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1 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
foraines. Et pourtant nous assistons à l’éclosion de tous les grands peintres italiens. Fabio et Sylvia sortent vainqueurs de t
ayant à force de séduction, se cache un profond mystère. Après que le peintre a pris si fidèlement à la nature tous les détails
à se mettre en conversation avec elles : avec presque tous les autres peintres on y parvient vite ; avec Léonard, il en est autr
Ange, ni Corrège, ni Raphaël n’iront au-delà. Léonard de Vinci est un peintre intellectuel, c’est un peintre pour littérateurs.
iront au-delà. Léonard de Vinci est un peintre intellectuel, c’est un peintre pour littérateurs. Le Voleur de la Joconde (G
mporter dans sa chambre d’hôtel garni un tableau de Véronèse, qui est peintre comme un potier est potier. Magnifique ironie ! C
. Léonard de Vinci est le premier des riches amateurs, le premier des peintres à système. La Joconde est un tableau pour profess
res à système. La Joconde est un tableau pour professeurs et non pour peintres . Léonard est un élève de Gustave Moreau. Léonard
éronèse ou le grand Titien. Vincenzo Peruggia, on vous a trompé : Nul peintre n’aima jamais la Joconde. Vincenzo Peruggia, les
ous connaissons en France. Vincenzo Peruggia, on vous a trompé : Nul peintre n’aima jamais la Joconde. Que pensent les peintre
vous a trompé : Nul peintre n’aima jamais la Joconde. Que pensent les peintres , et les plus modernes, de cette assertion d’un li
lus modernes, de cette assertion d’un littérateur ? L’opinion d’un peintre sur la Joconde (Comœdia, 4 janvier) Voici déjà
ntre sur la Joconde (Comœdia, 4 janvier) Voici déjà l’opinion d’un peintre qui connaît son métier. M. Anquetin écrit dans Co
ioli, Palazzeschi se joignirent à lui ; l’année d’après, en 1910, les peintres Boccioni, Carrà, Russolo et Balla donnèrent leur
e, au moins dans ses moyens. Marinetti, obsédé par les recherches des peintres futuristes (simultanéité, dynamisme, compénétrati
r avec lui, mais bien pour avoir des renseignements sur notre ami, le peintre Wellseley. Puis, je n’estimais pas Stella-Lucente
idées fort avancées en art et en littérature. Elle a cité des noms de peintres et de poètes qu’admirent les amis que je loge che
, sèchement, Antonio. Il aurait bien voulu en savoir davantage sur le peintre , mais Paolo m’ayant rappelé que nous devions part
ianiste qui possédait la plus frénétique cervelle de création ; et le peintre John-Arthur Wellseley, que je trouvai dans le sal
s son monologue : « J’ai eu tort de permettre à Aldramino d’amener ce peintre chez moi. Qui est-il ? Voilà longtemps qu’Enea m’
nde. Non ! Dans les églises, les musées. Sa beauté l’a frappé. Il est peintre . Il l’a suivie. Il a appris son nom… On est entou
me présente moi-même. Notre ami est à Vérone… — Je le sais. Vous êtes peintre , Monsieur ? Sans attendre la réponse de Wellseley
roposition, interrompit Stella-Lucente, ne m’offense point. Vous êtes peintre , et vous ne demandez qu’à exercer votre métier. J
l avec une galanterie cérémonieuse, je vous présente M. Wellseley, un peintre qui désire faire votre portrait. Monsieur est un
ntre tous ses principes. Il a refusé, très souvent, cet honneur à des peintres que je lui avais recommandés. Le seul mot d’« art
le, la femme d’un Stella-Lucente, sous les regards, inquisiteurs d’un peintre , d’un amant de la forme, qui l’étudiera trait par
e savoir comment elle compte poser. Elle songe, quelques instants, au peintre . Elle l’évoque, dans le salon, aux côtés d’Antoni
a d’une voix sinistrement enjouée : — Eh bien ! que pensez-vous de ce peintre  ? — Je n’ai pas regardé ce qu’il a fait. — Vous a
yable. Il réfléchit un instant, puis : — Je doute qu’il soit vraiment peintre , ce garçon-là ! Et comme cette remarque laissait
arviendrait à vous peindre dignement ! Il faut être la maîtresse d’un peintre pour lui inspirer un chef-d’œuvre ! Oh ! ne vous
Certes n’importe quelle femme peut servir de modèle, poser devant un peintre comme devant un photographe ! Mais je parle d’une
uvre, n’était-ce point admirable ! — Oh ! Wellseley, confessait-il au peintre , je vous devrai de très nobles heures ! Que je vo
assa de perdre son temps dans l’atelier, pour surveiller Aurora et le peintre . Un après-midi, il se montra plus nerveux que de
es sont longues. Je vais appeler des musiciens. J’ai lu que de grands peintres travaillaient volontiers en écoutant de la musiqu
Wellseley quittait le palais. — J’ai les hommes qu’il te faut, dit le peintre . — Je l’ai compris, Monsieur. — Sois, demain mati
arrêtées au seuil du xixe  siècle : David est le dernier en date des peintres représentés. […] […] Avant de monter le grand esc
it, à la fois honteuse et ravie d’avoir osé parler d’elle-même. * Le Peintre , le Barcarol et les deux musiciens ou le Jaloux m
hef-d’œuvre ! Est-il permis de l’admirer ? — Non, Madame, répondit le peintre . — Non ? — C’est une prière que je vous adresse,
, ensuite, la scène qui s’était déroulée, dans l’après-midi, entre le peintre et Nina. — Que voulez-vous, répliquai-je, Wellsel
ez est la copie de celle que vous avez adoptée pour le portrait qu’un peintre anglais est en train de faire, n’est-ce pas ? J’a
emit, de la part de son maître, un paquet volumineux. — C’est pour le peintre , ajouta l’homme. J’envoyai Morga aux Zattere. Vin
avait. Ah ! ah ! elle m’apprit qui étaient ces deux musiciens ! Votre peintre a le tort de se promener si souvent, avec eux, la
en, dit-il. Asseyons-nous. Puis il balbutia : — Vous aviez un ami, un peintre , oui, un peintre… Sa voix chevrotait. Était-ce le
ons-nous. Puis il balbutia : — Vous aviez un ami, un peintre, oui, un peintre … Sa voix chevrotait. Était-ce le trouble, la viei
ue la Madone de Dresde me l’a révélé. C’est tout bonnement le premier peintre du monde. Jamais on n’a rien fait de plus beau en
ue, éternelle » ne lui fut sans doute suggestionnée que par le nom du peintre . Musique. Salle Gaveau : Concert de l’Associa
sommaire et très mouvementée, très personnelle. M. Bucci est un beau peintre de foule, de grouillements, très évocateur. […]
lue, éternelle” ne lui fut sans doute suggestionnée que par le nom du peintre . » ? Pourquoi en serait-il ainsi ? François Coppé
ne ville vivante et pittoresque sous un ciel admirable. […] Parmi les peintres de ville, M. Abel-Truchet avec sa Venise en fête.
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
mplir les places vacantes à l’école de Rome. Ces élèves étaient : les peintres Fragonard, Monet et Brenet; les sculpteurs d’Huez
ttre relative à son fils ; mais elle est importante. Le fils du grand peintre , Juste-Nathan Boucher, avait commencé par étudier
années accordées à un architecte équivalent aux quatre accordées aux peintres et aux sculpteurs, en ce que ces derniers ont une
pas de nature à concourir aux prix. Tels étaient MM. Greuze, Robert, peintres d’architecture, et tels sont le Paon, peintre de
nt MM. Greuze, Robert, peintres d’architecture, et tels sont le Paon, peintre de batailles, si ses talents achèvent de se dével
3 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
-Marc n’existe pas. Il y a deux éléments dont, Canaletto excepté, les peintres de Venise n’ont guère tenu compte : la lumière et
t une critique d’art de l’école vénitienne ; c’est une énumération de peintres et de peintures ; mais si Venise est un des plus
avec cette vieille femme aveugle qu’en suivant les leçons de tous les peintres qui voyaient clair ». J’admire, comme M. Fournier
ode. Et c’est bien ! Ce qui est mal, c’est d’être une amateur. On est peintre ou on ne l’est pas. L’amateur fait toujours pense
talienne, qui fut général, diplomate, poète, musicien et tout de même peintre de talent. Je ne veux point omettre une assez com
’on ne voyait ce que nous appelons l’air de famille des visages qu’un peintre a reproduit. Et cet air de famille n’est pas défi
orence, la Toscane, exerce une attraction très compréhensible sur les peintres et quiconque y séjourne tient à en fixer quelque
e de Bouchaud sur Raphaël à Rome. Notre confrère y étudie Santi comme peintre et comme architecte, décrit les peintures du Vati
ent leur vision. On affirme volontiers, on a répété à satiété que les peintres du Nord ne sont pas mystiques. Taine l’a dit, d’a
u passant. Mais songez objectivement, les mêmes sujets s’imposent aux peintres chrétiens du xve et du xvie dans le Nord et dan
ntres chrétiens du xve et du xvie dans le Nord et dans le Midi. Les peintres du Midi réduisent l’objectivité au sujet même4, e
es saturent de leur propre personnalité. À l’objectivité du sujet les peintres du Nord ajoutent celle de la nature. C’est par là
arge, très simple, reproduit les traits habituels du type féminin des peintres flamands : l’ovale puissant, la saillie des pomme
ntient dans ce clair-obscur déjà cher au premier en date, au père des peintres flamands, ferment bien le fond selon les lois qui
e spiritualité picturale. Mais il s’en faut que les préoccupations du peintre soient initialement et naturellement orientées à
ère, ce qu’il était dans son sein. Mais tout révèle les intentions du peintre . Le mouvement de Marie et de Jésus décrit une lig
erait du reste curieux de vérifier le procédé matériel employé par le peintre . Ce petit tableau (28 de hauteur sur 20 de largeu
hédrale de Parme, serait une révélation pour qui ne connaîtrait de ce peintre prodigieux que sa manière aimable, — le sommeil d
té. Il l’aima et la rechercha dans toutes ses manifestations ; il fut peintre , sculpteur, musicien et si, comme producteur, il
4 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
up au maître vénitien et M. Molmenti rappelle à ce sujet le voyage du peintre de Grasse en Italie. Un riche Français, protecte
qu’il fit en Italie entre 1773 et 1774 en compagnie de Fragonard, le peintre en qui, selon l’expression des Goncourt, « le gén
ur un lutrin, il en glissa un manuscrit. Je l’examinai et les noms de peintres que je trouvai à chaque page m’intriguèrent. J’ap
yeux sont ravis par les corps nus qui respirent dans les toiles de ce peintre  ! Quelqu’un qui l’avait vu, aimé ou haï, allait e
e qu’il consacre à Morto da Feltre, dans son ouvrage sur les vies des peintres et sculpteurs illustres. Il aurait pu aussi, grâc
imagination et lui promit de le faire accepter comme apprenti, par un peintre . Giorgio le remercia. Il avait hâte de quitter Zu
ertitude de ne rien me devoir, il m’avoue qu’il a rencontré de jeunes peintres et sculpteurs avec lesquels il a fait bonne chère
appelait Emilia, servait de maîtresse à Fabiani et de modèle à maints peintres et sculpteurs. Barbara lui adresse des œillades e
ce de drap et des armes. Je rencontrai Giorgio en compagnie de jeunes peintres , devant le portrait que Bellini offrait à l’admir
des femmes admirables et des hommes valeureux.   La fréquentation des peintres m’a enseigné, peu à peu, ce qu’est un beau groupe
in de divertir leurs hôtes. Mais si ces derniers s’avisent de traiter peintres et sculpteurs avec égards et même comme des êtres
nt naturels. On résolut de ne pas me contrarier et de faire de moi un peintre , car nul n’ignorait qu’il était possible et même
leras, à ses côtés, à la salle du Grand Conseil devant les œuvres des peintres disparus.   Giorgione ! En écrivant ces lignes, j
ême, si on m’avait demandé, la veille de sa mort : — Quel est donc ce peintre de Castelfranco ? N’aurais-je pas répondu : — « G
lleusement bien choisi, car, en se rendant à leur atelier, les jeunes peintres peuvent admirer les teintes des étoffes, étudier
figures des Levantins et des juifs consumés par l’amour de l’or. Nul peintre n’avait encore joui, à Venise, d’une célébrité co
irent, je vis rarement Barbarelli. Je dus abandonner les ateliers des peintres et les amis que je m’étais attachés, pour remplir
. — Que Lucia me donne un baiser, et je vends au diable mon talent de peintre , s’écria-t-il. — Ah ! le piteux marché, Giorgio !
ccoutrements, soit pour la volupté, soit pour être représentée par un peintre . — Et pourquoi ?… — Parce qu’elle sait qu’elle es
adore. Il me saisit par le bras : — Oh ! Seigneur, ce dernier sera le peintre des peintres. Je l’ai choisi pour ami. Il est ent
saisit par le bras : — Oh ! Seigneur, ce dernier sera le peintre des peintres . Je l’ai choisi pour ami. Il est entré chez Zucca
dressa la même question, quand il exposa ce chef-d’œuvre, à la foire. Peintres , sculpteurs, orfèvres l’accusèrent, en souriant,
ne. Il se cacha dans l’atelier de son ami et fut surpris par un autre peintre aussi peu scrupuleux que lui. — Part à deux, lui
Barbarelli, fit-il. Rassurez-vous. Titian a eu pour compère un pauvre peintre dépourvu de talent et ivrogne. Il m’a vendu pour
de la vie renferment une leçon ; qu’il ne suffit pas, pour devenir un peintre , de rester sur des cartons et de dessiner, de des
font valoir ?… Oh ! moins dans les ateliers, bons camarades. Un vrai peintre ne perd jamais son temps !   Quand il parlait ain
gea alors, pour savoir si l’art du sculpteur l’emportait sur celui du peintre . — Sans contredit, s’écrie Leopardi. La façon don
ds devant elle et cela suffit. Qu’en penses-tu ? — Que tu es un grand peintre … — Et toi, un grand sculpteur. Il ajouta malicieu
mais, la chair vivante, comme nous le faisons avec les couleurs ? Les peintres applaudirent. Leopardi s’écria : — Je me considèr
la place pour juger l’effet de ses fresques et discuter les avis des peintres émerveillés par la verve déconcertante de leur ca
s joyeuses. Églises et palais s’élevaient, fournissant du travail aux peintres , sculpteurs, mosaïstes et architectes. Le peuple
us amusera davantage, répliquèrent les autres. — Ridolfi n’est pas un peintre  ! — Je le confesse, répondit-il… Je ne suis pas,
lma, Sebastian, Lorenzo… Tous admirent au fond de leur cœur… en vrais peintres … mais ils ne trouveraient pas de mots assez grand
r, de défendre et parfois de seconder, selon mes faibles talents, les peintres illustres, m’a appris que le travail et la volont
arfaite ! Les dons malheureux de l’intelligence m’empêchent d’être un peintre … je les maudis, chaque matin ! Celui qui apprécie
, tu ne sais pas ce que tu as fait là… sans cela, tu ne serais pas le peintre que tu es !… Quelle volupté ! Comme les femmes qu
rtements. Il devait être généreux, car il se plaisait au commerce des peintres et des sculpteurs et leur offrait de magnifiques
ar la disposition générale et le sentiment le Saint Sébastien du même peintre au Musée impérial de Vienne : le martyr, percé de
posant et plus riche que l’ancien. Après la messe d’inauguration, des peintres et des seigneurs partisans de Titian s’approchère
it le plus âpre mécontentement. — Il t’envie… — Barbarelli est un bon peintre , répliqua Titian. Il nous a tracé la route et nou
ndant du Florentin fra Bartholomeo et de l’Allemand Albert Dürer. Les peintres vénitiens les avaient accueillis avec enthousiasm
épouvantable, je ne connais que la peste et elle ne s’attaque pas aux peintres … — Ta voix tremble, Ridolfi, cœur d’or, cervelle
Barbarelli, que mes camarades me surnommaient Giorgione, que j’étais peintre et gagnais beaucoup d’argent. Mon existence passé
! Elle ne comprenait que l’amour et considérait le travail — celui du peintre , du portefaix ou du marin — comme une loi aussi d
is elle s’endormait. Elle me demande aujourd’hui de la mener chez les peintres et les seigneurs qui me reçoivent… Elle ne me cro
était bien porté, mais, malheureusement, j’ai échangé le pourpoint du peintre contre la casaque du soldat. — Ramasse ton arme,
quoi elle n’assistait pas aux réunions et aux fêtes qu’organisent les peintres . Je lui répondais de mon mieux. Elle me raconta s
en effet modifie profondément tout l’art de peindre ; jusqu’alors le peintre avait surtout été un colorieur remplissant de ton
u’a essayé de lui donner Manet dans le Déjeuner sur l’herbe, c’est le peintre moderne, adepte du « plein-air », qui, malgré ses
. Sur la mort de Sébastien, qui devait tant occuper l’imagination des peintres , le récit est très bref. L’empereur fait venir Sé
ilence et l’oubli. Si la République florentine fut la terre bénie des peintres et des sculpteurs, Ferrare à la fin du xve et ju
itiers de Saint Pierre aimaient à entourer leur cour d’humanistes, de peintres , de sculpteurs et de poètes, ils suivaient en cel
point sur ces trop rares pièces qu’on peut juger M. Bakst en tant que peintre ou dessinateur. Lettres italiennes Ricciotto
e Fiesole et au Titien. Fra Angelico de Fiesole est par excellence le peintre de l’Annonciation. Ce sujet charmant convenait à
eption et ce thème aient été repris par l’un des plus inquiets de nos peintres contemporains, et que l’Annonciation ait fait au
précise et abondamment documentée donne sur la carrière artistique du peintre toutes les indications nécessaires. René Schne
l’exposition des aquarelles de décors et de costumes exécutées par le peintre Léon Bakst pour les merveilleux ballets russes qu
La Préface est fort bonne. Le tout est gâté par le nom d’une foule de peintres de 20e ordre, mais d’un autre côté, comment faire
ssant ou obscur des églises ; 2° à cause des noms de 2 ou 300 mauvais peintres ou plats sculpteurs que le pauvre Nibby ne pouvai
oque la figure d’un des plus grands, des plus purs, des plus lumineux peintres de la première Renaissance italienne, plus grand,
, au bout de la rue. Il supprime l’Espace ou le déplace à son gré. Un peintre moderne doit comprendre, devant les leçons de cin
ent les jeunes époux curieux d’amour et d’art, mais encore les jeunes peintres aimant après le rayonnement des couleurs la grand
Tome XCIV, numéro 346, 16 novembre 1911, p. 436-440 [436-437, 440]. Peintres futuristes J’ai rencontré deux peintres futuri
 436-440 [436-437, 440]. Peintres futuristes J’ai rencontré deux peintres futuristes : MM. Boccioni et Severini. Le premier
en compris le sens des recherches auxquelles s’attachent les nouveaux peintres italiens, ils se préoccupent avant tout d’exprime
i qui, par sa critique, avait excité la colère des futuristes, est un peintre de talent et un des écrivains d’art les plus dist
, les artistes néerlandais, tel que le duc François Sforza envoya son peintre Zanetto Bugatto se perfectionner dans l’atelier d
M. Jacques Mesnil d’étudier après M. Malaguzzi Valéri, le mystérieux peintre milanais dont on ne connaît jusqu’ici aucune œuvr
ou détruit. Il aurait été exécuté au début du seizième siècle par le peintre Dosso Dossi et donné en présent par Alphonse de F
mbre 1911, p. 800-804 [802]. Une fougueuse restitution de la vie d’un peintre par l’étude de ses œuvres où domine l’amour de la
ct dans ce chapitre de l’histoire de Venise, mais tout y est digne du peintre qui l’inspira, et cela suffit amplement à nous sa
5 (1908) Articles du Mercure de France, année 1908
ous intéresse le plus vivement. Lui-même s’efforce de placer l’art du peintre au-dessus des autres, et fait dans ce but d’ingén
et mesure dans les vers, qui révèlent ensuite toutes les sciences. Le peintre réplique qu’il envisage le même objet dans la sci
quelques pages, qui nous ont paru particulièrement curieuses sur des peintres et des dessinateurs français : « Daumier et Gava
Forain, de tout spectacle qu’il regarde, une double impression, comme peintre et comme littérateur. Il les recueille l’une et l
œuvres porte le cachet de notre époque névrosée. Il est, en effet, le peintre , par excellence, de la joie moderne, qui cache to
chologue clairvoyant, dans une série de portraits de gens de lettres, peintres , musiciens, philosophes, hommes d’état ou souvera
dans un état d’hébétement bestial, vers la fatale guillotine. Mais le peintre , tantôt pénétrant, tantôt malicieux, de la créatu
lée, Harvey, Lavoisier, était ce qu’on nomme aujourd’hui « un artiste peintre  ». § Leonardo da Vinci fut un précurseur : le pre
ième. Galilée, Pascal, Huyghens, Cuvier ont découvert les lois que le peintre de la Joconde avait formulées de 1480 à 1518 et q
qu’il réduit à rien tout ce que la badauderie admire et proclame. Le peintre du Cenacolo ne s’embarrasse pas de l’opinion de M
s. Cette idée provient d’une remarque de métier. Les personnages d’un peintre ont entre eux un air de famille et ressemblent à
ur a dû éprouver un étonnement extrême aux textes si rationalistes du peintre mystérieux entre tous, de celui qui a donné à ses
re, à la musique et même à la poésie, il le proclame incomparable. Le peintre , selon sa définition, doit être un homme universe
’anatomiste étudie le corps humain au point de vue de l’espèce, et le peintre , par une considération philosophique et subtile,
une si nombreuse suite d’imbéciles ! Léonard n’eût pas accepté comme peintres beaucoup de nos contemporains, sauf Ernest Hébert
gloire de sa pensée, il accepta de n’être, devant la postérité, qu’un peintre . Mais il savait que son œuvre était bonne, il ne
conquérant qui sort de Campagna ! X Maîtres de la lumière, ô peintres , noble race, Qui dorez notre nuit d’une belle cl
en faire une réimpression séparée. Assurément Botticelli est l’un des peintres assez connus pour que le texte puisse au besoin s
Santa-Maria-Novella. Plusieurs générations vinrent s’y instruire. Le peintre avait traité tous ses sujets avec la seule terre
à les situer dans l’espace et à les représenter avec exactitude. Les peintres demandaient des conseils aux sculpteurs, maîtres
réfère ignorer que Verrocchio, sculpteur de génie, est aussi l’un des peintres les plus intéressants de son époque. Rien ne lui
s écoles de Donatello et de Ghiberti cherchaient à rivaliser avec les peintres pour rendre sensible la perspective. L’intérêt de
470 et n’est inscrit qu’en 1472 sur le registre de la corporation des peintres . Il avait vingt ans. Or, à cet âge, Mantegna déco
peu de chose. À la fois orfèvre, perspectiviste, sculpteur, graveur, peintre et musicien, cet esprit éminemment curieux et pas
mportants parmi ceux qui se rattachent à l’école de Verceil, mais ces peintres modestes sont demeurés presque inconnus des amate
emettre en lumière ces artistes mineurs si voisins des nôtres. Quatre peintres au moins portèrent le nom de Ferrari, Francesco,
es de Moncalieri la convention passée en 1530 entre cette ville et le peintre pour l’exécution d’un double triptyque destiné au
nt lui Gaudenzio, « fils de maitre Lanfranchi de Ferrariis, de Milan, peintre  », Francesco Bagnatemi et sa femme Dorotea promet
celui des Ferrari et fournirait matière à une étude spéciale. Mais un peintre comme Gerolamo Giovenone a déjà une personnalité
me fait une déclaration hardie. Il cherche mon œil. Il y a en lui un peintre qui s’ignore. Il a, comme pas un autre, le sentim
s quelque cité toscane, aux temps de l’humaniste Ange Politien ou des peintres Benozzo Gozzoli et Sandro Botticelli ? C’est aux
de temps au King’s College avant de fréquenter l’atelier de dessin du peintre Cary, la salle des antiques de l’Académie royale.
ary, la salle des antiques de l’Académie royale. Mais, littérateur et peintre , il n’était point d’un tempérament qui se pliât a
s, Browning et Shelley. On s’est beaucoup demandé en Angleterre si le peintre , chez lui, avait précédé le poète, si ses tableau
t à l’aide de cette formule facile : « Rossetti est le plus poète des peintres , le plus peintre des poètes. » Ce n’est point rés
e formule facile : « Rossetti est le plus poète des peintres, le plus peintre des poètes. » Ce n’est point résoudre la question
, pour qui connaît un peu sa biographie, que Rossetti était à la fois peintre et poète ; il l’était, pour ainsi dire, de naissa
Il n’y a pas lieu ici d’examiner l’importance de Rossetti en tant que peintre , quoique, comme a écrit un de ses biographes, M. 
us abstruses sous l’apparence harmonieuse de la beauté humaine et les peintres ont pu, grâce à ce goût du symbole vivant, nous m
ysique et intellectuelle. Elle figure dans la plupart des tableaux du peintre , et le poète fait surgir ses traits bien définis
hie. Après le triomphe de son livre, sans négliger son beau labeur de peintre , il reprit, il compléta son travail poétique. En
ceci de particulier qu’aucun d’eux ne rappelait la manière connue du peintre , ce « faire » qui lui est si personnel, où les bl
que le rendu exact de la nature ne fut jamais son unique ambition. Le peintre du Nord semble nous demander seulement de reconna
il nous montre et l’habileté avec laquelle il imite ; dans l’œuvre du peintre italien, il y a toujours des intentions dramatiqu
es de cet artiste singulier, qui s’était montré, jusqu’ici, seulement peintre et critique d’art. Le long poème Venere Agreste,
ante, celui qui a fait le grand commentaire, ce même Averroës que les peintres primitifs jettent sous les pieds de S. Thomas tri
éologiens et presque saints — ont rendu à l’Église, en comparaison du peintre Raphaël Sanzio, qui depuis des siècles arrête la
inauguré le 9 septembre prochain, neuvième anniversaire de la mort du peintre de l’Engadine. On érigera dans le vestibule le be
arti, t. LXVII, 13 juin 1908, nous apprennent en effet qu’en 1433 un peintre nommé Antonio Pisano, âgé de 36 ans, vivait à Vér
me partisan du marquis de Mantoue, et nous savons d’autre part que le peintre Pisanello avait subi le même sort à la même époqu
nt permettre de reconstituer à peu près complètement l’œuvre du grand peintre et médailleur véronais, et il est à souhaiter qu’
Le Sottisier universel [extrait] […] Le Tasse est le deuxième peintre italien porté à la scène par un auteur français.
6 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
à la main malhabile, un paysan que les hasards de l’émigration firent peintre , — comme d’autres deviennent bas artisans de vulg
mplète de l’impondérable, constituent la géniale originalité du moins peintre des peintres. Paysan, Claude Gellée l’est bien, a
impondérable, constituent la géniale originalité du moins peintre des peintres . Paysan, Claude Gellée l’est bien, avec toutes le
dre compte. Il suffit de prendre le LIVRE DES ORDONNANCES des Maîtres peintres , sculpteurs, peintres-verriers et verriers faisan
tion. Il s’engagea, au petit bonheur, chez un certain Agostino Tassi, peintre , qui menait un train de grand seigneur et habitai
les corvées meurtrières pour dessiner à sa fantaisie. Et voilà que le peintre saisit et note ce monde chatoyant et prestigieux
it, avaient été aussi féconds. C’est à peine si l’on peut compter ses peintres , ses sculpteurs, ses graveurs, ses verriers et se
baut, et Raoul, René II roi de Sicile, le « seigneur Roy », choie les peintres  : c’est Bertrand Maillet dont il pensionne la veu
actère réservé et timide du Lorrain, que nous devons d’avoir perdu le peintre merveilleux et national qu’il serait devenu à ce
s qui sauve, personne ne lui avait montré le danger de l’exil. Jamais peintre n’eût plus ému, ne serait allé plus haut dans la
sme) constituent une des plus durables parties de son œuvre. Reste le peintre . Prisonnier des fastueux amateurs qui le faisaien
orot italien. … Avoir fait cela en plein xviie  siècle, alors que les peintres du roi, cherchant « des effets de nature », peign
ante : « Mon Serénissime Seigneur très honoré, » Pierre-Paul Rubens, peintre flamand, pour se conformer à l’ordre qu’il dit av
où il devra l’être, et comme cette opération nécessite la présence du peintre pour qu’il puisse retoucher et conduire à perfect
ide collection du duc d’Hamilton, ce manuscrit illustré par un maître peintre est passé au Musée de Berlin, dont il enrichit le
omment en aurait-il été autrement ? On sait avec quel tact Botticelli peintre arrangeait ses groupes ; or, les principes de la
ons, mieux vaut qu’il n’ait pu le réaliser. Il n’appartenait pas à ce peintre délicat de traduire par le pinceau les coloration
as à compter un émule de Durameau et de Lefebvre-Desforges : c’est un peintre de clarté et de force qui va lui naître. […] Cepe
e. Voici la réponse que Lépicié, remplissant les fonctions de premier peintre du roi, lui adressa : « Monsieur, en conséquence
art en même temps de vos intentions pour remplir une sixième place de peintre vacante en ladite Académie. Le choix ne pourrait
en ladite Académie. Le choix ne pourrait tomber que sur trois élèves peintres qui restent, savoir : le sieur Fragonard, depuis
une autre. Il y réussira merveilleusement, et dans aucune école aucun peintre ne sera capable de l’y égaler.   Le 24 novembre 1
ny : « … Je viens de recevoir deux nouveaux pensionnaires ; l’un est peintre et l’autre sculpteur : ce sont les deux frères Br
’avancement de la jeunesse50… ». Ces lignes sont le programme des dix peintres , des quatre sculpteurs et des architectes pension
en lui écrivant : « Je say bien que l’on me dira que vous n’estes ny peintre , ny sculpteur, ny architecte : aussy ne désireroi
iante pratique s’évanouit. Jamais, à aucun âge de l’évolution chez le peintre , la nature ne se décèle plus violemment, plus com
s’ils estoient de quelqu’un qui se destinoit à la sculpture, mais un peintre doit-il oublier la couleur et l’effet même quand
ettres, ces fragments de rapports montrent bien la lente formation du peintre , avec des phases qui sont pour surprendre ; comme
finances et d’une demoiselle de Boullongne, nièce et petite-fille des peintres de Louis XIV, il a de qui tenir. Abbé commendatai
Malgré ses transformations, déjà trop nombreuses, au dire de quelques peintres de là-bas, Venise reste un tableau entier et d’un
es personnages, assez nombreux, ont leur physionomie. M. Butti est un peintre sobre ; il a dessiné, par exemple, avec un goût e
nues dans les ouvrages de Michel-Ange à la chapelle Sixtine. C’est un peintre nommé Stéphano Possi, homme de mérite, qui, après
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
authenticité absolue peut servir de point de départ pour l’étude d’un peintre . La reproduction excellente de nombreuses peintur
seconde moitié du xive  siècle, c’est en disciple des Florentins. Les peintres de la lagune s’en tiennent à un mélange des tradi
Vierge et sans doute en raison des petites dimensions de la figure le peintre n’a pu la traiter avec la même netteté que Pisane
une aussi grande abondance de dessins que lui et Pisanello. Les deux peintres , qui pendant un certain temps eurent tant d’affin
al portraitiste de Mahomet II et de Catherine Cornaro, et Giovanni le peintre des madones les plus charmantes de Venise, aient
8 (1896) Articles du Mercure de France, année 1896
d’une pensée, avec la modestie obéissante et sévère du métier chez le peintre  ! C’est par pauvreté intellectuelle, étroitesse d
dardo ne serait pas fonctionnaire, non seulement il allait devenir un peintre , mais encore ce peintre compterait parmi ces éner
tionnaire, non seulement il allait devenir un peintre, mais encore ce peintre compterait parmi ces énergumènes de l’art qui bou
u’un art, toujours même et indivisible. Le sculpteur qui n’est pas un peintre , c’est-à-dire qui sacrifie au fanatisme de la lig
erspective, demeure irréel et médiocre ; et, d’autre part, tout grand peintre comporte un grand sculpteur. L’unité de l’Art ne
ères tombantes ; là déjà, sans le concours d’aucune patine, le maître peintre qu’a voulu rester Rosso sculpteur a su rendre sai
oint de vue ; elle est exclusive et despotique. Aussi l’expression du peintre est-elle bien plus forte. » Or, envisagez les réc
érer autrement que dans leur jour ; et convenez que l’expression d’un peintre ne serait pas plus forte ; que cette réalisation
9 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVI, numéro 234, 15 mars 1907 »
te que sa préférence ira aux écoles de Venise et de Sienne et que les peintres de son choix seront l’Angelico, le Borgognone ou
rpaccio ou du Titien. Et en effet, dit-il, il y a eu en Italie trois peintres qui seuls ont été vraiment des « mystiques », si
’ils se chargeaient de représenter moyennant salaire. Il y a eu trois peintres qui, vraiment, se sont toujours inspirés non poin
Milan, dans les dernières années du quattrocento, tandis que tous les peintres s’empressaient à imiter le nouveau style de Léona
’enfant. Ce n’est pas que, à ne considérer chez lui que son métier de peintre , comme nous faisons pour un Filippo Lippi ou un M
ngelico siennois a pour lui quelque chose de plus que l’ordinaire des peintres . Dans ce « paradis » idéal où, à la suite de Simo
es depuis Vasari, et il vient à nouveau de traduire deux des Vies des peintres de l’historien, celles précisément de Filippo Lip
10 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
nglais ont chacun une manière d’être beau qui n’a rien de commun… nos peintres sont enchantés d’avoir un beau idéal (et nos litt
oir fait de tous les tableaux modernes de l’Illustration. L’idée d’un peintre ne doit-elle pas avant tout être peinture, et pei
out plus que littérature ! Goya, Rembrandt, Daumier étaient de grands peintres dans tout ce que ce mot implique de qualités part
s s’adressent pour la traduire. Or, nous voyons avec peine les jeunes peintres s’écarter de cette considération, et les littérat
ie, ne peut rien donner en peinture, et qu’un visage peint par un bon peintre lui sera toujours préférable en tant que peinture
11 (1897) Articles du Mercure de France, année 1897
lité. M. Bouguereau, un jour qu’on lui demandait son opinion sur tels peintres nouveaux, répondit : « Si l’on admettait leurs pr
ntre les opinions vulgaires l’entraîne à des rigorismes : « Le Sodoma peintre facile et médiocre… se fit une apparence d’origin
s cette préoccupation dans son œuvre. Il donne son impression sur les peintres italiens et étrangers qui ont figuré à cette Expo
rio Pica, plus fidèle aux règles, cherche avant tout et après tout le peintre dans le peintre. Je crois avoir ébauché le caract
idèle aux règles, cherche avant tout et après tout le peintre dans le peintre . Je crois avoir ébauché le caractère de ces deux
vent souvent dans la même conclusion ; phénomène désespérant pour les peintres qui, repoussés par l’un, ne peuvent pas se consol
12 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
ation, pouvait prétendre avoir assez fait : n’était-il pas le premier peintre , et le seul jusqu’ici, qui eut donné une image vr
ion infime, le 15 janvier 1858, à Arco dans le Trentin, le plus grand peintre de l’Italie moderne, le seul qui se puisse oppose
lpestres prêteront une atmosphère nouvelle, dont seuls quelques rares peintres suisses, Auguste-Henry Berthoud notoirement, eure
prêt à déjouer l’artiste : un motif auquel nous a accoutumés un autre peintre pastoral, primesautier celui-ci comme jamais ne l
sujet du tableau, tant il en occupe la majeure partie, et tout autre peintre de scènes paysannes, M. Jules Breton, par exemple
à justifier l’admiration que nous inspire le métier de Segantini ; le peintre subsisterait. Il y aurait là en tous cas de quoi
ui possédera ce morceau, décidément, ne possédera pas qu’une œuvre de peintre , mais bien aussi de poète. Un admirable morceau d
our y remplir son rôle de jalon ; mais nul mieux que lui ne montre le peintre qui ne saurait rien apprendre de plus, le peintre
ue lui ne montre le peintre qui ne saurait rien apprendre de plus, le peintre dont la peinture doit sans conteste s’assimiler à
ésentation des réalités contingentes ; c’est l’apogée de son génie de peintre et de son génie de penseur. Il n’en est pas moins
ans son reflet. La barque flotte dans l’immensité. Voilà qui est d’un peintre  ; mais voici qui est, en plus, d’un penseur : ce
ener à l’artiste les simples réalistes qui ne pardonneraient pas à un peintre voulant exprimer des pensées de ne pas, avant tou
’à aujourd’hui où, alors même que Segantini méditait son tableau, des peintres tels que MM. Hans Sandreuter à Bâle et Veith à Vi
de Bœcklin, tente un curieux, celui de Segantini qui, parmi ceux des peintres , paraîtra au premier abord l’un des plus étranges
lle n’est point furieuse, ironique non plus, vengeresse nullement. Le peintre n’en fut pas blessé, et sa main laborieuse s’agit
13 (1895) Articles du Mercure de France, année 1895
poudres, etc. Raphaël fut élevé dans l’atelier de son père, médiocre peintre — nous dit-on — dont il copia les tableaux, puis
ur génie ». Or, qu’étaient Ghirlandajo, Pérugin et Verrocchio ? Des «  peintres sacrés », dans la « boutique » desquels on peigna
de plaisirs matériels que de pensées profondes, et des maîtresses de peintre deviendront les madones que la foule vénère ; et
u de la beauté vendue. Se ravalant inconsciemment de plus en plus, le peintre s’adonnera lui-même aux saturnales1, aux plaisirs
14 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 230, 15 janvier 1907 »
utriche dispute à l’Italie la gloire d’avoir donné naissance au grand peintre des Alpes. Segantini, qui était né à Arco (Autric
ste presque plus rien d’important de Segantini, sans conteste le seul peintre italien moderne vraiment digne de sa gloire.
15 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
de la voir personnellement, de la posséder directement, ont sauvé ce peintre émouvant, toutes les fois du moins qu’il n’a pas
uérilement symbolique. — Previati, à peine inégal à Segantini, est un peintre religieux, d’un accent ardent, singulier, qu’on n
des Sforza à Milan ; et M. Art. Yahn Rusconi y parle de L. Seitz, le peintre décorateur du sanctuaire de Lorette. La Rassegna
hérités et n’avaient aucune influence dans l’État. C’était le cas des peintres , qui appartenaient à la corporation des médecins
hez le mercier du coin, dans l’échoppe du barbier, dans l’atelier des peintres , prenaient l’air frais le soir sur les bancs de p
se fier entièrement à ce que les écrivains disent à leur sujet ; les peintres eux-mêmes ne nous renseignent pas sincèrement, ca
istique. En présence de l’œuvre des maîtres, architectes, sculpteurs, peintres , orfèvres, nous reconnaissons à n’en point douter
révèle néanmoins contemporain de Botticelli, et, quel qu’il soit, le peintre de cette exquise Vierge à la Grenade est loin d’ê
i est parfaitement représenté. À Milan, à Berlin, à Londres, le grand peintre bergamasque, rival de son maître Moretto et même
c une franchise dans les étoffes qui devancent tout l’art moderne. Le peintre qui a brossé cette toile est un maître et l’un de
les de la collection La Caze et de la grande galerie, de la valeur du peintre . L’exposition de la galerie Trotti comprenait deu
C’est comme si l’on nous donnait de nouveaux yeux ! » Ces volumes des Peintres Modernes forment, selon l’expression de M. de la
rs filles, parmi les plus belles. Ils le firent en son honneur, et le peintre prit de chacune la plus noble partie et acheva so
quarts de son volume, après être passé très rapidement sur Pisanello peintre et dessinateur. Or, s’il ne nous reste de Pisanel
Pisanello peintre et dessinateur. Or, s’il ne nous reste de Pisanello peintre que de trop rares exemples de sa maîtrise, par co
e le médailleur, si intéressant soit-il, ne saurait venir qu’après le peintre . Il est donc à regretter que M. de Foville n’ait
lan, Florence, Naples et Palerme une exposition des toiles des jeunes peintres qu’ils vendent le mieux à Paris, MM. Charles Guér
ieux. Les décors, les costumes, dont le dessin fut l’œuvre suprême du peintre Paul Ranson, étaient, hélas ! en pure perte, déli
propos des aquarelles peu esthétiques mais assez photographiques d’un peintre mort dernièrement, Ettore Roesler Franz. Ce peint
tographiques d’un peintre mort dernièrement, Ettore Roesler Franz. Ce peintre , fils de commerçants suisses établis à Rome, a la
s et le don de lutter, par la naïveté du coloris, avec les archaïques peintres de scènes mystiques. Il est amant de la nature, à
fet des Palais apostoliques, et sous la direction du conservateur, le peintre Ludwig Seitz, mort malheureusement il y a quelque
e très intéressante, car on a fait appel, non seulement aux Artistes, peintres et sculpteurs, mais aussi aux Industriels d’art,
hésitant à conclure, Son silence fit mal ainsi qu’une brûlure, Et le peintre s’enfuit vers son isolement. Il rentra, comme heu
…] Le Musée Bonnat, à Bayonne, si libéralement enrichi par l’illustre peintre en témoignage de l’affection filiale et reconnais
errero ! Les musiciens et les écrivains ont eu plus de chance que les peintres . La peinture italienne seule, sous le nom de divi
ant de ceux-là ceux-ci ne sont guère ; réserve faite de deux ou trois peintres très honorables de qui j’ai naguère entretenu nos
ssi. L’appréhension de certains voisinages a écarté les meilleurs des peintres et des sculpteurs italiens. Il n’y a guère là que
re 1909, p. 540 Benozzo Gozzoli est un des plus séduisants parmi les peintres italiens, et le célèbre Cortège des Rois Mages, d
16 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
s pouvons exprimer sans peindre des locomotives. Tous les efforts des peintres d’avant-garde tendent vers l’expression de ce réa
n » pour le « but ». Cette logique est plus près de la modiste que du peintre . Lorsqu’une forme ou une couleur n’ont comme rais
’art, jusqu’où la sensibilité ou la raison ont dirigé et influencé le peintre . Mais il est certain qu’il y a une relation plus
n » employé, d’ailleurs, d’une façon plus ou moins apparente, par les peintres de toutes les époques. Le temps est amorphe aussi
mesurer l’espace et le temps ; ces instruments ne servent à rien à un peintre  : son organisme possède au plus haut degré le sen
e base en général sur la convention inamovible des 3 dimensions ; les peintres , dont les aspirations sont illimitées, ont toujou
nuire au cubisme en appliquant l’épithète de « mathématicien » à des peintres comme Braque, Picasso, Gris et Metzinger dont les
e Domenico Veneziano, Luca Signorelli, Léonard, etc., qui étaient des peintres réalistes dans le sens le plus vaste du mot, comm
urer l’espace, il faut d’abord « établir un continu », ce que fait un peintre chaque fois qu’il crée une forme. Il s’agit ici,
conclusion de Poincaré qui me paraît intéresser particulièrement les peintres . J’ajoute que les sensations relatives à l’organe
omprend aisément que l’espace à 3 dimensions soit trop limité pour le peintre d’aujourd’hui qui considère son tableau, selon l’
également possible pour l’artiste, car, comme observait justement le peintre Rivera, d’après Poincaré, « un être qui vivrait d
a été notre base, mais nous savons désormais qu’elle ne permet pas au peintre d’exprimer intégralement l’espace visuel. Cet esp
observe avec raison Metzinger, n’est-il pas très significatif que des peintres nullement mathématiciens, soucieux seulement d’ex
de l’espace ordinaire n’ont jamais satisfait entièrement le désir du peintre de prendre possession du réel, et qu’il a eu touj
ouvement. Car, en conclusion, tout l’art plastique, depuis le premier peintre jusqu’à nous, n’est que le rapport entre une surf
e une quantité de matière et une autre, et l’étincelle de vie que les peintres ont toujours cherchée n’est réalisable que par un
de nos expériences ; elles sont approuvées et partagées par tous les peintres qu’on appelle « d’avant-garde » et dont le but es
qui le définit sans possibilité de doute. 4. Delacroix disait qu’un peintre devait savoir dessiner un homme tombant du 6e éta
ette même Revue, « pas mal d’eau a coulé sous les ponts et pas mal de peintres en savent beaucoup plus long qu’ils n’en savaient
en bronze de Jules II. 17. Aides de Michel-Ange. 18. Son père. 19. Peintre . 20. Frère cadet de Michel-Ange. 21. Neveu de M
17 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
lus croire à aucune de ses assertions. Casanova est, non seulement un peintre , mais encore un conteur, ne l’oublions pas, et te
n’ai point la place, en cette fin d’article, d’étudier la théorie des peintres futuristes italiens et d’y confronter leur peintu
res telles que la Ville qui monte de M. Boccioni, ou la Rafle du même peintre , les Funérailles de l’anarchiste Galli de M. Carr
ucoup de fougue et d’éclat. La Vie anecdotique. À l’exposition des peintres futuristes Guillaume Apollinaire. Tome XCV, nu
linaire. Tome XCV, numéro 352, 16 février 1912, p. 886-889 [888]. Le peintre Picasso regarde une toile d’un peintre futuriste.
ier 1912, p. 886-889 [888]. Le peintre Picasso regarde une toile d’un peintre futuriste. Elle est fort embrouillée, des objets
es, comme dans le tableau des Funérailles de l’anarchiste Galli où le peintre Carra, montrant comme des faisceaux de triques zé
oule. Ici il faut comprendre que ce n’est qu’artificiellement que les peintres représentent une foule à l’aide d’une série de cr
la nuit et de l’aspect des trains dans le lointain. Voilà donc quatre peintres qu’on peut juger de bons peintres, si on se donne
dans le lointain. Voilà donc quatre peintres qu’on peut juger de bons peintres , si on se donne la peine de regarder attentivemen
menté, ou plutôt évoqué par détails, à mesure que dans le souvenir du peintre se présente une des expressions de physionomie du
ombant de l’échafaudage où il était monté pour examiner le travail du peintre , aurait fui, déguisé en meunier, et aurait passé
comme le plus parfait et le plus original descendant de cette race de peintres français représentée historiquement par les Watte
core et cueillir les simples fleurs de la calme allégresse ; c’est un peintre , en somme, qui, quoique très moderne, a trouvé le
choses encore, d’où il résulte qu’il considère Renoir comme un grand peintre et comme le plus charmant des grands peintres. Et
re Renoir comme un grand peintre et comme le plus charmant des grands peintres . Et c’est très vrai. Art. Le Groupe Libre (Int
, p. 415-420 [418-419]. […] On verra là aussi des toiles de M. Bucci, peintre et surtout aquafortiste d’une très grande habilet
. L’autre éditeur en donne seulement le sens. Et enfin, une lettre au peintre Raphaël Mengs. L’éditeur Rozez dit : « la lettre
attachant comme la galerie contenant les meilleurs tableaux d’un même peintre . Ce bon prêtre naïf et sentimental s’en allant en
l’abbé Galiani, prince Galitzin, Goldoni, Mme de Graffigny, Guardi le peintre , le savant Haller, lord Herney le conquérant de l
a Pérouse le navigateur, le grand-duc de Toscane, prince de Ligne, le peintre Mengs, le poète Métastase, prince de Monaco, l’am
qu’il y eut deux Tiepolo, J.-B. Tiepolo et Domenico Tiepolo son fils, peintre aussi ; il y eut même trois Tiepolo, mais on n’at
ibre richesse décorative. Tiepolo est certainement un des plus grands peintres qui vécurent et un des moins classiques ; on ne p
physique du plaisir esthétique, marquent-elles la limite de l’art des peintres paysagistes antérieurs à Jean-Jacques ? Moins col
la poésie de la nature sans voir la nature, au dix-septième siècle le peintre pouvait voir le paysage et l’interpréter à un poi
rouve particulièrement confirmée par l’observation de la personne des peintres paysagistes, de leur esprit, par la vie journaliè
de leur esprit, par la vie journalière à leurs côtés. Sans doute, le peintre du dix-septième siècle ne voyait pas seulement da
tti, chef des futuristes, fondateur d’une école de littérateurs et de peintres , un peu Mécène, un peu barnum, surtout directeur
mais il inventera, sans doute, une nouvelle méthode picturale et les peintres qui se joignent au mouvement futuriste, après avo
’est pas considéré universellement en France comme un des plus grands peintres de la belle période italienne, c’est qu’il faut l
biographie du Sodoma. Mais, d’autre part, Vasari a pu connaître notre peintre  ; il a en tout cas recueilli sur son compte beauc
z fortes. M. Hauvette n’ajoute rien à ce que l’on savait de la vie du peintre , rejette de l’œuvre du Sodoma certaines œuvres qu
igné par Bazzi à Florence et à Sienne émet que ce sont là œuvres d’un peintre égal aux plus grands et peut-être pas loin du pre
lpteur et le métier du sculpteur est venu chez lui en aide à l’art du peintre . M. Marcel Reymond : Brunelleschi et l’Archite
t Adonis, Vénus et Vulcain, peuplées de ces charmants enfants dont le peintre prenait les modèles dans sa nombreuse famille : l
ssant, et nous y écrivons. Il vient à Paris avec une petite troupe de peintres , il nous brusque, nous résistons et, consciencieu
S. S., VII, et Monum. hist. patr. S. S., III. 48. Téodor de Wyzewa, Peintres de Jadis et d’Aujourd’hui, 1903, p.  384. 49. La
18 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
endues et une parfaite compétence. Il a des pages remarquables sur le peintre religieux par excellence Fra Angelico, et quand i
ffre quelque intérêt : MM. Ludwig et Pompeo Molmenti imaginent que le peintre s’est représenté lui-même dans le huitième tablea
ute sa carrière. Après une courte et précise introduction, l’œuvre du peintre est reproduit en entier et l’on peut admirer succ
à la dame au voile (probablement la nièce du cardinal Bibiena, que le peintre devait épouser) : comparez-le à sa Psyché de la F
n de bouleverser l’Italie, où ils viennent de lancer le manifeste des peintres futuristes, aussi violent et révolutionnaire que
naturellement à parler d’un autre manifeste extravagant, celui des «  Peintres Excessivistes », dont s’est fortement égayée ces
e qui fait tache, au contraire, ce sont les toiles de trois ou quatre peintres de talent, égarés là. Échos. Coquilles [extrai
LXXXV, numéro 309, 1er mai 1910, p. 157-163 [160, 161]. […] Aussi les peintres font, imprudemment beaucoup, leur propre portrait
stiques, où la vieille héritière de l’Hellade ne figure plus avec ses peintres tâtonnants et ses musiciens décrépits. Mais ces p
à Giuseppe Mario Crespi l’Espagnol : c’était la voie ouverte au futur peintre de la vie vénitienne du xviiie  siècle. Car Cresp
rencontre seulement son nom dans les registres de la corporation des peintres de 1737 à 1773. En 1763 il fut président de l’Aca
chacun des acteurs de sa comédie légère n’est jamais très poussée. Le peintre s’en tient au charme général et superficiel des e
e de Neptune, dont le projet était de Tommaso Laurenti, architecte et peintre palermitain. Un premier chapitre résume excellemm
Seulement, il convient de distinguer : si les romantiques étaient des peintres , nous sommes des gens de lettres. S’ils étaient p
’un de ses derniers livres, les Affranchis. On sait que cet excellent peintre de caractères, qui veut à toute force être un pei
e cet excellent peintre de caractères, qui veut à toute force être un peintre de mœurs, réussit fort bien le portrait. Il est u
mage, eu vérité, que ni Jean Lorrain ni Abel Hermant ni quelque autre peintre ne soit parvenu à nous en donner une image défini
lie une note sur Pietro de Bagnara, qui travailla de 1537 à 1579, fut peintre fort éclectique et est représenté au musée de Pad
19 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
techniquement par le divisionnisme des mots, ne correspond, chez les peintres impressionnistes, que le divisionnisme instinctif
avaient réalisée dans la couleur. Ils restent cependant les premiers peintres ayant adopté une idée de Mouvement Universel dénu
divisionnisme des formes et la compénétration des plans permettent au peintre moderne de donner du Mouvement Universel ses élém
forces constituant la vie de l’objet. La tendance qui caractérise les peintres futuristes est celle d’exprimer une synthèse de s
acement étaient représentés. Ce déplacement a été appelé par quelques peintres futuristes : « mouvement relatif », ce qui ne fai
mme toutes les qualités d’un objet, n’existe pas en elle-même pour le peintre , car nous ne pouvons pas représenter plastiquemen
relative ; avec les cubistes, le sujet n’a plus aucune importance. Un peintre cubiste de grande valeur voulait me persuader un
plus récentes expositions aux « Indépendants » prouvent que tous les peintres d’avant-garde commencent à rentrer dans ce point
vision. Nous différons d’eux en ce point capital : l’Universalité des peintres catholiques était une conséquence du mysticisme r
ormes des choses au mouvement des formes humaines, fut appelée par le peintre Dufy : « peinture unanimiste ». À ce moment-là j’
ni, de Titien, du Sodoma, de Léonard de Vinci, un Ixion de Rubens, un Peintre ambulant par Frans Hals, et, dans notre école fra
en et profond et dont il a fait connaître en Italie les poètes et les peintres les plus avancés et les plus exceptionnels. Ca
le premier mort d’entre les futuristes dont le nom est un peu connu. Peintre tout d’abord, il montra ses ouvrages dans cette e
nnoncée à grand tapage qui eut lieu chez Bernheim, à Paris. Les seuls peintres viables y étaient Severini et Carrà, tous deux in
20 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXV, numéro 232, 15 février 1907 »
rits, Léonard put réaliser une grande partie de ses rêves grandioses. Peintre sacré et peintre profane, ordonnateur des fêtes,
réaliser une grande partie de ses rêves grandioses. Peintre sacré et peintre profane, ordonnateur des fêtes, compagnon d’un ch
21 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
om d’une gloire posthume, Par leur souvenir à jamais anobli. Que le peintre attentif orne le sanctuaire Des songes de Fina co
stes florentins » on tombe sur une nomenclature et des biographies de peintres et sculpteurs, et l’ouvrage se termine par quelqu
de Sienne ; voici maintenant celle de Macerata. On y trouve les vieux peintres des Marches, particulièrement de Fabriano, tels q
t de modelé, et l’attitude de l’enfant qui se retourne dénote chez le peintre une science incontestable. Vittore Crivelli a moi
A. Solmi, Milan Encore un livre offert au passé est celui sur les Peintres italiens Anciens de Mme Evelyn, une Anglaise deve
élébra la sculpture de Meunier au moment où on reprochait encore à ce peintre de s’improviser statuaire dans sa vieillesse ; qu
oient beaux comme de beaux portraits anciens — si quelques lettres du peintre alsacien relatives aux vieux maîtres n’y étaient
pas été entièrement peinte par lui-même, il surpasse tous les autres peintres . Les ombres sont cependant trop noires, ainsi que
coloriste et surtout coloriste distingué… » Je ne crois pas que les peintres puissent facilement écrire sur leurs contemporain
ations, peut être considéré comme le plus important paru sur le grand peintre préraphaëlite. — Umberto Bianchi : Liriche. La Vi
florentin du xve  siècle, passe successivement en revue les œuvres du peintre et du sculpteur et montre quelle fut son influenc
is, sur la foi de Vasari, on avait jusqu’ici assez négligé Verrocchio peintre . Comme il ne s’était mis à créer que très tard, c
ue je dégagerai dans la nature n’est pas celui qui frappera tel autre peintre , mon élève ou non. Par conséquent, on ne peut tra
ui ? M. Pierre Gauthiez se figure-t-il par hasard qu’il suffit à deux peintres de prendre les mêmes modèles pour que leurs œuvre
par John Ruskin. La première édition de cet ouvrage qui est, avec les Peintres modernes et les Lois de Fiesole, parmi les plus i
que le premier volume du Florentin Lanzi commence par l’histoire des peintres florentins. Il n’apparaît guère d’après cette let
22 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
heureusement d’une qualité relative, mais beaux encore. § L’homme fut peintre , médailleur, architecte à n’en pas douter, et eut
Vasari différait quelque peu de celle que nous lisons aujourd’hui. Le peintre qui a fixé pour la suite des siècles le type exté
o était un artiste du type primitif de Florence, à la fois sculpteur, peintre et ciseleur en métaux : il ne se bornait pas à fa
out de suite, ni entièrement, son art ; toutefois, il n’était plus le peintre gai et objectif, à travers l’âme de qui, ainsi qu
encore dans celle de la personnalité humaine, et il devint surtout un peintre de portraits, de figures rendues avec un art qu’o
vres authentiques du maître, il existe une foule de tableaux d’autres peintres à travers lesquels nous pouvons le voir avec cert
presque continuellement des sujets sacrés, il est le plus profane des peintres  ; la personne ou le sujet donné, saint Jean dans
’elle n’avait rien de commun avec les inquiétantes héroïnes des vieux peintres lombards ; elle n’était pas même proprement jolie
23 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIX »
ive. (7 novembre.) J’ai encore besoin d’une traduction pour plusieurs peintres . Les Carraches, par exemple, dont les noirs me dé
24 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
aisir à les détruire ». C’est pourquoi il est vraiment urgent que les peintres songent à élire eux-mêmes des commissions d’art,
ins de Jacopo, le père, rien à la vérité ne trahissait la main de ces peintres vénitiens. La Réception d’un ambassadeur au Caire
o Veneto, une des plus curieuses et des plus mystérieuses figures des peintres vénitiens, avec ce Jacopo dei Barbari sur lequel
it d’homme du musée de Douai que le même auteur attribue également au peintre vénitien. Mais si l’attribution du musée de Douai
t vénitien une autre direction : Giorgione devait être le premier des peintres modernes et le premier romantique. « Son art, dit
it celui-ci, l’attribution de Morelli, d’abord parce que je crois des peintres secondaires incapables, non pas d’exécuter, mais
n souriant ». À peine pouvons-nous fixer approximativement la mort du peintre par une lettre d’Isabelle d’Este écrivant peu apr
ttarder ici, dans les limites d’une chronique, ni à Lorenzo Lotto, le peintre de prédilection de M. Berenson, ni au Titien, à V
se présente un jour d’acquérir quelque belle œuvre de ce merveilleux peintre , quelque vigoureux visage d’homme comme celui du
it digne vraiment d’un des plus grands, sinon du plus grand parmi les peintres vénitiens. Memento M. Orazio Roggiero, le d
noires, qui font frissonner. Le poète apparaît très souvent comme un peintre excellent, qui saisit l’état d’âme des paysages e
25 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 250, 15 novembre 1907 »
ajo, ou l’Escarpolette de Fragonard, sans doute le chef-d’œuvre de ce peintre . […] — Parmi les primitifs italiens et flamands,
26 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
du Sultan qui avait prié la Sérénissime République de lui envoyer un peintre fort habile5 (malheureusement ce portrait a été,
l’historien et le biographe grande est la différence, comme entre le peintre de la fresque et le portraitiste. Le premier ne c
ccati qui, nous l’avons dit, furent les serviles copistes de quelques peintres illustres ? De toute évidence la bonne dame de No
e Paris, le livre de Londres semble avoir appartenu, après la mort du peintre , à son fils Gentile. Tandis que celui du Louvre (
e dégage un bon artiste, sage, doux, épris de rendu serré. Il est bon peintre et beau graveur, on a raison de le tirer de l’oub
ffaëlli. Encore une fois, cela n’empêche pas M. Fattori d’être un bon peintre comme le furent aussi Morelli ou Crémona qui nous
eu le plus vif plaisir à l’écrire lors de la première exposition des peintres futuristes à Paris. Des œuvres comme la Rafle et 
vres comme la Rafle et la Ville qui monte dénotaient chez M. Boccioni peintre un artiste extrêmement doué et d’une puissance de
it à cette exposition en MM. Boccioni, Russolo, Severini et Carrà des peintres très remarquables. À l’actif de chacun d’eux il y
s une toile qui prouvait qu’ils savaient admirablement leur métier de peintre avant de se créer un corps de doctrine nouvelle.
la même collection, un Titien de Caro-Delvaille est un joli livre de peintre , d’une forme un peu lyrique, mais très attrayante
de Florence. Elle avait grandi dans la société des humanistes et des peintres . Son fiancé, Lorenzo Tornabuoni, lui-même humanis
Ton Carrà. M. Soffici a promis de se corriger. M. Carrà, qui est un peintre futuriste dont ses amis disent beaucoup de bien,
acerba la séance du tribunal futuriste de Milan jugeant le mariage du peintre Severini. En réalité, ce fut un procès pour rire.
modèles, à soulever, pour ainsi dire, le masque immobile posé par le peintre sur leur physionomie et à nous montrer leur visag
27 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
en général avec un enthousiasme ardent, Goldoni, « l’enfant chéri, le peintre de la nature26 ». À vrai dire, il ne le connaissa
inte : « Tout auteur à ses défauts, Mais ce Goldoni m’a peinte. » Le peintre de la nature, écrit-il un peu plus tard, « peut m
28 (1893) Articles du Mercure de France, année 1893
ne du xve  siècle, portrait de jeune femme attribué à Vittore Pisano, peintre , sculpteur et médailleur. Les œuvres de cet artis
29 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
x, Minne, Holman Hunt, Burne-Jones, Swinburne, Morris, Whistler ; les peintres italiens Morelli, Sartorio, Previati ; les écriva
âtit autour du puits ; Psyché « revient », se promène, est vue par un peintre , qui, croyant faire une Vierge pour l’église du c
30 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
nt ressortir la prédominance que le poète de la Blessed Damozel et le peintre préraphaélite a exercée sur des hommes aussi gran
s ambassades et des ministères, mais pas un grand poète, pas un grand peintre , pas un grand romancier. « Ce déplorable manque d
 de Bosis. Ils s’appelaient Gabriele d’Annunzio, Giovanni Pascoli, le peintre Michetti, etc., ils se dispersèrent pour suivre c
tendances. Ceux qui écrivaient le Convito devinrent des poètes et des peintres célèbres. M. de Bosis, écœuré par le spectacle de
31 (1891) Articles du Mercure de France, année 1891
onaca d’Arte (Milan). — Une belle gravure d’après une tête d’étude du peintre Andrea Gastaldi, mort à Turin il y a deux ans (30
32 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVII, numéro 237, 1er mai 1907 »
d’ailleurs combien l’influence italienne eût pu être néfaste pour le peintre français : c’est celle où le musicien Cherubini e
33 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
i, au xviie  siècle, donnèrent à Palerme sa physionomie actuelle, les peintres et les sculpteurs qui décorèrent ses églises et s
34 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
erlag et orné de nombreuses illustrations. Caron s’est souvenu que le peintre des Hautes-Alpes étant né à Arco, l’Autriche deva
st à travers une jeunesse de terribles misères qu’il devient le grand peintre qu’il fut. On connaît fort peu de choses sur la v
35 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
En janvier dernier, il achetait pour près d’un million de marks, à un peintre viennois qui l’avait découverte en 1914 dans un v
à cause de cela del Piombo, était tout simplement Sébastiano Luciani, peintre vénitien de l’école du Giorgione. Sorti de cet en
, Perrin, 3 fr. 50 Encore un document de premier ordre : l’auteur, peintre , longtemps agitateur socialiste redouté du gouver
e — était d’essence purement commerciale, étant due à ce que le grand peintre voyait sa production systématiquement dédaignée e
e voudrait. Mais voici venir une bande d’étrangers, parmi lesquels le peintre Flammen. Exilé de France pour raison politique, c
36 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
nne des xive et xve  siècles ceux qui étaient désignés pour être les peintres de la Vierge. De ce sanctuaire d’Assise où venaie
aure, les yeux caves et les extrémités grosses et communes, — mais le peintre , en dépit de ces réalités qui s’imposaient à lui,
37 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
ppeler en ces temps-ci qu’un grand poète, un grand critique, un grand peintre ne sont pas moins grands ni moins nécessaires à u
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