tini devait suivre ses traces, de même que le délicieux anonyme qui a
peint
les quatre tableaux de la Salle des sept mètres a
upements subordonnés à l’harmonie des lignes architectoniques ; il ne
peint
que des tableaux d’autel divisés en nombreux comp
ne avec Antonio Vivarini le Paradis de l’église San Pantaleone et qui
peint
avec le même Vénitien la Sainte-Sabine de San Zac
a présentation, supérieure à un petit portrait comme celui que Jacopo
peignit
dans sa Madone du Louvre Lionel d’Este y est agen
Son nom apparaît pour la première fois dans le polyptyque de Bologne
peint
en 1450 avec son frère aîné ; il y recherche déjà
est d’une vérité et d’un naturel jusqu’alors ignorés. En 1488 Alvise
peignit
un tableau pour la salle du Grand Conseil et l’an
1473 à 1482, il resta sans doute à Ascoli ; cette même année, il alla
peindre
son triptyque de Camerino, maintenant à Brera, et
e boutique à icônes. On raconte que trois ans après son initiation il
peignit
dans un tableau de son maître un ange si plein de
errocchio ? Des « peintres sacrés », dans la « boutique » desquels on
peignait
tranquillement de douces madones en causant sans
et ce n’est pas, non plus, par simple goût que, comme Ghirlandajo, on
peint
les célestes jardins. L’Étude de l’antique n’est
n Antoine Pazzi, dit « il Sodoma », fut appelé dans un couvent pour y
peindre
la vie de saint Benoît. Or, comme il peignait, il
é dans un couvent pour y peindre la vie de saint Benoît. Or, comme il
peignait
, il faisait mille folies, racontant aux bons père
bien dire valait mieux que bien faire. La vulgarité de ce peuple est
peinte
sur ces têtes sinistres qui garnissent les musées
ueurs de gobelets parcouraient les appartements. » Les salles étaient
peintes
par Giotto et les sujets qu’il avait traités avai
de Sébastien Mocenigo. Ce Nicolas Aldramino dessina convenablement et
peignit
quelques miniatures. C’est lui qui recopia, sans
eux me reviendraient meilleur marché, si je me contentais de panneaux
peints
. Un de ses amis les exécuterait, car il se déclar
s ferai, moi-même, le coffret, nous dit-il brusquement, et je vous le
peindrai
… — Qui es-tu ? demanda Dorsevigo. — Un élève de m
que je sens… — Que sens-tu ? — Que Zuccatto a tort en m’empêchant de
peindre
. Employez-moi et vous verrez que j’ai raison. J
que je croyais sculptés, tant leur relief m’abusa, étaient simplement
peints
. Il y avait là des guirlandes de fleurs auxquelle
e quitter Zuccatto, dont il n’aimait pas le métier. — Je suis né pour
peindre
avec des pinceaux, en me servant de couleurs que
i avait uni, en dépit de toute vraisemblance, des femmes à des roses,
peindrait
des madones ou des anges, dans les tonalités et l
lui des déesses et des seigneurs qu’il fixa sur ses toiles. Si Titien
peignait
sa première œuvre avec le suc des plantes, mon Gi
ien peignait sa première œuvre avec le suc des plantes, mon Giorgione
peignit
, pendant toute sa vie, avec du soleil mêlé à ses
sède un de ces camarades : — J’ai envie de caresser cette femme et de
peindre
son portrait. Elle est si belle. — Ton ami ne ser
les hanches, certes je désire la caresser, mais j’ai surtout envie de
peindre
… je vois, dans des paysages, des lumières, des ar
suffisait à un artiste d’être devant ses panneaux ou ses toiles, pour
peindre
des madones dans leurs niches de pierre et des an
ant devant un modèle et en me donnant des conseils qu’il m’enseigna à
peindre
, mais en arrangeant son étalage les jours de marc
uvent chez lui, à la demande de Catherine D… et de Bianca V… Il avait
peint
bon nombre de coffres et achevait une madone. Il
’une belle fille. Aux premières lueurs du matin, debout et dispos, il
peignait
pour lui-même. Le manque de sommeil ne diminuait
tes, tu… — Je suis las d’entendre vanter l’art du Squarcione ; las de
peindre
des draperies en suivant des lignes rigides, sans
racher ainsi les secrets, de la vie ? — Aucun, Seigneur ! — Avec quoi
peins
-tu ? — Avec mes pinceaux… et avec mes doigts*… —
t je vous le prouverai. Je lui demandai une fois encore : — Avec quoi
peins
-tu ? Chacun lui adressa la même question, quand
sons, jaillissait toujours la même phrase : — Qui nous dira avec quoi
peint
Barbarelli ? — Tu as un secret Giorgione ! — Quel
soleil inondât l’atelier. Ensuite, il exposa ses toiles aux rayons et
peignit
dans la lumière. Quand il eut terminé avec ses ma
— Fais comme moi… — Ce n’est certes pas en t’imitant que Barbarelli a
peint
son « David » et son « Berger » ! * Vers la fin d
ranco et son enfance. Quand il nous quitta, il dit à ma sœur : — Je
peindrai
votre portrait, Madame et je l’intitulerai « le B
te les accorde. Pour établir la supériorité de son art, Barbarelli
peignit
un jeune homme nu et vu de dos. Un miroir refléta
l’aimais beaucoup. Il se tut quelques instants, puis ajouta : — J’ai
peint
, pour le maître autel de l’église où j’ai appris
comptes-tu faire, maintenant ? — Accomplir mon rêve. — Quel rêve ? —
Peindre
à fresque — et décorer Venise. * Il entreprit ce
ent son amour de la beauté et la célébrité dont il jouissait. Giorgio
peignait
à l’huile, sur de la chaux. Il espérait que, grâc
Il commença par décorer sa maison, place San Silvestro. Il composa et
peignit
en camaïeu et en clair-obscur des scènes champêtr
t pas la signification de son œuvre. En réponse à leurs critiques, il
peignit
, sous cette allégorie immense, l’histoire de Fréd
ces enseignements, et je le vis écoutant le Giorgione. Peu après, il
peignit
, à l’imitation de Barbarelli, le long de la façad
t les membres sont bien proportionnés ! Fou, je le serai, quand je ne
peindrai
plus des arbres dont on dira : « Comme ils tienne
ore et, dites-moi, dites-moi, camarades, si jamais artiste dessina et
peignit
avec autant d’élégance et de vérité, des mains !…
bon de s’étendre, de discourir, de boire sous leurs rameaux ! » — Tu
peins
nos rêves de bonheur, s’écria Bordone. Tes seigne
reconnue jusqu’ici), car elle n’est que la transposition d’une œuvre
peinte
, le sculpteur ayant dû se contenter, comme modèle
le sculpteur ayant dû se contenter, comme modèle, du triple portrait
peint
par Philippe de Champaigne, aujourd’hui à la Nati
pta d’orner la façade longeant le grand canal. Il demanda à Titian de
peindre
celle du Traghetto del Buso et Palma fut chargé d
tre, célèbre, dans l’Italie entière, pour l’habileté avec laquelle il
peignait
les grotesques et enlaçait les feuillages et les
ace et leur valeur décorative étaient moindres. Seul, Giorgio pouvait
peindre
des cavaliers, des femmes, des enfants et des ani
tait à Pozzuolo des constructions couvertes de magnifiques grotesques
peints
et moulés en stuc, il y passa plusieurs mois. Il
ités remplies de curieuses ruines. Il retourna à Rome pour essayer de
peindre
des figures et partit subitement pour Florence où
galantes. La très excellente Catherine Cornaro l’appela à Azolo. Il
peignit
son portrait, dirigea des concerts, des mascarade
ardin me passionnait plus, je le jure, que mes fresques… J’essayai de
peindre
la Maurina. L’attention avec laquelle je l’examin
le nom sans exciter les sarcasmes et les railleries. — Au temps où je
peignais
les salles du Palais, à Florence, me répliqua Zar
ré réclamaient un apaisement : le travail me devint une nécessité. Je
peignis
une Sainte Famille, le portrait d’un Chevalier de
ise. L’œuvre de Giorgione en effet modifie profondément tout l’art de
peindre
; jusqu’alors le peintre avait surtout été un col
sur l’Allemagne et les Allemands ; les rues espagnoles ; les maisons
peintes
de Lombardie ; les horreurs monumentales du cimet
LE SAINT Tes yeux sont fardés, tes ongles sont
peints
. LA FILLE Ah, seigneur j’
porte du temple s’ouvre, que sont les cercles de bois où se trouvent
peints
les signes du zodiaque et qui tournent sur un fon
mescesi alle parol ? Si, d’autre part, dit M. Thovez, il s’agit de
peindre
une fête où sont assis des satrapes, des éphèbes,
ns larges quelques dessins fignolés surprennent, et quelques panneaux
peints
, évoquant des bains de mer, sont bien peints, mai
nt, et quelques panneaux peints, évoquant des bains de mer, sont bien
peints
, mais théâtraux ; les gens ont l’air d’évoluer au
des lèvres du moins. La bouche est la plus fermée qui ait jamais été
peinte
. Voyez, au contraire, comme le sourire du Saint-J
ysa, tandis qu’il achevait ce bras lumineux. Ce suprême tableau a été
peint
en France, à Clos-Lucé, et pour la France. Voilà
t être les inventeurs de leur art. « Ainsi, m’a dit M. Boccioni, j’ai
peint
deux tableaux, dont l’un exprime le départ et l’a
nature, entouré d’ornements architecturaux et qui porte, sur un socle
peint
, en lettres capitales, les noms et titres de l’hé
aptivante Cécilia Gonzagua qui revit là, entière, en un petit panneau
peint
, un croquis à peine indiqué (une femme vue à mi-c
, elle répond par cet autre symbole, son portrait, — ce petit panneau
peint
qui est là dans cette salle du Louvre et pour leq
Il advint que Verrocchio fut chargé par les frères de Vallombrosa de
peindre
le Baptême du Christ, et Léonard obtint d’achever
x. Mais cette légende n’a que la valeur d’une tradition, car l’art de
peindre
avait toujours été celui auquel Verrocchio attach
l’Uffizi. Cette histoire que conte Vasari d’une Méduse plus ancienne,
peinte
sur un écu en bois, est peut-être une invention ;
son garçon a préparé une surprise. Ce n’était pas pour s’amuser qu’il
peignit
cette autre Méduse, le seul grand tableau qu’il l
ets d’une atmosphère singulière où se jouent des lumières variées. Il
peignait
les fleurs avec un bonheur si surprenant que dive
enait à un si curieux observateur, à un inventeur si ingénieux. Aussi
peignit
-il les portraits des maîtresses de Ludovic, Lucre
le mur humide du réfectoire où suintaient des sels minéraux, Léonard
peignit
la Cène. On racontait cent anecdotes sur ses reto
un bout à l’autre de Milan pour donner un seul coup de pinceau. Il la
peignit
, non pas à la fresque, où tout doit être « improm
omme qui prend congé de ses amis. Cinq ans après, le jeune Raphaël la
peignit
à Florence, au réfectoire de Saint-Onofrio, dans
l’on montre encore sa prison, aux murs couverts d’étranges arabesques
peintes
en couleurs, attribuées par la tradition à sa mai
t un transport d’inspiration, une extase prolongée. C’est alors qu’il
peignit
les tableaux du Louvre, ses œuvres les plus certa
lo a adopté les principes du vérisme, c’est-à-dire qu’il s’efforce de
peindre
la vie réelle ; or, dans la vie réelle, la musiqu
la Renaissance (collection Goldschmidt), le buste en bois sculpté et
peint
de Cécilia Gonzagua, qui pourrait bien être du Pi
éger, des cheveux par petites boucles claires, ainsi qu’il aime à les
peindre
. Le costume lui-même est sévère : manteau simple,
ouble sève. Mathématicien, il dicte, alors qu’aveugle il ne peut plus
peindre
, des traités qui sont à la Bibliothèque du Vatica
qu’il modelait en terre et revêtissait d’étoffes lourdes avant de les
peindre
, sont bien dans l’air, les groupes sont heureux,
neziano ; puis, c’est Rome où Nicolas V, ce grand bâtisseur, lui fait
peindre
les chambres de son palais. Mais si ce pape « ave
comble d’objets d’art, ce poète, cette mauvaise tête, voulut se faire
peindre
par Francesca, dans sa chapelle, à genoux devant
Pasti fit sept médailles d’elle ; le Pisanello, une. Francesca dut la
peindre
, naturellement. Il l’admit à la voir le jour où i
ngtemps à la cour de Rimini ; le duc Borgo l’appela à Ferrare. Là, il
peint
à fresque des salles entières du palais de la Sch
ec des hauts reliefs colorés. L’honneur était grand pour Francesca de
peindre
un prince qui avait attiré près de lui maître Jus
ti qu’il descendit, chez le père de Raphaël qui dorait des statues et
peignait
des vierges si roides et si dures, tout en écriva
voix de ténor au timbre exquis, à MM. Fugère, Bouvet et Isnardon qui
peignent
, chantent, font de l’escrime, boivent et dansent
l’Amour (Alcan). 3. Voir au Louvre le curieux petit panneau, où il a
peint
Pandolfo agenouillé devant la Vierge. 4. Cf. La
même où il aurait dû être. Le retrouver peu après à Rome, en train de
peindre
en trompe-l’œil la Grande Salle du palais du card
de soigner le cheval. Mais l’atelier l’intéressa, l’envie le prit de
peindre
. Tassi consentit, et de domestique il fut promu é
nt vers la lumière bienfaisante, tous ceux que tourmentait l’envie de
peindre
. Comment n’entra-t-il chez aucun de ceux-là ? Il
les Varie figure Gobbi ; il a même été jusqu’à Anvers où Van Dyck l’a
peint
les cheveux au vent, la moustache en croc, la roy
ombres ayant été indiqués au moyeu de la craie noire ou du crayon) de
peindre
d’après nature avec des couleurs, — aux champs en
bles ». Il ne sera jamais triste, et durant la peste s’enfermera pour
peindre
six tableaux où il croit qu’il sera question d’Ul
Chryseïs, de Cléopâtre et d’Antoine et de David sacré par Samuel ; il
peindra
pour Monsieur de Fontenay, pour Monsieur Passart
e, alors que les peintres du roi, cherchant « des effets de nature »,
peignaient
des feuillages sur du fer découpé, pour raccorder
une des meilleures œuvres de Sanzio ; c’est le dernier tableau qu’il
peignit
dans sa manière florentine, avant que d’aller à R
sacre à Villon dans l’Homme criminel 14 : « Villon, poète et voleur,
peignit
ses deux qualités opposées dans ses deux poèmes (
u merveilleux pays, aux œuvres quasi mortes et ruinées, qu’aux pages,
peintes
, laissées vivantes par les géants disparus. C’est
s de Fragonard assez peu satisfaisants, une tête de prêtresse « était
peinte
d’une manière un peu trop doucereuse, on a été pl
ès Pietre de Cortone au Capucin. Ce jeune artiste a un peu de peine à
peindre
les chairs et à donner le vray caractère des airs
oignée et de l’étude qu’on remarque dans la figure académique d’homme
peinte
par le sieur Fragonard, cependant on craint que l
e cassée avait été amené en Italie par l’abbé Gougenot. Il venait d’y
peindre
, à son retour de Naples, deux tableaux expresséme
élabrées, croquait dans la campagne romaine les paysans et les bœufs,
peignait
le Sauveur lavant les pieds à ses apôtres pour l’
offrant chacun une figure de la Foi, de la Charité et de l’Espérance,
peintes
en grisaille sur un fond vert. 3. Au dernier mom
artistes régionaux et les Asiatiques ont créé un agiotage de la chose
peinte
qui la sort du domaine esthétique. D’après le Vin
sible au même sens que l’Église attribue à la résurrection des corps.
Peindre
, c’est en réalité transfigurer : faire passer du
me effet de propagation sonore : ce sont là des expériences. Quand il
peint
la Joconde, il crée une chose unique que nul jama
rovidence, dès 1516, la main sublime qui créa la Joconde ne peut plus
peindre
, à peine si elle dessine encore. Pourquoi, ce maî
tiques et un peu sauvages. Ils eussent plu aussi à Stendhal, qui en a
peint
d’analogues. J’avoue que, pour moi, je n’ai pu m’
lamente ; Venise ! tu n’es plus la cité triomphante, Que Véronèse a
peinte
assise en voiles d’or. Sur ta splendeur déchu
La foule, en mouvement, évoque dans l’espace, Les choses qu’aimait à
peindre
Canaletto. Et les trois étendards de Chypre, de
ne flamme attendrie. XVI Je t’aime à la façon de ces images
peintes
Que les murs de Venise étalent à nos yeux ; En
lencieux. Je t’aime sans espoir. Venise est ta patrie Aux ciels
peints
, ton image accompagne Marie, Et les anges resple
, dans une loggia attenante à l’édifice, une délicieuse Annonciation,
peinte
au xve siècle par Juste d’Allemagne ; c’est enfi
la gare et les quais du port marchand, à Fanolo, un palais admirable,
peint
à fresque au dehors et au dedans. — Il faut ajout
penchée au bord de l’eau pour assister au Baptême du Christ 8, semble
peinte
hier par quelqu’un qui n’ignorerait aucune des re
foi tente une œuvre pieuse en donnant une grâce mystique aux figures
peintes
. Ils ont la volonté de profiter des connaissances
antes, il rend vivante la pensée. Devant la gravité des visages qu’il
peint
, une gravité mélancolique tempérée par beaucoup d
s créations. Il représente honnêtement la nature comme il la voit. Il
peint
l’homme avec tous ses muscles, les veines saillan
faut voir les mains, la finesse, l’élégance des doigts que sculpte ou
peint
Verrocchio ! La main du Christ qui découvre sa pl
sque de satyre qui lui vaut l’éloge de Laurent de Médicis. Le Pérugin
peint
à neuf ans, Fra Bartolommeo à dix et Andrea de Sa
ar suite de l’application à un seul genre de travail ». Il continue à
peindre
pendant toute sa vie. M. Marcel Reymond me paraît
venta pour diminuer Verrocchio et grandir Léonard, comme si celui qui
peignit
Sainte Anne avait besoin qu’on ajoutât encore au
ans plus tard, la même confrérie confia à Eusebio lui-même le soin de
peindre
la chapelle dédiée à la sainte. Il reçut pour ce
er à Milan et à Varallo ; en 1508, il était de retour à Verceil et il
peignait
pour la congrégation de Sainte-Anne, une image de
gendra le poème, et inversement ». Si bien que nous le voyons souvent
peindre
un rêve poétique, transcrire en vers maint tablea
alienne sont l’œuvre des Ombriens et des Vénitiens, parce que ceux-ci
peignaient
surtout à l’huile ou à la détrempe. Un fresquiste
ès des templiers, le plus grand poète de l’ère chrétienne devait nous
peindre
, dans un cadre théologique, l’incroyable agitatio
umanité ne lui doit de la reconnaissance que parce qu’il a dessiné et
peint
. Aux arts du dessin, il est vraiment le mage, cel
à Gregorio XVI de l’autre. D’un style sobre et vif, Angelo Brofferio
peint
les temps où se développèrent son enfance et sa j
précieuses de psychologue. La pièce est bien taillée, les personnages
peints
d’une main heureuse et sans hésitations ; cela pe
a Bibliothèque qui occupe les deux salles du fond. Les rayons en sont
peints
en blanc et s’élèvent jusqu’aux voûtes basses du
la nature avec d’autres yeux que les simples yeux de la chair. C’est
peint
, comme toujours, sur toile préalablement dorée, e
atifs ayant poussé au noir les versions précédentes, dont l’originale
peinte
à Pusiano. Il s’agit de l’Ave Maria a trasbordo,
choses qui entourent l’artiste, de l’hiver dans les neiges, qu’il les
peint
d’abord par pur enthousiasme pour la beauté de le
r d’expiation, la plus superbe créature que Segantini ait dessinée et
peinte
, pourrait être présenté désormais comme le type p
intre voulant exprimer des pensées de ne pas, avant tout, savoir bien
peindre
… ce qui n’est pas tout à fait dénué de raison. At
ériel et c’est le naturalisme sans esprit, sans âme, l’art du morceau
peint
avec le plus de réalité possible, puis il s’élève
en rabattre de la moitié au moins de ses velléités. Pour continuer à
peindre
, il affecta l’humeur douce et conciliante : si on
militaire. Il fit son temps dans un corps de sapeurs. Là, d’abord, il
peignit
des paysages, des intérieurs d’église, épris d’un
ira l’artiste et l’envoya à l’école des brigadiers : or cela coûte de
peindre
, même à l’aquarelle. Fallait-il renoncer ? Allons
hez les Boursault-Coudray, Antonio avait annoncé que Wellseley allait
peindre
son portrait. Elle avait, tout aussitôt, essayé d
n chef-d’œuvre. Mais c’est ici que je travaillerai ! C’est ici que je
peindrai
mon tableau véritable, en secret ! Là-bas, j’exéc
ourquoi me fuyez-vous ? Hier vous ne m’avez pas reçue. — Antonio fait
peindre
mon portrait. Nina ôta son étole de fourrure, rem
is c’est avec le sang de ses veines qu’un artiste parviendrait à vous
peindre
dignement ! Il faut être la maîtresse d’un peintr
Je suis sûr que, plus heureux que Pietro Morga, John-Arthur Wellseley
peint
la figure de ses rêves ! Il l’installera chez lui
la proposition de Stella-Lucente, des allusions à la manière dont il
peignait
, chez moi, en compagnie de Morga et de Lowsky ; m
un portrait quelconque. C’est ici, délivré de cette présence, que je
peins
mon œuvre véritable. Votre musique soutient mon i
portes aux encadrements de marbre sculpté, leurs plafonds à caissons
peints
et dorés, leurs meubles rares, et, accrochés aux
ley auraient pu causer, à voix basse, sans être entendus. John-Arthur
peignait
silencieusement. Soudain, il examina Aurora, puis
second étage. Il entrebâilla la porte de la salle où Wellseley avait
peint
, jadis, le portrait d’Aurora. Dans le grand faute
h d’Alger ; un marché étincelle de loques, de burnous ; des boutiques
peintes
dans la clarté prennent des joies d’émaux autour
ouant sur les angles, variant sa diaprure, se coulant sur les façades
peintes
. Ce n’est pas la Venise des doges, ce n’est pas l
ès du Salon avec un troupeau de chèvres épigraphié virgiliennement et
peint
dans les allures régulières chères à Poussin. Je
it sortir de l’atelier de Léonard ; il est possible que le maître ait
peint
la tête de la Vierge et celle de l’Enfant Jésus.
ion, que, loin de vivre sous terre, il habite au deuxième une cellule
peinte
à l’huile, pareille aux chambres des fonctionnair
gicides de tous les temps. Art ancien. Teodore de Wyzewa : L’œuvre
peint
de Jean Dominique Ingres (Frédéric Gittler) [extr
uliette, via Capuccini, on peut signaler un certain nombre de façades
peintes
, dont il ne reste malheureusement, pour beaucoup,
uences est la célèbre fresque de l’Annonciation que Juste d’Allemagne
peignit
en 1451 dans le cloître de l’église S. Maria in C
évolution et M. C. Bayet commence un commentaire critique des oeuvres
peintes
par Giotto à Assise. Le troisième fascicule de Si
des gens qui nous retournent des portraits individuels supérieurement
peints
et, par politesse, nous admirons, mais sans saisi
il nous donne. Son livre, qui commence fort justement par un portrait
peint
, est aussi un portrait écrit, portrait minutieux
d’abord la Madone de Saint-Antoine de Padoue. Le retable est célèbre.
Peint
par Raphaël en 1505, pour le couvent des religieu
qui le connaît bien, car il y a des liens de famille et d’habitudes,
peint
ce grand tableau d’une main vigoureuse : tous y e
Quand une femme a du talent, elle n’a pas besoin que la mode soit de
peindre
, elle peindrait contre la mode. Et c’est bien ! C
me a du talent, elle n’a pas besoin que la mode soit de peindre, elle
peindrait
contre la mode. Et c’est bien ! Ce qui est mal, c
outes ces conclusions, M. Silvagni tâche de reconstruire ce monde, de
peindre
dans ces souverains méprisés les hommes politique
ie énorme et monstrueuse. L’antique Poseidôn, terrible et beau, ne se
peignait
pas dans les cerveaux hellènes sous la figure de
oublier tout ce qui n’est pas elle et donnerait à penser que l’art de
peindre
a dit son dernier mot, et cela dès la première he
! Terre où pèse si peu l’ombre de tes cyprès ! Au portique la mort
peint
ses hideux secrets, L’art est grave : sans lui, q
ne chose admirable, et quoiqu’on dise qu’elle n’a pas été entièrement
peinte
par lui-même, il surpasse tous les autres peintre
avant tout, des dessins de Raphaël, et je voudrais avoir mon portrait
peint
par Velazquez. Il est plus simple que Rembrandt e
sible pour éviter tout ce qui reluit sur la chair ; on dirait qu’il a
peint
à travers un voile, tant ses têtes ont du moelleu
res creusées par les roues des chars ; sur les murailles des affiches
peintes
de jeux et de spectacles, les boniments des élect
fait justice du propos de Vasari racontant que le Vinci encore jeune
peignit
de sa main un ange qui était supérieur à toutes l
ce que son élève était capable de faire, alors qu’il pouvait le voir
peindre
constamment ? Faut-il ajouter enfin que, d’après
outer enfin que, d’après Vasari lui-même, Léonard aurait simplement «
peint
» sur un dessin de Verrocchio ? Sur la foi du mêm
vaut par elle-même, et il n’est pas nécessaire d’y insister. L’œuvre
peinte
vaut de plus par l’influence qu’elle exerça, non
rien : le vrai dans l’art est relatif à la personne seule qui écrit,
peint
ou compose dans quelque genre que ce soit ; le vr
ille contorsions ; et je me plaisais à croire qu’elle était cet Enfer
peint
par le Dante, bondé de damnés. Je la comparais au
est peu à peu levé, et Messine nous est apparue comme un décor qui se
peint
et s’achève. Tout à coup, elle a resplendi, et la
mode, c’est-à-dire des portraits en pied. C’est de cette façon qu’il
peignit
celui du Cardinal de Trente, alors jeune. » Ce po
s pour une surprenante effigie de Cardinal, par le Caravage. Elle est
peinte
avec une décision dans le visage, avec une franch
présentées et où brillent surtout Rubens, avec le Saint Grégoire qui,
peint
en 1606 pour la Chiesa Nuova de Rome, figura ensu
énoy, avec une magnificence savoureuse et digne des grands siècles, a
peint
cette Venise que, après Chateaubriand et George S
. J’ai vu, je crois, ce que personne n’a vu, ce qu’aucun voyageur n’a
peint
: les sots ! les âmes glacées ! les barbares !… P
mieux, semble-t-il, que l’épée, la plume et la fourchette. Tel il se
peint
au naturel dans ses lettres, tel nous le retrouvo
Lui, Michel-Ange, un statuaire ; Et le forcer à
peindre
en du plâtre durci Une calme légende au ha
ec une soudaine amitié les vilaines fresques du plafond et les frises
peintes
du mur blanchi à la chaux. La salle, peu à peu, l
verrouillée dans son affreuse chambre tendue, ô dérision, d’un papier
peint
à joyeuses roses rouges, dans le cœur desquelles,
e chèvre comme les faunes antiques, pensif, le père dirige le chariot
peint
de diverses couleurs et la vigueur des beaux taur
t. Il y avait le salon laqué rouge, le salon laqué vert où les fleurs
peintes
s’insinuaient sous les vieux bois dorés des cimai
a ne recèle aucun mystère et n’est que contraint : lorsque Léonard la
peignit
(1499), elle venait de perdre une petite fille et
gination est supérieur à celui qui s’y abandonne. Il est plus aisé de
peindre
des Ogres et des Géants que des Héros et d’outrer
a dit sans feinte : « Tout auteur à ses défauts, Mais ce Goldoni m’a
peinte
. » Le peintre de la nature, écrit-il un peu plus
ost, ni Voltaire, ni Crébillon fils n’auraient certes osé imaginer et
peindre
avec autant d’éclat. Mais la figure qui domine ce
otre évolution littéraire, les Novelle umane de M. Luigi Risso Tammeo
peignent
assez fermement une parcelle d’humanité suffisamm
aucune raison d’avoir été omises par l’éditeur belge, tandis qu’elles
peignaient
si bien la puissance intellectuelle du singulier
venture. Casanova a-t-il voulu, dans cette sotte histoire, essayer de
peindre
le côté légendaire, chevaleresque du caractère ca
es choses excellentes, en soi, mais inutiles chez un artiste qui veut
peindre
des aurores, des brumes colorées, des irisations,
nq ou six florins48 ». Peut-on, à certaines époques, aimer un paysage
peint
comme on aime la peinture de l’avarice, sans aime
édaignait point « faveurs venteuses » du sort, et se plaisait à faire
peindre
pour, les hôtelleries « l’escu de ses armes », se
? Moins coloriste et moins lumineux que Claude Gellée, avec lequel il
peignait
dans la campagne romaine, le Poussin, en prêtant
or sincero non piange ne ride. Tout au contraire, lorsque le Poussin
peint
dans le Déluge un cataclysme naturel auquel son t
présentent l’existence, tandis que nous représentons ses effets ; ils
peignent
le terrible, nous peignons terriblement ; ils déc
dis que nous représentons ses effets ; ils peignent le terrible, nous
peignons
terriblement ; ils décrivent l’agréable, nous déc
le musée architectural, les églises et leurs décorations sculptées et
peintes
: le Baptistère et ses célèbres portes œuvres de
egardant la colline de San Martino avec ses gaies maisons aux façades
peintes
, terre cuite et bistre, qui s’étagent jusqu’au so
ière qu’on eût pu remarquer. C’était une bougie de parade, une bougie
peinte
qui se trouvait dans un grand chandelier de bois
émanait d’elle… Je revoyais sa chambre : son lit de cuivre, la bougie
peinte
devant la madone, un bouquet d’œillets sur la tab
le esclave !… Quel triomphe exaltant ! quelle joie inouïe ! La bougie
peinte
clignotait dans son chandelier de bois, et la gla
s que toi, j’étais avec toi… Je la serrai contre moi ; mais la bougie
peinte
était entièrement consumée ; la nuit devenait plu
ongé à ce maître trop vanté Segantini. Il est vrai que M. Vitteleschi
peint
l’Engadine, patrie picturale de Segantini. Il y a
4 000 fr. Un amateur donna ensuite 46 000 fr. d’une toile vigoureuse,
peinte
avec un art minutieux par Bartolomeo Veneto. Une
sa à Léonard, comme M. Romain Rolland le remarque, « l’humiliation de
peindre
une victoire des Florentins sur ses amis, les Mil
dans la cire (comme il semble que ce fut son goût habituel) une Flore
peinte
attribuée à Léonard (mais en réalité œuvre du xvi
lara sur l’honneur avoir vu Lucas modeler ce buste d’après une figure
peinte
de Léonard de Vinci ; et le fils même du sculpteu
erne. Ayant donc baptisé Lolo « Boronali », il entreprit de lui faire
peindre
un tableau… avec sa queue, préalablement munie d’
X… a disposé, sur une chaise faisant office de chevalet, une toile à
peindre
à l’état de neuf. En ma présence, des peintures d
tistes, M. Gabriel Mourey passe en revue les diverses interprétations
peintes
et sculptées de Salomé et M. Paul Vitry donne un
monumental du palais de S. Sofia sur le Grand Canal, Pietro Longhi y
peignit
la Chute des Géants ; mais il revint vite à des t
d’Onofrio ; Madone de N. dell’Arca, terre cuite ; — relief en argile
peint
d’Onofrio, Sainte-Maria dei Servi ; portail en te
is d’autres fois, il les oublie dans des amours faciles. Il s’amuse à
peindre
« ces gentilles fillettes qui vont et viennent su
ar l’acquisition d’une partie de la collection de statues et de vases
peints
antiques que le diplomate avait lui-même formée a
copies gréco-romaines de l’art grec du ve ou ive siècle, des vases
peints
de Campanie et d’Apulie. La Pallas a atteint le c
e personne tout d’abord n’entendit et qui parut fort pieuse. Elle fut
peinte
sur une large bande de toile hissée, selon la cou
la ; Benetti dans une série de miniatures, médaillons, camées, verres
peints
, représente Garibaldi dans ses différentes tenues
on pourrait croire, un recueil de portraits. Certes, M. Jules Destrée
peint
avec talent MM. Sidney Sonnino et Giovanni Giolit
s saints Jean et Paul et leur gloire. Sur les parois de l’église sont
peintes
de nombreuses figures de saints. On a pu déchiffr
troisième fresque représente le martyre de saint Thomas de Cantorbéry
peint
peu après le martyre du saint. Le chevalier Renau
loire de nos maîtres dessinateurs, et la dernière consacrée à l’œuvre
peint
, dessiné ou gravé d’un des meilleurs artistes de
s poètes que cette guerre a encore magnifiés : le regretté Verhaeren,
peint
par son compatriote Th. Van Rysselberghe, d’Annun
oute conduits vers un nouveau réalisme que nous pouvons exprimer sans
peindre
des locomotives. Tous les efforts des peintres d’
te « d’après nature » dans une rue de Tanger. En premier plan, un mur
peint
en bleu. Ce bleu influençait tout le reste, et Ma
cette sensation de bleu qui dominait toutes les autres, il aurait dû
peindre
en bleu, ainsi qu’un badigeonneur, tout le pannea
à la couleur. Ce qui concorde avec ce que disait Cézanne : « Il faut
peindre
d’abord et dessiner ensuite10. » Et quant aux au
des ou résignées de ces hommes à demi fous. M. Moretti aime surtout à
peindre
les sacrifiés, les souffre-douleur, les humbles,
orceaux de grande valeur, notamment le célèbre Portrait de Mahomet II
peint
par Gentile Bellini lors de son séjour à la cour
lique, la joueuse de luth, et Violante, la nonnette ! IX. Le verre
peint
La Rosalba, délaissant, pour un jour, ses past
ord un jeune officier, en me désignant l’assemblage des constructions
peintes
à la chaux vive et qui semblent sortir de la mer.
r le château du Gouverneur, vaste construction de l’époque espagnole,
peinte
en rose, et dont les tons harmonieux s’aperçoiven
: « Entre les deux premiers, Monsieur, il y a une différence. Racine
peint
les hommes tels qu’ils sont, Corneille tels qu’il
i concerne cette question. Après nous avoir rappelé que ces fresques,
peintes
sur les murs de la villa Tornabuoni, près de Flor
-être, n’a-t-il pas ainsi souligné l’angoissant mystère de la fresque
peinte
par Botticelli ! Voici la fresque de droite, tel
« le miroir de l’élégance ». En 1497, onze ans après qu’il avait fait
peindre
cette fresque sur les murs de sa villa, neuf ans
que si l’artiste n’a point d’amour pour cette vie qu’il se propose de
peindre
. Ce n’est pas le cas de Boccace. Je viens de reli
Ce personnage tenait une grande place dans ma vie. C’était un pantin
peint
en vert, en jaune, en bleu et en rouge. Je l’aima
ction éthique. Mais cela n’implique pas la nécessité de s’abstenir de
peindre
les corps qui ne se déplacent pas et qui sont pou
plus vulgaire contingence, de l’obsession religieuse et morale. S’il
peint
quelquefois la volupté, c’est avec une si grande
que la réalité, dès que l’incertitude la torture. Le passage qui suit
peint
avec simplicité la qualité de son esprit ; elle y
r le roman de demain, elle ne sera pas l’expression exacte, celle qui
peint
toute la complexité de nos aspirations, comme de
la vie moderne, et aux sentiments qu’elle nous inspire. M. d’Annunzio
peint
la vie moderne telle qu’il la sent. C’est son dro
pictural en poésie, ne peut rien donner en peinture, et qu’un visage
peint
par un bon peintre lui sera toujours préférable e
e de Saint Basile, envoyaient déjà en Italie tous les tableaux qu’ils
peignaient
du Crucifiement, tous ces diptyques, à fond d’or,
n’a rien de la beauté ferme et de la certitude de modelé d’un visage
peint
par Giovanni. Les Portraits de deux jeunes hommes
ise. À la fin de sa vie Bartolommeo rechercha la finesse allemande et
peignit
les cheveux avec une minutie extrême. Il y avait
’être rentré au port. Dans les deux cas, les mêmes procédés servent à
peindre
l’horreur spéciale de cette situation : l’homme g
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