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1 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LXX »
, avec lequel je voyage depuis Foligno. Il m’a dit que nous pourrions partir demain matin. Demain est un dimanche, 20 octobre.
nades avec Mélanie. (Triste, silencieuse, de l’humeur. « Puisque vous partez , il n’y a rien à dire. » 1813.) Nous allons au sp
on compra l’amore me fait plaisir. M. Casatti vient m’y dire que nous partons demain à 9 heures, si cela me convient. Il entre
e 20, à 20 minutes du matin, après avoir fait mes porte-manteaux.] Je pars d’Ancône le 20 octobre pour Milan. (1813). Nous s
2 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 249, 1er novembre 1907 »
d’hésitation : « Je voudrais rester un peu avec toi. Quand tu as cru partir définitivement je suis resté ici, dans cette vill
et d’écouter. Prends-moi de nouveau pour compagnon, jusqu’à ce que tu partes encore de cette ville exilée du monde et du temps
ntendis encore sa voix qui me disait avec des sanglots : « Non, tu ne partiras pas. Je ne te laisserai pas partir. Je suis si he
avec des sanglots : « Non, tu ne partiras pas. Je ne te laisserai pas partir . Je suis si heureux à présent de pouvoir parler à
uter tous mes gémissements et accueillir mes confessions ! Non, tu ne partiras pas de cette petite capitale. Je ne permettrai pa
ne partiras pas de cette petite capitale. Je ne permettrai pas que tu partes  ! » Cette fois encore je ne répondis pas et tout
t en silence et me suivait toujours. Le jour d’après je me disposai à partir , mais il se planta devant ma porte et ne me laiss
3 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 246, 15 septembre 1907 »
de l’Académie ; en 1756, Cochin sollicite de Marigny l’ordre de faire partir pour l’Italie les cinq élèves protégés qui doiven
lents, et que d’ailleurs vous affectionnez, en ordonnant que son fils parte dès l’automne de l’année prochaine et lui accorda
ue Fragonard était élève de l’École des Élèves protégés ; en 1756, il était parti pour Rome. À son retour, son mérite commença à se
4 (1914) Articles du Mercure de France, année 1914
davantage sur le peintre, mais Paolo m’ayant rappelé que nous devions partir , le lendemain matin, pour Vérone, nous saluâmes A
t elle redoute les visites nocturnes. — Qu’y-a-t-il ? s’écrie-t-elle. Partez  ! Je suis lasse. Éteignez ces lumières ! Laissez-
s premières heures du jour. * Cette lettre m’était destinée. Avant de partir pour Vérone, je la communiquai à Wellseley. Elle
our… pour je n’en savais rien… le jeter par la fenêtre… le chasser ou partir  ! Il épaississait l’air. Il s’appuya contre la ch
t surveillés par vous, et vraisemblablement par Beppo, Stella-Lucente partira  ; et alors je travaillerai dans une atmosphère sy
e. John-Arthur travailla jusqu’à la nuit. Le lendemain, quand Antonio fut parti , Wellseley demanda à Aurora d’ôter son collier. E
e accompagna Nina jusqu’à sa gondole ; puis il appela Beppo : — Quand sont partis tes camarades ? — Cinq minutes après l’arrivée de
re… — Et Wellseley, était-il auprès de vous ! — Non, il s’apprêtait à partir . — Tant mieux. Les Vénitiens ont mauvaise langue 
, dit Aurora. — Ne me quittez plus ! supplia Wellseley. Restez ! Nous partirons ce soir, demain. — Je ne peux pas fuir encore. — 
uitté l’atelier des Zattere, Wellseley se reprocha de l’avoir laissée partir . « J’aurais dû l’obliger, pensa-t-il, à rester av
Bellini et de Carpaccio. Ugo leur préférait les doges du Tintoret. —  Partons  ! fit-il après avoir regardé l’heure. Elle le sui
llets. Il n’adressa pas la parole à sa femme, qui interrogea : — Nous partons  ? — Que vous en semble-t-il, hein ? ricana Antoni
nous fûmes seuls. — Non, en tous cas, je le saurai. — Comment ? — Je pars pour Mantoue. — Vous ne partirez pas, Wellseley !
tous cas, je le saurai. — Comment ? — Je pars pour Mantoue. — Vous ne partirez pas, Wellseley ! Vous ne parviendrez pas auprès d
tirez pas, Wellseley ! Vous ne parviendrez pas auprès d’Aurora ! — Je pars . Je ne risque, somme toute, qu’un coup de feu de
orique de la guerre. Il arriva à Tripoli le 19 novembre 1911 et il en partit le 1er avril 1912. Il a complété ses propres obse
a ainsi brisé tous les pianos existants à Paris, après quoi il pourra partir à travers le monde et briser tous les pianos exis
ition Garnier frères et toutes les autres ; elle n’apparaît même qu’à partir du chapitre v du tome VI, lequel correspond au ch
puleuse de l’édition française de Brockhaus, vous ne trouverez pas, à partir du chapitre v du tome VI, des pages entières, d’u
cture vous sera procurée par les tomes IX et X de l’édition Paulin, à partir du premier chapitre du tome IX, où commence la tr
térale de l’édition allemande de Brockhaus… Je souligne à dessein : à partir du tome IX, car toute l’obscurité vient de là. Au
connues, Méline, Rozez, Garnier, Flammarion, sont identiques. C’est à partir du chapitre suivant que la bifurcation des textes
1er août 1914, p. 595-602 [596-598]. La Revue France-Italie prend, à partir du premier numéro de sa seconde année, le nom, mo
5 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — [Premier extrait] — Chapitre LVIII »
Chapitre LVIII Jeudi, 10 octobre 1811. À une heure du matin, nous partons pour le Vésuve, le Vicomte, M. Long, sa femme et
te, elle était fermée. J’y retourne à 5 h. et j’arrête une place pour partir par le courrier du 11 octobre. (Elle me coûte 40 
6 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXII »
ctions d’hier. Le poids était petit, mais le levier n’était rien. [Je pars ce matin de Varèse pour Laveno, où j’arrive à 11 
faut venir jouir de la nature et à six heures d’une grande ville.] Je pars en bateau toujours avec la pluie, mêlée d’interva
7 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIII »
es ; je suis allé déjeuner à Palanza. J’ai été à Laveno à midi ; j’en suis parti sur-le-champ ; arrivé à Varèse à 2 h. 1/2. Je me
mauvais temps n’avait point chassé A.. Tout a réussi assez bien ; je suis parti par un temps de Montcenis à 4 h. 1/4 après une co
8 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXI »
et le coulant d’un homme qui veut parvenir à une chose difficile, je suis parti de Milan à 2 h. 1/2 pour Varèse. Je suis arrivé à
iturin. J’ai eu aujourd’hui les aventures et un temps ossianiques. Je suis parti à cheval à 6 h. 1/4 pour la Madona del Monte. Je
9 (1905) Articles du Mercure de France, année 1905
re, est avec lui, car il l’aime et elle l’aime. C’est pour elle qu’il est parti de sa maison, le lendemain de ses noces, s’éloign
nouveau. Ornella dit que Lazaro, son père, blessé par amour de Mila, est parti pour venir la retrouver sur la montagne ; Ornella
nt que tu viennes l’appeler, ô innocente. Cependant elle ne peut pas partir . Quand Ornella disparaît, le grand événement du d
héâtre. M. D’Annunzio est de ces derniers. En tant que dramaturge, il est parti du rêve esthétique et cruel des Songes, a tenté l
r le petit bétail, pour défendre aux chiens d’aboyer et aux fusils de partir , pour détruire les chenilles et autres animaux nu
Zio Félix. — Eh bien, si je suis le maître, reste avec moi, ici. Nous partirons demain matin ensemble. Ton père n’osera même pas
don Elia se trouvait à la tanca, car le jeune homme, à son habitude, était parti sans dire où il allait, ni pourquoi ; le messager
j’ai essayé de lui tirer dans les reins ! Et le coup n’a jamais voulu partir . — Mais alors ne pourrais-tu te le faire délier ?
urir son ennemi, consumé par la faim et la soif. Elia se proposait de partir le lendemain ; mais il s’aperçut qu’après la céré
se contint et dit : — Ne me faites pas enrager, Zio Pera. Laissez-moi partir tranquille. — Comment, mon petit renard, tu ne cr
mon frère ; je t’en prie, pour l’amour de Dieu. Il sella son cheval, partit sur-le-champ ; il espérait ramener Antine à de pl
as la prière de Zio Félix. Zio Félix rentra à la bergerie comme il en était parti , avec la haine et le désir de la vengeance au cœu
commencés. À l’extérieur, il y aura un mur en forme d’hémicycle, d’où partira le vestibule semblable à celui de l’antique théât
 ? Pas du tout18. D’abord il n’imita, à proprement parler, personne à partir du jour où l’amour et la douleur firent jaillir e
its 20. Quant à Pétrarque dont il s’inspira plus que d’aucun autre, à partir du jour où la mort de Julie changea son amour en
ndre de la Renommée : c’est sur ses ailes toutes grandes ouvertes que sont parties la Défense et l’Olive ; mais il lui déplaît d’êtr
nvolture de gentilhomme, à la fantaisie de ses imprimeurs50. Quand il partit pour l’Italie, derrière le cardinal du Bellay, so
e, avec les ressources dont il disposait, aux menaces de l’ennemi. Il partit sans avoir obtenu de Crispi et du ministre de la
10 (1913) Articles du Mercure de France, année 1913
ait, à moi aussi, que je venais à peine d’arriver, quand le moment de partir sonnait. Nous ne nous étions dit encore que quelq
qu’un bonheur intermittent et toujours menacé : il fallait fuir… Nous partirions . Nous irions bien loin, et, perdus dans quelque d
élicité… Si je n’écoutais que mes sentiments, je n’hésitais pas, nous partions . Mais c’est alors que j’essayais de rappeler ce q
r, je lui parlerais ! Malgré mon amour, malgré mon désir passionné de partir avec elle, je lui exprimerais d’abord tout ce que
’un jeu… Cet homme ne pouvait que me haïr et désirer ma mort. Quand j’ étais parti , et qu’il n’avait plus été forcé de se contraindr
armant, s’inquiéta de savoir si je me plaisais à Naples, et, quand il partit , voulut bien me dire qu’il espérait que nous nous
xprimer, mais je pensais bien qu’elle ne s’y rendrait pas et que nous partirions . J’étais heureux. L’idée du mariage, au contraire
vent, tous les jours, à tout instant. Et dès le mariage célébré, nous partons , loin de l’étiquette et de la représentation, loi
que regards étonnés, éblouis, ou enchantés, était à moi, à moi ! Nous partîmes pour la Sicile. De ce voyage, je conserve un souv
planche, et elle se serra contre moi en frémissant. Mais quoi ! nous partions pour une existence nouvelle. Le monde où je la co
e, souriant et plein de vie, pour nous raconter les choses dont magna pars fuit. Et on pardonne à l’auteur aisément certains
taine d’œuvres choisies6. Le déplaisir des Italiens est grand de voir partir à l’étranger tant de belles œuvres de l’école nat
andis que dans une occurrence semblable le simple poète, Musset, fait partir Octave désemparé, comme meurtri par une chute, et
ident. Cet évocateur a aussi un esprit de parti, ce fameux spirito di parte des farouches chroniqueurs florentins. Mais le no
reliés qu’il faudra opérer ; et presque sur cinq, car la station d’où est parti Ulysse pour le pays des Laistrygons aura aussi se
d’abord une station qui soit à six journées entières de navigation à partir d’Éole ; mais en tenant compte de ce fait qu’il f
ance en haute mer, et l’on attend bon vent arrière pour se risquer. À partir du midi de la grande île, la ligne générale des r
la veille, la tenait couchée… Comment vivre un jour, sans la voir ! —  Partez vite !… Je vous en supplie, partez vite ! hoqueta
nt vivre un jour, sans la voir ! — Partez vite !… Je vous en supplie, partez vite ! hoquetait-elle, tandis que je baisais son
etait-elle, tandis que je baisais son front, ses cheveux, ses tempes… Partez vite !… Il n’est allé qu’à Padoue, en auto… Il a
ne, il décida d’envoyer un navire de guerre pour la saluer. Le navire partit . Pendant un mois il négligea de donner de ses nou
uruy, voici comme les choses avaient lieu. Elle ne m’intéressait qu’à partir des Guerres puniques. Les Rois Brutus, Lucrèce, C
l manque toute une périphérie, grande au moins comme celle de Paris à partir des boulevards extérieurs. D’où d’énormes agglomé
11 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 243, 1er août 1907 »
vérité que trop malaisée, eut encore, par-dessus le marché, maille à partir , après sa mort, avec les Naundorffistes, qui, s’i
té wurtembergeoise dans la première moitié du siècle dernier. Vischer partit pour l’Italie en 1839, alors qu’il était âgé de t
12 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXIV »
de proposer de passer incognito ici la journée d’aujourd’hui et de ne partir que lundi matin. She visits to me that she will b
13 (1918) Articles du Mercure de France, année 1918
n de francs à M. Duveen, le grand marchand de tableaux de Londres, et est parti pour New-York ; […]. Parmi les estampes, les ench
ù l’Allemagne a conservé des hommes de paille. D’autres ramifications partaient de la cellule centrale vers le Vatican, le parti
nt on ne sait quelles manifestations fâcheuses, n’avaient jamais fait partir que la nuit les trains de renforts ou de recrues.
tifs sont le Col de l’Orso et le Solarola. Attaques convergentes, qui partent , au nord du Mt. Cornelia, à l’ouest, du Val Seren
ant été faite par le gouvernement ou des particuliers, on dut laisser partir la Vénus pour Berlin, qui la guettait. Nos bons A
à sa mère par le garçon de la boutique avec le billet suivant : « Je pars pour le front, vive l’Italie ! » Elle raconte mai
puis quelques semaines en effet, les éléments de cette nouvelle armée partaient pour le front, accueillis partout, sur leur passa
s paroles si éloquentes prononcées en tant d’occasions par M. Orlando sont parties de son cœur et de son cerveau aussi bien que du c
cieuse idylle de Hollande ? Mais Lodoletta elle-même lui conseille de partir et il obéit. Au troisième acte, nous sommes donc
eries de ses commensaux. Or, voici que soudain et quand tout le monde est parti , Lodoletta fait son apparition dans le jardin de
14 (1912) Articles du Mercure de France, année 1912
, mais encore des chemises, des bas et des mouchoirs de rechange ! Il partirait par un train de plaisir pour quelques jours aux b
re de marbre. Les voilà donc au bord du toit. … Mais il est temps de partir . On ne voyait plus la lune ; j’attachai au cou du
ilet, nos chapeaux sur la tête, nous allâmes à l’ouverture. Avant de partir il demande trente sequins au comte Asquin qui, pa
deux tiers de la pente. Elle était assez éloignée de l’endroit d’où j’ étais parti , pour que je pusse juger que le grenier qu’elle é
en laissant ses auges il a le soin de les bien laver à l’eau avant de partir , car s’il y laissait du plâtre délayé, il trouver
esponton, et, du côté de Saint-Marc, des plaques qu’il a remontées, à partir du petit toit jusqu’au grand faîte, en employant
ition, pas un ne bougeait. Maintenant on les désigne d’office. Ils ne partent pas toujours : certains se suicident, et il en es
e et qui montre la profondeur de ses réflexions politiques ? Casanova est parti avec l’intention de s’arrêter à Orléans pour voir
les trois jours, et la Catalogne dans huit. Il va à la poste avant de partir , et y trouve intactes cinq ou six lettres qu’on a
d étonnement. Le voici hors d’Espagne, et nous ne l’en laisserons pas partir avant de citer cette page, écrite il y a plus de
rands faits bruyants et à éclats, bien connus de tout le monde. Nous partîmes donc en 1897, pour Barcelone, chercher s’il n’éta
core, et à nous mettre en campagne pour nos recherches ultérieures, à partir du point où Scylax vient de nous arrêter, c’est-à
es, à partir du point où Scylax vient de nous arrêter, c’est-à-dire à partir des environs de Naples. 6° Or voici que préciséme
quer le plus commodément dans une nef mise d’avance à flot et prête à partir . La roche en forme de dôme surbaissé qui constitu
e marches taillées dans la pouzzolane, d’atteindre une barque prête à partir . 9° Enfin, si l’on demande où nous plaçons le lie
grimoire ancien ; malgré les six siècles écoulés depuis que le Poète partit pour l’exil, on peut encore retrouver la cité de
en laissant ses auges il a le soin de les bien laver à l’eau avant de partir , car s’il y laissait du plâtre délayé, il trouver
de synthèses toujours plus vastes, ne se trouve pas seulement amené à partir d’un point plus avancé que le spécialiste. Dégagé
turge — dans ses différents voyages et ses résidences successives — à partir du moment où il apparaît dans l’histoire jusqu’à
nier, parce que les étrangers qui passaient d’habitude dans sa maison partaient toujours dès l’aube, leur baedeker sous le bras,
15 (1900) Articles du Mercure de France, année 1900
Bacchantes, pour qui te réserves-tu ? Du groupe des femmes, les voix partaient en chœur ; et la voix d’Orphée qui donnait les ré
Orphée ? demanda Bicornide, la voix agitée par la frayeur. Demande à partir , humilie-toi, si tu veux être sauf. Tu es en dang
Stazia. Tu restes notre prisonnier. Tu nous suivras quand nous allons partir . Orphée regarda encore une fois la mer, que la te
» par opposition « alla antica », et qui fut très estimée en Italie à partir du xive  siècle. Les dessins parent le verso des
ux, sauf dans la XXVIIe où se tordent quelques vagues profils. Mais à partir du motif XXVIII, reparaissent les tableaux mouvem
oppement, et ils comptent que, pour être vraiment fructueux, il devra partir du centre de Venise ; — pourquoi pas d’entre les
va lui naître. […] Cependant le terme approchait où il allait falloir partir pour Rome. Une occasion s’était déjà présentée l’
u’il fût, le temps vint quand même et, à l’automne de 1756, Fragonard partait pour Rome, emportant, paraît-il, un dernier avis
e conciliation. De là cet étonnant spectacle qu’offre le philosophe : partir de Spinoza, du réalisme logique qui assimile plus
16 (1911) Articles du Mercure de France, année 1911
mis de là-bas m’a conté, à propos de la pêcherie, un fait curieux. Il partait en voyage, et avait pris pour se rendre à la gare
la dure ; je lui suis attachée, mais n’importe, je le renverrai. » Il partit pour Londres. Elle prit la fièvre, le chagrin la
tres. Je l’ai choisi pour ami. Il est entré chez Zuccatto, comme j’en partais  ; puis chez Gentile Bellini, mais il n’y est pas
arelli. La haine aurait fini par séparer ces deux hommes, si Titian n’ était parti de Venise, appelé à Padoue, par la famille Cornar
ses ruines. Il retourna à Rome pour essayer de peindre des figures et partit subitement pour Florence où l’attirait la renommé
me permettre d’ajouter une phrase, il murmura : — Si vous avez peur, partez … Mais qu’on ne me l’enlève pas ! Il s’agenouilla
des pierreries qui coloraient le vin. Elle attendait l’heure où tous partiraient . L’unique mot qu’elle articula, moi seul l’entend
da simplement. Je la serrai contre ma poitrine. Je balbutiai : — Nous partirons ensemble. — Je suis prête ! Hélas ! un impérieux
en hurlant, sur le lit. La tête dans les coussins je hurlais : « Elle est partie  ! » comme j’ai hurlé, tantôt : « Elle est morte !
st partie ! » comme j’ai hurlé, tantôt : « Elle est morte ! » Zaratto était parti , Lorenzo était parti. Tous deux avec elle. Cette
’ai hurlé, tantôt : « Elle est morte ! » Zaratto était parti, Lorenzo était parti . Tous deux avec elle. Cette triple trahison me pa
orgio. Attends dans ma chambre. Il sortit. Morto s’écria : — Avant de partir pour la guerre, Giorgio, je te jure que jamais la
voyais, avec son pourpoint écarlate… — Écarlate ? s’écria-t-elle. Il est parti d’ici vêtu d’un pourpoint noir !… * — Seigneur, i
lle me dit : — Je n’aime plus Giorgio… je ne veux plus vivre ici…, je pars . — Pour où ? repondis-je en souriant. — Je l’igno
i…, je pars. — Pour où ? repondis-je en souriant. — Je l’ignore. — Tu pars seule ? — Non ! avec toi… car je t’aime, Zaratto…
Le journal de Gebhardt se termine par ces mots datés d’Athènes : « Je pars demain. Funérailles de ma jeunesse ! » Il savait
e dirigea Leigh Hunt ; il figura au sommaire du Monthly Repository, à partir du numéro d’août 1837 jusqu’au numéro d’avril 183
stai un mois ; dans cet espace de temps, le régiment reçut l’ordre de partir pour Tortone, en Piémont ; et moi je fus obligé d
de lui avec le général Jourdan, qui fut fait maréchal de France. Nous partîmes de Milan pour nous rendre au camp de Brescia, où
17 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 — Fin du tour d’Italie en 1811 — Dernière partie du « Journal » — Second séjour à Milan — Chapitre LXXV »
cé la prolongation miraculeuse de mon congé, elle m’a dit : « Il faut partir . » Elle m’a appris qu’elle allait à Novare. La ja
18 (1906) Articles du Mercure de France, année 1906
deur de la haine et de la peine du Dieu montait des mille racines qui partaient de son cœur et s’ouvraient dans les pampres roux,
ducci un poème de délicieuse fraternité. Et il poursuivit son chemin, étant parti de ce groupement de jeunes artistes qui, vers 188
ne mon repos, Quels nouveaux fruits te faut-il donc, soif importune ? Partir  ! — Attache sur ta bouche ces pipeaux Et souffle
 » avait ravagé une famille et bouleversé un pays. Duccio della Bella partit avec son vieux compagnon. La vision du duel auque
attendu que l’invisible ennemi ait eu le temps de viser ; deux coups étaient partis en même temps, au-dessus de la tempête, dans l’or
cio della Bella, le jeune homme qui avait voulu connaître la vie, qui était parti avec son rêve pour vivre avec intensité et avec l
érité, il était amoureux de l’une et de l’autre depuis dix ans, et il était parti pour les revoir, comme on s’en vient à un rendez-
pour dégoûter Beyle de Paris. « Rome, Rome est ma patrie, je brûle de partir  », écrivait-il le 4 juillet dans son Journal. Et
tir », écrivait-il le 4 juillet dans son Journal. Et un mois après il était parti , mais pour Milan : il devait y rester sept ans. C
19 (1898) Articles du Mercure de France, année 1898
 Monsieur Tel descendait d’une famille impérieuse… » Croyez-vous ? On est parti de là pour conclure sans appel que le jeune écriv
hevaleresque, de sa voisine Florence. Dans cette école ombrienne, qui partit de Gualdo et des San Severino pour se dévoyer com
ssance magique. Ugo Ojetti : Il Vecchio M. Ugo Ojetti avant de partir pour l’Égypte dans un voyage d’études et d’agréme
qu’aux portraits de Saveria. Puis, ils vont braver leur passion ; ils partent pour l’étranger où Saveria a repris sa carrière d
20 (1892) Articles du Mercure de France, année 1892
je ne monte point au général pour redescendre au particulier, mais je pars du particulier pour atteindre le général ; le par
me naïf et populaire du Nouveau-Testament. Et, certes, cette réaction partait directement de la Bible, car il est facile de rec
21 (1909) Articles du Mercure de France, année 1909
s sans boire une eau propre, sans manger un pain frais, nous avons vu partir ces barques savoureuses, nous avons vu s’éloigner
res pontificaux, à qui, d’après les calculs de l’auteur, succèdent, à partir du xe  siècle, les Consuls de Rome ; enfin les Ju
t dans le bruit l’affirmation de leur pauvre force. De Florence aussi sont parties d’autres œuvres, dues à M. Sem Benelli, où l’on p
’il alla voir le comte de Tende64 qui y logea un jour entier quand il partit pour la cour. Pour revenir au quia, étant resté s
, que je sois déchaussé et sur le point de m’aller mettre au lit pour partir au matin, s’il plaît à Dieu, à Barbentane. J’y re
n jour, tant la compagnie a été agréable et douce. Mais les seigneurs partent pour ces guerres de France, « non pas civiles, ma
oumettre Les chevaux clairs, mais violents, de son travail. Puis il partit jusques au soir vers la campagne. Les lignes de
en lui comme une grappe                         De raisins noirs, Il partit tout à coup chercher querelle au pape.           
ela avait duré si peu de temps, vraiment… huit jours à peine… et elle était partie ce matin… » — Bélisaire eut tout à coup envie de
trente demoiselles vertes en rang d’oignon, nymphes banales, prêtes à partir successivement, pour la boutique du brocanteur !
rde, a apporté toutes les précisions désirables à ce sujet. La charge est partie sans ordre. La lettre du générai de Brack fut ren
22 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXIX, numéro 248, 15 octobre 1907 »
t étudie dans les premiers chapitres ces exemplaires préparatoires, à partir du Sforza. Le gros œuvre du livre se compose du r
23 (1915) Articles du Mercure de France, année 1915
du parler de guerre, c’était il y a deux ans. À cette date, les Turcs sont partis , les Grecs sont venus les remplacer ; et depuis l
plus burlesques qui soient. Donc, pour M. Gargano, tous ces gens qui partent en guerre ne savent pourquoi et demandent que le
tous ces gens chassés de leur maison après que tous leurs plus chers sont partis pour la guerre, vieillards, femmes et enfants san
24 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXVIII, numéro 244, 15 août 1907 »
ort de ne point reculer ; il resta, dîna mal, se fit voler au jeu, et partit après que la fille se fût invitée à souper chez l
25 (1894) Articles du Mercure de France, année 1894
prit des hommes ; le Doute n’était point né ; et des millions d’êtres partaient pour délivrer le tombeau du Christ sans avoir son
26 (1903) Articles du Mercure de France, année 1903
artiste étranger, Henri Kronberg, et follement éprise de lui, le voit partir pour la Norvège. Dans la solitude qui l’entoure t
et lorsque, sans aucun espoir désormais, Massimo lui annonce qu’il va partir , Edoarda a un élan de passion : « Ne me demandez
à reconnaître la courtoisie. Après une rapide visite du château, nous partîmes en voiture pour Oberleutensdorf, un schloss plus
27 (1910) Articles du Mercure de France, année 1910
es, et où l’on ne puisait que dans les cas les plus urgents. — Mais à partir du xviie  siècle, l’importance militaire du châte
t le style se combinent, avec une variété incroyable : nos sculpteurs sont partis , comme ceux d’Italie, du débris romain, du sarcop
Gênes, à Rome, Naples. Les appointements étaient de 7 000 francs. Il partit , emmenant sa femme et ses deux filles, laissant s
s à la Porte de Rome et je vous prie, si vous passez à Milan, dont je serai partie alors sans doute, de venir arrêter un regard méla
onnent. 29. Corpus inscriptionum latinarum. Berolini, 1847, tome V, pars posterior, p. 364, n° 6000. 30. Corpus, p. 687,
28 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 252, 15 décembre 1907 »
frondeur, railleur, goguenard et caustique ; il savait que je devais partir le lendemain35. » C’est fort vraisemblable ; comm
29 (1907) Articles du Mercure de France, année 1907 « Tome LXX, numéro 251, 1er décembre 1907 »
plairait plus à son lecteur. Près d’elles il est en faveur, Et magna pars de leur histoire ; Mais c’est un modeste vainqueu
30 (1917) Articles du Mercure de France, année 1917
l’importance qui leur appartient, mais combien avec notre tendance à partir d’idées générales, avec la culture de tous nos ho
systèmes du monde, celui de Ptolémée et celui de Copernic, et d’où il partit pour attendre la sentence de l’Inquisition romain
reuve de virilité, et M. Borgese développe les raisons qu’elle eut de partir en guerre, — après des débats multiples. Je passe
acée par les troupes espagnoles qui, ayant à leur tête le duc d’Alva, partirent de Naples le 1er septembre et envahirent les État
31 (1904) Articles du Mercure de France, année 1904
écrivain, mais toujours est-il que le premier encouragement au poète est parti de cette Revue, et j’en suis fier. Giulio Orsini
osa se releva, regarda Emidio avec un regard singulier : — Donc, nous partons  ? Et ils se remirent en route… Tous les menus
32 (1901) Articles du Mercure de France, année 1901
cherche en vain dans ta jeunesse ? Eh bien ! Je laisse tout, je vais partir  ; je reviendrai plus tard pour voir ce que tu aur
33 (1916) Articles du Mercure de France, année 1916
sa région où il est enraciné, de ses ardents Romagnols qui, appelés, partirent pour la guerre avec lui. Style personnel, fait de
alienne une origine allemande et écrit à ce sujet dans le Secolo : À partir du jour où l’Italie a déclaré la guerre à l’Autri
34 (1902) Articles du Mercure de France, année 1902
31-535 [531-532]. Voici, enfin réorganisées, les salles de dessins. À partir des salles du mobilier Louis XVI, elles se succèd
35 (1899) Articles du Mercure de France, année 1899
, si elle n’est pas militariste, est diantrement militaire et prête à partir en guerre pour Cuba aussi bien que pour Fachoda.
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