinture italienne en géné
ons sur les tendances nouvelles de la peinture dite mystique ; sur la
peinture
italienne en général et la floraison surprenante
romenades dans Rome, de Rome, Naples et Florence, de l’Histoire de la
peinture
en Italie, et de tant d’autres ouvrages où vibre
uméro 268, 16 août 1908, p. 719‑723 [719-722]. Louis Hourticq : La
Peinture
des origines au XVIe siècle (H. Laurens) Je n’
du résumé qu’a lui-même fait M. Hourticq de nos connaissances sur la
Peinture
des origines au xvie siècle : je me bornerai à d
e sujet. Voici du reste un exemple de la manière de M. Hourticq : La
peinture
italienne par excellence est la fresque, et les c
t dresser de belles architectures aux lignes savantes et précises. La
peinture
italienne, d’ailleurs, s’accommode aisément de ce
onne assez de noblesse pour remplacer la poésie disparue des vieilles
peintures
; en copiant la nature, ils conservent une manièr
ux dessins de l’artiste, des eaux-fortes de ses deux fils d’après ses
peintures
, une collection de photographies de ses œuvres, e
bon ton d’en faire étalage, comme ils témoignent de leur goût pour la
peinture
en se montrant chaque année au Vernissage tandis
taliens et français. Il a, par exemple, une étude : Max Klinger et la
peinture
trop ambitieuse, dont on ne saurait dire s’il fau
e Greuze (ou quelque niaiserie de cet ordre) ; mais celui qui aime la
peinture
désire que les Greuze soient retournés contre le
le expériences. Des critiques modernes, ne pensant qu’au Traité de la
peinture
, que, cent ans après, un Français, Raphaël de Fre
d’immortaliser les effets les plus subtils et les plus délicats de la
peinture
, il leur apparut comme le sorcier ou le magicien
hercher un résultat impossible, faire quelque chose que l’art, que la
peinture
ne peut jamais faire. Souvent l’expression de la
ticisme ténébreux se mêle à un mystère calme et plein de grâce, et la
peinture
plaît à l’œil en même temps qu’elle satisfait l’â
lièrement l’essai pensif de Goethe sur les tristes destinées de cette
peinture
. La mort en couches de la duchesse Béatrice fut s
t pu être moins durable. Dans l’espace d’une cinquantaine d’années la
peinture
était tombée en ruines. Et aujourd’hui nous somme
usiasme qui eût été plus naturel dans les temps reculés, où de bonnes
peintures
passaient encore pour tenir du miracle ; pendant
oire sacrée, non pour eux-mêmes, ni pour les rendre simplement par la
peinture
, mais comme d’un langage symbolique pour ses fant
affaibli de la lumière sous-marine. Elle est peut-être de toutes les
peintures
anciennes celle que le temps a le moins altérée4.
cchio, elle se retrouve enfin dans la maison d’Il Giocondo. Que cette
peinture
soit de la nature d’un portrait, le fait est atte
s « États-Unis des Îles Ioniennes », en 1815. Le livre débute par une
peinture
des mœurs corfiotes sous l’indolente, formaliste
s, au vrai sens du mot, ils sont pitoyables. Nous ne pouvons juger la
peinture
de Marcel, mais Schaunard, à moins qu’il n’ait ét
lle lumière, quel beau parti pris, quelle fraîcheur… La belle pâte de
peinture
, l’agréable et heureuse disposition, le beau choi
nifesta la plus grande surprise. Je compris que la nouveauté de cette
peinture
le déconcertait. Nous n’étions pas habitués à voi
l s’apprêtait à discuter lorsque Barbarelli continua : — On soumit ma
peinture
à un prêtre et à un administrateur des greniers m
ère, ils ajoutaient la parfaite connaissance des nouveaux procédés de
peinture
, qu’Antonello de Messine était allé chercher, en
faut faire autre chose. Et il retourna la Madone contre le mur. — Ma
peinture
éclatera, bientôt, comme une colère longtemps rép
le marbre et pour l’art… les femmes sont créées par la vie et pour la
peinture
. Il faut de la mollesse et de la lourdeur aux cha
u-frère Mantegna… il lui citait Scarpaccia qui a terminé d’admirables
peintures
pour Sant’ Orsola Mais Titian est têtu, il sait
le ? — Personne. — Je l’ai créé. Je pensai : « Et tu as créé aussi la
peinture
! » — Croyez-vous que Bellini puisse m’apprendre
meura rêveur, auprès de cette composition extraordinaire. Ceux que la
peinture
intéressait songeaient, déjà, à se la disputer et
et envoyé des messagers. On m’offre jusqu’à trente ducats, pour cette
peinture
. — Le prix est admirable. Accepte. — Non. — Pourq
le, cependant les apprentis de Bellini se déclaraient partisans de sa
peinture
. On l’entourait comme on entoure un homme riche d
heureux, Seigneur, vous qui aimiez la guerre autant que moi j’aime la
peinture
… ? — Ne parlons plus de la guerre… mais de ta pei
moi j’aime la peinture… ? — Ne parlons plus de la guerre… mais de ta
peinture
… Qu’as-tu fait, ces deux dernières années… ? — Je
— Qui a posé pour la Madone ? — La fille du paysan qui m’enseigna la
peinture
en arrangeant son étalage. Elle est mariée. L’enf
telle perfection… * De quel œil trop sévère regardait-il ses propres
peintures
, pour prononcer de pareilles phrases. La toile qu
ne… Mais pourquoi me demandez-vous cela, Seigneur ? — J’ai cru que ta
peinture
représentait, par une allégorie, les trois âges d
ais-tu tes pleurs, en entendant tes camarades décrire la beauté d’une
peinture
ou d’une femme ?… — Je préférerais mourir, Seigne
i. * J’avais la certitude que ce discours nous vaudrait quelque belle
peinture
. Je ne me trompai point. Peu après, Giorgio convi
ont les arts ne sont que la copie. Pour goûter les architectures, les
peintures
, les sculptures et les livres, il est nécessaire
en visitant l’Italie, que le but pratique d’écrire son Histoire de la
peinture
. Ce livre, il ne le composa qu’en des heures vide
s, nous l’avons dit, enrichir, ces temps derniers, le département des
peintures
du Musée du Louvre. Il ne s’agit de rien moins qu
e de décoration et s’en tenir à la maçonnerie, on s’adressa, pour les
peintures
et les sculptures, à des artistes vénitiens. Barb
dans ses bras ! Jamais elle ne manifestait le désir de connaître mes
peintures
. Un soir, comme nous nous promenions en gondole d
lo, je me montrai d’une exubérance qui me permit d’exécuter de belles
peintures
. Je ne vous parle pas des fêtes que j’organisai,
Ne vous désolez pas ! Ne m’oubliez pas. — Quand vous aurez achevé une
peinture
resplendissante de beauté… lorsque la beauté palp
cet art admirable ; c’est lui qui leur a montré ce que devait être la
peinture
; comment il faut modérer les chairs, choisir les
utement que Giorgio est le porte-flambeau de son art, le maître de la
peinture
? Qu’a-t-il à redouter ? La fortune et la supréma
vie siècle, M. Jean de Foville les médailleurs et M. André Pératé la
peinture
à la fin du xve siècle et au commencement du xvi
à son style le plus puissant et le plus large ; le temps enfin où la
peinture
s’enrichit des œuvres de Léonard et Raphaël, en q
t à la fois parler excellemment de l’architecture de Ravenne et de la
peinture
de Venise. Les chapitres consacrés à Giorgione et
ntreprise par l’éditeur Fr. Hanfstaengl, de Munich, sur La Galerie de
peinture
du Prado à Madrid (Die Gemælde-Galerie des Prado
x présidents de la Société, il offrait au Louvre une charmante petite
peinture
siennoise, et il faisait acheter par les Amis du
et candide de l’école siennoise n’était représentée que par de rares
peintures
. Chronique de Bruxelles. Une grande première d
sacré au grand maître vénitien contient la reproduction de toutes ses
peintures
connues ; c’est donc un recueil extrêmement préci
e l’Impératrice, et aujourd’hui il est venu chez nous. Il s’occupe de
peinture
. Après cette visite, nous sortons. Oh ! la laide
s suscité le même émoi. Est-ce un miracle d’art ou n’est-ce que de la
peinture
très habile ? J’ai toujours trouvé la Joconde plu
rtrait d’homme. Ce n’est ni un homme ni une femme, mais un exemple de
peinture
analytique, un problème de psychologie picturale
la Joconde, sa disparition du Louvre est une question étrangère à la
peinture
. On aurait volé un Canaletto, ce qui ne serait pa
i n’y sont entrés qu’une fois. Voilà les gens compétents à la fois en
peinture
et en administration. Laissons-les faire. Les
claves d’Auguste chez M. (?), vu encore ses (?). Vu un même col. avec
peintures
, vu le cirque de Romulus. Les Cariere sont-elles
et, après s’être débarrassé du cadre et de la glace qui recouvrait la
peinture
, a pu, favorisé par un concours de circonstances
ais jamais dans son entier, toutes les salles autres que celles de la
peinture
et des antiques n’étant visibles que certains jou
r régénérer son pays, lequel pays est trop hospitalier à son avis. En
peinture
, Bella Sguardo prétend faire apparaître sur la jo
tes sur les musées d’Italie. M. Grandgeorge est un enthousiaste de la
peinture
et dans ses voyages s’inquiète surtout des exposi
, d’un Guido Reni et d’un Philippe de Champaigne, la série des belles
peintures
de Mantegna, de Lorenzo Costa et du Pérugin, qui
ille de Tours d’autres échanges pour faire rentrer au Louvre ces deux
peintures
qui n’auraient jamais dû en sortir. Quand donc co
’arrivée, une seule ligne qui soit dans le tableau du départ. » Cette
peinture
, qui ainsi expliquée paraît avant tout sentimenta
nu à Paris et il est lui-même au courant des tendances de la nouvelle
peinture
française autant que quiconque en France. Les fut
ciser quel est, parmi les élèves de Van der Weyden, l’auteur de cette
peinture
. Puis il montre comment le sens de la composition
n’a jamais eu lieu entre nous, et — surtout — que mon opinion sur sa
peinture
et la peinture de ses amis a toujours été et rest
lieu entre nous, et — surtout — que mon opinion sur sa peinture et la
peinture
de ses amis a toujours été et reste exactement ce
V. Mercure de France, 16 mars 1911, p. 428. 61. Le Musée de Tours.
Peintures
, dessins, sculptures, meubles, etc. Introd. et ca
fflot. Avec des moyens médiocres, il voulait néanmoins s’essayer à la
peinture
, mais ne réunissait pas les qualités requises pou
ue ces derniers ont une copie à faire pour le Roy ou en marbre ou une
peinture
qui leur consomme leur quatrième année ; tribut a
ses dispositions éclatantes pour le dessin ne le conduisent pas à la
peinture
d’histoire. Et dans le cas où il ne se rencontrer
art qui jusqu’à présent avait été quelque peu négligé au profit de la
peinture
. Échos. Le Sottisier universel [extrait] Mer
vre [extrait] En attendant que le Louvre brûle, le département des
peintures
vient d’exposer, dans la salle des portraits d’ar
ational Gallery de Londres le droit de choisir parmi ses tableaux les
peintures
qu’elle voudra, à condition d’en prendre au moins
e… » Boronali s’exprimait ainsi : « Posons les grands principes de la
peinture
de demain. Sa formule est l’Excessivisme… L’excès
e chevalet, une toile à peindre à l’état de neuf. En ma présence, des
peintures
de couleur bleue, verte, jaune et rouge ont été d
ernard ; je ne parlerais pourtant pas ici de cette belle et puissante
peinture
si elle n’était significative de l’importance que
rent l’église, les murs nus, les cours pleines d’herbes sauvages, les
peintures
à fresque demeurées visibles à peine, les portes
aient en parlant bas. Elles passaient et repassaient alors devant une
peinture
à fresque qui représente la Mort en capuchon, et
sté dans les vieux murs où quelques fresques des premiers temps de la
peinture
n’ont pu survivre aux ans et à l’humidité. Crat
D. N. Moelus. Les
peintures
de cette église sont remarquablement belles. On n
ur l’architecture et la décoration d’influence française en Italie »,
peintures
du xve siècle au prieuré de Saint-Ours d’Aoste,
de ses tableaux historiques et mythologiques pour se reposer dans la
peinture
de petites toiles représentant des scènes de la v
assez grande perfection d’art pour mériter le nom de « Goldoni de la
peinture
». Telle est, ou à peu près, l’appréciation de M
es peintres de 1737 à 1773. En 1763 il fut président de l’Académie de
peinture
fondée par la famille Pisani et qui fut fermée de
qui fut fermée deux ans après ; dès 1766 il appartint à l’Académie de
peinture
créée par le Sénat : à cette occasion, il offrit
t ou une jeune dame à son rouet. Et vraiment en ce dernier cas, si la
peinture
est exquise, le crayon ne l’est-il pas plus encor
sue de la séance d’où son amant sortira condamné. On appelle cela une
peinture
de mœurs, c’en est une et, pour ceux qui en aimen
ouvent extraordinaire des œuvres d’art qu’elles recèlent. Sculptures,
peintures
, monuments funéraires s’y montrent à chaque pas,
a pour clore le livre de M. P. de Bouchaud une très bonne étude de la
peinture
locale, du xiie au xviiie siècle. Les Théâtr
oésie) et l’Architecture (et ses complémentaires : la Sculpture et la
Peinture
), qui répondent aux deux catégories théoriques :
re 1910, p. 150-153 [151-152, 153]. Léonard de Vinci : Traité de la
Peinture
, traduction nouvelle par Péladan (Delagrave, 7 fr
-t-il pu résister au désir de joindre à sa traduction du Traité de la
Peinture
, de Léonard de Vinci, un commentaire « perpétuel
res ; par une coïncidence notable, il fut élu membre de l’Académie de
peinture
le même jour que Francesco Guardi, le 12 septembr
é dans aucun conservatoire. Art moderne. Société internationale de
Peinture
et de Sculpture [extrait] André Fontainas. Tom
d’art de l’école vénitienne ; c’est une énumération de peintres et de
peintures
; mais si Venise est un des plus beaux musées de
d’approuver son conseil aux jeunes femmes du monde de se livrer à la
peinture
et de mettre l’atelier à la mode. Nous avons asse
Gazette des Beaux-Arts (1er mai). — Excellentes vues générales sur la
peinture
moderne à propos des Salons, par M. Henry Marcel.
r M. Henry Marcel. M. Adolfo Venturi, avec sa rare connaissance de la
peinture
italienne, commence à développer dans un premier
confrère y étudie Santi comme peintre et comme architecte, décrit les
peintures
du Vatican et les tapisseries exécutées d’après d
illes gens et d’en tirer de belles copies, tant d’architecture que de
peinture
et de sculpture. » Premièrement, Monseigneur, pou
s architectes que tout ce que l’on voit dans Rome. » A l’esgard de la
peinture
, les lieux où sont les belles choses qui ont acqu
patent pour la poésie et l’architecture. Cela est vrai aussi pour la
peinture
et la statuaire. Un instant vient où les générati
es, tout ici, en vérité, dénonce bien ce premier des maîtres, cette «
peinture
qui fait oublier tout ce qui n’est pas elle et do
rès intéressante, de M. Celega ; une étude de M. A.-G. Bianchi sur la
peinture
abyssinienne. C’est à l’exposition de Palerme que
tout l’idéal de cet artiste étrange. M. Bianchi remarque que toute la
peinture
abyssinienne se ressemble prodigieusement ; il y
hair ; le dragon, vert. Ce saint George ressemble encore beaucoup aux
peintures
que l’on voit sur les vases étrusques ; il a une
faire au théâtre une tentative pareille à celle des préraphaélites en
peinture
, pourra seulement, et si l’on veut, divertir un i
’Iconoclastie ruinait, en Orient, l’influence des ordres monastiques.
Peinture
ou mosaïque, les Icônes étaient presque toujours
petto, beaucoup de corollaires de mes principes, que, par exemple, la
peinture
des caractères et le vis comica manquent entièrem
nd à esprit mercantile. Aisance et naturel de Milanese. Oratoire avec
peinture
du petit marchand. Promenade à la villa du Comte
ratoire San Bernardino à Sienne (1518) comptent parmi les plus belles
peintures
murales du commencement du xvie siècle : les rep
ints de vue historiques, d’événements arrivés vraiment à l’auteur, de
peintures
de la société de son temps, tableaux admirablemen
pas. De même que depuis quelques centaines d’années, on a éloigné la
peinture
du mur immobile et toujours quelque peu solennel,
éperdue, dont seules les novices sont susceptibles. Qu’on imagine une
peinture
séraphique de Fra Angelico, le « Beato », l’artis
er la théorie des peintres futuristes italiens et d’y confronter leur
peinture
. Je pense au prochain article me faire l’écho des
listes. Les Futuristes sont très instruits des derniers efforts de la
peinture
contemporaine. Ils ont trouvé des guides à Paris,
reille émotion, et pareil empressement à venir ressentir devant de la
peinture
audacieuse les saintes colères académiques. Cette
deux ordres de raisons. D’abord les futuristes abordent hardiment la
peinture
littéraire et la plus complexe, deuxièmement leur
rdiment la peinture littéraire et la plus complexe, deuxièmement leur
peinture
ne considère ni les corps comme opaques, ni les p
tage ; puis de ce que jusqu’aujourd’hui on n’a pas encore envisagé la
peinture
comme devant donner des impressions simultanées d
es, servent à exposer les nouvelles acquisitions du département de la
peinture
, on vient d’accrocher trois dessins que M. Bonnat
de Monza. Une légende extrêmement romanesque s’attache à ce cycle de
peintures
: Luini, accusé à la cour de Milan du meurtre du
ont d’yeux que pour les monuments, pour les ruines, pour les vieilles
peintures
et pour le cadre merveilleux qui rehausse ces che
ome XCVI, numéro 354, 16 mars 1912, p. 408-411 [409-410]. À propos de
peinture
, il sera plus séant de signaler la belle étude de
M. Saponaro (Libero Ausonio), Rosolacci, est également consacré à la
peinture
de genre, du genre paysan. L’amour, thème perpétu
. L’intérêt vrai des Mémoires n’est pas dans ces récits, mais dans la
peinture
de toute une époque admirablement représentée et
sont pas, pourtant, tous de l’espèce qu’on eût pu souhaiter. […] À la
peinture
, il faut signaler avant tout une des plus heureus
le Louvre ; Mme Mary Logan écrit avec raison15 que c’est là « une des
peintures
les plus importantes qui, depuis plusieurs années
e de Corot : La Trinité-des-Monts vue de l’Académie de France à Rome,
peinture
sobre et fine, toute baignée de lumière, qui figu
— et nous n’y avons jamais manqué — à l’activité du conservateur des
peintures
et aux décisions heureuses du Conseil des Musées,
ienne cathédrale, et au-dessous une crypte mystérieuse avec de nobles
peintures
datant peut-être de l’occupation angevine ; mais
et natures mortes, de tableaux portatifs, qui répond assez bien à la
peinture
qu’on nous sert habituellement ; mais qui n’a auc
lait qu’une terreur superstitieuse47. Il est digne de remarque que la
peinture
de paysages inventée en Wallonie, contrée aux hor
spondance entre l’état du sentiment du paysage chez les maîtres de la
peinture
et dans le public ? S’il est difficile de reconna
Peut-on, à certaines époques, aimer un paysage peint comme on aime la
peinture
de l’avarice, sans aimer l’avarice elle-même ? L’
minent pas toujours ensemble. Le sentiment maternel a inspiré dans la
peinture
une foule d’œuvres délicieuses ou sublimes. Dans
parlé de la Mère, le dernier ignore son magique royaume. Tandis qu’en
peinture
la représentation du sentiment maternel dérive de
assez pour pleurer devant la Nuit de Noël du Corrège, ce poète de la
peinture
; enfin ses Lettres d’Italie (1730 et 1740) reste
, meubles Renaissance, tapisseries, […] surtout des sculptures et des
peintures
italiennes où brillent les noms de Donatello, de
t ses fresques de l’Angelico, Santa Maria Novella, si riche en belles
peintures
, — enfin la Galerie des Offices, avec ses innombr
e Soulier indique avec précision quel fut le rôle du Tintoret dans la
peinture
vénitienne, comment les recherches d’une techniqu
aussi, serait classé beaucoup plus haut si on le connaissait, si ses
peintures
de la Farnésine, à Rome, étaient visibles, s’il n
st, à propos d’une exposition régionale, une histoire complète de la
peinture
aux xve et xvie siècles en ce coin de terre ; o
ue et que souvent des questions de mode ont fait écarter : telles des
peintures
de cette école bolonaise autrefois trop vantée, a
ôme déshonoré par les restaurateurs, mais qui garde ses tombeaux, les
peintures
curieuses de la crypte, — la salle basse à cinq n
marchent, exaltés ou extasiés, et créent les mouvements récents de la
peinture
, de la musique et de la prosodie nouvelles. Nulle
du diocèse de Tours signale aussi le danger du salpêtre qui ronge les
peintures
murales du château de Loches, dues à la main de L
du château de Loches, dues à la main de Ludovic. « Ces très curieuses
peintures
murales, dit-il, sont progressivement rongées par
montée de ce fleuve rapide du temps le fatiguera ; il tombera dans la
peinture
, sans équivoque, des scènes modernes — sans en li
éoccuper de la beauté ; ils transportèrent d’abord les statues et les
peintures
de Syracuse, de Capoue, de Corinthe, de Carthage.
érance pour les proscrits, les Muses pour les poètes, Mercure pour la
peinture
, le Paradis pour les gens d’église, et pendant le
tique ; le littérateur s’est amusé à décrire en détail bon nombre des
peintures
qu’il a pu admirer et il nous fait visiter avec l
u goût, toutes les merveilles d’un art spirituel : l’Architecture, la
Peinture
, la Musique, la Poésie. Ah ! tout cela qui veut s
t vers la hauteur, soit dans la proportion, soit dans le style, et la
peinture
par la profondeur, soit dans la perspective linéa
splendide, des Tiepolo et des Guardi, tous de qualité. Si, parmi les
peintures
exposées à la galerie Trotti, quelques-unes ne dé
r longuement le visiteur. Avant eux, il faut d’ailleurs signaler deux
peintures
attribuées à l’atelier de Botticelli, la Madone d
a famille Concina et la Vierge à la Grenade. Seule la première de ces
peintures
soutient cette attribution, et sans la défaillanc
tout cas, accuse le type familier à l’artiste, et cette partie de la
peinture
n’est pas indigne de lui. La Vierge à la Grenade
lenteur habituelle, lorsqu’il s’agissait de livrer définitivement une
peinture
, Titien, après avoir sans doute brossé la tête et
lles au lieu de les envoyer en Amérique, est à lui seul très riche de
peintures
de Giovanni Battista Moroni, puisqu’il possède en
e la description des richesses du musée (il comprend actuellement 700
peintures
, 200 sculptures et 2 000 dessins), où les princi
sure fait aussi un harmoniste du soleil, enseignerait le mieux quelle
peinture
correspond à la nature mi-européenne, mi-africain
t trop usée. » Pourtant les jugements nouveaux qu’il a portés sur les
peintures
et la sculpture des Musées nous ont délivré à jam
s, n’a traversé la belle jeunesse de Dom Destrée, épris uniquement de
peinture
, de musique et de poésie. Mais, au milieu d’un de
une soixantaine de tableaux de l’ancienne galerie, plus de deux cents
peintures
, toutes remarquables, provenant les unes du Latra
ar le Barroccio ; une admirable Pietà attribuée à Cranach ; parmi les
peintures
modernes, un grand portrait en pied du roi d’Angl
livre de dessins, si précieux pour la connaissance des origines de la
peinture
vénitienne, fut acquis en 1884 par le Louvre grâc
gt-cinq cartes semblables (à 12 heller : 12 cent, 1/2) consacrées aux
peintures
anciennes de la collection d’un célèbre amateur e
e illustré, rédigé par M. Gustave Gruyer, consacré à la collection de
peintures
, dessins, eaux-fortes, sculptures et objets d’art
lication, parvenue ainsi à la moitié de son programme : La Galerie de
peinture
du musée du Prado, à Madrid. […] Viennent ensuite
une dissertation qu’un historique, et reproduisent de très nombreuses
peintures
et différents sites et monuments d’Assise. Mem
musiciens et les écrivains ont eu plus de chance que les peintres. La
peinture
italienne seule, sous le nom de divisionnisme, a
ouver de nouveaux accents d’éloquence, des beautés d’expression et de
peinture
et de sentiments d’affection et de solidarité hum
la Renaissance. M. Gaston Migeon y étudie la céramique en Italie ; la
peinture
est passée en revue par M. A. Pératé, qui nous fa
siècle, fut ensuite répartie entre le Louvre, qui ne retint que 313
peintures
, le musée de Cluny, où furent envoyées 12 toiles,
années, on a annoncé la “découverte” dans un musée de province d’une
peinture
italienne signée ou datée qui, vérification faite
vel (18, rue Tronchet) du 15 janvier au 1er février. On y verra de la
peinture
, des dessins et des dessins colorés. L’exposition
nsée lui imprime. Ensuite, il n’existe pas d’art statique, puisqu’une
peinture
digne de ce nom est toujours un organisme vivant,
ective. Évidemment, s’il y avait équilibre dans cette concurrence, la
peinture
serait statique, c’est-à-dire sans vie, et alors
au mouvement des formes humaines, fut appelée par le peintre Dufy : «
peinture
unanimiste ». À ce moment-là j’ignorais la signif
ai trouvé dans ce nouveau point de contact entre la littérature et la
peinture
qu’une confirmation et une certitude. Ce mouvemen
s uns à Sansovino, par d’autres à Michel-Ange jeune, et de nombreuses
peintures
entre lesquelles il faut citer des œuvres de Giov
t du colossal d’un peuple de parvenus. « Qui parle au xxe siècle de
peinture
allemande, de musique allemande, de poésie allema
orte d’ailleurs : l’œuvre est belle, elle est émouvante, elle est une
peinture
exacte des passions, et elle suffit à notre joie
qu’il la sent. C’est son droit. — Hé bien, moi, j’en ai assez, de ses
peintures
. Je les trouve d’ailleurs inexactes. Si vous vous
— sont absolument indemnes de toute infiltration germanique. Dans la
peinture
, — à part quelques velléités scandinaves et séces
e que nous en savons ; il ne nous apporte rien de nouveau, quoique sa
peinture
soit fortement évocatrice. Mais d’autres chapitre
cité des Musées de France la reproduction hors texte de quatre de ces
peintures
. 3. V. sur ce point la savante discussion de M.
e sur l’œuvre du Vinci. Taine cherche à comprendre l’attrait de cette
peinture
, à se rendre compte du « procédé » ; Gautier et H
donnèrent leur adhésion au mouvement et publièrent le manifeste de la
peinture
futuriste qui fut bientôt suivi par des expositio
frisées. Il était né à Paris, y avait étudié les belles-lettres et la
peinture
, et n’était jamais retourné en Angleterre, sa pat
e et blond, ne parlant que par monosyllabes. Il aimait la musique, la
peinture
, et les États républicains. Quand ils eurent ache
its des vieux maîtres, je demeurai ébloui, et comme hébété, devant la
peinture
de mon ami. Les mains et le visage, entièrement t
ne cheminée vénitienne aux armes des Micheli, un plafond décoré d’une
peinture
allégorique provenant aussi de Venise, accompagne
aître. Elle sourit, et songea à son portrait véritable. — À propos de
peinture
, reprit Ugo, je vous garde, cet après-midi. Vous
le premier peintre du monde. Jamais on n’a rien fait de plus beau en
peinture
, ni en quelque art que ce soit. Je voudrais tenir
mplète de cette princière donation ; elle ne comprend pas moins de 51
peintures
, parmi lesquelles des œuvres de Fra Angelico, Ant
plus incontestables chefs-d’œuvre de Raphaël et un des sommets de la
peinture
. Coppée, en le qualifiant d’« œuvre totale, absol
07, 1er juin 1914, p. 633-639 [638]. Chez Vollard une grande série de
peintures
de M. Franc-Lamy sur Venise et la Côte d’Azur d’u
énitienne, le tombeau d’un membre de la famille Emo ; puis, parmi les
peintures
, un charmant tondo de Ghirlandajo, une Vierge au
mot substitué, pas une virgule déplacée, pas de voile de gaze sur les
peintures
libidineuses — n’auraient jamais rencontré l’accu
qu’elle offre à l’imagination une matière riche et attrayante pour la
peinture
. L’action est donc dans le drame la chose princip
e j’aime dans le livre de M. André Lebey, outre ses qualités de forte
peinture
historique, c’est la façon dont il est écrit et c
nzio en littérature, Scarfoglio dans le journalisme, Michetti dans la
peinture
. M. Pantini vit la plupart du temps à Florence, e
ise Saint-Marc, les fresques de Tiepolo au palais Labia (Venise), des
peintures
murales et des portes de palais à Milan ; de M. J
vec leurs édifices demeurés debout, des œuvres de la statuaire, de la
peinture
, des arts mineurs, souvent si nombreuses qu’on ne
linquant ? Il faudrait ajouter quelques mots sur les reproductions de
peinture
et sculpture données par M. Müntz. Elles sont lég
enir tragique des Malatesta. — Mais on parle peut-être un peu trop de
peinture
dans les livres de M. Gabriel Faure, et il y a to
unis simplement par une réciproque estime et voisinant bien. […] Des
peintures
de M. Bucci saisissent par leur rapide vérité, pa
és ravaudeurs. Leur art est près de mourir, peu à peu remplacé par la
peinture
à fresque. Ils le sentent. L’enthousiasme a déser
s, et celles du suave Masolino ; le palais Ricardi, avec les exquises
peintures
de Benozzo Gozzoli ; les Innocenti, avec les méda
e la sculpture florentine, comme la galerie de l’Académie l’est de la
peinture
; le palais Pitti, où les Florentins, les Vénitie
conservées, qui avaient été murées derrière une paroi de briques. Ces
peintures
seront restaurées par le professeur Luigi Cavenag
ois cent millions de francs, il faut citer particulièrement : […] des
peintures
de Raphaël (entre autres la Madone Colonna, achet
on ne le croit du xviiie français on a été aussi très ignorant de la
peinture
du xixe italien et des plus récents efforts. Le
inexplicable de la célèbre toile du Vinci ? Cette transposition de la
peinture
en chair, de la personnification vivante d’une fe
Ses meilleures pages ainsi sont sur les choses d’art, beaucoup sur la
peinture
de la grande épopée italienne. — Mais à propos de
oup sur la peinture de la grande épopée italienne. — Mais à propos de
peinture
, il indique aussi les méfaits des restaurateurs d
1882 et transportées au Louvre, l’auteur fait une description de ces
peintures
et nous donne sur les deux personnages ces précis
li, et Rogier van der Weyden. Du premier le musée ne possédait qu’une
peinture
vraiment authentique : la petite prédelle de la N
des machines) et les salons d’aviation bien supérieurs aux salons de
peinture
. Je ne pense pas qu’il puisse devenir fou, perdre
vec bonheur de la liberté de l’art, et du but où tendait le sien : la
peinture
de la vie, sans souci d’édifier ni de corrompre,
, « né d’un père allemand et d’une mère italienne », cultive aussi la
peinture
, la poésie, et « s’adonne à la philosophie par am
nçais, les batailles victorieuses pour la sculpture de M. Rosso et la
peinture
impressionniste française, dont elle a organisé,
nce artistique de nos compatriotes en faisant connaître et admirer la
peinture
française moderne, de Courbet jusqu’aux cubistes
e Wyzewa, dont nous avons encore d’excellentes pages sur Sienne et la
peinture
siennoise, indique enfin de quelle façon bizarre
neuse, dictant au Pérugin, à Mantegna et à Lorenzo Costa le thème des
peintures
destinées à décorer son Studio et qui sont aujour
les panneaux de ses chariots ; et ce Pierrequin Fautrel, qui fit les
peintures
de son mausolée en l’église des Carmes, et qui ce
ant, du Titien. C’est une des très rares grandes choses qui soient en
peinture
. L’homme qui a fait cela a à peine trente ans. Il
lent résumé de l’histoire de l’architecture, de la sculpture et de la
peinture
en Italie. L’auteur a su caractériser chaque arti
habiles gens du monde, avoit résolu l’établissement d’une académie de
peinture
, sculpture et architecture dans la ville de Rome,
nt en haut lieu du travail des pensionnaires. Natoire qui est dans la
peinture
à fresque jusqu’au cou, répond : « Quand ils sort
ait composée pour l’ambassadeur de Malte : « le goust qu’il a pour la
peinture
fait que j’ay l’honneur de le voir assez souvent,
et les autres villes où il y aura de belles choses. Cet amateur de la
peinture
rendra service à cet artiste qui travaille avec s
» Ce voyage-là, nous le retrouverons clans les fragments choisis de
peintures
et tableaux d’italie, gravés au lavis par saint-n
d’un intérêt à peu près nul ; tout a été sacrifié, semble-t-il, à la
peinture
, à la sculpture, à l’illustration et à l’ameublem
sage de l’époque, et dont on rencontre de fréquents exemples dans les
peintures
d’autel de l’Ombrie et de la Marche d’Ancône : c’
s’improvisa sculpteur. Ce fut une révélation, une ivresse. Jamais la
peinture
ne lui avait donné telles satisfactions. L’impéné
r, fouiller, creuser, qui comporte de vrais plans, nets et palpables.
Peinture
? Sculpture ? Il n’y a qu’un art, toujours même e
t ; il n’y a pas moyen de le regarder autrement que dans son jour. La
peinture
n’a qu’un point de vue ; elle est exclusive et de
la bataille de Saint-Quentin où ils furent faits prisonniers, et deux
peintures
d’un Mantegna (Judith tenant la tête d’Holopherne
vendue en bloc à un consortium de marchands, et la plus belle de ces
peintures
, un Cavalier avec une dame buvant, passa en 1901
c et les plus beaux tableaux des galeries publiques) ; enlèvement des
peintures
des plafonds au palais des Doges et à la Scuola d
a l’abondance des charrettes siciliennes portant sur les panneaux des
peintures
de sujets divers. Il se trouva dépasser Palmanova
l démontre que si la faiblesse, à ce moment-là, de l’école romaine de
peinture
, la plus regardée par les Français en cours de vo
M. Pierre Arétin et le fit si bien qu’outre la ressemblance c’est une
peinture
la plus charmante qui soit, car on y voit la diff
lui, un beau pour la vertu et l’autre laid pour le vice ; c’est cette
peinture
que M. Pierre donna à sa patrie, et ses concitoye
ien français vient travailler en Hollande et, à la vue de cette belle
peinture
antique, demande à l’acheter. Antonio, pour pouvo
que l’on a ainsi retrouvé un nouveau portrait de saint François. Ces
peintures
étaient cachées sous une couche de chaux dans la
la petite église des Saints Jean et Paul, déjà connue pour une belle
peinture
dans la crypte souterraine, oratoire primitif en
it une permission que je vins chercher. Je trouvai de l’intérêt à une
peinture
de Giotto et à un tableau d’André Manteigne, beca
ne de ce sujet sa formule définitive. Fait neuf dans l’histoire de la
peinture
alpestre, nous avons beau nous trouver dans l’Alp
e œuvre de peintre, mais bien aussi de poète. Un admirable morceau de
peinture
encore, cette tête de paysanne buvant au creux de
le peintre qui ne saurait rien apprendre de plus, le peintre dont la
peinture
doit sans conteste s’assimiler à celles des plus
on nous la présente comme difficile et pas davantage qu’on taxe cette
peinture
de littéraire : ce sont, balancées à l’air glacia
de mort jusqu’à ce qu’elle l’ait expié par une nouvelle vie. Mais la
peinture
doit se passer d’explication, dira-t-on. On l’a d
l’a dit très souvent ; il n’en est pas moins vrai qu’il n’y a pas une
peinture
au monde qui n’ait eu son explication, à commence
lupart sont tendus en étoffes de soie. Ce goût fit tomber celui de la
peinture
; mais aujourd’hui, celles qu’on a trouvées à Pom
Dans le but d’en faciliter l’étude, le roi d’Italie a décidé que ces
peintures
, provenant de la villa Pelucca, près de Monza, se
vres italiennes. Les enchères les plus fortes furent réservées à deux
peintures
du Titien : le Portrait d’un seigneur vénitien mo
rise individuelle ». Tome CXXI, numéro 455, 1er juin 1917 La
Peinture
d’avant-garde Gino Severini. Tome CXXI, numéro
ar un sens purement plastique, par un désir de faire uniquement de la
peinture
. La précision, le rythme, la brutalité des machin
perspective, nous touchons à la base même de notre art. En effet, la
peinture
est un art de construction, et la perspective est
uleur, élément fixe. Je crois qu’il est dans la tradition de toute la
peinture
de tenir compte de la qualité moléculaire, matéri
res qu’on appelle « d’avant-garde » et dont le but est de faire de la
peinture
, tout court. Car l’époque des réactions en « isme
ance tout à fait impersonnelle, créée par un dilettante notoire de la
peinture
. Celui-ci voudrait supprimer totalement l’individ
, qui est, comme j’ai lâché de le démontrer, l’esthétique de toute la
peinture
, constitue le seul chemin qui puisse conduire l’a
ons de nobles aventures. Mais la saveur du livre réside toute dans la
peinture
des caractères et des milieux de cette ville étra
plus souple et déliée, mais qui n’a rien perdu de sa verdeur. Telles
peintures
de rues, de campagnes et de types qu’on peut glan
il 1893, p. 382-384 [383]. […] Au Louvre : nouvelle acquisition : une
peinture
, école italienne du xve siècle, portrait de jeun
L’école vénitienne au Louvre Le Louvre si abondamment pourvu de
peintures
de la décadence italienne est pourtant pauvre en
issement des plans, l’insuffisance de modelé, ne laissent à une telle
peinture
qu’un charme facile, dans lequel Paul Mantz voula
ple c’est très probablement Cariani. La qualité assez ordinaire de sa
peinture
se sent d’autant mieux que le voisinage de l’admi
sujet est très neuf dans l’histoire de l’art et que Ridolfi cite une
peinture
aujourd’hui perdue de Giorgione où l’on voyait «
te écrivant peu après à Taddeo Albano pour lui demander d’acquérir la
peinture
d’un effet de nuit. Mais le marchand ne put s’acq
lle n’était pas aussi parfaite que celle que vous voudriez. Une autre
peinture
de nuit a encore été faite par le Zorzo pour un c
s le pays, et d’après ce qu’on m’a assuré, ni l’une ni l’autre de ces
peintures
ne sont à vendre pour aucun prix, parce que les p
ses premiers travaux. Je ne sais ce qu’est devenue la seconde de ces
peintures
et l’on n’a conservé de la dernière qu’une gravur
présenté avec la Muse derrière lui. Je n’ai jamais pu regarder cette
peinture
, écrivais-je jadis dans la Revue Bleue, sans ress
cet impressionnisme parfois grossier que certains confondent avec la
peinture
de la vie. Il possède, cela est indéniable, le se
Rome et au retour à Florence. La deuxième partie débute par la forte
peinture
de Florence sous le duc Alexandre, après l’éphémè
▲